Podcasts about six jours

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Revue de presse française
A la Une: inquiétude pour la Suisse du Moyen-Orient

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 5:12


Inquiétude pour a Suisse du Moyen-Orient, autrement dit la Jordanie, petit pays de 11 millions d'habitants. Rarement à la Une des médias, et pourtant, selon l'Express, il est en train de « devenir une poudrière. Depuis le 7 octobre 2023, les habitants du Royaume Hachémite dansent sur un volcan, les opérations d'Israël en Cisjordanie et le 'plan' de Trump pour Gaza, font craindre le pire ».  « Le royaume, rappelle l'hebdomadaire, a toujours été la terre d'accueil privilégiée des Palestiniens en exil ». En 1948, à la création de l'État d'Israël, ou en 67 après la guerre des Six-Jours. Le pays héberge aujourd'hui environ 2 millions de réfugiés palestiniens. Or le « plan » de Donald Trump pour Gaza, « prévoit de transférer ses 2 millions d'habitants vers l'Egypte et la Jordanie ».  Mais la Jordanie a dit non. Et la punition ne s'est pas fait attendre. Donald Trump « a bloqué l'aide financière au royaume, versée chaque année depuis 1994, en contrepartie de la paix signée avec Israël. »Risque d'exode massifEt la situation en Cisjordanie inquiète aussi les Jordaniens…Selon un diplomate interrogé par l'Express, « les actions des colons et la poursuite très active de la colonisation, fragilisent l'Autorité Palestinienne, ce qui peut provoquer son effondrement et rendre à terme impossible la mise en place d'une solution à deux états. La Jordanie serait alors laissée avec une sorte de bombe à retardement ». « Des centaines de milliers d'habitants de la Cisjordanie possèdent un passeport jordanien, précise l'Express, et se sont fait construire un logement dans le royaume au cas où ». Mais, ajoute l'hebdomadaire, « les autorités jordaniennes savent pertinemment qu'un exode de Palestiniens déstabiliserait le royaume où les Frères Musulmans et le Hamas, sont plus populaires que jamais ».À lire aussiMoyen-Orient: la Jordanie peut-elle être entraînée dans le chaos régional?Fake news climatiquesA la Une également, un appel lancé par le Nouvel Obs. « Alerte à la désinformation climatique », s'exclame l'hebdomadaire. « Plus que l'Ukraine. Plus que la transidentité. Plus que le Proche Orient. Dans la grande foire aux fake news qui sature nos écrans, un sujet surclasse les autres en ce début d'année 2025, le climat », ajoute l'hebdomadaire, selon lequel « le climato-scepticisme s'est mué en une véritable industrie. Médias, réseaux sociaux, youtubers, librairies. C'est tout un écosystème qui permet le développement et la montée en puissance des discours dénialistes », nous dit le Nouvel Obs. Quelques expressions piochées ici et là dans la voix de différents intervenants : « la biodiversité ne s'effondre pas en Europe », ou, à propos du changement climatique, « on nous a baratinés pendant des années, il est temps d'arrêter ».  Une étude des propos tenus dans les médias audiovisuels français sur trois mois révèle « 128 cas de désinformation climatique ».  N'ayez pas d‘inquiétude, RFI et France 24 font partie des très bons élèves, aucune occurrence de désinformation climatique n'a été relevée sur leur antenne.Affaiblissement démocratiqueLa désinformation climatique en France est analysée dans les colonnes du Nouvel Obs par la climatologue française Valérie Masson -Delmotte. Et c'est d'une analyse politique qu'il s'agit car, selon la climatologue, « dans un contexte d'incertitude sociale, géopolitique et climatique, on voit émerger de nouveaux boucs émissaires : la protection de l'environnement, les agences environnementales, voire des scientifiques, que l'on jette en pâture à l'opinion publique pour distraire d'une réflexion d'ensemble sur les dysfonctionnements et injustices de nos sociétés ».  Voilà qui est dit, et ce n'est pas tout. Valérie Masson-Delmotte pointe la politique éditoriale des médias français appartenant au milliardaire Vincent Bolloré. « Les questions climatiques », explique la climatologue, « sont devenues tellement transverses que les tentatives de s'opposer à la transition écologique vont de pair avec l'affaiblissement démocratique. »Bon appétitEnfin, tout autre chose, si c'est encore l'heure du petit déjeuner pour vous, voici une idée de menu…  Et attention, il faut avoir l'estomac bien accroché. Car le Point nous parle de « l'assiette de Neandertal ». C'est une géochimiste française de 40 ans, Klervia Jaouen, qui a réussi « à reconstituer l'alimentation de Neandertal » « qui s'est éteint il y a environ 40 000 ans », en étudiant l'émail de ses dents. « La chercheuse » nous dit le Point, « dotée de tout son attirail d'instruments de dentiste, tente de déterminer précisément les proportions d'aliments d'origine animale, végétale ou marine de propriétaires des dents qu'elle passe au crible ». Résultat : « En Europe, Neandertal mangeait de grands mammifères, surtout du mammouth, mais aussi du cerf ou du renne. Et (détail croustillant) de la viande putride avec des asticots ». Végétariens s'abstenir…« Il y a bien quelques exemples de consommations de coquillages, poissons et mammifères marins mais on ne sait pas encore », nous dit Klervia Jaouen, « si c'était fréquent ou anecdotique. » Enfin, on sait aussi que « certains individus consommaient des dattes en Irak, et du nénuphar en Belgique» . Voilà peut-être de quoi  relancer l'appétit des végétariens... 

L'Évangile du jour
Évangile du 14 avril : « Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie » (Jn 12, 1-11)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 2:24


Voici l'Évangile du lundi 14 avril 2025 : « Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie » (Jn 12, 1-11) Six jours avant la Pâque, Jésus vint à Béthanie où habitait Lazare, qu'il avait réveillé d'entre les morts. On donna un repas en l'honneur de Jésus. Marthe faisait le service, Lazare était parmi les convives avec Jésus. Or, Marie avait pris une livre d'un parfum très pur et de très grande valeur ; elle répandit le parfum sur les pieds de Jésus, qu'elle essuya avec ses cheveux ; la maison fut remplie de l'odeur du parfum. Judas Iscariote, l'un de ses disciples, celui qui allait le livrer, dit alors : « Pourquoi n'a-t-on pas vendu ce parfum pour trois cents pièces d'argent, que l'on aurait données à des pauvres ? » Il parla ainsi, non par souci des pauvres, mais parce que c'était un voleur : comme il tenait la bourse commune, il prenait ce que l'on y mettait. Jésus lui dit : « Laisse-la observer cet usage en vue du jour de mon ensevelissement ! Des pauvres, vous en aurez toujours avec vous, mais moi, vous ne m'aurez pas toujours. » Or, une grande foule de Juifs apprit que Jésus était là, et ils arrivèrent, non seulement à cause de Jésus, mais aussi pour voir ce Lazare qu'il avait réveillé d'entre les morts. Les grands prêtres décidèrent alors de tuer aussi Lazare, parce que beaucoup de Juifs, à cause de lui, s'en allaient, et croyaient en Jésus.   Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

Le Journal Inattendu
MARTIGUES - L'incroyable sauvetage d'une septuagénaire bloquée six jours dans sa baignoire après une chute

Le Journal Inattendu

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 1:34


Cette habitante de Martigues (Bouches-du-Rhône) n'a pas réussi à se relever après une chute dans sa salle de bain. Les secours ont finalement aidé cette septuagénaire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

CINECAST
Sorties ciné 2025 : les blockbusters

CINECAST

Play Episode Listen Later Jan 11, 2025 33:31


Dans cet épisode, nous passons en revue les grosses sorties cinéma attendues en 2025. On commence par les blockbusters avant d'attaquer les films français et les films d'auteurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

CINECAST
Six Jours : un polar dans le brouillard

CINECAST

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 8:38


Notre critique du film "Six Jours" réalisé par Juan Carlos Medina avec Sami Bouajila, Julie Gayet, Philippe Resimont.Abonnez-vous au podcast CINECAST sur la plateforme de votre choix : https://smartlink.ausha.co/cinecast  ---  Titre : Six JoursSortie : 8 janvier 2025 (Belgique)Réalisé par Juan Carlos MedinaAvec : Sami Bouajila, Julie Gayet, Philippe Resimont.Synopsis : Nord de la France, 2005 : Malik, inspecteur de police, assiste impuissant à la mort d'une enfant suite à un kidnapping. En charge de l'enquête, il échoue à retrouver le meurtrier. DIX ANS PLUS TARD, sans élément nouveau, sans trace d'un dangereux criminel qui court toujours, l'affaire s'apprête à être classée définitivement. Mais quand de nouveaux faits en lien avec l'affaire se révèlent, Malik entame une course contre la montre dans l'espoir de résoudre l'enquête avant l'expiration du délai de prescription. Dans Six Jours. C'est le temps qui lui reste pour retrouver le coupable.#SixJours #Critique #CINECASTHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Livre international
«Les Portes de Gaza» d'Amir Tibon

Livre international

Play Episode Listen Later Oct 5, 2024 4:31


« Les Portes de Gaza, une histoire de trahison, de survie et d'espoir aux frontières d'Israël » d'Amir Tibon – éd. Christian Bourgois. En tant qu'habitant du Kibboutz de Nahal Oz, Amir Tibon est un survivant de l'attaque terroriste du Hamas sur Israël le 7 octobre dernier. Mais il est aussi correspondant diplomatique pour le quotidien israélien Haaretz. À travers les récits de la terrible journée du 7 octobre, il offre également son analyse du conflit israélo-palestinien à travers les années. RFI : Votre livre alterne entre de cette journée d'horreur vécue le 7 octobre et analyse du conflit israélo-palestinien avec un élément pivot, le kibboutz. Pourquoi est-ce une notion aussi centrale ? Amir Tibon : Les kibboutz ont été construits dans les années 1920-30, avant même la fondation d'Israël en tant que pays. Ils ont joué un rôle important pour déterminer les frontières d'Israël. C'est d'ailleurs ce qui les distingue des colonies construites par Israël après la guerre des Six-Jours en 1967. Les kibboutz avaient pour but de renforcer la présence d'Israël le long des frontières alors que les colonies ont été créées pour effacer les frontières originales et tenter de créer autre chose. Et c'est une chose importante qui distingue les deux.Vous expliquez donc votre détermination à venir avec votre femme élever vos enfants dans ce kibboutz, pourtant dans le livre, vous exprimez également vos doutes nés le jour du 7 octobre. Oui, à un moment donné, j'ai dit à ma femme Miri : « Tout cela est de ma faute ». Vous savez, nous étions dans une petite pièce, dans l'obscurité, sans électricité, sans nourriture. Avec nos deux très jeunes filles, de 3 ans et demi et 2 ans, entourés de terroristes qui essayaient d'entrer et de nous tuer. Et je lui ai dit que tout était de ma faute, car l'idée de venir à Nahal Oz, dans ce kibboutz à la frontière de Gaza, était la mienne. Mais en même temps, il y a une voix en moi, même aujourd'hui, qui me dit que nous devons y retourner. Sinon, les terroristes auront gagné. Ils ont assassiné quinze de nos amis et voisins, kidnappé sept de nos amis et voisins à Gaza, deux d'entre eux sont toujours détenus. Si nous ne retournons pas vivre dans notre Kibboutz, quel genre de message est-ce que cela envoie ? Mais pour revenir, il faut que certaines choses changent en Israël, car le 7 octobre, pour les gens qui vivent le long de la frontière avec Gaza, c'est d'abord et avant tout un jour de profonde déception envers notre propre pays qui n'était pas là pour nous protéger.C'est vrai que vous revenez à plusieurs reprises sur ce sentiment de trahison.Le Hamas est en fin de compte la seule entité qui porte toute la responsabilité du massacre. En vivant à côté de Gaza, nous avons toujours su ce qu'est le Hamas et ce qu'il veut faire. Mais nous savions aussi qu'Israël était un pays fort avec une armée forte qui serait en mesure de les empêcher de nous nuire. Et c'est ce qui a volé en éclats le 7 octobre.Comme pour tout traumatisme, il est nécessaire de comprendre. Avez-vous compris pourquoi l'armée, les autorités n'ont pas réagi comme vous vous attendiez qu'elles le fassent ? Ce dont nous avons vraiment besoin en Israël, c'est de mettre en place une commission d'enquête officielle qui examinera toutes les décisions que le gouvernement a prises au fil des années qui ont précédé le 7 octobre. Pourquoi notre gouvernement a permis que de l'argent tombe entre les mains du Hamas ? Pourquoi a-t-il pensé que le Hamas était préférable à l'Autorité palestinienne en Cisjordanie ? Pourquoi a-t-il retiré ses forces de la zone frontalière de Gaza pour les envoyer dans d'autres missions ?Le 7 octobre prochain marquera les un an de l'attaque du Hamas, mais aussi les un an de la guerre à Gaza. Comment parler de ces deux drames ?Il est important de dire que le 7 octobre était une attaque terroriste totalement injustifiée d'une ampleur énorme. Je pense qu'il est aussi important pour nous, Israéliens, de critiquer le gouvernement et ses politiques qui ont mené au 7 octobre. Et puis nous devons avoir une conversation séparée sur la guerre à Gaza, qui est une conversation très difficile. En tant que citoyen israélien qui a failli être assassiné ce jour-là avec mes jeunes enfants, je pense qu'Israël n'avait pas d'autre choix que d'entrer en guerre après le 7 octobre. Nous avons été attaqués d'une manière vicieuse et inhumaine, et nous sommes entourés d'autres ennemis qui nous regardent de près. Si nous n'étions pas entrés en guerre en représailles, je ne suis pas sûr qu'Israël existerait encore. Et pourtant, en même temps, cela ne signifie pas que tout ce que nous avons fait pendant la guerre est justifiée. Cela ne signifie pas que les décisions prises pendant la guerre doivent être protégées de la critique, et cela ne signifie pas que la guerre doit durer éternellement. Je crois qu'à ce stade, nous devons faire tout ce que nous pouvons pour parvenir à un accord, ramener les otages en vie, mettre fin à cette guerre et entamer la tâche très difficile de la reconstruction de nos maisons et de la réparation de notre pays.

Livre international
«Les Portes de Gaza» d'Amir Tibon

Livre international

Play Episode Listen Later Oct 5, 2024 4:31


« Les Portes de Gaza, une histoire de trahison, de survie et d'espoir aux frontières d'Israël » d'Amir Tibon – éd. Christian Bourgois. En tant qu'habitant du Kibboutz de Nahal Oz, Amir Tibon est un survivant de l'attaque terroriste du Hamas sur Israël le 7 octobre dernier. Mais il est aussi correspondant diplomatique pour le quotidien israélien Haaretz. À travers les récits de la terrible journée du 7 octobre, il offre également son analyse du conflit israélo-palestinien à travers les années. RFI : Votre livre alterne entre de cette journée d'horreur vécue le 7 octobre et analyse du conflit israélo-palestinien avec un élément pivot, le kibboutz. Pourquoi est-ce une notion aussi centrale ? Amir Tibon : Les kibboutz ont été construits dans les années 1920-30, avant même la fondation d'Israël en tant que pays. Ils ont joué un rôle important pour déterminer les frontières d'Israël. C'est d'ailleurs ce qui les distingue des colonies construites par Israël après la guerre des Six-Jours en 1967. Les kibboutz avaient pour but de renforcer la présence d'Israël le long des frontières alors que les colonies ont été créées pour effacer les frontières originales et tenter de créer autre chose. Et c'est une chose importante qui distingue les deux.Vous expliquez donc votre détermination à venir avec votre femme élever vos enfants dans ce kibboutz, pourtant dans le livre, vous exprimez également vos doutes nés le jour du 7 octobre. Oui, à un moment donné, j'ai dit à ma femme Miri : « Tout cela est de ma faute ». Vous savez, nous étions dans une petite pièce, dans l'obscurité, sans électricité, sans nourriture. Avec nos deux très jeunes filles, de 3 ans et demi et 2 ans, entourés de terroristes qui essayaient d'entrer et de nous tuer. Et je lui ai dit que tout était de ma faute, car l'idée de venir à Nahal Oz, dans ce kibboutz à la frontière de Gaza, était la mienne. Mais en même temps, il y a une voix en moi, même aujourd'hui, qui me dit que nous devons y retourner. Sinon, les terroristes auront gagné. Ils ont assassiné quinze de nos amis et voisins, kidnappé sept de nos amis et voisins à Gaza, deux d'entre eux sont toujours détenus. Si nous ne retournons pas vivre dans notre Kibboutz, quel genre de message est-ce que cela envoie ? Mais pour revenir, il faut que certaines choses changent en Israël, car le 7 octobre, pour les gens qui vivent le long de la frontière avec Gaza, c'est d'abord et avant tout un jour de profonde déception envers notre propre pays qui n'était pas là pour nous protéger.C'est vrai que vous revenez à plusieurs reprises sur ce sentiment de trahison.Le Hamas est en fin de compte la seule entité qui porte toute la responsabilité du massacre. En vivant à côté de Gaza, nous avons toujours su ce qu'est le Hamas et ce qu'il veut faire. Mais nous savions aussi qu'Israël était un pays fort avec une armée forte qui serait en mesure de les empêcher de nous nuire. Et c'est ce qui a volé en éclats le 7 octobre.Comme pour tout traumatisme, il est nécessaire de comprendre. Avez-vous compris pourquoi l'armée, les autorités n'ont pas réagi comme vous vous attendiez qu'elles le fassent ? Ce dont nous avons vraiment besoin en Israël, c'est de mettre en place une commission d'enquête officielle qui examinera toutes les décisions que le gouvernement a prises au fil des années qui ont précédé le 7 octobre. Pourquoi notre gouvernement a permis que de l'argent tombe entre les mains du Hamas ? Pourquoi a-t-il pensé que le Hamas était préférable à l'Autorité palestinienne en Cisjordanie ? Pourquoi a-t-il retiré ses forces de la zone frontalière de Gaza pour les envoyer dans d'autres missions ?Le 7 octobre prochain marquera les un an de l'attaque du Hamas, mais aussi les un an de la guerre à Gaza. Comment parler de ces deux drames ?Il est important de dire que le 7 octobre était une attaque terroriste totalement injustifiée d'une ampleur énorme. Je pense qu'il est aussi important pour nous, Israéliens, de critiquer le gouvernement et ses politiques qui ont mené au 7 octobre. Et puis nous devons avoir une conversation séparée sur la guerre à Gaza, qui est une conversation très difficile. En tant que citoyen israélien qui a failli être assassiné ce jour-là avec mes jeunes enfants, je pense qu'Israël n'avait pas d'autre choix que d'entrer en guerre après le 7 octobre. Nous avons été attaqués d'une manière vicieuse et inhumaine, et nous sommes entourés d'autres ennemis qui nous regardent de près. Si nous n'étions pas entrés en guerre en représailles, je ne suis pas sûr qu'Israël existerait encore. Et pourtant, en même temps, cela ne signifie pas que tout ce que nous avons fait pendant la guerre est justifiée. Cela ne signifie pas que les décisions prises pendant la guerre doivent être protégées de la critique, et cela ne signifie pas que la guerre doit durer éternellement. Je crois qu'à ce stade, nous devons faire tout ce que nous pouvons pour parvenir à un accord, ramener les otages en vie, mettre fin à cette guerre et entamer la tâche très difficile de la reconstruction de nos maisons et de la réparation de notre pays.

Vlan!
#321 (partie 1) Israël-Palestine : Comprendre et décrypter le conflit avec Vincent Lemire

Vlan!

Play Episode Listen Later Oct 1, 2024 76:29


Vincent Lemire, historien spécialiste de Jérusalem est le directeur du centre de recherche français à Jérusalem, maître de conférences et spécialiste des conflits du Proche-Orient.Il est l'auteur de très nombreux ouvrages, dernièrement de la bande dessinée à succès "Jérusalem" mais il a également participé au podcast de France Inter "Israël Palestine : anatomie d'un conflit" et est l'auteur du livre éponyme.Vincent a consacré l'ensemble de sa carrière à étudier cette région du monde, avec un regard attentif sur les dynamiques historiques, religieuses et géopolitiques qui la traversent. Ensemble, nous avons pris le temps de décrypter un sujet complexe, sensible et souvent mal compris : le conflit israélo-palestinien.Aucun sujet ne devrait être tabou mais il est important de les traiter avec neutralité et s'attachant aux faits et aux lois. C'est exactement ce que l'on fait avec Vincent.Cet épisode est le plus long jamais réalisé sur Vlan, il est donc séparé en 2 parties. Dans cet épisode, nous parlons de l'émergence du sionisme, un mouvement politique et national né à la fin du 19ème siècle en Europe. C'est Theodor Herzl, marqué par l'antisémitisme européen, et notamment par l'affaire Dreyfus en France, qui a formulé l'idée d'un refuge pour les Juifs dans un contexte de montée des persécutions. J'ai questionné Vincent sur la manière dont ce projet sioniste s'est structuré et les différentes options qui ont été envisagées avant que la Palestine ne devienne la destination privilégiée pour la création d'un foyer national juif. Ce point de départ est crucial pour comprendre les tensions qui s'en suivront.Nous avons aussi exploré la cohabitation entre Juifs, Musulmans et Chrétiens dans la Palestine ottomane à la fin du 19ème siècle. Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, les relations entre ces communautés étaient relativement harmonieuses à l'époque, notamment à Jérusalem, où la municipalité était mixte, avec des représentants de chaque communauté. Vincent explique comment ce fragile équilibre a été bouleversé par la montée des nationalismes à partir du début du 20ème siècle.Le conflit a véritablement pris forme après la Première Guerre mondiale, lorsque les puissances coloniales ont pris le contrôle de la région. Nous avons discuté de la guerre de 1948, un tournant décisif, et des raisons pour lesquelles les Palestiniens ont rejeté le plan de partage proposé par l'ONU. Vincent offre un éclairage précieux sur cette période, où 80% de la population en Palestine était arabe, mais où le projet sioniste prenait de plus en plus de poids, soutenu par une volonté de créer un État juif indépendant.La guerre des Six Jours en 1967, un autre moment clé, a conduit à l'occupation de la Cisjordanie, de Gaza, du Golan et du Sinaï par Israël. Cet épisode a profondément redessiné les frontières de la région, transformant le conflit israélo-palestinien en une lutte pour la restitution des territoires. Nous avons discuté de la façon dont cette occupation perdure encore aujourd'hui et comment elle continue d'alimenter les tensions.Enfin, nous avons abordé les tentatives de paix, notamment les accords d'Oslo dans les années 1990, qui avaient suscité beaucoup d'espoir mais qui, malheureusement, ont échoué à apporter une solution durable.J'ai interrogé Vincent sur les raisons de cet échec, en particulier le pari fait par Yasser Arafat, qui a reconnu l'existence d'Israël en échange d'un espoir de restitution de 22% du territoire pour un État palestinien. A cette occasion, il recevra le prix Nobel de la Paix conjointement avec Yitzhak Rabin et Shimon Peres.Malheureusement, cet espoir n'a jamais été concrétisé.Cet épisode est une véritable plongée dans l'histoire et les enjeux contemporains du conflit israélo-palestinien. Nous tentons de prendre du recul pour mieux comprendre les racines profondes de cette confrontation, les dynamiques religieuses et nationales, ainsi que le rôle des grandes puissances dans la région. C'est une invitation à aller au-delà des raccourcis et des idées préconçues pour saisir la complexité d'un conflit qui continue de modeler l'actualité internationale.Une partie des questions que l'on traite avec Vincent :À partir de quel moment historique est-il pertinent de remonter pour comprendre le conflit israélo-palestinien ?Comment le projet sioniste a-t-il émergé à la fin du 19ème siècle et quelle a été son influence sur les relations internationales ?Quelles ont été les motivations derrière la déclaration de Balfour en 1917 et comment a-t-elle changé le cours du conflit ?Quelles étaient les dynamiques religieuses et sociales entre Juifs, Musulmans et Chrétiens dans la Palestine ottomane avant le début des tensions nationalistes ?Pourquoi les Palestiniens ont-ils refusé le plan de partage de l'ONU en 1947 ?Quels ont été les impacts des guerres de 1948 et de 1967 sur les frontières actuelles de la région ?En quoi la guerre des Six Jours de 1967 a-t-elle marqué un tournant décisif dans le conflit israélo-palestinien ?Comment l'occupation israélienne de la Cisjordanie et de Gaza s'est-elle mise en place, et pourquoi persiste-t-elle encore aujourd'hui ?Quelles étaient les principales divergences entre les mouvements sionistes révisionnistes et les mouvements sionistes plus modérés ?Pourquoi les accords d'Oslo ont-ils échoué à résoudre le conflit et quels étaient les enjeux stratégiques pour les deux parties ?Quel rôle a joué la diaspora palestinienne dans le soutien international à la cause palestinienne ?Comment les puissances coloniales, comme la France et le Royaume-Uni, ont-elles influencé les premiers accords autour de la Palestine ?Quel est l'impact de la montée des mouvements religieux en Israël et en Palestine sur les négociations politiques ?En quoi le processus de paix est-il entravé par la politique des colonies israéliennes en Cisjordanie ?Pourquoi les frontières définies après la guerre de 1948 n'ont-elles pas suffi à stabiliser la région ?Quel rôle jouent les grandes puissances, comme les États-Unis et la Russie, dans la dynamique du conflit actuel ?Comment la guerre en Ukraine a-t-elle influencé la perception du conflit israélo-palestinien sur la scène internationale ?En quoi les accords récents, comme ceux d'Abraham, impactent-ils le conflit israélo-palestinien ?Quels sont les principaux points de blocage dans les négociations actuelles entre Israël et l'Autorité palestinienne ?Comment l'évolution des mouvements politiques en Israël, comme la montée de l'extrême droite, a-t-elle influencé la gestion du conflit ?Quelle est la position de l'Union Européenne sur les colonies israéliennes et l'occupation des territoires ?Pourquoi les résolutions de l'ONU n'ont-elles pas abouti à une solution durable ?En quoi la guerre des Yom Kippour en 1973 a-t-elle modifié la géopolitique régionale ?Comment la question des réfugiés palestiniens influence-t-elle encore aujourd'hui le processus de paix ?Quel rôle les organisations non-gouvernementales jouent-elles dans la médiation du conflit ?Timestamps : 02:00 - Les origines du sionisme : Émergence du projet sioniste en Europe à la fin du 19ème siècle en réponse à l'antisémitisme.07:00 - La cohabitation à Jérusalem avant 1908 : Juifs, Musulmans et Chrétiens vivaient en harmonie dans la Palestine ottomane.12:30 - L'influence de la déclaration de Balfour (1917) : Promesse britannique de soutien à la création d'un foyer national juif.18:45 - La guerre de 1948 et le plan de partage de l'ONU : Analyse des raisons pour lesquelles les Palestiniens ont refusé le plan proposé.23:00 - La montée des tensions dans les années 1920 : La formation des milices juives et les premières confrontations.28:40 - L'impact de la guerre des Six Jours (1967) : Transformation des frontières et occupation des territoires palestiniens.35:00 - La question des réfugiés palestiniens : Les conséquences de l'expulsion de milliers de Palestiniens après 1948.40:15 - Pourquoi les accords d'Oslo ont échoué : Discussion sur les espoirs et les déceptions des négociations des années 1990.45:30 - La montée de l'extrême droite en Israël : Impact des partis religieux et nationalistes sur la politique israélienne.50:10 - Le rôle des colonies israéliennes : Comment la politique de colonisation en Cisjordanie complique le processus de paix.55:45 - Le rôle des grandes puissances : L'implication des États-Unis, de la Russie et de l'Union Européenne dans la gestion du conflit.1:01:00 - La perspective palestinienne aujourd'hui : Comment les Palestiniens perçoivent leur situation face à l'occupation israélienne.1:05:00 - Le rôle des médias et des réseaux sociaux : Leur impact sur la perception internationale du conflit.1:10:00 - Les accords d'Abraham : Quels impacts ont eu ces accords récents sur la dynamique du conflit israélo-palestinien ?1:12:30 - Perspectives d'avenir : Quelles solutions sont envisageables pour un futur plus apaisé dans la région ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : #312 Les défis géopolitiques d'un monde hors de contrôle avec Thomas Gomart (https://audmns.com/jscnrns) #175 Comprendre le dessous des guerres invisibles mondiales avec Thomas Gomart (https://audmns.com/DDPnQDW) #166 Comprendre le phénomène des génocides pour les éviter avec Jacques Fredj (https://audmns.com/ftstCEN)

Vlan!
#321 (partie 2) Israël-Palestine : Comprendre et décrypter le conflit avec Vincent Lemire

Vlan!

Play Episode Listen Later Oct 1, 2024 58:38


Vincent Lemire, historien spécialiste de Jérusalem est le directeur du centre de recherche français à Jérusalem, maître de conférences et spécialiste des conflits du Proche-Orient.Il est l'auteur de très nombreux ouvrages, dernièrement de la bande dessinée à succès "Jérusalem" mais il a également participé au podcast de France Inter "Israël Palestine : anatomie d'un conflit" et est l'auteur du livre éponyme.Vincent a consacré l'ensemble de sa carrière à étudier cette région du monde, avec un regard attentif sur les dynamiques historiques, religieuses et géopolitiques qui la traversent. Ensemble, nous avons pris le temps de décrypter un sujet complexe, sensible et souvent mal compris : le conflit israélo-palestinien.Aucun sujet ne devrait être tabou mais il est important de les traiter avec neutralité et s'attachant aux faits et aux lois. C'est exactement ce que l'on fait avec Vincent.Cet épisode est le plus long jamais réalisé sur Vlan, il est donc séparé en 2 parties. Dans cet épisode, nous parlons de l'émergence du sionisme, un mouvement politique et national né à la fin du 19ème siècle en Europe. C'est Theodor Herzl, marqué par l'antisémitisme européen, et notamment par l'affaire Dreyfus en France, qui a formulé l'idée d'un refuge pour les Juifs dans un contexte de montée des persécutions. J'ai questionné Vincent sur la manière dont ce projet sioniste s'est structuré et les différentes options qui ont été envisagées avant que la Palestine ne devienne la destination privilégiée pour la création d'un foyer national juif. Ce point de départ est crucial pour comprendre les tensions qui s'en suivront.Nous avons aussi exploré la cohabitation entre Juifs, Musulmans et Chrétiens dans la Palestine ottomane à la fin du 19ème siècle. Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, les relations entre ces communautés étaient relativement harmonieuses à l'époque, notamment à Jérusalem, où la municipalité était mixte, avec des représentants de chaque communauté. Vincent explique comment ce fragile équilibre a été bouleversé par la montée des nationalismes à partir du début du 20ème siècle.Le conflit a véritablement pris forme après la Première Guerre mondiale, lorsque les puissances coloniales ont pris le contrôle de la région. Nous avons discuté de la guerre de 1948, un tournant décisif, et des raisons pour lesquelles les Palestiniens ont rejeté le plan de partage proposé par l'ONU. Vincent offre un éclairage précieux sur cette période, où 80% de la population en Palestine était arabe, mais où le projet sioniste prenait de plus en plus de poids, soutenu par une volonté de créer un État juif indépendant.La guerre des Six Jours en 1967, un autre moment clé, a conduit à l'occupation de la Cisjordanie, de Gaza, du Golan et du Sinaï par Israël. Cet épisode a profondément redessiné les frontières de la région, transformant le conflit israélo-palestinien en une lutte pour la restitution des territoires. Nous avons discuté de la façon dont cette occupation perdure encore aujourd'hui et comment elle continue d'alimenter les tensions.Enfin, nous avons abordé les tentatives de paix, notamment les accords d'Oslo dans les années 1990, qui avaient suscité beaucoup d'espoir mais qui, malheureusement, ont échoué à apporter une solution durable.J'ai interrogé Vincent sur les raisons de cet échec, en particulier le pari fait par Yasser Arafat, qui a reconnu l'existence d'Israël en échange d'un espoir de restitution de 22% du territoire pour un État palestinien. A cette occasion, il recevra le prix Nobel de la Paix conjointement avec Yitzhak Rabin et Shimon Peres.Malheureusement, cet espoir n'a jamais été concrétisé.Cet épisode est une véritable plongée dans l'histoire et les enjeux contemporains du conflit israélo-palestinien. Nous tentons de prendre du recul pour mieux comprendre les racines profondes de cette confrontation, les dynamiques religieuses et nationales, ainsi que le rôle des grandes puissances dans la région. C'est une invitation à aller au-delà des raccourcis et des idées préconçues pour saisir la complexité d'un conflit qui continue de modeler l'actualité internationale.Une partie des questions que l'on traite avec Vincent :À partir de quel moment historique est-il pertinent de remonter pour comprendre le conflit israélo-palestinien ?Comment le projet sioniste a-t-il émergé à la fin du 19ème siècle et quelle a été son influence sur les relations internationales ?Quelles ont été les motivations derrière la déclaration de Balfour en 1917 et comment a-t-elle changé le cours du conflit ?Quelles étaient les dynamiques religieuses et sociales entre Juifs, Musulmans et Chrétiens dans la Palestine ottomane avant le début des tensions nationalistes ?Pourquoi les Palestiniens ont-ils refusé le plan de partage de l'ONU en 1947 ?Quels ont été les impacts des guerres de 1948 et de 1967 sur les frontières actuelles de la région ?En quoi la guerre des Six Jours de 1967 a-t-elle marqué un tournant décisif dans le conflit israélo-palestinien ?Comment l'occupation israélienne de la Cisjordanie et de Gaza s'est-elle mise en place, et pourquoi persiste-t-elle encore aujourd'hui ?Quelles étaient les principales divergences entre les mouvements sionistes révisionnistes et les mouvements sionistes plus modérés ?Pourquoi les accords d'Oslo ont-ils échoué à résoudre le conflit et quels étaient les enjeux stratégiques pour les deux parties ?Quel rôle a joué la diaspora palestinienne dans le soutien international à la cause palestinienne ?Comment les puissances coloniales, comme la France et le Royaume-Uni, ont-elles influencé les premiers accords autour de la Palestine ?Quel est l'impact de la montée des mouvements religieux en Israël et en Palestine sur les négociations politiques ?En quoi le processus de paix est-il entravé par la politique des colonies israéliennes en Cisjordanie ?Pourquoi les frontières définies après la guerre de 1948 n'ont-elles pas suffi à stabiliser la région ?Quel rôle jouent les grandes puissances, comme les États-Unis et la Russie, dans la dynamique du conflit actuel ?Comment la guerre en Ukraine a-t-elle influencé la perception du conflit israélo-palestinien sur la scène internationale ?En quoi les accords récents, comme ceux d'Abraham, impactent-ils le conflit israélo-palestinien ?Quels sont les principaux points de blocage dans les négociations actuelles entre Israël et l'Autorité palestinienne ?Comment l'évolution des mouvements politiques en Israël, comme la montée de l'extrême droite, a-t-elle influencé la gestion du conflit ?Quelle est la position de l'Union Européenne sur les colonies israéliennes et l'occupation des territoires ?Pourquoi les résolutions de l'ONU n'ont-elles pas abouti à une solution durable ?En quoi la guerre des Yom Kippour en 1973 a-t-elle modifié la géopolitique régionale ?Comment la question des réfugiés palestiniens influence-t-elle encore aujourd'hui le processus de paix ?Quel rôle les organisations non-gouvernementales jouent-elles dans la médiation du conflit ?Timestamps00:00 - Le poids des résolutions de l'ONU :03:30 - La politique américaine au Moyen-Orient : 08:00 - La radicalisation religieuse des deux côtés : 12:45 - Discussion sur le terme "génocide" dans le contexte israélo-palestinien : 20:00 - Les mouvements BDS et les appels au boycott d'Israël : 27:15 - L'influence des médias internationaux : 33:45 - L'expansion des colonies israéliennes en Cisjordanie : 40:00 - Les accords d'Abraham : 45:30 - Héritage de la guerre des Six Jours (1967) : 51:00 - Le futur de Jérusalem :55:30 - Perspectives pour une solution pacifique : Suggestion d'autres épisodes à écouter : #312 Les défis géopolitiques d'un monde hors de contrôle avec Thomas Gomart (https://audmns.com/jscnrns) #166 Comprendre le phénomène des génocides pour les éviter avec Jacques Fredj (https://audmns.com/ftstCEN) #175 Comprendre le dessous des guerres invisibles mondiales avec Thomas Gomart (https://audmns.com/DDPnQDW)

Cultures monde
Avoir raison avec... Edward Saïd 5/5 : Un Palestinien

Cultures monde

Play Episode Listen Later Aug 8, 2024 28:53


durée : 00:28:53 - Avoir raison avec... - par : Emmanuel Laurentin - Après la guerre des Six Jours, Edward Saïd s'engage dans la défense de la cause palestinienne qu'il n'abandonnera pas jusqu'à sa mort en 2003, malgré des divergences stratégiques avec l'OLP. - invités : Elias Sanbar Historien, poète, essayiste, traducteur

Cultures monde
Avoir raison avec... Edward Saïd 2/5 : Genèse de L'Orientalisme

Cultures monde

Play Episode Listen Later Aug 5, 2024 28:40


durée : 00:28:40 - Avoir raison avec... - par : Emmanuel Laurentin - Comment se conçoit un ouvrage qui marque son époque ? Pour écrire "L'orientalisme", il a fallu une éducation "anglocentrée", l'exil aux États-Unis, la lecture de penseurs européens, la redécouverte de la littérature arabe et la guerre des Six Jours. - invités : Fadi Bardawil Chercheur en anthropologie culturelle, professeur associé à la Duke University

Avoir raison avec...
Avoir raison avec... Edward Saïd 2/5 : Genèse de L'Orientalisme

Avoir raison avec...

Play Episode Listen Later Jul 15, 2024 28:40


durée : 00:28:40 - Avoir raison avec... - par : Emmanuel Laurentin - Comment se conçoit un ouvrage qui marque son époque ? Pour écrire "L'orientalisme", il a fallu une éducation "anglocentrée", l'exil aux États-Unis, la lecture de penseurs européens, la redécouverte de la littérature arabe et la guerre des Six Jours. - invités : Fadi Bardawil Chercheur en anthropologie culturelle, professeur associé à la Duke University

Avoir raison avec...
Avoir raison avec... Edward Saïd 5/5 : Un Palestinien

Avoir raison avec...

Play Episode Listen Later Jul 15, 2024 28:53


durée : 00:28:53 - Avoir raison avec... - par : Emmanuel Laurentin - Après la guerre des Six Jours, Edward Saïd s'engage dans la défense de la cause palestinienne qu'il n'abandonnera pas jusqu'à sa mort en 2003, malgré des divergences stratégiques avec l'OLP. - invités : Elias Sanbar Historien, poète, essayiste, traducteur

Le monde est à nous
Droit du travail : la Grèce passe à la semaine de six jours !

Le monde est à nous

Play Episode Listen Later Jul 3, 2024 2:02


durée : 00:02:02 - Le monde est à nous - Depuis lundi, la loi permet à un plus grand nombre d'employeurs en Grèce d'appliquer des horaires de travail de six jours à leurs employés, moyennant une meilleure rémunération.

Un jour, une histoire
La Guerre des Six Jours

Un jour, une histoire

Play Episode Listen Later Jun 7, 2024 7:11 Transcription Available


Il y a 57 ans, la Guerre des Six Jours. Haïm Musicant raconte comment Tsahal a repoussé la menace d'extermination des pays arabes.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le sept neuf
Raphaël Glucksmann : "Dans six jours il est possible de mettre fin au duel mortifère Macron - Le Pen"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 3, 2024 38:57


durée : 00:38:57 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - La tête de liste PS-Place Publique Raphaël Glucksmann est l'invité de la matinale spéciale sur France Inter, à moins d'une semaine des élections européennes.

Les interviews d'Inter
Raphaël Glucksmann : "Dans six jours il est possible de mettre fin au duel mortifère Macron - Le Pen"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 3, 2024 38:57


durée : 00:38:57 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - La tête de liste PS-Place Publique Raphaël Glucksmann est l'invité de la matinale spéciale sur France Inter, à moins d'une semaine des élections européennes.

Les Experts
Les Experts : Chez Samsung, la semaine de... six jours ! - 23/04

Les Experts

Play Episode Listen Later Apr 23, 2024 28:29


Ce mardi 23 avril, la nouvelle doctrine de Samsung, qui impose à ses cadres six jours de travail par semaine, la réforme des retraites chez la SNCF, obtenue par des syndicats en position de force au détriment de l'intérêt général, et la simplification des normes bureaucratiques, ont été abordées par Robin Rivaton, directeur général de Stonal et fondateur de Real Estech, Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction de Challenges, et Guillaume Richard, président et fondateur de groupe Oui Care, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Bientôt chez vous
Corée du Sud : Samsung impose à ses cadres de passer en mode "crise" en venant travailler six jours par semaine

Bientôt chez vous

Play Episode Listen Later Apr 23, 2024 2:57


durée : 00:02:57 - Bientôt chez vous - Malgré le succès de ses smartphones, l'ensemble des activités du groupe Samsung montre des résultats en baisse. Pour motiver les équipes, en Corée du Sud, la solution ne passe pas par des séminaires de team building à la campagne, mais plutôt par un contexte de crise au bureau.

Choses à Savoir HISTOIRE
Qu'est-il arrivé durant la Guerre des six jours ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Jan 31, 2024 2:06


La création de l'État d'Israël, le 14 mai 1948, n'est pas acceptée par ses voisins arabes, la Syrie, l'Égypte et la Jordanie. D'emblée, la cohabitation semble difficile, sinon impossible, entre ces pays et des habitants juifs souvent considérés comme des envahisseurs.Aussi, dès le début, les conflits vont-ils émailler l'histoire des relations israélo-arabes. Aussitôt proclamée l'indépendance d'Israël, en mai 1948, une première guerre éclate, qui se termine, l'année suivante, par une série de cessez-le-feu.Chacun des adversaires sait qu'ils ne règlent en rien la situation. Aussi Israël s'attend-il à un autre conflit, d'autant que l'Égypte, la Syrie et la Jordanie concluent, en 1966 et 1967, une alliance militaire.La guerre prévisible éclate le 5 juin 1967. A priori, Israël se retrouve dans une situation délicate. Malgré la qualité reconnue d'une armée dotée des matériels les plus modernes, l'État hébreu doit en effet lutter sur plusieurs fronts, ce qui ne peut que le placer dans une position périlleuse.Dans ces conditions, L'État-Major israélien va compter sur un élément décisif, l'effet de surprise. Devant la mobilisation des armées arabes et le blocus du détroit de Tiran, qui empêche les navires israéliens d'accéder à la mer Rouge, l'État hébreu décide de mener une attaque préventive.Le 5 juin, des raids aériens détruisent les avions égyptiens au sol. La coalition n'a donc plus la maîtrise du ciel, d'autant que les avions jordaniens, moins nombreux, sont anéantis à leur tour, deux jours plus tard, par de nouveaux bombardements israéliens.Disposant de la supériorité aérienne, Tsahal, nom donné à l'armée israélienne, n'a guère de mal à repousser les troupes jordaniennes et à atteindre le canal de Suez, ce qui oblige l'Égypte à capituler. Quant aux Syriens, ils doivent, devant l'avancée des troupes israéliennes, évacuer le plateau du Golan.En tout, la guerre n'aura duré que six jours, du 5 au 10 juin 1967, d'où son nom. Elle aura permis aux Israéliens d'occuper la totalité de la ville de Jérusalem, mais aussi la Cisjordanie, la bande de Gaza, le Sinaï et le plateau du Golan. L'ONU demande à Israël de se retirer de ce qu'il considère comme des "territoires occupés". Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir HISTOIRE
Qu'est-il arrivé durant la Guerre des six jours ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Jan 31, 2024 2:36


La création de l'État d'Israël, le 14 mai 1948, n'est pas acceptée par ses voisins arabes, la Syrie, l'Égypte et la Jordanie. D'emblée, la cohabitation semble difficile, sinon impossible, entre ces pays et des habitants juifs souvent considérés comme des envahisseurs. Aussi, dès le début, les conflits vont-ils émailler l'histoire des relations israélo-arabes. Aussitôt proclamée l'indépendance d'Israël, en mai 1948, une première guerre éclate, qui se termine, l'année suivante, par une série de cessez-le-feu. Chacun des adversaires sait qu'ils ne règlent en rien la situation. Aussi Israël s'attend-il à un autre conflit, d'autant que l'Égypte, la Syrie et la Jordanie concluent, en 1966 et 1967, une alliance militaire. La guerre prévisible éclate le 5 juin 1967. A priori, Israël se retrouve dans une situation délicate. Malgré la qualité reconnue d'une armée dotée des matériels les plus modernes, l'État hébreu doit en effet lutter sur plusieurs fronts, ce qui ne peut que le placer dans une position périlleuse. Dans ces conditions, L'État-Major israélien va compter sur un élément décisif, l'effet de surprise. Devant la mobilisation des armées arabes et le blocus du détroit de Tiran, qui empêche les navires israéliens d'accéder à la mer Rouge, l'État hébreu décide de mener une attaque préventive. Le 5 juin, des raids aériens détruisent les avions égyptiens au sol. La coalition n'a donc plus la maîtrise du ciel, d'autant que les avions jordaniens, moins nombreux, sont anéantis à leur tour, deux jours plus tard, par de nouveaux bombardements israéliens. Disposant de la supériorité aérienne, Tsahal, nom donné à l'armée israélienne, n'a guère de mal à repousser les troupes jordaniennes et à atteindre le canal de Suez, ce qui oblige l'Égypte à capituler. Quant aux Syriens, ils doivent, devant l'avancée des troupes israéliennes, évacuer le plateau du Golan. En tout, la guerre n'aura duré que six jours, du 5 au 10 juin 1967, d'où son nom. Elle aura permis aux Israéliens d'occuper la totalité de la ville de Jérusalem, mais aussi la Cisjordanie, la bande de Gaza, le Sinaï et le plateau du Golan. L'ONU demande à Israël de se retirer de ce qu'il considère comme des "territoires occupés". Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Info éco
Allemagne : les conducteurs de trains entament une grève de six jours

Info éco

Play Episode Listen Later Jan 24, 2024 5:39


Journée noire dans les gares allemandes. Les conducteurs de trains sont en grève pendant six jours pour réclamer des hausses de salaires et de meilleures conditions de travail. Il s'agit de la plus longue grève de l'histoire pour ces cheminots, la quatrième en trois mois. La direction dénonce une attitude "irresponsable" des syndicats.

Nonobstant
Oum Kalsoum - L'arme secrète de Nasser

Nonobstant

Play Episode Listen Later Jan 23, 2024 6:02


Novembre 1967, cinq mois après la guerre des Six Jours, dans une France préoccupée par les premières grèves annonçant mai 68, la grande diva égyptienne Oum Kalsoum s'apprête à chanter des chansons fleuves en arabe, à l'Olympia, temple de la pop music.Fierté du monde arabe, l'unique récital de la « Perle du Nil » dans un pays occidental sera le pari improbable de Bruno Coquatrix, maître du lieu.La rumeur attribue l'événement à une intervention du président Charles De Gaulle dans le cadre de sa Politique arabe de la France.

Reportage International
Jordanie: dans le camp de réfugiés palestiniens de Zarqa, le rêve chimérique du retour

Reportage International

Play Episode Listen Later Dec 27, 2023 2:30


Alors qu'Israël poursuit son offensive meurtrière sur Gaza, un pays limitrophe assiste avec inquiétude et colère au conflit : la Jordanie. Depuis 1948 et la création de l'état hébreu, le royaume hachémite a reçu plusieurs centaines de milliers de réfugiés palestiniens, à tel point qu'aujourd'hui, ils représentent plus de la moitié de la population. De notre correspondante de retour de Zarqa,À une trentaine de kilomètres au nord de la capitale Amman, Zarqa a vu naître le premier camp de réfugiés palestiniens de Jordanie en 1949. Aujourd'hui, 75 ans plus tard, 21 000 habitants y vivent dans des immeubles vétustes.Nasr Nasr, 53 ans, a grandi dans le camp. Il est un descendant de réfugiés venus de Jaffa en 1948, lors de la « Nakba », l'exil de 750 000 palestiniens considéré comme la grande catastrophe. Il est d'origine palestinienne et a la nationalité jordanienne. Comme l'immense majorité, il est devenu citoyen jordanien. Une situation exceptionnelle au Moyen-Orient où les palestiniens n'ont pas été intégrés dans leur pays d'accueil. « Je bénéficie de tous les droits des citoyens jordaniens, témoigne Nasr Nasr. C'est pour cela que quand on me demande qui je suis, je réponds que je suis – comme qui dirait – Jordostinien. »Très attaché à la transmission de la mémoire, Nasr a conservé un album de photo de ses grands-parents. Il aime partager ces souvenirs avec sa fille Nowar, 22 ans. « Cette photo a été prise sur la plage de Jaffa, montre-t-il. Elle date de 1946. Toutes les photos qui sont dans cet album ont été prises par mes grands-parents. »« Nous vivons ici en Jordanie comme dans notre seconde maison, témoigne à son tour Nowar. Ce n'est pas vraiment chez nous. C'est vrai que j'ai vécu 22 ans en Jordanie, mais je rêve de vivre en Palestine. Même si je n'y suis pas née, la Palestine reste le chemin à suivre. »À lire aussiEn Jordanie, le mouvement palestinien Hamas gagne en popularité« Nous restons des réfugiés, nous sommes comme des invités en Jordanie »Un chemin à suivre au nom du droit au retour censé être garanti par le droit international. La Résolution 194 des Nations Unies votée en 1948 n'a depuis jamais été respectée par Israël.En attendant, Nasr et sa fille bénéficient de tous les avantages de la nationalité jordanienne, mais d'autres sont toujours considérés comme des étrangers. Bassam el-Hawajreh est originaire de la bande de Gaza. Comme lui, 160 000 Gazaouis n'ont jamais obtenu la citoyenneté jordanienne, car ils sont arrivés dans le royaume plus tard, après la guerre des Six Jours de 1967. « Ici, nous restons des réfugiés, nous sommes comme des invités en Jordanie, rapporte-t-il. Dès qu'il se passe quelque chose en Palestine, je me sens palestinien. Quand je dois faire des papiers, je me sens comme un réfugié. »Bloqués dans les limbes de l'administration, les Gazaouis n'ont pas le droit de travailler dans la fonction publique, pas d'accès à l'assurance maladie et doivent payer des frais bien supérieurs à leurs moyens pour faire des études universitaires.À lire aussi« On partage leur souffrance »: les Palestiniens de Cisjordanie solidaires des victimes de Gaza

Reportage international
Jordanie: dans le camp de réfugiés palestiniens de Zarqa, le rêve chimérique du retour

Reportage international

Play Episode Listen Later Dec 27, 2023 2:30


Alors qu'Israël poursuit son offensive meurtrière sur Gaza, un pays limitrophe assiste avec inquiétude et colère au conflit : la Jordanie. Depuis 1948 et la création de l'état hébreu, le royaume hachémite a reçu plusieurs centaines de milliers de réfugiés palestiniens, à tel point qu'aujourd'hui, ils représentent plus de la moitié de la population. De notre correspondante de retour de Zarqa,À une trentaine de kilomètres au nord de la capitale Amman, Zarqa a vu naître le premier camp de réfugiés palestiniens de Jordanie en 1949. Aujourd'hui, 75 ans plus tard, 21 000 habitants y vivent dans des immeubles vétustes.Nasr Nasr, 53 ans, a grandi dans le camp. Il est un descendant de réfugiés venus de Jaffa en 1948, lors de la « Nakba », l'exil de 750 000 palestiniens considéré comme la grande catastrophe. Il est d'origine palestinienne et a la nationalité jordanienne. Comme l'immense majorité, il est devenu citoyen jordanien. Une situation exceptionnelle au Moyen-Orient où les palestiniens n'ont pas été intégrés dans leur pays d'accueil. « Je bénéficie de tous les droits des citoyens jordaniens, témoigne Nasr Nasr. C'est pour cela que quand on me demande qui je suis, je réponds que je suis – comme qui dirait – Jordostinien. »Très attaché à la transmission de la mémoire, Nasr a conservé un album de photo de ses grands-parents. Il aime partager ces souvenirs avec sa fille Nowar, 22 ans. « Cette photo a été prise sur la plage de Jaffa, montre-t-il. Elle date de 1946. Toutes les photos qui sont dans cet album ont été prises par mes grands-parents. »« Nous vivons ici en Jordanie comme dans notre seconde maison, témoigne à son tour Nowar. Ce n'est pas vraiment chez nous. C'est vrai que j'ai vécu 22 ans en Jordanie, mais je rêve de vivre en Palestine. Même si je n'y suis pas née, la Palestine reste le chemin à suivre. »À lire aussiEn Jordanie, le mouvement palestinien Hamas gagne en popularité« Nous restons des réfugiés, nous sommes comme des invités en Jordanie »Un chemin à suivre au nom du droit au retour censé être garanti par le droit international. La Résolution 194 des Nations Unies votée en 1948 n'a depuis jamais été respectée par Israël.En attendant, Nasr et sa fille bénéficient de tous les avantages de la nationalité jordanienne, mais d'autres sont toujours considérés comme des étrangers. Bassam el-Hawajreh est originaire de la bande de Gaza. Comme lui, 160 000 Gazaouis n'ont jamais obtenu la citoyenneté jordanienne, car ils sont arrivés dans le royaume plus tard, après la guerre des Six Jours de 1967. « Ici, nous restons des réfugiés, nous sommes comme des invités en Jordanie, rapporte-t-il. Dès qu'il se passe quelque chose en Palestine, je me sens palestinien. Quand je dois faire des papiers, je me sens comme un réfugié. »Bloqués dans les limbes de l'administration, les Gazaouis n'ont pas le droit de travailler dans la fonction publique, pas d'accès à l'assurance maladie et doivent payer des frais bien supérieurs à leurs moyens pour faire des études universitaires.À lire aussi« On partage leur souffrance »: les Palestiniens de Cisjordanie solidaires des victimes de Gaza

Lignes de défense
Le char de combat, le fer-de-lance de l'armée israélienne

Lignes de défense

Play Episode Listen Later Dec 24, 2023 2:33


Dans la bande Gaza, le déploiement de l'infanterie israélienne est systématiquement appuyé par les chars de combat Merkava. Les États-Unis ont d'ailleurs approuvé « d'urgence » la vente à Israël de près de 14 000 obus équipant ces blindés lourds. Jamais depuis la création d'Israël, les forces armées de l'État hébreu n'ont conçu une opération sans chars de combat. Le Merkava aujourd'hui de 5e génération, fabriqué à plusieurs centaines d'unités est depuis le 7 octobre dernier, le fer-de-lance de l'armée israélienne dans la bande de Gaza, souligne Marc Chassillan spécialiste des blindés.« Quel que soit l'ennemi, quel que soit le terrain et quelles que soient les circonstances, l'armée israélienne déploie des chars, ça fait partie de leur corpus doctrinal », explique-t-il. « Les chars sont quasiment une deuxième religion après le judaïsme en Israël. C'est un objet de vénération et c'est un objet de perfectionnement et d'investissement constant et continu, depuis 50 ans. On peut trouver curieux ou inapproprié l'engagement de chars dans les zones urbaines, mais ce n'est pas l'apanage de l'armée israélienne, toutes les armées du monde depuis le début de l'utilisation des chars ont employé les chars en zone urbaine. » Les chariots de feu de l'armée israélienneDe par sa géographie, et les contraintes pesant sur l'armée d'un pays de moins de 10 millions d'habitants et seulement 22 000 km2, le développement de la cavalerie israélienne a suivi un schéma assez singulier. Quand dans les années 1970-1980, les Occidentaux penchaient pour une stratégie basée sur l'avance technologique et la rapidité d'action avec une forte intégration des moyens, terrestres, aériens, et maritimes, l'armée israélienne a eu une approche moins novatrice et très pragmatique.Pour bien comprendre la genèse du Merkava, il convient de rappeler deux points importants. Tout d'abord, Israël a toujours connu un état de belligérance, plus ou moins marqué, avec ces voisins arabes. Cela s'est traduit par des escarmouches régulières, une guerre d'usure, ou des conflits de haute intensité sur des durées plus ou moins longues. Deuxième point, il suffit pour s'en convaincre de regarder une carte- dans le domaine de la géographie physique, Israël n'a pas de profondeur stratégique.Cela ne veut pas dire que l'armée israélienne ne manœuvre pas (elle l'a prouvé dans le Sinaï, et sur les hauteurs du Golan, particulièrement en 1973 et surtout lors de la guerre éclair de 1967), mais cela a conduit à une utilisation plus « défensive » de l'armée blindée de cavalerie par rapport à ce qu'on peut connaître ailleurs. Si le char reste une arme dite de « mêlée », les stratèges israéliens ont toujours gardé en tête l'infériorité numérique – en hommes et en matériels – de leur armée vis-à-vis des forces terrestres arabes, mais aussi le fait qu'ils pourraient bénéficier assez rapidement de la maîtrise du ciel au-dessus du champ de bataille. Pour schématiser, le char n'est donc pas déterminant pour l'emporter, mais en revanche il constitue un rempart, et/ou un outil capable de repousser l'adversaire loin des frontières. C'est en partie cette philosophie qui a conduit au dessin du premier Merkava au milieu des années 1970.Un tank conçu dans l'urgencePetit rappel historique. Israël a longtemps utilisé des chars britanniques et américains, Centurion ou Patton. Après la guerre des Six Jours en 1967, la France et le Royaume-Uni ont décrété des embargos sur les armes à destination d'Israël. L'industrie israélienne en a été réduite à modifier quelques vieux tanks (remotorisation et adaptation de canons), et à passer commande de qui était alors disponible et autorisé à l'exportation par les États-Unis. Israël se lança même dans le rééquipement de vieux chars d'origine soviétique T-54 capturés à l'ennemi.Ceci étant, il restait encore un pas important à franchir pour concevoir un char de fabrication nationale. Afin de contourner les embargos internationaux, et prenant en compte les limites de sa propre industrie de défense, Israël se tourna alors vers l'Afrique du Sud, pour se procurer les aciers nécessaires à la fabrication du blindage (de 20 mm d'acier à 300 mm de matériaux composites selon les versions et les éléments à protéger comme la tourelle). Pour le reste, Israël se débrouilla, pour acheter, copier, ou produire des éléments et des pièces détachées déjà utilisés à l'étranger. Ce fut le cas entre autres de la motorisation, des chenilles, de la transmission ou de la suspension des premiers Merkava. Suivant le même schéma, dans le secteur aéronautique, les Mirages III et V d'origine française furent progressivement transformés en Nesher, et Kfir assemblés et produits en Israël.  Les sapeurs et leurs charsLe pion tactique de l'armée israélienne à l'œuvre à Gaza est composé d'un binôme infanterie-sapeurs du génie, protégés par les tanks, mais la pointe de la flèche, insiste Marc Chassillan se sont les sapeurs et leurs chars.« Les sapeurs du génie sont finalement quasiment quelquefois les éléments précurseurs dans certaines zones de Gaza. C'est d'abord le génie d'assaut, donc appuyé par les chars et protégé par l'infanterie qui se charge d'ouvrir ce qu'on appelle les itinéraires », indique-t-il. « Ils disposent pour ça de bulldozer Caterpillar D9 sûr blindé. Ils ont aussi des engins qu'on appelle les Pumas, qui sont en fait des châssis de chars qui ont été détourellés et qui ont été couverts de blindage et qui abritent une équipe de sapeurs d'assaut avec un certain nombre de matériels et d'outils pour en fait percer les murs, ouvrir les portes, dégager les obstacles, déminer… Le rôle des sapeurs du génie est absolument essentiel. » 30 à 40 blindés détruitsMais avec leur masse de 70 tonnes, les Merkava peinent à manœuvrer dans un environnement urbain. Ils ne voient pas grand-chose non plus de leur environnement immédiat et sont par conséquent vulnérables à courte distance aux tirs de missiles antichars et les pertes s'accumulent :« Depuis le 7 octobre, ils auraient perdu entre 30 et 40 blindés, mais tous types confondus, il n'y a pas que des chars de combat », dit Marc Chassillan, « Il y a aussi des véhicules de transport de troupes, il y a des engins du génie et un peu de tout sachant que le 7 octobre ils en ont perdu beaucoup puisque quand le Hamas a attaqué le 7 octobre, ils ont en particulier pris une caserne qui se trouvait à l'entrée nord de la bande de Gaza. C'est en fait la caserne qui garde un peu les portes d'entrée vers Gaza, et ils ont saboté, détruit beaucoup de véhicules qui étaient sur les parkings. » Le Merkava au combatSi le Merkava est devenu au fil du temps, un char « iconique », il faut garder en tête que la saga du tank israélien s'est écrite au fil de temps, et que même si le nom a été conservé, le Merkava I, n'a plus grand-chose à voir en termes de performances avec le Merkava V en cours d'introduction dans l'armée israélienne.Dès 1982 Israël a perdu ses premiers Merkava au combat au Liban. Ce très lourd char de combat découvre les difficultés du combat en milieu urbain, mais enregistre aussi des succès contre des chars d'origine soviétiques employés par les Syriens. Ceci étant à l'époque, le fleuron de la cavalerie israélienne vient tout juste d'entrer en service et pour l'essentiel ce sont des tanks plus anciens qui sont déployés. Au fil des engagements, le Merkava va se forger une réputation de quasi-invincibilité, jusqu'à la guerre de 2006 contre le Hezbollah ou l'armée israélienne va enregistrer de lourdes pertes. Sur le plan technique : « Le Merkava était réputé être l'un des meilleurs au monde […], mais 52 d'entre eux (33 Mk2/3, 19 Mk4) ont été mis hors de combat par les tirs de missiles antichars et 3 autres détruits par des mines artisanales IED », peut-on lire dans un rapport cité par l'IFRI après la guerre.À l'époque on a beaucoup dit que le char était mal protégé sur la partie arrière, mais en réalité, cette faiblesse était connue depuis longtemps, et c'est surtout la tactique du mouvement armée chiite libanais combiné à l'emploi en masse, de missiles anti-char modernes qui a porté ses fruits. Les dernières vidéos, du Hamas publié à Gaza en 2023, prouvent d'ailleurs qu'à leur tour, les miliciens du Hamas tentent d'utiliser les mêmes techniques, allant jusqu'à déposer des charges « à la main » sous les tourelles des chars israéliens.Ceci étant, il semble que de nombreux projectiles employés par le Hamas soient d'origine artisanale, fabriqués localement dans la bande de Gaza. Ils n'auraient donc pas la même efficacité que des ATGM modernes industrialisés comme les Kornet (code OTAN : AT-14) d'origine russe, mais produits sous licence en Iran. On a pu s'étonner aussi de voir les Merkava dépourvus de blindages réactifs, remplacés en partie par le système de protection active (APS) « Trophy » destiné à barrer la route aux projectiles adverses en les détruisant avant l'impact.À l'épreuve dans la bande de Gaza Au début du conflit, on a pu s'étonner de voir très peu de fantassins israéliens « débarqués », laissant les tireurs du Hamas se rapprocher très près des blindés. De petites charges ont également été larguées par drones du Hamas, sur les tanks israéliens, sans – semble-t-il – inquiéter les équipages placés sous blindage.Toutefois des grilles anti-drone monté au-dessus de la tourelle ont fait leur apparition. On peut penser qu'elles servent à protéger les équipements de visée montés sur la partie haute, ou un soldat qui s'exposerait en utilisant la mitrailleuse de 7,62 montée sur le toit. Il est évident enfin qu'en milieu urbain, la vitesse de pointe n'est plus déterminante (64 km/h pour la version IV en rase-campagne), là où la protection particulièrement des tirs venant du haut (depuis les immeubles) ou des charges artisanales (IED) enfouies dans le sol le devient… Historiquement on a toujours admis que les Merkava étaient sous-motorisés (1500 chevaux pour la version IV). À ce niveau on a souvent lu que l'emplacement du moteur à l'avant, si caractéristique sur le Merkava était un élément de protection majeur. Cela est vrai en cas de combat en face à face, mais beaucoup moins contre des éléments de guérilla très mobiles qui peuvent surgir dans tous les secteurs.Pour conclure, on pourrait dire qu'Israël a conçu le Merkava « sur mesure ». Au départ c'était une solution par défaut qui, petit à petit, a intégré de nombreuses innovations liées à l'environnement dans lequel ces machines doivent être employées. Exemple éclairant, Israël n'hésite pas à « embosser » ses chars comme disent les militaires. C'est-à-dire les utiliser en positions statiques derrière un remblai lors de longue phase d'observation des lignes adverses. L'écoutille placée à l'arrière trouve là, son utilité. Elle permet de recharger sans s'exposer pour faire passer les obus. Contrairement à une idée communément répandue, elle ne sert pas à faire monter des fantassins à bord (à l'exception des Merkavas modifiés pour les sapeurs du génie). Un blessé en position horizontale pourrait toutefois passer par cette ouverture, à condition de lui faire de la place au milieu du chargement d'obus.

SBS French - SBS en français
Le journal 30/11/2023 - Les médiateurs cherchent à prolonger la trêve de six jours à Gaza.

SBS French - SBS en français

Play Episode Listen Later Nov 30, 2023 7:26


Les médiateurs cherchent à prolonger la trêve de six jours à Gaza.

Le podcast livresque musulman
Gaza mon âme ou la gazelle

Le podcast livresque musulman

Play Episode Listen Later Nov 23, 2023 3:04


Gaza, Palestine, colonisation, arabité : aujourd'hui, je vous lis un extrait d'un poème de Malek Haddad, un auteur algérien, écrit à l'occasion de la guerre des Six Jours. Le poème entier est disponible ici : https://editions-heritage.fr/extraits/les-bonnes-feuilles/

Sport-Première - La 1ere
Football: la Suisse joue son ticket pour l'EURO en six jours

Sport-Première - La 1ere

Play Episode Listen Later Nov 11, 2023 7:20


L'équipe de Suisse de football dispute trois matchs entre le 15 et le 21 novembre 2023 contre Israël, le Kosovo et la Roumanie. Trois matchs qu'elle devra bien négocier pour décrocher son ticket pour l'EURO 2024 en Allemagne. Les détails avec Joël Robert.

Le Grand Débrief
En Roue Libre | Les Six Jours de Gand : mode d'emploi

Le Grand Débrief

Play Episode Listen Later Nov 10, 2023 40:05


Les Six Jours de Gand reviennent. Débats et quizz sur le Kuipke et les vélodromes en général, on fait le point sur tout ce qu'il faut savoir avec toute notre équipe.

Chronique Economique
Le patron de JP Morgan vend ses titres, ça ravive les théories des marchands de peur

Chronique Economique

Play Episode Listen Later Nov 7, 2023 4:03


On dit souvent que la première victime d'une guerre, c'est la vérité. Dans le business et la haute finance, il est tout aussi difficile de démêler le vrai du faux. Il suffit que le patron de la plus grande banque du monde vende un million d'actions de sa propre banque pour qu'aussitôt certains se disent que c'est le signal que tout va mal et qu'un ouragan économique nous attend. Alors que tous les grands banquiers du monde sont auscultés à la loupe ces derniers jours, Jimmy Diamond, le patron de JP Morgan la plus puissante banque du monde, le seul d'ailleurs à avoir survécu à la crise bancaire de 2008, a annoncé qu'il vendait pour la première fois de sa vie un paquet d'un million d'actions de cette dernière, ce qui devrait lui rapporter la petite bagatelle de 140 millions de dollars. Il a encore en portefeuille sept autres millions d'actions de sa propre banque, qui ne sera donc pas à la rue. Mais quand le patron emblématique de la première banque des États-Unis vend des actions de sa propre banque, ça suscite des interrogations. Il y a ceux et celles qui se contentent de lire le communiqué officiel lié à cette vente. En gros, Jimmy Diamond est comme vous et moi, il a des besoins d'argent pour sa famille et c'est en gros d'ailleurs ce qu'il a déclaré. Ce qui prouve que les multimillionnaires sont des gens comme les autres. D'autres se disent au contraire que si le banquier le plus puissant de la planète vend des actions de sa propre banque, c'est qu'il se prépare à quitter sa banque et donc qu'une succession est ouverte. Reste évidemment une troisième thèse, celle choisie par des commentateurs boursiers que je ne vais pas qualifier de complotiste. Ils disent et surtout ils écrivent à leurs abonnés que c'est quand même bizarre que le patron d'une très grande banque vende ses titres. Comme Jimmy Diamond est supposé être un initié et un homme prudent, les auteurs de ces commentaires boursiers en profitent pour faire indirectement peur à leurs abonnés en leur expliquant ce qu'ils doivent faire pour se protéger contre cet ouragan économique à venir… Mots-Clés : menaces, guerre, Ukraine, Moyen-Orient, crise énergétique, inflation, record, États, surendettés, taux d'intérêt, hausse, faillites, entreprises, climat social, récession, société, investissement, Invesco, conflits, stress, bourse, augmenter, crise, missiles, Cuba, guerre des Six Jours, Kippour, Afghanistan, Malouines, Irak, Koweït, 11 septembre, 2001, Golfe, attentats, Paris, Ukraine, drames, humains, marchands, peur, raisonnement. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30 sur Classic 21, la radio Rock'n'Pop.

Histoire Vivante - La 1ere
Israël-Palestine, on rembobine : La Palestine et la création de lʹEtat dʹIsraël de lʹautre côté de la Shoah (4/5)

Histoire Vivante - La 1ere

Play Episode Listen Later Oct 26, 2023 30:59


Histoire Vivante retourne ses archives pour nous aider à vivre avec lʹactualité. Alors que la guerre reprend au Proche Orient, cette série vous propose une traversée dans lʹhistoire du conflit israélo-palestinien, de la Palestine ottomane aux premiers colons juifs, de la Guerre des Six Jours à la guerre du Kippour en 1973. Cette fois nous sommes après la Deuxième guerre mondiale et surtout après la découverte des camps dʹextermination des juifs dʹEurope. Les attentats sionistes contre le mandat britannique se multiplient et dans quelques mois lʹEtat dʹIsraël sʹapprête à voir le jour. Un récit en nouvelle diffusion composé dʹentretiens et dʹarchives élaborés par Jean Leclerc.

Histoire Vivante - La 1ere
Israël-Palestine, on rembobine : La Guerre des Six Jours et la génération dʹaprès – Deuxième partie (2/5)

Histoire Vivante - La 1ere

Play Episode Listen Later Oct 24, 2023 29:56


Histoire Vivante plonge dans ses archives pour retrouver le récit du conflit israélo-palestinien, pour comprendre comment son histoire se construit et ce quʹelle nous fait. La guerre reprend au Proche-Orient mais il y en a eu dʹautres qui nous racontent comment nous en sommes arrivés là. Dans cet épisode, on commence par la Guerre des Six Jours pour comprendre comment ce conflit entre Israël et lʹEgypte a modelé la carte des occupations sur le territoire, la réaction des diasporas. On continue avec la guerre du Kippour ou la guerre dʹoctobre, en 1973, pour comprendre lʹattitude des Etats qui ont partie liée avec la région. Ils ont vécu la guerre des Six Jours à distance depuis Paris, en juin 1967, quʹils soient enfants de rescapés de la Shoah ou nés dans les colonies françaises du Maghreb. Ils sont croyants ou non, mais le deuil ne les a pas épargnés et lʹissue des combats a tracé des lignes de partages et des solidarités sans précédent parmi la population juive de France. Israël a pris le dessus face à lʹarmée égyptienne, les résultats de la guerre vont bientôt sʹinscrire dans le territoire et les esprits.

Histoire Vivante - La 1ere
Israël-Palestine, on rembobine : La Guerre des Six Jours et la génération dʹaprès – Première partie (1/5)

Histoire Vivante - La 1ere

Play Episode Listen Later Oct 23, 2023 28:43


La guerre reprend au Proche Orient. Pour sortir du choc des premiers jours, Histoire Vivante est retournée dans ses archives, pour retracer le chemin sinueux sur lequel tout a commencé, pour retrouver lʹhistoire de ce territoire aux deux nations et accompagner ce présent. Pour commencer, deux épisodes sur lʹévènement qui a tout changé : la Guerre des six jours. En 1967, lʹEtat dʹIsraël entre dans sa vingtième année. Pour les Européens juifs, cʹest un refuge, un idéal ou un pays étranger. C'est aussi, depuis 1961 le procès d'Adolf Eichman, l'un des responsables de lʹextermination des Juifs dʹEurope, le retour de la prospérité et la reconstruction de lʹEurope après la seconde Guerre mondiale et les décolonisations occupent toute lʹattention de lʹopinion publique. Les tensions avec les pays arabes limitrophes connaissent un regain depuis quelques mois et aboutissent à une attaque préventive dʹIsraël qui sʹachève le 10 juin par la déroute des armées nationales voisines et la démultiplication des zones sous contrôle israélien. La Guerre des six jours signe lʹapparition des expressions "Proche Orient", "territoires occupés" et "cause palestinienne", aujourdʹhui tristement familières pour le monde entier. Mais elle marque également de nouvelles divisions dans les sociétés européennes, particulièrement en France, et notamment parmi la génération des enfants de rescapés du génocide juif et des héritiers de la colonisation.

Les matins
Israël-Palestine : les mots de la guerre 8/11 : La colonisation, une appropriation progressive

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 22, 2023 9:09


durée : 00:09:09 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Dans cet épisode du podcast "Israël-Palestine, les mots de la guerre", Alain Dieckhoff, directeur de recherche au CNRS, revient sur la "colonisation", ce mouvement qui a conduit des Israéliens juifs à s'installer, après la guerre des Six Jours en 1967, dans des territoires de l'ancienne Palestine. - invités : Alain Dieckhoff Sociologue, directeur de recherche CNRS et directeur du CERI de Sciences Po

Affaires étrangères
Israël-Palestine : les mots de la guerre 8/11 : La colonisation, une appropriation progressive

Affaires étrangères

Play Episode Listen Later Oct 21, 2023 9:09


durée : 00:09:09 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Dans cet épisode du podcast "Israël-Palestine, les mots de la guerre", Alain Dieckhoff, directeur de recherche au CNRS, revient sur la "colonisation", ce mouvement qui a conduit des Israéliens juifs à s'installer, après la guerre des Six Jours en 1967, dans des territoires de l'ancienne Palestine. - invités : Alain Dieckhoff Sociologue, directeur de recherche CNRS et directeur du CERI de Sciences Po

Code source
« La seule solution, c'est la paix » : Ziad Medoukh, prof de français, témoigne depuis Gaza

Code source

Play Episode Listen Later Oct 19, 2023 12:56


Ziad Medoukh, 57 ans, est né et a grandi dans la bande de Gaza. Il vit toujours sur ce territoire qui subit actuellement des bombardements intenses, ainsi qu'un « siège complet », suite aux attentats terroristes du Hamas en Israël le samedi 7 octobre. Alors que le gouvernement israélien a appelé la population migrer vers le sud en vue d'une prochaine offensive aérienne et terrestre, Ziad Medoukh a décidé de faire évacuer sa famille et de rester chez lui, dans la ville de Gaza.Le conflit israélo-palestinien a jalonné toute la vie de ce Gazaoui. Il est né en 1966, un an avant la guerre des Six Jours. Depuis, les épisodes de tensions et de violences se succèdent. Mais ce professeur de langue française garde l'espoir de voir, un jour, ce conflit se solder par un processus de paix durable.Pour Code source, Ziad Medoukh raconte son histoire et son quotidien depuis que les bombardements à Gaza ont commencé, au micro d'Ambre Rosala.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Affaires sensibles
La maison de l'horreur 3/5 : Six jours avec Jean-Claude Romand

Affaires sensibles

Play Episode Listen Later Jul 30, 2023 56:25


durée : 00:56:25 - Affaires sensibles - Le 8 février 2019, la justice a rejeté la demande de remise en liberté du faux docteur qui avait assassiné sa famille en 1993, et l'a condamné à une peine de perpétuité assortie de 22 ans de sûreté. Retour sur son histoire, il y a 25 ans avec Julie Brafman qui suit l'affaire pour "Libération", notre partenaire mensuel.

Timeline (5.000 ans d'Histoire)
Xpresso / Une histoire des courses cyclistes - Jean-Noël Blanc

Timeline (5.000 ans d'Histoire)

Play Episode Listen Later Jul 11, 2023 23:47


Pour vous abonner à nos 300 émissions hebdomadaires d'une heure sans publicité pour seulement 2€ par mois, avec une nouvelle émission chaque jeudi rien de plus simple, cliquez ici : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Grands tours et classiques, duels d'anthologie, lieux cultes : la grande et la petite histoire du cyclisme et de ses champions, racontées avec gourmandise par Jean-Noël Blanc, à notre micro. À savourer ! Une idée de génie est toujours bête comme chou. Pourquoi avoir attendu 1817 pour inventer de placer deux roues l'une derrière l'autre au lieu de les disposer côte à côte ? Le baron allemand Drais les relie d'un montant de bois, et voici la draisienne, l'ancêtre du vélo. Le bicycle est d'emblée voué à la vitesse et à la course. En 1867, la première course emmène 100 participants de l'avenue d'Antin à Versailles. Trois ans plus tard, on compte déjà 270 courses en France ! Bien entendu, la compétition pousse aux améliorations techniques. L'histoire des courses cyclistes est donc celle de l'émancipation progressive du vélo vis-à-vis de la bicyclette. Il ne faut pas confondre les deux. La bicyclette sert à faire les courses quand le vélo est au service de la course : ici le quotidien, là l'exploit, le rêve, la légende. Cette magie émerveille : le public s'extasie devant ces champions qui défient la montagne ou domptent les pavés. En 50 micro-chapitres illustrés par de nombreux documents d'archives et des photos contemporaines, cet ouvrage brosse par petites touches un panorama du cyclisme, avec ses « forçats de la route », grimpeurs, rouleurs, sprinteurs ou simples équipiers, ses heures de gloire et ses drames, ses beaux gestes et ses tricheries, ses évolutions techniques et ses décors de théâtre. Tour de France, Bordeaux-Paris, Paris-Brest-Paris, Six Jours de Paris, Milan-San Remo, Tour des Flandres, Flèche wallonne, Paris-Roubaix, Tour de Lombardie, Paris-Nice, Critérium du Dauphiné, Giro : il fait revivre toutes les grandes courses, qu'elles appartiennent au passé ou qu'elles soient toujours à l'affiche. Une histoire non encyclopédique mais subjective, écrite dans une langue savoureuse par un amoureux du vélo et de l'écriture. Pour Xpresso, Jean-Noël Blanc reviens sur son ouvrage en pleine actu du Tour de France, évidemment !

En direct du monde
En Israël, une application redonne vie au quartier maghrébin de Jérusalem détruit pendant la guerre des Six-Jours

En direct du monde

Play Episode Listen Later Jun 28, 2023 2:53


durée : 00:02:53 - En direct du monde - Après des années de travail et de recherches, l'historien français Vincent Lémire lance une application pour smartphone qui permet de visiter virtuellement le quartier maghrébin de Jérusalem, détruit en 1967 par l'armée israëlienne.

Kan en Français
LA GUERRE DES SIX JOURS, 56 ANS PLUS TARD

Kan en Français

Play Episode Listen Later Jun 6, 2023 24:22


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Ça peut vous arriver
L'INTÉGRALE - Son turbo lâche au bout de six jours... le vendeur refuse d'intervenir !

Ça peut vous arriver

Play Episode Listen Later Sep 14, 2022 111:36


Christian est passé par un grand site Internet d'achats et de reventes de véhicules. Il a versé 13.000 € pour une voiture d'occasion censée être en parfait état. Seulement, 6 jours après, un voyant s'est allumé et il a constaté une nette perte de puissance. En cause, le turbo HS ! Depuis, le vendeur refuse de prendre en charge les réparations évaluées à plus de 2000€. Et ce, malgré la garantie légale de conformité qu'il doit respecter. Objectif de Julien et de son équipe: la prise en charge intégrale des réparations, en prenant en compte l'augmentation du prix des pièces.

Un jour, une histoire
Un jour, une histoire : La guerre des six jours

Un jour, une histoire

Play Episode Listen Later Jun 10, 2022 7:37


Chaque semaine, Haim Musicant nous raconte une histoire d'un personnage historique en relation avec la date du jour. Cette semaine, il nous raconte l'histoire de la guerre des six jours. 

Le billet politique
La Guerre des Six Jours

Le billet politique

Play Episode Listen Later May 30, 2022


Le billet d'humeur par Gil Taïeb

Le billet d’humeur
La Guerre des Six Jours

Le billet d’humeur

Play Episode Listen Later May 30, 2022


Le billet d'humeur par Gil Taïeb

Les Nuits de France Culture
Youssef Chahine : "J'en ai eu marre de toutes ces comédies américano-égyptiennes parce qu'elles étaient copiées plan par plan de films américains"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later May 15, 2022 29:59


durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - Dans ce troisième entretien, sur cinq de "A voix nue", Youssef Chahine évoquait sa conscience politique et comment elle se traduisait dans son cinéma. "Youssef Chahine 3/5 : Nasser, la Révolution, l'amour et le cinéma" un entretien diffusé la première fois le 21/07/2004. En 2004, alors qu'il terminait Alexandrie-New York, Youssef Chahine accordait à Tewfik Hakem une série de cinq entretiens d'À voix nue. Dans le troisième, on retrouvait le réalisateur au Caire, déplorant les difficultés financières qu'il rencontrait dans la production de ses films, en dépit du courage et de l'énergie de son coproducteur français Humbert Balsan.  * Ce troisième entretien tournait autour de la conscience politique de Youssef Chahine et comment elle se traduisait dans son cinéma. Une conscience politique éveillée en 1967, avec la défaite de la Guerre des Six Jours. En tant qu'Égyptien, cet esprit libre qu'était Chahine avouait en passant ne pas aimer les militaires, même honnêtes, comme Nasser l'était selon lui. Un entretien dans lequel il revenait aussi sur l'un de ses plus beaux films, Gare Centrale, qui marqua un tournant important pour le cinéma égyptien. Je n'ai glorifié aucun de ces gens-là, (Sadate, Nasser). D'ailleurs je n'aime pas beaucoup les militaires, qu'ils soient gentils, intelligents, qu'ils soient probes comme Nasser, ou qu'ils soient non probes comme tout le reste, mais je n'ai jamais fait un film pour glorifier n'importe qui.  Sur son film Gare centrale et ses personnages de marginaux :  Tous ces marginaux comptaient énormément pour moi parce que je me sentais marginal, trop marginal. Et probablement j'en ai eu marre de toutes ces comédies américano-égyptiennes parce qu'elles étaient copiées plan par plan de films américains. [...] Si tu ne crées pas, si tu imites quelqu'un, pourquoi être metteur en scène ? C'était un film qui sortait de mes tripes, je voulais le faire, je l'ai fait.  Sur sa position de créateur : Malgré moi, d'après mon éducation, d'après mon âme si tu préfères, j'étais du côté des malheureux, des pas-nantis. Je lisais beaucoup, je savais ce qui se passait en Europe, je savais ce qui se passait en Amérique [...] je n'avais pas envie de parler de n'importe quoi, je parlais du présent. Si tu vois mes films peut-être que je suis le seul qui a réellement raconté l'histoire de l'Egypte, je le dis aussi modestement que possible, mais c'est une vérité.  A la mort de Nasser : J'ai pris une caméra et suis allé filmer dans la rue. Pendant que je filmais j'avais envie de pleurer et je me disais 'non maintenant je suis en train de filmer, je vais pleurer plus tard'. Production : Tewfik Hakem  Réalisation : Catherine Prin-Le Gall A voix nue - Youssef Chahine 3/5 : Nasser, la Révolution, l'amour et le cinéma (1ère diffusion : 21/07/2004) Indexation web : Sandrine England, Documentation Sonore de Radio France

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Campagne électorale : quelle tendance dans les sondages à six jours du premier tour ?

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Apr 4, 2022 11:45


Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de cette campagne présidentielle et des récents sondages qui donnent toujours Emmanuel Macron et Marine Le Pen au second tour avec plus de 20% d'intentions de vote, talonnés de près par Jean Luc Mélenchon, 16%. Valérie Pécresse et Eric Zemmour restent bloqués autour des 10%. 

Face à  Duhamel
Face à Duhamel: Est-ce que ça peut encore bouger à six jours du premier tour ? – 04/04

Face à Duhamel

Play Episode Listen Later Apr 4, 2022 10:48


Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.

Face à  Duhamel
Face à Duhamel: Est-ce que ça peut encore bouger à six jours du premier tour ? – 04/04

Face à Duhamel

Play Episode Listen Later Apr 4, 2022 10:48


Mémoire de la Ve République, Alain Duhamel apporte son expérience et se confronte dans BFM Story à une duelliste de choc différente chaque soir.

Moyen Orientation
Comment la Jordanie a-t-elle annexé une partie de la Palestine ?

Moyen Orientation

Play Episode Listen Later Feb 28, 2022 16:20


Entre 1948 et 1967, la Cis-Jordanie et Jerusalem-est faisaient partie de la Jordanie. Les Jordaniens ont annexé ces territoires à la fin de la première guerre Israélo-Arabe de 1948 et en ont perdu le contrôle lors de la guerre des Six Jours. Ces vingts années ont laissé des traces profondes sur les deux rives du Jourdain. Par exemple, plus de la moitié des Jordaniens aujourd'hui sont Palestiniens ou descendants de Palestiniens. Ou encore, de nombreux sites religieux à Jérusalem, comme la mosquée Al Aqsa, sont toujours sous le contrôle du roi de Jordanie. Mais l'annexion Jordanienne de la Cis-Jordanie pose des questions. Quels étaient les plans du roi de Jordanie ? Comment les Palestiniens étaient-ils traités sous le contrôle  Jordanien ? Ou encore, est-ce qu'ils se sont battus pour l'indépendance contre la monarchie de Amman ? Retrouvez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/moyen.orientation/ Et sur Twitter: https://twitter.com/moyenorientati1 Un podcast du label Podcut

Le Cours de l'histoire
Histoire de Jérusalem 4/4 : La guerre des Six Jours, Jérusalem dans la tourmente

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Feb 24, 2022 52:07


durée : 00:52:07 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit - Du 5 au 10 juin 1967, la guerre dite "des Six Jours" oppose l'État d'Israël à trois de ses voisins, l'Égypte, la Jordanie et la Syrie. Comment Jérusalem-Ouest et Jérusalem-Est coexistaient-elles depuis la partition de 1948 ? Que symbolise la prise de la vieille ville aux yeux des États arabes ? - invités : Alain Dieckhoff Directeur du CERI-Sciences Po, directeur de recherche au CNRS; Catherine Nicault Professeure d'histoire contemporaine à l'Université de Reims; Valérie Hannin Directrice de la rédaction du magazine L'Histoire

Rav Avraham IFRAH
Shabbat, l'énergie des six jours de la semaine (15/02/22)

Rav Avraham IFRAH

Play Episode Listen Later Feb 17, 2022 78:23


Shabbat, l'énergie des six jours de la semaine (15/02/22) by Rav Avraham IFRAH

InterNational
A six jours du troisième référendum d'autodétermination en Nouvelle-Calédonie, les deux camps s'affrontent.

InterNational

Play Episode Listen Later Dec 7, 2021 4:09


durée : 00:04:09 - Chroniques littorales de José-Manuel Lamarque - par : Jose Manuel Lamarque - Une campagne télévisée suscite l'émoi des indépendantistes...

Diffusia.fr présente les dates de l'histoire
Le 30 août 1997, Mère Teresa apparaît en public pour la dernière fois. Elle meurt six jours plus tard

Diffusia.fr présente les dates de l'histoire

Play Episode Listen Later Oct 11, 2021 0:39


Les derniers jours de la future Mère Teresa, racontés par Jean-Louis Thiar, sont présentés dans le CD Sainte Teresa de Calcutta disponible sur Diffusia.fr

Rendez-vous culture
Rendez-vous culture - «En route pour le milliard» de Dieudo Hamadi

Rendez-vous culture

Play Episode Listen Later Sep 28, 2021 2:35


Les séquelles de la deuxième guerre du Congo s'invitent au cinéma cette semaine en France. Le nouveau documentaire de Dieudo Hamadi suit un groupe de rescapés de la guerre des Six Jours, qui ensanglanta Kinsagani il y a 21 ans. Ce film, En route pour le milliard, a été sélectionné au festival de Cannes l'an dernier. 

Le Club de l’auditeur | Deutsche Welle
"En route pour le milliard", des victimes luttent contre l'oubli !

Le Club de l’auditeur | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Aug 21, 2021 25:49


En juin 2000, la ville de Kisangani, en RDC, a subi les affrontements à l'arme lourde entre les armées ougandaise et rwandaise. Pendant vingt ans, les victimes de "la Guerre des Six Jours" ont lutté pour obtenir une reconnaissance du conflit, la condamnation des belligérants et des compensations financières.

SBS French - SBS en français
Retro: 05 Juin 1967 - La guerre des six jours

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Play Episode Listen Later Jun 5, 2021 7:37


Nous sommes le 5 juin...le 5 juin 1967...Israël lançait une vaste offensive contre l'Egypte..la Jordanie et la Syrie...une guerre expresse qui prenait de court ses voisins...la guerre des 6 jours a permis aux israéliens de conquérir le désert du Sinai..le plateau du Golan... la Cisjordanie... et Jerusalem Est,....C'est notre retro du jour avec les archives de l'INA...l'Institut National de l'Audiovisuel..

Reportages par SBS French - Reportages par SBS French
Retro: 05 Juin 1967 - La guerre des six jours

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Play Episode Listen Later Jun 5, 2021 7:37


Nous sommes le 5 juin...le 5 juin 1967...Israël lançait une vaste offensive contre l'Egypte..la Jordanie et la Syrie...une guerre expresse qui prenait de court ses voisins...la guerre des 6 jours a permis aux israéliens de conquérir le désert du Sinai..le plateau du Golan... la Cisjordanie... et Jerusalem Est,.... C'est notre retro du jour avec les archives de l'INA...l'Institut National de l'Audiovisuel..

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Retro: 05 Juin 1967 - La guerre des six jours

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Play Episode Listen Later Jun 5, 2021 7:37


Nous sommes le 5 juin...le 5 juin 1967...Israël lançait une vaste offensive contre l'Egypte..la Jordanie et la Syrie...une guerre expresse qui prenait de court ses voisins...la guerre des 6 jours a permis aux israéliens de conquérir le désert du Sinai..le plateau du Golan... la Cisjordanie... et Jerusalem Est,.... C'est notre retro du jour avec les archives de l'INA...l'Institut National de l'Audiovisuel..

Néo Géo
L'intégral : “Sur la route du sucre et du café” avec Frédéric Régent et l'hommage au musicien et compositeur Francis Bebey par Patrick et Kidi Bebey

Néo Géo

Play Episode Listen Later May 30, 2021 104:54


Portrait “Le continent africain est celui qui émet le moins de CO2 mais c'est le continent qui sera le plus impacté par la crise climatique. Par exemple en Afrique on a la forêt pluviale congolaise qui apparaît rarement aux infos mais on estime que d'ici 2100, elle aura disparu, pourtant dans cette forêt vivent des peuples indigènes et de nombreuses espèces. Donc nous devons tous nous battre pour l'Afrique.”Jeanne Lacaille dresse le portrait de Vanessa Nakate, jeune femme ougandaise qui milite activement pour que l'Afrique ne soit pas la grande oubliée de la question climatique. Elle passe tout son temps à aller à la rencontre des ougandais pour les informer sur l'état de la planète et les inciter à s'engager. Au programme : opérations de nettoyage, ramassage de déchets avec les plus âgés, sensibilisation ou installation de panneaux solaires et poêles écologiques dans les écoles... MusikactuRendez-vous en République Démocratique du Congo, à Kinshasa, pour un Musikactu spécial dédié au rappeur engagé Alesh. Dans son nouvel album très attendu “Mongogo”, la “voix” en lingala, il soulève des problématiques sociales et politiques du Congo : les arrestations abusives, les pillages et autres bavures de la police ou de l'armée, les abus de pouvoir des tribunaux… Rémi Benchebra revient sur la carrière du rappeur et nous présente cet album, “savant mélange de ndombolo et de musiques Afro comme le Kwaito, l'Afrobeat, le Kuduro, et de musiques purement électroniques”, où Alesh voyage entre les styles pour transmettre ses puissants messages. https://www.youtube.com/watch?v=I1HgwDj4Tt4D'ici et d'ailleursA l'occasion de la Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leur abolition qui se tient chaque année le 10 mai et se poursuit par plusieurs commémorations dans les différents départements et territoires d'outre-mer, la Mairie du 18ème arrondissement parisien vous propose cette année d'assister et participer à plusieurs événements qui s'y dérouleront jusqu'au 18 juin, sous le titre : “Abolition de l'esclavage : En finir avec les traites, en finir avec l'esclavage.” Au programme, exposition, théâtre et interview ! Bintou Simporé rencontre Fréderic Régent maître de conférences et directeur de recherche à l'Ecole d'histoire de la Sorbonne, sur le thème de la route de la canne à sucre, du café et de ces produits coloniaux qui ont été au coeur de l'economie de l'esclavage dans les anciennes colonies françaises d'outre-mer du 17ème siècle à l'abolition définitive de l'esclavage en 1848. MessageErol Josué, chanteur, danseur, chorégraphe et prêtre vaudou haïtien nous envoie le bonjour de Port-au-Prince, à l'occasion de la sortie de son nouvel album "Pelerinaj”, qu'il nous présente depuis son péristyle vaudou et autour d'un thé à la bergamote. Nous écoutons ensuite l'envoutant Erzulie, réalisé avec le musicien Philippe Cohen-Solal. https://www.youtube.com/watch?v=xg1v4cVbwtADe VisuLe cinéaste congolais Dieudo Hamadi, réalisateur de “En route pour le milliard", nous raconte la conception de son film, qui suit l'épopée de plusieurs personnages de l'Association des victimes de la Guerre des Six Jours de Kisangani. Excédés par l'indifférence des institutions à leur égard, ils ont décidé de descendre le fleuve Congo pour se rendre à Kinshasa et faire entendre leur voix, pour réclamer justice et indemnisations.Le film, sélectionné pour le festival de Cannes 2020, sera en salle en septembre 2021, et est à retrouver actuellement en avant première dans la région de Nantes et Saint Herblain pour le Festival Playtime et dans plusieurs villes de... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Vertigo - La 1ere
L'invitée : Mariana Otero, Gilles Caron étoile filante de la photographie

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Feb 1, 2021 28:19


Gilles Caron disparaît brutalement en 1970, à 30 ans, au Cambodge, au sommet dʹune carrière de photojournaliste fulgurante. En lʹespace de 6 ans, il a été lʹun des témoins majeurs de son époque, couvrant pour les plus grands magazines la guerre des Six Jours, mai 68, le conflit nord-irlandais ou encore la guerre du Vietnam. La réalisatrice Mariana Otero nous fait découvrir son travail dans le documentaire " Gilles Caron - Histoire dʹun regard ", disponible sur la plateforme suisse Filmingo. Mariana Otero est lʹinvitée de Pierre-Philippe Cadert.

Films récents - FilmsDocumentaires.com

Gilles Caron, alors qu’il est au sommet d’une carrière de photojournaliste fulgurante, disparaît brutalement au Cambodge en 1970. Il a tout juste 30 ans. En l’espace de six ans, il a été l’un des témoins majeurs de son époque, couvrant pour les plus grands magazines la guerre des Six Jours, mai 68, le conflit nord-irlandais ou encore la guerre du Vietnam.Lorsque la réalisatrice Mariana Otero découvre le travail de Gilles Caron, une photographie attire son attention qui fait écho avec sa propre histoire, la disparition d’un être cher qui ne laisse derrière lui que des images à déchiffrer. Elle se plonge alors dans les 100 000 clichés du photoreporter pour lui redonner une présence et raconter l’histoire de son regard si singulier.Compléments DVD :Entretien avec Mariana OteroConversation avec Michel Poivert, historien de la photographieConversation avec Edouard Elias, photographeStéréo et 5.1 • Sous-titres : français partiels et français pour sourds et malentendants • Audiodescription pour aveugles et malvoyantsDVD Pal Zone 2

Le journal de la mi-journée - Fabienne Le Moal
Six jours après les inondations, les habitants du Sud-Est toujours en état de choc

Le journal de la mi-journée - Fabienne Le Moal

Play Episode Listen Later Oct 8, 2020 1:44


Alors que le bilan humain continue de s’alourdir dans les Alpes-Maritimes, près d'une semaine après les terribles inondations qui ont frappé le département, les habitants présentent d'importants traumatismes. Entre flashbacks, insomnies ou encore ruminations, la solidarité et l'aide médicale sont plus que jamais nécessaire.

Le journal - Europe 1
Six jours après les inondations, les habitants du Sud-Est toujours en état de choc

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Oct 8, 2020 1:44


Alors que le bilan humain continue de s’alourdir dans les Alpes-Maritimes, près d'une semaine après les terribles inondations qui ont frappé le département, les habitants présentent d'importants traumatismes. Entre flashbacks, insomnies ou encore ruminations, la solidarité et l'aide médicale sont plus que jamais nécessaire.

Reportage Afrique
Reportage Afrique - [Rapport Mapping 3/3] RDC: la culture pour entretenir la mémoire

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Oct 2, 2020 2:28


Dans la ville de Kisangani, les acteurs culturels entretiennent la mémoire des violences qui ont détruit la ville et tué au moins 700 personnes. Trois acteurs sur la scène et un public très à l’écoute. La pièce qui se joue évoque la démocratie en Afrique et ses contradictions. C’est la 10e édition du Festival Ngoma. Le Groupe Taccems qui l’organise est spécialisé en théâtre en salle, mais joue aussi ce qu’il appelle théâtre d’intervention. C’est dans ce cadre qu’il a monté un spectacle sur la guerre des Six Jours. Une pièce qui a été difficile à jouer pendant l’occupation de la rébellion pro-rwandaise du RCD.  Olivier Maloba est directeur artistique du Groupe Taccems. « Ils étaient très bien informés sur le contenu du spectacle. Et cela posait beaucoup de problèmes. Nous avons été suspendus pendant le RCD. Il était interdit de jouer ce spectacle sur toute l’étendue occupée par le RCD parce que nous avons dénoncé les violences et les autres méfaits de la guerre sur le social de la population », raconte-t-il. « Le théâtre est le miroir, le reflet de la société » Mais Olivier Maloba et son équipe trouvent que c’est important de continuer à représenter ces violences. « Le théâtre pour nous est le miroir, le reflet de la société. Nous mettons sur le plateau ce que la société n’arrive pas à dire face aux contraintes politiques que nous subissons. Nous, en tant que culturels, nous avons la chance de nous retrouver sur le plateau sans distinguer le public et nous lançons notre message », explique-t-il. Les violences armées du début des années 2000 sont aussi présentes dans d’autres disciplines artistiques comme la chanson et la danse. Une troupe qui s’appelle « Carte routière de la Tshopo » est parmi les ballets folkloriques les plus connus de la ville.  Le spectacle, comme un livre destiné aux jeunes générations Sylvain Asani en est le coordonnateur : « Nous avons chanté en disant que nous ne voulons plus de la guerre ici dans la province de la Tshopo. La guerre ne nous ne nous a pas profité, bien au contraire. La guerre a détruit même nos valeurs culturelles et traditionnelles au-delà de la destruction des vies humaines et des édifices de notre ville. ». Pour lui, le spectacle est comme un livre destiné aux jeunes générations. « Parmi ces enfants, il se peut que les orphelins de la guerre des Six Jours soient présents. Ils doivent savoir pourquoi ils sont devenus orphelins. Et pourquoi la ville est dans cet état. Nous devons enseigner à ce peuple qu’il faut éviter les conflits parce que cela ne profite à personne », soutient Sylvain Asani. La Carte routière de la Tshopo tient également une micro-bibliothèque et une petite salle d’exposition d’objets d’art de la région. L’ambition, selon ses promoteurs, est de tirer de chaque culture de la province, des objets enseignant la paix, la justice et la cohabitation pacifique.

Le Nouvel Esprit Public
Covid : le tour de vis / Une nouvelle donne au Moyen-Orient / n°160 (27 septembre 2020)

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Sep 27, 2020 71:20


COVID : LE TOUR DE VIS Le ministre de la santé, Olivier Véran, a annoncé le 23 septembre, une série de nouvelles mesures pour lutter contre la pandémie de Covid, faisant étatd'une situation épidémique « globalement dégradée ». La France sera désormais divisée en plusieurs zones d'alerte dans lesquelles les restrictions, réévaluées tous les quinze jours, pourront être durcies. Soixante-neuf départements sur 101 sont en zone d'alerte. Aix-Marseille et la Guadeloupe ont été placées en « zone d'alerte maximale », l'échelon le plus haut avant le passage en état d'urgence sanitaire : les bars, les restaurants et tous les établissements recevant du public, sauf s'il existe un protocole sanitaire strict, y sont fermés depuissamedi. Onze métropoles – Paris, Lille, Toulouse, Saint-Etienne, Rennes, Rouen, Grenoble, Montpellier, plus Bordeaux, Lyon et Nice, qui s'y trouvaient déjà – ont été placées en « zone d'alerte renforcée ». Cela signifie à partir de lundi la fermeture des bars à 22 heures ; l’abaissement de la capacité d'accueil maximale des rassemblements à 1.000 personnes ; l’interdiction des grands événements déclarés ; l’interdiction des rassemblements de plus de dix personnes dans l'espace public ; la fermeture des salles de sport et des gymnases ; la fermeture de toutes les salles des fêtes et salles polyvalentes. Si la situation ne s'améliore pas, d'autres métropoles pourraient passer à ce niveau, a prévenu Olivier Véran, en citant « Tours, Strasbourg, Dijon et Clermont-Ferrand ». Et « si la situation se dégrade encore », de nouvelles villes pourraient être mises en alerte maximale. La Commissaire européenne à la Santé demande aux États-membres de durcir "immédiatement" leurs politiques de contrôle de l'épidémie de Covid-19 jugeant la situation "préoccupante". L'annonce des nouvelles mesures a suscité de vives réactions notamment chez les élus locaux qui reprochent d’abord au gouvernement un manque de concertation. L'Association des maires de France a déploré « un retour en arrière dans l'esprit de concertation » entre l'Etat et les maires. A Marseille, des élus et des habitants sont en colère et considèrent les nouvelles restrictions comme une « punition ». Ils réclament un délai de dix jours avant leur mise en œuvre. Les critiques sont également économiques. Dans le secteur de la restauration, tout cela sonne comme une « catastrophe économique », redoute la présidente de la métropole Aix-Marseille-Provence, Martine Vassal. La Chambre de commerce et d'industrie Aix-Marseille-Provence parle elle d'un « reconfinement économique ». A Paris, le premier adjoint de la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire dénonce « un risque économique immense », tandis que la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo a dit avoir protesté auprès du gouvernement et du préfet. Auditionné le 24 septembre au Sénat par la commission d'enquête sur la gestion de la crise du coronavirus, le ministre de la Santé s’est défendu de ces critiques en affirmant « à un moment, le principe de responsabilité doit primer ».*** UNE NOUVELLE DONNE AU MOYEN ORIENT Moins d'un mois après la normalisation des relations entre Israël et les Émirats arabes unis, officialisée le 13 août, une deuxième monarchie du golfe Persique, Bahreïn, saute le pas de la reconnaissance diplomatique de l'Étathébreu. L'annonce a été faite le 11 septembre, dans un communiqué conjoint de la présidence américaine, de la Couronne bahreïnie et du gouvernement israélien. Le petit archipel devient le quatrième État arabe à établir des relations officielles avec Israël, après les Émirats arabes unis, la Jordanie en 1994 et l'Égypte en 1979. Ces accords appelés par Washington « Accords d'Abraham », du nom du patriarche des trois religions monothéistes, ont été rédigés par Jared Kushner, le gendre du président américain. Donald Trump les a signés en tant que médiateur. Ils ne mettent pas fin à un conflit puisque les Émirats arabes unis et Bahreïn n'ont jamais été en guerre contre Israël. Les deux pays du Golfe ont obtenu leur indépendance tous deux en 1971, bien après la guerre des Six Jours de 1967. Les traités officialisent une normalisation avec l'État hébreu et une coopération qui était effective mais niée depuis plusieurs années. Lors de la signature, le Président américain a évoqué l'avènement d'un « nouveau Moyen-Orient » tandis que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a de son côté qualifié ces accords de « tournant de l'histoire » estimant qu'ils pouvaient « mettre fin au conflit israélo-arabe une fois pour toutes ». Pour sa part, Bahreïn a appelé à une solution à deux États entre Israéliens et Palestiniens. Quant aux Émirats arabes unis, ils ont remercié Netanyahu « d'avoir stoppé l'annexion des Territoires palestiniens ». L'Autorité palestinienne considère ces accords comme des « coups de poignard dans le dos ». Un membre du Comité exécutif de l'Organisation de libération de la Palestine Ahmed Majdalani a déclaré : « Selon nos estimations, quatre ou cinq pays arabes pourraient être prêts, après Bahreïn et les Émirats arabes unis, à aller de l'avant pour instaurer une paix imaginaire. » S’il n’a pas précisé les noms de ces pays, des sources palestiniennes ont fait référence à Oman, au Soudan, à la Mauritanie et au Maroc. L’Iran et la Turquie ont également condamné ces accords. Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a accusé les Émirats arabes unis d’avoir « trahi » les pays arabes, tandis que le ministre des Affaires étrangères iranien a estimé que « les dirigeants de Bahreïn seront désormais complices des crimes » d’Israël. Pour la première fois depuis 1948, la Ligue arabe, convoquée à la demande des Palestiniens, n'a pas condamné les initiatives des Émirats arabes unis et de Bahreïn. L'Arabie saoudite, elle, n'a toujours pas réagi. En revanche, alors même que la cérémonie était toujours en cours à la Maison-Blanche, les sirènes ont retenti dans le sud d'Israël où deux roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Serge Klarsfeld (6/12) : Serge Klarsfeld : "Ce qui est passionnant avec Casanova, c’est qu’on entre dans un récit qui nous permet de voyager à travers l’Europe du XVIIIème siècle"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 10, 2020 30:00


durée : 00:30:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Deuxième entretien de Serge Klarsfeld pour sa "Nuit rêvée" pour laquelle il a choisi des archives consacrées à Arthur Koestler, à Stendhal, à Casanova, à la guerre des Six Jours ou encore à Marcel Cerdan, mais aussi à Julien Gracq, Claude Lanzmann, et sa femme Beate. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Serge Klarsfeld Avocat, fondateur de l'Association des fils et filles des déportés juifs de France.

Les Nuits de France Culture
La Nuit rêvée de Serge Klarsfeld (12/12) : La Nuit rêvée de Serge Klarsfeld - Entretien 3/3

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 10, 2020 9:00


durée : 00:09:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dernier entretien de Serge Klarsfeld pour sa "Nuit rêvée" pour laquelle il a choisi des émissions consacrées à Arthur Koestler, à Stendhal, à Casanova, à la guerre des Six Jours ou encore à Marcel Cerdan, mais aussi les voix de Julien Gracq, de Claude Lanzmann, et de sa femme Beate. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Serge Klarsfeld Avocat, fondateur de l'Association des fils et filles des déportés juifs de France.

Radio Prédication
La Pensée du jour du TopC - La transfusion - Jean-Louis Gaillard

Radio Prédication

Play Episode Listen Later Jul 15, 2020 2:58


La transfusion Le sang de Jésus-Christ son Fils nous purifie de tout péché ! 1 Jean 1.7 Durant la guerre des Six Jours en Israël, une fillette arabe de 7 ans, vivant dans un orphelinat de Netanya, venait d’être grièvement blessée par un éclat d'obus de mortier. Les premiers soins d'urgence lui... Par Jean-Louis Gaillard

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi la flotte jaune est restée célèbre ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Jun 24, 2020 2:28


Composée de 14 bateaux en provenance de pays divers, la flotte jaune est restée bloquée dans le canal de Suez – de 1967 à 1975 – en conséquence de la guerre des Six Jours opposant Israël aux pays arabes voisins. Progressivement recouverts du sable venant du désert, ces navires héritèrent - de ce fait - du surnom sous lequel on les désigne toujours actuellement... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Les matinales
Invitée de Sandrine Sebbane : Catherine Bardon pour « Et la vie reprit son cours » paru aux éditions Les Escales

Les matinales

Play Episode Listen Later Jun 18, 2020


Les matinales présentées par Sandrine Sebbane qui reçoit Catherine Bardon pour son roman « Et la vie reprit son cours » paru aux éditions Les Escales, auteure de guides de voyage et d’un livre de photographies sur la République Dominicaine où elle a vécu. Après « L’Américaine », ce roman est le 3e tome qu’elle consacre à la « Saga des Déracinés » saluée par de nombreux prix. À propos du livre : "Et la vie reprit son cours" paru aux Editions Les Escales LA SAGA LES DERACINES Après Les Déracinés et L'Américaine, découvrez le troisième tome de la superbe fresque historique imaginée par Catherine Bardon. Au cœur des Caraïbes, en République dominicaine, la famille Rosenheck ouvre un nouveau chapitre de son histoire. Jour après jour, Ruth se félicite d'avoir écouté sa petite voix intérieure : c'est en effet en République dominicaine, chez elle, qu'il lui fallait poser ses valises. Il lui suffit de regarder Gaya, sa fille. À la voir faire ses premiers pas et grandir aux côtés de ses cousines, elle se sent sereine, apaisée. En retrouvant la terre de son enfance, elle retrouve aussi Almah, sa mère, l'héroïne des Déracinés. Petit à petit, la vie reprend son cours et Ruth – tout comme Arturo et Nathan – sème les graines de sa nouvelle vie. Jusqu'au jour où Lizzie, son amie d'enfance, retrouve le chemin de Sosúa dans des conditions douloureuses. Roman des amours et de l'amitié, Et la vie reprit son cours raconte les chemins de traverse qu'emprunte la vie, de défaites en victoires, de retrouvailles en abandons. Guerre des Six-Jours, assassinat de Martin Luther King, chute de Salvador Allende... Catherine Bardon entrelace petite et grande histoire et nous fait traverser les années 1960 et 1970. Après Les Déracinés, salué par de nombreux prix, et le succès de L'Américaine, elle poursuit sa formidable fresque romanesque. " La saga qui nous transporte. " Olivia de Lamberterie, ELLE Catherine Bardon est une amoureuse de la République dominicaine où elle a vécu de nombreuses années. Elle est l’autrice de guides de voyage et d’un livre de photographies sur ce pays. Aux éditions Les Escales, elle est l'autrice de la saga "Les Déracinés".

Ciné Parler avec Bobo Léon / CinéMaRadio
Critique du film documentaire HISTOIRE D'UN REGARD

Ciné Parler avec Bobo Léon / CinéMaRadio

Play Episode Listen Later Mar 16, 2020 7:50


Bobo Léon a vu le film HISTOIRE D'UN REGARD distributé par Diaphana Distribution. Voici ce qu'il a pensé de ce film documentaire dans le podcast cine de Cinémaradio à écouter sur la radio cinéma.      SYNOPSIS ET DÉTAILS Gilles Caron, alors qu’il est au sommet d’une carrière de photojournaliste fulgurante, disparaît brutalement au Cambodge en 1970. Il a tout juste 30 ans. En l’espace de 6 ans, il a été l’un des témoins majeurs de son époque, couvrant pour les plus grands magazines la guerre des Six Jours, mai 68, le conflit nord-irlandais ou encore la guerre du Vietnam. Lorsque la réalisatrice Mariana Otero découvre le travail de Gilles Caron, une photographie attire son attention qui fait écho avec sa propre histoire, la disparition d’un être cher qui ne laisse derrière lui que des images à déchiffrer. Elle se plonge alors dans les 100 000 clichés du photoreporter pour lui redonner une présence et raconter l’histoire de son regard si singulier.

Cinémaradio LE podcast cinéma
Critique du Film Documentaire HISTOIRE D'UN REGARD

Cinémaradio LE podcast cinéma

Play Episode Listen Later Feb 2, 2020 7:50


Bobo Léon a vu le film HISTOIRE D'UN REGARD distributé par Diaphana Distribution. Voici ce qu'il a pensé de ce film documentaire dans le podcast cine de Cinémaradio à écouter sur la radio cinéma.      SYNOPSIS ET DÉTAILS Gilles Caron, alors qu’il est au sommet d’une carrière de photojournaliste fulgurante, disparaît brutalement au Cambodge en 1970. Il a tout juste 30 ans. En l’espace de 6 ans, il a été l’un des témoins majeurs de son époque, couvrant pour les plus grands magazines la guerre des Six Jours, mai 68, le conflit nord-irlandais ou encore la guerre du Vietnam. Lorsque la réalisatrice Mariana Otero découvre le travail de Gilles Caron, une photographie attire son attention qui fait écho avec sa propre histoire, la disparition d’un être cher qui ne laisse derrière lui que des images à déchiffrer. Elle se plonge alors dans les 100 000 clichés du photoreporter pour lui redonner une présence et raconter l’histoire de son regard si singulier.

Louis French Lessons
Au bout de six jours (After six days)

Louis French Lessons

Play Episode Listen Later Jan 31, 2020 3:50


Texte: Un cobra égyptien vénéneux qui avait disparu du zoo du Bronx à New York a été retrouvé après six jours. Traduction: A venomous Egyptian cobra which went missing from the Bronx Zoo in New York has been found after six days. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Real Life French
Au bout de six jours (After six days)

Real Life French

Play Episode Listen Later Jan 31, 2020 3:21


Texte: Un cobra égyptien vénéneux qui avait disparu du zoo du Bronx à New York a été retrouvé après six jours. Traduction: A venomous Egyptian cobra which went missing from the Bronx Zoo in New York has been found after six days.

Esprit politique
À six jours du vote, rien n'est joué!

Esprit politique

Play Episode Listen Later Oct 15, 2019 64:32


L’Histoire des Juifs d’Eretz Israël
L’histoire des juifs d’Eretz Israël par Gérard Unger Episode N°30 – La guerre des six jours et ses conséquences.

L’Histoire des Juifs d’Eretz Israël

Play Episode Listen Later Dec 22, 2018


Planétoscope
L'urgence aux Etats-Unis face à la dépendance aux opiacés

Planétoscope

Play Episode Listen Later Jun 9, 2017


On prendra la direction des états-unis au tout début de cette émission. En 2015, 33 000 personnes ont succombé à une overdose d’opiacés dans le pays. Ces substances, souvent prescrites par ordonnance, sont particulièrement consommées dans l’état de Virginie Occidental. Reportage sur place signé Frédéric Autran. On ira ensuite au Royaume-Uni, pays touché par un attentat terroriste samedi dernier revendiqué par le groupe daesh. C’est le troisième en moins de trois mois en Grande-Bretagne. On retrouvera notre correspondante à Londres et Christophe Godinot en studio pour le décryptage de la situation. Dans la seconde partie de Planetoscope, vous retrouverez notre coup de cœur média de la semaine et l’éphéméride. Matthias Raynal a choisi de nous parler aujourd’hui de la bande dessinée, "Un chant d'amour - Israël/Palestine, une histoire française". L’ouvrage est sorti à l'occasion du cinquantenaire de la guerre des Six-Jours. Enfin rendez-vous avec Matthias Raynal pour l’éphéméride de ce vendredi. Il y a 83 ans, jour pour jour, le canard des studios Disney, Donald Duck, faisait ses premiers pas au cinéma.

Bibliomaniacs
Bibliomaniacs épisode 22 décembre 2015

Bibliomaniacs

Play Episode Listen Later Nov 30, 2015 62:14


Voici une émission un peu spéciale, nous avons toutes été choquées et marquées par les attentats du 13 Novembre, et nous débutons ce Bibliomaniacs de Décembre avec un texte qui exprime notre ressenti par rapport à ces actes ignobles et notre amour de la culture. A l'affiche ce mois-ci : "La Petite Femelle" de Philippe Jaenada, publié aux Editions Julliard, 720 pages. "Les Enfants de Dimmuvik" de Jon Atli Jonasson, publié chez Noir sur Blanc, traduit de l'islandais par Catherine Eyjolfsson , 96 pages. "Six Jours" de Ryan Gattis, publié chez Fayard, traduit de l'américain par Nicolas Richard , 432 pages Et comme toujours nos coups de cœur sur notre site

BAnQ - Baladodiffusion
Série carte blanche à Jean-François Lépine - La Palestine

BAnQ - Baladodiffusion

Play Episode Listen Later May 4, 2015 112:22


Dans l’histoire de l’humanité, comme dans celle du règne animal, d’ailleurs, le territoire a toujours constitué un important enjeu pour les familles, les tribus et plus tard pour les États-nations. Que ce soit pour en protéger l’intégrité ou pour en agrandir la superficie, les peuples ont eu recours à la guerre au nom du territoire, entraînant la mort de millions d’êtres humains. La Palestine Il existe peu de territoires dans le monde qui sont occupés par une puissance étrangère. Or, depuis la guerre des Six Jours, en 1967, c’est le cas de la Cisjordanie, pierre angulaire de ce qui pourrait devenir un jour l’État de la Palestine. Depuis 1967, deux résolutions adoptées par le Conseil de sécurité des Nations Unies, et jamais révoquées depuis, demandent à l’armée israélienne de se retirer de la Cisjordanie où elle a implanté une administration militaire sur des territoires occupés illégalement, au sens du droit international. La question du territoire palestinien va cependant bien au-delà de la seule Cisjordanie, puisque les Palestiniens demandent, dans le cadre de négociations avec l’État hébreu, non seulement le plein contrôle du territoire de la Cisjordanie, mais aussi celui de la bande de Gaza. Les citoyens de cette enclave abandonnée par l’armée israélienne en 2005 ne jouissent ni de la liberté de circulation ni d’un statut international reconnu. Les Palestiniens revendiquent en outre le droit de retour à l’intérieur des frontières de la Palestine historique, c’est-à-dire aussi en Israël, où beaucoup de Palestiniens de la diaspora possèdent encore des droits de propriété reconnus. Journaliste émérite, Jean-François Lépine est maintenant analyste international, conférencier et associé, communications et affaires gouvernementales, au sein d’Avistra International. Il est aussi président de l’Observatoire sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord (OMAN) de l’Université du Québec à Montréal. Grand reporter international pour la Société Radio-Canada et la CBC à Pékin, Paris et Jérusalem de 1982 à 1990, il est reconnu comme un analyste et un communicateur hors pair. Depuis 1990, il a présenté plusieurs émissions d’affaires publiques à la télévision de Radio-Canada, dont Enjeux, Le point, Zone libre et, plus récemment, Une heure sur terre, qui était aussi diffusée sur TV5Monde. Jean-François Lépine a été nommé officier de l’Ordre du Canada en juin 2012. Invité : Fouad SahyounQuébécois d’origine palestinienne, né à Haïfa, d’où sa famille a été forcée à l’exil sans droit de retour, en 1948, lors de la guerre arabo-israélienne qui a mené à la création de l’État d’Israël, Fouad Sahyoun a fait l’objet d’un documentaire intitulé Le rêve de Fouad, dont un court extrait sera diffusé lors de la soirée. Grande Bibliothèque AuditoriumLe mardi 5 mai, à 19 h

C'est pas faux
La Création en six jours ?

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Play Episode Listen Later Feb 10, 2014


Le théologien et docteur en sciences historiques Matthieu Richelle livre son point de vue sur la Création du monde décrite dans le livre biblique de la Genèse.

Guide du converti musulman: Chapitre du Jeûne

Six jours de chawwal

Les Impunissables
Episode 1 (s.2) : Six jours...

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Play Episode Listen Later Nov 1, 2010 5:03


TITRE : Six jours... SORTIE : 1 novembre 2010 PERSONNAGES : L'ingé son, Muginino, Nicole, Jenny, Pedro, Amilton, l'agent Johnson, Allonzo, Padrino, un fou au téléphone MUSIQUES : "Monochrome" de Radius System, "You'd better watch out" de All My Faults, "Translate" de Daniel Artner, "Sweet as a cat" de Delgarma SYNOPSIS : Marc est obnubilé par son désir de vengeance, et va même jusqu'à provoquer une dispute avec Nicole, mais il ignore que dans son dos s'organisent des choses qui n'augurent rien de bon. Les rapports changent progressivement, vers plus de complots et de secrets, aussi bien du côté du parrain que du côté de ce mystérieux troisième camp, dans lequel l'inspecteur Amilton semble d'ailleurs être plus impliqué que nécessaire. A-t-il finalement été corrompu comme tant de ses collègues ? Nul ne le sait...