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De Michel Delage an d'Valerija Berdi beschwätzen: "Tardes de soledad" (Albert Serra), "Black Dog" (Guan Hu), "Traffic" (Teodora Mihai) an "Aimons-nous vivants" (Jean-Pierre Améris).
De Michel Delage an d'Valerija Berdi beschwätzen: "Tardes de soledad" (Albert Serra), "Black Dog" (Guan Hu), "Traffic" (Teodora Mihai) an "Aimons-nous vivants" (Jean-Pierre Améris).
Le réalisateur Jean-Pierre Améris présente sa dernière comédie tournée à Genève, avec Valérie Lemercier, Gérard Darmon et Patrick Timsit au casting. "Antoine Toussaint, grande vedette de la chanson française, ne vit que pour son métier. Après avoir fait un AVC en public et se sentant incapable de remonter sur scène, il décide d'aller en Suisse pour en finir. Dans le train pour Genève, il fait la connaissance de Victoire, une passagère envahissante, à la personnalité explosive." A voir en salles romandes dès le 16 avril. Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris sont les invité.es de Rafael Wolf.
A l'occasion de la sortie du film "Aimons-nous vivants" de Jean-Pierre Améris dont il partage l'affiche avec Valérie Lemercier, l'acteur chanteur Gérard Darmon est l'invité de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann, vendredi 11 avril, de 19h à 20h, pour évoquer son actualité et partager les anecdotes de prolifique carrière.
Valérie Lemercier de retour au cinéma et sur scène dans un nouveau spectacle, le premier depuis 10 ans. Au cinéma, rdv en salle mercredi 16 avril avec le film “Aimons-nous vivants” de Jean-Pierre Améris qui l'accompagne sur notre plateau.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Nos invités de la deuxième partie de C à Vous: Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris avec le film “Aimons-nous vivants” en salle mercredi 16 avril. Christian Morin, pour le livre “J'ai tant de choses à vous raconter” qui sort le 17 avril aux éditions XO.Avec comme chaque soir également l'œil de Pierre, le "Pas vu pas pris" de Mohamed Bouhafsi et bien entendu l'ABC de Bertrand Chameroy.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
A l'occasion de la sortie du film "Aimons-nous vivants" de Jean-Pierre Améris dont il partage l'affiche avec Valérie Lemercier, l'acteur chanteur Gérard Darmon est l'invité de "On se tutoie ?..." avec Jean-Luc Reichmann, vendredi 11 avril, de 19h à 20h
Valérie Lemercier et Jean-Pierre Améris sont nos invités pour le film "Aimons-nous vivants". Dans le train pour Genève, Victoire, une passagère envahissante, croise Antoine Toussaint, son idole, une grande vedette de la chanson française. Entre lui, au bout du rouleau, et elle, débordante d'énergie, la rencontre sera explosive… Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:10 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Retrouvez Michel Blanc dans sa dernière émission sur France Inter. Philippe Jaroussky, le contre-ténor français l'avait invité en novembre dernier, quand sortait "Marie-Line et son juge" de Jean-Pierre Améris.
Il était le comédien de plus de 70 films, réalisateur de cinq films à succès et chanteur de lʹunique chanson de télésiège répertoriée. Michel Blanc est décédé à lʹâge de 72 ans. Des "bronzés" de Patrice Leconte à son dernier long-métrage "la cache" réalisé par Lionel Baier, il englobe 40 années de cinéma populaire dans tous les registres. Retour sur sa carrière en compagnie de Rafael Wolf et du réalisateur Jean-Pierre Améris.
durée : 00:53:48 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Philippe Jaroussky, contre-ténor français le plus célèbre au monde, est l'invité du Grand Atelier à l'occasion de la sortie de son album "Forgotten arias", chez Erato. Il est accompagné de Michel Blanc, à l'affiche du film "Marie-Line et son juge" de Jean-Pierre Améris. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
durée : 00:17:13 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - Louane est à l'affiche de "Marie-Line et son juge", le nouveau film de Jean-Pierre Améris (en salles demain). Elle est l'invitée de Léa Salamé. - invités : LOUANE - Louane : Chanteuse, comédienne
Avec son nouvel EP intitulé «Le spectacle », la chanteuse Oré abandonne le rap pour se tourner vers la chanson française. J'ai été touché par la délicatesse de sa voix. J'ai ressenti une certaine mélancolie dans ses chansons. Je vous signale aussi la sortie du film «Marie-Line et son juge » de Jean-Pierre Améris. C'est la chanteuse Louane qui interprète le rôle principal. La jeune femme gagne sa vie comme serveuse. Une rencontre avec changer sa vie. Un juge bougon et déprimé l'engage comme chauffeur. Il est admirablement interprété par Michel Blanc.
Un illettré sur deux travaille. Mais qui sont-ils et surtout, comment font-ils ? Hervé Fernandez, Directeur Général de l'ANLCI et Aurore Ponsonnet, formatrice en orthographe en entreprise, nous font part de leur regard d'expert.Jean-Pierre Améris, réalisateur entre autres des "Emotifs anonymes" et plus récemment du film TV "Illettré", nous livrera ses réflexions et son expérience de tournage sur cette thématique de l'illettrisme.
Jean Pierre Améris porte au cinéma la véritable histoire de David Caumettre, un paysan français qui deviendra le premier à lancer un cabaret à la ferme, afin de sauver son exploitation de la faillite. A suivre l'itw croisée du cinéaste et de l'éleveur agriculteur.
durée : 00:44:48 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Rencontre avec la comédienne à l'occasion de la sortie en salles du film "Les folies fermières" de Jean-Pierre Améris - invités : Sabrina Ouazani Comédienne
durée : 00:44:48 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Rencontre avec la comédienne à l'occasion de la sortie en salles du film "Les folies fermières" de Jean-Pierre Améris - invités : Sabrina Ouazani Comédienne
Notre critique du documentaire "Les Folies fermières" réalisé par Jean-Pierre Améris avec Alban Ivanov & Sabrina Ouazani. Regardez l'émission sur YOUTUBE : https://bit.ly/3nm7Oy9 --- Titre : Les Folies fermières Sortie : 11 mai 2022 De : Jean-Pierre Améris Avec : Alban Ivanov & Sabrina Ouazani. Synopsis : David, jeune paysan du Cantal, vient d'avoir une idée : pour sauver son exploitation de la faillite, il va monter un cabaret à la ferme. Le spectacle sera sur scène et dans l'assiette, avec les bons produits du coin. Il en est sûr, ça ne peut que marcher ! Ses proches, sa mère et surtout son grand-père, sont plus sceptiques. Bande-annonce : https://www.youtube.com/watch?v=KD5sB_BPLZI #CINECAST #Podcast #Critique
L'émission 28 Minutes du 09/05/2022 Au programme de l'émission du 9 mai 2022 ⬇ Folies fermières : quand la culture sauve l'agriculture “Un paysan, ça rêve pas, ça travaille”. À Garrigues, dans le Tarn, David Caumette est un éleveur de bovins inventif. S'il se prédestinait à une carrière dans la mécanique, en 2007 il reprend l'exploitation familiale, transmise de génération en génération. Il modernise sa ferme en créant une boucherie et une auberge, où sont transformés, cuisinés puis vendus ses produits en circuit court. Mais, pour éviter que son patrimoine ne succombe à la concurrence des supermarchés, il ajoute une nouvelle corde à son arc : un cabaret. C'est ce projet insolite qui est au cœur des “Folies fermières”, un film réalisé par Jean-Pierre Améris, en salles le 11 mai prochain. David Caumette est notre invité du jour. 9 mai : Vladimir Poutine commémore la victoire sur l'Allemagne nazie / Démonstration de force ou tournant dans la guerre en Ukraine ? La commémoration du 8 mai 1945, date anniversaire de la Victoire des Alliés sur l'Allemagne nazie, prend cette année une tournure particulière. En Ukraine, l'Histoire semble se répéter selon le président Volodymyr Zelensky, pour qui le "mal est de retour". Il dénonce, à l'occasion de cette commémoration, les bombardements russes sur une école, responsables de la mort de 60 civils dans la région de Lougansk. En annonçant dans ses vœux “comme en 1945, la victoire sera à nous”, son opposant Vladimir Poutine s'érige en dirigeant implacable et libérateur pour son pays. À Moscou, depuis la place Rouge, le défilé du 9 mai, date de la victoire soviétique, a été le théâtre d'une démonstration militaire de grande ampleur. Dans son discours, il justifie sa “riposte préventive” par la présence supposée d'ennemis néonazis aux frontières de sa “patrie”. La Russie peut-elle vraiment bientôt gagner la guerre en Ukraine ? On en parle avec nos invités. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et d'Alix Van Pée ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 9 mai 2022 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
“Les Folies fermières” s'inspire d'une histoire vraie, que Jean-Pierre Améris a découverte en janvier 2018 lorsqu'il est tombé sur un reportage consacré à David Caumette, agriculteur du Tarn de 39 ans, aux actualités régionales de France 3. “David, jeune paysan du Cantal, vient d'avoir une idée: pour sauver son exploitation de la faillite, il va monter un cabaret à la ferme. Le spectacle sera sur scène et dans l'assiette, avec les bons produits du coin. Il en est sûr, ça ne peut que marcher! Ses proches, sa mère et surtout son grand-père, sont plus sceptiques.” “Les Folies Fermières” sort en salles romandes le 11 mai 2022. Le réalisateur Jean-Pierre Améris et David Caumette, agriculteur et comédien, sont les invités de Pierre Philippe Cadert.
Angélique est une chocolatière talentueuse dont l'émotivité est dévorante. On la retrouve au début du film dans une réunion des « émotifs anonymes », où chaque personne peut exprimer son ressenti et parler des problèmes que peut générer cet excès d'émotion. Elle va postuler et être engagée dans La fabrique de chocolat, une enseigne du coin. Elle va ainsi faire la rencontre de Jean-René, le directeur de l'établissement, lui aussi émotif et dont la passion commune pour le chocolat va les rapprocher. Sauf que leur timidité respective et leurs différentes peurs vont rendre la situation bien plus compliquée qu'elle ne pourrait l'être. Vont-ils pouvoir sauter le pas et entamer une relation malgré leur émotivité? L'arrivée d'Angélique au sein de la fabrique la sauvera-t-elle de la faillite? Jean-René parviendra-t-il enfin à mettre ses peurs de côté? On s'empare de nos émotions cette semaine avec le film « Les émotifs anonymes », réalisé par Jean-Pierre Améris et sorti en 2010.
durée : 00:54:43 - Le masque et la plume - par : Jérôme Garcin - Les critiques du Masque & la Plume ont-il aimé "OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire" de Nicolas Bedos, "Profession du père" de Jean-Pierre Améris, "Pour l'éternité" de Roy Andersson, "Kaamelott" d'Alexandre Astier, "Le soupir des vagues" de Koji Fukada et "La loi de Téhéran" de Saeed Roustayi ? - réalisé par : Xavier PESTUGGIA
De Michel Delage an de Misch Bervard beschwätzen: "Sweat" (Magnus von Horn), "Le Sorelle Macaluso" (Emma Dante) a "Profession du père" (Jean-Pierre Améris).
Aujourd'hui je reçois Quentin Sirjack, il suit d'abord des études de piano classique puis de jazz. Au Conservatoire de Lahaye, il obtient un master de piano jazz, puis part étudier la composition au Mills Collège en Californie. Son éclectisme l'amène à participer à divers projets allant de la musique improvisée à la musique contemporaine, de la composition de musiques de film à la composition pour la radio✅ Quentin a déjà composé plusieurs musiques de films allant de "Mon frère", en passant par "Les beaux jours" ainsi que "Made in China"✅ Sa dernière création de musique de film, est le dernier long-métrage de Jean-Pierre Améris "Profession du père" au cinéma depuis le 28 juillet✅ Je me sens véritablement chanceux de ces belles rencontres de cinéma, je me suis nourri de chacune de leurs histoires , avec Quentin j'ai vraiment eu cette impression de m'instruire, d'améliorer mes connaissances grâce à la clarté de ses propos. Il y a un mot que j'utilise très souvent en parlant de mes invités, la passion, cette passion qui rend le partage avec l'autre possible✅ Merci Quentin de cette belle transmission, j'espère que ses rendez vous permettront la naissance de vocations✅ Un épisode monté et mixé par Les Productions du 26 Soutenez-nous !
Aujourd'hui je reçois le réalisateur Jean-Pierre Améris, il filme depuis son adolescence pour trouver sa place. Cette place, il l'a conquise petit à petit avec sa caméra Bauer Super 8 puis sur des formats plus grands jusqu'à en faire son métier✅ “Réaliser des films, c'est donner quelque chose à des gens qui m'aident, du coup, à trouver ma place dans le monde. Ça a l'air idiot mais c'est ça✅ J'ai vraiment apprécie cet échange avec Jean-Pierre, je trouve qu'il se dégage de lui beaucoup de sincérité, un cinéaste et un cinéphile habité par l'amour du cinéma, je partage un point commun avec lui, le cinéma est un abri depuis toujours✅ Son nouveau long-métrage, "Profession du père" est actuellement à l'affiche avec Benoît Poelvoorde, Audrey Dana, Jules Lefebre✅ Profession du père raconte l'amour inconditionnel d'un petit garçon pour son père, dont le prestige et les exploits s'émoussent au fur et à mesure de leurs périlleuses et invraisemblables missions. Le réalisateur, Jean-Pierre Améris, livre un regard intime et engagé sur cette famille, cette histoire est aussi un versant de la vie du réalisateur✅ Benoît Poelvoorde livre une prestation exceptionnelle, inquiétante dans son rôle de père mythomane et violent✅ Un épisode monté et mixe par Les Productions du 26✅ Soutenez-nous !
Parmi les sorties cinéma de la semaine en France, Profession du père, signé du réalisateur Jean-Pierre Améris, est un film adapté du roman éponyme de Sorj Chalandon. Profession du père raconte l'amour inconditionnel d'un petit garçon pour son père, dont le prestige et les exploits s'émoussent au fur et à mesure de leurs périlleuses et invraisemblables missions. Le réalisateur, Jean-Pierre Améris, livre un regard intime et engagé sur cette famille assujettie aux fictions et à la violence du père. ► Le film Profession du père de Jean-Pierre Améris, avec Benoît Poelvoorde, Audrey Dana et Jules Lefebvre, est à retrouver dans les salles françaises.
A 6h45 et 7h45, Europe 1 reçoit chaque matin un invité pour décrypter, commenter et analyser l'actu du jour. Ce mercredi, Benoît Poelvoorde, acteur et réalisateur et actuellement à l'affiche de "Profession du père" de Jean-Pierre Améris, revient sur ce film ou il joue le père mythomane et violent d'Emile, âgé de 12 ans.
durée : 00:42:46 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - On n'a pas fini d'en entendre parler : la figure du père continue d'investir les imaginaires des fils, de la littérature au cinéma. Pour en parler, le cinéaste Jean-Pierre Améris et l'écrivain Barthélémy Desplats. - réalisation : Thomas Beau, Somaya Dabbech - invités : Jean-Pierre Améris Réalisateur; Barthélémy Desplats écrivain
durée : 00:42:46 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - On n'a pas fini d'en entendre parler : la figure du père continue d'investir les imaginaires des fils, de la littérature au cinéma. Pour en parler, le cinéaste Jean-Pierre Améris et l'écrivain Barthélémy Desplats. - réalisation : Thomas Beau, Somaya Dabbech - invités : Jean-Pierre Améris Réalisateur; Barthélémy Desplats écrivain
durée : 00:42:46 - La Grande Table culture - par : Sébastien Thème, Valérie Costantino - On n'a pas fini d'en entendre parler : la figure du père continue d'investir les imaginaires des fils, de la littérature au cinéma. Pour en parler, le cinéaste Jean-Pierre Améris et l'écrivain Barthélémy Desplats. - réalisation : Thomas Beau, Somaya Dabbech - invités : Jean-Pierre Améris Réalisateur; Barthélémy Desplats écrivain
durée : 00:10:13 - L'invité de 7h50 - L'acteur Benoît Poelvoorde, qui sera à l'affiche du film "Profession du père" de Jean-Pierre Améris, le 28 juillet, est l'invité de 7h50. - invités : Benoît Poelvoorde - Benoit Poelvoorde : Comédien
Le film raconte à hauteur d'enfant un huis clos familial dans les années 1960 où le père, André Choulans, mythomane et dépressif, emmène son fils de 8 ans dans ses mensonges et ses projets les plus fous, comme celui de tuer De Gaulle. Un long-métrage tourné à Lyon, dans les quartiers d'Ainay et du Vieux Lyon et une nouvelle collaboration entre Jean-Pierre Améris et Benoît Poelvoorde après notamment "Les émotifs anonymes". Audrey Dana complète le casting de ce film cofinancé par Auvergne-Rhône-Alpes cinéma. Son réalisateur Jean-Pierre Améris était venu présenter le film dans le 18/19 régional.
TESTO DELL'ARTICOLO ➜http://www.filmgarantiti.it/it/articoli.php?id=234MARIE HEURTIN: LA GRANDE STORIA DELLA CARITA' CRISTIANAIn questi giorni la Dominus Production, che ha portato in Italia Cristiada e God's not dead, propone in dvd un bellissimo film, Marie Heurtin. Dal buio alla luce di Jean-Pierre Améris. Il film racconta una storia vera, di rinascita, ambientata nella campagna francese di fine Ottocento.Marie Heurtin è sordomuta e cieca sin dalla nascita, e perciò quasi certamente sarebbe destinata al manicomio, se i suoi genitori non si intestardissero nel tentativo di educarla, e se non decidessero poi di affidarla al convento delle suore di Larnay. Qui, malgrado l'iniziale opposizione della madre superiora, Suor Marguerite, una suora fragile nel fisico ma salda nello spirito, "ottiene la tutela della fanciulla e vive come missione personale la liberazione di quella piccola anima, che il buio delle sue incapacità ha reso selvaggia. Affrontando momenti di scoraggiamento e profonde crisi interiori, Suor Marguerite e Marie intraprendono un percorso intenso di amore e fiducia, superando i reciproci limiti" e diventando con la loro vita testimoni evidenti dell'amore, che, secondo la lezione di San Paolo, è "paziente" e "tutto copre, tutto spera, tutto crede, tutto sopporta".Piano piano Marie impara a scrivere a macchina, a giocare a domino, a lavorare a maglia; apprende la storia e la geografia e da creatura semiselvaggia che era, diviene una giovane donna, garbata e felice dell'esistenza, finché viene raggiunta dalla morte, a 36 anni di età, il 22 luglio 1921.COM'È NATO IL FILMIl film è nato in seguito alla visita del regista Jean-Pierre Améris all'Istituto Larnay a Poitiers, dove la protagonista dell'avventura visse nel XIX secolo. L'Istituto è ancora oggi operativo: "E' difficile - ha scritto Améris - descrivere come mi sono sentito quando ho incontrato questi bambini che potevano comunicare solo con il tatto e che, appena sono arrivato, hanno manifestato il desiderio di toccare le mie mani e la mia faccia per conoscermi".L'ambientazione del film, un monastero della Francia, ci permette di riandare brevemente ad una bella pagina della grande storia della carità. Quella che riguarda, appunto, sordomuti e ciechi.Nell'antica Grecia e nell'antica Roma i sordomuti erano sovente condannati all'infanticidio o alla schiavitù. Aristotele e molti altri pensatori ritenevano che essi non fossero in grado di comprendere idee astratte o concetti morali (non era chiara la connessione tra sordità e mutismo, e i sordomuti erano ritenuti malati mentali). E' forse con sant'Agostino che abbiamo le prime testimonianze scritte in difesa della dignità dei sordomuti, ma dobbiamo aspettare molti secoli, per la precisione il XVI, per avere il loro primo grande educatore: il monaco benedettino spagnolo Pedro Ponce de Leon (morto nel 1584).SACERDOTI, MONACI E FRATI SI DEDICANO PER PRIMI A SORDOMUTI E CIECHISarà però la Francia, e non la Spagna, a divenire il paese in cui l'educazione dei sordomuti conoscerà ulteriori, fondamentali sviluppi. Nel 1753, a Parigi, l'abate Charles-Michel de l'Épée, visitando una famiglia, vide due ragazze che lavoravano in cucina, e che si esprimevano a gesti. Da quel momento de l'Epèe diventò il loro maestro e si sentì chiamato da Dio a dedicarsi integralmente a questa missione. Vendette tutti i suoi beni (era di famiglia ricca), e fondò così un Istituto Nazionale, riconosciuto da Luigi XVI, che è considerato la prima istituzione pubblica per l'educazione dei sordi al mondo. De l'Epèe si diede ad istruire i sordi con un "suo metodo mimico-gestuale, simile alla odierna lingua dei segni". Tale metodo, che sarebbe divenuto in breve un modello in tutta Europa, consisteva nel "sostituire i suoni con i movimenti della mano e l'udito con la vista", "senza trascurare il valore della espressione linguistica orale e scritta". In breve l'opera del sacerdote francese avrebbe attirato l'attenzione di Caterina II di Russia e dell'Imperatore d'Austria Giuseppe II, che mandò a Parigi il sacerdote austriaco Stork, perché imparasse e creasse poi l'Istituto imperiale per sordomuti di Vienna. Dall'Italia, invece, giunse a Parigi il sacerdote italiano Tommaso Silvestri, che avrebbe aperto la prima scuola statale per sordomuti nel nostro paese, nel 1784, con la benedizione di Pio VI, a Roma.Quanto ai ciechi, il primo personaggio di cui abbiamo notizia il cui operato segni una svolta nella loro educazione, è padre Francesco Lana de Terzi (1631-1687). Era, costui, un gesuita bresciano geniale ed eclettico: è ricordato come il padre dell'aeronautica, perché per primo ritenne che si potesse applicare il principio di Archimede non solo alla navigazione per mare, ma anche a quella per cielo. Sappiamo che costruì anche un piccolo modellino di pallone aerostatico che fece alzare in volo nel cortile dei Gesuiti di Firenze, anticipando così il volo (1709) di padre Bartolomeu de Gusmão, gesuita anch'egli, e quello dei fratelli Montgolfier. Ebbene per quanto riguarda i ciechi Lana de Terzi fu probabilmente il primo ad intuire che si potesse creare un sistema di segni non leggibili con gli occhi, ma percepibili al tatto. Nel 1676 inventò così un alfabeto di fili di seta e di nodi, che potremmo definire lineare, che anticipava, sebbene meno efficace, il linguaggio per ciechi di Braille (basato sui punti invece che sulle linee).Dopo il padre de Terzi, l'altro grande apostolo dei ciechi fu ancora un francese, Valentin Haüy, che fondò la prima scuola per ciechi al mondo (Istituto per l'educazione dei giovani ciechi, Parigi, 1786). Haüy, che fu inventore di un metodo di lettura basato sulla riproduzione, a rilievo, delle normali lettere dell'alfabeto, era stato educato dai monaci agostiniani di Saint Just, insieme al fratello Renè (1743-1822), sacerdote, canonico di Notre Dame e padre della Mineralogia e della Cristallografia moderne. Valentin era, come il fratello, un uomo di fede e un ammiratore - e qui si chiude il cerchio - proprio dell' abate de l'Epèe e della sua opera.Inutile dire che anche Louis Braille, padre dell'alfabeto che da lui prende il nome, era un francese, che aveva studiato proprio all'Istituto di Parigi fondato da Valentin Haüy.
TESTO DELL'ARTICOLO ➜http://www.filmgarantiti.it/it/articoli.php?id=232MARIE HEURTIN: IMPARARE A VEDERE ANCHE QUEL CHE NON SI VEDE di Emanuele BoffiNon è un film sulla disabilità, per fortuna. O meglio: Marie Heurtin, dal buio alla luce di Jean-Pierre Améris, che sarà nelle sale italiane dal 3 marzo, non è solo un film sull'handicap, la sfortuna di nascere menomati nel fisico, l'abnegazione di chi si prende amorevolmente cura dei diversamente abili, come si dice oggi con compatimento linguisticamente corretto. Ovviamente è tutto questo - e sono particolari importanti -, ma, per fortuna, dicevamo, non è solo questo.LA LOTTA EDUCATIVAA chi come noi ha amato i dieci minuti di lotta furibonda di Anna dei miracoli non poteva non piacere anche il film d'Améris. Là, nell'opera del 1962 di Arthur Penn, c'era la celebre scena in cui l'istitutrice lottava a mani nude perché Helen, la piccola cieca e sorda compatita dai genitori, imparasse a stare a tavola composta, mangiando col cucchiaio, seduta, e piegasse il tovagliolo. Dieci minuti di sberle, ceffoni, rullare isterico di piedi, capelli strappati, grovigli di corpi sul pavimento, girotondi impetuosi intorno al desco, e solo per far piegare un tovagliolo. Dieci minuti di cucchiai esplosi in aria come granate, vasi rotti, cibo fatto trangugiare a forza e sputato in faccia per dispetto, e solo per impugnare una posata. Dieci minuti mozzafiato, fino alla secchiata d'acqua in volto, le lacrime della bambina e la proclamazione trionfante del risultato: «Ha mangiato col cucchiaio e ha piegato il tovagliolo».Potevamo non entusiasmarci per una scena simile in Marie Heurtin? Anche qui: botte, schiaffi, cazzotti e sputi a tavola, mentre nel refettorio si recitano preghiere e si leggono i fioretti di san Francesco sulla «perfetta letizia». Una zuffa in piena regola tra brutti ceffi di periferia, solo che qui si tratta di una suora e di una bambina. E tutto solo per insegnare che non si mangia con le mani e che si deve stare seduti e composti a tavola, con la forchetta, il coltello e il bicchiere vicino al piatto. In poche altre pellicole ci è capitato di vedere rappresentata in maniera così efficace la lotta educativa. Un'educazione che qui si fa, letteralmente, a mani nude.O IL CONVENTO O IL MANICOMIOPenn fece conoscere all'America e al mondo la vicenda di Helen Keller, la bambina dell'Alabama che, divenuta sordo-cieca a 19 mesi, imparò, grazie alla sua insegnante Anne Sullivan, a comunicare col mondo, fino a diventare pittrice e scrittrice. Améris ci racconta una vicenda simile e per lo più sconosciuta, quella di Marie, nata il 13 aprile 1885 a Vertou, nella campagna francese. Anche lei, sin dal parto, sorda e cieca e dunque destinata al manicomio se non fosse stato per l'ostinazione dei genitori che la tennero con loro fino all'età di dieci anni. Il film inizia così, col viaggio del padre che porta sulle spalle la figlia fino all'istituto di Larnay, vicino a Poitiers, gestito dalle suore Figlie della Sapienza. E anche qui, sin dalle prime scene, si capirà che sarà una bella battaglia, con Marie che corre tra i pomodori rossi dell'orto inseguita da un nugolo ansimante di religiose.Toccherà alla più esile fra loro, la giovane e malaticcia Marguerite, arrampicarsi sull'albero dove Marie si è rifugiata per convincerla a scendere. E si comincerà con un doppio fallimento: il primo, certificato dal tonfo a terra delle due; e il secondo, col rifiuto delle suore, che nel loro istituto s'occupano solo di sorde cui insegnano il linguaggio dei segni, di prendersi cura dell'ingestibile Marie.GUARDARE LA STORIA DI SBIECOLa storia ci insegna che la piccola, dopo innumerevoli fallimenti e tentativi, ce la fece. Impugnando le mani altrui, apprese il linguaggio dei segni, scoprì che ad ogni gesto corrisponde un oggetto, fino a imparare il braille e i concetti astratti. A lei un professore presso l'università di Poitiers, Louis Arnould, dedicò un libro (Un'anima in prigione, 1900) nel quale decantò i progressi di Marie e il metodo di suor Marguerite. I miracoli non hanno altra regola se non l'accadere inaspettati e così fu per Marie: imparò a scrivere a macchina, a giocare a domino, a lavorare a maglia. Imparò la storia e la geografia e uscì dalla sua condizione di creatura semiselvaggia per diventare una giovane donna, garbata e felice dell'esistenza, finché non morì a trentasei anni, il 22 luglio 1921.E di tutto questo ci importa molto, ma anche relativamente. Perché dopo aver guardato la storia nel suo svolgersi cronachistico, occorre mettersi di sbieco per poterne vedere anche il messaggio, che non è solo quello della sua morale edificante. Potrebbe bastarci, in fondo, sapere che c'è gente di buon cuore che si prende cura di gente sfortunata. E questo è certo un sollievo nel nostro mondo sublunare. Ma potrebbe essere ancora l'ultimo tentativo di scantonare dalla questione, non tenendo conto del vero punto infiammato della vicenda: si educa solo davanti all'eterno, il resto sono passatempi da perdigiorno.VIVA, RESPIRA. MORTA, NON RESPIRAFacciamo solo un esempio, giusto per non dire troppo di un film di cui abbiamo già rivelato a sufficienza. Ad un certo punto, nel convento muore un'anziana suora. Suor Marguerite conduce Marie davanti al suo cadavere disteso sopra un tavolaccio. Come spiegare il più grande mistero della vita a chi non vede e non sente? O più radicalmente: come spiegare la morte? In fondo, nessuno di noi, che pure vede e sente, è in una condizione diversa da Marie. Suor Marguerite prende la mano della piccola e l'avvicina alla bocca della defunta: «Morta, non respira», le dice, computando con il linguaggio dei segni sulle sue mani. Poi avvicina la stessa mano alla sua bocca e a quella di Marie: «Viva, respira». Poi l'appoggia sul cuore: batte, sei viva. Cos'altro dovrebbe essere l'educazione se non la cruda, semplice, fenomenica descrizione di ciò che accade? È già molto, è già moltissimo, ma sappiamo tutti che non può essere solo questo. Sapere che si nasce e si muore non è un motivo valido per vivere.Qui serve quel che, una volta, si disse essere la cifra stilistica della produzione della scrittrice Flannery O'Connor: serve avere un occhio profetico sulla vita e sul mondo, che sappia riconoscere nel dramma le tracce verso il destino. Il succedersi degli eventi che da una condizione di difficoltà volgono al meglio potrà senz'altro suscitare in noi sentimenti di ammirazione e persino di emulazione, ma non cambierà la sostanza delle cose: respira, viva; non respira, morta. Il considerare la dedizione fino al deperimento di suor Marguerite e i progressi di Marie sono senz'altro d'appagamento per il nostro occhio sensibile al bene e suscitano in noi tenerezza, ma non sono ancora sufficienti ad affrontare la pugna, ad andare in battaglia con la speranza di portare a casa la pelle, e non solo un'idea più o meno adeguata di come ci si debba comportare in questa valle di lacrime. Lo scoprirà la stessa Marguerite - la suora, la cattolica, la donna che scandisce la giornata con orazioni -; anche lei lo scoprirà quando ci si troverà davanti e dovrà scegliere se vivere lentamente per allontanare la morte o morire velocemente per rispondere alla vocazione della sua vita.IL POMODORO E L'ULTIMO ORIZZONTEÈ necessario un grande coraggio per rendersi conto che l'invisibile ci capita continuamente sotto gli occhi. Man mano che Marie impara a dare i nomi alle cose e che a tal profumo, forma, gusto corrisponde il pomodoro, impara anche il limite, l'incompiutezza, la fragilità congenita del segno. Mentre scopre che ogni cosa è compiuta (nasce, ha un nome, è riconoscibile, ha un posto nel creato) scopre anche che quella stessa cosa è incompiuta, appassisce e finisce: o perché finisce lei o perché finiamo noi.Il paradosso più interessante di Marie Heurtin è che l'occhio profetico è quello di una cieca, che impara a vedere anche quel che non si vede. A conoscere, meglio di chi potrebbe farlo per facoltà fisica, che il finito di ciò che ci passa sotto le dita è la più grande prova della necessità che qualcosa d'altro ci completi, ci porti a compimento, ci redima. Occorre un occhio profetico, cioè che sappia vedere fino all'ultimo orizzonte, per rendersi conto che l'incompiuto non è una tagliola, ma attesa di compimento. E occorre un'educazione per accettarlo e trasmetterlo. È quello che Marie, divenuta educatrice, insegnerà a suor Marguerite e alle altre Marie che già bussano alla porta del convento.
Jean-François Stévenin est un acteur français né le 23 avril 1944 à Lons-le-Saunier. Il est également assistant de réalisation et a réalisé lui-même trois films : Passe montagne, Double messieurs et Mischka. Acteur inclassable, Stévenin alterne, dans les années 1990, polars avec Le Grand Pardon 2 d'Alexandre Arcady en 1992, film intimiste avec Les Aveux de l'innocent de Jean-Pierre Améris, et films plus populaires avec Les Bidochons de Serge Korber en 1996 et Le Bossu en 1997. En 2002, il réalise son troisième long métrage, la comédie dramatique Mischka, dans lequel il dirige ses enfants Salomé et Robinson. N'oubliez pas de vous abonner !
Avec ou sans les pieds, écrire est un enjeu d'émancipation. Plus encore que le simple outil d'un lien social, le pouvoir des mots est indispensable à la survie. La survie et la vie d'un illettré: Léo c'est le sujet du livre de Cécile Ladjani en studio pour la première partie de cette émission avec Hervé Fernandez, directeur de l'Agence Nationale de Lutte contre l'illettrisme. Le livre, Illettré, a été adapté dans un film éponyme. L'occasion de mieux comprendre cette réalité. "Toute personne, pour réapprendre et sortir de l'illettrisme, doit déjà retrouver confiance", Hervé Fernandez En deuxième partie d'émission, Maxime et Achille responsables parisiens de la plateforme participative I-Buycott. Elle permet de favoriser une consommation citoyenne et responsable. C'est aussi une appli qui permet de savoir s'il faut acheter ou boycotter tel ou tel produit. "Aujourd'hui, on vit dans une société capitaliste et on s'est demandé comment remettre le consommateur au centre. Avec le boycott, il peut devenir un consom'acteur." Une matinale tout en chronique bien sûr avec l'intervention de Tiana qui nous dira ce qu'elle a pensé du film Illettré, réalisé par Jean-Pierre Améris. Louis, s'est intéressé aux personnes qui ont réussi sans diplôme mais pas seulement ... et Morgane nous parlera de l'application "Buy or Not" pour devenir plus conscient de ses choix de consommation. Présentation : Elodie Hervier / Réalisation : Tiffany Battistel / Co-interview : Tiana Salles et Morgane Protas/ Chronique : Tiana Salles, Louis Scocard et Morgane Protas/ Web : Anna Péan / Coordination : Bettina Lioret
Avec ou sans les pieds, écrire est un enjeu d'émancipation. Plus encore que le simple outil d'un lien social, le pouvoir des mots est indispensable à la survie. La survie et la vie d'un illettré: Léo c'est le sujet du livre de Cécile Ladjani en studio pour la première partie de cette émission avec Hervé Fernandez, directeur de l'Agence Nationale de Lutte contre l'illettrisme. Le livre, Illettré, a été adapté dans un film éponyme. L'occasion de mieux comprendre cette réalité. "Toute personne, pour réapprendre et sortir de l'illettrisme, doit déjà retrouver confiance", Hervé Fernandez En deuxième partie d'émission, Maxime et Achille responsables parisiens de la plateforme participative I-Buycott. Elle permet de favoriser une consommation citoyenne et responsable. C'est aussi une appli qui permet de savoir s'il faut acheter ou boycotter tel ou tel produit. "Aujourd'hui, on vit dans une société capitaliste et on s'est demandé comment remettre le consommateur au centre. Avec le boycott, il peut devenir un consom'acteur." Une matinale tout en chronique bien sûr avec l'intervention de Tiana qui nous dira ce qu'elle a pensé du film Illettré, réalisé par Jean-Pierre Améris. Louis, s'est intéressé aux personnes qui ont réussi sans diplôme mais pas seulement ... et Morgane nous parlera de l'application "Buy or Not" pour devenir plus conscient de ses choix de consommation. Présentation : Elodie Hervier / Réalisation : Tiffany Battistel / Co-interview : Tiana Salles & Morgane Protas/ Chronique : Tiana Salles, Louis Scocard & Morgane Protas/ Web : Anna Péan / Coordination : Bettina Lioret
Cette semaine, Betty Mourao reçoit non pas un mais deux invités dans son fauteuil : Ary Abittan et Judith El Zein. Ils sont actuellement à l'affiche de "Je vais mieux" le dernier film de Jean-Pierre Améris, réalisateur du très bon "Les émotifs anonymes" . Ils abordent avec nous le livre à l'origine du long métrage, leur lien avec le réalisateur tout en répondant à de nombreuses questions sur les thèmes forts de ce dernier : l'amitié et le fait de ne pas subir. "Je vais mieux" de Jean-Pierre Améris avec Eric Elmosnino, Ary Abittan et Judith El Zein, en salles le 30 mai 2018 Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le débat en présence de Jean-Pierre Améris, réalisateur.
En présence de Jean-Pierre Améris, réalisateur.
Jour 3 : où il est question de Foenkinosexploitation avec "Je vais mieux" de Jean-Pierre Améris, de Kad Mérad à la recherche d'un doudou dans toute la France dans le bien-nommé "Le Doudou" de Julien Hervé, et de l'ultime comédie de mensonge à la gloire de Franck Dubosc avec "Tout le monde debout" de ... Franck Dubosc. Animé par Daniel Andreyev avec Max Besnard et François Cau. CRÉDITS MDR est un podcast de Séance radio, produit par Goom. Enregistré à l'Alpe d'Huez le jeudi 18 janvier 2018. Production exécutive : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Générique : Corentin Kerdraon. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Depuis la Mecque de la comédie française, au pied des pistes, les MDRos vous font vivre le Festival international du film de comédie de l'Alpe d'Huez. Jour 1 : focus sur "La Ch’tite famille" de Dany Boon, présenté en ouverture mais hors compétition. Un film schizophrène entre les branchés parisiens et « Bienvenue chez les Ch’ti Origins » (garanti sans spoil). Et un tour d'horizon des films présentés dans les jours à venir : les sportifs "Comme des garçons" et "La Finale", "Je vais mieux de Jean-Pierre Améris, "Madame Mills, une voisine si parfaite" de Sophie Marceau, "Le doudou" où Kad Merad part à la recherche du doudou de sa fille dans un aéroport, "Tout le monde debout" le premier film de Franck Dubosc, mais aussi 'Les aventures de Spirou et Fantasio", "Les Tuche 3" et le très sérieux "Les zombies font du ski". Animé par Daniel Andreyev avec Max Besnard et François Cau. CRÉDITS MDR est un podcast de Séance radio, produit par Goom. Enregistré à l'Alpe d'Huez le mardi 16 janvier 2018. Production exécutive : Binge Audio. Direction de production : Joël Ronez. Chargée de production et d’édition : Camille Regache. Générique : Corentin Kerdraon. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Jean-Pierre Améris. Cinéaste, il a réalisé « C’est la vie », « Les émotifs anonymes » et « Marie Heurtin ». Serge Paugam. Sociologue, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, directeur de recherche au CNRS. Il a publié « Vivre ensemble dans un monde incertain », aux éditions de l’Aube. Jérôme […]
Jean-Pierre Améris. Cinéaste, il a réalisé « C’est la vie », « Les émotifs anonymes » et « Marie Heurtin ». Serge Paugam. Sociologue, directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales, directeur de recherche au CNRS. Il a publié « Vivre ensemble dans un monde incertain », aux éditions de l’Aube. Jérôme […]
País Francia Director Jean-Pierre Améris Guión Jean-Pierre Améris, Philippe Blasband Música Sonia Wieder-Atherton Fotografía Virginie Saint-Martin Reparto Isabelle Carré, Ariana Rivoire, Brigitte Catillon, Gilles Treton, Laure Duthilleul, Sonia Laroze, Noémie Churlet, Martine Gautier, Patricia Legrand, Stéphane Margot Sinopsis Película inspirada en hechos reales que sucedieron a finales del siglo XIX. La protagonista, la joven Marie, incapaz de comunicarse por ser sorda, muda y ciega, fue recluida por sus padres en un asilo a cargo de religiosas.
Benoît Poelvoorde,Familie zu vermieten,Jean-Pierre Améris,Review,Une famille à louer,Virginie Efira clean no 0:00
Jean-Pierre Améris, Serge Paugam et Jérôme Vignon discutent des inégalités et de la pauvreté. Aujourd'hui l'exclusion sociale se fait des deux côtés : la société entreprend difficilement des gestes d'intégration sociale envers ceux qui sont exclus et il y a également le phénomène d'auto-exclusion de ceux qui pensent qu'une fois qu'ils sont sortis du système, ils ne peuvent plus y revenir. Invités : Jean-Pierre Améris, réalisateur français (les Emotifs anonymes, Marie Heurtin) ; Serge Paugam, sociologue français ; Jérôme Vignon, président de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale et de l'Observatoire national de la précarité énergétique. Emission créée et animée par James Combépine. Enregistré au Collège des Bernardins le 9 mars 2015.
Samedi 15 Novembre 2014 - Very Important Planète - Emission 09 : Dernier rendez-vous à l'Arras Film Festival avec ses invités. C’est Ana Girardot, Jean-Pierre Améris, Matilde Gioli, Thomas Salvador, Vimala Pons, Raphaël Personnaz, Denis Robert et Jean-Paul Rouve, ils sont mes VIP ! Very Important Planète by Jovani, tous les samedis de 9 heures à 10 heures sur Planète, et rediffusion les dimanches de 16 heures à 17 heures.
Vous qui aimez le cinéma, profitez des archives de l'émission Les Aventuriers des Salles Obscures. Pendant 22 années, de septembre 2000 à avril 2022, elle fut diffusée sur la station Radio Campus Lille (106.6 FM). Au cours de ce long périple radiophonique, chaque semaine, des chroniqueuses et chroniqueurs d'horizons très différents venaient y critiquer les films qui sortaient au cinéma. Il est à noter que certains d'entre eux sont, par la suite, devenus des profesionnels reconnus dans le monde du journalisme et du cinéma. Partez donc à la découverte de cette émission, diffusée le 19 novembre 2006, avec Christophe Dordain à la présentation accompagné par Fadette Drouard (devenue depuis une scénariste de renom), Yann Boromus, Magali Contrafatto, Audrey Jeamart, Frédérick Lanoy et Fabien Rousseau (responsable du site Les Héros de l'Ecran). Au sommaire sont abordés les films suivants : - Les Fragments d'Antonin réalisé par Gabriel Le Bomin avec Grégori Derangère, Anouk Grinberg, Aurélien Recoing. - Sexy Dance mis en scène par Anne Fletcher avec Channing Tatum. - Je m'appelle Elisabeth de Jean-Pierre Améris. - Le concile de Pierre de Guillaume Nicloux avec Monica Bellucci et Catherine Deneuve. - Le Prestige de Christopher Nolan avec Christian Bale et Hugh Jackman. - Mon colonel réalisé par Laurent Herbiet avec Olivier Gourmet et Cécile de France. - Blade Runner de Ridley Scott avec Harrison Ford (sortie du Director's Cut en DVD le 8 novembre 2006). - Borat avec Sacha Baron Cohen.