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Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Bruno Poncet, cheminot, et Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cet épisode, nous revenons sur le dernier Café de le Paie en compagnie de Linda et Brankica.
Avec : Élise Goldfarb, entrepreneuse. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Le DH Football Club revient sur le match nul des Diables au Kazakhstan.Vincent Blouard, Frédéric Bleus, Romain Van der Pluym et Yves Taildeman sont autour de la table de Jonathan Lange. Et avec eux, l'important, c'est les trois points :- Comment interpréter les critiques de Jérémy Doku envers le staff ?- Faut-il s'inquiéter pour la défense ?- Que manque-t-il devant ?
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Un safari humain en Bosnie représente l’horreur suprême. Le Canadien a mangé une solide volée, mais moins que Luc Ferrandez. Un parieur limité sur Mise-O-Jeux parce qu'il gagnait trop souvent. Le dilemme du déodorant au bureau. . Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Mados žurnalistė Deimantė Bulbenkaitė prisimena gausiai aptarinėtą premjerės Ingos Ruginienės rankinę ir komentare svarsto apie padirbinius ir reprezentaciją.Šią savaitę Klaipėdos koncertų salė publiką kviečia chorinės muzikos klausytis uždengtomis akimis.Naujas VDU tyrimas rodo, kad žmonės jaučiasi neišgirsti ir užsidaro savo informaciniuose burbuluose, tačiau profesionaliai žiniasklaidai vis dar suteikia vilčių atkurti konstruktyvų ryšį. Kas lemia šį požiūrį?Anykščius jau du dešimtmečius kardelių žiedais puošia legendinis gėlininkas Matas Diržys.Į Panevėžio miesto erdves grįžta meno kūriniai, kurie buvo laikinai nuimti, o kitąmet mieste planuojama pastatyti dar septynias skulptūras.Ved. Justė Luščinskytė
11h31 et 22 secondes. C'est l'heure à partir de laquelle les femmes ont commencé à travailler “gratuitement” ce lundi. Un décompte avant tout symbolique réalisé chaque année par la newsletter féministe, Les Glorieuses. Mais alors, pourquoi dit-on que les femmes travaillent désormais gratuitement? On pose la question à Clément Lesaffre, journaliste à BFM Business.
Un an après sa réélection, Donald Trump revendique une Amérique plus forte grâce à ses taxes douanières massives. Le président promettait que la Chine, l'Europe et les autres pays « paieraient » pour redresser l'économie américaine. Mais les chiffres montrent une tout autre réalité : ce sont bien les entreprises et les consommateurs américains qui supportent la facture. Lors de sa campagne, Donald Trump assurait vouloir « faire payer la Chine, l'Europe et tous ceux qui profitent de l'Amérique ». Selon lui, ces droits de douane ne coûteraient rien aux Américains. Le principe était simple : taxer les produits importés pour protéger les entreprises nationales, réduire le déficit commercial et financer des baisses d'impôts. Mais la réalité économique, elle, s'est montrée bien différente. En pratique, les exportateurs étrangers ne paient pas ces droits de douane. Ce sont les importateurs américains – distributeurs, industriels, commerçants – qui s'en acquittent auprès du Trésor. Et quand la facture devient trop lourde, elle finit par se répercuter sur les consommateurs. À lire aussiSur la piste d'une machine à café pour comprendre les effets des taxes douanières de Trump Les entreprises américaines en première ligne Les données du Peterson Institute for International Economics sont claires : jusqu'à l'été 2025, ce sont les entreprises américaines qui ont absorbé la plus grande part du coût de ces surtaxes, notamment dans la distribution, l'automobile et l'électronique. Les recettes douanières ont, elles, explosé, avec plus de 100 milliards de dollars encaissés par le gouvernement entre janvier et juillet 2025, contre seulement 70 milliards sur toute l'année 2024. Mais cet argent vient… des entreprises américaines elles-mêmes. Des géants comme Apple ou Nike ont tenté de maintenir leurs prix de vente stables, en réduisant leurs marges. Mais cet équilibre n'a pas tenu. Les coûts additionnels ont fini par être transférés aux consommateurs. Résultat : les prix à la consommation augmentent et le pouvoir d'achat recule. À lire aussiDroits de douane: Donald Trump gagne-t-il vraiment la guerre commerciale? Un impôt déguisé pour les ménages américains Les économistes de l'université de Yale estiment que ces taxes coûtent en moyenne 3 800 dollars par an à chaque ménage américain. Autrement dit, une nouvelle forme d'impôt indirect, qui pèse d'autant plus lourd sur les foyers modestes. Et le phénomène touche bien au-delà des produits importés. De nombreux biens estampillés made in USA sont, eux aussi, concernés, car leurs composants ou leurs pièces détachées proviennent de l'étranger. Presque tout ce qui est consommé sur le territoire est donc indirectement surtaxé. Donald Trump, lui, reste triomphant. Il affirme que sa politique « rapporte des milliards à l'Amérique ». Et c'est vrai que les recettes douanières devraient dépasser 300 milliards de dollars d'ici à la fin de l'année. Mais ces milliards proviennent avant tout du portefeuille des entreprises et des ménages américains. À lire aussiDroits de douane de Trump: pourquoi il est quasi impossible de les abandonner Une Amérique qui taxe le monde… mais se taxe elle-même En définitive, les taxes de Donald Trump frappent bien les importations du monde entier, mais ce sont les Américains qui passent à la caisse. Les droits de douane gonflent les recettes fédérales, tout en alimentant l'inflation et en grignotant le pouvoir d'achat. Le paradoxe est total : le président voulait faire payer les autres, mais un an après son retour au pouvoir, c'est l'Amérique elle-même qui paie la note.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Abel Boyi et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce podcast, je vous parle d'Immobilier : qui paye les réparations en cas de casse, d'usure et qui paye pour l'entretien général ?Je réponds en détail à toutes ces questions liées à la répartition des charges, sources de nombreuses tensions entre propriétaires et locataires.Toutes les informations sur mes activités sont ici :http://www.monsieurrodolphe.fr?el=YTOn fait la route ensemble,Monsieur Rodolphe
Le coup de gueule du jour - Chirinne Ardakani : "On nous dit que tout ça coûte cher... jusqu'à qu'on le paie. Combien ça va nous coûter maintenant d'aller récupérer les bijoux ? - 30/10
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Charles Consigny, avocat, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Frédéric Hermel, journaliste RMC. Et Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Peut-on faire tout et n'importe quoi sur les bancs de l'université, sans en craindre les conséquences, à la vidéo qui montre ce qui s'est passé lors d'une conférence à l'Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis ? Ruth Elkrief espérait que le cessez-le-feu de la guerre à Gaza allait aussi ramener le calme en France, notamment sur le front de l'antisémitisme dans les universités. “J'ai fait preuve d'un optimisme complètement naïf” conclut-elle. Et si c'est Nicolas qui paie ? C'est le cri de ralliement des Français pour exprimer un ras-le-bol fiscal. Pour Pascal Perri, tout ceci est vrai, mais il y a quand même un certain nombre de nuances. Comme conclusion, les "boomers" vont finir par disparaître. Dans une vidéo de mariage, la fille d'Ali Shamkhani, proche du guide suprême, fait une apparition sans hijab. Abnousse Shalmani dénonce l'hypocrisie des mollahs qui fait scandale. “C'est pire que ça, c'est au-delà de l'hypocrisie”, disait-elle. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:56 - Ma vie au boulot - Théo est étudiant et serveur dans un bar à Valenciennes. Son patron ne lui paie pas toujours ses heures supplémentaires. Comment exiger qu'il le fasse ? Sandrine Foulon lui répond. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, 120 Secondes Essentiel est consacré à la taxe foncière. Cet impôt local est dû par tous les propriétaires ou les usufruitiers d'un bien immobilier situé en France. Quelles sont les propriétés concernées ? Quid du calcul et du montant de cette taxe ? Et qui peut en être exonéré ? Capital vous répond. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Trečiadienį (spalio 15 d.) Tiek Žinių vedėja Gabija naujienas apie NATO ir Europos sąjungos gynybos ministrų susitikimą, kuriame buvo sprendžiama, kaip geriau apsaugoti Rytų Europos narių oro erdvę po virtinės Rusijos oro erdvės pažeidimų. Taip pat aptarsiu naujai pristatytą ateinančių metų biudžeto projektą; besitęsiantį chaosą dėl kultūros ministro; ir galiausiai apkalbėsiu LRT tyrimą apie čekutininkus.
Bonne nouvelle, du moins en apparence : le leasing social automobile fait son grand retour à la fin du mois de septembre. Ce dispositif, réservé aux ménages modestes, permet de louer une voiture électrique à prix réduit. Et cette fois, une prime supplémentaire de 1 000 euros s'ajoute au bonus écologique, déjà compris entre 3 100 et 4 200 euros selon les revenus. De quoi séduire de nouveaux automobilistes… sauf qu'en coulisses, le mode de financement change radicalement.Jusqu'ici, ces aides étaient directement financées par l'État. Désormais, ce sont les fournisseurs d'énergie et de carburant qui mettront la main à la poche, via le mécanisme des certificats d'économie d'énergie, ou CEE. En clair : les distributeurs d'électricité, de gaz et de carburant doivent financer ces primes, et — vous l'aurez deviné — ils répercuteront ces coûts sur nos factures. Selon 60 Millions de consommateurs, cette bascule budgétaire n'est pas anodine. Les CEE, initialement créés pour pousser les entreprises à promouvoir les économies d'énergie, deviennent peu à peu le guichet universel du financement vert. Les primes des constructeurs automobiles, MaPrimeRénov', ou encore les « coups de pouce travaux » s'appuient désormais sur ce même dispositif. Le ministère du Logement l'a d'ailleurs confirmé : la part des CEE dans le financement des rénovations énergétiques va encore augmenter.Mais cette stratégie a un coût. En 2023, la Cour des comptes estimait que le système des certificats d'économie d'énergie coûtait déjà 164 euros par an et par ménage. Et ce n'est pas tout : ces dispositifs massifs attirent la fraude, que la Cour juge « considérable ». Résultat, l'efficacité énergétique promise s'en trouve affaiblie. En résumé, le leasing social redémarre, les aides continuent, mais le financement glisse discrètement de l'État vers le consommateur, via sa facture d'énergie. Un choix habile sur le papier pour équilibrer les comptes publics, mais qui risque bien de se ressentir, lui, à la pompe comme à la prise Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:13:05 - Le Débat d'On n'arrête pas l'éco - Pourquoi aujourd'hui travailler ne permet-il plus d'améliorer le niveau de vie ? Cette idée que "le travail ne paie plus" est avancée dans le débat public. Alors, comment s'en sortir à l'approche des débats budgétaires pour 2026, quand trop de Français expliquent qu'ils n'y arrivent plus ? - invités : Eric HEYER, Patrick Artus - Éric Heyer : Économiste, Patrick Artus : Chef économiste et membre du comité exécutif de Natixis Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:38 - C'est mon boulot - Aujourd'hui, cela fait 80 ans que la Sécurité sociale a été créée. À cette occasion, le club de réflexion Landoy a interrogé les salariés sur la compréhension qu'ils ont de leur feuille de salaire. En partant du principe que cette dernière reflète en partie notre modèle social. Qu'est-ce qu'on apprend ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce mercredi 1er octobre, toutes les nouvelles lignes qui se sont ajoutées entre le salaire brut et le salaire net dans une fiche de paie, l'intention de Sébastien Lecornu de baisser la CSG pour redonner du pouvoir d'achat aux Français, ainsi que la baisse de la productivité européenne, ont été abordées par Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Etudes Européennes de Paris-8 Saint-Denis, et Thomas Grjebine, responsable du programme "Macroéconomie et finance internationales" au CEPII, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Avec : Périco Légasse, journaliste. Juliette Briens, journaliste à l'Incorrect. Et Robert Sebbag, médecin. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
La première heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 24 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:41 - Ma vie au boulot - par : Sandrine Foulon - Suzanne est en train de passer des entretiens d'embauche. Un recruteur lui a demandé des contacts de ses anciens employeurs mais aussi ses feuilles de paie. Mais est-ce légal ? Sandrine Foulon lui répond. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Jérôme Marty et Zohra Bitan, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invités : - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce mardi 9 septembre 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de : Fiche de paie, vous y comprenez quelque chose ?
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Frédéric Hermel, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
(1) Wie is Nicolas qui paie? (2) Coucou de Namur: de nieuwe feiten uit Wallonië (3) Spermacellen in de strijd tegen kanker (4) De Ontdekking van België met Annelies Bontjes (5) Het Middagjournaal van Bas Birker
Avec : Daniel Riolo, journaliste RMC. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Élise Goldfarb, entrepreneure. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
OPEN HEAVENSMATALA LE LAGI MO LE ASO LULU 3 SETEMA 2025(tusia e Pastor EA Adeboye) Manatu Autu: Aveese le paie (Banish laziness ) Tauloto – Faataoto 10:4 “E mativa lē ‘ua galue ma le lima vaivai; a o ē lima malosi e mau‘oa i latou.” Faitauga - Tusi Paia: Faataoto 6:6-11 E tauia e le Atua i latou o ē matua saili ia te ia (Eperu 11:6); e na te lē tauia i latou e paie. Afai e te fia manuia, e tatau ona e filigā.O ma'ua ma se tasi o au uo na faaolaina i le vaitau, o fai ma tulaga masani i le au kerisiano le faia o tautinoga. I lea taimi, o le aoaoga taatele lenei, ‘e pau lau mea e faia o le tautino faafia le mea e te manao ai, ona maua lea'. O la'u uo, sa matua filiga i le faia o nei tautinoga lelei. A ala mai i le taeao ua faia lana tautinoga ma faapea, ‘ou te maua se taavale fou, i le suafa o Iesu'. E lima tausaga mulimuli ane, e lei maua lava sana taavale. E iai se aso na ia fesili mai ai ia te au, ‘o le a lau mealilo? Sa ou filiga e faia tautinoga ae leai se taui'. Na ou tali atu ia te ia, ‘e te ala mai i le 10 i le taeao, ae ua 5 itula talu ona ou faigaluega. E te lē galue ae na o Le faia o tautinoga. E faamalie atu, peitai e faaauau pea ona e savali solo mo se taimi umi pe afai e te lē faia se suiga'.E iai isi tagata ua fai ma fiafiaga le faalogologo i tautalaga a tagata e faamalosiau mai. E muamua ona resitara i fonotaga faapenei, peitai a oo i le taimi e faatino ai, e te fui e sue i latou. E le mafai e ni tautinoga ma aoaoga e lē faatinoina ona suia se tagata paie i se tagata faaeaina i le ola galue. O se tagata e lē faalogo ini tautalaga faamalosiau ma faia ni tautinoga, e iu pea o ia i le manuia pe afai na te iloa galue ma le filiga.E ui ua 80 ou tausaga, o loo ou galue malosi pea i le galuega a le Atua. Ao momoe le toatele, o loo ou savalivali solo i le po ma tatalo. Ou te lē lauga ini mataupu papau: a e faalogo I au lauga, e te iloa ai, ou te sii mau mai le tele o fuaitau o le Tusi Paia. O mea nei e lē mafai ona maua tau i le malolo ma leai o se mea e faia. O le manuia i le olaga nei e lē tei a ua tupu, o le fanau mai o se purinisese poo se perenise, e lē faapea o le a manuia loa lea tagata i le ola nei. Tusa poo lea a le tele o le tamaoaiga e maua e se tagata mai lona aiga, afai e paiē ma musu e faia le galuega e faatupu ai le tamaoaiga, e iu lea tagata i le faamaumau o mea uma ma amata ona tigaina. Fai mai le Faataoto 18:9 o le tagata paiē fo‘i i lana galuega, la te uso ma lē na te fa‘amaumau mea. Le au pele e, o le paie e na te faamaumauina avanoa matagofie. E lē saunia ai foi lou tagata e faaaoga lelei avanoa e te maua. Aua e te tuua se avanoa i le paie, ia tafiesea mai so'o se vaega o lou olaga. O le paie e lē saunia ai lou tagata mo avanoa e te maua ma e faamaumau ai avanoa matagofie, i le suafa o Iesu, Amene.
Era actualitat dera Val d'Aran en aran
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 22 août 2025 : "Consigny/Bompard : Nicolas qui paie ou Vincent qui pille ?" avec Antoine Diers, consultant, Bruno Poncet, cheminot, et Fatima Aït Bounoua, professeure de français.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Emmanuel de Villiers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 juillet 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.C'EST NICOLAS QUI PAIE » : L'AMORCE D'UN CONFLIT INTERGÉNÉRATIONNELTravail, écologie, sexualité, politique, racisme, laïcité, tant autour des questions sociales que dans le champ des valeurs, tout séparerait les jeunes de leurs aînés. Les « boomers » auraient « cramé la caisse » et la planète. Leurs successeurs seraient paresseux, instables, égoïstes, trop radicaux. L'expression « OK, boomer », apparue en 2018 et largement répandue sur les réseaux sociaux, résume à elle seule ce « clash intergénérationnel ». En cause : la montée de l'individualisme, l'accélération des changements technologiques et l'inversion opérée dans la transmission traditionnelle des savoirs. Avec le Covid, la génération Z - née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010 – se serait sentie sacrifiée pour protéger les boomers. La crise écologique a créé des éco-anxieux qui demandent des comptes. C'est sur le front des conditions économiques que les tensions sont les plus vives : dans un État consacrant plus de budget à la retraite (379 milliards d'euros en 2023, 13,4 % du PIB, selon le rapport du Conseil d'orientation des retraites) qu'à sa jeunesse (190 milliards d'euros pour l'éducation en 2023, 6,7 % du PIB), celle-ci est contrainte de composer avec un chômage structurel, des inégalités sociales croissantes et un État de moins en moins providence et protecteur, constate Salomé Saqué, dans son livre Sois jeune et tais-toi.Alors que la CFDT comme le Medef commencent à s'inquiéter d'un risque de conflit intergénérationnel, dans son rapport d'avril, la Cour des comptes a alerté sur la nécessité de veiller à l'équité intergénérationnelle des systèmes de retraites. Compte tenu du vieillissement de la population et de la baisse de la natalité, pour éviter que les écarts ne se creusent, la Cour note l'intérêt de mieux piloter le système global avec des clauses de revoyure. Le rapport entre actifs et retraités ne cesse de se dégrader : de trois actifs pour un retraité au début des années 1980, ce ratio est passé à 2,1 actifs pour un retraité en 2000 et à 1,7 cotisant pour un retraité en 2021. Il devrait encore décliner d'ici à 2050 pour passer à 1,5 cotisant pour un retraité. Dans un tel contexte, le système de retraites par répartition apparaît de moins en moins à même de générer un niveau de pensions suffisant.Depuis quelques mois, Nicolas, trente ans, un personnage fictif devenu un mème populaire sur les réseaux sociaux incarne le « ras-le-bol fiscal » d'une partie de la jeune génération. Notamment sur X et à droite, dès qu'un article de presse relaie une information impliquant une dépense de l'État, le commentaire surgit : « C'est Nicolas qui paie. » Nicolas (prénom le plus donné aux garçons en 1995) se veut emblématique de la génération des jeunes actifs trentenaires, supposés écrasés d'impôts pour financer les croisières de « Bernard et Chantal », retraités de 70 ans, et le RSA de « Karim », jeune immigré de 25 ans, autres personnages fictifs. « Il n'y a pas de caractère inédit concernant les contestations fiscales, souligne l'économiste Erwann Tison. Ce qui est nouveau, c'est le côté générationnel ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.