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durée : 00:03:47 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Aux Etats-Unis, premier revers électoral sérieux pour les républicains : une juge progressiste a été élue mardi 1er avril dans le Wisconsin aux dépens d'un candidat pro-Trump. Un scrutin d'ampleur nationale pour diverses raisons.
L'essentiel de la campagne était porté sur l'esprit d'indépendance, qui a traversé tous les partis.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Gabon, il n'y a pour l'instant que quatre candidats en lice pour la présidentielle du 12 avril prochain. En effet, 19 des 23 dossiers de candidature ont été rejetés, dimanche 9 mars, par le pouvoir. Mais plusieurs candidats recalés, comme le leader syndicaliste Jean-Rémy Yama, font appel devant la Cour constitutionnelle. Quelle est la marge de manœuvre de cette Cour ? Bergès Mietté enseigne à l'université internationale de Libreville et est chercheur associé au laboratoire Les Afriques dans le monde, à Sciences Po Bordeaux. En ligne de Libreville, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : 23 dossiers de candidature déposés, mais seulement quatre dossiers retenus. Qu'est-ce que vous en pensez ? Bergès Mietté : Cela suppose que ce scrutin-là a suscité beaucoup d'intérêt. Un engouement au regard du nombre de candidatures. On peut tout simplement déplorer que le nombre de dossiers retenus ne soit pas conséquent.Oui, 19 dossiers ont été rejetés…Oui, tout à fait.Alors, parmi les dossiers rejetés par le ministère de l'Intérieur, il y a ceux des quatre femmes qui voulaient être candidates. Et puis il y a le dossier d'une figure de la société civile, le leader syndicaliste Jean-Rémy Yama, qui a fait 18 mois de prison sous le régime Ali Bongo. Officiellement, il est recalé parce qu'il n'a pas présenté l'acte de naissance de son père, qui est né il y a plus d'un siècle, en 1920. Qu'est-ce que vous en pensez ? Alors au Gabon, il y a effectivement un problème d'état civil qui ne concerne pas que Jean-Rémy Yama, beaucoup de personnes. Je pense que, étant donné que les autorités sont conscientes de cette question-là, le problème d'état civil, je pense qu'il devrait y avoir des mécanismes permettant de faciliter l'accès et l'établissement des jugements supplétifs, ne serait-ce que pour les candidats qui aspirent à la magistrature suprême.Alors Jean-Rémy Yama a introduit un recours devant la Cour constitutionnelle. Pour sa défense, il dit deux choses : 1. qu'en 1920, l'année où son père est né, le Gabon n'existait pas administrativement et 2. qu'il est inscrit, sur son acte de naissance à lui, que son père et sa mère sont gabonais. Est-ce que les juges de la Cour constitutionnelle vont être en mesure d'entendre ces deux arguments ? Mais on l'espère, tout simplement. Dès lors que la nationalité des parents figure bel et bien sur le document d'état civil du concerné, je pense que les juges en tiendront compte.Et si le recours de Jean-Rémy Yama est rejeté, est-ce qu'on pourra parler d'excès de formalisme ou d'une décision politique ? Je pense qu'on parlera plutôt d'excès de formalisme. Quand bien même on peut tenir compte des deux éléments, puisque, à la différence d'autres candidats, Jean-Rémy Yama apparaît davantage comme le candidat anti-système. Je pense que Jean-Rémy Yama tente d'incarner la nouvelle opposition gabonaise en construction. Et pour ce scrutin-là, pour beaucoup, l'idéal serait qu'il participe effectivement.Voulez-vous dire que, s'il ne peut pas se présenter, beaucoup de Gabonais diront qu'il a été écarté parce que le général Oligui Nguema en a peur ?Je pense que cette idée-là pourrait effectivement être mobilisée. Je pense que Jean-Rémy Yama a la particularité de pouvoir parler avec tout le monde. Et comme il n'a jamais appartenu officiellement aux régimes précédents, je pense que sa voix est entendue par beaucoup de Gabonais. Maintenant, si sa candidature est retenue, on verra sur le terrain comment il va se déployer.Longtemps, la Cour constitutionnelle a été présidée par Marie-Madeleine Mborantsuo, qui était une personnalité très proche du régime d'Ali Bongo. Elle a d'ailleurs été écartée au lendemain du coup d'Etat du 30 août 2023. Aujourd'hui est-ce que le nouveau président de la Cour, le magistrat Dieudonné Aba'a Owono, est considéré comme un proche du régime de Brice Clotaire Oligui Nguema ?Oui, tout à fait. Il pourrait être taxé de partialité en raison de sa proximité avec le président de la transition. Et d'ailleurs, sa nomination à la tête de la Cour constitutionnelle a fait réagir une certaine classe politique au niveau national.Le général Oligui Nguema et le magistrat Dieudonné Aba'a Owono sont cousins. Est-ce que ce lien de parenté peut nuire à la crédibilité à venir des décisions de la Cour ? On a vu récemment la sortie de Jean-Rémy Yama sur un processus de fraude qui était en marche. Et il appelait d'ailleurs les Gabonais à la vigilance. Mais ce qu'il faut dire, c'est qu'il y a d'autres candidats en lice. Il y a la candidature d'Alain-Claude Bilie-By-Nze, que je considère comme étant le principal challenger de Brice Oligui Nguema. Quand bien même Alain-Claude Bilie-By-Nze a été une décennie durant le visage du régime d'Ali Bongo, il apparaît auprès d'une certaine frange de la population comme une personne sulfureuse en raison de ses prises de position passées.Donc pour vous, si Jean-Rémy Yama ne peut pas se présenter, il n'y aura pas match ?Oui, je pense que la présidentielle du 12 avril 2025 ne sera pas très disputée, très compétitive. Et cette hypothèse-là se fonde sur trois faits majeurs. En premier lieu, il y a comme un consensus national autour de la candidature et la personne d'Oligui Nguema. Autre élément, donc, Oligui Nguema est l'auteur du coup d'Etat, ce fait historique est source d'adhésion et d'admiration. Et dernier élément, Brice Oligui Nguema n'a pas, comme je le disais tantôt, en face de lui des adversaires très fiables. Donc, faute de challenger, je pense que le scrutin présidentiel du 12 avril sera un match amical entre Oligui Nguema et un candidat de faible envergure.À lire aussiLes candidats à l'élection présidentielle gabonaise sont désormais connus
« 18 mois après le coup d'État qui a mis fin au règne d'Ali Bongo Ondimba, le chef du Comité pour la transition et la restauration des institutions franchit un cap décisif, s'exclame L'Union à Libreville. Brice Clotaire Oligui Nguema, président de la Transition du Gabon, se lance dans la course à la présidence. Mettant ainsi fin au suspense qui planait sur sa possible candidature. Brandissant un bilan élogieux de son action à la tête du pays, il a déclaré : « en réponse à vos nombreux appels, j'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle du 12 avril prochain. »En fait, le suspense n'était pas très marquant… Depuis sa prise de pouvoir, le général n'a jamais donné l'impression qu'il allait le lâcher. « Pas de surprise », donc, commente le site d'information Gabon Review. D'autant que « l'information avait insidieusement “fuité” sur les réseaux sociaux ces derniers jours, en rapport avec le fait qu'il souhaitait marquer le coup en annonçant officiellement sa candidature à la présidentielle le jour de son anniversaire. »Qui plus est, souligne encore Gabon Review, « certains de ses proches assurent que sa décision était prise depuis quelques mois, voire peu après l'arrivée de la transition à la tête de l'État. Ces derniers jours d'ailleurs, le président de la transition avait multiplié les promesses et les petites phrases sans équivoque, sollicitant plus ou moins explicitement les suffrages de ses concitoyens. »Lui seul…« Faux suspense et non-évènement ! », s'exclame le quotidien Aujourd'hui au Burkina. « L'homme-du-30-août annonce à coups de raffut qu'il est frappé d'amnésie par rapport à son discours d'investiture du 4 septembre 2023 où il avait prôné haut et fort de remettre le pouvoir aux civils. À l'évidence, le civil, c'est lui. Bas les masques ! Enfin, pas exactement, car il est rarissime de faire un coup d'État, rester au pouvoir quelques mois et accepter de partir. »Son principal argument de campagne, relève Jeune Afrique : lui seul est à même de sauver le Gabon, « État en déliquescence ».D'ailleurs, souligne le site panafricain, « l'ancien aide de camp d'Omar Bongo Ondimba et ex-patron de la Garde républicaine répond à ses détracteurs, qui lui reprochent son goût trop prononcé pour le pouvoir, toujours par une litanie de noms d'anciens militaires parvenus au pouvoir. Charles de Gaulle, Jerry Rawlings, George Washington, Thomas Jefferson… certains changent selon l'occasion, mais l'argument reste le même : pourquoi un militaire ne pourrait-il pas légitimement occuper la magistrature suprême, et œuvrer pour le bien de son pays ? »Justement, pointe Ledjely en Guinée, plutôt que de gloser sur le faux-suspense, « le débat devrait se concentrer sur ce que l'on peut attendre d'un homme qui, même s'il s'efforce de se présenter comme nouveau, reste un authentique produit du système façonné par les Bongo. »Un moindre mal…Un homme qui a su rester discret et mesuré… En effet, précise Ledjely, « le général s'est distancié des envolées souverainistes et des discours à connotations nationalistes de ses homologues du Sahel. Pas un mot de trop contre le néocolonialisme et l'impérialisme occidental. Du coup, il est passé incognito sans se faire remarquer. Au grand dam de ses opposants, dont aucune des revendications n'a trouvé d'écho favorable chez les partenaires du Gabon. Dans un contexte où tout le monde semble avoir oublié le principe de l'Union africaine qui défend à un militaire auteur d'un coup d'État de se présenter à l'élection présidentielle qui parachève la Transition, le président Nguema était vu comme un moindre mal. D'autant que les opposants gabonais qui s'agitent sont tout autant responsables du parcours peu enviable de ce pays. »Scrutin test…En tout cas, relève Afrik.com, « l'élection du 12 avril prochain s'annonce comme un test décisif pour la démocratie gabonaise. Plusieurs candidats ont déjà manifesté leur intention de concourir, dont Michel Ongoundou Loundah, le leader du parti Réappropriation du Gabon, de son indépendance, pour sa reconstruction. Ce dernier plaide pour une véritable rupture avec l'ancien système et une reconstruction démocratique du pays. Si certains voient en Oligui Nguema une figure de stabilisation, d'autres redoutent que son accession au pouvoir par les urnes ne soit qu'une légitimation du statu quo. Tout semble mis en place, conclut Afrik.com, pour permettre la continuité de la présidence de Brice Oligui Nguema sous un vernis, cette fois, démocratique. »
« 18 mois après le coup d'État qui a mis fin au règne d'Ali Bongo Ondimba, le chef du Comité pour la transition et la restauration des institutions franchit un cap décisif, s'exclame L'Union à Libreville. Brice Clotaire Oligui Nguema, président de la Transition du Gabon, se lance dans la course à la présidence. Mettant ainsi fin au suspense qui planait sur sa possible candidature. Brandissant un bilan élogieux de son action à la tête du pays, il a déclaré : « en réponse à vos nombreux appels, j'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle du 12 avril prochain. »En fait, le suspense n'était pas très marquant… Depuis sa prise de pouvoir, le général n'a jamais donné l'impression qu'il allait le lâcher. « Pas de surprise », donc, commente le site d'information Gabon Review. D'autant que « l'information avait insidieusement “fuité” sur les réseaux sociaux ces derniers jours, en rapport avec le fait qu'il souhaitait marquer le coup en annonçant officiellement sa candidature à la présidentielle le jour de son anniversaire. »Qui plus est, souligne encore Gabon Review, « certains de ses proches assurent que sa décision était prise depuis quelques mois, voire peu après l'arrivée de la transition à la tête de l'État. Ces derniers jours d'ailleurs, le président de la transition avait multiplié les promesses et les petites phrases sans équivoque, sollicitant plus ou moins explicitement les suffrages de ses concitoyens. »Lui seul…« Faux suspense et non-évènement ! », s'exclame le quotidien Aujourd'hui au Burkina. « L'homme-du-30-août annonce à coups de raffut qu'il est frappé d'amnésie par rapport à son discours d'investiture du 4 septembre 2023 où il avait prôné haut et fort de remettre le pouvoir aux civils. À l'évidence, le civil, c'est lui. Bas les masques ! Enfin, pas exactement, car il est rarissime de faire un coup d'État, rester au pouvoir quelques mois et accepter de partir. »Son principal argument de campagne, relève Jeune Afrique : lui seul est à même de sauver le Gabon, « État en déliquescence ».D'ailleurs, souligne le site panafricain, « l'ancien aide de camp d'Omar Bongo Ondimba et ex-patron de la Garde républicaine répond à ses détracteurs, qui lui reprochent son goût trop prononcé pour le pouvoir, toujours par une litanie de noms d'anciens militaires parvenus au pouvoir. Charles de Gaulle, Jerry Rawlings, George Washington, Thomas Jefferson… certains changent selon l'occasion, mais l'argument reste le même : pourquoi un militaire ne pourrait-il pas légitimement occuper la magistrature suprême, et œuvrer pour le bien de son pays ? »Justement, pointe Ledjely en Guinée, plutôt que de gloser sur le faux-suspense, « le débat devrait se concentrer sur ce que l'on peut attendre d'un homme qui, même s'il s'efforce de se présenter comme nouveau, reste un authentique produit du système façonné par les Bongo. »Un moindre mal…Un homme qui a su rester discret et mesuré… En effet, précise Ledjely, « le général s'est distancié des envolées souverainistes et des discours à connotations nationalistes de ses homologues du Sahel. Pas un mot de trop contre le néocolonialisme et l'impérialisme occidental. Du coup, il est passé incognito sans se faire remarquer. Au grand dam de ses opposants, dont aucune des revendications n'a trouvé d'écho favorable chez les partenaires du Gabon. Dans un contexte où tout le monde semble avoir oublié le principe de l'Union africaine qui défend à un militaire auteur d'un coup d'État de se présenter à l'élection présidentielle qui parachève la Transition, le président Nguema était vu comme un moindre mal. D'autant que les opposants gabonais qui s'agitent sont tout autant responsables du parcours peu enviable de ce pays. »Scrutin test…En tout cas, relève Afrik.com, « l'élection du 12 avril prochain s'annonce comme un test décisif pour la démocratie gabonaise. Plusieurs candidats ont déjà manifesté leur intention de concourir, dont Michel Ongoundou Loundah, le leader du parti Réappropriation du Gabon, de son indépendance, pour sa reconstruction. Ce dernier plaide pour une véritable rupture avec l'ancien système et une reconstruction démocratique du pays. Si certains voient en Oligui Nguema une figure de stabilisation, d'autres redoutent que son accession au pouvoir par les urnes ne soit qu'une légitimation du statu quo. Tout semble mis en place, conclut Afrik.com, pour permettre la continuité de la présidence de Brice Oligui Nguema sous un vernis, cette fois, démocratique. »
Élections municipales : quels sont les partis en lice pour ce scrutin ?
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Franck MATHEVON - Gros plan, avec Franck Mathevon, sur l'homme qui pourrait devenir le prochain chancelier après les élections de dimanche : Friedrich Merz.
Ce vendredi 21 février, l'impact des élections législatives allemandes sur l'Europe, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Franck MATHEVON - Gros plan, avec Franck Mathevon, sur l'homme qui pourrait devenir le prochain chancelier après les élections de dimanche : Friedrich Merz.
Les élections législatives en Allemagne se tiennent ce dimanche. Le thème de l'immigration domine la campagne, après trois attaques dans le pays en moins de trois mois. Résultat, le parti d'extrême droite, l'Afd, pourrait faire son meilleur score. La CDU, le Parti chrétien-démocrate, avec son candidat Friedrich Merz, est pour l'instant en tête dans les sondages.
durée : 00:02:14 - Le brief politique - On pensait la réforme tombée aux oubliettes. Mais le Premier ministre en a décidé autrement et rencontre jeudi et vendredi les maires des trois premières villes de France.
Toute l'Europe a les yeux rivés sur l'Allemagne et la date fatidique du 23 février. Les électeurs du plus puissant pays d'Europe se rendent en effet aux urnes dans des conditions inédites : le gouvernement du social-démocrate Olaf Scholz a chuté après un divorce avec le très rigoriste parti libéral qui siégeait dans sa coalition.
Petit pays d'1 600 000 habitants au cœur des Balkans. Toujours pas reconnu par l'ensemble de la communauté internationale. En opposition frontale avec la Serbie qui nie son existence, le Kosovo renouvelle son Parlement à la fin de la semaine. Des élections qui lui permettent de promouvoir son modèle de démocratie. Reportage à Gjakova de Louis Seiller. Avec les Mardis du Grand Continent : 2025 sera le moment polonaisLe pays a pris pour 6 mois la présidence du conseil de l'Union européenne, mais surtout il est en première ligne face à la Russie, à la guerre en Ukraine et il est en passe de devenir la première force militaire de l'UE. Le diplomate Pierre Buhler était l'invité des Mardis du Grand Continent avec lequel nous sommes partenaires.Juliette Gheerbrant lui a demandé pourquoi son pays avait aujourd'hui un rôle aussi central face à la guerre en Russie.Le livre de Pierre Buhler «Pologne histoire d'une ambition» est publié chez Tallandier.Le débat des Mardis du Grand Continent est à retrouver ICI.La presse européenne de Franceline Beretti On a a beaucoup parlé de défense entre dirigeants européens en début de semaine à Bruxelles. Même le Premier ministre britannique Keir Starmer avait fait le déplacement. Il y a urgence à mettre en place une capacité de production européenne d'armement pour ne pas tout acheter aux Américains. Mais bien d'autre débats viennent se greffer sur ces questions de défense... La fausse chasse à courre britanniqueC'est une image qui nous ramène aux traditions de la noblesse rurale de l'Angleterre de toujours. La chasse à courre, ses rites, ses meutes de chiens, ses costumes. Pour l'essentiel, il s'agit d'une chasse au renard qui est interdite depuis 2004 dans le pays. Mais les chasseurs continuent de faire comme si... Avec des leurres, des odeurs de renard disséminées dans la forêt, les cavaliers font semblant de chasser pour continuer la tradition. C'est le reportage de Marie Billon dans le Leicestershire.
Petit pays d'1 600 000 habitants au cœur des Balkans. Toujours pas reconnu par l'ensemble de la communauté internationale. En opposition frontale avec la Serbie qui nie son existence, le Kosovo renouvelle son Parlement à la fin de la semaine. Des élections qui lui permettent de promouvoir son modèle de démocratie. Reportage à Gjakova de Louis Seiller. Avec les Mardis du Grand Continent : 2025 sera le moment polonaisLe pays a pris pour 6 mois la présidence du conseil de l'Union européenne, mais surtout il est en première ligne face à la Russie, à la guerre en Ukraine et il est en passe de devenir la première force militaire de l'UE. Le diplomate Pierre Buhler était l'invité des Mardis du Grand Continent avec lequel nous sommes partenaires.Juliette Gheerbrant lui a demandé pourquoi son pays avait aujourd'hui un rôle aussi central face à la guerre en Russie.Le livre de Pierre Buhler «Pologne histoire d'une ambition» est publié chez Tallandier.Le débat des Mardis du Grand Continent est à retrouver ICI.La presse européenne de Franceline Beretti On a a beaucoup parlé de défense entre dirigeants européens en début de semaine à Bruxelles. Même le Premier ministre britannique Keir Starmer avait fait le déplacement. Il y a urgence à mettre en place une capacité de production européenne d'armement pour ne pas tout acheter aux Américains. Mais bien d'autre débats viennent se greffer sur ces questions de défense... La fausse chasse à courre britanniqueC'est une image qui nous ramène aux traditions de la noblesse rurale de l'Angleterre de toujours. La chasse à courre, ses rites, ses meutes de chiens, ses costumes. Pour l'essentiel, il s'agit d'une chasse au renard qui est interdite depuis 2004 dans le pays. Mais les chasseurs continuent de faire comme si... Avec des leurres, des odeurs de renard disséminées dans la forêt, les cavaliers font semblant de chasser pour continuer la tradition. C'est le reportage de Marie Billon dans le Leicestershire.
Un peu plus de 8 millions d'électeurs se sont rendus aux urnes, samedi 28 et dimanche 29 décembre 2024, pour un triple scrutin, législatif, provincial et municipal. Ce vote marque la fin de la transition. Tchad Vision publie une photo du maréchal Mahamat Idriss Déby, comme souvent vêtu de blanc, avec des lunettes de soleil, en train de déposer son bulletin de vote dans une urne.Le site d'info raconte aussi la journée de vote : « la tension est palpable », « les premiers signes d'inquiétude se sont manifestés dès les premières heures de la journée électorale », car de nombreux bureaux ont ouvert avec du retard, beaucoup de retard. « Des élections générales pour parachever une monocratie », titre Le Djély en Guinée, pour qui les résultats ne font pas de doute. « La contradiction n'est pas de mise au Tchad », poursuit l'édito, rappelant la répression meurtrière des manifestations du 20 octobre 2022. Au Burkina Faso, Le Pays espère que ce scrutin « ouvrira les portes de la décrispation »... Certes, dit-il, « le Tchad est toujours loin d'être une référence mondiale en matière de transparence électorale », mais « il ne faudrait pas jeter le bébé avec l'eau du bain ». Le Pays reconnait aux autorités actuelles « le mérite d'avoir mis en place toutes les institutions républicaines indispensables au fonctionnement, même a minima, de la démocratie réclamée à cor et à cri par les Tchadiens et la communauté internationale ». Affaire Boualem Sansal : le président algérien prend la paroleLe président algérien, Abdelmadjid Tebboune, s'est exprimé sur l'arrestation de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné depuis un mois et demi. « Tebboune évoque pour la première fois l'affaire », titre TSA, à Alger. Il rapporte les propos du chef de l'État, qui estime que l'écrivain est un « imposteur [...] qui vient dire que la moitié de l'Algérie appartient à un autre État ». Il ferait ainsi référence aux propos de Boualem Sansal dans un média français : l'écrivain reprenait la position du Maroc selon laquelle le territoire du pays aurait été tronqué sous la colonisation française au profit de l'Algérie.Un président « ne doit pas tenir ce genre de discours de caniveau », commente Le Matin d'Algérie qui parle de « graves accusations » venant d'Abdelmajid Tebboune contre, « un détenu d'opinion sans défense ». Jeune Afrique se projette en 2025Le mensuel Jeune Afrique publie un grand dossier sur les défis à venir, sur le continent. Il se demande par exemple si « les locomotives » du continent, à savoir le Nigeria et l'Afrique du Sud, vont « renouer avec la croissance ». Il note en tout cas « des signes de reprise » au Nigeria, avec notamment le retour des investisseurs étrangers, « comme Coca ou TotalEnergies ». Ces derniers mois ont aussi été prometteurs en Afrique du Sud : Jeune Afrique note que « cela fait sept mois que le pays n'a pas connu de délestage » d'électricité, un « indicateur clé de [s]a santé économique ».
Un peu plus de 8 millions d'électeurs se sont rendus aux urnes, samedi 28 et dimanche 29 décembre 2024, pour un triple scrutin, législatif, provincial et municipal. Ce vote marque la fin de la transition. Tchad Vision publie une photo du maréchal Mahamat Idriss Déby, comme souvent vêtu de blanc, avec des lunettes de soleil, en train de déposer son bulletin de vote dans une urne.Le site d'info raconte aussi la journée de vote : « la tension est palpable », « les premiers signes d'inquiétude se sont manifestés dès les premières heures de la journée électorale », car de nombreux bureaux ont ouvert avec du retard, beaucoup de retard. « Des élections générales pour parachever une monocratie », titre Le Djély en Guinée, pour qui les résultats ne font pas de doute. « La contradiction n'est pas de mise au Tchad », poursuit l'édito, rappelant la répression meurtrière des manifestations du 20 octobre 2022. Au Burkina Faso, Le Pays espère que ce scrutin « ouvrira les portes de la décrispation »... Certes, dit-il, « le Tchad est toujours loin d'être une référence mondiale en matière de transparence électorale », mais « il ne faudrait pas jeter le bébé avec l'eau du bain ». Le Pays reconnait aux autorités actuelles « le mérite d'avoir mis en place toutes les institutions républicaines indispensables au fonctionnement, même a minima, de la démocratie réclamée à cor et à cri par les Tchadiens et la communauté internationale ». Affaire Boualem Sansal : le président algérien prend la paroleLe président algérien, Abdelmadjid Tebboune, s'est exprimé sur l'arrestation de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, emprisonné depuis un mois et demi. « Tebboune évoque pour la première fois l'affaire », titre TSA, à Alger. Il rapporte les propos du chef de l'État, qui estime que l'écrivain est un « imposteur [...] qui vient dire que la moitié de l'Algérie appartient à un autre État ». Il ferait ainsi référence aux propos de Boualem Sansal dans un média français : l'écrivain reprenait la position du Maroc selon laquelle le territoire du pays aurait été tronqué sous la colonisation française au profit de l'Algérie.Un président « ne doit pas tenir ce genre de discours de caniveau », commente Le Matin d'Algérie qui parle de « graves accusations » venant d'Abdelmajid Tebboune contre, « un détenu d'opinion sans défense ». Jeune Afrique se projette en 2025Le mensuel Jeune Afrique publie un grand dossier sur les défis à venir, sur le continent. Il se demande par exemple si « les locomotives » du continent, à savoir le Nigeria et l'Afrique du Sud, vont « renouer avec la croissance ». Il note en tout cas « des signes de reprise » au Nigeria, avec notamment le retour des investisseurs étrangers, « comme Coca ou TotalEnergies ». Ces derniers mois ont aussi été prometteurs en Afrique du Sud : Jeune Afrique note que « cela fait sept mois que le pays n'a pas connu de délestage » d'électricité, un « indicateur clé de [s]a santé économique ».
durée : 00:59:27 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Alors que Donald Trump vient d'être élu pour la deuxième fois, quelles leçons tirer de ce scrutin historique ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Anne Deysine Professeure émérite de droit et de civilisation américaine à l'Université Paris-Nanterre; Laurence Nardon Responsable du Programme Amériques de l'Ifri ; Gérard Araud Ambassadeur de France, ancien ambassadeur en Israël, à l'Organisation des Nations Unies et aux États-Unis; Lauric Henneton Maître de conférences à l'université de Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines
Ce mardi 5 novembre, la promesse de Donald Trump d'expulser en masse les immigrés clandestins, et sur les effets que ça aura sur le secteur agroalimentaire ont été abordés par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:04:15 - Le Zoom de France Inter - En ce jour d'élection présidentielle aux Etats-Unis, direction la Floride à Palm Beach où Donald Trump accueillera les résultats. Comment celui qui a perdu en 2020 l'élection américaine, accablés de procès et de polémiques arrive aujourd'hui à convaincre près de la moitié des électeurs américains ?
Dans cette édition :les derniers développements de l'élection présidentielle américaine, avec des reportages depuis la Floride et la Géorgie, deux États clés dans cette course.les annonces de plans sociaux chez Auchan et Michelin, avec la fermeture de plusieurs usines et la suppression de milliers d'emplois.l'accord entre la France et le Kazakhstan concernant la réadmission de migrants.les prévisions météorologiques pour la journée de demain, avec un temps gris et pluvieux sur une grande partie du pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :les derniers développements de l'élection présidentielle américaine, avec des reportages depuis la Floride et la Géorgie, deux États clés dans cette course.les annonces de plans sociaux chez Auchan et Michelin, avec la fermeture de plusieurs usines et la suppression de milliers d'emplois.l'accord entre la France et le Kazakhstan concernant la réadmission de migrants.les prévisions météorologiques pour la journée de demain, avec un temps gris et pluvieux sur une grande partie du pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Plus de 75 millions d'Américains ont déjà fait entendre leur voix en amont en se rendant dans un bureau de vote ou en envoyant un courrier sécurisé. Les autres se déplaceront aux urnes mardi pour élire leur président. Le résultat pourrait être connu connu d'ici plusieurs jours. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Arnaud Tousch du 04 novembre 2024.
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durée : 00:14:58 - Journal de 12h30 - 48h avant la tenue officielle de l'élection présidentielle aux États-Unis, les deux camps s'affrontent déjà devant les tribunaux par recours interposés. - invités : Sébastien Mort maître de conférences en civilisation américaine à l'Université de Lorraine et chercheur au Centre de recherche sur les médiations
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C'est peut-être le scrutin le plus important de cette riche année électorale : la présidentielle américaine du 5 novembre. Comment est-elle traitée ? Quelles sont les attentes sur vos zones respectives ? Avec : Melissa Chemam de la rédaction anglophone, sur le rôle des agences des Nations unies face aux crimes commis dans la Bande de Gaza et au Liban. Pisey Mam de la rédaction en khmer : en ce jour de la Toussaint, votre rédaction s'est penchée sur la différence entre la France et le Cambodge concernant le rapport à la mort et aux obsèques. Cristina Teaca de la rédaction en roumain : à deux jours de la présidentielle en Moldavie, deux candidats, l'une est pro occidentale, l'autre est pro russe... L'occasion pour le président français Emmanuel Macron d'adresser un message aux électeurs : « La voie de l'Europe est celle de la liberté et de la démocratie. »
Les derniers sondages montrent que Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude et surtout quels électeurs ils vont devoir aller chercher pour l'emporter. Cette élection déterminera le futur de l'Amérique et aura aussi des conséquences sur les affaires internationales. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:03:09 - Géopolitique - Aux États-Unis, le président est élu par un collège de grands électeurs. Pourtant, d'après une enquête récente, 63% des Américains seraient favorables au suffrage universel direct. Une telle réforme est-elle possible, et souhaitable ?
Les derniers sondages montrent que Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude et surtout quels électeurs ils vont devoir aller chercher pour l'emporter. Cette élection déterminera le futur de l'Amérique et aura aussi des conséquences sur les affaires internationales. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
Les derniers sondages montrent que Kamala Harris et Donald Trump sont au coude-à-coude et surtout quels électeurs ils vont devoir aller chercher pour l'emporter. Cette élection déterminera le futur de l'Amérique et aura aussi des conséquences sur les affaires internationales. Chaque semaine, le mardi, Arnaud Tousch nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
durée : 00:04:33 - Le Reportage de la rédaction - En Géorgie, état religieux et rural, chaque voix compte. En 2020, tout s'est joué à 12 000 voix, et Trump a même demandé au gouverneur de "trouver" des voix. Aujourd'hui, l'état reste crucial pour le scrutin. Reportage à Bethlehem, près d'Atlanta.
durée : 00:04:33 - Le Reportage de la rédaction - En Géorgie, état religieux et rural, chaque voix compte. En 2020, tout s'est joué à 12 000 voix, et Trump a même demandé au gouverneur de "trouver" des voix. Aujourd'hui, l'état reste crucial pour le scrutin. Reportage à Bethlehem, près d'Atlanta.
Dimanche 20 octobre 2024, les Moldaves élisent leur président.e et se prononcent pour ou contre la perspective d'adhésion à l'Union européenne. Élections en Moldavie :Dans ce petit pays situé entre la Roumanie et l'Ukraine, qui comprend une bande de territoire autonome contrôlé par la Russie, la division entre pro-européens et pro-russes s'est accentuée depuis le début de la guerre en Ukraine. L'UE, premier partenaire commercial, a multiplié les aides et les mains tendues, tandis que la Russie tente de ramener l'ancien pays soviétique dans sa sphère d'influence, notamment par l'achat de voix et les campagnes de désinformation. Lassés par la précarité économique et l'instabilité politique, de nombreux Moldaves estiment que leur avenir se joue dans les urnes ce dimanche. Reportage Marine Leduc. Hôpital public en crise :En Italie, les agressions contre le personnel médical sont de plus en plus fréquentes. Dans certains hôpitaux de la Péninsule, on a même déployé des unités de police. Mais les soignants, mobilisés réclament aussi des moyens. Dans le sud de la Botte, le récit d'Olivier Bonnel.Au Royaume-Uni, le service public NHS n'échappe pas à la crise. Et la santé mentale est l'un des secteurs qui pâtit le plus du manque de personnel et de moyens. Au point que le secteur associatif joue désormais un rôle essentiel dans la prise en charge des malades, de l'urgence au traitement à long terme. Reportage, Marie Billon. La revue de presse de Franceline Beretti.
Dimanche 20 octobre 2024, les Moldaves élisent leur président.e et se prononcent pour ou contre la perspective d'adhésion à l'Union européenne. Élections en Moldavie :Dans ce petit pays situé entre la Roumanie et l'Ukraine, qui comprend une bande de territoire autonome contrôlé par la Russie, la division entre pro-européens et pro-russes s'est accentuée depuis le début de la guerre en Ukraine. L'UE, premier partenaire commercial, a multiplié les aides et les mains tendues, tandis que la Russie tente de ramener l'ancien pays soviétique dans sa sphère d'influence, notamment par l'achat de voix et les campagnes de désinformation. Lassés par la précarité économique et l'instabilité politique, de nombreux Moldaves estiment que leur avenir se joue dans les urnes ce dimanche. Reportage Marine Leduc. Hôpital public en crise :En Italie, les agressions contre le personnel médical sont de plus en plus fréquentes. Dans certains hôpitaux de la Péninsule, on a même déployé des unités de police. Mais les soignants, mobilisés réclament aussi des moyens. Dans le sud de la Botte, le récit d'Olivier Bonnel.Au Royaume-Uni, le service public NHS n'échappe pas à la crise. Et la santé mentale est l'un des secteurs qui pâtit le plus du manque de personnel et de moyens. Au point que le secteur associatif joue désormais un rôle essentiel dans la prise en charge des malades, de l'urgence au traitement à long terme. Reportage, Marie Billon. La revue de presse de Franceline Beretti.
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - En Géorgie, état religieux et rural, chaque voix compte. En 2020, tout s'est joué à 12 000 voix, et Trump a même demandé au gouverneur de "trouver" des voix. Aujourd'hui, l'état reste crucial pour le scrutin. Reportage à Bethlehem, près d'Atlanta.
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - En Géorgie, état religieux et rural, chaque voix compte. En 2020, tout s'est joué à 12 000 voix, et Trump a même demandé au gouverneur de "trouver" des voix. Aujourd'hui, l'état reste crucial pour le scrutin. Reportage à Bethlehem, près d'Atlanta.
Les deux candidats à la Maison-Blanche sont au coude-à-coude. Et à trois semaines du vote, aucun sondage ne donne d'écart significatif entre le républicain et le démocrate. Si bien que les "Swing States" n'auront jamais aussi bien porté leur nom.
durée : 00:58:23 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Promis gagnant de l'élection présidentielle du 7 septembre, Abdelmadjid Tebboune entend bien tenir les rênes du pouvoir algérien un mandat de plus. Cinq ans après le mouvement du Hirak qui appelait à plus de démocratie, pourquoi la vie politique algérienne est-elle toujours si verrouillée ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Massensen Cherbi Docteur en droit de l'Université Paris II Panthéon-Assas, auteur d'Algérie aux éditions De Boeck Supérieur (2017).; Amel Boubekeur Sociologue et chercheuse invitée au programme Moyen-Orient et Afrique du Nord à l'ECFR; Farid Alilat Journaliste à Jeune Afrique.
durée : 00:02:16 - Le brief politique - La crise politique inédite survenue en juillet n'est toujours pas résolue début septembre. C'est un déclic pour les parlementaires, qui réfléchissent à changer le mode d'élection aux législatives. L'idée d'un scrutin à la proportionnelle va être débattue prochainement.
durée : 00:42:54 - Le Temps du débat - par : Emmanuel Laurentin - Une majorité pouvant se dégager n'est pas un parti. C'est plutôt un mode de scrutin proportionnel, promis depuis longtemps par des candidats. En l'absence d'une majorité claire, vu la différence entre nombre de voix et de sièges aux législatives, n'est-il pas temps d'adapter notre mode de scrutin ? - invités : Erwan Balanant Député Modem du Finistère; Vincent Pons Professeur d'économie à la Harvard Business School et cofondateur d'eXplain; Anne-Charlène Bezzina Constitutionnaliste, maîtresse de conférence à l'université de Rouen, membre de l'Observatoire des politiques en situation d'épidémie et post-épidémie
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du résultat des élections législatives du point de vu d'Emmanuel Macron.
Ce jeudi 4 juillet, le président américain, Joe Biden, qui n'a pas l'intention de laisser sa place à Kamala Harris, qui serait le premier choix pour le remplacer, a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:10:21 - Journal de 18h - Depuis 8 heures ce matin, les électeurs se succèdent dans les bureaux de vote pour le premier tour des législatives. A 17 heures, d'après le ministère de l'Intérieur, le taux de participation au vote atteint 59,39%. C'est 20 points de plus qu'en 2022.
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Mehdi Ghezzar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:08:17 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Le scrutin des législatives qui va se tenir à partir de dimanche est dit uninominal et majoritaire. Cette ingénierie électorale n'est pas neutre : elle a des effets sur l'organisation des idées politiques, sur les partis et pour certains l'heure est venue de passer au scrutin proportionnel. - invités : David Djaïz Haut fonctionnaire, essayiste et enseignant à Sciences-Po.
durée : 00:46:52 - franceinfo: Les informés - par : Jean-François ACHILLI - Autour de Bérengère Bonte, les informés débattent de l'actualité du vendredi 21 juin 2024.
durée : 00:08:56 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Le scrutin européen a été marqué par des alertes au sujet d'éventuelles ingérences venues de l'étranger : manipulation de l'information, tentatives de déstabilisation... Chartes de bonne conduite, responsabilisation des plateformes et arsenal législatif ont tenté d'endiguer le phénomène. - invités : Frédéric Charillon Professeur de science politique
De longues files d'attente dans toute l'Afrique du Sud pour des élections dont le taux de participation devrait être supérieur à 66%. Il fallait élire 400 députés nationaux qui siègeront à l'Assemblée nationale, des députés qui à leur tour désigneront le prochain président de la République. L'ANC, au pouvoir depuis 30 ans, pourrait perdre pour la première fois sa majorité absolue. Pour en parler, nous recevons Dan O'Meara, sud-africain, professeur à l'université du Québec à Montréal. Ancien membre de l'ANC, il a milité contre le régime de l'apartheid.