In extenso, le podcast de The Conversation qui donne la parole à la recherche. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
À mesure que les scientifiques documentent toujours plus finement les effets du réchauffement climatique sur notre système Terre, le temps de la crise écologique s'impose comme celui de l'urgence absolue. Comment attendre une minute de plus face à la montée des périls environnementaux ?Cette urgence ne date toutefois pas d'hier : ces dernières décennies, les prises de conscience écologiques se succèdent sans que rien ne semble pouvoir inverser les mouvements délétères des destructions et dégradations de notre environnement.Comment expliquer cela ? Au fait que « la matrice du temps écologique se situe hors du temps des sociétés humaines », souligne l'historien Grégory Quenet, invité de ce nouveau podcast de The Conversation France, aux côtés de l'anthropologue Verónica Calvo Valenzuela et du théologien Olric de Gelis. Tout trois sont membres de la Chaire Laudato Si du Collège des Bernardins. Initiée en 2021, ce cycle de recherche « pour une nouvelle exploration de la Terre » prendra fin au printemps 2024. Conception, Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, on s'intéresse aux enjeux économiques et à leur rôle dans la crise climatique. Notre obsession pour la croissance est-elle responsable de la crise climatique et plus généralement des dérèglements environnementaux ? Sur quels nouveaux indicateurs économiques s'appuyer pour assurer la survie de la biosphère ? Après la pandémie de Covid, pourquoi mettre la question de la santé et du bien-être au cœur de ces enjeux est devenu incontournable pour envisager l'avenir ?Autant de questions que nous abordons avec Éloi Laurent, enseignant à Sciences Po et à l'Université de Stanford, économiste senior à l'Observatoire français des conjonctures économiques. Ses travaux portent sur les questions de bien-être et de soutenabilité environnementale. On peut trouver ses deux derniers ouvrages, Sortir de la croissance, Et si la santé guidait le monde ? en édition de poche.Credits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Arjakovsky, directeur de recherche au Collège des Bernardins, fondateur de l'Institut d'études œcuméniques de Lviv et auteur de plusieurs ouvrages dont Occident-Russie : Comment sortir du conflit ?, revient sur un mur moins physique, mais tout aussi infranchissable : celui qui sépare l'opposition russe à Vladimir Poutine, emprisonnée, réduite au silence ou contrainte à l'exil, de ses concitoyens.Une opposition dont plusieurs représentants se sont notamment réunis lors de la dernière édition du Forum Normandie, en présence d'Antoine Arjakovsky, pour rédiger ensemble un texte appelant à la fin de l'agression russe contre Ukraine et à la démocratisation de leur pays. Ces objectifs relèvent-ils du voeu pieux ? Comment les pays qui accueillent ces opposants peuvent-ils les aider ?Crédits, conception et animation, Grégory Rayko. Réalisation, Rayane Meguenni Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si l'expérience esthétique est universelle, chaque milieu social en définitcependant les formes et le format. Cette simple considération permet de réintégrer dans le même domaine les arts dits « légitimes », et des ensembles de pratiques culturelles considérées comme « illégitimes » dont pourtant, l'expérience esthétique est tout à fait similaire. Au lieu de définir la culture en se penchant sur différents objets culturels, Fabrice Raffin nous propose de l'aborder par le prisme de l'expérience, en adoptant un point de vue sociologique. Le moment de l'expérience esthétique culturelle a toujours une fonction sociale, définie par des règles précises : il est par exemple autorisé d'exprimer ses émotions, quand l'expérience est collective - pleurer au cinéma, crier au concert, chanter à un match de foot… Et même quand nous vivons ces expériences seuls, il s'agit encore de s'inscrire dans une communauté d'appartenance. Enfin, cette expérience émotionnelle et physique peut également être associée à la notion de plaisir - n'en déplaise à la conception philosophique héritée de Kant et Hegel. Crédits : conception et animation, Sonia Zannad ; réalisation, production, Rayane Meguenni. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le mois de décembre 2022 va constituer un moment important de la protection de la biodiversité au niveau mondial avec la tenue, à Montréal, de la COP15 (7-19 décembre). Son objectif sera de définir le nouveau cadre de cette protection pour la décennie à venir. Le contexte de la sixième extinction de masse réclame des actions fortes et sans délai pour préserver les écosystèmes naturels terrestres, dont les sociétés humaines tirent une variété infinie de services (on les appelle « services écosystémiques »). L'un des points clés en cours de discussion concerne la protection de l'intégrité de ces écosystèmes naturels sur 30 % des terres et des mers à échéance de 2030 (pour les mers, sont concernées les zones sous juridiction nationale). C'est ce que l'on appelle « l'objectif 30x30 ». Cette dynamique d'expansion des aires protégées constitue aujourd'hui l'un des axes principaux de la protection du patrimoine naturel mondial. Si les êtres humains ont toujours cherché à protéger des territoires particuliers, de manière temporaire ou permanente, ce qu'on définit aujourd'hui comme « aires protégées » est apparu dans la seconde moitié du XIXe siècle. Parmi ces premiers espaces figurent, par exemple, la « réserve artistique » de la forêt de Fontainebleau, créée en 1861, le parc régional du Yosemite (États-Unis, 1864) ou encore le parc national du Yellowstone (États-Unis).Les aires protégées existent dans presque tous les pays du monde, présentant des tailles très différentes d'un continent à l'autre. Elles répondent également à une classification précise en six catégories, établie par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Mais que signifie concrètement « protéger » 30% de la planète ? Et comment cela se passe-t-il sur le terrain ? Ces espaces représentent-ils une « mise sous cloche », comme l'avancent leurs détracteurs ? Cette politique des aires protégées se fait-elle aux dépens des populations qui y vivent ? Et comment savoir si elles sont efficaces ? Crédits : conception et animation, Jennifer Gallé. Réalisation et production, Rayane Meguenni Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sécheresse et canicules inédites, montée des eaux, biodiversité en chute libre… Partout dans le monde, les effets de la crise climatique se font sentir, de plus en plus intensément. Face à ce constat, documenté par les scientifiques dans les fameux rapports du GIEC, certains vivent dans la crainte qu'un point de non-retour soit atteint.Et si, au-delà des chiffres et des situations effrayantes, on s'intéressait aux initiatives qui portent leurs fruits ? C'est l'objet de « Défis climatiques : ces initiatives qui font bouger les lignes » une série de cinq podcasts réalisée en partenariat avec l'Institut des hautes études pour la science et la technologie. Objectif : appréhender les mobilisations et les actions qui permettent de faire face à la crise climatique et qui donnent de l'espoir.Dans ce troisième épisode, on revient sur les phénomènes récents de la sécheresse, comme celle qui a touché la France à l'été 2022, et des inondations, exceptionnelles comme au Pakistan où les pluies de mousson ont causé un grand nombre de victimes. Sous l'effet des dérèglements climatiques, notre météo devient de plus en plus contrastée. Comment les travaux de modélisation et les prévisions des scientifiques peuvent-ils nous permettre de mieux appréhender ces situations ?Pour revenir sur ces évolutions et ce qui nous attend, nous recevons l'hydrologue Vazken Andréassian, hydrologue et directeur de l'unité de recherche HYCAR (Inrae), dont les travaux portent sur la modélisation hydrologique.Crédits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique, « Night », Kosmorider, 2022. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La cinquième édition du Forum mondial Normandie pour la Paix – une manifestation annuelle dont The Conversation France est partenaire — s'est déroulée cette année les 23 et 24 septembre sous le mot d'ordre « À bas les murs ! Ces enfermements qui font les guerres ». Dans la continuité de ces deux journées qui ont donné lieu à une vingtaine de conférences et débats entre universitaires, responsables politiques et personnalités de la société civile, nous vous proposons deux podcasts, avec deux intervenants au Forum : l'historienne Sabine Dullin (Sciences Po), spécialiste de la Russie et de l'URSS, et le politologue Patrick Maurus (Inalco), expert des deux Corées.Le premier épisode, en compagnie de Sabine Dullin, revient sur les 28 années d'existence de l'un des murs les plus célèbres de l'Histoire : celui de Berlin, érigé en 1961 et abattu en 1989.Ce sinistre édifice qui entourait la totalité de Berlin Ouest était immédiatement devenu le symbole de la division de l'Europe, voire du monde, en deux camps antagonistes. Sa chute, rapidement suivie de celle de l'URSS et de l'ensemble du « bloc communiste », avait, croyait-on, annoncé l'avènement d'une ère de paix et de coopération. Mais un nouveau schisme s'est progressivement fait jour entre la Russie et le reste de l'Europe. Tandis que la plupart des anciens satellites de Moscou intégraient l'Otan, un revanchisme russe de plus en plus sensible s'est exprimé, dont l'invasion de l'Ukraine le 24 février 2022 a été l'aboutissement sanglant. Si bien que le continent apparaît aujourd'hui plus que jamais scindé en deux parties…Sabine Dullin, qui a notamment publié La Frontière épaisse (éditions EHESS) en 2014, un Atlas de la guerre froide (éditions Autrement) en 2017 et L'Ironie du destin. Une histoire des Russes et de leur Empire (éditions Payot) en 2021, nous permet de mieux comprendre ces processus qui semblent condamner l'Europe à des scissions sans cesse renouvelées. Crédits, conception et animation, Grégory Rayko. Réalisation, Rayane Meguenni. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sécheresse et canicules inédites, montée des eaux, biodiversité en chute libre… Partout dans le monde, les effets de la crise climatique se font sentir, de plus en plus intensément. Face à ce constat, documenté par les scientifiques dans les fameux rapports du GIEC, certains vivent dans la crainte qu'un point de non-retour soit atteint.Et si, au-delà des chiffres et des situations effrayantes, on s'intéressait aux initiatives qui portent leurs fruits ? C'est l'objet de « Défis climatiques : ces initiatives qui font bouger les lignes » une série de cinq podcasts réalisée en partenariat avec l'Institut des hautes études pour la science et la technologie. Objectif : appréhender les mobilisations et les actions qui permettent de faire face à la crise climatique et qui donnent de l'espoir.Dans ce deuxième épisode, on s'aventure sur le terrain de la justice et du droit. Depuis quelques années, la justice climatique prend de l'ampleur. En France et ailleurs dans le monde, des citoyens saisissent des tribunaux pour dénoncer «l'inaction climatique » et tenterd'agir en faveur de l'environnement. Quelle est la portée de ces nouvelles formes de mobilisation ?Pour nous éclairer sur ces questions, nous recevons la juriste et chercheuse Judith Rochfeld, professeur de droit privé à l'université Paris 1-Panthéon-Sorbonne. Judith Rochfeld a codirigé le Dictionnaire des biens communs et a publié en 2020 un essai intitulé Justice pour le climat, les nouvelles formes de mobilisations citoyennes.Crédits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Musique, « Night », Kosmorider, 2022 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sécheresse et canicules inédites, montée des eaux, biodiversité en chute libre... Partout dans le monde, les effets de la crise climatique se font sentir, de plus en plus intensément. Face à ce constat, documenté par les scientifiques dans les fameux rapports du GIEC, certains vivent dans la crainte qu'un point de non-retour soit atteint.Et si, au-delà des chiffres et des situations effrayantes, on s'intéressait aux initiatives qui portent leurs fruits ? C'est l'objet de « Défis climatiques : ces initiatives qui font bouger les lignes » une série de 5 podcasts réalisée en partenariat avec l'Institut des hautes études pour la science et la technologie. Objectif : appréhender les mobilisations et les actions qui permettent de faire face à la crise climatique et qui donnent de l'espoir.Dans ce premier épisode, on s'interroge sur les leviers efficaces d'action : à quelle échelle agir –au global, au local, en réseau ? On tentera aussi decomprendre ce qui peut favoriser l'action ou, au contraire, l'inhiber. Pour nous accompagner dans cette réflexion nous recevons Catherine Larrère professeur émérite à l'université Paris I-Panthéon-Sorbonne. Précurseuse, en France, de la philosophie environnementale, Catherine Larrère a écrit plusieurs ouvrages dans ce domaine, dont un certain nombre avec son mari l'agronome et sociologue Raphaël Larrère. Leur dernier livre, « Le pire n'est pas certain », a été publié en septembre 2020 aux éditions Premiers Parallèle.Crédits, conception et animation, Françoise Mamouyet & Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Musique, « Night », Kosmorider, 2022. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ? Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.Dans ce cinquième et dernier épisode de notre série de podcasts «Facteur (mal)chance», Christophe Haag revient sur l'une des plus grandes découvertes de l'expert américain en épaves et trésors engloutis E. Lee Spence : l'épave du sous-marin le Hunley, disparu en mer en 1863. Cet « Indiana Jones » en chair et en os l'avait cherché pendant des années… Pourtant, il a fini par le trouver par hasard lors d'une sortie en mer avec un ami en 1970. Peut-on dès lors parler d'un authentique coup de chance ? Pas si sûr… Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique, « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ?Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.Le quatrième épisode de notre série de podcasts «Facteur (mal)chance» décrypte le pouvoir de la gentillesse au travers du témoignage de François Sarano, compagnon du Commandant Jacques-Yves Cousteau. L'emblématique explorateur marin se caractérisait en effet par une bienveillance qui lui a permis de vivre et de faire vivre à son équipe des aventures exceptionnelles. De quoi tordre le coup aux idées reçues sur une qualité généralement perçue comme une faiblesse...Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique: « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette série de podcasts « La science au service de l'humanitaire » nous nous nous intéressons aux collaborations qui peuvent naître de la rencontre entre la science et des organismes humanitaires tels que la Croix-Rouge ou Handicap International.Dans ce second épisode, il est question de l'association entre l'Institut National des sciences appliquées (INSA) et l'ONG Handicap International. Le partenariat entre ces deux institutions à pour but de rendre accessible le matériel médical - et notamment les prothèses et orthèses - au plus grand nombre. Pour en parler, nous recevons Jérôme Chevalier, professeur en sciences des matériaux à l'INSA de Lyon et Pierre Gallien, directeur innovation à Handicap International.Crédits, Conception et Animation, Benoît Tonson, Réalisation, Rayane Meguenni. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ? Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en [psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.Le troisième épisode de notre série «Facteur (mal)chance» s'intéresse au parcours de Mykel Hawke. Cet ancien des forces spéciales américaines, qui s'est ensuite reconverti dans le documentaire télé, a tout connu : les combats et les missions de sauvetage dans les pires zones de conflits, la lutte contre les trafiquants de drogue en Colombie, etc. S'il est encore en vie aujourd'hui, « Captain Hawke » ne le met pas uniquement sur le compte de la chance, mais aussi sur une force mentale qu'il s'est patiemment forgée...Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique: « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette série de podcast « La science au service de l'humanitaire » nous nous intéressons aux collaborations qui peuvent naître de la rencontre entre la science et des organismes humanitaires tels que La Croix Rouge ou Handicap international. Dans ce premier épisode, il est question de l'association entre l'Institut National des sciences appliquées (INSA) et le Comité international de la Croix-Rouge (CICR).En effet, ces deux institutions se sont données comme objectif de développer des nouvelles technologies pour faciliter la recherche et l'identification de personnes disparues dans des contextes de catastrophes ou de migration par exemple. Pour en parler nous recevons Charles Dossal enseignant-chercheur en mathématiques appliquées à l'INSA de Toulouse et Jose Pablo Baraybar directeur de la mission « forensics » du Comité international de la Croix-Rouge consacrée aux migrants disparus en Méditerranée. Crédits, Conception et Animation, Benoît Tonson, Réalisation, Rayane Meguenni. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ? Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.Le deuxième épisode de notre série de podcasts, «Facteur (mal)chance» revient sur l'incroyable histoire d'Annette Hefkens, la seule survivante du vol 474 de la compagnie Vietnam Airlines qui s'est écrasé le 14 novembre 1992. Cette tradeuse de Wall street parviendra par la suite à survivre huit jours dans la jungle hostile. Elle se définit aujourd'hui comme une « malchanceuse chanceuse ». Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Musique: « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pourquoi certaines personnes ont de la chance et d'autres n'en ont pas ? Est-ce simplement le hasard ? Comment se fait-il que l'on s'estime parfois chanceux dans notre malheur ? Est-il vraiment possible d'attirer la chance à soi ? Et si oui, comment ? Dans son dernier livre, Provoque ta chance ! (Éditions Albin Michel), Christophe Haag, chercheur en psychologie sociale et professeur en comportement organisationnel à l'emlyon business school, tente d'apporter des éléments de réponses à ces questions. Comme pour ses précédents travaux sur la contagion émotionnelle entre les individus, il recours à la méthode de la « tératologie », autrement dit l'étude de cas extrêmes, du « pas ordinaire », pour mieux comprendre la normalité.Dans ce premier épisode de notre série « Facteur (mal)chance », Christophe Haag revient sur le parcours du Belge Damien Meurisse, présent au Bataclan au soir du 13 novembre 2015 et victimes de plusieurs accidents graves dans sa vie, dont l'un qui l'a rendu paraplégique en 2018. Pourtant, comme vous le découvrirez, ce dernier s'estime plutôt appartenir au camp des veinards… Crédits, Conception et Animation, Thibault Lieurade, Réalisation, équipe technique de l'emlyon et Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni.Musique : « Episodes », Azoora feat. Graciellita, 2011 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On l'appréhende, on la prépare, on l'accompagne. Et quel que soit l'état d'esprit dans lequel elles se sentent le jour J, la rentrée en crèche est un tournant dans la vie des familles.Pour les parents, il s'agit de voir d'autres adultes entrer dans la vie de leur enfant, et de leur faire confiance. Pour les bébés, c'est le grand bain de la vie en collectivité qui va commencer.Car la fonction sociale des crèches ne se résume pas à la fonction de « mode de garde ». Certes, ce sont des lieux d'accueil qui permettent aux parents de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Mais ce sont aussi des « lieux de développement, de socialisation et d'éveil », nous dit le projet autour des « 1000 premiers jours » lancé au niveau national.Avec Catherine Bouve, maîtresse de conférences en sciences de l'éducation à l'Université Sorbonne Paris-Nord, on se penche dans cette série en trois épisodes sur ce rôle des crèches, leur fonctionnement, les attentes qu'on fait peser sur elles. Et donc sur la vision de l'enfance que cela dessine.Dans ce troisième épisode, on va interroger l'intérêt croissant pour la petite enfance aujourd'hui, qui découle des découvertes de la recherche sur le développement de l'enfant. Si on se préoccupait peu des besoins psychologiques du tout-petit, aujourd'hui, serait-on passé à l'excès inverse, dans une sorte de course à la performance ?Crédits, Conception et Animation, Aurélie Djavadi, Réalisation, Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On l'appréhende, on la prépare, on l'accompagne. Et quel que soit l'état d'esprit dans lequel les familles se sentent le jour J, la rentrée en crèche est un tournant dans leur vie. Pour les parents, il s'agit de voir d'autres adultes entrer dans la vie de leur enfant, et de leur faire confiance. Pour les bébés, c'est le grand bain de la vie en collectivité qui va commencer. Car la fonction sociale des crèches ne se résume pas à la fonction de « mode de garde ». Certes, ce sont des lieux d'accueil qui permettent aux parents de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Mais ce sont aussi des « lieux de développement, de socialisation et d'éveil », nous dit le projet autour des « 1000 premiers jours » lancé au niveau national. Avec Catherine Bouve, maîtresse de conférences en sciences de l'éducation à l'Université Sorbonne Paris-Nord, on se penche dans cette série en trois épisodes sur ce rôle des crèches, leur fonctionnement, les attentes qu'on fait peser sur elles. Et donc sur la vision de l'enfance que cela dessine. Dans ce deuxième épisode, on va s'intéresser à la vie en collectivité des tout-petits et à ce que la crèche est censée leur apporter.Crédits, Conception et Animation, Aurélie Djavadi, Réalisation, Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On l'appréhende, on la prépare, on l'accompagne. Et quel que soit l'état d'esprit dans lequel les familles se sentent le jour J, la rentrée en crèche est un tournant dans leur vie. Pour les parents, il s'agit de voir d'autres adultes entrer dans la vie de leur enfant, et de leur faire confiance. Pour les bébés, c'est le grand bain de la vie en collectivité qui va commencer. Car la fonction sociale des crèches ne se résume pas à la fonction de « mode de garde ». Certes, ce sont des lieux d'accueil qui permettent aux parents de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Mais ce sont aussi des « lieux de développement, de socialisation et d'éveil », nous dit le projet autour des « 1000 premiers jours » lancé au niveau national. Avec Catherine Bouve, maîtresse de conférences en sciences de l'éducation à l'Université Sorbonne Paris-Nord, on se penche dans cette série en trois épisodes sur ce rôle des crèches, leur fonctionnement, les attentes qu'on fait peser sur elles. Et donc sur la vision de l'enfance que cela dessine. Dans ce premier épisode, on s'interroge sur ce qui se joue dans cette première séparation entre parents et enfants, à l'entrée en crèche, à l'aide de l'histoire et de la sociologie.Crédits, Conception et Animation, Aurélie Djavadi, Réalisation, Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni. Notre politique de confidentialité GDPR a été mise à jour le 8 août 2022. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Orange, pétillant, amer, le spritz qui envahit les terrasses aux premiers beaux jours nous vient de Vénétie dans le nord de l'Italie, où on en boit depuis la première moitié du XIXe siècle. Cocktail né sous l'influence de l'empire autrichien -- d'où la consonance du mot, c'est depuis 2010, à la faveur d'un coup marketing qu'il devient très à la mode. Le spritz a ce côté à la fois chic et simple, fun, sophistiqué, rétro et moderne qui séduit toutes les générations et bien des palais assoiffés.Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.« Week-End à Rome », Etienne Daho, 1984.« Voyage en Italie », Lilicub, 1995.CréditsConception et animation, Sonia Zannad, réalisation, Romain Pollet, chargé de production, Rayane Meguenni H1rZ7LqBTam8o9Bm9K6J Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Le "trottin" c'est le mot qui a donné le nom "trottinette", le dictionnaire le littré en donne la définition suivante : "Jeune garçon, jeune fille qui fait les commissions, les courses dans un magasin." Aujourd'hui, le mot ne qualifie plus la personne mais l'objet , et la trottinette se faufile dans les grandes villes en cristallisant autour d'elle des enjeux environnementaux, politiques et sociaux.Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.« Comédie musicale de Peter Pan - Je veux pas grandir », Casino de Paris 1991 CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Un Français sur cinq et près d'un Américain sur trois sont tatoués. Il faut dire que depuis les années 70, le tatouage a quitté le monde des parias, des bas-fonds et des hommes pour investir tous les corps, toutes les parties du corps et toutes les classes sociales. Sous forme d'images de plus en plus sophistiquées de textes, de signes, chaque tatoué invente et raconte son histoire personnelle.Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans notre société pour accéder aux biens et aux services, il faut avoir les codes. Au propre comme au figuré. Un QR code un digicode, une carte magnétique, un code barre ou un mot de passe. Nous vivons dans un monde de « bip », ces bips qui signent la validité de nos différents pass, et pas extension qui semblent qualifier notre validité sociale. Aujourd'hui, on s'interesse donc aux barrières invisibles et à la façon dont nous passons d'un espace à un autre. Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
« T'as pris un masque ? », « Remonte ton masque », « Ah j'ai oublié mon masque ». Ces phrases on les a souvent entendues et prononcées ces dernières années. Cette barrières physiques dressée entre nous et les autres cette barrière concrète contre les gouttelettes chargées de virus, c'est une protection simple et efficace qui a transformé en profondeur notre monde visuel et nos relations sociales. Un objet culte donc dont on se passerait bien mais toutefois passionnant à étudier. Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Il suffit d'un pourcentage faible, d'une prise de courant introuvable, d'un chargeur oublié ou d'une barre de chargement qui disparaît et notre pouls s'accélère. Bientôt plus de batterie. Nous sommes tellement reliés à nos joujoux technologiques, tellement dépendants de nos ordinateurs et de nos smartphones qu'un défaut d'alimentation est souvent de nature à provoquer un stress disproportionné, voire un début de panique. Que dit de nous cette addiction au chargeur et à la batterie pleine ?Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, on se frotte les mains avec du gel hydroalcoolique. Inscrit dans la panoplie des objets qui nous protègent du Covid-19 et des autres virus, ce gel nous accompagne depuis le tout début de la pandémie. À l'entrée des magasins, sur la table des restaurants, dans nos poches et nos sacs, ce produit qui était réservé aux environnements médicalisés et aux professions où l'hygiène n'est pas en option a envahi notre espace et imposé avec lui une série de gestes et de rituels dont nous explorons les significations symboliques.Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Courte, longue sans manches coloré ou sobre plus ou moins rembourrée branchée classique chauffante ou ultra légère, la doudoune est partout. Ce vêtement qui a été inventé dans les années 30 pour créer une barrière anti-froid facile à porter, et qui à l'origine ne concernait que les alpinistes et les skieurs, est devenu un incontournable dans nos gardes robes. Même sous climat tempéré, les marques grand public comme les enseignes de luxe ne cessent de réinventer ce vêtement. Cette armure molletonnée des temps modernes raconte une société de protection, de confort mais aussi de fluidité des genres.Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Objets inanimés, avez-vous donc une âme? demandait le poète. S'ils ont une âme, il s'agit bien de la nôtre. C'est ce que démontrait le sémiologue Roland Barthes dans ses Mythologies, publiées en 1957. L'intellectuel y étudiait en effet les objets et les rites populaires qui révélaient l'esprit d'une époque et les affects collectifs du pays, inventant ainsi une nouvelle manière de faire de la sociologie, accessible, impertinente et ludique. La DS, le steak-frites, les jouets en plastique…rien n'échappait à sa sagacité.Aujourd'hui, ces objets ne sont plus les mêmes et la globalisation à grandement changé la donne. Mais l'exercice lui, n'a pas pris une ride et c'est Pascal Lardellier, professeur de sociologie à l'université de Bourgogne, auteur entre autres de Nos modes, nos mythes, nos rites qui se penche sur nos objets cultes. Avec le téléphone portable, rien ne signe mieux l'époque d'une photo ou d'un film que le design des casques audio – même si la mode du casque vintage peut brouiller les pistes. Avec l'apparition, à l'aube des années 2000, du mp3, et la miniaturisation qu'il permet, la musique portative est devenue la nouvelle norme, et a popularisé une certaine idée du "cool", notamment au travers des campagnes de pub Apple, devenues mythiques.Célébration de l'originalité individuelle et, dans le même temps, de l'appartenance à une communauté, le lecteur mp3 a révolutionné la façon de consommer de la musique. Puis le smartphone a envahi le marché (premier Iphone : 2007), nous rendant disponibles à tout moment et cible de contenus audiovisuels très facilement accessibles. La fonction du casque s'est alors considérablement élargie, passant de l'écoute de musique à mille autres possibilités, ludiques ou professionnelles.Plus récemment, le boom des podcasts – et dans une moindre mesure celui des livres audio - est venu à nouveau changer les comportements, avec un nouveau type de flux à écouter partout et à tout moment.Dans la rue, dans les transports, nous croisons nos semblables, casque sans fil vissé sur les oreilles ou oreillettes bluetooth qui dépassent de leurs esgourdes, leur donnant l'air de cyborgs. Nous ne savons pas ce qu'ils écoutent, ni même s'ils écoutent quelque chose. Ils sont là et ils sont ailleurs.Extraits« Scaffold of Repeated Addition », One Man Book, 2022.CréditsConception et Animation Sonia Zannad Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Banlieues, quartiers, cités. En France ces mots ont trop souvent une connotation négative. Ce que l'État français nomme depuis 2018 les quartiers prioritaires de la politique de la ville regroupe 5,4 millions d'habitants dont 40% ont moins de 25 ans. Mais qu'est-ce qu'être jeune dans un quartier populaire ? La recherche participative Pop-Part, conduite dans dix villes ou quartiers de l'Île-de-France, et portée notamment par l'Université Paris Nanterre, s'est associé à 120 jeunes pour se saisir du sujet.Dans les quartiers populaires, les notions de "petits" et de "grands" revêtent un sens particulier. La figure du grand est polysémique. Il est à la fois un modèle, un protecteur, un garant de l'histoire du quartier, mais aussi un supérieur auquel les petits doivent le respect voire l'obéissance. Dans le pire des cas le grand peut même jouer un rôle négatif et orienter les plus jeunes vers la violence ou la drogue. Entre petits et grands c'est le concept de transmission qui est central. A 29 ans, Lassana Traoré est un grand. Il est éducateur dans sa ville de Corbeil-Essonnes. Mamadou Diallo quant à lui a 49 ans, il a pris conscience du changement de son statut dans sa vingtaine lorsqu'il a commencé à s'engager en créant une association à Nanterre, où il vit. En plus de leur engagement, Mamadou et Lassana partagent le fait d'avoir pris part au projet Pop-part encadré notamment par Fanny Salane, enseignante-chercheuse en sciences de l'éducation à l'université Paris-Nanterre. Extraits« Broke for free », Something Elated, 2011« Je leur ai tiré dessus pour venger la mort de mon frère.», Street Press, 2018CréditsConception et Animation Nils Buchsbaum Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Banlieues, quartiers, cités. En France ces mots ont trop souvent une connotation négative. Ce que l'État français nomme depuis 2018 les quartiers prioritaires de la politique de la ville regroupe 5,4 millions d'habitants dont 40% ont moins de 25 ans. Mais qu'est-ce qu'être jeune dans un quartier populaire ? La recherche participative Pop-Part, conduite dans dix villes ou quartiers de l'Île-de-France, et portée notamment par l'Université Paris Nanterre, s'est associé à 120 jeunes pour se saisir du sujet.Les jeunes des quartiers populaires s'engagent de multiples façons. À l'échelle locale comme à l'échelle internationale. Sur des enjeux de solidarité, d'accueil de justice. S'ils expriment un éloignement vis à vis de la politique institutionnelle, cela ne les empêche pas de prendre la parole, y compris en se présentant aux élections locales? Pour parler de la question de l'engagement et de la solidarité nous recevons Marie-Hélène Bacqué chercheuse à l'université Paris-Nanterre, sociologue et coordinatrice du projet Pop-Part auquel ont participé Thibaut Noël et Djieneba Konte.Thibaut a 26 ans. Originaire de Patin, militant politique, il a notamment participé aux mouvement des gilets jaunes et a participé à la création d'un collectif pour venir en aide aux réfugiés. Djieneba a 20 ans. En deuxième année de droit à l'université de Nanterre, elle s'est présentée sur une liste citoyenne aux élections de sa ville, Aubervilliers et s'engage régulièrement auprès de lycéens avec son association, Parle afin de les initier aux concours d'éloquence. Loin de l'image d'une jeunesse désintéressée de la vie politique, les parcours de ces jeunes nous éclairent sur d'autres type d'engagements qui se font bien souvent en dehors des partis politiques. Extraits« Broke for free », Something Elated, 2011Covid-19 : la solidarité s'organise dans les quartiers nord de Marseille, France 3 PACA, 2020Concours d'éloquence dans le 93 : la parole comme une arme, France Inter, 2016CréditsConception et Animation Cléa Chakraverty, Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Banlieues, quartiers, cités. En France ces mots ont trop souvent une connotation négative. Ce que l'État français nomme depuis 2018 les quartiers prioritaires de la politique de la ville regroupe 5,4 millions d'habitants dont 40% ont moins de 25 ans. Mais qu'est-ce qu'être jeune dans un quartier populaire ? La recherche participative Pop-Part, conduite dans dix villes ou quartiers de l'Île-de-France, et portée notamment par l'Université Paris Nanterre, s'est associé à 120 jeunes pour se saisir du sujet.Dans le film Bande de filles sorti en 2014, la réalisatrice, Céline Sciamma évoquait la violence sourde des quartiers dirigée contre les adolescentes mais aussi une violence qu'elles exerçaient comme seul moyen d'exister et de se confronter au monde. Mais la vie au quartier est aussi faite de vie ordinaire, de micro-résistances, de stratégies permettant, lorsque l'on est une femme en particulier, de ne pas rester enfermer dans les clichés.Pour déconstruire les stéréotypes, le plus efficace est d'écouter les personnes concernées. c'est le cas de Louiza Aoufi, 20ans étudiant en STAPS (Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives). Elle est originaire de Romainville et a grandi dans la ville d'Aubervilliers en Seine-Saint-Denis. C'est dans cette ville qu'elle a rencontré la sociologue Christine Bellavoine chercheuse associée au laboratoire LAVUE (Laboratoire Architecture Ville Urbanisme Environnement). Dans cet épisode Louiza revient sur son parcours et comment son genre a pu influencer sa pratique sportive.Extraits« Broke for free », Something Elated, 2011.Bande de filles, C. Sciamma, 2014.Les Roses noires, H. Milano, 2012.Footeuses, R. Doubiago et L. Saoucha, 2020.CréditsConception et Animation Cléa Chakraverty, Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Banlieues, quartiers, cités. En France ces mots ont trop souvent une connotation négative. Ce que l'État français nomme depuis 2018 les quartiers prioritaires de la politique de la ville regroupe 5,4 millions d'habitants dont 40% ont moins de 25 ans. Mais qu'est-ce qu'être jeune dans un quartier populaire ? La [recherche participative Pop-Part, conduite dans dix villes ou quartiers de l'Île-de-France, et portée notamment par l'Université Paris Nanterre, s'est associé à 120 jeunes pour se saisir du sujet.Nous recevons pour ce nouvel épisode, la politologue Hélène Hatzfeld et Nawufal Mohammed habitant de Clichy-Sous-bois de 32 ans. Il est agent de développement, c'est-à-dire qu'il aide les habitants à s'approprier les nouveaux logements et les espaces publics. En 2005, à la suite de la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré à Clichy-sous-Bois, des révoltes ont eu lieu en réaction. Les jours suivants des révoltes de jeunes de quartier populaires gagnent l'ensemble du pays, en réponse le gouvernement instaure l'état d'urgence, un couvre feu et mobilise de nombreux policiers. Dans son premier discours après les émeutes le président de République de l'époque, Jacques Chirac, promet de créer plus d'opportunités pour les jeunes de quartiers. Les gouvernement suivant mettront également en place des mesures similaires durant leurs mandats. Les quartiers sont des territoires spécifiques ou la délinquance est combattue par les pouvoirs publics par des mesures sécuritaires spéciales. Les habitants sont dès le plus jeune âge en contact avec des policiers. ExtraitsSomething elated, Broke for free, 2011Émeutes des banlieues : retour dix ans en arrière, France 24 (2015)CréditsConception et Animation Nils Buchsbaum, Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Banlieues, quartiers, cités. En France ces mots ont trop souvent une connotation négative. Ce que l'État français nomme depuis 2018 les quartiers prioritaires de la politique de la ville regroupe 5,4 millions d'habitants dont 40% ont moins de 25 ans. Mais qu'est-ce qu'être jeune dans un quartier populaire ? La [recherche participative Pop-Part, conduite dans dix villes ou quartiers de l'Île-de-France, et portée notamment par l'Université Paris Nanterre, s'est associé à 120 jeunes pour se saisir du sujet.Dans ce nouvel épisode de Jeunes de quartier nous recevons Claudette Lafaye, sociologue à l'université Paris 8-Vincennes-Saint-Denis associée, dans le cadre de la recherche PopPart, à l'université Paris Nanterre et Ahmad Zeidan 25 ans qui a grandi à Pantin. En 1996, la manufacture de tabac de Patin qui employait plusieurs centaines d'ouvriers est détruite. Elle est aujourd'hui remplacée par 50 000 mètres carrés de bureaux destinés à l'implantation d'entreprises de l'économie créative. Située dans le département de la Seine-Saint-Denis, au nord-est de Paris, Pantin est aujourd'hui une commune de 59 000 habitants. Souvent qualifiée par la presse de "nouveau Brooklyn", Pantin connaît comme beaucoup de communes limitrophes de la capitale des transformations urbaines de grande ampleur qui se sont accentuées depuis le milieu des années 2000. De nouveaux immeubles de bureaux et d'habitations sortent de terre, de nouveaux cafés ouvrent, de grandes entreprises y établissent leur siège social, des friches industrielles sont utilisées par des théâtres. La jeunesse parisienne vient y faire la fête. Mais certains habitants s'interrogent : pourront-ils continuer à vivre dans le lieu où ils ont grandi ? ExtraitsSomething elated_, Broke for free, 2011Pantin : la fin la manufacture des tabacs, INA (France 3 Région Paris), 1992La fontaine, collectif Pop-Part, 2021CréditsConception et Animation Nils Buchsbaum, Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Banlieues, quartiers, cités. En France ces mots ont trop souvent une connotation négative. Ce que l'État français nomme depuis 2018 les quartiers prioritaires de la politique de la ville regroupe 5,4 millions d'habitants dont 40% ont moins de 25 ans. Mais qu'est-ce qu'être jeune dans un quartier populaire ? La [recherche participative Pop-Part, conduite dans dix villes ou quartiers de l'Île-de-France, et portée notamment par l'Université Paris Nanterre, s'est associé à 120 jeunes pour se saisir du sujet. Le regard médiatique porté sur les quartiers populaires enchaîne les clichés. De la beurette des années 80 à la femme voilée puis aux jeunes à capuches ou aux bandes violentes, les représentations sont souvent biaisées si ce n'est parfois ouvertement raciste. Pourtant de nombreuses voix émergent, notamment aujourd'hui pour se réapproprier l'image de ces quartiers. Pour en parler avec nous dans jeunes de quartiers nous recevons Hachimia Ibouroi, 22 ans originaire de Pantin en Seine-Saint-Denis, étudiante en master image et société à l'université Paris-Saclay. Hachimia accompagne également des classes de lycéens dans leur processus de création théâtral. Avec nous également Jeanne Demoulin, chercheuse en sciences de l'éducation à l'Université Paris Nanterre au laboratoire CREF (Crise école terrain sensible). Jeanne Demoulin a aussi co-coordonné le projet participatif Pop Part.ExtraitsSomething elated, Broke for free, 2011Admire ma peau noire, H. Ibouroi, 2020CréditsConception et Animation Clea Chakraverty, Réalisation Romain Pollet, Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Bienvenue au collège Marie Curie des Lilas, près de Paris. Dans cette série de podcasts intitulée "Ma classe en campagne", nous avons décidé de nous rendre dans une classe afin de mieux comprendre les enjeux de l'élection présidentielle chez les jeunes.Dans ce troisième et dernier épisode, nous évoquons un sujet capital aux yeux des nouvelles générations : l'environnement. Cette fois, c'est Christian de Perthuis (professeur d'économie à l'université Paris-Dauphine, fondateur de la chaire, économie du climat) qui répond aux questions des jeunes gens. Merci à la classe de 3°5 du collège Marie Curie aux Lilas et à leur professeur, Pierre Tenne.Crédits, Animation et conception, Fabrice Rousselot. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Bienvenue au collège Marie Curie des Lilas, près de Paris. Dans cette série de podcasts intitulée "Ma classe en campagne", nous avons décidé de nous rendre dans une classe afin de mieux comprendre les enjeux de l'élection présidentielle chez les jeunes.Dans ce deuxième épisode, nous évoquons la démocratie : ce qu'elle représente pour les jeunes aujourd'hui mais aussi comment ils la vivent au quotidien. Afin de répondre aux questions des élèves, nous recevons Pierre-Henri Tavoillot, philosophe, maître de conférences à Sorbonne Université, président du collège de Philosophie. Merci à la classe de 3°5 du collège Marie Curie aux Lilas et à leur professeur, Pierre Tenne. Crédits, Animation et conception, Fabrice Rousselot. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Bienvenue au collège Marie Curie des Lilas, près de Paris. Dans cette série de podcasts intitulée "Ma classe en campagne", nous avons décidé de nous rendre dans une classe afin de mieux comprendre les enjeux de l'élection présidentielle chez les jeunes.Dans ce premier épisode nous abordons le sujet de l'extrême droite, choisi par les élèves. Pour répondre aux questions, nous recevons Emilien Houard-Vial, doctorant en sciences politiques au centre d'études européennes de Sciences Po. Merci à la classe de 3°5 du collège Marie Curie aux Lilas et à leur professeur, Pierre Tenne. Crédits, Animation et conception, Fabrice Rousselot. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La mode modeste, ou mode pudique, est le symbole d'une morale vestimentaire qui prône la décence et la sobriété.Ses incidences sont multiples : elle permet de sortir des diktats marchands et de se démarquer, d'afficher son appartenance à un groupe ou enfin de réorienter une industrie textile qu'on sait ultra polluante. La mode modeste charrie donc des enjeux économiques, esthétiques et éthiques.Dans ce dernier épisode, nous continuons à tirer le fil de la mode modeste : Nathalie Roelens dévoile les liens paradoxaux entre mode et religion, entre ostentation et discrétion, entre une industrie devenue obscène et une aspiration à la sobriété.CréditsConception, Sonia Zannad Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Que ce soit la lutte contre le réchauffement climatique ou la protection de la biodiversité, les défis environnementaux de notre époque impressionnent souvent par leur ampleur et leur caractère systémique. Il peut alors être bon de partir sur le terrain pour voir comment des équipes de recherche tentent de répondre concrètement à de tels enjeux.C'est l'objectif de notre série « Défis globaux… solutions locales ! », réalisée en partenariat avec le CiradDans ce nouvel épisode, nous rejoignons le chercheur en agronomie Raphaël Belmin pour évoquer la transition agroécologique au Sénégal. Depuis 2019, le pays affiche sa volonté de développer des pratiques agricoles innovantes et durables. Il s'agit de mieux gérer les ressources naturelles, l'eau principalement, dans un contexte de dérèglements climatiques et de croissance démographique.Cet élan est notamment porté par la Dynamique pour une transition agroécologique au Sénégal (DyTAES), un réseau très actif dans ce pays d'Afrique de l'Ouest, dont Raphaël Belmin nous présente les différentes actions.Crédits"In extenso." est un podcast produit par The Conversation France. Retrouvez les autres épisodes sur le site de The Conversation ou sur les plateformes de podcasts.Conception, Jennifer Gallé. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La mode modeste, ou mode pudique, est le symbole d'une morale vestimentaire qui prône la décence et la sobriété.Ses incidences sont multiples : elle permet de sortir des diktats marchands et de se démarquer, d'afficher son appartenance à un groupe ou enfin de réorienter une industrie textile qu'on sait ultra polluante. La mode modeste charrie donc des enjeux économiques, esthétiques et éthiques.Dans cet épisode, Alberto Fabio Ambrosio dessine les contours d'une mode plus responsable en s'appuyant sur les relations entre mode et religion. CréditsConception, Sonia Zannad Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
La mode modeste, ou mode pudique est le symbole d'une morale vestimentaire qui prône la décence et la sobriété Ses incidences sont multiples : elle permet de sortir des diktats marchands et de se démarquer, d'afficher son appartenance à un groupe ou enfin de réorienter une industrie textile qu'on sait ultra polluante. La mode modeste charrie donc des enjeux économiques, esthétiques et éthiques.Dans ce premier épisode, pour nous aider à dessiner les contours de la mode modeste, nous recevons Alberto Fabio Ambrosio, professeur de théologie et d'histoire des religions à la Luxembourg School of Religion and Society et co-directeur de recherches au Collège des Bernardins. Il y a co-organisé, en décembre dernier, un colloque intitulé « Revêtir l'invisible, la religion habillée ». Il est aussi l'auteur de Théologie de la mode, sorti aux éditions Hermann.CréditsConception, Sonia Zannad Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans Le pour et le contre, Julien Pillot (Inseec) dresse l'inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outils qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l'élection présidentielle.Ces dernières années, Airbnb, Homelidays, Abritel et autres Locasun ont révolutionné le marché de la location courte-durée entre particuliers. Véritables vecteurs de démocratisation du voyage pour les uns, concurrents déloyaux et générateurs d'inefficiences sociales pour les autres, il n'est pas toujours évident de se positionner vis-à-vis de ces plates-formes. Faut-il aller jusqu'à les interdire purement et simplement, ou alors une régulation différente doit-elle être mise en place ? Dans ce septième épisode de notre série Le pour et le contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l'Inseec Grande École (groupe OMNES Education), détaille ce que dit la recherche de cette question. À vous de vous faire votre opinion.ExtraitsAnne Hidalgo : "La logique du marché de l'immobilier ne relève pas de la maire de Paris", France InfoAirbnb : vers une interdiction de la location d'appartements dans le centre de Paris ?, BFM ParisImmobilier : le scandale des lits froids, France Info CréditsConception, Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans Le pour et le contre, Julien Pillot (Inseec) dresse l'inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outils qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l'élection présidentielle.Le cash constitue un moyen de paiement qui apparaît de plus en plus désuet à l'heure où le paiement électronique se fait sans contact, même avec son téléphone ou sa montre connectée. Coûteux, peu pratique, susceptible de favoriser l'économie souterraine… l'argent liquide semble souffrir de tous les maux. Alors, osons la question : est-il temps de supprimer le cash ?Dans ce sixième épisode de notre série Le pour et le contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l'Inseec Grande École (groupe OMNES Education), détaille ce que dit la recherche de cette question. À vous de vous faire votre opinion.Extraits La Suède, le pays qui veut faire disparaître le cash, LCILes billets de 500 euros ne sont plus mis en circulation à partir d'aujourd'hui, Europe 1, Anne-Laure JumetCréditsConception, Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans « Le pour et le contre », Julien Pillot (Inseec) dresse l'inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outils qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l'élection présidentielle.Dans un épisode majeur de la série dystopique Black Mirror intitulé NoseDive, la société du futur y est dépeinte comme régie par les notations que les individus attribuent à l'ensemble de leurs interactions sociales. Autrement dit, plus votre score social est élevé, meilleurs sont vos droits. En Chine, la réalité a dépassé la fiction, puisque dans les plus grandes régions du pays, ce système de crédit social s'applique. Pourrait-il faire des émules en Occident ? Pourrions-nous nous acheminer vers une convergence de la gestion des individus via des algorithmes, comme le laisse penser Jean-Marie Guéhenno, professeur à Columbia et ancien secrétaire général adjoint des Nations unies ? Dans ce cinquième épisode de notre série Le pour et le contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l'Inseec Grande École (groupe OMNES Education), détaille ce que dit la recherche de cette question. À vous de vous faire votre opinion.ExtraitsAvec le "crédit social", la Chine classe les "bons" et les "mauvais" citoyens, France 24CréditsConception, Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans « Le pour et le contre », Julien Pillot (Inseec) dresse l'inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outils qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l'élection présidentielle.Au début de l'été 2021, La Commission européenne a édicté un [projet de loi](https://ec.europa.eu/info/strategy/priorities-2019-2024/european-green-deal/delivering-european-green-deal_en) qui acte l'interdiction à la des véhicules thermiques, essence et diesel, à horizon 2035.Portée par les objectifs de réduction de l'empreinte carbone du continent, une telle loi aurait de multiples conséquences pour les consommateurs comme pour les industriels. Entre des écologistes qui fustigent déjà une loi qui ne prend pas en compte l'urgence de la situation climatique et des industriels qui affirment qu'« interdire une technologie n'est pas une solution rationnelle à ce stade », quelles nuances à apporter à ce débat sociétal et économique ?Dans ce quatrième épisode de notre série Le pour et le contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l'Inseec Business School, détaille ce que dit la recherche de cette question. À vous de vous faire votre opinion.CréditsConception, Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans « Le pour et le contre », Julien Pillot (Inseec) dresse l'inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outils qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l'élection présidentielle.La question du montant des droits d'inscription à l'université peut être qualifié de serpent de mer qui rattrape chaque gouvernement ou presque depuis plus de 20 ans. Il faut dire que c'est un sujet sensible sur le plan politique, tant il touche à la fois des questions de définition du périmètre du service public et de son financement, mais aussi d'égalité des chances. Dans ce troisième épisode de notre série Le pour et le contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l'Inseec Business School, détaille ce que dit la recherche de cette question. À vous de vous faire votre opinion.ExtraitsUniversité : pourquoi il faut augmenter fortement les frais d'inscription ?" RTL, François Langlet (2015)Enseignement supérieur : le tout gratuit, c'est fini, Stratégies et Management, Xerfi Canal, Jean-Philippe Ammeux (2019)Les universités se lèvent contre la hausse des frais d'inscription pour les étudiants étrangers, France télévision (2019) Quel juste prix pour accéder à l'enseignement supérieur ?, Stratégies et Management, Chistine Musselin (2019)CréditsConception, Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans Le Pour et le contre, Julien Pillot (Inseec) dresse l'inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outil qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l'élection présidentielle.La théorie du « ruissellement », aussi appelée théorie des chevaux et des moineaux, stipule qu'il faut limiter l'imposition et les taxes sur les personnes physiques et morales les plus riches d'un pays. Une telle politique pourrait en effet stimuler un investissement qui serait, par ruissellement, bénéfique à tous par le jeu de la croissance économique et de l'emploi. Or, il s'agit d'une théorie très controversée, qui n'a jamais été démontrée empiriquement dans sa globalité. Elle reste néanmoins associée au quinquennat du président de la République Emmanuel Macron, qui avait, en octobre 2017, comparé les plus aisés à des « premiers de cordée ». Dans ce deuxième épisode de notre série Le pour et le contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l'Inseec Business School, détaille ce que dit la recherche sur l'efficacité des politiques publiques. À vous de vous faire votre opinion.Références« The Laffer curve for high incomes », Jacob Lundberg (2017).« Taxation and the International Mobility of Inventors », Ufuk Akcigit, Salomé Baslandze et Stefanie Stantcheva (2015).« Taxation and Innovation in the 20th Century », Ufuk Akcigit, John Grigsby, Tom Nicholas et Stefanie Stantcheva (2021).« "Gilets jaunes" et justice fiscale », Thomas Piketty (2018).« The great separation: Top earner segregation at work in high-income countries », Olivier Godechot et coll. (2020).« Inequality and economic growth: Trickle-down effect revisited », Merter Akinci (2017).ExtraitsEmmanuel Macron aura-t-il vraiment été le "Président des riches" ? Un premier bilan, Le décryptage éco, Xerfi canal, Olivier Passet (2021)Emmanuel Macron explique sa théorie du premier de cordée, Balance news (2019)Le mythe de la "théorie du ruissellement", Parole d'auteur éco, Xerfi canal, Arnaud Parienty (2018)CréditsConception, Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans Le Pour et le contre, Julien Pillot (Inseec) dresse l'inventaire, non exhaustif, des arguments favorables et défavorables que donne la recherche académique sur une question de notre temps. Une boîte à outil qui vous aidera à vous positionner face aux grands sujets de société, à quelques semaines de l'élection présidentielle.Après un été sportif sous le signe de la Covid (Euro éclaté entre plusieurs villes, JO de Tokyo à huis-clos…) se profilent de nouveaux événements sportifs majeurs (JO 2024 Paris, Mondial 2022 Qatar, JO 2022 de Pékin) parfois controversés. Finalement ces méga-événements sont-ils utiles ? Quelles sont réellement leurs retombées ? Certes, les effets économiques sont systématiquement surévalués, mais les bénéfices de réputation, eux, restent difficilement mesurables… Dans ce premier épisode de notre série Le Pour et Le Contre, Julien Pillot, enseignant-chercheur en économie à l'Inseec Business School, détaille ce qu'en dit la recherche sur l'efficacité des politiques publiques. À vous de vous faire votre opinion. RéférencesAnne Hidalgo, maire de Paris, se réjouit de l'approche des Jeux Olympiques prévus en 2024. (source : AFP)L'ancien footballeur Vikash Dhorasso s'insurge contre l'organisation des Jeux olympiques. (source : Europe 1)CréditsCrédits, conception, Thibault Lieurade. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Notifications incessantes, multiplication des identités et des interactions sur les réseaux sociaux, images de quotidiens rêvés et « parfaits »… Notre vie surconnectée laisse peu de place à la rêverie, à l'ennui, et nous confronte sans cesse à d'autres vies que les nôtres, mais aussi à nos vies « virtuelles » ou fantasmées.Comment, dans ces conditions, ne pas se sentir régulièrement submergés par une forme d'angoisse existentielle? Jacopo Bodini, chercheur en philosophie à l'Université Jean Moulin Lyon 3, en collaboration avec le département « Humanisme numérique » du Collège des Bernardins, nous éclaire sur ce sujet.CréditsConception, Fabrice Rousselot et Sonia Zannad. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pour ce troisième épisode, nous nous intéressons au désir dans un environnement numérique. Quelles émotions peut-on ressentir avec son téléphone entre les mains ? Le numérique redéfinit et redessine les contours du désir. On parle beaucoup de l'addiction à son smartphone ou sa tablette comme d'une face noir du désir qui nous pousse à être toujours plus connecté. Mais que reste-t-il du désir dans cette quête effrénée ? Pour répondre à ces questions, nous recevons Gemma Serrano, docteure en théologie et codirectrice du département Humanisme et numérique du Collège des Bernardins.CréditsConception, Fabrice Rousselot et Sonia Zannad. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Comment définir et mieux comprendre les rapports que nous entretenons avec le numérique et ses outils ? Quelles interactions avons-nous vraiment avec notre téléphone et nos tablettes ? Dans une série de quatre podcasts intitulée « Le numérique et nous » réalisés avec le Collège des Bernardins, nous allons essayer de mieux définir les liens qui nous rattachent au numérique dans notre vie quotidienne.Qui n'a jamais cédé à la tentation du selfie? Face à cette pratique si répandue, si banale de nos quotidiens connectés, les discours pathologisants ou moralisateurs sont nombreux.Pourtant, le mythe de Narcisse et les philosophes nous apprennent autre chose sur ce désir de capturer sa propre image : notre identité en construction permanente trouve peut-être dans ce geste une façon d'évoluer et d'inviter les autres à enrichir cette narration de soi.Jacopo Bodini, chercheur en Philosophie à l'Université Jean Moulin Lyon 3, en collaboration avec le département « Humanisme numérique » du Collège des Bernardins, nous éclaire sur ce sujet.CréditsConception, Fabrice Rousselot et Sonia Zannad. Réalisation, Romain Pollet. Chargé de production, Rayane Meguenni. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.