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Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a présenté sa démission après un vote massif des députés pour son départ, un revers cinglant pour lui.Plusieurs noms circulent pour le remplacer, comme Sébastien Lecornu, Xavier Bertrand ou Catherine Vautrin, tandis que la gauche plaide pour un Premier ministre de gauche.Des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes pour célébrer la chute de François Bayrou, certaines ayant tourné à la "manif sauvage".Le ministre de l'Intérieur a annoncé un important dispositif de sécurité pour contenir tout débordement lors de la mobilisation "Bloquons Tout" prévue le 10 septembre.Marine Le Pen, condamnée à 5 ans d'inéligibilité, voit son procès en appel se tenir en pleine campagne pour les élections municipales de 2026.L'intelligence artificielle fait son entrée dans l'enseignement supérieur, avec l'exemple de l'assistant virtuel "Milo" à l'ECE.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou a présenté sa démission après un vote massif des députés pour son départ, un revers cinglant pour lui.Plusieurs noms circulent pour le remplacer, comme Sébastien Lecornu, Xavier Bertrand ou Catherine Vautrin, tandis que la gauche plaide pour un Premier ministre de gauche.Des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes pour célébrer la chute de François Bayrou, certaines ayant tourné à la "manif sauvage".Le ministre de l'Intérieur a annoncé un important dispositif de sécurité pour contenir tout débordement lors de la mobilisation "Bloquons Tout" prévue le 10 septembre.Marine Le Pen, condamnée à 5 ans d'inéligibilité, voit son procès en appel se tenir en pleine campagne pour les élections municipales de 2026.L'intelligence artificielle fait son entrée dans l'enseignement supérieur, avec l'exemple de l'assistant virtuel "Milo" à l'ECE.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Cette question est sur toutes les lèvres en France, s'exclame le New York Times, après que le gouvernement a perdu hier la confiance à l'Assemblée nationale, forçant le Premier ministre, François Bayrou, et son équipe, à démissionner. » Nommer bientôt un nouveau Premier ministre comme il l'a annoncé, mais qui ? Et avec quelle majorité à l'Assemblée ? Convoquer de nouvelles élections ? Emmanuel Macron l'a d'ores et déjà exclu. Une démission du président ? Niet, a aussi répondu l'intéressé. « Quoi qu'il en soit, soupire le New York Times, la route à venir s'annonce semée d'embûches. » Le nécessaire compromis Pour Le Temps à Genève, le président français n'a pas le choix : « dos au mur, Emmanuel Macron va devoir faire ce qu'il exige des autres. » À savoir : « renoncer à des points centraux de son programme pour faire avancer un compromis avec des forces opposées. Ce n'est qu'ensemble que ces partis centraux pourront sortir la France de son ornière. » En effet, renchérit Le Soir à Bruxelles, « s'entendre n'est plus une option. C'est un devoir. S'entendre, non pas forcément pour former un improbable gouvernement d'union nationale, mais s'entendre à tout le moins sur l'indispensable : l'adoption d'un budget pour faire tourner le pays en 2026. La France a décidément un problème avec le compromis. Il ne s'agit pas de couper une poire au milieu. Mais de sortir de ses dogmes pour faire du chemin vers les autres. » Pour Le Figaro à Paris, la balance doit pencher à droite. « Emmanuel Macron doit affronter un mélange de déception, d'impatience, d'exaspération qui prend des proportions préoccupantes. Il ne peut plus se permettre de procrastiner, ni de rejouer la même partie en dérivant un peu plus à gauche. Tout - l'opinion, les marchés, son intérêt - l'oblige à trancher dans le vif. Nomination éclair sur sa droite, s'exclame Le Figaro, pour repousser de quelques mois le coup de tonnerre d'une nouvelle dissolution : c'est la prévision la moins défavorable. » Un « homme de passerelles » En tout cas, affirme La Croix, « quelle que soit la personnalité retenue, il lui faudra trouver une méthode nouvelle. Peut-on imaginer un gouvernement de coalition qui irait d'une partie de la droite à la gauche ? » Pas sûr, répond le journal. « Une perspective d'autant plus incertaine que l'extrême droite et l'extrême gauche attendent des actes beaucoup plus radicaux. » Démission, dissolution avec le risque de l'arrivée de l'extrême-droite au pouvoir ? « Emmanuel Macron doit trouver le bon candidat pour éviter un tel scénario, estime La Croix. Un homme de passerelles comme Xavier Bertrand ou l'ex-socialiste Éric Lombard, à Bercy dans le gouvernement sortant, ou bien un technicien comme Jean Castex. Mais, prévient le journal, si un nouveau Premier ministre sitôt nommé était rejeté, pour la troisième fois en un an, l'impasse politique pourrait déboucher sur une crise de régime. » Justement, rebondit le Washington Post, « il est de plus en plus difficile de savoir si la Ve République pourra perdurer sans réformes majeures ». Du beurre et des armes Le Washington Post qui élargit le débat en affirmant que cette impasse politique en France est aussi une « mauvaise nouvelle pour l'Ukraine ». En effet, pointe le quotidien américain, dans les conditions actuelles, « atteindre pour l'Europe l'autonomie stratégique (en matière de défense), comme le souhaite Emmanuel Macron, ne sera pas facile. (…) La France consacre 2,1 % de son PIB à la défense, et Macron s'est engagé à doubler ce montant pour atteindre 75 milliards de dollars d'ici 2027. Mais le déficit budgétaire national atteint déjà environ 6 % du PIB et la dette publique s'élève à 114 % du PIB. » Bref, conclut le Washington Post, « on ne voit pas bien comment le président français pourrait offrir à ses concitoyens à la fois du beurre et des armes sans creuser encore le déficit ».
Esta segunda-feira, 08 de Setembro, ao final do dia, a moção de confiança, pedida pelo primeiro-ministro francês François Bayrou, foi chumbada na Assembleia Nacional com 364 votos contra e 194 votos a favor. A votação levou à queda do executivo, que, de resto, já era previsível. A França mergulha assim num novo impasse político em vésperas de mobilização social. A grande incógnita é, segundo Eric Monteiro, professor de Ciências Políticas da Universidade de La Rochelle, saber quem terá condições para formar um Governo capaz de garantir estabilidade até 2027. Como é que fica a França? A França fica numa situação previsível porque era quase certo que o Governo ia cair e imprevisível porque há várias possibilidades. O actual ex-primeiro-ministro, primeiro-ministro demissionário Bayrou, não tinha obrigação nenhuma de pedir o voto de confiança, coisa que fez. E, por isso, encontramo-nos, mais ou menos, na mesma situação da dissolução de há um ano, Junho de 2024, onde não era necessário ter havido dissolução. A situação ficou pior. Estamos outra vez no mesmo quadro, ou seja, um parlamento com, teoricamente, três grandes grupos. Mas são grupos ideológicos: extrema-esquerda, extrema-direita e bloco central. Só que o bloco central decompõe-se em muitos blocos, em mini-blocos. Outra questão é que ninguém vai querer assumir a presidência do Governo tão perto das eleições presidenciais. Estamos a 18 meses das eleições presidenciais. Exactamente. No bloco republicano que vai, mais ou menos, do tradicional Partido Socialista ao Les Republicain (Republicanos), passando pelo grupo parlamentar do actual Presidente da República, existem candidatos potenciais. Mas ninguém vai querer assumir a gestão da crise para não queimar as asas e não ter hipóteses de ser eleito em 2027. Ou seja, para que a única figura que fique ‘queimada', a única figura política ‘queimada' seja Emmanuel Macron? Essa figura já está queimada. A questão já nem se põe. As sondagens ontem, 08 de Setembro, deram que a popularidade dele [Emmanuel Macron] atingiu uma taxa de 15%, ou seja, a mais baixa de toda a V República. Portanto, o papel presidencial até está posto em causa. Aliás, os extremos só querem isso. Querem a demissão do Presidente. A França Insubmissa e o Rassemblement Nacional [União Nacional] de Marine Le Pen só esperam uma coisa: que a situação esteja ingovernável a tal ponto que o presidente não tem outra solução que demitir-se. A extrema-direita de Marine Le Pen pede a dissolução da Assembleia Nacional e novas eleições legislativas. Emmanuel Macron não quer novas eleições legislativas, devido à impopularidade dele e do seu partido. Arrisca-se a ter um resultado miserável nessas eleições. Por outro lado, os socialistas pedem uma figura de esquerda e a extrema-esquerda, a França Insubmissa pede a demissão de Emmanuel Macron. Como é que se sai deste bloqueio? Eu acredito que não haverá dissolução porque, efectivamente, todos têm a perder. Se houvesse uma dissolução hoje, o Rassemblement Nacional [União Nacional] seria o primeiro partido francês, sem dúvida, mas com uma percentagem entre 30% e 35% do Parlamento. Seria uma maioria insuficiente para governar e para validar um orçamento. Claro que o Rassemblement Nacional [União Nacional] tem toda a vontade que haja eleições presidenciais antecipadas, porque a campanha seria só de 35 dias e em 35 dias é impossível, a não ser eles que estão prontos, apresentar um programa de governo e um programa de sociedade para os franceses. Portanto, o bloco republicano, que está contra os extremos, tem que encontrar uma solução para governar. Penso que o consenso para governar será possível. O que falta é o nome da pessoa para dirigir este Governo. Neste momento há nomes em cima da mesa, desde Xavier Bertrand - que o partido de Marine Le Pen já disse que não aceitaria; a presidente da Assembleia Nacional Yaël Braun-Pivet; a ministra do Trabalho e da Saúde Catherine Vautrin; o ministro da Defesa Sébastian Lecornu, e também o próprio ministro do Interior Bruno Retailleau. É preciso perceber qual destes nomes é que reúne o consenso necessário para aprovar o Orçamento de Estado para o próximo ano. Se não houver consenso, há uma lei especial que será votada, não ao shutdown' como nos Estados Unidos. O que acontece é que o orçamento do ano precedente é reconduzido nas mesmas modalidades para o ano seguinte. Isso permitiria a continuação do funcionamento da função pública, mas não é uma solução. Agora, todos os nomes que disse, Retailleau têm posições muito claras sobre a imigração. Poderia ter a adesão da extrema-direita, mas nunca teria a adesão da esquerda ou da extrema-esquerda. E ele próprio tem pretensões presidenciais. Portanto, duvido que qualquer dos nomes que disse, a não ser Sébastian Lecornu, que é o actual ministro da Defesa, que possa, porque a priori não têm pretensões presidenciais. Mas é complicado, dada a situação geopolítica mundial e ele tem sido um bom ministro da Defesa. Em todo o caso, em Dezembro, o próprio presidente Emmanuel Macron já tinha querido nomear Sébastian Lecornu, é um próximo de Macron. Mas foi nesse momento que François Bayrou se meteu no caminho e se impôs a Macron. Porque há muito tempo que François Bayrou queria ser primeiro-ministro. E não nos esqueçamos que ele vem do bloco mais ao centro, historicamente da direita, e foi um dos principais apoiantes de Macron em 2017. Portanto, não era do partido dele, mas trouxe-lhe o bloco central de centro direita. O que é dramático é a saída do Bayrou da maneira como saiu. Ele podia perfeitamente ter negociado durante o verão um consenso para validar um orçamento e não o fez. Disse: temos que fazer 44 mil milhões de poupança para o orçamento do ano que vem. A União Europeia só perdia 25 mil milhões por ano. E propôs medidas extremamente impopulares no momento em que a população francesa tem um descrédito total em relação aos políticos, qualquer que seja a origem partidária deles. A única expectativa para que haja estabilidade política em França passa por uma verdadeira campanha eleitoral, de vários meses, com um projecto de sociedade para 2027 e que atrás disso haja uma maioria parlamentar. Até aí, a única solução é garantir à União Europeia que a França fará esforços para reembolsar, pelo menos, 25 mil milhões de euros por ano até às presidenciais e que haja um consenso de "não moção" de censura. O que nos falta é o nome. Pode, por exemplo, Emmanuel Macron fazer aquilo que o ex-primeiro-ministro Gabriel Attal pediu: a nomeação de um negociador para testar as coligações possíveis e pediu também que Emmanuel Macron deveria estar mais aberto à partilha de poder. É exequível? Acho pouco credível. Quem negocia é quem vai formar o Governo. É necessário, que, desde ontem à noite, haja alguém que esteja na sombra já a negociar um compromisso de Governo entre a esquerda progressista, o centro ex-macronista - embora tenham sido eleitos com a etiqueta Macron - e os Republicanos. Duvido muito que uma pessoa faça essa negociação para depois não ser primeiro-ministro. E pode esperar-se um primeiro-ministro ainda hoje para que amanhã não haja um vazio de poder. O movimento “Bloquons tout” [Bloquemos tudo] apela a uma mobilização geral nas ruas esta quarta-feira, há greves marcadas… Acho que nomear hoje seria aumentar a crise. Mas, Emmanuel Macron já teve 15 dias antes do chumbo da moção de confiança do primeiro-ministro, não foi apanhado de surpresa. Já teve algum tempo para pensar e para analisar os diferentes cenários. Mas Macron habituou-nos, desde que é Presidente, quer no primeiro mandato, quer no segundo, que cada vez que nos anuncia que vai rapidamente nomear um primeiro-ministro, demora semanas. Aliás, é o Presidente que demorou mais tempo a nomear governos de toda a V República. Na véspera de um dia de bloqueio nacional, seria insensato nomear alguém, porque, em regra geral, o primeiro-ministro é nomeado para poder formar um Governo e só 15 dias depois é que o Governo está completo. Imagino muito mal o Presidente da República nomear um primeiro-ministro na véspera de movimentos sociais importantíssimos, onde o ministro da Administração Interna tem que estar no gabinete dele a dar ordens. Suponho que não haverá nomeação hoje nem amanhã, depois do movimento social. Depende de como vai o dia amanhã? Só depois é que haverá a nomeação de um primeiro-ministro. Posso me enganar, mas todos os que têm aspirações políticas, ambição presidencial, vejo-os muito mal aceitar hoje a liderança de um Governo que poderia durar só três meses. O que é que se pode esperar do dia de amanhã? Uma mobilização que nos faz lembrar os coletes amarelos? Exactamente. À partida a ideia não era um movimento social que iria bloquear o país. A ideia era bloquear a economia, ou seja, ninguém comprava nada e mostrar que durante um dia podemos não fazer entrar IVA nos cofres do Estado. Isso era mais uma ideia de centro e da direita. Na prática, a extrema-esquerda incita à desobediência republicana e ao levantamento popular. Portanto, amanhã, provavelmente, todas as rotundas vão estar bloqueadas. Eu próprio não poderei dar aulas na minha faculdade. Suponho que os meus estudantes não conseguirão chegar à universidade. É diferente dos coletes amarelos, há um cansaço da população e acho que a própria população não aceitaria meses e meses de bloqueio como houve. Outra coisa, o movimento de amanhã é num dia de semana, ou seja, todas as pessoas que vão manifestar vão meter um dia de greve, vão perder um dia de salário. Portanto, fazer durar uma crise política onde os salários mais baixos iriam perder cinco, dez, 15 dias de salário é impensável, suponho. Espero que não haja destruições de bens públicos, porque é sempre terrível. Mas vai haver, provavelmente. Depois é essa imagem que fica, não a imagem das reivindicações, mas a imagem da destruição. São muito localizadas as destruições. Visto dos Estados Unidos, por exemplo, dá a impressão que a França está em guerra civil. É claro que vai haver confrontos com a polícia, vai haver cenas violentas, mas a França não está em estado de guerra e os franceses não querem isso. Veremos amanhã, mas provavelmente hoje não haverá novo primeiro-ministro nem amanhã, porque amanhã vai ser dia de crise e precisamos de um ministro da Administração Interna para gerir a situação.
durée : 00:25:51 - 8h30 franceinfo - Xavier Bertrand, président Les Républicains de la région Hauts-de-France, ne demandera pas aux députés de sa majorité d'accorder leur confiance. Les élus LR hésitent sur la stratégie à adopter pour le 8 septembre, jour du vote à l'Assemblée nationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la tradition : un membre du gouvernement coupe le cordon de la foire de Châlons-en-Champagne. Et cette année, c'est François Bayrou qui a coupé le ruban. Ce rendez-vous pris de longue date tombe à pic pour un Premier ministre en quête de soutien. Il est loin d'être le seul à parcourir les allées de la foire : sont attendus Jordan Bardella, Manon Aubry, Gabriel Attal, Xavier Bertrand, Eric Ciotti ou encore Marine Tondelier.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Festival d'Avignon présente les rencontres du café des idées. Le 17 juillet 2025, la Région Hauts-de-France était partenaire de la rencontre intitulée « La culture comme fondement de nos démocraties », avec Xavier Bertrand, Sophie Binet, Maria Carmela Mini et Marie-José Sirach, et avec la participation de France Festivals. Un podcast réalisé en partenariat avec ARTCENA. Crédits : Production : Festival d'Avignon & ARTCENA
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 7 juin 2025 - Budget : Une "année blanche" pour trouver 40 milliards ?« Encombrement » et « excès des fraudes ». Telles sont les raisons invoquées cette semaine au Sénat par le ministre de l'Économie, Éric Lombard, pour suspendre temporairement MaPrimeRénov'. L'enveloppe budgétaire aurait été consommée, le gouvernement veut donc remettre à plat ce levier pour encourager la rénovation énergétique des logements.De quoi mettre vent debout l'opposition de gauche. « Votre gouvernement accélère son désengagement brutal du financement de la transition écologique », a dénoncé le sénateur écologiste Ronan Dantec. « Une fois réglé, le processus pourra continuer » a voulu rassurer Lombard. En attendant, les particuliers doivent toujours patienter longtemps avant de recevoir l'aide promise. C dans l'air a rencontré un habitant de Clamart (Hauts-de-Seine) qui attend désespérément 40.000 euros suite à la rénovation de son logement.Cette suspension arrive au moment où le gouvernement cherche 40 milliards d'euros pour renflouer les caisses de l'État. C'est l'équation sur laquelle planche Bercy pour le budget 2026. Plusieurs pistes se dessinent comme celle de la TVA sociale. Mais cette mesure a ses détracteurs : les syndicats, la gauche, et le RN, qui pourrait censurer François Bayrou sur ce motif. Celui-ci évoque aussi la possibilité d'une année blanche pour geler tous les budgets, comme les allocations, le portefeuille des collectivités ou l'indexation des retraites - sujet hautement sensible. Le Premier ministre, qui a annoncé qu'il allait demander "un effort à tous les Français", a fixé le 14 juillet comme date limite pour présenter son plan d'économies. L'impossible équation budgétaire est aussi l'occasion pour plusieurs ténors de se positionner pour 2027. Dans son dernier livre, Édouard Philippe prône la rigueur budgétaire mais Xavier Bertrand l'accuse d'être en partie responsable du bilan macroniste. La popularité de Philippe est aussi rattrapée par celle de Bruno Retailleau. Beaucoup verrait bien le très droitier ministre de l'Intérieur à l'Élysée. Alors, quels sont les problèmes de MaPrimeRénov' ? François Bayrou fera-t-il passer son budget 2026 ? Qui est le mieux placé à droite pour la présidentielle ?LES EXPERTS :Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique à France TélévisionsFrançois ECALLE - Ancien rapporteur général à la Cour des Comptes, président de FipecoThomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du VacataireIsabelle RAYMOND - Cheffe du service économique à Franceinfo
D'Elisabeth Borne à Manuel Valls en passant par Xavier Bertrand, les ambitions présidentielles se multiplient dans la classe politiques. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:25 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France, était l'invité de France Inter ce jeudi. - invités : Xavier BERTRAND - Xavier Bertrand : Homme politique français
durée : 03:00:17 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Rémy Heitz, Xavier Bertrand et Tayc
durée : 00:21:25 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France, était l'invité de France Inter ce jeudi. - invités : Xavier BERTRAND - Xavier Bertrand : Homme politique français Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chez Les Républicains, un frisson de plaisir accompagne le résultat de l'élection partielle en Saône-et-Loire. Le candidat de la droite proche de Xavier Bertrand a remporté l'élection avec 58,6 % des voix face à 41,4 % pour le candidat du Rassemblement National. C'est la troisième victoire partielle pour LR depuis février, un frémissement qui, selon Ruth Elkrief, peut être intéressant. Elle souligne cependant qu'en face du RN, la non-mobilisation de ses électeurs reste un facteur clé à prendre en compte. Les chiffres d'Eurostat, rapportés par François Lenglet, révèlent une évolution notable : le PIB par tête italien a rattrapé celui de la France, alors qu'il était inférieur de 10 % il y a cinq ans. Concernant l'Allemagne, l'écart se réduit également, passant de 24 % à 14 % de retard. Cette mesure, fondée sur la parité de pouvoir d'achat, intègre revenus et prix des biens et services, offrant une image précise du niveau de vie. Jafar Panahi, palme d'or à Cannes, a été accueilli en héros à Téhéran par une poignée de courageux. Sa longue lutte contre la répression iranienne, les interdictions et les emprisonnements témoigne d'un courage hors norme. Selon Abnousse Shalmani, présenter clandestinement un film interdit à Cannes et remporter la récompense suprême est un acte de bravoure exceptionnelle face à une monarchie répressive. Ce combat pour la liberté résonne aussi en Iran avec la récente grève des camionneurs, un autre signe de défiance et de résistance sociale contre le pouvoir en place. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Antoine Foucher est un homme de l'ombre devenu penseur engagé. Ancien directeur de cabinet au ministère du Travail sous Macron, conseiller de Xavier Bertrand et ex-numéro deux du MEDEF, il a longtemps évolué dans les cercles du pouvoir. Pourtant, c'est avec un livre coup de poing — "En finir avec le travail qui ne paie plus" — qu'il vient aujourd'hui dénoncer un dysfonctionnement profond de notre société.Je dois vous dire que j'ai été très surpris, et aussi très curieux, en découvrant son livre. Un “mec de droite” qui remet en cause l'efficacité du travail comme moteur de progrès social ? J'ai eu envie d'en savoir plus. Et je n'ai pas été déçu.Dans cet épisode, nous parlons de sujets brûlants et pourtant trop rarement abordés avec autant de clarté : pourquoi la majorité des gens qui bossent ne parviennent plus à améliorer leur niveau de vie ? Pourquoi, malgré l'explosion de la productivité et l'essor du numérique, le sentiment de déclassement s'accentue ? Pourquoi a-t-on l'impression que nos efforts ne servent à rien, que le travail n'a plus de sens ni de récompense ?J'ai voulu comprendre avec Antoine ce qui coince. Ensemble, nous avons abordé les vraies causes : une fiscalité déséquilibrée, une désindustrialisation massive, un modèle de répartition devenu obsolète. Il m'a aussi expliqué pourquoi le capital est aujourd'hui bien moins taxé que le travail, et en quoi cela façonne une société de rentiers plus que de bâtisseurs. Nous avons parlé retraites, héritage, méritocratie, et surtout, de la nécessité de refonder notre pacte social pour redonner du sens au travail.Ce qui m'a marqué, c'est à quel point Antoine est précis dans ses diagnostics, étayé dans ses chiffres, mais aussi profondément humain dans ses propositions. Il ne cherche pas à cliver, mais à réconcilier. Ce n'est pas un discours partisan, c'est un cri d'alerte lucide sur l'avenir que nous préparons pour les générations futures.Un épisode dense, engagé, mais aussi porteur d'espoir — parce qu'il ouvre des pistes pour sortir de l'impasse. Si comme moi, vous vous interrogez sur l'utilité de vos efforts au quotidien, sur la justice de notre système ou sur ce que signifie vraiment “réussir” aujourd'hui, alors cet épisode est fait pour vous.5 Citations marquantes« Pour la première fois depuis 1945, travailler ne permet plus d'améliorer son niveau de vie. »« Le problème, ce n'est pas que l'argent va aux riches ou aux pauvres. Il va aux retraites. »« On est en train de redevenir une société d'héritiers. »« Le capital est taxé à 30 %, le travail à 46 %. »« Plus on a d'argent, moins c'est difficile d'en gagner. »10 Questions posées dans l'interviewPourquoi dis-tu que le travail ne paye plus ?Est-ce que l'immobilier est pris en compte dans tes calculs ?Où est passé l'argent généré par la productivité ?Est-ce qu'on aurait dû investir dans l'industrie plutôt que dans l'IA ?Pourquoi les services peu qualifiés stagnent-ils en termes de salaires ?Est-ce que l'argent est vraiment parti chez les riches ou les pauvres ?Comment expliques-tu le creusement entre brut et net ?Quel rôle jouent les retraites dans cette dynamique ?Peut-on encore s'en sortir sans héritage ?Est-ce juste que le capital soit moins taxé que le travail ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Antoine Foucher est un homme de l'ombre devenu penseur engagé. Ancien directeur de cabinet au ministère du Travail sous Macron, conseiller de Xavier Bertrand et ex-numéro deux du MEDEF, il a longtemps évolué dans les cercles du pouvoir. Pourtant, c'est avec un livre coup de poing — "En finir avec le travail qui ne paie plus" — qu'il vient aujourd'hui dénoncer un dysfonctionnement profond de notre société.Je dois vous dire que j'ai été très surpris, et aussi très curieux, en découvrant son livre. Un “mec de droite” qui remet en cause l'efficacité du travail comme moteur de progrès social ? J'ai eu envie d'en savoir plus. Et je n'ai pas été déçu.Dans cet épisode, nous parlons de sujets brûlants et pourtant trop rarement abordés avec autant de clarté : pourquoi la majorité des gens qui bossent ne parviennent plus à améliorer leur niveau de vie ? Pourquoi, malgré l'explosion de la productivité et l'essor du numérique, le sentiment de déclassement s'accentue ? Pourquoi a-t-on l'impression que nos efforts ne servent à rien, que le travail n'a plus de sens ni de récompense ?J'ai voulu comprendre avec Antoine ce qui coince. Ensemble, nous avons abordé les vraies causes : une fiscalité déséquilibrée, une désindustrialisation massive, un modèle de répartition devenu obsolète. Il m'a aussi expliqué pourquoi le capital est aujourd'hui bien moins taxé que le travail, et en quoi cela façonne une société de rentiers plus que de bâtisseurs. Nous avons parlé retraites, héritage, méritocratie, et surtout, de la nécessité de refonder notre pacte social pour redonner du sens au travail.Ce qui m'a marqué, c'est à quel point Antoine est précis dans ses diagnostics, étayé dans ses chiffres, mais aussi profondément humain dans ses propositions. Il ne cherche pas à cliver, mais à réconcilier. Ce n'est pas un discours partisan, c'est un cri d'alerte lucide sur l'avenir que nous préparons pour les générations futures.Un épisode dense, engagé, mais aussi porteur d'espoir — parce qu'il ouvre des pistes pour sortir de l'impasse. Si comme moi, vous vous interrogez sur l'utilité de vos efforts au quotidien, sur la justice de notre système ou sur ce que signifie vraiment “réussir” aujourd'hui, alors cet épisode est fait pour vous.5 Citations marquantes« Pour la première fois depuis 1945, travailler ne permet plus d'améliorer son niveau de vie. »« Le problème, ce n'est pas que l'argent va aux riches ou aux pauvres. Il va aux retraites. »« On est en train de redevenir une société d'héritiers. »« Le capital est taxé à 30 %, le travail à 46 %. »« Plus on a d'argent, moins c'est difficile d'en gagner. »10 Questions posées dans l'interviewPourquoi dis-tu que le travail ne paye plus ?Est-ce que l'immobilier est pris en compte dans tes calculs ?Où est passé l'argent généré par la productivité ?Est-ce qu'on aurait dû investir dans l'industrie plutôt que dans l'IA ?Pourquoi les services peu qualifiés stagnent-ils en termes de salaires ?Est-ce que l'argent est vraiment parti chez les riches ou les pauvres ?Comment expliques-tu le creusement entre brut et net ?Quel rôle jouent les retraites dans cette dynamique ?Peut-on encore s'en sortir sans héritage ?Est-ce juste que le capital soit moins taxé que le travail ?Timestamps clés pour YouTube00:00 — Introduction de Grégory et présentation d'Antoine Fouché01:30 — Pourquoi le travail ne paye plus ?05:00 — Immobilier et stagnation du pouvoir d'achat10:00 — Le paradoxe du niveau de vie en France15:00 — Désindustrialisation et effets sur les salaires20:00 — Le vrai coût des retraites dans les finances publiques30:00 — Société d'héritiers : quel avenir pour les jeunes ?40:00 — Fiscalité : capital vs travail45:00 — Quelles solutions fiscales concrètes ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #186 Quel nouveau modèle pour la France avec David Djaiz (https://audmns.com/GSOSydk) #281 Comprendre l'effondrement des classes moyennes et populaires avec Esther Duflo (https://audmns.com/WthucwC) #164 Peut-on allier lutte contre la pauvreté et écologie? avec Elise Huillery (https://audmns.com/jLFRyqX)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le témoignage choc d'un ancien otage du Hamas, 855 SDF décédés en 2024, la loi sur l'euthanasie et l'interview embarrassée de Xavier Bertrand. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le témoignage choc d'un ancien otage du Hamas, 855 SDF décédés en 2024, la loi sur l'euthanasie et l'interview embarrassée de Xavier Bertrand. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le lycée Averroès de Lille (Nord) est l'un des derniers établissements privés musulmans sous contrat avec l'État. Un contrat qu'il a failli perdre pour de bon : la préfecture du Nord l'avait résilié en 2023, invoquant de graves manquements aux valeurs de la République. Une raison contestée par les familles et par le tribunal administratif. En avril dernier, le tribunal a demandé le rétablissement immédiat du contrat. Un soulagement pour les élèves et leurs parents. Pour eux, être scolarisés dans cet établissement est essentiel. C'est la garantie de bons résultats, d'une qualité d'enseignement et surtout la possibilité de vivre sa religion. Thomas, 43 ans, nous accueille dans son appartement. Musulman converti, il a six filles. Trois d'entre elles sont scolarisées dans l'établissement musulman Averroès. « Ce que je vois, c'est le côté familial, chaleureux, en tout cas, c'est que me disent mes filles. » Hajar, 12 ans, est rentrée du collège. Elle acquiesce : « L'enseignement est, je trouve, sérieux, et les profs sont à fond pour aider les élèves. Ils nous aident jusqu'à ce que l'on réussisse. Tant qu'on ne réussit pas, ils ne nous lâchent pas. »Ce qui a aussi convaincu Thomas, c'est la possibilité pour ses filles de vivre leur religion. Des salles de prières sont à disposition des élèves et le voile est autorisé : « Ma fille, si elle le désire, si elle veut porter le voile, elle peut le faire là-bas, ça compte énormément. C'est important qu'elle se sente épanouie, si jamais elle veut suivre la religion de la famille, qu'elle puisse le faire à la maison, mais aussi à l'école. » Lailla est maman de trois enfants. Cette mère de famille a toujours été attentive au contenu de l'enseignement, notamment à ce que l'établissement appelle « cours d'éthique », des cours consacrés à la question des religions. Nous la rencontrons dans un parc avec sa fille désormais à la fac : « Régulièrement, je leur demandais de quoi elles avaient parlé. C'était très rassurant, car ce qui était abordé tournait beaucoup autour des valeurs, du respect de l'autre, etc. »L'autre point important pour Lailla et pour sa fille : que les programmes soient les mêmes que dans n'importe quel autre établissement. « Est-ce que l'on enseigne bien les cours de musique, de SVT, etc. Oui », affirme la maman. « Je pense que s'il y avait abstraction de quelque chose, cela se verrait sur les résultats scolaires ou sur les diplômes sur les examens nationaux, comme le brevet ou le bac », ajoute sa fille.« On voyait cela comme une injustice »Le lycée a enregistré 96% de réussite au bac l'an dernier. La fille de Lailla l'a eu, avec mention, et elle vient de terminer sa première année de médecine. Mais la préfecture et les autorités, comme le président de la région Xavier Bertrand, ont essayé pendant deux ans de supprimer le contrat entre le lycée et l'État. « Nous, on voyait cela comme une injustice, on ne comprenait pas. Nous, on est à Averroès du matin au soir et depuis des années et on sait ce qui s'y passe et il n'y a pas de problèmes », affirme-t-elle.« Ce lycée avec un tel taux de réussite dérange. C'est un lycée musulman, dans la banlieue de Lille, avec un taux d'élèves boursiers de 60%. C'est de l'acharnement. Est-ce que ce sont les musulmans qui sont ciblés, est-ce que l'on ne veut pas les voir réussir ? », se demande la mère de famille. L'établissement a retrouvé son contrat, mais l'affaire a laissé des traces. Les frais de scolarité ont augmenté l'année dernière, forçant certains élèves à changer d'école. Comme Hajar, la fille de Thomas, qui quittera à contrecœur Averroès à la rentrée pour un collège public.À lire aussiL'enseignement de l'arabe en France: un éternel débat?
durée : 00:25:39 - 8h30 franceinfo - Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 7 mai 2025.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 6 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.TABLEAU DES FORCES POLITIQUES APRÈS LA DÉCISION DU TRIBUNAL DE PARISLundi, Marine Le Pen a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national (devenu Rassemblement national, RN). Elle a été condamnée à quatre ans d'emprisonnement, dont deux ferme avec bracelet électronique, et à une amende de 100.000 euros. Mais c'est la peine d'inéligibilité à cinq ans avec exécution provisoire qui fait débat. La députée du Pas-de-Calais a interjeté appel, mardi, de la décision du tribunal correctionnel de Paris. Quelques heures après, la cour d'appel de Paris a annoncé vouloir rendre sa décision à l'été 2026.Alors que la leader du RN s'insurge contre « la tyrannie des juges », le Président défend « l'indépendance de la justice ». En revanche, tout en considérant qu'il n'a « pas le droit », en tant que membre du gouvernement, de « critiquer une décision de justice », François Bayrou a jugé « en tant que citoyen », que la décision du tribunal correctionnel de Paris soulève « des interrogations ». Lui-même est sous la menace d'une condamnation dans l'affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen, pour des faits comparables à ceux reprochés à Marine Le Pen. Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon a jugé que « la décision de destituer un élu devrait revenir au peuple ». LFI pourrait bientôt devoir répondre devant la justice à des accusations semblables. Le président du Sénat, Gérard Larcher a estimé que « si la loi va trop loin, le législateur doit pouvoir la corriger », tandis que le président du groupe de l'Union des droites pour la République à l'Assemblée nationale, Éric Ciotti, allié de Marine Le Pen, a décidé de la « supprimer ».Écologistes, socialistes, communistes et anciens « insoumis » ont applaudi la décision des juges et fustigé au passage les propos de Jean-Luc Mélenchon. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, et le chef de file des députés macronistes, Gabriel Attal, se sont démarqués. « Je suis troublé par le trouble du Premier ministre », a dit Olivier Faure. « Je ne suis jamais troublé par la démocratie », a enchaîné Gabriel Attal. Le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand s'est inquiété des « manifestations de soutien » de « l'internationale de l'extrême droite » à l'endroit de Marine Le Pen.Ce week-end, Le RN a organisé une mobilisation dans les rues afin de mettre la pression contre l'institution judiciaire – ou comme il le présente, « sauver la démocratie ». Ce dimanche, Gabriel Attal entend rassembler le bloc central dans un meeting au cours duquel, Edouard Philippe, qui n'est pas encore sorti de sa réserve, devrait s'exprimer. D'après un sondage Elabe pour BFMTV 57 % des Français estiment que la décision de justice est « normale au vu des faits reprochés ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il est "impensable" de faire un traitement de faveur avec "une loi d'exception pour sauver Madame Le Pen", a fustigé mercredi Xavier Bertrand sur RTL, en référence à la proposition de loi pour supprimer l'exécution provisoire que Éric Ciotti veut déposer. Écoutez le point de vue de Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marine Le Pen est-elle la victime d'une justice politique ? Faut-il revoir la Loi Sapin 2 comme le suggère le Premier ministre François Bayrou ? Ecoutez l'interview de Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marine Le Pen est-elle la victime d'une justice politique ? Faut-il revoir la Loi Sapin 2 comme le suggère le Premier ministre François Bayrou ? Ecoutez l'interview de Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il est "impensable" de faire un traitement de faveur avec "une loi d'exception pour sauver Madame Le Pen", a fustigé mercredi Xavier Bertrand sur RTL, en référence à la proposition de loi pour supprimer l'exécution provisoire qu'Eric Ciotti veut déposer. Écoutez le point de vue de Jérôme Guedj, député socialiste de l'Essonne. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, c'est au tour de Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France, de faire face aux GG. - L'émission de libre expression sans filtre et sans masque social… Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi.
Cet épisode hors-série a été réalisé dans la cadre d'un partenariat avec Petite Emilie. Rassemblant des parents et des soignant·es, cette association sans appartenance politique ou religieuse œuvre pour un meilleur accompagnement des personnes qui sont confrontées à une IMG et à un deuil périnatal. Plus d'informations : https://www.petiteemilie.org/.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
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C dans l'air du 23 décembre - Bayrou : déjà affaibli ?Promesse tenue. Le nouveau Premier ministre François Bayrou annoncera ce soir, à 18h30, son gouvernement. Hier, l'entourage du premier ministre communiquait sur les "derniers réglages" en cours. En coulisses, les points de blocage se sont multipliés. Choisi par Emmanuel Macron pour élargir sa majorité, sans LFI ni le RN, François Bayrou peine à convaincre la droite et la gauche. Chez les Républicains, Laurent Wauquiez, a annoncé devant ses troupes qu'il avait refusé Bercy, par crainte de devoir y augmenter la fiscalité. Les socialistes, se sont d'abord dit ouvert à une collaboration avec François Bayrou, avant de constater de trop grands désaccords. Seul François Rebsamen, ex-socialiste et soutien d'Emmanuel Macron, dès 2017, se déclare "prêt" à rejoindre le gouvernement. Pendant ce temps, le RN continue de maintenir la pression. Marine Le Pen et Jordan Bardella voient d'un très mauvais œil la nomination du président de la région des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, qui a battu deux fois l'extrême droite sur ses terres aux élections régionales. Plusieurs ministres pourraient ainsi garder leurs postes, à l'image de Sébastien Lecornu aux Armées, ou Bruno Retailleau à l'Intérieur. Du côté des Affaires étrangères, l'actuel locataire Jean-Noël Barrot espère rempiler, mais le poste est aussi convoité par Gérald Darmanin. Côté entrant, on parle d'un potentiel retour d'Élisabeth Borne, à l'éducation cette fois. Réponses ce soir.Au même moment, Emmanuel Macron multiplie les déplacements. Ces derniers jours, le président s'est envolé pour Bruxelles, Mayotte, Djibouti et l'Éthiopie avant de revenir dimanche matin à Paris. Dans une série d'articles publiée dans Le Monde, trois journalistes, dont la Grand reporter Ariane chemin, ont enquêté sur l'ambiance de fin de règne autour du chef de l'État. Président le plus impopulaire de la Ve République depuis Jacques Chirac, Emmanuel Macron serait plus isolé que jamais depuis la dissolution de l'Assemblée nationale. "Il n'écoute plus personne", aurait confié son épouse Brigitte Macron à plusieurs interlocuteurs. Présenté comme socialiste lors de ses débuts en politique, puis centriste avec la création de son mouvement "En marche", le président se rapproche de plus en plus de la droite, en témoignent l'influence de Nicolas Sarkozy et la nomination de Michel Barnier en septembre dernier. L'enquête du monde rapporte également des propos très polémiques, voire racistes, tenus par le président en privé, bien que l'Élysée conteste. La journaliste Ariane Chemin nous racontera l'ambiance qui règne autour de l'Élysée ces derniers mois.En Normandie, la fermeture en janvier de l'entreprise Europhane symbolise cette ambiance de renoncement. Emmanuel Macron avait promis de réindustrialiser la France, mais l'entreprise qui fabrique depuis plus d'un demi-siècle des éclairages publics aux Andelys, dans l'Eure, n'a pas pu être sauvée. Certains de ses salariés craignent de ne pas réussir à retrouver du travail en raison de leur âge avancé. C'est un nouveau plan social, après ceux annoncés chez Michelin et ArcelorMittal, deux poids lourds de l'industrie française. Preuve de ce mauvais climat économique, le Conseil national des administrateurs judiciaires et des mandataires judiciaires dénombrait, en octobre, 52 214 procédures collectives ouvertes d'entreprises en difficulté depuis le début de l'année, en nette accélération depuis 2023. De la distribution à l'automobile, en passant par la technologie, tous les secteurs sont touchés par les défaillances d'entreprise. La réélection en novembre dernier de Donald Trump, qui promet la guerre commerciale à de nombreux pays, ne présage rien de bon.À quoi va ressembler le gouvernement de François Bayrou ? Comment Emmanuel Macron s'est-il isolé depuis sa réélection ? Et doit-on craindre une avalanche de plans sociaux en France ?Les experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Jérôme FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "Métamorphoses françaises"- Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France info TVPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Dans cette édition :Le gouvernement Bayrou peine à se former, avec des points de blocage sur certaines nominations comme celle de Xavier Bertrand ou la place des Républicains.À Mayotte, un hôpital de campagne est installé suite aux dégâts causés par le cyclone Shido, qui a fait de nombreuses victimes.Les autorités renforcent la sécurité autour des lieux de culte juifs et chrétiens face à la menace terroriste, notamment après l'attaque à la voiture-bélier en Allemagne.Donald Trump promet de prendre des mesures contre la "folie transgenre" aux États-Unis.Des soldats nord-coréens ont été tués ou blessés en combattant aux côtés de l'armée russe en Ukraine.Des conseils pour préparer des huîtres de fête, comme les huîtres cuites ou gratinées.La mairie de Boquer dans le Gard maintient l'installation d'une crèche malgré une décision de justice.Le PSG s'est qualifié pour les 16e de finale de la Coupe de France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
C dans l'air du 14 novembre - Procès du RN : Marine Le Pen inéligible en 2027 ?À la septième semaine du procès des assistants parlementaires européens du Front national, un moment charnière s'est tenu ce mercredi, avec les réquisitions du parquet. Neuf heures d'un réquisitoire débuté par une mise au point. "Nous ne sommes pas ici en raison d'un acharnement, mais au terme d'une information judiciaire conduite par des magistrats indépendants" a affirmé le procureur. Revenant ensuite une affaire "inédite" par son ampleur, sa durée et son caractère, le parquet a requis cinq ans de prison, dont deux ans de prison ferme aménageables, 300 000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité contre Marine Le Pen, la jugeant au "centre" d'un "système organisé" visant à faire du Parlement européen la "vache à lait" du FN, devenu depuis le RN. Si le tribunal suit le parquet, la peine d'inéligibilité, assortie d'une exécution provisoire, serait applicable dès la condamnation, y compris en cas d'appel.Le ministère public a également requis 18 mois de prison dont six mois ferme avec trois ans d'inéligibilité contre le numéro deux du parti Louis Aliot, 10 mois avec sursis et un an d'inéligibilité contre le porte-parole du RN Julien Odoul, 18 mois avec sursis et deux ans d'inéligibilité pour la sœur de Marine Le Pen, Yann Le Pen et deux millions d'euros d'amende contre le parti. La cheffe de file du Rassemblement national a immédiatement dénoncé une sanction politique. "La seule chose qui intéressait le parquet, c'était Marine Le Pen, pour pouvoir demander son exclusion de la vie politique (…) et puis le Rassemblement national, pour pouvoir ruiner le parti", a-t-elle affirmé au sortir des réquisitions. "Ses réquisitions scandaleuses visent à priver des millions de Français de leur vote en 2027. C'est une atteinte à la démocratie", a renchéri le président du RN, Jordan Bardella, sur X. Rare voix hors du champ de l'extrême droite à se prononcer, Gérald Darmanin a quant à lui estimé que "combattre Mme Le Pen se fait dans les urnes, pas ailleurs". "Si le tribunal juge qu'elle doit être condamnée, elle ne peut l'être électoralement, sans l'expression du peuple", a-t-il déclaré sur X.Pour rappel, en France l'inéligibilité des élus en cas de condamnation a été votée dès 1994. Par ailleurs depuis la loi du 9 septembre 2016 "pour la confiance dans la vie politique", dite Sapin II, entrée en vigueur le 11 décembre 2016, il est prévu des peines d'inéligibilité obligatoires pour cinq ans en cas de condamnation pour détournement de fonds publics.Ces prises de position allant à l'encontre de l'Etat de droit ont suscité de nombreuses réactions. "La loi s'applique à tout le monde", a affirmé sur Public Sénat la ministre chargée des relations avec le Parlement, Nathalie Delattre, qui a trouvé "profondément choquant de commenter une décision de justice". Le président Les Républicains (LR) de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a de son côté critiqué le "grand numéro d'hypocrisie" joué par l'extrême droite. "La démocratie, c'est aussi le respect de la justice", a-t-il lancé, affirmant qu'en 2004, au moment du procès d'Alain Juppé dans le dossier des emplois fictifs du RPR, où le potentiel candidat à la présidentielle avait été touché par une peine d'inéligibilité, Marine Le Pen avait déclaré : "Il y en a marre de ces élus qui détournent de l'argent". De son côté l'avocat du Parlement européen Patrick Maisonneuve a rappelé qu'il y a "une égalité de tout le monde devant la loi (…) Le parquet qui avait anticipé ces arguments a indiqué que ce qui s'est passé pendant ces années-là cela n'est pas la responsabilité des juges, c'est la responsabilité des responsables politiques qui ont mis en place ce système de détournement de fond, 4,5 millions d'euros". La défense doit plaider à partir de lundi et la fin du procès est prévue le 27 novembre. Le tribunal ne rendra pas sa décision avant plusieurs mois. Alors que reproche la justice à Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires européens ? Qu'est-ce que "l'exécution provisoire" requise avec la peine d'inéligibilité ? Menacée par une peine d'inéligibilité qui anéantirait ses ambitions élyséennes pour 2027, Marine Le Pen joue son avenir politique ces prochaines semaines. Son parti vient de lancer une pétition en ligne et son dauphin lui apporte son soutien. Mais il n'oublie pas de jouer sa propre partition. Alors que la cheffe de file des députés RN ne quitte pas le tribunal de Paris, Jordan Bardella, en pleine promotion pour la sortie de son livre, multiplie les déplacements et les interventions dans les médias. Au fil de "Ce que je cherche" - une citation de Napoléon Bonaparte où en épigraphe y répond immédiatement, "la grandeur" - , le leader d'extrême droite étale ses inquiétudes identitaires et appelle à l'union des droites. Une façon pour lui de tracer son sillon politique, qui fait craindre en interne un retour du clivage gauche-droite. Alors quelles sont les ambitions et le projet politique de Jordan Bardella ? Enfin à quelques heures du match France-Israël ce jeudi soir au stade de France nous reviendrons sur l'enjeu et le contexte de cette rencontre.Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- NATHALIE MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Lou FRITEL - Journaliste politique – Paris Match - Violette LAZARD - Journaliste d'investigation - Le Nouvel Obs PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 14 novembre 2024.
Match France-Israël, budget, grogne sociale, colère des agriculteurs... Xavier Bertrand sort du silence. Le président de la région Hauts-de-France est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 novembre 2024.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 14 novembre 2024.
Match France-Israël, budget, grogne sociale, colère des agriculteurs... Xavier Bertrand sort du silence. Le président de la région Hauts-de-France est l'invité de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 14 novembre 2024.
This episode of The Marketing Consultation features Xavier Bertrand, a healthcare industry leader with a remarkable career spanning multiple roles, companies, and regions, currently serving as Vice President Peripheral Interventions EMEA at Boston Scientific. Xavier joins us to discuss his journey, the driving forces behind his career transitions, and his unique approach to leadership. Xavier reveals how his career was largely shaped by curiosity and the constant desire to learn. He shares valuable lessons on navigating transitions in the healthcare industry, from embracing new opportunities to adapting to different team dynamics. A true advocate for learning and growth, he highlights the importance of humility and active listening, especially when stepping into new roles. We also dive into Xavier's leadership philosophy, including his use of "assimilation workshops" to help align teams and foster collaboration. His approach to leading through trust, authenticity, and purpose has been key in driving successful turnarounds and leading high-performing teams. From a marketing perspective, Xavier reflects on the evolution of healthcare marketing and the shift from product-based strategies to customer-centric solutions. He discusses the critical role of data, digital tools, and agility in today's rapidly changing landscape, while reminding us of the timeless importance of understanding customer needs. This episode is packed with actionable insights for healthcare marketers and leaders alike, covering everything from career development to building strong, adaptable teams. Please do not hesitate to share your feedback with us on our LinkedIn or Instagram pages and to give us a rating on iTunes. This is very important to help us grow The Marketing Consultation community...
durée : 00:50:49 - franceinfo: Les informés - Autour d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot, les informés débattent de l'actualité du mardi 3 septembre 2024.