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J'adore recevoir sur le podcasts des voyageurs au long cours. Ce sont toujours des échanges fascinants, d'aventures et de découvertes, et en même temps, dès qu'on commence à se projeter dans ce type de projet, cela réveille généralement toutes les peurs qui nous retiennent dans notre quotidien :Comment oser se lancer pour une durée très longue, voire indéterminée, dans un voyage qui nous mènera on ne sait où ? Comment accepter de renoncer à la stabilité financière d'un emploi salarié ? Comment va se passer la vie en solo ou au contraire à deux 24/24 ?Marie-Liesse et Julien sont partis le 15 juin 2024 de Calgary, au Canada
Quoi de neuf chez Apple ?Des nouvelles du Canada
Le Canada remporte la Confrontation des 4 nations. Retour sur le fiasco de SAAQclic. J.E ce soir. Palmarès des CÉGEPS 2025. Est-ce que le REM fonctionne? État du déneigement à Montréal et à Laval. Des voyageurs de Sunwing fâchés. Amazon MGM prend le contrôle créatif de James Bond Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Avec Brahim NAÏT-BALK, retrouvez "Homomicro, le podcast qui se prend aux mots", avec l'invitée jour: - Anne-Catherine MEZURE, présidente des "Images Aux Mots", l'association qui organise le festival de cinéma LGBTQIA+ de Toulouse et de la région Occitanie, présente sa 18ème édition. Interview Brahim NAÏT-BALK Avec le Cercle des Chroniqueurs : - Denis-Martin CHABOT « Planète Arc-en-Ciel » "Un tournant au Canada : La démission de Justin Trudeau et ses répercussions" - Valérie BAUD « J'Écris ton Nom » sur Hilda DOOLITTLE - Éric GARNIER « C'est-À-Lire » "l'Éden à l'Aube", un roman de Karim KATTAN - Hommage à Jean-François KERVIZIC « Culture et vous » rediffusion de sa chronique emblématique dédiée au décès de l'illustre Quincy Jones. - Nathan HILLAIREAU « Les Sons de la Fierté » "Watching You" de Slave / "Jazzy Night" de Miki Matsubara Réalisation / Montage : Nathan Hillaireau Soutenez-nous sur PayPal !
Après neuf ans en tant que Premier ministre du Canada, Justin Trudeau a présenté sa démission le 6 janvier dernier. Miné par des désaccords internes, son parti ne fait plus l'unanimité et les sondages placent le parti conservateur 20 points devant les libéraux avant les élections fédérales d'octobre. Audrey Brennan est doctorante en science politique au Cevipol de l'ULB et à l'Université de Laval au Canada. Elle est en ce moment à Montréal. Bruno Delaby l'a appelée pour faire le point sur la situation.
Le Canada Débranche : Fin des Subventions pour les Véhicules Électriques ! TORQ PODCAST - Épisode 316 Fin des subventions pour les VE au Canada : La fin d'une ère ? Jul Torq analyse les conséquences de cette décision sur le marché des véhicules électriques. YOUTUBE Membres VIP : https://www.youtube.com/channel/UCbha0iHrKImRyDXbDNO-EJw/join Spotify Membres VIP : https://podcasters.spotify.com/pod/show/torqpodcast/subscribe TORQ MEDIA Site Web : https://torqmedia.ca FAST WHEELS https://fastco.ca/Fast-Wheels/Home ONEBONE Site Web : https://onebonebrand.com/jultorq Code : JULTORQ ( - 15% Rabais ) Suivez-Nous sur Instagram : @JulTorq : https://www.instagram.com/jultorq/ @EveTorq : https://www.instagram.com/evetorq/ #véhiculeélectrique #subventions #Canada
Le Québec se distingue dans le monde par sa forte production de sapins de Noël, surtout le baumier, réputé pour son odeur de sapinage. Mais, cette espèce emblématique, n'est pas épargnée par le changement climatique et rencontre de plus en plus de difficultés, car elle craint les variations de températures. Les producteurs de sapins adaptent donc constamment leurs méthodes de culture pour réussir à fournir des arbres de Noël de qualité. Pascale Guéricolas a visité une plantation dans la région de Québec. De notre correspondante au Québec, Venus chercher leur sapin de Noël dans une plantation, des clients écoutent les conseils pour éviter qu'il ne sèche et ne perde ses aiguilles. Un sapin, qui a besoin d'eau, pour redevenir aussi beau qu'au printemps. Des acheteurs qui ne se doutent pas des difficultés de culture que rencontre Junior Belleville, copropriétaire de l'entreprise « Mon Bô sapin ». L'augmentation des températures nuit à ces arbres caractéristiques de Noël. Ils poussent en rangs serrés dans une série de champs enneigés non loin de la ville de Québec. « Le petit sapin a besoin de beaucoup de neige les deux premières années pour être isolé du froid. Dans le fond, on a de moins en moins de neige au Québec. Ensuite, les deux derniers hivers, on a eu de fortes pluies. Après ça, c'est suivi de grands froids. Le gel pousse le sapin hors du sol. Ici, on a un sapin mort. Il a été planté il y a environ un an. Il n'a pas réussi à survivre à l'hiver passé. Il n'y a pas assez de neige, trop de pluie. C'est vraiment compliqué », se désole Junior Belleville.Pour éviter les pertes, Junior Belleville varie les espèces de sapins selon le sol. Il lui faut aussi installer des tuyaux souterrains, et des fossés pour éviter que l'eau ne s'accumule. Les pluies hivernales, aujourd'hui plus fréquentes, ont tendance à faire pourrir les racines. « On voit les grandes flaques, conséquence des fortes pluies de cette semaine. La pluie n'est pas rentrée dans le sol. Ici, c'est une terre glaiseuse, argileuse. Alors regarde ces sapins-là, ils ont été plantés en même temps que les sapins en haut. Ils ont quoi, deux pieds de moins, ils ont de la difficulté avec les fortes pluies », constate-t-il.Certains producteurs de sapins doivent se détourner de la culture du baumier, considéré pourtant comme l'arbre caractéristique de Noël au Québec, car cette variété déteste les changements de température. Loïc d'Orangeville, professeur en écologie forestière à l'Université Laval, constate le déclin de ce sapin dans l'est du Canada. « C'est vraiment une espèce d'arbre idéale pour la culture, mais le changement climatique vient un peu brouiller les cartes. On a des sècheresses de plus en plus fréquentes, qui impactent particulièrement le sapin, qui a besoin d'un climat assez constant. Et c'est de moins en moins ce qu'on retrouve. Il est très vulnérable aux pathogènes, aux champignons. », explique l'universitaire. À entendre le chercheur, ce sapin va perdre sa position dominante dans les forêts canadiennes, laissant la place à des espèces qui apprécient davantage la hausse des températures.
Le Québec se distingue dans le monde par sa forte production de sapins de Noël, surtout le baumier, réputé pour son odeur de sapinage. Mais, cette espèce emblématique, n'est pas épargnée par le changement climatique et rencontre de plus en plus de difficultés, car elle craint les variations de températures. Les producteurs de sapins adaptent donc constamment leurs méthodes de culture pour réussir à fournir des arbres de Noël de qualité. Pascale Guéricolas a visité une plantation dans la région de Québec. De notre correspondante au Québec, Venus chercher leur sapin de Noël dans une plantation, des clients écoutent les conseils pour éviter qu'il ne sèche et ne perde ses aiguilles. Un sapin, qui a besoin d'eau, pour redevenir aussi beau qu'au printemps. Des acheteurs qui ne se doutent pas des difficultés de culture que rencontre Junior Belleville, copropriétaire de l'entreprise « Mon Bô sapin ». L'augmentation des températures nuit à ces arbres caractéristiques de Noël. Ils poussent en rangs serrés dans une série de champs enneigés non loin de la ville de Québec. « Le petit sapin a besoin de beaucoup de neige les deux premières années pour être isolé du froid. Dans le fond, on a de moins en moins de neige au Québec. Ensuite, les deux derniers hivers, on a eu de fortes pluies. Après ça, c'est suivi de grands froids. Le gel pousse le sapin hors du sol. Ici, on a un sapin mort. Il a été planté il y a environ un an. Il n'a pas réussi à survivre à l'hiver passé. Il n'y a pas assez de neige, trop de pluie. C'est vraiment compliqué », se désole Junior Belleville.Pour éviter les pertes, Junior Belleville varie les espèces de sapins selon le sol. Il lui faut aussi installer des tuyaux souterrains, et des fossés pour éviter que l'eau ne s'accumule. Les pluies hivernales, aujourd'hui plus fréquentes, ont tendance à faire pourrir les racines. « On voit les grandes flaques, conséquence des fortes pluies de cette semaine. La pluie n'est pas rentrée dans le sol. Ici, c'est une terre glaiseuse, argileuse. Alors regarde ces sapins-là, ils ont été plantés en même temps que les sapins en haut. Ils ont quoi, deux pieds de moins, ils ont de la difficulté avec les fortes pluies », constate-t-il.Certains producteurs de sapins doivent se détourner de la culture du baumier, considéré pourtant comme l'arbre caractéristique de Noël au Québec, car cette variété déteste les changements de température. Loïc d'Orangeville, professeur en écologie forestière à l'Université Laval, constate le déclin de ce sapin dans l'est du Canada. « C'est vraiment une espèce d'arbre idéale pour la culture, mais le changement climatique vient un peu brouiller les cartes. On a des sècheresses de plus en plus fréquentes, qui impactent particulièrement le sapin, qui a besoin d'un climat assez constant. Et c'est de moins en moins ce qu'on retrouve. Il est très vulnérable aux pathogènes, aux champignons. », explique l'universitaire. À entendre le chercheur, ce sapin va perdre sa position dominante dans les forêts canadiennes, laissant la place à des espèces qui apprécient davantage la hausse des températures.
Le bilan des tendances Google 2024 | Donald Trump a qualifié Justin Trudeau de Gouverneur du grand état du Canada | La camionneurs préfèreraient éviter Montréal | Avez-vous déjà entendu parler de dyscalculie? Justin Trudeau a avoué en souffrir Dans cet épisode intégral du 10 décembre, en entrevue : Simon Langlois, expert en tendances de recherches chez Google Canada. Benoit Therrien, président de Truck Stop Québec. Dre Emma Campbell, neuropsychologue et chargée de cours à la Faculté de Médecine de l’Université d’Ottawa. Une production QUB Décembre 2024 Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
- D E S C R I P T I O N - 324 modèles d'armes à feu ont été ajoutés à la liste initiale de 2500 modèles. Cet ajout vient malheureusement interdire les derniers modèles pratiques et adaptés, tant pour la défense du domicile que pour la pratique sportive. Dans cet épisode, j'explique pourquoi ce sujet mérite une attention particulière et j'apporte des informations supplémentaires ainsi qu'une analyse réaliste sur la question.
Réduflation dans le transport aérien: Air Canada va facturer une série de nouveaux frais à ses clients à partir de janvier, notamment pour les bagages en cabine. Écoutez la chroniqueuse économique Marie-Eve Fournier qui revient sur les coûts supplémentaires annoncés par Air Canada, à l'émission de Patrick Lagacé, jeudi.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Mauvaise nouvelle pour ceux qui pensaient économiser! Discussion avec Stéphanie Villeneuve. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Nous ne sommes plus qu'à une semaine du dévoilement des formations pour la Confrontation des 4 nations, et aujourd'hui, l'équipe de LNH.com se demande à quoi ressemblera celle du Canada. Nicolas Ducharme et Hugues Marcil vous révèlent leur choix pour le tournoi qui se tiendra en février à Montréal et Boston. Jean-François Chaumont vient nous parler des deux derniers matchs difficiles des Canadiens, alors que Guillaume Lepage nous donne son appréciation du jeu des meilleurs espoirs du repêchage 2025 de la LNH. L'équipe parle aussi de l'embauche de Jim Montgomery chez les Blues de St. Louis et de la chute libre des Penguins. Bonne écoute! 4:00 – Les défaites recommencent pour les Canadiens 18:30 – Un premier match à Montréal pour Maveric Lamoureux 27:15 – James Hagens produit, mais ne marque pas 34:15 – Jacob Fowler pense déjà au prochain niveau 41:44 – Matthew Schaeffer gagne des points au Défi des meilleurs espoirs LCH/É.-U. 48:05 – Porter Martone et Michael Misa sont aussi dans la course au premier choix 52:15 – Jim Montgomery se retrouve rapidement du travail 1:07:00 – Les Penguins pris dans un spirale sans fin? 1:18:30 – Nos choix pour Équipe Canada à la Confrontation des 4 nations
Depuis des décennies, le marché nord-américain du bois est dominé par la production canadienne. Un ascendant qui pourrait bien prendre fin, puisque les États-Unis semblent bien partis pour détrôner leur voisin, une première en 54 ans. C'est une querelle qui remonte aux années 1980. Depuis cette date, la filière américaine du bois accuse le Canada de dumping en la matière. Selon elle, Ottawa subventionne ses producteurs de bois, qui inondent ensuite le marché de son voisin. La demande aux États-Unis est particulièrement forte tant c'est un matériau utilisé dans la construction.Depuis plusieurs années maintenant, Washington agite la menace de droits de douane. Lors de son premier mandat, Donald Trump les avait augmentés dans le cadre de sa politique protectionniste. Des taxes rehaussées en août dernier par le département américain du Commerce. Elles sont passées de 8% à plus de 14%. Une décision qui n'a pas plu à l'Association américaine des constructeurs d'habitations, pour laquelle cela signifie une augmentation significative des coûts. Pas du goût non plus du gouvernement canadien, qui dénonce une mesure qui va « porter préjudice aux consommateurs et aux producteurs des deux côtés de la frontière ».Des conséquences « dévastatrices » côté canadienAutre conséquence de la hausse des tarifs douaniers : d'après l'institut Fastmarkets, la production américaine de bois va surpasser celle de son voisin pour la première fois depuis 1970. Car en parallèle des sanctions douanières, le sud des États-Unis n'a jamais produit autant de bois. En cause, une expansion sans précédent des forêts privées. Selon le président de la société de conseil Forisk Consulting, cité par Bloomberg, elles ont fait de la région « la plus grande réserve de bois du continent ».Forcément, côté canadien, on s'inquiète, d'autant qu'avec le retour de Donald Trump dans le bureau ovale, les droits de douane pourraient augmenter. Kurt Niquidet, économiste pour le Conseil de l'industrie forestière de Colombie-Britannique, prévient : une nouvelle hausse pourrait être « dévastatrice pour le secteur » canadien du bois, qui pèse plus de 7 milliards de dollars.
L'identité des gardiens qui défendront les couleurs du Canada lors de la Confrontation des 4 nations est tout sauf assurée, et nous en discutions cette semaine avec l'analyste des matchs des Sabres de Buffalo Martin Biron. En compagnie de Nicolas Ducharme et Sébastien Deschambault, l'ancien gardien des Sabres, des Flyers de Philadelphie, des Islanders et des Rangers de New York nous parle aussi de l'impact que Marc-André Fleury aura eu sur la LNH au cours de sa carrière. Nous discutons aussi de la difficile sortie des Canadiens de Montréal contre le Kraken de Seattle en compagnie de Guillaume Lepage. Nous profitons aussi de la visite du Kraken à Montréal pour parler de l'arrivée de Jessica Campbell comme entraîneuse adjointe avec la formation et de la première saison complète de Shane Wright avec l'équipe. Bonne écoute! 3:00 – Une soirée pénible pour les Canadiens contre le Kraken 14:45 – Des renforts à la ligne bleue du CH 21:15 – Jessica Campbell fait sa place derrière le banc du Kraken 35:45 – Shane Wright y va à son rythme 47:00 – Connor McDavid ratera de deux à trois semaines 52:00 – Martin Biron analyse la situation des gardiens du Canada 1:04:45 – L'impact de Marc-André Fleury selon Martin Biron 1:11:00 – Le début de saison des Sabres
Devenez un insider de la firme Traders 360: https://traders360.ca/product/infolettre-analyse-360 En savoir plus sur l'investissement en bourse: https://traders360.ca/product/initiation-au-trading/ Le gouvernement Trudeau décide d'abaisser les cibles d'immigration de 2025 à 2027. Un problème de taux de fécondité au Canada. Le gouvernement du Québec annonce un gel de recrutement dans le secteur public. Suivez-moi sur Instagram & TikTok IG: alextraders360 TikTok: alexdemers360
On jase des Canadiens et de la LNH avec Stéphane Waite et Karell Emard!
Retour au travail pour les employés du CN et du CPKC. Retraite du cabinet Trudeau à Halifax. Logements abordables: Ottawa dévoile son plan. Retour en classe. 1000 plaintes et signalements du Protecteur national de l'élève. L'Agence du revenu du Canada : la maison des fous? Guerre Israël-Hamas : risque d'escalade? Tout savoir en 24 minutes avec Alexandre Dubé et Mario Dumont.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ce mardi 13 août, les préoccupations du Canada concernant l'aggravation de la violence politique aux États-Unis, trois ans et demi après l'assaut du Capitole, a été abordé par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laura Cambaud, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:03:46 - Camille passe au vert - par : Camille Crosnier - 35 jours après s'être retrouvée coincée dans un lagon à l'ouest du Canada, la petite orque qui ne voulait pas quitter sa mère, morte sur un banc de rochers, a fini par prendre d'elle-même la direction du grand large.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.
Une épicerie aide ses employés à apprendre le français. Radio-Canada : comment justifier des millions en bonis? Segment LCN avec Sophie Thibault. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Au Canada, la résilience des habitants meurtris par les feux de forêtLe Canada a subi en 2023 la pire saison des feux de son histoire, avec 18,4 millions d'hectares brûlés. Dans l'ouest du pays, dans la ville de West-Kelowna située au bord du lac Okanagan, les habitants ont été particulièrement touchés. Des centaines de bâtiments ont été détruits ou endommagés dans la vallée. Après une telle catastrophe, vouée à se reproduire, les habitants tentent de panser leurs blessures et de trouver des solutions.Un Grand reportage de Léopold Picot qui s'entretient avec Patrick Adam. La forêt québécoise après les grands incendies de cet été« Ici dans le rang 8, on a vraiment eu peur. J'étais très inquiète car j'avais peur pour la sécurité de mes pompiers… On a réussi à sortir notre camion. Il était temps qu'ils sortent de là. ». Doris Drolet, la chef pompier du village de Normetal cerné par les flammes en juin 2023, n'est pas près d'oublier son combat contre cet incendie qui a duré plusieurs semaines... Jamais en 100 ans, la forêt aménagée du Québec n'avait subi un pareil désastre. Le manque d'humidité dû à des températures élevées au printemps, conjugué à la foudre ont provoqué d'énormes incendies... Depuis, c'est la course contre la montre pour aller couper le bois brûlé avant que les insectes ne le ravagent. Et les chercheurs tentent de comprendre ce qui va pouvoir repousser désormais.Un Grand reportage de Pascale Guéricolas qui s'entretient avec Patrick Adam.
Le Canada a subi en 2023 la pire saison des feux de son histoire, avec 18,4 millions d'hectares brûlés. Dans l'ouest du pays, dans la ville de West-Kelowna située au bord du lac Okanagan, les habitants ont été particulièrement touchés. Des centaines de bâtiments ont été détruits ou endommagés dans la vallée. Après une telle catastrophe, vouée à se reproduire, les habitants tentent de panser leurs blessures et de trouver des solutions. De notre correspondant à West-Kelowna,À quatre heures de route depuis Vancouver, voici West-Kelowna, dans la région de l'Okanagan. Des arbres brûlés, piliers noirs et sinistres, accueillent le visiteur. Juste à l'entrée de la ville, des murs sans toit se dressent, des habitations détruites, des carcasses fondues. Un terrain attire l'œil, complètement rasé, comme s'il n'avait jamais été construit. C'est ici que Tiffany Genge, une mère au foyer de 41 ans, avait sa maison, avec son mari et ses deux enfants.Trois mois après l'incendie, relogée à une dizaine de minutes en voiture, Tiffany panse encore ses blessures. Dans son immense salon, elle raconte : « J'ai attendu le dernier moment quand ils nous ont dit " vous devez partir maintenant ". J'ai dit aux enfants : "OK, on y va. Retournez dans vos chambres, choisissez un jouet dont vous ne pouvez absolument pas vous passer ". »Moins d'une heure après leur départ de la maison, le système de sécurité relié à son smartphone lui indique que la maison surchauffe, puis perd la connexion. « C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que la maison avait disparu », se souvient Tiffany.Aujourd'hui, plus que ses affaires, ce sont les souvenirs qui lui manquent. Relogée dans une grande maison, un ancien Airbnb réquisitionné par la ville, elle s'y sent comme étrangère : « C'est ce sentiment de se sentir chez moi qui me manque. En tant que mère, c'est comme un nid, n'est-ce pas ? Et donc j'y pense parfois… Ceci est une maison temporaire, et nous l'avons rendue aussi confortable et accueillante que possible, mais c'est là-bas que mes enfants ont appris à ramper, c'est là-bas qu'ils ont appris à marcher, qu'ils ont dit leur premier mot ». Les souvenirs qui apparaissent sur Facebook et sur son téléphone la prennent régulièrement aux tripes et lui rappellent ce qu'elle a perdu, confie-t-elle.Quelques jours seulement après le drame d'août 2023, l'assurance a pris le relais. Tiffany peut désormais penser à l'après : pas question de quitter sa région, renommée « Smokanagan », un jeu de mot entre l'Okanagan et « smoke », « fumée » en anglais. Ils ont été parmi les premiers à obtenir le permis de démolir la maison en ruines, et l'autorisation de commencer les travaux au printemps 2024. « C'est la partie la plus excitante de tout cela. Le fait de ne plus voir tout en noir, c'est excitant pour moi et pour les enfants parce qu'ils se disent : « Oh, on va avoir de nouveaux trucs !!! », s'esclaffe Tiffany.Une saison exceptionnelleWest-Kelowna est habituée aux feux de forêts. Mais celui du mois d'août a bien failli emporter toute la municipalité, et la ville située en face, Kelowna. Pour la première fois, les flammes ont traversé le lac Okanagan, et ravagé plus de 200 habitations sur les deux rives.Depuis l'école de Mount Boucherie, Paige, 15 ans, piercing au nez, sourire aux lèvres, voyait même encore les fumerolles en allant en cours début septembre : « On en parlait plus à la rentrée, on se disait quelle maison avait brûlé, ou pas. Mais les incendies sont devenus une chose tellement normale à West-Kelowna, que nous n'en avons plus vraiment reparlé ».La plupart des amis de Paige ont été évacués cet été, quand les flammes sont arrivées. « Nous prenions des nouvelles les uns des autres tous les jours (...) et j'essayais de les soutenir avec des phrases un peu banales, comme (...) "ce ne sont que des objets, au moins on a perdu personne, n'est-ce pas ?" », raconte Paige.La jeune fille admet que la crise climatique la préoccupe beaucoup encore plus depuis que les phénomènes météorologiques locaux changent : moins de neige l'hiver en Okanagan, et des incendies tous les étés.Toute la région de l'Okanagan a subi de plein fouet cette saison estivale catastrophique : de la fumée, partout, tout le temps. Les flammes qui se rapprochent des maisons, qui réveillent pendant la nuit et qui paralysent le cours normal des choses. Assise dans un café à quelques kilomètres de West-Kelowna, Mélanie confie avoir perdu beaucoup d'argent cet été : «Je suis peintre en bâtiment et j'avais des travaux à l'extérieur que je fais normalement en été : ils ont tous été annulés. Personne n'était intéressé, et je ne leur en veux pas. Moi-même, ça ne m'intéressait pas d'être à l'extérieur, c'était déjà assez difficile de respirer pour se déplacer et faire ses tâches quotidiennes. »La travailleuse estime avoir perdu 15 000 dollars de bénéfices, le temps de la saison des feux. Mélanie est loin d'être un cas isolé : de nombreux secteurs subissent les conséquences des feux, dont le tourisme, évidemment.Le tourisme frappé de plein fouetAu centre d'accueil des visiteurs de West-Kelowna, désert, il y a un musée consacré à la foresterie, un thème au cœur de l'identité de la ville. Pour le secteur touristique, les pertes économiques sont énormes. Jeremiah Rider est le directeur de l'Office de tourisme de West-Kelowna : « Nous avons constaté une baisse de fréquentation de 90 % ici. Dans l'Okanagan, nous en sommes au point où nous sommes presque excités lorsqu'il n'y a pas d'incendie. »Le professionnel du tourisme rappelle que les feux ne touchent pas que le tourisme : ils pèsent aussisur le marché du logement, déjà très tendu dans l'Okanagan, en réduisant le nombre de maisons disponibles. Pour se donner du courage, Jeremiah pense à la communauté de West-Kelowna… Cet été, elle a fait preuve de résilience et de solidarité. Le directeur du musée montre fièrement une immense caisse en bois, posée devant l'accueil visiteurs et remplie de boîtes de conserves, de pâtes, et autres aliments essentiels. « C'est une boîte à dons pour la Banque alimentaire. Nous avons récolté près de 1 300 dollars en dons en espèces, sans compter la nourriture. »Une radio locale a même récolté près de 15 000 dollars de dons pour la Banque alimentaire et différentes collectes de fonds étaient en cours début novembre 2023. « Les gens se mobilisent pour aider les personnes touchées, et pour récompenser les pompiers, car c'est un travail énorme qu'ils ont eu, en particulier, le chef des pompiers Brolund, et le travail qu'il a dû faire pour maintenir la communauté en vie, pour que tout le monde reste positif et que tout le monde soit en sécurité », ajoute Jeremiah, admiratif.Des pompiers déterminésLa caserne des pompiers de Jason Brolund surplombe, sur une colline, la ville de West-Kelowna. Le chef des pompiers se dirige vers le garage immense et les camions rutilants, mais s'arrête en chemin, téléphone à la main pour montrer une image d'un immense panache de fumée : « Cette photo a été prise d'ici. C'est le jour où l'incendie a éclaté. C'était le 16 août. Aujourd'hui, c'est évidemment très différent, car nous sommes passés soudainement à l'automne ici. »Jason Brolund a été sur tous les fronts, coordonnant les centaines d'hommes mobilisés sur le terrain, dormant peu, craquant même parfois en direct à la télévision, en larmes. Tout l'été, sa caserne des pompiers est devenue sa deuxième maison. « Pour moi et la centaine de pompiers de mon département, nous continuions à venir tous les jours parce que c'est notre communauté. Nous vivons ici. Nos familles vivent ici. Nos parents vivent ici. Nous sommes allés à l'école ici. Nos professeurs habitent au coin de la rue… Nous voulons protéger cette communauté et lui montrer que nous sommes là pour elle. C'est ce qui nous a permis de rester motivés. »En septembre 2023, Jason Brolund a été invité à l'ONU par le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, pour parler de son expérience de terrain. Résoudre le dérèglement climatique, ce n'est pas de son ressort. Lui parle de ce qu'il voit dans sa région natale : plus de feux, plus forts, plus difficiles à gérer avec des étés plus arides. Et il y a des leçons à tirer de cette saison. « Si la première ligne de défense est laissée aux pompiers, il est bien trop tard. Nous ne pouvons pas mettre en place des services d'incendies suffisamment importants pour arriver à arrêter des feux de cette taille, avant qu'ils ne brûlent des maisons. Il faut investir en amont, comme avec FireSmart par exemple », assène le chef des pompiers.Apprendre les bons gestesPour atténuer ces feux de forêt, il y a une première solution : sensibiliser la population. L'initiative dont parle Jason Brolund, « FireSmart » ou Intelli-Feu en québécois, est un programme gouvernemental pour nettoyer les jardins et réduire le risque qu'ils s'enflamment.Direction le nord de West-Kelowna, à une centaine de kilomètres, où le même feu a dévasté plusieurs zones urbaines. Évacué cet été, un café posé au bord de la route, en bordure de forêt, se remet tout juste du désastre. Dan Stevens, un géant au grand sourire et à la verve passionnée, est déjà en train de commander sa boisson chaude. Il coordonne la sensibilisation pour FireSmart en Colombie-Britannique, et travaille aussi pour la Société des Services d'Urgences pour les Premières Nations de Colombie-Britannique.Dan Stevens était à Kelowna au moment où l'incendie a commencé à se propager. Il est donc rentré chez lui pour appliquer les principes de prévention des incendies de FireSmart à sa propre maison : « J'ai enlevé une partie de la végétation autour de ma maison, créé une zone intermédiaire autour de mon bâtiment, afin qu'il n'y ait pas de végétation inflammable. J'ai éloigné certains de mes meubles de jardin de la maison et de ma terrasse, juste au cas où des braises ou des tisons arriveraient. Car le vent peut souffler des tisons jusqu'à deux kilomètres aux alentours et cela peut déclencher des incendies lorsqu'ils se déposent sur des combustibles extérieurs ».Impossible de connaître le nombre de personnes qui utilisent le programme FireSmart, lancé par le gouvernement, il y a plus de 30 ans. Mais pour Dan, il est vital que ses principes soient connus et appliqués par tous. « Nous essayons d'atteindre toutes les communautés parce que 'l'enjeu n'est pas de savoir si le feu de forêt va arriver, mais quand il va arriver, et nous devons être préparés pour cela », rappelle-t-il, un regard inquiet par la fenêtre.Adapter les forêts mitoyennesLa deuxième solution, complémentaire de FireSmart, est de mieux entretenir les forêts, car de nombreux terrains forestiers appartiennent à des entreprises privées, situés parfois à quelques mètres seulement des habitations.Si ces parcelles ne sont pas entretenues, que du combustible est disponible au sol, elles risquent de s'enflammer encore plus vite. Coulter Roberts fait partie d'une entreprise de gestion forestière, Ntytix, qui s'inspire des anciennes pratiques des peuples autochtones du pays pour réduire l'intensité des feux aux abords des maisons.Casquette de son entreprise vissée sur la tête, le jeune homme a donné rendez-vous dans une forêt traitée par Ntytix et située sur les hauteurs de Kelowna… Elle a brûlé en 2021, sans atteindre les maisons. « L'objectif d'un projet comme celui-ci est de réduire les combustibles au sol qui vont porter le feu jusqu'à la couronne des arbres et provoquer un incendie plus intense », explique Robert Coulter en déambulant dans la forêt, le nez en l'air.Dans les bois proches des maisons, un grand nombre de branches d'arbres ont été élaguées jusqu'à trois mètres de hauteur. Les combustibles au sol ont été empilés et brûlés, un projet réalisé à la main par des équipes, avec des tronçonneuses et des scies d'élagage.Un projet comme celui de Ntytix coûte 8 000 dollars, pour 45 hectares de forêt traités, sans compter le coût en main-d'œuvre, qui rend impossible le traitement de toutes les forêts du Canada. « Il n'est pas réaliste d'arrêter tous les feux avec l'un de ces traitements. Ce n'est pas le but du projet. Il s'agit surtout de réduire l'intensité d'un incendie s'il se produit », rappelle Robert Coulter.Après une saison catastrophique, West-Kelowna se relève doucement de son traumatisme et cherche des solutions. Car les mois sont comptés : des feux brûlent encore sous la neige, et dès mars 2024, ils ressortiront, d'un bout à l'autre du Canada. L'arrivée du phénomène El Niño, annoncée par les scientifiques, pourrait aggraver la prochaine saison.
Il existe des rencontres qui semblent anodines, des croisements de chemins apparemment insignifiants qui se produisent dans le quotidien. Mais si, avouez-le ! Cela vous est déjà arrivé ! Que ce soit lors d'une réunion de travail, à la caisse d'un supermarché ou même au détour d'une conférence sur le podcast dans les montagnes du Colorado l'été dernier. Le hasard tisse des liens que l'on ne peut prévoir. Et ces instants, en apparence anodins, révèlent parfois une destinée pré-établie, des rencontres que l'on devait faire. C'est ainsi que le chemin de Kelly Barichello a croisé celui de French Expat, une rencontre qui a transcendé le simple hasard. Lors de cette conférence sur le podcast, son énergie contagieuse, son sourire enivrant et ses idées foisonnantes ont captivé notre attention. Et tout cela était sans compter son parcours captivant. Alors, cela a été comme une évidence. Kelly devait passer au micro de French Expat. À la fin de son premier cycle universitaire, Kelly s'interroge sur la suite de sa vie et une question qui va revenir sans cesse au cours de sa carrière s'impose à elle. « Quel est le sens que je veux donner à mon futur ? Quel est le sens de ce que je vis aujourd'hui ? » Ces questionnements vont la mener d'une école d'ingénieurs vers l'Angleterre, puis Chicago, dans la sidérurgie pour s'installer ensuite au Canada, un pays dont elle va tomber complètement amoureuse. L'histoire aurait pu s'arrêter là, mais ce serait bien mal connaître Kelly qui, du fait de cette recherche de sens, ne s'est jamais posée. C'est ainsi qu'on la retrouve dans les Caraïbes français, où elle se met en tête d'ouvrir une brasserie en pleine pandémie, puis finalement au Canada, et vous l'aurez donc compris, dans le Colorado l'été dernier, accompagnée de son fidèle compagnon, son van, dans lequel elle dort et au volant duquel elle explore le continent. Le récit vibrant de Kelly, entre haut et bas, vous invite aujourd'hui à vous connecter à son parcours, à vous inspirer de sa détermination, à suivre votre propre chemin, malgré les obstacles. Et en suivant son exemple, qui sait ? Chacun d'entre nous pourra saisir chaque opportunité comme une porte ouverte vers l'épanouissement dans un monde en constante évolution, un peu comme Kelly, la French experte de la semaine.Kelly, elle aussi, est passionnée de podcasts. Retrouvez le sien en cherchant "Fill'expat" sur vos plateformes d'écoutes ou en suivant le lien vers son site : https://fillexpats.com/French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une guerre qui a opposé le Canada et les États-Unis au 19e siècle ? Non, ce n'est pas celle de 1812. Pour visiter le Fort Ingall: https://www.fortingall.ca/fr/ https://www.youtube.com/@fortingall4096/videos Merci à Étienne Frenette, Directeur général de la Société d'histoire et d'archéologie du Témiscouata et aux « soldats et officiers figurants » qui participent à la reconstitution du lieu: Philippe Gagnon, Alexis Murray, Edward Malenfant Beaulieu, Alex L. Poirier et Samuel Petitpas Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Avec: Laurent Turcot, professeur à l'Université du Québec à Trois-Rivières, Canada Caméra et son : Françoise Dulong Images de drone: Gabriel Gagnon Lussier https://www.instagram.com/_gablussier Musique issue du site : epidemicsound.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Archives du Fort Ingall https://www.fortingall.ca/fr/visitez/expositions https://www.youtube.com/@fortingall4096/videos Yvon Delage, « Fort Ingall », Communication Québec, Région de l'Est, Centre d'archives du Témiscouata, FT0001, Fond Fort Ingall. http://www.archivestemiscouata.ca M. Dagenais, « Guerre d'Aroostook », Encyclopédie Canadienne, 24 novembre 2017 https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/aroostook-guerre-d Fort Ingall https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_Ingall Guerre d'Aroostook https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Aroostook Coralie Mensa, Des nouveautés au Fort Ingall pour son 50e anniversaire. Radio-Canada, Ici Bas Saint-Laurent , 18 juin 2022, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1891872/fort-ingall-activite-tourisme-temiscouata-bas-saint-laurent Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #guerre #fortingall #guerrearoostook
Dans les années 1940, la province de l'Alberta a tout misé sur l'exploitation de ses champs pétrolifères et gaziers. Des centaines de milliers de puits parsèment la province, mais nombre d'entre eux ont suspendu leurs activités ou ont été abandonnés, entraînant des dommages sanitaires et environnementaux. Le puits d'extraction de pétrole est situé juste sur le bord d'une route parallèle à l'autoroute qui traverse l'Alberta, province de l'ouest canadien, du nord au sud. Un immense réservoir rouillé recueillait le pétrole pompé. « Ce réservoir devrait être situé à au moins 60 mètres de la route. Là, il est à combien ? Peut-être 12 ou 15 mètres au maximum. Si le gaz s'en échappe, ce qui est le cas, et que des gens passent sur la route, il y a un risque d'explosion », prévient Mark Dorin, un ancien employé dans l'industrie pétrolière, en descendant de son immense pick-up.Ce puits-là a été abandonné il y a quelques années, par une entreprise qui a fait faillite. « Je ne suis pas contre l'industrie pétrolière et gazière, loin de là. Mais il y a des règles, et il faut que l'industrie les respecte », insiste Mark.Un organisme pour les puits orphelinsEn effet, des lois existent pour assurer que les puits soient correctement scellés. Déjà, un mécanisme est en place pour sécuriser les puits qui appartenaient à des entreprises désormais en faillite. On les appelle les puits orphelins, et ces derniers sont gérés par l'Alberta, via l'Orphan Well Association (OWA). Tous les ans, l'industrie des énergies fossiles paie plusieurs centaines de millions de dollars pour financer l'OWA, un organisme étatique unique au monde, tout comme l'État de l'Alberta.Lars DePauw, le président de l'OWA, assure que les puits de la province, qui ont été surtout creusés depuis moins de 80 ans, sont tous référencés et surveillés. « Je pense qu'il faut remettre dans le contexte qu'il y a un peu moins de 10 000 puits orphelins à sceller à l'heure actuelle, alors qu'il y a 300 000 puits dans la province. C'est donc moins de 1 % ». Le processus de sécurisation peut toutefois durer des années : le puits visité par Mark est géré par l'organisme, qui n'a pas encore eu le temps de s'en occuper.À quelques kilomètres seulement de ce puits, un agriculteur a connu le même souci pendant plusieurs années. Quand une entreprise pétrolière, qui avait obtenu le droit d'exploiter le pétrole sous son champ par la province, est venu creuser un puits, Joe Lovell n'a pas eu son mot à dire, en vertu de la loi albertaine.L'entreprise lui donnait néanmoins un loyer pour occuper son champ. Lui estime qu'il n'a pas été dédommagé correctement. « En règle générale, ils nous paient environ 3 500 dollars canadiens par site et par an. J'estime que nous perdons entre 5 600 et 7 000 dollars en perte de production sur le site », regrette l'agriculteur. Quand l'entreprise a fait faillite, Joe Lovell s'est retrouvé avec le puits désaffecté sur son champ. « Il y a eu plein de paperasses pendant des années, mais finalement, l'OWA a fait un super travail. (...) Tout est 100 % exploitable maintenant », assure le producteur de céréales.Un enjeu environnemental majeurPour les opposants, le problème ne concerne pas tant les puits orphelins, que tous ceux qui ne sont pas comptabilisés. Certains puits sont ainsi « suspendus » par les exploitants, selon le terme consacré. Ils n'ont pas fait faillite, mais ils n'utilisent plus leurs puits… et certaines compagnies ne les entretiennent même plus. Certaines associations évoquent jusqu'à 80 000 puits abandonnés et orphelins juste pour la province de l'Alberta.Outre l'enjeu de sécuriser les puits pour éviter des explosions ou des problèmes sanitaires, il y a aussi celui de faire durer les scellements de ciment. « Dans le cadre de l'exploitation de gaz de schiste par exemple, les liquides utilisés sont plutôt acides et peuvent venir dégrader ce scellement », explique Romain Chesnaux, professeur titulaire à l'université du Québec à Chicoutimi et spécialisé dans le domaine des eaux souterraines. Le gaz résiduel, qui s'accumule encore les années suivant l'exploitation, pourrait alors remonter à la surface.Les fuites d'anciens puits de gaz et de pétrole dégageraient des dizaines de milliers de tonnes de méthane chaque année dans l'atmosphère. Or ce gaz est 25 fois plus puissant que le CO2, rappelle Romain Chesnaux : « Rien que pour le nord-est de la Colombie-Britannique, et seulement pour les 25 000 puits de gaz de schiste que j'ai étudiés, les fuites représentaient 75 000 tonnes annuelles de CO2 équivalent. C'est l'équivalent des émissions annuelles d'une ville nord-américaine d'environ 15 000 habitants ». Et il n'y a pas que les émissions de GES qui posent de nombreuses questions, ajoute le chercheur : « Pour les fermiers par exemple, il y a des problèmes de microsismicité entraînés par la fragilisation du sous-sol ou encore des problèmes de contamination des eaux de surface et souterraine ».Lanceurs d'alertes et associations se retrouvent face à un double problème : encourager l'industrie à respecter les lois et à sceller correctement les puits, tout en ayant conscience que ce scellage n'est pas parfait. Une équation complexe, qui nécessitera davantage que les 1,7 milliard de dollars annoncés en début d'année 2023 par le gouvernement canadien de Justin Trudeau pour la résoudre.
Dans les années 1940, la province de l'Alberta a tout misé sur l'exploitation de ses champs pétrolifères et gaziers. Des centaines de milliers de puits parsèment la province, mais nombre d'entre eux ont suspendu leurs activités ou ont été abandonnés, entraînant des dommages sanitaires et environnementaux. Le puits d'extraction de pétrole est situé juste sur le bord d'une route parallèle à l'autoroute qui traverse l'Alberta, province de l'ouest canadien, du nord au sud. Un immense réservoir rouillé recueillait le pétrole pompé. « Ce réservoir devrait être situé à au moins 60 mètres de la route. Là, il est à combien ? Peut-être 12 ou 15 mètres au maximum. Si le gaz s'en échappe, ce qui est le cas, et que des gens passent sur la route, il y a un risque d'explosion », prévient Mark Dorin, un ancien employé dans l'industrie pétrolière, en descendant de son immense pick-up.Ce puits-là a été abandonné il y a quelques années, par une entreprise qui a fait faillite. « Je ne suis pas contre l'industrie pétrolière et gazière, loin de là. Mais il y a des règles, et il faut que l'industrie les respecte », insiste Mark.Un organisme pour les puits orphelinsEn effet, des lois existent pour assurer que les puits soient correctement scellés. Déjà, un mécanisme est en place pour sécuriser les puits qui appartenaient à des entreprises désormais en faillite. On les appelle les puits orphelins, et ces derniers sont gérés par l'Alberta, via l'Orphan Well Association (OWA). Tous les ans, l'industrie des énergies fossiles paie plusieurs centaines de millions de dollars pour financer l'OWA, un organisme étatique unique au monde, tout comme l'État de l'Alberta.Lars DePauw, le président de l'OWA, assure que les puits de la province, qui ont été surtout creusés depuis moins de 80 ans, sont tous référencés et surveillés. « Je pense qu'il faut remettre dans le contexte qu'il y a un peu moins de 10 000 puits orphelins à sceller à l'heure actuelle, alors qu'il y a 300 000 puits dans la province. C'est donc moins de 1 % ». Le processus de sécurisation peut toutefois durer des années : le puits visité par Mark est géré par l'organisme, qui n'a pas encore eu le temps de s'en occuper.À quelques kilomètres seulement de ce puits, un agriculteur a connu le même souci pendant plusieurs années. Quand une entreprise pétrolière, qui avait obtenu le droit d'exploiter le pétrole sous son champ par la province, est venu creuser un puits, Joe Lovell n'a pas eu son mot à dire, en vertu de la loi albertaine.L'entreprise lui donnait néanmoins un loyer pour occuper son champ. Lui estime qu'il n'a pas été dédommagé correctement. « En règle générale, ils nous paient environ 3 500 dollars canadiens par site et par an. J'estime que nous perdons entre 5 600 et 7 000 dollars en perte de production sur le site », regrette l'agriculteur. Quand l'entreprise a fait faillite, Joe Lovell s'est retrouvé avec le puits désaffecté sur son champ. « Il y a eu plein de paperasses pendant des années, mais finalement, l'OWA a fait un super travail. (...) Tout est 100 % exploitable maintenant », assure le producteur de céréales.Un enjeu environnemental majeurPour les opposants, le problème ne concerne pas tant les puits orphelins, que tous ceux qui ne sont pas comptabilisés. Certains puits sont ainsi « suspendus » par les exploitants, selon le terme consacré. Ils n'ont pas fait faillite, mais ils n'utilisent plus leurs puits… et certaines compagnies ne les entretiennent même plus. Certaines associations évoquent jusqu'à 80 000 puits abandonnés et orphelins juste pour la province de l'Alberta.Outre l'enjeu de sécuriser les puits pour éviter des explosions ou des problèmes sanitaires, il y a aussi celui de faire durer les scellements de ciment. « Dans le cadre de l'exploitation de gaz de schiste par exemple, les liquides utilisés sont plutôt acides et peuvent venir dégrader ce scellement », explique Romain Chesnaux, professeur titulaire à l'université du Québec à Chicoutimi et spécialisé dans le domaine des eaux souterraines. Le gaz résiduel, qui s'accumule encore les années suivant l'exploitation, pourrait alors remonter à la surface.Les fuites d'anciens puits de gaz et de pétrole dégageraient des dizaines de milliers de tonnes de méthane chaque année dans l'atmosphère. Or ce gaz est 25 fois plus puissant que le CO2, rappelle Romain Chesnaux : « Rien que pour le nord-est de la Colombie-Britannique, et seulement pour les 25 000 puits de gaz de schiste que j'ai étudiés, les fuites représentaient 75 000 tonnes annuelles de CO2 équivalent. C'est l'équivalent des émissions annuelles d'une ville nord-américaine d'environ 15 000 habitants ». Et il n'y a pas que les émissions de GES qui posent de nombreuses questions, ajoute le chercheur : « Pour les fermiers par exemple, il y a des problèmes de microsismicité entraînés par la fragilisation du sous-sol ou encore des problèmes de contamination des eaux de surface et souterraine ».Lanceurs d'alertes et associations se retrouvent face à un double problème : encourager l'industrie à respecter les lois et à sceller correctement les puits, tout en ayant conscience que ce scellage n'est pas parfait. Une équation complexe, qui nécessitera davantage que les 1,7 milliard de dollars annoncés en début d'année 2023 par le gouvernement canadien de Justin Trudeau pour la résoudre.
Découvrez le podcast Dollars et cents ici : https://bit.ly/dollars-cents-ib 8 décembre 2023 Ottawa veut plafonner les émissions de gaz à effet de serre du secteur pétrolier et gazierLe ministre de l'environnement Steven Guilbeault a présenté à la Cop28 le plan du gouvernement fédéral pour réduire avant 2030 les émissions au Canada des compagnies pétrolières et gazières de 35 à 38% sous les niveaux de 2019. Ce plan prévoit toutefois des «assouplissements» qui permettraient à certaines sociétés de les réduire de seulement 20 à 23%.Ce plan vise à plafonner des GES émis par les entreprises du secteur pétrolier et gazier au Canada, et non la production de pétrole et de gaz. Seules leurs émissions liées aux activités d'extraction, de production et de valorisation sont visées par le règlement. Le projet de loi 23 sur la réforme sur la gouvernance scolaire, porté par le ministre de l'éducation Bernard Drainville, a été adopté. Québec versera 8 millions $ de plus aux banques alimentairesManon Jeannotte sera la nouvelle lieutenante-gouverneure du Québec.La sécurité aérienne s'est dégradée au Canada La hausse du prix des aliments va ralentir dans les prochains mois La Banque Laurentienne estime à 5,3 millions $ le cout de la panne de service qu'elle a subie en septembreMeta améliore la confidentialité de MessengerL'entreprise fait désormais du cryptage «de bout en bout» l'option sélectionnée par défaut dans son application de messagerie Messenger. L'entreprise affirme que cette option permet de faire en sorte que personne d'autre ne peut accéder à un message envoyé que son auteur et de son destinataire, pas même Meta ni les gouvernements.Les utilisateurs de Messenger pouvaient déjà choisir cette option. Ils n'auront désormais plus besoin de l'activer. Le cryptage de bout en bout ne sera cependant pas encore l'option par défaut pour toute conversation impliquant plus de 2 personnes.--- Détails sur ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Écouter le balado d'InfoBref et voir comment s'y abonner sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
We're in Montreal, Canada, with Urmi Hossain of MyWays.CA. We talk about hiking at Mont Royal Park, riding the La Grande Roue ferris wheel, and touring the shrine and gardens at Saint Joseph's Oratory. Show notes & our 1-page guide are at https://WeTravelThere.com/montreal Miles & points make travel affordable but tracking them is difficult. That's why I use AwardWallet to monitor rewards, reservations & free night certificates. Sign up for free at WeTravelThere.com/awardwallet
Retour sur le tournoi des moins de 18 ans. Carré d'as dans la LHJMQ.
Sur près de 200 contenus télévisuels proposés à bord des avions d'Air Canada ce mois-ci, on ne compte que cinq productions québécoises. Entrevue avec Tania Kontoyanni, présidente du conseil d'administration de l'Union Des Artistes UDA. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque jour, l'équipe de vos radios communautaires se retrouve pour parler du sujet du jour ! Retrouvez vos animateurs et journalistes favoris dans une discussion sans filet, sans langue de bois et avec beaucoup d'humour.
Le chômage, le manque de logements, les maladies chroniques, c'est le quotidien des premières nations du Québec, dont près de la moitié vivent dans des réserves surpeuplées imposées par le gouvernement du Canada au XIXè siècle. Confrontés à cette réalité, une partie des jeunes tentent de trouver de nouveaux chemins pour se dessiner un avenir. C'est le cas, notamment, dans certaines réserves où vivent des Innus, une des 11 nations autochtones du Québec. (Rediffusion) «Au Canada, la jeunesse autochtone renoue avec son identité», un Grand reportage de Pascale Guéricolas.
Vente de cocaïne au Canada. Un homme s'effondre après avoir attendu 4 heures dans la file de la SAAQ. Le président américain Joe Biden a eu une mauvaise nouvelle en février. Un homme condamné pour des menaces de mort envers Patrick Lagacé. ChatGPT vole des emplois. Des casseurs-flotteurs ont ravagé une maison en Montérégie. Tout savoir en 24 minutes avec Cybèle Olivier.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vente de cocaïne au Canada. Un homme s'effondre après avoir attendu 4 heures dans la file de la SAAQ. Le président américain Joe Biden a eu une mauvaise nouvelle en février. Un homme condamné pour des menaces de mort envers Patrick Lagacé. ChatGPT vole des emplois. Des casseurs-flotteurs ont ravagé une maison en Montérégie. Tout savoir en 24 minutes avec Cybèle Olivier.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Actualités du 31 janvier 2023 : toutes les dernières nouvelles En prenant votre café, c'est ici: https://bit.ly/3XNOnho Les grands titres: Actualités: - TGV Québec-Toronto - Libérer le Canada - La taxe au sac - Tiktok aux USA Au Québec: - Les étudiants du CEGEP - Bernard Drainville - STM sur Pie-9 - Radar photo près des écoles - Juge sans jugement Êtes-vous tombé sur la tête? - Demain, le mois sans alcool Finance: - Amazon Fresh - Or - Bad Monkey - Compétition cellulaire au Canada - Grosse semaine à la bourse Insolite: - Un nouveau Hummer? - La neige à NY - Netflix offre un show dans une ancienne langue - Mark Anthony se marie - Le réveil-matin réinventé - Mc Gilles est plus syndiqué qu'il le pense [00:00] Intro [00:50] Énigme du jour [01:30] Actualités [08:25] Au Québec [16:48] Êtes-vous tombé sur la tête [19:06] Finance [26:17] Insolite [32:18] Pensée du jour [33:00] Réponse de l'énigme [34:25] Conclusion
Simon Coulombe présente son étude: Portrait 2022 de la santé mentale des travailleuses et travailleurs de PME au Canada. Aux segments espresso, Pierre Laporte nous informe sur la mythomanie. Notre invitée Marie-Maud Sylvestre Audette nous fait mieux connaître la Maison Saint-Dominique. Animateur, intervieweur et producteur: Yvan Bujold Preneur de son et chroniqueur aux segments Espresso: Pierre Laporte Site Web de Folie Douce: antenne.qc.ca © Copyright Antenne Communications Tous droits réservés
Le chômage, le manque de logements, les maladies chroniques, c'est le quotidien des premières nations du Québec, dont près de la moitié vivent dans des réserves surpeuplées imposées par le gouvernement du Canada au XIXè siècle. Confrontés à cette réalité, une partie des jeunes tentent de trouver de nouveaux chemins pour se dessiner un avenir. C'est le cas, notamment, dans certaines réserves où vivent des Innus, une des 11 nations autochtones du Québec. «Au Canada, la jeunesse autochtone renoue avec son identité», un Grand reportage de Pascale Guéricolas.
Dans la province canadienne du Manitoba, tout au nord, près de la petite localité de Churchill, les ours polaires attendent chaque été le retour de la banquise. Mais avec le réchauffement climatique, la glaciation survient de plus en plus tard, parfois vers la fin novembre. Les ours privés de glace se retrouvent plus longtemps sans alimentation, car c'est sur la banquise qu'ils arrivent à chasser le phoque. Et ils deviennent dangereux pour les habitants. Sur le terrain: Olivier Morin, Marion Thibaut et Sébastien Vuagnat Retrouvez l'article de Marion Thibaut ici Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com ou sur notre compte Instagram. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme !
Nouvelle victoire de Max Verstappen cette saison. Il a resisté à la charge de Sainz en fin de course pour signer un 6ème succès cette saison. Hamilton est lui de retour sur le podium. On en discute ensemble ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le "Convoi de la liberté" ("Freedom Convoy") rassemble des chauffeurs de camions qui protestent contre les restrictions sanitaires instaurées au Canada. Ils bloquent le Ambassador Bridge, considéré comme l'un des axes stratégiques dans les échanges entre le Canada et les États-Unis. Le reportage à Ottawa de François Rihouay.
Au cours de l'été 2021, Gabrielle Petito et son fiancé Brian Laundrie partent en road trip et décident d'expérimenter la van life et de faire le tour des États-Unis pendant une durée de 4 mois. Documentant leur voyage au quotidien sur Instagram, la vie en road trip avec son fiancé semble en apparence parfaite! Cependant, après quelques semaines, les conflits éclatent dans le couple, et enveniment leur parcours jusqu'à présent parfait et causant la fin abrupte du voyage. Étonnamment par contre, Brian revient seul, sans Gabrielle... Plus étrange encore, celui-ci ne semble pas se soucier de son absence et se mute derrière un avocat. Tous se demandent dans quelles circonstances ce voyage s'est terminé. Mais où est Gabrielle? Abonnez-vous à notre Patreon, pour les épisodes en avance et du contenu exclusif: https://www.patreon.com/distorsion Procurez-vous notre nouveau livre ici : https://www.leslibraires.ca/livres/distorsion-2-crimes-et-histoires-tordues-emile-gauthier-9782761956284.html (Canada) La collection Key Lime Pie est disponible sur notre Boutique en ligne: boutique.distorsionpodcast.com Le livre Distorsion - 13 Histoires étranges de l'ère numérique, disponible partout: Europe: https://www.distorsion.fr/ Canada: https://www.leslibraires.ca/livres/distorsion-13-histoires-etranges-de-l-emile-gauthier-9782761951906.html
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C'est l'histoire d'un changement de vie qu'Adèle raconte dans cet épisode. Après avoir partagé la genèse du projet d'expatriation au Canada et tous ses rebondissements dans la première partie, Adèle évoque dans cet épisode les derniers préparatifs, à trois semaines du départ. L'organisation du départ de France, qui passe par la vente de l'appartement et de tous les meubles, la résiliation de tous les contrats d'eau, électricité etc. La partie la moins fun à laquelle on ne peut pas échapper ! Adèle évoque aussi les derniers doutes qui surgissent et se manifestent parfois au travers de choses insignifiantes comme le fait de ne pas vouloir se séparer d'un fauteuil ! Finalement arrive l'étape de l'organisation de l'arrivée au Canada. Adèle et son conjoint ont fait le choix de louer un airbnb pour leur premier mois sur place. Ils se laissent ainsi le temps de faire des visites et de préparer leur nouveau petit nid québécois ! Liens évoqués dans l'épisode : La checklist du gouvernement : https://www.diplomatie.gouv.fr/IMG/pdf/checklist_format_liseuse_france_diplo_version_nov_2020_cle8fd9c3.pdf Le guide de l'expatriation: https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/services-aux-francais/preparer-son-expatriation/le-guide-de-l-expatriation/