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Nicolas Mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur du livre "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (Humensciences). Dans cet épisode, il est question de la Hyène et de son rire qui n'en est pas un. Nicolas passe en revue les différents cris d'alarme des singes Vervet, qui donnent lieu à des réactions adaptées en fonction de l'agresseur. Nous écouterons monsieur et madame Fou aux pieds bleus, de grands danseurs que Nicolas a croisé au Mexique et moi aux Galápagos. _______
Nicolas Matheson est biologiste, spécialiste du comportement animal, et bioacousticien. Il est professeur à l'université de Saint-Étienne, et explorateur pour la National Geographic Society. Il a publié en janvier 2021 "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (Humensciences). Des forêts tropicales aux océans, de la savane africaine aux déserts glacées de l'Arctique et de l'Antarctique, des larmes de Crocodiles aux joutes sonores des oiseaux, Nicolas nous dévoile la diversité des vocalisations animales. Ces langages leur permettent d'exprimer leurs émotions, de choisir un partenaire, d'alerter le groupe en cas d'attaque, de savoir qui domine et qui se soumet, de marquer son territoire, d'appeler à l'aide... Pour écouter ou partager tous les liens de cette série : https://bit.ly/bioac_1_son_fonda_BSG https://bit.ly/bioac_2_manchot_BSG https://bit.ly/bioac_3_baleine_BSG https://bit.ly/bioac_4_koala_BSG https://bit.ly/bioac_5_pinson_BSG https://bit.ly/bioac_6_babouin_BSG https://bit.ly/bioac_7_hyene_BSG https://bit.ly/bioac_8_prejuges_BSG _______
Nicolas mathevon est bioacousticien. Il est l'auteur de "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (Humensciences). Dans cet épisode, nous allons parler du tambourinage du Pic, si intéressant car il est l'exemple-type du recyclage de beaucoup de comportements dans le monde animal. C'est la notion fondamentale d'exaptation en biologie. Nous parlerons aussi des cris du Piranha et des Cichlidés, ces poissons qui font la joie des aquariophiles, de ceux de l'Astyanax ce poisson aveugle des cavernes mexicaines, qui comporte aussi en espèce dotée d'yeux. Et enfin du très grand classique Pinson de Darwin qui est d'autant moins bon chanteur que son bec est gros. Les grandes gueules ou plutôt les gros becs n'ont pas la cote en la matière apparemment. Tous les liens de cette série : https://bit.ly/bioac_1_son_fonda_BSG https://bit.ly/bioac_2_manchot_BSG https://bit.ly/bioac_3_baleine_BSG https://bit.ly/bioac_4_koala_BSG https://bit.ly/bioac_5_pinson_BSG https://bit.ly/bioac_6_babouin_BSG https://bit.ly/bioac_7_hyene_BSG https://bit.ly/bioac_8_prejuges_BSG _______
Nicolas Mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (Humensciences). Dans cet épisode, Nicolas raconte les virtuoses du chant chez les oiseaux : le Rossignol, qui a un répertoire de plus de 100 chants différents, contrairement au Mandarin diamant qui n'en a qu'un seul. Le record de la variété du répertoire appartiendrait au Moqueur qui peut aligner environ 1000 chants différents, qui dit mieux ? Vous découvrirez la coquinerie des femelles Mésanges, qui sont très attentives aux vocalises des mâles. Vous verrez que beaucoup de papas Mésanges nourrissent des oisillons qui ne sont pas les leurs. Il est aussi question des rixes entre mâles Babouins, des cris d'alerte du Langur, un Singe d'Asie, du Cordonbleu qui fait des claquettes en plus de son chant, et de l'incroyable génie des oiseaux imitateurs, comme les Perroquets et le si rusé Drongo africain. _______
Nicolas Mathevon est bioacousticien. Il est l'auteur du livre "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (Humensciences). Dans cet épisode, nous parlons du chant des Baleines, des Dauphins, des Orques et d'autres cétacés. À propos de cétacés, ne ratez pas le début de notre saga Cétacés : https://bit.ly/cetaces1_BSG https://bit.ly/cetaces2_BSG https://bit.ly/cetaces3_BSG https://bit.ly/cetaces4_BSG https://bit.ly/cetaces5_BSG https://bit.ly/cetaces6_BSG Nicolas explique comment le son voyage 5 fois plus vite dans l'eau que dans l'air. Les baleine s'écoutent par exemple à des milliers de km à la ronde… Le Cachalot détient le record en matière de puissance de son émise. Nous écouterons le cri du mastodonte des pinnipèdes : l'Éléphant de mer, un sacré baryton des plages. _______
Nicolas Mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (Humensciences). Dans cet épisode, rendez-vous avec les Jacarés, ces Caïmans sud-américains. Maman Crocodile sait faire la différence entre les larmes de Crocodile et de simples cris de contact. Nous allons aussi parler des otolithes des poissons qui leur permettent d'entendre sous l'eau. Car oui les poissons sont bavards ! Vous allez découvrir leurs nombreux cris. Au programme également, le Cerf et le Koala, deux crooners très particuliers... Tous les liens de cette série : https://bit.ly/bioac_1_son_fonda_BSG https://bit.ly/bioac_2_manchot_BSG https://bit.ly/bioac_3_baleine_BSG https://bit.ly/bioac_4_koala_BSG https://bit.ly/bioac_5_pinson_BSG https://bit.ly/bioac_6_babouin_BSG https://bit.ly/bioac_7_hyene_BSG https://bit.ly/bioac_8_prejuges_BSG _______
Nicolas Mathevon est biologiste, spécialiste du comportement animal, et bioacousticien. Il a publié en janvier 2021 "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (Humensciences). Du Brésil à la mer du Nord, de la jungle amazonienne aux étendues glacées de l'Arctique, des pleurs des petits Crocodiles aux joutes sonores des Éléphants de mer, Nicolas nous dévoile la diversité des vocalisations animales. Ces langages leur permettent d'exprimer leurs émotions, de choisir un partenaire, d'alerte le groupe en cas d'attaque, de savoir qui domine et qui se soumet, de marquer son territoire, d'appeler à l'aide... Dans ce premier épisode, nous présentons cette discipline foisonnante et les bases du son, pour mieux comprendre le concert du vivant. Tous les liens de cette série : https://bit.ly/bioac_1_son_fonda_BSG https://bit.ly/bioac_2_manchot_BSG https://bit.ly/bioac_3_baleine_BSG https://bit.ly/bioac_4_koala_BSG https://bit.ly/bioac_5_pinson_BSG https://bit.ly/bioac_6_babouin_BSG https://bit.ly/bioac_7_hyene_BSG https://bit.ly/bioac_8_prejuges_BSG _______
Nicolas Matheson est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent : Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous allons parler d'un petit oiseau de la Mata Atlantica, de la forêt du brésil, la Paruline à sourcil blanc. Nous verrons aussi comment les parents Manchots reconnaissent leur petit dans la cacophonie, et plus généralement comment font tous les oiseaux vivant en colonies. Nous parlerons aussi des cris de quémande des chouettons de l'Effraie des clochers. Nous entendrons aussi le morse, la baryton de cet épisode. Car dans tous ces épisodes vous allez entendre des sons d'animaux, autant que possible. _______
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Voici mon 248e podcast ! Thème : Sachons ce que nous voulons faire de notre vie... De nos projets, de nos rêves. Si nous ne laissons pas nos doutes et nos peurs derrière nous, viendra un moment, où nos peurs nous feront douter de nous-même. D'un côté, le doute est bien : il nous permet de nous remettre en question. Il devient juste pernicieux quand il nous paralyse. Il en est de même pour la peur... La peur ruine de nombreux projets et nous maintient bien souvent dans l'inaction : Osons agir malgré la peur. Car, la peur n'est autre qu'un rideau qui nous empêche de voir ce qui est beau une fois sur scène. Tirons alors ce rideau, et prenons pleinement notre place sur scène. L'ACTEUR DE NOTRE VIE, C'EST NOUS ! Faisons ce que nous avons à faire... C'est NOTRE moment. Et, quelqu'un dans le monde attend ce que nous avons à lui proposer : NOUS SOMMES UNE RÉPONSE AUX SOUPIRS DE QUELQU'UN, ICI-BAS. Nathy LaBell, Infos : nathy.labell@gmail.com
L'intime qui chemine, le chemin cheminé. Rencontre avec soi-même et les autres, sur le chemin de Saint Jacques. À Charlotte qui me botte et Julie que j'allie, à Léa « jacta est » et belle sans conteste, que j'ai placées en muses de ma cornemuse, vous m'inspirez ces signes que je vous livre en lignes. C'est à vous trois, mes chères, et aussi à mon frère que j'écris ce poème, parce que je vous aime. Et je vous sais sensibles à trouver comme audible : « C'est bien, mais pas si bien », « C'est mal et pas si mal ». Car au fond, s'il devait s'écrire une morale, du profond, je ne vais pas la dire du mental. Dans mon cœur vibre libre une vive membrane qui parle du sensible que ne connaît mon crâne. De cela, dans les faits, retenons l'ouverture que c'est de l'impensé que me vient l'écriture. Sachons avoir envie d'en recevoir l'augure pour offrir à nos vies de faire bonne figure. Le voici ce poème. Il vient de ma bohème. Je le dis par le « je », mais je pense tant à vous qu'en le mettant en jeu, je l'imagine en « nous ». Partageons, s'il vous plaît, dites ce qu'il vous amène à sentir, sans délai, du dedans de vous-mêmes. « J'ai quitté le courant d'un ruisseau turbulent, tout remis en balance pour gagner du silence, pénétré dans le temps, immobile au-dedans pour écouter comment parlait mon cœur d'enfant. Oui, j'avais tant besoin, pour aller vers demain de secouer l'univers à pousser mes frontières, d'écouler mes rivières pour dévoiler ma terre, me frotter à mes frères en toisant le Mystère. Avec mon compagnon, de Conques nous marchions, en poursuivant gaiement nos ombres de géants. Via Rocamadour aux coquets alentours, quelques beaux jours encore pour finir à Cahors. J'ai fait des kilomètres sur des sentiers champêtres, gravi des raidillons, descendu des vallons, visité des chapelles, arboré des sanctuaires, en choisissant les aires où prier de plus belle, et peu à peu me mettre à voir que tout mon être, s'accordait, place nette, à vivre et à renaître. Julie nous a touchés de son cas de chaussures qui n'a rien entaché de sa belle posture. Du corps et de l'esprit, peu à peu j'ai compris l'alliance et l'alchimie qui les rendaient amis. J'ai éteint la radio, celle qui portait si haut toutes ces météos loin de mes idéaux. Car l'ego que j'abrite, qui de rancœur milite à coups de dynamite contre tout, sans limite, ce tas d'idées, en fait, qui n'est pas à la fête, je voudrais qu'il arrête de m'abrutir la tête. Un matin, le chemin lui a repris la main, car ce pauvre malin était bien incertain. Au moment de choisir entre aller ou faillir, il a bien dû admettre qu'il n'était pas le maître. Sur un petit muret, en pansant mes orteils d'une douleur sans pareil, j'ai parlé à mon corps lui ai confié le sort, lâchant toute exigence, lui faisant allégeance, car c'est lui qui savait. En le remerciant, je me disais confiant, que de sa progression je prenais la leçon, et c'est reconnaissant de son dépassement, qu'enfin à lui vraiment j'entrais en relation. Après cet entremet, où j'étais estropié, je tais à tout jamais « Être bête comme ses pieds ». Connaissez-vous comment les galets les plus doux ont le cœur assez pur ? C'est parce qu'ils ont vraiment, pu résister à tout, de leurs noyaux si durs. Les doux n'étaient pas mous. Les autres se sont dissous. L'Amour qui mène la danse se retient en silence car, s'il est oublié, il se sait en dernier demeurer le premier. Il reconnaît aussi que sa suprématie n'a de sens que si-il est, de cœur, choisi. Le jour de mon supplice, je n'ai pas oublié, Charlotte m'a doublé. Je l'ai interpellée pour une polaire trouvée qu'elle a su décliner. Elle offrait des saucisses, le soir à la veillée. Du bazar du village nous avons transporté Léa en arrivage, au camp de la nuitée. Le lendemain, en somme, toute une chaîne humaine cherchait le téléphone de Léa en déveine. (...) --- Texte déposé ©Renaud Soubise Musique : ©Paul Baraka - Le Chemin de Compostelle (Way of Saint James)
En nouvelle diffusion: Rencontre avec Nicolas Mathevon, un spécialiste du comportement animal Tous les vendredis, "CQFD" reçoit un homme ou une femme de science pour parler de son travail et de ses recherches. En mars 2021, Sarah Dirren invitait le biologiste Nicolas Mathevon, professeur à lʹUniversité de Saint-Etienne, fondateur de lʹEquipe de Neuro-Ethologie Sensorielle et auteur de l'ouvrage "Les animaux parlent, Sachons les écouter". Une heure pour faire connaissance avec ce spécialiste du comportement animal et s'intéresser à la bioacoustique, une jeune science qui permet de comprendre une espèce sans perturber son écosystème. Le comment du pourquoi: une mort d'étoile Bastien Confino décrit un type de mort possible pour les étoiles massives: l'étoile à neutron. Après effondrement, la densité des étoiles dans cet état est phénoménale puisque la contenance d'une cuillère à café de cette matière pèse 100 millions de tonnes!
Pour l'Orient la maladie témoigne d'un obstacle à la réalisation d'un Chemin de Vie. C'est en quelque sorte la conscience qui exprime via des troubles énergétiques générateurs de maladies, les freins à son plein épanouissement. C'est pourquoi il est fondamental de comprendre les mécanismes psycho-énergétiques qui sous-tendent la maladie afin de retrouver l'état de santé. […]
Mission encre noire Tome 32 Chapitre 370. Les racistes n'ont jamais vu la mer par Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban, paru en 2021 aux éditions Mémoire d'encrier. Yara El Ghadban et Rodney Saint-Éloi nous invitent ici à dialoguer. Les deux écrivain.e.s se livrent à vous, sous la forme d'un échange épistolaire, riche et bienveillant. À partir de leur propres expériences et de leurs souvenirs, chacun.e tente de répondre à la question du racisme. Librement l'une et l'autre nous régalent de mots, d'idées, de poésie et d'anecdotes, qui malgré le sujet vous feront voyager. L'urgence est de se raconter pour que les villes s'enrichissent d'une mémoire collective inclusive et rassembleuse.Comme il est écrit ici: peut-être qu'il est temps pour les blancs d'écouter, et que le moyen le plus sûr est de partager ces récits qu'on ne raconte pas. Poussons-nous sous l'arbre à palabres, ce soir, aux côtés de mes invités, Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi sont à Mission encre noire. Extrait:« Les femmes ont tant subi la violence de la langue qu'elles ont développé leur propre vocabulaire. Elles nous ont donné le mot mansplaining pour dire la tendance des hommes à vouloir expliquer les choses aux femmes, comme on le fait aux enfants. Il y a aussi le whitesplaining, ces conversations entre blancs et non blancs, où chacun doit respecter son rôle. Par la couleur de notre peau, par nos accents et nos histoires, nous sommes les pauvres, les malavisés, les confus. Nous sommes le fardeau des blancs et leur responsabilité de maîtres du monde. C'est aux blancs de nous guider vers la lumière, de nous apprendre les règles de la grammaire, nous montrer ce que c'est une vraie maison d'édition et ce que c'est un vrai éditeur. Il n'est pas Noir, et il ne parle pas créole. S'il fallait ajouter à cela une éditrice arabe qui écrit dans sa troisième langue, eh bien, c'est la recette pour un désastre ! J'aime cette confusion Rodney. J'aime les sourires condescendants quand tu insères le mot révolution dans tes phrases. Le subtil, «il n'est pas sérieux» ou«laissons-les à leur délusions, ces Noirs et ces Arabes».» Nous sommes un continent, correspondance Mestiza par Nicholas Dawson et Karine Rosso paru en 2021 aux éditions Triptyque dans la collection Difforme. Osons danser sur this bridge call home. Sachons prêter l'oreille à cette conversation passionnante qui vous demandera sans doute de ralentir un peu, pour mieux ressentir l'écho d'une voix unique, celle de Gloria Anzualda. À partir de ses réflexions, Karine Rosso et Nicholas Dawson reprennent un échange épistolaire amorcé avec l'ouvrage Se faire éclatée, expériences marginales et écriture de soi qui s'achevait précisément sur une citation de la langue enflammée de Gloria Anzaldua. Cette nouvelle rencontre est une invite à reprendre leur dialogue autour de l'œuvre de l'autrice d'origine texane décédée le 15 mai 2004 à Santa Cruz. Ce livre, c'est aussi l'histoire d'une amitié, l'une et l'autre nous offrent une traversée intime des continents pour «décentrer la parole blanche, unilingue et consensuelle qui domine les médias et la culture» comme le souligne Pierre-Luc Landry en préface. Nous sommes un continent appelle à un changement du monde et à ses façons de penser. Ce livre tisse des liens et il existe précisément pour vous permettre de ne pas rester sur le seuil des mutations économiques et sociales à venir. Je vous invite à découvrir cet espaces de tous les possibles, là où se cotoît toutes les marginalités: la frontière, en compagnie de Nicholas Dawson et Karine Rosso, ce soir, à Mission encre noire. Extrait:« Buenos Aires (Argentine), 18 janvier 2019. Cher Nicolas, C'est la première fois que je t'écris à la main. Je suis toujours à Buenos Aires, dans un café situé en face d'une gare de banlieue. Je fume sur la terrasse en regardant les couples, les ami.e.s et les familles nombreuses aux tables voisines. La musique qui me parvient de l'intérieur du café (Amy Winehouse, Dirty Dancing) me rappelle ce que tu m'as écrit dans anti-gringo qu'on pourrait le croire. Contrairement à toi, je n'ai toutefois pas été en contact avec les milieux universitaires. Ici, mes ami.e.s et ma belle famille se déplacent en circulos militantes ou dans des espaces culturels alternatifs. Il est vrai que celleux qui ont été à l'université citent parfois Bourdieu, Lacan ou Chomsky, mais depuis que je suis ici, j'entends davantage parler del FIT (Frente de izquierda de los trabajadores) et du mouvement pour la légalisation de l'avortement. Cette année, des centaines de milliers d'Argentines sont descendues dans la rue pour défendre le droit d'avorter sans avoir à risquer leur vie. Munies d'un foulard vert, elles ont défilé jour et nuit devant le congrès. (Je m'interromps pour évoquer la femme et ses trois enfants qui passent en ce moment aux tables pour demander de la monnaie. Il y a dix minutes, j'ai acheté trois paires de bas pour 100 pesos à un jeune homme qui me disait «por favor señorita, ayudame»).»
Mission encre noire Tome 32 Chapitre 370. Les racistes n'ont jamais vu la mer par Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban, paru en 2021 aux éditions Mémoire d'encrier. Yara El Ghadban et Rodney Saint-Éloi nous invitent ici à dialoguer. Les deux écrivain.e.s se livrent à vous, sous la forme d'un échange épistolaire, riche et bienveillant. À partir de leur propres expériences et de leurs souvenirs, chacun.e tente de répondre à la question du racisme. Librement l'une et l'autre nous régalent de mots, d'idées, de poésie et d'anecdotes, qui malgré le sujet vous feront voyager. L'urgence est de se raconter pour que les villes s'enrichissent d'une mémoire collective inclusive et rassembleuse.Comme il est écrit ici: peut-être qu'il est temps pour les blancs d'écouter, et que le moyen le plus sûr est de partager ces récits qu'on ne raconte pas. Poussons-nous sous l'arbre à palabres, ce soir, aux côtés de mes invités, Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi sont à Mission encre noire. Extrait:« Les femmes ont tant subi la violence de la langue qu'elles ont développé leur propre vocabulaire. Elles nous ont donné le mot mansplaining pour dire la tendance des hommes à vouloir expliquer les choses aux femmes, comme on le fait aux enfants. Il y a aussi le whitesplaining, ces conversations entre blancs et non blancs, où chacun doit respecter son rôle. Par la couleur de notre peau, par nos accents et nos histoires, nous sommes les pauvres, les malavisés, les confus. Nous sommes le fardeau des blancs et leur responsabilité de maîtres du monde. C'est aux blancs de nous guider vers la lumière, de nous apprendre les règles de la grammaire, nous montrer ce que c'est une vraie maison d'édition et ce que c'est un vrai éditeur. Il n'est pas Noir, et il ne parle pas créole. S'il fallait ajouter à cela une éditrice arabe qui écrit dans sa troisième langue, eh bien, c'est la recette pour un désastre ! J'aime cette confusion Rodney. J'aime les sourires condescendants quand tu insères le mot révolution dans tes phrases. Le subtil, «il n'est pas sérieux» ou«laissons-les à leur délusions, ces Noirs et ces Arabes».» Nous sommes un continent, correspondance Mestiza par Nicholas Dawson et Karine Rosso paru en 2021 aux éditions Triptyque dans la collection Difforme. Osons danser sur this bridge call home. Sachons prêter l'oreille à cette conversation passionnante qui vous demandera sans doute de ralentir un peu, pour mieux ressentir l'écho d'une voix unique, celle de Gloria Anzualda. À partir de ses réflexions, Karine Rosso et Nicholas Dawson reprennent un échange épistolaire amorcé avec l'ouvrage Se faire éclatée, expériences marginales et écriture de soi qui s'achevait précisément sur une citation de la langue enflammée de Gloria Anzaldua. Cette nouvelle rencontre est une invite à reprendre leur dialogue autour de l'œuvre de l'autrice d'origine texane décédée le 15 mai 2004 à Santa Cruz. Ce livre, c'est aussi l'histoire d'une amitié, l'une et l'autre nous offrent une traversée intime des continents pour «décentrer la parole blanche, unilingue et consensuelle qui domine les médias et la culture» comme le souligne Pierre-Luc Landry en préface. Nous sommes un continent appelle à un changement du monde et à ses façons de penser. Ce livre tisse des liens et il existe précisément pour vous permettre de ne pas rester sur le seuil des mutations économiques et sociales à venir. Je vous invite à découvrir cet espaces de tous les possibles, là où se cotoît toutes les marginalités: la frontière, en compagnie de Nicholas Dawson et Karine Rosso, ce soir, à Mission encre noire. Extrait:« Buenos Aires (Argentine), 18 janvier 2019. Cher Nicolas, C'est la première fois que je t'écris à la main. Je suis toujours à Buenos Aires, dans un café situé en face d'une gare de banlieue. Je fume sur la terrasse en regardant les couples, les ami.e.s et les familles nombreuses aux tables voisines. La musique qui me parvient de l'intérieur du café (Amy Winehouse, Dirty Dancing) me rappelle ce que tu m'as écrit dans anti-gringo qu'on pourrait le croire. Contrairement à toi, je n'ai toutefois pas été en contact avec les milieux universitaires. Ici, mes ami.e.s et ma belle famille se déplacent en circulos militantes ou dans des espaces culturels alternatifs. Il est vrai que celleux qui ont été à l'université citent parfois Bourdieu, Lacan ou Chomsky, mais depuis que je suis ici, j'entends davantage parler del FIT (Frente de izquierda de los trabajadores) et du mouvement pour la légalisation de l'avortement. Cette année, des centaines de milliers d'Argentines sont descendues dans la rue pour défendre le droit d'avorter sans avoir à risquer leur vie. Munies d'un foulard vert, elles ont défilé jour et nuit devant le congrès. (Je m'interromps pour évoquer la femme et ses trois enfants qui passent en ce moment aux tables pour demander de la monnaie. Il y a dix minutes, j'ai acheté trois paires de bas pour 100 pesos à un jeune homme qui me disait «por favor señorita, ayudame»).»
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Nicolas Matheson est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous allons parler d'un petit oiseau de la Mata Atlantica, de la forêt du brésil, la paruline à sourcil blanc. Nous verrons aussi comment les parents Manchots reconnaissent leur petit dans la cacophonie, et plus généralement comment font tous les oiseaux vivant en colonies. Nous parlerons aussi des cris de quémande des chouettons de l'Effraie des clochers. Nous entendrons aussi le morse, la baryton de cet épisode. Car dans tous ces épisodes vous allez entendre des sons d'animaux, autant que possible.
Nicolas mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous allons parler du tambourinage du Pic, si intéressant car il est l'exemple type du recyclage de beaucoup de comportements dans le monde animal. C'est la notion fondamentale d'exaptation en biologie, que Nicolas nous détaillera. Nous parlerons aussi des cris du Piranha et des Cichlidés, ces poissons qui font la joie des aquariophiles, de ceux de l'Astyanax ce poisson aveugle des cavernes mexicaines, qui existe aussi en version dotée d'yeux. Et enfin du très grand classique pinson de Darwin qui est d'autant moins bon chanteur que son bec est gros. Les grandes gueules ou plutôt les gros becs n'ont pas la cote en la matière apparemment.
Nicolas Matheson est biologiste, spécialiste du comportement animal, et bioacousticien. Il est professeur à l'université de Saint-Étienne, et explorateur pour la National Geographic Society. Il a publié en janvier 2021 "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Des forêts tropicales aux océans, de la savane africaine aux déserts glacées de l'Arctique et de l'Antarctique, des larmes de crocodiles aux joutes sonores des oiseaux, Nicolas va nous dévoiler et nous expliquer, la diversité des vocalisations animales. Ces langages leur permettent d'exprimer leurs émotions, de choisir un partenaire, d'alerter le groupe en cas d'attaque, de savoir qui domine et qui se soumet, de marquer son territoire, d'appeler à l'aide... Notez que cette série de BSG préfigure le podcast dédié à la bioacoustique, aux sons et au langage des animaux, qui sortira à prochaine rentrée. Il s'appellera Sympfaunie (format court de 10 minutes).
Nicolas mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous allons commencer par la Hyène et son rire qui n'en est pas un. Nous allons passer en revue les différents cris d'alarme des singes Vervet, qui donnent lieu à des réactions adaptées en fonction de l'agresseur. Nous écouterons monsieur et madame Fou aux pieds bleus, de grands danseurs que Nicolas a croisé au Mexique et moi aux Galápagos.
Nicolas mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous allons écouter les virtuoses du chant chez les oiseaux: le Rossignol qui a un répertoire de plus de 100 chants différents, contrairement au Mandarin diamant qui n'en a qu'un seul. Le record de la variété du répertoire appartiendrait au Moqueur qui peut aligner environ 1000 chants différents, qui dit mieux? Nous évoquerons la coquinerie des femelles Mésanges, qui sont très attentives aux vocalises des mâles. Vous verrez que beaucoup de papas Mésanges nourrissent des oisillons qui ne sont pas les leurs. Nous écouterons les rixes entre mâles Babouins, les cris d'alerte du Langur un singe d'Asie; Et nous finirons l'épisode en évoquant le Cordonbleu qui fait des claquettes en plus de son chant! et de l'incroyable génie des oiseaux imitateurs, comme les Perroquets et le si rusé Drongo africain.
Nicolas mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous allons parler du tambourinage du Pic, si intéressant car il est l'exemple type du recyclage de beaucoup de comportements dans le monde animal. C'est la notion fondamentale d'exaptation en biologie, que Nicolas nous détaillera. Nous parlerons aussi des cris du Piranha et des Cichlidés, ces poissons qui font la joie des aquariophiles, de ceux de l'Astyanax ce poisson aveugle des cavernes mexicaines, qui existe aussi en version dotée d'yeux. Et enfin du très grand classique pinson de Darwin qui est d'autant moins bon chanteur que son bec est gros. Les grandes gueules ou plutôt les gros becs n'ont pas la cote en la matière apparemment.
Nicolas Mathevon est biologiste, spécialiste du comportement animal, et bioacousticien. Il a publié en janvier 2021 "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Du Brésil à la mer du Nord, de la jungle amazonienne aux étendues glacées de l'Arctique, des pleurs des petits crocodiles aux joutes sonores des éléphants de mer, Nicolas va nous dévoiler la diversité des vocalisations animales. Nous allons écouter comment ces langages leur permettent d'exprimer leurs émotions, de choisir un partenaire, d'alerte le groupe en cas d'attaque, de savoir qui domine et qui se soumet, de marquer son territoire, d'appeler à l'aide... Dans ce premier épisode nous allons présenter cette discipline foisonnante et les bases du son, pour mieux comprendre le concert du vivant.
Nicolas mathevon est bioacousticien. Il est l'auteur du livre "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous parlons du chant des baleines, des dauphins, des orques et d'autres cétacés. Nicolas nous expliquer comment le son voyage 5 fois plus vite dans l'eau que dans l'air. Les baleine s'écoutent par exemple à des milliers de km à la ronde… Le cachalot détient le record en matière de puissance de son émise. Nous écouterons le cri du mastodonte des pinnipèdes: l'éléphant de mer, un sacré baryton des plages. Photo: ©Sylvain Corbel
Nicolas Matheson est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, nous allons parler d'un petit oiseau de la Mata Atlantica, de la forêt du brésil, la paruline à sourcil blanc. Nous verrons aussi comment les parents Manchots reconnaissent leur petit dans la cacophonie, et plus généralement comment font tous les oiseaux vivant en colonies. Nous parlerons aussi des cris de quémande des chouettons de l'Effraie des clochers. Nous entendrons aussi le morse, la baryton de cet épisode. Car dans tous ces épisodes vous allez entendre des sons d'animaux, autant que possible.
Nicolas mathevon est bioacousticien. Il est aussi l'auteur de "Les animaux parlent: Sachons les écouter" (humenSciences). Dans cet épisode, rendez-vous avec les jacarés, ces caïmans sud américains. Maman crocodile sait faire la différence entre les larmes de crocodile et de simples cris de contact. Nous allons aussi parler des otolithes des poissons qui leur permettent d'entendre sous l'eau. Car oui les poissons sont bavards et vous allez entendre, dans cet épisode, leurs nombreux cris. Au programme également, le cerf et le koala. Les 4 derniers épisodes de cette série seront diffusés exceptionnellement dès samedi, à 0h01.
Tous les vendredis, "CQFD" reçoit un homme ou une femme de science pour parler de son travail et de ses recherches. Aujourd'hui, Sarah Dirren a invité le biologiste Nicolas Mathevon, professeur à lʹUniversité de Saint-Etienne, fondateur de lʹEquipe de Neuro-Ethologie Sensorielle et auteur de l'ouvrage "Les animaux parlent, Sachons les écouter". Une heure pour faire connaissance avec ce spécialiste du comportement animal et s'intéresser à la bioacoustique, une jeune science qui permet de comprendre une espèce sans perturber son écosystème.
Chers amis La querelle entre Mordehaï et Aman est représentative de la différence entre la perception providentielle de l'Intervention Divine ou de croire que tout n'est que le fruit du hasard. Sachons clairement nous situer ! Avec les restrictions et couvre-feu les réunions en soirées sont pratiquement impossible. Mais ce sont nos seules sources de revenus à titre personnel. Vous avez la possibilité de mettre en place une conférence en réunion Zoom pour vous et vos amis ou famille à l'occasion d'une commémoration ou en cadeau d'anniversaire. Pour connaitre les conditions écrivez-nous : ravyehia@hotmail.com Vous pouvez egalement faire un don sur le site : http://ravbenchetrit.com/content/3-dons Merci de votre compréhension
durée : 00:55:17 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Il existe autant d’animaux que de langages. Grâce à une jeune discipline scientifique, l’éco-acoustique, Nicolas Mathevon nous fait découvrir la complexité des procédés de communications sonores qui existent dans la nature, tant chez les mammifères, que chez les insectes, ou chez les hyènes.
Sache de quel ami tu es entouré... Ce podcast est une invitation à revisiter son cercle d'amis. Tout le monde ne mérite pas notre précieux temps ni notre compagnie. Sachons les reconnaître... Que nos relations soient équilibrées.
Évangile de Jésus Christ selon saint Marc En ce temps-là, Jésus partit et se rendit dans le territoire de Tyr. Il était entré dans une maison, et il ne voulait pas qu’on le sache, mais il ne put rester inaperçu : une femme entendit aussitôt parler de lui ; elle avait une petite fille possédée par un esprit impur ; elle vint se jeter à ses pieds. Cette femme était païenne, syro-phénicienne de naissance, et elle lui demandait d’expulser le démon hors de sa fille. Il lui disait : « Laisse d’abord les enfants se rassasier, car il n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. » Mais elle lui répliqua : « Seigneur, les petits chiens, sous la table, mangent bien les miettes des petits enfants ! » Alors il lui dit : « À cause de cette parole, va : le démon est sorti de ta fille. » Elle rentra à la maison, et elle trouva l’enfant étendue sur le lit : le démon était sorti d’elle. Source : AELF Méditation Père Michel Quesnel Dans la région de Tyr, Jésus est en terre païenne. Sa réputation est pourtant venue jusque-là, comme l’évangéliste l’a fait remarquer un peu plus haut dans son texte, au chapitre 3 (versets 7-8). Des Tyriens et des habitants de Sidon avaient rejoints des Galiléens sur les bords du lac de Tibériade et avaient été témoins de guérisons que Jésus opérait. Ils avaient rapporté cela dans leur pays. Maintenant, Jésus est chez eux. Une femme de la région en est informée et espère bien en profiter pour qu’il exorcise sa fille. C’est l’occasion pour Marc d’écrire une des pages les plus touchantes des évangiles. Cette femme est une païenne, elle est née sur place. Elle vit un drame mais se heurte d’abord à un refus catégorique de la part de Jésus. Il est difficile de savoir si le terme « petits-chiens », qu’il emploie, est méprisant ou non ; il est cependant sûr que, dans l’Orient antique, le terme n’a pas la connotation de « petit chienchien à sa mémère ». Les chiens de païens sont opposés aux enfants que sont les fils d’Israël. La femme accepte le terme avec une telle humilité qu’elle va conduire Jésus à changer d’avis et à modifier son comportement. Elle est prête à ne recevoir que les miettes. Jésus va alors lui donner bien davantage, autant que ce qu’il a accordé aux Juifs dont il fait partie. Une porte s’ouvre en grand sur les païens qui deviennent, à leur tour, bénéficiaires des biens du Royaume. Sachons admirer à la fois la confiance de cette femme et la simplicité de Jésus qui accepte de se laisser convaincre. Et donne-nous, Seigneur, une souplesse comparable à celle de notre maître. Nous aussi avons nos préférences et nos préjugés. Ils sont faits pour être bousculés.
Sachons qu'il ne suffit pas de reconnaitre Jesus, les demons mm savant qui Il est.
Café avec Spiritisme - Épisode # 187 Message d'aujourd' hui: Sachons être satisfait Livre: Source Vive Chapitre: 9 Medium: Chico Xavier Sprit: Emmanuel Commentaires: Tarcio Rodrigues Traduction: Ludiana Moreno Révision: Christine Limongi Voulez-vous recevoir le podcast en avant-première? - WhatsApp: https://chat.whatsapp.com/LdxbFqihjNOItBogMRJbLS - Telegram: https://t.me/cafeavecspiritismeenfrancais - Spotify: https://spoti.fi/3bXIaHT - Café com Espiritismo (Português): https://chat.whatsapp.com/IeqXrIPuHltLL3cjkxTYDt - Café con Espiritismo (Español): https://chat.whatsapp.com/GntoItUZrOGHm0aAowvAdD - Coffee n’ Spiritism (English): https://chat.whatsapp.com/CifU642Xd7KJD0h0WT0muH Cela vous a-t-il plu ? N'hésitez pas à partager et à inviter vos amis sur notre groupe.
Café avec Spiritisme - Épisode #180 Message d'aujourd'hui: Sachons être Satisfait Livre: Source Vive Chapitre: 9 Esprit: Emmanuel Médium: Chico Xavier Commentaires: Tarcio Rodrigues Traduction: Ludiana Moreno Voulez-vous recevoir le podcast en avant-première? - WhatsApp: https://chat.whatsapp.com/LdxbFqihjNOItBogMRJbLS - Telegram: https://t.me/cafeavecspiritismeenfrancais - Spotify: https://spoti.fi/3bXIaHT - Café com Espiritismo (Português): https://chat.whatsapp.com/IeqXrIPuHltLL3cjkxTYDt - Café con Espiritismo (Español): https://chat.whatsapp.com/GntoItUZrOGHm0aAowvAdD - Coffee n’ Spiritism (English): https://chat.whatsapp.com/CifU642Xd7KJD0h0WT0muH Cela vous a-t-il plu ? N'hésitez pas à partager et à inviter vos amis sur notre groupe.
Cette fête vient nous rappeler que toute phrase lancée vers Dieu vient comme en écho amplifier la grande rumeur de la prière des hommes et le rosaire est un moyen quasiment sûr d'aller par Marie au Seigneur. N'oublions donc jamais que prier c'est vouloir s'unir à Dieu. Alors, reprenons les mots de Marie qui sont des mots simples, les mots de Celle qui a été comme étreinte par le mystère de Dieu, qui a été tellement unie à Dieu qu'elle ne peut que nous y conduire. Sachons la voir comme une prière d'abandon et de confiance au moment même où peut-être les mots nous lâchent et où la foi nous fait défaut. Sachons emprunter ces chemins si familiers, si parcourus par les hommes, pour trouver cette trace de Dieu et ne pas perdre de vue son visage. Soutenez-nous !
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc En ce temps-là, voici qu’un docteur de la Loi se leva et mit Jésus à l’épreuve en disant : « Maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? » Jésus lui demanda : « Dans la Loi, qu’y a-t-il d’écrit ? Et comment lis-tu ? » L’autre répondit : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même. » Jésus lui dit : « Tu as répondu correctement. Fais ainsi et tu vivras. » Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus : « Et qui est mon prochain ? » Jésus reprit la parole : « Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ; ceux-ci, après l’avoir dépouillé et roué de coups, s’en allèrent, le laissant à moitié mort. Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l’autre côté. De même un lévite arriva à cet endroit ; il le vit et passa de l’autre côté. Mais un Samaritain, qui était en route, arriva près de lui ; il le vit et fut saisi de compassion. Il s’approcha, et pansa ses blessures en y versant de l’huile et du vin ; puis il le chargea sur sa propre monture, le conduisit dans une auberge et prit soin de lui. Le lendemain, il sortit deux pièces d’argent, et les donna à l’aubergiste, en lui disant : “Prends soin de lui ; tout ce que tu auras dépensé en plus, je te le rendrai quand je repasserai.” Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l’homme tombé aux mains des bandits ? » Le docteur de la Loi répondit : « Celui qui a fait preuve de pitié envers lui. » Jésus lui dit : « Va, et toi aussi, fais de même. » Source : AELF Méditation Père Jean-Marie Petitclerc Vouloir aimer tout le monde est chose facile : il ne s’agit que d’une belle idée. Mais aimer celui que l’on croise sur sa route du quotidien, se rendre proche de lui en en prenant soin, c’est moins évident. Jésus transforme la question abstraite du jeune docteur de la loi « Qui est mon prochain ? » en une question très concrète : « De qui es-tu le prochain ? » et, pour y répondre, comme il aime le faire, plutôt que développer une réflexion théorique, il préfère raconter une histoire, celle bien connue dite du bon Samaritain. Ne jugeons pas trop vite le prêtre et le lévite. C’est pour accomplir leur mission qu’ils refusent de s’approcher du blessé, car le toucher les aurait rendus impurs selon la loi. De leur point de vue, ils ne font qu’accomplir leur devoir … mais n’est-ce pas le point de vue du blessé qui est à privilégier ? Force alors est de constater que c’est un Samaritain qui se détourne de son chemin, et l’on sait combien les Samaritains étaient alors déconsidérés dans la société juive. Aujourd’hui encore, on voit souvent des jeunes issus de l’immigration, parfois si décriés, poser des actes héroïques pour sauver des enfants des flammes ou de la noyade ! Et l’histoire racontée par Jésus vaut leçon de pédagogie pour l’accompagnement des personnes blessées. Il ne s’agit pas de se satisfaire de l’aide d’urgence. Le Samaritain mène le blessé à l’hôtellerie. Loin de l’enfermer dans une relation de dépendance vis-à-vis de celui qui l’a secouru, il permet à l’hôtelier de se faire le relai de l’aide apportée. « Va et toi fais de même ! » conclut Jésus ; et ce conseil s’adresse tout autant au lecteur qu’au docteur de la loi. Sachons continuer de mettre en pratique ce conseil de Jésus, seule manière pour nous aujourd’hui encore de pouvoir hériter de la vie éternelle !
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean Jésus se manifesta à ses disciples au bord du lac. Après le repas, il dit à Simon-Pierre : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment, plus que ceux-ci ? » Il lui répond : « Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. » Jésus lui dit : « Sois le berger de mes agneaux. » Il lui dit une deuxième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu vraiment ? » Il lui répond : « Oui, Seigneur ! Toi, tu le sais : je t’aime. » Jésus lui dit : « Sois le pasteur de mes brebis. » Il lui dit, pour la troisième fois : « Simon, fils de Jean, m’aimes-tu ? » Pierre fut peiné parce que, la troisième fois, Jésus lui demandait : « M’aimes-tu ? » Il lui répond : « Seigneur, toi, tu sais tout : tu sais bien que je t’aime. » Jésus lui dit : « Sois le berger de mes brebis. Amen, amen, je te le dis : quand tu étais jeune, tu mettais ta ceinture toi-même pour aller là où tu voulais ; quand tu seras vieux, tu étendras les mains, et c’est un autre qui te mettra ta ceinture, pour t’emmener là où tu ne voudrais pas aller. » Jésus disait cela pour signifier par quel genre de mort Pierre rendrait gloire à Dieu. Sur ces mots, il lui dit : « Suis-moi.» Source : AELF Méditation Père Nicolas de Boccard En fêtant les deux piliers de l’Église, Pierre et Paul, le pécheur et le nomade, le pasteur et le pèlerin, le roc et le bâtisseur, nous ne pouvons qu’être émerveillés par leur fécondité, 2000 ans après. Un pauvre pécheur de Galilée et un juif converti au christianisme n’avaient pas grande valeur dans la société de l’époque. Ils sont des géants de la foi, car en eux, comme le dira Paul lui-même, c’est le Christ qui a agi. Cet étonnant examen que passent les disciples de Jésus devant Lui, en devant répondre à la question : « au dire des gens, qui est le Fils de l’homme ? » ; les réponses fusent : « Jean-Baptiste, Elie, ou l’un des prophètes ». Mais Jésus n’a que faire des opinions, Il insiste : « Et vous, que dites-vous ? Pour vous, qui suis-je ? ». Nous recevons alors la plus belle déclaration de foi de tout l’évangile : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant ». Et Jésus de témoigner que cette déclaration de foi n’est pas l’œuvre d’un homme, mais de Dieu dans le cœur d’un homme : « Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux » - et de lui confier les clés du royaume ! Oui, fêter Pierre et Paul, c’est d’abord remercier Dieu pour le don de la foi qui a fait de ces hommes des hérauts de l’évangile. Ce don qu’Il veut donner à tous ceux qui se tournent vers Lui avec humilité et confiance. Ce don qu’Il ne cesse de donner afin que ce monde soit sauvé. Sachons rendre grâce au Seigneur pour le don de la foi – que serions-nous sans elle ! Comme le confessait Pierre lui-même : « Vers qui irions-nous Seigneur, Tu as les paroles de la vie éternelle » (Jn 6, 68).
MACRON 2, MOI LE 1ER Emmanuel Macron, a annoncé, lundi 13 avril, la prolongation d’un mois du confinement en France. Il a esquissé la levée progressive des restrictions et une réouverture des écoles à compter du 11 mai. Cette allocution a été suivie par 36,7 millions de téléspectateurs, soit une part d’audience globale de 94,4 % « un record absolu », selon Médiamétrie. S’il a tracé des perspectives pour le déconfinement, le chef de l’État a aussi maintenu quelques incertitudes sur sa mise en œuvre, laissant le gouvernement assurer, dès mardi, un service après-vente ardu, appelé à être poursuivi avec la présentation « d’ici quinze jours » d’un « plan de l’après-11 mai ». Plusieurs ministres ont temporisé, préférant parler du 11 mai comme d'un « objectif » et non d'une date officielle de déconfinement. Pour le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner « ce qu'a annoncé le président, ce n'est pas le déconfinement le 11 mai, c'est le confinement jusqu'au 11 mai. Il y a des conditions pour que nous puissions déconfiner le 11 mai. C'est un objectif, pas une certitude ». Alors qu'Emmanuel Macron a annoncé une réouverture « progressive » des crèches, écoles, collèges et lycées à part du 11 mai, le ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer a apporté des précisions. « L'école ne sera pas obligatoire le 11 mai, le retour sera progressif. Il y aura des aménagements ». Le ministre a notamment mentionné des mesures différentes selon les régions. Il appartient au gouvernement et à un haut fonctionnaire, Jean Castex, nommé délégué interministériel chargé des stratégies de déconfinement, de préparer cette phase cruciale dans les moindres détails. Elle consistera à mettre à l'abri les plus fragiles, à tester ceux qui ont des symptômes, à confiner strictement les malades et à équiper en « masques grand public » l'ensemble de la population. Un passage du discours présidentiel a particulièrement retenu l’attention : "Il nous faudra bâtir une stratégie où nous retrouverons le temps long, la possibilité de planifier, la sobriété carbone, la prévention, la résilience. Sachons sortir des sentiers battus, des idéologies et sachons nous réinventer, moi le premier". Si 60% des Français souhaitent que la décision politique se fonde uniquement sur des « critères sanitaires », selon un sondage Odoxa, ils sont 39 % à considérer que « l’emploi et la reprise économique doivent aussi être pris en compte ». En outre, les Français doutent de la capacité du président à surmonter la crise. Sondage après sondage, la confiance s'étiole. Le 19 mars, trois jours après la proclamation du confinement, une enquête Ifop pour le Journal du dimanche indiquait que 55% des Français avaient foi en l'exécutif dans la conduite de « la guerre » contre le virus. Quatre semaines plus tard, ils ne sont plus que 38 %.*** DETTE AFRICAINE MORATOIRE OU ANNULATION ? Peu ou encore peu touché par la pandémie, le continent africain va en subir de plein fouet les conséquences économiques. Pour la première fois en 25 ans, l'Afrique subsaharienne va connaître une récession économique, prévoit la Banque mondiale. Après une croissance de 2,4 % en 2019, la récession devrait se chiffrer en 2020 entre -2,1 % et -5,1 %. Pour la Banque mondiale, les économies africaines sont victimes de la chute brutale de la croissance de leurs principaux partenaires commerciaux (particulièrement la Chine, la zone euro et les États-Unis), des cours des matières premières, de la baisse de l'activité touristique, ainsi que des effets des mesures de lutte contre la pandémie, comme le confinement. Le 13 avril, Emmanuel Macron a mis en avant la nécessité d’annuler massivement la dette de l’Afrique. Le pape François, l'ONG Oxfam et plusieurs dirigeants africains comme le président Sénégalais Macky Sall se sont exprimés dans ce sens. Dès mars, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international demandaient l'annulation ou un rééchelonnement de la dette. En outre, Le FMI a annoncé le 13 avril une aide d'urgence à 25 des pays les plus pauvres du monde. L'endettement du continent africain est considérable. Sur le site de l'agence Ecofin, la Banque africaine du développement, dans ses perspectives 2020 sur l'économie africaine, précise que « entre 2008 et 2018, la dette publique moyenne des pays africains est passée de 38 % à 56 % du Produit intérieur brut (PIB) du continent ». En 2018, la dette publique externe des pays d'Afrique subsaharienne s'élevait à 365 milliards de dollars. Mercredi, les ministres des Finances et les banquiers centraux du groupe G20 ont donné leur aval à une suspension immédiate et pour une durée d'un an de la dette de 76 États, dont 40 d'Afrique subsaharienne. Cette décisions’appliquera à compter du 1er mai jusqu’à la fin de l’année. Elle doit libérer 20 milliards de dollars de liquidités. “Tous les créanciers officiels bilatéraux participeront à cette initiative”, précise le G20, en appelant les créanciers privés à participer à cet effort. Cette mesure est d’autant plus importante que le G20compte parmi ses membres la Chine, l’un des principaux créanciers de l’Afrique. Elle devrait concerner 76 pays dont 40 en Afrique et 20 milliards de dollars de remboursements.
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Extraits de la conférence de presse d'Emmanuel Macron à l'issue du Conseil européen. Le President francais revient sur la question de la Macédoine du Nord et de l'Albanie, ainsi que sur le Brexit et le budget européen.
Extraits de la conférence de presse d'Emmanuel Macron à l'issue du Conseil européen. Le President francais revient sur la question de la Macédoine du Nord et de l'Albanie, ainsi que sur le Brexit et le budget européen.
La maladie fondit sur moi comme un aigle sur sa proie : empoisonné quelques heures plus tôt par un pesticide, je fus soudain terrassé par des nausées, des vomissements, des crampes abdominales, des maux de tête et une forte fièvre. Le jeune garçon de dix ans débordant de vitalité que j’étais 24 heures plus tôt, se trouvait soudain à l’article de la mort. Impossible de bouger ou simplement d’ouvrir les yeux à la lumière du jour. Appelé en urgence, notre médecin diagnostiqua une hépatite toxique : —Le pronostic est très réservé, dit-il à mi-voix à mes parents. Si le foie ne tient pas le coup, on ne pourra rien faire. Alors puisque vous préférez ne pas l’hospitaliser, je retire ma responsabilité… De fait, la maladie continua d’empirer. Un jour, la fièvre grimpa à 41°, et dans un état de faiblesse extrême, je me sentis en train de mourir. Je sombrais dans un état pré comateux et j’eus l’étrange impression que mon esprit se détachait de mon corps. Ouvrant péniblement les yeux, j’aperçus ma mère et mes sœurs sur le seuil de la chambre à coucher. Le visage baigné de larmes, elles se mirent à chanter un vieux cantique dont les paroles allèrent droit à mon cœur : Si seulement je puis toucher son vêtement, Le bord suffit Car il guérit entièrement. Une grande douceur, une grande paix, mais aussi une incroyable puissance se dégageaient de la mélodie et des paroles de ce chant. Malgré ma grande faiblesse, je réalisai que c’était comme si Jésus me disait que ce qu’il avait fait jadis pour une femme malade, il allait le faire pour moi si seulement je pouvais toucher son vêtement, c’est-à-dire avoir une confiance totale en lui. Je le fis très simplement en plaçant toute ma foi d’enfant en Jésus-Christ. Dès lors, et à la grande surprise de notre médecin, ma santé s’améliora de jour en jour. Je suis tombé malade au début des vacances d’été, ma convalescence s’amorça avant la rentrée des classes. Je restai encore très faible pendant plusieurs mois. Mais je guéris sans aucune séquelle ! Que Jésus-Christ en soit remercié, que son Nom soit loué ! Sachons que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute.
Playlist : La Louche D'Or > Fixpen Sill / C2 La Balle Corporation > L'Skdrille, Ziko, Bam's, Tony fresh, Nisay…
Une fois de plus, le rav Dynovisz va prendre des risques. Mais que voulez vous, on ne peut pas tenir un discours de combattant sans être sur le front de ses idées et idéaux. Et les planqués ne sont pas les bienvenus. Il faut que la vérité éclate enfin et comme dit l’adage, on ne fait d’omelettes sans casser des œufs ! Et le chef étoilé, rav Dynovisz va nous préparer dans ce cours qui n’est qu’une initiation, une omelette géante comme nous ne l’avons jamais goûté. Il est évident qu’après ce cours, certains d’entre nous diront : c’est vrai, c’est tellement évident, c’est si puissant. Sachons apprécier la force de l’analyse. Et oui, il fallait le dire et surtout, oser le dire ! Le Chem (nom représentant une certaine manifestation de D.) Elokim représente la dimension féminine et le Chem Avayé(nom représentant une certaine manifestation de D.) la dimension masculine. La dimension féminine te demande de respecter la stricte loi alors que la dimension masculine va au delà de l’acte et demande à l’homme de faire tout pour se surpasser. Le service Divin à l’intérieur des règles de la nature est extrêmement sécurisant. Le meilleur exemple est la montée en Israël. Sommes nous prêt à faire confiance à Avayé lors de l’Alya ou préférons nous servir Elokim en dehors de la terre dans un service plus tranquille mais illusoire. C’est Dur l’Alya et nous avons tous de bonnes raisons de préférer vivre dans le rêve : un jour, peut être mais ce n’est pas le moment. Et tout celui qui vit ainsi est attaché uniquement à la dimension féminine de D. C’est la mère qui console et non le père. Et le véritable soldat se bat contre lui-même et non contre les autres. Toutes les religions se décomposent en 2 grands modèles, celui qui voit en D. celui qui rassure, qui pardonne, le D. de la pitié et celui qui voit en D. la force et la victoire. Les modèles sont clairs, D. d’amour ou D. de guerre. Et ces 2 modèles ont bien évidemment un nom, à savoir le christianisme et l‘Islam (Alah Oukbar). Et suivant la religion, la place de la femme sera totalement différente. D’un coté, la femme se cache sous un voile (la femme n’a plus sa place) et de l’autre, la femme fait un enfant sans homme (l’homme n’a plus sa place). Le christianisme s’enracine uniquement dans la dimension Elokim et l’Islam s’enracine dans la dimension Avayé. Dans le monde chrétien, l’homme véritable, le symbole, le prêtre ne se marie pas (il a peur de la femme) et dans le monde de l’Islam, l’homme a plusieurs femmes (il soumet la femme). Il n’y a rien de péjoratif dans les propos du rav, il ne fait que constater à haute voix, une évidence tellement forte. Encore fallait il la déceler et savoir la présenter et surtout avoir le courage de l’affirmer. Il ne peut avoir de religion vraie sans une union entre Avayé et Elokim comme il ne peut exister d’enfant sans l’union entre un homme et une femme. Mais où doit se placer en théorie la Torah ? Il y a effectivement la dimension masculine en D. (force, combattant,…) et il y a aussi la dimension féminine (consolateur, pitié,…). Avayé Hou Aelokim !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! C’est la dimension du D. UN que nous devons retrouver. Cette phrase prononcée à Kippour est dite parce que nos fautes ont à priori disparu. C’est un très haut niveau. Et toutes les religions célibataires sont nées avec la faute d’Adam Arichone. A notre niveau, notre approche de D. peut ressembler soit à l’Islam soit au Christianisme. L’idolâtrie biblique est soit la dimension féminine soit la dimension masculine, elle est un service Divin incomplet. Et nous remarquons que l’idolâtrie dont parle toujours la Torah est l’idolâtrie féminine. La faute d’Israël est de chercher chez D. la dimension féminine et force est de remarquer l’attirance et la fascination de notre peuple vis-à-vis de l’occident. Et pourtant, nous n’avons jamais été attiré par les valeurs de l’Islam. Les idoles sont appelés dans la Torah Elokim Ahérim (autre D. , Autre Elokim). Mais comment, demande la Guémara, peut on donner un tel nom à l’idolâtrie ? Question très forte !!! La Torah veut nous faire comprendre l’origine de l’idolâtrie car la cause profonde est que l’homme ne cherche qu’un D. tranquille et non un D. de guerre. Autrement dit, un juif qui sert D. dans la tranquillité et le confort ne sert qu’Elokim et fait entrer en lui la source de l’idolâtrie. Le judaïsme sécurisant est le premier pas…vers l’idolâtrie. A force de s’installer dans un confort, l’homme perd sa relation avec la dimension masculine de D. et petit à petit, il va virer vers la dimension féminine de D. Il ne voit plus la dimension forte, il ne se dépasse plus, il n’a plus de père et il ne voit en D. que le bon D., celui qui sauve et quand tout va mal, il appelle sa maman ! Maman et mon D. se sont rejoint. On appelle D. que quand on a besoin de lui. Mais l’homme a besoin malgré tout d’un modèle fort ! Et qui va jouer le rôle du fort ? Béalim Véachtérot (les patrons et les riches) sont les noms de D. Et voila les modèles masculins : la force, la puissance et la richesse. On vénère les hommes qui ont le pouvoir de l’argent, les stars, ceux qui font le monde (ou croient le faire) ! Et comme par hasard, c’est le monde Chrétien qui a produit la puissance matérielle et pourtant, sa matrice est le D. féminin. La Nature a horreur du vide. Le modèle religieux passe par une…vierge. Mais où est le modèle fort ? Dans les banques et dans le pouvoir. …Wall Street ! La religion du tout amour a engendré la laïcité car elle est la réponse à un manque (ou est mon modèle de force ?). La révolution française a redonné le pouvoir à l’homme et est l’enfant légitime de la chrétienté. Tout a commencé chez nous ! Nous avons créé les premiers ce modèle du D. sauveur (quand ça va mal, on se retourne vers D. et quand tout va bien, on se tourne vers les puissants de ce monde). Voila tout le secret de l’idolâtrie d’Israël. Revenons maintenant à Iftah qui débarque dans une génération ou D. est devenu, à leurs yeux, une véritable maman. Guilad est une région qui était au départ la terre du roi Sihon et une partie d’Israël vit dans cette région. Le peuple d’Amon attaque sans arrêt les juifs qui y vivent en leur disant que ce n’est pas leur terre et il leur propose la Paix contre les territoires. No Comment !!! Le père d’Iftah s’appelait Guilad et sa mère était une prostitué (et la relation s’est faite hors mariage). Mais Guilad avait aussi une autre femme et de nombreux enfants. Chez nous, l’héritage va d’après la paternité et non d’après les lois du mariage. Mais ils vont chasser Guilad et se partager les biens du père. Cet enfant commence très mal dans la vie (père alcoolique et adultère, mère prostituée, mauvaise réputation). Iftah ira voir les juges de la ville qui le rejetteront. Iftah va quitter la ville et deviendra le chef d’une bande de voyou. Mais vous allez voir que cet enfant, contrairement à certains qui se servent du fait d’être mal né pour parasiter l’humanité, va sublimer ses épreuves.