City and Municipality in Galicia, Spain
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Sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle, le pèlerin est souvent confronté à des imprévus. Dans le langage courant, l'imprévu est synonyme de pépin, de tuile ou de galère. Mais sur le camino, il en va tout autrement.L'imprévu, c'est par exemple ce magnifique paysage qui se dévoile au détour d'un chemin, c'est cette rencontre aussi inattendue que marquante, c'est la découverte d'un beau lieu profondément inspirant. Bref, sur le chemin de St Jacques, l'imprévu prend souvent la forme d'une bonne surprise, source d'émerveillement.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hervé est un marcheur... un grand marcheur. Je l'ai rencontré après son premier Saint Jacques de Compostelle en entier et après que j'ai fait le mien. Aujourd'hui... après une longue carrière de journaliste chez France Inter, Hervé marche... beaucoup... vraiment beaucoup. Et il en a fait un podcast, La Balado de Pauchon, énorme succès... si vous ne le connaissez pas, c'est à découvrir impérativement !Mais aujourd'hui, je lui parle à l'occasion de la sortie de son livre, Ma Balado, un livre dans lequel il raconte ses rencontres le long de ses chemins.SCOOP HAPPY WORK... il vient de repartir sur les routes et vous pourrez peut-être le rencontrer en vrai (indiscrétion : il est parti avec un stock de ses livres...)J'ai adoré ce moment à parler avec lui et j'espère qu'il en ira de même pour vous !!!N'hésitez pas à suivre ses aventures sur InstagramSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Voyage à Compostelle. ENTREVUE avec Dave Morissette, animateur à TVA Sports et TVAPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Des personnes se rassemblent pour marcher, Camille Valençon les rejoint. Nous ne sommes pas sur les sentiers de Saint-Jacques-de-Compostelle, ni dans les Alpes, ni sur une île au Japon, mais entre la ville et la nature à Bruxelles. Pendant quelques heures, entre parcours guidé et errance, le temps du quotidien est déconnecté, l'attention se déplace, des évènements peuvent alors survenir. Parfois, la marche s'interrompt. Pour Moussa, ce fut le cas. Pour lui chaque marche amorcée devient une étape essentielle dans son chemin tant intérieur qu'extérieur. Il partage le tracé de ses expériences, difficultés mais aussi les célébrations du corps, pas à pas. Reprendre pied explore ce que la marche crée en nous dans notre environnement quotidien, ce qu'elle vient transformer par le redéploiement du corps. Comment ce mouvement, en apparence si simple, peut-il déclencher à nouveau le mouvement dans nos vies ? Comment la marche nous aide-t-elle à trouver un endroit où l'on se sent à sa place ? Un documentaire de Camille Valençon. Suivi de L'exercice philosophique de la marche : Le philosophe allemand Heidegger parle de la pensée comme de « chemins qui ne mènent nulle part ». Et la marche est bien l'art d'aller nulle part. Le but est de faire route, de cheminer, pour nous rendre plus disponible à ce qui nous entoure. Il nous faut pour cela ralentir et intégrer la lenteur comme une condition sine qua non à une marche pleine et entière. On lâche la maîtrise du temps pour retrouver l'observation dans la banalité d'un mouvement. Face à un paysage montagnard en perpétuelle évolution, l'exercice philosophique de la marche côtière serait-il différent ? Eléments de réponses avec le professeur de philosophie Didier Karl, dans les montagnes du sud de la France. Réalisation Aurélien Frances, Silence Podcast Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saint-Jacques-de-Compostelle n'est pas un chemin de randonnée comme un autre. Il est porteur d'une dimension particulière, on pourrait presque dire mystérieuse. Une sorte de présence spirituelle qui touche tous ceux qui s'y aventurent — qu'ils soient croyants ou pas.Notre journaliste Gilles Donada s'est rendu au Puy en Velay, à Conques et à Santiago de Compostela pour demander aux pèlerins de lui raconter comment ils sont entrés en relation avec ce qu'on peut appeler le divin.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines►Écoutez les autres podcasts de La Croix : Place des religions, Marseille ; générations JMJ ; Les 7 travaux du pape François ; Benoît XVI, un pape méconnu ; ou encore L'Envers du récit.► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Angélique Boulay est comédienne, metteur en scène, et auteur de pièces de théâtre. En 2011, après avoir vécu une expérience très forte en découvrant Etty Hillesum par ses textes, elle a créé un seul-en-scène qu'elle a alors commencé d'interpréter. Elle ne se doutait pas qu'aujourd'hui encore, elle continuerait d'incarner Etty Hillesum dans de nombreuses salles, en France comme en Belgique ou en Suisse. Angélique Boulay témoigne à quel point Etty Hillesum, autant par son exemple personnel que par ses textes, a bouleversé sa vie. C'est ce cheminement intérieur qu'elle a choisi de raconter dans un livre aussi intime que pudique : Mon chemin avec Etty Hillesum. Elle y dit toute la métamorphose qu'elle a vécue, dans sa dimension psychologique et spirituelle, et qui l'a menée jusqu'au baptême. Etty Hillesum, une femme moderne, à la vie à la fois ordinaire et extraordinaire, le destin unique d'une victime de la Shoah, qui est allée au bout de ses propres faiblesses pour aller y puiser la joie, l'accueil de tous les autres, victimes et bourreaux, et la libération du Dieu d'amour enseveli au plus profond de chacun d'entre nous. Angélique ressemble à Etty, et les synchronicités sont nombreuses entre elles. Avec grâce, une profondeur teintée d'une douce légèreté, elle témoigne de sa vie de comédienne, de femme et de mère, engagée dans des combats exigeants et souvent difficiles, sur un chemin illuminé par de très belles rencontres. Il y a des liens entre Etty Hillesum, les anges et le Christ. Les liens de la vie, de la beauté et de l'amour. Ceux qui font battre le cœur d'Angélique Boulay et qui en feront battre beaucoup d'autres dans l'écoute de cet épisode et la lecture de son livre. Pour lire Mon chemin avec Etty Hillesum, le livre d'Angélique Boulay, cliquer ici. Pour découvrir le site d'Angélique Boulay et suivre son actualité, cliquer ici. Pour (ré)écouter la première participation d'Angélique Boulay à Zeteo, cliquer ici. EN SUIVANT LES ÉTOILES Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Quand Angélique Boulay témoigne de sa marche vers Compostelle, au début du nouvel épisode diffusé dès aujourd'hui, elle raconte les épreuves en chemin, et les grâces reçues. L'étoile filante qu'elle a vu dans le ciel de Compostelle, qui signifie le champ des étoiles, était annonciatrice des rencontres qui ont bouleversé sa vie. Angélique a vécu ensuite la rencontre avec Etty Hillesum, celle qui a guidée et inspirée sa vie. Jusqu'à la demande de baptême, qu'elle a reçu il y a juste un an. Les signes autour de nous ne manquent jamais, il y en a même beaucoup plus que nous le croyons. Mais nous ne savons pas toujours les voir. C'est pourquoi nous avons tant besoin de grands témoins. Ils ont la grâce, le talent et la manière de nous émouvoir et même, parfois, de nous bouleverser. Comme Etty Hillesum. Comme Angélique Boulay : c'est en acceptant d'aller au creux de sa faiblesse, au cours de sa marche vers le finisterre espagnol, qu'elle a rencontré l'accueil, la gratitude de la vie. Elle s'était ainsi disposée à voir les signes, comme cette étoile filante, et à vivre les grandes rencontres qui ont suivi. C'est une belle mission pour Zeteo, celle de suivre les étoiles, et de les révéler à tous ses auditeurs. Notamment à ceux qui tatonnent sur des chemins où la clarté se dispute avec l'ombre. Nous continuons cette mission, avec nos clartés et nos ombres. Nos grâces et nos difficultés. Cette mission ne pourrait pas se dérouler sans les dons, que nous recevons à chaque fois comme des étoiles, ou des sourires du Ciel. C'est pourquoi ce message s'achève par le renouvellement de notre appel aux dons. Il n'y a pas de semaine moins importante que d'autre. C'est pourquoi il est important que ce message soit entendu par ceux d'entre vous qui peuvent y répondre. C'est notre prière, confiante et accueillante, déjà, des signes à venir. Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Telio, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Lili Sohn, autrice de bande dessinée, elle publie en 2015 "La guerre des tétons" en trois tomes. Elle y raconte comment elle a traversé le cancer du sein qu'on lui a diagnostiqué à 29 ans. L'autrice se questionne depuis sur sa condition de femme avec "Mamas", une bande dessinée autour de la maternité; "Vagin Tonic"' ou encore "Nos Poils", sa dernière parution qui enquête sur la pilosité féminine et la façon dont l'injonction au zéro poil peut être déconstruite ou pas. Lili Sohn a aussi questionné le rapport à la déconnection dans "Partir sur les chemins de Compostelle" et sur la manière d'habiter un lieu dans "Chroniques du grand domaine". Une rencontre enregistrée à la Foire du Livre de Bruxelles Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Titre : #159 - Cécile - De bonne soeur dans un monastère à coach de vie / traumas ("Plus de vie") Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #159Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.** Concrétisez votre projet sur https://bit.ly/squarespaceoser2 pour essayer gratuitement Squarespace pendant 14 jours. Et ensuite, vous économisez 10% avec le code OLR10 sur votre première commande de site web ou de domaine. **Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Cécile Azard. Après avoir été bonne soeur dans un monastère pendant 17 ans, Cécile est devenue coach de vie et est spécialisée dans les trauma.Cécile s'est sentie appelée pour rejoindre la vie monastique à l'age de 11 ans. Abusée dans son enfance par son oncle à l'âge de 8 ans, elle s'est réfugiée dans la prière. Cécile rentre dans les ordres et devient sœur dans un monastère à l'âge de 23 ans. Son quotidien est rythmé par la prière, le travail au monastère et l'accompagnement des personnes de sa paroisse. La vie au monastère est très traditionnelle car il s'agit d'une communauté de l'ordre bénédictain, ordre assez conservateur et les soeurs sont très âgées. Cécile, la plus jeune, est pleine d'initiative et souhaite moderniser le monastère mais les soeurs ne sont pas de cet avis. Elle est aussi déçue des scandales qui ont entaché l'Eglise et les communautés avoisinantes. Après 17 ans, elle décide de tout plaquer et de retourner à la vie civile.Aujourd'hui, Cécile est coach de vie avec son entreprise "Plus de vie". Elle est spécialisée dans la gestion et l'accompagnement des traumas concernant l'enfance, changement, séparation, deuil, traumatisme. Cécile organise aussi des rando coachings sur le chemin de Compostelle avec des groupes de femmes. Avec Cécile, on a évoqué sa vie monastique, la réaction de ses proches lorsqu'elle est devenue soeur Anne-Cécile et qu'ils l'ont vu en habit pour la première fois, comment elle accompagnait déjà les personnes lorsqu'elle était coach, le choc au retour à la vie civile lorsqu'il a fallu trouver un job, un appart et surtout le bruit de la vie parisienne qui contraste avec le silence du monastère, sa foi religieuse qu'elle a conservé intacte, et surtout sa mission de vie d'accompagner les personnes victimes de traumatismes comme elle. Sa devise ? Nous ne choisissons pas de vivre un trauma. Mais nous pouvons CHOISIR de ce que nous en faisons. Cet épisode m'a beaucoup touchée et je remercie encore Cécile de nous avoir livré un témoignage en toute transparence sur un milieu dont on entend peu parler.Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Linkedin de Cécile Azard : https://www.linkedin.com/in/c%C3%A9cile-azard-%F0%9F%8C%B8%F0%9F%8E%99%EF%B8%8F-169b27181/?locale=en_US- Site internet de Cécile : https://coachplusdevie.com/- Instagram de Cécile @cecileazardcoachplusdevie : https://www.instagram.com/cecileazardcoachplusdevie/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. Pour me poser des questions, participer au podcast ou devenir sponsor, c'est par ici : partenariats@oserlareconverison.com
Quand on demande à un pèlerin de Compostelle ce qui l'a le plus marqué sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, il répond neuf fois sur dix : les rencontres avec les autres. Ce sont des rencontres gratuites. Des rencontres où on n'a plus besoin de jouer un rôle. Des rencontres où le milieu social et la nationalité ne comptent plus vraiment.Des rencontres avec des gens qu'on ne connaissait même pas dix minutes auparavant – et qu'on ne reverra sans doute jamais - avec lesquelles on va partager des choses très personnelles, qu'on n'a parfois jamais racontées à sa famille ou à ses amis. Sur le chemin de st Jacques de Compostelle, on peut vraiment parler du miracle des rencontres.Notre reporter Gilles Donada s'est rendu au Puy-en-Velay, à Conques et à Santiago de Compostela pour interroger les pèlerins sur leurs rencontres les plus marquantes.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines►Écoutez les autres podcasts de La Croix : Place des religions, Marseille ; générations JMJ ; Les 7 travaux du pape François ; Benoît XVI, un pape méconnu ; ou encore L'Envers du récit.► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Laure Dard et Henry de Courtivron
Sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, le temps prend une consistance différente de la vie habituelle. Il est empreint de lenteur et de profondeur. Croire, saison 3 – épisode 5/10Quel temps fait-il sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle ? On en vous parlera pas ici de la météo, qui est certes un sujet très important pour les marcheurs.Là il s'agit du temps comme durée. Une durée longue. Celle qu'on vit quand on marche plusieurs jours ou plusieurs semaines sur le chemin. C'est un temps très particulier, assez mystérieux même, qui a des répercutions profondes sur le cœur et sur l'âme des marcheurs.Notre reporter Gilles Donada s'est rendu au Puy en Velay, à Conques et à Santiago de Compostela pour interroger les pèlerins sur ce temps qui ne ressemble à aucun autre.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines►Écoutez les autres podcasts de La Croix : Place des religions, Marseille ; générations JMJ ; Les 7 travaux du pape François ; Benoît XVI, un pape méconnu ; ou encore L'Envers du récit.► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la crise et les confinements limitent sa liberté, Gabrielle se retrouve à un carrefour de sa vie. En quête de sens, elle décide de partir marcher sur les Chemins de Saint-Jacques de Compostelle pour deux semaines, respirer l'air frais, et se reconnecter à elle-même. Mais au fil de ce voyage, entre désillusions amoureuses et rencontres inspirantes, son besoin de se dépasser grandit. Ce qui commençait comme une simple évasion se transforme finalement en une quête profonde de soi. Rejoignez Gabrielle dans cette aventure pleine de défis, de découvertes et de moments poignants, où l'on se dépouille de tout pour mieux s'ouvrir aux autres et à soi-même. Un épisode à ne pas manquer pour ceux qui cherchent à se réinventer.
Avec Laure Dard, Patrice Bernard et Marie-Eve Humery
Myriam et Patrick rencontrent trois invités : Jean-François, le pèlerin émerveillé, Jean-Luc, l'amoureux du vivant, et Chloé l'auteure passionnée. Chacun à sa façon, ils partagent avec nous un bout de leur quête personnelle. Jean-François nous parle de son parcours sur les chemins de Compostelle, côté espagnol. Jean-Luc, de de la biodynamie dans sa ferme du Lot-et-Garonne, et Cloé de sa passion : l'écriture. Tous les épisodes sur ma page FB Envie de sagesse. Retrouvez-moi aussi sur mon FB perso ou sur mon adresse mail. A tout bientôt ! MyriamHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
David Beckers est atteint d'amyotrophie spinale (SMA), une maladie héréditaire due à une mutation génétique qui provoque la dégénérescence progressive des neurones moteurs. Il a fondé Numora ASBL afin de faire connaître cette maladie et aider celles et ceux qui en souffrent. Malgré les difficultés dues à sa condition, il a entrepris le voyage à vélo jusqu'à Compostelle, 47 jours et autant de nuits de voyage, l'année de ses 47 ans. David Beckers en a écrit un livre dans lequel il raconte son aventure. Il cherche aujourd'hui du financement notamment pour l'achat d'un vélo adapté à sa maladie. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Le ravitaillement en nourriture est une préoccupation majeure des pèlerins sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle. Au-delà de l'aspect physiologique, il est aussi révélateur de notre rapport à la confiance. Croire, saison 3 – épisode 4/10Parce que manger à sa faim, c'est absolument déterminant non seulement sur le plan physique mais aussi pour le moral.Le matin, il a besoin de commencer par un bon petit déjeuner pour s'attaquer à l'étape du jour. Le déjeuner, en général, se résume à un pique-nique ; le repas du soir est le plus attendu parce que c'est le moment où tous les pèlerins se retrouvent à la même table pour discuter de leur journée et refaire leur force.Notre reporter Gilles Donada s'est rendu au Puy en Velay, à Conques et à Santiago de Compostela pour demander aux pèlerins de me parler de leur rapport à la nourriture.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines►Écoutez les autres podcasts de La Croix : Place des religions, Marseille ; générations JMJ ; Les 7 travaux du pape François ; Benoît XVI, un pape méconnu ; ou encore L'Envers du récit.► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'expression familière "Je m'en tamponne le coquillard" signifie que l'on se moque totalement ou que l'on est indifférent à quelque chose. Elle peut paraître étrange, mais son origine remonte à plusieurs siècles et s'inscrit dans un langage imagé typique du français populaire. Décryptage des mots•"Tamponner" : Au sens figuré, ce verbe signifie frotter ou nettoyer quelque chose. Dans ce contexte, il évoque une action mécanique qui, appliquée à un élément du corps, renforce le ton humoristique et trivial de l'expression.•"Coquillard" : Ce mot désigne les fesses ou le postérieur dans l'argot du XIXᵉ siècle. Il est dérivé de "coquille", qui, par analogie, évoque une forme arrondie et protectrice.L'expression pourrait donc littéralement se traduire par "Je me frotte les fesses avec", suggérant une totale désinvolture ou un mépris pour la chose évoquée. Origine historiqueLe mot "coquillard" possède des racines plus anciennes. Au Moyen Âge, il désignait également une bande de brigands, les "Coquillards", actifs au XVe siècle, qui se faisaient passer pour des pèlerins portant des coquilles de Saint-Jacques (symbole des pèlerins de Compostelle). Toutefois, cette origine semble peu liée à l'expression actuelle.L'expression aurait véritablement émergé dans le registre populaire et argotique au XIXᵉ siècle, où des métaphores corporelles et des termes crus étaient fréquemment employés pour exprimer des idées de mépris ou d'indifférence. Elle appartient à une série d'expressions du même registre, comme "Je m'en bats l'œil" ou "Je m'en fiche comme de l'an quarante", qui jouent sur un mélange de légèreté et d'irrévérence. Évolution et usageSi l'expression peut aujourd'hui sembler un peu désuète, elle reste utilisée dans un registre familier pour souligner une indifférence marquée. Son ton humoristique et imagé lui assure une certaine popularité, notamment dans des contextes où l'on souhaite exprimer son désintérêt de manière originale ou colorée. En résumé, "Je m'en tamponne le coquillard" est une expression typiquement française, née de l'argot du XIXᵉ siècle, et qui illustre le goût du langage populaire pour les métaphores corporelles et triviales. Elle témoigne d'une certaine poésie du quotidien, où l'on se joue des conventions pour exprimer avec humour ce que l'on pense ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
RTL 5minutes - Gudden Appetit - cuisinez simple et gourmand avec Mathieu Lopez
La légende raconte que ce sont les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle qui avaient pour coutume d'orner leurs chapeaux et manteaux d'une coquille. Pour réaliser des coquilles Saint-Jacques au four pour 4 personnes, vous aurez besoin de 500g de St Jacques crues, 50g de beurre, 100g d'emmental râpé, 5 cuillères à café de cognac, 1 pot de 125g de crème fraîche, 1 gousse d'ail, 10g de persil, du sel et du poivre du moulin.
REDIFF - José a profité de ses vacances pour réfléchir à sa vie. Divorcé depuis 2019, il est parti sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Malheureusement, le chemin du travail a été beaucoup moins enthousiasmant. Il réfléchit donc à revendre son camion à pizzas pour ouvrir une auberge dans le Gers. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
S'il y a bien une partie du corps qui requiert toute l'attention du pèlerin de St-Jacques de Compostelle ce sont ses pieds.La marche à pied nous reconnecte à notre nature profonde, celle de bipède.Les randonneurs au long cours, qui avalent leur vingtaine de kilomètres quotidiens, entretiennent une relation intense et inédite avec leurs pieds.Notre reporter Gilles Donada s'est rendu au Puy en Velay, à Conques et à Santiago de Compostela pour interroger les pèlerins sur cette relation si particulière.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines►Écoutez les autres podcasts de La Croix : Place des religions, Marseille ; générations JMJ ; Les 7 travaux du pape François ; Benoît XVI, un pape méconnu ; ou encore L'Envers du récit.► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Loup Besmond de Senneville et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Marielle raconte une résidence d'artiste sur une île de Galice
Quand on s'équipe pour partir sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, on remplit son sac à dos avec soin pour conserver l'essentiel et se séparer du superflu. Croire, saison 3 – épisode 2/10 :Dans son sac à dos, le pèlerin de St-Jacques de Compostelle transporte sa maison, autrement dit, tout ce qui lui est nécessaire. On dit habituellement qu'un sac à dos ne doit pas dépasser 10% du poids chez les hommes et 8% chez les femmes, hors provision d'eau et de nourriture. Conserver l'essentiel et se séparer du superflu est un vrai apprentissage qui s'effectue tout au long du chemin. CRÉDITS :Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musique : Alegria extrait de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.► Écoutez les autres saisons de "Croire, le podcast de l'aventure spirituelle" :- Saison 1 : Les voies de la prière- Saison 2 : Vies de moines► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
José a profité de ses vacances pour réfléchir à sa vie. Divorcé depuis 2019, il est parti sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Malheureusement, le chemin du travail a été beaucoup moins enthousiasmant. Il réfléchit donc à revendre son camion à pizzas pour ouvrir une auberge dans le Gers. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Dans cet épisode, je vous emmène sur le chemin de la rentrée après un périple de 1 000 kilomètres sur le chemin de Compostelle. Après des semaines de déconnexion, le retour à la réalité peut être un défi pour beaucoup d'entre nous. Grâce à un sondage réalisé sur mon profil LinkedIn auprès de plus de 2 000 personnes, j'ai découvert que les avis sont partagés : certains sont en pleine forme, d'autres moins.Mais quelle que soit votre situation, ce moment de l'année est idéal pour instaurer de nouvelles habitudes positives. Dans cet épisode, je vous partage des conseils pratiques pour reprendre le rythme en douceur, planifier vos journées efficacement, et surtout, prendre soin de votre bien-être pour aborder la rentrée avec sérénité. Vous découvrirez aussi comment fixer des objectifs motivants et l'importance de déconnecter après le travail pour préserver votre équilibre.Que vous soyez au sommet de votre forme ou encore en train de récupérer de l'été, cet épisode vous donnera les clés pour transformer cette rentrée en une véritable réussite. Alors, prêt(e) à faire de cette nouvelle saison un tremplin pour votre bien-être et votre productivité ?0:00 Introduction0:23 Introduction 20:42 Le sondage de la semaine1:41 Reprendre progressivement le rythme2:19 Planifiez vos journées2:56 Prenez soin de votre bien-être3:35 Fixez-vous des objectifs motivants4:08 Privilégiez la déconnexion après le travail4:48 Restez flexible et adaptable5:23 Conclusion 15:56 Conclusion 2Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cyrille Boland, marcheur passionné, a eu l'idée de créer un nouveau chemin au cœur de la Provence, sur les pas de Marie-Madeleine. À l'origine, celui qui se décrit comme un enfant des bois, des mares et des champs, a d'abord connu « quelques déboires scolaires », avant de découvrir de « nouvelles voies d'évasion ». À l'âge de 20 ans, la pratique de la randonnée en montagne a été une révélation pour lui. Il a ensuite croisé des voyageurs comme Sylvain Tesson et Alexandre Poussin. Il a marché de plus en plus, vers Compostelle ou vers Assise. En même temps, il a développé une fréquentation amoureuse de la Provence qui aura de l'importance quelques années plus tard. Entre temps, la découverte de Lanza del Vasto, pèlerin ou vagabond, poète ou mystique, notamment inspiré par Gandhi, a également été déterminante pour lui. Avant de se convertir à l'Orthodoxie qu'il pratique aujourd'hui avec son épouse Marie. Il y a quelques années, au cœur d'un hiver breton un peu trop long et trop gris, il a eu l'idée d'une première marche en Provence. Cyrille a suivi les traces de Marie-Madeleine, dont la tradition dit que, fuyant les persécutions des premiers chrétiens, elle aurait accosté les rives des Saintes-Marie de la Mer, accompagnée notamment de Marthe et de Lazare. Cyrille Boland nous raconte ici comment, au fil des années, il a cherché, balisé et organisé un tracé alors inexistant. Depuis, une association est née, de nombreux acteurs locaux se sont joints, des solutions d'hébergement ont été créées. Il y a quelques semaines, nous découvrions le Tro Breiz avec Gaële de la Brosse, qui nous raconte l'évangélisation de la Bretagne. Ici, Cyrille Boland nous révèle l'histoire de la christianisation du sud de la France, notamment à Marseille, à Aix en Provence, à Avignon et bien-sûr à la Sainte Baume. Aller sur les pas de Marie-Madeleine prend évidemment une signification particulière. L'occasion aussi pour Cyrille Boland de nous dire sa compréhension de cette immense figure féminine, et le rayonnement qu'elle exerce sur nos vies. Cyrille Boland nous invite à un voyage à la fois touristique, dans des lieux parmi les plus beaux de France, et initiatique. Il s'inspire aussi de Mircea Eliade, pour qui tout voyage comporte une mort au profane, celle qui permet d'accéder à un mode de vie nouveau, et éminemment spirituel. L'homme moderne n'est pas parvenu à désacraliser entièrement le monde. Les aventures initiatiques sont à notre portée, celles qui nous permettent de raviver les mythes, les traditions et les légendes, comme celle de Marie-Madeleine en Provence. Pour nous permettre de toucher au sacré, d'embellir le réel, et d'écouter la parole parfois mystérieuse du divin. Pour découvrir l'association Chemins des Saintes et Saints de Provence créée par Cyrille Boland, cliquer ici. Pour lire En Provence sur les traces de Marie-Madeleine, le livre de Cyrille Boland, cliquer ici. -------------- HOMMAGE À ANNICK DE SOUZENELLE Annick de Souzenelle est partie pour le Ciel le dimanche 11 août 2024. Nous ressentons une immense gratitude pour le rayonnement exceptionnel de cette très grande Dame de coeur, de lumière et de sagesse. Les 3 participations d'Annick à Zeteo sont les plus écoutées de tous les épisodes du podcast, dont cette dernière rencontre : Le Grand Retournement est proche, un jour de l'automne 2023. Ce jour-là, Annick avait accepté l'interview, que nous n'étions pas certains de pouvoir achever en raison de sa grande fatigue. Depuis quelques jours, nous sommes nombreux réunis en pensées et en prières auprès d'elle. Nous sommes très nombreux à ressentir sa présence, et à exprimer la gratitude et la joie pour la vie d'Annick de Souzenelle. Le mercredi 13 août, nous étions également nombreux réunis auprès d'Annick, pour son enciellement. Nous vous invitons à revivre un peu cette si émouvante journée avec quelques photos, que nous publions sur notre site à ce lien. Nous remercions Marie-Anne du Réau, sa fille, pour son accueil ainsi que pour la plupart des photos. Avec l'aimable accord de Bertrand Vergely, nous publions également le texte du message qu'il a adressé à Annick après la cérémonie, à l'assemblée de tous ceux qui étaient venus lui dire un dernier au revoir. Nous publions encore le petit film vidéo capté il y a deux ans, au cours de l'enregistrement de la 2ème participation d'Annick à Zeteo, au moment de la remise du bronze créé par Frédérique Lemarchand : La danse de Jacob avec l'Ange. Si chère Annick, Merci infiniment, Au revoir ! Guillaume Devoud APPEL AUX DONS Pour répondre à la mission d'évangélisation au plus grand nombre, Zeteo est un podcast chrétien d'accès entièrement gratuit et sans publicité. Nous dépendons intégralement des dons des auditeurs qui apprécient nos podcasts et qui peuvent contribuer à notre effort. Chaque semaine, nous remettons notre activité dans les mains de la providence, avec cette certitude que si le Seigneur souhaite que notre mission continue, il saura susciter les donateurs parmi vous. Avec bientôt 300 épisodes diffusés depuis son lancement en janvier 2020, Zeteo n'a connu aucune interruption d'activité. Il n'y a pas de semaine moins importante qu'une autre. C'est pourquoi notre appel aux dons est toujours actuel. Cette semaine, peut-être qu'elle la vôtre, pour faire un don à votre tour ? D'avance, un grand merci à ceux qui répondront à cet appel. Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Bethesda, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Telio, cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Canopée, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
Vous ne le savez peut-être pas, mais le sentiment de ne pas avoir assez de temps à sa disposition pour tout faire dans une journée de travail est la première source de stress des salariés. Nous passons notre vie à courir après celui-ci et, c'est rare que nous le rattrapions. Mais ce n'est pas une fatalité… et j'en suis la preuve vivante. L'année dernière avant de partir sur Saint Jacques de Compostelle, j'étais au bord du burn-out : trop de projets, trop de travail, je travaillais quasiment 7 jours sur sept. Eh bien… depuis quelques mois, je suis passé à la semaine de 4 jours, sans pour autant réduire la quantité de contenus que je fais : 2 épisodes de Happy Work chaque jour, un article hebdomadaire, mes réseaux sociaux et un livre en train d'être écrit. Comment j'ai fait ? C'est ce que j'explique dans cet épisode :Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette année encore... je pars sur le Chemin de Compostelle.Je vais parcourir entre 700 et 800 km de Bilbao à Saint-Jacques-de-Compostelle, peut-être même jusqu'à Fisterra, le point le plus à l'ouest de l'Europe. Pour les 30 prochains jours, je vais totalement déconnecter du tumulte numérique pour vivre cette expérience unique.
durée : 00:04:43 - Le Reportage de la Rédaction - Depuis maintenant vingt ans, l'association Seuil organise des marches dites de rupture pour les mineurs, victimes ou auteurs d'actes de délinquance. Objectif : 1 600 kilomètres à parcourir en trois mois avec un accompagnateur, soit l'intégralité des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
durée : 00:04:43 - Le Reportage de la Rédaction - Depuis maintenant vingt ans, l'association Seuil organise des marches dites de rupture pour les mineurs, victimes ou auteurs d'actes de délinquance. Objectif : 1 600 kilomètres à parcourir en trois mois avec un accompagnateur, soit l'intégralité des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Vous ne le savez peut-être pas, mais le sentiment de ne pas avoir assez de temps à sa disposition pour tout faire dans une journée de travail est la première source de stress des salariés. Nous passons notre vie à courir après celui-ci et, c'est rare que nous le rattrapions. Mais ce n'est pas une fatalité… et j'en suis la preuve vivante. L'année dernière avant de partir sur Saint Jacques de Compostelle, j'étais au bord du burn-out : trop de projets, trop de travail, je travaillais quasiment 7 jours sur sept. Eh bien… depuis quelques mois, je suis passé à la semaine de 4 jours, sans pour autant réduire la quantité de contenus que je fais : 2 épisodes de Happy Work chaque jour, un article hebdomadaire, mes réseaux sociaux et un livre en train d'être écrit. Comment j'ai fait ? C'est ce que j'explique dans cet épisode :Et pour retrouver tous mes contenus, tests, articles, vidéos : www.gchatelain.comSi vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Durant tout l'été, retrouvez chaque dimanche l'histoire d'une grande cathédrale de France. Dans ce numéro, Raphaël Vantard vous présente celle du Puy-en-Velay. Avec sa pierre noire volcanique, elle trône, perchée, presque en équilibre, dominant la ville. Bienvenue au pied de Notre-Dame-de-l'Annonciation, cathédrale connue dans le monde entier pour sa vierge noire mais surtout comme le point de départ de la Via Podiensis, l'un des plus célèbres chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
L'appel lancé en avril dernier a été entendu : nous poursuivrons nos conversations hebdomadaires et leurs suppléments culturels au long de notre huitième saison qui débutera le 8 septembre par une enregistrement en public à l'École alsacienne. A l'origine de notre peau de caste, il y a eu pendant presque 20 ans à l'antenne de la radio de service public une émission créée et animée par Philippe Meyer. En juillet 2017, Radio France annonçait que cette émission n'avait plus sa place à l'antenne et licenciait son créateur. De nombreux auditeurs ont alors souhaité que les conversations hebdomadaires dont ils étaient friands se poursuivent sur la toile. Avec l'accord des participants réguliers à ces conversations, Philippe, plutôt que d'entreprendre le tour du monde qu'il avait organisé, nous a trouvés une place au milieu des podcasts encore au début de leur développement. Sa passion de la radio l'a donc emporté sur son amour des voyages. Cette passion, il la raconte dans un livre paru il y a quelques semaines aux éditons des Arènes : « La Prochaine fois je vous l'écrirai ». En mai dernier, Nicolas Baverez a fait cette proposition à notre fondateur : Une idée déraisonnable m'est venue en lisant ton livre que je ne résiste pas à partager avec toi. Que dirais-tu d'une émission spéciale du Nouvel Esprit public dans laquelle tu serais l'invité pour parler de ton livre, de ton chemin de Compostelle et de ceux qui l'ont jalonné ? Jean-Louis te remplacerait aux commandes avec Roselyne et l'un ou l'une d'entre nous comme dernier comparse. Oublie ce message si tu penses que j'ai tenté une nouvelle fois d'habiller d'oripaux libéraux un coup d'État potentiel. Nous avons tous souscrit à cette proposition et c'est sa réalisation que nous vous proposons aujourd'hui, enregistrée avec Roselyne Bachelot, Nicolas Baverez, Jean-Louis Bourlanges et Béatrice Giblin.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:05:02 - Déjà debout - Jean-Jacques Charlet hôte bénévole sur le chemin de pèlerinage de Compostelle est l'invité déjà debout
durée : 00:05:02 - Déjà debout - Jean-Jacques Charlet hôte bénévole sur le chemin de pèlerinage de Compostelle est l'invité déjà debout
On dit que tous les chemins mènent à Rome. Et bien ils vont aussi bien plus loin. C'est ce que nous raconte Victor qui a traversé l'Italie du nord au sud en courant en 45 jours. Une aventure solitaire, minimaliste et aussi solidaire.Victor Ruiz est ainsi parti du col du Grand Saint-Bernard dans les Alpes jusque tout au sud en suivant la via Francigena. Un parcours de 1916 km en 45 jours, avec seulement 2 jours de repos, soit une moyenne de plus de 42,5 km par jour. La via Francigena est un chemin de pèlerinage reliant Canterbury à Rome en passant par la France et la Suisse. A l'origine c'était une voie romaine ouverte par Jules César reliant Rome au nord de l'Europe. Elle est devenue une importante voie de pèlerinage médiévale, comme les chemins de Compostelle.Victor est parti seul, sans assistance, avec un sac à dos léger et le minimum pour se changer et dormir. Le tout en parlant de son engagement pour collecter des fonds pour Autisme France.Dans l'épisode vous allez découvrir comment il s'est organisé pour manger, pour dormir mais aussi pour communiquer dans un pays dont il ne parle pas la langue. Vous allez découvrir ce qu'il a apprécié, ses difficultés, son approche mentale, sa relation à la solitude. Ou encore ce moment particulier où il a eu un réflexe de survie. Il compare aussi cette aventure avec celle de l'an dernier sur les Chemins de Compostelle.Victor fait donc partie de ses aventuriers qui nous démontrent que parfois il ne faut pas forcément grand chose pour se lancer et que de nombreux chemins ne demandent qu'à être suivis Même si pour ses projets futurs qui incluent des aventures encore plus ambitieuses il lui faudra aussi trouver des sponsors.Pourquoi vous aller adorer cet épisode La Traversée de l'Italie : Défis et RéussitesLes Chemins de Pèlerinage : Entre Entretien et SolitudeL'Autonomie en Course à Pied : Équipement Minimaliste et LibertéLa Via Francigena : Histoire, Paysages et ExpérienceLes Surprises du ParcoursPréparation Mentale et Apprentissage en Situation d'UrgenceL'art de l'adaptation en voyageLa solitude et la croissance personnelleDes aventures encore plus ambitieusesSon engagement pour l'autismeLiensSon compte Instagram : https://www.instagram.com/vik.runningAutisme France : https://www.autisme-france.fr/---KM42 est un podcast running, forme et préparation mentale qui vous accompagne et vous aide dans vos défis personnels. Toutes les semaines, je partage mon expérience, des conseils, des rencontres avec des personnes inspirantes pour explorer ces thématiques : Courir. Bouger. Manger. Dormir. Récupérer. Mental. recommencer.Mon compte Instagram : https://instagram.com/bertrandsoulierMes programmes et accompagnement : https://champions.soulier.xyz/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'était en octobre 2022. Vous aviez découvert l'histoire d'Estelle. Tout commençait par une envie d'ailleurs, un besoin de souffler amenant Estelle à faire un bout du chemin de Compostelle. Elle tombait sur le gîte de Dominique qu'elle va finissait par reprendre. Aujourd'hui, elle revient dans «Transfert» nous dévoiler comment sa vie a évolué depuis la diffusion de l'épisode.Écoutez-en un extrait: son témoignage complet est à découvrir en s'abonnant à Transfert Club, la chaîne payante réservée aux abonné·es, disponible sur Apple Podcasts, Spotify, et sur les autres plateformes via le lien slate.fr/transfertclub.«Transfert» est un podcast produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronDirection de la production: Sarah KoskievicDirection artistique: Benjamin Saeptem HoursProduction éditoriale: Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem HoursPrise de son et montage: Victor BenhamouRetrouvez Transfert tous les jeudis, ainsi que des épisodes inédits deux fois par mois sur Transfert Club, la chaîne payante réservée aux abonné·es, disponible sur Apple Podcasts, Spotify, et sur les autres plateformes via le lien slate.fr/transfertclub.Suivez Slate Podcasts sur Facebook et Instagram (retrouvez-y aussi le compte de Transfert). Pour participer au podcast: transfert@slate.fr.
Après une école de commerce, Pauline Wald a travaillé sept ans dans le secteur bancaire. À l'aube de ses 30 ans, en quête de sens, elle quitte son travail pour marcher, de sa maison natale en Alsace jusqu'à Saint-Jacques-de-Compostelle. C'est alors qu'un nouveau chemin s'offre à elle. Elle est l'invitée du 143ème épisode du podcast C'est quoi le bonheur vous ?Sans formation dans l'audiovisuel, elle réalise le film Chemins de Vie et entreprend une tournée de projections. En parallèle, elle poursuit des études de psychologie et devient psychologue. Dans son premier livre, Marcher vers son essentiel, elle raconte son cheminement intérieur sur Compostelle. Son deuxième livre, Enseignements de la montagne, retrace sa quête de mieux- être à travers le chamanisme et la méditation. https://www.paulinewald.com/Envie de nous aider ? C'est rapide et gratuit ! Il vous suffit de vous abonner et de laisser une bonne note ou un commentaire sur votre plateforme d'écoute : les algorithmes adorent ça, et nous, ça nous permet de semer encore plus de graines !Pour vous inscrire au week-end immersif du 2 au 4 août: https://www.cestquoilebonheur.fr/week-end-immersif/
Frédéric Beauchemin est appuyé par Carlos Leitão dans la course à la chefferie du PLQ, même s'il n'est pas encore officiellement dans la course. Le 11 mai sera le début de la marche Compostelle pour Denis Coderre. Deux nouveaux départs chez Québec Solidaire vendredi dernier. Segment LCN avec Julie Marcoux.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le 4 septembre 2011, Nathalie Barré signale qu'elle n'a plus de nouvelles de son fils Mathis Jouanneau, 8 ans. Son ex-mari, Sylvain Jouanneau n'a pas ramené Mathis à sa mère après sa garde du week-end. Dans une lettre, il indique qu'il souhaite disparaître volontairement avec son fils. Huit mois auparavant, le père avait déjà tenté d'enlever Mathis. Sylvain Jouanneau est interpellé seul deux mois plus tard sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Mathis reste introuvable et son père refuse de dire où il se trouve. En 2015, Sylvain Jouanneau est condamné à 20 ans de réclusion.
Dans cet épisode, nous plongeons dans le monde des défis sportifs et de l'engagement envers une cause. Animé par Coach Bill et Coach Isa, nous explorons les motivations, les défis et les récompenses associés à la participation à des événements de course ambitieux. Nous commençons par discuter de la montée en popularité des événements de course à pied liés à des causes caritatives. Ces défis offrent bien plus que de simples kilomètres à parcourir ; ils fournissent une motivation extrinsèque et un sentiment d'appartenance à une communauté engagée. Nous partageons nos propres expériences de défis personnels et de ce qui nous a poussés à nous surpasser. Isa partage son vécu en tant qu'entraîneuse et participante aux Demois'Ailes, soulignant le fort sentiment d'appartenance et de fierté associé à de tels défis. Pour Bill, ce fut le coaching des Demois'Ailes ainsi que son rôle d'encadreur dans le Grand Défi Pierre Lavoie. Nous explorons également la dynamique entre la course pour soi et la course pour une cause. Les pressions sociales, la motivation collective et l'engagement envers une mission plus grande peuvent tous jouer un rôle dans la façon dont nous abordons nos objectifs de course. Enfin, nous discutons de l'importance de la période post-défi, où repos, réflexion et récupération sont essentiels. Nous abordons les aspects psychologiques de la transition après un défi, y compris la solitude et l'état de manque. En conclusion, dans cet épisode, on vous encourage à vous engager dans des défis, qu'ils soient personnels ou liés à une cause. Nous soulignons l'importance de sortir de sa zone de confort, de puiser dans ses propres ressources intérieures et de s'ouvrir à l'imprévu pour atteindre des sommets qu'on pensait inatteignables. Ces réussites sont génératrices d'une très grande fierté personnelle. Sur ce, Bonne course !
On parle dans ce cas de marée blanche. Le 8 décembre 2023, une tempête secoue le Toconao, porte-conteneurs battant pavillon libérien. Au large du Portugal, un container tombe à l'eau, se perd en mer et se brise… il libère un millier de sacs de pellets, des microbilles de plastique qui vont se répandre, portées par les courants, au gré des plages de Galice. Dans ce nord-ouest de l'Espagne, c'est la panique, la région vit de la pêche et tout l'écosystème est menacé. Des semaines plus tard, la marée blanche continue d'inquiéter. « Galice : avec la crise des pellets, le monde de la mer tire la sonnette d'alarme », un Grand Reportage de François Musseau.Nous sommes sur la plage de Carnota, une des plus grandes et aussi une des plus majestueuses de Galice. Ce samedi matin, environ deux mois après l'accident du Toconao, ils sont une quinzaine de volontaires de l'organisation écologiste Ecologistas en Accion à ramasser avec un soin infime ces microbilles de plastique parsemées.Marcos est universitaire à Saint-Jacques de Compostelle. Il s'est porté volontaire pour ce ramassage : « Comme tu peux le voir, on s'aide d'un balai pour ôter la couche superficielle de sable et trouver le déchet de plastique. Le problème est que souvent les pellets se mêlent aux algues ; il faut donc faire attention. D'autant qu'on nous a expliqué de laisser sur place les algues qui font partie de l'écosystème. Dans cette zone, il n'y a pas tant de pellets que cela, mais en revanche il y a tout type d'ordures, notamment d'autres sortes de plastique. Ce qui me surprend, c'est qu'il y ait plein de pellets différents. Quand on nous a montré le déversement à la télévision, ils n'étaient que d'un seul type ; or là, il y en a de toutes formes et de toutes couleurs, c'est donc probable, nous a-t-on expliqué, qu'il y ait eu auparavant bien d'autres déversements, moins importants ou plus lointains. »Des microbilles de plastique toxiquesAccroupis face à la mer en quête de ces minuscules granulés, très difficiles à extraire, lui et les autres portent des gants afin de se prémunir contre une possible contamination. À la direction de ce ramassage méticuleux, Cristobal Lopez, un des porte-parole d'Ecologistas en Acción : « Ce sont des boules de 4 à 5 millimètres de diamètre. Elles ont un composant qui les stabilise et les protège des rayons ultraviolets ; or ce composant est toxique, explique l'activiste. Il ne va rien t'arriver si tu en touches un ou plusieurs, mais une introduction prolongée dans le milieu naturel peut le rendre toxique. On recommande aux gens de ne pas se toucher les yeux, le nez ou la bouche pendant le ramassage. En outre, le problème est que disséminé en mer, à 5 ou 10 centimètres sous le niveau de l'eau, le pellet peut être confondu avec des oeufs pondus par les poissons. Et si un poisson en avale trop, il peut mourir par inanition. (…) L'ennui avec ces nanoplastiques est qu'ils peuvent s'introduire dans le plancton et donc dans la chaîne alimentaire, ce qui veut dire qu'ils peuvent terminer sur notre table. Il faut donc décontaminer au plus vite les zones affectées afin que les gens soient rassurés et continuent à acheter des poissons et des fruits de mer de Galice (…) Ce qui se présente en mer est une sorte de soupe, très diffuse ; il s'agit d'une contamination invisible, presque trop claire, mais qui n'est pas pour autant inoffensive pour l'environnement. »Quasi invisibles, très disséminés, ces « pellets » demeurent donc une menace. Dans les premières semaines, on les ramassait par seaux entiers, ces billes blanchissaient les plages et les rochers, d'où le nom de « marée blanche ».C'est la société civile qui a réagi tout d'abord, des associations, des volontaires, des écologistes qui se sont échinés à ramasser ces billes de plastique. À Corrubedo, un jeune patron de bar en a recueilli 60 sacs à lui seul. Ce sont d'ailleurs les jeunes qui ont réagi le mieux et le plus rapidement. Luis Perez Barral a 32 ans, il est le maire nationaliste de Ribeira, une commune de 27 000 habitants très touchée par cette pollution de plastique : « Paradoxalement, ce sont les jeunes gens qui ont donné le signal d'alarme et qui ont mobilisé les volontaires via les réseaux sociaux. À mon avis, cela s'explique par le fait que nous, les jeunes, sommes très conscients de notre environnement et du changement climatique. C'est notre vie même qui est en jeu. Notre génération va connaître une mutation climatique aux conséquences quasiment insondables, et nous devons y faire face. Je crois que nous ne pouvons pas normaliser le fait que nos côtes soient polluées par des millions de plastiques et de micro-plastiques et qu'on ne réagisse pas. »La marée blanche des pellets a été un choc, le gouvernement central a même effectué douze vols et une cinquantaine d'observations satellite pour les récupérer en mer. En vains. Aujourd'hui, les pellets sont bien moins visibles et la vie continue. Et pourtant, le monde de la mer, qui structure une région toute entière, ne s'en n'est pas remis. Tout le monde y voit un sérieux avertissement.Chute de productionAna Freira Diaz est biologiste et océanographe à l'Université de Vigo. Elle a aussi beaucoup participé à des ramassages de « pellets » : « Moi, je crois que c'est une sérieuse mise en garde concernant notre environnement, c'est une mise en garde concernant notre système de marchandises ; une mise en garde qui nous oblige à considérer cet épisode comme un déversement toxique et dangereux ; une mise en garde qui a trait à notre relation avec le plastique ; une mise en en garde aussi qui doit nous pousser à actualiser notre législation en la matière. Cela affecte les animaux, car ils peuvent ingérer ces nanoplastiques, et se retrouver avec les blanchies asphyxiées. Mais le problème à long terme, c'est que nous allons continuer à observer cette décomposition, une décomposition sur laquelle il faudra bien que nous nous penchions. »La crise de ces micro-plastiques est un détonateur, une sorte de goutte d'eau qui fait déborder un vase déjà plein : celui de la contamination. Et tout particulièrement la contamination des rias, ces profonds estuaires qui découpent le littoral de Galice, parmi les plus prolifiques au monde en fruits de mer, en moules, en couteaux ou en coques.Noia est une de ces charmantes communes de cette côte riche en fruits de mer, le marisquo, et qui en vit.Liliana Solis, biologiste, est la porte-parole de la principale confrérie de pêche : « La Galice se caractérise par sa pêche traditionnelle. Et dans un estuaire comme le nôtre, cela concerne tout spécialement le marisqueo, les fruits de mer. Au cours de ces dernières années, on a vu une chute de production de ce secteur. Et tout particulièrement l'an dernier, après les inondations de l'hiver 2022-2023. Il y a des facteurs environnementaux qui pèsent comme celui de l'impact des centrales électriques. Les coques et les couteaux sont des mollusques d'estuaires, qui, il faut le reconnaître, meurent parfois en masse en raison des pluies abondantes en Galice. Mais il n'y a aucun contrôle exercé sur les centrales hydroéclectriques, et les autorités ne font rien pour mesurer leur impact sur l'écosystème ni n'interviennent pour corriger l'effet sur l'écosystème ainsi que les pertes économiques pour la pêche. »Les pêcheurs, qui travaillent dans l'estuaire de Noia, ne le savent que trop bien. L'an dernier, la production a chuté si violemment que les autorités de régulation, en accord avec la confrérie, ont décidé de stopper l'activité. Afin que la faune marine se régénère.Si bien que, hormis 8 jours en octobre, les 1 200 pêcheurs de la confrérie de Noia, et leurs 550 bateaux, sont à quai depuis début 2023. Ce qui n'était jamais arrivé. Liliana Solis s'en inquiète : « C'est un secteur qui connaît de grandes difficultés depuis des années : perte d'habitat, changement climatique, problème de commercialisation… Et ces derniers temps, on a vu s'amplifier le phénomène des déchets marins. C'est une préoccupation environnementale pour laquelle on dépense beaucoup d'argent, il y a des politiques qui sont menées en ce sens, mais il reste beaucoup à faire. Car en vérité, le littoral ne peut pas supporter plus de résidus. Et la grande inquiétude est que cela impacte négativement les ressources marines pour la pêche. »Cette inquiétude, on la retrouve partout, tout au long de ce littoral déchiqueté, de La Corogne, au nord, à Vigo au sud, et au gré des quatre grands estuaires entre les deux, parmi les plus riches du monde en mollusques.« Sans la mer, je ne pourrai pas vivre »À une cinquantaine de kilomètres de là, il y a la commune de Rianxo, 11 000 habitants dans l'estuaire d'Arousa, connu pour ses moules. Nous sommes avec Dolores Gomez, 46 ans, alias « Loli » pour tout le monde. Dans son bateau de pêche : « C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. De tous les maux dont nous souffrons, les pellets sont un mal supplémentaire. Ce qu'il révèle est que nous n'étions pas préparés comme on le pensait face à un tel rejet en mer. Je me souviens de cet homme, au tout début du déversement des pellets, qui avait rempli des sacs entiers de ces plastiques ; il avait appelé partout mais personne ne l'a pris au sérieux. On n'a pas accordé au problème l'importance qu'il présente. Et ce problème s'ajoute à la contamination, au changement climatique, aux déchets, à la faible productivité. De mon côté, je vois que les gens peuvent de moins en moins vivre de la côte. Car tu ne pêches plus, tu ne gagnes pas. Avec ce que tu pêches, tu ne gagnes presque rien. Tout cela va avoir un grand effet sur ce que signifie le fait de vivre ici. »À ses côtés, dans le bar du port de Rianxo, O Taberneiro, Celia, 32 ans, aussi une force de la nature, parle d'un travail précarisé pour ces marisqueras, ces femmes qui ramassent les fruits de mer dans les estuaires, à pied ou en bateau, alors que, traditionnellement, les hommes partent plutôt en haute mer. Comme Loli, Celia Herbon milite dans le collectif « Mulheres salgadas », littéralement « Femmes salées », qui se bat contre le machisme régnant dans ce secteur : « Moi, je suis une passionnée de la pêche depuis que je suis née, je suppose. J'ai été élevée dans un bateau, sur les plateformes de moules, dans la pêche de fruits de mer à pied. À 6 ans déjà, je savais parfaitement ramasser les coques. Sur les bateaux, j'ai su très vite réparer les filets, tout… Moi, sans la mer, je ne pourrai pas vivre, je ne peux pas le dire mieux. Actuellement, ma spécialité, c'est la pêche à la moule. Ces dernières années, c'est vraiment difficile, juste, on est endetté, il faut jouer avec les prêts et les crédits à la banque ; ce sont de mauvaises années. Je vis très juste de mon entreprise. J'espère que les temps à venir seront meilleurs. »Cette crainte, cette peur de disparaître, elle existe un peu partout dans les bourgades de ces rias galiciennes, de ces estuaires, dans les ports, dans les hameaux, les moindres recoins. Il y a le sentiment que quelque chose de lointain et d'ancestral se délite, perd de sa force. Au final, marées blanches et perspectives noires, c'est ce que les pellets ont mis en lumière.Face à la crise, les jeunes diplômés pêchent aussi Revenons à Noia. Près de l'église principale, il y a un cimetière galicien typique, avec ses croix en granit, un peu comme en Irlande.Ce jour, Mercedes, bientôt 80 ans, est venu se recueillir et changer les plantes de la tombe de ses parents : « La vie de mes parents, c'était la pêche aux fruits de mer, celle de mes grands-parents aussi. Pour moi, cela n'a pas été complètement le cas. Mais bon, quand j'étais une fillette, j'allais pêcher ; j'y allais pieds nus, sans combinaison ni rien ! J'allais à Tesla, la plage de Noia, en pleine Ria ; là, il y a une étendue de sable très vaste, où les gens ont toujours ramassé des coques, avant de les amener à la halle, de les mettre aux enchères, de les vendre, pour être payé le lendemain. Moi, ensuite, j'avais travaillé pour une entreprise de bois ; j'y suis resté 17 ans. Ensuite je me suis séparée et j'ai dû revenir au marisco, mais cette fois-ci en tant que surveillante. Et la vie a continué comme ça. »Mercedes a vu passer une bonne partie du siècle dernier et de celui-ci. Elle a un fichu noir, une mantille, l'ensemble de ses vêtements et son aspect sont traditionnels, mais elle a bien observé l'évolution, les changements. Et, lorsqu'elle se souvient de sa jeunesse, lorsqu'elle allait pêcher avec son père, sa mère et ses frères, elle ne reconnait plus grand chose : « Avant, il y avait beaucoup plus de marcisco qu'aujourd'hui. Parce qu'on n'était pas si nombreux. On était des familles de 3 ou 4 frères avec des parents qui travaillent en mer. Désormais je vois des avocats au chômage qui, s'il faut aller aux fruits de mer, y vont car il faut bien manger. Je connais des jeunes bardés de diplômes qui vont ramasser des fruits de mer. Eh oui, car ils n'ont pas de travail non plus. C'est exactement comme un avocat devant émigrer en Suisse, en Angleterre, ou en Allemagne. Eh bien ceux-là, au lieu d'émigrer se rendent à une confrérie de pêche, obtiennent une licence et vont pêcher. Et on y gagne de l'argent. »« Pour Noia, c'est un désastre »Mercedes connait bien ce monde, elle connait bien aussi les mollusques, tous les fruits de mer. Elle sait aussi tout le mal que peuvent provoquer des inondations depuis les rivières qui se jettent dans les estuaires : « Les fruits de mer, s'il leur arrive trop d'eau douce, ça les tue. Et le mollusque qui vient de naître n'a pas eu le temps de se développer. Selon mon point de vue, je ne suis pas une experte, mais quand on y allait, on était nombreux, il y avait plein de fruits de mer, on y allait en bateau. 20 caisses, 30 caisses. Et maintenant non. 20, 25 kilos, pas plus, c'est toujours de l'argent. Mais il y a moins de fruits de mer. Et comme aujourd'hui ce sont 7 mois d'affilée, l'estuaire ne se régénère pas en fruits de mer. Moi, aujourd'hui, je suis curieuse de voir comment tout cela va évoluer, comment chacun parvient à se démener et trouver une solution, car l'avenir n'est pas rose. Les mollusques tout juste nés ne peuvent grandir et le banc de pêche ne donne plus grand chose… Pour l'instant, les mariscadores reçoivent des aides, certains pour une durée de 5 ans, d'autres de 10 ans. Mais c'est un désastre, pour Noia c'est un désastre, pour le commerce, pour tout... De quoi va-t-on vivre, si on a toujours vécu de cela ? »Les craintes pour l'avenir, que le déversement des « pellets » a ravivé et renforcé, elles ne sont pas seulement le fait de ceux qui pêchent dans les rias, dans les estuaires. Ceux qui lancent leurs filets un peu plus loin aussi sont inquiets.À Porto Do Son, il y a Rogelio Santos Queiroga, 46 ans, qui pêche tous les jours avec son frère à bord du Milena, un bateau qui a ses amarres dans ce port où il est né. Comme ses parents, ses grands-parents, ses arrière-grands-parents. Et la situation le désole : « Comment on a pu en arriver à ce qu'il y ait une telle quantité de plastique dans nos mers et nos océans ? Comment a-t-on pu en arriver là ? Partout j'entends, ce n'est pas grave, mais non. On arrive à un moment où on a extrait une bonne partie des ressources des océans ; il y a plein d'espèces au bord de l'extinction ou très limitées. On est à un point de bascule dans lequel, ou bien on est capable de repenser la pêche et notre façon de traiter la mer et les rivières, ou bien on va vraiment connaître une situation très difficile. Car on peut se passer de plein de choses, on peut se passer des voitures, des portables. Mais manger, cela on ne peut pas s'en passer. C'est la chose principale. »Des visions qui s'opposentRogelio porte une casquette, il porte un bouc bien taillé. Avec ses épaules très musclés, son regard déterminé et concentré, il donne l'impression d'être un roc. À l'entendre, on sent aussi que le sujet le touche au plus profond : « Alors, je suis inquiet. J'espère que cette crise aura servi à quelque chose ; j'espère qu'en retirant les pellets les gens se sont rendus compte qu'il y avait là plus de plastiques de tout type que de pellets. Et des plastiques, il y en a de tout type, des bouteilles, des emballages, etc. Et pas seulement ici, on en trouve sur toutes les plages d'Espagne et d'Europe, il y en a jusque dans les fossés de Madrid, de l'intérieur du pays, partout. Que fait-on ? C'est notre chez-nous, là où on mange, où on respire, où on joue, où on se baigne. Je ne parle pas seulement pour la pêche. Dans ma zone, plein de gens pratiquent la pêche sous-marine comme sport, font du surf. Chaque été, on reçoit des milliers de visiteurs qui viennent prendre des vacances et déguster nos produits de pêche. Qu'est-ce que nous sommes en train de faire ? Alors, cela me fait enrager quand j'entends des pêcheurs dire “Non, ce ne sont que quatre pellets ! Il y a en a toujours eu, il y a toujours eu des déchets marins !”. Comment ? Quel genre de pêcheur es-tu ? Comment peux-tu justifier cela ? »Rogelio Santos Queiroga fait partie de ces pêcheurs à la fois engagés et conscients de tout ce qui est en jeu. Il est fatigué de la mauvaise réputation des siens, ces pêcheurs qui agissent au détriment de la mer et de ses ressources. Lui affirme relâcher souvent en mer un homard qui aurait pu lui rapporter entre 150 et 200 euros, parce qu'il n'est pas encore de taille adulte. Il a créé une association de protection de la mer et, sur les réseaux sociaux, il publie des vidéos où il informe sur l'état de la mer, des espèces et sur l'évolution de la pêche. Une attitude pédagogique qui lui a valu le surnom d'« influencer de la mer » : « Des décennies d'installations d'un tout-à-l'égout dans toutes bourgades de pêche, qui ont assaini ces villages, les maisons, mais en échange cela a rempli la mer de merde. Il y a vingt ans c'était organique, c'était le water, la nourriture, etc. Mais ces dernières vingt années, il faut ajouter un record de produits chimiques de tout genre, les rejets de l'industrie, qui ne fait pas son travail et qui vont aussi vers la mer. Sans parler du boom des herbicides et pesticides de nouvelle génération pour les champs de maïs ou de pommes de terre. En Galice, vu la déclivité du littoral, quand il pleut tout se jette dans la mer. »Les fruits de mer, et pas seulement, aussi les poissons les plus divers que Rogelio recueille dans ses filets. Il voit bien qu'il y a en a de moins en moins. Et aussi pour une raison qu'en Galice on préfère taire la surexploitation.« Moi, la mer m'a donné à manger, elle m'a élevé, résume le pêcheur. Mon existence, ma maison, mon style de vie et celui de ma famille, mon sentiment d'appartenance à une communauté, tout cela a gagné en qualité au fil des années. Et tout cela grâce à ce que la mer nous a donné. »
Interviewée par Raphaëlle de Barmon
Sà comprendo débutants - Podcast pour apprendre l'espagnol
Apprends le vocabulaire basique des principales revendications féministes en espagnol afin de préparer l'écoute de l'épisode complet d'ici 15 jours.Liens utiles:Newsletter hebdomadaire.Liste d'attente "Español para viajar".La série documentaire: Féminisme, l'avant-garde espagnole.Ep51: Comment faire son sac pour le Chemin de Compostelle?
Tháinigh an t-athair Joe Ó Cochláin go Brú na Gráige i 1963 agus tá a chroí sa dúthaigh riamh ó shoin. Chaith sé tréimhse ana spéisiúil in Eaglais Naomh Séamus i Santiago de Compostelle mar a gcas sé ar chriú Naomhóig na Tinnte i 2016.
An t-athair Joe Ó Cochláin; Corca Dhuibhne agus Santiago de Compostelle. Diarmuid Ó Drisceoil;R&H Hall. Seosaimhín Ní Bheaglaoi; Macalla thar n-ais ar a stáitse.
Dans nos sociétés sécularisées, le diable est moins souvent invoqué, en tremblant, que dans les siècles passés. Mais il est à l'origine de nombreuses expressions, qui colorent encore notre langage d'un zeste de terreur. C'est notamment le cas de l'expression "au diable Vauvert". Elle est plutôt littéraire et n'est guère employée dans le langage courant. Quand on dit de quelqu'un qu'il est allé "au diable Vauvert", on entend par là qu'il est parti très loin, dans un lieu plus ou moins défini. Selon les spécialistes, cette expression date du XVe siècle. Son origine exacte est mal connue. Aussi a-t-on échafaudé, à son propos, un certain nombre d'hypothèses. Certaines font tout simplement état de lieux portant le nom de Vauvert et qui, avec le temps, auraient pu servir de terme générique pour désigner une destination lointaine et imprécise. On a pu notamment citer la commune de Vauvert, dans le Gard, ou le château du même nom, dans l'actuel Val-de-Marne. Étape sur la route menant à Saint-Jacques-de-Compostelle, la petite ville de Vauvert offrait aux pèlerins de passage de petits spectacles religieux, joués sur des tréteaux, et dans lesquels le diable tenait une grande place. D'autres auteurs rappellent que Vauvert était le nom de plusieurs lieux aux environs de Paris. Compte tenu de la lenteur des transports médiévaux, le voyage était toujours long et hasardeux. Ce qui aurait donné son nom à l'expression. Une hypothèse plus convaincante attribue l'origine de l'expression à un ancien château, construit, au début du XIe siècle, dans les environs du Paris de l'époque par le Roi Robert le Pieux. Situé dans un paisible coin de campagne, l'endroit est baptisé Val-Vert. Puis, avec le temps, il se dégrade et devient une ruine lugubre. Certains passants y sont troublés par d'inquiétantes apparitions. De Val-Vert, le lieu, de sinistre réputation, devient Vauvert. Pour l'atténuer un peu, on bâtit un couvent, au temps de Saint Louis. Et la rue qui, avec l'extension de la ville, devait border le monastère, ne s'appela pas pour rien la rue...d'Enfer ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans nos sociétés sécularisées, le diable est moins souvent invoqué, en tremblant, que dans les siècles passés. Mais il est à l'origine de nombreuses expressions, qui colorent encore notre langage d'un zeste de terreur.C'est notamment le cas de l'expression "au diable Vauvert". Elle est plutôt littéraire et n'est guère employée dans le langage courant. Quand on dit de quelqu'un qu'il est allé "au diable Vauvert", on entend par là qu'il est parti très loin, dans un lieu plus ou moins défini.Selon les spécialistes, cette expression date du XVe siècle. Son origine exacte est mal connue. Aussi a-t-on échafaudé, à son propos, un certain nombre d'hypothèses.Certaines font tout simplement état de lieux portant le nom de Vauvert et qui, avec le temps, auraient pu servir de terme générique pour désigner une destination lointaine et imprécise.On a pu notamment citer la commune de Vauvert, dans le Gard, ou le château du même nom, dans l'actuel Val-de-Marne. Étape sur la route menant à Saint-Jacques-de-Compostelle, la petite ville de Vauvert offrait aux pèlerins de passage de petits spectacles religieux, joués sur des tréteaux, et dans lesquels le diable tenait une grande place.D'autres auteurs rappellent que Vauvert était le nom de plusieurs lieux aux environs de Paris. Compte tenu de la lenteur des transports médiévaux, le voyage était toujours long et hasardeux. Ce qui aurait donné son nom à l'expression.Une hypothèse plus convaincante attribue l'origine de l'expression à un ancien château, construit, au début du XIe siècle, dans les environs du Paris de l'époque par le Roi Robert le Pieux.Situé dans un paisible coin de campagne, l'endroit est baptisé Val-Vert. Puis, avec le temps, il se dégrade et devient une ruine lugubre. Certains passants y sont troublés par d'inquiétantes apparitions.De Val-Vert, le lieu, de sinistre réputation, devient Vauvert. Pour l'atténuer un peu, on bâtit un couvent, au temps de Saint Louis. Et la rue qui, avec l'extension de la ville, devait border le monastère, ne s'appela pas pour rien la rue...d'Enfer ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Retrouvez dans cet épisode de Beau Voyage, un condensé des meilleurs conseils d'Alyette qui a déjà pris 3 fois le chemin de Compostelle. Partie une première fois, il y a 6 ans, avec son fils de 10 ans qui avait besoin d'un nouveau souffle, elle renouvelle l'expérience seule un an plus tard pour se retrouver. Après le COVID, c'est avec son mari, ses 2 garçons et son chien pour qu'elle embarque pour une nouvelle aventure. 3 Compostelle, 3 saisons, 3 tronçons et 3 équipes.On lui a demandé : On part avec quel guide ?C'est quoi les différentes options de départ ? Le meilleur point de départ ? Une étape moyenne fait combien de km ?Est -ce qu'on doit booker en avance les hébergements ?On part à quelle époque ? On se prépare comment ?On prend quoi comme sac a dos ?On prévoit quoi dans son sac ? On porte combien de kg dans son sac ?Si on peut pas porter on fait comment ?L'important à savoir quand on part à Compostelle ? 3 mots pour définir ce voyage ?Est ce qu'il faut être très sportif pour le faire ?On croise qui sur les chemins ? La meilleure table ou s'arrêter ? Le meilleur hôtel ?L'étape à faire absolument ? Le circuit à faire absolument ? Ca coûte combien une semaine ?C'est faisable avec des enfants ? Avec des ados cest ok ? La rencontre qui tas le plus marqué ? Partir seule, avec un enfant ou en famille quel est le meilleur format ?Le plus beau paysage ? L'immanquable de Compostelle ? Le meilleur livre à lire sur le chemin ? Les punaises de lit, mythe ou réalité ?A noter dans sa check list
"Est-ce que je suis encore forte à l'intérieur?"Dans ce nouvel épisode de Beau Voyage, nous recevons Alyette. Alyette est une adepte convaincue des bienfaits de la marche et croit fermement en la nécessité de revenir à des choses simples et authentiques à certains moments cruciaux de nos vies. C'est pourquoi elle est partie sur les Chemins de Compostelle non pas une, ni deux, mais bien trois fois.Sa première aventure l'a conduite sur ce chemin mythique aux côtés de son fils de 10 ans, en quête d'un nouveau souffle. Un an plus tard, elle a décidé de renouveler l'expérience en solitaire pour se retrouver elle-même. Puis, après les défis posés par la pandémie de COVID-19, elle a entrepris un troisième périple en famille, accompagnée de son mari, de ses deux garçons et même de leur chien.Trois chemins de Compostelle, trois saisons, trois tronçons, trois équipes différentes, et Alyette a peut-être parcouru un peu moins que les 930 km du chemin français, mais elle a tant de récits à partager sur cette expérience magique et spirituelle.Le chemin de Compostelle ne requiert pas d'être catholique, ni d'être un athlète de haut niveau. À chaque fois, la magie opère.Alyette nous dévoile toutes les étapes de ces trois périples, de la préparation du voyage à la réservation des nuits, de l'acquisition du précieux passeport aux premiers jours de marche, des repas à la table des pèlerins aux moments difficiles. Elle répond à toutes les questions que vous pourriez vous poser : par où commencer, combien de temps marcher, où se loger, faut-il tout réserver à l'avance, est-ce réalisable avec des adolescents, et qu'est-ce qui rend ces chemins si spéciaux ?Alyette partage son enthousiasme et son optimisme contagieux, nous révélant sa passion pour ces voyages simples qui requièrent seulement un sac à dos solide et de bonnes chaussures. De Compostelle, elle emporte avec elle des rencontres mémorables, des paysages à couper le souffle et des journées de marche qui nous éloignent d'un monde qui va trop vite.Convaincue des bienfaits de la marche sur le corps et l'esprit, Alyette voit en ce voyage une extraordinaire opportunité de se reconnecter à soi-même et à ceux qui nous accompagnent sur cette route. Alors, prêts à enfiler vos chaussures de marche et à vous aventurer sur les Chemins de Compostelle ? *******************************************Si cet épisode de Beau Voyage vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles sur Spotify ou un commentaire sur Apple Podcasts. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous ! ******************************************* Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com