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durée : 01:25:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - "Nuits magnétiques", Chantal Aubry faisait le voyage en Allemagne pour rencontrer les danseurs qui travaillaient alors aux côtés de Pina Bausch au Tanztheater de Wuppertal. Précieux témoignages sur le travail avec la grande chorégraphe qui donnait elle-même un court entretien à la fin de l'émission. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Pina Bausch Chorégraphe, danseuse; Dominique Mercy
durée : 00:44:24 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - La Nuit rêvée de Jérôme Bel - Entretien 1/3. Le chorégraphe a choisi de faire entendre Pina Bausch, Yvonne Rainer, Simone Forti ainsi qu'un portrait d'Isadora Duncan. La danse donc, mais aussi le théâtre, avec Valérie Dréville, Claude Régy et l'urgence des problèmes climatiques avec Bruno Latour. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jérôme Bel Chorégraphe
durée : 00:25:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Philippe Vasset présente "La conjuration" et en lit quelques extraits, au micro d'Augustin Trapenard et Sandrine Treiner, dans "Les bonnes feuilles" (1ère diffusion : 02/08/2013). - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:41:58 - Par les temps qui courent - par : Céline du Chéné, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - La photographe est notre invitée ce soir à l'occasion de la réédition de son ouvrage "Volta" aux éditions lamaindonne. Cette réédition donne lieu à une exposition jusqu'au 31 juillet à la Galerie 127 à Montreuil et à Corbeil Essonne dans le cadre du festival "L'Oeil Urbain" jusqu'au 4 juillet. - réalisation : Somaya Dabbech - invités : Gabrielle Duplantier Photographe
durée : 00:41:58 - Par les temps qui courent - par : Céline du Chéné, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - La photographe est notre invitée ce soir à l'occasion de la réédition de son ouvrage "Volta" aux éditions lamaindonne. Cette réédition donne lieu à une exposition jusqu'au 31 juillet à la Galerie 127 à Montreuil et à Corbeil Essonne dans le cadre du festival "L'Oeil Urbain" jusqu'au 4 juillet. - réalisation : Somaya Dabbech - invités : Gabrielle Duplantier Photographe
durée : 00:22:27 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec le photographe plasticien Quentin Guichard, pour son exposition " In Overscheyt " dans la nef de l'église Saint-Merry à Paris - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Quentin Guichard Photographe
durée : 00:22:27 - Le Réveil culturel - par : Tewfik Hakem - Rencontre avec le photographe plasticien Quentin Guichard, pour son exposition " In Overscheyt " dans la nef de l'église Saint-Merry à Paris - réalisation : Vincent Abouchar - invités : Quentin Guichard Photographe
durée : 00:25:08 - Jean Tubéry, directeur musical de l'ensemble La Fenice (2/5) - par : Christophe Dilys - Deuxième volet de nos entretiens avec le cornettiste et chef d'orchestre Jean Tubéry. Il est né à Toulouse en 1964 et a fondé l'ensemble La Fenice en 1990. Depuis, il explore au cornet à bouquin et à la direction tout le répertoire italien du début du XVIIe siècle, mais pas seulement... loin de là ! - réalisé par : Christine Amado
durée : 00:05:11 - Tanguy Pastureau maltraite l'info - par : Tanguy Pastureau - Tanguy Pastureau nous parle aujourd'hui de littérature érotique féminine et de Michel Barnier. Vous ne voyez pas le rapport ? Il vous explique.
durée : 00:54:07 - Une journée particulière - En avril 2019, Alain Damasio publiait "Les Furtifs", un grand roman de science-fiction politique et poétique, unanimement salué par la critique et le public. Il y est notamment question de surveillance et de restriction des libertés individuelles. Le livre est porté par le souffle de Gilles Deleuze, cher à l'écrivain.
Au micro de Patrick Cohen mercredi sur Europe 1, Martine Storti, ancienne journaliste à Libération notamment et ancienne inspectrice générale de l'Education nationale, s'est exprimée sur sa vision du féminisme à l'occasion de la sortie de son livre "Pour un féminisme universel".
Une prolongation des promesses non-tenues de la modernité Pour Myriam Benraad, géopolitologue, auteur de "géopolitique de la colère" (éd. Cavalier Bleu) la colère est consubstantielle à la géopolitique. "J'essaie d'historiciser cette émotion. La colère est omniprésente. Si l'on revient sur l'histoire de cette émotion, elle n'est pas vécue de la même manière par les anciens, qu'elle l'est par les modernes et nos contemporains. Il y a une massification de la colère avec les Lumières et les révolutions industrielles. Ce qu'on vit aujourd'hui, c'est une prolongation des promesses non-tenues de la modernité" explique-t-elle au micro de RCF. Pour cette chercheuse, la crise sanitaire que l'on vit actuellement va accroître cette colère. "L'urgence sanitaire émerge alors qu'en France par exemple, on est en pleine mobilisation sociale contre la réforme des retraites, et d'autres. Ailleurs dans le monde, il y a des explosions de colère : Chili, Bolivie, Venezuela. Il y a une question sociale non-résolue depuis deux décennies. Il en va de même dans le monde arabe où l'on a tiré des conclusions un peu trop tôt sur le printemps arabe. La crise sanitaire va aggraver les répercussions sociales, alors qu'il y a un rebond des contaminations" ajoute-t-elle. Une accélération des colères dans un contexte de crise sanitaire Face à cela, il n'y a pas de schéma clair de dialogue avec les gouvernements. "Il n'y a pas d'empathie face à la demande sociale qui est évoquée. Dans le pire des cas, il y a eu des répressions violentes, comme en Irak, ou au Chili. En France, les Gilets jaunes ont mené une confrontation ouverte avec les forces de l'ordre et le gouvernement. On a aussi instrumentalisé la colère dans des stratégies politiciennes, diplomatiques. C'est devenu le style des populismes. La colère est aussi un instrument aux mains des chefs d'Etat" lance la géopolitologue. "Quand on parle de globalisation, qui est devenu un mot valise, cela va de paire avec l'idée du bonheur, de la félicité, de l'accomplissement de soi. On avait promis au peuple la fin du nivellement. En réalité, l'histoire n'est pas finie. Elle est devenue extrêmement violente. Il y a vraiment une accélération des colères à travers le monde dans un contexte de grande précarité lié au coronavirus, ce qui pose le décor pour la suite" conclut Myriam Benraad.
Avec son projet "Odyssées", série de portraits d'hommes et de femmes en migration. Des photos présentées sous forme de diptyque. Des hommes et des femmes qui viennent de pays très différents. "Je les ai rencontrés car nous avions au Havre organisé un travail photographique, et nous avions fait appel à des volontaires. Toutes ces personnes étaient volontaires. C'est un travail sur l'exil, pour mettre en lumière leur intériorité. Ne pas me cantonner à leurs conditions" explique la photographe Aglaé Bory. Un quotidien fait d'attente et d'inquiétude "La plupart sont arrivés après un long périple. La traversée de la Libye, de la Méditerranée, de l'Italie. Ils sont arrivés au Havre un peu par hasard. Ils vont rester là quelques années en attendant que l'administration statue sur leur demande d'asile" ajoute-t-elle, qui précise que toutes ces personnes souffrent de cette invisibilité, en plus de ce qu'ils ont vécu dans leur pays. "Leur quotidien est fait principalement d'attente et d'inquiétude. Ils attendent la réponse de l'administration. Ils ne peuvent pas travailler. Beaucoup s'engagent dans des actions humanitaires. Ils rendent ainsi de cette façon ce qu'on leur offre. Ils prennent des cours de français quand ils y arrivent" lance-t-elle. "Avoir une vie la plus normale possible" "Photographier quelqu'un crée des liens, cela engage. Je continue à communiquer avec eux. On prend des nouvelles. J'essaie de me mettre à la bonne distance. Ce que je voulais faire, c'était les sublimer, rendre hommage à ce qu'ils sont, à leur existence inaliénable, à la puissance de leur courage" précise la photographe. Ce reportage a été réalisé en 2018. Depuis, "certains sont partis. Mais la plupart sont restés au Havre. Ils attendent encore un statut qui n'arrive pas, ou qui n'a pas abouti. Ils se retrouvent ainsi dans l'illégalité. D'autres ont abouti. Ils peuvent ainsi aller vers plus d'autonomie : trouver un logement, un travail. Ils rêvent de pouvoir travailler pour être autonomes, de pouvoir faire venir leur famille. Ils rêvent de choses très simples : avoir une vie la plus normale possible" conclut Aglaé Bory.
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Dans la capsule numéro 4, vous entendrez les mots de Fleur Godart, mon invitée dans l’épisode 11. Je suis confinée avec les enfants dans les Pyrénées, j'ai beaucoup de chance de pouvoir les laisser gambader dans les prés. Le cerisier, que nous avons vu exploser de fleurs, est maintenant couvert de presque-cerises : c'est la première fois depuis 15 ans que je vis le printemps, c'est une joie très intense. Pas de vin ni de volaille au menu depuis le début, c'est du jamais vu : je n'ai rien emporté d'autre que l'essentiel. J'essaie de tirer le meilleur de ce moment, et on y arrive pas mal d'ailleurs, mais chaque soir je me dis que les professionnelles de la petite enfance (nos enfants ont 1 et 3 ans) ne sont vraiment, vraiment pas assez payées. Notre activité de vente de vins aux restaurants et cavistes est quasiment à l'arrêt, nous avons jeté une bouteille à la mer en tentant de proposer des livraisons à domicile par Chronopost, il suffit de nous écrire pour les détails à l'adresse mail commandevinsetvolailles@gmail.com Pour éviter la catastrophe à la ferme avicole, j'ai mis en place un système de livraisons par groupage : mon père part à 3h du matin de Dordogne avec le camion chargé, il livre toute la journée les particuliers sur une dizaine de points de groupage (et les quelques boucheries restées ouvertes, restaurants transformés en épiceries ou proposant des livraisons à domicile) et rentre autour de minuit. Là aussi, c'est sportif, mais pas moyen de faire autrement. Quand il me débriefe sur la route du retour, il est toujours assez ému par l'implication de celles et ceux qui lui permettent de survivre. Pour connaître les modalités de commande, il faut écrire à michellafermeavicole@free.fr On parle du monde d'après, j'écoute beaucoup de podcasts très inspirants pour pallier la débilité des politiques et des médias traditionnels (je te mets une petite liste aussi ci-dessous). J'espère que nous saurons faire en sorte que ce monde soit celui de la sortie du capitalisme grâce au féminisme. Merci pour tout ❤ commandevinsetvolailles@gmail.com michellafermeavicole@free.fr
"Pierre," de ChRistian Bobin Aurait-il aimé être peintre ? Christian Bobin écrit à grand traits de feutre noir des lettres appuyées qui dessinent des mots et des images. "J'essaie de peindre des mots." Pas étonnant qu'il se trouve en amitié avec Pierre Soulages et ses œuvres "outrenoir". Dans "Pierre," il raconte son émotion devant le travail de l'artiste. Du Creusot jusqu'à Sète, le poète n'a pas hésité à faire le voyage pour rencontrer Pierre Soulages. "Durer encore", de PatricK Cloux Le dernier journal de Patrick Cloux est marqué au fer rouge par la maladie de sa femme aimée, la complice éternelle. Que dire ? Que faire si ce n'est écrire des traces de cette vie fragile. "Finalement, fondre et émietter cette douleur et cette absence m'a aidé à écrire et le reconstituer dans un livre refait une sorte de pas que je peux transposer et transmettre... pour que cela dure." Le coup de cœur de Stéphane Bataillon Stéphane Bataillon partage son coup de cœur pour "Solitude Europe" (éd. Cheyne), recueil de poèmes de Sébastien Fevry, poète belge qui vient de recevoir le prix Guillaume-Apollinaire Découverte.
durée : 00:25:06 - Jane Berbié, mezzo-soprano (5/5) - par : Judith Chaine - La mezzo-soprano Jane Berbié évoque son activité de professeur de chant. Parmi ses anciens élèves, on compte Sophie Koch, Thierry Félix, Nicolas Courjal... - réalisé par : Christine Amado
Cette semaine, j'essaie de mettre en place un segment particulier pour des moments particuliers. J'essaie de m'entourer du plus de monde possible pour discuter de confinement, de pandemie, de quarantaine et possiblement de nos réactions comme gens Cold Turkey. Cette semaine, j'ai discuté avec Thierry et Joey qui ont acceptés de venir discuter de comment il vivait ces moments spéciaux. Vous pouvez trouver les épisodes qu'ils ont initialement participer plus bas. Ce fût une discussion intéressante, rassurante et instructive sur l'humanité derrière ces moments difficiles. Merci messieurs. Joey: https://anchor.fm/coldturkey/episodes/Ep-74---Joey-eb23qf Thierry: https://anchor.fm/coldturkey/episodes/Ep-13---Thierry-e4d6gi & https://anchor.fm/coldturkey/episodes/Ep-53---Ron--Thierry-e94nec --- Send in a voice message: https://anchor.fm/coldturkey/message Support this podcast: https://anchor.fm/coldturkey/support
Suite du pocast pour Alicia ! On va répondre à la partie de son post suivant : "-Chevauchements et morsures : Loona lors de situation bien particulières toujours en lien avec la nouveauté, ou l'excitation (invités, promenade avec de nouvelles personne, nombre au dessus de 5chiens, chiens actifs/joueurs, course, vélo), se met à s'accrocher aux jambes, et si l'on lui refuse, ignore, ou gronde, Loona grogne et mord. Il peut arriver qu'elle passe directement par la case morsure. Elle se met à aboyer, tourner autour, pincer, et si l'on ignore elle mord, si on donne de l'attention, elle aboie... Pour cette situation je n'ai pas la moindre idée d'où ça vient, je l'ai faite stériliser à 3ans, on m'a dit que ça pouvait peut être impacter sur son comportement, mais aucun changement a part la prise de poids...j'ai tenté le club canin mais rien de positif, on m'a proposé le plaquage, la soumission, l'autorité... J'essaie de l'attacher a laisse lorsqu'elle le fait, ça la calme, mais dès que je la lâche elle recommence. Toujours sur les mêmes personnes, qui ne lui dises généralement rien... Il lui est arrivé quelque fois de le faire sur des chiots ou petit chien, mais lorsqu'ils grognent, elle s'arrête systématiquement. Je pense quelle cherche la personne la plus "faible" pour décharger... Voilà c'est un peu long, mais jai souhaité détailler, afin de peut être mieux comprendre. J'espère que vous pourrez me faire comprendre ma chienne et agir correctement pour cesser ses comportements...!
durée : 00:49:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - En 1980, alors que "La Maison des bois", le feuilleton qu'il avait tourné en 1969, était rediffusé sur TF1, Maurice Pialat évoquait cette expérience avec Claude-Jean Philippe et Caroline Champetier dans "Le cinéma des cinéastes", (1ère diffusion : 14/12/1980). - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Maurice Pialat réalisateur
Apprendre a voir à travers les frustrations...
durée : 00:46:39 - Remède à la mélancolie - par : Eva Bester - "Du côté d'Orouët" de Jacques Rozier, Richard Brautigan, Valentine Schlegel, Lucio Battisti et Francis Bebey, John Cage, les documentaires sur les animaux marins, observer d'autres vies... Retrouvez tous les remèdes de notre invitée ! - invités : Amélie Fontaine - Amélie FONTAINE - réalisé par : Eliane GIRARD
durée : 00:25:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Philippe Vasset présente "La conjuration" et en lit quelques extraits, au micro d'Augustin Trapenard et Sandrine Treiner, dans "Les bonnes feuilles" (1ère diffusion : 02/08/2013). - réalisation : Virginie Mourthé
Eh oui, un conseiller funéraire peut cacher des facultés particulières. C'est le cas de Christelle Dubois qui gère aujourd'hui deux agences funéraires en Bretagne ! A l’âge de 8 ans, Christelle a failli perdre la vie dans un accident de voiture et a vécu une expérience de mort imminente. Cette expérience a profondément modifié sa vision de la vie et elle en revenue avec des facultés médiumniques. Après avoir longtemps travaillé comme pompier volontaire et aide-soignante auprès des personnes en fin de vie, elle a choisi d'ouvrir une agence de pompes funèbre en Bretagne. Autant dire qu’entre le monde des vivants et des morts, et ses deux activités, son agenda est bien rempli. Christelle Dubois est aussi l'auteure de trois livres sur l'accompagnement de fin de vie et la communication avec les défunts. Retrouvez-les sur son site. Ce qu'elle a dit : "Les morts m'interpellent car ils sentent que j'ai la capacité de les entendre. Certains passent juste me dire coucou, d'autres ont des messages à me faire passer. Je les vois aussi. A l'hôpital, je lles regardais s'élever tranquillement sans le dire à la famille ou aux autres soignants." "Je n'ai jamais voulu faire de la médiumnité ma profession car je souhaitais faire un travail terrestre. Mais je peux proposer mes services à des parents ou conjoints endeuillés une à deux journées par mois. Car il est important pour moi de les aider. " "J'avais envie de prendre soin des défunts. Le funéraire, j'y réfléchis depuis 5 ans mais il m'a fallu du temps pour intégrer ce monde car je ne me sentais pas légitime. Puis, j'ai senti qu'il fallait que je sois auprès des familles au moment où leur deuil commence. Ce changement de profession a réactivé mes capacités médiumniques. Je redécouvre, l'âme, ses choix, ses besoins au moemnt des funérailles." "L'âme a besoin qu'on prenne soins de son corps, de dire des choses à ses proches. J'essaie alors de transmettre des mots à la famille. C'est loin d'être facile mais j'essaie d'adapter le message à ce que peut entendre la famille. Je ne veux pas faire de la médiumnité sauvage, ni être intrusive. Parfois, c'est fermé et je reste cantonné à mon rôle d'accompagnatrice de pompes funèbres." "Les défunts assistent à leur enterrement ! Je n'ai pas vécu une cérémonie où l'âme n'était pas là. Elle jette un coup d'œil à ce qui se passe : elle a besoin de cet hommage pour finaliser son temps terrestre. Une raison de plus pour que les vivants ritualisent son départ. Surtout avec de la lumière, des sons... L'âme est sensible aux vibrations : ça la nourrit et l'aide à partir." "Je veux enlever l'image austère des pompes funèbres et proposer d'autres choses aux familles. Mais souvent, après la perte d'un proche, on se tourne à nouveau vers du traditionnel : ça rassure".
Dans la tête d'un Beacheur: préparation mentale, dualité, collaboration, techniques de beach volley
Version trés personnelle de Paul sur une citation de Misty May Treanor : Plus la nourriture est colorée, mieux c'est. J'essaie d'ajouter de la couleur à mon alimentation, c'est-à-dire des légumes et des fruits.
« J'essaie de faire œuvre utile, c'est-à-dire me dédier à empêcher la dégradation du monde dans lequel on se trouve », dit l'auteur, metteur en scène et militant écologiste Dominic Champagne. Malgré le réchauffement de la planète et la dégradation des écosystèmes, l'initiateur du Pacte pour la transition demeure convaincu que la tendance actuelle peut être inversée.
Ceci est l'audiotranscription d'une vidéo, pour mieux comprendre cliquer ici : https://www.instagram.com/tv/B4V7zdRgXo0/ Résultat des comptes : 10 missions / 100 aujourd'hui Qui est chaud pour participer au challenge vidéos? Qui veut deveniw youtubeuw ? Plus sérieusement le but n'est pas de "devenir Youtubeur", ni même d'être connu, c'est surtout de faire l'effort régulier, constant pendant assez longtemps pour que ce ne soit plus un effort. Apprendre par la pratique, comme tous les sportifs, artistes… Confirmer ou non cette envie de partager mes passions, mon savoir ou mes idées avec autrui. J'essaie, on verra ce que ça donne. J'aimerais voir ces tentatives se multiplier autour de moi, afin d'être motivé, de motiver a mon tour etc… ça viendra ! --- Send in a voice message: https://anchor.fm/macojaune/message
durée : 00:59:07 - Les Masterclasses - par : Arnaud LAPORTE, Zoé Sfez - Mathias Enard est écrivain, traducteur et l'auteur des romans Zone et Boussole, qui lui a valu le prix Goncourt en 2015. Dans cette masterclasse, il revient sur les différentes facettes de ses rapports à l'écriture. - invités : Mathias ENARD - Mathias Enard : écrivain - réalisé par : Clotilde PIVIN
durée : 00:59:07 - Les Masterclasses - par : Arnaud LAPORTE, Zoé Sfez - Mathias Enard est écrivain, traducteur et l'auteur des romans Zone et Boussole, qui lui a valu le prix Goncourt en 2015. Dans cette masterclasse, il revient sur les différentes facettes de ses rapports à l'écriture. - invités : Mathias ENARD - Mathias Enard : écrivain - réalisé par : Clotilde PIVIN
A 8 ans, Chloé Nègre savait déjà qu'elle voulait être architecte ! Amusant quand on sait qu'aujourd'hui, après un parcours sans faute à l'école Camondo, un passage au Printemps Haussmann et 4 ans chez India Mahdavi, elle a ouvert sa propre agence et signé de beaux projets tels que l'hotel Bienvenue (en même temps qu'un bébé côté perso !), le salon de Delphine Courteille ou Aime, la boutique si instagrammable de Mathilde Lacombe. Chloé est une fille simple comme on les aime, qui ne se la raconte pas et s'excuse presque d'être ici. Alors comment elle travaille avec ses clients, de quelle manière elle aborde les nouveaux projets, quelles sont les grandes étapes d'un chantier, en quoi un architecte est indispensable, comment elle vit la compétition avec les autres, nous avons bcp parlé du métier d'architecte, ce que je n'avais pas encore fait dans ce podcast, alors à vos écouteurs ! Pour découvrir en images le style de Chloé, RDV sur son site ou sur le compte Instagram de @decodeurpodcast >> Si le podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes > à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis") c'est ce qui m'aide à me faire connaitre... plus j'ai de commentaires, plus je suis visible :) > à me suivre sur Instagram via @hortensedeco ou @decodeurpodcast et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir les 31 autres épisodes déjà en ligne > à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...! Merci beaucoup Hortense Leluc, journaliste déco, créatrice et réalisatrice de DECODEUR
durée : 00:58:09 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Le réalisateur Boris Lojkine est venu nous présenter « Camille » en salles le 16 octobre. A partir de l'histoire réelle d'une photojournaliste tuée sur le terrain, l'artiste évoque avec nous la naissance du projet, le jeu opéré entre fiction et réel et l'attention portée au son dans son film. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux - invités : Boris Lojkine réalisateur, directeur de la photographie, scénariste
durée : 00:58:09 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Le réalisateur Boris Lojkine est venu nous présenter « Camille » en salles le 16 octobre. A partir de l'histoire réelle d'une photojournaliste tuée sur le terrain, l'artiste évoque avec nous la naissance du projet, le jeu opéré entre fiction et réel et l'attention portée au son dans son film. - réalisation : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux - invités : Boris Lojkine réalisateur, directeur de la photographie, scénariste
durée : 00:04:58 - Les Carnets de la création - par : Aude Lavigne - Comment inventer une nouvelle forme de récital pour piano ? "J'essaie de développer un discours comme un acteur qui passerait d'un registre à l'autre, c'est le but de ce récital... Je voulais que les vivants dansent avec les morts..." - réalisation : Charlotte Roux - invités : David Kadouch Pianiste
durée : 00:25:06 - Jane Berbié, mezzo-soprano (5/5) - par : Judith Chaine - La mezzo-soprano Jane Berbié évoque son activité de professeur de chant. Parmi ses anciens élèves, on compte Sophie Koch, Thierry Félix, Nicolas Courjal... - réalisé par : Christine Amado
En collaboration avec les étudiants du Master de Création littéraire du Havre, la r22 Tout-monde a réalisé une série de trois podcasts pour déployer le paysage sonore et polyphonique festival Extra!Réalisation : R22 Tout-monde en collaboration avec le festival Extra!Texte et voix : Jean-Max Colard, Lionel Ruffel et Julie Boidin Design sonore : Victor Donati Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
durée : 00:59:02 - Les Masterclasses - par : Arnaud LAPORTE, Florian Gaité - Jérôme Bel fait sa masterclasse - invités : Jérôme BEL - Jérôme Bel : chorégraphe - réalisé par : Clotilde PIVIN
durée : 00:59:02 - Les Masterclasses - par : Arnaud LAPORTE, Florian Gaité - Jérôme Bel fait sa masterclasse - invités : Jérôme BEL - Jérôme Bel : chorégraphe - réalisé par : Clotilde PIVIN
durée : 00:59:04 - Les Masterclasses - par : Arnaud Laporte - Le producteur Arnaud Laporte reçoit le rappeur, écrivain et réalisateur Abd Al Malik. Il évoque son enfance et ses études à Strasbourg, ses débuts dans la musique et sa passion pour la littérature. - réalisation : Clotilde Pivin - invités : Abd Al Malik rappeur, slameur, écrivain et réalisateur
durée : 00:58:53 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Parce qu'on ne saurait distinguer ce qui appartient au réel ou à l'imaginaire dans son dernier roman, l'auteur raconte ici comment il se fait tantôt scripte du réel, tantôt pur créateur de fiction. Et ce, au sujet de ses personnages mais aussi de lui-même. - invités : Arnaud Cathrine - Arnaud Cathrine : écrivain - réalisé par : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux
durée : 00:58:53 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Parce qu'on ne saurait distinguer ce qui appartient au réel ou à l'imaginaire dans son dernier roman, l'auteur raconte ici comment il se fait tantôt scripte du réel, tantôt pur créateur de fiction. Et ce, au sujet de ses personnages mais aussi de lui-même. - invités : Arnaud Cathrine - Arnaud Cathrine : écrivain - réalisé par : Lise-Marie Barré, Charlotte Roux
Bienvenue sur le Podcast Yaniro, je m’appelle Alexis Eve et toutes les deux semaines je discute avec un entrepreneur qui pose pendant quelques minutes son costume de Super-Héros !Aujourd’hui, j’interviewe Emmanuel Freund, fondateur de la société Blade. Vous ne connaissez peut être pas Blade mais vous connaissez surement leur produit Shadow. Shadow c’est ni plus ni moins que le futur de l’ordinateur, un ordinateur a la puissance de calcul déportée qui permet d’avoir une machine toujours à la pointe de la performance ! Cet épisode est un épisode rare car au milieu de l’excitation que Blade génère dans la scène tech, au milieu des 60 millions levés et d’une croissance vertigineuse, Emmanuel a choisi la tribune Yaniro pour parler de ce qui est bien plus important que tout le reste : le pourquoi. Pourquoi créer Blade ? Pourquoi vouloir changer le monde ? Comment garder le cap de ce rêve lorsque on est à vitesse Mad Max sur la voie rapide ? Une fois n’est pas coutume je n’en rajoute pas plus et laisse la parole à Emmanuel, bonne écoute ! Si cet épisode vous a plu, abonnez vous à Yaniro Podcast sur votre application de Podcast. Egalement, sur iTunes ou Apple Podcast, laissez un avis 5 étoiles ! En plus de me faire vraiment plaisir, les avis 5 étoiles sont la meilleure manière de faire grandir le Podcast.Enfin, si vous ne voulez rater aucun épisode, vous pouvez vous abonner à la Newsletter Yaniro via le site www.yaniro.co.Merci beaucoup et à dans deux semaines pour le prochain épisode. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Après Clara Luciani, Chaton et Flavien berger, c’est Barbara Carlotti qui nous a accueilli chez elle, dans le 11ème arrondissement de Paris, pour évoquer "Voir les étoiles tomber", superbe titre inaugural de son cinquième album, Magnétique. La chanteuse montre qu’elle est plus que jamais une femme en prise avec ses intuitions, ses désirs et ses pulsions, quitte à prendre le risque qu’elles l’entraînent parfois vers le fond. Mais Voir les étoiles tomber reste une chanson lumineuse, hymne au courage et à la vaillance. Pour l’éclairer encore plus, ce sont des titres de Zombies, de Broadcast, de Michel Polnareff et de Björk qu’on a mis en orbite autour d’elle. A découvrir, partager...
Après Clara Luciani, Chaton et Flavien berger, c’est Barbara Carlotti qui nous a accueilli chez elle, dans le 11ème arrondissement de Paris, pour évoquer "Voir les étoiles tomber", superbe titre inaugural de son cinquième album, Magnétique. La chanteuse montre qu’elle est plus que jamais une femme en prise avec ses intuitions, ses désirs et ses pulsions, quitte à prendre le risque qu’elles l’entraînent parfois vers le fond. Mais Voir les étoiles tomber reste une chanson lumineuse, hymne au courage et à la vaillance. Pour l’éclairer encore plus, ce sont des titres de Zombies, de Broadcast, de Michel Polnareff et de Björk qu’on a mis en orbite autour d’elle. A découvrir, partager...
durée : 00:29:53 - Mouv' 13 Actu - Narjes a rencontré le jeune rappeur Kemmler,à Beausoleil, dans son quartier: Direction planète Marseille !
Voilà donc le vrai premier numéro qui revient sur les différents retours suite à l’épisode de présentation. J'essaie d'intégrer les premiers points d'amélioration qui me sont remontés, notamment en termes de structuration du format: 1- Evènements marquants depuis le précédent épisode 2- Bilan de la semaine écoulée • les + de la semaine • les "peut mieux faire" de la semaine 3- Programme de la semaine à venir 4- Avancement du projet 5- Recommandations Image de conclusion Pour échanger : Page Facebook : https://www.facebook.com/Journaldeborddunchangementdevie/ Groupe Facebook : https://www.facebook.com/groups/1531641683561649 Twitter : https://twitter.com/Jdbcdv LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/11220925 Groupe LinkedIn : https://www.linkedin.com/groups/12069634 Version podcast : http://jdbcdv.lepodcast.fr/
Quel que soit le domaine d'action, une approche par la notion d'Empowerment ("encapacitation" en français) permet d'agir ! L'empowerment est un appel à l'action, indépendamment des causes de la situation. Et c'est particulièrement ce qui me plaît dans cette notion : redonner du pouvoir d'agir aux individus. J'essaie de le montrer avec quelques exemples en matières de nutrition (face à l'obésité), de sport, d'emploi et de transition (sociale, économique, environnementale).
J'essaie la fonctionnalité "conversation" avec l'amie qui m'a inspirée à faire ce podcast!
Soutenir Nouvelle Ecole sur Patreon."C’était mieux avant quand je galèrais un peu plus. »La semaine dernière Télérama a publié un article sur Nouvelle Ecole : « Grâce à son amateurisme assumé, il parvient à obtenir des réponses savoureuses ». Au dessus il y avait ma tête avec des cheveux roses et ma tête avec un chat sous une ombrelle.J’adore ce chat (Clubber, suivez-le sur instagram) et mes cheveux roses, mais je suis tout de même un peu gêné quand je lis ça. Ca me rassurerait d’être pris au sérieux.Quand personne n’écoutait Nouvelle Ecole, il m'était facile de laisser les cafouillages « pour rester authentique ». Aujourd’hui des dizaines de milliers de personnes écoutent chaque semaine et je dois me faire violence pour ne pas couper toutes les imperfections. Je me demande si je vais sortir l’épisode, j'ai peur que ce ne soit pas assez pro. Je croise des gens que je ne connais pas et qui m’expliquent comment m’améliorer, grossir plus vite, être plus carré et j’ai vraiment envie de faire plaisir à tout le monde.Je pourrais me professionnaliser. J’aurais un ingé son dans un studio, il saurait sauvegarder un preset et utiliser un low-pass filter et le générique sonnerait bien. Je n’aurais qu’à poser mes questions, rentrer chez moi et les épisodes sortiraient. Moins de facepalms en entendant mes tics de langage, erreurs ou autres hésitations. Je pourrais financer tout ça avec de la pub et Nouvelle Ecole serait pro.Mais est-ce que Nouvelle Ecole serait mieux ?Tous les imprévus me laissent des souvenirs. Je ne m’attendais pas à courir après Rémi Gaillard dans Paris avec mon matériel, mais je n’échangerais pas ces soirées contre un épisode plus « classique". Pour ça je veux bien renoncer au confort d’être un professionnel, et travailler à rester un amateur.Se retrouver dans l'épisode :Match aller :04:00 J’essaie d’être libre08:30 J’aimerais que le temps suspende son vol13:00 Féminisme, plagiat et polémiques25:00 Ses débuts : "tout le monde a rigolé sauf ma mère"27:00 Le film : "la pire expérience de ma vie professionnelle"34:00 "Je suis dans un inconfort perpétuel"37:00 "En ce moment j’arrive pas à me renouveler"45:00 La protection animale et la "protection d'associations"49:16 Match retour : (ici c'est plus "n'importe quoi", je vous mets donc des repères à la louche)retour sur son séjour à Londres"J’aimerais revenir comme avant""Je fais tout pour rester n'importe qui""Aujourd’hui grâce à internet tu peux faire ce que tu veux où tu veux. "1:11:00 "Il faut que je refasse des conneries"La perte de son chien et son engagement dans la protection animale1:18:00 "J'ai l'impression que je me perds"Références de l'épisode :Enfermé dans une cage pendant 87 heuresBrigitte Bardot et Rémi GaillardIl pleure dans mon coeur - VerlaineAnymal, l'association de Rémi GaillardRonaldo vs Rémi GaillardTRAIN - Rémi GaillardIsabelle Goetz, porte parole PETA FranceGreg GuillotinSébastien CauetNicole FerroniJean-François RichetPour aller plus loin :Abonnez-vous à la newsletter.Suivez Nouvelle École sur Instagram Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Jean-Marc Gancille est le co-fondateur de Darwin, à Bordeaux, un immense lieu dédié à la transition écologique, à la coopération économique, et aux alternatives citoyennes, qui occupe une ancienne caserne militaire rénovée sur plus de 3 hectares. Darwin a créé un écosystème foisonnant d’activités : entrepreneurs sociaux, associations, évènements, restaurants, brasserie, agriculture urbaine, skate parc, épicerie bio … Un projet exceptionnel, une utopie concrète, qui ouvre de nouvelles voies en matière d’économie, d’énergie, de culture, de cohabitation des genres, et qui est devenu au fil des années une référence sur le territoire de Bordeaux, et bien au-delà. Objecteur de croissance, écolo de longue date, collapsologue convaincu, antispéciste, passionné de la faune sauvage (il est vice-président de l’ONG Wildlife Angel), on pourrait utiliser beaucoup de qualificatif pour décrire Jean-Marc Gancille, qui milite sans relâche au quotidien dans les mondes réels et virtuels. Nous avons parlé de l’effondrement qui vient, de décroissance, de respect du vivant, du sens de l’action, de la nécessité de vivre en accord avec ses convictions, du déni et de la dissonance cognitive. Nous avons aussi parlé des difficultés de créer un modèle d’entreprise différent, de l’importance de se libérer du superflu, de radicalité et de cohérence, et d’entraide. > Entretien enregistré le 5 mars 2018 EXTRAITS "Darwin, c'est un tiers-lieu, comme on les appelle. C'est une ancienne friche militaire qui a été rénovée par le groupe Evolution, dont je suis l'un des associés - j'ai quatre associés, avec lesquels nous avons conduit cette aventure, et qui vise à reconvertir ce lieu en espace, écosystème comme on dit, dédié à la transition écologique et la coopération économique." "Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais ce système risque très probablement de s'effondrer. Que ça soit financier, social, écolo, ou tout ça enchevêtré. Et sans doute à une échéance relativement proche." "Aucune initiative, considérée globalement, n'a réussi à changer la donne. On consomme toujours plus, on est toujours de plus en plus nombreux, on détruit toujours plus la biodiversité, on émet toujours plus de CO2. Et la transition n'a pas lieu, tout simplement." "J'essaie de me mettre en conformité avec mes convictions le plus possible. Depuis toujours j'ai pris - en ce qui me concerne - conscience que la décroissance était la seule issue possible." "On a une société qui est en train de se déliter, une minorité de nantis qui continue sa course folle et sa fuite en avant vers la technologie, et vers le bien-être à tout prix, avec une masse de plus en plus importante de personnes qui ne jouissent pas de l’essentiel dans ce monde. Et donc des inégalités qui progressent et qui vont concourir à cette fracture, à cet effondrement. Parce que tout ça n’est pas tenable, tout simplement." "Je crois que le soin qu’on accorde aux plus vulnérables – et les animaux sont parmi les plus vulnérables des vulnérables, dessine aussi l’attention qu’on veut avoir vis à vis de tous." "Aujourd’hui Darwin n’est plus du tout considéré comme un ilot de bobos qui veulent se faire plaisir et qui sont dans l’entre-soi, mais au contraire comme une initiative véritablement sincère de bouger les lignes. Et c’est ce qui nous donne maintenant cette notoriété assez exceptionnelle, qui nous permet d’être encore plus influent au-delà de notre propre territoire. " "Aujourd’hui je reste totalement déterminé, actif, joyeux, dans cette tentative de transition, quand bien même elle serait vaine." *** Abonnez-vous sur iTunes : apple.co/2IgEClh Inscrivez-vous à la newsletter : bit.ly/2p2so7n Facebook : www.facebook.com/presages.podcast/ Approfondissez les sujets et découvrez des ressources sur www.presages.fr *** Présages est un podcast indépendant. La musique est un extrait du morceau L’eau de Sabrina Bellaouel, mixé par Paloma Colombe.
Les références sur http://nouvelleecole.org/ep-40-charlotte-pudlowski-podcast-changer-vie"J'avais l'impression de prendre trop de place."Le collège, c'était compliqué.Il fallait faire semblant. Tout le monde voulait être dans la norme mais personne ne savait la définir. On courait tous derrière un concept vague, en mouvement, pour ne pas se faire remarquer.On portait des masques. Personne n'avait peur, personne n'était amoureux et personne n'avait de problèmes. Personne non plus n'était sûr d'avoir des amis. On pouvait être trahi à tout moment pour une bonne blague. J'excellais dans l'art de faire rire des gens aux dépens d'autres. Faire partie des losers, c'était la mort. Ils étaient seuls car hors de la norme. On avait le droit, presque le devoir, de se moquer d'eux. Un peu tous les jours. Assez pour les endommager à tout jamais.J'aurais fait n'importe quoi pour être accepté alors j'ai joué mon rôle. J'ai ri quand on se moquait des autres et retenu mes larmes quand c'était pour moi. C'était le jeu.Je suis soulagé d'avoir grandi.Je ne connais personne qui soit sorti indemne de l'adolescence. Tout le monde panse ses plaies.Le problème est que les masques ne disparaissent pas après le collège. On continue à prétendre que tout va bien et on peut passer sa vie comme ça. Je m’en suis rendu compte quand je passais mes journées à sourire et mes nuits à pleurer. J'essaie de ne plus faire semblant. Je ne veux plus participer à l'avertissement collectif envers ceux qui ne se sentent pas dans la norme : "vous n'êtes pas bien, vous devez changer". J’aimerais envoyer le signal contraire.Je n’arrive pas toujours à dire la vérité. Il y a des choses que j'ai peur de révéler, le collégien n’est pas si loin.Mais il y a une différence : je peux choisir ce que je fais, ce que je dis et avec qui je passe mon temps. Un luxe auquel les adolescents n'ont pas accès. Je peux choisir d'inviter ceux qui montrent les choses comme elles sont : sans filtre Instagram. Ils contribuent à rétablir le bon signal : la norme, c’est les plaies. SE RETROUVER DANS L’EPISODE :01:00 Sa volonté de comprendre le monde, sa carrière de journaliste19:00 Son complexe de légitimité, le fait d'être une femme33:00 Le féminisme comme un soulagement40:00 Son départ de Slate.fr, son changement de vie46:00 Transfert, moi qui m’emballe et son entrée dans l’entrepreneuriat 1:05:00 Les questions de la fin Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le Club Liza du 13 novembre 2016
"Je suis toujours spontanément attiré par les tracks qui ont une construction hors du commun, les patterns ternaires ou savamment decalées, les choses oscillant entre lenteur et rapidité, le genre de tracks difficiles à placer dans un set, qui peuvent facilement faire fuir du dancefloor un public non-averti... J'essaie de me soigner à grands coups de deep house ou de techno de detroit mais rien n'y fait. Voici donc pour Tsugi un mix bien compact regroupant des morceaux qui m'ont immédiatement sauté aux oreilles ces derniers temps. Entre club musique concrète, dance futuriste, intelligentsia scandinave, et néo grime intérsideral se glisse un soupçon de rap du passé, parce que quand-meme..." — Nicolas Malinowsky Track list: 01. Myrryrs "Southside Horror" [Body High] 02. Nicolas Malinowsky "Skateboarder" [Sound Pellegrino] 03. Matthias Zimmermann "Bastian" (Nicolas Malinowsky remix) [Sound Pellegrino] 04. 8Ball & MJG "Get Low" [Bad Boy Records] 05. Matthias Zimmermann "Kotori" [Sound Pellegrino] 06. Sophie "Bipp" [Numbers] 07. Distal "Chucky Saturn" [Lucky Beard] 08. Nocando "Zero Hour" (Mono Poly remix older edit) [???] 09. Nguzunguzu "Smoke Alarm" [Hippos in Tanks] 10. Renaissance Man "UFO (Who R U)" [Black Ocean] 11. Fatima Al Qadiri "Hydra" [Fade to Mind] + Dark Sky "Shutter Speed" [50 Weapons] 12. Justin Martin "Molokini" (French Fries remix) [Dirtybird] 13. Tessela "Hackney Parrot" [Poly Kicks] 14. Untold "Stop What You're Doing" (Kowton remix) [Hemlock] 15. Tiga "Don't Hate Tha Playa" [Cash Money] 16. Kid Noise "Signs" (Mister Tweeks remix) [Pelican Fly] 17. Ciara "Body Party" (dj Sliink & Nadus jersey club remix) [???] 18. Crystal "Crystal Forest" [Sound Pellegrino]
"En ce qui me concerne, je ne ressens pas l'existence des fantômes même si je ne la nie pas à 100%. Je crois que ce qui apparaît dans un film existe, que ce qui ne s'y montre pas n'existe pas. Si le fantôme est à l'écran, il existe (...). J'essaie de montrer les événements décisifs en un seul plan, comme par exemple le fait qu'un fantôme se tienne soudain debout à tel endroit. C'est un principe de base au cinéma, dans les films dignes de ce nom : l'évènement crucial se déroule sans montage." - Kiyoshi Kurosawa
"En ce qui me concerne, je ne ressens pas l'existence des fantômes même si je ne la nie pas à 100%. Je crois que ce qui apparaît dans un film existe, que ce qui ne s'y montre pas n'existe pas. Si le fantôme est à l'écran, il existe (...). J'essaie de montrer les événements décisifs en un seul plan, comme par exemple le fait qu'un fantôme se tienne soudain debout à tel endroit. C'est un principe de base au cinéma, dans les films dignes de ce nom : l'évènement crucial se déroule sans montage." - Kiyoshi Kurosawa