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Plus de 40 artistes retracent dix ans de création inspirée par l'intelligence artificielle au Jeu de Paume avec la nouvelle exposition Le Monde selon l'IA. Une exposition à voir jusqu'au 21 septembre qui questionne notre rapport à l'IA, son impact sur l'art et sur notre façon de représenter le monde. Au Jeu de Paume, à Paris, l'intelligence artificielle (IA) est décortiquée par les artistes qui nous en montrent les aspects peu reluisants en les critiquant, mais aussi tentent de créer de nouveaux possibles en essayant de débrider les IA. Dans cette exposition, il n'est pas question d'être béat face à l'intelligence artificielle, ses biais et ses limites. Dès l'entrée, la question de la ressource, entre l'énergie consommée pour les faire fonctionner ou l'utilisation de minerai disponible en quantité limitée. À coup de grands diagrammes complexes prenant tout l'espace des murs, on devine les quantités d'énergie nécessaires rien que pour faire fonctionner une simple requête sur Alexa.« Nous avons choisi des artistes qui ont une posture critique face à l'IA et face à ces modèles qui commencent à développer des capacités qui vont au-delà des humains, déclare Antonio Somaini, enseignant-chercheur à la Sorbonne et commissaire général de cette exposition. L'on entend souvent parler de l'IA comme quelque chose qui développe une intelligence semblable à celle des humains, mais là, nous faisons face à des modèles qui font des choses dont, nous, les humains, ne sommes pas capables. »Des biais occidentaux reproduits par l'IADes capacités qui dépassent celles de l'humain, mais une base de données alimentée… par des humains. Le problème est que ce sont toujours les mêmes : principalement des Occidentaux, ce qui crée des biais. Pour résoudre ces problèmes de biais culturels et ethniques, il faut alors enseigner à l'IA de nouveaux alphabets, de nouvelles langues, de nouvelles représentations, tout cela en veillant à ne pas reproduire les stéréotypes. Avec Tongues, l'artiste sénégalo-libanaise, Linda Dounia Rebeiz a enseigné à l'IA son propre modèle d'écriture asémique, c'est-à-dire dénuée de signification, et inspiré de sept calligraphies de différentes parties du monde, mais avec un focus sur les graphies africaines comme l'amharique : « L'idée derrière était de montrer qu'il y avait un biais pour l'alphabet romain dans les modèles d'IA générative aujourd'hui. Alors que dans un monde où il y a des milliers de langues écrites avec beaucoup de formes différentes et jolies, je pensais que c'était réductif ce que l'on avait à disposition. »Effacement et tombe numériqueDans cette même critique des biais de l'IA, l'artiste américano-saoudienne Nouf Aljowaysir avec son projet Salaf signifiant « ancêtre » en arabe, qui critique les limitations des intelligences artificielles. Elle pointe les difficultés des IA occidentales à reconnaitre et bien nommer ce qu'elles voient lorsque cette dernière présente des photos de ses ancêtres bédouins. Pour elle, c'est dû au fait que les données utilisées pour entraîner les IA restituent les préjugés coloniaux des archives européennes qui ont été exploitées. Elle a ensuite utilisé un modèle d'IA générative où les silhouettes des personnes sur les photos sont masquées par un filtre blanc, soulignant l'effacement de la mémoire collective de ces ancêtres par l'IA.L'intelligence artificielle ouvre aussi la voie à des créations plus philosophiques et artistiques. Pour son œuvre La Quatrième Mémoire, Grégory Chatonsky a reproduit une sépulture où l'on voit un gisant à plat ventre et un film généré en temps réel par IA : « Cette installation, c'est ma tombe. C'est un projet très personnel. Mais ce n'est pas la vie factuelle que j'ai vécue. C'est tout ce que je n'ai pas vécu, c'est ma vie possible. L'intelligence artificielle générative génère des documents qui nous ressemblent, des choses qui n'existent pas, mais qui sont vraisemblables. Et donc, je me suis dit que la tombe du futur pourrait poursuivre notre mémoire pour la rendre éternelle, un peu comme l'ont fait les Égyptiens avec les pyramides. »Si l'intelligence artificielle peut être un formidable outil de création et d'innovation, elle reste le reflet de ceux qui la nourrissent. Sans prise en compte de la diversité, elle risque de reproduire, voire d'amplifier, les biais du monde réel. À nous donc de l'appréhender autrement.À lire aussiLe monde du doublage en colère et inquiet face aux dérives de l'IA
Plus de 40 artistes retracent dix ans de création inspirée par l'intelligence artificielle au Jeu de Paume avec la nouvelle exposition Le Monde selon l'IA. Une exposition à voir jusqu'au 21 septembre qui questionne notre rapport à l'IA, son impact sur l'art et sur notre façon de représenter le monde. Au Jeu de Paume, à Paris, l'intelligence artificielle (IA) est décortiquée par les artistes qui nous en montrent les aspects peu reluisants en les critiquant, mais aussi tentent de créer de nouveaux possibles en essayant de débrider les IA. Dans cette exposition, il n'est pas question d'être béat face à l'intelligence artificielle, ses biais et ses limites. Dès l'entrée, la question de la ressource, entre l'énergie consommée pour les faire fonctionner ou l'utilisation de minerai disponible en quantité limitée. À coup de grands diagrammes complexes prenant tout l'espace des murs, on devine les quantités d'énergie nécessaires rien que pour faire fonctionner une simple requête sur Alexa.« Nous avons choisi des artistes qui ont une posture critique face à l'IA et face à ces modèles qui commencent à développer des capacités qui vont au-delà des humains, déclare Antonio Somaini, enseignant-chercheur à la Sorbonne et commissaire général de cette exposition. L'on entend souvent parler de l'IA comme quelque chose qui développe une intelligence semblable à celle des humains, mais là, nous faisons face à des modèles qui font des choses dont, nous, les humains, ne sommes pas capables. »Des biais occidentaux reproduits par l'IADes capacités qui dépassent celles de l'humain, mais une base de données alimentée… par des humains. Le problème est que ce sont toujours les mêmes : principalement des Occidentaux, ce qui crée des biais. Pour résoudre ces problèmes de biais culturels et ethniques, il faut alors enseigner à l'IA de nouveaux alphabets, de nouvelles langues, de nouvelles représentations, tout cela en veillant à ne pas reproduire les stéréotypes. Avec Tongues, l'artiste sénégalo-libanaise, Linda Dounia Rebeiz a enseigné à l'IA son propre modèle d'écriture asémique, c'est-à-dire dénuée de signification, et inspiré de sept calligraphies de différentes parties du monde, mais avec un focus sur les graphies africaines comme l'amharique : « L'idée derrière était de montrer qu'il y avait un biais pour l'alphabet romain dans les modèles d'IA générative aujourd'hui. Alors que dans un monde où il y a des milliers de langues écrites avec beaucoup de formes différentes et jolies, je pensais que c'était réductif ce que l'on avait à disposition. »Effacement et tombe numériqueDans cette même critique des biais de l'IA, l'artiste américano-saoudienne Nouf Aljowaysir avec son projet Salaf signifiant « ancêtre » en arabe, qui critique les limitations des intelligences artificielles. Elle pointe les difficultés des IA occidentales à reconnaitre et bien nommer ce qu'elles voient lorsque cette dernière présente des photos de ses ancêtres bédouins. Pour elle, c'est dû au fait que les données utilisées pour entraîner les IA restituent les préjugés coloniaux des archives européennes qui ont été exploitées. Elle a ensuite utilisé un modèle d'IA générative où les silhouettes des personnes sur les photos sont masquées par un filtre blanc, soulignant l'effacement de la mémoire collective de ces ancêtres par l'IA.L'intelligence artificielle ouvre aussi la voie à des créations plus philosophiques et artistiques. Pour son œuvre La Quatrième Mémoire, Grégory Chatonsky a reproduit une sépulture où l'on voit un gisant à plat ventre et un film généré en temps réel par IA : « Cette installation, c'est ma tombe. C'est un projet très personnel. Mais ce n'est pas la vie factuelle que j'ai vécue. C'est tout ce que je n'ai pas vécu, c'est ma vie possible. L'intelligence artificielle générative génère des documents qui nous ressemblent, des choses qui n'existent pas, mais qui sont vraisemblables. Et donc, je me suis dit que la tombe du futur pourrait poursuivre notre mémoire pour la rendre éternelle, un peu comme l'ont fait les Égyptiens avec les pyramides. »Si l'intelligence artificielle peut être un formidable outil de création et d'innovation, elle reste le reflet de ceux qui la nourrissent. Sans prise en compte de la diversité, elle risque de reproduire, voire d'amplifier, les biais du monde réel. À nous donc de l'appréhender autrement.À lire aussiLe monde du doublage en colère et inquiet face aux dérives de l'IA
durée : 00:27:28 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique deux expositions : "Richard Avedon - In the American West" à la Fondation Henri Cartier Bresson et "Le Monde selon l'IA" au Jeu de Paume - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro
durée : 00:12:28 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Le Jeu de Paume explore les liens entre l'art contemporain et l'intelligence artificielle. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro
“Le monde selon l'IA”au Jeu de Paume, Parisdu 11 avril au 21 septembre 2025Entretien avec Antonio Somaini, professeur de théorie du cinéma, des médias et de la culture visuelle à l'Université Sorbonne Nouvelle et commissaire général de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 28 avril 2025, durée 16'50,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/05/10/3616_le-monde-selon-l-ia_jeu-de-paume/Communiqué de presse Commissaire général : Antonio SomainiCommissaires associés : Ada Ackerman, Alexandre Gefen, Pia ViewingLe Jeu de Paume présente, du 11 avril au 21 septembre 2025, une exposition explorant les liens entre intelligence artificielle et l'art contemporain, qui sera la première au monde de cette ampleur.Développées à vitesse accélérée dans tous les champs de la société, les intelligences artificielles suscitent aujourd'hui étonnement, frayeur, enthousiasme ou scepticisme.Le monde selon l'IA présente une sélection d'oeuvres d'artistes qui, au cours de ces dix dernières années, se sont emparés de ces questions en art, photographie, cinéma, sculpture, littérature… Elle d.voile des oeuvres – en grande parties inédites – d'artistes de la scène française et internationale tels Julian Charrière, Grégory Chatonsky, Agnieszka Kurant, Christian Marclay, Trevor Paglen, Hito Steyerl, Sasha Stiles,…De l' “IA analytique”, sur laquelle se fondent les systèmes de vision artificielle et de reconnaissance faciale, . l' “IA générative”, capable de produire de nouvelles images, sons et textes, l'exposition traite de la manière dont ces technologies bouleversent les processus créatifs, redéfinissent les frontières de l'art, sans oublier d'en interroger les enjeux sociaux, politiques et environnementaux. Des capsules temporelles jalonnent par ailleurs le parcours, sous forme de vitrines suggérant des liens historiques et généalogiques entre ces phénomènes contemporains et différents objets issus du passé. Au-delà de toute fascination technophile ou de rejet technophobe, le Jeu de Paume propose, à travers cette exposition, une réflexion sur la manière dont l'IA transforme notre rapport visuel et sensible au monde, comme nos sociétés.L'intelligence artificielle, notion introduite en 1955, désigne de nos jours l'apprentissage automatique qui transforme tous les domaines de la société, avec des applications remplaçant l'action humaine sur la détection, la prise de décision ou la création de contenus textuels et visuels. Ces avancées soul.vent des enjeux éthiques, économiques, politiques et sociaux, entre autres en matière de vie privée et de discrimination, tout en bouleversant notre rapport aux images et aux textes. Dans le domaine artistique, l'IA redéfinit les processus de création, de production et de réception, mettant en crise les notions de créativité, d'originalité et de droits d'auteur. Les artistes de l'exposition mobilisent ces technologies aussi bien pour interroger leurs conséquences sur l'art et la société que pour expérimenter de nouvelles formes possibles d'expression.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
The curator of a new exhibition here in Paris on artificial intelligence has spoken to FRANCE 24 about the technology's wonders, but also its dangers. The exhibition at the Musée du Jeu de Paume in the Tuileries Gardens in central Paris uses art to tell the story of AI through the ages, with a series of exhibits and artistic works. The exhibition also aims to show the distinction between analytical AI, such as facial recognition; and generative AI, which is more creative. We spoke to chief curator Antonio Somaini in Perspective.
Dans cet épisode,découvrez l'histoire du bâtiment qui abrite aujourd'hui le musée du Jeu de Paume, situé à l'entrée du jardin des Tuileries, à Paris.Construit sous Napoléon III pour la pratique du jeu de paume, ce lieu a connu plusieurs vies : espace sportif impérial, entrepôt d'œuvres d'art spoliées pendant la Seconde Guerre mondiale, puis centre d'exposition dédié à la photographie et à l'image contemporaine.Accompagnements musicaux: Lighter shades © Evert Z, Musique médiévale © Hicham Chahidi, Sunrise © Antony Vega, Anticipating you © Antony Vega, Special Times © Antony Vega,Tender Remains©Myuu, les Deschevalets©MrKey, The Swan Saint-Saëns ©Yael Kareth, Sleep ©Scott Buckley, Make your mine©Mina, Academy © MrKey_LMK Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Como parte dos eventos da Temporada França Brasil 2025, o artista plástico Jonathas de Andrade, natural de Maceió e baseado em Recife, expõe oito obras na Comanderia de Peyrassol, vinhedo incrustrado na Provence, no sul da França. Inspirado pela obra de Clarice Lispector, a mostra foi batizada de "A arte de não ser voraz" e abre para o público nesta terça-feira (1°). Patrícia Moribe, enviada especial da RFI, à Comanderia de PeyrassolA Comanderia de Peyrassol foi fundada pela Ordem dos Templários no século 13 e hoje é um importante vinhedo e museu ao ar livre. Obras da espetacular coleção de Phillipe Astruy se espalham pela propriedade de 850 hectares, fincada na região da Provence, a cerca de 100 km de Marselha. O artista francês Daniel Buren, por exemplo, implantou uma coluna de flâmulas coloridas ao longo de vinhas. As obras se impõem, se integram ou se camuflam pelas edificações reformadas e vegetação. Um passeio pelo bosque ou pela galeria fechada revela trabalhos de Joana Vasconcelos, César, Arman, Tinguely, Niki de Saint Phalle, Antoni Tàpies, Robert Mapplethorpe, Pol Burty e muitos outros.Jonathas de Andrade foi convidado para conceber uma exposição com algumas de suas obras emblemáticas, além de criações especiais para a ocasião. O fio condutor vem de uma obra de Clarice Lispector, “A arte de não ser voraz”. O projeto faz parte da Temporada França Brasil 2025. “A voracidade não é só uma coisa concreta, que fala da fome, mas também uma voracidade que é um impulso humano que nos leva a tantas contradições, como civilização”, explica o artista. “A voracidade é a voracidade de possuir, de dominar, de usar a natureza e os meios da natureza como se não houvesse amanhã. E hoje a gente vive um pico dessas contradições, com consequências muito fortes para a gente. ”Além de dois vídeos – “O Peixe” e “A Língua” -, Jonathas de Andrade traz um grande mapa realizado em colaboração com mulheres kayapó da aldeia Tukano, registros de uma ocupação do Movimento Sem Terra, que questiona a problemática de grandes áreas improdutivas nas mãos de poucos.Trabalhando com vários suportes, o artista também apresenta “Maré”, uma tábua de mares invadindo as ruínas de um clube abandonado, explorando o confronto entre mar e arquitetura, e o fato de o local também ter sido propício para encontros clandestinos. A escultura vem no formato de uma enorme língua nadando em sangue, que fez parte do pavilhão brasileiro da Bienal de Veneza de 2022. “Foi um projeto que eu fiz com expressões populares relacionadas ao corpo e que, nessa exposição e nessa discussão de voracidade, é uma língua que não só é uma língua da comida, do devorar, mas é uma língua também de uma censura que às vezes é um fantasma que está à espreita”, explica.O vídeo “O Peixe” (2016) foi exibido na Bienal de São Paulo. Filmado em 16mm, o filme é uma alegoria para temas caros para o artista, como o homem e as tradições nordestinas, a relação com o meio ambiente, e o antagonismo e embate entre opulência e necessidade. Nele, pescadores abraçam o peixe recém-pescado, como um ato amoroso, tenso. “A câmera passeia pela cena, ela parece devorá-la também, e o pescador que abraça o peixe agonizando também é uma cena de devoração entre as espécies.O artista conta que o trabalho do etnógrafo francês Jean Rouch teve um forte impacto em sua obra. “Jean Rouch deixa o olhar da etnografia clássica, distante, científico, e passa a propor situações em que a câmera parece estar jogando junto e criando com os protagonistas dos filmes".Jonathas de Andrade aproveita a passagem pela França para uma pesquisa sobre Jean Rouch, para outro trabalho que vai expor em junho, no Jeu de Paume, em Tours, também no contexto da Temporada França Brasil 2025.“A arte de não ser voraz” fica em cartaz na Comanderia de Peyrassol, no sul da França, até 2 de novembro de 2025.
In this Episode of Lost in Frenchlatin we talk with lauded French filmmaker and screenwriter Arnaud Desplechin about his new film ‘Spectateurs!' (Filmlovers!) His film screened at the beautiful Jeu de Paume in the Tuileries Gardens, during the Lost in Frenchlation event. Manon Kerjean and ARBL Murray were able to chat with Arnaud about his films, his inspiration, and what it was like to put together his own personal ode to cinema. Arnaud tells us why he used the mixed forms of narrative and documentary, what his earliest interactions with art were and why Pretty Woman occupies his thoughts from time to time. In this Episode We Discuss: Films of Arnaud Desplechin Philosopher: Stanley Cavell Films: Shoah by Claude Lanzmann Killer of Sheep by Charles Burnett The Exiled by Johnnie To Pretty Woman by Garry Marshall Arnoud's must see recommendation for recent films: Souleymane's Story by Boris Lojkine Listen to Arnaud give a talk about why he loves the film Pretty Woman (In French) LISTEN HERE ON APPLE PODCASTS For more information about Lost in Frenchlation and to buy tickets go to: https://lostinfrenchlation.com
Giuliano Sergio"Blow-up. Piero Manzoni e l'esplosione dei nuovi media"Electa Editorewww.electa.itIl saggio di Giuliano Sergio analizza la visionaria coerenza con cui Piero Manzoni, fra i più celebri artisti del Novecento, intuì il ruolo fondamentale che negli anni Cinquanta assumevano i mass-media nella definizione dei linguaggi artistici e della figura dell'artista. Alla fine degli anni Cinquanta l'icona romantica dell'artista-genio, rappresentata da Jackson Pollock, si impone tramite il racconto fotografico e cinematografico dei suoi gesti, suggerendo un modello di fusione fra arte e vita che diviene una vera e propria lettura critica dell'opera.Dal rifiuto dell'action painting, dei “gesti inutili” di Pollock e dei suoi seguaci, nasce la complessa immagine di Manzoni, costruita in maniera diametralmente opposta. Il suo “gesto” si concretizza nell'0sservare con laica ironia il dispiegarsi dell'opera: lo svolgersi della linea, lo gonfiarsi del corpo d'aria, l'estendersi della superficie achrome. Le azioni che Manzoni interpreta per i cinegiornali – Lunghe Linee, Corpi d'aria, Sculture viventi, Uova scultura – sono filmate come scene di cabaret; l'artista ricorre alla fotografia pubblicitaria per promuovere la sua merda d'artista; costruisce reportage paradossali dove firma modelle nude e contrassegna uova sode con la propria impronta. Sono immagini prodotte per essere pubblicate nelle riviste illustrate o da proiettare durante gli intervalli al cinema: Manzoni si rivolge al grande pubblico per seminare il dubbio sul ruolo dell'artista e sulla funzione dell'arte. Agli albori del consumismo la genialità manzoniana sposta l'attenzione dal “prodotto” all'autore, dando un'indicazione precisa all'avanguardia italiana e avviando un'importante lezione rispetto al concetto di comportamento e l'identità che diventeranno uno dei nodi dell'arte povera e processuale.Giuliano Sergio, nato a Venezia nel 1974 insegna storia dell'arte, è critico e curatore. Tra le pubblicazioni: Ugo Mulas. Vitalità del negativo (Milano 2010); Information document œuvre (Parigi 2015); Atlante degli archivi fotografici e audiovisivi italiani digitalizzati (Venezia, 2015). Tra le mostre: Luigi Ghirri. Pensare per immagini (MAXXI, Roma 2013; IMS, San Paolo e Rio de Janeiro 2013-14); Paolo Gioli. Abuses (Villa Pignatelli, Napoli 2014); La montagne de Venise di Yona Friedman con Jean-Baptiste Decavèle (Venezia 2016); Julia Margaret Cameron, Florence Henri, Francesca Woodman. L'arte del femminile (Villa Pignatelli, Napoli 2017); Le Pietre del Cielo. Luigi Ghirri e Paolo Icaro (Fondazione Querini Stampalia, Venezia 2017-18); Renverser ses yeux. Autour de l'arte povera 1960-1975 : photographie, film, vidéo (Jeu de Paume e Le Bal, Parigi 2022-23). Con l'Archivio Ugo Mulas ha curato mostre presso Villa Pignatelli (2010), Triennale di Milano (2012), Fondation Henri Cartier Bresson (Parigi, 2016).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Pour ce 4ème épisode du WAC Morning, Diane Drubay revient sur les grandes actualités Web3 qui touchent les musées et institutions culturelles. Le programme WAC (Web3 for the Art and Culture) poursuit son ambition d'accompagner les musées dans l'adoption des technologies blockchain, immersives et d'intelligence artificielle. Pour cette nouvelle saison, deux grandes institutions américaines rejoignent l'initiative : le Museum of Art and Light et le Toledo Museum of Art, qui explorent notamment l'usage des NFT pour engager leur public.L'épisode aborde aussi la place croissante de l'intelligence artificielle dans l'art, avec en toile de fond la controverse autour de la vente IA organisée par Christie's. Certains artistes dénoncent l'utilisation de modèles entraînés sans respect des droits d'auteur, tandis que d'autres défendent l'approche d'une IA maîtrisée et nourrie par des jeux de données propriétaires. Cette question s'inscrit dans un débat plus large, alors que l'IA Summit de Paris mettait justement en avant des œuvres d'artistes numériques sur les écrans géants du Grand Palais.Un autre projet marquant est le lancement par le Metropolitan Museum of Art de Art Links, un jeu mobile éducatif dont l'objectif est d'explorer la collection du musée à travers des associations d'œuvres et de concepts, tout en récompensant les joueurs avec des NFT. Cette initiative illustre la manière dont les musées cherchent à capter un public plus jeune et connecté, tout en valorisant leurs collections permanentes souvent méconnues.Le Web3 continue aussi de s'imposer à travers les acquisitions de musées. Le Francisco Carolina Museum de Linz, pionnier dans la collection d'œuvres numériques sur blockchain, a récemment ajouté plusieurs NFT à ses collections, dont des créations d'Auriea Harvey, Too Much Lag et Andrea Chiampo. De son côté, le Museum of Moving Images à New York a officialisé l'entrée d'un ensemble d'œuvres de Auriea Harvey dans sa collection permanente.Enfin, deux expositions à venir illustrent l'intérêt grandissant des institutions pour l'art numérique. À Lyon, le MAC présentera en mars Echoes of the Past, Premises of the Future, une exploration de la nature sublimée par le numérique.À Paris, le Jeu de Paume accueillera en avril Le Monde selon l'IA, une exposition majeure sur la photographie générative et analytique, avec des artistes comme Trevor Paglen, Kate Crawford et Refik Anadol.Phrase Clé de l'Épisode :"Ce n'est pas parce qu'une œuvre n'est pas vendue immédiatement qu'elle ne finira pas dans une collection de musée prestigieuse." – Diane DrubayPour approfondir :* Programme WAC Lacs * Le jeu Art Links du Metropolitan Museum* Exposition au MAC Lyon : mac-lyon.com* Exposition au Jeu de Paume : jeudepaume.org* Compte Twitter de RuneArt* Replay video de l'épisode ici This is a public episode. If you would like to discuss this with other subscribers or get access to bonus episodes, visit www.nftmorning.com
Daniel Power of PowerHouse Books and Yolanda Cuomo of Yolanda Cuomo Design join me for my 200th episode to talk about their famed collaborations including their latest, Larry Fink: Hands On / A Passionate Life of Looking (PowerHouse). This was a really fun and enlightening episode. It is filled with great history and great humor from two incredibly influential figures in photography who also happen to be two great friends. Daniel and Yo talk about their own histories and achievements as well as the love and dedication that went into this last book they worked on with Larry Fink before he passed. https://powerhousebooks.com ||| https://yocuomo.com This podcast is sponsored by the Charcoal Book Club Begin Building your dream photobook library today at https://charcoalbookclub.com Founder and Publisher Daniel Power started powerHouse Books in 1995, and was joined by Craig Cohen in 1996. The early years had Power and Cohen tag-teaming on a few books at a time, raising the bar each season when, in 1998, powerHouse Books had its first best-seller, Women Before 10 A.M. by Véronique Vial. Power and Cohen followed up that success in 1999 with the critically-acclaimed cult monographs X-Ray, by François Nars, and Life is Paradise, by Francesco Clemente and Vincent Katz. In Fall 2006, powerHouse Books launched The POWERHOUSE Arena, a laboratory for creative thought: exhibitions, installations, presentations, displays, viewings, performances, readings, and retail therapy—all drawing upon photography and popular culture as sources of inspiration. Located at 28 Adams Street in the DUMBO section of Brooklyn, the 10,200–square foot marquis showroom and retail space is unlike any other in New York City, featuring a soaring 24-foot ceiling on the 5,000–square foot ground floor, and an equally impressive 5,000–square foot mezzanine, with over 175 feet of glass frontage, designed by esteemed architect David Howell Design. Attached by a central staircase is the Arena Skylounge, a 560 square-foot, mezzanine-level, multifunctional gallery, VIP lounge, and green room. These stunning spaces have hosted a series of landmark exhibitions and events, and are now available for private hire. Yolanda Cuomo is an experienced art director and avid educator. As Principal of Yolanda Cuomo Design, she provides the creative vision, direction, and passion behind all of the Studio's work. Cuomo and her team work collaboratively with their clients, which include leading publishers, museums, authors, editors, artists, and photographers, to develop memorable and meaningful cultural and commercial projects. Cuomo's recent projects include the design of two books with photographer Pete Souza OBAMA, An Intimate Portrait and SHADE, A Tale of Two Presidents, a seven hundred page book entitled An Anthology about Paolo Pellegrin curated by Germano Celant that accompanied an exhibition at the Maxxi Museum in Rome, Italy, a book about Bob Dylan called DYLAN BY SCHATZBERG and the book A Life In Pictures: Steve McCurry. Throughout 2013, Cuomo edited and designed a two-volume nine-hundred-page limited-edition box set, The Library of Julio Santo Domingo, which also included a special-edition iPad and private app celebrating this collection. In fall 2012, Cuomo co-authored with Norma Stevens the book New York at Night, a collection of photographs published by PowerHouse Books. In 2011, Cuomo's studio designed the enormously successful Diane Arbus retrospective which was organized by the Jeu de Paume in Paris, and traveled internationally.
“Paysages mouvants” Festival des nouvelles images #2au Jeu de Paume, Parisdu 7 février au 23 mars 2025Entretien avec Jeanne Mercier, critique, co-fondatrice de Afrique In Visu, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 4 février 2025, durée 21'23,© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissaire d'exposition : Jeanne MercierDirectrice artistique : Loo Hui PhangScénographie : Atelier 1-1Graphisme : Studio PLastacAprès « Fata Morgana » en 2022, le Jeu de Paume dévoile la deuxième édition de son festival dédié aux métamorphoses de l'image contemporaine, mêlant une exposition, des performances, des projections, des soirées, des ateliers avec les artistes et un livre.« Paysages mouvants », présenté du 7 février au 23 mars 2025, est pensé comme un récit collectif qui déroule une histoire des représentations des environnements naturels et des imaginaires qui les convoquent.La commissaire, Jeanne Mercier a invité la scénariste Loo Hui Phang à collaborer sous la forme d'une voix qui, à travers une narration, parcourt les oeuvres de 15 artistes de la scène artistique actuelle, pour la plupart inédites car spécialement produites pour cet événement. Chaque projet se saisit des espaces naturels aux prises avec des stéréotypes – la jungle, l'oasis, le ciel, le désert, la forêt… – pour en proposer un nouvel imaginaire.Le festival, qui dévoile pas à pas une histoire sensorielle et intime de notre rapport au monde, se veut également un espace de réflexion sur les enjeux contemporains, les oeuvres entrant en résonance avec les questions environnementales mais aussi d'identité ou de flux migratoires. Conçue comme une expérience immersive et interactive, cette nouvelle édition du festival offre au public une fresque artistique où les mondes de la photographie, de la littérature et des sciences se rencontrent et se transforment : le paysage devient alors un territoire vivant et en perpétuel mouvement.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La meilleure équipe d'Europe à l'heure actuelle à la salle du Jeu-de-Paume. L'ADA Blois reçoit Monaco pour le compte des huitièmes definale de la coupe de France de basket. Malgré l'adversaire, les Blésois ne comptent pas faire de la figuration. Un reportage réalisé par Bastien Bougeard.
durée : 00:25:39 - Do you want a cup of tea ? C'est au "Jeu de Paume" de l'hôtel du Parc Beaumont à Pau - Niché dans l'écrin verdoyant du Parc Beaumont, le restaurant gastronomique Le Jeu de Paume, à Pau, innove en proposant des Tea Times.
Découvrez l'histoire inspirante d'Alix Saint-Georges, fondatrice de l'institut de facialisme PAUME, qui a su transformer sa passion pour la beauté en une réussite entrepreneuriale.Originaire de Lille, Alix, issue d'une famille d'entrepreneurs, a suivi des études de commerce et travaillé chez Coca-Cola et Nestlé. Mais c'est à Hong Kong qu'elle découvre le facialisme, un art encore méconnu en Occident. Fascinée, elle décide de se former auprès d'experts japonais pour créer un institut unique en France.Aujourd'hui, PAUME propose des soins alliant techniques ancestrales et produits naturels, offrant une expérience bien-être inédite. Le parcours d'Alix démontre qu'oser suivre sa passion peut ouvrir la voie à de grandes réussites.Plongez dans l'univers d'Alix Saint-Georges et découvrez comment elle a réinventé les codes de la beauté.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Découvrez l'histoire inspirante d'Alix Saint-Georges, fondatrice de l'institut de facialisme PAUME, qui a su transformer sa passion pour la beauté en une réussite entrepreneuriale.Originaire de Lille, Alix, issue d'une famille d'entrepreneurs, a suivi des études de commerce et travaillé chez Coca-Cola et Nestlé. Mais c'est à Hong Kong qu'elle découvre le facialisme, un art encore méconnu en Occident. Fascinée, elle décide de se former auprès d'experts japonais pour créer un institut unique en France.Aujourd'hui, PAUME propose des soins alliant techniques ancestrales et produits naturels, offrant une expérience bien-être inédite. Le parcours d'Alix démontre qu'oser suivre sa passion peut ouvrir la voie à de grandes réussites.Plongez dans l'univers d'Alix Saint-Georges et découvrez comment elle a réinventé les codes de la beauté.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Caroline Stein, responsable du mécénat et de la collection photo chez Neuflize OBC, nous partage son parcours, depuis ses débuts en tant qu'éditrice chez Somogy jusqu'à son rôle actuel où elle gère une collection d'entreprise de plus de 1000 œuvres. Nous parlons de son approche des acquisitions d'art, des expositions qu'elle organise, et de son soutien à des projets comme les expositions au BAL et au Jeu de Paume. Bonne écoute !Le site de la collection Neuflize OBC : https://accueil.collection.neuflizeobc.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Caroline Stein, responsable du mécénat et de la collection photo chez Neuflize OBC, nous partage son parcours, depuis ses débuts en tant qu'éditrice chez Somogy jusqu'à son rôle actuel où elle gère une collection d'entreprise de plus de 1000 œuvres. Nous parlons de son approche des acquisitions d'art, des expositions qu'elle organise, et de son soutien à des projets comme les expositions au BAL et au Jeu de Paume. Bonne écoute !1'30 – Caroline Stein évoque son parcours initial en littérature.8'00 – Caroline raconte sa première embauche chez les éditions Somogy, travaillant sur des catalogues d'expositions et son introduction au milieu muséal.9'53 – Elle décrit son immersion dans les institutions culturelles et les festivals à travers ses projets, dont Chroniques Nomades à Honfleur.11'00 – Caroline parle de son travail avec le collectif Planches Contact et sa collaboration avec des photographes sur des projets comme Made in China et Made in France.19'50 – Caroline explique la dynamique de Tendance Floue, un collectif inspiré par Magnum.23'30 – Elle décrit sa rencontre avec Jean-François Camp au festival photo de Vannes et son travail sur une exposition réalisée dans des conteneurs puis ses années chez le laboratoire Dupon.30'00 – Son arrivée chez Neuflize OBC en 2017, où elle intègre la banque pendant sa réorganisation et participe à la célébration des 20 ans de la collection d'art.39'00 – Caroline explique la vision derrière la collection Neuflize OBC, centrée initialement sur le portrait, puis évoluant vers des thèmes comme la figure humaine et la mémoire.45'00 – Elle partage son expérience sur le renouvellement des accrochages dans le cadre de la collection Neuflize OBC.52'00 – Caroline offre des conseils aux photographes sur la manière de soumettre un dossier à la fondation, avec des recommandations pratiques pour être efficace et pertinent.54'00 – Elle mentionne son implication dans le collectif Les Filles de la Photo et l'ouvrage Y voir clair dans l'écosystème de la photographie.55'30 – Caroline discute des mécénats et de l'importance des programmes pédagogiques dans le cadre de ses soutiens culturels à des institutions comme Jeu de Paume et La MEP.1'02'15 – Elle aborde les défis de travailler dans un établissement bancaire, notamment le lien à créer entre l'art et des collaborateurs souvent éloignés de ce milieu.1'04'00 – Caroline revient sur la médiation qui représente 80 % de son travail, un rôle clé pour valoriser la collection à la fois en interne et auprès des partenaires.1'06'00 – Elle conclut avec des conseils sur la gestion d'une collection d'entreprise, insistant sur l'importance de l'équilibre entre l'interne (collaborateurs) et l'externe (partenaires et publics).Le site de la collection Neuflize OBC : https://accueil.collection.neuflizeobc.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:27:48 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, des expositions de photographies : Barbara Crane à la galerie de la photographie du Centre Pompidou et "Family Ties" de Tina Barney au Jeu de Paume . - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro
L'ADA Blois Basket 41, leader de Pro B, accueille ce mardi 29 octobre l'équipe d'Orléans pour le compte de la neuvième journée du championnat. Un derby qui va se jouer devant une salle du Jeu-de-Paume pleine à craquer. Un reportage réalisé par Bastien Bougeard.
The American fine art photographer Tina Barney is known for giving us a glimpse into the soul of her subjects, deftly capturing a passing glance, a wistful gaze or a confident look. The artist has been honing that singular perspective from behind her traditional tripod set-up for more than four decades. As her exhibition "Family Ties" goes on show at the Jeu de Paume gallery in Paris, she speaks to us about returning to familiar subject matter, documenting the rites and rituals of the American upper classes and why she thinks the Instagram age is "pretty horrific" for photography.
Depuis le mois de septembre, la cinéaste belge Chantal Akerman est mise à l'honneur à travers une rétrospective en salles et une exposition au Jeu de Paume, à Paris. L'occasion pour nous de revenir sur l'oeuvre multiple de cette cinéaste fascinante, pétrie d'idées révolutionnaires et d'une liberté permanente.Chapitrage :02:50 : Saute ma ville07:17 : News from home19:32 : Golden EightiesAnimation : Léon CattanParticipantes : Noémie Attia, Léon Cattan, Diane LestageRéalisation, montage, son : Mariana AgierGénérique : © SorocinéMusique : © Antonin AgierHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this episode, I traveled to the International Hall of Fame in Newport, Rhode. I take you through the Hall of Fame Museum where the first US National Championships were played. We go through the history of tennis starting from its origins of Jeu de Paume in France. The Hall of Fame holds so many different collections of various objects from racquets to fashion to trophies. Truly a magical place for any tennis fan. Cheers!Check out the website I made for my channel.Find videos, blog posts, and merch! www.tipsy-tennis.comFollow me on Instagram
durée : 00:26:54 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu de votre débat critique, deux cinéastes, deux expos : le Jeu de Paume rend hommage à Chantal Akermann, et une autre proposée par Apichatpong Weerasethakul qui prend ses quartiers au centre Pompidou avec "Particules de nuit". - réalisation : Laurence Malonda - invités : Antoine Guillot Journaliste, critique de cinéma et de bandes dessinées, producteur de l'émission "Plan large" sur France Culture; Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur
Depuis quelques temps, je suivais Alix Saint-Georges sur instagram. Fondatrice de Paume, elle remet à l'honneur toutes les vertus du massage du visage avec une méthode manuelle pointue, sans artifices ou machines compliquées. Quand je l'ai rencontrée et que j'ai pu tester un massage entre ses doigts de fée, un épisode de podcast est devenu une évidence ! Découvrez dès maintenant :Comment elle a découvert les bienfaits du massage du visageSon parcours et le déclic de la fondation de PaumePourquoi le massage du visage est une solution contre l'acnéTous les bienfaits de la méthode Alix Saint-GeorgesLes gestes simples à faire chaque jour pour changer sa peauLes idées reçues sur le soin de la peauSa routine skincare du momentLa différence entre massage et yoga du visageEt bien d'autres !Suivez Alix sur instagram ainsi que PaumeSoutenez le podcast en me suivant sur instagram @wellnesshotline :)Si cet épisode vous a plu, abonnez-vous et laissez-moi un avis (et 5 étoiles, c'est mieux
durée : 01:01:55 - Plan large - par : Antoine Guillot - Ce samedi dans Plan Large, nous recevons Francis Ford Coppola himself à l'occasion de la sortie de "Megalopolis", Claire Atherton, Céline Brouwez et Marta Ponsa pour une visite de l'exposition “Chantal Akerman – Travelling" au Musée du Jeu de Paume, et aussi Mathieu Macheret. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Francis Ford Coppola Cinéaste, scénariste et producteur; Claire Atherton Monteuse, collaboratrice de Chantal Akerman; Marta Ponsa Historienne d'art. Responsable des projets artistiques et de l'action culturelle au sein du Jeu de Paume depuis 2007.; Céline Brouwez coordinatrice de la Fondation Chantal Akerman; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
durée : 01:01:55 - Plan large - par : Antoine Guillot - Ce samedi dans Plan Large, nous recevons Francis Ford Coppola himself à l'occasion de la sortie de "Megalopolis", Claire Atherton, Céline Brouwez et Marta Ponsa pour une visite de l'exposition “Chantal Akerman – Travelling" au Musée du Jeu de Paume, et aussi Mathieu Macheret. - réalisation : Anne-Laure Chanel - invités : Francis Ford Coppola Cinéaste, scénariste et producteur; Claire Atherton Monteuse, collaboratrice de Chantal Akerman; Marta Ponsa Historienne d'art. Responsable des projets artistiques et de l'action culturelle au sein du Jeu de Paume depuis 2007.; Céline Brouwez coordinatrice de la Fondation Chantal Akerman; Mathieu Macheret Critique de cinéma, journaliste au Monde et aux Cahiers du Cinéma
Jessica Quick, of Buzz Beaute sits down with Amy Welsman, the Founder and CEO of Paume Handcare. Amy shares her journey of starting a hand sanitizer brand and the challenges she faced. She discusses the genesis of Paume and how being a new mom inspired her to create a more luxurious and enjoyable hand sanitizer. She talks about the go-to-market strategy, including focusing on direct-to-consumer sales and building partnerships with retailers. Amy also discusses the differences between marketing in the US and Canada and the scalability of the US market.Instagram: https://www.instagram.com/beautybizshow/See omnystudio.com/listener for privacy information.
Centre d'art situé en plein cœur de Paris, le Jeu de Paume ferme ses portes tout l'été pour éviter les débordements éventuels liés aux Jeux Olympiques. Dans cet épisode, Alice Martin-Edgar revient, en sa qualité de directrice ajointe, sur ce choix fort mais également sur tous ceux qui participent à rendre ce lieu si singulier : parité parfaite, saison entièrement dédiée aux artistes femmes émergentes ou plus iconiques, expositions éphémères dans les antennes à Tours et à Reims, scénographie durable. Bref, une posture de l'exigence et de l'excellence qui mérite un arrêt sur image.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en juin 1940. Les nazis entrent dans Paris. Commence alors un pillage sans précédent mené par un commando qui pénètre dans les plus grandes galeries et dans les appartements de très nombreuses familles. La plupart d'origine juive. Les tableaux, bijoux, tapis précieux sont alors rassemblés au musée du Jeu de Paume et vont servir à alimenter les rêves de prestiges des dignitaires du IIIe Reich. Une femme, seule, va réussir à sauver des milliers d'œuvres. Elle s'appelle Rose Valland, une résistante longtemps oubliée. Invitée : Brigitte Chevet, réalisatrice de « L'espionne au tableau » Sujets traités : Rose Valland, tableau, bijoux, tapis, nazis, pillage, galeries, juifs, IIIe Reich., oeuvres, résistante, espionne Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Cette semaine dans le Paris des Arts, Valérie Fayolle reçoit l'une des grandes voix du reggae francophone : Tiken Jah Fakoly. Le chanteur revient avec un nouvel album entièrement acoustique de ses plus grands standards. Dans l'émission, également à l'honneur, la photographe Tina Modotti dont l'œuvre militante est exposée au Jeu de Paume. Et puis une rencontre dans les coulisses du théâtre de la Scala avec Helena Noguerra. La chanteuse et comédienne nous reçoit dans sa loge avant de monter sur les planches enfiler le costume de Frida Kahlo.
We're talking celebrity skincare favorites to the glitz of the Oscars, trending Netflix shows, nail care, and the importance of gut health. We're talking launches and pop-up events, including Medicube, Versed Skincare, and Amika, Next its all about the Threads Oscars viewing party covering fashion highlights and memorable moments from the 2024 Academy Awards. From Anya Taylor-Joy's ethereal elegance to Billie Eilish's triumphant win, the red carpet was ablaze with star power and unforgettable style. My Netflix binge-watching, including "Resident Alien," "Furies" and “The Gentlemen.” These shows promise gripping storytelling and captivating performances that are sure to keep viewers glued to their screens. Next, I share nail looks that will be trending, with a focus on the glamorous manicures seen on the red carpet, highlighting the work of celebrity manicurist Kimmie Kyees. Plus a spotlight on the PAUME hand and nail care routine. Finally, the podcast concludes with a deep dive into gut health and its impact on overall wellness with insights from Dr. Roshini Raj, co-founder of Yay Day, about the connection between gut health, sleep, and mental well-being.
El Jeu de Paume de París dedica una amplia muestra a Tina Modotti, la fotógrafa de la Revolución mexicana, con la exposición más grande jamás organizada hasta ahora sobre ella en Francia. En Carrusel de las Artes también vamos al Museo de las Artes Decorativas de París para descubrir el vínculo entre moda y deporte. En los estrenos de cine, 'El Juego de la reina' (Firebrand); y hablamos con Ëda Diaz, cantante y compositora franco-colombiana en los escenarios con su primer disco 'Suave bruta'.
durée : 00:28:53 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Claude Mourthé - Réalisation Jean-Jacques Vierne
1940 : les nazis s'installent au musée du Jeu de Paume, et Rose Valland entre dans l'Histoire. Attachée de conservation, elle note secrètement – et au péril de sa vie – la provenance et la destination de toutes les œuvres d'art spoliées qui transitent par le musée au bénéfice d'Hitler et de Goering. Après la guerre, elle jouera un rôle essentiel dans leur récupération. Issue d'une classe sociale modeste, femme dans un monde d'hommes, homosexuelle assumée, Rose Valland incarne à elle seule le dépassement de bien des déterminismes. Quatre-vingts ans plus tard, une réalisatrice découvre ce mystérieux personnage de résistante et décide de lui consacrer un documentaire. Sous la forme d'un journal d'enquête, elle retrace peu à peu son parcours et y mêle bientôt ses réflexions intimes, ses peurs et ses incertitudes, notamment sur la question de la transmission, en un jeu de miroirs qui la confronte à ses propres contradictions. Musique: Paco Ibañez "Cancion de Jinete", sur un texte de Federico Garcia Lorca Haendel, "Ombra mai fu" (Serse), par Philippe Jaroussky
Aujourd'hui, on va parler déco, scénographie, aménagement mais surtout vintage, local et seconde main. Il y a quelques mois, Noémie et Flora lançaient Bureau Bien Vu, un studio de création de décors, avec comme objectif le local et le réemploi, tout en anticipant l'après via la revalorisation des matériaux. Mais on va également profiter de ce moment pour découvrir qui elles sont, les valeurs qui les animent et ce qui fait leur singularité. Voilà ce que vous allez découvrir dans cet épisode : - les personnalités de Noémie et Flora, les co-fondatrices du studio Bien Vu - leurs conseils pour s'associer en entreprise - l'univers visuel Bien Vu et ses valeurs, ce qui fait sa singularité (teasing : graphisme et signalétique sont mis à l'honneur) - la genèse d'un projet entrepeneurial avec la découverte d'un lieu de conservation de décors en région parisienne - le constat fait sur les décors de festivals et autres événements éphémères, et leurs enjeux RSE - la création d'un média en 2020 avec un premier tour de France à la découverte d'acteurs du réemploi, ou comment travailler à partir de l'existant - le lancement du studio grâce à leur cartographie de partenaires potentiels et leur communication sur Instagram - leurs premiers projets, éphémères ou permanents, réalisés en 2023, et l'évolution de leur offre - leur processus créatif expliqué avec le projet pour les bureaux de Sony Music - l'enjeu de pédagogie auprès de ses clients pour déconstruire les fausses croyances sur la seconde main et le réemploi - les notions de traçabilité et de circularité derrière l'histoire de chaque objet chiné ____ Pour prolonger l'épisode Compte Instagram de Bureau Bien Vu Site Internet de Bureau Bien Vu Les bonnes adresses de Noémie & Flora - Café-Fleuriste Désirée - Restaurant Adar - Quintal, atelier d'impression en risographie - Sergeant Paper, art prints - Musée du Jeu de Paume, Paris - Musée des Arts Décoratifs, Paris ______ Retrouvez toute l'actualité du podcast et de ses invité.e.s sur son compte Instagram.
durée : 01:59:41 - Les Matins du samedi - par : Quentin Lafay - Marques et entreprises au risque du géopolitique Guerre Israël-Hamas : l'offensive terrestre se rapproche, l'escalade continue Julia Margaret Cameron : une pionnière dans l'art photographique - invités : Stéphanie Latte Abdallah Historienne, politologue, anthropologue, chercheuse au CERI (Sciences-Po) et CNRS; Nicolas Rouger journaliste de Libération en Israël; Xavier Guignard Spécialiste de la Palestine, chercheur au sein du centre de recherche indépendant Noria Research.; Hélène Orain Docteure en histoire de l'art, spécialisée en photographie; Quentin Bajac Directeur du Jeu de Paume, anvien directeur du département photographie du MoMa; Mayada Boulos PDG de Havas Paris
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durée : 00:29:34 - Le Feuilleton - "Les soldats nous posent contre la façade du Jeu de Paume, en toute simplicité, et c'est là, au soleil des tout premiers jours du premier automne depuis la fin de la guerre, que nous attendons d'être ramenées à la maison par nos familles."
durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - "Une question m'a hantée sous toutes ses formes : pourquoi le Jeu de Paume peuplé de tant de personnages illustres n'a-t-il pas été le théâtre d'une révolte spontanée ? Pourquoi ne sommes-nous pas tous sortis du cadre pour refuser cette déportation ?"
durée : 00:28:22 - Le Feuilleton - Des vols d'œuvres d'art ont eu lieu au Jeu de Paume. Le Dr Lohse, haut responsable nazi, suspecte l'équipe de Rose Valland et somme la jeune conservatrice de lui fournir un coupable.
durée : 00:26:20 - Le Feuilleton - Des vols d'œuvres d'art ont eu lieu au Jeu de Paume. Le Dr Lohse, haut responsable nazi, suspecte l'équipe de Rose Valland et somme la jeune conservatrice de lui fournir un coupable.
durée : 00:28:30 - Le Feuilleton - "Une question m'a hantée sous toutes ses formes : pourquoi le Jeu de Paume peuplé de tant de personnages illustres n'a-t-il pas été le théâtre d'une révolte spontanée ? Pourquoi ne sommes-nous pas tous sortis du cadre pour refuser cette déportation ?"
durée : 00:29:34 - Le Feuilleton - "Les soldats nous posent contre la façade du Jeu de Paume, en toute simplicité, et c'est là, au soleil des tout premiers jours du premier automne depuis la fin de la guerre, que nous attendons d'être ramenées à la maison par nos familles."
durée : 00:59:03 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Dans quelle mesure les photographies de Dorothea Lange constituent-elles un témoignage de l'Amérique en crise des années 1930 ? - invités : Emmanuel Didier Sociologue, directeur de recherche au CNRS et enseignant à l'ENS; Pia Viewing Commissaire-chercheuse au Musée du Jeu de Paume
Dans Historiquement Vôtre, Clémentine Portier-Kaltenbach vous raconte l'histoire de Joseph Martin-Dauch (1741-1801), le seul député ayant refusé, en 1789, de voter en faveur du serment du Jeu de Paume, qui devait mettre fin à l'Ancien Régime.
durée : 00:26:20 - Le Feuilleton - Des vols d'œuvres d'art ont eu lieu au Jeu de Paume. Le Dr Lohse, haut responsable nazi, suspecte l'équipe de Rose Valland et somme la jeune conservatrice de lui fournir un coupable.
Stephen Shore's work has been widely published and exhibited for the past forty-five years. He was the first living photographer to have a one-man show at the Metropolitan Museum of Art in New York since Alfred Stieglitz, forty years earlier. He has also had one-man shows at George Eastman House, Rochester; Kunsthalle, Dusseldorf; Hammer Museum, Los Angeles; Jeu de Paume, Paris; and Art Institute of Chicago. In 2017, the Museum of Modern Art opened a major retrospective spanning Stephen Shore's entire career. He has received fellowships from the Guggenheim Foundation and the National Endowment for the Arts. His series of exhibitions at Light Gallery in New York in the early 1970s sparked new interest in color photography and in the use of the view camera for documentary work.More than 25 books have been published of Stephen Shore's photographs including Uncommon Places: The Complete Works; American Surfaces; Stephen Shore, a retrospective monograph in Phaidon's Contemporary Artists series; Stephen Shore: Survey and most recently, Transparencies: Small Camera Works 1971-1979 and Stephen Shore: Elements. In 2017, the Museum of Modern Art published Stephen Shore in conjunction with their retrospective of his photographic career.Stephen also wrote The Nature of Photographs, published by Phaidon Press, which addresses how a photograph functions visually. His work is represented by 303 Gallery, New York; and Sprüth Magers, London and Berlin. Since 1982 he has been the director of the Photography Program at Bard College, NY, where he is the Susan Weber Professor in the Arts.His new book, Modern Instances: The Craft of Photography. A Memoir, was published by Mack Books in 2021. On episode 192, Stephen discusses, among other things:How the new book came aboutHow it differs from previous book, The Nature of Photographs.Artist's superstition over discussing the creative processThe importance of experimentationShowing and not explainingPhotography as a ‘generous medium'Creating the book as an ‘experience'Structure vs. compositionInclusion vs. exclusionMastering the discipline - 3 phasesDoes he believe in The Muse?Being attentive in the midst of lifeWorking with a performance coachThe influence of paintings… and Walker EvansThe nature (and importance) of ambitionGetting a solo show at The Met, aged 23Sustaining driveHis interest in drone photography… and InstagramThe day he realised the 8x10 camera was for himReferenced:The Nature of PhotographsLee FriedlanderGarry WinograndBruno BettelheimRichard AvedonJerry GoldsmithGregory CrewdsonGeorge EliotWalker EvansWebsite | Instagram | Interview with David Campany“To look at something completely ordinary, what you see day to day in your life, and pay attention to it, that's what interests me. And just from years of trying it and doing it, I feel like it provides a certain kind of food for people, that it's nourishing.”