Combats est le podcast de celles et ceux qui s'engagent au quotidien pour défendre le Vivant, l'environnement, les animaux et la planète en général. «Vient un moment ou parler, débattre, ne suffit plus. Il faut agir» disait Victor Hugo.  Combats diffuse 4 épisodes thématiques de 20 minutes, tous les 15 jours, en alternance avec son grand frère BSG. _______  Combats est un podcast de la famille Baleine sous Gravillon. Les 3 autres sont Baleine sous Gravillon, Nomen et Petit Poisson deviendra Podcast. _______  Nous cherchons des partenaires, et nous proposons / animons des conférences dans les écoles et les universités, les entreprises et les institutions. _______  Tous les liens : https://baleinesousgravillon.com/liens-2 _______  Contact: Marc Mortelmans 06 52 49 13 71 marc@baleinesousgravillon.com _______ Toutes les infos : https://bit.ly/prez_CBT_ecosyst_BSG
"L'UNOC, c'est du vent". Voilà ce que m'a expliqué Claire Nouvian, au micro de Combats, quand je l'ai rencontrée au festival We love green ce week-end à Paris.Mais Bloom et Claire sont harcelés par les lobbies de la pêche, le 4 juin, la porte d'entrée de son appartement à été aspergée de peinture noire, une énième tentative d'intimidation juste avant le sommet de l'UNOC.Cette conférence de toutes les hypocrisie a lieu du 9 au 13 juin 2025 à Nice. Il est organisé par la France de Macron, responsable de quasiment 11 millions de km2 de ZEE, la zone économique exclusive de chaque pays juste derrière les États-Unis. En ne protégeant réellement que moins de 0,1% des eaux côtières de l'Hexagone, le gouvernement et Macron n'ont rien fait pour l'océan.En France, des chalutiers de plus de 80 mètres opèrent ainsi dans les rarissimes aires marines "protégées" de la Manche et de la Mer du Nord… au grand dam des pêcheurs artisans des Hauts-de-France.La France accorde près de 200 millions d'euros d'aides gasoil à quelque 800 chalutiers français. Mais, plutôt que de supprimer ces subventions, la France veut masquer son inaction en surcommuniquant sur son moratoire sur l'exploitation minière dans les eaux internationales.Selon Bloom et d'autres ONG, 3 mesures clés marqueraient un tournant par rapport au statu quo mortifère promu aujourd'hui :l'interdiction du chalutage dans les aires marines dites « protégées »,la protection des écosystèmes et des pêcheurs côtiers en excluant les méga-chalutiers de la bande côtière,et le fléchage des subventions publiques vers la transition sociale et écologique de la pêche plutôt que vers les techniques de pêche destructrices.Le reste et les vœux pieux, c'est de la gnognotte et de la poudre aux yeux._______
Notre planète abrite quelque 65.000 espèces d'arbres (pour 280.000 espèces de plantes à fleurs au total).L'effondrement du vivant est enfin reconnu comme une menace environnementale majeure, mais l'appauvrissement de la flore, et notamment des arbres, est un sujet qui demeure peu médiatisé. Pourtant, dans le monde, près de quatre espèces d'arbres sur dix sont menacées de disparition.Dans de nombreuses régions du monde (Portugal, Californie, Amazonie, Sibérie, Australie…), des incendies gigantesques – désormais désignés sous le terme de mégafeux – ont eu des conséquences colossales sur la biodiversité et l'environnement (relargage massif de gaz à effet de serre, érosion des sols, dégradation de la qualité de l'eau…).Certaines de ces espèces gravement menacées à l'état sauvage ont toutefois trouvé refuge dans nos parcs et jardins. Cèdre de l'Atlas, marronnier commun, magnolia étoilé, cyprès de Lambert et de nombreux autres feuillus et conifères ont acquis le statut de végétaux d'ornement et sont communément plantés dans nos paysages du quotidien.Qu'ils soient remarquables ou plus ordinaires, les arbres de nos paysages quotidiens se doivent d'être davantage respectés afin que cessent les abattages et les supposées tailles de « mise en sécurité » injustifiés et contraires au respect de la vie végétale. Par ailleurs, il est devenu plus qu'essentiel de leur redonner un espace de vie décent et compatible avec leur développement. Il en va de leur pérennité et donc de la résilience climatique et écologique des territoires urbains dans lesquels vivent désormais 80 % de nos concitoyens.David Happe est un amoureux des arbres. Cet expert arboricole n'est pas un scientifique mais un praticien, de terrain. Il a travaillé à l'ONF (Office National des Forêts), pour des collectivités territoriales et pour le ministère de l'écologie qu'il a quitté en 2021. Il est l'auteur de Au chevet des arbres : réconcilier la ville et le végétal (mars 2022, Éditions Le mot et le reste, 165 pages), et de Arbres en péril : Nos villes, leur dernier sanctuaire (même éditeur, mars 2021).Pour réécouter les épisodes avec Ernst Zürcher, c'est ici. Pour réécouter l'épisode sur le Garoé, un arbre légendaire, c'est là._______
Les médias ont souvent mis l'accent sur les milliers, voire les millions d'hectares dévastés par les mégafeux. Mais peu se sont intéressés au déclin, plus discret, des espèces arborescentes de la canopée mondiale. Car, derrière ces forêts en souffrance, se cachent une multitude d'espèces d'arbres – près du quart de la biodiversité végétale. 4 espèces sur 10 sont menacées à l'état sauvage, ces espèces font partie de nos parcs et jardins, sous nos yeux, dans nos villes. Des reflets souvent mal connus de leurs frères sauvages et endémiques..._______
Les médias ont souvent mis l'accent sur les milliers, voire les millions d'hectares dévastés par les mégafeux. Mais peu se sont intéressés au déclin, plus discret, des espèces arborescentes de la canopée mondiale. Car, derrière ces forêts en souffrance, se cachent une multitude d'espèces d'arbres – près du quart de la biodiversité végétale. 4 espèces sur 10 sont menacées à l'état sauvage, ces espèces font partie de nos parcs et jardins, sous nos yeux, dans nos villes. Des reflets souvent mal connus de leurs frères sauvages et endémiques... _______
Notre planète abrite quelque 65.000 espèces d'arbres (pour 280.000 espèces de plantes à fleurs au total).L'effondrement du vivant est enfin à peu près admis. Mais l'appauvrissement de la flore, et notamment des arbres, demeure peu médiatisé. Pourtant, dans le monde, près de quatre espèces d'arbres sur dix sont menacées de disparition.Dans de nombreuses régions du monde (Portugal, Californie, Amazonie, Sibérie, Australie…), des incendies gigantesques – les mégafeux (voir nos épisodes avec Sébastien Lahaye) – ont eu des conséquences dévastatrices sur la biodiversité et l'environnement.Certaines de ces espèces d'arbres gravement menacées à l'état sauvage sont communs dans nos parcs et jardins : Séquoias, Cèdre de l'Atlas, Marronnier commun, Magnolia étoilé, Cyprès de Lambert...Qu'ils soient remarquables ou ordinaires, les arbres de nos villes doivent être davantage respectés afin que cessent les abattages et les supposées tailles de «mise en sécurité» injustifiés et contraires au respect de la vie végétale.Par ailleurs, il est devenu plus qu'essentiel de leur redonner un espace de vie décent et compatible avec leur développement. Il en va de leur pérennité... et aussi de la résilience climatique et des villes dans lesquelles vit la majorité de la population mondiale.David Happe est un amoureux des arbres. Cet expert arboricole n'est pas un scientifique mais un praticien, de terrain. Il a travaillé à l'ONF (Office National des Forêts), pour des collectivités territoriales et pour le ministère de l'écologie qu'il a quitté en 2021. Il est l'auteur de Au chevet des arbres : réconcilier la ville et le végétal (mars 2022, Éditions Le mot et le reste, 165 pages), et de Arbres en péril : Nos villes, leur dernier sanctuaire (même éditeur, mars 2021).Pour réécouter les épisodes avec Ernst Zürcher, c'est ici. Pour réécouter l'épisode sur le Garoé, un arbre légendaire, c'est là. _______
Le 17 mai 2025, des délégations de chasseurs ont distribué aux maires partout en France un exemplaire du manifeste de la Fédération Nationale des Chasseurs. Ce texte est découpé en 11 revendications, parmi lesquelles la "reconnaissance d'intérêt général française et inscription au patrimoine immatériel de l'Unesco de tous les modes de chasse" ; et qualifie l'activité "'d'art de vivre qui représente l'avenir dans nos sociétés déshumanisées et déconnectées de la nature". La Fédération affirme agir au premier plan en ce qui concerne la relève de l'un des plus grands défis du XXIème siècle : "la préservation de la biodiversité". Que répondre aux déclarations et aux exigences des acteurs de la chasse française ? C'est là tout le sujet de cette 37ème "Idées fausses".(NB : cet épisode a été enregistré en 2024)_______
C'est la journée internationale de la biodiversité ! (22 mai). COMBATS rediffuse à cette occasion sa série sur la biodiversité enregistrée avec Hugues Mouret, entomologiste.La biodiversité selon :Le Larousse : "Diversité des organismes vivants, animaux et végétaux, qui peuplent notre planète."Le Robert : "Variété des espèces vivantes (végétales, animales, microbiennes), présentes dans un milieu."Problème : où sont les champignons, les protozoaires, les bactéries et les archées ? Oups.En fait, la biodiversité désigne l'ensemble des êtres vivants mais aussi des milieux et des gènes.______Des 8 à 100 millions d'espèces estimées, seulement 2,2 millions sont connues et décrites. On dénombre, entre autres, dans le monde :6 500 espèces de mammifères, dont ⅔ de rongeurs et de chauves-souris8 000 d'amphibiens, dont 90% de grenouilles11 000 d'oiseaux, dont 60% de passereaux12 000 de reptiles, dont plus de la moitié de lézards35 000 de poissons osseux, et seulement 1 500 de cartilagineux (requins, raies, chimères)52 000 d'araignées, dont 6 700 de saltiques, ces cousines de Lucas the spider qui ne construisent pas de toile et qui sautent sur leur proies (salto !)400 000 de plantes, dont 90% de plantes à fleursEt… 1 million d'insectes ! À eux seuls, les insectes représentent près de la moitiés des espèces vivantes.A l'heure de la 6e extinction de masse, cette biodiversité disparaît à une vitesse inédite, 10 à 1000 fois supérieure à toutes autres crises précédentes.Les 5 causes de la disparition sont :La destruction et l'artificialisation des milieux naturels (35%)La surexploitation des ressources naturelles (25%)Le changement climatique global (20%)La pollution de l'air, de l'eau et du sol (15%)L'introduction d'espèces exotiques envahissantes (5%)Au-delà de ces quelques chiffres. Notre Hugues Mouret, entomologiste et directeur scientifique chez Arthropologia, nous explique le contexte, les définitions des bases, les ordres de grandeurs, toutes les subtilités méconnues mais essentielles liées à la biodiversité._______
C'est la journée internationale de la biodiversité ! (22 mai). COMBATS rediffuse à cette occasion sa série sur la biodiversité enregistrée avec Hugues Mouret, entomologiste.La biodiversité selon :Le Larousse : "Diversité des organismes vivants, animaux et végétaux, qui peuplent notre planète."Le Robert : "Variété des espèces vivantes (végétales, animales, microbiennes), présentes dans un milieu."Problème : où sont les champignons, les protozoaires, les bactéries et les archées ? Oups.En fait, la biodiversité désigne l'ensemble des êtres vivants mais aussi des milieux et des gènes.______Des 8 à 100 millions d'espèces estimées, seulement 2,2 millions sont connues et décrites. On dénombre, entre autres, dans le monde :6 500 espèces de mammifères, dont ⅔ de rongeurs et de chauves-souris8 000 d'amphibiens, dont 90% de grenouilles11 000 d'oiseaux, dont 60% de passereaux12 000 de reptiles, dont plus de la moitié de lézards35 000 de poissons osseux, et seulement 1 500 de cartilagineux (requins, raies, chimères)52 000 d'araignées, dont 6 700 de saltiques, ces cousines de Lucas the spider qui ne construisent pas de toile et qui sautent sur leur proies (salto !)400 000 de plantes, dont 90% de plantes à fleursEt… 1 million d'insectes ! À eux seuls, les insectes représentent près de la moitiés des espèces vivantes.A l'heure de la 6e extinction de masse, cette biodiversité disparaît à une vitesse inédite, 10 à 1000 fois supérieure à toutes autres crises précédentes.Les 5 causes de la disparition sont :La destruction et l'artificialisation des milieux naturels (35%)La surexploitation des ressources naturelles (25%)Le changement climatique global (20%)La pollution de l'air, de l'eau et du sol (15%)L'introduction d'espèces exotiques envahissantes (5%)Au-delà de ces quelques chiffres. Notre Hugues Mouret, entomologiste et directeur scientifique chez Arthropologia, nous explique le contexte, les définitions des bases, les ordres de grandeurs, toutes les subtilités méconnues mais essentielles liées à la biodiversité._______
C'est la journée internationale de la biodiversité ! (22 mai). COMBATS rediffuse à cette occasion sa série sur la biodiversité enregistrée avec Hugues Mouret, entomologiste.La biodiversité selon :Le Larousse : "Diversité des organismes vivants, animaux et végétaux, qui peuplent notre planète."Le Robert : "Variété des espèces vivantes (végétales, animales, microbiennes), présentes dans un milieu."Problème : où sont les champignons, les protozoaires, les bactéries et les archées ? Oups.En fait, la biodiversité désigne l'ensemble des êtres vivants mais aussi des milieux et des gènes.______Des 8 à 100 millions d'espèces estimées, seulement 2,2 millions sont connues et décrites. On dénombre, entre autres, dans le monde :6 500 espèces de mammifères, dont ⅔ de rongeurs et de chauves-souris8 000 d'amphibiens, dont 90% de grenouilles11 000 d'oiseaux, dont 60% de passereaux12 000 de reptiles, dont plus de la moitié de lézards35 000 de poissons osseux, et seulement 1 500 de cartilagineux (requins, raies, chimères)52 000 d'araignées, dont 6 700 de saltiques, ces cousines de Lucas the spider qui ne construisent pas de toile et qui sautent sur leur proies (salto !)400 000 de plantes, dont 90% de plantes à fleursEt… 1 million d'insectes ! À eux seuls, les insectes représentent près de la moitiés des espèces vivantes.A l'heure de la 6e extinction de masse, cette biodiversité disparaît à une vitesse inédite, 10 à 1000 fois supérieure à toutes autres crises précédentes.Les 5 causes de la disparition sont :La destruction et l'artificialisation des milieux naturels (35%)La surexploitation des ressources naturelles (25%)Le changement climatique global (20%)La pollution de l'air, de l'eau et du sol (15%)L'introduction d'espèces exotiques envahissantes (5%)Au-delà de ces quelques chiffres. Notre Hugues Mouret, entomologiste et directeur scientifique chez Arthropologia, nous explique le contexte, les définitions des bases, les ordres de grandeurs, toutes les subtilités méconnues mais essentielles liées à la biodiversité._______
C'est la journée internationale de la biodiversité ! (22 mai). COMBATS rediffuse à cette occasion sa série sur la biodiversité enregistrée avec Hugues Mouret, entomologiste.La biodiversité selon :Le Larousse : "Diversité des organismes vivants, animaux et végétaux, qui peuplent notre planète."Le Robert : "Variété des espèces vivantes (végétales, animales, microbiennes), présentes dans un milieu."Problème : où sont les champignons, les protozoaires, les bactéries et les archées ? Oups.En fait, la biodiversité désigne l'ensemble des êtres vivants mais aussi des milieux et des gènes.______Des 8 à 100 millions d'espèces estimées, seulement 2,2 millions sont connues et décrites. On dénombre, entre autres, dans le monde :6 500 espèces de mammifères, dont ⅔ de rongeurs et de chauves-souris8 000 d'amphibiens, dont 90% de grenouilles11 000 d'oiseaux, dont 60% de passereaux12 000 de reptiles, dont plus de la moitié de lézards35 000 de poissons osseux, et seulement 1 500 de cartilagineux (requins, raies, chimères)52 000 d'araignées, dont 6 700 de saltiques, ces cousines de Lucas the spider qui ne construisent pas de toile et qui sautent sur leur proies (salto !)400 000 de plantes, dont 90% de plantes à fleursEt… 1 million d'insectes ! À eux seuls, les insectes représentent près de la moitiés des espèces vivantes.A l'heure de la 6e extinction de masse, cette biodiversité disparaît à une vitesse inédite, 10 à 1000 fois supérieure à toutes autres crises précédentes.Les 5 causes de la disparition sont :La destruction et l'artificialisation des milieux naturels (35%)La surexploitation des ressources naturelles (25%)Le changement climatique global (20%)La pollution de l'air, de l'eau et du sol (15%)L'introduction d'espèces exotiques envahissantes (5%)Au-delà de ces quelques chiffres. Notre Hugues Mouret, entomologiste et directeur scientifique chez Arthropologia, nous explique le contexte, les définitions des bases, les ordres de grandeurs, toutes les subtilités méconnues mais essentielles liées à la biodiversité._______
Chaque année rien qu'en France :100 000 animaux sont abandonnés2 millions sont utilisés pour l'expérimentation30 à 40 millions sont tués par les chasseurs, pour le plaisir, pas pour survivre1.2 milliards sont élevés et tués dans des conditions indignes, pour être mangés (soit 3,2 millions par jour)Voici une page d'infos hyper claires sur le site de L214. Brigitte Gothière, la cofondatrice et porte-parole de L214 était passée dans BSG :http://bit.ly/L214_BSGNous pouvons chacun être acteur du changement - quoiqu'on en pense - nécessaire (ne serait-ce que pour le climat), inéluctable, mais trop lent.Avec ce livre malin, Yolaine de La Bigne ne cherche pas simplement à éveiller/titiller une énième fois nos consciences endormies, habituées ou lassées par la répétition.Elle donne à chacun.e des clés simples et pratiques pour nous impliquer au quotidien et agir concrètement contre la souffrance animale. Le changement commence par soi. Par moi, par vous, par nous quoi… Attendre que l'autre bouge, ça ne mène pas loin. Les Chiliens le disent ainsi : Del dicho al hecho, hay un largo trecho, "il y a loin de la coupe aux lèvres".Dans le livre de Yolaine, un grand thème de la souffrance animale pour chaque mois de l'année.Dans ce 4e et dernier épisode, le point sur les peaux et fourrures, l'expérimentation et les milliards d'animaux élevés pour être mangés._______Découvrez les autres épisodes avec Yolaine, les 12 Sagesses animales :https://bit.ly/yolaine1_BSGhttps://bit.ly/yolaine2_BSGhttps://bit.ly/yolaine3_BSGhttps://bit.ly/yolaine4_BSG_______
Chaque année rien qu'en France :100 000 animaux sont abandonnés2 millions sont utilisés pour l'expérimentation30 à 40 millions sont tués par les chasseurs, pour le plaisir, pas pour survivre1.2 milliards sont élevés et tués dans des conditions indignes, pour être mangés (soit 3,2 millions par jour)Le changement est - quoiqu'on en pense - nécessaire (ne serait-ce que pour le climat), inéluctable, mais trop lent. Avec ce livre malin, Yolaine de La Bigne donne à chacun.e des clés simples et pratiques pour nous impliquer au quotidien et agir concrètement contre la souffrance animale.Dans ce 3e épisode, le point sur Les animaux abandonnés, ceux exhibés pour frimer et l'animal-gibier._______Découvrez les autres épisodes avec Yolaine, les 12 Sagesses animales :https://bit.ly/yolaine1_BSGhttps://bit.ly/yolaine2_BSGhttps://bit.ly/yolaine3_BSGhttps://bit.ly/yolaine4_BSGSur le rapport homme Nature avec le philosophe Gilles Vervisch :https://bit.ly/homme-nature1_BSGhttps://bit.ly/homme-nature2_BSGhttps://bit.ly/homme-nature3_BSG_______
Chaque année rien qu'en France :100 000 animaux sont abandonnés2 millions sont utilisés pour l'expérimentation30 à 40 millions sont tués par les chasseurs, pour le plaisir, pas pour survivre1.2 milliards sont élevés et tués dans des conditions indignes, pour être mangés (soit 3,2 millions par jour)Le changement est - quoiqu'on en pense - nécessaire (ne serait-ce que pour le climat), inéluctable, mais trop lent.Avec ce livre malin, Yolaine de La Bigne donne à chacun.e des clés simples et pratiques pour nous impliquer au quotidien et agir concrètement contre la souffrance animale.Dans ce 2e épisode, le point sur les animaux-jouets, ceux éradiqués au nom de la propreté, et ceux qui sont envahis par nos modes de vie._______Découvrez les autres épisodes avec Yolaine, les 12 Sagesses animales :https://bit.ly/yolaine1_BSGhttps://bit.ly/yolaine2_BSGhttps://bit.ly/yolaine3_BSGhttps://bit.ly/yolaine4_BSGSur le rapport homme Nature avec le philosophe Gilles Vervisch :https://bit.ly/homme-nature1_BSGhttps://bit.ly/homme-nature2_BSGhttps://bit.ly/homme-nature3_BSG_______
Chaque année rien qu'en France :100 000 animaux sont abandonnés2 millions sont utilisés pour l'expérimentation30 à 40 millions sont tués par les chasseurs, pour le plaisir, pas pour survivre1.2 milliards sont élevés et tués dans des conditions indignes, pour être mangés (soit 3,2 millions par jour)Voici une page d'infos hyper claires sur le site de L214. Brigitte Gothière, la cofondatrice et porte-parole de L214 était passée dans BSG :http://bit.ly/L214_BSGNous pouvons chacun être acteur d'un changement - quoiqu'on en pense - nécessaire (ne serait-ce que pour le climat), inéluctable, mais trop lent.Avec ce livre malin, Yolaine de La Bigne ne cherche pas simplement à éveiller/titiller une énième fois nos consciences endormies, habituées ou lassées par la répétition.Elle donne à chacun.e des clés simples et pratiques pour nous impliquer au quotidien et agir concrètement contre la souffrance animale. Le changement commence par soi. Par moi, par vous, par nous quoi… Attendre que l'autre bouge, ça ne mène pas loin. Les Chiliens le disent ainsi : Del dicho al hecho, hay un largo trecho, "il y a loin de la coupe aux lèvres".Dans le livre de Yolaine, un grand thème de la souffrance animale pour chaque mois de l'année.Dans ce premier épisode, le point sur les animaux qui travaillent pour nous, ceux qu'on (sur)-pêche et ceux dont on pille ou détruit l'habitat._______Découvrez les autres épisodes avec Yolaine, les 12 Sagesses animales :https://bit.ly/yolaine1_BSGhttps://bit.ly/yolaine2_BSGhttps://bit.ly/yolaine3_BSGhttps://bit.ly/yolaine4_BSG_______
Le 22 avril 2025, c'est la Journée mondiale de la Terre… donc aussi du Vivant… donc aussi du Vivant non-humain qui essaie de survivre dans les marges que nous lui laissons ou pas.Début mars 2025, j'étais invité à l'ENVT (l'École Nationale des Vétérinaires de Toulouse) pour animer une table ronde autour du thème de la conservation : in ou ex situ ?En clair, comment protéger, étudier et réintroduire des espèces menacées : dans leur milieu (in situ) ou dans un milieu protégé extérieur à leur biotope naturel (ex situ : zoo, aquarium, élevage, parc …).Quels sont les avantages et les inconvénients, les freins et les leviers de chaque option ?L'ancien directeur du zoo de Mulhouse Brice Lefaux, l'éthologue Fabienne Delfour et la vétérinaire de zoo Sylvie Clavel partagent leurs avis._______
Le 22 avril 2025, c'est la Journée mondiale de la Terre… donc aussi du Vivant… donc aussi du Vivant non-humain qui essaie de survivre dans les marges que nous lui laissons ou pas.Début mars 2025, j'étais invité à l'ENVT (l'École Nationale des Vétérinaires de Toulouse) pour animer une table ronde autour du thème de la conservation : in ou ex situ ?En clair, comment protéger, étudier et réintroduire des espèces menacées : dans leur milieu (in situ) ou dans un milieu protégé extérieur à leur biotope naturel (ex situ : zoo, aquarium, élevage, parc …).Quels sont les avantages et les inconvénients, les freins et les leviers de chaque option ?L'ancien directeur du zoo de Mulhouse Brice Lefaux, l'éthologue Fabienne Delfour et la vétérinaire de zoo Sylvie Clavel partagent leurs avis._______
Le 22 avril 2025, c'est la Journée mondiale de la Terre… donc aussi du Vivant… donc aussi du Vivant non-humain qui essaie de survivre dans les marges que nous lui laissons ou pas.Début mars 2025, j'étais invité à l'ENVT (l'École Nationale des Vétérinaires de Toulouse) pour animer une table ronde autour du thème de la conservation : in ou ex situ ?En clair, comment protéger, étudier et réintroduire des espèces menacées : dans leur milieu (in situ) ou dans un milieu protégé extérieur à leur biotope naturel (ex situ : zoo, aquarium, élevage, parc …).Quels sont les avantages et les inconvénients, les freins et les leviers de chaque option ?L'ancien directeur du zoo de Mulhouse Brice Lefaux, l'éthologue Fabienne Delfour et la vétérinaire de zoo Sylvie Clavel partagent leurs avis._______
Le 22 avril 2025, c'est la Journée mondiale de la Terre… donc aussi du Vivant… donc aussi du Vivant non-humain qui essaie de survivre dans les marges que nous lui laissons ou pas.Début mars 2025, j'étais invité à l'ENVT (l'École Nationale des Vétérinaires de Toulouse) pour animer une table ronde autour du thème de la conservation : in ou ex situ ?En clair, comment protéger, étudier et réintroduire des espèces menacées : dans leur milieu (in situ) ou dans un milieu protégé extérieur à leur biotope naturel (ex situ : zoo, aquarium, élevage, parc …).Quels sont les avantages et les inconvénients, les freins et les leviers de chaque option ?L'ancien directeur du zoo de Mulhouse Brice Lefaux, l'éthologue Fabienne Delfour et la vétérinaire de zoo Sylvie Clavel partagent leurs avis._______
Cette interview de Marine a été enregistrée en décembre 2024 à l'Académie du Climat à Paris. Elle est menée par Loup Espargilière, le cofondateur de Vert le média, dans le cadre d'un "apéro du Club Vert", qui réunit les donateurs réguliers de ce média en ligne.Merci à toute l'équipe de Vert, dont Juliette Quef, la cofondatrice de Vert, et à Arnaud Huck, qui a filmé cette interview, pour l'envoi fichier son.Pour soutenir Vert, c'est par ici._______
Cette interview de Marine a été enregistrée en décembre 2024 à l'Académie du Climat à Paris. Elle est menée par Loup Espargilière, le cofondateur de Vert le média, dans le cadre d'un "apéro du Club Vert", qui réunit les donateurs réguliers de ce média en ligne.Merci à toute l'équipe de Vert, dont Juliette Quef, la cofondatrice de Vert, et à Arnaud Huck, qui a filmé cette interview, pour l'envoi fichier son.Pour soutenir Vert, c'est par ici._______
Cette interview de Marine a été enregistrée en décembre 2024 à l'Académie du Climat à Paris. Elle est menée par Loup Espargilière, le cofondateur de Vert le média, dans le cadre d'un "apéro du Club Vert", qui réunit les donateurs réguliers de ce média en ligne.Merci à toute l'équipe de Vert, dont Juliette Quef, la cofondatrice de Vert, et à Arnaud Huck, qui a filmé cette interview, pour l'envoi fichier son.Pour soutenir Vert, c'est par ici._______
Cette interview de Marine a été enregistrée en décembre 2024 à l'Académie du Climat à Paris. Elle est menée par Loup Espargilière, le cofondateur de Vert le média, dans le cadre d'un "apéro du Club Vert", qui réunit les donateurs réguliers de ce média en ligne.Merci à toute l'équipe de Vert, dont Juliette Quef, la cofondatrice de Vert, et à Arnaud Huck, qui a filmé cette interview, pour l'envoi fichier son.Pour soutenir Vert, c'est par ici._______
À l'occasion de la journée mondiale de l'Art, Combats rediffuse la série avec un ami de la première heure._______Frank Deschandol est photographe naturaliste professionnel.Passionné d'animaux depuis son plus jeune âge, ce Normand débute la photo animalière en 1994 et devient professionnel en 2002.Frank est spécialisé en photo “proxy”, c'est-à-dire la photo en mode rapproché. Les animaux (insectes, reptiles, amphibiens les plus souvent) sont situés à une trentaine de cm de l'objectif, contrairement à la macro qui est encore plus proche. Il recherche les insectes, reptiles et amphibiens les plus spectaculaires au cours d'expéditions aussi difficiles que mémorables. Il les piste depuis les jungles des forêts tropicales d'Asie ou d'Amérique aux déserts d'Afrique, d'Australie et du Moyen Orient.Frank a reçu en 2019 et 2020 plusieurs prix du concours Wildlife Photographer of the Year, à Londres, dans la catégorie invertébrés.Son objectif est de photographier les animaux dans leur milieu naturel, autant que possible sans manipulation ni dérangement, pour documenter un comportement.Des photographes moins scrupuleux manipulent, stressent et n'hésitent pas à faire souffrir les animaux pour faire des photos aussi “waou”, que non naturelles (empilement d'animaux les uns sur les autres, postures humaines infligées à l'animal au prix parfois de la vie de l'animal…_______Pour en savoir plus sur le travail de Frank :www.frank-deschandol.comwww.youtube.com/user/techniquephotonaturewww.facebook.com/frankcanonphotowww.instagram.com/frankcanon_image_inwww.flickr.com/photos/55114263@N00/albums_______
À l'occasion de la journée mondiale de l'Art, Combats rediffuse la série avec un ami de la première heure._______Frank Deschandol est photographe naturaliste professionnel.Passionné d'animaux depuis son plus jeune âge, ce Normand débute la photo animalière en 1994 et devient professionnel en 2002.Frank est spécialisé en photo “proxy”, c'est-à-dire la photo en mode rapproché. Les animaux (insectes, reptiles, amphibiens les plus souvent) sont situés à une trentaine de cm de l'objectif, contrairement à la macro qui est encore plus proche.Il recherche les insectes, reptiles et amphibiens les plus spectaculaires au cours d'expéditions aussi difficiles que mémorables. Il les piste depuis les jungles des forêts tropicales d'Asie ou d'Amérique aux déserts d'Afrique, d'Australie et du Moyen Orient.Frank a reçu en 2019 et 2020 plusieurs prix du concours Wildlife Photographer of the Year, à Londres, dans la catégorie invertébrés.Son objectif est de photographier les animaux dans leur milieu naturel, autant que possible sans manipulation ni dérangement, pour documenter un comportement.Des photographes moins scrupuleux manipulent, stressent et n'hésitent pas à faire souffrir les animaux pour faire des photos aussi “waou”, que non naturelles (empilement d'animaux les uns sur les autres, postures humaines infligées à l'animal au prix parfois de la vie de l'animal…_______Pour en savoir plus sur le travail de Frank :www.frank-deschandol.comwww.youtube.com/user/techniquephotonaturewww.facebook.com/frankcanonphotowww.instagram.com/frankcanon_image_inwww.flickr.com/photos/55114263@N00/albums_______
À l'occasion de la journée mondiale de l'Art, Combats rediffuse la série avec un ami de la première heure._______Frank Deschandol est photographe naturaliste professionnel.Passionné d'animaux depuis son plus jeune âge, ce Normand débute la photo animalière en 1994 et devient professionnel en 2002.Frank est spécialisé en photo “proxy”, c'est-à-dire la photo en mode rapproché. Les animaux (insectes, reptiles, amphibiens les plus souvent) sont situés à une trentaine de cm de l'objectif, contrairement à la macro qui est encore plus proche.Il recherche les insectes, reptiles et amphibiens les plus spectaculaires au cours d'expéditions aussi difficiles que mémorables. Il les piste depuis les jungles des forêts tropicales d'Asie ou d'Amérique aux déserts d'Afrique, d'Australie et du Moyen Orient.Frank a reçu en 2019 et 2020 plusieurs prix du concours Wildlife Photographer of the Year, à Londres, dans la catégorie invertébrés.Son objectif est de photographier les animaux dans leur milieu naturel, autant que possible sans manipulation ni dérangement, pour documenter un comportement.Des photographes moins scrupuleux manipulent, stressent et n'hésitent pas à faire souffrir les animaux pour faire des photos aussi “waou”, que non naturelles (empilement d'animaux les uns sur les autres, postures humaines infligées à l'animal au prix parfois de la vie de l'animal…_______Pour en savoir plus sur le travail de Frank :www.frank-deschandol.comwww.youtube.com/user/techniquephotonaturewww.facebook.com/frankcanonphotowww.instagram.com/frankcanon_image_inwww.flickr.com/photos/55114263@N00/albums_______
À l'occasion de la journée mondiale de l'Art, Combats rediffuse la série avec un ami de la première heure._______Frank Deschandol est photographe naturaliste professionnel.Passionné d'animaux depuis son plus jeune âge, ce Normand débute la photo animalière en 1994 et devient professionnel en 2002.Frank est spécialisé en photo “proxy”, c'est-à-dire la photo en mode rapproché. Les animaux (insectes, reptiles, amphibiens les plus souvent) sont situés à une trentaine de cm de l'objectif, contrairement à la macro qui est encore plus proche.Il recherche les insectes, reptiles et amphibiens les plus spectaculaires au cours d'expéditions aussi difficiles que mémorables. Il les piste depuis les jungles des forêts tropicales d'Asie ou d'Amérique aux déserts d'Afrique, d'Australie et du Moyen Orient.Frank a reçu en 2019 et 2020 plusieurs prix du concours Wildlife Photographer of the Year, à Londres, dans la catégorie invertébrés.Son objectif est de photographier les animaux dans leur milieu naturel, autant que possible sans manipulation ni dérangement, pour documenter un comportement.Des photographes moins scrupuleux manipulent, stressent et n'hésitent pas à faire souffrir les animaux pour faire des photos aussi “waou”, que non naturelles (empilement d'animaux les uns sur les autres, postures humaines infligées à l'animal au prix parfois de la vie de l'animal…Pour en savoir plus sur le travail de Frank :www.frank-deschandol.comwww.youtube.com/user/techniquephotonaturewww.facebook.com/frankcanonphotowww.instagram.com/frankcanon_image_inwww.flickr.com/photos/55114263@N00/albums_______
Les 30 et 31 mars 2025, Emmanuel Macron organise un sommet dédié à la santé des océans, avec des personnalités comme Harrison Ford, des scientifiques, des décideurs politiques et des philanthropes.La France dispose de la 2ᵉ zone économique exclusive (ZEE) du monde après les États-Unis. La ZEE française couvre 11 millions de km².Mais oups ! Moins de 1,6% sont interdites de pêche, au lieu des 30% visés par les COP depuis 30 ans.So what's up Emmanuel ?_______Après son passage dans BSG, Maxime Thuillez, notre poto du GREENLETTER CLUB, revient nous donner des clés de compréhension et le contexte sur 3 enjeux incontournables liés au Vivant :La viandeLa (sur)pêcheLes zoosPour retrouver ses précédents épisodes dans BSG, il suffit de taper "Thuillez + baleine" dans vos applis d'écoute (thème recherché + baleine)._______Voici le manifeste du Greenletter Club, avec lequel BSG est en phase et en amitié : "Non, l'écologie n'est pas un sujet comme un autre. Ce n'est pas une idéologie. Et non, les médias n'en parlent pas assez. Parce que le changement climatique va tout changer : les pluies, les vents, les températures. Mais aussi la mode, l'agriculture, les transports et même la guerre."Avec ses invités, Maxime aborde les grandes questions, complexes, et propose factuellement des infos et une grille d'analyse détaillée, pour que chacun puisse se faire sa propre idée.À quoi ressemblera la France en 2050 ? Et le monde ?Doit-on arrêter de prendre l'avion, ou en tous cas nous restreindre ?Y aura-t-il des guerres de l'eau ?Quid de l'extraction de métaux, de pétrole ?_______
Les 30 et 31 mars 2025, Emmanuel Macron organise un sommet dédié à la santé des océans, avec des personnalités comme Harrison Ford, des scientifiques, des décideurs politiques et des philanthropes.La France dispose de la 2ᵉ zone économique exclusive (ZEE) du monde après les États-Unis. La ZEE française couvre 11 millions de km².Mais oups ! Moins de 1,6% sont interdites de pêche, au lieu des 30% visés par les COP depuis 30 ans.So what's up Emmanuel ?_______Après son passage dans BSG, Maxime Thuillez, notre poto du GREENLETTER CLUB, revient nous donner des clés de compréhension et le contexte sur 3 enjeux incontournables liés au Vivant :La viandeLa (sur)pêcheLes zoos_______Maxime Thuillez est l'hôte et le créateur du Greenletter Club. J'avais rencontré Maxime à l'occasion d'un Congrès sur la biodiversité de l'UICN à Marseille, en 2021. Depuis, nous sommes amis et travaillons souvent ensemble.Avec ses invités, Maxime aborde les grandes questions, complexes, et propose des infos et une grille d'analyse détaillée, pour que chacun.e puisse se faire sa propre idée.À quoi ressemblera la France en 2050 ? Et le monde ?Doit-on arrêter de prendre l'avion, ou en tous cas nous restreindre ?Y aura-t-il des guerres de l'eau ?Quid de l'extraction de métaux, de pétrole ?_______
Les 30 et 31 mars 2025, Emmanuel Macron organise un sommet dédié à la santé des océans, avec des personnalités comme Harrison Ford, des scientifiques, des décideurs politiques et des philanthropes.La France dispose de la 2ᵉ zone économique exclusive (ZEE) du monde après les États-Unis. La ZEE française couvre 11 millions de km².Mais oups ! Moins de 1,6% sont interdites de pêche, au lieu des 30% visés par les COP depuis 30 ans.So what's up Emmanuel ?_______Après son passage dans BSG, Maxime Thuillez, notre poto du GREENLETTER CLUB, revient nous donner des clés de compréhension et le contexte sur 3 enjeux incontournables liés au Vivant :La viandeLa (sur)pêcheLes zoos_______Voici le manifeste du Greenletter Club, avec lequel BSG est en phase et en amitié : "Non, l'écologie n'est pas un sujet comme un autre. Ce n'est pas une idéologie. Et non, les médias n'en parlent pas assez. Parce que le changement climatique va tout changer : les pluies, les vents, les températures. Mais aussi la mode, l'agriculture, les transports et même la guerre."Avec ses invités, Maxime aborde les grandes questions, complexes, et propose factuellement des infos et une grille d'analyse détaillée, pour que chacun puisse se faire sa propre idée.À quoi ressemblera la France en 2050 ? Et le monde ?Doit-on arrêter de prendre l'avion, ou en tous cas nous restreindre ?Y aura-t-il des guerres de l'eau ?Quid de l'extraction de métaux, de pétrole ?_______
Focus sur les requins dans cet épisode. Qui sont-ils? Pourquoi et comment disparaissent-ils à la vitesse grand V. Dans 10 à 20 ans, si rien n'est fait, un tiers des espèces pourraient disparaître à jamais !Le requin Peau bleue (Prionace glauca) est l'un des derniers grands requins de Méditerranée. Lui aussi est en danger critique d'extinction selon l'UICN. Sa population décline à cause de la surpêche (ses proies se raréfient). Ils sont aussi souvent pris dans les filets industriels (prises accessoires).Incroyablement, cette merveille du monde animal, comme les autres espèces de requins et de raies, n'est pourtant pas protégée, ni en France, ni ailleurs dans le monde.Curieux et opportuniste, il se nourrit de petits poissons et de mollusques, et ne représente pas un danger pour l'homme. Il régule les populations de poissons et participe ainsi au maintien de l'équilibre des écosystèmes.Ailerons a lancé en 2009 le projet Grand Large pour étudier la génétique des populations de requins bleus de Méditerranée. Il fait principalement appel aux pêcheurs plaisanciers no kill, qui libèrent leur prise à l'issue de leur partie de pêche plaisir.Travailler avec les autres usagers de la mer (plaisanciers, pêcheurs, plongeurs …), chercher le dialogue plutôt que fustiger et dénoncer, la patiente stratégie d'Ailerons est encourageante.Pour en savoir plus :https://www.asso-ailerons.fr/nos-projets/grand-large/_______
En 50 ans, les populations de requins et de raies océaniques ont décliné de 70 %. À ce rythme, la plupart des espèces pourraient s'éteindre d'ici 10 à 20 ans.Que pouvons-nous faire, chacun à notre échelle pour enrayer ce massacre silencieux, perpétré dans l'indifférence?Pour en savoir plus :https://www.asso-ailerons.fr/agir-a-son-echelle/_______ Pour devenir incollable sur toutes les créatures marines, abonnez-vous à Petit Poisson deviendra Podcast (PPDP), le petit frangin hebdo de BSG (un épisode de 5 mins chaque semaine) :https://bit.ly/smartlink_PPDP_______
Dans cet épisode, notre invité Matthieu Lapinski, le président d'Ailerons, resserre la focale sur les raies en général et les espèces méditerranéennes.Ailerons a lancé en 2010 le projet Diable de mer. Cette opération, basée sur les sciences participatives, vise à recenser les observations du Diable de mer méditerranéen (Mobula mobular), la cousine méditerranéenne des Raies Manta. Tous les usagers de la mer sont concernés (pêcheurs, plaisanciers, plongeurs, apnéistes etc.).La Mobula, une espèce endémique grégaire vivant en groupe de plusieurs dizaines d'individus. Selon l'UICN, elle est en danger d'extinction.Depuis 2019, un regroupement estival unique de diables de mer (une centaine d'individus) a été repéré au large des eaux corses.Le projet vise à prendre la mer, à la rencontre de ce groupe de diables de mer pour l'étudier, à poser des balises sur des individus pour comprendre ses déplacements. Le but est d'améliorer les connaissances pour mieux protéger l'espèce.Pour en savoir plus sur l'opération Diable de mer, d'Ailerons :https://www.asso-ailerons.fr/nos-projets/diable_de_mer_mediterraneen/_______ Pour réécouter les épisodes Manta de Baleine sous Gravillon :https://bit.ly/raie-manta2_BSGhttps://bit.ly/raie-manta1_BSG_______
En 50 ans, les populations de requins et de raies océaniques ont décliné de 70 %. À ce rythme, la plupart des espèces pourraient s'éteindre d'ici 10 à 20 ans.Selon les chercheurs, la population mondiale du Requin longimane par exemple, une espèce commune dans les années 1970, a décliné de 98 % au cours des 60 dernières années.Ces grands prédateurs jouent un rôle essentiel dans la chaîne alimentaire, en régulant notamment les populations des “mésoprédateurs”, précisément les concurrents des pêcheurs …Dans ce premier épisode, nous détaillons les menaces qui pèsent sur les élasmobranches (requins et raies).Nous recevons Matthieu Lapinski, le président de l'association Ailerons, créée en mai 2006 à Montpellier (Hérault, France). Ailerons a pour but d'étudier, de protéger et de sensibiliser sur les requins et les raies en Méditerranée. Des scientifiques et d'autres volontaires rencontrent les usagers de la mer (pêcheurs, plaisanciers, chasseurs sous-marins…) pour expliquer, et inciter, en toute bienveillance à protéger les derniers seigneurs des océans._______
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage, le 3 mars, BSG rediffuse cette série avec Philippe Grandcolas. Philippe Grandcolas est biologiste, et l'auteur du “Sourire du pangolin” (CNRS Éditions / oct 2021), un ouvrage dans lequel il nous invite à méditer sur notre rapport au Vivant. Dans ce dernier épisode, nous évoquons en souriant les titres des grands livres de biologie qui ont inspiré Philippe.. et nous aussi ! Ces titres avec des noms d'animaux qui ressemblent étrangement au sien, “Le sourire du pangolin” et au nôtre, “Baleine sous Gravillon”. Il y a le célèbre “Pouce du panda” de Stephen Jay Gould, “Le sourire du Flamant rose” aussi. il y aussi le “Cygne noir” de Nassim Taleb qui a été repris par les auteurs du podcast et chaîne YouTube Thinkerview, proche de BSG. Vous vous souvenez sans doute des titres de Katherine Pancol : “Les Yeux jaunes des crocodiles”, “Les Écureuils de Central Park sont tristes le lundi” et “La Valse lente des tortues”. Ils creusent aussi le filon. Les animaux sont aussi des stars des titres de romans ou de films au passage : La Mouche, Le Lion, Vipère au poing, Le Zèbre, Le Guépard, Le Chat, Le Loup des steppes, La Jument verte … Par ailleurs, qu'est-ce qu'un bon titre? En journalisme et en général? vous êtes vous déjà posé la question? À part le fait d'être un bon résumé du propos, court, concernant, original et émoustillant, quel supplément d'âme pour nous titiller, nous surprendre, donc nous prendre et nous plaire au final?_______
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage, le 3 mars, BSG rediffuse cette série avec Philippe Grandcolas. Philippe Grandcolas est biologiste, et l'auteur du “Sourire du pangolin” (CNRS Éditions / oct 2021), un ouvrage dans lequel il nous invite à méditer sur notre rapport au Vivant.L'étymologie du mot nature signifie “ce qui est à naître”. Une jolie origine mais un terme aujourd'hui clivant. Nous ne l'employons plus à Baleine sous Gravillon par exemple. Car parler de Nature, c'est sous-entendre plus ou moins consciemment que l'Homme n'en fait pas partie.“Se rendre comme maîtres et possesseurs de la nature” écrivait Descartes, dans son "Discours de la méthode", en 1637. Aujourd'hui, ces mots résonnent comme un projet anti-écologique. Ils préfigurent aussi la démesure moderne. Aujourd'hui, le mot “nature" rassemble Vivant, minéral et paysage. Par exemple, dire que l'on va se promener dans la nature décrit un mélange de paysage, de faune et de flore. On a pu lire ou entendre que la nature se vengeait avec la Covid-19. Ce qui est bien sûr faux et naïf, en tout cas pour les chercheurs. Il n'y a bien sûr pas de volonté à l'œuvre. La personnifier ainsi nous met en danger de lui prêter des intentions, alors qu'elle évolue au hasard. Nous ferions mieux de réfléchir collectivement et individuellement sur les mauvais traitements à l'origine des dérèglements qui nous retombent dessus, faféfur. Nous devons les identifier et les faire cesser._______ _______
A l'occasion de la Journée Mondiale de la Vie Sauvage, le 3 mars, BSG rediffuse cette série avec Philippe Grandcolas. Philippe Grandcolas est biologiste, et l'auteur du “Sourire du pangolin” (CNRS Éditions / oct 2021), un ouvrage dans lequel il nous invite à méditer sur notre rapport au Vivant.Les sciences du vivant ont apporté quantité de connaissances extraordinaires grâce à l'étude de quelques organismes en laboratoire. Ce sont les “organismes modèles”, censés représenter l'ensemble du vivant. Ceux qui permettent de comprendre des lois générales de l'hérédité, du fonctionnement des organismes. Environ 1000 espèces sont de tels modèles :Pour les vers, le favori des généticiens est Caenorhabditis elegans. Ce petit ver transparent d'1 mm, est un nématode mangeur de bactéries du sol. Il vit 20 jours, peut se reproduire 3 jours après son éclosion. Son corps comporte un nombre fixe de cellules, environ 1000. C'est le premier animal dont le génome a été entièrement séquencé en 1998.Pour les insectes, la superstar des labos est la Drosophile (Mouche du vinaigre) représentant les insectes.Pour les plantes, c'est l'Arabette des dames (une petite plante de la famille des Brassicacées, comme le Chou etc …).Le Poisson-zèbre et ses embryons transparents sont les favoris chez les poissons.Et vous connaissez tous Madame Souris blanche chez les mammifères.1000 espèces modèles seulement parmi plus de 2 millions d'espèces connues, c'est à la fois beaucoup et très peu. Beaucoup pour comprendre en profondeur les mécanismes généraux du Vivant et les transposer à l'espèce humaine. Trop peu pour gérer l'environnement et vivre en harmonie avec la nature. Que savons-nous des autres espèces au final, de toutes ces baleines sous les gravillons ?_______