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Nouvel appartement, peindre, Coudre etc Pendant le Omer by Rav David Touitou
Peindre certaines rues devant des lieux fréquentés par les enfants et les jeunes (écoles, lycée, maison de quartier…) afin d'adoucir…
Nous sommes le 1er mars 1914 au Salon des indépendants, à Paris. Ce jour-là est dévoilée une œuvre de la peintre Suzanne Valadon, intitulée « Le lancement du filet ». On y voit trois hommes, aux prises avec un filet, aux abords d'une rivière. Deux sont nus de dos, le troisième est de face, les parties intimes judicieusement cachées par une accumulation de cordes et de bouts de ficelles. La toile ne passe pas inaperçue, on s'en doute… Rendez-vous compte : un nu peint par une femme. La critique est à la mesure du scandale. Ainsi le jeune Arthur Cravan, poète et boxeur que les dadaïstes et les surréalistes considéreront comme l'un de leurs précurseurs, ne fait pas dans la dentelle. Dans le numéro 5 de la revue « Maintenant », il écrit, parlant de Valadon : « ( elle ) connaît bien les petites recettes, mais simplifier, ce n'est pas faire simple, vieille salope ! ». Mais il ajoute plus loin « Contrairement à mon affirmation, Mme Suzanne Valadon est une vertu. » L'indélicat, le misogyne, sera tout de même condamné pour diffamation. Suzanne poursuivra son chemin. « J'ai dessiné follement pour que quand je n'aurais plus d'yeux j'en aie au bout des doigts » dira l'artiste qui a démarré sa carrière en posant pour les artistes de Montmartre et qui va tant apprendre d'eux qu'elle passera de l'autre côté du chevalet. Revenons sur le parcours de celle qui confiait encore peindre les gens « pour apprendre à les connaître ». Apprenons, à notre tour, de Suzanne Valadon… Avec Anne Hustache, historienne de l‘art. Retrouvez jusqu'au 26 mai 2025, une exposition consacrée à Suzanne Valadon au centre Pompidou à Paris https://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/5moMjyy?utm_campaign=powers_culture&utm_source=voxe Sujets traités: Suzanne Valadon, peintre; artiste, nu, portrait, misogynie Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Peindre des yeux sur les fesses des vaches peut sembler insolite, mais cette technique ingénieuse repose sur un principe bien connu en biologie comportementale : l'illusion d'un regard dissuasif. Cette stratégie, testée au Botswana par un chercheur soucieux de protéger le bétail des attaques de lions, a démontré son efficacité. Voici pourquoi cette approche fonctionne et pourquoi elle présente des avantages à la fois écologiques et économiques.1. Exploiter un réflexe naturel des prédateursDans la nature, de nombreux animaux évitent d'attaquer lorsqu'ils ont l'impression d'être observés. Les prédateurs, comme les lions, préfèrent généralement surprendre leurs proies par-derrière. Le fait de peindre de grands yeux sur l'arrière-train des vaches trompe le lion en lui donnant l'illusion que l'animal a repéré sa présence. Par prudence, il abandonne alors son attaque, cherchant une proie plus facile à surprendre.Ce phénomène repose sur un principe psychologique bien étudié : le "regard perçu". Chez de nombreuses espèces, y compris les humains, la simple impression d'être observé influence le comportement et décourage les actions risquées. C'est ce même principe qui explique pourquoi des images d'yeux sur des affiches peuvent réduire les comportements indésirables, comme le vol.2. Une méthode simple et efficaceContrairement aux clôtures électriques ou aux chiens de garde, peindre des yeux sur les vaches est une solution peu coûteuse et facile à mettre en place. Elle ne nécessite aucun équipement complexe et peut être réalisée par les éleveurs eux-mêmes. De plus, contrairement aux colliers GPS ou aux protections physiques, cette approche ne gêne pas les animaux et n'altère pas leur comportement naturel.3. Un bénéfice pour les lions et la biodiversitéL'un des problèmes majeurs de la cohabitation entre les éleveurs et les lions au Botswana est que ces derniers sont régulièrement abattus pour protéger le bétail. En réduisant les attaques sur les vaches, cette technique permet d'éviter les représailles contre les lions. Cela contribue à préserver cette espèce menacée tout en maintenant un équilibre écologique dans la région.4. Une approche durable pour l'élevageAu-delà de la protection immédiate des troupeaux, cette méthode favorise une cohabitation pacifique entre les éleveurs et la faune sauvage. Plutôt que de recourir à des solutions radicales comme le braconnage ou l'usage de poisons, elle représente une alternative respectueuse de l'environnement et adaptée aux réalités locales.En conclusion, peindre des yeux sur les fesses des vaches est une idée astucieuse qui s'appuie sur des principes biologiques solides. Elle protège à la fois le bétail et les lions, tout en offrant une solution simple, économique et durable pour les éleveurs du Botswana. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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C'est une grande décoration placée derrière l'autel d'une église. Le retable est souvent fait de bois, de pierre ou de métal et peut être peint ou sculpté. Il représente des scènes de la Bible, des images de Jésus, de la Vierge Marie ou des saints. Avec : - Bruno Desroche, artiste peintre lyonnais, créateur du Retable de la Trinité à Lyon- Nicole Lalleman, secrétaire de l'association Retables de Flandre - Marc Soulé, président de l'association des Amis du patrimoine de Repentigny
durée : 00:59:12 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Dès les années 1820, des peintres parisiens multiplient les villégiatures à Barbizon, petit village près de la forêt de Fontainebleau qui devient le lieu d'une révolution picturale majeure, où la nature cesse d'être un simple décor pour devenir un sujet en soi. - réalisation : Thomas Beau, Laurence Millet - invités : Servane Dargnies-de Vitry Historienne de l'art, conservatrice peinture au musée d'Orsay; Isolde Pludermacher Historienne de l'art, conservatrice générale du département peinture du musée d'Orsay
Tout un Art ! est une série inédite à l'occasion de la Journée mondiale de la Baleine, le 19 février.Saviez-vous que les cétacés tirent leur nom de d'un monstre marin de la mythologie grecque, Céto ? À l'origine, en grec, ketos désigne indifféremment tous les gros "poissons" : Baleine, Thon ou Requin...Dans le mythe d'Andromède, une princesse éthiopienne est condamnée par à être sacrifiée au monstre Céto. Le motif est bien ballot : Comme dans beaucoup d'autres récits mythologiques, tout commence par une poussée d'orgueil humain : l'”hubris” en termes techniques.Cassiopée, la maman d'Andromède, avait clamé un peu trop haut un peu trop fort que sa fille était la plus belle. Bim ! Il n'en fallait pas moins pour énerver Poséidon, le dieu des océans, l'ombrageux frérot de Zeus. Du coup Poséidon envoie le monstre Céto pour montrer qui c'est Raoul.Pour se faire pardonner l'orgueil de sa femme, le père d'Andromède doit livrer sa fille au monstre. Andromède est enchaînée nue sur un rocher. Mais la cavalerie arrive : Persée, monté sur Pégase, le cheval ailé, tue le monstre. Il se marièrent et eurent beaucoup de petits danseurs de sirtaki.Juste avant le combat. Persée avait déposé la tête de la Gorgone Méduse sur un lit d'algue… qui s'est illico transformé en corail (vu que la méduse avait le pouvoir de transformer tout ce qui la regardait en pierre).Ce mythe a beaucoup inspiré les peintres : pas tant le gros monstre que la jeune femme nue sur son rocher… Bah tiens !Du fantasme des coquinous au mot “baleine”, il y a un lien amusant. En effet, le mot “baleine” partage la même origine étymologique que "phallus". Énorme non ?______La série "Tout un Art !" 12x10') raconte le Vivant dans la (pop) culture, l'Art et l'Histoire, au-delà des aspects biologiques et comportementaux. Et aussi de connecter deux mondes qui se nourrissent l'un l'autre. Oscar Wilde ne disait-il pas que "la nature imite l'art" ?Il est temps d'inciter le grand public et nos décideurs à s'émerveiller davantage, de leur apporter de la matière.Il est temps que chacun.e se cultive, soigne et réenchante son lien avec nos colocataires non-humains et ressente le besoin de faire ce qu'il peut, ce qu'il doit.Après tout, chaque espèce n'est-elle pas aussi précieuse qu'une cathédrale Notre Dame, qu'une Joconde ? _______Cette émission a été conçue et préparée par deux grands curieux. Sylvia Roustant est professeure, agrégée de lettres et créatrice du site Le secret derrière le tableau.Marc Mortelmans est créateur de podcasts, conférencier et auteur d'En finir avec les idées fausses sur le monde Vivant (Éditions de l'atelier 2024) et de Nomen, l'origine des noms des espèces (Ulmer 2024).Nous cherchons un partenaire pour de nouvelles séries : contact@baleinesousgravillon.com.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez un avion recouvert d'une peau inspirée directement de celle du requin. C'est exactement ce que teste actuellement la compagnie Japan Airlines, en collaboration avec des chercheurs et des ingénieurs aéronautiques. Mais pourquoi s'intéresser à un tel revêtement inspiré du monde animal ? La réponse tient en un mot : l'aérodynamisme.La peau des requins est recouverte de minuscules structures en forme d'écailles appelées denticules dermiques. Ces denticules permettent de réduire la traînée hydrodynamique lorsque le requin nage, lui permettant d'évoluer rapidement et efficacement dans l'eau. Les ingénieurs ont donc eu l'idée de transposer ce concept au monde de l'aviation, où la réduction de la traînée est un enjeu majeur.En appliquant une peinture spéciale qui imite la texture des denticules sur la surface des avions, Japan Airlines espère réduire la résistance de l'air. Une traînée moindre signifie une consommation de carburant réduite, donc des économies substantielles pour les compagnies aériennes, tout en diminuant leur empreinte carbone. On estime que cette technologie pourrait permettre de réduire la consommation de carburant de 1 à 2 %, ce qui représente des millions de litres d'économies sur une flotte entière et des tonnes de CO2 en moins rejetées dans l'atmosphère.L'expérimentation menée par Japan Airlines s'inscrit dans une volonté plus large de rendre l'aviation plus respectueuse de l'environnement. Face aux préoccupations croissantes liées aux émissions de gaz à effet de serre et aux pressions réglementaires pour une aviation plus verte, les compagnies recherchent activement des solutions innovantes.D'ailleurs, cette technologie bio-inspirée ne se limite pas à l'aéronautique. Elle est aussi testée dans le domaine maritime, sur la coque des navires, pour limiter les frottements avec l'eau et réduire leur consommation de carburant.Si les résultats des tests sont concluants, on pourrait voir, dans un futur proche, la généralisation de ce type de revêtement dans l'industrie aérienne. Cela montre une fois de plus comment la nature, par des millions d'années d'évolution, peut inspirer les technologies les plus avancées pour répondre aux défis de notre époque.En somme, la peinture "peau de requin" est un exemple fascinant de biomimétisme, où la science et la nature s'unissent pour rendre nos déplacements plus efficaces et plus durables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Brésil est à l'honneur en ce moment en France. Sebastião Salgado, photographe brésilien, expose à la Galerie Polka tandis que le musée du Luxembourg consacre une grande rétrospective à une peintre brésilienne, Tarsila Do Amaral, Peindre le Brésil moderne. Cécilia Braschi, commissaire de l'exposition Tarsila do Amaral, au musée du Luxembourg jusqu'au 2 février 2025 et Sebastião Salgado, pour l'exposition Genesis Platinum, à la Galerie Polka jusqu'au 15 mars 2025 sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission :Café PolarCatherine Fruchon-Toussaint a rencontré Clarisse Serre pour son récit L'Avocate et le Repenti (Sonatine) où la juriste raconte comment elle a défendu un client qui voulait collaborer avec la justice pour devenir «repenti, un statut judiciaire qui n'est pas répandu en France.
Le Brésil est à l'honneur en ce moment en France. Sebastião Salgado, photographe brésilien, expose à la Galerie Polka tandis que le musée du Luxembourg consacre une grande rétrospective à une peintre brésilienne, Tarsila Do Amaral, Peindre le Brésil moderne. Cécilia Braschi, commissaire de l'exposition Tarsila do Amaral, au musée du Luxembourg jusqu'au 2 février 2025 et Sebastião Salgado, pour l'exposition Genesis Platinum, à la Galerie Polka jusqu'au 15 mars 2025 sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission :Café PolarCatherine Fruchon-Toussaint a rencontré Clarisse Serre pour son récit L'Avocate et le Repenti (Sonatine) où la juriste raconte comment elle a défendu un client qui voulait collaborer avec la justice pour devenir «repenti, un statut judiciaire qui n'est pas répandu en France.
Auteur et illustrateur français né en 1982, Benjamin Lacombe est l'un des représentants phares de la nouvelle illustration française. Il a écrit et illustré une vingtaine d'ouvrages, dont certains ont été traduits dans une dizaine de langues et primés à travers le monde, tels que Les amants papillons, Généalogie d'une sorcière, La mélodie des tuyaux, Il était une fois.... Il expose régulièrement son travail en galerie et dirige la collection « Papillon noir » où il publie une version intégrale et illustrée du chef-d'œuvre d'Oscar Wilde. « Premier ouvrage abordant sans tabous l'homosexualité, Le portrait de Dorian Gray, censuré par deux fois et qui conduira Oscar Wilde en prison, est ici proposé dans sa version intégrale et non expurgée.Cette édition exceptionnelle, magistralement illustrée par Benjamin Lacombe et enrichie d'extraits du poème De Profundis, offre un éclairage nouveau sur ce monument de la littérature. » (Présentation des éditions Gallimard)► Site de Benjamin LacombeL'exposition Papillon noir – Benjamin Lacombe est présentée à la Galerie Gallimard (Paris VII) depuis le 26 novembre 2024.
Exposition " Caillebotte. Peindre les hommes"Du 08 octobre 2024 au 19 janvier 2025 au musée d'OrsayEnregistrement de la conférence inaugurale du 18 octobre 2024Paul Perrin, directeur des collections et de la conservation, musée d'Orsay, et commissaire de l'exposition présente dans cette conférence à l'auditorium ce rassemblement exceptionnel de chefs-d'œuvre de l'artiste. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chiến tranh, thời cuộc xoay vần, nỗi bất hạnh không có chỗ đứng trong tranh của Pierre Bonnard (1867-1947). Chịu ảnh hưởng của Gauguin, của hội họa dân gian Nhật Bản, một thoáng gì của Matisse, của Renoir, nhưng Bonnard sớm khẳng định ông vẽ tranh để « tô điểm cho cuộc đời ». (Tạp chí phát lần đầu ngày 08/05/2015). Tranh của Bonnard tràn đầy nhựa sống. Cảnh sinh hoạt thường ngày trên đường phố Paris, khu vườn ở Normandie hay chỉ đơn thuần là tô sữa bên cửa sổ, dưới cây cọ của Bonnard tất cả đều trở nên sống động hơn, thơ mộng hơn, xanh tươi hơn. Đằng sau ánh sáng chan hòa, những đường nét sinh động, là một thoáng lo âu, là một chút gì dễ vỡ, là « những thiên đường đã mất ».Bảo tàng Mussée d'Orsay quận 7 Paris tổ chức cuộc triền lãm « Pierre Bonnard, Peindre l'Arcadie » từ ngày 17/03/2015 đến 19/07/2015, quy tụ hơn 150 tác phẩm hội họa và một số những bức ảnh đen trắng tiêu biểu cho từng giai đoạn sáng tác trong hành trình nghệ thuật gần 60 năm của một họa sĩ bậc thầy cuối thế kỷ thứ XIX, nửa đầu thế kỷ XX.« Pierre Bonnard, Peindre l'Arcardie »Arcadie là một vùng núi ở miền nam Hy Lạp. Trong thần thoại, đấy là chốn thanh bình nơi địa đàng. Như tên gọi của nó, triển lãm ở bảo tàng Musée d'Orsay đã tập hợp những tác phẩm của ông phù thủy thổi nhựa sống vào trong tranh, dù đó là cảnh đồng quê vùng Normandie miền bắc nước Pháp hay là những chân trời bát ngát dưới nắng vàng rực rỡ, dưới sắc biếc của miền nam ven bờ Địa Trung Hải, hay chỉ đơn thuần là cảnh một cô gái trong buồng tắm, một bức khỏa thân bên lò sưởi, một tác phẩm nature morte hay một bức chân dung tự vẽ.Ở bất cứ khung trời nào, thế giới của Bonnard luôn toát lên một sự hài hòa giữa con người với cảnh vật chung quanh. Isabelle Cahn, quản thủ bảo tàng Musée d'Orsay :« Tranh của ông nói về sự sống, về hơi thở, về những chuyển động trong cuộc đời, về thời gian về những gì không nắm bắt được. Nhìn dưới góc độ đó, phải nói là danh họa Bonnard đã đặt ông trước một thách thức rất lớn ». Xem tranh của Bonnard, ta như nghe được cả tiếng lá xào xạc, tiếng chim hót, như cảm thấy được cả vị ngọt của những quả cam vàng mọng nước, hay những ngọn gió thổi vào một gian phòng …Để tạo được những cảm giác như vậy là cả một sự tìm tòi công phu về cách sắp đặt từng chi tiết trong tác phẩm của mình, là cách sử dụng màu sắc rất tinh vi chỉ Pierre Bonnard mới có được. Bên cạnh những gam màu nóng, như vàng, nâu, đỏ, luôn kèm theo một vài sắc tía, ngả về màu tím, xanh lơ. Chính những sắc màu đệm đó phản ảnh những giày vò nội tâm, những vết thương thầm kín mà tác giả đã cố tình không đưa vào tranh của ông.Giám đốc điều hành bảo tàng Bonnard tại Le Cannet, vùng Côtes d'Azur Véronique Serrano nhận xét :« Ông làm việc với một gam màu khá giới hạn nhưng ông đã phối hợp những màu sắc đó với nhau, để thổi hồn vào mỗi tác phẩm của mình, để mỗi tác phẩm của Bonnard đều có sức lôi cuốn lạ thường. Bonnard thường được xem là người ‘tô điểm cho cuộc sống', là họa sĩ ‘đem lại hạnh phúc' cho thiên hạ. Trong khi đó như chính ông đã từng tâm sự : ‘kẻ hay hát, chưa hẳn là đã yêu đời hay hạnh phúc'. Đâu đó, những bức tranh rực rỡ sắc màu như thể là cách để ông che giấu những vết thương nội tâm. Đó cũng là hình thức để ông cưỡng lại nỗi hoang mang sâu thẳm ». Trong gian trưng bầy đầu tiên của triển lãm « Pierre Bonnard, Peindre l'Arcadie » bảo tàng Musée d'Orsay giới thiệu đến người xem những tác phẩm trong thời kỳ Pierre Bonnard chịu ảnh hưởng rất lớn của nghệ thuật hội họa dân gian Nhật Bản với những motif đan xen vào nhau mà điển hình là bức bình phong Paravent à trois feuilles - thực hiện năm 1889. Trong đó, Bonnard mượn từ màu đỏ thẫm của hội họa Nhật Bản đến ánh trăng vàng, từ hình ảnh con chim hoàng yến, trĩ, hạc đến những bụi trúc hay cụm thạch thảo của phương đông.Cũng trong thời kỳ này, Pierre Bonnard đã thực hiệu nhiều bức tranh rất lạ, chẳng hạn như tác phẩm Intimité – thân mật (năm 1891), mà trong đó, ta thấy một người đàn ông ngồi hút tẩu thuốc. Bên trái là một người đàn bà chìm trong bóng tối. Ở phía trước của hai người, là một bàn tay với một tẩu thuốc pipe thứ nhì, lớn hơi quá khổ so với phần còn lại của tổng thể bức tranh. Thậm chí khi mới nhìn thoáng qua, chưa chắc ta đã trông thấy bàn tay to lớn đó và khói thuốc gần như tan trong những hình vẽ của giấy dán trên tường.Với Intimité, Pierre Bonnard đã đan xen những motif vào nhau, như vừa để đánh lừa người xem, nhưng vừa để tạo ra một bầu không khí cho bức tranh của mình. Ta như cảm nhận được chút gì thân mật, ấm cúng và cả mùi thơm của khói thuốc đang lan tỏa ra khắp căn phòng. Tính tinh nghịch, đùa giỡn với không gian của một Pierre Bonnard thủa trẻ được xác định một lần nữa với tác phẩm Danceuses (1896) mà ở đó tác giả vẽ những cô vũ nữ của nhà hát Opéra như thể ông chụp hình các cô từ trên cao nhìn xuống.Con người thầm kín của Bonnard Năm 1947 khi Bonnard qua đời, Pablo Picasso, một cây đại thụ khác của làng hội họa thế giới trong thế kỷ XX, thốt lên rằng : « Vẽ như Bonnard thì không phải là vẽ ». Trong mắt cha đẻ của trường phái lập thể này, Bonnard là một họa sĩ hời hợt, chỉ hướng về những đề tài mang tính nhẹ nhàng. Nhưng có lẽ tác giả của những Guernica hay Người Đàn bà Khóc đã không cảm được sự hoang mang, sự chua xót của Bonnard qua những bức chân dung tự vẽ vào năm 1930, 1931, 1939- 1945.Tuổi già, nỗi cô đơn, hiện rõ trên khuôn mặt của người trong gương. Đôi mắt u uẩn của Bonnard trong bức chân dung tự vẽ năm 1945 thể hiện thái độ cam chịu của một con người đã đi gần hết cuộc đời. Ở đây ta thấy Pierre Bonnard trong một chiếc áo nâu gần như một chiếc áo ca sa, trong tư thế của một nhà sư Nhật Bản. Ông hơi mỉm cười như nụ cười của Rembrandt trong bức chân dung tự họa cuối cùng.Nhưng bi tráng hơn cả là bức tự họa được Bonnard đặt cho cái tên Le Boxeur- Võ sĩ quyền anh. Mình trần, khuôn mặt chìm trong bóng tối, nhưng đủ để cho thấy những vết bầm dập của thời gian. Bonnard trong tư thế của một võ sĩ quyền anh, chung quanh là ánh sáng vàng nhạt. Ánh sáng nhạt và hơi bệnh hoạn đó đã được tác giả tạo lại trong một bức chân dung khác ông thực hiện năm 1939-1945. Nhưng lần này Bonnard trong gương chỉ còn là một chiếc bóng lập lờ, của một người đang gần đất xa trời.Marthe, nguồn sáng tác vô tận Đôi mắt u uẩn của Pierre Bonnard trong các bức chân dung tự họa đang nhìn thấy những gì ? Phải chăng ông đang hồi tưởng lại thân hình ngọc ngà, mềm mại, của Marthe ở độ tuổi đôi mươi ? Marthe là người mẫu, là nguồn sáng tác bất tận, là người tình và người vợ, là người theo chân ông gần suốt ¾ cuộc đời. Bà là bến đỗ, là nữ thần hộ vệ là một phần linh hồn của danh họa Pierre Bonnard.Nàng là người đàn bà tóc vàng ngồi bên cạnh con mèo trắng trong La Femme au Chat (1912), là chủ đề của La sieste – Giấc ngủ trưa năm 1900. Marthe là nguồn cảm hứng của cả chục bức khỏa thân trong phòng tắm mà ông miệt mài sáng tác trong hơn hai mươi năm trời. Ông đưa cặp vú căng tròn của cô vào bức họa La Cheminée- Lò sưởi năm 1916.Hình bóng Marthe luôn ẩn hiện trong những khu vườn của ông ở vùng Normandie hay Côtes d'Azur. Dưới bút pháp của Pierre Bonnard, thân hình của Marthe không hề có một nếp nhăn, như thế dấu ấn thời gian không đọng lại trên nước da trắng ngà của người con gái ông đã quen khi mới vừa 26 tuổi. Đôi mắt xanh lơ và thân hình quyến rũ của cô gái bán hoa vải ở phố Pigalle cũng là những cánh cổng sắt, cô lập ông với thế giới bên ngoài.Liên hệ giữa Bonnard với Marthe đã được đưa vào tác phẩm L'Homme et la Femme, tranh sơn dầu sáng tác năm 1900. Marthe và Pierre sau một cuộc ân ái. Người đàn bà ngồi trên giường, vuốt ve con mèo. Người đàn ông khỏa thân, trực diện với chính mình trong gương. Giữa họ là một tấm bình phong ngăn cách hai thế giới nội tâm khác biệt.Isabelle Cahn, quản thủ bảo tàng Musée d'Orsay nói về ảnh hưởng và vị trí của cô gái bán hoa vải, Marthe đối với Bonnard :« Marthe đã đem lại rất nhiều cho Bonnard về mặt cá nhân. Chàng họa sĩ trẻ tuổi con nhà lành, Pierre Bonnard đã bị thân hình gần như tuyệt hảo của cô làm choáng ngợp. Trong gần 20 năm, thân hình ngọc ngà đó không ngừng là đề tài được ông đưa vào hội họa và cả nghệ thuật nhiếp ảnh nữa. Ngược lại Bonnard ít khi tập trung vào khuôn mặt của người tình ». Histoire d'eauLoạt tranh khỏa thân trong phòng tắm thực hiện vào những thập niên 1920- 1930, chiếm riêng một gian trưng bày với chủ đề « Histoire d'eau ». Những vật dụng trong phòng tắm, từ gạch đá hoa đến giấy dán tường, từ tấm màn cửa, thảm, gương, bồn tắm … đều được tác giả bố trí như để bọc lấy một thân hình mảnh mai, thụ động. Nu dans le bain hay Nu dans la baignoire … cho thấy mức độ gần gũi giữa Bonnard với người mẫu của ông. Năm 1925 Pierre Bonnard thành hôn với Marthe sau hơn 20 năm chung sống. Vài tuần lễ sau, người tình của ông, Renée Monchaty, kết liễu cuộc đời. Sau này người ta mới biết, người mẫu trong série tranh khỏa thân của Bonnard, không nhất thiết là Marthe.Normandie- Côtes d'Asur, chốn địa đàng Vào cuối đời Pierre Bonnard tâm sự « Không bao giờ có nghệ thuật nếu không có thiên nhiên ». Ánh sáng muôn màu, lung linh vì hơi nước, thay đổi từng giờ bên dòng sông Seine uốn lượn của vùng Normandie đã thuyết phục Bonnard năm 1912 mua một căn nhà trên ngọn đồi ở Vernonnet, cách không xa khu vườn Giverny của Monet.Hơn một chục năm sau, sắc màu của vùng nắng ấm miền nam, biển biếc của bờ Địa Trung Hải đã làm ông xiêu lòng. Bonnard tậu thêm một căn hộ thứ nhì ở Le Cannet vùng Côtes d'Azur, về ở gần Renoir. Dù rất khâm phục hai danh họa bậc thầy của trường phái ấn tượng là Renoir và Monet, nhưng khác với Monet và Renoir, Pierre Bonnard vẽ theo ký ức để, như chính ông định nghĩa : vẽ để « giữ lại một khoẳnh khắc phù du ». Nếu như khung trời miền Bắc là nguồn cảm hứng cho những Eté en Normandie – Mùa hè ở Normandie, Le Jardin Sauvage- Vườn hoang, Le Paradis terrestre –Địa Đàng, La Symphonie pastorale- Bản giao hưởng đồng quê, thì nắng ấm chói chang của vùng Côtes d'Azur là nơi Pierre Bonnard đã sáng tác ra những La Palme – Cành cọ (1926), L'Atelier du Mimosa (1939-1946) với những chùm mimosa vàng rực rỡ khoe sắc bên kia khung cửa sổ, là cây hạnh đào lộng lẫy trong mùa nở hoa, L'Amandier en fleur (1946-1947).Màu vàng và gam màu nóng vẫn là chủ đạo, nhưng Bonnard đã pha vào đó những sắc tía, xanh, tím. L'Amandier en fleur là tác phẩm cuối cùng của Pierre Bonnard. Trong đó, sắc xanh nước biển ẩn hiện bên những chùm hoa trắng. Đó cũng là những chùm hoa cuối cùng ông « tô điểm cho đời » hay đấy là những hình ảnh ông vĩnh viễn mang đi khi từ dã trần gian ? Pierre Bonnard từ trần một ngày sau khi ông hoàn tất Cây hạnh đào trong mùa nở hoa.
Wykład Agnieszki Rosales Rodriguez towarzyszący wystawie „Polska. Siła obrazu”, Muzeum Narodowe w Warszawie, 30 listopada 2020 [1h05min] Polscy artyści we Francji odnosili sukcesy na przełomie XIX i XX wieku, wyrywając się z „zaklętego kręgu polskości”. O działalności w Paryżu takich twórców jak Jan Stanisławski, Józef Chełmoński, Leon Wyczółkowski czy Aleksander Gierymski opowiada dr hab. Agnieszka Rosales Rodriguez w wykładzie towarzyszącym wystawie „Polska. Siła obrazu” w Muzeum Narodowym w Warszawie. Więcej: https://wszechnica.org.pl/wyklad/marze-o-paryzu-ciagle-polscy-artysci-we-francji-na-przelomie-xix-i-xx-wieku „Marzę o Paryżu ciągle”, pisał w 1888 roku na dwa lata przed podróżą do Francji Aleksander Gierymski. Miasto leżące nad Sekwaną w drugiej połowie XIX wieku pozostawało najważniejszym punktem odniesienia nie tylko dla Gierymskiego, ale też dla innych polskich malarzy. Artyści przybywali do Paryża, żeby studiować w tamtejszej École des Beaux-Arts lub jednej z liczny akademii prywatnych. Pociągał ich też nastrój bohemy Montmartre czy Montparnasse. Polscy artyści we Francji nierzadko wyrywali się z „zaklętego kręgu polskości”, dokonując znacznych przeobrażeń rodzimej sztuki w zakresie tematyki, środków formalnych, rozumienia roli obrazu czy autonomizacji środków artystycznych. Udziałem takich malarzy jak Jan Stanisławski, Józef Chełmoński, Leon Wyczółkowski czy wspomniany Gierymski były rewolucje kolorystyczne czy luministyczne. Uczniowie Józefa Pankiewicza z paryskiej filii krakowskiej ASP poznali zarówno nowoczesne malarstwo francuskie, jak też zbiory Luwru. Dr hab. Agnieszka Rosales Rodriguez – jest adiunktem w Zakładzie Historii Sztuki i Kultury Nowoczesnej w Instytucie Historii Sztuki UW, przedmiotem jej zainteresowań badawczych jest polskie oraz europejskie malarstwo i krytyka artystyczna w XVIII i XIX wieku, w Muzeum Narodowym w Warszawie współorganizowała wystawy Malarstwo niemieckie w XIX wieku ze zbiorów polskich (2005), Le siecle français. Francuskie malarstwo i rysunek XVIII wieku ze zbiorów polskich (2009), Biedermeier (2017-18). Pracowała też przy wystawie Pologne 1840–1914. Peindre l'âme d'une nation w Louvre-Lens (2019-20) Znajdź nas: https://www.youtube.com/c/WszechnicaFWW/ https://www.facebook.com/WszechnicaFWW1/ https://anchor.fm/wszechnicaorgpl---historia https://anchor.fm/wszechnica-fww-nauka https://wszechnica.org.pl/ #muzeumnarodowe #francja #artyści #malarze #malarstwo #sztuka
Chiến tranh, thời cuộc xoay vần, nỗi bất hạnh không có chỗ đứng trong tranh của Pierre Bonnard (1867-1947). Chịu ảnh hưởng của Gauguin, của hội họa dân gian Nhật Bản, một thoáng gì của Matisse, của Renoir, nhưng Bonnard sớm khẳng định ông vẽ tranh để « tô điểm cho cuộc đời ». (Tạp chí phát lần đầu ngày 08/05/2015). Tranh của Bonnard tràn đầy nhựa sống. Cảnh sinh hoạt thường ngày trên đường phố Paris, khu vườn ở Normandie hay chỉ đơn thuần là tô sữa bên cửa sổ, dưới cây cọ của Bonnard tất cả đều trở nên sống động hơn, thơ mộng hơn, xanh tươi hơn. Đằng sau ánh sáng chan hòa, những đường nét sinh động, là một thoáng lo âu, là một chút gì dễ vỡ, là « những thiên đường đã mất ».Bảo tàng Mussée d'Orsay quận 7 Paris tổ chức cuộc triền lãm « Pierre Bonnard, Peindre l'Arcadie » từ ngày 17/03/2015 đến 19/07/2015, quy tụ hơn 150 tác phẩm hội họa và một số những bức ảnh đen trắng tiêu biểu cho từng giai đoạn sáng tác trong hành trình nghệ thuật gần 60 năm của một họa sĩ bậc thầy cuối thế kỷ thứ XIX, nửa đầu thế kỷ XX.« Pierre Bonnard, Peindre l'Arcardie »Arcadie là một vùng núi ở miền nam Hy Lạp. Trong thần thoại, đấy là chốn thanh bình nơi địa đàng. Như tên gọi của nó, triển lãm ở bảo tàng Musée d'Orsay đã tập hợp những tác phẩm của ông phù thủy thổi nhựa sống vào trong tranh, dù đó là cảnh đồng quê vùng Normandie miền bắc nước Pháp hay là những chân trời bát ngát dưới nắng vàng rực rỡ, dưới sắc biếc của miền nam ven bờ Địa Trung Hải, hay chỉ đơn thuần là cảnh một cô gái trong buồng tắm, một bức khỏa thân bên lò sưởi, một tác phẩm nature morte hay một bức chân dung tự vẽ.Ở bất cứ khung trời nào, thế giới của Bonnard luôn toát lên một sự hài hòa giữa con người với cảnh vật chung quanh. Isabelle Cahn, quản thủ bảo tàng Musée d'Orsay :« Tranh của ông nói về sự sống, về hơi thở, về những chuyển động trong cuộc đời, về thời gian về những gì không nắm bắt được. Nhìn dưới góc độ đó, phải nói là danh họa Bonnard đã đặt ông trước một thách thức rất lớn ». Xem tranh của Bonnard, ta như nghe được cả tiếng lá xào xạc, tiếng chim hót, như cảm thấy được cả vị ngọt của những quả cam vàng mọng nước, hay những ngọn gió thổi vào một gian phòng …Để tạo được những cảm giác như vậy là cả một sự tìm tòi công phu về cách sắp đặt từng chi tiết trong tác phẩm của mình, là cách sử dụng màu sắc rất tinh vi chỉ Pierre Bonnard mới có được. Bên cạnh những gam màu nóng, như vàng, nâu, đỏ, luôn kèm theo một vài sắc tía, ngả về màu tím, xanh lơ. Chính những sắc màu đệm đó phản ảnh những giày vò nội tâm, những vết thương thầm kín mà tác giả đã cố tình không đưa vào tranh của ông.Giám đốc điều hành bảo tàng Bonnard tại Le Cannet, vùng Côtes d'Azur Véronique Serrano nhận xét :« Ông làm việc với một gam màu khá giới hạn nhưng ông đã phối hợp những màu sắc đó với nhau, để thổi hồn vào mỗi tác phẩm của mình, để mỗi tác phẩm của Bonnard đều có sức lôi cuốn lạ thường. Bonnard thường được xem là người ‘tô điểm cho cuộc sống', là họa sĩ ‘đem lại hạnh phúc' cho thiên hạ. Trong khi đó như chính ông đã từng tâm sự : ‘kẻ hay hát, chưa hẳn là đã yêu đời hay hạnh phúc'. Đâu đó, những bức tranh rực rỡ sắc màu như thể là cách để ông che giấu những vết thương nội tâm. Đó cũng là hình thức để ông cưỡng lại nỗi hoang mang sâu thẳm ». Trong gian trưng bầy đầu tiên của triển lãm « Pierre Bonnard, Peindre l'Arcadie » bảo tàng Musée d'Orsay giới thiệu đến người xem những tác phẩm trong thời kỳ Pierre Bonnard chịu ảnh hưởng rất lớn của nghệ thuật hội họa dân gian Nhật Bản với những motif đan xen vào nhau mà điển hình là bức bình phong Paravent à trois feuilles - thực hiện năm 1889. Trong đó, Bonnard mượn từ màu đỏ thẫm của hội họa Nhật Bản đến ánh trăng vàng, từ hình ảnh con chim hoàng yến, trĩ, hạc đến những bụi trúc hay cụm thạch thảo của phương đông.Cũng trong thời kỳ này, Pierre Bonnard đã thực hiệu nhiều bức tranh rất lạ, chẳng hạn như tác phẩm Intimité – thân mật (năm 1891), mà trong đó, ta thấy một người đàn ông ngồi hút tẩu thuốc. Bên trái là một người đàn bà chìm trong bóng tối. Ở phía trước của hai người, là một bàn tay với một tẩu thuốc pipe thứ nhì, lớn hơi quá khổ so với phần còn lại của tổng thể bức tranh. Thậm chí khi mới nhìn thoáng qua, chưa chắc ta đã trông thấy bàn tay to lớn đó và khói thuốc gần như tan trong những hình vẽ của giấy dán trên tường.Với Intimité, Pierre Bonnard đã đan xen những motif vào nhau, như vừa để đánh lừa người xem, nhưng vừa để tạo ra một bầu không khí cho bức tranh của mình. Ta như cảm nhận được chút gì thân mật, ấm cúng và cả mùi thơm của khói thuốc đang lan tỏa ra khắp căn phòng. Tính tinh nghịch, đùa giỡn với không gian của một Pierre Bonnard thủa trẻ được xác định một lần nữa với tác phẩm Danceuses (1896) mà ở đó tác giả vẽ những cô vũ nữ của nhà hát Opéra như thể ông chụp hình các cô từ trên cao nhìn xuống.Con người thầm kín của Bonnard Năm 1947 khi Bonnard qua đời, Pablo Picasso, một cây đại thụ khác của làng hội họa thế giới trong thế kỷ XX, thốt lên rằng : « Vẽ như Bonnard thì không phải là vẽ ». Trong mắt cha đẻ của trường phái lập thể này, Bonnard là một họa sĩ hời hợt, chỉ hướng về những đề tài mang tính nhẹ nhàng. Nhưng có lẽ tác giả của những Guernica hay Người Đàn bà Khóc đã không cảm được sự hoang mang, sự chua xót của Bonnard qua những bức chân dung tự vẽ vào năm 1930, 1931, 1939- 1945.Tuổi già, nỗi cô đơn, hiện rõ trên khuôn mặt của người trong gương. Đôi mắt u uẩn của Bonnard trong bức chân dung tự vẽ năm 1945 thể hiện thái độ cam chịu của một con người đã đi gần hết cuộc đời. Ở đây ta thấy Pierre Bonnard trong một chiếc áo nâu gần như một chiếc áo ca sa, trong tư thế của một nhà sư Nhật Bản. Ông hơi mỉm cười như nụ cười của Rembrandt trong bức chân dung tự họa cuối cùng.Nhưng bi tráng hơn cả là bức tự họa được Bonnard đặt cho cái tên Le Boxeur- Võ sĩ quyền anh. Mình trần, khuôn mặt chìm trong bóng tối, nhưng đủ để cho thấy những vết bầm dập của thời gian. Bonnard trong tư thế của một võ sĩ quyền anh, chung quanh là ánh sáng vàng nhạt. Ánh sáng nhạt và hơi bệnh hoạn đó đã được tác giả tạo lại trong một bức chân dung khác ông thực hiện năm 1939-1945. Nhưng lần này Bonnard trong gương chỉ còn là một chiếc bóng lập lờ, của một người đang gần đất xa trời.Marthe, nguồn sáng tác vô tận Đôi mắt u uẩn của Pierre Bonnard trong các bức chân dung tự họa đang nhìn thấy những gì ? Phải chăng ông đang hồi tưởng lại thân hình ngọc ngà, mềm mại, của Marthe ở độ tuổi đôi mươi ? Marthe là người mẫu, là nguồn sáng tác bất tận, là người tình và người vợ, là người theo chân ông gần suốt ¾ cuộc đời. Bà là bến đỗ, là nữ thần hộ vệ là một phần linh hồn của danh họa Pierre Bonnard.Nàng là người đàn bà tóc vàng ngồi bên cạnh con mèo trắng trong La Femme au Chat (1912), là chủ đề của La sieste – Giấc ngủ trưa năm 1900. Marthe là nguồn cảm hứng của cả chục bức khỏa thân trong phòng tắm mà ông miệt mài sáng tác trong hơn hai mươi năm trời. Ông đưa cặp vú căng tròn của cô vào bức họa La Cheminée- Lò sưởi năm 1916.Hình bóng Marthe luôn ẩn hiện trong những khu vườn của ông ở vùng Normandie hay Côtes d'Azur. Dưới bút pháp của Pierre Bonnard, thân hình của Marthe không hề có một nếp nhăn, như thế dấu ấn thời gian không đọng lại trên nước da trắng ngà của người con gái ông đã quen khi mới vừa 26 tuổi. Đôi mắt xanh lơ và thân hình quyến rũ của cô gái bán hoa vải ở phố Pigalle cũng là những cánh cổng sắt, cô lập ông với thế giới bên ngoài.Liên hệ giữa Bonnard với Marthe đã được đưa vào tác phẩm L'Homme et la Femme, tranh sơn dầu sáng tác năm 1900. Marthe và Pierre sau một cuộc ân ái. Người đàn bà ngồi trên giường, vuốt ve con mèo. Người đàn ông khỏa thân, trực diện với chính mình trong gương. Giữa họ là một tấm bình phong ngăn cách hai thế giới nội tâm khác biệt.Isabelle Cahn, quản thủ bảo tàng Musée d'Orsay nói về ảnh hưởng và vị trí của cô gái bán hoa vải, Marthe đối với Bonnard :« Marthe đã đem lại rất nhiều cho Bonnard về mặt cá nhân. Chàng họa sĩ trẻ tuổi con nhà lành, Pierre Bonnard đã bị thân hình gần như tuyệt hảo của cô làm choáng ngợp. Trong gần 20 năm, thân hình ngọc ngà đó không ngừng là đề tài được ông đưa vào hội họa và cả nghệ thuật nhiếp ảnh nữa. Ngược lại Bonnard ít khi tập trung vào khuôn mặt của người tình ». Histoire d'eauLoạt tranh khỏa thân trong phòng tắm thực hiện vào những thập niên 1920- 1930, chiếm riêng một gian trưng bày với chủ đề « Histoire d'eau ». Những vật dụng trong phòng tắm, từ gạch đá hoa đến giấy dán tường, từ tấm màn cửa, thảm, gương, bồn tắm … đều được tác giả bố trí như để bọc lấy một thân hình mảnh mai, thụ động. Nu dans le bain hay Nu dans la baignoire … cho thấy mức độ gần gũi giữa Bonnard với người mẫu của ông. Năm 1925 Pierre Bonnard thành hôn với Marthe sau hơn 20 năm chung sống. Vài tuần lễ sau, người tình của ông, Renée Monchaty, kết liễu cuộc đời. Sau này người ta mới biết, người mẫu trong série tranh khỏa thân của Bonnard, không nhất thiết là Marthe.Normandie- Côtes d'Asur, chốn địa đàng Vào cuối đời Pierre Bonnard tâm sự « Không bao giờ có nghệ thuật nếu không có thiên nhiên ». Ánh sáng muôn màu, lung linh vì hơi nước, thay đổi từng giờ bên dòng sông Seine uốn lượn của vùng Normandie đã thuyết phục Bonnard năm 1912 mua một căn nhà trên ngọn đồi ở Vernonnet, cách không xa khu vườn Giverny của Monet.Hơn một chục năm sau, sắc màu của vùng nắng ấm miền nam, biển biếc của bờ Địa Trung Hải đã làm ông xiêu lòng. Bonnard tậu thêm một căn hộ thứ nhì ở Le Cannet vùng Côtes d'Azur, về ở gần Renoir. Dù rất khâm phục hai danh họa bậc thầy của trường phái ấn tượng là Renoir và Monet, nhưng khác với Monet và Renoir, Pierre Bonnard vẽ theo ký ức để, như chính ông định nghĩa : vẽ để « giữ lại một khoẳnh khắc phù du ». Nếu như khung trời miền Bắc là nguồn cảm hứng cho những Eté en Normandie – Mùa hè ở Normandie, Le Jardin Sauvage- Vườn hoang, Le Paradis terrestre –Địa Đàng, La Symphonie pastorale- Bản giao hưởng đồng quê, thì nắng ấm chói chang của vùng Côtes d'Azur là nơi Pierre Bonnard đã sáng tác ra những La Palme – Cành cọ (1926), L'Atelier du Mimosa (1939-1946) với những chùm mimosa vàng rực rỡ khoe sắc bên kia khung cửa sổ, là cây hạnh đào lộng lẫy trong mùa nở hoa, L'Amandier en fleur (1946-1947).Màu vàng và gam màu nóng vẫn là chủ đạo, nhưng Bonnard đã pha vào đó những sắc tía, xanh, tím. L'Amandier en fleur là tác phẩm cuối cùng của Pierre Bonnard. Trong đó, sắc xanh nước biển ẩn hiện bên những chùm hoa trắng. Đó cũng là những chùm hoa cuối cùng ông « tô điểm cho đời » hay đấy là những hình ảnh ông vĩnh viễn mang đi khi từ dã trần gian ? Pierre Bonnard từ trần một ngày sau khi ông hoàn tất Cây hạnh đào trong mùa nở hoa.
Craft & Blabla : le podcast créatif et lifestyle🧵🎙ï¸
Quoi de plus fun que de faire des Activités créatives avec ses enfants pour Noël ? Avec eux ou pour les laisser en autonomie quelques minutes, on vous propose des DIY accessible et créatifs pour les occuper pendant ce mois de festivités. Nous suivre
durée : 00:54:13 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Au Musée d'Orsay, hommage au peintre Gustave Caillebotte (1848-1894) qui fut aussi grand collectionneur et mécène, architecte naval, régatier. - réalisation : Anna Holveck - invités : Stéphane Guégan Historien, critique d'art, Conseiller scientifique auprès de la Présidence du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie.; Dominique Bona Membre de l'Académie française
Wykład Przemysława Głowackiego towarzyszący wystawie „Polska. Siła obrazu”, Muzeum Narodowe w Warszawie, 29 października 2020 [1h15min] https://wszechnica.org.pl/wyklad/polska-sila-obrazu Przemysław Głowacki podczas wykładu „oprowadza” słuchaczy po wystawie „Polska. Siła obrazu” w Muzeum Narodowym w Warszawie. Prelegent przedstawia poszczególne części ekspozycji, opowiadając o kontekście powstania oraz interpretacji wybranych dzieł. Nagranie powstało w ramach muzealnego cyklu edukacyjnego, który towarzyszył wystawie. Wystawa „Polska. Siła obrazu” w Muzeum Narodowym w Warszawie prezentuje dzieła najwybitniejszych polskich malarzy z XIX wieku. Stanowi adaptację wystawy „Pologne 1840–1914. Peindre l'âme d'une nation”, która odbyła się w filii Luwru w Lens. Okazją do jej przygotowania było 100-lecie odzyskania przez Polskę niepodległości. Dodatkową okolicznością był fakt, że we francuskim miasteczku wciąż mieszka wielu potomków polskich emigrantów, którzy przyjechali tu pracować w kopalniach węgla. – Szybko okazało się, że pierwotny pomysł rozrósł się do nowej wystawy, która samych organizatorów zaskoczyła w tym sensie, że rozpoznali terra incognita, jaką było malarstwo polskie. Nasi koledzy nie tylko zachwycili się twórczością Malczewskiego, Ruszczyca, Krzyżanowskiego, Matejki, ale zrozumieli także, że jest to sztuka w pełni europejska – mówiła dr hab. Agnieszka Rosales Rodriguez w wykładzie Wystawa o Polsce w Louvre-Lens i w Warszawie. Przemysław Głowacki o wyjątkowości wystawy „Polska. Siła obrazu” – Wystawa została przygotowana przez kuratorów z Muzeum Narodowego w Warszawie oraz kuratorów francuskich, opierając się przede wszystkim o zbiory warszawskiego muzeum. Ale to co czyni tę wystawę wyjątkową, to nagromadzenie na niej najlepszych polskich obrazów – mówi Przemysław Głowacki. Dodaje, że wyeksponowanie w jednym miejscu dzieł zgromadzonych w magazynach, eksponowanych na co dzień na wystawie stałej, jak też wypożyczonych z innych instytucji kultury, stworzyło wyjątkową panoramę sztuki polskiej drugiej połowy XIX i początku XX wieku. Prelegent wskazuje, że tytuł „Polska. Siła obrazu” podkreśla „znaczenie sztuk plastycznych dla utrzymania ducha narodu, który podzielony był zaborami”. Zapraszamy do wysłuchania wykładu, podczas którego Przemysław Głowacki „oprowadza” słuchaczy po poszczególnych częściach wystawy, przybliżając kontekst powstania oraz interpretację wybranych dzieł. Przemysław Głowacki – historyk sztuki, edukator muzealny, nauczyciel, od wielu lat zajmuje się popularyzacją wiedzy o sztuce, współpracuje m.in. z Muzeum Narodowym w Warszawie, Zamkiem Królewskim w Warszawie, Stołecznym Centrum Edukacji Kulturalnej, Mazowieckim Centrum Kultury i Sztuki Znajdź nas: https://www.youtube.com/c/WszechnicaFWW/ https://www.facebook.com/WszechnicaFWW1/ https://anchor.fm/wszechnicaorgpl---historia https://anchor.fm/wszechnica-fww-nauka https://wszechnica.org.pl/ #kultura #sztuka #muzeum #muzeumnarodowe #obrazy #malarstwo
Peindre un plafond n'est jamais une tâche agréable. Pourtant, c'est essentiel pour redonner de la luminosité à une pièce, que ce soit lors d'une rénovation, pour rafraîchir la couleur des murs ou pour effacer les traces laissées par un dégât des eaux. Stéphane Plaza vous donne ses astuces pour devenir le nouveau Michel Ange...
durée : 00:54:13 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Au Musée d'Orsay, hommage au peintre Gustave Caillebotte (1848-1894) qui fut aussi grand collectionneur et mécène, architecte naval, régatier. - réalisation : Anna Holveck - invités : Stéphane Guégan Historien, critique d'art, Conseiller scientifique auprès de la Présidence du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie.; Dominique Bona Membre de l'Académie française
Wykład Iwony Danielewicz i Agnieszki Rosales-Rodriguez towarzyszący wystawie „Polska. Siła obrazu”. Muzeum Narodowe w Warszawie, 24 września 2020 [1h03min] https://wszechnica.org.pl/wyklad/wystawa-o-polsce-w-louvre-lens-i-w-warszawie/ W nagraniu kuratorki dr hab. Agnieszka Rosales Rodriguez oraz Iwona Danielewicz opowiadają o tworzeniu się koncepcji wystawy „Polska. Siła obrazu” w Muzeum Narodowym w Warszawie. Prezentuje ona dzieła najwybitniejszych polskich malarzy z XIX wieku. Jej pierwowzorem była ekspozycja „Pologne 1840–1914. Peindre l'âme d'une nation” w filii Luwru w Lens. Prelegentki mówią o niełatwej sztuce wprowadzenia francuskiej publiczności w historię Polski. Opisują również poszczególne fragmenty ekspozycji, kreśląc sylwetki artystów oraz opisując kontekst powstania ich prac. Wystawa „Polska. Siła obrazu” w Muzeum Narodowym w Warszawie prezentuje dzieła najwybitniejszych polskich malarzy z XIX wieku. Stanowi ona adaptację wystawy „Pologne 1840–1914. Peindre l'âme d'une nation”, która została zorganizowana w filii Luwru w Lens. Tamta ekspozycja pierwotnie miała być skierowana do mieszkającej w Lens Polonii. – Szybko okazało się, że pierwotny pomysł rozrósł się do nowej wystawy, która samych organizatorów zaskoczyła w tym sensie, że rozpoznali terra incognita, jaką było malarstwo polskie. Nasi koledzy nie tylko zachwycili się twórczością Malczewskiego, Ruszczyca, Krzyżanowskiego, Matejki, ale zrozumieli także, że jest to sztuka w pełni europejska – mówi dr hab. Rosales Rodriguez. „Polska. Siła obrazu”. Wystawa o tworzeniu się polskości Wystawa koncentruje się wokół tematu tworzenia się pojęcia polskości, gdzie malarstwo odegrało bardzo istotną rolę mitotwórczą. – To właśnie wspólne symbole, figury budują to poczucie wspólnoty. A więc pewnego rodzaja duchowe czynniki, a nie tylko materialne, jak przynależność to samej ziemi (…). To był pewien proces, który przebiegał przez cały XIX wiek – wskazuje kuratorka. W nagraniu wykładu dr hab. Agnieszka Rosales Rodriguez oraz Iwona Danielewicz opowiadają o tworzeniu się koncepcji francuskiej i polskiej wystawy, w tym niełatwej sztuce wprowadzenia francuskiej publiczności w historię Polski. Opowiadają również o poszczególnych fragmentach ekspozycji „Polska. Siła obrazu”, kreśląc sylwetki artystów oraz opisując kontekst powstania ich dzieł. Dr hab. Agnieszka Rosales Rodriguez – jest adiunktem w Zakładzie Historii Sztuki i Kultury Nowoczesnej w Instytucie Historii Sztuki UW, przedmiotem jej zainteresowań badawczych jest polskie oraz europejskie malarstwo i krytyka artystyczna w XVIII i XIX wieku, w Muzeum Narodowym w Warszawie współorganizowała wystawy Malarstwo niemieckie w XIX wieku ze zbiorów polskich (2005), Le siecle français. Francuskie malarstwo i rysunek XVIII wieku ze zbiorów polskich (2009), Biedermeier (2017-18). Pracowała też przy wystawie Pologne 1840–1914. Peindre l'âme d'une nation w Louvre-Lens (2019-20) Iwona Danielewicz - jest kuratorką w Galerii Malarstwa Polskiego do 1914 roku, specjalizuje się w malarstwie francuskim z okresu XVIII i XIX wieku Znajdź nas: https://www.youtube.com/c/WszechnicaFWW/ https://www.facebook.com/WszechnicaFWW1/ https://anchor.fm/wszechnicaorgpl---historia https://anchor.fm/wszechnica-fww-nauka https://wszechnica.org.pl/ #muzeum #sztuka #muzeumnarodowe #kultura
La rétrospective du Musée du Luxembourg propose un regard renouvelé sur Tarsila do Amaral, peintre majeure au Brésil peu connue en France, et sur son œuvre singulière. À travers cette conférence, la commissaire Cecilia Braschi présente la conception de cette exposition et le parcours de cette femme artiste au cœur du modernisme brésilien.
durée : 00:26:59 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Au programme du débat critique, des expositions : "Gustave Caillebotte. Peindre les hommes" au Musée d'Orsay et "Corita Kent. La révolution joyeuse" au Collège des Bernardins. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
Nous sommes au Ve siècle. C'est à cette époque que la croyance en l'assomption de Marie se répand en Occident. Mais cet « événement » ne devient populaire qu'au cours du XIIe sous l'influence de Bernard de Clairvaux, moine bourguignon, important promoteur de l'ordre cistercien et réformateur de la vie religieuse catholique. On représente alors la vierge de diverses manières , couronnée par un ange, ou déjà couronnée et bénie par son fils, ou celui-ci déposant lui-même la couronne sur la tête de sa mère… Les plus grands artistes de l'art européen vont s'emparer de ce thème et d'autres motifs religieux afin de rendre visible ce qui ne l'est pas : la foi, l'espérance, le doute, la colère… Raphaël, Le Caravage, Michel Ange, Rembrandt, Rubens, Delacroix et tant d'autre vont s'exprimer dans le style qui leur est propre, avec leur sensibilité et aussi leurs ambitions. Leurs besoins et leurs exigences économiques. A travers leurs œuvres, qui sont plus que de simples illustrations, ils vont transformer les récits chrétiens et les messages véhiculés par la Bible. Que l'intention soit esthétique, théologique ou politique, le travails de ces artistes témoigne de l'évolution constante des textes sacrés au fil de siècles. Avec nous : Régis Burnet, professeur à la faculté de théologie de l'Université de Louvain. Auteur de « Peindre la Bible » aux éditions Bayard. Sujets traités : Bernard de Clairvaux, Bible, peintre, Raphaël, Le Caravage, Michel Ange, Rembrandt, Rubens, Delacroix , peinture, chrétiens Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Atsoupé, artiste peintre, est l'invitée du 16ème épisode de Femmes artistes / Artistes femmes. Je l'ai rencontrée en juillet dernier, dans son atelier à Montrouge, en région parisienne, un petit atelier en fond de cour baigné de soleil. La joie de vivre émanait de son visage. Nous étions entourées de ses visages, pour la plupart plus grands que nature. Des visages aux regards francs, parfois sombres, ornés de matières et de couleurs.Après, une enfance africaine, témoin d'atrocités, Atsoupé poursuit sa scolarité en France. Victime à l'adolescence d'un accident grave, elle découvre la peinture, tout en réapprenant à marcher. Ce faisant, elle réapprivoise sa mémoire, partiellement effacée. L'art d'Atsoupé, « brut » de prime abord, se développe, s'enrichit et s'épanouit au contact des autres, durant ses années aux Beaux-Arts de Paris. Aujourd'hui jeune maman, Atsoupé vit entre Paris et la Bourgogne, auprès de son compagnon, artiste peintre également.Nous avons parlé de la peinture comme révélateur de souvenirs (et d'avenir), des rêves (ce qu'ils lui inspirent), de sa maternité, de sa manière de créer, si spontanée, de ses envies de peindre « radicalement », de peindre rien et tout en même temps, du sacré et de l'éphémère, de bleu, de rouge, de liberté, et de mouvement. Liberté de peindre n'importe où, n'importe quand. De ne peindre que des visages, mais en mettant tout dedans, l'océan, la pluie, le soleil, le jour. Et la nuit, aussi.Pendant cet entretien, nous avons aussi évoqué :Les artistes qui inspirent son travail :Pina Bausch, Cy Twombly, Jaume Plensa, Anish Kapoor et sa performance Leviathan, à l'occasion de Monumenta 2011 au Grand Palais à Paris.Références littérairesLes tisseurs de silence par Philippe Filliot et Soizic Michelot, Éditions Les heures brèves (2024)L'oeil le plus bleu de Toni Morrison Oeuvre décrite en intro de l'épisode : Visage noir sur fond jaune (2023) Encre et pastel sur papier 76 x 57 cmSes prochaines expositions :Salon Also Known As Africa (AKAA) avec la galerie Anne de Villepoix, du 18 au 20 octobre 2024Exposition collective Africains Everywhere (Région Centre-Val de Loire) du 19 au 20 octobre, du 15 au 27 octobre et du 1er au 3 novembre 2024Pour suivre Atsoupé : sa page Instagram @atsoupe et le site internet de sa galerie Anne de Villepoix https://www.annedevillepoix.com/atsoupePour soutenir le podcast : suivre, commenter, étoiler ! Et se rendre sur ma page Tipee : https://en.tipeee.com/artistes-femmes-le-podcast ainsi que sur la page instagram du podcast @artistesfemmeslepodcast.Femmes artistes / Artistes femmes est un podcast entièrement indépendant créé et produit par Ada Kafel. Ada Kafel est artiste peintre, art-thérapeute et maman d'un petit garçon de 6 ans. On peut voir son travail sur sa page instagram @a_felka.Musique :Nocturne No. 8 in D-Flat Major, Op. 27 No. 2 de Frederic Chopin par Maria Joao PiresHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“Caillebotte” Peindre les hommesau Musée d'Orsay, Parisdu 8 octobre 2024 au 19 janvier 2025Entretien avec Paul Perrin, conservateur en chef et directeur de la conservation et des collections – musée d'Orsay, commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 7 octobre 2024, durée 16'22,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/10/08/3563_gustave-caillebotte_musee-d-orsay/Communiqué de presseCommissariat :Au musée d'Orsay : Paul Perrin, conservateur en chef et directeur de la conservation et des collections, musée d'Orsay ; avec la collaboration de Fanny Matz, chargée d'études documentaires au musée d'Orsay, Paris.Au J. Paul Getty Museum : Scott Allan, curator of Paintings, The J. Paul Getty Museum.À l'Art Institute of Chicago : Gloria Groom, Curator of Painting and Sculpture of Europe and chair and David and Mary Winton Green, The Art Institute of Chicago ; avec la collaboration de Megan True, curatorial assistant, Department of Painting and Sculpture of Europe, The Art Institute of Chicago.Exposition présentée au J. Paul Getty Museum du 25 février au 25 mai 2025 et à l'Art Institute of Chicago du 29 juin au 5 octobre 2025.Alors qu'en 2024 nous commémorons le 130ème anniversaire de la mort de Gustave Caillebotte (1848-1894), cette exposition explore la prédilection de l'artiste impressionniste pour les figures masculines et les portraits d'hommes, et ambitionne d'éclairer d'un nouveau jour la vie et l'oeuvre d'un des plus grands peintres du XIXe siècle. En 2021 et 2022, le J. Paul Getty Museum et le musée d'Orsay ont acquis respectivement deux chefs-d'œuvre de Caillebotte, Jeune homme à sa fenêtre et Partie de bateau (ce dernier classé « trésor national » et acquis grâce au mécénat exclusif de LVMH). Au centre de ces deux tableaux, proches du spectateur, deux figures d'hommes, l'un représenté de dos, dominant et observant le nouveau Paris d'Haussmann, l'autre, face à nous, ramant énergiquement dans un canot de promenade. Ces oeuvres sont emblématiques du travail de l'artiste, dont près de 70% des tableaux de figures représentent exclusivement des hommes, et qui semble s'être intéressé surtout au côté masculin de la modernité, à la différence de Manet, Degas ou Renoir par exemple, pour qui la « vie moderne » s'est incarnée plutôt dans des figures féminines ou des scènes de sociabilités mixtes.Fidèle au programme du « réalisme », Caillebotte ne prend ses modèles que dans son environnement le plus immédiat : ses frères, ses amis, les passants des rues de son quartier, des ouvriers ou domestiques travaillant pour sa famille, les canotiers avec qui il navigue sur l'Yerres ou sur la Seine. Il ne peint pas l'Homme, mais des hommes, c'est-à-dire des individus et des existences particulières. Si l'identité de plusieurs d'entre eux nous échappent toujours, le travail préparatoire à l'exposition a permis d'apporter des informations nouvelles quant à la biographie de ceux qui furent les modèles de prédilection de Caillebotte. « Chroniqueur pictural de l'existence moderne » (selon les mots du critique Gustave Geffroy), le peintre met au coeur de son oeuvre une certaine « condition masculine » qui est aussi la sienne, celle d'un jeune bourgeois parisien, peintre d'avantgarde mais aussi « amateur » de sport ou d'horticulture, célibataire (c'est-à-dire non marié et sans enfant) épris de liberté, de modernité et de fraternité(s). [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Exposition "Caillebotte. Peindre les hommes"Du 8 octobre 2024 au 19 janvier 2025Paul Perrin, conservateur et directeur des collections au musée d'Orsay, vous invite à découvrir l'exposition « Caillebotte. Peindre les hommes ». Gustave Caillebotte est connu pour être l'un des principaux mécènes des impressionnistes, mais c'est aussi un artiste visionnaire de ce mouvement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Michael Rampa aime prendre le temps de la rencontre et de lʹobservation, il dessine ses modèles, puis il transfère sa vision par lʹaquarelle ou lʹhuile, il en sort des portraits contemporains et atemporels, fragmentaires et pleins. Lʹartiste est au micro de Florence Grivel. Michael Rampa, The fork in the road, Galerie Odile, Vevey, jusquʹau 28 septembre.
durée : 00:45:00 - Les Nuits de France Culture - L'œuvre d'Alfred Manessier est souvent comparée à un art musical. Lui parle plus volontiers de silence devant la beauté et cite le proverbe arabe "Si ce que tu as à dire n'est pas plus beau que le silence, tais-toi." Il revendique une discipline quotidienne du non-savoir face à la toile blanche.
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - "L'enfant picard", "La peinture malgré tout", "Le chant de la peinture" sont les thèmes des échanges entre Alfred Manessier et Gilles Plazy. Le peintre revient sur ses origines familiales fortes de traditions artisanales et sa fascination pour la baie de Somme, son alpha et son oméga. - invités : Alfred Manessier Peintre
Voici une variante du quizz conso, le "Vrai ou faux ?", élaboré par Maître Cadoret. L'avocate a concocté aux invités, une édition spéciale sur le Droit immobilier. Alors, qui connaîtra le mieux ses droits ? Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
durée : 00:03:21 - Le Regard culturel - par : François Angelier - André Masson, peintre et personnage-clé du surréalisme, est au centre d'une exposition au Centre Pompidou-Metz. Intitulée "Il n'y a pas de monde achevé", cette expo montre plus de 200 œuvres choisies parmi les plus grandes collections du monde.
Nous sommes en 1610, à Harlem. Cette année-là, Frans Hals intègre la guilde de Saint-Luc, cette organisation corporative réglementant les activités des peintres ainsi que des graveurs, des sculpteurs et des imprimeurs. Quelques mois plus tard, il obtient ses premiers succès. Il séduit par son audace, par la liberté de son trait, un côté farceur aussi. La fin de son parcours sera plus sombre : il a des ennuis d'argent, sa peinture est moins appréciée. Après sa mort, son œuvre rentre dans une sorte de purgatoire d'où les Impressionnistes la feront sortir. Vincent van Gogh dira : « J'ai surtout admiré les mains de Hals, des mains qui vivaient, mais qui n'étaient pas « terminées », dans le sens que l'on veut donner maintenant par force au mot « finir ». Et les têtes aussi, les yeux, le nez, la bouche, faits des premiers coups de brosse, sans retouches quelconques. Peindre d'un seul coup, autant que possible, en une fois ! Quel plaisir de voir ainsi un Frans Hals ! » Allons- y voir à notre tour … Invitée : Anne Hustache, historienne de l'art. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:59:00 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Dès les années 1820, des peintres parisiens multiplient les villégiatures à Barbizon, petit village près de la forêt de Fontainebleau qui devient le lieu d'une révolution picturale majeure, où la nature cesse d'être un simple décor pour devenir un sujet en soi. - invités : Servane Dargnies-de Vitry Historienne de l'art, conservatrice peinture au musée d'Orsay; Isolde Pludermacher Historienne de l'art, conservatrice générale du département peinture du musée d'Orsay
Apolonia Sokol a toujours su qu'elle serait peintre et qu'elle y consacrerait sa vie. L'artiste grandit dans le théâtre expérimental de ses parents dans le quartier de Château Rouge à Paris, entre des spectacles et des intellectuel·le·s qui ont façonné sa vision du monde et sa manière de l'habiter. Sébastien Thème la retrouve dans l'ancien atelier de Pablo Picasso, où elle travaille à présent. Ensemble, ils discutent de la difficulté de figer sur la toile des êtres aux identités fluides, de sa rencontre avec “le Satan du monde de l'art”, du documentaire “Apolonia, Apolonia” réalisé par Léa Glob et retraçant 13 ans de la vie de l'artiste, de la part de doute inhérente à la création d'une œuvre qui s'efface derrière le besoin de créer, quitte à faire les choses jusqu'au dernier moment.Pépites est un podcast d'interviews culturelles de Louie Media présenté par Agathe Le Taillandier et Sébastien Thème. Cet épisode a été tourné par Sébastien Thème et monté par Louise Tavera. Il a été réalisé et mixé par le studio La Fugitive. La musique est de Michaël Liot. L'illustration est de Marie Guu. Charlotte Pudlowski est à la direction éditoriale. Elsa Berthault est en charge de la production. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alice Gauthier, artiste peintre, est l'invitée du 15ème épisode de Femmes artistes / Artistes femmes. Un mois de septembre à Marseille, pendant l'édition 2023 de Paréidolie, j'ai rencontré Alice. Nous avons discuté de son parcours, de son enfance en banlieue parisienne imprégnée d'art et de théâtre, du Finistère et de ses rochers, d'une grotte au Maroc, du Royal College à Londres, de lithographie au Mexique, d'ombres et de musique (Alice est aussi clarinettiste dans le groupe de musique de Rob Miles, son amoureux).Alice observe, contemple, dessine, peint, danse, joue. Le dessin, pour elle, est aux prémices de tout. La peinture vient ensuite. Son espace d'expression se situe quelque part, bien avant que les images ne se transforment en mots. Un peu comme la musique. Ses images nous traversent. Ne laisse pas indifférents. Ses matières, ses couleurs, ses procédés, font d'Alice une peintre presque plasticienne, presque théâtrale. Une artiste chercheuse qui contemple et expérimente, danse, au sol, autour de ses oeuvres, et y met les mains. Pendant cet entretien, nous avons aussi évoqué :Les artistes qui inspirent son travail Marlène Dumas, Xie Lei, David Lynch (ses lithographies), David Hockney (ses travaux avec la pulpe de papier), Alice Laloy (metteuse en scène et marionnettiste)Références littérairesPenser comme un iceberg d'Olivier RemaudDeucalion et Pyrrha, Les métamorphoses d'OvideOeuvre décrite en intro de l'épisode : "Ne faire qu'un" (2023) Gouache et aquarelle sur papier, 32 x 22 cm. Ses prochaines expositions :Exposition Éclats de nuits à la galerie Espace à Vendre (Nice) jusqu'au 10 février 2024Salon de dessin Drawing now (Paris) avec la galerie Dilecta, du 21 au 24 mars 2024Solo show à l'espace Conscious (Paris) du 12 mars au 26 avril 2024Exposition passée : salon Paréidolie avec les Éditions Dilecta (Marseille) en septembre 2023Pour suivre Alice Gauthier : sa page Instagram @alice__gauthier et son site internet www.gauthieralice.comPour me soutenir : suivre et commenter ce podcast ! Et se rendre sur ma page Tipee : https://en.tipeee.com/artistes-femmes-le-podcastRendez-vous sur la page instagram du podcast @artistesfemmeslepodcast.Femmes artistes / Artistes femmes est un podcast entièrement indépendant créé et produit par Ada Kafel. Ada Kafel est artiste peintre, art-thérapeute et maman d'un petit garçon de 6 ans. On peut voir son travail sur son site internet https://www.adakafel.com/ ou sa page instagram @a_felka.Musiques :Think again par Rob Miles & Les Clés Anglaises : @robmilesetlesclesanglaises sur Instagram La Maison par Clara Ysé (Album Oceano Nox)Crédit photo : Renaud Lampaert
durée : 00:57:46 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Il a fallu près de quinze ans à Florence Miailhe pour que voit le jour "La Traversée", l'épopée de deux enfants pourchassés à travers tout un continent. Un véritable chef-d'œuvre d'animation entièrement conçu à la peinture animée sur verre, et qu'elle adapte aujourd'hui en livre. Rencontre ! - invités : Florence Miailhe Peintre, maquettiste, illustratrice
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À Silwan, les murs ont des yeux… mais ils ont été peints par les Palestiniens pour attirer l'attention sur leur situation. Dans cette partie de Jérusalem-Est, partie palestinienne de la ville sainte, l'expansion de la colonisation s'intensifie – environ 1 000 colons juifs vivent parmi les Palestiniens –, les incursions de la police israélienne ne sont pas rares, et la municipalité de Jérusalem, en raison de la proximité immédiate du quartier avec la vieille ville, cherche à construire une série de parcs touristiques sur les terres des habitants. Résultat : des centaines de familles palestiniennes de Silwan ont déjà reçu des avis d'expulsion ou encore de démolition de leur maison. Mais dans ce quartier, une autre forme de résistance s'est mise en place grâce au street art, de la peinture sur les murs. Un reportage de notre correspondante à Jérusalem,Les habitations sont les unes sur les autres, les ruelles étroites, mais à Silwan, ce qui attire le regard, ce sont toutes ces peintures murales, des couleurs vives, des fleurs, des portraits et des yeux, géants, qui surplombent la ville et vous donnent l'impression d'être épiés.« Ces yeux-là, ce sont ceux de la petite fille d'Um Nasser, qui a reçu un ordre d'expulsion de sa maison. »La jeune femme qui parle, Manal Shreiteh, est la responsable du projet « I Witness Silwan ». Après avoir habité quinze ans dans le quartier, cette Palestinienne de Jérusalem voulait trouver un moyen d'alerter, d'aider la communauté où elle a grandi :« Notre but principal, c'est de peindre des yeux sur les murs du quartier. Vous pouvez le voir partout quand vous vous baladez ici, à Batn-al. Ces yeux affrontent la colonisation, droit dans les yeux. C'est une manière de dire à l'occupation israélienne que nous sommes ici, dans ce quartier, que malgré les ordres d'expulsion distribués aux habitants, nous allons rester. Ces yeux regardent aussi ce qu'Israël fait aux habitants de Jérusalem en général et à ceux de Silwan plus particulièrement. C'est vrai que certaines personnes ne peuvent voir le projet que comme des dessins ou des couleurs sur les murs. Mais nous ne peignons pas seulement des fleurs, des arbres, des oiseaux typiquement palestiniens, ou les yeux des habitants du quartier, nous peignons aussi les yeux de philosophes, de militants, d'écrivains, de personnes tués par les forces israéliennes : il y a un véritable message derrière ces peintures. »Depuis 2015, 2 000 murs de Silwan ont été décorés à l'initiative de Susan Greene, une artiste juive-américaine qui travaille avec les résidents palestiniens. Peindre, s'exprimer sur les murs, une tradition propre aux partis politiques pour faire passer des messages, qui s'est peu à peu perdu avec l'arrivée des réseaux sociaux. À cause, aussi, d'une répression plus sévère des autorités israéliennes, explique Daoud el-Ghoul, militant et guide touristique alternatif à Silwan :« En utilisant les caméras de surveillance qui sont partout dans le quartier, si une personne peint sur le mur quelque chose de politique ou quoi que ce soit qui y soit lié, elle sera directement arrêtée à cause des caméras de contrôle. Tout ça fait partie de la stratégie générale. Et les peintures murales, si elles sont politiques, seront généralement retirées par les autorités israéliennes. S'il y a des drapeaux palestiniens, c'est la même chose, ils seront directement enlevés par les Israéliens. »Avec ces yeux, avec ces dessins, les habitants résistent à leur façon, affirment leur présence, sans risquer de la voir effacer.
Daily Minute with J'Ouellette® - French conversation for jet-setters
French conversation for jet-setters: the verb PEINDRE (to paint) au présent: Je peins Tu peins Il peint Nous peignons Vous peignez Ils peignent Become fluent at ConfidentConversationClub.com
durée : 00:45:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Gilles Plazy - Avec Alfred Manessier
durée : 01:00:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Gilles Plazy - Avec Alfred Manessier
durée : 00:35:13 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans l'émission "La radio dans les yeux", alors que venait de sortir en salle "La Belle Noiseuse" de Jacques Rivette, auréolé de son succès cannois, on entendait le cinéaste et les comédiens parler du film, ainsi que Bernard Dufour dont on voyait les peintures à l'écran. La Belle Noiseuse de Jacques Rivette sortait sur les écrans en septembre 1991. Inspiré par Le Chef-d'ouvre inconnu de Balzac, ce film, récompensé du Grand Prix du jury au Festival de Cannes, allait être le plus important succès critique et public de Rivette. C'était le peintre Bernard Dufour qui était la main de Michel Piccoli dans ce film, celui qui dessinait et peignait réellement le nu pour lequel posait Marianne, interprétée par Emmanuelle Béart. Un film sur le peintre et son modèle Sur France Culture, lors de la sortie du film, Thierry Jousse soulignait l'importance de cette relation du peintre et de son modèle, écho de celle du réalisateur avec ses actrices. Le réalisateur Jacques Rivette, peu friand d'interviews, s'exprimait lors de la conférence de presse qui accompagnait la projection du film à Cannes. C'est l'occasion de l'entendre présenter son film et livrer ses impressions sur les personnages et notamment sur ce rapport du modèle au peintre, l'un des moteurs de l'idée du film. Rivette raconte aussi comment s'es fait le choix de Bernard Dufour s'est fait, en connaisseur de ses ouvres, de ces corps féminins "décapités" : "C'était évident qu'il devait être la main de Frenhofer." Tellement liés l'un à l'autre que Rivette les voit comme "une chimère, le visage de Michel et la main de Bernard"., Peindre la nudité Dessinant pour de vrai un nu sur la toile devant la caméra, c'est le travail de Bernard Dufour que l'on voit à l'écran, "il n'y a jamais eu de deuxième prise avec Bernard", souligne Rivette qui a voulu aussi montrer la tension, voire l'angoisse qui se forment entre le peintre et son modèle. Au cours de cette conférence de presse, on y entend également l'actrice Emmanuelle Béart s'exprimer sur ce rôle difficile dont elle dit que la pause la plus pénible fut la première, celle où elle est debout, nue, les bras ballants, sans aucun esthétisme, dans un "sentiment de vulnérabilité terrible". Retrouvez l'intégralité de la série "A voix nue" avec Bernard Dufour Retrouvez l'ensemble du programme d'archives Bernard Dufour, la poursuite du réel, proposé par Albane Penaranda. Par Alain Veinstein Extrait : La radio dans les yeux - "La Belle Noiseuse" de Jacques Rivette (1ère diffusion : 02/09/1991) Avec Thierry Jousse Avec un extrait de la conférence de presse du Festival de Cannes 1991 avec Jacques Rivette, Michel Piccoli, Bernard Dufour, Pascal Bonitzer et Emmanuelle Béart Réalisation Bernard Treton Édition web : Documentation de Radio France Archive Ina-Radio France
Découvrez le livre du jour des Grosses Têtes. Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg2
Que serait la vie sans les gens insupportables, les kifs au fond des bois, les araignées dans les entre-poutres, et les séries qu'on regardent après tout le monde ? Si ce n'est une suite rocambolesque de ups et de downs ? Enjoy !Dans cet épisode, on parle de ça : Flavien Berger, son instagram Claire la SirèneLa vidéo de Kalindi à la piscine Louise Pétrouchka sur TwitterLe film 99 moonsLa série Flight of the Conchords La chorale des ex-girlfriends : “Carol Brown” - Flight of the ConchordsLes ups and downs :Le down de Louise : Les gens qui parlaient au concert de Flavien BergerLe up de Kal : Ses travaux dans sa maison du PercheLe down d'Alix : Son plan Q possiblement misogyneLe up de Camille : La série High MaintenanceAbonnez-vous à 4 quarts d'heure sur :Apple Podcasts SpotifyDeezerPodcast AddictSuivez-nous sur Instagram :LouiseKalindiCamilleAlix Abonnez-vous au 5ème Quart d'heure ici : https://plus.acast.com/s/4-quarts-dheure. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Roland Dorgelès, écrivain, amoureux passionné de Montmartre, initiateur en 1910 du canular mettant en scène l'âne Lolo (peintre du "Couché de soleil sur l'Adriatique") racontait, en 1966, ses souvenirs, en 6 épisodes. Diffusion du 1er volet, il y est question de Montmartre et de ses habitants... En mars 1910, on put admirer au 26ème Salon des indépendants à Paris une toile intitulée « Et le soleil s'endormit sur l'Adriatique », peinte par un certain Joachim-Raphaël Boronali. Le véritable auteur de cette ouvre, comme on l'apprit peu après, n'était autre qu'un âne baptisé Lolo. Le canular avait été mis au point par Roland Dorgelès, jeune journaliste à l'époque et futur écrivain célèbre, qui, suggérant qu'on pouvait peindre comme un âne et exposer, torpillait ainsi les avant-gardes artistiques de son temps. Ce dernier n'aurait sans doute pas imaginé que ce gag donnerait naissance, quelques décennies plus tard, à toute une lignée de peintres bourricots. * Le 30 juin 2012, dans le cadre d'une performance orchestrée par Ben et Alain Snyers à la Villa Arson de Nice, un âne baptisé « Lolo II » peignait en effet une toile intitulée « Et le soleil s'endormit sur Nice ». L'année suivante, pour l'ouverture de la Fondation du doute à Blois, pilotée par le même Ben, Alain Biet fabriquait quant à lui un âne jupon, Lolo III, pour réaliser un troisième tableau hommage, le « Coucher de soleil sur la loire ». Mais revenons aux sources de l'histoire : le 3 octobre 1966, dans le premier volet d'une série de six entretiens diffusés sur France Culture, Roland Dorgelès racontait à Jacques Meyer ses souvenirs montmartrois, et la mise au point de cette féconde supercherie... L'entretien avec Jean Meyer commençait par une véritable déclaration d'amour à Montmartre : J'ai passionnément aimé Montmartre et je plains ceux qui ne l'ont pas connu à la belle époque. C'était véritablement un village, ce n'était pas du tout un quartier de Paris, ce n'était pas non plus un faux village folklorique installé pour les touristes, c'était vraiment un village qui était oublié là, on ne sait pourquoi, sans doute parce que Haussmann n'avait pas eu le courage de monter la côte. J'ai l'impression que c'est mon pays natal. Il se souvenait de sa première vision de Montmartre : J'étais émerveillé je découvrais un village comme je n'en ai jamais vu d'aussi parfait, avec ses moulins, (...) il y avait des tonnelles, des chants d'oiseau on était transporté dans un autre monde, un siècle en arrière. Devant le Sacré Coeur j'ai vu faucher les foins ! Sur la fameuse toile « Et le soleil s'endormit sur l'Adriatique », peinte par un certain Joachim-Raphaël Boronali mais, en réalité, sous sa direction, par l'âne Lolo : J'étais un peu irrité par la peinture de certains qui ne me plaisait pas, alors pour blaguer je dis un jour aux camarades :" je vais envoyer une toile au salon et j'aurais plus succès que vous tous". Je ne savais pas du tout ce que je comptais faire puis j'ai eu une idée. Si au lieu de peindre moi-même, ce qui serait mauvais, car je ne sais pas peindre, si je faisais peindre le tableau par l'âne du Lapin Agile, Lolo, ce serait étonnant, ce serai un succès, on révélerait la blague au dernier moment, cela ferait un scandale, ce serait très bien ! Alors j'ai mis ça à exécution. Ecouter le 2ème épisode, le 3ème, le 4ème, le 5ème, le 6ème. Par Jacques Meyer Entretiens avec Roland Dorgelès 1/6 (1ère diffusion : 03/10/1966) Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France Archive Ina-Radio France