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La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Au Liban, les journaux parlent des bombardements israéliens en Syrie. Au Brésil, la police a déjoué un projet d'attentat lors d'un concert de Lady Gaga. Au Japon, un chambelllan a détourné de l'argent du compte personnel de l'empereur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Liban, les journaux parlent des bombardements israéliens en Syrie. Au Brésil, la police a déjoué un projet d'attentat lors d'un concert de Lady Gaga. Au Japon, un chambelllan a détourné de l'argent du compte personnel de l'empereur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jean-Paul Kauffmann, journaliste et ancien reporter de guerre, est l'auteur de plusieurs livres dont L'Arche des Kerguelen : voyages aux îles de la désolation, La Chambre noire de Longwood, Outre-terre et de Venise à double tour. Son œuvre a été couronnée par les prix littéraires les plus prestigieux. Son nouveau récit L'accident revient sur son enlèvement au Liban et ses trois années de captivité, ainsi que sur son enfance heureuse en Bretagne. 2 janvier 1949, dix-huit footballeurs du bourg de Corps-Nuds, en Bretagne, revenant d'un match, trouvent la mort dans un accident. Cette tragédie a marqué la France entière et pesé sur la jeunesse de Jean-Paul Kauffmann, enfant du même village.Ce fait-divers est le point de départ d'une enquête sur les distorsions de la mémoire.Comment cet accident annonce-t-il la journée du 22 mai où Jean-Paul Kauffmann sera enlevé à Beyrouth et détenu en otage durant trois années au Liban ?La boulangerie paternelle, une étrange église, l'odeur d'un monde rural disparu… Après l'accident libanais, ce récit sur l'inexplicable s'est imposé à l'auteur. Sans l'enlèvement qui a fait resurgir ses premières années, Jean-Paul Kauffmann n'aurait probablement jamais eu le désir de raconter son après-guerre. Refuge et protection, cette enfance l'a sauvé. Grâce à elle, une partie de sa vie de prisonnier a échappé à ses ravisseurs.Ce livre à la fois enquête et récit intime nous apprend à sentir, regarder, observer. Tout lecteur y retrouvera sa part d'enfance, ce sanctuaire dont on se croit le propriétaire. (Présentation des éditions des Équateurs) Illustration musicale : L'accident ralenti de Philippe Sarde, extrait de la bande-originale du film Les choses de la vie de Claude Sautet.
Depuis l'attaque du 7 octobre 2023, de nombreuses personnalités du Proche-Orient se retrouvent au cœur du conflit : Benyamin Netanyahou, bien sûr, le Premier ministre israélien ; l'ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême iranien ; ou encore Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah libanais. À chaque étape de son histoire depuis le milieu du XXe siècle, d'importants personnages ont fait basculer le conflit israélo-palestinien. Ce sont leurs portraits qu'on dresse dans cette série de podcasts, et qui nous permettent de comprendre ce qui se joue aujourd'hui. Ce quatrième et dernier portrait est consacré à Hafez el-Assad, l'ancien président syrien. Les explications de Frédéric Encel, géopolitologue et chroniqueur à L'Express, et Corentin Pennarguear, journaliste au service Monde. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules KrotCrédits : INA, i24 News, ArteMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Blanche-Neige censuré à cause de Gal Gadot : l’antisémitisme décomplexé Le film Blanche-Neige est interdit au Liban et au Koweït en raison de la nationalité israélienne de l’actrice Gal Gadot .La rencontre Durocher-Dutrizac avec Sophie Durocher et Benoît Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Dans cette revue de presse internationale :La police espagnole a démantelé une cellule du Hezbollah à Barcelone, qui était impliquée dans la construction de plus de 1000 drones kamikazes destinés à Israël.Au Liban, le pays commémore les 50 ans du début de la guerre civile qui a fait près de 150 000 morts et 17 000 disparus, laissant une marque indélébile sur la société libanaise.Au Brésil, le nombre de naissances chez les adolescentes a été divisé par deux au cours de la dernière décennie, grâce à une meilleure éducation et un meilleur accès aux soins de santé, bien que des défis persistent chez les populations indigènes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:30:13 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Pierre France, politiste / Julia Grignon, professeure de droit à l'université Laval et Paris-Panthéon-Assas / Belinda Cannone, romancière, essayiste - réalisation : Félicie Faugère
Dans la suite de C à vous, une émission spéciale santé mentale ! Des personnalités brisent le tabou : François Cluzet révèle son passé de mythomane, Camille Lacourt évoque sa dépression post-JO 2012, Jean-Paul Kauffmann partage sa vie après sa libération d'otage au Liban, et Fanny Ruwet explique comment l'humour est son antidépresseur.Tous les samedis à 20h sur France 5, Aurélie Casse et son équipe reçoivent les artistes et les personnalités qui marquent l'actualité.
Le Hezbollah cherche à regagner le soutien de l'opinion libanaise après des mois de guerre avec Israël. Ce soutien., le Hezbollah est en train de l'acheter, tout simplement, à coups de liasses de billets ou de chèques distribués à la population. Ecoutez Le monde en marche avec William Galibert du 11 février 2025.
durée : 00:18:58 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, Elie Saab est l'invité de Léa Salamé. Le créateur de mode célèbre ses 45 ans de carrière.
durée : 00:18:58 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - À 9h20, Elie Saab est l'invité de Léa Salamé. Le créateur de mode qui habille autant les stars d'Hollywood que les princesses du Moyen-Orient célèbre ses 45 ans de carrière.
Le Journal en français facile du vendredi 17 janvier 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BKY5.A
durée : 00:38:35 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le Liban retrouve un Président, Joseph Aoun, après deux ans de vacance du pouvoir. Dans un contexte de crise économique, de paralysie institutionnelle et d'une géopolitique régionale critique, ce dernier pourra-t-il relancer la reconstruction du Liban, et assurer la stabilité du système politique ? - réalisation : François Richer - invités : Eric Verdeil Docteur en géographie, professeur de géographie et d'études urbaines à Sciences Po et chercheur au Centre de recherches internationales (CERI); Maya Khadra enseignante et journaliste franco-libanaise
durée : 00:38:35 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Le Liban retrouve un Président, Joseph Aoun, après deux ans de vacance du pouvoir. Dans un contexte de crise économique, de paralysie institutionnelle et d'une géopolitique régionale critique, ce dernier pourra-t-il relancer la reconstruction du Liban, et assurer la stabilité du système politique ? - réalisation : François Richer - invités : Eric Verdeil Docteur en géographie, professeur de géographie et d'études urbaines à Sciences Po et chercheur au Centre de recherches internationales (CERI); Maya Khadra enseignante et journaliste franco-libanaise
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
En Irlande, le solstice d'hiver attire des milliers de curieux à Newgrange, un site néolithique où la lumière du soleil illumine une tombe millénaire pendant 17 minutes, offrant une expérience magique retransmise en direct.Au Liban, la politique évolue sous l'influence des bouleversements en Syrie. Le Hezbollah, changeant de posture, reconnaît au peuple syrien le droit de choisir ses dirigeants, ce qui pourrait influencer la présidentielle libanaise.Au Kenya, l'augmentation des accidents de la route, avec plus de 4 000 morts cette année, alarme les autorités, qui renforcent leurs appels à la vigilance.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
En Irlande, le solstice d'hiver attire des milliers de curieux à Newgrange, un site néolithique où la lumière du soleil illumine une tombe millénaire pendant 17 minutes, offrant une expérience magique retransmise en direct.Au Liban, la politique évolue sous l'influence des bouleversements en Syrie. Le Hezbollah, changeant de posture, reconnaît au peuple syrien le droit de choisir ses dirigeants, ce qui pourrait influencer la présidentielle libanaise.Au Kenya, l'augmentation des accidents de la route, avec plus de 4 000 morts cette année, alarme les autorités, qui renforcent leurs appels à la vigilance.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:04:58 - Déjà debout - A 5h45, Clément Sapin, coordinateur du concert Li Beirut qui aura lieu ce jeudi soir à l'Alhambra, à Paris.
durée : 00:04:58 - Déjà debout - A 5h45, Clément Sapin, coordinateur du concert Li Beirut qui aura lieu ce jeudi soir à l'Alhambra, à Paris.
durée : 00:02:34 - Les Échos d'ailleurs - Dans sa chronique, l'écrivaine libanaise Dominique Eddé nous livre le sentiment troublé des Libanais depuis l'annonce de la chute du régime de Bachar al-Assad.
Au Liban, c'est le temps de la tristesse après l'offensive israélienne. Une trêve est entrée en vigueur mercredi 27 novembre entre l'État hébreu et le Hezbollah. Depuis, les habitants des zones les plus ciblées reviennent chez eux. À Baalbek, ces retours sont aussi le temps des condoléances, plus de 900 personnes ont été tuées dans le gouvernorat. De notre envoyée spéciale à Baalbek,Fatima porte le noir et les larmes coulent sur son visage. Son mari, Bilal Raad, chef à Baalbek de la Défense civile, les secouristes de l'État, a été tué dans une frappe israélienne durant la guerre. « Je pleure sur Bilal. Je pleure, et chaque jour, je pense à tous ceux qui sont morts. Personne n'oublie, affirme-t-elle. Les blessés le resteront à vie. Baalbek a payé un prix très élevé. Il y a eu plus d'attention sur les pierres du site romain, comme si c'était plus important. Personne n'a mis en lumière les massacres. »À lire aussiAu Liban, l'avenir du Hezbollah en question« C'est une guerre, c'est l'ennemi israélien qui bombarde de manière aléatoire »Sur la place du célèbre site romain de Baalbek, Ahmad Haydar vient de rouvrir son café. Il faisait des allers-retours dans la ville pendant le conflit. Il la retrouve aujourd'hui traumatisée. « La ville n'est pas seulement triste. Quand je venais ici pendant la guerre, ce qui était terrifiant était le silence, témoigne-t-il. On ne voyait personne, c'était choquant. Je venais ici, j'achetais de la nourriture au supermarché pour la donner à ceux qui étaient restés et n'avaient pas d'aide : de la nourriture, de l'huile. Baalbek est une petite ville, tout le monde se connaît. Tout le monde va être occupé à présenter et recevoir des condoléances, car beaucoup de gens sont morts. » Des condoléances, le docteur Ghassan s'apprête à y participer. Lui a soigné à l'hôpital durant la guerre. « Il y a eu de nombreux martyrs, de nombreux civils tués, qui n'y étaient pour rien, s'indigne-t-il. Il n'y a rien à chercher et à comprendre à ce sujet. C'est une guerre, c'est l'ennemi israélien qui bombarde de manière aléatoire. »À lire aussiLiban: les violations israéliennes de l'accord de cessez-le-feu fragilisent davantage la trêve« Ce que nous avons vécu, nous ne l'avions pas vécu pendant la guerre de 2006 »Dans la ville, les habitants se saluent avec affection, heureux de se retrouver vivants après des semaines de peur. Mais pour Fatima, malgré la présence de ses proches, la solitude commence : « En fin de compte, on se retrouve seul. Tout le monde dit : "Je suis à tes côtés", mais chacun a ses occupations. On passe un coup de fil pour prendre des nouvelles, mais la douleur ne part pas. Nous allons avoir besoin de temps pour nous remettre psychologiquement. Ce que nous avons vécu, nous ne l'avions pas vécu pendant la guerre de 2006. »Personne, dit Fatima, ne ramènera les morts. Mais à Baalbek, qui se sent négligée depuis longtemps, on espère des gestes pour faire face à la désolation laissée par la guerre. « Les gens ici ont besoin d'argent pour la reconstruction, bien sûr. À ce stade, ils ont vraiment besoin de mazout pour se chauffer, car il fait très froid, insiste Ahmad Haydar. Pour ceux qui ont perdu leur maison, ils ont besoin d'abris. Et surtout, de mazout. »À lire aussiLiban: les réfugiés syriens de Baalbek rattrapés par la guerre
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Le Premier ministre israélien a été clair : le cessez-le-feu au Liban va lui permettre de se concentrer sur l'Iran, et sur la Syrie par laquelle passe l'armement du Hezbollah. Mais la vraie question est celle du nucléaire iranien et de l'attitude de Donald Trump à partir du 20 janvier.
durée : 00:17:46 - Cessez-le-feu au Liban, une bibliothèque pour enfants et une banane qui vaut de l'or - L'arrêt des combats au Liban, la toute première bibliothèque jeunesse et une banane vendue plusieurs millions d'euros : c'est le menu du nouvel épisode de "Salut l'info !"
L'actualité qui a retenu l'attention de La Loupe de la semaine, c'est le cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah. Un arrêt des combats d'une durée indéterminé qui suscite beaucoup d'espoir pour toute la région. Mais c'est surtout une victoire de Donald Trump qui, tout juste élu, a pesé dans les négociations. Les explications de Corentin Pennarguear, grand reporter au service Monde de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture et montage : Solène AlifatRéalisation : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La présence militaire française n'est plus souhaitée ni au Sénégal, ni au Tchad. L'un et l'autre défendent leur souveraineté et prônent un partenariat rénové. Et puis au Liban, le cessez le feu de 60 jours génère de très nombreuses questions. Enfin, Moscou renforce ses offensives, de là à envisager une confrontation militaire directe avec l'Otan ? C'est ce que pense le chef du renseignement allemand.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Le Premier ministre israélien a été clair : le cessez-le-feu au Liban va lui permettre de se concentrer sur l'Iran, et sur la Syrie par laquelle passe l'armement du Hezbollah. Mais la vraie question est celle du nucléaire iranien et de l'attitude de Donald Trump à partir du 20 janvier.
durée : 00:15:03 - Journal de 8 h - Quelques heures après l'entrée en vigueur du cessez le feu, les déplacés de guerre reviennent par dizaines de milliers dans le Sud-Liban. Reportage sur place de notre correspondant.
durée : 00:02:39 - Les Échos d'ailleurs - Pour l'écrivaine libanaise Dominique Éddé, la fin de la guerre ne peut pas susciter la joie et la fierté alors qu'elle a été la cause de toutes les désolations.
durée : 00:15:03 - Journal de 8 h - Quelques heures après l'entrée en vigueur du cessez le feu, les déplacés de guerre reviennent par dizaines de milliers dans le Sud-Liban. Reportage sur place de notre correspondant.
durée : 00:09:58 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Anthony Samrani, rédacteur en chef au quotidien libanais L'Orient-Le Jour, publie "Vu du Liban, la fin d'un pays, la fin d'un monde ?". Pour lui, son pays "s'est retrouvé entre deux monstres, avec une équation impossible à tenir en temps de guerre : ne rien céder, ni au Hezbollah, ni à Israël".
durée : 00:15:03 - Journal de 8 h - Quelques heures après l'entrée en vigueur du cessez le feu, les déplacés de guerre reviennent par dizaines de milliers dans le Sud-Liban. Reportage sur place de notre correspondant.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - Israël et le Liban ont conclu hier un cessez-le-feu, coparrainé par les États-Unis et la France, qui prévoit un cessez-le-feu dès ce matin, et le retrait des Israéliens en 60 jours, si le Hezbollah se retire au nord du fleuve Litani. Un accord complexe qui laisse la guerre se poursuivre à Gaza.
Le Journal en français facile du mercredi 27 novembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BB1k.A
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:37:57 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Après deux mois de guerre, Israël et le Liban sont parvenus dans la nuit à un accord de cessez-le-feu, malgré les réserves émises par les deux belligérants quant à l'arrêt prolongé des combats. Cet accord est-il un moyen crédible d'instaurer la paix au Liban ? Annonce-t-il une paix possible à Gaza ? - réalisation : François Richer - invités : Rina Bassist Correspondante à Paris pour la Radio publique israélienne; Zeina Antonios Journaliste au quotidien francophone libanais L'Orient-Le Jour; Patricia Allémonière Grand reporter à TF1
durée : 00:03:27 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Après l'annonce d'un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, les regards se tournent vers Gaza. Un accord est-il possible dans l'enclave palestinienne ? Les chances sont minces mais elles existent.
durée : 00:03:21 - Géopolitique - Israël et le Liban ont conclu hier un cessez-le-feu, coparrainé par les États-Unis et la France, qui prévoit un cessez-le-feu dès ce matin, et le retrait des Israéliens en 60 jours, si le Hezbollah se retire au nord du fleuve Litani. Un accord complexe qui laisse la guerre se poursuivre à Gaza.
durée : 00:20:37 - Journal de 12h30 - Un accord de cessez-le-feu a été signé hier soir entre Israël et le Hezbollah. Pour autant, de nombreux observateurs restent encore sceptiques quant à la durabilité de cette trêve.
durée : 00:20:04 - Journal de 18h - Le cabinet de sécurité israélien approuve le principe d'une trêve entre l'État hébreu et le Hezbollah. Mais Israël se réserve le droit d'intervenir à nouveau au Liban si le mouvement islamiste ne respecte pas ses engagements, a averti le Premier ministre israélien.
durée : 00:20:04 - Journal de 18h - Le cabinet de sécurité israélien approuve le principe d'une trêve entre l'État hébreu et le Hezbollah. Mais Israël se réserve le droit d'intervenir à nouveau au Liban si le mouvement islamiste ne respecte pas ses engagements, a averti le Premier ministre israélien.
Le Journal en français facile du lundi 25 novembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BAJb.A
durée : 00:35:26 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Alors que les frappes israéliennes au Liban se sont intensifiées ces derniers jours, des négociations sur un plan de cessez-le-feu proposé par les États-Unis sont en cours. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, professeur à l'ENS de Lyon, chercheur associé à l'IRIS, spécialiste du Moyen-Orient et de la politique étrangère des États-Unis; Agnès Levallois Vice-présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient), chargée de cours à Science-Po Paris; Marc Semo Correspondant diplomatique du Monde
durée : 00:58:07 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Hélène Lam Trong qui s'est rendue à Raqqa, en Syrie ; suivi d'une table-ronde sur la guerre au Liban, alors que se tiennent cette semaine des négociations pour un cessez-le-feu. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Hélène Lam Trong Journaliste et réalisatrice indépendante; Agnès Levallois Vice-présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient), chargée de cours à Science-Po Paris; Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, professeur à l'ENS de Lyon, chercheur associé à l'IRIS, spécialiste du Moyen-Orient et de la politique étrangère des États-Unis
625 000 enfants à Gaza sont privés d'éducation et 93% des infrastructures scolaires sont endommagées ou détruites par la riposte massive israélienne, selon l'UNWRA, l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient. Au Liban, où la rentrée scolaire est fortement perturbée, une partie des écoles des régions bombardées sont fermées, dans un contexte où le système éducatif est déjà durement éprouvé suite aux crises. En Ukraine, l'UNICEF indique que près de 5 millions d'enfants ont vu leur cursus scolaire interrompu par le conflit depuis 2022 et que plus de 3 000 établissements scolaires ont été endommagés ou détruits. Les écoles qui restent ouvertes fonctionnent dans des conditions précaires. Dans d'autres pays comme le Soudan ou l'est de la RDC la scolarisation des enfants est compromise à cause de l'insécurité.Quels sont les impacts psychologiques sur les élèves ? Comment maintenir l'accès à l'éducation, en particulier pour les filles, dans un environnement instable ? Comment soutenir les enseignants dans ces contextes difficiles ? Emission à l'occasion de la Journée mondiale de l'enfance 2024Avec :• Lucie Dechifre, directrice des programmes et partenariats stratégiques de Plan International • Christophe Boulierac, chef du playdoyer Unicef au Liban Et un reportage de notre correspondant à Gaza, Rami El Meghari dans le camp de réfugiés de Maghazi, en plein centre de la bande de Gaza En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à L'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Carlens à Carrefour en Haïti qui souffre de trop procrastiner et de se sentir isolé de ses camarades en raison des cours en distanciel. Programmation musicale : ► Ban Koulchi Redux - SOUAD MASSI► Kalakuta President (Nicolas Giraud remix) - Lagos Thugs
durée : 00:02:29 - Les Échos d'ailleurs - L'écrivaine libanaise Dominique Eddé nous narre le sentiment de colère qui touche les populations arabes du Proche-Orient, affectées par les conséquences des opérations militaires israéliennes.
durée : 00:09:52 - Journal de 18h - L'armée israélienne a mené une série de raids aériens ce dimanche 10 novembre. La Défense civile palestinienne a fait état d'au moins 25 morts, dans une frappe dans le nord de la bande de Gaza. Au Liban, à la frontière nord d'Israël, au moins 20 personnes ont été tuées dans un raid.
durée : 00:44:17 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Karim Emile Bitar, professeur à l'Ecole normale supérieure de Lyon et à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth / William Bourdon, avocat de Paul Watson / Daniel Andler, mathématicien et philosophe, Amélie Cordier, docteure en intelligence artificielle, fondatrice de Graine d'IA - réalisation : Félicie Faugère
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Présentées initialement comme « limitées », les opérations israéliennes ont connu une brusque escalade, tandis que le premier ministre israélien appelle les Libanais à se soulever contre le Hezbollah. Quel est son but de guerre ? Est-il engagé dans une fuite en avant ?
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 octobre 2024.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.MICHEL BARNIER : LA STRATÉGIE DE LA TIÉDEUR Lors de son discours de politique générale sans vote de confiance, le Premier ministre a promis une « double exigence » : la réduction de la dette publique et celle de la dette écologique. Michel Barnier s'est engagé à une méthode faite d'écoute, de respect, et de dialogue et il a dégagé cinq chantiers prioritaires : le pouvoir d'achat, les services publics, la sécurité, l'immigration, et la fraternité. Confirmant son intention de briser le tabou macroniste de la hausse des impôts : le chef de gouvernement a appelé les « grandes et très grandes entreprises qui réalisent des profits importants » et « les Français les plus fortunés » à « un effort ciblé, limité dans le temps », sans livrer davantage de détails. Parmi ses autres annonces, figurent la revalorisation de 2 % du smic dès le 1er novembre en anticipation de la date du 1er janvier, la correction des « limites » de la réforme des retraites, une réflexion et une action « sans idéologie sur le scrutin proportionnel », la « limitation des possibilités de réduction de peine », et la maitrise de manière « plus satisfaisante » de la politique migratoire, la reprise « immédiate » des travaux de planification écologique, suspendus depuis la dissolution, sans évoquer toutefois de nouvelles mesures ni de nouveaux moyens. Peu de repères temporels ont été donnés. En 2025 : le retour du déficit public à 5 % (puis à 3% en 2029), la lutte pour la santé mentale, le report des élections en Nouvelle-Calédonie, un comité interministériel des Outre-mer, le développement des soins palliatifs …Le Premier mininstre a assuré qu'il avait ses « propres lignes rouges », à savoir : « Aucune tolérance » à l'égard du racisme et de l'antisémitisme, des violences faites aux femmes, du communautarisme, « aucun accommodement » sur la défense de la laïcité, et encore « aucune remise en cause des libertés conquises au fil des ans », dont la loi Veil sur l'IVG, la loi sur le mariage pour tous et les dispositions législatives sur la PMA.Michel Barnier a pris ses oppositions à contrepied, adoptant le ton et les manières d'un super papy, pas davantage dupe des feintes colères surjouées sur les bancs LFIstes que des rodomontades des élus du RN, sans se priver du plaisir de quelques taquineries à l'égard de ses prédécesseurs et soutiens malgré eux.Parmi les réactions des présidents de groupe à l'Assemblée nationale, Marine Le Pen, pour le Rassemblement national, a dit "entendre des constats, mais bien peu de solutions" ; Gabriel Attal pour Ensemble pour la République, a prévenu que son groupe "veillera sur les acquis de ces sept dernières années", quant à Mathilde Panot, pour La France Insoumise, elle a affirmé que le Premier ministre n'a « aucune légitimité démocratique pour gouverner ».À QUOI PEUT ENCORE SERVIR L'ONU ? Alors que le « machin » comme le qualifiait le général de Gaulle, réunissait pour son Assemblée la quasi-totalité des pays du globe (193 États), beaucoup s'interrogent sur son utilité. L'impuissance du Secrétaire général de l'ONU à faire entendre sa voix, tant dans le conflit russo-ukrainien qu'à Gaza, est là pour témoigner d'une érosion. La crise du multilatéralisme n'est pas nouvelle. Elle s'est installée progressivement et a connu un palier supplémentaire avec le Président Trump, très hostile à l'ONU, qui avait retiré son pays de l'accord sur le climat de Paris et de l'accord sur le nucléaire iranien. Une crédibilité minée également par plusieurs pays qui ont pris la tête d'une confrontation ouverte avec l'Occident, visant à redistribuer la puissance au détriment des États-Unis et de l'Europe : la Chine, la Russie, l'Iran et la Corée du Nord, désireux de « corriger l'histoire », manifestent leur mépris de la charte des Nations unies, des références universelles, des systèmes basés sur les droits de l'homme et la démocratie.Lors de l'Assemblée générale, de nombreux orateurs ont fait part de leur colère face à la flambée de violences au Moyen-Orient, que l'ONU, percluse de divisions sur le conflit israélo-palestinien comme sur la guerre menée par la Russie contre l'Ukraine, semble être incapable de juguler. Le roi Abdallah II de Jordanie a pointé « la crise de légitimité » des Nations unies dénonçant implicitement le « deux poids, deux mesures» critiqué par tant de pays du Sud, qui réclament que Gaza bénéficie, de la part des Occidentaux, du même soutien que l'Ukraine depuis l'invasion russe. Les différentes agences de l'ONU ne se portent guère mieux. La principale organisation d'aide aux Palestiniens, l'UNRWA, est dans le collimateur d'Israël depuis que plusieurs de ses employés ont été accusés d'implication dans les pogroms perpétrés le 7 octobre par le Hamas. La Cour internationale de justice et la Cour pénale internationale sont elles aussi considérées comme partiales par les Américains et les Israéliens pour leurs actions menées contre Israël, à la suite des atrocités perpétrées ces derniers mois par des militaires contre des civils à Gaza. Lors de son discours en septembre devant l'Assemblée générale des Nations unies, Benyamin Netanyahou a qualifié l'organisation de « farce méprisante. » Mercredi, le secrétaire général des Nations unies, António Guterres a été déclaré persona non grata en Israël.Au Liban, la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), basée depuis 1978 dans le sud du pays, chargée de surveiller l'application de la résolution 1701 adoptée à l'unanimité par le Conseil de sécurité après la guerre de juillet 2006 entre Israël et le Hezbollah, est également impuissante. La résolution stipule que seuls l'armée libanaise et les Casques bleus doivent être déployés dans le sud du Liban. Elle n'a jamais été appliquée, le sud-Liban demeurant le fief du Hezbollah.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:03:08 - Géopolitique - L'appel à un cessez-le-feu de 21 jours lancé par les États-Unis et la France, soutenu par une large coalition, a été ignoré par les belligérants Hezbollah et Israël, pour des raisons différentes. Le risque de l'escalade est présent avec une intervention terrestre israélienne au sud Liban.