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durée : 00:10:15 - Journal de 9h - Garder le cap européen et continuer de soutenir l'Ukraine ou se tourner vers l'extrême droite ? La Roumanie élit aujourd'hui son président, une bataille qui s'annonce serrée.
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Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:15:30 - Journal de 12h30 - L'extrême droite va-t-elle prendre le pouvoir en Roumanie ? Après un scrutin annulé en novembre, sur fond de soupçons d'ingérence russe, le peuple roumain vote à nouveau ce dimanche 4 mai. - invités : Sergiu Miscoiu Professeur des universités à la faculté d'études européennes de Cluj (Roumanie)
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Cette semaine, Laurent Neumann reçoit l'ancien garde des Sceaux Jean-Jacques Urvoas et le Professeur Julien Jeanneney pour décrypter les enjeux de la consultation lancée par François Bayrou sur la proportionnelle.Avantages ? Inconvénients ? Est-ce vraiment la solution miracle au malaise démocratique et aux blocages politiques ? Toutes les réponses dans Quid Juris.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
C'est un serpent de mer depuis des années: le changement du mode de scrutin pour introduire de la proportionnelle. Le 1er ministre lance les 1ères consultations de tous les partis, en commençant par le Rassemblement national. Pascal Perrineau Politologue, professeur des Universités associé au Cevipof nous éclaire sur ce symbole fort de la vie démocratique en France. Pascal Perrineau a publié dernièrement « Le Goût de la politique » paru aux éditions Odile Jacob qui avait reçu le prix du livre politique 2024.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Va-t-on bientôt élire nos députés à la proportionnelle ? La proposition est un serpent de mer que François Bayrou défend depuis près de trente ans. Le premier ministre consulte toutes les forces politiques à ce sujet depuis mercredi. Mais que changerait concrètement ce scrutin ? On pose la question à Marie-Pierre Bourgeois, journaliste politique à BFMTV.COM.
Sophie a voté le visage couvert… et ça a brassé! Ouverture de l’émission de Sophie Durocher. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ce soir, il reçoit le politologue / constitutionnaliste, Benjamin Morel pour débattre du scrutin à la proportionnel dans le cadre des élections législatives et de l'intérêt qu'il pourrait avoir pour le Premier ministre, François Bayrou.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme : Crimes contre les musulmans : Fabien Roussel a-t-il raison de dénoncer un deux poids, deux mesures ? // Faut-il remplacer le scrutin majoritaire par la proportionnelle aux élections législatives ?
1/ Élections législatives : François Bayrou va-t-il introduire le scrutin proportionnel ? 2/ Énergie : Le RN peut-il censurer le gouvernement ? 3/ Impôts : Faut-il craindre le retour de la taxe d'habitation ? 4/ Les coups de cœur et coups de griffe de nos invités. Retrouvez Le Club Le Figaro Politique présenté par Yves Thréard.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin, Alexis Brezet et Vincent Trémolet de Villers reviennent sur l'actualité politique du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:32 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Christelle Rebière - À quelques jours des élections fédérales, le premier ministre libéral sortant Mark Carney fait office de favori, porté par l'inquiétude des Canadiens face à l'affrontement commercial avec les États-Unis et aux menaces d'annexion de Donald Trump. - réalisé par : Thomas Lenglain
A 10h, ce mercredi 23 avril 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Etienne Liebig, éducateur, et Antoine Diers, consultant, débattent de : Élections, pour ou contre un scrutin à la proportionnelle ?
durée : 00:37:32 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Christelle Rebière - À quelques jours des élections fédérales, le premier ministre libéral sortant Mark Carney fait office de favori, porté par l'inquiétude des Canadiens face à l'affrontement commercial avec les États-Unis et aux menaces d'annexion de Donald Trump. - réalisé par : Thomas Lenglain
Tous les matins à 7h50, Hélène Terzian prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Un rendez-vous pédagogique indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dimanche 13 avril, le président-candidat à sa réélection Daniel Noboa affronte Luisa Gonzalez, candidate du parti de gauche Revolucion Ciudadana. L'Équateur, qui était l'an dernier le deuxième pays le plus violent d'Amérique du Sud, a vu de nouveau la violence flamber en début d'année. Le tout, sur fond de crise économique. D'un côté, le président sortant Daniel Noboa, au pouvoir depuis un an et demi, terminant le mandat de son prédécesseur. De l'autre, la candidate de gauche Luisa Gonzalez, héritière du parti de l'ancien dirigeant Rafael Correa.« Daniel Noboa, fils d'un milliardaire, a resserré les liens avec les États-Unis depuis son élection. Il a tout pour plaire à Donald Trump et vient d'inviter Erik Prince, le fondateur de la sulfureuse compagnie américaine de sécurité Blackwater, pour aider à la lutte contre les cartels. Le président sortant veut notamment réformer la Constitution pour que puissent revenir les bases militaires étrangères », résume notre correspondant en Équateur, Eric Samson. « En cas d'élection de Luisa González, l'Équateur devrait effectuer un retour à gauche vers une posture socialiste et anti-impérialiste. La candidate a déjà indiqué qu'elle reconnaîtrait le régime de Nicolas Maduro au Venezuela », précise notre reporter. À lire aussiÉlections en Équateur: des scrutins sous le signe de la violencePérou : manifestation des transporteurs contre l'extorsionHier, à Lima, les chauffeurs de bus ont protesté et demandé aux autorités de mieux les protéger contre les extorsions et violences de plus en plus fréquentes de la part des groupes criminels. Reportage de notre correspondant Martin Chabal. Haïti : Clarens Siffroy, lauréat du prestigieux World Press Photo pour l'Amérique du NordIl est de plus en plus difficile de raconter le quotidien d'Haïti. Les journalistes sont pris pour cible, attaqués par les gangs, mais certains parviennent à continuer d'informer. Le photojournaliste de l'Agence France Presse, Clarens Siffroy, témoigne à notre micro depuis Haïti : « Ce prix me donne l'opportunité de faire connaître la réalité de mon pays à travers le monde. »En République dominicaine, le bilan grimpe à 221 morts après l'effondrement du toit d'une boite de nuitCertaines personnes sont toujours portées disparues et les secours ont annoncé mettre fin aux recherches. Ce jeudi, les proches et fans du chanteur Rubby Perez, mort alors qu'il se produisait dans la boite de nuit, se sont réunis pour lui rendre hommage lors de ses funérailles.Le président a décidé hier de prolonger le deuil national de trois jours, jusqu'à dimanche, et le drame fait toujours la Une de la presse. Un « émouvant hommage » entre « larmes et musique » titre le Nuevo Diario. « Rubby Perez n'était pas qu'un symbole du merengue dominicain, c'était aussi un homme aimé, à la voix puissante, qui remplissait les scènes et le cœur », conclut le journal.Du côté du Diario Libre, « des hypothèses émergent » sur les raisons du drame. Le Nuevo Diario s'inquiète : et si le prochain effondrement concernait le pont de la 17, emprunté par 80 000 voitures par jour et dont plusieurs rapports pointent le délabrement ?À lire aussiLa République dominicaine met fin aux recherches de survivants de l'effondrement du toit d'une discothèqueHaïti : l'initiative de la France sur la double dette haïtienneCette somme considérable, 150 millions de francs de l'époque, exigée par l'ancien pays colonisateur, la France, en échange d'une reconnaissance de la jeune république d'Haïti.Le président français Emmanuel Macron fera des annonces jeudi 17 avril. 200 ans plus tôt, la France « extorquait une rançon à Haïti pour dédommager les propriétaires d'esclaves de la colonie de Saint-Domingue », écrit l'éditorialiste Frantz Duval.Depuis 2004, tous les présidents haïtiens avaient éludé la question, pour ne pas froisser la France, en espoir d'un soutien, explique Le Nouvelliste, qui rappelle que la crise traversée par le pays et les changements politiques en France ont réduit au minimum le soutien français.« Entre Haïti et la France, les promesses ne se transforment pas toujours en projet et les projets ne sont pas toujours menés à terme », prévient l'éditorialiste. Avant de conclure : « Pour le moment, plus que des milliards ou des promesses, le pays a besoin d'un coup de pouce sécuritaire. La France peut-elle s'occuper de cela ? »
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Sur fond de convergences partisanes atypiques, les députés ont adopté mercredi en première lecture une loi qui sépare l'élection des conseils d'arrondissement et des conseils municipaux dans ces trois villes. Censé les rapprocher du droit commun, le texte crée en fait de nouveaux problèmes. Un article de Fabien Escalona, publié le 10 avril 2025, lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Peut-on dire que ces trois villes rentrent dans le régime commun des 35.000 communes de France ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sujets : Borne, Pannier-Runacher, Wauquiez : les politiques sont-ils hors sol ? / Le nouveau mode de scrutin direct à Paris, Lyon et Marseille vous semble-t-il plus juste ?
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À un an des municipales, les députés doivent se prononcer, lundi 7 avril, sur la proposition de loi qui doit réformer le mode de scrutin à Paris, Marseille et Lyon. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi, les députés examinent en séance publique la réforme du scrutin municipal dans les trois plus grandes villes françaises. Un texte qui a de bonnes chances d'être adopté au prix d'alliances inattendues… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:47 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Aux Etats-Unis, premier revers électoral sérieux pour les républicains : une juge progressiste a été élue mardi 1er avril dans le Wisconsin aux dépens d'un candidat pro-Trump. Un scrutin d'ampleur nationale pour diverses raisons.
durée : 00:13:23 - L'invité franceinfo soir - Les députés de la commission des Lois ont adopté, mercredi, la proposition de loi visant à réformer le mode d'élection des maires de Paris, Lyon et Marseille, un an avant ces scrutins.
Au Gabon, il n'y a pour l'instant que quatre candidats en lice pour la présidentielle du 12 avril prochain. En effet, 19 des 23 dossiers de candidature ont été rejetés, dimanche 9 mars, par le pouvoir. Mais plusieurs candidats recalés, comme le leader syndicaliste Jean-Rémy Yama, font appel devant la Cour constitutionnelle. Quelle est la marge de manœuvre de cette Cour ? Bergès Mietté enseigne à l'université internationale de Libreville et est chercheur associé au laboratoire Les Afriques dans le monde, à Sciences Po Bordeaux. En ligne de Libreville, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : 23 dossiers de candidature déposés, mais seulement quatre dossiers retenus. Qu'est-ce que vous en pensez ? Bergès Mietté : Cela suppose que ce scrutin-là a suscité beaucoup d'intérêt. Un engouement au regard du nombre de candidatures. On peut tout simplement déplorer que le nombre de dossiers retenus ne soit pas conséquent.Oui, 19 dossiers ont été rejetés…Oui, tout à fait.Alors, parmi les dossiers rejetés par le ministère de l'Intérieur, il y a ceux des quatre femmes qui voulaient être candidates. Et puis il y a le dossier d'une figure de la société civile, le leader syndicaliste Jean-Rémy Yama, qui a fait 18 mois de prison sous le régime Ali Bongo. Officiellement, il est recalé parce qu'il n'a pas présenté l'acte de naissance de son père, qui est né il y a plus d'un siècle, en 1920. Qu'est-ce que vous en pensez ? Alors au Gabon, il y a effectivement un problème d'état civil qui ne concerne pas que Jean-Rémy Yama, beaucoup de personnes. Je pense que, étant donné que les autorités sont conscientes de cette question-là, le problème d'état civil, je pense qu'il devrait y avoir des mécanismes permettant de faciliter l'accès et l'établissement des jugements supplétifs, ne serait-ce que pour les candidats qui aspirent à la magistrature suprême.Alors Jean-Rémy Yama a introduit un recours devant la Cour constitutionnelle. Pour sa défense, il dit deux choses : 1. qu'en 1920, l'année où son père est né, le Gabon n'existait pas administrativement et 2. qu'il est inscrit, sur son acte de naissance à lui, que son père et sa mère sont gabonais. Est-ce que les juges de la Cour constitutionnelle vont être en mesure d'entendre ces deux arguments ? Mais on l'espère, tout simplement. Dès lors que la nationalité des parents figure bel et bien sur le document d'état civil du concerné, je pense que les juges en tiendront compte.Et si le recours de Jean-Rémy Yama est rejeté, est-ce qu'on pourra parler d'excès de formalisme ou d'une décision politique ? Je pense qu'on parlera plutôt d'excès de formalisme. Quand bien même on peut tenir compte des deux éléments, puisque, à la différence d'autres candidats, Jean-Rémy Yama apparaît davantage comme le candidat anti-système. Je pense que Jean-Rémy Yama tente d'incarner la nouvelle opposition gabonaise en construction. Et pour ce scrutin-là, pour beaucoup, l'idéal serait qu'il participe effectivement.Voulez-vous dire que, s'il ne peut pas se présenter, beaucoup de Gabonais diront qu'il a été écarté parce que le général Oligui Nguema en a peur ?Je pense que cette idée-là pourrait effectivement être mobilisée. Je pense que Jean-Rémy Yama a la particularité de pouvoir parler avec tout le monde. Et comme il n'a jamais appartenu officiellement aux régimes précédents, je pense que sa voix est entendue par beaucoup de Gabonais. Maintenant, si sa candidature est retenue, on verra sur le terrain comment il va se déployer.Longtemps, la Cour constitutionnelle a été présidée par Marie-Madeleine Mborantsuo, qui était une personnalité très proche du régime d'Ali Bongo. Elle a d'ailleurs été écartée au lendemain du coup d'Etat du 30 août 2023. Aujourd'hui est-ce que le nouveau président de la Cour, le magistrat Dieudonné Aba'a Owono, est considéré comme un proche du régime de Brice Clotaire Oligui Nguema ?Oui, tout à fait. Il pourrait être taxé de partialité en raison de sa proximité avec le président de la transition. Et d'ailleurs, sa nomination à la tête de la Cour constitutionnelle a fait réagir une certaine classe politique au niveau national.Le général Oligui Nguema et le magistrat Dieudonné Aba'a Owono sont cousins. Est-ce que ce lien de parenté peut nuire à la crédibilité à venir des décisions de la Cour ? On a vu récemment la sortie de Jean-Rémy Yama sur un processus de fraude qui était en marche. Et il appelait d'ailleurs les Gabonais à la vigilance. Mais ce qu'il faut dire, c'est qu'il y a d'autres candidats en lice. Il y a la candidature d'Alain-Claude Bilie-By-Nze, que je considère comme étant le principal challenger de Brice Oligui Nguema. Quand bien même Alain-Claude Bilie-By-Nze a été une décennie durant le visage du régime d'Ali Bongo, il apparaît auprès d'une certaine frange de la population comme une personne sulfureuse en raison de ses prises de position passées.Donc pour vous, si Jean-Rémy Yama ne peut pas se présenter, il n'y aura pas match ?Oui, je pense que la présidentielle du 12 avril 2025 ne sera pas très disputée, très compétitive. Et cette hypothèse-là se fonde sur trois faits majeurs. En premier lieu, il y a comme un consensus national autour de la candidature et la personne d'Oligui Nguema. Autre élément, donc, Oligui Nguema est l'auteur du coup d'Etat, ce fait historique est source d'adhésion et d'admiration. Et dernier élément, Brice Oligui Nguema n'a pas, comme je le disais tantôt, en face de lui des adversaires très fiables. Donc, faute de challenger, je pense que le scrutin présidentiel du 12 avril sera un match amical entre Oligui Nguema et un candidat de faible envergure.À lire aussiLes candidats à l'élection présidentielle gabonaise sont désormais connus
« 18 mois après le coup d'État qui a mis fin au règne d'Ali Bongo Ondimba, le chef du Comité pour la transition et la restauration des institutions franchit un cap décisif, s'exclame L'Union à Libreville. Brice Clotaire Oligui Nguema, président de la Transition du Gabon, se lance dans la course à la présidence. Mettant ainsi fin au suspense qui planait sur sa possible candidature. Brandissant un bilan élogieux de son action à la tête du pays, il a déclaré : « en réponse à vos nombreux appels, j'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle du 12 avril prochain. »En fait, le suspense n'était pas très marquant… Depuis sa prise de pouvoir, le général n'a jamais donné l'impression qu'il allait le lâcher. « Pas de surprise », donc, commente le site d'information Gabon Review. D'autant que « l'information avait insidieusement “fuité” sur les réseaux sociaux ces derniers jours, en rapport avec le fait qu'il souhaitait marquer le coup en annonçant officiellement sa candidature à la présidentielle le jour de son anniversaire. »Qui plus est, souligne encore Gabon Review, « certains de ses proches assurent que sa décision était prise depuis quelques mois, voire peu après l'arrivée de la transition à la tête de l'État. Ces derniers jours d'ailleurs, le président de la transition avait multiplié les promesses et les petites phrases sans équivoque, sollicitant plus ou moins explicitement les suffrages de ses concitoyens. »Lui seul…« Faux suspense et non-évènement ! », s'exclame le quotidien Aujourd'hui au Burkina. « L'homme-du-30-août annonce à coups de raffut qu'il est frappé d'amnésie par rapport à son discours d'investiture du 4 septembre 2023 où il avait prôné haut et fort de remettre le pouvoir aux civils. À l'évidence, le civil, c'est lui. Bas les masques ! Enfin, pas exactement, car il est rarissime de faire un coup d'État, rester au pouvoir quelques mois et accepter de partir. »Son principal argument de campagne, relève Jeune Afrique : lui seul est à même de sauver le Gabon, « État en déliquescence ».D'ailleurs, souligne le site panafricain, « l'ancien aide de camp d'Omar Bongo Ondimba et ex-patron de la Garde républicaine répond à ses détracteurs, qui lui reprochent son goût trop prononcé pour le pouvoir, toujours par une litanie de noms d'anciens militaires parvenus au pouvoir. Charles de Gaulle, Jerry Rawlings, George Washington, Thomas Jefferson… certains changent selon l'occasion, mais l'argument reste le même : pourquoi un militaire ne pourrait-il pas légitimement occuper la magistrature suprême, et œuvrer pour le bien de son pays ? »Justement, pointe Ledjely en Guinée, plutôt que de gloser sur le faux-suspense, « le débat devrait se concentrer sur ce que l'on peut attendre d'un homme qui, même s'il s'efforce de se présenter comme nouveau, reste un authentique produit du système façonné par les Bongo. »Un moindre mal…Un homme qui a su rester discret et mesuré… En effet, précise Ledjely, « le général s'est distancié des envolées souverainistes et des discours à connotations nationalistes de ses homologues du Sahel. Pas un mot de trop contre le néocolonialisme et l'impérialisme occidental. Du coup, il est passé incognito sans se faire remarquer. Au grand dam de ses opposants, dont aucune des revendications n'a trouvé d'écho favorable chez les partenaires du Gabon. Dans un contexte où tout le monde semble avoir oublié le principe de l'Union africaine qui défend à un militaire auteur d'un coup d'État de se présenter à l'élection présidentielle qui parachève la Transition, le président Nguema était vu comme un moindre mal. D'autant que les opposants gabonais qui s'agitent sont tout autant responsables du parcours peu enviable de ce pays. »Scrutin test…En tout cas, relève Afrik.com, « l'élection du 12 avril prochain s'annonce comme un test décisif pour la démocratie gabonaise. Plusieurs candidats ont déjà manifesté leur intention de concourir, dont Michel Ongoundou Loundah, le leader du parti Réappropriation du Gabon, de son indépendance, pour sa reconstruction. Ce dernier plaide pour une véritable rupture avec l'ancien système et une reconstruction démocratique du pays. Si certains voient en Oligui Nguema une figure de stabilisation, d'autres redoutent que son accession au pouvoir par les urnes ne soit qu'une légitimation du statu quo. Tout semble mis en place, conclut Afrik.com, pour permettre la continuité de la présidence de Brice Oligui Nguema sous un vernis, cette fois, démocratique. »
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Franck MATHEVON - Gros plan, avec Franck Mathevon, sur l'homme qui pourrait devenir le prochain chancelier après les élections de dimanche : Friedrich Merz.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Franck MATHEVON - Gros plan, avec Franck Mathevon, sur l'homme qui pourrait devenir le prochain chancelier après les élections de dimanche : Friedrich Merz.
Ce vendredi 21 février, l'impact des élections législatives allemandes sur l'Europe, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les élections législatives en Allemagne se tiennent ce dimanche. Le thème de l'immigration domine la campagne, après trois attaques dans le pays en moins de trois mois. Résultat, le parti d'extrême droite, l'Afd, pourrait faire son meilleur score. La CDU, le Parti chrétien-démocrate, avec son candidat Friedrich Merz, est pour l'instant en tête dans les sondages.
durée : 00:02:14 - Le brief politique - On pensait la réforme tombée aux oubliettes. Mais le Premier ministre en a décidé autrement et rencontre jeudi et vendredi les maires des trois premières villes de France.
Petit pays d'1 600 000 habitants au cœur des Balkans. Toujours pas reconnu par l'ensemble de la communauté internationale. En opposition frontale avec la Serbie qui nie son existence, le Kosovo renouvelle son Parlement à la fin de la semaine. Des élections qui lui permettent de promouvoir son modèle de démocratie. Reportage à Gjakova de Louis Seiller. Avec les Mardis du Grand Continent : 2025 sera le moment polonaisLe pays a pris pour 6 mois la présidence du conseil de l'Union européenne, mais surtout il est en première ligne face à la Russie, à la guerre en Ukraine et il est en passe de devenir la première force militaire de l'UE. Le diplomate Pierre Buhler était l'invité des Mardis du Grand Continent avec lequel nous sommes partenaires.Juliette Gheerbrant lui a demandé pourquoi son pays avait aujourd'hui un rôle aussi central face à la guerre en Russie.Le livre de Pierre Buhler «Pologne histoire d'une ambition» est publié chez Tallandier.Le débat des Mardis du Grand Continent est à retrouver ICI.La presse européenne de Franceline Beretti On a a beaucoup parlé de défense entre dirigeants européens en début de semaine à Bruxelles. Même le Premier ministre britannique Keir Starmer avait fait le déplacement. Il y a urgence à mettre en place une capacité de production européenne d'armement pour ne pas tout acheter aux Américains. Mais bien d'autre débats viennent se greffer sur ces questions de défense... La fausse chasse à courre britanniqueC'est une image qui nous ramène aux traditions de la noblesse rurale de l'Angleterre de toujours. La chasse à courre, ses rites, ses meutes de chiens, ses costumes. Pour l'essentiel, il s'agit d'une chasse au renard qui est interdite depuis 2004 dans le pays. Mais les chasseurs continuent de faire comme si... Avec des leurres, des odeurs de renard disséminées dans la forêt, les cavaliers font semblant de chasser pour continuer la tradition. C'est le reportage de Marie Billon dans le Leicestershire.
Petit pays d'1 600 000 habitants au cœur des Balkans. Toujours pas reconnu par l'ensemble de la communauté internationale. En opposition frontale avec la Serbie qui nie son existence, le Kosovo renouvelle son Parlement à la fin de la semaine. Des élections qui lui permettent de promouvoir son modèle de démocratie. Reportage à Gjakova de Louis Seiller. Avec les Mardis du Grand Continent : 2025 sera le moment polonaisLe pays a pris pour 6 mois la présidence du conseil de l'Union européenne, mais surtout il est en première ligne face à la Russie, à la guerre en Ukraine et il est en passe de devenir la première force militaire de l'UE. Le diplomate Pierre Buhler était l'invité des Mardis du Grand Continent avec lequel nous sommes partenaires.Juliette Gheerbrant lui a demandé pourquoi son pays avait aujourd'hui un rôle aussi central face à la guerre en Russie.Le livre de Pierre Buhler «Pologne histoire d'une ambition» est publié chez Tallandier.Le débat des Mardis du Grand Continent est à retrouver ICI.La presse européenne de Franceline Beretti On a a beaucoup parlé de défense entre dirigeants européens en début de semaine à Bruxelles. Même le Premier ministre britannique Keir Starmer avait fait le déplacement. Il y a urgence à mettre en place une capacité de production européenne d'armement pour ne pas tout acheter aux Américains. Mais bien d'autre débats viennent se greffer sur ces questions de défense... La fausse chasse à courre britanniqueC'est une image qui nous ramène aux traditions de la noblesse rurale de l'Angleterre de toujours. La chasse à courre, ses rites, ses meutes de chiens, ses costumes. Pour l'essentiel, il s'agit d'une chasse au renard qui est interdite depuis 2004 dans le pays. Mais les chasseurs continuent de faire comme si... Avec des leurres, des odeurs de renard disséminées dans la forêt, les cavaliers font semblant de chasser pour continuer la tradition. C'est le reportage de Marie Billon dans le Leicestershire.
Un peu plus de 8 millions d'électeurs se sont rendus aux urnes, samedi 28 et dimanche 29 décembre 2024, pour un triple scrutin, législatif, provincial et municipal. Ce vote marque la fin de la transition. Tchad Vision publie une photo du maréchal Mahamat Idriss Déby, comme souvent vêtu de blanc, avec des lunettes de soleil, en train de déposer son bulletin de vote dans une urne.Le site d'info raconte aussi la journée de vote : « la tension est palpable », « les premiers signes d'inquiétude se sont manifestés dès les premières heures de la journée électorale », car de nombreux bureaux ont ouvert avec du retard, beaucoup de retard. « Des élections générales pour parachever une monocratie », titre Le Djély en Guinée, pour qui les résultats ne font pas de doute. « La contradiction n'est pas de mise au Tchad », poursuit l'édito, rappelant la répression meurtrière des manifestations du 20 octobre 2022. Au Burkina Faso, Le Pays espère que ce scrutin « ouvrira les portes de la décrispation »... Certes, dit-il, « le Tchad est toujours loin d'être une référence mondiale en matière de transparence électorale », mais « il ne faudrait pas jeter le bébé avec l'eau du bain ». Le Pays reconnait aux autorités actuelles « le mérite d'avoir mis en place toutes les institutions républicaines indispensables au fonctionnement, même a minima, de la démocratie réclamée à cor et à cri par les Tchadiens et la communauté internationale ». Affaire Boualem Sansal : le président algérien prend la paroleLe président algérien, Abdelmadjid Tebboune, s'est exprimé sur l'arrestation de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné depuis un mois et demi. « Tebboune évoque pour la première fois l'affaire », titre TSA, à Alger. Il rapporte les propos du chef de l'État, qui estime que l'écrivain est un « imposteur [...] qui vient dire que la moitié de l'Algérie appartient à un autre État ». Il ferait ainsi référence aux propos de Boualem Sansal dans un média français : l'écrivain reprenait la position du Maroc selon laquelle le territoire du pays aurait été tronqué sous la colonisation française au profit de l'Algérie.Un président « ne doit pas tenir ce genre de discours de caniveau », commente Le Matin d'Algérie qui parle de « graves accusations » venant d'Abdelmajid Tebboune contre, « un détenu d'opinion sans défense ». Jeune Afrique se projette en 2025Le mensuel Jeune Afrique publie un grand dossier sur les défis à venir, sur le continent. Il se demande par exemple si « les locomotives » du continent, à savoir le Nigeria et l'Afrique du Sud, vont « renouer avec la croissance ». Il note en tout cas « des signes de reprise » au Nigeria, avec notamment le retour des investisseurs étrangers, « comme Coca ou TotalEnergies ». Ces derniers mois ont aussi été prometteurs en Afrique du Sud : Jeune Afrique note que « cela fait sept mois que le pays n'a pas connu de délestage » d'électricité, un « indicateur clé de [s]a santé économique ».
durée : 00:59:27 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Alors que Donald Trump vient d'être élu pour la deuxième fois, quelles leçons tirer de ce scrutin historique ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Anne Deysine Professeure émérite de droit et de civilisation américaine à l'Université Paris-Nanterre; Laurence Nardon Responsable du Programme Amériques de l'Ifri ; Gérard Araud Ambassadeur de France, ancien ambassadeur en Israël, à l'Organisation des Nations Unies et aux États-Unis; Lauric Henneton Maître de conférences à l'université de Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines
Plus de 75 millions d'Américains ont déjà fait entendre leur voix en amont en se rendant dans un bureau de vote ou en envoyant un courrier sécurisé. Les autres se déplaceront aux urnes mardi pour élire leur président. Le résultat pourrait être connu connu d'ici plusieurs jours. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Arnaud Tousch du 04 novembre 2024.
Les derniers sondages montrent que Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude et surtout quels électeurs ils vont devoir aller chercher pour l'emporter. Cette élection déterminera le futur de l'Amérique et aura aussi des conséquences sur les affaires internationales. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Aux États-Unis, le président est élu par un collège de grands électeurs. Pourtant, d'après une enquête récente, 63% des Américains seraient favorables au suffrage universel direct. Une telle réforme est-elle possible, et souhaitable ?
Les derniers sondages montrent que Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude et surtout quels électeurs ils vont devoir aller chercher pour l'emporter. Cette élection déterminera le futur de l'Amérique et aura aussi des conséquences sur les affaires internationales. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
Les derniers sondages montrent que Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude et surtout quels électeurs ils vont devoir aller chercher pour l'emporter. Cette élection déterminera le futur de l'Amérique et aura aussi des conséquences sur les affaires internationales. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:04:33 - Le Reportage de la rédaction - En Géorgie, état religieux et rural, chaque voix compte. En 2020, tout s'est joué à 12 000 voix, et Trump a même demandé au gouverneur de "trouver" des voix. Aujourd'hui, l'état reste crucial pour le scrutin. Reportage à Bethlehem, près d'Atlanta.
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - En Géorgie, état religieux et rural, chaque voix compte. En 2020, tout s'est joué à 12 000 voix, et Trump a même demandé au gouverneur de "trouver" des voix. Aujourd'hui, l'état reste crucial pour le scrutin. Reportage à Bethlehem, près d'Atlanta.