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durée : 00:04:47 - Comme personne - Photographier la mer permet-il de mieux faire connaître ce grand inconnu qu'est l'océan ? Question posée au photographe de l'agence Magnum Jean Gaumy, peintre officiel de la Marine et vice-président de l'Académie des beaux-arts, qui, durant des décennies, a photographié et filmé les milieux marins. - invités : Jean Gaumy Photographe
durée : 00:04:47 - Comme personne - Photographier la mer permet-il de mieux faire connaître ce grand inconnu qu'est l'océan ? Question posée au photographe de l'agence Magnum Jean Gaumy, peintre officiel de la Marine et vice-président de l'Académie des beaux-arts, qui, durant des décennies, a photographié et filmé les milieux marins. - invités : Jean Gaumy Photographe
Photographier est-il polluant ? Lʹexposition Mining Photography est consacrée à lʹhistoire matérielle des principales ressources utilisées pour la production dʹimages, en abordant le contexte social et politique de leur extraction et de leur gaspillage, ainsi que leur relation avec le changement climatique. Pauline Martin, directrice du musée, est au micro de Florence Grivel. Mining Photography, Lʹimpact écologique de la production dʹimages, Camera Museum, Vevey jusquʹau 6 juin.
Notre invitée est Aurélie Wilmet pour sa BD "Diane Arbus : Photographier les invisibles" (Casterman) La première biographie dessinée sur la célèbre photographe new-yorkaise. Artiste majeure du milieu du XXᵉ siècle, Diane Arbus débute sa carrière comme photographe de mode mais développe peu à peu une démarche plus personnelle en prenant pour modèles des individus appartenant à des groupes marginalisés (travestis, handicapés, nudistes...) et en les montrant dans leur humanité plutôt que comme des bêtes de foire. Diane Arbus a redéfini les limites de ce qui peut être photographié, montré, exposé, et a contribué à la normalisation et à l'acceptation de ces identités atypiques. Malgré un rôle majeur dans l'histoire de la photographie, elle reste relativement méconnue en France et dans le reste de la francophonie. Cette biographie retrace son parcours professionnel mais aussi sa vie personnelle et amoureuse ainsi que la dégradation de sa santé mentale durant les dernières années de sa vie. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, les intervenants discutent de la photographie de vacances, de l'impact du Covid sur leurs pratiques photographiques, et des défis rencontrés lors de la prise de photos avec des enfants. Ils échangent également sur les équipements photographiques, la narration en photographie familiale, et la difficulté de rester objectif face à des photos chargées d'émotion. Les expériences avec différents appareils photo, notamment Leica et Fuji, sont également abordées, ainsi que l'importance de l'élimination dans le processus de tri des photos. Cette conversation aborde divers aspects de la photographie, notamment les défis de capturer des moments familiaux, l'importance de la critique constructive, et la manière de traiter des sujets émotionnels comme la mort. Les intervenants partagent leurs expériences personnelles et discutent de la responsabilité éthique des photographes dans des situations délicates. Cette conversation explore les thèmes de l'expérience en photographie, de l'évolution personnelle, de la fierté et du jugement des œuvres, ainsi que de la narration à travers les images. Les participants discutent de l'importance de garder les imperfections, de la quête de la beauté et de l'esthétique, et de la question de savoir si l'on peut esthétiser l'horreur. Ils s'interrogent également sur ce qui définit une belle photo et comment les expériences passées influencent le travail actuel.Chapitres00:00 Introduction à la photographie de vacances01:19 L'impact des réseaux sociaux sur la photographie03:25 Évolution de la photographie personnelle05:26 Réflexions sur le confinement et la créativité07:38 Tri des archives photographiques10:10 Photographie des enfants en vacances12:32 Défis de la photographie en famille18:35 Objectivité dans la photographie personnelle25:00 La narration dans la photographie familiale28:05 L'importance de l'élimination dans le tri des photos30:04 Expériences avec différents appareils photo33:49 Les défis de la photographie en voyage avec des enfants39:59 Les anecdotes de photographie familiale47:54 L'importance du zone focusing en photographie50:12 Débriefing sur l'épisode critique56:56 La photographie dans des moments difficiles01:01:30 Confrontation à la mort à travers la photographie01:10:16 La Photographie des Défunts et des Émotions01:15:23 L'Importance de Capturer les Émotions01:16:15 Pierre Benichoux : Un Humoriste et Journaliste Inoubliable01:20:00 L'Évolution de la Photographie et de l'Art01:24:58 La Fierté et le Sens de la Photographie01:38:27 L'Art de la Photographie : Réflexions et Inspirations01:40:53 Définir une Belle Photo : Esthétique et Émotion01:49:15 La Subjectivité de la Photographie : Entre Technique et Émotion01:56:10 L'Importance de la Narration en Photographie : Raconter des Histoires02:02:24 Clôture et Perspectives : Échanges et Projets Futurs
durée : 00:11:47 - L'invité de 7h50 du week-end - Le travail du célèbre photographe brésilien Sebastião Salgado est exposé aux Franciscaines de Deauville jusqu'au 1er juin dans le cadre d'une rétrospective. Parallélement, les oeuvres de son fils Rodrigo, atteint de trisomie 21, seront exposés du 24 mai au 31 juillet à Reims.
Dans cet épisode de Sage-femme Authentique, j'accueille Delphine, photographe de naissance connue sous le nom de Regard de Zèbre. Ensemble, on échange sur le pouvoir des images de naissance et leur impact bien au-delà de l'instant capturé.Delphine nous partage son parcours, de sa première naissance photographiée par curiosité, jusqu'à son travail reconnu de photographe de naissance a présent formatrice et autrice de son livre en pleine campagne de crowdfunding: " épopée"À travers ses clichés, elle donne à voir la vraie puissance des femmes en train d'enfanter, loin des représentations stéréotypées des séries télé ou des images aseptisées des salles d'accouchement hospitalières. Montrer la vérité de la naissance, c'est aussi participer à une réappropriation du corps des femmes, trop souvent représenté uniquement dans une fonction de séduction ou de sexualisation.Nous abordons aussi la diversité des naissances qu'elle immortalise : accouchements à domicile, en maison de naissance, en hôpital, avec ou sans péridurale, césariennes… Chaque naissance est unique et mérite d'être racontée, sans hiérarchie.Delphine nous parle également de son projet de livre épopée, un magnifique ouvrage de 240 pages, riche de 200 photos, qui célèbre la diversité des naissances et offre une vraie place à ces moments trop souvent invisibilisés. Un projet à soutenir via sa campagne de crowdfunding en cours (lien ci-dessous).Ensemble, nous rappelons l'importance de montrer ces images, pour déconstruire les tabous, offrir des représentations réalistes aux futures mamans et leurs partenaires, et surtout, honorer la puissance des femmes et la beauté brute de la naissance.
Dans cet épisode, Julien Pasternak s'entretient avec Cebos Nalcakan, un photographe passionné par le noir et blanc et la diversité de son quartier, le 18ème arrondissement de Paris. Cebos partage son parcours, ses influences musicales, et comment sa curiosité et son éducation ont façonné sa vision artistique. Il aborde également l'importance de la lumière, des contrastes, et de la légitimité en photographie, tout en soulignant son engagement à raconter des histoires à travers ses images. Dans cette conversation, Cebos partage sa vision de la photographie, mettant l'accent sur l'importance de la simplicité et de la connaissance de son sujet. Il évoque son parcours artistique, son style photographique, et comment il documente la vie à Barbès, un quartier qu'il connaît intimement. À travers ses images, il cherche à raconter des histoires authentiques, à capturer des moments de vie, et à établir une connexion avec les personnes qu'il photographie. Cebos souligne également l'importance de la confiance dans son travail et comment ses doutes l'ont aidé à évoluer en tant qu'artiste.https://www.cebosnalcakan.comTakeawaysCebos est un photographe du 18ème arrondissement de Paris.Sa curiosité et son éducation sont des moteurs de sa créativité.Il privilégie le noir et blanc pour exprimer son identité artistique.Une bonne photo doit interpeller et raconter une histoire.La lumière et les contrastes sont essentiels en photographie.Il refuse de retoucher ses photos de manière excessive.Cebos se concentre sur la narration plutôt que sur la perfection technique.Il considère la photographie comme un moyen de documenter la diversité de Paris.Cebos cherche à capturer des histoires de personnes différentes mais proches.Il est fier de son héritage et de son quartier. L'art doit transmettre un message fort.La simplicité est essentielle dans la photographie.Connaître son sujet enrichit le travail photographique.Chaque photo raconte une histoire unique.La confiance est cruciale pour capturer des moments authentiques.Barbès est un lieu riche en histoires à raconter.Les rencontres humaines sont au cœur de la photographie.Documenter la vie des autres est un acte de partage.Les doutes peuvent être une source de force et d'évolution.La photographie est un moyen d'expression personnelle.Chapters00:00Introduction à la Photographie de Cebos01:57L'Identité et le Quartier du 18ème06:20La Curiosité et l'Influence de la Musique10:30La Créativité et le Processus de Prise de Vue14:37Définir une Bonne Photo16:02Le Noir et Blanc : Une Signature Personnelle20:44L'Approche de la Retouche et du Contraste24:09Travailler les Contrastes en Photographie26:57L'Importance de la Lumière et des Ombres30:36Un Univers Photographique Cohérent32:38Vendre un Univers et un Message36:53Photographier des Univers Parallèles39:15Simplicité et Élimination de l'Inutile41:04Définir son Style Photographique45:35Raconter des Histoires à Travers la Photographie52:17La Photographie comme Reportage55:03Rencontres et Relations dans la Rue58:03L'Autorisation et la Confiance dans la Photographie01:01:25Francine : Une Histoire de Vie et de Solitude01:05:21La Photographie comme Expression de Soi01:09:10Les Avantages de Photographier son Environnement01:10:25Réflexions sur les Moments de Doute01:15:15Recommandations et Clôture de l'Épisode
Allô la terre Photographie et pollution : Lʹimpact de la production dʹimages Entreprises, comment intégrer la Nature au centre des gouvernances ?
Le seul podcast qui aborde avec passion l'underground français. Ayant collaboré avec des artistes comme H JeuneCrack, Deelee S ou Moyà, Les Argenteurs forment un collectif de photographes passionnés par l'argentique. Véritables amoureux du rap et du Sud, ils fusionnent ces deux univers dans leurs créations, allant jusqu'à organiser un concert pour promouvoir leur dernière collection.Pour retrouver notre invité : InstagramSi vous appréciez notre contenu, n'hésitez pas à mettre 5 étoiles. Merci
durée : 00:03:23 - Photographier la faune du Vaucluse : les meilleurs spots pour immortaliser les animaux sauvages - par : Nathalie Mazet - Le Vaucluse offre de nombreux endroits parfaits pour les photographes animaliers. Du Rocher du Caire au sommet du Ventoux, découvrez les spots incontournables pour capturer les oiseaux et autres animaux sauvages avec Thibaut Tacussel, photographe amateur depuis 3 ans.
Si vous êtes sur Spotify, vous vous êtes déjà rendu compte que cet épisode est diffusé en vidéo. Il sera disponible en vidéo également sur Youtube, et en audio sur toutes les autres plateformes. Pas grand chose ne change en dehors de l'ajout de l'image, et pas d'inquiétude si vous n'avez accès qu'à l'audio, je fais en sorte que vous ne manquiez rien. Aujourd'hui, je reçois Antoine Dogan, photographe qui s'intéresse de près à la nature humaine et qui vient de sortir son premier livre après 10 ans à tourner appareil en main dans les Balkans, sur les traces d'une famille et d'un pays dont il a été tenu éloigné pendant près de 20 ans par les différents conflits qui ont secoué la région. Son travail mêle street photography et projets documentaires, et c'est tout naturellement que nous allons graviter vers ces sujets. Bienvenue dans l'oeil d'Antoine Dogan.
Rencontre avec le cinéaste haïtien Raoul Peck. Dans son nouveau film, Ernest Cole, photographe, il reconstitue le destin tragique du photographe Ernest Cole, mort dans l'oubli (en 1990) après avoir documenté la barbarie de l'apartheid, en Afrique du Sud (son pays natal) et la ségrégation aux États-Unis. C'est aussi l'errance de ce lanceur d'alerte, obligé de s'exiler après la publication, en 1967, de son ouvrage, que raconte Raoul Peck. RFI : Est-ce que vous vous souvenez de la première photo d'Ernest Cole que vous avez vue ? Raoul Peck : Alors, je me souviens des premières photos, c'était il y a très longtemps à Berlin quand j'étudiais. Le combat anti-apartheid commençait et les photos de d'Ernest Cole circulaient beaucoup parce que c'était la première fois qu'on découvrait les horreurs de l'apartheid à niveau d'homme, à hauteur d'homme et de femme, puisqu'il photographiait son monde à lui. Et en 1966, il quitte l'Afrique du Sud. À jamais, il le sait, il part travailler aux États-Unis. Sauf que sa vie aux États-Unis va être beaucoup moins florissante, beaucoup plus triste. Il est vu, perçu comme photographe noir alors qu'il se veut photographe, comme l'une de ses idoles, Cartier-Bresson. Et son ambition à Ernest Cole, c'était aussi de photographier, comme il dit, la condition humaine. Et pour ça, il faut pouvoir bouger. Or, on ne lui a pas permis de bouger. Vous, Raoul Peck, vous vous êtes mis dans la peau, littéralement, pendant des mois, voire des années, d'Ernest Cool. Vous avez plongé au plus intime de son être, y compris quand vous lui faites dire, mais c'est basé sur votre enquête qu'il a voulu à un certain moment se suicider. Quel portrait avez-vous gardé d'Ernest Cole ? C'est un homme en colère ? C'est un homme en colère, mais c'est un homme, comme beaucoup d'hommes et de femmes que j'ai connus en exil, qui sont perturbés, qui sont tiraillés, brisés par l'éloignement de leur pays, qui souffre très souvent. Donc, il est aussi isolé dans cette société. Que vous soyez en France ou aux États-Unis, Raoul Peck, Haïti vous habite un peu comme l'Afrique du Sud habitait Ernest Cole. Quel regard aujourd'hui, en tant que citoyen, mais aussi en tant que cinéaste, vous portez sur les événements récents en Haïti et le chaos dans lequel le pays est tombé ? Ce n'est même pas un regard que je porte, c'est quelque chose que je vis tous les jours. J'ai des conversations tous les jours avec ce qui se passe, avec des amis, des militants, des acteurs de la société civile en Haïti qui se battent depuis plus de sept ans pour trouver un accord politique qui permette au pays de sortir de cette non-constitutionnalité que nous vivons. Nous n'avons pas eu d'élections depuis plus de sept ans et donc la société civile a tenté et avec beaucoup de difficultés à trouver des solutions politiques pour pouvoir sortir de cette passe. Malheureusement, les partenaires qu'on a en face, y compris les États-Unis, je ne peux même pas dire la France, parce que la France est totalement hors-jeu de cette bataille. Il y a beaucoup de paroles, mais très peu de faits, et on ne comprend pas trop l'attitude de soi-disant des amis d'Haïti, comme se prénomment les États-Unis, l'Europe, la France, le Canada, qui ont bien sûr peur d'entrer dans un bourbier, mais qu'ils ont eux-mêmes favorisé pendant de longues années.À écouter aussiRaoul Peck: «Hiérarchiser les races, c'est la racine de tous les génocides»
Rencontre avec le cinéaste haïtien Raoul Peck. Dans son nouveau film, Ernest Cole, photographe, il reconstitue le destin tragique du photographe Ernest Cole, mort dans l'oubli (en 1990) après avoir documenté la barbarie de l'apartheid, en Afrique du Sud (son pays natal) et la ségrégation aux États-Unis. C'est aussi l'errance de ce lanceur d'alerte, obligé de s'exiler après la publication, en 1967, de son ouvrage, que raconte Raoul Peck. RFI : Est-ce que vous vous souvenez de la première photo d'Ernest Cole que vous avez vue ? Raoul Peck : Alors, je me souviens des premières photos, c'était il y a très longtemps à Berlin quand j'étudiais. Le combat anti-apartheid commençait et les photos de d'Ernest Cole circulaient beaucoup parce que c'était la première fois qu'on découvrait les horreurs de l'apartheid à niveau d'homme, à hauteur d'homme et de femme, puisqu'il photographiait son monde à lui. Et en 1966, il quitte l'Afrique du Sud. À jamais, il le sait, il part travailler aux États-Unis. Sauf que sa vie aux États-Unis va être beaucoup moins florissante, beaucoup plus triste. Il est vu, perçu comme photographe noir alors qu'il se veut photographe, comme l'une de ses idoles, Cartier-Bresson. Et son ambition à Ernest Cole, c'était aussi de photographier, comme il dit, la condition humaine. Et pour ça, il faut pouvoir bouger. Or, on ne lui a pas permis de bouger. Vous, Raoul Peck, vous vous êtes mis dans la peau, littéralement, pendant des mois, voire des années, d'Ernest Cool. Vous avez plongé au plus intime de son être, y compris quand vous lui faites dire, mais c'est basé sur votre enquête qu'il a voulu à un certain moment se suicider. Quel portrait avez-vous gardé d'Ernest Cole ? C'est un homme en colère ? C'est un homme en colère, mais c'est un homme, comme beaucoup d'hommes et de femmes que j'ai connus en exil, qui sont perturbés, qui sont tiraillés, brisés par l'éloignement de leur pays, qui souffre très souvent. Donc, il est aussi isolé dans cette société. Que vous soyez en France ou aux États-Unis, Raoul Peck, Haïti vous habite un peu comme l'Afrique du Sud habitait Ernest Cole. Quel regard aujourd'hui, en tant que citoyen, mais aussi en tant que cinéaste, vous portez sur les événements récents en Haïti et le chaos dans lequel le pays est tombé ? Ce n'est même pas un regard que je porte, c'est quelque chose que je vis tous les jours. J'ai des conversations tous les jours avec ce qui se passe, avec des amis, des militants, des acteurs de la société civile en Haïti qui se battent depuis plus de sept ans pour trouver un accord politique qui permette au pays de sortir de cette non-constitutionnalité que nous vivons. Nous n'avons pas eu d'élections depuis plus de sept ans et donc la société civile a tenté et avec beaucoup de difficultés à trouver des solutions politiques pour pouvoir sortir de cette passe. Malheureusement, les partenaires qu'on a en face, y compris les États-Unis, je ne peux même pas dire la France, parce que la France est totalement hors-jeu de cette bataille. Il y a beaucoup de paroles, mais très peu de faits, et on ne comprend pas trop l'attitude de soi-disant des amis d'Haïti, comme se prénomment les États-Unis, l'Europe, la France, le Canada, qui ont bien sûr peur d'entrer dans un bourbier, mais qu'ils ont eux-mêmes favorisé pendant de longues années.À écouter aussiRaoul Peck: «Hiérarchiser les races, c'est la racine de tous les génocides»
durée : 00:19:38 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Pauline Chanu - Une exposition inédite présente la vie et l'œuvre de Letizia Battaglia au jeu de paume à Tours jusqu'au 18 mai 2025. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Walter Guadagnini Directeur artistique de CAMERA
Photographie de couverture : Gustave LE GRAY, Le Brick au clair de lune, 1856, tirage sur papier albuminé d'après négatif sur plaque de verre au collodion, 32,2 x 41,5 cm, Paris, Musée d'Orsay © RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Patrice Schmidt Au Havre, une exposition au MuMa rend hommage à la Normandie comme source d'inspiration et permet de montrer la vivacité des relations entre la photographie et la peinture, entre les précurseurs du médium, présenté officiellement en 1839 à l'Institut de France, et les artistes du mouvement impressionniste. Interrogé par Yannick Le Guillanton, Dominique Rouet, l'un des trois commissaires de l'exposition avec Sylvie Aubenas et Benoît Eliot, revient sur ce dialogue pionnier entre deux arts majeurs. Ce dernier célèbre autant les 150 ans de l'impressionnisme que la révolution que fut l'invention de la photographie en capturant des images, puis des scènes en mouvement. Avec l'évocation de Gustave Le Gray et de Claude Monet, cet épisode de L'Œil écoute raconte ainsi le foisonnement artistique et la place centrale que la Normandie occupa dans la seconde partie du 19e siècle, portée par le développement du chemin de fer, les traversées transatlantiques, mais aussi la croissance du tourisme de bord de mer du Havre à Étretat en passant par Trouville, Dieppe ou Cabourg. Bonne visite !
Marie-Elizabeth Mali is on a mission to help women ditch their 'good-girl' conditioning so they can be their full, unique selves and live a life that feels true to who they are — not who they're 'supposed' to be. =======Help Support the show hrough my Business Partners : UPGRADE YOUR BRAINUNLEASH AND USE YOUR UNIQUENESS https://braingym.fitness/ ===============Social Media / Coaching My Other Podcasts https://roycoughlan.com/ ==============Bio of Marie-Elizabeth Mali : As a Personal Development Coach, founder of the PassionBody Activation™ retreats and the PassionBody™ Hub community, and two-time TEDx Speaker, Marie-Elizabeth Mali helps women connect more deeply with passion, purpose and joy in midlife and beyond. She's on a mission to help women ditch their 'good-girl' conditioning so they can be their full, unique selves and live a life that feels true to who they are — not who they're 'supposed' to be. Drawing on her Master's degree in Traditional Chinese Medicine and over 30 years of work in the wellness and coaching space, she teaches women how to take care of themselves better and show up as authentic and compassionate leaders in their lives, instead of twisting themselves to fit in. Her work has been featured in Thrive Global, SWAAY, and Forbes. She's also a philanthropist and published author with an MFA in Poetry from Sarah Lawrence College, and an underwater photographer who has a thing for sharks. ====================What we Discussed: - Who is Marie-Elizabeth Mali - Diving with Sharks as a Photographier ( 1 min) - Dangerous experiences which Scuba Diving (2:30 mins) - Overcoming your fears by facing them (6:40 mins to 8:47) - Big Stage Movie (9:30 mins) - What happened her voice (11:30 mins) - Her experience knowing there were cameras recording (13:40 mins) - What are Oxford Talks (15:40 mins) - How do you prepare for a teleprompter speech (17:30 mins) - What is the process for getting on Oxford Talks (19:30 mins) - What returns did she get from TEDx and Oxford Talk (21 mins) - Her Podcast Relationship Alchemy (23 mins) - Knowing which coaches are qualified (26:45 mins) - Can you call yourself an Expert (31 mins) - Natural Healing while looking at the terrain (35:45 mins) - The importance of Self Responsibility (41:30 mins) - School is where Poetry goes to Die (47:30 mins) ============ Contact Marie-Elizabeth Mali: https://marieelizabethmali.com Facebook: https://facebook.com/marieelizabethmali Instagram: https://instagram.com/marieelizabethmali LinkedIn: https://linkedin.com/in/marieelizabethmali TikTok: https://tiktok.com/@marieelizabethmali YouTube: https://youtube.com/@MarieElizabethMali =============== My Podcasts / Social Media / Coaching /Donations https://roycoughlan.com/
Johanna de Tessières - Elle a photographié entre autres des mères violées dans l'est du Congo, des réfugiés yézidis, des migrants secourus en Méditerranée... mais aussi des femmes qui s'affranchissent des clichés en jouant au foot. Johanna de Tessières collabore régulièrement avec les ONG et la presse. Ses thèmes de prédilection sont liés aux droits humains. Habituée à se rendre dans les zones de conflit, elle y documente les conséquences sur les populations civiles, y compris les migrations. Depuis 2019 elle co-anime des projets photos et d'éducation aux médias à la maison des cultures de Molenbeek. Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
La nuque imposante d'un lutteur sénégalais, des enfants devant une piscine en Chine pendant les JO de Pékin, un cycliste dans un paysage apocalyptique... Pris aux quatre coins du globe avec passion et l'effort, ces clichés puissants sont passés par l'œil de lynx d'un homme, le photographe Jean-Denis Walter, venu dévoiler les secrets de son métier dans Vous m'en direz des nouvelles en direct du Club France. Quand on parle de photographie de sport, on a souvent en tête l'image pas très artistique d'un poster de footballeur sur la pelouse avec son ballon. La démarche et les magnifiques photos de la galerie de Jean-Denis Walter nous prouvent le contraire. Après avoir été, pendant des années, directeur de la photographie du journal L'Équipe, grand quotidien français dédié au sport, puis rédacteur en chef de l'Équipe Magazine, son supplément hebdomadaire, le photographe est désormais à la tête de sa propre galerie, la toute première à être dédiée à la photographie de sport. Il y met en valeur le travail d'environ 100 professionnels de la photo, dont on peut acheter chaque œuvre.La plupart de ces photographies sont très puissantes et parfois loin de ce qu'on imagine de la photo de sport. De la douleur, de la gloire, mais pas seulement.Par exemple, l'œuvre du photojournaliste belge Alain Schroeder, un portrait très réaliste en noir et blanc, d'une dame âgée et ridée, est à la fois poignante et intrigante. Cette femme, vêtue d'une combinaison en latex ou en vinyle, est debout et retire des lunettes de plongée, les yeux fermés. Jean-Denis Walter raconte justement ce qu'il faut comprendre derrière cette image, et bien d'autres, dans Vous m'en direz des nouvelles en direct du Club France.Jean-Noël Barrot, le ministre Ministre délégué chargé de l'Europe de France, était également présent dans les studios de RFI au Club France, à l'occasion de la journée dédiée à l'Union européenne, et pour nous parler du Marathon pour tous, pour lequel il se prépare.Reportage : Loane Nader a rencontré François Gilles, le rédacteur en chef photo du Groupe L'Équipe pour se plonger dans les archives photos du quotidien sportif.
La nuque imposante d'un lutteur sénégalais, des enfants devant une piscine en Chine pendant les JO de Pékin, un cycliste dans un paysage apocalyptique... Pris aux quatre coins du globe avec passion et l'effort, ces clichés puissants sont passés par l'œil de lynx d'un homme, le photographe Jean-Denis Walter, venu dévoiler les secrets de son métier dans Vous m'en direz des nouvelles. Quand on parle de photographie de sport, on a souvent en tête l'image pas très artistique d'un poster de footballeur sur la pelouse avec son ballon. La démarche et les magnifiques photos de la galerie de Jean-Denis Walter nous prouvent le contraire. Après avoir été, pendant des années, directeur de la photographie du journal L'Équipe, grand quotidien français dédié au sport, puis rédacteur en chef de l'Équipe Magazine, son supplément hebdomadaire, le photographe est désormais à la tête de sa propre galerie, la toute première à être dédiée à la photographie de sport. Il y met en valeur le travail d'environ 100 professionnels de la photo, dont on peut acheter chaque œuvre.La plupart de ces photographies sont très puissantes et parfois loin de ce qu'on imagine de la photo de sport. De la douleur, de la gloire, mais pas seulement.Par exemple, l'œuvre du photojournaliste belge Alain Schroeder, un portrait très réaliste en noir et blanc, d'une dame âgée et ridée, est à la fois poignante et intrigante. Cette femme, vêtue d'une combinaison en latex ou en vinyle, est debout et retire des lunettes de plongée, les yeux fermés. Jean-Denis Walter raconte justement ce qu'il faut comprendre derrière cette image, et bien d'autres, dans Vous m'en direz des nouvelles.
Actualités Locales : - De moins en moins d'espèces de poissons dans l'Estuaire de la Seine- L'appel du Cyber Juin début le 10 juin- La Normandie sera présente au salon Viva Tech de Paris- Les personnels des établissements de nuit formés aux gestes qui sauvent- « Photographier en Normandie (1840-1890). Un dialogue pionnier entre les arts » : c'est le nom de la prochaine exposition du MuMaOn parle aussi avec l'artiste Samba de la Muerte qui se produit ce soir au TetrisBonne écoute !
durée : 00:50:11 - Grand Canal - par : Eva Bester - D'origine italienne et Parisien d'adoption, le photographe Paolo Roversi présente sa première exposition personnelle au Palais Galliera, jusqu'au 14 juillet. À travers 140 œuvres, célèbres ou inédites, l'artiste rend hommage à la beauté des mannequins et à la beauté de la lumière qui les magnifie.
durée : 00:02:24 - A Cusy Denis vient photographier les oiseaux du Chéran - Denis est photographe animalier amateur, aujourd'hui il vient en planque sur les rives du Chéran pour tenter de faire de belles images des sincles plongeurs très présent sur les bords de cette rivière encore sauvage.
Ecoutez Un jour chez vous du 02 janvier 2024 avec La rédaction de RTL.
durée : 00:35:04 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Quentin Lafay - Condition sine qua non de la photographie, la lumière sublime et joue avec les pellicules en noir et blanc utilisées depuis la création du medium, de Nadar à Anders Petersen. Une exposition à la BnF y est consacrée jusqu'au 21 janvier 2024. - invités : Héloïse Conésa Conservatrice en charge de la photographie contemporaine au département des Estampes et de la photographie de la BnF; Hélène Orain Docteure en histoire de l'art, spécialisée en photographie
durée : 00:30:36 - Une histoire particulière - Alors que la Première Guerre mondiale s'abat sur l'Europe, deux cousines anglaises révèlent des photographies de fées. Les adeptes du monde spirite s'emparent de ces photos et les utilisent comme preuves de l'existence du surnaturel. - invités : Merrick Burrow Chercheur en littérature victorienne et edwardienne à l'Université de Huddersfield; Mireille Berton Maitre de conférence en esthétique du cinéma à l'Université de Lausanne; Pierre Dubois Elficologue, écrivain, conteur; Natacha Henry Historienne et journaliste, vient de publier : « Marie et Bronia, le Pacte des soeurs » (Albin Michel Jeunesse).; Hélène Machinal Professeur des universités à Rennes 2
durée : 00:30:36 - Une histoire particulière - Alors que la Première Guerre mondiale s'abat sur l'Europe, deux cousines anglaises révèlent des photographies de fées. Les adeptes du monde spirite s'emparent de ces photos et les utilisent comme preuves de l'existence du surnaturel. - invités : Merrick Burrow Chercheur en littérature victorienne et edwardienne à l'Université de Huddersfield; Mireille Berton Maitre de conférence en esthétique du cinéma à l'Université de Lausanne; Pierre Dubois Elficologue, écrivain, conteur; Natacha Henry Historienne et journaliste, vient de publier : « Marie et Bronia, le Pacte des soeurs » (Albin Michel Jeunesse).; Hélène Machinal Professeur des universités à Rennes 2
durée : 00:07:01 - franceinfo junior - Les enfants de franceinfo junior interviewent mardi Jean-Michel Bertrand, photographe et cinéaste animalier, à l'occasion du concours de photos "Wildlife Photographer of the Year".
Cette semaine, je rencontre Olivier Christinat dans son atelier à Lausanne. Avec ou sans appareil photo, Olivier Christinat est un homme curieux, très curieux même, de trouver sa juste place sur notre petite planète. Cette recherche intérieure, cela fait quarante ans qu'il la partage dans ses photographies en explorant ce qu'est la distance juste, c'est-à-dire cette distance qui ne sépare plus, mais qui au contraire, le relie avec les objets vers lesquels il oriente le viseur de son appareil. Lorsqu'il est à sa place, apparaît dans la photo d'Olivier Christinat, une grâce qui nous invite, comme une évidence, à être aussi à notre place. Parce qu'à ce moment-là, les objets de sa photo, paysage, personnage ou encore composition, cessent d'être des objets pour devenir des présences. Comment trouver la distance juste pour photographier ? (Et pas seulement pour photographier, bien sûr). C'est la question de la semaine. Retrouvez-le sur olivierchiristinat.com
durée : 00:44:14 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Rencontre avec le photographe et anthropologue Camilo Leon-Quijano à l'occasion de la parution de son livre "La cité : une anthropologie photographique" aux éditions de L'EHESS. - invités : Camilo Leon-Quijano Anthropologue et photographe
durée : 00:44:14 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Rencontre avec le photographe et anthropologue Camilo Leon-Quijano à l'occasion de la parution de son livre "La cité : une anthropologie photographique" aux éditions de L'EHESS. - invités : Camilo Leon-Quijano Anthropologue et photographe
La MEP - Maison Européenne de la Photographie - vous propose de revenir sur 5 œuvres de photographes, issues des collections de la MEP, qui se sont engagés dans différentes crises et conflits mondiaux. Cette série « Photographier les crises » s'inscrit dans le cadre de l'exposition consacrée à Boris Mikhaïlov, présentée jusqu'au 15 Janvier à la MEP. Crédits image : Sans-abri irlandais, East End, Londres, c. 1969 © Don McCullin (courtesy Contact Press Images)
durée : 00:45:04 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Nous recevons le photographe Nicolas Floc'h à l'occasion de son exposition "Initium Maris", au centre d'art Gwinzegal à Guimgamp du 9 décembre au 12 mars. - invités : Nicolas Floc'h Artiste (sculpteur, photographe, peintre)
durée : 00:45:04 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux - Nous recevons le photographe Nicolas Floc'h à l'occasion de son exposition "Initium Maris", au centre d'art Gwinzegal à Guimgamp du 9 décembre au 12 mars. - invités : Nicolas Floc'h Artiste (sculpteur, photographe, peintre)
La MEP - Maison Européenne de la Photographie - vous propose de revenir sur 5 œuvres de photographes, issues des collections de la MEP, qui se sont engagés dans différentes crises et conflits mondiaux. Cette série « Photographier les crises » s'inscrit dans le cadre de l'exposition consacrée à Boris Mikhaïlov, présentée jusqu'au 15 Janvier à la MEP. Crédit photo : Nounou noire, enfant blanche, 1985 © Marie-Laure de Decker
La MEP - Maison Européenne de la Photographie - vous propose de revenir sur 5 œuvres de photographes, issues des collections de la MEP, qui se sont engagés dans différentes crises et conflits mondiaux. Cette série « Photographier les crises » s'inscrit dans le cadre de l'exposition consacrée à Boris Mikhaïlov, présentée jusqu'au 15 Janvier à la MEP. Crédit photo : Rue Saint-Jacques, Paris, 10 juin 1968, Collection MEP, acquis en 2011 © Fondation Gilles Caron / In-actua
La MEP - Maison Européenne de la Photographie - vous propose de revenir sur 5 œuvres de photographes, issues des collections de la MEP, qui se sont engagés dans différentes crises et conflits mondiaux. Cette série « Photographier les crises » s'inscrit dans le cadre de l'exposition consacrée à Boris Mikhaïlov, présentée jusqu'au 15 Janvier à la MEP. Crédit photo : Journée de la femme islamique, Téhéran, Iran, 1979. Collection MEP, acquis en 1988. © Christine Spengler
La MEP - Maison Européenne de la Photographie - vous propose de revenir sur 5 œuvres de photographes, issues des collections de la MEP, qui se sont engagés dans différentes crises et conflits mondiaux. Cette série « Photographier les crises » s'inscrit dans le cadre de l'exposition consacrée à Boris Mikhaïlov, présentée jusqu'au 15 Janvier à la MEP. Crédits image : Josef Koudelka, Prague, 1968. Collection MEP, acquis en 1994 © Josef Koudelka / Magnum Photos - Avec l'aimable autorisation de la Fondation Josef Koudelka.
À l'image de sa population, le Grand Paris est un territoire aux multiples facettes et à l'identité composite. Pour tenter d'en saisir les contours, les Ateliers Médicis et le Centre national des arts plastiques (CNAP) ont passé commande auprès d'artistes photographes pour en faire une exposition photographique : les Regards du Grands Paris.Qu'est-ce que recouvre le Grand Paris ? En quoi l'approche de cette “ville-monde” est-elle pertinente pour réfléchir sur les questions raciales ? Quelles questions éthiques se posent aux artistes lorsqu'il s'agit de prendre des personnes minorisées en photo ?Dans le cadre de la « Nuit des Regards » - soirée lors de laquelle des artistes, collectifs, journalistes et militant·es de la scène culturelle émergente ont posé leurs regards sur cette exposition - Rokhaya Diallo et Grace Ly ont reçu les photographes Alassan Diawara, Khalil Nemmaoui et Rebecca Topakian pour parler de leur travail. Ensemble, ils et elles ont exploré les manières possibles de représenter l'espace et les visages cosmopolites du Grand Paris.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références sur https://www.binge.audio/podcast/kiffetarace/photographier-le-grand-paris CRÉDITS Kiffe ta race est un podcast de Binge Audio animé par Rokhaya Diallo et Grace Ly. Cet épisode a été enregistré le 16 septembre 2022 aux Magasins Généraux, à Pantin. Prise de son : Clément Postec. Réalisation : Elisa Grenet. Générique : Shkyd. Production et édition : Naomi Titti. Marketing : Jeanne Longhini. Communication : Lise Niederkorn & Justive Taverne. Identité graphique : Manon Louvard & Camille Bernard (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:44:46 - Par les temps qui courent - Rencontre avec le photographe ukrainien pour "Journal ukrainien", la grande rétrospective que lui consacre la Maison Européenne de la Photographie (MEP) du 7 septembre 2022 au 15 janvier 2023
durée : 00:44:46 - Par les temps qui courent - Rencontre avec le photographe ukrainien pour "Journal ukrainien", la grande rétrospective que lui consacre la Maison Européenne de la Photographie (MEP) du 7 septembre 2022 au 15 janvier 2023
durée : 00:43:07 - La Grande Table d'été - par : Olivia Gesbert - L'une photographie des corps en mouvement, l'autre des mains... En direct et en public des Rencontres de la photographie d'Arles, les photographes Babette Mangolte et Susan Meiselas nous parlent de leur geste photographique. - invités : Susan Meiselas Photographe; Babette Mangolte Réalisatrice et photographe