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Antoine Foucher est un homme de l'ombre devenu penseur engagé. Ancien directeur de cabinet au ministère du Travail sous Macron, conseiller de Xavier Bertrand et ex-numéro deux du MEDEF, il a longtemps évolué dans les cercles du pouvoir. Pourtant, c'est avec un livre coup de poing — "En finir avec le travail qui ne paie plus" — qu'il vient aujourd'hui dénoncer un dysfonctionnement profond de notre société.Je dois vous dire que j'ai été très surpris, et aussi très curieux, en découvrant son livre. Un “mec de droite” qui remet en cause l'efficacité du travail comme moteur de progrès social ? J'ai eu envie d'en savoir plus. Et je n'ai pas été déçu.Dans cet épisode, nous parlons de sujets brûlants et pourtant trop rarement abordés avec autant de clarté : pourquoi la majorité des gens qui bossent ne parviennent plus à améliorer leur niveau de vie ? Pourquoi, malgré l'explosion de la productivité et l'essor du numérique, le sentiment de déclassement s'accentue ? Pourquoi a-t-on l'impression que nos efforts ne servent à rien, que le travail n'a plus de sens ni de récompense ?J'ai voulu comprendre avec Antoine ce qui coince. Ensemble, nous avons abordé les vraies causes : une fiscalité déséquilibrée, une désindustrialisation massive, un modèle de répartition devenu obsolète. Il m'a aussi expliqué pourquoi le capital est aujourd'hui bien moins taxé que le travail, et en quoi cela façonne une société de rentiers plus que de bâtisseurs. Nous avons parlé retraites, héritage, méritocratie, et surtout, de la nécessité de refonder notre pacte social pour redonner du sens au travail.Ce qui m'a marqué, c'est à quel point Antoine est précis dans ses diagnostics, étayé dans ses chiffres, mais aussi profondément humain dans ses propositions. Il ne cherche pas à cliver, mais à réconcilier. Ce n'est pas un discours partisan, c'est un cri d'alerte lucide sur l'avenir que nous préparons pour les générations futures.Un épisode dense, engagé, mais aussi porteur d'espoir — parce qu'il ouvre des pistes pour sortir de l'impasse. Si comme moi, vous vous interrogez sur l'utilité de vos efforts au quotidien, sur la justice de notre système ou sur ce que signifie vraiment “réussir” aujourd'hui, alors cet épisode est fait pour vous.5 Citations marquantes« Pour la première fois depuis 1945, travailler ne permet plus d'améliorer son niveau de vie. »« Le problème, ce n'est pas que l'argent va aux riches ou aux pauvres. Il va aux retraites. »« On est en train de redevenir une société d'héritiers. »« Le capital est taxé à 30 %, le travail à 46 %. »« Plus on a d'argent, moins c'est difficile d'en gagner. »10 Questions posées dans l'interviewPourquoi dis-tu que le travail ne paye plus ?Est-ce que l'immobilier est pris en compte dans tes calculs ?Où est passé l'argent généré par la productivité ?Est-ce qu'on aurait dû investir dans l'industrie plutôt que dans l'IA ?Pourquoi les services peu qualifiés stagnent-ils en termes de salaires ?Est-ce que l'argent est vraiment parti chez les riches ou les pauvres ?Comment expliques-tu le creusement entre brut et net ?Quel rôle jouent les retraites dans cette dynamique ?Peut-on encore s'en sortir sans héritage ?Est-ce juste que le capital soit moins taxé que le travail ?Timestamps clés pour YouTube00:00 — Introduction de Grégory et présentation d'Antoine Fouché01:30 — Pourquoi le travail ne paye plus ?05:00 — Immobilier et stagnation du pouvoir d'achat10:00 — Le paradoxe du niveau de vie en France15:00 — Désindustrialisation et effets sur les salaires20:00 — Le vrai coût des retraites dans les finances publiques30:00 — Société d'héritiers : quel avenir pour les jeunes ?40:00 — Fiscalité : capital vs travail45:00 — Quelles solutions fiscales concrètes ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #186 Quel nouveau modèle pour la France avec David Djaiz (https://audmns.com/GSOSydk) #281 Comprendre l'effondrement des classes moyennes et populaires avec Esther Duflo (https://audmns.com/WthucwC) #164 Peut-on allier lutte contre la pauvreté et écologie? avec Elise Huillery (https://audmns.com/jLFRyqX)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Antoine Foucher est un homme de l'ombre devenu penseur engagé. Ancien directeur de cabinet au ministère du Travail sous Macron, conseiller de Xavier Bertrand et ex-numéro deux du MEDEF, il a longtemps évolué dans les cercles du pouvoir. Pourtant, c'est avec un livre coup de poing — "En finir avec le travail qui ne paie plus" — qu'il vient aujourd'hui dénoncer un dysfonctionnement profond de notre société.Je dois vous dire que j'ai été très surpris, et aussi très curieux, en découvrant son livre. Un “mec de droite” qui remet en cause l'efficacité du travail comme moteur de progrès social ? J'ai eu envie d'en savoir plus. Et je n'ai pas été déçu.Dans cet épisode, nous parlons de sujets brûlants et pourtant trop rarement abordés avec autant de clarté : pourquoi la majorité des gens qui bossent ne parviennent plus à améliorer leur niveau de vie ? Pourquoi, malgré l'explosion de la productivité et l'essor du numérique, le sentiment de déclassement s'accentue ? Pourquoi a-t-on l'impression que nos efforts ne servent à rien, que le travail n'a plus de sens ni de récompense ?J'ai voulu comprendre avec Antoine ce qui coince. Ensemble, nous avons abordé les vraies causes : une fiscalité déséquilibrée, une désindustrialisation massive, un modèle de répartition devenu obsolète. Il m'a aussi expliqué pourquoi le capital est aujourd'hui bien moins taxé que le travail, et en quoi cela façonne une société de rentiers plus que de bâtisseurs. Nous avons parlé retraites, héritage, méritocratie, et surtout, de la nécessité de refonder notre pacte social pour redonner du sens au travail.Ce qui m'a marqué, c'est à quel point Antoine est précis dans ses diagnostics, étayé dans ses chiffres, mais aussi profondément humain dans ses propositions. Il ne cherche pas à cliver, mais à réconcilier. Ce n'est pas un discours partisan, c'est un cri d'alerte lucide sur l'avenir que nous préparons pour les générations futures.Un épisode dense, engagé, mais aussi porteur d'espoir — parce qu'il ouvre des pistes pour sortir de l'impasse. Si comme moi, vous vous interrogez sur l'utilité de vos efforts au quotidien, sur la justice de notre système ou sur ce que signifie vraiment “réussir” aujourd'hui, alors cet épisode est fait pour vous.5 Citations marquantes« Pour la première fois depuis 1945, travailler ne permet plus d'améliorer son niveau de vie. »« Le problème, ce n'est pas que l'argent va aux riches ou aux pauvres. Il va aux retraites. »« On est en train de redevenir une société d'héritiers. »« Le capital est taxé à 30 %, le travail à 46 %. »« Plus on a d'argent, moins c'est difficile d'en gagner. »10 Questions posées dans l'interviewPourquoi dis-tu que le travail ne paye plus ?Est-ce que l'immobilier est pris en compte dans tes calculs ?Où est passé l'argent généré par la productivité ?Est-ce qu'on aurait dû investir dans l'industrie plutôt que dans l'IA ?Pourquoi les services peu qualifiés stagnent-ils en termes de salaires ?Est-ce que l'argent est vraiment parti chez les riches ou les pauvres ?Comment expliques-tu le creusement entre brut et net ?Quel rôle jouent les retraites dans cette dynamique ?Peut-on encore s'en sortir sans héritage ?Est-ce juste que le capital soit moins taxé que le travail ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le témoignage choc d'un ancien otage du Hamas, 855 SDF décédés en 2024, la loi sur l'euthanasie et l'interview embarrassée de Xavier Bertrand. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le lycée Averroès de Lille (Nord) est l'un des derniers établissements privés musulmans sous contrat avec l'État. Un contrat qu'il a failli perdre pour de bon : la préfecture du Nord l'avait résilié en 2023, invoquant de graves manquements aux valeurs de la République. Une raison contestée par les familles et par le tribunal administratif. En avril dernier, le tribunal a demandé le rétablissement immédiat du contrat. Un soulagement pour les élèves et leurs parents. Pour eux, être scolarisés dans cet établissement est essentiel. C'est la garantie de bons résultats, d'une qualité d'enseignement et surtout la possibilité de vivre sa religion. Thomas, 43 ans, nous accueille dans son appartement. Musulman converti, il a six filles. Trois d'entre elles sont scolarisées dans l'établissement musulman Averroès. « Ce que je vois, c'est le côté familial, chaleureux, en tout cas, c'est que me disent mes filles. » Hajar, 12 ans, est rentrée du collège. Elle acquiesce : « L'enseignement est, je trouve, sérieux, et les profs sont à fond pour aider les élèves. Ils nous aident jusqu'à ce que l'on réussisse. Tant qu'on ne réussit pas, ils ne nous lâchent pas. »Ce qui a aussi convaincu Thomas, c'est la possibilité pour ses filles de vivre leur religion. Des salles de prières sont à disposition des élèves et le voile est autorisé : « Ma fille, si elle le désire, si elle veut porter le voile, elle peut le faire là-bas, ça compte énormément. C'est important qu'elle se sente épanouie, si jamais elle veut suivre la religion de la famille, qu'elle puisse le faire à la maison, mais aussi à l'école. » Lailla est maman de trois enfants. Cette mère de famille a toujours été attentive au contenu de l'enseignement, notamment à ce que l'établissement appelle « cours d'éthique », des cours consacrés à la question des religions. Nous la rencontrons dans un parc avec sa fille désormais à la fac : « Régulièrement, je leur demandais de quoi elles avaient parlé. C'était très rassurant, car ce qui était abordé tournait beaucoup autour des valeurs, du respect de l'autre, etc. »L'autre point important pour Lailla et pour sa fille : que les programmes soient les mêmes que dans n'importe quel autre établissement. « Est-ce que l'on enseigne bien les cours de musique, de SVT, etc. Oui », affirme la maman. « Je pense que s'il y avait abstraction de quelque chose, cela se verrait sur les résultats scolaires ou sur les diplômes sur les examens nationaux, comme le brevet ou le bac », ajoute sa fille.« On voyait cela comme une injustice »Le lycée a enregistré 96% de réussite au bac l'an dernier. La fille de Lailla l'a eu, avec mention, et elle vient de terminer sa première année de médecine. Mais la préfecture et les autorités, comme le président de la région Xavier Bertrand, ont essayé pendant deux ans de supprimer le contrat entre le lycée et l'État. « Nous, on voyait cela comme une injustice, on ne comprenait pas. Nous, on est à Averroès du matin au soir et depuis des années et on sait ce qui s'y passe et il n'y a pas de problèmes », affirme-t-elle.« Ce lycée avec un tel taux de réussite dérange. C'est un lycée musulman, dans la banlieue de Lille, avec un taux d'élèves boursiers de 60%. C'est de l'acharnement. Est-ce que ce sont les musulmans qui sont ciblés, est-ce que l'on ne veut pas les voir réussir ? », se demande la mère de famille. L'établissement a retrouvé son contrat, mais l'affaire a laissé des traces. Les frais de scolarité ont augmenté l'année dernière, forçant certains élèves à changer d'école. Comme Hajar, la fille de Thomas, qui quittera à contrecœur Averroès à la rentrée pour un collège public.À lire aussiL'enseignement de l'arabe en France: un éternel débat?
durée : 00:25:39 - 8h30 franceinfo - Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 7 mai 2025.
C'est la fin d'un privilège pour les automobilistes "verts". À partir du 1er mai 2025, la gratuité de la carte grise pour les véhicules électriques ne sera plus garantie partout en France. Jusqu'ici exonérés de la taxe régionale d'immatriculation, ces véhicules vont désormais pouvoir être taxés comme les thermiques, une décision issue de la dernière loi de finances.Ce changement s'explique par un transfert de compétence vers les régions, désormais libres de fixer leurs tarifs. Résultat : à l'exception des Hauts-de-France, toutes les régions devraient introduire une taxe qui dépendra de la puissance administrative du véhicule, pouvant grimper jusqu'à 750 euros. Une addition salée pour les acheteurs, déjà confrontés à des prix d'achat souvent supérieurs à ceux des modèles thermiques. Jean-Pierre Bataille, député du Nord et rapporteur budgétaire, déplore une décision « cynique ». Il pointe du doigt un gouvernement qui réduit les dotations publiques tout en incitant les régions à taxer des véhicules pourtant plus écologiques. Objectif : compenser la baisse des transferts financiers de l'État, notamment sur la part de TVA.Seule la région Hauts-de-France fait figure d'exception. Son président, Xavier Bertrand, a choisi de maintenir la gratuité, afin de soutenir la filière des batteries électriques implantée à Douai et Dunkerque. Une manière aussi de préserver l'attractivité du territoire, notamment auprès des professionnels de la location. Pour les autres régions, un simulateur en ligne permet d'estimer le coût de cette nouvelle taxe. Et si certains experts, comme Flavien Neuvy de l'Observatoire Cetelem, estiment que la fin progressive des aides est normale avec la maturité du marché, le calendrier pourrait freiner la demande, dans un contexte de transition énergétique encore fragile. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 6 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.TABLEAU DES FORCES POLITIQUES APRÈS LA DÉCISION DU TRIBUNAL DE PARISLundi, Marine Le Pen a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national (devenu Rassemblement national, RN). Elle a été condamnée à quatre ans d'emprisonnement, dont deux ferme avec bracelet électronique, et à une amende de 100.000 euros. Mais c'est la peine d'inéligibilité à cinq ans avec exécution provisoire qui fait débat. La députée du Pas-de-Calais a interjeté appel, mardi, de la décision du tribunal correctionnel de Paris. Quelques heures après, la cour d'appel de Paris a annoncé vouloir rendre sa décision à l'été 2026.Alors que la leader du RN s'insurge contre « la tyrannie des juges », le Président défend « l'indépendance de la justice ». En revanche, tout en considérant qu'il n'a « pas le droit », en tant que membre du gouvernement, de « critiquer une décision de justice », François Bayrou a jugé « en tant que citoyen », que la décision du tribunal correctionnel de Paris soulève « des interrogations ». Lui-même est sous la menace d'une condamnation dans l'affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen, pour des faits comparables à ceux reprochés à Marine Le Pen. Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon a jugé que « la décision de destituer un élu devrait revenir au peuple ». LFI pourrait bientôt devoir répondre devant la justice à des accusations semblables. Le président du Sénat, Gérard Larcher a estimé que « si la loi va trop loin, le législateur doit pouvoir la corriger », tandis que le président du groupe de l'Union des droites pour la République à l'Assemblée nationale, Éric Ciotti, allié de Marine Le Pen, a décidé de la « supprimer ».Écologistes, socialistes, communistes et anciens « insoumis » ont applaudi la décision des juges et fustigé au passage les propos de Jean-Luc Mélenchon. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, et le chef de file des députés macronistes, Gabriel Attal, se sont démarqués. « Je suis troublé par le trouble du Premier ministre », a dit Olivier Faure. « Je ne suis jamais troublé par la démocratie », a enchaîné Gabriel Attal. Le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand s'est inquiété des « manifestations de soutien » de « l'internationale de l'extrême droite » à l'endroit de Marine Le Pen.Ce week-end, Le RN a organisé une mobilisation dans les rues afin de mettre la pression contre l'institution judiciaire – ou comme il le présente, « sauver la démocratie ». Ce dimanche, Gabriel Attal entend rassembler le bloc central dans un meeting au cours duquel, Edouard Philippe, qui n'est pas encore sorti de sa réserve, devrait s'exprimer. D'après un sondage Elabe pour BFMTV 57 % des Français estiment que la décision de justice est « normale au vu des faits reprochés ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Xavier Bertrand, président "Les Républicains" de la région Hauts-de-France, était l'invité de C'est pas tous les jours Dimanche, ce dimanche 6 avril 2025. Une émission animée par Benjamin Duhamel tous les dimanches de 18h à 20 heures sur BFMTV.
Il est "impensable" de faire un traitement de faveur avec "une loi d'exception pour sauver Madame Le Pen", a fustigé mercredi Xavier Bertrand sur RTL, en référence à la proposition de loi pour supprimer l'exécution provisoire que Éric Ciotti veut déposer. Écoutez le point de vue de Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marine Le Pen est-elle la victime d'une justice politique ? Faut-il revoir la Loi Sapin 2 comme le suggère le Premier ministre François Bayrou ? Ecoutez l'interview de Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marine Le Pen est-elle la victime d'une justice politique ? Faut-il revoir la Loi Sapin 2 comme le suggère le Premier ministre François Bayrou ? Ecoutez l'interview de Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il est "impensable" de faire un traitement de faveur avec "une loi d'exception pour sauver Madame Le Pen", a fustigé mercredi Xavier Bertrand sur RTL, en référence à la proposition de loi pour supprimer l'exécution provisoire qu'Eric Ciotti veut déposer. Écoutez le point de vue de Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, c'est au tour de Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Les Républicains vont-ils renouer avec leurs vieux démons ? Une bataille intense pour la présidence du parti se dessine entre Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau, tous deux déclarés candidats cette semaine. L'enjeu est important, car le vainqueur sera bien placé pour la présidentielle de 2027. Le duel devrait être rude. Sans que l'on connaisse encore les modalités et la date du vote, la campagne a commencé dès mercredi et l'annonce de la candidature de Bruno Retailleau avec 24 heures d'avance sur son rival. Dans la foulée, l'entourage de Laurent Wauquiez fait savoir que le ministre de l'Intérieur prend « la lourde responsabilité d'ouvrir une guerre des chefs ». La campagne part sur des bases conflictuelles. Comme si cela était nécessaire, la rupture entre les deux hommes vient d'éclater au grand jour et se mue en une guerre des narratifs. Chez Wauquiez, tous assurent que Bruno Retailleau a rompu un pacte selon lequel le Vendéen devait rester au gouvernement et le Ponot prendre la tête du parti pour préparer 2027. Chez Retailleau, tous démentent l'existence d'un tel accord. Personne ne connaît la vérité, mais tout le monde a compris que le chef des députés LR pensait avoir une route dégagée pour prendre le parti, mais que son concurrent lui a coupé l'herbe sous le pied. À lire aussiFrance: Bruno Retailleau annonce sa candidature à la présidence du parti Les RépublicainsDes tergiversations coupablesDepuis l'été dernier et le psychodrame « Eric Ciotti » parti nouer une alliance avec le Rassemblement national, les Républicains n'ont toujours pas de chef. Maintes fois annoncé comme de retour aux affaires, Laurent Wauquiez n'a cependant jamais pris de décisions franches. Outre le lancement d'une opération « refondation de la droite », presque rien n'a été décidé : pas de dates de congrès, pas de grandes lignes politiques et surtout des refus répétés d'entrer au gouvernement. « Laurent est un cérébral, il réfléchit beaucoup, mais parfois trop », résume un ancien cadre du parti.Et pendant ce temps, même sans direction, LR reprend des couleurs. Et cela tient beaucoup à l'incarnation de Retailleau au ministère de l'Intérieur. « Il laisse une empreinte très forte dans la France de droite » se convainc un ministre. Bien que limité dans ses pouvoirs, le locataire de Beauvau est, en tout cas, le plus populaire du gouvernement et entre même dans la catégorie des personnalités politiques préférées des Français. À ces bons sondages s'ajoutent aussi de bons résultats pour LR dans des élections municipales et législatives partielles. Voyant Laurent Wauquiez tarder, Bruno Retailleau perçoit donc un alignement des planètes pour, à court terme, prendre le parti et à long terme, incarner la droite à la présidentielle 2027. Retailleau favori, mais Wauquiez combatifEn l'état, Bruno Retailleau semble favori. Il domine son principal concurrent et a déjà le soutien de poids lourds comme Xavier Bertrand et Gérard Larcher tandis que, « chez Wauquiez, ça se compte sur les doigts d'une main » estime un proche du Vendéen. Toutefois, plier le match d'emblée, ce serait mal connaître Laurent Wauquiez à la réputation « combative, voire teigneuse ». Se sachant dans un vrai match, il a déjà lancé quelques piques dans sa première interview de candidat au Figaro, dans laquelle il met en avant comme un atout « ne pas être lié à la solidarité gouvernementale » et ne rien devoir à François Bayrou. Une façon de dire que Bruno Retailleau ne pourra pas être un vrai patron dans la droite, tant dans l'action, faute de temps, que dans la parole, car il est redevable au gouvernement. Sans oublier que Laurent Wauquiez, président du groupe LR à l'Assemblée, peut aussi entraver l'action gouvernementale. Et puis, le Ponot dispose aussi d'un pouvoir dans l'ombre pour influencer le processus électoral. Son clan a déjà obtenu une victoire en imposant un délai de trois mois de campagne, avec des juristes en renfort. Bref, comme souvent lors des élections internes à droite, tout indique que l'on se dirige vers une guerre fratricide. À lire aussiFrance: Les Républicains cherchent à retrouver pied avant la nomination d'un président du parti
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Xavier Bertrand , président LR de la région Hauts-de-France, est l'invité de C à Vous.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Nos invités du mardi 11 février 2025 : Xavier Bertrand , président LR de la région Hauts-de-France. Meurtre de Louise : le Général François Daoust, ancien directeur de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) et Thibault Chevillard, journaliste police-justice 20 Minutes dans C à Vous.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, La story de Mohamed Bouhafsi, Le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Xavier Bertrand, président "Les Républicains" de la région Hauts-de-France, était l'invité de C'est pas tous les jours Dimanche présenté par Benjamin Duhamel, ce dimanche 2 février 2025, sur BFMTV.
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C dans l'air du 23 décembre - Bayrou : déjà affaibli ?Promesse tenue. Le nouveau Premier ministre François Bayrou annoncera ce soir, à 18h30, son gouvernement. Hier, l'entourage du premier ministre communiquait sur les "derniers réglages" en cours. En coulisses, les points de blocage se sont multipliés. Choisi par Emmanuel Macron pour élargir sa majorité, sans LFI ni le RN, François Bayrou peine à convaincre la droite et la gauche. Chez les Républicains, Laurent Wauquiez, a annoncé devant ses troupes qu'il avait refusé Bercy, par crainte de devoir y augmenter la fiscalité. Les socialistes, se sont d'abord dit ouvert à une collaboration avec François Bayrou, avant de constater de trop grands désaccords. Seul François Rebsamen, ex-socialiste et soutien d'Emmanuel Macron, dès 2017, se déclare "prêt" à rejoindre le gouvernement. Pendant ce temps, le RN continue de maintenir la pression. Marine Le Pen et Jordan Bardella voient d'un très mauvais œil la nomination du président de la région des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, qui a battu deux fois l'extrême droite sur ses terres aux élections régionales. Plusieurs ministres pourraient ainsi garder leurs postes, à l'image de Sébastien Lecornu aux Armées, ou Bruno Retailleau à l'Intérieur. Du côté des Affaires étrangères, l'actuel locataire Jean-Noël Barrot espère rempiler, mais le poste est aussi convoité par Gérald Darmanin. Côté entrant, on parle d'un potentiel retour d'Élisabeth Borne, à l'éducation cette fois. Réponses ce soir.Au même moment, Emmanuel Macron multiplie les déplacements. Ces derniers jours, le président s'est envolé pour Bruxelles, Mayotte, Djibouti et l'Éthiopie avant de revenir dimanche matin à Paris. Dans une série d'articles publiée dans Le Monde, trois journalistes, dont la Grand reporter Ariane chemin, ont enquêté sur l'ambiance de fin de règne autour du chef de l'État. Président le plus impopulaire de la Ve République depuis Jacques Chirac, Emmanuel Macron serait plus isolé que jamais depuis la dissolution de l'Assemblée nationale. "Il n'écoute plus personne", aurait confié son épouse Brigitte Macron à plusieurs interlocuteurs. Présenté comme socialiste lors de ses débuts en politique, puis centriste avec la création de son mouvement "En marche", le président se rapproche de plus en plus de la droite, en témoignent l'influence de Nicolas Sarkozy et la nomination de Michel Barnier en septembre dernier. L'enquête du monde rapporte également des propos très polémiques, voire racistes, tenus par le président en privé, bien que l'Élysée conteste. La journaliste Ariane Chemin nous racontera l'ambiance qui règne autour de l'Élysée ces derniers mois.En Normandie, la fermeture en janvier de l'entreprise Europhane symbolise cette ambiance de renoncement. Emmanuel Macron avait promis de réindustrialiser la France, mais l'entreprise qui fabrique depuis plus d'un demi-siècle des éclairages publics aux Andelys, dans l'Eure, n'a pas pu être sauvée. Certains de ses salariés craignent de ne pas réussir à retrouver du travail en raison de leur âge avancé. C'est un nouveau plan social, après ceux annoncés chez Michelin et ArcelorMittal, deux poids lourds de l'industrie française. Preuve de ce mauvais climat économique, le Conseil national des administrateurs judiciaires et des mandataires judiciaires dénombrait, en octobre, 52 214 procédures collectives ouvertes d'entreprises en difficulté depuis le début de l'année, en nette accélération depuis 2023. De la distribution à l'automobile, en passant par la technologie, tous les secteurs sont touchés par les défaillances d'entreprise. La réélection en novembre dernier de Donald Trump, qui promet la guerre commerciale à de nombreux pays, ne présage rien de bon.À quoi va ressembler le gouvernement de François Bayrou ? Comment Emmanuel Macron s'est-il isolé depuis sa réélection ? Et doit-on craindre une avalanche de plans sociaux en France ?Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "Métamorphoses françaises"- Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France info TVPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans cette édition :Le gouvernement Bayrou peine à se former, avec des points de blocage sur certaines nominations comme celle de Xavier Bertrand ou la place des Républicains.À Mayotte, un hôpital de campagne est installé suite aux dégâts causés par le cyclone Shido, qui a fait de nombreuses victimes.Les autorités renforcent la sécurité autour des lieux de culte juifs et chrétiens face à la menace terroriste, notamment après l'attaque à la voiture-bélier en Allemagne.Donald Trump promet de prendre des mesures contre la "folie transgenre" aux États-Unis.Des soldats nord-coréens ont été tués ou blessés en combattant aux côtés de l'armée russe en Ukraine.Des conseils pour préparer des huîtres de fête, comme les huîtres cuites ou gratinées.La mairie de Boquer dans le Gard maintient l'installation d'une crèche malgré une décision de justice.Le PSG s'est qualifié pour les 16e de finale de la Coupe de France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :Le gouvernement Bayrou peine à se former, avec des points de blocage sur certaines nominations comme celle de Xavier Bertrand ou la place des Républicains.À Mayotte, un hôpital de campagne est installé suite aux dégâts causés par le cyclone Shido, qui a fait de nombreuses victimes.Les autorités renforcent la sécurité autour des lieux de culte juifs et chrétiens face à la menace terroriste, notamment après l'attaque à la voiture-bélier en Allemagne.Donald Trump promet de prendre des mesures contre la "folie transgenre" aux États-Unis.Des soldats nord-coréens ont été tués ou blessés en combattant aux côtés de l'armée russe en Ukraine.Des conseils pour préparer des huîtres de fête, comme les huîtres cuites ou gratinées.La mairie de Boquer dans le Gard maintient l'installation d'une crèche malgré une décision de justice.Le PSG s'est qualifié pour les 16e de finale de la Coupe de France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Au sommaire de l'émission "Pascal Praud et vous": Emmanuel Macron consulte les présidents de l'Assemblée et du Sénat avant de s'exprimer ce soir à 20h suite à la chute du gouvernement Barnier après le vote de la motion de censure.Plusieurs noms circulent pour le poste de Premier ministre, dont François Bayrou, Xavier Bertrand, Bruno Retailleau ou encore Sébastien Lecornu, le ministre des Armées se disant cependant non-candidat.Le Rassemblement National et la France Insoumise ont des positions tranchées sur le futur Premier ministre, le RN promettant de laisser travailler le nouveau gouvernement tandis que LFI menace de le censurer s'il n'est pas issu du nouveau Front populaire.Les finances publiques françaises sont fragilisées par la chute du gouvernement, l'agence de notation Moody's tablant désormais sur un déficit public de 6,3% en 2024.Face à cette crise politique, les fonctionnaires et les enseignants sont massivement mobilisés dans des grèves et manifestations à travers le pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C dans l'air du 14 novembre - Procès du RN : Marine Le Pen inéligible en 2027 ?À la septième semaine du procès des assistants parlementaires européens du Front national, un moment charnière s'est tenu ce mercredi, avec les réquisitions du parquet. Neuf heures d'un réquisitoire débuté par une mise au point. "Nous ne sommes pas ici en raison d'un acharnement, mais au terme d'une information judiciaire conduite par des magistrats indépendants" a affirmé le procureur. Revenant ensuite une affaire "inédite" par son ampleur, sa durée et son caractère, le parquet a requis cinq ans de prison, dont deux ans de prison ferme aménageables, 300 000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité contre Marine Le Pen, la jugeant au "centre" d'un "système organisé" visant à faire du Parlement européen la "vache à lait" du FN, devenu depuis le RN. Si le tribunal suit le parquet, la peine d'inéligibilité, assortie d'une exécution provisoire, serait applicable dès la condamnation, y compris en cas d'appel.Le ministère public a également requis 18 mois de prison dont six mois ferme avec trois ans d'inéligibilité contre le numéro deux du parti Louis Aliot, 10 mois avec sursis et un an d'inéligibilité contre le porte-parole du RN Julien Odoul, 18 mois avec sursis et deux ans d'inéligibilité pour la sœur de Marine Le Pen, Yann Le Pen et deux millions d'euros d'amende contre le parti. La cheffe de file du Rassemblement national a immédiatement dénoncé une sanction politique. "La seule chose qui intéressait le parquet, c'était Marine Le Pen, pour pouvoir demander son exclusion de la vie politique (…) et puis le Rassemblement national, pour pouvoir ruiner le parti", a-t-elle affirmé au sortir des réquisitions. "Ses réquisitions scandaleuses visent à priver des millions de Français de leur vote en 2027. C'est une atteinte à la démocratie", a renchéri le président du RN, Jordan Bardella, sur X. Rare voix hors du champ de l'extrême droite à se prononcer, Gérald Darmanin a quant à lui estimé que "combattre Mme Le Pen se fait dans les urnes, pas ailleurs". "Si le tribunal juge qu'elle doit être condamnée, elle ne peut l'être électoralement, sans l'expression du peuple", a-t-il déclaré sur X.Pour rappel, en France l'inéligibilité des élus en cas de condamnation a été votée dès 1994. Par ailleurs depuis la loi du 9 septembre 2016 "pour la confiance dans la vie politique", dite Sapin II, entrée en vigueur le 11 décembre 2016, il est prévu des peines d'inéligibilité obligatoires pour cinq ans en cas de condamnation pour détournement de fonds publics.Ces prises de position allant à l'encontre de l'Etat de droit ont suscité de nombreuses réactions. "La loi s'applique à tout le monde", a affirmé sur Public Sénat la ministre chargée des relations avec le Parlement, Nathalie Delattre, qui a trouvé "profondément choquant de commenter une décision de justice". Le président Les Républicains (LR) de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a de son côté critiqué le "grand numéro d'hypocrisie" joué par l'extrême droite. "La démocratie, c'est aussi le respect de la justice", a-t-il lancé, affirmant qu'en 2004, au moment du procès d'Alain Juppé dans le dossier des emplois fictifs du RPR, où le potentiel candidat à la présidentielle avait été touché par une peine d'inéligibilité, Marine Le Pen avait déclaré : "Il y en a marre de ces élus qui détournent de l'argent". De son côté l'avocat du Parlement européen Patrick Maisonneuve a rappelé qu'il y a "une égalité de tout le monde devant la loi (…) Le parquet qui avait anticipé ces arguments a indiqué que ce qui s'est passé pendant ces années-là cela n'est pas la responsabilité des juges, c'est la responsabilité des responsables politiques qui ont mis en place ce système de détournement de fond, 4,5 millions d'euros". La défense doit plaider à partir de lundi et la fin du procès est prévue le 27 novembre. Le tribunal ne rendra pas sa décision avant plusieurs mois. Alors que reproche la justice à Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires européens ? Qu'est-ce que "l'exécution provisoire" requise avec la peine d'inéligibilité ? Menacée par une peine d'inéligibilité qui anéantirait ses ambitions élyséennes pour 2027, Marine Le Pen joue son avenir politique ces prochaines semaines. Son parti vient de lancer une pétition en ligne et son dauphin lui apporte son soutien. Mais il n'oublie pas de jouer sa propre partition. Alors que la cheffe de file des députés RN ne quitte pas le tribunal de Paris, Jordan Bardella, en pleine promotion pour la sortie de son livre, multiplie les déplacements et les interventions dans les médias. Au fil de "Ce que je cherche" - une citation de Napoléon Bonaparte où en épigraphe y répond immédiatement, "la grandeur" - , le leader d'extrême droite étale ses inquiétudes identitaires et appelle à l'union des droites. Une façon pour lui de tracer son sillon politique, qui fait craindre en interne un retour du clivage gauche-droite. Alors quelles sont les ambitions et le projet politique de Jordan Bardella ? Enfin à quelques heures du match France-Israël ce jeudi soir au stade de France nous reviendrons sur l'enjeu et le contexte de cette rencontre.Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- NATHALIE MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Lou FRITEL - Journaliste politique – Paris Match - Violette LAZARD - Journaliste d'investigation - Le Nouvel Obs PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 14 novembre 2024.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 14 novembre 2024.
Match France-Israël, budget, grogne sociale, colère des agriculteurs... Xavier Bertrand sort du silence. Le président de la région Hauts-de-France est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 novembre 2024.
Match France-Israël, budget, grogne sociale, colère des agriculteurs... Xavier Bertrand sort du silence. Le président de la région Hauts-de-France est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 novembre 2024.
This episode of The Marketing Consultation features Xavier Bertrand, a healthcare industry leader with a remarkable career spanning multiple roles, companies, and regions, currently serving as Vice President Peripheral Interventions EMEA at Boston Scientific. Xavier joins us to discuss his journey, the driving forces behind his career transitions, and his unique approach to leadership. Xavier reveals how his career was largely shaped by curiosity and the constant desire to learn. He shares valuable lessons on navigating transitions in the healthcare industry, from embracing new opportunities to adapting to different team dynamics. A true advocate for learning and growth, he highlights the importance of humility and active listening, especially when stepping into new roles. We also dive into Xavier's leadership philosophy, including his use of "assimilation workshops" to help align teams and foster collaboration. His approach to leading through trust, authenticity, and purpose has been key in driving successful turnarounds and leading high-performing teams. From a marketing perspective, Xavier reflects on the evolution of healthcare marketing and the shift from product-based strategies to customer-centric solutions. He discusses the critical role of data, digital tools, and agility in today's rapidly changing landscape, while reminding us of the timeless importance of understanding customer needs. This episode is packed with actionable insights for healthcare marketers and leaders alike, covering everything from career development to building strong, adaptable teams. Please do not hesitate to share your feedback with us on our LinkedIn or Instagram pages and to give us a rating on iTunes. This is very important to help us grow The Marketing Consultation community...
Les résultats du second tour des élections législatives ont été une surprise. Alors que beaucoup d'observateurs s'attendaient à une majorité – ne serait-ce que relative – pour le Rassemblement national (RN), c'est la gauche qui est arrivée en tête, à la faveur d'un front républicain puissant qui a barré la route au parti d'extrême droite lors de nombreux seconds tours.Pourtant, quelques mois plus tard, le parti de Marine Le Pen se retrouve au centre de la vie politique. La leader du parti a ainsi rejeté les noms de Xavier Bertrand, Bernard Cazeneuve ou encore Thierry Beaudet, promis à une censure immédiate. Michel Barnier ne doit ainsi sa nomination qu'à la promesse que la formation d'extrême droite ne le censurerait pas – du moins, pas tout de suite.Comment Marine Le Pen est-elle devenue faiseuse de roi en quelques mois ? Quelle stratégie le parti va-t-il adopter pour ne pas être perçu comme l'allié objectif du gouvernement ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Clément Guillou, journaliste au service politique du Monde, explique comment le RN tire avantage de l'instabilité politique actuelle.Un épisode de Jean-Guillaume Santi, réalisé par Florentin Baume. Musique originale : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extrait de l'antenne de LCI le 5 septembre 2024.Episode publié le 13 septembre.---Pour assister à notre épisode en direct au Festival du Monde le 19 septembre 2024, rendez sur festival.lemonde.fr
durée : 00:03:31 - Le Billet de Daniel Morin - par : Daniel Morin - Comme les Américains, les prétendants au poste de Premier ministre, ici en France, devraient préparer des portraits qui claquent. Daniel Morin les a écrit pour eux !
Bienvenue dans cet épisode de "Limité à 80", le podcast qui vous offre une vision amusante et décalée de l'actualité en seulement 80 secondes !
Dans cet épisode savoureux de "Limité à 80", Pascal Atenza nous entraîne dans un tourbillon d'actualité politique où le Nord de la France fait une entrée remarquée. Avec son humour caustique et son regard aiguisé, l'animateur nous guide à travers les derniers rebondissements entourant la nomination du prochain premier ministre.Alors que la France attend toujours son leader, Pascal Atenza nous fait part de ses réflexions sur les différents prétendants, notamment Thierry Baudet, dont le nom a circulé pendant quelques heures avant de s'évaporer. Mais le véritable focus de cet épisode se porte sur Xavier Bertrand, le patron de la région Hauts-de-France. Présenté comme "notre cerise sur le gâteau" malgré ses origines nordistes, Xavier Bertrand semble être la cible des critiques de l'Élysée. Cet épisode est un véritable festival d'humour et de satire politique, où l'animateur nous fait rire tout en nous donnant un éclairage unique sur les coulisses du pouvoir.Notre équipe éditoriale a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:50:49 - franceinfo: Les informés - Autour d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot, les informés débattent de l'actualité du mardi 3 septembre 2024.
Qui ira à Matignon et pourra former un gouvernement qui ne sera pas immédiatement censuré par l'Assemblée nationale ?... La France est toujours en quête d'un ou d'une Première ministre. Emmanuel Macron a reçu des poids lourds de la politique : ce matin Bernard Cazeneuve, ancien ministre socialiste de François Hollande, cet après-midi Xavier Bertrand, président des Hauts-de-France. Le président français s'est aussi entretenu avec les anciens présidents François Hollande et Nicolas Sarkozy. Le nom de Thierry Beaudet, président du Conseil économique, social et environnemental, circule pour un profil moins politique. Les lignes ont-elles bougé à gauche et à droite ? Quelles pourraient être les alternatives ?
Bernard Cazeneuve, François Hollande et Nicolas Sarkozy, avant cet après-midi Xavier Bertrand : la semaine politique commence comme s'était terminée la dernière, avec des consultations et un peu de confusion. On fait le point avec Marie-Bénédicte Allaire et Julien Fautrat, du service politique de RTL. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 septembre 2024.
Emmanuel Macron va recevoir lundi Bernard Cazeneuve et Xavier Bertrand, dont les noms sont cités avec insistance pour Matignon, ainsi que François Hollande et Nicolas Sarkozy dans le cadre de consultations pour dénicher une personnalité qui ne soit pas aussitôt censurée par une majorité de députés.
Dans "Limité à 80", l'humoriste Pascal Atenza vous propose une vision décalée et amusante de l'actualité en 80 secondes chrono.Pascal revient sur deux sujets brûlants : la rentrée scolaire et la recherche du nouveau Premier ministre par le Président Macron.
Bernard Cazeneuve, François Hollande et Nicolas Sarkozy, avant cet après-midi Xavier Bertrand : la semaine politique commence comme s'était terminée la dernière, avec des consultations et un peu de confusion. On fait le point avec Marie-Bénédicte Allaire et Julien Fautrat, du service politique de RTL.