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durée : 01:59:37 - Émission spéciale École Normale de Musique de Paris - Alfred Cortot - par : Clément Rochefort - Une émission spéciale École Normale de Musique de Paris - Alfred Cortot, avec Murielle Hurel, directrice, enseignants de toutes disciplines, anciens élèves & élèves actuels - réalisé par : Claire Lagarde
La Minute Crooner Attitude, le billet d'humeur de Jean-Baptiste Tuzet, tous les jours de la semaine, 9 h 15 et 19 h 15 sur Crooner RadioHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
CHOPIN: Sonata para piano nº 1 en Do menor, Op. 4 (23.44). V. Ashkenazy (p.). Balada nº 1 en Sol menor, Op. 23 (8.35). M. Pollini (p.). Scherzo nº 1 en Si menor, Op. 20 (8.18). B. Grosvenor (p.). Preludio nº 17 en La bemol mayor (24 Preludios, Op. 28) (2.26). A. Cortot (p.).Escuchar audio
CHOPIN: Variaciones sobre “La ci darem la mano” de Don Giovanni de Mozart, Op. 2 (arr. para p.) (17.04). D. Trifonov (p.). Gran Rondó de concierto para piano y orquesta en Fa mayor, Op. 14 “Krakowiak” (13.36). J. Lisiecki (p.), Orq. NDR ElbPhilarmonie. Dir.: K. Urbanski. Introducción y variaciones sobre “Je vends des scapulaires de “Ludovic” de Ferdinand Herold, Op. 12 (8.10). V. Ashkenazy (p.). Preludio nº 24 en Re menor (24 Preludios, Op. 28) (2.26). A. Cortot (p.).Escuchar audio
"Kein Mucks!" – der Krimi-Podcast mit Bastian Pastewka (Neue Folgen)
Bastian Pastewka präsentiert gleich zwei Hörspiele, die auf wahren Begebenheiten beruhen – eines aus der Reihe Hoher Gerichtshof, das zweite aus Die wahren Fälle. Das erste Stück von Ludwig von Rees und Martin Roccard aus dem Jahr 1955 beginnt wie ein Witz: Ein Mann kommt in eine Bar… Dort hört er die Geschichte von Marie Cortot. Sie ist angeklagt, ihren Mann und ihren Bruder ermordet zu haben. Aber ist sie wirklich die Täterin? Das zweite Hörspiel von 1963, geschrieben von Nikolai von Michalewsky hat ein ungewöhnlich hohes Leichenaufkommen. Ein kleiner Versicherungsagent wehrt sich gegen einen Betrug und will helfen, die Stawiski-Affäre aufzudecken. Diese kostete unzähligen Franzosen ihre Ersparnisse, ruinierte Banken, Firmen und renommierte Unternehmen und verursachte den Sturz zweier Kabinette. Mehr Krimis für die Hartgesotten: https://1.ard.de/knallhart
durée : 00:04:58 - Classic & Co - par : Anna Sigalevitch - Anna Sigalevitch évoque ce matin La Musikfest parisienne, trois soirées de musique de chambre imaginées par la violoniste Liya Petrova qui se tiendront du 13 au 15 mars Salle Cortot à Paris…
Dans cette épisode je reçois un véritable pro avec plus de 20 ans de métiers, ambitieux et surtout très audacieux. Si vous êtes sur Linkedin, vous n'avez pas pu louper ses posts. Au programme, des montages photos avec des chats, des hélicoptères et des avions de chasse, mais surtout des dizaines de clients heureux qui posent fièrement à côté de leurs nouvelles voitures. Un ton décalé, plein d'humour et un professionnalisme à toute épreuve font le succès de Milton Avenue et de Benoit. Localisé au fin fond de la Creuse, Benoit est définitivement un cas à part dans le monde automobile. Aujourd'hui Milton Avenue c'est plus de 700 VO vendus en 2022 après moins de 3 ans d'existance, 12 salariés, plus de 12 millions de CA et des projets pleins les tuyaux. Dans cette épisode, Benoit revient sur son parcours, ses succès mais aussi ses échecs avec une très grande sincérité, sur sa passion de l'auto et sur ce qu'il l'a conduit à cette statégie de communication audacieuse qui fait son succès. Un épisode passionnant Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ՓԱՐԻԶ - Առնօ Բաբաջանեանին նուիրուած համերգ՝ «Cortot» սրահին մէջ։ Ալիեւի համաձայն՝ Արցախահայութեան համար մնացած է մէկ ճամբայ՝ «Ազերպայճանի օրէնքներուն ենթարկուիլ, պետական ստորոգելիները աղբանոց նետել եւ խորհրդարանը լուծարել»։ Րաֆֆի Յովհաննէսեանին արգիլած են բարձրանալ Սարդարապատ, ան հետը ծաղիկները խոնարհած է կպրապատ ճամբուն վրայ։ Արցախ մեկնելու կարելիութենէ զրկուած Արցախցիները տակաւին կը բնակին Գորիսի պանդոկներու մէջ։ ՍՊԱՆԻԱ - Քառալեզու բառարանի շնորհահանդէս՝ Վալանսի մէջ։
ՓԱՐԻԶ Առնօ Բաբաջանեանին նուիրուած համերգ՝ «Cortot» սրահին մէջ ՍՏԵՓԱՆԱԿԵՐՏ Յուշ֊երեկոյթ՝ նուիրուած բանաստեղծ Վարդան Յակոբեանի 75-ամեակին ԳԵՐՄԱՆԻԱ Միւնիխի մէջ բարեսիրական համերգ՝ նուիրուած Արամ Խաչատրեանի 120-ամեակին ԻՏԱԼԻԱ Դաշնակահար Լաուրա Գալստեան շահած է «Làszlò Spezzaferri» միջազգային երաժշտական մրցանակը ՍՊԱՆԻԱ Քառալեզու բառարանի շնորհահանդէս՝ Վալանսի մէջ --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/radioayk/message
durée : 01:58:53 - Marcelle Meyer, le soleil dans un piano - par : Philippe Cassard - Formée par Cortot, elle fut la Muse du Groupe des Six, l'amie de Stravinsky, la pianiste que Richard Strauss engagea pour jouer sa Burlesque. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:14:03 - Disques de légende du mercredi 20 avril 2022 - Aujourd'hui dans Disques de légende, nous écoutons le Trio n°1 en ré min op 63 de Schumann par le trio Alfred Cortot, Jacques Thibaud et Pablo Casals.
“Charles Camoin“ un fauve en libertéau Musée de Montmartre, Parisdu 11 mars au 11 septembre 2022Interview de Assia Quesnel, historienne de l'art et responsable des archives Camoin,et de Saskia Ooms, responsable de la conservation du Musée de Montmartre, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 8 mars 2022, durée 27'49.© FranceFineArt.Communiqué de presseCommissariat :Assia Quesnel, historienne de l'art et responsable des archives CamoinSaskia Ooms, responsable de la conservation du Musée de MontmartreConseil scientifique : Claudine Grammont, docteure en histoire de l'artLe Musée de Montmartre consacre une importante exposition à Charles Camoin (Marseille 1879-Paris 1965), figure méconnue du fauvisme. Sous le titre Charles Camoin, un fauve en liberté, l'exposition propose une redécouverte de son oeuvre et réunit une centaine de peintures et dessins, dont certains inédits ou rarement montrés, et ce à l'emplacement même de l'un de ses ateliers, le 12 rue Cortot qu'il occupa en 1908.À la fois chronologique et thématique, le parcours retrace la trajectoire artistique de Camoin, souvent qualifié de « fauve méditerranéen ». L'accrochage explore plusieurs épisodes de sa vie qui ont permis de l'inscrire, à partir de ses liens avec Paris et la bohème montmartroise, dans le cercle de l'avant-garde internationale : d'abord sa formation parisienne à l'École des Beaux-Arts – où il se lie avec Matisse, Marquet et Manguin – et son affiliation au fauvisme ; puis sa période expressionniste, à la fois marquée par sa relation avec la peintre Émilie Charmy, la destruction de l'ensemble des toiles de son atelier en 1914 et sa mobilisation durant la Première Guerre mondiale ; enfin, ses années de maturité où il poursuit ses recherches sur le nu féminin et le paysage.Regarder l'oeuvre de Charles Camoin, c'est suivre au plus près une quête artistique ayant pour principaux cadres non seulement le Sud de la France et les rives de la Méditerranée – d'où il est originaire – mais aussi Paris et Montmartre – où il a vécu toute sa vie. La découverte de la lumière méridionale a constitué pour ses camarades un facteur décisif dans l'élaboration du fauvisme, le « vaillant Marseillais, Carlos Camoin » comme le surnommait Cézanne, de cultiver toute sa vie durant cet émerveillement. À rebours, c'est en allant vers le Nord qu'il a rejoint le fauvisme et où il a sans doute apporté sa culture méditerranéenne.Car, si le peintre revendique son indépendance artistique et opte pour une approche sensualiste et hédoniste toute personnelle, son oeuvre partage avec celle de ses camarades des spécificités communes : l'affranchissement de l'imitation du réel, la recherche d'une expression intuitive, la simplification des formes, l'autonomisation relative de la couleur, ou encore l'apparence d'improvisation rapide.[...] Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Born in Wiesbaden, Germany, in 1994, to German-Korean parents, she started piano at age four. Only three years later, she became a student of professor Irina Edelstein. Since 2009, Gina Alice has been studying piano at the Academy of Music and Performing Arts in Frankfurt, as a junior student of Lev Natochenny's master class. Since 2012, she has been a student of Bernhard Wetz at the Academy of Music and Performing Arts in Frankfurt.Tracklist:01. 1. Von fremden Ländern und Menschen02. No. 4 in D Major: Andante cantabile03. 7. Träumerei04. No. 1 in E-Flat Major: Andante moderato05. Seascape (Arr. Bill Evans for Piano)06. Silver Clouds Chasing the Moon (Arr. Wang Jian Zhong for Piano)07. Opus08. Gymnopédie No. 109. Vladimir's Blues10. Comptine d'un autre été, l'après-midi11. Liszt: Widmung, S. 566 (after R. Schumann)12. No. 2 in E-Flat Major: Andante13. Wiegenlied, Op. 49 No. 4 (Arr. Cortot for Piano)14. No. 5 in F-Sharp Minor. Allegro (Bonus track)15. Canon in D Major (Arr. Yukie Nishimura for Piano)16. La plus que lente, L. 12117. The Dance of Waterweeds18. A Catalogue of Afternoons19. Encore20. No. 5 in G Major: Moderato21. 3. Clair de lune22. Blonde23. Merry-Go-Round24. 2. Intermezzo in A Major. Andante teneramente25. II. Adagio cantabile26. No. 3 in D-Flat Major. Lento placido27. 12. Kind im Einschlummern28. No. 15 in A-Flat Major (Bonus track)Purchase the music (without talk) at:Wonderworld (classicalsavings.com)Your purchase helps to support our show! Classical Music Discoveries is sponsored by La Musica International Chamber Music Festival and Uber. @khedgecock#ClassicalMusicDiscoveries #KeepClassicalMusicAlive#LaMusicaFestival #CMDGrandOperaCompanyofVenice #CMDParisPhilharmonicinOrléans#CMDGermanOperaCompanyofBerlin#CMDGrandOperaCompanyofBarcelonaSpain#ClassicalMusicLivesOn#Uber Please consider supporting our show, thank you!http://www.classicalsavings.com/donate.html staff@classicalmusicdiscoveries.com This album is broadcasted with the permission of Katy Solomon from Morahana Arts and Media.
Marie-Lou Kazmierczak n'est pas une habituée de la scène en tant que musicienne mais elle la connait aussi bien que tous les artistes qu'elle porte et soutient au sein de son agence brusselloise, Arts/Scène Diffusion. Le 21 novembre 2021, tous les artistes d'Arts/Scène Diffusion (ou presque) convient le public à un concert festif et hautement joyeux, autour de Marie-Lou Kazmierczak à qui ils souhaitent ainsi témoigner soutien et reconnaissance. L'année fut chaotique. Mais place à la vie et honneur à l'agent qui les portent... Voici donc les artistes de l'agence prêts à nous accueillir à Cortot. Claire-Marie Le Guay, pianiste, évoque ce concert mais aussi la relation qu'elle entretient avec son agent, Marie-Lou Kazmierczak. Réserver ici. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:03 - Disques de légende du lundi 22 mars 2021 - Le pianiste Alfred Cortot, le violoniste Jacques Thibaud et le violoncelliste Pablo Casals imaginent une nouvelle conception du trio : exportable, vendeur, enregistré ; le trio moderne est né. Il réunit trois immenses musiciens qui dédieront trente années de leurs vies à la musique de chambre.
“Le Paris de Dufy” au Musée de Montmartre, Parisdu printemps à septembre 2021Extrait du communiqué de presse :Commissariat :Didier Schulmann, Ancien Conservateur au Musée national d'art moderne/CCI – Centre Pompidou, Paris Saskia Ooms, Responsable de la conservation du Musée de Montmartre Scénographie, Atelier Maciej Fiszer La mémoire collective retient de Raoul Dufy (1877-1953) la dextérité de son trait, l'équilibre de ses compositions, son talent de coloriste, son sens de la synthèse et sa monumentale Fée Electricité ; et sous la plume des critiques, pour caractériser son oeuvre, les mots de charme, distinction, légèreté, élégance, fraîcheur se sont imposés à la sensibilité commune. L'exposition « Le Paris de Dufy » que présente le Musée de Montmartre a pour ambition de montrer et d'étudier le choix de la thématique de Paris comme motif dans l'oeuvre de l'artiste : un sujet qui, malgré les nombreuses expositions dédiées à Raoul Dufy, n'a jamais été traité jusqu'à aujourd'hui.Organisée avec la participation exceptionnelle du Centre Pompidou, en partenariat avec le Mobilier national et les manufactures des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie, l'exposition réunit près de deux-cents oeuvres et documents de Raoul Dufy (peintures, dessins, aquarelles, lithographies, céramiques, tapisseries, mobilier, objets et photographies), représentatives du Paris qui a inspiré l'artiste : Montmartre, ses ateliers parisiens, ses monuments les plus emblématiques – la tour Eiffel, le Panthéon, les Invalides, l'Opéra, les soirées mondaines, la Seine, les balades en canotage sur la Marne et les promenades au Bois de Boulogne…Elle se veut aussi être un hommage à celui qui occupa l'un des ateliers du 12 rue Cortot -où se situe aujourd'hui le Musée de Montmartre- et qui à partir de 1911, s'installe au 5 impasse Guelma : lieu qui vit naître un grand nombre de chefs-d'oeuvre dont certains figurent dans l'exposition et qui fut durant toute la vie du peintre son point d'attache. Les oeuvres exposées, datées de 1898 à 1953, ont été sélectionnées parmi les collections du MNAM, Centre Pompidou et des musées dépositaires -Château-Musée Grimaldi-Cagnes sur mer, Musée d'Art moderne André Malraux – MuMa, Le Havre, Musée National de la Céramique-Sèvres, Musée des Tissus-Lyon, Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, Musée d'Arts de Nantes, Musée des Beaux-Arts Jules Chéret- Nice ; le Musée d'art Moderne de Paris, Palais Galliera, Musée de la Mode de Paris, Musée Calvet-Avignon, le Musée de Grenoble, le Musée Calvet d'Avignon. A celles-ci s'ajoutent, les prêts précieux de mobiliers consentis par Le Mobilier national et les manufactures des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie. Des prêts d'importantes collections privées et de galeries couronnent l'ensemble.Le catalogue [édité par In Fine éditions d'art] qui réunit les essais des commissaires Didier Schulmann et Saskia Ooms, de Sophie Krebs, conservatrice générale du patrimoine et responsable des collections du Musée d'Art moderne de Paris, de Romy Golan, professeure de l'histoire de l'art du XXème siècle au Graduate Center of the City University of New York ainsi qu'un entretien inédit avec Fanny Guillon-Laffaille, experte de l'oeuvre de Raoul Dufy et auteure du catalogue raisonné, enrichit nos connaissances sur cette thématique, qui rappelons-le, est pour la première fois étudiée.Raoul Dufy (Le Havre 1877- Forcalquier 1953)Raoul Dufy est né le 3 juin 1877 au Havre. Il est le deuxième des neuf enfants de Léon-Marius Dufy et de Marie-Eugénie Lemonnier. Son père est comptable, musicien, maître de la chapelle Saint-Joseph. Il transmettra son amour de la musique à plusieurs de ses fils, Raoul jouera du piano et de l'orgue. En 1891, alors âgé de quatorze ans, le jeune Raoul qui dessine déjà beaucoup, est contraint d'aider financièrement sa famille ; il travaille au port du Havre pour une maison d'importation de cafés brésiliens et y passe cinq ans : « J'ai passé ma vie sur le pont des navires : c'est une formation idéale pour un peintre. » confiera-t-il quelques années plus tard.Octobre 1899, Raoul Dufy quitte le Havre pour Paris Après avoir obtenu une bourse de la ville du Havre où il a commencé son apprentissage du dessin en suivant les cours du soir de Charles Lhuillier à l'Ecole municipale des Beaux-Arts, Raoul Dufy décide, pour perfectionner sa formation, de quitter sa ville natale pour Paris. Il s'inscrit alors à l'Ecole nationale Supérieure des Beaux-Arts, est admis dans l'atelier de Léon Bonnat où il y retrouve son camarade Émile-Othon Friesz (Le Havre, 1879 – Paris, 1949) qui y travaille déjà depuis deux ans. Dans la foulée de son arrivée, Dufy loge dans des ateliers successifs, passant très alternativement de la rive droite à la rive gauche : 9, rue Campagne- Première en 1899 puis à Montmartre au 12, rue Cortot avec Othon Friesz ; ensemble, ils vont occuper un atelier situé au premier étage de l'aile droite (actuel emplacement du musée). Paris captive le jeune havrais qui, crayons et carnet de dessins en poche, passe beaucoup de temps à arpenter ses rues et ses différents quartiers. Pour se rendre à l'Ecole des Beaux-Arts, Raoul emprunte souvent la rue Laffitte où au 16, le marchand Durand-Ruel expose les impressionnistes, un peu plus loin au 37, il découvre Gauguin, Cézanne chez Ambroise Vollard. Il visite les musées, se rend régulièrement au Louvre, observe et se promène dans les jardins, croque les scènes de la vie quotidienne, dessine les monuments emblématiques, des vues de Paris depuis Montmartre ou d'autres points de vue… Peint à la manière impressionniste, il réalise des portraits et autoportraits ainsi que de nombreux paysages. Ce n'est donc pas un hasard si Didier Schulmann choisi l'expression flâneur en lévitation comme titre de son essai publié dans le catalogue de l'exposition.Paris, au fil des rencontres… « Mais de Paris ce n'est pas qu'une vision monumentale et urbaine qui le passionne. C'est tout ce milieu parisien unique qui permet à un peintre de rencontrer tous les acteurs de la scène artistique et littéraire »précise Sophie Krebs dans son essai Dufy et Paris La naissance du décoratif. Assez rapidement, il fait la connaissance de la marchande de tableaux Berthe Weill qui sera la première à lui acheter en 1902 un pastel La rue de Norvins. Elle le convie par la suite à participer à ses expositions collectives dans sa galerie-brocante du 25 avenue Victor-Massé à Montmartre. Et c'est en 1903 que Raoul Dufy participe pour la première fois au Salon des Indépendants où il présente des plages normandes et des vues de Montmartre. Le peintre renouvellera son expérience en 1904 et montrera six peintures dont trois vues de Paris.En 1905, la visite du Salon des Indépendants est un choc pour Dufy ! Il y découvre l'oeuvre d'Henri Matisse « Luxe, calme et volupté ». Séduit, il adopte alors radicalement le style fauve. Mais le fauvisme n'est qu'une étape vers la découverte de son style personnel, il s'en détachera en 1907… Comme tous les peintres de sa génération, il est marqué par la grande rétrospective que consacre le Salon d'Automne à Paul Cézanne(1839-1906), disparu l'année précédente en 1906. Dufy prend alors conscience de l'importance de la géométrie des formes. En 1908, un voyage à l'Estaque avec Braque fait évoluer ses recherches picturales : il simplifie alors les formes, structure l'espace et adouci ses couleurs. Assez rapidement, il se débarrasse des contraintes cubistes pour se laisser aller au plaisir de la liberté du trait, lui permettant ainsi de développer son sens de la courbe, de l'arabesque ainsi que la force de suggestion d'une forme à peine esquissée… Ces deux périodes stylistiques ne produisent aucune oeuvre en lien avec les oeuvres parisiennes. En 1909, Dufy fait la connaissance du célèbre couturier Paul Poiret (1879-1944) et lors d'un diner que ce dernier donne, rencontre Guillaume Apollinaire (1880-1918). A la demande du poète, Raoul Dufy grave trente bois destinés à illustrer le recueil « Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée ». Cette collaboration fructueuse incite Apollinaire à introduire Raoul Dufy dans les cercles littéraires parisiens. Quelques mois après, Paul Poiret, fasciné par les bois gravés de l'artiste, lui propose de transposer ces motifs sur textile. L'intérêt de Dufy pour les arts décoratifs commence à s'affirmer. Au Salon des Indépendants de 1910, il présente cinq peintures dont trois « Jardins » inspirés de ses visites au Jardin des Plantes. Et c'est en 1911, qu'il s'installe avec sa jeune épouse Eugénie-Émilienne Brisson au 5, impasse Guelma, à Montmartre. Cette même année, il créé avec Paul Poiret, une entreprise d'impression de tissus au 141, boulevard de Clichy, dénommée La petite Usine. Mais c'est surtout à partir de 1912, en signant un contrat avec la firme de soieries lyonnaise Bianchini-Férier, que Raoul Dufy exprime pleinement son talent de créateur de tissus et de décorateur. Il y épanouira à la fois la stylisation ornementale de ses sujets : monuments, fleurs, animaux, personnages, et son penchant pour la couleur. En août 1914, quelques mois après son retour d'un second voyage en Allemagne où il visite Berlin, Cologne, Düsseldorf et où il rencontre le marchand et publiciste d'art Herwarth Walden, la Première Guerre mondiale est déclarée. Pour avoir déclaré un rhumatisme articulaire aigu, il ne pourra pas être envoyé au Front. Son engagement patriotique se traduit alors à travers la diffusion de gravures de propagande issues de sa propre entreprise, Iconographie Raoul Dufy, créée en 1915. La qualité et la variété des séries qu'il fait sortir des presses d'Épinal lui valent, en janvier 1917, d'être mis à la disposition du musée de la Guerre. En février 1918, Dufy devient le conservateur adjoint, chargé de la bibliothèque. Il a la charge des documents bibliographiques et iconographiques, dont des photographies, comportant des vues aériennes qui, on le suppose, auront une influence sur son travail de peintre.1919 : Dufy devient subitement Dufy En 1919, sa peinture acquiert un dynamisme nouveau, il se concentre sur trois domaines : la fluidité, la couleur et le mouvement. L'originalité du véritable « style Dufy » que l'artiste met en place et auquel il restera fidèle tient dans la dissociation de la forme et de la couleur. La forme, donnée par le dessin tracé au crayon, à l'encre de Chine, au pinceau fin, voire grattée directement dans un à-plat de couleur, structure la scène et lui apporte la vie. La couleur, étalée tantôt en larges à-plats, tantôt en zébrures nerveuses et rapides, débordant largement pour créer une ambiance faite de tons purs et rayonnants. Cette même année, il signe un premier contrat avec les galeristes Bernheim-Jeune et Vildrac, il y exposera jusqu'en 1932. Poursuivant inlassablement ses recherches sur la lumière et la couleur, Raoul Dufy effectue, en 1922, un long voyage en Italie où il fait la connaissance du critique Pierre Courthion qui lui consacrera une monographie en 1929. Il rencontre, quelques temps après, le céramiste catalan Josep Llorens i Artigas(1892-1980), qui lui permet d'ouvrir un nouveau champ artistique. Il s'imposera quelque temps plus tard comme un exceptionnel décorateur de céramique.1923 : Paris et ses monuments inspirent Dufy Raoul Dufy est sollicité en 1923 pour réaliser une série de cartons de tapisseries sur le thème de Paris et de ses monuments. Ils serviront à des garnitures de sièges, à un paravent et seront exécutés par la manufacture nationale de Beauvais. En 1925, il peint Paris à vol d'oiseau pour une tenture pour Poiret dont il reprend et adapte le concept pour le paravent commandé par l'Etat et réalisé en 1933. Cette composition inventée par un Dufy en lévitation au-dessus du paysage urbain parisien renoue avec un genre passé de mode : les panoramas. Christian Zervos évoquera cette conception originale dans Sélection. Chronique de la vie artistique « Le voici s'amusant à prendre Paris comme sujet de son oeuvre. Paris est représenté à vol d'oiseau ; des maisons serrées les unes contre les autres comme dans les anciennes représentations des villes qui ornent les relations de voyage. Par endroits se détachent les monuments de la capitale. Pour en donner l'aspect principal, Dufy les a tournés tous vers le spectateur. L'effet en est des plus heureux ». L'année suivante, en 1926, il réédite en hommage à son ami Guillaume Apollinaire décédé en 1918 Le poète assassiné. Ce sont des monuments emblématiques parisiens comme La Basilique du Sacré Coeur, le Panthéon… qu'il choisit comme décor des 36 lithographies. En 1934, Marie Cuttoli, célèbre mécène de la tapisserie moderne, qui souhaitait par une collaboration avec des artistes contemporains renouveler la tapisserie d'Aubusson, propose à Raoul Dufy de créer de nouveaux cartons de tapisseries sur le thème de Paris. Les deux tapisseries réalisées respectivement en 1934 et 1937 par les lissiers de l'atelier André Delarbre sont présentes dans l'exposition et pour la première fois réunies ! En 1936, son talent d'artiste décorateur étant largement reconnu, plusieurs commandes de décors lui sont faites. Il exécute La Seine, de Paris à la mer pour parer le mur de l'hémicycle du bar-fumoir du théâtre du Palais de Chaillot. Et c'est en 1937, qu'il réalise pour le pavillon de l'Electricité à l'Exposition internationale des arts et des techniques La Fée Electricité. Cette même année, il est invité à être membre du jury du prix Carnegie, et se rend pour la première fois aux États-Unis, à Pittsburg en Pennsylvanie. A partir de 1938, la couleur et la lumière occupent une place prépondérante dans son oeuvre, sublimant les scènes de cargos, d'ateliers et d'hommages aux musiciens qui caractérisent à cette époque sa production. Comme le dit si bien le célèbre critique d'art et fondateur du Musée national d'Art moderne de Paris Jean Cassou(1897-1986), « Coloriste unique, l'un des plus merveilleux de tous les temps, il sait de ses étonnants bleus, verts, jaunes et violets, emplir une toile, la saturer, en faire une explosion d'intensité.« De la lumineuse et juvénile Vue de Paris depuis Montmartre de 1902 (p. suivante) à la crépusculaire pochade de 1952 pour la brochure touristique de Thérèse Bonney (p16), c'est bien un Paris vu d'en haut, et ses monuments vus de face, qui traversent toute l'oeuvre de Dufy, sur quelque support qu'il les inscrive.Pour accompagner l'exposition, un catalogue coédité par le Musée de Montmartre et les Editions In Finé est publié. 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durée : 00:17:24 - Ruth Slenczynska - Complete American Decca Recordings - Pianiste de légende, Ruth Slenczynska a débuté le piano à l'âge de trois ans et a connu Rachmaninov, Schnabel et Cortot. Deutsche Grammophon édite ce coffret de 10 disques pour découvrir ses enregistrements de jeunesse, principalement Chopin et le répertoire romantique.
durée : 00:29:50 - Le Trio Cortot-Thibaud-Casals - Le violoniste Jacques Thibaud, le pianiste Alfred Cortot et le violoncelliste Pablo Casals ont formé un trio légendaire
durée : 01:58:38 - Élèves d'Alfred Cortot (2) - par : Philippe Cassard - Où il sera question de Thierry de Brunhoff, Marcelle Meyer, Pnina Salzman, Eric Heidsieck, Setrak et Dinu Lipatti, qui ont tous été formés par Alfred Cortot. Points communs ? De la personnalité et de l'imagination ! - réalisé par : Max James
durée : 00:12:12 - Disques de légende du jeudi 27 août 2020 - Un duo au sommet ! Le violoniste Jacques Thibaud et le pianiste Alfred Cortot enregistrent les trois grandes sonates de César Franck, Gabriel Fauré et Claude Debussy entre 1927 et 1931. Elles sont rééditées et remasterisées en 1989 par le label EMI Références.
« Qu’est-ce qu’on met dans un livre, si ce n’est le monde ! Dès lors, il faut des repères authentiques, sans quoi on raconte n’importe quoi ! » déclara l’auteur Jean-Christophe Rufin à « La Grande Librairie » sur France 5. Je ne peux que cautionner ce genre de propos dans la mesure où cet auteur voyage et ne reste pas scotché devant son ordinateur pour écrire ses ouvrages, selon lui. Voici, en quelques flashes, plusieurs lieux d’un Paris insolite, mystérieux, surprenant, à découvrir au fil des promenades… Le Boulevard du Crime : était le boulevard du Temple qui, il y a quelques décennies, comportait de nombreux théâtres où se jouaient des mélodrames. Le kilomètre zéro des grandes routes françaises est matérialisé par une dalle de bronze fixée dans le sol en face de la cathédrale Notre-Dame. La Sorbonne fut d’abord un haut lieu (au cœur du Quartier Latin) de la pensée religieuse. On s’y opposa aux Templiers, protestants, jésuites, jansénistes, philosophes… Ce fut Robert de Sorbon (1201-1274), pauvre fils d’un « vilain », devenu théologien et chapelain qui créa ce collège accueillant des étudiants pauvres. Le mètre-étalon en marbre scellé au 36 de la rue de Vaugirard (la plus longue rue de Paris, puisqu’elle fait 4 km 360), près du Sénat, est visible à l’endroit où il fut exposé de février 1796 à décembre 1797, afin de familiariser les gens à ce nouveau système de mesure remplaçant les toises et les pieds ! Un deuxième, sur seize à l’origine, est visible au 13 de la place Vendôme. Le Petit-Pont avec ses 32 mètres de long a toujours été le plus petit pont de la capitale. Il fut d’abord construit en bois à l’époque gallo-romaine, puis devint à péage, sauf pour les saltimbanques qui l’empruntaient gratuitement en « payant » en « monnaie de singe », c’est-à-dire en faisant exécuter des pitreries à leur animal savant. Depuis 2013, il est devenu le Petit-Pont-Cardinal-Lustiger. Le Pont-Neuf : construit en 1578, c’est le plus ancien pont parisien. À l’exception de restaurations diverses, le corps de construction a résisté à toutes les crues et décrues, d’où l’expression « Se porter comme le Pont-Neuf ». Le Pont des Arts : c’est le premier pont métallique édifié (en 1803) dans l’Hexagone. La rue la plus courte, est celle des Degrés, elle fait 5,75 mètres de long et est constituée de 14 marches ! L’avenue la plus large est celle dédiée au maréchal Foch : 120 mètres ! la plus large au monde se situe à Buenos Aires : 140 m ! Canal Saint-Martin : long de 4,5 km, il relie le bassin de la Villette au port de plaisance « Arsenal ». Inauguré en 1825, il compte neuf écluses et deux ponts tournants. Il est inscrit comme monument historique. Les abords du canal Saint-Martin sont particulièrement prisés le dimanche lorsque la circulation automobile est interdite pour laisser la place aux joggeurs, promeneurs, marcheurs, cyclistes, badauds…, parfois aux sans abris. Prémonition ? L’inoubliable chanteuse Édith Piaf (1915-1963) avait évoqué le Canal Saint-Martin dans « Les Mômes de la Cloche » en… 1936 ! Écluse sur le Canal Saint-Martin (Photos Marie-Paule Peuteman) La plus petite façade, 1,20 m de large et 5 m de hauteur, se voit 39 rue du Château-d’Eau, coincée dans un quartier où prédominent certains métiers dits de beauté… La plus ancienne place monumentale est la Place des Vosges, créée en 1605, on y trouve la maison de Victor Hugo transformée en musée. La rue la plus étroite est celle du Chat-qui-Pêche : elle fait de 1 m 80 sur 29 m de longueur, mais, pour d’autres sources, il s’agit du Sentier des Merisiers (12e arrondissement) d’un mètre de large (sur 100 m de long). La plus ancienne maison de Montmartre fut bâtie en 1680 et est située au 12 rue Cortot. Elle abrite le Musée de Montmartre. On évoque déjà cet immeuble au XVIIe siècle, au temps où la vigne était nombreuse sur la célèbre butte. Renoir, Friesz, Dufy, Utrillo, Poulbot… y travaillèrent. Et, pour terminer, voici une anecdote :
9ª parte da entrevista do pianista e compositor Amaral Vieira a Alexandre Dias, em que ele falou sobre personalidades que conheceu, como Pablo Picasso, Francisco Mignone, Claudio Santoro, Mario Tavares, Lina Pires de Campos, Mario Ficarelli, Almeida Prado, e compositores cuja estética é bastante diferente da sua, mas com quem mantém amizade, como Jorge Antunes, Rodolfo Coelho de Souza e Aylton Escobar. Mencionou vários de seus alunos de piano, como Francisco Silva, Ricardo Peres, Max Barros, Paulo Gazzaneo, Flavio Augusto, Ricardo Ballestero, Carlos Eduardo Albertini, Eliane Elias, Vagner Ferreira, Miriam Braga, Sergio Gallo, Kennedy Moretti, Fúlvio Ferrari e também falou sobre o compositor Fabio Neves. Por fim, comentou sobre seu posicionamento em relação a aspectos pedagógicos, como um pianista deve equilibrar seus estudos técnicos com a parte musical, mencionou estudos de Hanon, Czerny, Clementi, o método de Cortot, e os exercícios para o fortalecimento dos dedos que ele próprio compôs para utilizar com seus alunos. Trilha sonora: CD Caminhos Barrocos, com obras de Handel, Rameau e J. S. Bach, interpretadas por Amaral Vieira. Apoie o IPB: www.catarse.me/InstitutoPianoBrasileiro
durée : 00:25:04 - La salle Cortot, petit bijou d'acoustique au coeur de Paris - par : Anne-Charlotte Rémond - S'il est une salle discrète à Paris, c'est bien la Salle Cortot. Construite en 1929 par les frères Perret sous l'impulsion du pianiste Alfred Cortot, ce bijou architectural a deux principales vocations : être l'écrin des récitals des membres de l'Ecole et le rayonnement du répertoire français. - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:58:06 - Une vie, une oeuvre - par : Martin Quenehen - Porte-parole des indépendantistes kanak pendant les affrontements politiques des années 1980 en Nouvelle-Calédonie, Jean-Marie Tjibaou a toute sa vie défendu l'égalité bafouée entre Caldoches et Kanaks et les traditions culturelles claniques de son peuple. - invités : Michel Rocard ancien Premier ministre socialiste de François Mitterrand; Patrice Godin ethnologue et ami de Jean-Marie Tjibaou.; Paulette Godin ancienne secrétaire au sein du gouvernement Tjibaou.; Emmanuel Tjibaou fils de Jean-Marie Tjibaou et actuel directeur du Centre culturel Tjibaou.; Gérald Cortot directeur de cabinet de Jean-Marie Tjibaou.
durée : 00:59:05 - Musique matin du vendredi 05 juin 2020 - par : Jean-Baptiste Urbain - A l'occasion de la journée mondiale de l'environnement, nous recevons le violoncelliste Christian-Pierre La Marca, très engagé dans la lutte pour l'écologie. France Musique diffusera en inédit son Concert pour la Planète, capté le 4 avril 2019 à la salle Cortot. - réalisé par : Yassine Bouzar
durée : 00:59:38 - Musique matin du mercredi 27 mai 2020 - par : Jean-Baptiste Urbain - Deux concerts sans public entièrement captés à la salle Cortot : voici le projet fou de la violoniste Liya Petrova ! - réalisé par : Yassine Bouzar
durée : 01:00:44 - Alfred Cortot : La musique française de piano - par : Lionel Esparza - Confiné mais Relax! : une heure dans ma bibliothèque. Tous les jours à 15h cette semaine, Lionel Esparza, lecteur et bibliophile d'occasion, va chercher un livre dans ses rayonnages et vous en fait la lecture, tantôt drôle, tantôt inspirante, toujours musicale ! - réalisé par : Max James
durée : 01:57:48 - Quelques disciples d'Alfred Cortot en concert : Samson François, Yvonne Lefébure, Magda Taglaferro, Thierry de Brunhoff, Eric Heidsieck - par : Philippe Cassard - Il y a eu Teodor Leszetycky et ensuite il y a eu Alfred Cortot : les deux plus illustres pédagogues de leur temps, entre la fin du XIXème et la première moitié du XXème siècle. Ils ont formé à eux deux 2000 pianistes, accourant du monde entier à leurs cours. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:05:08 - Classique info du mardi 08 octobre 2019 - par : Sofia Anastasio - La vente de la collection Cortot ; une fondation sicilienne qui lutte contre la mafia grâce à la musique ; les orchestres à vocation sociale dans le Figaro ; un élan de solidarité pour une soprano sans-abri ; le mariage de Joshua Bell et Larisa Martinez.
durée : 00:05:37 - Classique info du jeudi 06 juin 2019 - par : Christophe Dilys - La création mondiale d'une symphonie composée en 1917, l’ex-PDG de Radio France Mathieu Gallet se lance dans le podcast, La pianiste marocaine Nour Ayadi remporte le grand prix Cortot et le maire de New York offre 500 000 $ pour les femmes musiciennes.
expositions à Bourges, à Issoudun, Cortot, Fromanger, Soulages....
À propos du livre : « Alfred Cortot » Paru aux éditions Fayard Pianiste virtuose, chef d’orchestre, chambriste, pédagogue aux méthodes et aux conceptions innovantes, musicographe, collectionneur, administrateur d’institutions, Alfred Cortot (1877-1962) brille aujourd’hui à travers ses enregistrements, ses écrits et ses « Éditions de travail », mais également par le biais de l’École normale de musique, qu’il a fondée en 1919. Interprète par excellence de Chopin, vaillant beethovénien, schumannien exalté, grand lisztien, wagnérien militant, cet héritier de l’âge romantique fut aussi le défenseur et le propagateur de la musique française de son temps à travers le monde. Pendant l’Occupation, il a exercé des fonctions administratives et politiques. Motivée par sa germanophilie culturelle, son adhésion à l’idéologie vichyste ne fait pas de doute, pas plus que son ambition politique de réformer les conditions de la vie musicale française. Persistant dans ses convictions collaborationnistes jusqu’en 1944, il se voit violemment reprocher son attitude à la Libération. Il s’éloigne de la France et continue sa carrière de pianiste, donnant encore quelque cent à cent cinquante concerts par an et parcourant inlassablement le monde. Portrait d’artiste scrutant avec finesse ce qui caractérise le jeu et l’héritage de Cortot dans son immense répertoire, cet ouvrage n’est ni un réquisitoire ni une tentative de réhabilitation. Adossée à d’incontestables documents, au carrefour de l’histoire culturelle et de la musicologie, cette nouvelle biographie entend dépasser les ambiguïtés de la mémoire d’Alfred Cortot. Elle présente sans concessions et dans tous ses aspects le génie protéiforme de l’un des plus illustres musiciens français de la première moitié du XXe siècle. François Anselmini est agrégé d’histoire. Il a participé à l’ouvrage La Musique à Paris sous l’Occupation dirigé par Myriam Chimènes et Yannick Simon (Fayard, 2013). Rémi Jacobs, diplômé du CNSMDP, doctorant en musicologie, a été directeur de collections chez EMI Classics. Il est l’auteur d’une biographie d’Heitor Villa-Lobos (Bleu Nuit éditeur, 2010). Ils sont tous les deux les auteurs d’une biographie du Trio Cortot-Thibaud-Casals (Actes Sud, 2014).
Cortot (rue). Type:Squares and Streets What to do, what to see around Things to see: The oldest house in Montmartre which houses a museum about the hill Nearby: The Montmartre vines Place du Tertre The Eglise Saint-Pierre de Montmartre (church) Metro: Lamarck - Caulaincourt (12) Address: rue Cortot District: Montmartre Fax: Paris www.cityzeum.com – All right reserved – Travel guides and audio guides to download on iPod, mobile phone, GPS, handheld for main cities in the world : Paris, London, Roma, Barcelona, Amsterdam, Brussels, …
The pianist Vlado Perlemuter, who was born 80 years ago in Lithuania, has spent most of his life in Paris, where he taught at the Conservatoire between concert tours. In conversation with Roy Plomley, he recalls some of the many musicians and composers he knew, including Cortot, Faure, Ravel and Dukas.[Taken from the original programme material for this archive edition of Desert Island Discs]Favourite track: Brandenburg Concerto No 3 in G Major by Johann Sebastian Bach Book: Complete plays by Molière Luxury: Painting from the Louvre
The pianist Vlado Perlemuter, who was born 80 years ago in Lithuania, has spent most of his life in Paris, where he taught at the Conservatoire between concert tours. In conversation with Roy Plomley, he recalls some of the many musicians and composers he knew, including Cortot, Faure, Ravel and Dukas. [Taken from the original programme material for this archive edition of Desert Island Discs] Favourite track: Brandenburg Concerto No 3 in G Major by Johann Sebastian Bach Book: Complete plays by Molière Luxury: Painting from the Louvre