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On réagit à mon article “Travailleuse indépendante, travailleuse exploitée”, que j'ai lu en live et qu'Alexis a découvert avec nous pour la première fois. On y propose une lecture féministe matérialiste du travail indépendant et de la précarité qu'il peut masquer.Mais derrière l'indépendance, il y a un vrai problème structurel :- Qu'est-ce que signifie vraiment être “indépendante” aujourd'hui ?- Comment le capitalisme et le patriarcat s'articulent pour exploiter les travailleuses indépendantes ?- Quelles formes de travail gratuit ou invisible traversent ce modèle (double journée, travail domestique, reproduction sociale) ?
On réagit au débat Bompard vs Consigny autour de "Nicolas qui paie", ce fameux mème devenu symbole du ras-le-bol fiscal et du discours anti-impôts.Mais derrière le mème, il y a un vrai débat politique :- Est-ce que l'État dépense trop ?- Est-ce que vraiment “Nicolas” paie pour les autres ?- Et pourquoi ce discours revient toujours à attaquer les services publics, les classes populaires et les fonctionnaires ?Avec Alexis, on décrypte tout ça : le mouvement anti-impôts, les libertariens made in Twitter, les propos de Mélenchon sur les PME, et la manière dont tout ça façonne le débat politique actuel.
La taxe Zucman, fausse bonne idée ?
Retrait non consenti de préservatif, harcèlement, menaces: les personnes exerçant le travail du sexe en Suisse subissent fréquemment des violences. Pourquoi? Quels sont leurs droits? Qui sont-elles? Eclairage avec Carine Maradan, collaboratrice scientifique à ProCore, le réseau national de défense des droits des travailleuses et travailleurs du sexe en Suisse. On écoute aussi le témoignage d'Alexia, travailleuse du sexe indépendante à Genève. Episode initialement diffusé le 6 mars 2025. Journaliste: Juliane Roncoroni Réalisatrice: Luana Biadici >> Pour aller plus loin: - "Travailleuse du sexe et 'sans papier': le récit de Kelly", podcast "Let's talk about Sex Work" (en ligne). - "Travailleuse du sexe entre la Suisse et la France: le récit d'Aurore", podcast "Let's talk about Sex Work" (en ligne). - "En Belgique, les travailleuses du sexe sont protégées par des contrats de travail, une première mondiale", Le Temps, 3 décembre 2024 (en ligne). - "Les archives militantes de la prostituée Grisélidis Réal ouvertes au public", RTSinfo, 1er avril 2019 (en ligne). Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Retrait non consenti de préservatif, harcèlement, menaces: les personnes exerçant le travail du sexe en Suisse subissent fréquemment des violences. Pourquoi? Quels sont leurs droits? Qui sont-elles? Eclairage avec Carine Maradan, collaboratrice scientifique à ProCore, le réseau national de défense des droits des travailleuses et travailleurs du sexe en Suisse. On écoute aussi le témoignage d'Alexia, travailleuse du sexe indépendante à Genève. Journaliste: Juliane Roncoroni Réalisatrice: Luana Biadici >> Pour aller plus loin: - "Travailleuse du sexe et 'sans papier': le récit de Kelly", podcast "Let's talk about Sex Work" (en ligne). - "Travailleuse du sexe entre la Suisse et la France: le récit d'Aurore", podcast "Let's talk about Sex Work" (en ligne). - "En Belgique, les travailleuses du sexe sont protégées par des contrats de travail, une première mondiale", Le Temps, 3 décembre 2024 (en ligne). - "Les archives militantes de la prostituée Grisélidis Réal ouvertes au public", RTSinfo, 1er avril 2019 (en ligne). Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
La décriminalisation du travail du sexe, en mars 2022, et puis les droits accordés aux travailleurs et travailleuses du sexe en mai dernier - chaque fois par le biais d'une loi votée au parlement fédéral - ont-ils réellement changé les choses pour les personnes concernées ? Premier volet d'une série réalisée par Marie-Flore Pirmez avec le soutien du Fonds pour le journalisme en Fédération Wallonie-Bruxelles. Illustration : Charlotte Costes Leulier. Merci pour votre écoute Transversales, c'est également en direct tous les samedis de 12h à 13h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Transversales sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/492 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.beRetrouvez également notre offre info ci-dessous :Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrLes couleurs de l'info : https://audmns.com/MYzowgwMatin Première : https://audmns.com/aldzXlmEt ses séquences-phares : L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwP L'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqx L'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Plongez dans « Quand je passe » : une immersion poétique au cœur invisible des Pâquis. The post Rendre visibles les invisibles travailleuses du sexe first appeared on Radio Vostok.
Plongez dans « Quand je passe » : une immersion poétique au cœur invisible des Pâquis. The post Rendre visibles les invisibles travailleuses du sexe first appeared on Radio Vostok.
Depuis le 24 février 2022, la Russie est en guerre contre l'Ukraine. Sur cette guerre, beaucoup a été écrit et dit : de l'indignation furieusement européenne de Glucksmann, jusqu'à la lecture géopolitique la plus froide de certains marxistes, ne concevant l'agression russe envers l'Ukraine qu'à travers le prisme, certainement juste mais insuffisant, d'un conflit impérialiste entre l'OTAN et la Russie. Dans toutes ces analyses, c'est comme si un acteur manquait pourtant cruellement : les Ukrainiens eux-mêmes, dont certains semblent avoir presque oublié qu'ils existent, et dont le quotidien est percuté par bientôt plus de trois années de guerre sans répit. Qu'a fait la guerre aux Ukrainiens, et plus particulièrement ici, aux Ukrainiennes ? Comment a-t-elle remis en cause les évidences acquises et remodelé les relations humaines ? Comment a-t-elle transformé les perceptions de soi, et provoqué des engagements subjectifs dévoués pour soutenir ceux qui sont au front ? C'est l'objet de l'enquête du livre Travailleuses de la résistance (Éditions du Croquant) de la militante et philosophe marxiste Daria Saburova, à travers un travail de terrain auprès de femmes des classes populaires de la région industrielle de Dnipro, dans la ville natale de Volodymir Zelensky : souvent russophones, et parfois opposées ou indifférentes au soulèvement de Maïdan. Le travail d'enquête auprès de ces femmes et de ce que Daria Saburova nomme leur « travail de résistance » offre un angle d'approche privilégié et unique pour comprendre de l'intérieur, et à hauteur de vue, ce qu'il en est aujourd'hui d'une partie de la société ukrainienne, de ses traumatismes et de ses combats quotidiens contre un adversaire à la fois proche et lointain.
Le 3 juillet 2024, la maison des professionnels à Avignon accueillait une table-ronde intitulée « Argentine : travailleuses et travailleurs de la culture en danger », organisé par la CGT spectacle. Cette rencontre était animée par Maxime Séchaud, comédien, metteur en scène et secrétaire général adjoint de la CGT Spectacle et avait pour invitée Maria Emilia de la Iglesia, metteuse en scène, fondatrice de la coopérative sociale et culturelle « la comunitaria » dans la province de Buenos Aires, présidente de l'institut argentin pour la promotion de la culture communautaire et militante pour les droits culturels et sociaux des populations rurales.
Premier volet d'un reportage réalisé par Marie-Flore Pirmez avec le soutien du Fonds pour le journalisme en Fédération Wallonie-Bruxelles. La décriminalisation du travail du sexe, en mars 2022, et puis les droits accordés aux travailleurs et travailleuses du sexe en mai dernier - chaque fois par le biais d'une loi votée au parlement fédéral - ont-ils réellement changé les choses pour les personnes concernées ? Illustration : Charlotte Costes Leulier. Merci pour votre écoute Transversales, c'est également en direct tous les samedis de 12h à 13h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Transversales sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/492 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
"Pute", "putain", "fils de pute" : Connais-tu la putophobie ? Le but de cet épisode n'est PAS de vous dire que le travail du sexe, c'est bien ou c'est mal. Clairement, tout n'est pas rose dans ce milieu. Par contre, derrière ce travail, il y a des personnes et ces personnes ont des droits, comme tout le monde. Des droits à la santé, au logement, à la dignité. Et ce n'est pas normal que ces droits soient piétinés. SOMMAIRE 00:00 Putophobie 01:18 Putarchie 04:52 Prostituée et féministe ? 09:04 Pourquoi ça te tient à cœur ? 12:32 Clash 17:07 Pride 19:45 Abolitionnistes 23:20 Témoignages de TDS 25:20 Amalgame 26:52 Revendications 32:10 BTS Fellation 36:03 Être un.e allié.e ?____ ____ Vous voulez sponsoriser le podcast ? C'est par ici !
Voici le 10ème épisode de Vieilles en puissance. Notre podcast est parti des questions suivantes : Comment ne pas être une vieille pauvre ? Et comment nous réconcilier avec les (futures) vieilles en nous mais aussi les vieilles autour de nous, les aimer, les soigner, les laisser nous soigner et nous inspirer ! Nous sommes trois vieilles en puissance : Caroline Taconet, Katerina Zekopoulos, et Laetitia Vitaud.Qui prend soin des travailleuses du soin ? Docteure en sociologie clinique et en études de genre, Rose-Myrlie Joseph, étudie le travail des femmes du soin avec une approche intersectionnelle, internationale et interdisciplinaire. Sa thèse portait sur le travail des femmes haïtiennes, plus précisément « l'articulation des rapports sociaux, de sexe, de classe et de race dans la migration et le travail des femmes haïtiennes ». Avec elle, nous regardons de plus près qui sont ces travailleuses et les vieilles en puissance qu'elles sont (ou devraient être).Les femmes du soin sont le plus souvent invisibles. Elles s'occupent des enfants, des malades et des personnes âgées, à domicile ou dans des établissements collectifs. Ce sont essentiellement des femmes et très souvent, des femmes migrantes. Beaucoup d'entre elles sont à la tête de familles monoparentales et travaillent dans des conditions précaires. Le sort des femmes du soin est lié à celui de tous les actifs : sans elles, de très nombreux actifs ne pourraient pas travailler. Et oui, comme on l'a “découvert” pendant les confinements, quand il n'y a plus personne pour garder les enfants, d'autres adultes ne peuvent plus faire leur travail. Nous entretenons un lien de dépendance étroit avec ces personnes. Non seulement le travail domestique et le travail de soin concerne de nombreuses femmes mais il rend possible le travail de tous les autres.Comme l'explique Rose-Myrlie, il est important de considérer le care drain. Le concept désigne la migration des travailleuses (travailleurs) du soin (infirmières, aides-soignants, gardes d'enfants ou aides à domicile) depuis leurs pays d'origine vers des pays plus riches en quête de meilleures opportunités économiques. Dans les pays d'origine, la perte de professionnels qualifiés aggrave les pénuries de personnel de soins, dégrade la qualité et l'accessibilité des services de santé et représente une perte d'investissement pour les gouvernements qui ont financé leur formation. Les pays d'accueil, eux, bénéficient de l'arrivée de ces travailleuses, qui les aident à combler les déficits de main-d'œuvre. Ces femmes font un travail essentiel. Mais elles sont souvent à temps partiel, avec des horaires « atypiques », peu rémunérées et peu protégées. Que leurs enfants et leurs proches soient avec elles ou dans leur pays d'origine (ou les deux), elles ont un accès limité aux bonnes écoles pour leurs enfants, aux services de soin pour elles-mêmes et leurs proches et à la protection sociale. Qui prend soin des femmes du soin, de leur santé, de leurs enfants, de leurs aînés ? Quelle est leur vie quand elles sont vieilles ? Combien sont des « vieilles pauvres » quand elles ont l'âge de la retraite ? Comment appréhendent-elles leur propre vieillissement ?
Cette semaine, sur Nouveau Départ nous diffusons le 10ème épisode du podcast Vieilles en puissance, à l'intersection de 3 sujets : l'âge, l'argent, les femmes.Comment ne pas être une vieille pauvre ? Et comment nous réconcilier avec les (futures) vieilles en nous mais aussi les vieilles autour de nous, les aimer, les soigner, les laisser nous soigner et nous inspirer ! Ce sont toutes ces questions qui ont déclenché notre projet de podcasts avec Caroline Taconet, Katerina Zekopoulos, et Laetitia Vitaud.J'espère que cet épisode vous plaira !Qui prend soin des travailleuses du soin ? Docteure en sociologie clinique et en études de genre, Rose-Myrlie Joseph, étudie le travail des femmes du soin avec une approche intersectionnelle, internationale et interdisciplinaire. Sa thèse portait sur le travail des femmes haïtiennes, plus précisément « l'articulation des rapports sociaux, de sexe, de classe et de race dans la migration et le travail des femmes haïtiennes ». Avec elle, nous regardons de plus près qui sont ces travailleuses et les vieilles en puissance qu'elles sont (ou devraient être).Les femmes du soin sont le plus souvent invisibles. Elles s'occupent des enfants, des malades et des personnes âgées, à domicile ou dans des établissements collectifs. Ce sont essentiellement des femmes et très souvent, des femmes migrantes. Beaucoup d'entre elles sont à la tête de familles monoparentales et travaillent dans des conditions précaires. Le sort des femmes du soin est lié à celui de tous les actifs : sans elles, de très nombreux actifs ne pourraient pas travailler. Et oui, comme on l'a “découvert” pendant les confinements, quand il n'y a plus personne pour garder les enfants, d'autres adultes ne peuvent plus faire leur travail. Nous entretenons un lien de dépendance étroit avec ces personnes. Non seulement le travail domestique et le travail de soin concerne de nombreuses femmes mais il rend possible le travail de tous les autres.Comme l'explique Rose-Myrlie, il est important de considérer le care drain. Le concept désigne la migration des travailleuses (travailleurs) du soin (infirmières, aides-soignants, gardes d'enfants ou aides à domicile) depuis leurs pays d'origine vers des pays plus riches en quête de meilleures opportunités économiques. Dans les pays d'origine, la perte de professionnels qualifiés aggrave les pénuries de personnel de soins, dégrade la qualité et l'accessibilité des services de santé et représente une perte d'investissement pour les gouvernements qui ont financé leur formation. Les pays d'accueil, eux, bénéficient de l'arrivée de ces travailleuses, qui les aident à combler les déficits de main-d'œuvre. Ces femmes font un travail essentiel. Mais elles sont souvent à temps partiel, avec des horaires « atypiques », peu rémunérées et peu protégées. Que leurs enfants et leurs proches soient avec elles ou dans leur pays d'origine (ou les deux), elles ont un accès limité aux bonnes écoles pour leurs enfants, aux services de soin pour elles-mêmes et leurs proches et à la protection sociale. Qui prend soin des femmes du soin, de leur santé, de leurs enfants, de leurs aînés ? Quelle est leur vie quand elles sont vieilles ? Combien sont des « vieilles pauvres » quand elles ont l'âge de la retraite ? Comment appréhendent-elles leur propre vieillissement ?
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
Et si on licenciait notre patron ? Si on occupait notre usine ? Si on travaillait sans chef ? Et si on tentait l'aventure de l'autogestion ? Dans la Belgique post-68, ces questions traversent le monde du travail. Des expériences d'autogestion sont menées par des ouvriers, et, surtout, des ouvrières. Une de ces expériences a particulièrement marqué l'histoire sociale wallonne : l'occupation et l'autogestion de l'usine de jeans Salik à Quaregnon dans le Borinage. Un moment important et quelque peu oublié de notre histoire sociale. Avec Gaëlle Demez, responsable nationale des Femmes CSC, syndicat qui était alors à la pointe du combat autogestionnaire, et l'historien de l'ULB Nicolas Verschueren, spécialiste de l'histoire sociale et ouvrière. Merci pour votre écoute L'Histoire Continue c'est également en direct tous les samedis de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Histoire Continue sur notre plateforme Auvio.be https://auvio.rtbf.be/emission/l-histoire-continue-19690 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:23:56 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - "Évidemment, que les salariés veulent participer à la réussite des Jeux, mais pas au mépris de leur situation sociale et sanitaire", estime Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT.
durée : 00:23:56 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - "Évidemment, que les salariés veulent participer à la réussite des Jeux, mais pas au mépris de leur situation sociale et sanitaire", estime Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT.
Chronique sur l'exposition Bois de Boulogne The post Les travailleuses du sexe transgenre du Bois de Boulogne first appeared on Radio Vostok.
Chronique sur l'exposition Bois de Boulogne The post Les travailleuses du sexe transgenre du Bois de Boulogne first appeared on Radio Vostok.
Deuxième volet : Avec les animaux Lucie a une ferme, elle élève des animaux et mange leur viande, leurs œufs et le fromage fabriqué avec leur lait. Mais elle se sent proche d'eux, elle les respecte, elle cohabite avec eux. Em' elle, est maraichère, elle ne consomme aucun produit issu de l'exploitation animale, pour elle c'est impensable. Toutes les deux sont paysannes et féministes, et elles participent à des réflexions autour de l'accès à l'alimentation pour toutes et tous. Malgré leurs différences, elles cherchent à dessiner les lignes d'un écoféminisme paysan de terrain, en lutte contre le modèle agricole dominant et patriarcal et en harmonie avec la nature. Dans ce deuxième volet consacré aux luttes paysannes, Lucie et Em' racontent leurs parcours respectifs, leur rapport à la nature, aux animaux, à leur métier. À travers leurs voix, cet épisode s'interroge sur l'articulation entre luttes paysannes, luttes féministes, et luttes contre le spécisme (concept plaçant l'espèce humaine au-dessus de toutes les autres). Avec :- Lucie paysanne, gérante d'une ferme pédagogique- Em', paysanne maraichère- Constance Rimlinger, sociologue, spécialiste du genre et des alternatives éco féministes- Geneviève Pruvost, sociologue du travail et du genre Remerciements : Em et Erel Lectures : - « Mémoires », Louise Michel, Éditions La Découverte, 2002.- « Le mur invisible », Marlen Haushofer (traduction Liselotte Bode et Jacqueline Chambon), Éditions Actes Sud, 1992.- « La feuille », Anjela Duval (traduction Paol Keineg) Ressources :- « Féministes des champs », Constance Rimlinger, Éditions PUF, à paraître le 28 février 2024.- Ni Dieu ni maître (boucher), Constance Rimlinger- « Travailler la terre et déconstruire l'hétérosexisme : expérimentations écoféministes », Constance Rimlinger- « Quotidien politique », Geneviève Pruvost, Éditions La Découverte, 2021.- « Subsistance », Geneviève Pruvost- « Des paillettes sur le compost, Ecoféminismes au quotidien », Myriam Bahaffou, Éditions Le Passager Clandestin, 2022.- Féminismes décoloniaux et antispécisme, Myriam Bahaffou- « La politique sexuelle de la viande », Carol J. Adams- « Féminisme et cause animal », revue Ballast- « Women and the Animal Rights Movement », Emily Gaarder- Rencontres des Travailleuses de la Terre- « Pensée féministe décoloniale », Éditions Anacaona, 2022.- « Écologies déviantes », Cy Lecerf Maulpoix, Editions Cambourakis, 2021.- « Il est où le patron ? », Maud Bénézit & Les paysannes en polaire, Éditions Marabout, 2021. Enregistrements : octobre 2023 - Prise de son, montage, textes et voix : Charlotte Bienaimé - Réalisation et mixage : Annabelle Brouard - Lectures : Laure Giappiconi - Accompagnement éditorial : Sarah Bénichou - Illustrations : Anna Wanda Gogusey - Production : ARTE Radio
Premier volet : Travailleuses invisibles Marie Edith, Gwennen et Charlotte sont éleveuses de vaches laitières près de Rennes. Depuis quelques années, elles se retrouvent, avec d'autres paysannes, au sein du groupe « Les elles ». Elles y partagent leurs expériences, leurs peines et leurs espoirs : sexisme dans le monde agricole, difficile articulation du travail salarié et travail domestique, vie de couple liée au travail paysan sur la ferme... Elles se forment aussi pour mieux maitriser machines agricoles et tracteurs et réfléchissent à de nouveaux outils plus ergonomiques. Ce groupe a suscité de fortes prises de conscience et a permis la mise en place d'entraides solides entre femmes, dans un monde où le travail des paysannes est encore largement invisibilisé. Leurs paroles, articulées à celles des rares chercheuses travaillant sur les agricultrices et le monde de la subsistance, permet d'éclairer la place des femmes dans ce métier où l'imbrication entre travail salarié et travail domestique est particulièrement fort. Avec :- Marie-Edith, Gwennen, Charlotte et les membres du groupe femme Les Elles - Clémentine Comer, docteure en science politique - Geneviève Pruvost, sociologue du travail et du genre Remerciements :- Emilie Serpossian et Clémentine Comer - Le groupe femme Civam 44 Lectures :- « Choses délicieuses », Anjela Duval, trad. Paol Keineg- « Une femme », Annie Ernaux, Éditions Gallimard, 1988- « La peine et le plaisir », Anjela Duval, trad. Paol Keineg Ressources :- Clip « L'invisible gronde », Les Elles- Quotidien Politique, Geneviève Pruvost, Éditions La Découverte, 2021- « Retour sur les « agricultrices » : des oubliées de la recherche et du féminisme », Rose Marie Lagrave, 2021- « L'ennemi principal : Économie politique du patriarcat », Christine Delphy, 2013- « On est pas là pour casser du mâle », Clémentine Comer, 2017- « Luttes d'agricultrices ou d'épouses au travail », Clémentine Comer, 2017-Film Croquantes, TessLye Lopez et Isabelle Mandin, 2022- Groupe femmes « Les Elles » - Groupes femmes des CIVAM - Sortir du rang, Julie Francoeur, Les éditions du remue-ménage, 2023- « Subsistance », Geneviève Pruvost, 2023 Enregistrements : septembre 2023 - Prise de son, montage, textes et voix : Charlotte Bienaimé - Réalisation et mixage : Arnaud Forest - Lectures : Laure Giappiconi - Accompagnement éditorial : Sarah Bénichou - Illustrations : Anna Wanda Gogusey - Production : ARTE Radio
Travailleuses invisibles Marie Edith, Gwennen et Charlotte sont éleveuses de vaches laitière près de Rennes. Depuis quelques années, elles se retrouvent, avec d'autres paysannes, au sein du groupe « Les elles ». Elles y partagent leurs expériences, leurs peines et leurs espoirs : sexisme dans le monde agricole, difficile articulation du travail salarié et travail domestique, vie de couple liée au travail paysan sur la ferme... Elles se forment aussi pour mieux maitriser machines agricoles et tracteurs et réfléchissent à de nouveaux outils plus ergonomiques.Ce groupe a suscité de fortes prises de conscience et a permis la mise en place d'entre-aides solides entre femmes, dans un monde où le travail des paysannes est encore largement invisibilisé. Leurs paroles, articulées à celles des rares chercheuses travaillant sur les agricultrices et le monde de la subsistance, permet d'éclairer la place des femmes dans ce métier où l'imbrication entre travail salarié et travail domestique est particulièrement fort. Avec :- Marie-Edith, Gwennen, Charlotte et les membres du groupe femme Les Elles - Clémentine Comer, docteure en science politique - Geneviève Pruvost, sociologue du travail et du genre Remerciements : - Emilie Serpossian et Clémentine Comer - Le groupe femme Civam 44 Lectures : - « Choses délicieuses », Anjela Duval, trad. Paol Keineg- Une femme, Annie Ernaux, Éditions Gallimard, 1988- « La peine et le plaisir », Anjela Duval, trad. Paol Keineg Ressources : - Clip « L'invisible gronde », Les Elles : - Quotidien Politique, Geneviève Pruvost, Éditions La Découverte, 2021- « Retour sur les « agricultrices » : des oubliées de la recherche et du féminisme », Rose Marie Lagrave, 2021- « L'ennemi principal : Économie politique du patriarcat », Christine Delphy, 2013- « On est pas là pour casser du mâle », Clémentine Comer, 2017- « Luttes d'agricultrices ou d'épouses au travail », Clémentine Comer, 2017 -Film Croquantes, TessLye Lopez et Isabelle Mandin, 2022 - Groupe femmes « Les Elles » - Groupes femmes des CIVAM - Sortir du rang, Julie Francoeur, Les éditions du remue-ménage, 2023- « Subsistance », Geneviève Pruvost, 2023 Enregistrements : septembre 2023 - Prise de son, montage, textes et voix : Charlotte Bienaimé - Réalisation et mixage : Arnaud Forest - Lectures : Laure Giappiconi - Accompagnement éditorial : Sarah Bénichou - Illustrations : Anna Wanda Gogusey
Tous les soirs, retrouvez l'histoire du jour par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Universalmusicproductions Photo : Jo Yong-Hak / Reuters Archives
Les employés des Casinos de Montréal, de Charlevoix, du Lac-Leamy et de Mont-Tremblant ont entamé une grève avant le week-end du Grand Prix du Canada. Entrevue avec Riccardo Scopelleti, président de l'unité des travailleurs et des travailleuses de sécurité du Casino de Montréal.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans la nuit du 16 au 17 août 2018, un groupe de malfaiteurs débarque au Bois de Boulogne. Depuis plusieurs années, ils volent et rackettent les prostituées du Bois et leurs clients. Parmi elles, une femme trans originaire du Pérou : Vanesa Campos. Ce jour-là, comme tous les autres, elle ne se laisse pas faire, s'interpose, prête à en découdre. Mais le petit groupe d'homme est armé. L'un d'eux tire, la touche à la poitrine. Elle succombe à ses blessures au petit matin. La voix du crime de cet épisode, c'est Giovanna Rincon. Directrice de l'association d'aide aux personnes trans Acceptess-T, c'est elle qui a accompagné les proches de Vanesa Campos tout au long de l'enquête et du procès. Elle témoigne au micro de Marie Zafimehy.
"Pute", "putain", "fils de pute" : Connais-tu la putophobie ? Le but de cet épisode n'est PAS de vous dire que le travail du sexe, c'est bien ou c'est mal. Clairement, tout n'est pas rose dans ce milieu. Par contre, derrière ce travail, il y a des personnes et ces personnes ont des droits, comme tout le monde. Des droits à la santé, au logement, à la dignité. Et ce n'est pas normal que ces droits soient piétinés. SOMMAIRE 00:00 Putophobie 01:18 Putarchie 04:52 Prostituée et féministe ? 09:04 Pourquoi ça te tient à cœur ? 12:32 Clash 17:07 Pride 19:45 Abolitionnistes 23:20 Témoignages de TDS 25:20 Amalgame 26:52 Revendications 32:10 BTS Fellation 36:03 Être un.e allié.e ?
Que vous soyez fier de votre métier ou que vous subissiez votre travail, que vous ayez un seul emploi, aucun, ou que vous cumuliez les jobs, nous vous rendons aujourd'hui hommage en fêtant un 1er Mai pétaradant des mines aux... Continue Reading →
Cet épisode a été pensé en collaboration avec Max Havelaar dans le cadre de la Fashion Revolution Week. Aujourd'hui, Jeane reçoit Margot Jaymond, chargée de plaidoyer au sein de Max Havelaar France. Au micro, Margot nous présente la campagne Good Clothes, Fair Pay. Aujourd'hui, 80% des travailleurs du textile sont des femmes. Margot nous explique pourquoi la logique des pratiques commerciales de la “fast fashion” rend l'ouvrière esclave d'une industrie qui s'engraisse et bafoue les droits humains. Grâce aux explications de Margot, le droit de vigilance à l'échelle européenne n'aura plus de secret pour vous. Ressources : Max Havelaar : https://maxhavelaarfrance.org/ Soutenir la campagne Good Clothes, Fair Pay : https://www.goodclothesfairpay.eu/ En Mode Climat : https://www.enmodeclimat.fr/ Soutenir Basilic : instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.com Production : Jeane Clesse Musique : @Klein Graphisme : Mahaut Clément & Coralie Chauvin Mix : Jeane Clesse Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.
La question du partage équitable des responsabilités familiales dans les configurations où les mèressont au foyer, travailleuses autonomes ou aux horaires atypiques est encore peu discutée. Les rares recherches sur le sujet témoignent surtout de l'invisibilité de ces femmes et de la méconnaissance deleurs réalités et aspirations familiales et professionnelles.Comment des mères actuellement au foyer, travailleuses autonomes ou aux horaires atypiquesimaginaient-elles leur vie de famille et professionnelle ? Quels défis ont-elles rencontré ? Mais aussi, quelles mesures conviendrait-il de mettre en place pour aider les femmes et mères à un meilleurepartage des responsabilités familiales au sein de leur couple ?Par Laurence Charton, sociologue et professeure à l'Institut national de la recherche scientifique àMontréal.Musique: Roxanne Potvin
Quelle est la place du travail dans l'histoire des luttes féministes ? En quoi le travail est-il l'un des moteurs principaux de l'émancipation des femmes ? Quelles en sont les étapes marquantes -avoir un travail, et des conditions dignes, un salaire horaire, pouvoir disposer des fruits de son travail, ainsi que l'égalité salariale qui se fait attendre- ? Voilà des questions qui se sont posées dès le XIXème ! Mathilde Larrère est enseignante-chercheuse en histoire, spécialiste du XIXe siècle. Elle enseigne à l'université Gustave-Eiffel ainsi qu'à l'Institut d'études politiques de Paris et intervient régulièrement dans des universités populaires. Elle tient également une chronique d'histoire pour Arrêt sur Image et pour la revue Politis, où elle co-dirige avec l'historienne Laurence De Cock la rubrique « L'Histoire n'est pas un roman ». Elle publie Guns and roses, Les objets des luttes féministes, aux éditions du Détour. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Simon Coulombe présente son étude: Portrait 2022 de la santé mentale des travailleuses et travailleurs de PME au Canada. Aux segments espresso, Pierre Laporte nous informe sur la mythomanie. Notre invitée Marie-Maud Sylvestre Audette nous fait mieux connaître la Maison Saint-Dominique. Animateur, intervieweur et producteur: Yvan Bujold Preneur de son et chroniqueur aux segments Espresso: Pierre Laporte Site Web de Folie Douce: antenne.qc.ca © Copyright Antenne Communications Tous droits réservés
Soisic est journaliste. Il y a quelques années alors qu'elle se fait sa place dans le monde du journalisme elle souhaite faire une enquête sur le milieu des travailleuses du sexe et mettre en lumière la condition des femmes qui choisissent de l'être. Cependant, dès qu'elle approche une professionnelle celle ci lui fait savoir qu'elle ne peut pas vraiment se confier ou rentrer dans les détails car elle n'est pas en mesure de la comprendre. Soisic n'arrive pas à écrire un papier dans lequel il y aurait ses tripes et qui pourrait donner un vrai éclairage. Elle comprend que cette barrière ne tombera pas mais elle veut vraiment ce reportage qu'elle pense nécessaire ! Alors une idée lui vient: elle va faire une enquête en immersion et devient pour les besoins de celle-ci travailleuse du sexe pendant un an . Soisic découvre un monde qu'elle ne soupçonnait pas, et ces rencontres nourrissent son livre. Malheureusement Après la sortie de cette enquête un véritable cyber harcèlement commence. Soisic n'est plus tranquille nulle part , elle se sent acculée et seule. Cette enquête a changé sa vie. Bonne écoute !
Dans la nuit du 16 au 17 août 2018, un groupe de malfaiteurs débarque au Bois de Boulogne. Depuis plusieurs années, ils volent et rackettent les prostituées du Bois et leurs clients. Parmi elles, une femme trans originaire du Pérou : Vanesa Campos. Ce jour-là, comme tous les autres, elle ne se laisse pas faire, s'interpose, prête à en découdre. Mais le petit groupe d'homme est armé. L'un d'eux tire, la touche à la poitrine. Elle succombe à ses blessures au petit matin. La voix du crime de cet épisode, c'est Giovanna Rincon. Directrice de l'association d'aide aux personnes trans Acceptess-T, c'est elle qui a accompagné les proches de Vanesa Campos tout au long de l'enquête et du procès. Elle témoigne au micro de Marie Zafimehy.
durée : 00:36:44 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux - Une balade naturelle, au milieu des lacs pyrénéens de la Réserve Nationale du Néouvielle, et industrielle sur le site EDF de Pragnères, avec comme fil rouge : l'eau !
Entrevue avec François Geoffroy, porte-parole du collectif Travailleurs et travailleuses pour la justice climatique : en grève pour le climat à travers le Québec.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans la nuit du 16 au 17 août 2018, un groupe de malfaiteurs débarque au Bois de Boulogne. Depuis plusieurs années, ils volent et rackettent les prostituées du Bois et leurs clients. Parmi elles, une femme trans originaire du Pérou : Vanesa Campos. Ce jour-là, comme tous les autres, elle ne se laisse pas faire, s'interpose, prête à en découdre. Mais le petit groupe d'homme est armé. L'un d'eux tire, la touche à la poitrine. Elle succombe à ses blessures au petit matin. La voix du crime de cet épisode, c'est Giovanna Rincon. Directrice de l'association d'aide aux personnes trans Acceptess-T, c'est elle qui a accompagné les proches de Vanesa Campos tout au long de l'enquête et du procès. Elle témoigne au micro de Marie Zafimehy.
Débat entre Sébastien Eich, médecin du travail à la SUVA, et Sébastien Genton, co-responsable du secteur construction chez Unia Vaud.
Elles sont plus d'un million à œuvrer dans l'ombre en Inde. Surnommées Ashas, les travailleuses sociales veillent à la santé des plus pauvres et ont prouvé qu'elles étaient indispensables pendant la pandémie de Covid-19, alors que le système de santé était défaillant. Leur engagement a été primé par l'OMS, mais leur gouvernement continue à les considérer comme des bénévoles. Depuis plusieurs mois, elles luttent pour obtenir un statut et un salaire à la hauteur de leur engagement.
Chronique de Geneviève Pettersen, animatrice à QUB radio de 13h à 15h30: Geneviève revient sur la polémique autour de la publicité préventive vis-à-vis des clients de la prostitution. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
TW : IDÉATIONS ET COMPORTEMENTS SUICIDAIRES ; HÉTÉROAGRESSIVITÉ Parler de suicide, ça sauve des vies ; c'est le slogan de l' Association Québécoise de Prévention du Suicide (AQPS). Dans cet épisode, on parle d'idéation et de comportement suicidaires, on défait des mythes, on parle un peu d'histoire, on parle de sensibilisation, de prévention et d'intervention. Aussi, Émilie, Daphné et Geneviève font des partages émouvants à propos de leurs propres expériences personnelles. On s'entretient avec deux Travailleuses sociales qui cumulent plusieurs années d'expérience auprès d'ados et leurs proches, qui vivent des épisodes de crises. On vous fait quelques suggestions et références vers plusieurs ressources. Normalisons la demande d'aide ; 1-866-APPELLE Support the show
Notre collaboratrice Annick Charette a été connue du grand public comme la seule survivante de Gilbert Rozon dont la plainte a été retenue par le DPCP, mais pour Judith, elle est beaucoup plus que ça. C'est la première personne qui a cru au projet féministe Les Brutes, et c'est une redoutable défenderesse des droits des travailleurs, à titre de présidente de la Fédération nationale des communications et de la culture. En contexte de pénurie de main-d'œuvre, on a de plus en plus le gros bout du bâton pour négocier des conditions de travail. Comment se fait-il qu'on se place de plus en plus dans des conditions de travail précaire? On en parle avec Mélanie Laroche, professeure à l'École des relations industrielles de l'Université de Montréal, spécialisée en syndicalisme. Avec la comédienne et autrice Lily Thibeault, qu'on a pu voir dans le documentaire La parfaite victime, on parle de résilience. Liens: La FNCC: https://fncc.csn.qc.ca La Parfaite victime: https://ici.tou.tv/la-parfaite-victime Il(s): https://www.editions-cardinal.ca/livres/essai/ils-15163 L'article de Pivot (anciennement Ricochet): https://pivot.quebec/2022/01/18/au-club-med-de-charlevoix-on-ne-compte-pas-ses-heures-on-ne-les-paie-pas-toutes-non-plus/ ...... En savoir plus sur Les Sorcières
Dans ce nouvel épisode de SCOPE, et à l'occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, nous vous proposons de découvrir l'univers des mondine, en compagnie de Maria-Elena! Celle-ci nous présentera ces travailleuses des rizières d'Italie du Nord de la fin du XIXᵉ et du début du XXᵉ siècle, qui s'opposaient à leurs patrons et au pouvoir fasciste par un moyen ingénieux: leurs chants! Elles affirmaient ainsi leurs positions politiques, leurs réflexions féministes, et leur fierté d'indépendance. Rejoignez-le combat dans ce cinquième épisode! N'oubliez pas de rejoindre la page Instagram scope.podcast pour des contenus bonus, comme des photographies, des extraits inédits, et des recommandations supplémentaires!
Pour le 8 mars, Isabelle Renaud nous parle d'un projet spécial de la Caisse des Travailleuses et Travailleurs unis de Desjardins qui permettra de créer rapidement une nouvelle identité financière aux victimes de violence conjugale! L'avenir est féministe!
Cet épisode va à la rencontre de deux travailleuses du sexe. Sans jugement et sans préjugés, Mélissa Bédard discute avec ces femmes pour mieux comprendre leurs enjeux et les motivations derrière leur choix de carrière. Emanuelle et Mélodie sont deux anciennes travailleuses du sexe ayant des parcours différents. Emmanuelle a été escorte indépendante pendant trois ans. Pour sa part, Mélodie a exploré différents rôles dans son ancienne vie : téléphoniste érotique, modèle webcam, serveuse sexy, critique de photos de pénis, correspondante érotique et escorte.
Entrevue avec Sandra Wesley, Directrice Générale de l'organisme Stella : les travailleuses du sexe ont écopé financièrement de la covid-19, ici comme ailleurs. Les a-t-on laissé tomber ? Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Entrevue avec Sandra Wesley, Directrice Générale de l'organisme Stella. Le couvre-feu imposé par le gouvernement afin de lutter contre la COVID-19 est de plus en plus décrié pour ses impacts sociaux. Un article du Journal nous révélait cette semaine que les travailleuses du sexe sont grandement affectées par cette mesure. La hausse de la surveillance policière après 22h les empêche de pratiquer leur métier. La criminalisation de leurs activités les rendant non-éligibles à l'aide financière du gouvernement, certaines se demandent maintenant comment elles vont faire pour payer leur loyer. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr