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Circonstances exceptionnelles pour plateau exceptionnel, dans la France a peur, Usul, accompagné de Paloma Mauritz, reçoivent l'historienne Ludivine Bantigny et le sociologue Ugo Palheta Réalisation et production : Julien Kuhnel Réalisation son : Théo Duchesne Sound design : Baptiste Veilhan Direction artistique et motion design : Guillaume Brindon Graphisme : Morgane Sabouret, Diane Lataste Production : Hicham Tragha Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la publication : Denis Robert
Circonstances exceptionnelles pour plateau exceptionnel, dans la France a peur, Usul, accompagné de Paloma Mauritz, reçoivent l'historienne Ludivine Bantigny et le sociologue Ugo Palheta Réalisation et production : Julien Kuhnel Réalisation son : Théo Duchesne Sound design : Baptiste Veilhan Direction artistique et motion design : Guillaume Brindon Graphisme : Morgane Sabouret, Diane Lataste Production : Hicham Tragha Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la publication : Denis Robert
Circonstances exceptionnelles pour plateau exceptionnel, dans la France a peur, Usul, accompagné de Salomé Saqué reçoit Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, et Manès Nadel, vice-président de l'Union syndicale lycéenne. Réalisation et production : Julien Kuhnel Réalisation son : Théo Duchesne Sound design : Baptiste Veilhan Direction artistique et motion design : Guillaume Brindon Graphisme : Morgane Sabouret, Diane Lataste Production : Hicham Tragha Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la publication : Denis Robert
Circonstances exceptionnelles pour plateau exceptionnel, dans la France a peur, Usul, accompagné de Salomé Saqué et Paloma Moritz, reçoit Johann Chapoutot, historien spécialiste d'Histoire contemporaine, du nazisme et de l'Allemagne. Réalisation et production : Julien Kuhnel Réalisation son : Théo Duchesne Sound design : Baptiste Veilhan Direction artistique et motion design : Guillaume Brindon Graphisme : Morgane Sabouret, Diane Lataste Production : Hicham Tragha Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la publication : Denis Robert
Dans ce nouveau numéro de La France a peur, Usul reçoit Pauline Perrenot d'Acrimed, Soumaya Benaissa, rédactrice en chef de Blast et Philippe Poutou, ancien candidat NPA à la présidentielle. Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Morgane Sabouret, Diane Lataste Production : Hicham Tragha Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la publication : Denis Robert
Débat entre Michael Peuker, correspondant RTS en Chine, Denis Robert, journaliste automobile, et Cenni Najy, responsable mobilité au Centre patronal.
Quatrième numéro de La France a Peur et pour la première fois on revient sur l'actualité des derniers jours avec la commission d'enquête sur l'attribution, le contenu et le contrôle des autorisations TNT en particulier les auditons de Vincent Bolloré et de Cyril Hanouna avec Aurélien Saintoul qui en est le rapporteur (LFI). Puis Clément Viktorovitch, est venu parler de rhétorique dans le milieu journalistique. " Ce podcast est une rediffusion du live Twitch du vendredi 15 mars 2024. Réalisation & production : Julien Kuhnel Son : Arthur Chevillon Graphisme : Guillaume Brindon & Morgane Sabouret Chef d'édition & directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la rédaction : Denis Robert
Dans le troisième numéro de La France a peur, Usul recevait en première partie Salomé Saqué, journaliste économique à Blast, et Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité. Dans la seconde partie de l'émission, Usul accueille Michael Zemmour, professeur d'économie à l'université Lumière Lyon 2. Ce podcast est une rediffusion du live Twitch du vendredi 9 février 2024. Réalisation et production : Julien Kuhnel Son : Arthur Chevillon Graphisme : Morgane Sabouret Directeur des programmes : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la rédaction : Denis Robert
Denis Robert est une des grandes légendes, bien vivante, du journalisme d'enquête. L'affaire Clearstream, cette banque des banques, une boîte noire où l'argent circule sous l'écran radar des autorités, c'est lui. Une grosse affaire qui éclabousse pas mal de monde au début des années 2000 et vaut au journaliste une soixantaine de procès. Le prix à payer pour fouiller là où il ne le faut pas! C'est d'ailleurs le problème du fameux quatrième pouvoir aujourd'hui, il hésiterait beaucoup à investir dans le travail d'investigation. Robert explique qu'il faut aussi comprendre que la presse est pour beaucoup entre les mains d'un petit groupe d'individus puissants qui ont, bien entendu, des intérêts à protéger. “Les scoops à BFM ou CNews, c'est peanuts!” Denis Robert dirige maintenant un média indépendant, Blast, qui continue à faire du travail d'enquête. Les millions “investis” par le Qatar pour arroser quelques personnalités influentes en France ont beaucoup été dans le collimateur de Blast. Un travail qui a généré son lot… de procès. “Il faut des ronds” pour lutter contre cette forme de censure explique Robert et faire confiance à la Justice. À ce jour, elle lui donne plutôt raison.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La France a peur.....Dans la première partie du deuxième numéro de La France A Peur, Usul recevait Denis Robert, directeur de la rédaction de Blast, et Sophie Venetitay, secrétaire générale SNES-FSU. Dans la seconde partie du deuxième numéro de La France A Peur, Usul recevait Denis Robert, directeur de la rédaction de Blast, et Jean-François Bayart, politologue et chercheur. Animée par Usul Journalistes Blast en plateau : Denis Robert Production et réalisation : Julien Khunel Son : Baptiste Veilhan Graphisme : Morgane Sabouret Directeur des programmes et chef d'édition : Mathias Enthoven Rédaction en chef : Soumaya Benaïssa Directeur de la rédaction : Denis Robert
La France a peur... de la montée sans précédent de l'extrême droite, et elle a raison ! Alors que la loi immigration consacre le programme et les thèmes de Marine de le Pen et du Rassemblement national, que l'extrême droite n'a jamais semblé aussi forte et dédiabolisée, et que cette tendance semble converger à l'échelle internationale, il y a des raisons de s'inquiéter. C'est pour cela que nous avons décidé de traiter de tout cela dans ce premier numéro de la France a peur. Usul, accompagné de la journaliste Paloma Moritz, qui a largement traité ces thématiques pour Blast, et de Soumaya Benaissa, notre rédactrice en cheffe, revient sur cette percée inquiétante. Ils reçoivent en seconde partie l'historien Johan Chapoutot, spécialiste d'histoire contemporaine, du nazisme et de l'Allemagne, pour un entretien passionnant, et vraiment sans langue de bois.Production et réalisation : Julien KhunelSon : Baptiste VeilhanGraphisme : Morgane SabouretDirecteur des programmes et chef d'édition : Mathias EnthovenRédaction en chef : Soumaya BenaïssaDirecteur de la rédaction : Denis Robert
Interrogée par le quotidien « 20 minutes » pour savoir si la situation en Iran allait s'arranger, la comédienne iranienne Golshiteh Farahani a répondu qu'elle pensait que « oui ». Cela ne signifiait pas qu'elle espérait que les choses se calment. Bien au contraire. Pendant 39 ans (son âge), elle avouait avoir toujours répondu « non ». Mais là, c'était oui, un « grand oui ». « J'ai l'impression que le gouvernement islamique est devenu une fourmi ridicule et blessée qui a perdu toute crédibilité, un monstre qui saigne. Et même si c'est une question de temps, même s'il saigne longtemps, il va finalement mourir parce que cette génération de la jeunesse a arraché sa colonne vertébrale. Il ne peut plus marcher » ajoutait-elle avant de conclure : « Il va ramper un moment puis s'écrouler. Les Iraniens ne le laisseront pas se relever ». Il était temps que Blast se saisisse de la révolution iranienne. Dans ce zoom arrière sentant le soufre, la sueur et le sang, Denis Robert reçoit Marie Ladier-Fouladi, directrice de recherche au CNRS et démographe spécialiste de l'Iran et l'avocat franco-iranien Sahand Saber. Ensemble ils vont chercher à y voir un peu plus clair dans ce que vit le plus grand pays du Moyen Orient depuis la mort, le 16 septembre dernier pour une mèche de cheveux mal cachée, de Masha Amini assassinée par la police de l'Ayatollah Khamenei. Depuis six semaines, pas un jour où une manifestation n'est pas réprimée, une femme, un homme, un enfant ou un adolescent tués par les milices des mollahs qui tiennent encore le pays. D'un fil, si on en croit les témoignages d'opposants. Difficile de chiffrer les morts : 416 morts répertoriés et plus de 15000 arrestations sans compter les disparitions. Tout peut arriver là-bas, y compris le pire, une répression encore plus sanglante. Le régime peut-il encore tenir ? Les femmes sont-elles les seules à tenir le flambeau de la révolte ? Comment les pays étrangers peuvent il aider le peuple iranien ? Vers quoi peut basculer cet Etat religieux ? Une opposition est-elle en train de s'organiser ? Pourquoi les familles des hauts dignitaires de Téhéran quittent-elles le pays ? sont quelques-unes des questions auxquelles vont répondre nos invités.
L'arrestation de Gaspard Glanz en marge d'une manifestation de Gilets jaunes en 2019 a soulevé la définition de la place du journaliste dans notre société. Profession à la fois scrutée quotidiennement par le public et cruellement méconnue, voire excessivement fantasmée, le journalisme présente des visages et des réalités multiples, parfois contradictoires.Pour faire entendre un peu de la grande diversité de ce métier, une dizaine de journalistes se prêtent à une rapide auto-analyse en tentant, chacun à leur manière, de répondre à cette question : ça veut dire quoi être journaliste ?Thomas Rozec et Caroline Fillette interrogent Olivier Truchot, Anne-Sophie Novel, Rémy Buisine, Caroline Tourbe, Denis Robert, Matilde Meslin, Benoît Gallerey, Anne Nivat, Daniel Schneidermann, et Marie TurcanCRÉDITSProgramme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Cet épisode a été produit en avril 2019 dans les studios de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Vincent Hiver. Voix : Juliette Livartowski. Chargée de production et d'édition : Lorraine Besse. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Illustration : 20th Century Fox. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
On est aux portes des vacances donc je vous propose ma sélection de romans érotiques pour l'été. Des histoires érotiques à lire, bien sûr, ou à écouter en podcast ou même en audiobook parfois. L'été sera chaud, foi de Charlie ! Alors je vous précise de suite que cette sélection de romans érotiques est tout sauf exhaustive et ce ne sont pas forcément mes 5 auteurs ou livres érotiques favoris, même si je les aime beaucoup. Ma sélection de 5 romans érotiques pour l'été Et si cet été vous changiez de style ? Et si vous osiez ne pas acheter les Goncourt et autres best-sellers tous prévus par le marketing et vous aventurer sur les terres sulfureuses des livres géopolitiques, sociologiques et …. EROTIQUES bien sûr ! Entre la NEMESIS MEDICALE de Ivan Illtich (9€50), l'art de la rhétorique et le décryptage des discours de Clément Viktorovitch (22€) ou le « plus fun » LARRY et MOI de Denis Robert (19€), vous allez lire quoi d'autre ? DE L'EROTISME JE N'EN DOUTE PAS ! Pour cette sélection de romans érotiques, on va rester sur du roman « pour l'été » Vous aurez donc du thriller érotique & BDSM avec le roman de CHLOE SAFFY, une chronique sociale (SEX IN AMERICA), un bon vieux roman porno des familles (LA PRINCESSE DES CHANTIERS), un recueil de nouvelles érotiques de la collection OSEZ 20 HISTOIRES et l'incontournable OCTAVIE DELVAUX… Beaucoup de BDSM donc, j'aime bien, ça m'excite, et même pas un petit Siébert ! VOTRE LIBRAIRE EST UN HUMAIN DELICIEUX ! https://www.librairiesindependantes.com/ Tous les podcasts érotiques https://charlie-liveshow.com Soutenez les lectures érotiques https://patreon.com/charlieliveshow MES SITES & les réseaux sociaux https://linktr.ee/charlieliveshow
Il était temps de convoquer le redoutable Denis Robert. Prétexte tout trouvé avec la publication de son « Travailleur médiatique - Résister à la fabrication du consentement » (F. Massot), entre souvenirs et éditos, introspections et spéculations, passé et présent, corruption et fake news. Avec lui, on a causé de Clearstream, de ballon rond, des affaires politico-financières, de Blast et de Balzac, de fond et de forme, de journalisme et d'art, du prolétariat médiatique et de Chomsky.
Cette semaine, Jeane reçoit Paloma Moritz, journaliste et responsable du pôle écologie de Blast. Blast est un média indépendant qui a l'ambition de proposer un autre regard sur l'actualité. Chaque semaine, Paloma Moritz diffuse une nouvelle vidéo consacrée à un sujet d'actualité, il peut s'agir d'un décryptage, d'une enquête, d'un entretien… Pourquoi les médias conventionnels ne traitent-ils pas plus d'écologie ? Comment faire pour que l'écologie soit au cœur de tous les sujets abordés par les grandes matinales de radio, les journaux télévisés ou la presse écrite ? Ressources complémentaires : La page Blast de Paloma avec ses sujets : https://www.blast-info.fr/auteurs/paloma-moritz-ufW5FwkoRz-lYjcAG7OUQQ La playlist écologie de Paloma : https://www.youtube.com/watch?v=OCQqFf3JdAM&list=PLv1KZC6gJTFlPcbytdjSxzc1DsUixBnzo Paloma Moritz : https://twitter.com/palomamoritz?lang=en Audrey Garric : https://twitter.com/audreygarric Socialter : https://www.socialter.fr/ Vert : https://vert.eco/ Le 1 hebdo : https://le1hebdo.fr/ Mickaël Correia : https://www.editionsladecouverte.fr/criminels_climatiques-9782348046773 Soutenir Basilic : instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.com Production : Jeane Clesse Musique : @Klein Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Mix : Jeane Clesse Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.
Allemagne 1945, Marthe Hoffnung connue sous le nom de "Chichinette, la petite casse-pieds", infiltre les lignes ennemies et réussit à berner les nazis... 74 ans plus tard, âgée de 99 ans, elle fait le tour du monde comme une rock star et témoigne inlassablement de son histoire.Haifa IFF 2019 - Special Mention AwardBonus :Entretien avec Denis RobertAudio : Français DD 5.1, Anglais DD 5.1 - Sous-titres : FrançaisFormat : Cinéma 1.78, TV 16/9 anamorphiqueDVD Pal Zone 2
Entre crise sanitaire et tensions sociales, les populismes gagnent du terrain. Une tendance dont Donald Trump fut à sa manière l'incarnation planétaire pendant quatre ans. Besoin d'autorité, défiance à l'égard des élites, crainte face à l'immigration, spectre du déclassement. Ce phénomène se nourrit de toutes les peurs. Certains pays, le Brésil en Amérique Latine, la Hongrie ou la Pologne en Europe, ou encore l'Inde et la Turquie ont cédé aux sirènes des discours démagogiques et le paient au prix fort, tant ils apparaissent fragilisés, traversés par de profondes fractures. Jusqu'aux piliers de l'Europe démocratique, que sont l'Allemagne et la France, le feu couve lui aussi. La montée des populismes inquiète… Nos invités : Sarah Durieux, spécialiste des mobilisations citoyennes et de l'organisation de communauté. Autrice de « Changer le monde – Manuel d'activisme pour reprendre le pouvoir ». El Hadj Souleymane Gassama, journaliste, écrivain, docteur en Sociologie de l'Université de Caen. Denis Robert, écrivain, journaliste, fondateur de BLAST, site de presse en ligne et web TV. Émission enregistrée à Nantes dans le cadre des GÉOPOLITIQUES DE NANTES. Évènement co-organisé par l'IRIS, Nantes Métropole et le Lieu Unique.
durée : 00:29:27 - Avoir raison avec... - par : Julie Gacon - A la fin des années 70, Noam Chomsky signe une pétition pour défendre la liberté d'expression du négationniste Robert Faurisson. Il n'a jamais admis avoir fait une erreur. Révisionnisme, confusionnisme, anti-impérialisme « primaire », tels sont les griefs retenus aujourd'hui contre lui. Débat. - invités : Denis Robert journaliste, réalisateur de documentaires, spécialiste de la lutte contre la criminalité financière, plasticien et écrivain; Rudy Reichstadt Politologue. Directeur de Conspiracy Watch
Au programme de C à Vous : CAROLINE FOUREST Essayiste & réalisatrice SAMUEL LAURENT Journaliste « Le Monde » E. Macron giflé : un vent mauvais souffle-t-il sur la démocratie ? L'Élysée tente de minimiser « un acte isolé » Comment les réseaux sociaux attisent le climat de violences Radicalisation du climat politique avant 2022 Comment ramener le débat public à la raison ? Qui est le « gifleur » d'Emmanuel Macron ? Débat public : la surenchère des extrêmes L'édito de Patrick Cohen France heureuse, majorité silencieuse ? MARIE-LAURE DENIS Présidente de la CNIL Pass sanitaire, mode d'emploi Pass sanitaire : le « oui mais » de la CNIL 5/5. En Seine-Saint-Denis, distribution alimentaire et vaccination 5/5. Le retour de la réforme des retraites ? 5/5. J-2 avant le début de l'Euro de foot LUIS FERNANDEZ Consultant pour BeIN Sports & champion d'Europe 1984 ROBERT PIRES Consultant pour M6 & champion d'Europe 2000 La France peut-elle gagner l'Euro ? Diffusion : tous les jours de la semaine à 19h Format : 50 minutes Présentation : Anne-Élisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Pierre Lescure, Marion Ruggieri, Émilie Tran Nguyen Réalisation : Alexandre Langeard Productions : France Télévisions / Troisième Oeil Productions
Blast se présente comme une webTV et un site d’information libre et indépendant. Denis Robert et Paloma Moritz sont venus le présenter dans l'Atelier des médias de RFI. Son lancement en France est imminent mais Blast fait déjà du bruit sur les médias sociaux. Il peut notamment déjà se targuer d’avoir récolté plus de 900 000 euros dans une campagne de financement participatif. Pour discuter du positionnement et des ambitions de ce nouveau média, L'Atelier des médias reçoit son fondateur le journaliste Denis Robert et Paloma Moritz, qui portera le pôle écologie.
This week we celebrate the recent 111th birthday of the great Italian verista Magda Olivero. An extraordinary artist whose unusual career saw her taking a ten-year hiatus just as her career was gaining steam, to return in 1950 at the express request of the composer Francesco Cilea, who felt that her portrayal of the title role of his Adriana Lecouvreur was definitive (and of course he was right!) Olivero made a Metropolitan Opera debut as Tosca at the advanced age of 65; even after her official retirement, she continued to make occasional appearances in concert, including her final one at the age of 99! She began with a modest but capable voice and developed it into a finely-tuned instrument capable of taking on the most dramatic repertoire, including Cherubini’s Medea and Minnie in La fanciulla del West, but always capable of the finest pianissimo shadings. Her voice displays an extraordinary range of color and her dramatic acumen has never been matched. This week’s episode features a number of her live appearances in Amsterdam, including an extraordinary Adriana Lecouvreur from 1965 which features her at her artistic and vocal peak. The episode also features excerpts from an extraordinary live concert at the Church of San Jacopino in Firenze on 28 March 1969 which includes nearly superhuman displays of vocal skill and dramatic insight. Magda Olivero lived to the age of 104; though she is no longer with us on earth, her artistry continues to inspire and delight lovers of opera and singing. This episode was prepared with the kind assistance and input of Denis Robert, who maintains the Magda Olivero Archives page on YouTube. He was a personal friend of the artist and has done much to meticulously preserve her artistry and keep her legacy alive. He has provided me with high-quality masterings of many of the recordings featured on today's episode and also regaled me with wonderful personal anecdotes and reminiscences of this great artist. Countermelody is a podcast devoted to the glory and the power of the human voice raised in song. Singer and vocal aficionado Daniel Gundlach explores great singers of the past and present focusing in particular on those who are less well-remembered today than they should be. Daniel’s lifetime in music as a professional countertenor, pianist, vocal coach, voice teacher, and journalist yields an exciting array of anecdotes, impressions, and “inside stories.” Occasional guests from the “business” (singers, conductors, composers, coaches, and teachers) lend their distinctive insights. At Countermelody’s core is the interaction between singers of all stripes, their instruments, and the connection they make to the words they sing. At Countermelody’s core is the interaction between singers of all stripes, their instruments, and the connection they make to the words they sing. Please visit the Countermelody website (www.countermelodypodcast.com) for additional content including artist photos and episode setlists. And please head to my Patreon page at www.patreon.com/countermelody to pledge your monthly support at whatever level you can afford. Bonus episodes available only to Patreon supporters are currently available.
Dans son émission média, Philippe Vandel et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui Denis Robert, journaliste.
Toute l’actualité des médias, de la télé à la radio, de la presse écrite aux réseaux sociaux, des shows populaires aux publications les plus pointues, dénuée d’à-priori, mais non de bienveillance. Accompagné de chroniqueurs et de spécialistes, Philippe Vandel décrypte chaque jour ce qui fait parler dans les médias. Ses invités joueront le jeu, eux-aussi.
Dans son émission média, Philippe Vandel et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui Denis Robert, journaliste.
Toute l’actualité des médias, de la télé à la radio, de la presse écrite aux réseaux sociaux, des shows populaires aux publications les plus pointues, dénuée d’à-priori, mais non de bienveillance. Accompagné de chroniqueurs et de spécialistes, Philippe Vandel décrypte chaque jour ce qui fait parler dans les médias. Ses invités joueront le jeu, eux-aussi.
BlackRock, la plus grosse société de capital-investissement au monde, entreprise américaine dirigée par Larry Fink, a fait la une de l'actualité française lors des débats sur la réforme du système de retraite. Denis Robert revient sur l'univers de BlackRock et de son dirigeant : ses chiffres mirobolants, son omniprésence dans l'économie française et mondiale, sa proximité avec l'Elysée, les cercles de pouvoir américain - démocrates comme républicains - et les grandes institutions financières, son système d'intelligence artificielle Aladdin source de son expansion... En quoi BlackRock est-elle l'illustration des dérives du système financier international ? La réponse de Denis Robert, auteur du livre "Larry et moi - Comment BlackRock nous aime, nous surveille et nous détruit." aux éditions Massot. Pour aller plus loin :
André Bercoff décrypte l'actualité, COVID 19 dans les eaux usées: Pr Bernard La Scola présente cette analyse confondante Sartrouville: les bus en flamme, on arrête la circulation des bus? Son invité est Denis Robert, Denis Robert: Écrivain, journaliste, plasticien, scénariste, le journaliste qui a révélé l’affaire Clearstream au grand public. auteur de “Larry et moi “Comment BlackRock nous aime, nous surveille et nous détruit” Ed Massot
"L'affaire Grégory Villemin", un ouvrage de Denis Robert, disponible aux éditions J'ai Lu.
Thinkerview diffusé en direct le 29 octobre 2020
Thinkerview diffusé en direct le 29 octobre 2020
Tout dans ce livre est incroyable, le pire c'est que tout est vrai : c'est par ce court argumentaire que l'éditeur du livre « Un parrain à la maison blanche » sorti dans les premiers jours du déconfinement, essaie de vendre les révélations de son auteur : le journaliste franco-italiano-helvète Fabrizio Calvi. Cet argument est souvent utilisé et les lecteurs sont en droit de s'en méfier. Sauf que là, et ce TPA le montre d'une manière éclatante et inquiétante : tout est vraiment vrai… Denis Robert qui est entré à Libération quand Fabrizio Calvi en sortait dans les années 80, a réalisé ces 90 minutes d'interview tonitruantes au début du mois de juillet 2020. Calvi était dans un hôtel à Marrakech, entre deux enquêtes. Spécialiste des USA, de la Mafia, lié à des informateurs ayant travaillé ou travaillant toujours pour la police ou les services secrets, Calvi est une espèce rare de journalistes. Auteur de dizaines de livres, d'articles au long court et de documentaires, en bon professionnel ne lâchant jamais sa proie, l'enquêteur de 66 ans s'est attaqué à Donald Trump. Pas pour refaire une énième biographie gnangnan mais pour traquer le président américain sous l'angle inédit de ses liens avec la ou plutôt les mafia(s). ▶ Soutenez Le Média :
Le directeur de la rédaction de "Média", la web-télé proche de la France insoumise, a été démis de ses fonctions. La direction laisse entendre que c'est l'attitude de Denis Robert qui est en cause. Le film "Mignonnes" continue de faire parler aux États-Unis. En pleine campagne présidentielle américaine, le sénateur Ted Cruz s’est emparé du sujet comme un épouvantail. Dans une interview au "Parisien", Gérald Brice Viret évoque la rentrée de Canal+ et dévoile un changement majeur dans la façon dont les nouveautés cinéma seront désormais proposées. Ce lundi marque également le retour de l'émission culte de M6, "L'Amour est dans le pré" revient pour une nouvelle saison après 14 ans de présence à l'antenne.
durée : 00:03:35 - Capture d'écrans - Lundi 14 septembre, France 3 Île-de-France diffuse "Clearstream et moi", un documentaire signé Nina Robert, la fille du journaliste Denis Robert qui a révélé en 2001 le scandale Clearstream.
Le directeur de la rédaction de "Média", la web-télé proche de la France insoumise, a été démis de ses fonctions. La direction laisse entendre que c'est l'attitude de Denis Robert qui est en cause. Le film "Mignonnes" continue de faire parler aux États-Unis. En pleine campagne présidentielle américaine, le sénateur Ted Cruz s’est emparé du sujet comme un épouvantail. Dans une interview au "Parisien", Gérald Brice Viret évoque la rentrée de Canal+ et dévoile un changement majeur dans la façon dont les nouveautés cinéma seront désormais proposées. Ce lundi marque également le retour de l'émission culte de M6, "L'Amour est dans le pré" revient pour une nouvelle saison après 14 ans de présence à l'antenne.
Elise Van Beneden est avocate au Barreau de Paris et présidente de anticor, une association très active de lutte contre la corruption et pour l'éthique en politique. Pendant une heure, en compagnie de Denis Robert, notre invitée explique et montre que le combat mené par son association est difficile, laborieux et surtout nécessaire. De l'affaire Darmanin dont la défense niant le viol est presque un aveux de culpabilité de corruption, à l'affaire Kholer, actuel secrétaire général de l'Elysée d'Emmanuel Macron, en passant par Patrick Balkany et les arrangements de Louis Vuitton et Bernard Arnault avec sa nouvelle fondation. Ce TPA dresse le portrait d'une France ou la corruption est omniprésente. Et la Macronie dans tout ça ? Au delà de Macron qui a construit une grande partie de sa campagne pour devenir président de la République sur la question de la moralisation de la vie politique, la discussion viendra aussi sur la nomination de Eric Dupont-Moretti et les attentes d'anticor (qui ne sont pas très élevées) de changement dans l'institution judiciaire et dans les blocages qui concernent ces affaires au plus haut niveau, dont certaines concernent directement ses collègues du gouvernement. Bref, la bataille est loin d'être gagnée pour faire disparaître la corruption de ce pays, peu d'associations tiennent ce rôle, et c'est de plus en plus difficile pour elles de continuer à opérer, c'est donc pour ça qu'il faut les soutenir ! ▶ Soutenez Le Média :
Difficile de cerner le client de ce soir invité de ce TPA post confinement… Ex-vedette télévisuelle, militant no steak, cherchant sa voie entre webtélé, plateau télé et arène politique, Aymeric Caron a écrit le journal de bord de son confinement où il raconte sa vie entre femme et enfant, son quotidien dans une grande ville de la banlieue parisienne dont il tait le nom et ses emportements face à la déroute télévisuel. Ce n'est pas le plus intéressant de ce livre et de cet entretien coiffé mais décoiffant. Non… Le plus intéressant, ce sont les interstices et les envolées de cet auteur qui cherche et pense le monde à l'aune de ses lectures et de son amour du vivant. Moqué pour sa défense des moustiques, vilipendé pour sa défonce de Mélenchon, Aymeric Caron apparaît ici, dans cette longue conversation, comme un être un peu plus fin, torturé, engagé, écologiste que le paysage audiovisuel ne l'a laissé paraître. D'un virus inventeur du placenta, en passant par la fonte du permafrost qui libère des cadavres de rennes qui font naitre maladies pandémiques, Aymeric Caron et Denis Robert, complices mais pas comparses, nous éclairent sur des philosophes peu connus comme Gunther Anders ou Didier Spinoza-Lallement, des concepts méconnus comme celui de l'homme post-historique ou des messages incongrus : « Soyons épicuriens et décroissants ». Au final, un TPA de bon cru initié par Sénèque : « Nous guérirons pour peu que nous nous séparions de la foule ». Et clos par le même optimisme : « Si on ne fait rien, demain sera encore pire ». Et la nature se vengera. Et nous liquidera, le plus tranquillement du monde… ▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:54:02 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles la plus grande controverse de blanchiment d’argent réalisée par les milieux politico-financiers via la banque Clearstream, basée au Luxembourg. Une affaire révélée en 2001 par le journaliste Denis Robert dans son ouvrage Révélations. - invités : Denis Robert - Denis ROBERT
Samuel Churin, 55 ans, est un des comédiens fétiche d'Olivier Py. On l'a vu au cinéma dans "120 battements par minute" ou plus récemment "La Terre des homme". Ancien informaticien, intermittent du spectacle comblé et actif, il a du coffre et une voix qui porte. Mais l'invité du TPA de cette semaine répond aux questions de Denis Robert pour une autre facette de sa vie : celle d'initiateur et de porte-parole de la Coordination des Intermittents et des précaires. Il cite souvent Ambroise Croizat l'inventeur de la sécurité sociale et le préambule de la Constitution de 1946 : "Tout être humain qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans l'incapacité de travailler a le droit d'obtenir de la collectivité des moyens convenables d'existence". Il nous alerte ici, avec gravité, sur la catastrophe en cours qui va nous submerger à la rentrée de septembre quand passera le deuxième volet de la très méchante loi Pénicaud sur la réforme de l'assurance chômage : "Les travailleurs en CDI ont pu bénéficier de 24 milliards d'euros de dépenses en chômage partiel pour les sauver, les travailleurs discontinus hors intermittents du spectacle n'ont pas touché un centime. Non seulement leurs activités se sont stoppées nettes pendant le confinement, mais encore le sont-elles pour longtemps." explique-t-il. Il évoque les 2,3 millions de précaires qui travaillent par exemple dans le tourisme, l'évènementiel, la restauration, l'hôtellerie et qui vivent aujourd'hui chichement sur leurs économies ou les aides de proches. Ils vont inévitablement, si rien n'est fait cet été, basculer au RSA en septembre. Ils forment l'essentiel du troupeau des 6 chômeurs sur 10 qui ne sont plus indemnisés. "Cela est inadmissible et contrevient à l'esprit de la Constitution. Que se serait-il passé pendant la crise du Covid 19 si 6 malades sur 10 n'étaient pas couverts par la Sécurité Sociale et donc dans l'impossibilité de se soigner ?" interroge le comédien, dépité mais pas découragé par ce combat vital. Une des raisons de cet oubli des précaires et de cet ostracisme reposerait sur la sémantique. On parle d'emploi, de plein emploi, de contrat à durée indéterminé, alors que l'avenir est, à l'évidence en écoutant Samuel Churin, à la discontinuité, à la précarité assumée et au revenu universel. Avec ce TPA riche et explosif, on est au cœur du combat contre le capitalisme échevelé et son avatar libéral qui nous appauvrissent, nous affament et nous tuent à petit feu. Si vous avez un doute sur ce constat, écoutez Churin. ▶ Soutenez Le Média :
Thierry Gourvénec a fait sa thèse de psychiatrie sur les bouffées délirantes. Il a étudié à ce titre la propagation de rumeurs délirantes, en particulier celle d'Orléans qui voulait que des femmes disparaissent et soient livrées à des réseaux de prostitution, après avoir visité des commerçants de la ville. Il a noté que la propagation de cette rumeur est intervenue au moment où De Gaulle allait quitter le pouvoir et laisser la France orpheline de son ange tutélaire. "La rumeur d'Orléans éclot en 1969 après que De Gaulle ait perdu son référendum et quitté le pouvoir. C'est une angoisse majeure, oedipienne… La mort politique du Grand Charles est un peu comme la mort du père…" Il s'appuie sur ce type de phénomène de croyance collective pour inscrire l'histoire du coronavirus dans la longue litanie des épidémies, dont très peu au final se révèlent réellement meurtrières à grande échelle. On a nettement exagéré la portée et la violence de l'épidémie de Covid et nous nous sommes collectivement enfoncés dans une sorte de bouffée délirante collective (et médiatique) dès l'origine de l'épidémie sans pouvoir faire machine arrière : telle pourrait être résumée son hypothèse. "Les gens individuellement ne sont pas fous, c'est la communication collective qui est délirante" explique-t-il avant de faire un lien entre le contexte politique angoissant, la peur archaïque de toute épidémie, instrumentalisée ou pas, et la naissance d'un délire collectif. Denis Robert remonte avec lui le cours des histoires des délires collectifs: des sorcières brûlées au Moyen Age à la grippe aviaire (qui n'aurait fait qu'une seule victime humaine) en passant par épidémie allemande d'Escherichia Coli de 2011 dont la souche d'origine aurait été liée à l'ingestion de concombres bio originaires d'Espagne. Il note que la rumeur qui s'avèrera fausse est lancée quelques jours après Fukushima et que l'épidémie, dont tout le monde parle, fera une cinquantaine de victimes, pour qui la suspicion de recto-colites dues à du césium japonais ne peut être écartée: La très questionnante saga de l'Escherichia Coli Entéro-Hémorragique - AgoraVox le média citoyen ). "Chaque épidémie gérée de manière inconséquente est le fruit d'une peur panique et politique" conclut-il. La conversation roule et fait réfléchir. De la confrontation entre le raisonnement du psychiatre et le scepticisme affiché par son intervieweur nait une mise en abime qui brise certaines idées reçues et nous donnent à penser. C'est un des mérites de cette conversation pas si savante que ça, toujours sur un fil. "Et si l'épidémie que nous venons de vivre fonctionnait d'abord sur la transmission d'une peur ?" Bonne question… ▶ Soutenez Le Média :
Quand le physicien David Mendels, l'invité de Denis Robert du TPA de ce soir, est rentré de voyages en janvier dernier et qu'il a vu grimper les taux de contamination au Covid en Asie, il a compris vite que les tests sanguins individualisés seraient un des enjeux et une des solutions du problème. Directeur technique d'une start up française – Xrapid-, spécialisée en intelligence artificielle et microbiologie, forts de leur expérience avec les tests pour la malaria, lui et ses collègues ont rapidement mis au point un système infaillible pour mesurer la fiabilité des tests Covid. C'est ce qu'il nous explique ce soir : « Le Covid est un virus trop petit pour être vu en microscopie optique mais quand est arrivé la crise en France, on avait déjà deux ou trois mois de retard sur les Chinois et les Coréens qui avaient développé des tests de diagnostic rapide. » Se basant sur un appel d'offres du Ministère de la défense pour aider à vaincre l'épidémie, profitant du confinement, l'équipe autour de David Mendels s'est mise au travail : « On s'est dit qu'on allait mettre en route notre projet. On a pu sortir un prototype en une semaine ». Un prototype de testeur de tests. Après les choses ont trainé un peu. Mais face à la quantité de laboratoires se mettant à fabriquer des tests dans un but pas uniquement humanitaire, des médecins parisiens de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, missionnés par l'Institut Pasteur, ont collaboré, leur envoyant 5 des 11 tests représentant plus de 2'000 dispositifs à tester. Le marché du test Covid -vendu en pharmacie autour de 40/50 euros et sur Internet entre 15 et 99 euros- est très lucratif. Jusque-là, tout va bien. C'est ensuite que l'histoire défie l'entendement. Le Ministère de la santé a homologué une liste de 23 tests le 20 mai dernier, dont la plupart, selon les propres termes, du physicien sont « tout pourris ». Entendez par là qu'ils peuvent diagnostiquer des personnes saines comme étant malades du Covid. Et plus grave, des personnes malades, saines. Sur les 11 tests sur lesquels a travaillé David Mendels, un seul a franchi la barre de la fiabilité selon les critères établis par la haute autorité de santé (HAS) en matière de spécificité et de sensibilité. Pourtant dans la liste finale, la plupart y compris les pires, ont été homologués par le Ministère. « Je ne suis qu'un scientifique donc je ne sais pas s'il y a malveillance ou incompétence derrière cela » explique, sidéré, le docteur en physique « Mais quand les résultats se perdent à plusieurs niveaux comme c'est le cas ici, on est en droit de se poser la question de ceux qui contrôlent les contrôleurs. Et on est également en droit de nous demander si tout s'est passé de la sorte pour la gestion de la crise du Covid ? » La réponse est malheureusement oui. Cet entretien révèle un nouveau scandale de santé publique et montre que, pour des raisons troubles, sans doute liées au lobbying des labos, des tests -remboursés par la sécurité sociale- dont on savait qu'ils étaient peu voire pas fiables, ont été mis en vente. Plus précisément, cela signifie que depuis trois semaines maintenant, des personnes qui pensent ne pas avoir le Covid puisqu'elles ont été testés négatives, l'ont certainement… ▶ Soutenez Le Média :
François Cortet, 68 ans, est médecin, réanimateur et anesthésiste au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis. Il a vu sa clinique privée réquisitionnée en début d'épidémie. C'est donc un observateur aguerri de la crise sanitaire et politique que nous sommes en train de vivre. C'est aussi un vieil ami de Denis Robert qui fait souvent appel à lui quand quelque chose lui échappe au niveau médical. Au-delà du jargon et des difficultés à appréhender les discours des professionnels de la santé, il livre ici son témoignage sur la maladie, le confinement, le déconfinement et ses craintes quant à l'avenir. Tout ce qu'on entend comme un bruit de fond sans trop comprendre. « Cette pandémie, ça n'a jamais été vu. Elle est unique dans l'histoire médicale. Comment expliquer que des personnes en bonne forme puissent être affectées et mourir en trois jours, alors que dans le lit d'à côté des personnes plus âgées et plus fragiles s'en sortent ? C'est un mystère face auquel on est complètement démuni » dit-il. Il revient ici sur cette maladie de Kawasaki, émanation du Codvid, qui touche maintenant les enfants, se montre très critique à l'égard des virologues et épidémiologistes qui se veulent trop optimistes, mais il livre aussi un réquisitoire contre la politique de santé, les agences régionales et leurs dictats, l'euthanasie devenue légale pratiquée dans les Ehpad et s'interroge sur l'origine du virus : « Tout est possible concernant le virus à Wuhan, une fuite du labo comme une transmission animale…. » L'intérêt de cet entretien, c'est qu'on n'est pas face à un sujet sachant, un médecin sûr de lui comme on en voit beaucoup sur les plateaux télé. Non, François Cortet livre ici un témoignage à hauteur d'homme. Lui qui ne partira pas en vacances par crainte d'être contaminé confie que ce qui le gêne le plus dans ce Covid c'est ce qui change dans les rapports humains : « Embrasser tout le monde quand je vais au boulot, ça va me manquer… » ▶ Soutenez Le Média :
Camille et ses invités du jour la politologue Virginie Martin, Yvan Le Bolloch, ainsi que le journaliste Alexis Poulin et Bruno Gaccio sont de retour pour un sixième épisode des Masques et la tune ! Pour cette nouvelle émission : "Macronie : une dérive autoritaire qui laisse craindre le pire" nous allons donc discuter des signes qui montrent qu'il y a raison de s'inquiéter, et donc, des initiatives qui se créent pour résister et éviter le pire. A-t-on encore le droit de manifester dans ce pays ? Il est permis d'en douter. Entre amendes systématiques, ultra violence policière et politiques de restrictions des libertés, plus que jamais, l'expression de revendications dans la rue n'est plus possible comme elle le devrait dans une démocratie. La Liberté d'expression existe-t-elle encore en France ? Entre les pancartes macronavirus qui vous envoient en garde à vue, et l'interdiction de critiquer la police comme l'a démontré la récente polémique autour de la chanteuse Camélia Jordana, sans parler de la loi Avia... Comment en France, a-t-on pu laisser en arriver là, et de quoi cela est il le signe ? A partir de quand peut on parler de fascisme ? Nous discuterons de tout cela dans la première partie. Pour autant, peut on rester inactifs et résignés face à cette réalité effrayante ? Certains ont pensé que non, et tentent de coaguler à grande échelle et de proposer d'abord de résister, mais aussi, un autre horizon vers des jours plus heureux, et un monde meilleur qui ne permet plus jamais que le monde redevienne comme avant le covid-19, puis qu'il est partout question du "monde d'après". Si certaines semblent être assez risibles comme cette tribune de 150 personnalités de "gauche" comme Yannick Jadot ou Olivier Faure, d'autres semblent plus crédibles et bienvenues, comme le CNNR lancé par Gilles Perret et Gérard Mordillat, ainsi que Denis Robert, mais aussi l'initiative #PlusJamaisCa d'ATTAC, CGT et des dizaines d'autres organisations. Pour télécharger l'ouvrage du CNNR : Résistons ensemble pour que renaissent les jours heureux : https://massot.com/collections/resistons-ensemble-pour-que-renaissent-des-jours-heureux/?fbclid=IwAR3LedrQimDqhisox1zBI4ibjQl4l3QGfIsjs9acCdZjp-_O3tXkO1O0HCg ▶ Soutenez Le Média :
Autour de Camille Chastrusse et de ses invités : le journaliste du Média Denis Robert, la politologue Virginie Martin, Bruno Gaccio et l'avocate Caroline Mecary. Cet échange vidéo traitera -entre autres- de la confiance dans les institutions déjà bien entamée, qui a encore souffert avec la crise du Coronavirus, et nous poserons la question suivante en deuxième partie : Macron peut il rester Président ? ▶ Soutenez Le Média :
Confinement et actualité foisonnante obligent, nous tentons un nouveau format en direct autour de Camille Chastrusse et de ses invités : le journaliste du Média Denis Robert, la politologue Virginie Martin, Bruno Gaccio et Yvan Le Bolloch, deux amis du Média. Baptisé « Les masques et la thune », cet échange vidéo traitera -entre autres- des annonces d'Edouard Philippe, de l'explosion de la violence policère, et de la société de surveillance qui nous explose au visage dans le cadre du Covid-19. Pendant un peu moins d'une heure, nos invités discuteront de ce qui les a marqués dans la semaine écoulée en essayant de se marrer un peu, d'être graves et légers, drôles et sincères et surtout libres. Ce qui devient une grosse ambition dans cette séquence de vie morose où, surveillés par des drones et des policiers en armes, interdits de sortie, de bars et de cinéma, on compte nos morts tous les soirs, grâce aux préposés de la République en marche. Sur les autres chaines, de faux experts répètent, jour après jour, une messe cathodique angoissante. Nous tenterons de dire la nôtre mais plutôt autour d'un verre dans le bistrot à côté de l'Église. Sans trop nous prendre au sérieux. Dans un pays où depuis trois mois, le gouvernement allonge les thunes pour acheter, sans mollir, des drones et des LBD, mais nous baratine en promettant des tests, du gel et surtout des masques qui ne viennent pas, c'est le moins qu'on puisse faire… ▶ Soutenez Le Média :
Confinement et actualité foisonnante obligent, nous tentons un nouveau format en direct autour de Denis Robert et de ses invités : la politologue Virginie Martin, Bruno Gaccio et Yvan Le Bolloch, deux amis du Média. Baptisé « Les masques et la thune », cet échange vidéo traitera -entre autres- de culture, de politique, de pangolins, d'enmarcheurs, de chinois et de Covid-19. Pendant un peu moins d'une heure, nos invités discuteront de ce qui les a marqués dans la semaine écoulée en essayant de se marrer un peu, d'être graves et légers, drôles et sincères et surtout libres. Ce qui devient une grosse ambition dans cette séquence de vie morose où, surveillés par des drones et des policiers en armes, interdits de sortie, de bars et de cinéma, on compte nos morts tous les soirs, grâce aux préposés de la République en marche. Sur les autres chaines, de faux experts répètent, jour après jour, une messe cathodique angoissante. Nous tenterons de dire la nôtre mais plutôt autour d'un verre dans le bistrot à côté de l'Église. Sans trop nous prendre au sérieux. Dans un pays où depuis trois mois, le gouvernement allonge les thunes pour acheter, sans mollir, des drones et des LBD, mais nous baratine en promettant des tests, du gel et surtout des masques qui ne viennent pas, c'est le moins qu'on puisse faire… ▶ Soutenez Le Média :
Denis Robert reçoit Frédérique Dumas, députée des Hauts-de-Seine et ex-membre du groupe parlementaire LaREM. A travers cet entretien, l'ex-députée LREM nous dévoile les dessous effrayants de la macronie. En expliquant, dès septembre 2018, que le gouvernement d'Emmanuel Macron était le Titanic, l'ex-productrice a été une des premières à rompre violemment avec la macronie. Proche de François Bayrou, elle avait pourtant participé en première ligne à la campagne des Présidentielles. Du leader de la REM, elle dit qu'elle a cru en lui car il brisait les codes. Mais, très vite, la critique devient acerbe et désespérée. Il n'écoute personne, fait semblant de prendre les avis, mais réfléchit selon un logiciel qui lui est propre et auquel personne – sauf peut-être Brigitte son épouse- n'a accès. Cet algorithme, ajoute-t-elle, l'a éloigné des préoccupations du peuple. Elle cite l'exemple du premier tour des élections municipales où, alertée par des proches, médecins inquiets de la pandémie alors quasi avérée, elle lui a envoyé plusieurs messages le suppliant d'y renoncer. Elle était persuadée qu'il allait repousser ce premier tour en raison des risques mortels qu'il faisait prendre aux Français. Il a finalement renoncé, par calcul politique, parce qu'il craignait de ne pas être compris après le 49/3 et à cause des mauvais sondages. Le regard portée par cette femme bien intentionnée au départ sur le projet macronien est d'autant plus dur qu'elle n'a plus grand chose à perdre ou à gagner. Elle montre à quel point la tête d'épingle qui dirige ce paysavec le Président – trois hommes Edouard Philippe et son directeur de cabinet Benoit Ribadeau-Dumas ainsi qu'Alexis Kohler, le secrétaire général de l'Elysée- semble déconnectée du reste du pays. Elle porte un jugement tranché mais argumenté sur l'insensibilité pathologique d'Emmanuel Macron. « Il n'écoute que lui-même » conclue-t-elle. ▶ Soutenez Le Média :
Une heure cinq minutes d'entretien avec Alain Denault, philosophe canadien de 50 ans, qui débarque en France et au Média pour présenter le troisième épisode de son feuilleton philosophique (qui en comptera 6). Après l'économie de la nature et de la foi, il s'attaque ici à l'économie de l'art avant d'aborder la psychanalyse, les mathématiques puis la politique. Six étapes que nous franchirons avec lui dans cet échange de haute volée. Son projet de fond explicité ici en exergue à Denis Robert est de « Reprendre l ‘économie aux économistes ». « Nous sommes des êtres de concept. La philosophie ne se développe pas dans un monde à part. Le mot économie a été dévoyé par une corporation qui s'est désigné comme celle des économistes » postule Deneault qui revient très vite à son projet de déconstruction du langage et des académismes autour de l'économie « On oublie le multitude d'usages de l'économie dans des domaines très différents », dit-il avant de rejeter tout idée de travail sur l'étymologie, mais de s'attaquer à la façon dont l'économie a « évolué dans l'histoire jusqu'à ce que les économistes s'en emparent ». La série de livres rassemblés sous l'égide d'un feuilleton théorique et éditée chez Lux, décline l'idée que le mot économie a un sens orwellien car il désignerait des méthodes de destruction, d'inégalités sociales, d'impérialisme qui surprendraient ceux qui ont utilisé ce mot à d'autres occasions. Selon Deneault, si l'économie est aujourd'hui spontanément associée à des notions reliées au capitalisme marchand, ce terme renferme maints autres sens que l'idéologie capitaliste s'est employée à enfermer et à faire oublier. Il replace l'écologie au centre du jeu et nous invite ici à imaginer l'économie après le capitalisme. Comme s'il avait prévu qu'une pandémie allait nous faire repenser le monde. Une émission tournée début mars. ▶ Soutenez Le Média :
Imaginons une veillée où se retrouvent trois « veilleurs » revenant de fronts différents, ils se racontent l'avenir et les stratégies possibles par-delà les événements du jour. Denis Robert, journaliste, plasticien, romancier, a lutté à mains nues (avec un couteau dans le dos) contre le monstre Clearstream, il dirige depuis peu la web Télé Le Média. Avocat de Julian Assange et essayiste, Juan Branco est l'auteur du bolide éditorial Crépuscule, une fronde lancée contre le système oligarchique et la presse inféodée qui ont mis en selle la présidence Macron. Lanceur de trois pavés SF mémorables dans la vitrine de la littérature – dont son dernier calibre à forte trouée Les Furtifs qui célèbre la jonction des révoltés et de la nature – Alain Damasio explore les marges et les possibles de l'action libertaire avec les outils de haute précision que sont la fiction et la broderie du langage. Au contraire des autres rencontres du festival qui se glissent dans un créneau de deux heures, la conversation entre veilleurs sur scène et avec le public durera aussi longtemps qu'elle durera. ▶ Soutenez Le Média :
Faire des documentaires est un exercice compliqué. La démarche de Mathias Théry et de son compère Etienne Chaillou part d'un précédent travail où ils ont suivi des jeunes gens engagés dans le militantisme. Nos deux documentaristes se sont demandés pourquoi (dans le merdier ambiant) s'engagent-ils ? Généralement les bons films partent de modestes questions… Et ils ont suivi Bastien Rénié, vingt ans, qui milite au Front National rebaptisé Rassemblement National depuis peu. Quand débute la campagne présidentielle, il est invité par son supérieur à s'engager davantage. Initié à l'art d'endosser le costume des politiciens, il se prend à rêver d'une carrière, mais de vieux démons resurgissent… nous explique le dossier de presse. Mais ce film – La cravate (car Bastien doit porter un jour cet ustensile marqueur de pouvoir)- va bien au-delà de la simple plongée dans les coulisses d'un parti fut-il d'extrême droite. Par son dispositif – Bastien lit le manuscrit de sa vie de militant à mesure que le film avance- « La Cravate » nous aide à comprendre comment marche un parti et pourquoi on s'y fond. Ce TPA où Denis Robert reçoit un des deux réalisateurs nous aide à appréhender ce film unique et original à travers une conversation intime et des extraits de ce documentaire qui sort en cette semaine de février 2020. ▶ Soutenez Le Média :