L’Art du NFT présenté par Lucie-Eleonore Riveron CEO de FauveParis, maison de ventes aux enchères à Paris et Benjamin Spark artiste, podcasteur et formateur NFT. Ce podcast met en lumière des artistes, des galeries et des musées emboitant le pas de cette révolution afin de comprendre la façon dont les NFT vont radicalement changer le monde de l'art et de la culture en général. Il est enregistré en live sur Clubhouse et se termine par un débat ouvert qui permet aux auditeurs et auditrices d’intervenir, cela nous éclaire sur la façon très contrastée dont cette technologie est perçue par le public. Les hôtes : Benjamin Spark artiste, podcasteur et formateur NFT Lucie-Eleonore Riveron co-fondatrice et CEO de FauveParis, maison de ventes aux enchères Florent Thurin expert-entrepreneur Blockchain, Fondateur de WALLKANDA Les producteurs : Benjamin Spark artiste, podcasteur et formateur NFT Florent Thurin expert-entrepreneur Blockchain, Fondateur de WALLKANDA Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Benjamin Spark • Lucie-Éléonore Riveron
Pour l'actualité de la semaine, nous revenons sur le drop de WALLKANDA.ART, la plateforme de street art NFT qui propose à la vente les oeuvres de 15 artistes urbains à partir de ce jeudi 30 Juin. Ces street artistes internationaux vont pouvoir vendre leurs créations urbaines au travers de la technologie NFT Le mot du jour est « lazy minting » qui revient à proposer aux artistes de placer leurs œuvres en NFT sur une plateforme sans avoir à payer les frais de gaz. C'est l'acheteur qui paiera ces frais au moment de l'achat en finalisant et en inscrivant le NFT sur la plateforme Pour ce dernier épisode de la saison 3 de l'art du NFT, nous recevons l'artiste Abdoulaye, un jeune crypto-artiste de 28 ans dont tout le monde parle.Il est né à New-York, il a vécu en Cote d'Ivoire et s'est formé au graphisme 3D à Paris.C'est tout naturellement qu'il s'est tourné vers les NFT en octobre 2020 soit bien avant les autres. Il s'est mis dans les pas des plus grands et notamment BEEPLE qui lui a inspiré l'envie de bâtir des collections d'œuvres sur plusieurs plateformes NFT.Il ne cache pas que sa maîtrise de l'anglais et son éducation multi-culturelle l'a aidé à comprendre très vite les codes du graphisme 3D et à bâtir une carrière dans les NFT. Son style artistique est à mi-chemin entre l'art procédural et la recherche du « beau ». Abdoulaye est en quête d'esthétique et de perfection visuelle.Il établit un pont graphique et spirituel entre plusieurs cultures, plusieurs blockchains et plusieurs façons d'exprimer un monde intérieur qui vous dévore. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité revient sur la décision de l'artiste Justin Aversano, célèbre artiste NFT, d'ouvrir une galerie de plus 3 000 m2 en Californie pour exposer ses propres photographies et celles d'autres artistes. Le mot crypto du jour est «doxer» qui consiste à révéler son identité sur les réseaux et ainsi ne plus se cacher derrière un pseudo comme c'est la coutume dans le web3. Aujourd'hui nous recevons Camille Roux, un artiste d'art génératif qui excelle dans le monde NFT. Camille est ingénieur en informatique et entrepreneur. On peut dire qu'il est tombé dans l'art génératif ou plutôt aspiré par cette nouvelle forme de création qui a explosé avec les NFT.Ingénieur de formation, Camille a toujours codé. C'est un peu par hasard qu'il commence à utiliser cet outil pour créer d'abord de la musique, puis ensuite des images, qui trouvent toujours leur source dans des recherches formelles. Pour Camille Roux, art et mathématiques sont intimement liés, et il développe son esthétique passe par la pureté géométrique. La découverte de Fxhash, plateforme d'art génératif sur la blockchain Tezos, est un vrai bouleversement, qui lui permet d'explorer de nouvelles pistes de creative coding et de se faire connaître sur la scène crypto artistique. Il minte également sur 256art, 8bidou, tout en restant l'affût de toutes les nouvelles plateformes comme typed.art, et en ayant été sélectionné par le collectif New French Touch pour minter sur SuperRare, platefome d'œuvres d'art s'il en est. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité de la semaine évoque un nouveau type de galerie sur le Web3. Le projet s'appelle GODA (Gallery of Digital Assets), il regroupe des grands noms de l'art contemporain et propose des « mint pass » , un sésame en NFT, qui permettra à l'avenir d'acheter en priorité des NFT d'artistes de l'art traditionnel. Le mot du jour est : «rug pull » qui qualifie une arnaque qui consiste à vendre un maximum de NFT pour finalement abandonner le projet « partir avec la caisse ». Aujourd'hui nous recevons Orabel, de son vrai nom Mariama, Elle se qualifie d'artiste mais aussi d'illustratrice et de designeuse graphique. Elle découvre sa passion pour le dessin avec les mangas et garde un attachement particulier pour les couleurs vives qui illustre parfaitement son style graphique et très identifiable.ORABEL a suivi une formation en design graphique et découvre ainsi la création sur les outils informatiques. Elle conçoit depuis lors toutes ses créations sur tablette graphique et cela l'amène tout naturellement vers le crypto art.Les NFT font irruption dans sa vie en 2020 et lui permettront de connaître un succès immédiat, à la fois commercial et artistique. Elle peut alors envisager de vivre de sa passion et aborder les grandes plateformes de NFT comme MakersPlace, Foundation et Known Origins. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité de la semaine : Jben est un artiste qui dessine sur le sable lors des marées basses puis photographie ses œuvres éphémères pour les vendre en NFT. Le mot du jour est « whitelist » qui est une liste sur laquelle on peut s'inscrire pour avoir la chance de minter le NFT d'une collection en avant-première. On parle aussi de "allow list", "GMI list pour "Gonna Make It" ou "mint pass". Cette semaine, nous recevons l'artiste Cécile, aka Lapin Mignon, une vraie crypto-artiste qui vit en Angleterre.Sa première vie s'est déroulée derrière un bureau pour l'industrie automobile, pendant 16 ans. L'art a toujours été sa préoccupation profonde mais difficile d'assumer une carrière d'artiste dans la vraie vie. Heureusement la découverte des NFT a définitivement convaincu (et permis à) Cécile de devenir une artiste à plein temps !Le déclic a eu lieu en 2019 lorsque ses amis l'ont entraînée sur Editional, une plateforme NFT qui permettait aux créateurs et créatrices d'exposer leur travail, mais sans le vendre à l'époque : personne n'avait encore eu l'idée saugrenue d'acheter de l'art numérique ! En juillet 2020 elle reprend le train des NFT mais cette fois sur la plateforme Rarible qui lui permet (enfin) de vendre son premier NFT. C'est le début d'une grande aventure qui l'entraine sur la voie du succès, de rencontres avec la communauté mondiale des crypto-artistes et des collectionneurs et collectionneuses fanatiques qui accumulent des œuvres numériques à la vitesse de la validation d'un block sur Ethereum. Lapin Mignon travaille à partir de l'aquarelle puis numérise ses œuvres papier et les retravaille grâce à de multiples outils numériques. Elle réalise des expérimentations et des collaborations, par exemple pour sa collection de PFP "Mignons" générée par algorithme. Son dernier projet, le Mignonverse, est inspiré par l'univers de Saint-Exupéry, peuplé de « mignons » qui vivent et interagissent dans un monde poétique et délicat.. comme un lapin mignon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité c'est le drop de NFT de reproductions numériques d'œuvres du grand artiste expressionniste Egon Schiele par le Léopold Museum de Vienne. L'argent levé permettra au musée d'acquérir une œuvre de jeunesse de l'artiste que l'on vient de découvrir, presque 100 ans après sa création ! Le mot crypto du jour est le mot « burn ». Un NFT peut être brûlé et ainsi être désactivé sur la blockchain. Rien ne peut disparaître de la blockchain par définition mais un token peut être placé dans une zone morte qui interdit quiconque de pouvoir interagir à nouveau avec lui. Nous recevons aujourd'hui Romain Verlomme-Fried, conseiller pour la start-up Art Can Die qui aide les artistes à financer la production et la vente de leurs œuvres.Romain est commissaire-priseur, il vit à Marseille et a déjà lancé plusieurs projets NFT donc la société TokenToMe, dans l'optique de rapprocher les passionné•es d'art des créateurs et créatrices.Romain a l'habitude dans son métier de se trouver confronté aux problèmes d'authentification des œuvres qu'il vend aux enchères. Ainsi la blockchain et les NFT l'ont immédiatement interpellé et il s'est plongé complètement dans cet univers.Art Can Die procède d'une démarche vraiment originale. C'est une société de promotion et de production d'art hybride. C'est à dire que les créateurs et créatrices de tous domaines peuvent soumettre leur travail afin d'être accompagné·es et financé·es pour atteindre des collectionneurs et collectionneuses.Art Can Die va bientôt mettre en place une DAO, c'est-à-dire un système de gouvernance ouvert aux détenteurs et détentrices du $DIE, le token de la société, qui leur permettra de voter et choisir parmi les différents projets artistiques. Le projet porte une dimension financière pour l'art bien sûr mais aussi associative et communautaire pour soutenir encore mieux les artistes. Une grande exposition inaugurale aura lieu à Bangkok en septembre 2022 et présentera des artistes et artisans de tous les horizons : peinture, écriture, verrerie...Art Can Die propose aussi un studio de création et de production 3D afin d'accompagner les artistes traditionnel•les dans la numérisation de leur travail pour aborder le continent immense et très prometteur de l'art en NFT. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité de la semaine revient sur les NFT de la Fondation Vasarely à Aix en Provence qui vont permettre à cette belle institution de restaurer les fresques murales du maître qui se dégradent avec le temps. D'autres NFT vont aussi proposer à leurs détenteurs des visites privées du musée et un dîner exceptionnel. Le mot crypto du jour est le concept de « NFT on-chain », qui représente le codage sur la blockchain d'une œuvre digitale sans le recours à une image et seulement avec l'aide de lignes de codes. Le NFT est ainsi totalement décentralisé et possède un caractère éternel. Aujourd'hui nous recevons Julien Gachadoat, artiste dans le domaine du dessin génératif. Précisons qu'il s'agit d'une imprimante d'un nouveau genre, avec un bras articulé qui tient un crayon et qui dessine un motif codé par l'artiste.Julien se présente comme un artiste qui produit des images programmées avec du code qu'il développe lui-même.Avec une mère galeriste d'art à Bordeaux et un père fondu d'informatique, forcément Julien choisit de ne vexer aucun de ses parents en choisissant un mix de compétences : il sera donc artiste-codeur. Julien aime la logique et les mathématiques, et aussi les jeux vidéos ce qui le rapproche de l'art graphique et visuel. Il expose ses dessins génératifs en 2020 puis se penche vers les NFT en 2021 et découvre alors un monde fascinant qui lui permet de coder directement sur la blockchain ses idées nouvelles d'art généré par du code informatique.Il est accepté par la célèbre collection « Art Blocks » qui propose à des artistes NFT du monde entier de générer des œuvres abstraites et géométriques à travers un algorithme "artistique" qui révèle des images aléatoires. Une grande aventure pour l'artiste et surtout pour le collectionneur qui achète une œuvre non encore-créée ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité c'est l'ouverture par SuperRare d'une galerie d'art physique à New York, et c'est une grande première pour une plateforme pure NFT et pure digitale. SuperRare devient super réel. Le mot crypto de la semaine est le mot « wallet », portefeuille numérique en français, outil indispensable pour gérer sa crypto et ses NFT. Nous recevons l'artiste Jaen (prononcez Jean comme le prénom) l'un des OG du crypto art français. Jaen a toujours su au fond de lui qu'il était artiste, crayonnant sans relâche ppur traverser enfance et adolescence. On est toujours en mode survie quand on est un artiste !Pourtant Jaen commence par échouer à entrer en école d'art et se dirige finalement vers les langues étrangères, qui l'amène à passer plusieurs années au Japon, où il découvre et analyse l'art contemporain japonais et notamment celui de Takashi Murakami. L'art finit par le rattraper et d'abord photographe puis street artiste, Jaen se découvre artiste numérique au moment même où les NFT font irruption. Fin 2020 il postule chez SuperRare, est accepté illico et est propulsé crypto-artiste à succès ! En quelques mois il gagne sa vie grâce à ses œuvres et se sent enfin libre et encouragé par toute une communauté. Le crypto-art est une véritable renaissance et doit aussi servir l'intérêt général, comme par exemple replanter des arbres, le nouveau projet NFT de Jaen ! A suivre…En nous racontant sa façon de rêver éveiller et de tenter de maîtriser ses rêves nocturnes, Jaen nous guide sur la voie de son art numérique, fantasmagorique et empreint de surréalisme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité de la semaine c'est le drop de l'artiste Alicja Kwade qui est une artiste d'art contemporain traditionnel et qui propose son autoportrait en NFT. Alicja propose à la vente sa carte génétique imprimée sur plus de 259 025 A4 feuilles A4 et divisée en 10 361 NFT. Le mot du jour est « Degen » qui vient de « degenerate » en anglais. Ce mot répandue dans la communauté NFT qualifie celles et ceux qui font des paris risqués, et notamment investissent aveuglément dans les NFT ! Nous vous conseillons sur le sujet la passionnante newsletterde Matthieu Quiniou. Nous recevons aujourd'hui Yanis Georges aka EthikDesign, 36 ans, qui a connu un succès fantastique dans le monde NFT en moins d'un an.Yanis a commencé par le graffiti qui est « toute sa vie » comme il le dit lui-même. Avec son crew (son équipée créative) il parcourt les scènes hip hop pour peindre des fresques sur commande et en profite pour apprendre la danse et les codes artistiques de cette culture globale.De son propre aveu, il aurait pu se consacrer à cette activité qu'il adorait mais les habitudes sociales l'ont porté vers la poursuite de ses études qui, par bonheur pour nous, l'ont amené à étudier l'infographie, aussi appelée à l'époque communication graphique. Yanis découvre les possibilités infinies d'un ordinateur et des logiciels de création. Il entre de plain pied et à pleine mains, dans le monde de la 3D. Il se passionne alors pour le monde de l'art, découvre les grands musées et se dévoue entièrement à son art numérique. Yanis a une vision, et les outils numériques rendent possible l'accomplissement des œuvres qu'il a toujours rêvé de faire.L'art numérique a développé son potentiel créatif et lui permet de se lier d'amitié avec les autres artistes numériques qui se comptent sur les doigts de la main à l'époque, dont un certain Beeple. Nous sommes en 2014 et Yanis est loin de se douter qu'en 2021 il rencontrera les NFT qui vont bouleverser sa vie. Il est accepté en mars 2021 par la célèbre et très select plateforme SuperRare pour minter ses premiers NFT. La collection s'intitule Mondrian 3.0 en référence au grand peintre conceptuel et au web 3.0 bien sûr. Le succès est immédiat, il est repéré par le collectif Creative Work Studio qui compte dans ses rangs des stars comme Refik Anadol ou Kevin Abosh.Avec tout ça on se dit que la carrière de Yanis ne fait que commencer, avec son CryptoPunk dans son wallet et sa communauté en pleine croissance, l'avenir lui appartient…avec un certificat NFT bien sûr.Twitter : @ethikdesignLiktree : linktr.ee/ethikdesignCreative Work Studio : creativeworkstudios.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité revient sur le grand artiste Takashi Murakami qui va exposer prochainement à la galerie Gagosian de New York une série d'œuvres physiques, peinture et sculpture, directement inspirées de ses créations numériques vendues en NFT. Une grande première pour un artiste contemporain qui fait dialoguer ici ses deux univers, physique et numérique. Le mot crypto de la semaine est « diamond hands » qui définit les investisseurs ou collectionneurs qui gardent précieusement leurs actifs numériques (crypto et NFT) au lieu de les revendre au moindre soubresaut. Nous recevons l'artiste numérique Louis-Paul Caron qui s'est fait connaître avec ses œuvres en 3D qui revisitent la peinture néo-classique. Avec une famille d'amateurs d'arts et de musées, Louis-Paul s'est immergé dans la culture classique. C'est pourtant l'animation et le court-métrage dessiné qu'il l'ont attiré et ont guidé tout son parcours éducatif. A seulement 26 ans, c'est un artiste déjà accompli qui propose des œuvres numériques 3D avec des thématiques fortes et très politiques comme la place de l'être humain face à la machine et face au pouvoir, la place des citoyen•nes face au pouvoir de l'état et la place de l'imagerie antique dans les représentations sociales et picturales.Son parcours à l'école Boule, prestigieuse école d'artisanat du bois, l'a conforté dans la plastique impeccable et de belle facture de ses personnages, mi-humains, mi-dieux, placés dans un monde futuriste et énigmatique et des scènes inspirées par le grand peintre Jacques-Louis David. Une façon de réinventer l'antiquité et de confronter la peinture académique avec les outils numériques et 3D. La mise en scène des ses œuvres est totalement cinématographique et proche des surréalistes qui voyaient dans les ruines une métaphore de l'effondrement à venir et qui résonne avec la crise climatique qui se place au cœur des préoccupations de l'artiste. La technologie des NFT permet à l'artiste de se connecter au réel et au public qui ne maitrise pas les codes de l'art numérique et qui pourtant partage avec Louis-Paul Caron une même vision du monde.A suivre sur son site web : louispaulcaron.comsur Twitter : @LouisPaulCaronet sur Instagram : @louispaulcaron Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité de la semaine est la collection « Out of Africa » qui réunit des artistes sud-africains et leurs œuvres physiques vendues en NFT sur Opensea. Leur idée est de faire le pont entre le monde physique et numérique grâce à ces œuvres originales appelées O-NFT et leur posters en grande édition appelés P-NFT.Le "Mot crypto de la semaine" (notre nouvelle rubrique) est « genesis » qui définit le tout premier NFT d'une collection ou d'un ou une artiste. Aujourd'hui nous recevons l'artiste CryptoClay, alias Serge, qui s'est fait connaître dans le monde NFT par ses créations en pâte à modeler. Il fait tout à la main, prend ses personnages en photo ou bien décide de les animer en stop-motion.Son parcours est atypique car c'est longtemps la musique qui le branche. Ce goût pour le son l'amène à Paris pour travailler à la radio. Enfant de son époque, il se plonge dans les chaines musicales comme MTV avec ses célèbres clips vidéo qui lui donnent envie d'apprendre l'animation 3D. Le numérique ne le lâche plus, il travaille dans un studio d'animation, puis dans le jeu vidéo pour finalement monter une start-up internet à l'aube des années 2000.La synthèse de tous ses talents se réalise dans le monde crypto et NFT qu'il découvre dès les années 2018-2020. Serge est un artiste qui débarque là où personne ne l'attend. Il s'inscrit sur Rarible, une plateforme NFT réputée, et prend radicalement le contre-pied de l'art numérique omniprésent, avec des créations en pâte à modeler ! Il invente des personnages bien à lui et se joue des codes NFT en singeant les crypto-punks avec sa pâte à modeler (clay en anglais). Son dernier projet est certainement le plus fou et le plus en phase avec son parcours d'artiste-entrepreneur : sa propre maison deviendra le premier Bed & Breakfast projeté dans un métavers et entièrement géré par un smart contract !Twitter : @CryptoClayArtSite : https://cryptoclay.xyz Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous revenons cette semaine pour notre point d'actualité sur une grande œuvre numérique réalisée par une quarantaine de crypto-artistes intitulée Mariupol en hommage aux victimes ukrainiennes des bombardements russes. L'œuvre, conçue pour et exposée lors de la Non Fungible Conference à Lisbonne début avril 2022, évoque le célèbre tableau Guernica et propose une série de calques, tous différents, mintés en NFT sur Async.art afin de rendre dynamique cette incroyable collaboration. Aujourd'hui nous recevons Mathieu Wothke, curateur de la collection de photographies NFT Invincible Summer ainsi que Cyrille de Vignemont, l'un des photographes de la série.Mathieu revient sur son parcours très précurseur : il anime un compte Instagram depuis 2014 dans lequel il sélectionne des photos provenant de centaines d'artistes différent·es et qui lui ont donné le goût d'organiser des projets autour de la photographie, rencontres, collaborations, publications. C'est après avoir emménagé en Suède que la thématique de l'été lui apparaît comme une évidence : il en résultera un livre de photographies intitulé Remember Summer, prémisse de la collection de NFT. Il rencontre et collabore avec Cyrille de Vignemont, photographe et réalisateur, artiste reconnu et célébré dans les musées et institutions d'art contemporain. Mathieu et Cyrille décident de proposer une collection de photographies disponible en NFT sur la plateforme Foundation et intituléeInvincible Summer, référence à Albert Camus : « au milieu de l'hiver j'ai découvert en moi un invincible été ». Cette collection rassemble 88 pièces uniques de 10 photographes aux univers très différents, sur le thème de l'été, de la perception de la lumière, dehors et dedans, comme autant d'allégories invitant à une introspection sensible.Liens : https://twitter.com/MathieuWothkehttps://twitter.com/CdeVignemonthttps://foundation.app/collection/invinciblesummerhttps://www.instagram.com/somewhere.global/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité de cette semaine revient sur un article publié par une grande galerie d'art à Bruxelles et qui démolit les NFT, tant sur leur principe que sur leur fonctionnement ; en fait l'auteur fait clairement référence aux « collectibles », ces imagettes en plusieurs milliers d'exemplaires qui sont effectivement très spéculatives mais oublie de parler des milliers d'artistes qui créent et vendent de véritables œuvres d'art grâce aux NFT. Nous inaugurons une nouvelle rubrique intitulée « Le mot crypto de la semaine » pour décrypter le vocabulaire parfois obscur du monde des NFT. Aujourd'hui nous parlons des acronymes FUD et FOMO. (écoutez l'épisode pour tout savoir ;) Nous recevons ensuite Stephan Breuer, véritable OVNI sur la planète numérique et tout nouveau arrivé sur celle des NFT. Son histoire en témoigne : il se voyait bien acteur de cinéma pour mieux rêver sa vie, et après des études de théâtre et de premiers croquis sur Keynote, le logiciel d'Apple à la base de toutes ses créations, il a un coup de foudre pour la salle des Gardes du Palais impérial de Compiègne et se promet d'y organiser sa première exposition. Qui aura bien lieu, jeu de lumière très épuré dans un lieu chargé d'histoire. Stephan est un méditatif qui imagine ses créations de manière purement mentale, il nous raconte avoir développé son propre logiciel de visualisation interne. Avec une grande économie de moyens il nous transporte dans ses songes, peuplés de mythes et de légendes bibliques.Les grands lieux mythiques sont un terrain de jeu pour lui. Le Musée du Louvre lui donne ainsi accès en plein confinement à la salle des Rembrandt car il a besoin d'un cliché, un seul, pris avec son téléphone (et oui encore une économie de moyens). Il saisit l'Archange et l'imprime sur une plaque d'acier pour capter la lumière spirituelle qui se dégage de cette icône glorieuse. Ce travail a été archivé par le Louvre, accompagné d'une puce NFC qui renvoie l'œuvre à son certificat sur la blockchain. Stéphan nous dévoile en exclusivité son prochain projet, au Musée National de Rome en septembre, qui s'appellera Amor Mundi et dans lequel Stephan proposera une expérience à mi-chemin entre le monde physique et le monde numérique en intégrant un métavers et des NFT à cette œuvre monumentale !Pour aller plus loin :Le site internet de Stephan Breuer : stephanbreuer.comLe compte Twitter de Stephan : @StephanBreuer1Le compte Instagram de Stephan Breuer : @__stephanbreuer__ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité met en lumière l'arrivée en force de la photographie dans le monde des NFT. Ce medium a tardé à prendre son envol et pourtant il est parfaitement adapté à cette technologie NFT. Il véhicule des émotions fortes et intenses en deux dimensions et de façon statique et apporte une dimension nouvelle aux NFT et à l'art digital. Aujourd'hui nous recevons l'artiste Nicolas Sassoon qui vit à Vancouver au Canada. Il a quitté la France en 2008, juste après l'obtention de son diplôme des Beaux-Arts à Angoulême en art numérique, après des années passées à dessiner et peindre. Malgré les carcans esthétiques encore présents dans de nombreuses écoles d'art en France, Nicolas a pu apprendre des autres élèves et notamment l'exploration de techniques numériques et de nouveaux médias.C'est en partant à l'aventure au Canada que sa carrière artistique débute véritablement. Fasciné par les possibilités infinies de l'informatique et du numérique en général, il explore les langages graphiques de l'informatique des années 80 et 90, tisse des trames pixélisées, dans des palettes de couleurs limitées et à base de 3D simple et épurée. Toutes ses œuvres s'inspirent de cette logique presque archéologique des premiers pas de l'art numérique. Encore plus surprenant, Nicolas Sassoon ne sait pas coder et ne souhaite pas coder. Ainsi il emprunte les codes du numérique à des fins de pure création sans s'embarrasser de la technologie sous-jacente et trop encombrante à ses yeux, à laquelle il préfère les techniques de l'animation. Quand il aborde les NFT en février 2021 c'est avec l'idée de dérouter ses collectionneur·ses et assumer de multiples directions artistiques qui vont de l'abstraction digitale, à l'architecture pixélisée en passant par des installations physiques qui font le pont entre mondes virtuel et réel. Nicolas jongle avec l'humour et la poésie qui transparait dans ses œuvres et font de lui un intrus bienveillant et utile dans l'écosystème NFT. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous revenons sur le succès de la vente aux enchères très attendue et remarquée par toute la presse « The Burnt Auction » qui a eu lieu chez FauveParis, maison de vente aux enchères. Cette vente a été une grande première en France car elle proposait 47 œuvres numériques vendues avec un certificat NFT. La liste des artistes est remarquable et propose à la fois les plus grand·es artistes du crypto-art et des créateurs et créatrices d'art contemporain découvrant cette technologie. Nous recevons aujourd'hui le jeune artiste-designer Kibø, qui à 22 ans seulement est à la fois diplômé en design graphique et créateur d'un univers bien à lui. Kibø a toujours recherché la liberté de s'imposer ses propres règles !Il découvre les NFT en 2020 alors en plein cursus à l'École de Beaux-Arts et cela déroute totalement ses professeurs qui n'ont aucune considération pour cet art nouveau et cette technologie abstraite. Kibø explore les grandes plateformes NFT et vend son travail pour tenter de s'assurer une indépendance financière. Il a créé son propre personnage qui s'invite dans chacune de ses œuvres, un certain « ø » qui nous prend par la main et nous mène vers le futur métavers que compte bien fabriquer l'artiste.Kibø est un poète qui jongle avec toutes les technologies disponibles dans le monde des NFT et qui veut au passage « capturer les rêves » et les espérances des citoyennes et citoyens du monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité c'est l'expérience musicale sur la plateforme ASYNC.ART qui permet de jouer une mélodie ou une chanson avec plusieurs instruments différents et des les assembler selon vos propres envies et ainsi créer un nouveau morceau de musique qui est proposé en NFT évidemment. Nous recevons pour cet épisode Xavier Magaldi, un artiste qui s'affirme comme pratiquant plusieurs formes d'art allant de la création graphique, à la conception d'art virtuel en passant par la sculpture physique.Xavier vit en Suisse et ce n'est donc pas un hasard s'il est sensible à l'horlogerie traditionnelle. Cet art du mécanisme l'a inspiré pour son travail de sculpteur tant ses œuvres évoquent l'univers des machines-outils mélangé à celui de la science- fiction qu'il affectionne depuis toujours. Son parcours de street artiste l'a amené à envisager la création digitale de façon intuitive et sans préjugés. L'habitude des fresques murales et des espaces publics lui ont donné l'énergie de créer des œuvres en 3 dimensions, dans l'espace et en volume. Il adore la réalité augmentée qui nous permet de visualiser ses œuvres en virtuel sur un écran de téléphone de façon simple et très ludique. Grâce à son téléphone, on peut tourner autour de ses œuvres et ressentir la matière virtuelle de l'objet grâce aux reflets de la lumière et de tout cet espace-temps qui nous entoure.Il expose actuellement à la Galerie Speerstra à Paris des œuvres physiques et virtuelles, c'est devenu une pratique courante pour Xavier qui est comme un poisson dans l'eau dans cet aller-retour permanent entre monde virtuel et objets physiques.Xavier est un artiste-explorateur qui prévoit cette année des projets autour du cinéma et des maquettes physiques, en réalité augmentée et en 3D. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité c'est une nouvelle fois le grand artiste Damien Hirst qui revient avec une nouvelle collection de NFT sur le thème de ses papillons rouges mais cette fois l'acheteur·se du NFT pourra attendre 4 ans avant de réclamer son œuvre physique promise avec le NFT afin de spéculer et tenter de le revendre avant le terme de la vente. Une façon pour Hirst d'interroger le monde de l'art et celui des NFT en général. Nous recevons l'incontournable Niwin qui travaille dans la technologie le jour et imagine des œuvres informatiques la nuit. Il cumule ses deux grandes passions qui sont le codage et la réalisation d'œuvres génératives. Enfant il démontait les ordinateurs comme pour explorer le mystère du calcul algorithmique qui permet aujourd'hui de créer des œuvres inspirantes et multiples. Depuis toujours les artistes se nourrissent de la science pour comprendre les équations secrètes de l'univers et retranscrire ce mystère dans des œuvres d'art.Niwin nous parle de sa « collectionnite » aiguë, qui lui a fait comprendre le sens d'une accumulation d'objets selon leur rareté et leur impact sur l'appartenance à une communauté de passionné·es.La rencontre avec l'entreprise Ledger en 2017 le fait basculer dans le monde de la crypto et de la blockchain. C'est tout naturellement qu'il rencontre les NFT en 2020 et imagine ses premières œuvres génératives toujours réalisées en collaboration et sous l'égide de la plateforme Artblocks très célèbre aujourd'hui dans l'univers NFT.Niwin va toujours plus loin dans l'exploration de nouvelles innovations technologiques pour créer et interroger le monde qui vient : très bientôt il sortira avec un collectif de chercheurs italiens une collection à partir de la physique quantique ! Suivez son compte de près ;) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité se focalise sur la tokenisation du tableau The Kiss de Gustav Klimt, digitalisé et vendu en NFT par le musée du Belvédère à Vienne. L'œuvre a été divisée en 10 000 parcelles proposées à la vente unitaire sous forme de NFT. Nous recevons aujourd'hui Zaki, mieux connu dans l'univers du digital sous son nom de code (c'est le cas de le dire !) Urbandrone. Avec une mère pianiste et un père mathématicien, il a d'emblée tenté de concilier l'art et la science, logique ! Après une formation d'architecte, Zaki a repoussé les limites de cette discipline pour en explorer les aspects artistiques et lier l'espace aux sens. Sa pratique s'est orientée vers le spectacle vivant et les espaces immersifs avec des installations vidéos et multimédia. Il est un praticien de l'espace environnant et réalise des œuvres hybrides qui interrogent l'art, le design et l'architecture.Il a découvert les NFT en 2021 et s'est intéressé à la fois aux différentes blockchains pour minter ses NFT et aussi au développement algorithmique pour générer des œuvres d'art à la frontière des mathématiques et du « beau ».Zaki va très loin dans l'expérimentation des projets NFT comme par exemple les DAO qui sont ces associations d'individus qui utilisent les token pour décider et voter des propositions. Zaki veut comprendre les enjeux de ces nouvelles technologies, impliquer sa communauté dans son travail et créer des œuvres qui nous obligent à inventer nous aussi ce que sera le monde de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité cette semaine c'est une vente NFT d'objets ayant appartenu à John Lennon mis en vente par son fils Julian, avec cette particularité que l'acheteur du lot mis aux enchères ne repart pas avec l'objet physique mais avec une vidéo de l'objet agrémentée d'un commentaire audio de Julian relatant l'histoire de l'objet lui-même. C'est justement de la relation entre le physique et le digital que nous parlons aujourd'hui avec « 1789 NFT » un collectif de 10 artistes qui exposent le 16 février à la galerie Schwab à Paris.Les artistes sont présents dans cet épisode pour chacun évoquer la façon dont ils abordent l'exposition physique d'œuvre dans la galerie mais aussi dans un espace digital appelé Cryptovoxel, un métavers dédié aux événements artistiques. Tous les artistes du collectif ont un parcours de vie et des intérêts artistiques différents, mais tous sont unis par l'envie de travailler en groupe pour explorer ces nouveaux champs de rencontre entre les amateurs d'art et les créateurs. Le collectif a l'ambition de proposer des ponts entre l'art physique et la création digitale sans jamais opposer les deux univers et aussi de mettre en avant la « french touch » en clin d'œil à la prédominance anglo-saxonne dans ce monde digital et NFT.Le collectif exposera le 16 février pendant un mois à la Galerie Schwab à Paris des impressions sur aluminium, de la réalité augmentée, de la peinture sur toile et des hologrammes, une véritable expérience visuelle et immersive !Les dix membres de 1789NFT sont : Booyasan, Teto, Nina Maleej, Grida, Ploouz, SB editing, Xerak, Spark, 8th project et Louis 16art Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité c'est le lancement raté du premier NFT de Picasso ! Un certain Florian Picasso, arrière petit-fils du peintre, a conçu une animation avec une céramique du maître et a voulu la vendre en NFT sans en avertir la Succession Picasso qui s'y est opposé. Moralité, on ne lance pas un NFT hors du cadre de la loi et des conventions d'usage. Nous recevons aujourd'hui l'artiste scientifique ALAgrApHY dont le prénom est Al tout simplement. Son travail consiste à utiliser des machines d'intelligence artificielle pour créer des œuvres picturales. Il se dit artiste de naissance et scientifique de formation car ses parents se sont opposés à une carrière d'artiste et l'ont incité à étudier les sciences. Al est tombé dans l'informatique complexe avec passion et a compris comment utiliser ces ressources digitales pour exprimer ce qu'il avait de plus profond en lui.Sa volonté assumée de tracer des ponts entre l'art et la science l'a amené à lire des revues scientifiques et à photographier des centaines de visages dans le monde entier, comme pour se préparer à une vie d'artiste qui vient.Le déclic vient en 2016 avec la découverte des GAN, des réseaux neuronaux artificiels, qui lui font comprendre que la puissance des machines peut servir son ambition de changer le monde de l'art. Il nourrit ses ordinateurs de milliers d'images et très vite il est repéré par le monde de l'art et expose ses œuvres au Grand Palais à Paris en 2018 au salon Comparaison puis au fameux Salon d'Automne.Il se lance dans les NFT avec beaucoup d'appréhension pour être en phase avec ses collectionneurs dont certains sont encore hostiles aux NFT. Mais aujourd'hui il propose de nombreuses collections d'art digital ou d'art génératif sur plusieurs plateformes et sur plusieurs blockchains différentes. Al continue son exploration et va encore nous surprendre avec des NFT interactifs qui font intervenir le public dans la génération de l'œuvre.ALAgrApHY expose de nouveau au Grand Palais le 16 février 2022. A voir absolument ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"J'aime quand personne ne comprend rien à ce que je fais, c'est là que je me sens libre" Nous recevons aujourd'hui Neil Beloufa à l'occasion de « Pandemic Pandemonium », sa nouvelle exposition bruxelloise, dans laquelle il propose des œuvres numériques et des installations NFT. Neil est un artiste et réalisateur de 37 ans, à la culture geek clairement assumée malgré ses études d'art dans de prestigieuses écoles françaises et américaines. Neil aime dialoguer avec les machines, les robots et le code informatique. Mais par-dessus tout il aime déconstruire voir renverser le système du marché de l'art et le critiquer de l'intérieur. Son humour décapant révèle l'ironie et le sarcasme des mondes de l'art, de la technologie et du digital.C'est un artiste inclassable qui travaille avec des codeurs informatiques dans son atelier et qui cherche en permanence à dérouter les visiteurs et visiteuses de ses expositions. Celle de Bruxelles n'y échappe pas. En entrant dans l'exposition on se retrouve plongé·e dans un grand casino ludique et initiatique, où on peut jouer avec les œuvres, gagner des tokens, « minter » des œuvres en NFT. En mêlant les codes de l'art et du gaming, Neil nous transforme en enfant eberlué·e. Cette exposition est une vaste satire de notre société contemporaine qui met en exergue l'absence de frontière claire entre le monde virtuel et le monde réel. Le titre de l'exposition fait référence à une œuvre vidéo de 2014 dans laquelle il prévoyait une vaste pandémie mondiale qui précipitait les humains dans une communication réduite à des appels video sur Skype… quand on vous dit que les artistes ont des intuitions très puissantes ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité de cette semaine est une tendance : les galeries d'art françaises se penchent désormais très sérieusement sur la technologie des NFTs. De nombreuses galeries envisagent des projets artistiques en NFT et sont confrontées à de multiples questions sur la mise en œuvre technique et opérationnelle. À suivre ! Nous recevons aujourd'hui Raphaël Erba, motion designer et 3D artiste. Il a commencé l'art digital très tôt vers 12 ans en scannant et colorisant des illustrations et des bandes dessinées. Puis Raphaël a travaillé dans le web design et les effets spéciaux, idéal donc pour apprendre les outils informatiques de création digitale, ce qu'il a toujours fait en autodidacte !C'est en mars 2021 qu'il découvre les NFTs en suivant d'autres artistes 3D sur les réseaux sociaux. Raphaël décide alors de se lancer et prend Twitter à bras-le-corps pour faire connaître son travail et ses NFTs : il n'hésite pas à faire le forcing auprès des collectionneurs pour les inciter à aller voir ses œuvres. Et ça marche ! Il commence à vendre des œuvres et finit par toucher une personne proche de la maison Sotheby's qui l'invite à participer à la vente désormais mythique « Natively Digital ». Son œuvre digitale est vendue 50 400$ et c'est une consécration express pour Raphaël.Raphaël s'inspire beaucoup de l'imaginaire de sa fille et conçoit des « petites histoires » qu'il met en forme sous forme de boucles 3D, une contrainte qui le stimule. D'ailleurs il se donne des challenges techniques à chaque nouvelle création ! Il collabore également avec d'autres artistes 3D, qui contribuent à nourrir ses nombreux projets. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous recevons aujourd'hui l'artiste Yacine AIT KACI, qui a débuté très tôt dans l'art digital, par le collectif «Electronic Shadow» créé en 2000. Il a imaginé les toutes premières expériences d'œuvres digitales mettant en scène du « mapping video » consistant à projeter des images sur des volumes, sur des structures architecturales par exemple. C'était déjà une véritable expérience sensorielle et interactive ! Yacine nous remémore l'époque où toute la création digitale était considérée comme très marginale par le monde de l'art. Une décennie plus tard, Yacine décide de reprendre crayon et feuille de papier pour libérer sa création des lourds outils informatiques vite obsolescents : nait un petit personnage au dessin minimaliste et simplifié baptisé ELYX ; ses quelques traits de crayon et son large sourire lui confèrent son apparence universelle.Avec ELYX, le destin de Yacine est bouleversé. Son petit bonhomme numérique devient très populaire sur Instagram, et il est repéré par l'ONU qui lui propose de devenir son premier ambassadeur virtuel. ELYX devient porteur d'un message universel pour encourager la paix, le développement durable, l'égalité des chances ou la lutte contre les changements climatiques. Yacine nous parle de sa prochaine exposition à Lyon, à la Galerie 1111 où sera exposée sa première collection de NFT : ELYX est décliné sous la forme de PFP (Profile Pictures) dans un hommage joyeux à Andy Warhol. Elyx devient ainsi un collectible, dans la même veine que les CryptoPunks, avec des variations et caractéristiques différentes pour chaque NFT. 111 NFT ont été imprimés et signés et seront exposés à la galerie, pour créer des ponts entre mondes virtuel et physique.Pour finir nous évoquons la véritable opportunité que sont les NFT pour nos sociétés humaines, pour leur permettre de passer d'une société de consommation à une société de contribution.« Vivre avec presque rien avec en ayant presque tout » comme le résume Yacine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité c'est le retour sur l'année 2021 qui a marqué la naissance d'une toute nouvelle industrie, celle du NFT. Notre podcast peut en témoigner, nous avons vu naître sous nos yeux une nouvelle technologie et de multiples nouveaux et nouvelles artistes dont la vie a basculé. Grâce aux NFT, des dizaines de milliers de créateurs et créatrices dans le monde entier ont pu enfin vendre pour leurs œuvres, rencontrer une toute nouvelle communauté de passionné·es et ont parfois même pu tout lâcher pour devenir artiste à plein temps ! Nous recevons aujourd'hui Albertine Meunier qui est ingénieure, informaticienne et artiste. Elle est entrée très tôt dans le monde des NFT en s'inscrivant en mars 2020 sur le célèbre site SuperRare et a ainsi pu collectionner ses premiers NFT.Albertine est une artiste décalée, un peu touche-à-tout et toujours en recherche d'expérimentations iconoclastes. Une de ses toutes premières œuvres emblématiques, bien avant les NFT, est ainsi une bouteille en verre qui contient une poupée danseuse, elle-même connectée à internet et plus particulièrement à Twitter. Lorsque le mot “ange” est tweeté, l'automate se met à danser comme par magie. Cela fait partie de la série des objets connectés qui l'ont fait connaître dans le monde de l'art contemporain.Les NFT d'Albertine sont issus de collages ironiques et humoristiques, un peu dans le style “Dada”, un courant artistique très décalé du début du XXe siècle. Ses NFT sont un peu potaches, très impertinents et “low-tech” comme elle aime le préciser, sans technicité ou artifice technologique.Albertine est impliquée dans la conception des expositions de la galerie parisienne L'Avant-Galerie Vossen, un espace très à l'avant-garde qui vend des œuvres NFT depuis début 2021 et organise des expositions hybrides mêlant peintures et œuvres numériques, que l'on peut apprécier sur des écrans accrochés aux côtés des toiles sur les cimaises de la galerie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité c'est évidemment l'aventure du token SOS qui a fait un vrai coup de tonnerre dans toute la sphère NFT pendant tout le WE dernier et encore à ce jour. Quiconque a dépensé de l'argent sur Opensea, la plus grosse marketplace de NFT, quiconque peut réclamer des token gratuits appelés SOS. Ils sont appelés ainsi car ce token SOS a pour but de soutenir l'industrie du NFT et aussi d'indemniser quiconque se sera fait escroquer ou abuser sur Opensea à l'occasion d'une transaction NFT. L'initiative provient de « OpenDAO », c'est une DAO, acronyme anglais de Decentralised Autonomous Organisation, c'est à dire une association de particuliers qui édictent des règles de fonctionnement et crée un token qui sera géré par du code, par un smart contract. Nous recevons aujourd'hui l'artiste digital Denis Santelli, qui a commencé par peindre sur toile à la sortie de l'Ecole des Beaux-Arts, mais qui bien vite, dès l'avènement de l'internet fin des années 1990, s'est précipité avec passion dans la création digitale et dans l'exploration informatique.Denis a été très inspiré par l'art qualifié de « cybernétique » et a très vite compris l'importance qu'allait prendre le mouvement artistique qui consiste à faire travailler des créateurs et des ingénieurs ensemble dans le but d'explorer les limites de l'art.La filiation avec de grands mouvements comme le Dadaisme, Fluxus et la musique aléatoire sont évidents pour Denis qui inscrit son travail dans cette même recherche de renversement des idées sur la notion d'Art. Il évoque avec nous son exposition hybride à la Galerie Schwab à Paris au printemps 2021 ; une exposition double, à la fois physiquement en galerie et virtuellement sur Cryptovoxel, un métavers bien connu du monde NFT. Il y expose sa série des d'arbres numériques appelés « arbres d'indécision », des œuvres générées au départ sur une machine puis ajustées à la main pour les humaniser, pour désautomatiser cet art génératif.Denis est très optimiste pour l'avenir des metavers, comme The Sandbox, mais il continue d'imposer ce qu'il appelle «l'hybridité », les oeuvres doivent exister dans les 2 univers, physique et virtuel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous débutons par un point d'actualité, ou plutôt un coup de gueule de Benjamin, concernant le rapport compliqué entre le monde des NFT et la presse spécialisée en Art. Une fois n'est pas coutume, le Journal des Arts s'interroge sur la crédibilité des NFT et leur intérêt artistique, sans regarder de près le spectre très large de ce qui est proposé aujourd'hui par les créateurs digitaux : collectibles, social token, pixel art, mêmes, etc.Nous recevons Alex Booyasan, créateur digital, vendu en NFT sur les grandes places de marché, et qui concilie une carrière d'artiste avec un métier dans l'industrie télévisuelle.Alex regrette d'abord l'automatisation des tâches créatives dans son métier de graphiste dans cette industrie du divertissement. Il nous raconte ses premières expériences créatives largement inspirées par le célèbre street artiste Space Invader qui applique des mosaiques en forme d'avatars de jeux vidéo des années 80. C'est dans ce parcours qu'il a formalisé son style graphique à base de pixels et de voxels 3D et que l'on retrouve aujourd'hui dans ses NFT.Alex a débuté dans les NFT en début d'année 2021 juste après la vente record de l'artiste BEEPLE en mars dernier et a immédiatement compris l'intérêt pour lui de passer en direct avec les collectionneurs, monétiser son travail et se passer du filtre d'une galerie.Nous revenons avec lui sur le rôle des galeries dans ce monde NFT. Alex nous parle de ses expositions d'oeuvres physiques dans des galeries parisiennes et de l'intérêt de la 3D pour montrer ses sculptures à 360 degrés. Les galeries doivent s'adapter à ce monde qui vient et proposer des expériences pour les visiteurs et de l'accompagnement pour les créateurs.Enfin Alex évoque son scepticisme par rapport aux métavers, considérant qu'il a vu naitre ses mondes parallèles et digitaux depuis 20 ans déjà, sans aucune adoption par le grand public. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous vous téléportons dans l'exposition incroyable et exceptionnelle du MoCA, le fameux Museum of Crypto Art, très connu des passionné·es de NFT. Benoit Couty, le plus célèbre collectionneur français de NFT propose l'exposition « Crypto Art Revolution », jusqu'au 16 décembre 2021 dans le Marais à Paris. Benoit est un visionnaire, il a créé en 2018 le Museum of Crypto Art (MoCA) dans le métavers Cryptovoxels. Pour fêter les trois ans de son musée virtuel, cet avocat fiscaliste de 49 ans a décidé d'offrir une plus large visibilité aux artistes qui ont ouvert la voie de la création numérique. Les œuvres digitales sont exposées sur des écrans vidéo ou en projection dans cet espace bien réel aux ambiances bleutées par les néons ouatés.Lucie-Eléonore s'est rendue sur place et nous partage en direct ses impressions et les interviews qu'elle a recueillies des artistes exposé·es et présent·es à l'exposition.Benoit a sélectionné une cinquantaine d'œuvres parmi les quelques 600 pièces de sa collection, très représentatives de ce tout nouveau courant artistique qu'est le crypto art. Venez découvrir ces créateurs et créatrices aux parcours tous très différents, qui nous racontent leur vie, leurs envies et leurs espoirs d'un monde meilleur, tout simplement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous débutons avec l'actualité de la semaine, la vente des NFT de Murat PAK qui a fait un drop sur la plateforme NiftyGateway, la plus célèbre marketplace de NFT. La vente a rapporté 90 millions de dollars, un nouveau record de vente pour un artiste vivant. Avec Murat PAK on est toujours entouré d'énigmes et de mystère. Nul ne connaît l'identité réelle de la personne qui se cache derrière cet avatar. Murat PAK propose des NFT qui sont toujours à la frontière de l'art, entre expérimentation mathématique et énigme ludique. Pour gagner les NFT, PAK crée toujours des mélanges de jeux de pistes, de chasses au trésor, ou encore des indices qu'il faut identifier.Ce projet NFT s'appelle MERGE. L'invitée du jour est Primavera de Filippi, elle est une chercheuse au CNRS et à HARVARD. Pionnière sur les technologies Blockchain et artiste expérimentale. Elle nous parle de son implication très forte dans les problématiques juridiques concernant la blockchain et de la création de son réseau appelé COALA. Il s'agit d'un réseau, d'une communauté, appelé à réfléchir les aspects techniques et juridiques de ces nouvelles technologies. Primavera aborde le sujet de son œuvre d'art la plus célèbre appelée « La Plantoïde ».Il s'agit d'une forme de vie crée sur la blockchain. Comme toute autre forme de vie, la plantoïde est une entité autonome, auto-suffisante, et capable de se reproduire. Les plantes traditionnelles ont souvent besoin de l'aide de parties tierces, comme par exemple les papillons ou les abeilles, qui vont les aider dans le processus de pollinisation. La plantoïde a elle aussi besoin de l'aide de parties tierces : les humains, principalement, qui vont les aider dans le processus de capitalisation—pendant artificiel de la pollinisation. De la même façon que les plantes se font belles pour attirer les abeilles, les plantoïdes se font belles pour attirer les humains, pour les inspirer, et les appeler à faire des donations. Les donations se font sous la forme de bitcoins. Chaque plantoïde a son compte bitcoin et peut donc recevoir ces donations.Primavera nous incite à découvrir une de ses plantoides à Paris le 22 décembre à l'occasion du meet-up NFTParis. Chacun pourra interagir avec cette plante qui prend la forme d'une sculpture de métal. Vous pourrez également lui envoyer quelques token et ainsi l'inciter à se reproduire, elle vous remerciera en diffusant une musique. Merci la plantoïde ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous abordons l'actualité de la semaine en rapport avec le Meet-Up qui a eu lieu chez Fauve, maison de vente aux enchères, le mercredi 23 novembre. La question tournait autour du marché français et des NFT. Le panel d'invités présents ont fait un tour d'horizon de la scène française des crypto-artistes français et des institutionnels de l'art. En effet, même si les artistes NFT foisonnent dans l'hexagone, la réglementation ne permet pas aux maisons de vente de promouvoir une vente aux enchères de biens purement digitaux. Fauve fera certainement évoluer cette loi avec la prochaine vente NFT qui sera annoncée début 2022. Nous recevons Leo Caillard à l'occasion de l'exposition physique de ses oeuvres à la Galerie LJ, à Paris, qui débutera ce samedi 4 décembre 2021. Léo est aussi un artiste NFT et il propose déjà ses oeuvres sur la prestigieuse marketplace SuperRare.Léo nous raconte son parcours d'artiste, son cursus à la fameuse Ecole des gobelins et son envie de maîtriser les outils de création digitale pour ensuite appliquer le résultat de ses recherches sur des sculptures physiques. Son univers est onirique et inspiré par la statuaire greco-romaine. Léo déforme les bustes anciens et transforme les dieux grecs en hipsters tout droit sortis de Berlin Est.Nous évoquons avec lui les outils comme Photoshop qui ont permis à des millions d'artistes de découvrir la puissance de la création digitale mais aussi de cinéma car Léo met en scène ses sculptures digitales dans des vidéos avec travelling de caméra, souvent inspirés des plus grands cinéastes comme Orson Wells, cité par l'artiste Léo Caillard.Enfin, nous concluons sur la relation de Léo avec ses galeries à travers le monde. Il nous confirme avoir une stratégie bien coordonnée avec ses galeries dans le domaine des NFT. Les wallets Ethereum utilisés pour minter ses oeuvres sont gérés par l'un ou par l'autre mais toujours dans le cadre d'un contrat écrit ou tacite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine nous parlons de la sortie très attendue du dernier film “Matrix” et de la collection de 100.000 NFT qui seront mintés sur la plateforme Niftys fin novembre. Chaque NFT sera lié à un avatar qui vit dans la “Matrice”. L'idée folle est que mi-décembre, les possesseurs de NFT auront le choix de prendre une "pilule bleue" ou une "pilule rouge". En prenant la pilule bleue, le personnage de l'avatar restera dans la Matrice, tandis que l'autre pilule le transformera en résistant ! Florent nous parle aussi des NFT de Quentin Tarentino qui proposera 7 tokens non fongibles qui concerneront des scènes inédites de ses grands films. Pour le moment personne n'en sait plus mais ces NFT sont très attendus par la communauté des cinéphiles et des amateurs de NFT. Notre invité cette semaine est Eytan Messika qui nous parle de sa start-up basée à Tel Aviv dont la vocation est d'accompagner la mise en oeuvre technologique d'une strategie NFT pour les grandes marques du retail.Eytan nous retrace son parcours de trader sur les marchés devenu un expert dans les technologies crypto par une formation d'autodidacte. Il évoque le lancement NFT (drop) de deux très grandes marques que sont le magazine TIMES et DOLCE GABANNA. Ces deux ventes records ont permis l'émergence de la solution proposée par Eytan.Pour le TIMES ce sont 5000 NFT qui ont été produits avec 40 artistes différents et pour un résultat de vente de plus de 1,5 millions d'euros.La vente DOLCE GABANNA a elle rapporté la somme record de 6 millions d'euros.Eytan Messika insiste sur l'importance de la réflexion en amont d'un projet NFT. Les jetons doivent avoir une vraie utilité et des valeurs fortes à véhiculer. Ne vous lancez pas à l'aveugle dans un projet NFT pour suivre la mode car sinon le “bad-buzz” peut aussi être au RDV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans l'actualité de la semaine nous parlons de la société Adobe et de son célébrissime logiciel Photoshop qui va proposer aux créateurs d'image d'en faire un NFT en un seul clic. Nous évoquons aussi la manipulation incroyable d'un Crypto Punk revendu à 500 millions de dollars entre un seul et même collectionneur qui a utilisé un levier de la Finance Décentralisée. Focus sur la prochaine oeuvre de Beeple, aka Mike Winkelman, vendue prochainement chez Christies au sein d'une vente qui regroupe les grands noms de la peinture contemporaine. Le plus grand artiste digital du moment nous propose une sculpture-installation de taille humaine qui projette la vidéo d'un cosmonaute qui marche dans un paysage évolutif. Nous recevons comme invitée de la semaine Jessica Soueidi, qui a fondé sa propre start-up “Art from Futur”. Elle nous raconte son parcours d'artiste formée en école d'art qui a rencontré les plus grandes difficultés pour se faire une place dans le monde de l'art contemporain. Elle a choisi de changer d'optique et de fonder sa propre entreprise d'art afin d'aider les artistes et créateurs à embrasser la technologie des NFT. Jessica a choisi de s'adresser aux millennials, ces jeunes collectionneurs d'art qui ont compris l'intérêt et l'impact que vont avoir les NFT dans l'art. Elle encourage et accompagne les artistes à minter eux-mêmes leur NFT et ainsi les amener à gérer leur propre carrière sans attendre d'être présents dans une galerie d'art. Nous avons parlé avec Jessica de la mutation des intermédiaires dans l'art et la façon dont les NFT vont changer la vie des artistes dans le “phygital”, le Physique et le Digital. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans l'actualité de la semaine nous parlons de l'émergence de nouvelles plateformes NFT sur différentes blockchain et nous revenons sur un article paru sur Vogue Business qui évoque l'arrivée prochaine du monde de la mode sur les NFT. Les créateurs vont proposer des vêtements en NFT à la fois en avatar digital et en réalité physique aussi. Notre invité est Valentin Lefebvre, le créateur de “La Découverte” une start-up dédiée à la création d'oeuvre digitales en NFT. Le principe est de créer une oeuvre à partir d'une peinture physique existante, et de l'animer afin d'en faire une adaptation originale. L'idée lui est venue après une visite à la Carrière de Lumière en Provence et cette façon immersive de pénétrer l'oeuvre d'un artiste. La création digitale sera ensuite proposée et vendue en NFT sur les grandes plateformes connues. Leur premier drop vient d'avoir lieu sur MakersPlace, une des plus grandes marketplace de NFT. La start-up sera aussi présente sur un stand physique lors de la grande foire d'art contemporain Art Basel Miami en décembre 2021.La Découverte travaille actuellement sur une collection d'œuvres classiques, baptisée « Versailles », susceptible de séduire les collectionneurs : L'apothéose d'Hercule, Louis XIV et la famille royale ou encore Colbert présente à Louis XIV les membres de l'Académie royale des sciences. Il s'agit d'animer et d'interpréter ces tableaux historiques du Chateau de Versailles.Viendront ensuite d'autres thématiques inspirées de la culture française comme Les fables de La Fontaine ou encore l'Empereur Napoléon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans l'actualité de la semaine nous parlons de Coinbase, le fameux exchange de crypto-monnaies qui lance officiellement sa plateforme NFT. C'est une événement car Coinbase est le seul exchange a être côté en Bourse au Nasdaq et à se plonger dans le monde des NFT. Cela apporte crédibilité et énorme visibilité pour les NFT auprès du grand public.Nous parlons aussi du lancement des NFT du célèbre British Museum qui va tokéniser les oeuvres de l'artiste japonais Hokusai et de sa célèbre vague sur le mont Fuji. C'est le troisième grand musée qui propose des NFT, après les Offices à Florence et l'Hermitage à St Petersbourg. Notre invité est Olivier Klepatzky, cinéaste et réalisateur qui nous parle de son projet de film sur les NFT, intitulé “Be My NFT”. Le film est en tournage actuellement et sortira dans quelques mois. Olivier veut surtout raconter l'histoire humaine derrière les acteurs du marché des NFT, que ce soit des artistes, des collectionneurs ou des porteurs de projets.Il a découvert les NFT à l'été 2020 et s'est pris de passion pour cette technologie et pour les artistes qui s'y trouvent. Il évoque aussi les problèmes de financement et de diffusion auprès des filières traditionnelles qui estiment que ce sujet est trop niche et trop complexe pour le grand public. Olivier aura donc recours aux NFT pour financer la suite du tournage de son film. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous évoquons, dans cet épisode, notre participation à l'événement “Octobre Numérique” qui s'est déroulé à Arles le 6 octobre. Une journée spéciale a été consacrée aux NFT et aux métavers avec des intervenants de premier plan dans l'univers des NFT en France. Nous avons pu entendre notamment Sébastien Borget, le fondateur de SANDBOX, un des principaux métavers dans le monde ; il nous a partagé la vision de son projet qui est une plateforme très complète d'applications pour investir l'ensemble des domaines très vastes autour des NFT. Nous recevons Tommy Szabo (alias Pogwerk sur Twitter) qui est un porteur de projets NFT et metavers. Il nous parle de ses deux derniers projets, le metavers “UnknownTrajectory” qui est un metavers qui propose des NFT interactifs sur la base d'un art génératif. Il est possible d'acquérir des NFT dont le contenu sera dévoilé plus tard pour participer à une conception autour de sons et de formes géométriques pour générer son propre NFT.L'autre projet de Tommy est appelé “PixelBox” et il est question de proposer aux artistes de créer leur propre collection d'art génératif. Les développeurs de PixelBox ont imaginé un algorithme qui va générer automatiquement une collection de milliers d'oeuvres au sein d'une série cohérente et d'un projet artistique validé par l'équipe.Nous avons évoqué avec Tommy l'avenir de l' art génératif qui, selon lui, est un art qui existe depuis plus de 10 ans, qui était appelé le WebArt et qui devient enfin reconnu et valorisé comme un mouvement artistique digital majeur et pérenne dans le temps. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous évoquons l'actualité des NFT avec le grand réseau social Tik Tok qui s'aventure dans les NFT en proposant des extraits vidéo de grands influenceurs sous forme de NFT. Ce sont des moments Tik Tok à la façon des NBA top shots.L'actualité c'est aussi la vente chez Christie's des oeuvres du millionnaire américain Gary Vee qui propose à la vente des petits dessins qui accompagnent son projet de social token permettant à sa communauté un accès à toutes ses prochaines conférences. Nous recevons, pour cet épisode, Maitre Ingrid-Mery HAZIOT, avocate spécialisée dans l'art et les nouvelles technologies au cabinet “Avant garde avocat”. Ingrid connait très bien les technologies Blockchain et tout l'environnement légal des NFT. Elle évoque les fantasmes de la décentralisation et de la supposée suppression des intermédiaires ; en effet nous constatons avec elle que l'industrie du NFT se structure autour de grandes places de marchés qui font la pluie et le beau temps que les NFT, sans parler de Christie's et Sotheby's qui enchainent les ventes NFT depuis 6 mois.Nous parlons avec Ingrid de la probable régulation juridique et fiscale autour des NFT qui viendra nécessairement, mais pas forcément dans de bonnes conditions. Le mieux serait d'aller vers une “soft régulation” c'est à dire une entente contractuelle entre les grands acteurs privés du NFT afin de sécuriser les acheteurs de NFT et fixer les règles du jeu pour tout le monde. A ce jour c'est le flou juridique qui règne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans l'actualité du jour, Florent nous parle de Booba, Artion & Twitter... Benjamin lui évoque le site AUDIUS qui vient disrupter l'industrie musicale en proposant tous les avantages de la blockchain aux créateurs de musique c'est à dire une meilleure rémunération et une vraie autonomie dans leur gestion de carrière et dans leur mode de rémunération. Notre invité du jour, Lloyd (aka AKENE), est un des créateurs du projet NFT EVIL KIDS. Il nous parle de l'origine du projet, du rôle important du monde de l'enfance et de l'organisation du projet autour d'une DAO (Decentralized Autonomous Organisation) pour favoriser l'émergence d'une “famille” autour de ce projet. Lloyd évoque la dimension sociale de EVIL KIDS avec une redistribution massive des gains du projet vers la communauté et une association d'aide à l'enfance.EVIL KIDS est présent sur la blockchain SOLANA qui a fait beaucoup parler d'elle ces dernières semaines et qui voit l'arrivée de nombreux projets NFT à haut potentiel. Cela nous a donné l'occasion de parler avec Lloyd des différences technologiques importantes entre ETHEREUM et SOLANA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité du jour c'est la levée de fonds stupéfiante de SORARE, la plateforme française de carte NFT de football avec un apport de 680 millions d'euros pour leur développement. Leurs cartes NFT connaissent un succès foudroyant et le nombres d'utilisateurs en croissance permanente. Nous revenons aussi sur la vente de lithographies de Salvador Dali sur la Binance NFT marketplace. Nous restons sceptiques sur l'authenticité de ces oeuvres qui sont très mal cotées sur le marché de l'art traditionnel. Nous recevons Maxime alias Konohime (https://twitter.com/konohimeFR) du site NONFUNGIBLE.COM qui est la référence dans le domaine de la data sur les NFT. Maxime nous parle de son travail de journaliste et d'analyste dans les NFT. Il évoque la réussite économique de sa plateforme d'information NFT et la croissance très rapide de ses équipes. Nous parlons avec lui des manipulations très présentes sur les marketplace et sur l'avenir des NFT. Maxime s'attache à une dimension sociale et politique des NFT, bien au-delà de l'art, pour donner à la population plus de contrôle sur les outils de la démocratie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'actualité du jour c'est le lancement de Wallkanda, la première plateforme de Street Art et de NFT dont Florent Thurin est un des co-créateurs. C'est un moment unique pour tous les street-artistes de présenter leur travail à une toute nouvelle audience adepte de l'art digital et de pouvoir monétiser leurs fresques murales, souvent éphémères.Nous évoquons aussi l'artiste Beeple qui s'est rendu célèbre dans le monde des NFT et dans le monde de l'art en vendant son oeuvre 69 millions de dollars. Beeple adopte progressivement les codes et les références de l'art traditionnel pour les inclure dans ses œuvres digitales. Notre invité, Rémy Bigot nous parle de son implication dans l'univers crypto et NFT qui est très fort et depuis longtemps. Il a suivi l'évolution des collectibles comme les Crypto Punks et les Kitties et nous partage sa vision pour l'avenir des NFT et l'adoption de masse qui se prépare et à laquelle il participe activement. Il est très présent sur les réseaux sociaux avec sa chaine Youtube et son Twitter. Rémy est régulièrement invité des grands médias pour parler de ces sujets. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous évoquons l'actualité des NFT et notamment l'histoire de cet acheteur de NFT dont le pseudo est Pranksy qui pensait acheter un vrai NFT de Banksy pour la somme de 336.000$ mais qui finalement s'avère être un faux NFT. Attention à bien vérifier les adresses pour éviter les arnaques aux NFT. Nous parlons du musée de l'Hermitage à St Petersbroug qui vend des photos hautes définitions de quelques grands chefs d'oeuvre en NFT.Nous recevons l'artiste français César Piette qui nous parle de son actualité très fournie avec une expositions à Londres à la Galerie Almine Rech et la vente de NFT sur la plateforme Foundation. César pratique à la fois l'art digital et l'art de la peinture sur toile et établit des passerelles entre les deux disciplines. Cela s'exprime clairement dans ses NFT qui font un sold-out à chaque fois, tant cet artiste est sur une belle trajectoire ascendante dans l'art contemporain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode nous parlons de l'actu des NFT marquée par la prédominance de la plateforme OPENSEA qui voit transiter plus de 80% des NFT vendus à travers le monde. Nous reparlons du groupe FACEBOOK qui va lancer sa cryptomonnaie, son wallet et ses NFT sur tous ses réseaux sociaux, une vraie démocratisation pour ses 3 milliards d'utilisateurs. Nous recevons notre invité de la semaine, Alexandre Ogar, architecte et designers de bâtiments virtuels pour les metavers les plus populaires comme Somnium, Cryptovoxel, The Sandbox et Decentraland. Il reçoit des commandes de la part de galeries d'art, de sociétés de gaming, de boites d'événementiel ou d'acteurs majeurs dans les NFT pour bâtir un espace virtuel dans ces univers virtuels connectés à la Blockchain que sont les métavers. Son expérience est fascinante car il est au cœur de cette nouvelle société digitale qui vient à grand pas. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode nous évoquons l'actualité marquée par la fièvre acheteuse autour des NFT et principalement des collectibles comme les Crypto Punks, Bored Apes et les Rocks. Nous parlons aussi des grands acteurs de l'art contemporain qui proposent à leurs collectionneurs d'art traditionnel des NFT concus par des artistes que l'on attendait pas dans ce domaine. Notre invité est un OG du monde crypto et NFT, il se fait appeler Swiss CryptoCat. Il vit en Suisse et a créé de toute pièce un univers virtuel (Métaverse) appelé La Citadelle VR que l'on peut accéder avec un casque de Réalité Virtuelle pour une expérience maximale. Nous parlons avec lui de l'importance du Bitcoin, de la vraie décentralisation et de la façon dont Facebook pourrait gagner la guerre des Métaverses en devant la locomotive mondiale de l'expérience virtuelle et des NFT. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est un hors-série car il est entièrement consacré à la confiance dans le monde des NFT. Nous recevons pour cela le fondateur du World XR Forum, Salar Shahna, et son invité Touradj Ebrahimi, l'inventeur du format JPG et ingénieur de renom. Nous évoquons les aspects juridiques et technologiques de l'écosystème des NFT afin de donner confiance au grand public pour investir dans les NFT et proposer des solutions aux problèmes liés à la sécurisation de vos tokens de propriété sur la blockchain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode nous recevons Marc Veyrat et Matthieu Quiniou au sujet de la collection de livres “100 NOTIONS pour l'art numérique”. Des ouvrages spécialisés dans la découverte de la création digitale. Marc Veyrat est artiste et Maître de Conférence en Art et Sciences de l'Art. Mattieu Quiniou est avocat spécialisé dans la blockchain et les NFT.Nous évoquons avec eux la sortie prochaine d'un ouvrage sur les NFT et la façon dont cette nouvelle technologie est aussi une révolution esthétique dans le domaine de l'art et de la créationIl nous manque les 20 dernières minutes d'épisodes désolé!!! Ils reviendront nous reparler de tout ça rapidement Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous évoquons l'actualité des NFT et notamment le classement des 50 personnalités du domaine des NFT réalisé par le magazine américain FORTUNE.Nous recevons Brian Beccafico, un jeune collectionneur d'art contemporain et de NFT depuis 2018. Florent et Benjamin ont fait la connaissance de Brian sur l'application CLUBHOUSE sur laquelle il est très actif pour évoquer les NFT en français. Brian évoque sa passion pour la création en général et pour le principe des NFT en particulier. Il nous raconte toute l'histoire des NFT, sa façon de percevoir la qualité des nouveaux artistes digitaux et l'esthétique nouvelle qui s'impose dans cet univers. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est exclusivement dédié à la sortie du livre-événement “NFT Revolution” de Rémy Peretz et John Karp. C'est le premier livre en français sur les NFT, les deux auteurs animent aussi un podcast quotidien sur les NFT, le NFT morning.Nous recevons aujourd'hui Rémy Peretz qui évoque avec passion sa rencontre avec les NFT et le travail quotidien qu'il réalise avec son associé et ami d'enfance, John Karp. Rémy et John sont des collectionneurs d'oeuvre en NFT et ils souhaitent ici donner envie à un large public de rentrer dans cet univers révolutionnaire !Le livre est disponible en NFT sur la plateforme Rarible et aussi en format papier dans toutes les bonnes librairies dès septembre 2021. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous évoquons l'actualité des NFT et surtout le nouveau film de Anthony Hopkins qui sera vendu en NFT sur la nouvelle plateforme VUELE qui propose des longs-métrages vendus avec cette technologie. Une vraie révolution là encore pour le monde du 7eme art.Nous recevons la communauté des Collectionneurs, une communauté très active sur Discord notamment et qui fédère des milliers de francophones adeptes de NFT et de technologie à travers le monde. JP et Guillaume sont les animateurs des Collectionneurs et nous racontent la grande aventure de cette très large communauté qui est devenue une référence dans le monde francophone des NFT. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est l'épisode genèse qui nous permet de nous présenter : Florent Thurin, entrepreneur en technologie Blockchain et fondateur de Wallkanda, une start-up spécialisée dans le street art et les NFT. Benjamin Spark est artiste-peintre depuis 20 ans, reconnu internationalement dans le domaine du pop art et du street art, il conçoit et vend des oeuvres en NFT depuis 2020.Nous évoquons ici les principes de base des NFT et de l'écosystème de cette nouvelle technologie qui va disrupter le monde de l'art Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.