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Le pardon est à la base du christianisme. Cependant, ce pardon est difficile à accorder. Est-ce qu'il y a des choses impardonnables? Dans cet épisode, Joan et Stéphane explorent la différence entre la saine vigilance et la possibilité de changement, et abordent les limites que nous nous imposons. Site Internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Réforme: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Edwin Andrade, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui explore la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, est-ce qu'il y a une limite au pardon? Bonne question et bonjour Stéphane! Bonjour Joan, bonjour aux gens qui nous s'écoutent! Le pardon et Sodome et Gomorrhe [Joan] Cette notion du pardon... Elle traverse un peu toute la Bible, elle culmine avec Jésus qui est un grand maître. J'aime beaucoup une histoire biblique à ce sujet concernant la ville de Sodome et Gomorrhe. C'est vrai que l'on connaît un peu Sodome et Gomorrhe via des exégèses souvent biaisées qui disent que ce sont des villes où on pratiquait l'homosexualité. Alors tout de suite, je fais mon standing point. On y pratique beaucoup de choses, mais surtout pas le consentement ni l'hospitalité. C'est vraiment ça le cœur du propos, finalement, et aussi le cœur de la condamnation de Dieu qui se dit « je vais exterminer cette ville ». Et puis Abraham négocie. C'est rigolo parce que là, on est dans une histoire biblique, on dirait presque un midrash, une histoire un peu parallèle qui explique la Bible; mais non, c'est une histoire biblique. Et Abraham négocie avec Dieu. C'est à lire, comme passage c'est un peu croustillant. À mettre en scène avec des jeunes, c'est assez rigolo. Finalement, Dieu demande qu'il y ait au moins 50 justes, 50 personnes qui suivent les voies du Seigneur, qui probablement pratiquent l'hospitalité et font gaffe aux questions de consentement, ou en tout cas à ce qui existait à l'époque en matière de consentement. On ne sait pas trop ce que c'est, ce n'est pas tout à fait comparable à aujourd'hui, mais c'est un respect des règles, tout simplement, quelque chose qui n'est pas tout le temps de l'ordre de la domination et du pouvoir. Finalement, ils arrivent ensemble à un chiffre qui est 10. C'est un chiffre symbolique parce que dans la tradition juive, il faut 10 hommes pour minian, pour faire la prière, donc pour faire éclore un petit peu quelque chose du royaume de Dieu dans notre quotidien. C'est vrai que c'est un peu aussi ma compréhension du pardon, c'est-à-dire oui, je suis prêt à pardonner à cette ville, dit Dieu, mais à condition qu'il y ait un semblant de justesse et de justice et qu'il y ait des personnes pour l'incarner. Et moi, c'est un petit peu comme ça que j'aborde les questions de pardon. Souvent on pose des questions. Il y a quelques jours, et c'est un petit peu à elle que je pense, j'ai une amie d'enfance qui sort d'une situation dans laquelle elle ne s'est pas sentie respectée, une situation sentimentale, amoureuse; elle me dit, qu'est-ce que tu penses du pardon dans ces cas-là, quand tu te n'es pas sentie respectée dans une relation? Alors voilà, on a commencé une discussion et je lui dédie aussi un petit peu cet épisode de podcast. Je me dis souvent que ce qui n'est pas tellement important, c'est que moi j'ai pardonné, bien que si ça fait du bien à l'autre, je veux bien me mettre en chemin. L'important, c'est qu'après cette demande de pardon et le fait de poser les choses à plat, il y ait une vraie possibilité d'agir avec justesse. Pour moi, demander pardon à quelqu'un et puis ensuite recommencer cinq minutes après à faire n'importe quoi, il n'y a pas de sens à ce type de pardon. La sincérité des hommes politiques [Stéphane] C'est très intéressant, cette notion de pardon, parce qu'on a un peu l'impression qu'il faut absolument pardonner, peut-être par les enseignements qu'on a reçus, peut-être par notre jeunesse. Moi j'ai souvent vécu ça. Plusieurs personnes à l'écoute ont vécu ça ou ont vu ça. Deux enfants se chamaillent, puis là, l'adulte intervient. Bon, vous allez arrêter tout ça et serrez-vous la main, puis c'est terminé. Un peu comme c'est tout. Voilà, vous vous êtes serré la main, c'est pardonné, on oublie, on passe à autre chose. Il y a comme quelque chose qu'on croit magique. Ça me fait penser aussi à l'homme politique qui se fait prendre la main dans le sac, peu importe la situation. Il arrive sur la place publique, je m'excuse, bla bla bla, je suis désolé. Et on se pose la question, mais est-ce que c'est sincère? Je pense qu'il y a une question de crédibilité reliée au pardon. Lorsque les personnes présentent leurs excuses, bon, c'est bien, je veux bien. Mais est-ce que, parce que tu t'es fait coincer, tu te sens mal et tu veux que je te pardonne, ou vraiment il y a une réflexion de dire « ce n'est peut-être pas la meilleure chose que j'ai faite et c'est vrai que je veux changer. » Laisser une porte ouverte en cas de conflit [Joan] Il me semble que, sauf cas de personne manipulatrice, on le sent, on l'entend, on le sait lorsqu'il y a une vraie réflexion. Moi j'ai une politique personnelle sur le pardon avec mes amis. Je me dis, la vie est compliquée, mais elle est aussi longue. Et c'est vrai, on en a parlé dans l'épisode précédent, des fois on finit par se retrouver pour des raisons XY, de déménagement, de situation de vie. Alors souvent j'essaye, quand on a un désaccord, (j'ai 45 ans, il y a eu des gens avec qui j'ai eu des désaccords, des gens proches), j'essaye de refuser qu'on se quitte avec des griefs. Je me dis, parlons-en, disons-nous les choses. Il n'y a pas si longtemps que ça, j'ai quelqu'un que j'aimais beaucoup dans ma vie, qui avait une grande place. Et voilà, on arrive à un point où notre relation n'était plus la même. Il ne s'agit pas de mon mari. Je me suis dit : il faut boucler cette boucle et le dire franchement. Et se dire aussi, peut-être qu'un jour, on arrivera à dépasser certaines choses et à vivre encore d'autres choses. Disons que, sauf cas extrême, la porte reste toujours ouverte. C'est un petit peu comme ça que je gère mon rapport au pardon. Mais après, il y a la question du cas extrême. Et donc, on arrive à cette question de la limite. La nomination controversée de l'archevêché de Toulouse [Stéphane] C'est très pertinent parce que, est-ce qu'il y a des choses qu'on ne peut pas pardonner? Ce que moi, je considère qu'on ne peut pas pardonner, ce n'est pas la même ligne normalement que la tienne, Joan, ni qu'une personne qui est à notre écoute. Qu'est-ce qu'on fait dans ces cas-là? Oui, il y a des systèmes de loi lorsqu'il y a des crimes. Bon, c'est bien. Lorsqu'on parle de choses peut-être un peu plus émotives, lorsqu'on sent une trahison. Un exemple, et c'est un peu cette histoire-là qui m'a inspiré, moi, pour qu'on traite ce sujet, c'est le cas de l'archevêché de Toulouse. Certaines des personnes à l'écoute connaissent les faits, mais juste au cas où. L'archevêque Mgr Guy de Kerimel a nommé une personne, je ne dirai pas son nom, mais c'est public si vous voulez aller le chercher, dans une position quand même assez importante au niveau de l'archevêché. Le truc, c'est que cette personne-là, il y a environ 30 ans, a été reconnue coupable d'agressions sexuelles sur mineurs – ce ne sont pas juste des accusations comme ça –. Ça a créé une réaction épidermique. On le comprend après toutes ces années de scandales et surtout de mensonges et de dissimulation pendant des décennies, voire des siècles. Ce n'est pas surprenant. La question est : une fois que la personne a payé entre guillemets sa dette à la société, est-ce qu'elle peut être réintégrée ou non? C'est très difficile et je ne prends pas parti pour l'un ou pour l'autre, je constate juste de l'extérieur que c'est très difficile de tirer une ligne. Peut-on pardonner à un pédo-criminel [Joan] Écoute, je salue ta neutralité canadienne qui rejoint d'ailleurs la neutralité suisse. Moi, sur les questions de pédocriminalité, je refuse l'angélisme. En fait, je me suis beaucoup renseignée. D'abord, je viens d'une famille de travailleurs et travailleuses sociaux, donc ce sont des sujets avec lesquels j'ai grandi. J'ai aussi vu malheureusement des petites victimes qui ont été hébergées par mes parents. Sans entrer dans les détails, je me figure tout à fait les ravages que ça fait sur les enfants et les jeunes, les actes de pédocriminalité. Pour moi, un pédocriminel récidiviste, je ne parle pas nécessairement d'un gamin de 16 ans qui découvre sa sexualité et qui fait des choses criminelles avec quelqu'un de plus jeune de sa famille. Après, on lui explique les choses, il est suivi, il comprend la portée de son acte, peut-être qu'il a reproduit quelque chose qu'il a subi. Des fois, il peut y avoir des situations où, pédagogiquement, on peut reprendre les choses, on peut les encadrer, on peut les surveiller. Je parle vraiment de quelqu'un d'adulte et de criminel récidiviste qui est prédateur, donc qui fait des plans. Je connais cette situation de très près, puisque ma deuxième fille a malheureusement été suivie par un prédateur comme ça, donc c'est tout un état d'esprit. J'estime que quelqu'un comme ça, qui a développé maintenant ce type d'approche de prédation, de criminalité et de sexualité, n'a pas été pardonné de ses péchés, dans le sens où il a une pathologie. C'est pathologique là maintenant, c'est quelque chose dont il ne pourra plus se séparer, dans l'état des soins actuels. Donc, comme il va toujours finir par faire du mal à une personne plus faible ou sans défense, parce que c'est maintenant son mode opératoire pour avoir du plaisir sexuel, appelons un chat un chat, ce n'est pas de pardon dont il a besoin en premier, mais justement, comme j'ai dit, de soins, et dans le cas, majoritaire pour l'instant, où les soins ne fonctionnent pas, d'un lieu de vie sécure pour lui et les autres. Il y a vraiment du cas par cas à faire sur les questions de pardon. Pour moi, ça ne se joue pas vraiment du côté du pardon, mais du côté de la sortie du déni. Les quelques rares cas de personnes qui ont ces paraphilies pédocriminelles, les quelques rares cas où ils arrivent à mettre en place un système qui les empêche d'aller vers cette criminalité-là, ce sont des personnes qui sont sorties du déni. Parce que sinon, dans la très grande majorité des cas, ce sont des personnes qui vivent dans le déni. J'avais vu comme ça toute une interview d'un prêtre qui avait fait des choses répréhensibles envers des mineurs et qui disait : je n'ai compris que plus tard que les enfants ressentaient des émotions. Donc là, on est dans un déni complet quand même. Une fois sortis du déni - ça c'est un travail thérapeutique - moi je ne suis pas capable de mener des gens comme ça dans le travail thérapeutique. Je peux aider, je peux être une des personnes qui accompagnent, mais je ne peux pas être celle qui mettra en place le protocole de soins. Je pourrais pardonner au prédateur d'avoir été agressivement dans le déni, ça, je pourrais le lui pardonner. Mais je ne pourrais jamais lui pardonner ces actes-là, c'est impossible. Je n'y arrive tout simplement pas et je le reconnais, je le dépose à la croix d'ailleurs. Je ne peux pas parce que j'ai vu trop d'enfants qui sont complètement détruits et qui trouveront, certains d'entre eux, par l'amour et le temps, la force de se construire. Mais pour les autres, on sait très bien comment ça se termine. Je trouve souvent que c'est angélique et que c'est de la pensée magique que de me dire, et ça m'est arrivé beaucoup dans ma vie, oui, mais tu es pasteur, tu dois leur pardonner. Alors ça, les amis, non, ce n'est pas comme ça que ça se construit. Et ce n'est même pas bon, en fait, pour leur psyché. Je dirais même que l'amour que je leur porte implique que je ne leur pardonne pas comme ça, tout simplement. Cela implique que je leur pose un cadre, que j'ai des exigences et que je les renvoie justement à leur responsabilité. Es-tu un criminel pour le reste de sa vie? [Stéphane] Je suis d'accord avec toi pour les questions où les personnes vont agresser d'autres personnes et que c'est difficile de réformer cette personne-là. Ce qui m'a fait réfléchir récemment, c'est un TED Talk, les conférences TED, et c'était un Américain dans l'industrie du divertissement qui a commis un hold-up à l'âge de 16 ans. Il a purgé sa peine pendant neuf ans et demi en prison. C'est un peu ça le deal, du moins en Amérique du Nord. Une fois qu'on a payé sa dette à la société, on devrait avoir le droit de recommencer, tant aussi longtemps qu'on ne recommence pas à faire des crimes. Ce que cette personne mentionne, c'est qu'il y a une série de lois, une série de restrictions qui vont limiter ses ajustements pour le reste de sa vie, même s'il ne commet aucun autre crime. Et là, à certains moments, je me demande où doit-on tracer la ligne? Parce que tu as commis un crime, on va prendre pour acquis que tu es toujours un criminel… ou parce que tu as blessé un ami, je vais vouloir avoir ma revanche sur toi, je veux que tu souffres. Où tire-t-on la ligne entre une saine vigilance (oui, aucun problème avec ça). Un pédo criminel, je pense que c'est une question de vigilance que de demander qu'il ou elle ne se retrouve pas avec des personnes vulnérables, avec des mineurs. Aucun problème avec ça. Mais est-ce qu'une personne qui fait un hold-up, un vol, un délit de fuite, doit payer pour toute sa vie? Je ne sais pas. Ça me questionne beaucoup. Et qui décide où est cette ligne, au-delà des aspects légaux? La conversion des cœurs [Joan] Pour moi, ça m'amène finalement à deux problématiques. Un, celle de la métanoïa, de la conversion des cœurs, et la deuxième, celle de la dissimulation. Je vais commencer par la dissimulation parce qu'en fait, les systèmes trop répressifs ne donnent pas une vraie seconde chance aux gens qui n'ont pas une pathologie vraiment comportementale, mais qui font des erreurs, notamment de jeunesse, tous ces systèmes encouragent à la dissimulation. Ce n'est pas tant qu'on ne fait plus de hold-up ou de magouille, mais c'est qu'on apprend, et souvent d'ailleurs on apprend ça en prison, à dissimuler les choses ou à mieux les faire ou à mandater d'autres pour les faire. C'est un petit peu l'autre écueil de ne pas être une société capable de donner de secondes chances, notamment pour des erreurs de jeunesse, on encourage d'autres vices, donc la dissimulation. La deuxième chose à laquelle je pense, c'est qu'en tant que chrétienne, c'est vrai que je crois très fort à la conversion des cœurs, et ça j'y crois, mais alors complètement. C'est pour ça que parfois les gens sont choqués, ils me disent « ah, mais comment, tu veux enfermer des pédocriminels? » et je leur dis « ben en fait, je pense que ces pédocriminels peuvent convertir leur cœur, mais qu'ils ont besoin de beaucoup, beaucoup de soutien pour ne pas céder à leur paraphilie criminelle ». Ce n'est pas parce que tu as converti ton cœur qu'après tu arriveras à aligner toutes tes actions. Ce n'est pas du tout fou, ce n'est pas simple, sinon il n'y aurait pas eu Judas. Et Judas, c'est nous. C'est toujours pareil. On revient à l'épisode d'avant sur nos ennemis. On aimerait pouvoir dire c'est l'autre le problème et puis non, si on est honnête, ça fait partie à la fois du problème et à la fois de la solution. Du coup, moi j'aimerais tellement qu'on ait des sociétés plus axées sur la deuxième chance, sur le rebond, sur refaire sa vie, sur soutenir les gens. J'aime beaucoup, et c'est vrai que je suis très de gauche, mais j'aime beaucoup toutes ces initiatives sur le désendettement personnel. En droit local, en Alsace, il y a cette possibilité d'être désendetté personnellement. Il y a aussi des mesures comme ça en Suisse, et je trouve que ça, ce sont des mesures vertueuses. Parce que du coup, comme tu disais avant, on permet à la personne de repartir et puis d'être de nouveau un bienfait pour la société. Ça poserait même encore une autre question. Ce n'est pas quelles sont les limites du pardon, mais quelles sont les chances du pardon, ou bien quelque chose comme ça. Qu'est-ce que le pardon permet de vertueux? Est-ce qu'on est prêt aussi à vraiment pardonner? Être prêt à vraiment pardonner [Stéphane] C'est facile de pardonner les petites choses. « Bon, tu m'as pris cinq dollars, tu me n'as jamais remboursé. » Bof! Mais lorsque, comment dire, ça fait mal, lorsque ça vient nous toucher dans nos valeurs, ça peut être matériel, ça peut être plein de choses. C'est là que ça devient difficile et c'est là que c'est demandant de pardonner. Je pense à la fin de l'évangile selon Jean, chapitre 21. La célèbre scène où Jésus demande à Pierre, « Pierre, est-ce que tu m'aimes? » Pierre était très proche de Jésus. On peut l'interpréter comme on veut, mais il était vraiment dans le cercle intime. On a l'impression que c'était vraiment copain-copain. Il l'a trahi, il l'a trahi et abandonné au moment où il allait être mis à mort. Il l'a renié : je ne le connais pas, bla bla bla. Et dans cette épilogue, probablement ajouté plus tard à l'évangile, on a Jésus qui trois fois lui demande « Est-ce que tu m'aimes, Pierre? » Je sais que c'est Jésus, et je ne suis pas Jésus. Mais moi, si quelqu'un m'avait trahi comme ça, ça me demanderait beaucoup pour dire « ok, je te pardonne, puis on repart sur de nouvelles bases ». C'est très difficile le pardon, et je pense que c'est ça qui vient nous chercher, cette demande d'énergie, cette demande presque d'humilité, je dirais, dans le sens où je ne suis pas en contrôle de l'autre personne. Je ne peux pas dicter ce que cette personne peut dire, ce que cette personne peut faire. Pour faire écho à l'épisode précédent, je peux l'aimer, je peux essayer de rétablir des bases, mais je n'ai pas de contrôle là-dessus. Donc le pardon, souvent j'exprime ça, c'est comme de laisser aller toute cette colère, toute cette toxicité qui est à l'intérieur de nous, qui nous gruge nous-mêmes. Parce que lorsqu'on est fâché contre l'autre personne, parfois l'autre personne ne le sait même pas. Et la seule personne dont la vie est empoisonnée, c'est nous-mêmes. Et de dire « je laisse aller ça », ça ne veut pas dire « j'oublie ». J'adore les anglophones quand ils font la différence entre « to forgive » et « to forget ». Pardonner et oublier, les mots en prononciation en anglais sont proches, mais c'est quand même deux concepts différents. Je ne veux pas dire j'oublie nécessairement ce que tu as fait, mais je laisse aller. J'arrête de m'empoisonner la vie avec ça et j'avance, j'ouvre la porte. Si tu veux rentrer, merveilleux. Si tu ne veux jamais rentrer, ben tant pis, moi j'ai ouvert la porte. Se pardonner soi-même [Joan] J'ai une pensée qui rejoint vachement ce que tu es en train de développer là. En fait, ce que je trouve le plus difficile, c'est de se pardonner à soi-même. Je me suis levée, j'étais bien, j'étais de bonne humeur. J'étais un peu à la bourre pour une vidéo, mais j'étais de bonne humeur. Et la vidéo, elle ne s'est pas bien passée parce que je ne m'étais pas branchée sur le bon Wi-Fi. Alors, j'ai cassé les pieds à tout le monde parce qu'on ne m'entendait pas toujours, on ne me voyait pas toujours. Je m'agaçais vachement, et je m'en suis vachement voulu, en fait, de ne pas juste avoir vérifié mes paramètres de Wi-Fi entre le Wi-Fi du haut et le Wi-Fi du bas. Je n'étais peut-être pas bien réveillée, j'étais peut-être un petit peu trop détendue, je n'en sais rien. Je me suis débattue toute la matinée avec un sentiment de culpabilité, à me dire : ah, mais tu es bête. En plus, c'étaient des collègues plus jeunes que moi. Tu t'es un peu ridiculisée avec tes histoires de Wi-Fi du haut, Wi-Fi du bas. Franchement j'ai eu beaucoup de mal à me pardonner une petite histoire d'une petite vidéo, d'une petite Wi-Fi. Je me dis, c'est qu'on ne nous enseigne pas beaucoup la bienveillance envers soi-même, comme si justement ce n'était pas trop possible de se pardonner. Comme on n'a pas vraiment ça dans l'éducation, on a quelque chose à travailler là-dessus. Ça m'amène à des réflexions un peu plus graves, un peu plus tristes, avec un traumavertissement pour celles et ceux qui pourraient être concernés. Je me demande souvent comment font les personnes qui ont fait du mal sans intention de le faire, pour se pardonner. Je pense à un collègue qui malheureusement avait roulé sur son fils; le fils n'est pas décédé, mais bon, enfin, il a eu un peu mal, quoi, disons. Comment est-ce qu'on fait? Moi, j'ai eu trop de mal. Là, ça va mieux, ça va mieux. Puis demain, ça ira très bien. Mais je me suis quand même sentie... enfin, pas obligée, mais ça m'a fait du bien d'envoyer un message pour expliquer la situation sur mon problème de Wi-Fi du matin. Après, je me sentais un petit peu mieux, tu vois. Je me demande, mais comment font celles et ceux qui, dans leur quotidien, font un geste, oublient quelque chose et que ça a une portée catastrophique. Est-ce qu'on arrive à enseigner cette culture de s'auto-pardonner quand il n'y avait pas d'intention de faire du mal? Le pardon à la base de l'identité chrétienne [Stéphane] Dans le Notre-Père, on dit « Pardonnes-nous nos péchés comme nous pardonnons à ceux et celles qui nous ont offensés ». Moi, j'y vois une invitation à pardonner, parce que si on veut que Dieu nous pardonne comme on pardonne aux autres, si je veux que Dieu me pardonne, alors j'ai intérêt à le faire moi aussi, puis de commencer avec moi-même. Avoir cette assurance-là, que Dieu pardonne si on est prêt à confesser humblement, honnêtement, notre péché, nos péchés, Dieu pardonne. J'étais dans une paroisse où on me disait : non, non, non! La reconnaissance du péché, tout ça, c'est de la vieille Église, c'est de la manipulation. Les gens se sentent mal, les pauvres personnes âgées ont bien assez de problèmes, on ne va pas leur en rajouter. Moi, je disais : oui, ce n'est pas plaisant de reconnaître nos erreurs, mais c'est l'assurance du pardon qui vient après, qui est tellement puissante : avoir un Dieu qui nous aime tellement, qui nous dit « ok, tu as fait une connerie, tu as fait une erreur, tu as dit telle chose, tu n'as pas pris la pleine mesure de ton action, de tes paroles, ok, on peut recommencer. Ce n'est pas la fin de tout. Il y a une possibilité de continuer d'avancer ensemble. » Je trouve ça merveilleux et inspirant, parce que, en même temps, je me dis : si Dieu est prêt à faire ça avec moi, peut-être que moi, ma petite personne avec toutes mes limites, je peux essayer de suivre un peu ce chemin-là, puis de regarder les autres, puis de dire, OK, ce n'est pas la fin de tout. Et puis on peut essayer de continuer ou recommencer ou reconstruire quelque chose. La parabole du fils prodigue [Joan] C'est avec la parabole du fils prodigue qu'on peut terminer. Ce fils qui réclame son héritage pour aller faire la fête à la ville et faire n'importe quoi, ou bien peut-être pas n'importe quoi, juste des trucs que les jeunes aiment faire, que moi aussi peut-être j'aimerais faire, mais ça me donne mal à la tête. Une fois qu'il a tout dilapidé, il s'est retrouvé plus bas que terre; en plus il y a une famine dans le pays, voyez-vous ça? Terrible. Il revient vers son père et son père fait une énorme fête. Et puis son frère qui est là, qui est resté, qui se pose 2-3 questions, et il a bien le droit de se poser 2-3 questions. C'est un peu comme ça le système de pardon, parfois on va pardonner à des gens, puis les gens autour de nous vont se poser 2-3 questions; parfois Dieu va nous pardonner et nous-mêmes on va se poser 2-3 questions sur pourquoi est-ce que Dieu me pardonne? Les deux vont ensemble, je trouve, c'est une dynamique un peu vertueuse de dire qu'il y a peut-être toujours une possibilité de pardon, mais c'est quand même aussi bon de continuer à se poser des questions. Conclusion Merci, Joan, pour cette conversation. Merci à toutes les personnes qui nous écoutent, qui nous offrent quelques minutes de leur semaine, de leur journée pour nous écouter. Merci à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire qui nous permet d'être diffusées sur plein de plateformes. D'ailleurs, n'oubliez pas d'aimer, de partager, de mettre des commentaires, c'est toujours bon pour le référencement. Si vous avez des questions, si vous avez des suggestions pour nous, ne vous gênez pas. questiondecroire@gmail.com. Bonne semaine, Joan. Bonne semaine à vous. Au revoir.
durée : 00:07:16 - L'invité de 7h50 - Sabeha Sansal, la fille de Boualem Sansal, était l'invitée de France Inter ce jeudi. Elle appelle Emmanuel Macron à agir pour participer à la libération de l'écrivain franco-algérien, condamné à cinq ans de prison en Algérie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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La célèbre prière du « Notre Père », beaucoup la connaissent, certains peuvent même la réciter par cœur. Dans ce message, Loïc décortique cette prière et nous fait découvrir toute la profondeur que Jésus a voulu enseigner aux disciples. Notre père est un père bienveillant, aimant et qui transforme des cœurs.
Temple de Sonvilier (2/3) Culte en direct du Temple de Sonvilier, avec Patrick Schlüter pour la prédication et Pierre Amstutz lecteur et Eliane Amstutz, lectrice Séverine Schlüter pour la liturgie pour la liturgie. Avec la participation musicale de - à l'orgue et Asaka Koishikawa au piano et Colin Soldati au violon, Alice Tschannen au chant. . Présentation : Laurence Villoz Lectures bibliques : Luc, chapitre 11, versets 1 à 13 Prier, comment, pour qui, pour quoi ? Comment prier ? Cette question traverse les âges. Jésus y répond par la prière du Notre Père, une histoire sur la persévérance et des réflexions sur la manière dont Dieu répond. Et moi, quand je prie, qu'est-ce que je demande ? Jusqu'où suis-je prêt à me mettre en jeu, voire même à être transformé ?
Matthieu 6 : 9-13 Notre Père qui es aux cieux! Que ton nom soit sanctifié; Que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien; Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés; Ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du malin. Car c'est à toi qu'appartiennent, dans tous les siècles, le règne, la puissance et la gloire. Amen!
Commentaire de L'Évangile du jour Matthieu 6, 7-15 En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Lorsque vous priez, ne rabâchez pas comme les païens : ils s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. Ne les imitez donc pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant même que vous l'ayez demandé. Vous donc, priez ainsi : Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Remets-nous nos dettes, comme nous-mêmes nous remettons leurs dettes à nos débiteurs. Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du Mal. Car, si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi. Mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père non plus ne pardonnera pas vos fautes. » L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
Voici l'Évangile du jeudi 19 juin 2025 : « Vous donc, priez ainsi » (Mt 6, 7-15) En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Lorsque vous priez, ne rabâchez pas comme les païens : ils s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. Ne les imitez donc pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant même que vous l'ayez demandé. Vous donc, priez ainsi : Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Remets-nous nos dettes, comme nous-mêmes nous remettons leurs dettes à nos débiteurs. Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du Mal. Car, si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi. Mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père non plus ne pardonnera pas vos fautes. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Olivier, 53 ans, se demande : "Quelle prière doit-on faire lorsqu'on reçoit la communion ? Depuis des années, je fais un acte de contrition, un Notre Père et Je vous salue Marie... Pouvez-vous répondre à ma question ?" Le père Charles-Marie Rigail lui répond. Vous aussi, posez vos questions à pourquoipadre@ktotv.com.
4ème partie du Catéchisme : la prière. Sixième demande du Notre-Père : tentation et péché - le combat spirituel
00:00:00 : Bande-annonce Conférence Pentecôte 2025 00:01:19 : Début de l'émission
4ème partie du Catéchisme : la prière. Cinquième demande du Notre-Père : "si vous ne pardonnez pas, vous ne serez pas pardonnez" (St Thomas d'Aquin)
4ème partie du Catéchisme : la prière. Quatrième demande du Notre-Père : se préparer et vivre de la communion eucharistique.
4ème partie du Catéchisme : la prière. Troisième demande du Notre-Père : faire la volonté de Dieu et non la nôtre, le chemin de la sainteté
¡Mi Jesús, Te Quiero! Hay gracia que florece cual sorpresa inesperada, Hay El Espíritu Santo que ilumina nuestros pasos al andar, Hay Jesús, amigo eterno, cuyo amor nunca se apaga, Hay Nuestro Padre Celestial, cuya gloria resplandece sin cesar. ¡Amén ! Il est une grâce qui fleurit telle une surprise inattendue, Il est l'Esprit Saint qui illumine nos pas sur le chemin, Il est Jésus, ami éternel, dont l'amour jamais ne s'éteint, Il est Notre Père Céleste, dont la gloire resplendit sans fin. Amen ! There is grace that blossoms like an unexpected surprise, There is the Holy Spirit illuminating our steps as we walk, There is Jesus, eternal friend, whose love never dims, There is Our Heavenly Father, whose glory shines without cease. Amen!
4ème partie du Catéchisme : la prière. Deuxième demande du Notre-Père : la venue du règne de Dieu - règne sur l'Eglise, sur la terre, sur le ciel
4ème partie du Catéchisme : la prière. Première demande du Notre-Père : la sanctification du nom divin ; l'adoration, attitude fondamentale de la prière
Quels sont les risques si notre périnée n'est pas assez musclé ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
INÉDIT - Cédric Vito est le fils de Pascal Vito, mort à la suite d'une injection d'Equanil, un puissant tranquillisant, en 1996 à Nice. Dans cette affaire, l'associé de Pascal Vito, le docteur Dominique Cosme, a été le seul et unique suspect. Après treize ans d'enquête, il sera finalement acquitté, laissant les enfants de la victime dans l'incompréhension. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de "L'heure du crime". Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour.
Voici l'Évangile du mardi 11 mars 2025 : « Vous donc, priez ainsi » (Mt 6, 7-15) En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Lorsque vous priez, ne rabâchez pas comme les païens : ils s'imaginent qu'à force de paroles ils seront exaucés. Ne les imitez donc pas, car votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant même que vous l'ayez demandé. Vous donc, priez ainsi : Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Remets-nous nos dettes, comme nous-mêmes nous remettons leurs dettes à nos débiteurs. Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du Mal. Car, si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi. Mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père non plus ne pardonnera pas vos fautes. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Mar pour Maria et Erno pour Ernesto avaient régulièrement des nouvelles d'Aminata celle qui s'appelait Alma à sa naissance. Ils ont été très heureux de la savoir avocate et enseignante à l'université. Mercier a gardé le secret et à tout fait pour qu'Alma puisse avoir une vie riche et palpitante. Alma ignorait le plan. Mercier tait vu comme un ennemi. En fait, il fut très bon pour Alma. La couverture de la vérité et les silences faisaient partie du protocole pour sauver tout le monde... Dieu dans sa grande miséricorde nous donne Son Fils Jésus, Le Esprit Saint-Esprit et Sa Parole pour nous sauver. Toi qui dit connaître Dieu, tu connais le plan du salut. Dieu est bon et tout ce qu'il fait est parfait. Alors, le plan est parfait. Suivons, Jésus avec foi pour une histoire de vivre éternellement l'amour et la justice de Notre Père, Notre Dieu.
12 août,4 h 55 125. – Notre Père est le Créateur et Il crée et recrée continuellement dans Son Amour Je me reconnais tout petit, faible et impuissant sans Votre Présence, Seigneur Jésus. J'accepte Votre Amour et je sais qu'il est sans limite, qu'il dépasse de beaucoup mes égarements et mes fautes. J'accueille Votre Amour et je me laisse purifier parlui. Je me veux totalementà Votre écoute.Je Vousaime. « Mon tout-petit, ce matin, Je veux te dire sincèrement et tendrement combien tu es aimé. Même en laissant libre cours à ton imagination, tu ne peux concevoir une parcelle de l'Amour que Dieu Mon Père, ton Père, Notre Père a pour toi et pour tous Ses enfants de la terre. Son Cœur est un Feu d'Amour, Feu constant qui se renouvelle sans cesse et qui ne se consume jamais. À chaque fois que tu dis “oui” à te laisser aimer, toutes tes fautes, tes égarements, ton orgueil, tes faiblesses et ce qui en toi serait impur, est complètement oublié et c'est l'Amour qui vient s'établir. Il vient occuper tout l'espace et il refait chacune des moindres parties de ton être afin d'en découvrir sa beauté originelle. Notre Père est le Créateur et Il crée et recrée continuellement dans Son Amour. À chaque fois, c'est toujours nouveau et de plus en plus beau. Heureux es-tu et heureux êtes-vous d'être choisis pour vivre, avant beaucoup d'autres, cet Amour, et d'être témoins de ce que l'Amour produit en vous, autour de vous et à travers vous. Ainsi, vous devenez l'Amour. Si tu savais combien tu es aimé du Père et combien Je t'aime. » Pour visionner ce RDV du Dimanche, rendez-vous sur notre site web.
Mon tout-petit, Ma toute-petite, pour accueillir l'Amour et en bénéficier, il te faut avoir donné ton «oui» total et inconditionnel au Père. C'est par ce «oui» que le Père, ton Père, Mon Père, Notre Père, se penche vers toi pour opérer les changements nécessaires, afin que tu puisses vivre au niveau de ton coeur et placer tes facultés à son service. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Le 9 février 2025 Par Michael Ardoin _________ Dans notre série “Dieu combat pour nous”, nous explorons comment Dieu le Père combat pour nous? Imaginer Dieu comme un Père peut évoquer toutes sortes de réactions dans nos cœurs, parfois négatives liées à notre histoire. Pourtant, comprendre, le cœur de Celui qui est au commencement de tout, à la fois infini et proche, invisible et présent, est crucial pour le combat de tout chrétien! Il est temps de se réconcilier avec l'entier de Notre Père céleste! Son amour est inconditionnel, mais marcher avec lui dans notre destinée et le voir agir au delà de nos attentes est conditionnelle! Cette condition est la confiance! ** Voici l'URL pour voir le clip mentionné et visualisé durant le message:
Commentaire de l'évangile SELON SAINT marc - 3, 31-35 Retrouvez l'évangile du jour sur le site AELF : https://www.aelf.org/2025-01-28/france/messe Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) L'Amour Vaincra !Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
La prière et la soumission à la volonté de Dieu Lecture biblique : Matthieu 6:10 "Que ton règne vienne; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel." Méditation du jour La prière ne consiste pas seulement à demander à Dieu ce que nous voulons, mais à soumettre nos désirs à Sa volonté. Dans la prière du Notre Père, Jésus nous enseigne à demander à Dieu que Sa volonté soit faite, pas la nôtre. La soumission à la volonté de Dieu dans la prière signifie que nous reconnaissons qu'Il connaît mieux que nous ce dont nous avons besoin, et qu'Il agira pour notre bien ultime. Soumettre nos prières à la volonté de Dieu ne veut pas dire renoncer à nos désirs, mais reconnaître que Dieu, dans Sa sagesse infinie, a un plan parfait pour nous. Même lorsque nous ne comprenons pas immédiatement pourquoi certaines prières ne sont pas exaucées, nous devons croire que Dieu a un plan plus grand, et que Sa volonté est toujours meilleure que la nôtre.
Cette semaine, Christiane, 83 ans, s'interroge : "Dans la prière du Notre-Père, on dit `Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensé'. Mais pour ma part le mot 'comme' me pose problème... Je comprendrais mieux si on disait : `Apprenez-nous à pardonner comme (et autant ou aussi bien...) vous même pardonnez'. La formulation actuelle me pose question car c'est comme si on demandait à Dieu de nous pardonner aussi bien que nous pardonnons aux autres..." Le père Charles-Marie Rigail lui répond. Vous aussi, posez vos questions à pourquoipadre@ktotv.com.
Invitée : Anne-Catherine Baudoin. Plus de deux milliards de personnes savent et récitent la prière du Notre Père. Pourquoi ces mots vieux de plus de deux millénaires fonctionnent-ils encore ? La réflexion a été lancée à la faculté de théologie protestante de Genève et a donné lieu à un ouvrage collectif encadré par la théologienne et bibliste Anne-Catherine Baudoin. Une proposition de Gabrielle Desarzens. Réf. Bibliographique : Que faire du Notre Père ? Ouvrage collectif encadré par Anne-Catherine Baudoin, Labor & Fides : 2024. Photo : La théologienne et bibliste Anne-Catherine Baudoin (DR)
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.
15 novembre,2 h 55 151. – Nous vivons dans une société où les suicides se font de plus en plus nombreux – Notre respiration peut devenir une prière Seigneur Jésus, nous vivons dans une société où les suicides se font de plus en plus nombreux. Vous avez entendu la demande de T. à ce sujet. Je Vous la présenteà nouveau et la fais mienne. Je me placeà Votre écoute pour un enseignement sur ce sujet, si Vous le jugezà propos. Vous êtes un Dieu d'Amour. Je Vous aime. Votretout-petit. « Mon tout-petit, Ma souffrance est très grande de voir l'égarement de Mon peuple. Je souffre de le voir prendre des chemins qui le conduisent à des souffrances de plus en plus grandes. Elles sont tellement grandes que certaines personnes n'arrivent plus à les supporter et l'esprit mau- vais en profite pour les inviter à se détruire elles-mêmes. Beaucoup de ces gens ne sont pas pleinement cons- cients de la gravité de leurs gestes. S'ils en étaient pleine- ment conscients, ils reconnaîtraient l'horreur de ce crime qu'est l'autodestruction, le non respect du bien le plus précieux que leur Père, que Mon Père, que Notre Père nous a donné avec tant d'Amour. Oui, c'est par un grand cri d'Amour du Père que chaque être humain a été créé. Créé par Amour, pour devenir l'Amour, en disant “oui” à l'Amour et en se remettant à l'Amour. Malheureusement, la société dans laquelle vous vivez ne véhicule pas ces valeurs. Au contraire, elle enseigne une multitude de faux dieux. Ces faux dieux, qui se présentent comme étant des chemins de bonheur à court terme, ne sont que des chemins de malheur à moyen et long terme, à un point tel que certaines personnes n'arrivent plus à les supporter. Heureusement que le Père est d'une miséricorde sans limite et qu'Il donne à chaque personne une multitude de chances d'exercer librement son choix, afin d'être heureux avec Lui pendant toute l'éternité. Ce choix s'exerce tout au long de la vie sur terre, à l'heure de la mort et même à l'intérieur de l'expérience de la mort, ce qui vient donner de nouvelles chances à tous. Les plus grands bénéficiaires de ces dernières chances sont ceux et celles qui s'endor- ment dans l'ignorance de l'Amour de Dieu. Vous qui avez le grand privilège de connaître, de vivre et de goûter, même de votre vivant à l'Amour de Dieu, vous pouvez aider une multitude de ces âmes par vos prières, vos Eucharisties et vos offrandes sous toutes les formes possibles et imaginables. Continue à offrir chacune de tes respirations comme Je te l'ai inspiré dernièrement, à l'in- tention des défunts tout comme à l'intention des personnes qui seraient aux prises avec des pensées suicidaires. 1 Heureux et heureuses êtes-vous de connaître et de goû- ter l'Amour et la grande Miséricorde du Père. Heureux êtes-vous, par surcroît, de devenir des instruments entre Ses mains, qui permettent à une multitude d'âmes de connaître la joie, le bonheur que produisent l'Amour et la Miséricorde du Père, la joie de se laisser transformer par l'Amour, pour l'Amour. Vous devenez l'Amour. Tu deviens l'Amour. Mon Cœur est brûlant d'Amour. Comme Je vous aime. Comme Je t'aime, Mon tout-petit ! » Pour visionner ce RDV du Dimanche, rendez-vous sur notre site web.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
En ce temps de l'avent, nous avançons vers Noël dans une démarche de combattants d'espérance avec Jésus. Cette semaine, notre part de combat c'est d'être davantage disponible pour rencontrer Dieu.Aujourd'hui nous sommes le lundi 2 décembre. Je me tourne intérieurement vers Dieu et je me représente le vent de l'Esprit qui balaie toute la terre, entre dans toutes les habitations, et veut pousser la porte de mon cœur. Je lui demande d'augmenter mon désir de prendre des temps d'arrêt dédiés pour mieux écouter sa parole, rencontrer sa parole. Me voici devant toi Seigneur.. Au nom du père et du fils et du Saint Esprit. AmenNous écoutons le chant “Mendiez” interprété par Celebratio.La lecture de ce jour est tirée du chapitre 8 de l'Evangile selon St Matthieu.En ce temps-là, comme Jésus était entré à Capharnaüm, un centurion s'approcha de lui et le supplia : « Seigneur, mon serviteur est couché, à la maison, paralysé, et il souffre terriblement. » Jésus lui dit : « Je vais aller moi-même le guérir. » Le centurion reprit : « Seigneur, je ne suis pas digne que tu entres sous mon toit, mais dis seulement une parole et mon serviteur sera guéri. Moi-même qui suis soumis à une autorité, j'ai des soldats sous mes ordres ; à l'un, je dis : “Va”, et il va ; à un autre : “Viens”, et il vient, et à mon esclave : “Fais ceci”, et il le fait. » À ces mots, Jésus fut dans l'admiration et dit à ceux qui le suivaient : « Amen, je vous le déclare, chez personne en Israël, je n'ai trouvé une telle foi. Aussi je vous le dis : Beaucoup viendront de l'orient et de l'occident et prendront place avec Abraham, Isaac et Jacob au festin du royaume des Cieux. » Textes liturgiques © AELF, Paris1. Ce centurion est un combattant au sens strict. Le maintien de l'ordre ou la guerre sont ses activités principales. En stratège, il commence par évaluer les forces en présence : la paralysie de son serviteur, les qualités de Jésus et sa propre indignité au regard de la loi juive. Il évalue la situation, sans la juger. Je m'arrête sur cette sagesse du Centurion.2. Le centurion connaît le pouvoir de la parole d'autorité, et d'abord de la sienne auprès de ses subalternes. Il pourrait être enivré de son pouvoir, mais non… La maladie de ce proche qu'il aime ouvre en lui comme une brèche où s'engouffre l'Esprit: il comprend le pouvoir de la parole de Jésus, il comprend que par Jésus, Dieu sauve. Il reçoit l'espérance de la guérison. Je regarde son humble espérance. 3. Jésus admire le centurion, sa sagesse, son sens de la déduction. Probablement que certains jours Jésus m'admire également. Je contemple ce regard aimant du Christ sur chacun de nous, quand nous comprenons combien Dieu veut notre bien.En entendant à nouveau ce texte, je peux regarder Jésus “boire” les paroles de ce centurion .A la fin de ce temps de prière, je m'adresse à Jésus. Qu'ai-je envie de Lui confier ou de Lui demander? O Christ je me tourne vers Toi. Je joins mes prières à celles de mes sœurs et frères chrétiens en récitant : Notre Père, qui es aux cieux,que ton nom soit sanctifié,que ton règne vienne,que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour.Pardonne-nous nos offenses,comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.Et ne nous laisse pas entrer en tentationmais délivre-nous... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Musique de Noël instrumentale de Romantique musique interprété par - Musique de Noël instrumentale © Creative Commons Youtube Audio Library ; Mendiez de Celebratio interprété par Celebratio - Dieu de ma joie © Éditions de l'Émmanuel.
Præludium: Zoltan Kodaly: Epigram nr. 7 Fra det G.T.: Salme 25, 1-7 Salme: 489 "Guds nåde højt jeg prise vil" Fra det N.T.: Lukas 18, 18-27 Korvers: Jakob Lorentzen: O store Gud, jeg må rundt ud bekende (Tekst Thomas Kingo) Salme: 645 "Stille er min sjæl til Gud" Postludium: Rolande Falcinelli: Prière à Notre Pére
"Seigneur, apprends-nous à prier" Méditation de l'évangile (Lc 11, 1-4) par le Père Jean-Marie PetitclercChant final : "Notre Père en araméen" par Abwoon (Our Father) LISA GERRARD & PATRICK CASSIDY
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Aujourd'hui nous sommes le mardi 1er octobre et nous fêtons sainte Thérèse de l'Enfant Jésus.Sainte Thérèse de Lisieux a aimé Dieu avec ardeur et fidélité. Pleinement consciente de ses limites, elle ne se replie pas sur elle-même mais trouve une grande joie dans la certitude que Dieu l'aime assez pour descendre jusqu'à elle. Au début de ma prière, je me confie à son intercession : que j'accueille avec toujours plus de joie l'amour de Dieu miséricordieux pour moi.Nous méditons les mots de la Petite Thérèse “Ma vocation c'est l'amour” avec la Liturgie chorale du peuple de Dieu.La lecture de ce jour est tirée du chapitre 9 de l'évangile selon saint Luc.Comme s'accomplissait le temps où il allait être enlevé au ciel, Jésus, le visage déterminé, prit la route de Jérusalem. Il envoya, en avant de lui, des messagers ; ceux-ci se mirent en route et entrèrent dans un village de Samaritains pour préparer sa venue. Mais on refusa de le recevoir, parce qu'il se dirigeait vers Jérusalem. Voyant cela, les disciples Jacques et Jean dirent : « Seigneur, veux-tu que nous ordonnions qu'un feu tombe du ciel et les détruise ? » Mais Jésus, se retournant, les réprimanda. Puis ils partirent pour un autre village.Textes liturgiques © AELF, Paris1. « Comme s'accomplissait le temps où il allait être enlevé au ciel, Jésus, le visage déterminé, prit la route de Jérusalem ». Ces quelques mots sont le tournant de l'évangile de saint Luc. J'essaie d'imaginer le visage de Jésus, de deviner sa détermination et sa décision intime. Qu'est-ce que cela me dit de lui ? 2. Jésus choisit d'avoir besoin de nous. En effet, il fait collaborer ses disciples dans cette montée vers Jérusalem. Il les envoie 2 par 2 au-devant de lui pour préparer son passage. Je me rends attentif à ce lien entre Jésus et ses disciples et aussi au fait qu'aucun disciple n'est seul dans la mission. Moi-même je ne suis pas seul…3. Jésus retient le courroux de ses collaborateurs trop zélés. Il accepte ainsi de ne pas être reçu dans un village. Sa manière de faire n'est pas du côté de la force mais il sait continuer son chemin sans se décourager. Quant à moi, quelle est ma manière de vivre les contrariétés ? Ces obstacles sur le chemin ? Que m'enseigne Jésus ?Pour cette seconde écoute de l'évangile, je choisis de me placer parmi les disciples et de ressentir cette force donnée par Jésus pour avancer.. Le supplice de la Croix se profile et pourtant Jésus poursuit un chemin d'obéissance à la mission. Je démarre un dialogue avec le Christ, je lui confie ce que je retiens, ce que je ressens face à sa Parole. Notre Père qui es aux cieux, que Ton Nom soit sanctifié, que Ton règne vienne, que Ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Ma vocation c'est l'amour de Sainte Thérèse de Lisieux interprété par Abbaye de Sylvanès - Sainte Thérèse - Office du centenaire © ADF-Bayard Musique ; Swan Lake de Stravinsky, arr. Chad Lawson interprété par Chad Lawson - The Piano © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
Depuis novembre 2017, une nouvelle traduction du "Notre Père" est entrée en vigueur. Et Pierre Benichou le comprend parfaitement ! Tout l'été, retrouvez en podcast les meilleurs moments des "Grosses Têtes" depuis l'arrivée de Laurent Ruquier il y a presque 10 ans.
C'est sur une plage cubaine qu'est décédé le père de famille Faraj Allah Jarjour, mais alors que ses enfants tentent de rapatrier sa dépouille au Canada, ils reçoivent plutôt celle d'un homme russe qui leur est complètement inconnu. Une question reste donc pour la famille de M. Jarjour : « Où est notre père ? ». Entrevue avec Miriam Jarjour, fille de Faraj Allah JarjourPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
* Mets-toi en présence de Dieu, pour essayer de Lui parler. * Tu disposes de 10 minutes, pas plus : va jusqu'au bout, même si tu te distrais. * Persévère. Prends ton temps et laisse l'Esprit Saint agir 'à petit feu'. Un passage de l'Évangile, une idée, une anecdote, un prêtre qui s'adresse à toi et au Seigneur, et t'invite à entrer dans l'intimité de Dieu. Choisis le meilleur moment, imagine que tu es avec Lui, et appuie sur play pour commencer. Toutes les infos sur notre site : www.10minutesavecjesus.org Contact : 10minavecjesus@gmail.com VML
Le premier long métrage de Claude Berri sorti en 1967 sʹintitule Le Vieil Homme et lʹEnfant. A 32 ans, le réalisateur revient sur ses souvenirs dʹenfance et les romance. Car Claude Berri, né Claude Langmann, a connu la guerre et la France occupée. Juif, il est placé en 1944 à la campagne, par ses parents, auprès dʹun vieux couple qui ignore son origine. Il y passe de beaux moments, à lʹabri du danger. Bien des années plus tard, Claude Berri en fait une histoire simple que lʹon peut comparer à une fable. Lʹhistoire dʹun réactionnaire antisémite et dʹun enfant juif qui sʹaiment. Un grand-père et un petit-fils juste ravis dʹêtre ensemble. Le film critique les propagandes antisémites, dénonce le racisme, la bêtise, lʹabrutissement. A lʹautomne 1945, le petit Claude retourne à la ville emportant son secret. Le pépé ne saura jamais quʹil a hébergé un juif. Difficile de tourner ça. Le rôle du Pépé est confié à un acteur dʹenvergure, une gueule, Michel Simon qui avait un peu disparu des écrans. A ses côté Alain Cohen, le petit garçon. Luce Fabiole, Claude Piéplu, Charles Denner, Paul Préboist, Roger Carel complètent le casting. A sa sortie, le film plaît beaucoup, enchante le public et la critique et reçoit lʹOurs d'argent à Berlin, en 1967. Aujourdʹhui, dans Travelling, nous allons dérouler lʹhistoire de ce beau film qui dénonce les idées toutes faites et qui prône le vivre ensemble, la tolérance. Ne tardons pas. Les parents de Claude, fourreurs, ont très peur dans ce climat délétère de cette guerre. Juifs, ils se cachent et finissent par envoyer leur petit garçon à la campagne pour le protéger et en lui apprenant à réciter le Notre Père. REFERENCES Michel Mortier, " Le Vieil homme et l'enfant ", Téléciné no 135, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique (FLECC), novembre 1967, Claude Berri, Autoportrait, Edition Léo Scheer, 2003 Claude Berri et Raymonde Letournel, les Dossiers de lʹécran, le 18 novembre 1975. https://www.facebook.com/Ina.fr/videos/claude-berri-cach%C3%A9-par-raymonde-pendant-loccupation-1975/875418763751613/?locale=fr_FR Michel Simon après la sortie du film https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cpf07007167/michel-simon
Jesus Christ est Vivant --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/God-is-able-ministries/support
Avec le Père Jean-Yves Jaffré Thème: Les trois montagnes où résonnent les trois paroles du Père - Introduction à la prière du Notre Père
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Aujourd'hui nous sommes le dimanche 10 mars, quatrième dimanche de Carême.« Dieu a tellement aimé le monde ». Avec toute l'Eglise, je me réjouis de reconnaître cet amour infini de Dieu notre Père pour le monde que nous habitons, pour la création et pour chacun de ses habitants. Bruno Dalo chante le psaume 102. La lecture de ce jour est tirée du chapitre 3 de l'Évangile de Jean.En ce temps-là, Jésus disait à Nicodème : « De même que le serpent de bronze fut élevé par Moïse dans le désert, ainsi faut-il que le Fils de l'homme soit élevé, afin qu'en lui tout homme qui croit ait la vie éternelle. Car Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais obtienne la vie éternelle. Car Dieu a envoyé son Fils dans le monde, non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé. Celui qui croit en lui échappe au Jugement, celui qui ne croit pas est déjà jugé, du fait qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : la lumière est venue dans le monde, et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises. Celui qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dénoncées ; mais celui qui fait la vérité vient à la lumière, pour qu'il soit manifeste que ses œuvres ont été accomplies en union avec Dieu. » Textes liturgiques © AELF, ParisPoint 1« Dieu a envoyé son Fils dans le monde ». Jésus, homme parmi les hommes, a été révélé peu à peu aux disciples et aux foules comme celui que Dieu a envoyé. Comme celui qui vient de la part de Dieu, pour parler à nos oreilles et à notre cœur. Et plus encore: comme celui qui est un fils, en tout accordé à Dieu son Père. « Dieu a envoyé son Fils dans le monde »….Point 2« non pas pour juger le monde ». Les paroles et les actes de Jésus mettent en évidence combien Dieu se soucie de nous, pauvres humains, combien il prend soin de nous, bref, combien il nous aime! En Jésus, Dieu nous est révélé miséricordieux, au-delà de tout jugement et de toute condamnation. Je médite cela.Point 3« Celui qui fait la vérité vient à la lumière ». C'est le dimanche de la joie : nous pouvons nous réjouir de cette parole qui nous invite à faire la vérité, à ne pas vivre dans le mensonge ou l'illusion. La lumière, c'est Jésus, la parole faite chair. Venons à Lui, approchons-nous de Lui, apprenons de Lui le travail de la vérité dans nos vies. En ré-écoutant l'Evangile, laissons-nous saisir par la joie de mieux connaître le dessein de Dieu.En conversant familièrement avec le Christ, faisons mémoire des joies qui nous ont été offertes durant cette semaine écoulée, de tout ce qui nous a fait du bien, reconnaissons la manière dont Dieu notre Père guide nos vies. Notre Père, qui es aux cieux,que ton nom soit sanctifié,que ton règne vienne,que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.Donne-nous aujourd'hui notre pain de ce jour.Pardonne-nous nos offenses,comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.Et ne nous laisse pas entrer en tentationmais délivre-nous du Mal... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Psaume 102 de Bruno Dalo interprété par Bruno Dalo - Psaume 102 © Voir la chaine YouTube de Bruno Dalo ; Easy Day de Kevin MacLeod interprété par Kevin MacLeod - YouTube Audio Library © Creative Commons Youtube Audio Library.
Avec le Père Jean-Yves Jaffré
Avec le Père Nicolas Sautereau, selon l'enseignement du Père Louis Bouyer
Bienvenue à l'épisode #314 de Coram Deo présenté en partenariat avec Publications Chrétiennes qui vous vous offre gratuitement mon livre Solas, la quintessence de la foi chrétienne: https://publicationschretiennes.com/products/solas-la-quintessence-de-la-foi-chretienne-ebook?_pos=2&_sid=3d7ada3b8&_ss=r Il suffit d'ajouter au panier et d'entrer le code de réduction SOLAS avant de payer et vous pourrez télécharger gratuitement le livre. ➡️ DESCRIPTION: Suite à l'épisode récent avec Maxime Georgel, nous avons reçu énormément de retour négatif, en particulier depuis que le frère Paul-Adrien a publié une vidéo dans laquelle il exprime plusieurs reproches à notre endroit. Nous avons décidé d'offrir une réponse amicale, à la fois pour apaiser les tensions, mais aussi pour rectifier certains malentendus. Nous reviendrons sur les trois principaux reproches qui ont été fait envers Maxime: - Livre gratuit (05:46) - 1. La rediffusion du débat (07:20) - 2. Le fait de n'avoir pas prié le Notre Père (10:33) - 3. L'usage "fallacieux" des pères de l'Église (15:13) - Demande au frère Paul-Adrien (57:25) - Hors-propos: les prochaines apparitions de Maxime sur YouTube (01:00:47) - Bêtisier (01:05:41)