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Le Super Daily vous emmène au cœur de la Corée du Sud, un véritable laboratoire digital où le futur est déjà le présent !Plongez dans un écosystème numérique ultra-avancé où plus de 97,2% de la population est connectée à Internet et le taux de pénétration du mobile frôle les 97%. Les Sud-Coréens passent en moyenne 2h30 par jour sur leur téléphone, dont 1h15 sur les réseaux sociaux.Découvrez comment le pays a réinventé le e-commerce et le social commerce, devenant le 5e marché mondial du shopping en ligne avec un marché estimé à 104 milliards de dollars. Le social commerce pèse environ 30 à 35% du chiffre d'affaires du e-commerce total. Le Live Shopping y a explosé post-Covid, étant multiplié par 7 en un an, avec plus d'un habitant de Séoul sur deux ayant déjà acheté via ce format où tout se passe par téléphone. Des plateformes dédiées comme Na Shopping Live et Kakao Live Shopping dominent, et même YouTube a lancé sa propre chaîne dédiée au live shopping en juin 2023. La mode et la beauté sont les secteurs phares, attirant 63% des acheteurs.Explorez Kakao, bien plus qu'une simple application, c'est une super app et un écosystème digital complet, présente sur 93% des téléphones portables notamment via sa messagerie Kakao Talk. Elle intègre progressivement de nombreuses briques comme les paiements (Kakao Pay), les services de réservation de taxi (Kakao Taxi), et des plateformes de divertissement (Kakao Game, Musique, Webtoon), la transformant en une sorte de "centre commercial à ciel ouvert".La Corée est aussi le lieu fondateur du vrai Esport, une industrie en croissance de plus de 9% chaque année. Les compétitions se déroulent dans de véritables arènes physiques qui peuvent accueillir des milliers de spectateurs, et sont massivement diffusées à la télévision ou en streaming. La plateforme coréenne Soup (anciennement Afreeca TV), spécialisée dans le streaming d'Esport, a même réussi à "tuer" Twitch sur le territoire coréen en février 2024, forçant la plateforme américaine à se retirer. Des légendes comme Faker, star de League of Legends, ont leur main droite assurée pour 700 000 €.Le pays est un terreau fertile pour des phénomènes culturels uniques nés sur le web et les réseaux sociaux:La Corée du Sud, bien que petit pays de 51 millions d'habitants, est incroyablement influent sur la scène culturelle et numérique mondiale, un véritable laboratoire où tout est interconnecté : le live, le commerce, la culture et le divertissement.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:35 - Bientôt chez vous - Certaines "groupies fanatiques" de K-Pop ne connaissent aucune limite en matière de vie privée. Au point que le gouvernement sud-coréen a dû durcir sa loi sur le harcèlement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il y a sept mois, la Corée du Sud était secouée par la tentative de l'ex-président Yoon Suk-yeol d'instaurer la loi martiale. Pour beaucoup de Coréens, cette crise a été vécue comme un retour aux années 1980, lorsque la Corée était encore dirigée par les militaires qui enfermaient et torturaient les manifestants opposés au régime. À Séoul, les anciennes geôles de la dictature, devenues un musée de la démocratie, ont ouvert leurs portes pour raconter ce qu'était la loi martiale et la lutte pour la démocratie. De notre correspondant à Séoul, Un imposant bâtiment de brique noire en plein cœur de la capitale. Kim Chanho, guide du musée, nous ouvre les portes de ce triste édifice où le régime militaire sud-coréen a pensé les moindres détails pour le pire. « L'architecte qui a créé ce bâtiment a vraiment pensé à la manière la plus efficace de torturer les suspects, c'est incroyable. Par exemple, ce bouton est d'origine, sous le bureau. Ce n'est pas une alarme incendie comme c'est écrit. Quand ils commencent l'interrogatoire, ils appuient dessus et cela lance la vidéosurveillance secrètement. C'est incroyable, l'architecture et le design en font l'endroit parfait pour des violations des droits humains », raconte-t-il. Entre 1976 et 1991, face à la contestation de plus en plus importante de la dictature militaire sud-coréenne, le régime enferme et torture ses opposants dans le plus grand secret. Des crimes qui restent encore pour la plupart méconnus, faute de preuves. « On estime que plus de 800 personnes sont passées par ici. La police dit qu'elle a tué beaucoup de gens. Si le suspect n'avoue pas, on peut le tuer, l'enterrer quelque part, se débarrasser du corps, le jeter dans le fleuve Han et personne ne le saura. Nous n'avons qu'un seul cas de mort confirmée en 1987. Pour les autres, depuis 1976, on ne sait rien, nous n'avons aucune preuve, car ils ont effacé l'histoire », explique le guide. Si la Corée du Sud est depuis devenue une démocratie, sa fragilité a été constatée en décembre dernier lorsque l'ex-président Yoon Suk-yeol a voulu imposer la loi martiale. « Depuis la crise politique, il y a plus de gens, parce qu'ils ont compris que la démocratie est très importante, estime Kim Chanho. Mais en réalité, à la dernière élection présidentielle, le candidat conservateur était un soutien du président Yoon Suk-yeol et il a eu plus de 40% des voix. La démocratie, ce n'est pas acquis et il faut continuer de travailler dans ce sens. » La Corée du Sud est une jeune démocratie qui continue de se débattre avec les fantômes de son passé. À lire aussiCorée du Sud: l'ex-président Yoon Suk-yeol de nouveau arrêté pour avoir imposé la loi martiale
Il y a sept mois, la Corée du Sud était secouée par la tentative de l'ex-président Yoon Suk-yeol d'instaurer la loi martiale. Pour beaucoup de Coréens, cette crise a été vécue comme un retour aux années 1980, lorsque la Corée était encore dirigée par les militaires qui enfermaient et torturaient les manifestants opposés au régime. À Séoul, les anciennes geôles de la dictature, devenues un musée de la démocratie, ont ouvert leurs portes pour raconter ce qu'était la loi martiale et la lutte pour la démocratie. De notre correspondant à Séoul, Un imposant bâtiment de brique noire en plein cœur de la capitale. Kim Chanho, guide du musée, nous ouvre les portes de ce triste édifice où le régime militaire sud-coréen a pensé les moindres détails pour le pire. « L'architecte qui a créé ce bâtiment a vraiment pensé à la manière la plus efficace de torturer les suspects, c'est incroyable. Par exemple, ce bouton est d'origine, sous le bureau. Ce n'est pas une alarme incendie comme c'est écrit. Quand ils commencent l'interrogatoire, ils appuient dessus et cela lance la vidéosurveillance secrètement. C'est incroyable, l'architecture et le design en font l'endroit parfait pour des violations des droits humains », raconte-t-il. Entre 1976 et 1991, face à la contestation de plus en plus importante de la dictature militaire sud-coréenne, le régime enferme et torture ses opposants dans le plus grand secret. Des crimes qui restent encore pour la plupart méconnus, faute de preuves. « On estime que plus de 800 personnes sont passées par ici. La police dit qu'elle a tué beaucoup de gens. Si le suspect n'avoue pas, on peut le tuer, l'enterrer quelque part, se débarrasser du corps, le jeter dans le fleuve Han et personne ne le saura. Nous n'avons qu'un seul cas de mort confirmée en 1987. Pour les autres, depuis 1976, on ne sait rien, nous n'avons aucune preuve, car ils ont effacé l'histoire », explique le guide. Si la Corée du Sud est depuis devenue une démocratie, sa fragilité a été constatée en décembre dernier lorsque l'ex-président Yoon Suk-yeol a voulu imposer la loi martiale. « Depuis la crise politique, il y a plus de gens, parce qu'ils ont compris que la démocratie est très importante, estime Kim Chanho. Mais en réalité, à la dernière élection présidentielle, le candidat conservateur était un soutien du président Yoon Suk-yeol et il a eu plus de 40% des voix. La démocratie, ce n'est pas acquis et il faut continuer de travailler dans ce sens. » La Corée du Sud est une jeune démocratie qui continue de se débattre avec les fantômes de son passé. À lire aussiCorée du Sud: l'ex-président Yoon Suk-yeol de nouveau arrêté pour avoir imposé la loi martiale
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Les créateurs de La Grande Aventure Lego, Les Mitchell contre les machines et, bien entendu, de la trilogie Spiderverse, revient avec un nouveau film pensé pour son partenariat sur Netflix. Et c'est la Kpop qui est à l'honneur ! La Corée réussit décidément très bien à Netflix, car après Squid Game, Kpop Demon Hunters cartonne sur la plate-forme. On a réuni une équipe de SPÉCIALISTES de la Kpop, notamment notre invité Pablo, pour décortiquer les musiques, l'animation, l'histoire... Et pis tout ça quoi. Est-ce qu'on va se dandiner pendant l'épisode ? Et surtout, c'est du FLAN ou c'est pas du FLAN ? 3:56 Salut mon spot'6:12 Le contexte28:42 Le débat1:42:14 Les critiques1:55:00 Le futur Pensez à nous soutenir avec des commentaires ou des étoiles sur les applis, voire même avec un peu de sous sur Patreon ! MERCI aux gens qui nous soutiennent où que ce soit ! TOUS les podcasts Élabète en UN SEUL podcast, c'est possible en cherchant "Élabète" dans votre appli préférée ! Ou sur http://elabete.lepodcast.fr
durée : 00:02:32 - Bientôt chez vous - Confrontées à une crise démographique sans précédent, des écoles rurales de Corée du Sud accueillent désormais des élèves de plus de 70 ans pour éviter les fermetures. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donnent des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
durée : 00:02:43 - Bientôt chez vous - À quelques jours des vacances d'été, attendues avec impatience tant par les enfants que par les enseignants, les autorités sud-coréennes s'interrogent sur la possibilité de retirer complètement aux professeurs la tâche de notation des copies. Cette évaluation pourrait désormais être confiée à l'intelligence artificielle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les deux frères ennemis sont séparés depuis 1953 avec au nord la dictature dirigée aujourd'hui par Kim Jong-un. C'est bien sur à la frontière que les tensions sont les plus fortes et les plus récurrentes mais là en l'occurrence, le nouveau président sud coréen a décidé un geste d'apaisement en ne diffusant plus ces messages de propagande scandés par des hauts parleurs à des kilomètres à la ronde. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Corée du Sud était en crise politique depuis la tentative de coup de force de son président conservateur qui avait déclaré la loi Martiale. Hier, les Sud-Coréens ont élu le candidat progressiste Lee Jay-myung pour tourner la page, et s'attaquer aux immenses défis d'une région sous tension.
durée : 00:05:18 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après six mois de chaos politique, la Corée du Sud a un nouveau président. Son nom : Lee Jay-Myung. Sa victoire est une véritable revanche sur la vie.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - La Corée du Sud était en crise politique depuis la tentative de coup de force de son président conservateur qui avait déclaré la loi Martiale. Hier, les Sud-Coréens ont élu le candidat progressiste Lee Jay-myung pour tourner la page, et s'attaquer aux immenses défis d'une région sous tension.
durée : 01:29:27 - En pistes ! du mercredi 04 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Il a remporté le concours Van Cliburn à seulement 18 ans; le pianiste coréen Yunchan Lim séduisait le jury avec le 3e concerto de Rachmaninov, une prestation qui parait au disque. Autre jeune pianiste, le français Arthur Hinnewinkel fait paraître un premier disque, entièrement consacré à Schumann.
durée : 01:29:27 - En pistes ! du mercredi 04 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Il a remporté le concours Van Cliburn à seulement 18 ans; le pianiste coréen Yunchan Lim séduisait le jury avec le 3e concerto de Rachmaninov, une prestation qui parait au disque. Autre jeune pianiste, le français Arthur Hinnewinkel fait paraître un premier disque, entièrement consacré à Schumann.
La Food and Drug Administration (FDA) a lancé hier Elsa, un outil d’intelligence artificielle générative conçu pour améliorer l’efficacité des employés en santé. L’expert en IA David Proulx nous explique comment le Québec est à la traîne. Entrevue avec David Proulx, expert en intelligence artificielle et cofondateur de Bullseye AI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La Corée du Nord a entamé une enquête approfondie après un accident survenu le 21 mai dernier lors du lancement d'un navire de guerre. Le bateau a partiellement coulé lors de l'inauguration à laquelle assistait Kim Jong-un. Un fiasco qui a provoqué l'arrestation de quatre personnalités de haut rang. Sur les chantiers navals de la côte orientale, ce devait être une journée glorieuse pour la marine nord-coréenne. Autour de Kim Jong-un, était réunie la fine fleur de l'état-major de l'armée populaire. Mais le lancement du destroyer, dont le nom n'a pas été communiqué ne s'est pas passé comme prévu, plusieurs hypothèses ont pu conduire à ce fiasco note Vincent Groizeleau directeur du journal Mer et Marine : « Leur système est manifestement un système de lancement par le travers, donc le bateau est parallèle au quai. Les lancements par le travers sont des lancements traditionnels, ça se fait couramment y compris aux États-Unis où ils ont lancé à peu près tous les bâtiments de la classe Freedom comme ça. Donc deux hypothèses ont pu se produire : soit quand ils ont lancé le navire, les rails qui sont tous censés glisser ensemble, n'ont pas tous glissé ensemble. Ou alors il y a pu avoir aussi un phénomène d'écrasement qui a déséquilibré le bateau et donc il est tombé et le poids a fait que les rails de la partie arrière sont quand même partis. Avec à la fin donc, l'étrave qui reste sur le quai et tout le reste qui est dans l'eau ».Les sanctions n'ont pas tardéLes sanctions n'ont pas tardé, le vice-directeur du département de l'industrie des munitions du Comité central du Parti et trois autres responsables du chantier naval ont été placés en détention. Une affaire qui fait les choux gras de la presse sud-coréenne, souligne le journaliste de RFI Stéphane Lagarde, présent en Corée du Sud,« Plus que les détails de l'incident, ce qui intéresse les médias en Corée du Sud, ce sont les conséquences politiques et sur l'appareil militaire nord-coréen. Un journal des finances ici s'attend à une purge sanglante et écrit « On arrête d'abord et on enquête ensuite ». Plusieurs procureurs et experts sont mobilisés en Corée du Nord pour comprendre ce qui s'est passé. Mais d'ores et déjà, les propos de la commission militaire centrale nord-coréenne cités par le Journal du parti du travail de Corée du Nord, sont sans appel puisqu'ils qualifient cet accident d'acte criminel. Il y a des dégâts matériels, mais c'est aussi une gifle pour le régime nord-coréen, rappelle-t-on ici en Corée du Sud, sachant que le dirigeant Kim Jong-un assistait à la scène, donc à ce lancement ».Un immense camouflet pour la Corée du NordDes analystes estiment que le navire a potentiellement été construit avec l'aide de la Russie. Allié de Moscou, le régime nord-coréen ambitionne de peser sur les mers grâce au lancement d'une flotte moderne, composée de sous-marins nucléaires et de navires de premier rang comme ce fameux destroyer. C'est donc un revers immense pour un lancement symbolique pointe Vincent Groizeleau : « Le naval, le maritime, ce sont de très gros objets, c'est des objets de prestige. Là, on est sur un objet très gros et extrêmement coûteux. C'est des objets qui sont extrêmement puissants, un bateau de guerre, c'est toujours plus puissant qu'un avion, ou qu'un char, donc évidemment c'est prestigieux. Et surtout, Kim Jong-un, il était là ! C'est un camouflet qui est terrible pour eux parce que c'est quelque chose qu'ils n'ont pas pu cacher. On ne peut pas cacher un truc comme ça, c'est trop gros ».Le leader nord-coréen a exigé que le navire soit renfloué d'ici juin, mais en chutant du quai sa coque a peut-être vrillé, auquel cas estiment les experts le bateau est bon pour la casse.À lire aussiCorée du Nord: un navire de guerre endommagé lors de sa cérémonie de lancement
C'est un séisme dans le monde souterrain du numérique. Une opération internationale d'une ampleur inédite vient de frapper au cœur les réseaux criminels du darknet, grâce à une coordination sans faille entre Europol, les forces de l'ordre françaises, et plusieurs services américains. Baptisée Opération RapTOR, cette manœuvre transnationale a mobilisé les polices de dix pays, dont la gendarmerie et les douanes françaises, le FBI, l'ICE et la DEA. Résultat : des frappes synchronisées qui ont pris les suspects de court, évitant toute fuite. Les États-Unis ont procédé à 130 arrestations, l'Allemagne à 42, le Royaume-Uni à 37, et la France n'est pas en reste avec 29 interpellations. La Corée du Sud, elle, en compte 19. Ces chiffres révèlent l'ampleur mondiale de cette criminalité numérique, désormais bien implantée aux quatre coins du globe.L'opération s'inscrit dans la lignée du coup de filet “SpecTor” de 2023, qui avait permis l'arrestation de 288 individus. Cette fois, les enquêteurs ont ciblé les anciens utilisateurs des places de marché clandestines récemment démantelées, comme Nemesis, Tor2Door ou encore Kingdom Market, dans une stratégie méthodique : remonter les filières après avoir abattu les têtes de réseau. Et les résultats sont spectaculaires : 200 millions de dollars saisis, en cryptomonnaies et en liquide, deux tonnes de drogues confisquées – dont 144 kilos de fentanyl, cet opioïde ravageur – et 180 armes à feu. Sans compter 4 tonnes de tabac de contrebande et 12 500 produits contrefaits.Ces chiffres témoignent d'un darknet devenu un véritable supermarché du crime, où drogues, armes et faux papiers s'échangent en quelques clics. Et si les criminels tentent désormais de contourner la surveillance en créant des boutiques individuelles, plus discrètes, cette opération RapTOR démontre que l'impunité n'est plus garantie. La technologie qui protégeait hier les cybercriminels devient aujourd'hui leur piège. Après le démantèlement du malware Lumma Stealer, les autorités viennent de frapper un grand coup : un signal fort pour ceux qui croyaient encore que l'anonymat numérique était une armure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A la Une de la presse, ce mardi 27 mai, l'appel d'Ilia Iachine, figure de l'opposition russe au président Vladimir Poutine, à poursuivre le soutien à l'Ukraine. La visite annoncée de Javier Milei en Israël, où le président argentin recevra un prix pour son soutien "sans équivoque" à l'Etat hébreu. La première commémoration nationale, demain, en Namibie, du génocide allemand. Un mini-tournoi amical de foot pour le 32eme anniversaire de l'indépendance de l'Erythrée. Et des histoires de fromages.
durée : 00:02:20 - Bientôt chez vous - En Corée du Sud, un débat prend de l'ampleur autour de la représentation de l'alcool dans les médias. Des élus et des professionnels de santé appellent à une régulation plus stricte, notamment pour protéger les jeunes téléspectateurs face à une exposition jugée excessive.
La Corée rachète son patrimoine. L'écrivain barcelonais Eduardo Mendoza récompensé. Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) ont légué 43 œuvres d'art.
Cette Sudirman Cup disputée à domicile a permis à la Chine de démontrer une nouvelle fois l'avance qu'elle possède sur les autres nations, la Corée n'ayant rien pu faire en finale. Certaines équipes, comme le Japon ou le Danemark, ont été lâchées par leurs leaders, tandis qu'une équipe de France B a sauvé son bilan en battant l'Australie. Alors que Loh Kean Yew et Tomoka Miyazaki se sont imposés au Taipei Open, Arnaud Merkle a confirmé son regain de forme en s'adjugeant le Denmark Challenge. Chapitres :0:00 - Introduction1:57 - Sudirman Cup39:44 - Taipei Open51:36 - Denmark Challenge Où nous retrouver : https://linktr.ee/21shuttleRejoindre notre serveur Discord : https://discord.gg/fKmkvQ2RmQ Crédit photo : Sylvain Nalet
Dans cette édition :Le suspect du meurtre d'un fidèle de la mosquée de la Grande Combe dans le Gard s'est rendu aux autorités italiennes après avoir pris la fuite en France.Le gouvernement français souhaite réduire d'un tiers le nombre d'agences publiques et d'opérateurs de l'État afin de réaliser des économies budgétaires.Après les funérailles du pape François, le Vatican se prépare à la succession avec la réunion du Collège des Cardinaux qui devrait annoncer la date du début du conclave.La Corée du Nord reconnaît avoir envoyé des troupes combattre aux côtés des Russes en Ukraine.À La Réunion, la campagne de vaccination contre le chikungunya est suspendue pour les plus de 65 ans après des effets indésirables graves.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le suspect du meurtre d'un fidèle de la mosquée de la Grande Combe dans le Gard s'est rendu aux autorités italiennes après avoir pris la fuite en France.Le gouvernement français souhaite réduire d'un tiers le nombre d'agences publiques et d'opérateurs de l'État afin de réaliser des économies budgétaires.Après les funérailles du pape François, le Vatican se prépare à la succession avec la réunion du Collège des Cardinaux qui devrait annoncer la date du début du conclave.La Corée du Nord reconnaît avoir envoyé des troupes combattre aux côtés des Russes en Ukraine.À La Réunion, la campagne de vaccination contre le chikungunya est suspendue pour les plus de 65 ans après des effets indésirables graves.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Corée du Nord fournit non seulement des hommes à l'armée russe pour sa guerre en Ukraine, mais également des munitions. Depuis septembre 2023, des livraisons de munitions nord-coréennes ont lieu, transportées par des cargos russes. Près de 16.000 containers ont déjà été livrés en Russie, puis acheminés par rail vers l'Ukraine. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La population mondiale a augmenté de 6 milliards d'habitants au 20e siècle. Peut-on nourrir une planète à 10 milliards d'habitants ? Quel coût pour la vie sauvage ? Un aperçu de cette évolution galopante de la population humaine :Au début de l'agriculture, il y a 12 000 ans, quelques millionsAn 0 : 200 millions1800 : 1 milliardAujourd'hui : presque 8 milliardsDès l'Antiquité, Platon s'interrogeait déjà sur la pénurie de matériaux et de ressources. Mais c'est le prêtre anglican Malthus à l'aube du 19e siècle, qui reste associé à cette peur de la surpopulation. Il préconise de laisser mourir les pauvres en guise de solution. La courbe d'augmentation de la population est en train de s'aplatir : la croissance est d'environ 1% par an, en phase de ralentissement. Aujourd'hui, la plupart des pays occidentaux ont réalisé leur transition démographique. Certains sont nettement en dessous du seuil de seuil des renouvellement des génération : 2,1 enfants par femme: La Corée du Sud est à 0.09, l'Allemagne à 1.3 par exemple. Les débats portent sur les projections du futur en Asie et en Afrique essentiellement. Max nous résume ce qu'il retient de son émission avec Emmanuel Pont, ingénieur et démographe.Cette émission du Greenletter Club est visible ici. _______
durée : 00:04:56 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - En Corée du Sud, les familles dépensent des montants record dans les cours privés, même chez les moins de 6 ans. 80% des élèves suivent des cours privés, dans des "hagwons", pour bachoter dans l'espoir d'intégrer une université prestigieuse. Pression dès le plus jeune âge, endettement des familles. - invités : Marie-Orange Rivé histoire, maîtresse de conférences en études coréennes à l'Université Paris Cité
durée : 01:40:44 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - La Corée, ses légendes, ses poètes et poétesses, ses musiciens et musiciennes sont au menu de « La Matinée des autres » par Patrice de Méritens, diffusée le 15 avril 1980. - réalisation : Virginie Mourthé
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Dans cet épisode, nous découvrons les critiques de l'opposition italienne envers la présence de la Première ministre Giorgia Meloni à l'investiture de Donald Trump, ainsi que les inquiétudes concernant la réduction du budget brésilien pour la gestion des risques et des catastrophes naturelles.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
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En Espagne, une cérémonie officielle a marqué la restitution d'une œuvre d'art pillée par le régime franquiste. Le ministre de la Culture a restitué un célèbre portrait du peintre Manuel Oreda à son propriétaire légitime, une fondation culturelle qui avait été déclarée illégale par la dictature de Franco en 1940. Cette restitution n'est que la première d'une longue série, le gouvernement espagnol ayant recensé plus de 5000 œuvres pillées qu'il s'engage à rendre à leurs propriétaires.En Corée du Sud, l'actualité fait grand bruit : le président Yoon Suk-yeol a été arrêté par le bureau d'enquête sur la corruption des hauts fonctionnaires. Accusé d'avoir instauré la loi martiale le 3 décembre dernier, il devient le premier président sud-coréen en exercice à être ainsi appréhendé. Les enquêteurs ont désormais 48 heures pour l'interroger avant de décider de le libérer ou de prolonger sa détention.En Argentine, le gouvernement ultralibéral de Javier Milei fait parler de lui. Faute d'accord avec l'opposition, il a reconduit pour 2025 le budget de 2023, une première dans l'histoire du pays. Une mesure justifiée par la discipline budgétaire, mais qui suscite de vives critiques, notamment d'organisations non gouvernementales, qui y voient un recul pour les institutions publiques et les accords politiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
En Espagne, une cérémonie officielle a marqué la restitution d'une œuvre d'art pillée par le régime franquiste. Le ministre de la Culture a restitué un célèbre portrait du peintre Manuel Oreda à son propriétaire légitime, une fondation culturelle qui avait été déclarée illégale par la dictature de Franco en 1940. Cette restitution n'est que la première d'une longue série, le gouvernement espagnol ayant recensé plus de 5000 œuvres pillées qu'il s'engage à rendre à leurs propriétaires.En Corée du Sud, l'actualité fait grand bruit : le président Yoon Suk-yeol a été arrêté par le bureau d'enquête sur la corruption des hauts fonctionnaires. Accusé d'avoir instauré la loi martiale le 3 décembre dernier, il devient le premier président sud-coréen en exercice à être ainsi appréhendé. Les enquêteurs ont désormais 48 heures pour l'interroger avant de décider de le libérer ou de prolonger sa détention.En Argentine, le gouvernement ultralibéral de Javier Milei fait parler de lui. Faute d'accord avec l'opposition, il a reconduit pour 2025 le budget de 2023, une première dans l'histoire du pays. Une mesure justifiée par la discipline budgétaire, mais qui suscite de vives critiques, notamment d'organisations non gouvernementales, qui y voient un recul pour les institutions publiques et les accords politiques.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
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Au Royaume-Uni, nous apprenons que de nombreux musées et théâtres sont en danger. Selon les journaux, plus de 500 établissements culturels ont fermé leurs portes depuis l'an 2000, victimes de coupes budgétaires et de sous-financement chronique. La pandémie de Covid-19 n'a fait qu'aggraver une situation déjà précaire, avec de nouvelles difficultés comme la hausse des factures d'énergie ou l'augmentation des charges patronales. Les professionnels du secteur lancent un appel urgent au nouveau gouvernement travailliste pour qu'il investisse massivement afin de sauver ce patrimoine culturel.En Corée du Sud, où la Une de la presse locale est dominée par les tests de missiles balistiques menés par la Corée du Nord. Le régime de Kim Jong-un a en effet procédé à un tir d'essai d'un nouveau missile équipé d'une ogive hypersonique, capable de dépasser la vitesse du son. Selon les informations, ce missile aurait parcouru environ 1500 km avant de s'écraser en mer de l'Est. Une prouesse technique qui inquiète les observateurs, car ce type d'armement pourrait théoriquement atteindre la base américaine de Guam dans le Pacifique.En Égypte, où l'actualité est marquée par la décision de l'Autorité nationale des médias d'interdire l'apparition des voyants et astrologues à la télévision. Bien que la religion occupe une place importante dans la société égyptienne, le marché de la voyance, souvent aux mains de charlatans, attire un large public. Près de la moitié des Égyptiens y croient, selon une étude. Mais le président de l'autorité des médias justifie cette mesure en rappelant le rôle des médias dans la lutte contre l'ignorance.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Au Royaume-Uni, nous apprenons que de nombreux musées et théâtres sont en danger. Selon les journaux, plus de 500 établissements culturels ont fermé leurs portes depuis l'an 2000, victimes de coupes budgétaires et de sous-financement chronique. La pandémie de Covid-19 n'a fait qu'aggraver une situation déjà précaire, avec de nouvelles difficultés comme la hausse des factures d'énergie ou l'augmentation des charges patronales. Les professionnels du secteur lancent un appel urgent au nouveau gouvernement travailliste pour qu'il investisse massivement afin de sauver ce patrimoine culturel.En Corée du Sud, où la Une de la presse locale est dominée par les tests de missiles balistiques menés par la Corée du Nord. Le régime de Kim Jong-un a en effet procédé à un tir d'essai d'un nouveau missile équipé d'une ogive hypersonique, capable de dépasser la vitesse du son. Selon les informations, ce missile aurait parcouru environ 1500 km avant de s'écraser en mer de l'Est. Une prouesse technique qui inquiète les observateurs, car ce type d'armement pourrait théoriquement atteindre la base américaine de Guam dans le Pacifique.En Égypte, où l'actualité est marquée par la décision de l'Autorité nationale des médias d'interdire l'apparition des voyants et astrologues à la télévision. Bien que la religion occupe une place importante dans la société égyptienne, le marché de la voyance, souvent aux mains de charlatans, attire un large public. Près de la moitié des Égyptiens y croient, selon une étude. Mais le président de l'autorité des médias justifie cette mesure en rappelant le rôle des médias dans la lutte contre l'ignorance.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C dans l'air du 30 décembre - Crashs d'avion : peur en haute altitudePrésentation: Lorrain SénéchalUn hommage à la hauteur du drame. La Corée du sud a déclaré un deuil national de sept jours après le crash d'avion qui a fait 179 morts et 2 survivants, hier, à l'aéroport de Muan, dans le sud-ouest de la Corée du Sud. Le pire de son histoire. Le Boeing 737-8AS, de la compagnie Jeju' Air, a tenté d'atterrir sans son train d'atterrissage et a pris feu après avoir percuté un mur en béton situé en bout de piste. L'enquête ne fait que commencer mais selon les premiers éléments, "la cause présumée de l'accident est une collision avec des oiseaux combinée à des conditions météorologiques défavorables", a déclaré Lee Jeong-hyun, chef de la caserne de pompiers de Muan. Si la tour de contrôle a averti l'équipage d'une collision avec des oiseaux, le mystère demeure sur la question du dysfonctionnement du train d'atterrissage qui a forcé l'appareil à se poser sur son ventre. Mais au lendemain du drame, les critiques se portent également sur le mur en béton placé en fin de piste. "Normalement, il n'y a pas de tel obstacle solide en bout de piste, c'est contre les standards de sécurité de l'aviation internationale", pointe notamment un expert en aéronautique auprès de l'Agence France presse (AFP). L'Agence nationale de sécurité des transports américaine annonce avoir mis en place une équipe d'enquêteurs, épaulée par Boeing, pour aider la Corée du Sud à trouver des réponses.Après le crash d'hier, Boeing a immédiatement lancé l'inspection de tous ses 737-8AS. Six jours plus tôt, un autre appareil de la même gamme a rencontré un problème lié au train d'atterrissage. Ces dernières années, les incidents se sont multipliés pour la compagnie américaine. Victime d'une erreur de conception au niveau de son système MCAS, le Boeing 737 max a notamment connu deux accidents catastrophiques, en 2018 et en 2019. Avec les Boeing 777 et 787 Dreamliner, ce sont trois des quatre modèles d'avions commerciaux de l'aviateur américain qui sont aujourd'hui visés par une enquête du régulateur américain, la Federal aviation administration (FAA). En juin dernier, face à la gravité de la situation, le directeur général de Boeing, Dave Calhoun, avait présenté ses excuses face à une commission d'enquête du Sénat américain : "Je m'excuse pour le chagrin que nous avons causé, et je veux que vous sachiez que nous sommes totalement mobilisés […] à nous concentrer sur la sécurité aussi longtemps" que nécessaire.Quelques jours plus tôt, un avion d'Azerbaïdjan Airlines s'était crashé au Kazakhstan, faisant 38 morts, après avoir essuyé "des tirs" provenant du territoire russe, selon le président azerbaïdjanais Ilham Aliev. L'appareil a "été rendu incontrôlable par des moyens militaires de brouillage électroniques" et "sa queue a été également gravement endommagée" par des tirs depuis le sol russe, a-t-il pointé lors d'un entretien à la télévision nationale. Dans un double langage dont il a le secret, le président russe Vladimir Poutine a présenté samedi ses excuses à Ilham Aliev et reconnu des tirs sans en assumer la responsabilité, au grand regret de l'intéressé : "Admettre (sa) culpabilité, présenter des excuses en temps utile à l'Azerbaïdjan, qui est considéré comme un pays ami, et informer le public à ce sujet, voilà autant de mesures et d'étapes qui auraient dû être prises", a-t-il dit.Que sait-on du crash qui a fait près de 200 morts en Corée du Nord ? Comment expliquer les incidents à répétition chez Boeing ces dernières années ? Et quelles conséquences pour la Russie après le crash au Kazakhstan ?Les experts : - Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace et ancien pilote de chasse- Gérard FELZER - Consultant aéronautique et transports, président d'Aviation sans frontière - Caroline BRUNEAU - Journaliste spécialiste de l'industrie aéronautique - Aérospatium.info (en duplex)- Christelle QUENARD - Psychologue au Centre de traitement de la peur de l'avionPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.
durée : 00:02:46 - Géopolitique - par : Franck MATHEVON - On en sait plus sur l'aide apportée par la Corée du Nord à la Russie face à l'armée ukrainienne.
durée : 00:02:46 - Géopolitique - par : Franck MATHEVON - On en sait plus sur l'aide apportée par la Corée du Nord à la Russie face à l'armée ukrainienne.
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur la condamnation de Nicolas Sarkozy et les soldats nord-coréens en Russie. Gambie : un tribunal spécial pour juger les crimes de Yahya JammehLa Cédéao a annoncé qu'un tribunal spécial sera créé pour juger les crimes de Yahya Jammeh, entre 1994 et 2017. Sait-on qui financera ce projet ? Cette décision annonce-t-elle un retour du dictateur déchu actuellement en exil en Guinée équatoriale ?Avec Reed Brody, avocat américain et membre de la Commission internationale des juristes (CIJ).France : Nicolas Sarkozy condamné à un an de prison fermeEn France, l'ancien président Nicolas Sarkozy a été condamné par la Cour de cassation à un an de prison ferme sous bracelet électronique dans l'affaire des écoutes. Pourquoi une peine sous bracelet électronique plutôt qu'une incarcération ? En cas d'une nouvelle condamnation dans l'affaire Bygmalion, les peines peuvent-elles être cumulées ? Dans la foulée, il a annoncé saisir la Cour européenne des droits de l'homme. Que peut changer un recours devant cette cour ?Avec Raphaël Delvolvé, journaliste au service politique de RFI.Guerre en Ukraine : des soldats nord-coréens tués et blessésDes centaines de soldats nord-coréens ont été tués ou blessés dans la région de Koursk, en Russie. Comment expliquer les difficultés rencontrées par les troupes nord-coréennes et leur retard tactique sur le terrain ? La Corée du Nord pourrait-elle augmenter son soutien militaire au Kremlin avec de nouveaux envois de soldats ?Avec Juliette Morillot, historienne, spécialiste de la péninsule coréenne. Auteure de La Corée du Nord en 100 questions : l'obsession nucléaire (éditions Tallandier).Et en fin d'émission, la chronique « Un œil sur les réseaux » de Jessica Taïeb. Aujourd'hui, elle revient sur les réactions des internautes après la victoire de Ademola Lookman au Ballon d'Or africain 2024.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Nos correspondants vous emmènent à la découverte des faits marquants dans différents pays.En Irlande, les relations avec Israël se tendent suite à la fermeture de l'ambassade israélienne à Dublin, une décision jugée « profondément regrettable » par le Premier ministre irlandais, en raison de désaccords sur la politique israélienne envers les territoires palestiniens.En Corée du Sud, le président Yoon Seok-yeol a été suspendu après une tentative ratée d'instaurer la loi martiale. Le Premier ministre Han Duk-Soo assure l'intérim dans un climat de tensions avec la Corée du Nord.Au Canada, la menace d'une guerre commerciale avec les États-Unis inquiète. Le futur président américain, Donald Trump, promet de taxer lourdement les produits canadiens si la frontière n'est pas sécurisée. Le Canada peine à trouver une réponse coordonnée, à la satisfaction de Trump.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Explorez Singapour : une ville-État unique où modernité, culture et nature s'entremêlent. Découvrez les lieux à visiter et les expériences à ne pas manquer.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
En Corée du Sud, une crise politique majeure éclate : après la déclaration de la loi martiale par le président Yoon Seok-yeol, l'opposition l'annule au Parlement et menace de destitution. En Espagne, une nouvelle loi controversée oblige le secteur touristique à collecter des données personnelles détaillées des voyageurs.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
L'incident du peuplier, parfois appelé « incident de l'arbre de la zone démilitarisée », est un événement tendu qui a failli déclencher une guerre entre les États-Unis et la Corée du Nord en août 1976. Cette histoire incroyable commence par un simple arbre, un peuplier, qui poussait dans la zone démilitarisée (DMZ) séparant la Corée du Nord et la Corée du Sud, l'une des frontières les plus militarisées et les plus sensibles au monde. Le 18 août 1976, des soldats américains et sud-coréens, accompagnés de travailleurs civils, se sont rendus dans la DMZ pour élaguer le peuplier, qui bloquait la vue d'un poste d'observation crucial pour surveiller les mouvements de l'armée nord-coréenne. Cependant, les Nord-Coréens, voyant ces travaux, ont réagi de manière inattendue et violente. Un groupe de soldats nord-coréens est arrivé sur les lieux et, après une altercation verbale, a brutalement attaqué le contingent américain et sud-coréen avec des haches et des barres de fer. Deux officiers américains, le capitaine Arthur Bonifas et le lieutenant Mark Barrett, ont été tués dans l'assaut. Cet incident a déclenché une crise internationale majeure. Les États-Unis, sous la présidence de Gerald Ford, ont envisagé des réponses militaires, craignant que cet acte ne soit le signe d'une escalade planifiée par la Corée du Nord. Des tensions extrêmes se sont installées, et le monde entier a suivi avec inquiétude ce qui semblait être un prélude potentiel à une nouvelle guerre en Asie. Pour montrer leur force sans déclencher de conflit direct, les États-Unis ont alors planifié l'« opération Paul Bunyan », une démonstration de puissance militaire d'une ampleur impressionnante. Trois jours après l'incident, une force massive, comprenant des soldats armés, des hélicoptères, des bombardiers et des avions de chasse, a été déployée pour sécuriser la zone et terminer l'abattage de l'arbre. La Corée du Nord, voyant ce déploiement massif, n'a pas réagi militairement, et l'incident a été désamorcé. L'incident du peuplier reste un exemple frappant de la fragilité des relations internationales, où une simple opération d'élagage a failli déclencher un conflit mondial. Il met en lumière comment une situation apparemment triviale peut dégénérer rapidement en une crise majeure lorsque des tensions géopolitiques sous-jacentes sont présentes. Depuis, cet événement est souvent cité comme un cas d'école sur l'importance de la communication et de la prudence dans les zones de conflit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:25 - La Revue de presse internationale - par : Mathilde Ansquer - La Corée du Sud a annulé au dernier moment sa participation à une cérémonie en hommage aux travailleurs morts dans les mines japonaises de Sado pendant la Seconde Guerre mondiale. Selon le Korea Times, près de 1 500 travailleurs coréens y ont été envoyés de force pendant l'occupation japonaise.
L'incident du peuplier, parfois appelé « incident de l'arbre de la zone démilitarisée », est un événement tendu qui a failli déclencher une guerre entre les États-Unis et la Corée du Nord en août 1976. Cette histoire incroyable commence par un simple arbre, un peuplier, qui poussait dans la zone démilitarisée (DMZ) séparant la Corée du Nord et la Corée du Sud, l'une des frontières les plus militarisées et les plus sensibles au monde. Le 18 août 1976, des soldats américains et sud-coréens, accompagnés de travailleurs civils, se sont rendus dans la DMZ pour élaguer le peuplier, qui bloquait la vue d'un poste d'observation crucial pour surveiller les mouvements de l'armée nord-coréenne. Cependant, les Nord-Coréens, voyant ces travaux, ont réagi de manière inattendue et violente. Un groupe de soldats nord-coréens est arrivé sur les lieux et, après une altercation verbale, a brutalement attaqué le contingent américain et sud-coréen avec des haches et des barres de fer. Deux officiers américains, le capitaine Arthur Bonifas et le lieutenant Mark Barrett, ont été tués dans l'assaut. Cet incident a déclenché une crise internationale majeure. Les États-Unis, sous la présidence de Gerald Ford, ont envisagé des réponses militaires, craignant que cet acte ne soit le signe d'une escalade planifiée par la Corée du Nord. Des tensions extrêmes se sont installées, et le monde entier a suivi avec inquiétude ce qui semblait être un prélude potentiel à une nouvelle guerre en Asie. Pour montrer leur force sans déclencher de conflit direct, les États-Unis ont alors planifié l'« opération Paul Bunyan », une démonstration de puissance militaire d'une ampleur impressionnante. Trois jours après l'incident, une force massive, comprenant des soldats armés, des hélicoptères, des bombardiers et des avions de chasse, a été déployée pour sécuriser la zone et terminer l'abattage de l'arbre. La Corée du Nord, voyant ce déploiement massif, n'a pas réagi militairement, et l'incident a été désamorcé. L'incident du peuplier reste un exemple frappant de la fragilité des relations internationales, où une simple opération d'élagage a failli déclencher un conflit mondial. Il met en lumière comment une situation apparemment triviale peut dégénérer rapidement en une crise majeure lorsque des tensions géopolitiques sous-jacentes sont présentes. Depuis, cet événement est souvent cité comme un cas d'école sur l'importance de la communication et de la prudence dans les zones de conflit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 22 novembre - Poutine : "le conflit a pris un caractère mondial"C'est une première sur le front ukrainien. Jeudi 21 novembre, la Russie a tiré un missile balistique à moyenne portée (IRBM) conçu en principe exclusivement pour transporter une tête nucléaire. Ce nouveau missile baptisé "Orechnik", selon Moscou, avait jusqu'à présent seulement été testé dans le cadre d'essais. Cette fois, il a été utilisé pour frapper une usine de la ville de Dnipro, dans l'est de l'Ukraine. Une réponse à l'utilisation par Kiev, pour la première fois, des missiles de longue portée américains sur son territoire. Une "escalade" selon le président russe qui s'est exprimé dans la soirée lors d'une allocution télévisée. "Le conflit en Ukraine a désormais pris des caractéristiques mondiales", a également affirmé Vladimir Poutine, prévenant qu'il n'excluait pas de frapper les pays dont les armes sont utilisées par l'Ukraine en Russie.Kiev a tiré mardi des missiles ATACMS contre des cibles russes dans la région de Briansk, puis britanniques, Storm Shadow, mercredi. Le même jour, comme en riposte, le Kremlin avait annoncé la signature du décret, annoncé en septembre par Vladimir Poutine, d'actualisation de la doctrine nucléaire russe. Il était mis en avant le fait qu'il élargissait les conditions d'emploi de l'arme ultime, mais de manière très marginale puisque le recours à des bombes atomiques restait conditionné à une menace existentielle sur la Russie.Aux États-Unis, l'administration Biden a reconnu une "escalade" mais impute la faute à la Russie. "L'escalade majeure à laquelle on assiste c'est que la Russie s'est tournée vers un autre pays, une autre partie du monde. La Corée du Nord a envoyé des milliers de soldats sur les lignes de front et les a intégrés dans cette guerre. L'escalade a chaque étape vient de la Russie. Nous sommes évidemment au courant du lancement par la Russie d'un missile balistique à moyenne portée contre l'Ukraine. Nous n'avons aucune indication qui laisserait croire que la Russie se prépare à utiliser une arme nucléaire en Ukraine. Il n'y a aucune raison pour nous de modifier notre doctrine", a déclaré la porte-parole de la Maison-Blanche. De son côté, Volodymyr Zelensky a appelé dans un message publié sur les réseaux sociaux, la communauté internationale à réagir, dénonçant un "voisin fou" qui utilise l'Ukraine comme "un terrain d'essai". Alors que se passe-t-il sur le front ukrainien ? Jusqu'où ira l'escalade ? Dans l'affaire des câbles sous-marins endommagés en mer Baltique, pourquoi l'étau se resserre-t-il autour du bateau chinois "Yi-Peng 3" ? Donald Trump a affirmé qu'il ne lui faudrait pas plus d'une journée pour convaincre Vladimir Poutine d'arrêter la guerre. Comment compte-t-il mettre fin au conflit ? Selon le Washington Post, le président russe et son homologue américain, élu début novembre, ont discuté ces derniers jours. Le Kremlin a démenti. Donald Trump et Vladimir Poutine ont-ils vraiment échangé au téléphone ? Les discussions ont-elles déjà débuté ? Enfin quel est aujourd'hui l'état d'esprit des Ukrainiens ?Les experts : - GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV, spécialiste des questions internationales- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-UnisÉditorialiste - Ouest France - MARIE JEGO - Journaliste Le Monde -ancienne correspondante à Moscou- ELSA VIDAL ( en duplex) - Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe - RFI
Le Journal en français facile du vendredi 1er novembre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B5ph.A
Le Journal en français facile du vendredi 18 octobre 2024, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B3O0.A
durée : 00:03:19 - Géopolitique - La Corée du Nord a brusquement fait monter la tension en dénonçant un survol de drones sud-coréen sur sa capitale. Les menaces sont fréquentes, mais les experts prennent les dernières plus au sérieux, dans un contexte international plus incertain.