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AVC, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, hypertension artérielle… les maladies cardiovasculaires représentent, avec le cancer, les premières causes de mortalité chez les femmes. Pourquoi la prévention de l'hypertension artérielle reste un facteur essentiel de réduction des risques de maladies cardiovasculaires ? Comment la dépiste-t-on ? Peut-on arrêter ses médicaments sans avis médical, quand on est hypertendu ? Pr Roland N'Guetta, Cardiologue interventionnel à l'Institut de Cardiologie d'Abidjan. Président du Groupe de Recherche et d'Actions contre les Maladies Cardiovasculaires (GRAM). Ancien Président de la Société Ivoirienne de Cardiologie Retrouvez l'émission en entier ici : Questions de femmes : cardiologie au féminin(Rediffusion)
Nialé Kaba, ministre de l'Économie, du Plan et du Développement de Côte d'Ivoire, est notre grande invitée de l'économie RFI - Jeune Afrique. À quelques mois de l'élection présidentielle d'octobre, elle défend le bilan d'Alassane Ouattara, chef de l'État réélu en 2015 et 2020, détaille les moteurs de la croissance, le développement des infrastructures, la promotion du climat des affaires, les finances publiques et l'endettement, etc... L'émission est à regarder en vidéo iciAu micro de Bruno Faure et Aurélie M'Bida, Nialé Kaba, membre du gouvernement depuis 2011, répond également aux critiques sur la lutte contre l'inflation, le chômage, la dépendance de l'économie ivoirienne aux matières premières comme le cacao.Dans la seconde partie de l'émission, la Gouverneure de la Banque africaine de développement pour la Côte d'Ivoire répond aux interrogations sur l'intégration économique régionale, les tensions entre les pays de l'AES et la Cédéao, la remise en cause du franc CFA, les bouleversements du commerce mondial après le retour au pouvoir de Donald Trump, les relations avec le Fonds Monétaire International (FMI) et les autres grandes puissances.
Nialé Kaba, ministre de l'Économie, du Plan et du Développement de Côte d'Ivoire, est notre grande invitée de l'économie RFI - Jeune Afrique. À quelques mois de l'élection présidentielle d'octobre, elle défend le bilan d'Alassane Ouattara, chef de l'État réélu en 2015 et 2020, détaille les moteurs de la croissance, le développement des infrastructures, la promotion du climat des affaires, les finances publiques et l'endettement, etc... L'émission est à regarder en vidéo iciAu micro de Bruno Faure et Aurélie M'Bida, Nialé Kaba, membre du gouvernement depuis 2011, répond également aux critiques sur la lutte contre l'inflation, le chômage, la dépendance de l'économie ivoirienne aux matières premières comme le cacao.Dans la seconde partie de l'émission, la Gouverneure de la Banque africaine de développement pour la Côte d'Ivoire répond aux interrogations sur l'intégration économique régionale, les tensions entre les pays de l'AES et la Cédéao, la remise en cause du franc CFA, les bouleversements du commerce mondial après le retour au pouvoir de Donald Trump, les relations avec le Fonds Monétaire International (FMI) et les autres grandes puissances.
Avec ses deux buildings de plus de cent mètres de haut, le Twin Center domine la skyline de Casablanca. Il abrite en son cœur un centre commercial, organisé en un dédale d'instituts de beauté. Des dizaines et des dizaines de petites boutiques où travaillent des Ivoiriennes, des Sénégalaises… Les Africaines de l'Ouest sont plébiscitées par le secteur. De notre correspondant à Casablanca,Ici, on rabote les ongles, on fait des manucures, mais on s'occupe aussi des cheveux. C'est Mme M'chich-Alami qui est la patronne de cet institut de beauté. Elle est marocaine. « Il n'y a plus rien qui marche au Twin à part les salons. Il y en avait avant, mais ils n'étaient pas comme ça. Il y avait aussi des magasins magnifiques, très chers, mais tout a changé. Il n'y a plus que des salons maintenant », constate-t-elle.Au début des années 2000, le Twin Center, c'est le lieu où la jeunesse casablancaise se bouscule pour acheter les dernières marques à la mode. Le centre commercial a perdu de sa superbe au fil des années. Le Covid-19 l'a achevé. « Presque tout le monde a changé d'activité. La première qui a fait un salon ici était Ivoirienne. Une fois que ça a marché, ça a commencé à se multiplier », raconte encore Mme M'chich-Alami.À écouter dans Carrefour du MaghrebMigrations en Afrique du Nord : les défis de l'installation« Au Maroc, quand tu te lances dans l'esthétique, tu ne regrettes pas »Mme M'chich-Alami a suivi le mouvement. La majorité de ses employées sont des femmes originaires d'Afrique subsaharienne, comme Khadija, une jeune Sénégalaise. « J'ai eu mon diplôme ici. J'adore ce métier, c'est pour ça que j'ai fait une formation, pour avoir un diplôme international qui va me permettre de travailler où je veux », témoigne-t-elle.Les Africaines de l'Ouest ont trouvé avec l'esthétique un secteur pourvoyeur d'emplois. Après avoir travaillé pendant six ans dans le domaine au Maroc, Aïcha a décidé de devenir patronne. Ils sont une dizaine d'Africains subsahariens comme elle, mais la majorité de ceux qui dirigent les instituts de beauté au Twin Center sont Marocains. « J'ai ouvert ce salon il y a six mois. Je faisais déjà ça en Côte d'Ivoire, c'est le secteur où l'on s'en sort le plus. Les Marocaines veulent toujours se faire belles, donc au Maroc, quand tu te lances dans l'esthétique, tu ne le regrettes pas », se réjouit l'entrepreneuse.Dans cette galerie commerciale du Twin Center, il y a énormément de concurrence entre les salons. Résultat : les prix sont tirés vers le bas et il y a parfois de la casse. Trois instituts ont fermé l'année dernière, selon Mme M'chich-Alami.À lire aussiLe Maroc devient la première destination touristique d'Afrique
Membrane entourant les poumons, la plèvre protège nos organes respiratoires du frottement contre la paroi thoracique. Pneumothorax, épanchement pleural et cancers, les maladies de la plèvre sont diverses. Comment les diagnostiquer ? Quelle prise en charge pour ces différentes pathologies ? Pr Louis-Jean Couderc, professeur de Pneumologie. Ancien Chef du service de Pneumologie de l'Hôpital Foch à Suresnes, en région parisienne Pr Bernard N'goran Koffi, chef du service de Pneumologie du CHU de Cocody à Abidjan. Ex-président de la Société Africaine de Pneumologie de Langue Française (saplf). Ex-membre du Conseil d'administration de la Société de Pneumologie de Langue Française (splf). Ex-président de la Société Ivoirienne de Pneumologie (sipp). Membre de la Société de Pneumologie de Langue Française. Programmation musicale :► CKay – Addicted► Patrick Watson, November Ultra – Silencio.
Membrane entourant les poumons, la plèvre protège nos organes respiratoires du frottement contre la paroi thoracique. Pneumothorax, épanchement pleural et cancers, les maladies de la plèvre sont diverses. Comment les diagnostiquer ? Quelle prise en charge pour ces différentes pathologies ? Pr Louis-Jean Couderc, professeur de Pneumologie. Ancien Chef du service de Pneumologie de l'Hôpital Foch à Suresnes, en région parisienne Pr Bernard N'goran Koffi, chef du service de Pneumologie du CHU de Cocody à Abidjan. Ex-président de la Société Africaine de Pneumologie de Langue Française (saplf). Ex-membre du Conseil d'administration de la Société de Pneumologie de Langue Française (splf). Ex-président de la Société Ivoirienne de Pneumologie (sipp). Membre de la Société de Pneumologie de Langue Française. Programmation musicale :► CKay – Addicted► Patrick Watson, November Ultra – Silencio.
AVC, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, hypertension artérielle… les maladies cardiovasculaires représentent, avec le cancer, les premières causes de mortalité chez les femmes. Pourquoi la prévention de l'hypertension artérielle reste un facteur essentiel de réduction des risques de maladies cardiovasculaires ? Comment la dépiste-t-on ? Peut-on arrêter ses médicaments sans avis médical, quand on est hypertendu ? Pr Roland N'Guetta, Cardiologue interventionnel à l'Institut de Cardiologie d'Abidjan. Président du Groupe de Recherche et d'Actions contre les Maladies Cardiovasculaires (GRAM). Ancien Président de la Société Ivoirienne de Cardiologie Retrouvez l'émission en entier ici : Questions de femmes : cardiologie au féminin
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons de la santé cardiaque des femmes. AVC, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, hypertension artérielle… les maladies cardiovasculaires représentent, avec le cancer, les premières causes de mortalité chez les femmes. Un cardiologue répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Pr Roland N'Guetta, cardiologue interventionnel à l'Institut de Cardiologie d'Abidjan. Président du Groupe de Recherche et d'Actions contre les Maladies Cardiovasculaires (GRAM). Ancien président de la Société Ivoirienne de Cardiologie. La palabre au féminin de Charlie Dupiot. Programmation musicale :► Amadeus – Legit► Sarah Lenka – Isha.
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons de la santé cardiaque des femmes. AVC, infarctus du myocarde, insuffisance cardiaque, hypertension artérielle… les maladies cardiovasculaires représentent, avec le cancer, les premières causes de mortalité chez les femmes. Un cardiologue répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Pr Roland N'Guetta, cardiologue interventionnel à l'Institut de Cardiologie d'Abidjan. Président du Groupe de Recherche et d'Actions contre les Maladies Cardiovasculaires (GRAM). Ancien président de la Société Ivoirienne de Cardiologie. La palabre au féminin de Charlie Dupiot. Programmation musicale :► Amadeus – Legit► Sarah Lenka – Isha.
Quels sont les messages essentiels à faire passer en matière de prévention des maladies cardiovasculaires ? Pr Kouadio Euloge Kramoh, Directeur Général de l'Institut de Cardiologie d'Abidjan (Côte d'Ivoire). Past-Président de la Société Ivoirienne de Cardiologie. Past-Président des Sociétés de Cardiologie de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Co-président du groupe de cardiologie tropicale de la SFC Retrouvez l'émission en intégralité iciCardiologie : spécificités en Afrique subsaharienne
À l'occasion des 35è Journées européennes de cardiologie qui se tiennent du 15 au 17 janvier 2025 au Palais des Congrès de Paris, nous faisons un point sur les spécificités en Afrique subsaharienne (formation, épidémiologie, plateau technique, accès aux soins), en réunissant 3 spécialistes venus partager leurs expériences respectives. Pr Kouadio Euloge Kramoh, directeur général de l'Institut de Cardiologie d'Abidjan (Côte d'Ivoire). Past-Président de la Société Ivoirienne de Cardiologie. Past-Président des Sociétés de Cardiologie de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Co-président du groupe de cardiologie tropicale de la SFC Pr Khaled Boye, chef du service de Chirurgie cardiovasculaire au Centre National de Cardiologie, Nouakchott, Past président de la Société Mauritanienne de cardiologie Dr Jean-Jacques Monsuez, rédacteur en chef d'Archives des Maladies du Cœur et des Vaisseaux (journal de formation continue de la Société française de cardiologie), co-président du groupe de cardiologie tropicale de la SFC, Cardiologie, Hôpital René-Muret à Sevran, France. ► En fin d'émission, nous retrouvons la chronique sexualité de Noëlle Cayarcy, sexologue à Paris.Programmation musicale :► Louane – Donne-moi ton cœur► Asake, Wizkid – MMS.
À l'occasion des 35è Journées européennes de cardiologie qui se tiennent du 15 au 17 janvier 2025 au Palais des Congrès de Paris, nous faisons un point sur les spécificités en Afrique subsaharienne (formation, épidémiologie, plateau technique, accès aux soins), en réunissant 3 spécialistes venus partager leurs expériences respectives. Pr Kouadio Euloge Kramoh, directeur général de l'Institut de Cardiologie d'Abidjan (Côte d'Ivoire). Past-Président de la Société Ivoirienne de Cardiologie. Past-Président des Sociétés de Cardiologie de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. Co-président du groupe de cardiologie tropicale de la SFC Pr Khaled Boye, chef du service de Chirurgie cardiovasculaire au Centre National de Cardiologie, Nouakchott, Past président de la Société Mauritanienne de cardiologie Dr Jean-Jacques Monsuez, rédacteur en chef d'Archives des Maladies du Cœur et des Vaisseaux (journal de formation continue de la Société française de cardiologie), co-président du groupe de cardiologie tropicale de la SFC, Cardiologie, Hôpital René-Muret à Sevran, France. ► En fin d'émission, nous retrouvons la chronique sexualité de Noëlle Cayarcy, sexologue à Paris.Programmation musicale :► Louane – Donne-moi ton cœur► Asake, Wizkid – MMS.
Le drapeau de la Côte d'Ivoire sera bientôt hissé sur la base militaire de Port-Bouët. Dans son allocution pour les vœux du Nouvel an, le président Alassane Ouattara a annoncé la rétrocession du camp militaire français d'Abidjan d'ici la fin du mois. La base passera sous commandement ivoirien, et sera rebaptisée « Général Ouattara Thomas d'Aquin », en hommage au premier chef d'état-major de l'armée du pays. Sur le plan de la défense, Abidjan et Paris entretiennent une relation historique, malgré une période particulièrement conflictuelle durant la présidence de Laurent Gbagbo. Arthur Banga est chercheur spécialiste des questions de défense à l'université Félix-Houphouët-Boigny d'Abidjan. Il répond aux questions de Sidy Yansané. RFI : Le président Alassane Ouattara a donc annoncé la rétrocession du camp militaire français de Port-Bouët. Sur le plan purement pratique, qu'est-ce que cela veut dire ?Arthur Banga : Cela veut dire d'abord qu'il y aura une réduction considérable du nombre de militaires français en Côte d'Ivoire. Ils vont passer d'environ 400 à une centaine et que finalement le camp sera commandé par l'armée ivoirienne. À partir de janvier, ce sera donc clairement un camp désormais ivoirien.Le chef de l'État ivoirien a tout de même précisé que cette rétrocession se fera dans les 30 prochains jours. Donc un délai très court. Est-ce que c'est réalisable, selon vous ?Oui, parce que ça a été préparé en amont. L'annonce a été officialisée dans le discours du chef de l'État à la Nation. Mais ce sont des questions qui sont débattues depuis pratiquement deux ans. L'idée, c'est donc d'abandonner le principe de l'intervention pour se concentrer sur les questions de formation, d'entraînement et d'équipement.C'est aussi une page qui se tourne dans la relation franco-ivoirienne. Le camp de Port-Bouët a servi à l'opération Licorne de l'armée française, qui a durablement marqué les Ivoiriens dans les années 2000. Quel bilan vous tirez de cette relation militaire entre les deux pays ?Le grand changement aujourd'hui, c'est que pour la première fois dans l'histoire militaire commune de ces deux pays, on sort de la logique de l'intervention militaire étrangère. Les interventions françaises sur le territoire ivoirien, comme on a pu le voir en 2002 et en 2011, incarnent un modèle qu'il faut désormais oublier. Cela dit, le bilan de la coopération militaire franco-ivoirien est largement positif.Quels aspects considérez-vous positifs ?D'abord, cette coopération a permis à la Côte d'Ivoire de garder une stabilité durant toute la période de guerre froide où les menaces soviétiques emportaient certains régimes et même certains pays. Il ne faut pas l'oublier. Elle a permis à la Côte d'Ivoire de mettre en place son armée et d'être performante à un certain moment de son histoire. En termes de faiblesses dans la relation Abidjan-Paris, on note justement en 2002 l'incapacité de l'armée ivoirienne à pouvoir réagir, ou le fait que l'armée française, par cette idée d'intervention, se retrouve en première ligne. On l'a vu en 2002, en 2004 à l'hôtel Ivoire et en 2011. Et justement, on essaie aujourd'hui de se débarrasser de ces faiblesses pour se concentrer sur les forces de la coopération militaire franco-ivoirienne qui est une relation humaine, une vraie camaraderie militaire qui est née entre les militaires de ces deux pays. La montée en puissance de l'armement est aussi une partie de cette coopération.Après le Sénégal et le Tchad, c'est la troisième annonce d'un départ des forces françaises sur le sol africain pour le seul mois de décembre. Cela va dans le sens de la nouvelle philosophie militaire de Paris qui veut une présence moins visible, mais tout en poursuivant sa coopération militaire. Alors, comment cela va-t-il s'articuler selon vous ?On est dans cette nouvelle vision française, mais il ne faut pas l'oublier que cette vision a surtout été poussée par les opinions publiques africaines, et même par des militaires africains qui veulent plus d'indépendance, plus de liberté de manœuvre. Désormais, on s'inscrit dans cette nouvelle politique. Avec les cas ivoiriens, sénégalais et tchadiens, on a vu les diverses formes de coopération militaire de la France. Au Tchad, où l'armée française est le plus intervenue en Afrique, la non-intervention française face aux attaques terroristes qui ont récemment frappé le pays a rendu cette présence militaire inutile aux yeux des autorités car la logique d'intervention était au cœur de la coopération militaire. Au Sénégal, c'est surtout la logique politique d'Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye qui les amène à vouloir zéro présence militaire étrangère. C'est donc quelque chose de beaucoup plus radical dans leur pensée, mais qui, par le processus démocratique qui a entraîné l'arrivée au pouvoir de Diomaye Faye, permet de construire une nouvelle relation de façon plus progressive. En Côte d'Ivoire, on a une tradition d'ouverture avec la France. Hormis sous l'ère de l'ex-président Laurent Gbagbo, les autorités ivoiriennes ont toujours bien jugé la coopération militaire avec la France, y compris l'actuel président Alassane Ouattara. Car, malgré sa victoire politique et diplomatique lors de la crise post-électorale de 2010-2011, ce dernier a pu accéder au pouvoir grâce à une victoire militaire poussée par l'armée française.Et concernant cette nouvelle articulation de l'armée française sur le continent, quel rôle peut jouer l'Académie internationale de lutte contre le terrorisme basée à Jacqueville, près d'Abidjan ?C'est le modèle même souhaité. On va plus accentuer sur la formation opérationnelle, mais aussi la formation intellectuelle et judiciaire. Ce modèle favorise également le multilatéralisme. La France ne veut plus s'enfermer dans un bilatéralisme quand il s'agit de coopération militaire ou même d'intervention militaire. Raison pour laquelle vous voyez les exercices militaires américains Flintlock se dérouler au sein de l'Académie. Et tout ça sous commandement ivoirien, rappelons-le.
Le jeune Oumar Konaté a inscrit un doublé lors de la victoire de la Côte d'Ivoire contre le Burkina Faso (2-0) dans le cadre des éliminatoires du CHAN.
Le comédien Jean-Louis Garçon est à l'affiche de la pièce de théâtre Passeport, créée par Alexis Michalik. Passeport raconte le parcours semé d'embûches d'un jeune érythréen, pour l'obtention d'un titre de séjour en France. La pièce se joue au théâtre de la Renaissance, à Paris, jusqu'en mars 2025. Et l'autrice – compositrice – interprète Ma'Body présente son nouvel EP Pour la vie sorti jeudi 12 décembre. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Ziel - ChiminMa'Body - GlaçonMa'Body - Ta doseZiel - HeavenRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Le comédien Jean-Louis Garçon est à l'affiche de la pièce de théâtre Passeport, créée par Alexis Michalik. Passeport raconte le parcours semé d'embûches d'un jeune érythréen, pour l'obtention d'un titre de séjour en France. La pièce se joue au théâtre de la Renaissance, à Paris, jusqu'en mars 2025. Et l'autrice – compositrice – interprète Ma'Body présente son nouvel EP Pour la vie sorti jeudi 12 décembre. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Ziel - ChiminMa'Body - GlaçonMa'Body - Ta doseZiel - HeavenRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Autrice franco-ivoirienne, Véronique Tadjo revient dans son dernier roman sur une histoire d'amitié entre deux jeunes filles, deux étudiantes ivoiriennes des années 2010 : Flora, Abidjanaise pur jus, et Yasmina qui a grandi dans le nord de la Côte d'Ivoire. Une amitié ébranlée par la pire épreuve qui soit, la guerre, et plus encore la guerre civile. (Rediffusion) Véronique Tadjo nous offre son histoire avec son talent de conteuse, ses mots qui claquent ou qui émeuvent, son érudition généreuse, ses images littéraires qui empruntent aussi parfois à son autre activité, la peinture.Véronique Tadjo est l'invitée de VMDN. Elle vient nous présenter son nouveau roman. Je remercie la nuit est paru aux éditions Mémoires d'Encrier.Reportage : Solène Gardré est allée découvrir le travail de la photographe Tshepiso Mazibuko, qui expose jusqu'à fin septembre 2024 aux Rencontres de la photographie à Arles, dans le sud de la France. La série ainsi mise à l'honneur évoque la jeunesse désœuvrée d'Afrique du Sud.À lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Ne manquez pas les meilleurs reportages et idées d'une actualité culturelle internationale qui n'oublie pas l'Afrique.
Autrice franco-ivoirienne, Véronique Tadjo revient dans son dernier roman sur une histoire d'amitié entre deux jeunes filles, deux étudiantes ivoiriennes des années 2010 : Flora, Abidjanaise pur jus, et Yasmina qui a grandi dans le nord de la Côte d'Ivoire. Une amitié ébranlée par la pire épreuve qui soit, la guerre, et plus encore la guerre civile. (Rediffusion) Véronique Tadjo nous offre son histoire avec son talent de conteuse, ses mots qui claquent ou qui émeuvent, son érudition généreuse, ses images littéraires qui empruntent aussi parfois à son autre activité, la peinture.Véronique Tadjo est l'invitée de VMDN. Elle vient nous présenter son nouveau roman. Je remercie la nuit est paru aux éditions Mémoires d'Encrier.Reportage : Solène Gardré est allée découvrir le travail de la photographe Tshepiso Mazibuko, qui expose jusqu'à fin septembre 2024 aux Rencontres de la photographie à Arles, dans le sud de la France. La série ainsi mise à l'honneur évoque la jeunesse désœuvrée d'Afrique du Sud.À lire aussiNEWSLETTER RFI CULTURE : Ne manquez pas les meilleurs reportages et idées d'une actualité culturelle internationale qui n'oublie pas l'Afrique.
L'émission 28 minutes du 31/10/2024 Aya de Yopougon, Akissi : Marguerite Abouet donne la parole aux jeunes Ivoiriennes L'auteure et réalisatrice franco-ivoirienne Marguerite Abouet publie “Akissi de Paris”, une BD illustrée par Mathieu Sapin. Dans ce premier volume, elle raconte l'histoire d'une jeune Ivoirienne qui vient d'arriver à Paris. Cette histoire est la sienne puisqu'elle arrive en France à l'âge de 12 ans en 1983. Son personnage doit s'adapter à un nouvel environnement, celui d'un établissement parisien, où il n'est pas simple de surmonter les préjugés et de se faire des amis. Comme l'auteure à son âge, elle apprivoise ses camarades en leur racontant des histoires de son pays d'origine. Akissi n'est pas la première protagoniste imaginée par Marguerite Abouet, qui est également connue pour sa série “Aya de Yopougon” qui compte sept tomes de BD et s'est vendue à plus de 900 000 exemplaires. Soldats nord-coréens envoyés en Russie : à quoi joue Kim Jong-un ? Les États-Unis ont confirmé l'envoi par la Corée du Nord de plus de 10 000 soldats pour s'entraîner dans l'est de la Russie. Ce mardi 29 octobre, les Américains ont été encore plus précis en annonçant avoir décelé un "petit nombre" de soldats nord-coréens dans la région russe de Koursk, frontalière avec l'Ukraine. 2 000 hommes supplémentaires seraient sur le point de d'arriver dans cette zone. Selon les services de renseignements sud-coréens, Pyongyang enverra même des généraux sur la ligne de front. Bien que la Corée du Nord n'ait pas confirmé ces présences, la communauté internationale est préoccupée par les intentions de Kim Jong-un. Le pays a déjà fourni plusieurs millions d'obus à la Russie et a signé, en juin dernier, un traité sur le "partenariat stratégique global" avec Vladimir Poutine. Ce pacte vise notamment à éviter les sanctions de l'ONU, après les essais balistiques et nucléaires de la Corée du Nord, grâce au veto russe. Enfin, Marjorie Adelson nous fait découvrir Igbo-Ora, non loin de la mégapole nigériane de Lagos, ville championne du monde de la naissance de jumeaux et Marie Bonnisseau nous raconte l'histoire d'Halloween, cette fête irlandaise riche en costumes et en empreinte carbone. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 31 octobre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Une assemblée générale extraordinaire a destitué , le week end dernier, Jean-Marc Yacé le président de la Fédération. ce dernier avait dissous quelques jours avant le comité directeur. Le tout sur fond de harcèlement sexuel au sein de l'institution… Une destitution que réfute le président.
Michel Ndeze a rencontré l'Ivoirienne Manou Gallo, ancienne bassiste du groupe Zap Mama. Elle était l'invitée la semaine dernière de la Montreux Jazz Académy.
Comment protéger les animaux sauvages dans un monde où le couvert forestier ne cesse de diminuer ? C'est l'un des principaux enjeux de la COP16, la conférence mondiale pour la biodiversité, qui s'ouvre ce lundi à Cali, en Colombie. En Afrique de l'Ouest, certaines espèces emblématiques comme l'éléphant sont même en voie d'extinction ! Depuis deux ans, Hallal Bilal préside la Roots Wild Foundation, basée en Côte d'Ivoire. En ligne d'Abidjan, il pousse un cri d'alarme. RFI : Qu'est-ce que vous attendez de cette COP16 pour la biodiversité ?Hallal Bilal : Que des mesures concrètes mais surtout obligatoires soient prises envers les différents gouvernements pour les obliger à s'investir beaucoup plus dans la protection de la biodiversité.Et des animaux sauvages ?Bien sûr.Quels sont à vos yeux les pays africains où la situation est la plus catastrophique ?Ecoutez, je vais déjà parler de mon propre pays. Donc la Côte d'Ivoire a vu près de 80 % de son couvert forestier et faunique disparaître. D'ailleurs, le gouvernement et les membres de la société civile mettent vraiment la main à la pâte et les choses sont en train de changer. Donc oui, déjà la Côte d'Ivoire et puis toute la zone ouest-africaine.À cause de quoi ? À cause de l'urbanisation ou à cause du développement de l'agriculture ?Donc l'urbanisation, bien évidemment, joue un rôle. Le chômage joue un rôle, un rôle très important. L'agriculture bien évidemment aussi, la culture du cacao, la culture du palmier, la culture de l'hévéa, toutes les cultures sont un facteur de déforestation.En Côte d'Ivoire, l'animal emblématique, c'est l'éléphant… Les footballeurs ivoiriens sont bien placés pour le savoir, mais est-ce que ce pachyderme n'est pas en voie d'extinction ?Je peux vous garantir que nous avons vu la quantité de spécimens d'éléphants chuter énormément chez nous en Côte d'Ivoire. Voilà pourquoi d'ailleurs le gouvernement a pris des mesures importantes. Donc, il y a un projet de loi qui a été voté il y a quelques mois par l'Assemblée nationale concernant la création de deux sanctuaires d'éléphants : un sanctuaire dans la zone sud, un sanctuaire dans la zone nord.Est-ce qu'on a des chiffres sur la diminution de la population des éléphants en Côte d'Ivoire ?Ecoutez, pour ma part, oui, je pense qu'actuellement, nous avons une population comprise entre 200 et 500 éléphants maximum.Il y en avait combien il y a 20 ans ?Oh, il y en avait plus de 1000.Donc si on est à 200 éléphants, on peut dire que l'espèce est en voie d'extinction ?Entre 200 et 500 éléphants, je dirais oui, c'est que l'éléphant est pratiquement en voie d'extinction en Côte d'Ivoire. C'est pour ça que, justement, il est primordial et vital de mener des actions en faveur de la reproduction et de leur protection. La déforestation, malheureusement, est un gros facteur de la disparition des éléphants. Les éléphants font des transhumances à travers les couloirs de forêt. Voilà pourquoi nous avons des éléphants qui se retrouvent dans des villages en divagation parce qu'ils sont complètement désorientés puisqu'il n'y a plus de forêt. Donc c'est catastrophique.Et ces éléphants qui divaguent, ils sont tués par les villageois ?Non, alors tout de suite, dès que le ministère des Eaux et Forêts a une information, tout de suite on dépêche une équipe pour protéger cet éléphant, pour sensibiliser la population. Les populations sont plutôt émerveillées de voir l'éléphant. Mais c'est de l'inconscience ou de l'ignorance, donc ils vont s'approcher de l'animal, donc ça peut être risqué. L'éléphant peut être paniqué, mais sinon non, non, non, les populations ne tuent pas l'animal. Et d'ailleurs nous avons soutenu le ministère des Eaux et Forêts afin de déplacer deux éléphants il n'y a pas très longtemps pour les mettre en sécurité.Est-ce qu'il reste du braconnage ?Oui, il reste du braconnage.Pour l'ivoire ?Pour l'ivoire, pour la peau, pour la viande, pour tout. Vous savez, n'oubliez pas qu'en Afrique, nous avons quand même la culture de la consommation de la viande de brousse, tout simplement.Et vous ne craignez pas que, derrière les discours officiels, la déforestation continue et un certain nombre d'espèces disparaissent ?On ne laissera pas faire parce que nous sommes des personnes assez engagées, assez passionnées. Donc nous avons dédié notre vie à la protection de la nature, donc on ne laissera pas faire.Oui, mais si les gens sont d'accord avec cette évolution, vous ne pourrez rien faire ?Alors, en toute sincérité, nous menons énormément de campagnes de sensibilisation aujourd'hui dans chacun de nos communiqués. C'est pour ça que nous en appelons à l'esprit de conservation qui anime chaque Ivoirienne et chaque Ivoirien, parce que c'est notre héritage. Et les populations comprennent, parce que ne serait-ce que depuis 2023, depuis l'année passée, nous avons récupéré énormément d'animaux. Jusqu'aujourd'hui, nous récupérons tous les jours des animaux à notre refuge. Donc c'est un refuge de transition où nous récupérons tous les animaux, victimes du braconnage et du trafic d'espèces. Ils sont mis à disposition par la population en vue de les préparer et de les soigner, en vue de leur future réintroduction dans la nature dans des zones surtout sécurisées. Donc moi, je peux vous garantir qu'une grande partie de la population aujourd'hui est très engagée dans la protection de la faune ivoirienne. Et on continue de mener nos actions de sensibilisation, même dans les écoles. Pas plus loin que hier, le vice-président de la Fondation a eu un entretien avec Adrienne Soundele, la présidente de la Fondation Soundele Konan qui lutte contre la déforestation, et avec une dame du ministère de l'Education nationale, afin de pouvoir inclure cette matière-là dans le programme scolaire.
Après trois EPs, un paquet de prix et des premières partie de folie (Josman, Youssoupha ou encore Kery James), Eesah Yasuke s'apprête à livrer son premier album : B.O d'une vie. Rencontre à Lille, dans le nord de la France, avec une « gosse de foyer » qui, de fractures de vie en résilience, a su transcender l'adversité et en a fait son motto rapologique. Franco-ivoirienne avec des racines cap-verdiennes et portugaises, Isaiah, de son vrai prénom, est née à Roubaix, dans le nord de la France.Bercée par les musiques africaines (rumba congolaise en tête), celle qui se rêvait sprinteuse professionnelle doit subitement arrêter l'athlétisme lorsqu'à 14 ans elle est placée en foyer. L'écriture et la poésie prennent alors le relais et deviennent son autre refuge.En 2018, alors qu'elle suit des études pour devenir éducatrice spécialisée, celle qui apprécie autant le rap ivoire (Didi B et Suspect95) que le rock (Muse, Rage Against the Machine) et a même eu sa période métal (System of a Down), décide de changer de cap et de passer de l'écriture à l'oralité.Trois ans plus tard, elle livre son premier EP Cadavre exquis (2021) et convoque autour d'elle des figures qui ont eux-mêmes transcendé leur condition. A commencer par Yasuke, cet esclave devenu, dans le Japon du XVIe siècle, le premier samouraï noir.S'en suivent un paquet de prix (Buzz Booster, Prix Joséphine des Artistes, Rappeuses en Liberté, iNOUïS du Printemps de Bourges), une tournée de quatre-vingt dates et des premières de folie (Josman, Giorgio, Youssoupha ou encore Booba).Après le projet Triptik (trois titres accompagnés chacun d'un clip), les EPs Prophétie (2023) et PS : j'écris l'album (2024), celle dont la voix ne triche pas, rage et soigne aussi, s'apprête à livrer son premier album : B.O d'une vie.Pour revenir sur une trajectoire construite autour du dépassement, Eesah Yasuke m'a donné rendez-vous à Lille, dans le nord de la France, où elle vit.Dans l'ambiance feutrée d'un studio d'enregistrement du Flow, un lieu 100% dédié au Hip Hop qui l'accompagne depuis de ses débuts, celle qui peut intimider par sa droiture et ce regard qui jamais ne vacille, m'a décidément eniaillée : ses propos précis et délicats, sont aussi soignés que ses rimes.Pour suivre Eesah YasukeYouTube / InstagramTitres diffusésSingles : « Plus souvent » (2024) ; « X Tream » (2022) ;Extraits de l'album à venir, B.O. d'une vie : « Guérison » ; « Allright »Extraits de l'EP PS : J'écris l'album (Blessing Production – 2024) : « Starting Block » ; « Les vivants qui s'enterrent » ; « Dansons » ; « Focus »Extraits de l'EP Prophétie (Blessing Production / A day a dream – 2023) : « Prophétie » ; « Yasuke » ; « Galère » ; « Mangeurs d'hommes » ; « Interlude » ; « Karma » ; « Chaud l'hiver » ; « Drive » ; « Bébé »Extraits de l'EP Cadavre Exquis (Blessing Production – 2021) : « Sarah Walker » ; « Cadavre exquis » ; « Mon Ciel » ; « Maladie 2 » ; « Hennessy » ; « M2M » ; « Kitoko Life »Avec aussi :LIL WAYNE – « Lollipop » ; LAURYN HILL – « Doo Wop » ; KERY JAMES – « Lettre à la République » ; KEZIAH JONES – « Rythm is Love » ; MICKEY 3D – « La footballeuse de Sherbrooke » ; BOOBA – « DKR »Et des extraits des journaux télévisés sur la présidentielle française de 2022Journaliste : Hortense VolleRéalisation : Benjamin SarraliéMixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie BessetResponsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier Gibert
L'émission 28 Minutes du 24/02/2024 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec un regard international, en compagnie de nos clubistes : Eva Morletto, correspondante à Paris pour le magazine italien « Grazia » — Denis Strelkov, journaliste de la rédaction russe de RFI — Luisa Corradini, correspondante du quotidien argentin « La Nación » — et le dessinateur de presse Pierre Kroll. Colère paysanne dans toute l'Europe : un front anti-Bruxelles ? Alors que les agriculteurs français continuent de mettre la pression sur le gouvernement à la veille du Salon de l'agriculture, le mouvement s'amplifie dans l'ensemble de l'Europe. Berlin, Prague, Madrid, Varsovie… Le monde agricole poursuit ses mobilisations, à l'approche d'une réunion des ministres de l'Agriculture de l'Union européenne. Les raisons varient localement mais concernent des décisions éminemment européennes : politique agricole commune, « pacte vert », libre-échange… Tout un ensemble de dispositifs jugés « trop contraignants », auxquels s'ajoutent les importations de produits agricoles ukrainiens, qui ont augmenté de 11 % en un an. Pour répondre à cette crise, la Commission européenne a déjà adopté une exemption partielle aux obligations de jachère pour 2024, et envisage le retrait d'une loi visant à réduire de moitié l'utilisation des pesticides d'ici 2030. La prospérité des agriculteurs est-elle compatible avec les objectifs environnementaux ? À la veille d'élections européennes cruciales, les paysans peuvent-ils être le ferment d'une révolte anti-Bruxelles ? Guerre en Ukraine : faut-il négocier un compromis avec Poutine ? La guerre en Ukraine entre aujourd'hui dans sa troisième année et les espoirs de voir le conflit prendre rapidement fin se sont dissipés. Le 24 février 2022, les Occidentaux avaient immédiatement affiché un soutien ferme et uni au pays agressé. Mais cet appui est aujourd'hui moindre, et le vent semble désormais tourner en faveur de Moscou, à mesure que le conflit s'enlise. L'armée ukrainienne constate désormais qu'elle ne possède plus les armes et les munitions nécessaires pour résister. Volodymyr Zelensky a d'ailleurs exhorté le Congrès américain à approuver une aide militaire supplémentaire, notamment les conservateurs, qui bloquent actuellement une enveloppe de soixante milliards de dollars. L'opinion publique semble toutefois pessimiste quant à l'issue du conflit : seul un Européen sur dix croit maintenant à la victoire de l'Ukraine. Un retournement est-il encore possible ? Est-il temps d'ouvrir des négociations avant une déroute ukrainienne ? Sonia Chironi nous donne des nouvelles de nos très chers voisins européens : ce week-end, direction l'Italie, et plus précisément Milan qui figure parmi les villes les plus polluées au monde. Cette information rendue publique par l'entreprise suisse IQAir, jugée peu fiable et partielle d'après certains médias, a fait bondir toute la ville qui prend déjà des mesures fortes. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision japonaise qui retransmet chaque année le festival « Sominsai » : un rituel bouddhiste millénaire où des centaines d'hommes, vêtus d'un simple pagne blanc, se purifient dans l'eau froide et se disputent des talismans. Mais alors que les participants vieillissent et que les jeunes manquent à l'appel pour prendre la relève, cette tradition populaire pourrait bien disparaître. Ce week-end, Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine au président brésilien Lula. Lors du 37ᵉ sommet de l'Union Africaine, il a suscité une polémique en accusant Israël de commettre un génocide dans la bande de Gaza, comparable à celui d'Hitler envers les Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Des keftas d'écureuil gris ou un filet de poisson-lion au dîner, ça vous tente ? Pour lutter contre la prolifération d'espèces invasives, certains restaurateurs ont une solution toute trouvée : il faut les manger ! Alix Van Pée nous parle de ces mets alternatifs à travers le monde. Dix ans après le film « Timbuktu », le réalisateur Abderrahmane Sissako revient avec « Black Tea » : l'histoire d'Aya, une jeune Ivoirienne qui émigre en Chine et travaille dans une boutique de thé. À travers son quotidien à « Chocolate City » — le quartier de Guangzhou où une communauté africaine s'est formée au fil du temps — ses rencontres et sa passion pour le thé, elle illustre une autre facette de l'émigration africaine et la volonté de se faire une place dans la société chinoise, en tant qu'expatriée. Mais sous cette intégration apparente se cache un racisme latent, qui met à l'épreuve sa relation amoureuse et son équilibre. Abderrahmane Sissako nous parle des liens qui unissent la Chine et l'Afrique à travers un voyage poétique. Enfin, ne manquez pas la une hexagonale de la semaine et la question très intéressante de David Castello-Lopes. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 24 février 2024 - Présentation : Benjamin Sportouch - Production : KM, ARTE Radio
C'est un programme très riche et varié que nous vous proposons cette semaine dans Éco d'ici Éco d'ailleurs, avec nos invités et les journalistes du service économie de RFI : lutte contre la pauvreté et les inégalités dans le monde, deuxième anniversaire du déclenchement de la guerre en Ukraine dans un contexte assombri par la mort de l'opposant russe Alexei Navalny, développement de l'industrie automobile en Afrique, conséquences de l'instabilité au Sahel sur le secteur des matières premières, enjeux de l'économie numérique sur le continent africain (suite aux coupures de réseau internet au Sénégal) et bilan de la CAN 2024 de football en Côte d'Ivoire. * Dans un premier temps, nous nous rendons en Ukraine avec Nathanaël Vittrant, envoyé spécial du service économie de RFI. Il y a tourné des reportages sur l'évolution économique du pays notamment dans le secteur agricole, deux ans après l'invasion russe, le fonctionnement des entreprises en temps de guerre et l'état de la reconstruction.* En parallèle, la Russie est engagée dans une guerre militaire mais aussi économique avec ses ennemis. Malgré les sanctions occidentales, et contrairement à ce que prédisaient beaucoup d'observateurs, l'économie russe ne s'est pas effondrée.Arthur Ponchelet fait le point sur l'efficacité de ces sanctions et la manière avec laquelle la Russie tente de les contourner.* Elle est donc notre invitée exceptionnelle : la Franco-Américaine Esther Duflo, prix Nobel d'Économie en 2019 avec les Américains Abhijit Banerjee et Michaël Kremer pour leurs travaux sur la pauvreté. Elle est aujourd'hui la présidente du Fonds d'Innovation pour le Développement (FID) hébergé par l'Agence française de développement. Lancé en 2021, il propose un dispositif novateur de financement du développement dans les pays les plus pauvres basé sur l'évaluation de l'impact des projets à l'aide de méthodes scientifiques. Esther Duflo, nouvellement présidente de l'École d'économie de Paris, s'en est expliquée en exclusivité au micro de Charlotte Cosset, journaliste spécialiste de l'économie africaine à RFI.► À écouter aussi : Le FID, un fonds pour soutenir l'innovation sociale en Afrique. Esther Duflo est l'auteure d'une série d'ouvrages destinés aux enfants pour expliquer la pauvreté dans le monde avec l'illustratrice Cheyenne Olivier.* Pour avancer vers la souveraineté économique en Afrique, l'une des priorités est certainement de développer une industrie sur son propre territoire. Construire des véhicules « made in Africa » pour le consommateur africain, c'est donc le projet de Mobius Motors, start-up créée en 2010 au Kenya. C'est l'un des deux constructeurs en Afrique de l'Est avec l'Ougandais Kiira Motors. Pauline Gleize s'est rendue, il y a quelques semaines, sur son site de la banlieue de Nairobi. * C'est un produit traditionnel utilisé depuis la nuit des temps ou presque, sans doute la troisième dynastie égyptienne, vers 2.700 avant J-C et qui reste très prisé aujourd'hui encore dans l'agro-alimentaire, la confiserie, les cosmétiques, ou encore l'industrie (bâtiment, peinture, textile, etc.). La gomme arabique, issue de l'acacia est une ressource naturelle et une richesse de plusieurs pays africains notamment sahéliens (Maghreb, Mali, Sénégal, Tchad, Égypte, Soudan, Niger).Son marché est en assez forte croissance. Parmi les quelques entreprises qui transforment et commercialisent la gomme : une PME française, Alland et Robert, fondée en 1884 et qui détient 25 % de parts de marché. Son PDG Charles Alland a accordé un entretien à Marie-Pierre Olphand, spécialiste des matières premières sur RFI. * Pour terminer cette émission pleine de diversité dans ses sujets, nous vous proposons un long entretien avec la plus Ivoirienne des Nigérianes et la plus Nigériane des Ivoiriennes : Nnenna Nwakanma, dans l'État d'Abia au sud-est du Nigeria et Abidjanaise d'adoption a donc vécu très intensément la dernière finale de la CAN 2024 de football remportée par les Éléphants de Côte d'Ivoire.Mais si on l'a invitée dans Éco d'ici Éco d'ailleurs, c'est aussi parce qu'elle a des responsabilités importantes sur le continent pour promouvoir l'économie numérique, notamment pour les femmes. Spécialisée dans les questions de développement international, militante de l'accès au numérique, elle est ambassadrice en chef au sein de la fondation World Wide Web, organisation à but non lucratif qui fait la promotion d'un Web ouvert. Dans cet entretien, elle critique frontalement les gouvernements, comme celui du Sénégal, qui coupent le réseau internet lors des mouvements de contestation et rendez-vous électoraux.Retrouvez nous sur Facebook et Twitter. Esther Duflo (prix Nobel d'économie) : Face à la pauvreté, toucher des publics nouveauxLe Fonds d'innovation pour le Développement (FID) hébergé par l'Agence Française de Développement (AFD) soutient des projets sélectionnés pour leurs impacts sociaux, notamment en Afrique. Il est présidé par Esther Duflo, économiste du développement, récompensée en 2019 par un prix Nobel pour ses travaux contre la pauvreté.RFI : Qu'est-ce qu'est le Fonds d'innovation pour le développement (FID) et en quoi est-il spécifique ? Esther Duflo : C'est un fonds qui vise à permettre à des acteurs nouveaux, que ce soient des ONG, des universités, des gouvernements, des laboratoires, de proposer de l'innovation sociale. Ce n'est pas de l'innovation pour faire du profit, c'est ça qui est vraiment très différent, mais c'est pour améliorer la qualité de vie des gens dans des secteurs comme l'éducation, la santé, la protection du climat, l'agriculture, etc. Avec toujours cet objectif de créer de la valeur sociale, pas de la valeur marchande. Comment est-ce que cela fonctionne ? Normalement un fonds repose sur sa rentabilité...Comme la rentabilité n'est pas l'indicateur de réussite, ce qui la remplace c'est l'impact, la différence que cela fait dans la vie des gens. Nous demandons des évaluations préalables d'impacts rigoureuses, et on les accompagne dans la mise en œuvre du projet lui-même. Si cela fonctionne, cela permet de le passer à l'échelle, d'augmenter le nombre de partenaires.Vous expliquez que l'objectif est de toucher des publics différents des fonds traditionnels. Comment faites-vous pour toucher ces publics qui sont souvent isolés ?C'est un pari réussi. Comment touche-t-on des publics nouveaux ? Je crois que c'est essentiellement dû à la simplicité du processus de candidature. Le processus de demande de fonds n'est pas particulièrement long, il est très transparent. Nous finançons des projets qui sont innovatifs, avec un potentiel d'échelle important, qui sont capables et volontaires pour jouer le jeu d'évaluation d'impact. Nous réagissons très vite, nous sommes capables de donner des financements de petite taille, ce qui n'est pas le cas pour beaucoup des projets de plus gros bailleurs. Nous travaillons avec des organisations qui n'auraient pas pu se frotter à la bureaucratie nécessaire pour des financements beaucoup plus importants.Ce sont forcément des gens déjà assez connectés ?Non, c'est souvent des gens qu'au départ, nous ne connaissions ni d'ici ni d'ailleurs. Un premier appel à projets a été diffusé le plus largement possible par tous les réseaux dans lesquels les acteurs du développement agissent. Et puis ensuite, il y a un effet de bouche à oreille qui est renforcé par une série d'écoles d'été que l'on fait chaque été sur le terrain. Nous sommes allés en Côte d'Ivoire, au Maroc. Cela permet de faire connaître la possibilité de ce financement auprès de l'écosystème local. Depuis la création du Fonds, on a déjà reçu 2.700 projets nouveaux.Est-ce que vous espérez voir ce genre de fonds se développer ? Est-ce qu'il y a un message derrière, montrer que la rentabilité sociale, ce n'est pas forcément de faire du profit directement ?C'est clair que c'est un autre sujet que la valeur sociale. Ce modèle de recherche d'innovation, d'ouverture, de prise de risque que l'on associe davantage au secteur privé, on peut l'appliquer à la recherche de l'innovation dans le secteur social. C'est un modèle qui, à mon avis, a de forts potentialités pour améliorer l'efficacité des politiques publiques, que ce soient les politiques nationales ou les politiques de coopération.
C'est un programme très riche et varié que nous vous proposons cette semaine dans Éco d'ici Éco d'ailleurs, avec nos invités et les journalistes du service économie de RFI : lutte contre la pauvreté et les inégalités dans le monde, deuxième anniversaire du déclenchement de la guerre en Ukraine dans un contexte assombri par la mort de l'opposant russe Alexei Navalny, développement de l'industrie automobile en Afrique, conséquences de l'instabilité au Sahel sur le secteur des matières premières, enjeux de l'économie numérique sur le continent africain (suite aux coupures de réseau internet au Sénégal) et bilan de la CAN 2024 de football en Côte d'Ivoire. * Dans un premier temps, nous nous rendons en Ukraine avec Nathanaël Vittrant, envoyé spécial du service économie de RFI. Il y a tourné des reportages sur l'évolution économique du pays notamment dans le secteur agricole, deux ans après l'invasion russe, le fonctionnement des entreprises en temps de guerre et l'état de la reconstruction.* En parallèle, la Russie est engagée dans une guerre militaire mais aussi économique avec ses ennemis. Malgré les sanctions occidentales, et contrairement à ce que prédisaient beaucoup d'observateurs, l'économie russe ne s'est pas effondrée.Arthur Ponchelet fait le point sur l'efficacité de ces sanctions et la manière avec laquelle la Russie tente de les contourner.* Elle est donc notre invitée exceptionnelle : la Franco-Américaine Esther Duflo, prix Nobel d'Économie en 2019 avec les Américains Abhijit Banerjee et Michaël Kremer pour leurs travaux sur la pauvreté. Elle est aujourd'hui la présidente du Fonds d'Innovation pour le Développement (FID) hébergé par l'Agence française de développement. Lancé en 2021, il propose un dispositif novateur de financement du développement dans les pays les plus pauvres basé sur l'évaluation de l'impact des projets à l'aide de méthodes scientifiques. Esther Duflo, nouvellement présidente de l'École d'économie de Paris, s'en est expliquée en exclusivité au micro de Charlotte Cosset, journaliste spécialiste de l'économie africaine à RFI.► À écouter aussi : Le FID, un fonds pour soutenir l'innovation sociale en Afrique. Esther Duflo est l'auteure d'une série d'ouvrages destinés aux enfants pour expliquer la pauvreté dans le monde avec l'illustratrice Cheyenne Olivier.* Pour avancer vers la souveraineté économique en Afrique, l'une des priorités est certainement de développer une industrie sur son propre territoire. Construire des véhicules « made in Africa » pour le consommateur africain, c'est donc le projet de Mobius Motors, start-up créée en 2010 au Kenya. C'est l'un des deux constructeurs en Afrique de l'Est avec l'Ougandais Kiira Motors. Pauline Gleize s'est rendue, il y a quelques semaines, sur son site de la banlieue de Nairobi. * C'est un produit traditionnel utilisé depuis la nuit des temps ou presque, sans doute la troisième dynastie égyptienne, vers 2.700 avant J-C et qui reste très prisé aujourd'hui encore dans l'agro-alimentaire, la confiserie, les cosmétiques, ou encore l'industrie (bâtiment, peinture, textile, etc.). La gomme arabique, issue de l'acacia est une ressource naturelle et une richesse de plusieurs pays africains notamment sahéliens (Maghreb, Mali, Sénégal, Tchad, Égypte, Soudan, Niger).Son marché est en assez forte croissance. Parmi les quelques entreprises qui transforment et commercialisent la gomme : une PME française, Alland et Robert, fondée en 1884 et qui détient 25 % de parts de marché. Son PDG Charles Alland a accordé un entretien à Marie-Pierre Olphand, spécialiste des matières premières sur RFI. * Pour terminer cette émission pleine de diversité dans ses sujets, nous vous proposons un long entretien avec la plus Ivoirienne des Nigérianes et la plus Nigériane des Ivoiriennes : Nnenna Nwakanma, dans l'État d'Abia au sud-est du Nigeria et Abidjanaise d'adoption a donc vécu très intensément la dernière finale de la CAN 2024 de football remportée par les Éléphants de Côte d'Ivoire.Mais si on l'a invitée dans Éco d'ici Éco d'ailleurs, c'est aussi parce qu'elle a des responsabilités importantes sur le continent pour promouvoir l'économie numérique, notamment pour les femmes. Spécialisée dans les questions de développement international, militante de l'accès au numérique, elle est ambassadrice en chef au sein de la fondation World Wide Web, organisation à but non lucratif qui fait la promotion d'un Web ouvert. Dans cet entretien, elle critique frontalement les gouvernements, comme celui du Sénégal, qui coupent le réseau internet lors des mouvements de contestation et rendez-vous électoraux.Retrouvez nous sur Facebook et Twitter. Esther Duflo (prix Nobel d'économie) : Face à la pauvreté, toucher des publics nouveauxLe Fonds d'innovation pour le Développement (FID) hébergé par l'Agence Française de Développement (AFD) soutient des projets sélectionnés pour leurs impacts sociaux, notamment en Afrique. Il est présidé par Esther Duflo, économiste du développement, récompensée en 2019 par un prix Nobel pour ses travaux contre la pauvreté.RFI : Qu'est-ce qu'est le Fonds d'innovation pour le développement (FID) et en quoi est-il spécifique ? Esther Duflo : C'est un fonds qui vise à permettre à des acteurs nouveaux, que ce soient des ONG, des universités, des gouvernements, des laboratoires, de proposer de l'innovation sociale. Ce n'est pas de l'innovation pour faire du profit, c'est ça qui est vraiment très différent, mais c'est pour améliorer la qualité de vie des gens dans des secteurs comme l'éducation, la santé, la protection du climat, l'agriculture, etc. Avec toujours cet objectif de créer de la valeur sociale, pas de la valeur marchande. Comment est-ce que cela fonctionne ? Normalement un fonds repose sur sa rentabilité...Comme la rentabilité n'est pas l'indicateur de réussite, ce qui la remplace c'est l'impact, la différence que cela fait dans la vie des gens. Nous demandons des évaluations préalables d'impacts rigoureuses, et on les accompagne dans la mise en œuvre du projet lui-même. Si cela fonctionne, cela permet de le passer à l'échelle, d'augmenter le nombre de partenaires.Vous expliquez que l'objectif est de toucher des publics différents des fonds traditionnels. Comment faites-vous pour toucher ces publics qui sont souvent isolés ?C'est un pari réussi. Comment touche-t-on des publics nouveaux ? Je crois que c'est essentiellement dû à la simplicité du processus de candidature. Le processus de demande de fonds n'est pas particulièrement long, il est très transparent. Nous finançons des projets qui sont innovatifs, avec un potentiel d'échelle important, qui sont capables et volontaires pour jouer le jeu d'évaluation d'impact. Nous réagissons très vite, nous sommes capables de donner des financements de petite taille, ce qui n'est pas le cas pour beaucoup des projets de plus gros bailleurs. Nous travaillons avec des organisations qui n'auraient pas pu se frotter à la bureaucratie nécessaire pour des financements beaucoup plus importants.Ce sont forcément des gens déjà assez connectés ?Non, c'est souvent des gens qu'au départ, nous ne connaissions ni d'ici ni d'ailleurs. Un premier appel à projets a été diffusé le plus largement possible par tous les réseaux dans lesquels les acteurs du développement agissent. Et puis ensuite, il y a un effet de bouche à oreille qui est renforcé par une série d'écoles d'été que l'on fait chaque été sur le terrain. Nous sommes allés en Côte d'Ivoire, au Maroc. Cela permet de faire connaître la possibilité de ce financement auprès de l'écosystème local. Depuis la création du Fonds, on a déjà reçu 2.700 projets nouveaux.Est-ce que vous espérez voir ce genre de fonds se développer ? Est-ce qu'il y a un message derrière, montrer que la rentabilité sociale, ce n'est pas forcément de faire du profit directement ?C'est clair que c'est un autre sujet que la valeur sociale. Ce modèle de recherche d'innovation, d'ouverture, de prise de risque que l'on associe davantage au secteur privé, on peut l'appliquer à la recherche de l'innovation dans le secteur social. C'est un modèle qui, à mon avis, a de forts potentialités pour améliorer l'efficacité des politiques publiques, que ce soient les politiques nationales ou les politiques de coopération.
L'hernie inguinale est une grosseur qui se forme sous la peau, au niveau de l'aine, entre l'abdomen et la racine de la cuisse. Elle se forme lorsque l'intestin sort de la cavité abdominale. Présente dès la naissance chez 2 à 5% des enfants, elle peut aussi apparaître chez l'adulte à la suite d'efforts répétés, d'un surpoids, d'une toux chronique ou encore d'une constipation. Plus fréquente chez les hommes que chez les femmes, ils seraient près d'un sur trois à se faire opérer au cours de leur vie pour cette affection. Comment reconnaître les symptômes d'une hernie inguinale ? Comment éviter que cela s'aggrave ? Et, peut-on soigner une hernie inguinale sans chirurgie ? Pr Franck Zinzindohoué, professeur de Chirurgie viscérale et digestive à l'Hôpital Privé Drôme-Ardèche Gp Ramsay Générale de Santé, à Valence Pr Bertin Kouame, professeur titulaire de Chirurgie pédiatrique au département Mère et Enfant de l'UFR Sciences médicales de l'Université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan en Côte d'Ivoire. Président de la société Ivoirienne de chirurgie pédiatrique.Programmation musicale :► Cuppy - Jollof on the jet ► Plutonio - Por Enquanto
L'hernie inguinale est une grosseur qui se forme sous la peau, au niveau de l'aine, entre l'abdomen et la racine de la cuisse. Elle se forme lorsque l'intestin sort de la cavité abdominale. Présente dès la naissance chez 2 à 5% des enfants, elle peut aussi apparaître chez l'adulte à la suite d'efforts répétés, d'un surpoids, d'une toux chronique ou encore d'une constipation. Plus fréquente chez les hommes que chez les femmes, ils seraient près d'un sur trois à se faire opérer au cours de leur vie pour cette affection. Comment reconnaître les symptômes d'une hernie inguinale ? Comment éviter que cela s'aggrave ? Et, peut-on soigner une hernie inguinale sans chirurgie ? Pr Franck Zinzindohoué, professeur de Chirurgie viscérale et digestive à l'Hôpital Privé Drôme-Ardèche Gp Ramsay Générale de Santé, à Valence Pr Bertin Kouame, professeur titulaire de Chirurgie pédiatrique au département Mère et Enfant de l'UFR Sciences médicales de l'Université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan en Côte d'Ivoire. Président de la société Ivoirienne de chirurgie pédiatrique.Programmation musicale :► Cuppy - Jollof on the jet ► Plutonio - Por Enquanto
Chaque vendredi, nous traitons d'un sujet de santé au féminin, de manière pratique. Cette semaine, nous parlons des différentes étapes du développement de l'enfant. Apprendre à parler, à marcher, à manger ou à s'habiller seul, à jouer avec les autres… Ces étapes sont importantes dans le développement de l'enfant. Un médecin pédiatre répond aux questions des auditrices. Pr Madeleine Folquet Amorissani, chef de Service de Pédiatrie du CHU de Cocody à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Chef du département Mère Enfant à l'Unité de Formation et de Recherche (UFR) des Sciences Médicales de l'Université Université Félix Houphouët-Boigny. Présidente de la Société Ivoirienne de Pédiatrie La palabre au féminin de Charlie Dupiot. La programmation musicale des auditrices :► Tina – Le bébé de maman► FallyIpupa – 8ᵉ merveille. (Rediffusion)
Chaque vendredi, nous traitons d'un sujet de santé au féminin, de manière pratique. Cette semaine, nous parlons des différentes étapes du développement de l'enfant. Apprendre à parler, à marcher, à manger ou à s'habiller seul, à jouer avec les autres… Ces étapes sont importantes dans le développement de l'enfant. Un médecin pédiatre répond aux questions des auditrices. Pr Madeleine Folquet Amorissani, chef de service de Pédiatrie du CHU de Cocody à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Chef du département Mère Enfant à l'Unité de Formation et de Recherche (UFR) des Sciences Médicales de l'Université Université Félix Houphouët-Boigny. Présidente de la Société Ivoirienne de Pédiatrie La palabre au féminin de Charlie Dupiot. La programmation musicale des auditrices :► Tina – Le bébé de maman► FallyIpupa – 8ᵉ merveille. (Rediffusion)
À l'occasion de la CAN, le festival culturel Réminiscence organise à Abidjan une exposition collective qui célèbre quatre piliers de la littérature ivoirienne : les romanciers fondateurs Bernard Dadié et Ahmadou Kourouma, l'autrice jeunesse Jeanne de Cavally et le poète et dramaturge Niangoran Porquet. De notre correspondante à Abidjan,Ces mots sont issus du célèbre ouvrage autobiographique de Bernard Dadié, Climbié. Le titre de l'exposition, « Créons pour ne pas mourir des imitations », a été emprunté lui aussi à cette figure tutélaire de la littérature ivoirienne, qui a ouvert en Côte d'Ivoire le champ de la poésie, des contes et des nouvelles… « On se trompe souvent sur cette Afrique des années 1930 à 1960, observe Nicole Vincileoni, spécialiste de Bernard Dadié – dont un quart de l'œuvre n'a jamais été publiée – et secrétaire générale de sa bibliothèque-archives. On se trompe sur ces générations, qui étaient des générations qui avaient un besoin fou de culture, de connaître le monde, qui apprenaient toutes les langues, si c'était possible, et toutes les cultures... Et puis après, bizarrement, avec les indépendances, il y a eu comme un repli sur soi. »Pour trouver sa voie, la littérature de la Côte d'Ivoire indépendante a dû rompre avec l'académisme colonial – avec les imitations, justement – et se rapprocher de sa propre culture, indique Alain Tailly, ingénieur culturel et écrivain : « C'est une littérature relativement jeune. C'est une littérature en construction, qui a commencé par imiter les grands maîtres français. Mais à partir des années 1960, qui a produit des textes où elle revendiquait une originalité de la langue, notamment avec Les Soleils des indépendances d'Ahmadou Kourouma, l'immense Kourouma. Une littérature d'affirmation, de quête d'une identité ».Une identité étroitement liée aux traditions orales de la Côte d'Ivoire, pour l'écrivaine Véronique Tadjo, qui a elle-même repris l'histoire de la reine fondatrice du royaume Baoulé dans son ouvrage Reine Pokou, avec une lecture moderne du mythe à la lumière de l'histoire politique de son pays. « Moi, j'ai été nourrie au conte, et l'oralité est très importante. Et elle continue, d'ailleurs. Une oralité urbaine, on le voit avec les jeunes qui s'emparent du nouchi, qui continuent ce travail sur la langue française. Qui ressentent cet héritage comme le leur, mais qui veulent que cette langue ressemble à leur réalité », indique-t-elle.Avec 600 écrivains publiés en Côte d'Ivoire, les jeunes talents sont nombreux, les maisons d'édition également. Mais la chaîne du livre a désormais besoin d'être dynamisée et structurée, plaide Alain Tailly, et de s'étendre sur tout le territoire ivoirien, pour toucher les lecteurs hors des murs d'Abidjan.
L'oreille humaine est un organe fragile qui peut être affecté par plusieurs maladies, tout au long de la vie. Les plus courantes, comme les otites, se traitent avec des antibiotiques. En revanche, certaines pathologies plus complexes ne se guérissent pas. La presbyacousie, plus communément appelée baisse de l'audition, s'inscrit dans le cycle naturel de la vie. Cette dégénérescence auditive s'attaque en premier lieu aux sons aigus, avant de toucher les fréquences de la parole et peut, dans certains cas, provoquer une surdité complète. La perte auditive se manifeste en général à partir de 50 ans et s'aggrave avec l'âge. Alors, comment préserver au mieux son audition ? Comment se protéger des maladies auditives ? Et quelles solutions adopter, en cas de baisse de l'audition avérée ? Dr Elisabeth Mamelle, cheffe de service ORL et chirurgie cervico-faciale à l'Hôpital Rothschild Pr Marie-Josée Tanon Anoh, professeure d'ORL et chirurgie cervico-faciale, spécialiste en ORL prédiatrique. Cheffe de service ORL et ambulatoire pédiatriques à l'Hôpital Mère-Enfant de Bingerville (Abidjan, Côte d'Ivoire). Ex-présidente de la Société Ivoirienne d'ORL (SIORL). Secrétaire générale de la société ORL d'Afrique Francophone. Reportage de Raphaëlle Constant.Programmation musicale :► Angèle – J'entends► Jessy B - Percée
L'oreille humaine est un organe fragile qui peut être affecté par plusieurs maladies, tout au long de la vie. Les plus courantes, comme les otites, se traitent avec des antibiotiques. En revanche, certaines pathologies plus complexes ne se guérissent pas. La presbyacousie, plus communément appelée baisse de l'audition, s'inscrit dans le cycle naturel de la vie. Cette dégénérescence auditive s'attaque en premier lieu aux sons aigus, avant de toucher les fréquences de la parole et peut, dans certains cas, provoquer une surdité complète. La perte auditive se manifeste en général à partir de 50 ans et s'aggrave avec l'âge. Alors, comment préserver au mieux son audition ? Comment se protéger des maladies auditives ? Et quelles solutions adopter, en cas de baisse de l'audition avérée ? Dr Elisabeth Mamelle, cheffe de service ORL et chirurgie cervico-faciale à l'Hôpital Rothschild Pr Marie-Josée Tanon Anoh, professeure d'ORL et chirurgie cervico-faciale, spécialiste en ORL prédiatrique. Cheffe de service ORL et ambulatoire pédiatriques à l'Hôpital Mère-Enfant de Bingerville (Abidjan, Côte d'Ivoire). Ex-présidente de la Société Ivoirienne d'ORL (SIORL). Secrétaire générale de la société ORL d'Afrique Francophone. Reportage de Raphaëlle Constant.Programmation musicale :► Angèle – J'entends► Jessy B - Percée
Radio Foot 16h10-21h10 T.U avec aujourd'hui : - La CAN à un mois du coup d'envoi de la 34è édition. La Côte d'Ivoire dans la dernière ligne droite, l'engouement est-il palpable ? Ouverture officielle de la billetterie aujourd'hui. Comment assurer la sécurité, comment gérer le flux de spectateurs ? Où en sont les infrastructures, et notamment le Stade olympique d'Ebimpé, enceinte qui a fait l'objet de polémiques quant à la qualité de sa pelouse ? Éléments de réponse avec notre envoyée spéciale permanente Bineta Diagne. - Ligue des Champions et fin des phase de groupes. Focus sur les groupes A et B. Arsenal et le PSV Eindhoven en 8ès de finale, Lens bat le Séville FC et continue en Ligue Europa. Les Andalous terminent derniers. Le RCL a subi, connu une fin de match angoissante, mais il a tenu. Les Sang et Or vont disputer les barrages d'accession. Une 3è place méritée ? - Clap de fin pour Manchester United. Le Bayern et Kingsley Coman ont mis fin aux espoirs des Diables Rouges. Les Allemands terminent invaincus. La surprise vient de Copenhague, qui bat Galatasaray, disputera les 8ès pour la 2è fois de son histoire. Les Turcs reversés en C3.- Ligue Europa, objectif 8ès pour les clubs français. Dernière rencontre décisive pour l'OM et Rennes en vue d'un ticket direct. Toulouse en ballottage favorable pour une place de barragiste, puisque Liverpool terminera 1er de son groupe. Avec Olivier Pron aujourd'hui : Étienne Moatti, Éric Rabesandratana et Ludovic Duchesne. - Technique/réalisation : Laurent Salerno -- Préparation : Pierre Guérin.
Radio Foot 16h10-21h10 T.U avec aujourd'hui : - La CAN à un mois du coup d'envoi de la 34è édition. La Côte d'Ivoire dans la dernière ligne droite, l'engouement est-il palpable ? Ouverture officielle de la billetterie aujourd'hui. Comment assurer la sécurité, comment gérer le flux de spectateurs ? Où en sont les infrastructures, et notamment le Stade olympique d'Ebimpé, enceinte qui a fait l'objet de polémiques quant à la qualité de sa pelouse ? Éléments de réponse avec notre envoyée spéciale permanente Bineta Diagne. - Ligue des Champions et fin des phase de groupes. Focus sur les groupes A et B. Arsenal et le PSV Eindhoven en 8ès de finale, Lens bat le Séville FC et continue en Ligue Europa. Les Andalous terminent derniers. Le RCL a subi, connu une fin de match angoissante, mais il a tenu. Les Sang et Or vont disputer les barrages d'accession. Une 3è place méritée ? - Clap de fin pour Manchester United. Le Bayern et Kingsley Coman ont mis fin aux espoirs des Diables Rouges. Les Allemands terminent invaincus. La surprise vient de Copenhague, qui bat Galatasaray, disputera les 8ès pour la 2è fois de son histoire. Les Turcs reversés en C3.- Ligue Europa, objectif 8ès pour les clubs français. Dernière rencontre décisive pour l'OM et Rennes en vue d'un ticket direct. Toulouse en ballottage favorable pour une place de barragiste, puisque Liverpool terminera 1er de son groupe. Avec Olivier Pron aujourd'hui : Étienne Moatti, Éric Rabesandratana et Ludovic Duchesne. - Technique/réalisation : Laurent Salerno -- Préparation : Pierre Guérin.
Couverture de la Tournée internationale de Mawlaya Seydi Mouhamed ElCheikh à Gagnoa, Côte d'Ivoire du 09 au 12 Novembre 2023. Auréolé d'un discours phénoménal sur l'Islam, la Tidjaniya et la situation en Palestine. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/medinacheikh/message
Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Nous reviendrons ce dimanche sur l'élection présidentielle à Madagascar qui se déroulera le 16 novembre 2023 et au Cameroun où le président Paul Biya fête ses 41 ans au pouvoir. Mais aussi sur le projet de loi sur l'immigration en France et appels de la communauté internationale à un cessez-le-feu humanitaire dans la bande de Gaza. Nos invités :- Raoto Andriamanambe, rédacteur en chef de la revue malgache Politika- Karine Oriot, correspondante en France de la chaîne de télévision camerounaise Canal 2 International- Fatim Djedje, journaliste, présentatrice de l'émission Ailleurs dans le monde sur la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne.
Nous recevons 8 membres du casting de la série ivoirienne à succès « Ma Famille » à l'occasion de leur spectacle, « Ma Famille en vacances », aux Folies Bergère le dimanche 12 novembre 2023 à Paris.« Ma Famille » rapporte le vécu de plusieurs familles africaines avec un accent particulier sur les scènes de ménage.En plateau : Michel Gouhou, Clémentine Papouet, Akissi Delta, Amélie Wabehi, Digbeu Cravate, Nastou Traoré, Abass et Decothey. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Passi feat. Rogo Roga - Mon AfricaineLes Guignols d'Abidjan - GuignoleandoRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Carina Brito et Dominique Urbino, membres de la Famille de Couleurs Tropicales, proposent une chanson et un sujet d'actualité.Invité : Soum Bill, dont le dernier album Impérial, enregistré entre Abidjan et Paris, est sorti en 2022. Avec la participation de Ze Bailly, Noldy ou encore Didi B, il est considéré comme le plus urbain de ses albums.Phoner : Kareyce Fotso, auteure-compositrice interprète camerounaise. Sa dernière chanson Heroes of Freedom, en collaboration avec Salatiel est sortie en août 2023. C'est une chanson en hommage à tous les nationalistes qui ont lutté contre la colonisation et l'impérialisme occidental. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Soum Bill - On est ParéKareyce Fotso - Heroes of FreedomSoum Bill - Changer le mondeRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Claudy Siar revient, en musiques, sur plusieurs périodes historiques de la Côte d'Ivoire. (Rediffusion) Retrouvez notre playlist sur Deezer :Suspect 95 - KpaflotageDebordo Leekunfa feat Didi B - Do do doSarah Liz - Coatcha Tiken Jah Fakoly - Gouvernement 20 ansAlpha Blondy - Élections présidentiellesYodé et Siro - On dit quoiPetit Denis - LampedusaDoupi Papillon, 3XDavs, Ste Milano, Tazeboy - Chebaba TNT et H Magnum - MoudilaMolare - BossFababy - SoulerDj Mokonzi - Dédicace Douk Saga - Sagacité
La journaliste ivoirienne Shavi Gomez propose une programmation musicale d'hier et d'aujourd'hui pour ce deuxième jour de la semaine consacré à la Côte d'Ivoire. (Rediffusion) Retrouvez notre playlist sur Deezer :Magic System - 1er GaouDj Arafat - Djessimidjeka Josey - RebeloteSerge Reynaud - C'est doséVDA - Zizi gragnonDidi B feat Jr Low, Tam Sir - En hautFior 2 Bior X Niska - Gnonmi avec laitKS Bloom - CommandoRoseline Layo - KinoueAyanne - On me drague
Dans le cadre de notre semaine consacrée à la Côte d'Ivoire, nous donnons la parole aux auditeurs leaders de la Génération consciente en Côte d'Ivoire et dans la diaspora. (Rediffusion) Retrouvez notre playlist sur Deezer :Papa Wemba - Show me the wayMarla feat. Tripa Gninnin, Tchaikabo - AkpiRevolution - Petite soeurSK07 - Freestyle 1Chantal Taïba - Chansons ivoiriennes.
Éco d'ici Éco d'ailleurs 100 % Côte d'Ivoire avec Jean-Louis Billon, actionnaire de SIFCA, premier groupe privé ivoirien, géant de l'agroalimentaire et poids lourd de l'économie ouest-africaine. Ancien ministre du Commerce, il a, par ailleurs, annoncé son intention d'être candidat à la présidentielle 2025 au sein du PDCI. Entretien enregistré en janvier 2023 à voir en vidéo ici. Dans la seconde partie de l'émission, autre entretien avec Salif Traoré alias A'Salfo, leader du groupe Magic System et acteur majeur de l'industrie musicale en Afrique. Il est venu parler des sujets d'actualité économique concernant son pays comme l'avenir de la filière cacao et du sujet qui lui tient particulièrement à cœur : le paiement des droits d'auteurs aux artistes africains.Entretien enregistré en juin 2023 à voir en vidéo ici.
Dans la sélection musicale du jour, Mawndoe, Blaiz Fayah, Misie Sadik, Carah entre autres. Lionel Richie sera au programme la séquence Gold. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :Blaiz Fayah X Dj Fasta - No mattaEspoir Talakaka - Sadness cureCentral Cee et Dave - SprinterAbel Zamani - DidiBwiza - Do meMawndoe - RöndoubaLionel Ritchie - All night longBleu Satellite - BodlanméMisié Sadik - Bab AnkôCarah - AyaAuthentique - BondoTenor - Conseil gratuitRoseline Layo - Môgô farimanJB Mpiana - Patrick BolognaRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Chaque vendredi, nous traitons d'un sujet de santé au féminin, de manière pratique. Cette semaine, nous parlons des différentes étapes du développement de l'enfant. Apprendre à parler, à marcher, à manger ou à s'habiller seul, à jouer avec les autres… Ces étapes sont importantes dans le développement de l'enfant. Un médecin pédiatre répond aux questions des auditrices. Pr Madeleine Folquet Amorissani, chef de Service de Pédiatrie du CHU de Cocody à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Chef du département Mère Enfant à l'Unité de Formation et de Recherche (UFR) des Sciences Médicales de l'Université Université Félix Houphouët-Boigny. Présidente de la Société Ivoirienne de Pédiatrie La palabre au féminin de Charlie Dupiot. La programmation musicale des auditrices :► Tina – Le bébé de maman► FallyIpupa – 8ᵉ merveille.
Chaque vendredi, nous traitons d'un sujet de santé au féminin, de manière pratique. Cette semaine, nous parlons des différentes étapes du développement de l'enfant. Apprendre à parler, à marcher, à manger ou à s'habiller seul, à jouer avec les autres… Ces étapes sont importantes dans le développement de l'enfant. Un médecin pédiatre répond aux questions des auditrices. Pr Madeleine Folquet Amorissani, chef de Service de Pédiatrie du CHU de Cocody à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Chef du département Mère Enfant à l'Unité de Formation et de Recherche (UFR) des Sciences Médicales de l'Université Université Félix Houphouët-Boigny. Présidente de la Société Ivoirienne de Pédiatrie La palabre au féminin de Charlie Dupiot. La programmation musicale des auditrices :► Tina – Le bébé de maman► FallyIpupa – 8ᵉ merveille.
À l'occasion de la journée internationale de sensibilisation à l'albinisme, nous consacrons notre émission à cette maladie rare, héréditaire et non transmissible. L'albinisme touche entre une personne sur 5 000 et une personne sur 15 000 en Afrique subsaharienne. Moins fréquente en Europe et en Amérique du Nord, cette maladie y touche une personne sur 20 000. Caractérisée par un manque de mélanine dans la peau et/ou les yeux et/ou les cheveux, l'albinisme a des répercussions importantes sur la santé des personnes malades. En plus de ces conséquences physiologiques, l'albinisme est facteur de multiples discriminations à travers le monde. Dans certaines communautés, les croyances qui sont liées à cette maladie font planer un danger sur la vie et la sécurité des personnes concernées. Quelle prise en charge pour les patients ? Comment déconstruire les fausses croyances qui circulent au sujet de cette maladie ? Pr Smaïl Hadj-Rabia, dermatologue et généticien dans le service de dermatologie du groupe hospitalier Necker-Enfants Malades. Membre fondateur du Centre de référence des maladies génétiques à expression cutanée Pr Matthieu Robert, chirurgien ophtalmologiste à l'Hôpital Necker-Enfants malades et professeur à la Faculté de médecine de l'Université de Paris Dr Angélique Njeumén, dermatologue vénérologue à l'hôpital Laquintinie de Douala, au Cameroun. Censeur de la SOCADERM (Société Camerounaise de Dermatologie) Reportage de Raphaëlle Constant► Pour aller plus loin : à l'occasion de cette Journée mondiale, Bayard Afrique et la Fondation Pierre Fabre s'associent en publiant un numéro spécial de Planète J'aime Lire. Dans ce magazine destiné aux enfants de 5 à 10 ans, l'histoire « Les Olympiades » donne la parole à une jeune Ivoirienne qui témoigne sur son albinisme.Programmation musicale :► Lass – Yaco Mome► Blick Bassy – Bengue
À l'occasion de la journée internationale de sensibilisation à l'albinisme, nous consacrons notre émission à cette maladie rare, héréditaire et non transmissible. L'albinisme touche entre une personne sur 5 000 et une personne sur 15 000 en Afrique subsaharienne. Moins fréquente en Europe et en Amérique du Nord, cette maladie y touche une personne sur 20 000. Caractérisée par un manque de mélanine dans la peau et/ou les yeux et/ou les cheveux, l'albinisme a des répercussions importantes sur la santé des personnes malades. En plus de ces conséquences physiologiques, l'albinisme est facteur de multiples discriminations à travers le monde. Dans certaines communautés, les croyances qui sont liées à cette maladie font planer un danger sur la vie et la sécurité des personnes concernées. Quelle prise en charge pour les patients ? Comment déconstruire les fausses croyances qui circulent au sujet de cette maladie ? Pr Smaïl Hadj-Rabia, dermatologue et généticien dans le service de dermatologie du groupe hospitalier Necker-Enfants Malades. Membre fondateur du Centre de référence des maladies génétiques à expression cutanée Pr Matthieu Robert, chirurgien ophtalmologiste à l'Hôpital Necker-Enfants malades et professeur à la Faculté de médecine de l'Université de Paris Dr Angélique Njeumén, dermatologue vénérologue à l'hôpital Laquintinie de Douala, au Cameroun. Censeur de la SOCADERM (Société Camerounaise de Dermatologie) Reportage de Raphaëlle Constant► Pour aller plus loin : à l'occasion de cette Journée mondiale, Bayard Afrique et la Fondation Pierre Fabre s'associent en publiant un numéro spécial de Planète J'aime Lire. Dans ce magazine destiné aux enfants de 5 à 10 ans, l'histoire « Les Olympiades » donne la parole à une jeune Ivoirienne qui témoigne sur son albinisme.Programmation musicale :► Lass – Yaco Mome► Blick Bassy – Bengue
Maladie chronique, l'hypertension artérielle est une hyperpression du sang sur la paroi des artères. On compte ainsi 1.28 milliard de personnes atteintes d'hypertension artérielle dans le monde, dont 700 millions qui ne sont pas traitées. Peut-on prévenir l'hypertension ? Comment se déroule le diagnostic ? Quels sont les traitements de cette affection cardiovasculaire ? Quel régime alimentaire adopter ? Pr Xavier Girerd, président de la Fondation de Recherche sur l'HyperTension Artérielle (FRHTA) et cardiologue au CHU de la Pitié-Salpêtrière à Paris Pr Euloge Kramoh, directeur général de l'Institut de Cardiologie d'Abidjan. Ancien président de la Société Ivoirienne de Cardiologie. Ancien président des Sociétés de Cardiologie d'Afrique de l'Ouest et du Centre. Directeur du diplôme d'Études supérieures de cardiologie de Côte d'Ivoire.► En fin d'émission, nous ferons le point sur les nouveaux résultats de recherches menées sur le Covid long qui mettent en évidence une persistance du virus au niveau des muqueuses. Nous en parlons avec Jérôme Estaquier, chercheur à l'Inserm et coauteur de l'étude.► À voir aussi : La chaîne de l'hypertension artérielle par « Hypertension France ».
Claudy Siar revient, en musiques, sur plusieurs périodes historiques de la Côte d'Ivoire. Retrouvez notre playlist sur Deezer : Suspect 95 - Kpaflotage Debordo Leekunfa feat Didi B - Do do do Sarah Liz - Coatcha Tiken Jah Fakoly - Gouvernement 20 ans Alpha Blondy - Élections présidentielles Yodé et Siro - On dit quoi Petit Denis - Lampedusa Doupi Papillon, 3XDavs, Ste Milano, Tazeboy - Chebaba TNT et H Magnum - Moudila Molare - Boss Fababy - Souler Dj Mokonzi - Dédicace Douk Saga - Sagacité