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Ils traversent le temps avec la même grâce réjouissante qu'ils parcourent l'espace de la scène : pour les danseurs de la compagnie DCA, du piano de cabaret à l'électro, de Bach à Madonna en passant par Rameau et Gloria Gaynor, toutes les musiques sont bonnes. Le nouveau spectacle de Philippe Decouflé «Entre temps», créé au printemps est en ce moment à la Villette, à Paris, à l'espace Chapiteaux. C'est un spectacle qui nous parle du temps qui passe, de la mémoire qui s'envole et du temps du rêve. - Rediffusion - Philippe Decouflé et Dominique Boivin étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Madonna - Isla Bonita. - Keren Ann - Paris Amour.
Ils traversent le temps avec la même grâce réjouissante qu'ils parcourent l'espace de la scène : pour les danseurs de la compagnie DCA, du piano de cabaret à l'électro, de Bach à Madonna en passant par Rameau et Gloria Gaynor, toutes les musiques sont bonnes. Le nouveau spectacle de Philippe Decouflé «Entre temps», créé au printemps est en ce moment à la Villette, à Paris, à l'espace Chapiteaux. C'est un spectacle qui nous parle du temps qui passe, de la mémoire qui s'envole et du temps du rêve. - Rediffusion - Philippe Decouflé et Dominique Boivin étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Madonna - Isla Bonita. - Keren Ann - Paris Amour.
Des barricades de 68 aux premiers feux fictionnels Dans cette nouvelle affaire confiée à notre agence de détectives littéraires, la principale suspecte se nomme Dominique Manotti, 83 ans, alias « la mamie rouge du roman noir ». Une multirécidiviste en activité depuis 1995, avec à son actif treize romans violents, rapides comme une balle et froids comme un flingue, salués par la critique, traduits en allemand, en anglais, en grec ou – plus louche – en russe. L'une des (trop) rares femmes du polar français des trente dernières années, qui publia son premier bouquin aux éditions du Seuil… à 52 piges ! Quels sont les secrets de cette fille de la bourgeoisie parisienne, de cette agrégée d'histoire économique aux fortes convictions marxistes anticoloniales, militante pour l'indépendance de l'Algérie ou le droit à l'avortement, cette lanceuse de pavés en mai 68 qui apprit à écrire dans « Les cahiers de mai » avant de devenir syndicaliste CFDT ? Faut-il retourner tous les tiroirs de son bureau pour comprendre comment elle s'engagea en littérature après avoir lu LA Confidential de James Ellroy ? De quelle manière a-t-elle taillé son premier diamant noir : Sombre Sentier, centré sur sa plus grande victoire syndicale dans les coulisses des ateliers textiles clandestins du centre de Paname, vendu à dix mille exemplaires et marqué par le coquin Théo Daquin, son célèbre commissaire gay à « belle gueule carrée », un poulet « chaud lapin » qui fait l'amour à ses indics et dont les bureaux se situent… passage du Désir ? C'est l'objet du premier volet de cette garde-à-vue sans menottes qui entend faire toute la lumière sur le dossier Manotti. L'autrice du mois : Dominique Manotti Née en 1942 à Paris sous le nom de Marie-Noëlle Thibault, Dominique Manotti a enseigné l'histoire au lycée puis à l'université Paris-VIII Vincennes Saint-Denis. Au milieu des années 90, cette spécialiste de l'histoire économique du XIXe siècle entame avec Sombre Sentier un cycle de treize romans noirs aux éditions Rivages ou dans la Série Noire de Gallimard, marqués par ses combats syndicaux. Elle a reçu en 2002 le grand prix du festival de Cognac pour Nos fantastiques années fric (adapté au cinéma par Éric Valette, avec André Dussollier et Rachida Brakni, sous le titre Une affaire d'État) ou, en 2011, le grand prix de littérature policière pour L'honorable société (co-écrit avec DOA). Elle vit et travaille au-dessus d'un cinéma, au bord du bassin de la Villette. Remerciements : Studio Gong, Christophe Siébert Enregistrements octobre 2025 Entretien, découpage Richard Gaitet Prise de son Karen Beun, Mathilde Guermonprez Montage Mathilde Guermonprez, Étienne Bottini Lectures Chloé Assous-Plunian, Richard Gaitet Réalisation, mixage Charlie Marcelet Musiques originales Samuel Hirsch Saxophone, piano, mellotron, violon, violoncelle et trombone Xavier Thiry Illustration Sylvain Cabot Remerciements Studio Gong, Christophe Siébert
Documentation solide, tempo haletant, zéro poésie : la méthode Manotti Dans ce deuxième volet de cet interrogatoire en règle chez le R. G., nous verrons comment Dominique Manotti s'est employée à signer « la chronique noire d'un échec : celle de la génération 68 », Roman après roman, rien n'échappe à son regard laser d'historienne « enragée », prête à remonter jusqu'au sommet de l'Etat : spéculation immobilière et trafic de coke dans le monde hippique (À nos chevaux, 1997), élus corrompus dans les vestiaires de Levallois (Kop, 1998), portrait armé de la diplomatie sous Mitterrand (Nos fantastiques années fric, 2001), délocalisation sans merci d'une usine des Vosges (Lorraine Connection, 2006, vendu à treize mille exemplaires) ou flics ripoux brisés par la « politique du résultat » (Bien connu des services de police, 2010, écoulé à vingt-cinq mille copies). Avec, de nouveau, le flegme savoureux du commissaire Daquin, qui passe parfois le relais à une nouvelle héroïne, Noria Ghozali, tendue comme un schlass planté dans la cuisse des prédateurs. Son œuvre s'apparente à une version papier de la série Engrenages (Canal+, 2005-2020), souvent campée comme chez Manotti dans le nord blafard de Paris. De quelle manière alors s'articulent ses engrenages fictionnels, brefs et méchants, extrêmement documentés, dénués de poésie et de figures de style, mais riches en scènes de cul comme en règlements de compte, livrés dans un style sec, « direct », toujours écrit au présent ? Pour le savoir, poursuivons la déposition. L'autrice du mois : Dominique Manotti Née en 1942 à Paris sous le nom de Marie-Noëlle Thibault, Dominique Manotti a enseigné l'histoire au lycée puis à l'université Paris-VIII Vincennes Saint-Denis. Au milieu des années 90, cette spécialiste de l'histoire économique du XIXe siècle entame avec Sombre Sentier un cycle de treize romans noirs aux éditions Rivages ou dans la Série Noire de Gallimard, marqués par ses combats syndicaux. Elle a reçu en 2002 le grand prix du festival de Cognac pour Nos fantastiques années fric (adapté au cinéma par Éric Valette, avec André Dussollier et Rachida Brakni, sous le titre Une affaire d'État) ou, en 2011, le grand prix de littérature policière pour L'honorable société (co-écrit avec DOA). Elle vit et travaille au-dessus d'un cinéma, au bord du bassin de la Villette. Remerciements : Studio Gong, Christophe Siébert Enregistrements octobre 2025 Entretien, découpage Richard Gaitet Prise de son Karen Beun, Mathilde Guermonprez Montage Mathilde Guermonprez, Étienne Bottini Lectures Chloé Assous-Plunian, Richard Gaitet Réalisation, mixage Charlie Marcelet Musiques originales Samuel Hirsch Saxophone, piano, mellotron, violon, violoncelle et trombone Xavier Thiry Illustration Sylvain Cabot Remerciements Studio Gong, Christophe Siébert
La technique le flow de malade, artistiquement elle se balade Dans son roman L'évasion (Gallimard, 2013), Dominique Manotti libère le seul personnage d'écrivain de son œuvre : Filippo Zuliani, un petit voyou rital de vingt-trois ans qui s'échappe d'une prison romaine mais qui regrettera bientôt d'avoir « marqué un point contre le désespoir » en publiant l'histoire de son compagnon de cellule, ancien membre des Brigades rouges. Le destin punira Filippo d'avoir trahi, en étant à la fois trop précis dans son roman et… trop bavard en interview. « J'ai la conviction que le roman noir sera la grande littérature du XXIe siècle, ce siècle des paradis fiscaux et de la perte de contrôle des Etats sur les masses monétaires à l'échelle mondiale. Le pouvoir change de mains. Il faut le raconter », dit celle qui fréquenta trente ans durant « un certain nombre d'amis flics, démissionnaires ou retraités ». Les ténébreuses silhouettes qui peuplent ses livres-enquêtes commencent à lui parler dans les embouteillages, ou lors de ses moments de repos. « Je respecte les faits, leur ordre de succession, je m'oblige à construire mon histoire sans les déformer. Mais les personnages, je les invente, c'est ma jubilation. Je raconte des hommes qui ne sont ni des monstres ni des anges. Pour moi, il s'agit d'humaniser mes salauds. » Pour Or noir (2015), son imagination « frémit » en situant la nouvelle enquête du commissaire Daquin à Marseille – qui lui fournit ensuite la matière terrible de son dernier roman en date : Marseille 73. Publié par Les Arènes en 2020, vendu à trente mille exemplaires, l'ouvrage restitue jour par jour le récit glacial d'une vague d'authentiques assassinats racistes perpétrés en toute impunité dans la cité phocéenne, en bande organisée. « La technique le flow de malade, artistiquement elle se balade, personne ne peut la canaliser » : si l'on se fie à cette description de Jul, Dominique Manotti, c'est Marseille mémé ! L'autrice du mois : Dominique Manotti Née en 1942 à Paris sous le nom de Marie-Noëlle Thibault, Dominique Manotti a enseigné l'histoire au lycée puis à l'université Paris-VIII Vincennes Saint-Denis. Au milieu des années 90, cette spécialiste de l'histoire économique du XIXe siècle entame avec Sombre Sentier un cycle de treize romans noirs aux éditions Rivages ou dans la Série Noire de Gallimard, marqués par ses combats syndicaux. Elle a reçu en 2002 le grand prix du festival de Cognac pour Nos fantastiques années fric (adapté au cinéma par Éric Valette, avec André Dussollier et Rachida Brakni, sous le titre Une affaire d'État) ou, en 2011, le grand prix de littérature policière pour L'honorable société (co-écrit avec DOA). Elle vit et travaille au-dessus d'un cinéma, au bord du bassin de la Villette. Remerciements : Studio Gong, Christophe Siébert Enregistrements octobre 2025 Entretien, découpage Richard Gaitet Prise de son Karen Beun, Mathilde Guermonprez Montage Mathilde Guermonprez, Étienne Bottini Lectures Chloé Assous-Plunian, Richard Gaitet Réalisation, mixage Charlie Marcelet Musiques originales Samuel Hirsch Saxophone, piano, mellotron, violon, violoncelle et trombone Xavier Thiry Illustration Sylvain Cabot Remerciements Studio Gong, Christophe Siébert
Au lendemain de la Journée internationale des migrants, nous parlons de leur accès aux soins. Selon l'OMS, on comptait plus d'un milliard de personnes en déplacement dans le monde en 2022, soit environ une personne sur huit. Particulièrement exposées aux maladies transmissibles ou aux affections d'origine alimentaire ou hydrique pendant leur parcours migratoire, ces populations peuvent également avoir besoin d'un suivi pour des maladies chroniques. Or, de nombreux obstacles peuvent entraver leur accès aux soins. Les populations migrantes présentent-elles des vulnérabilités particulières en termes de santé ? Comment mieux faire connaître les droits à des populations, y compris quand elles sont privées de titre de séjour ? Avec : Dr Sandra Petiot, médecin anesthésiste réanimateur à Paris et médecin bénévole à la Clinique Mobile à Porte de la Villette, au nord de Paris, pour MSF Retrouvez l'émission en podcast ici : Migrants et réfugiés : comment améliorer leur accès à la santé ?
À l'occasion de la Journée internationale des migrants, nous parlons de leur accès aux soins. Selon l'OMS, on comptait plus d'un milliard de personnes en déplacement dans le monde en 2022, soit environ une personne sur huit. Particulièrement exposées aux maladies transmissibles ou aux affections d'origine alimentaire ou hydrique pendant leur parcours migratoire, ces populations peuvent également avoir besoin d'un suivi pour des maladies chroniques. Or, de nombreux obstacles peuvent entraver leur accès aux soins. Comment améliorer l'accès aux soins des personnes migrantes ? La journée internationale des migrants donne l'occasion d'évoquer différents aspects de la santé des personnes qui ont quitté leur pays d'origine et disposent ou non d'un titre de séjour. Cette situation d'éloignement des populations implique de nombreuses spécificités en termes de troubles et d'affections, mais aussi en lien avec la problématique-clé de l'accès aux soins pour les personnes exilées ou réfugiées, au cours du parcours migratoire, comme à l'arrivée. L'accueil sanitaire des migrants - qui constituent un groupe hétérogène aux besoins de santé diversifiés - doit en théorie être une étape importante en matière de dépistage, en particulier des maladies asymptomatiques ou bénignes, qui peuvent présenter des complications sévères. Populations vulnérables Des dispositifs spécifiques existent en France pour permettre d'être pris en charge, y compris lorsque l'on n'est pas en possession d'un titre de séjour en règle (l'Aide Médicale d'État concerne les personnes étrangères arrivées, depuis plus de trois mois), mais l'information n'est pas toujours accessible et adaptée, et de nombreuses personnes migrantes, par méconnaissance ou par crainte, restent éloignées du système de soins. Méconnaissance des dispositifs Des O.N.G. travaillent spécifiquement auprès des populations les plus vulnérables, souvent éprouvées sur le plan psychologique et physique par leur parcours migratoire. Les difficultés de logement, les antécédents médicaux, les différences culturelles et linguistiques, les traumatismes associés aux violences basées sur le genre sont autant de facteurs qui rendent complexe cette prise en charge des patients migrants. Avec : Camille Moreau, responsable des activités médicales au Centre d'accueil de jour à Pantin de Médecins sans frontières Dr Sandra Petiot, médecin anesthésiste réanimateur à Paris et médecin bénévole à la Clinique Mobile à Porte de la Villette, au nord de Paris, pour MSF Amoss Makohe, doctorant en Psychopathologie clinique à l'Université de Yaoundé 1 au Cameroun, et ancien staff MSF Espagne comme responsable des Activités Santé Mentale et Soutien Psychosocial aux côtés des migrants à Agadez au Niger. Un reportage de Raphaëlle Constant. ► En fin d'émission, nous parlons de l'inauguration d'une unité de crise, au sein de la maison des adolescents de l'Hôpital Cochin, l'unité Weiji. Cet hôpital de jour a vocation à accueillir les adolescents et leurs familles en situation de crise aigüe. Reportage de Louise Caledec. Programmation musicale : ► The Caveman - Gatekeepers (ft Pa Salieu) ► Enny – Selfridges.
À l'occasion de la Journée internationale des migrants, nous parlons de leur accès aux soins. Selon l'OMS, on comptait plus d'un milliard de personnes en déplacement dans le monde en 2022, soit environ une personne sur huit. Particulièrement exposées aux maladies transmissibles ou aux affections d'origine alimentaire ou hydrique pendant leur parcours migratoire, ces populations peuvent également avoir besoin d'un suivi pour des maladies chroniques. Or, de nombreux obstacles peuvent entraver leur accès aux soins. Comment améliorer l'accès aux soins des personnes migrantes ? La journée internationale des migrants donne l'occasion d'évoquer différents aspects de la santé des personnes qui ont quitté leur pays d'origine et disposent ou non d'un titre de séjour. Cette situation d'éloignement des populations implique de nombreuses spécificités en termes de troubles et d'affections, mais aussi en lien avec la problématique clé de l'accès aux soins pour les personnes exilées ou réfugiées, au cours du parcours migratoire, comme à l'arrivée. L'accueil sanitaire des migrants - qui constituent un groupe hétérogène aux besoins de santé diversifiés - doit en théorie être une étape importante en matière de dépistage, en particulier des maladies asymptomatiques ou bénignes, qui peuvent présenter des complications sévères. Populations vulnérables Des dispositifs spécifiques existent en France pour permettre d'être pris en charge, y compris lorsque l'on n'est pas en possession d'un titre de séjour en règle (l'Aide Médicale d'État concerne les personnes étrangères arrivées, depuis plus de trois mois), mais l'information n'est pas toujours accessible et adaptée, et de nombreuses personnes migrantes, par méconnaissance ou par crainte, restent éloignées du système de soins. Méconnaissance des dispositifs Des O.N.G. travaillent spécifiquement auprès des populations les plus vulnérables, souvent éprouvées sur le plan psychologique et physique par leur parcours migratoire. Les difficultés de logement, les antécédents médicaux, les différences culturelles et linguistiques, les traumatismes associés aux violences basées sur le genre sont autant de facteurs qui rendent complexe cette prise en charge des patients migrants. Avec : Camille Moreau, responsable des activités médicales au centre d'accueil de jour à Pantin de Médecins sans frontières Dr Sandra Petiot, médecin anesthésiste réanimateur à Paris et médecin bénévole à la Clinique Mobile à Porte de la Villette, au nord de Paris, pour MSF Amoss Makohe, Doctorant en Psychopathologie clinique à l'Université de Yaoundé 1 au Cameroun, et ancien staff MSF Espagne comme Responsable des Activités Santé Mentale et Soutien Psychosocial aux côtés des migrants à Agadez au Niger Un reportage de Raphaëlle Constant ► En fin d'émission, nous parlons de l'inauguration d'une unité de crise, au sein de la maison des adolescents de l'hôpital Cochin, l'unité Weiji. Cet hôpital de jour a vocation à accueillir les adolescents et leurs familles en situation de crise aigüe. Reportage de Louise Caledec. Programmation musicale : ► The Caveman - Gatekeepers (ft Pa Salieu) ► Enny – Selfridges
De plus en plus de femmes choisissent de se retrouver entre elles, sans hommes, dans des groupes militants, des cercles de parole ou même lors de soirées. Ces espaces sont souvent vus comme des lieux où l'on peut parler librement, se soutenir et renforcer sa détermination et son assurance. Mais cette pratique fait débat : est-ce une vraie solution pour avancer ensemble, ou un risque de se couper des autres ? Peut-on se libérer sans se confronter aux autres et aux rapports de pouvoir ? Comment savoir si l'on crée un espace de liberté ou un espace de repli ? Que permettent la mixité ou la non-mixité dans l'émancipation des femmes ? Avec : • Marie Donzel, directrice associée d'Alter Nego, un cabinet de conseil RH qui accompagne les organisations dans le développement de leurs compétences et la performance de leurs collaborateurs. • Marie Cabadi, historienne, actuellement doctorante en Histoire contemporaine à l'Université d'Angers et attachée temporaire d'enseignement et de recherches à l'Institut d'Études Politiques de Toulouse (IEP). Un reportage de Charlie Dupiot lors d'une soirée réservée aux filles. Connaissez-vous le mot «bringue» ? Ça veut dire la «fête» ! Et c'est aussi le nom de soirées exclusivement réservées aux filles, organisées depuis 2019 par Clarisse Luiz et son équipe, dans une quinzaine de villes en France ! Notre reporter Charlie Dupiot s'est faufilée à l'une d'entre elles, au sein du club 211, à la Villette, à Paris. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde, de Monica Fantini. Programmation musicale : ► Les filles, les meufs – Marguerite ► Selfridges – ENNY.
De plus en plus de femmes choisissent de se retrouver entre elles, sans hommes, dans des groupes militants, des cercles de parole ou même lors de soirées. Ces espaces sont souvent vus comme des lieux où l'on peut parler librement, se soutenir et renforcer sa détermination et son assurance. Mais cette pratique fait débat : est-ce une vraie solution pour avancer ensemble, ou un risque de se couper des autres ? Peut-on se libérer sans se confronter aux autres et aux rapports de pouvoir ? Comment savoir si l'on crée un espace de liberté ou un espace de repli ? Que permettent la mixité ou la non-mixité dans l'émancipation des femmes ? Avec : • Marie Donzel, directrice associée d'Alter Nego, un cabinet de conseil RH qui accompagne les organisations dans le développement de leurs compétences et la performance de leurs collaborateurs. • Marie Cabadi, historienne, actuellement doctorante en Histoire contemporaine à l'Université d'Angers et attachée temporaire d'enseignement et de recherches à l'Institut d'Études Politiques de Toulouse (IEP). Un reportage de Charlie Dupiot lors d'une soirée réservée aux filles. Connaissez-vous le mot «bringue» ? Ça veut dire la «fête» ! Et c'est aussi le nom de soirées exclusivement réservées aux filles, organisées depuis 2019 par Clarisse Luiz et son équipe, dans une quinzaine de villes en France ! Notre reporter Charlie Dupiot s'est faufilée à l'une d'entre elles, au sein du club 211, à la Villette, à Paris. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde, de Monica Fantini. Programmation musicale : ► Les filles, les meufs – Marguerite ► Selfridges – ENNY.
Au nord de Paris, c'est un fléau que les autorités ne parviennent pas à endiguer : la prolifération du crack. Le nombre d'usagers de ce dérivé de la cocaïne augmente dans le quartier Rosa Parks depuis la fin des Jeux olympiques. La drogue est achetée et consommée en plein jour sous les yeux de riverains et de commerçants excédés par les nuisances que cela engendre. Beaucoup craignent que le phénomène ne fissure le tissu social et économique du quartier. Une couverture sur le dos et un petit réchaud d'appoint. En ce début de mois de décembre, une vingtaine de toxicomanes bravent le froid comme ils le peuvent sous un pont coincé entre la porte d'Aubervilliers et celle de la Villette, au nord de Paris. À quelques mètres se trouve l'école polyvalente Cesária Évora où Ambroise, habitant du quartier depuis sept ans, vient de déposer sa fille : « Les dealers tournent autour de l'établissement, on observe aussi de la prostitution. Ces gens sont en errance, dans un état sanitaire très dégradé, laissés à l'abandon, la situation est hors de contrôle », déplore ce père de famille. Les nuisances et les agressions rythment le quotidien des habitants du quartier. Rabia, qui habite Rosa Parks depuis dix ans, en a fait les frais il y a quelques jours. « Je sors de la gare pour rentrer chez moi et sur le chemin, je prends un coup derrière la tête, comme une balle métallique. En me retournant, j'ai vu deux jeunes neutraliser la consommatrice de crack qui m'a frappée avec sa main », raconte cette riveraine qui limite désormais ses sorties. Elle a déposé plainte quelques heures plus tard, mais confie en vouloir davantage « à l'inaction des pouvoirs publics » qu'à son agresseuse. « Il faudrait les prendre en charge, ces personnes-là, elles ont besoin de suivi », plaide cette pharmacienne de profession. Depuis 2023, un collectif de riverains nommé « Rosa Craque » tente d'alerter les pouvoirs publics sur le sujet. Mais pour l'heure, ces habitants s'estiment surtout abandonnés par la mairie d'arrondissement et la préfecture de région. Certains dénoncent la gestion uniquement répressive du phénomène : les évacuations à répétition des consommateurs de crack ne font que déplacer le problème et ne contribuent pas à endiguer le phénomène. À lire aussiFrance: les lieux d'accueil et de soin pour les toxicomanes menacés de fermeture « Tous les commerces sont en train de fermer » Le quartier Rosa Parks fait peau neuve dans les années 2010 en prenant le nom de cette figure emblématique de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis. Il incarnait alors le renouveau urbain en périphérie de Paris et une promesse : celle d'attirer de jeunes cadres, des sièges de grandes entreprises ou d'administrations publiques, des enseignes en tout genre, et ainsi favoriser la mixité sociale. Quinze ans après, le pari semble perdu. Sur le boulevard Macdonald, principale artère du quartier, des panneaux « à louer » sont placardés sur les devantures de locaux désormais vacants faute de repreneurs. « Tous les commerces sont en train de fermer, se désole Ambroise. Ils ont tous déménagé. Avant, il y avait un libraire, un dentiste, un marchand de lunettes, il ne reste plus que des supermarchés. » Mais le projet de départ le plus commenté ces derniers jours est celui de la banque BNP Paribas. Le groupe va quitter le quartier Rosa Parks et transférer une partie de ses activités à Levallois-Perret et Nanterre. Contactée par RFI, l'entreprise confirme un départ « en cours de réflexion », motivé par des questions de réorganisation interne : la banque souhaiterait retrouver des locaux dont elle est la propriétaire. Mais l'insécurité liée à la consommation de crack « est entrée en compte dans l'équation », confie-t-on en interne. Il y a quelques semaines, l'entreprise a recruté une vingtaine de vigiles pour sécuriser les allées et venues de ses 2 000 salariés entre leurs bureaux et la gare la plus proche. Pour Reshan, qui tient un restaurant sur le boulevard Macdonald, les 2 000 salariés de BNP Paribas sont autant de clients potentiels. Il s'inquiète : « S'ils ne sont pas là, je n'ai pas de clients. Depuis le mois de juin, on a perdu 40% de notre chiffre d'affaires, calcule le gérant. Je ne pense pas que ça tiendra. » Le restaurateur vendra son établissement dans quelques mois « pour des raisons personnelles ». Aussi, sans doute parce qu'il a senti le vent tourner. « Les habitants qui peuvent partir vont partir » Des entreprises qui claquent la porte les unes après les autres, la crainte d'un quartier fantôme, c'est ce que redoutent les habitants de Rosa Parks. En bout de chaîne, c'est l'équilibre économique et le modèle social de ce quartier qui risquent d'être fragilisés. « Le vivre-ensemble de ce quartier très mixte va se détériorer, prédit Ambroise, le père de famille. Ceux qui peuvent partir vont partir. Il y a déjà 40 % d'inscriptions en moins dans les écoles du coin. » Partir ou rester, c'est désormais l'interrogation des riverains. Pour Alain, qui habite à Rosa Parks depuis une dizaine d'années, ce n'est plus qu'une question de temps. « Cela fait partie de nos projets, dans trois ans, je ne suis plus ici. Je pense avant tout à mes enfants et je n'aimerais pas que ma cadette ait un grand souvenir de son passage ici », admet sans détours ce membre du collectif Rosa Craque. La mairie d'arrondissement n'a pas donné suite à nos sollicitations. Quant à la préfecture, elle dressait en début d'année un bilan positif de la seconde phase de son plan de lutte contre le crack en région parisienne. Très loin du constat dressé par les habitants du quartier Rosa Parks. À lire aussiProtoxyde d'azote: quelles pistes pour lutter contre la troisième drogue préférée des jeunes en France?
Aujourd'hui, je reçois Anna Beghelli et Maé Nayrolles, danseuses et chorégraphes, fondatrices de la compagnie Annamae.Elles créent en duo et c'est dans ce face-à-face, au contact l'une de l'autre, qu'elles trouvent une voix commune.À la dernière édition des Sobanova Dance Awards, elles ont créé la surprise et remporté à la fois le Grand Prix Sobanova et le Prix du Public.C'est désormais portées par la confiance et le soutien des membres du jury, ainsi que de Sophie et Barbara de Sobanova, qu'elles envisagent leurs prochains rendez-vous de chorégraphes, On les écoute avec joie,Les prochains rendez-vous avec la compagnie Annamae : * les 14 et 15 mai à Hanovre en Allemagne avec un extrait* le 3 juin au concours Sobanova avec un extrait * le 20 juillet à Vaison Danse pour la première mondiale ;) Anna et Maé bénéficient de l'accompagnement Émergence Pro du Crédit Agricole dans le cadre du parcours Sobanova.Cet épisode a été réalisé en collaboration avec les équipes de Sobanova.
Théa, Droges, nous étions une armée, Les Vulves Assassines, Gwendoline… la Gen Z renoue avec la furie des influences punk en chantant en français l'apocalypse écologique à venir et en s'insurgeant contre les inégalités grandissantes. Ce n'est plus une tendance, c'est un véritable cortège de manif et ce n'est pas ici sur Tsugi Radio qu'on va s'en plaindre. Aujourd'hui dans Place des Fêtes, on monte sur le char de Bonne Nuit, duo d'origine vendéenne dont les concerts sont placés sous le signe de la sueur et du pogo, pas un hasard si Jean-Louis des Trans les a programmés samedi soir à 0h40 ! Avec des titres comme café clope caca, la vie est belle ou Euthanasie, ils viennent réclamer leur place dans l'arbre généalogique des Béru. Mais ce sont aussi deux cœurs tendres et romantiques pour qui la fin d'une histoire d'amour n'est pas si loin de la fin du monde. Bonne Nuit en live aujourd'hui depuis la Folie L1 du Parc de la Villette avec leur tout nouveau single, Crier Vomir Pleurer, et en exclu Montréal. Les Trans Musicales c'est du 3 au 7 décembre à Rennes, en fin d'émission, on accueille Jean-Louis Brossard pour faire le tour d'horizon de cette nouvelle édition. Avant de retrouver Lola Avril et sa chronique Musique et politique qui se demande quel son a la démocratie. Tout un programme !
Dans le froid ou sous le soleil, la musique vibre tous les jours depuis la Folie L1 à l'entrée Nord du Parc de la Villette… content de vous retrouver sur la webradio du magazine Tsugi. Aujourd'hui, au programme, de la musique venue d'ailleurs, avec tout à l'heure à 19h, la résidence d'Aude M, figure du label Nowadays Records, label sur lequel Fakear vient de sortir un épatant morceau inspiration jungle, oui, j'ai bien dit junge. Juste avant, on retrouve con paciere notre barde italien qui préfère la musica leggera au bel canto, Benoît Felix-Lombard, qui nous présente un artiste piémontais, Cosmo. Et puis plein de nouveaux sons et beaucoup de coups de cœur, certains qui mettent même les larmes aux yeux, parce qu'on est comme ça à Tsugi Radio, de vrais cœurs d'artichaut de la mélodie. Dans cette émission enfin, on s'intéressera aussi à Problematik, Problematik c'est un nouveau média qui se présente comme un média queer de résistance, on en parle au téléphone avec Apolline Bazin. Soutenez Problematik sur Ulule. LADY GAGA "Abracadabra" I AM ROZE "Please" ICI MODESTA "J'irai pas sur Mars" FYRS "WDYWB (Feat. Kate Stables)" FELIX ANTONIO "Waiting for the sun to rise" CASSIUS "Dance On" MUST ROUSNAM & NORIA "Salo Ala Nbi" COSMO "Brucia Tutto" FAKEAR "waking up is better with you"
Aujourd'hui, je reçois le collectif XY, avec Airelle Caen, acrobate, et Virginie Benoist, chanteuse.Depuis vingt ans, le Collectif XY se distingue par son travail sur de grandes formes virtuoses, réinventant sans cesse les disciplines acrobatiques.Dans leur dernière création, Le Pas du Monde, deux chanteurs rejoignent les acrobates sous un dispositif sonore sophistiqué pour explorer la métamorphose du vivant.Cet entretien permet de saisir un fonctionnement profondément inspirant, où l'attention à l'autre est omniprésente, où chaque membre participe activement à la création, où l'unité du groupe prime sur l'individualité, et où le temps, bien précieux, s'étire par nécessité pour nourrir la réflexion collective. On les écoute avec joie,
Il y a du live à la folie LA de la Villette et ça nous fait bien plaisir ! Avant son badaboum du 20 novembre à Paris, le Normand Birrd fait escale aujourd'hui à Tsugi Radio avec ses machines et ses synthés pour nous présenter son premier album Takeoff. Je dis normand, mais Stefan Vogel est aussi américain, un peu italien, a vécu en Allemagne… il en résulte une sacrée envie de nous faire voir du pays, on ne va pas s'en plaindre. Birrd, c'est aussi un sacré curieux qui se balade, micro en bandoulière, pour capter les sons de son environnement. Il a ramené de la forêt du bocage normand des tonnes de matière qui se retrouve mêlée à ses nappes et ses beats. La mélodie c'est sans doute une tradition française depuis Fauré, Ravel et Debussy. Feraient-ils de la techno aujourd'hui tous ces artistes ? On est en droit de se poser la question. Ce qui est sûr c'est que Birrd est en train de se faire une jolie place sur la scène de techno mélodique française. La preuve aujourd'hui, en live, depuis le studio de la Tsugi Radio.
El tercer martes de cada mes, hay una cita exclusiva con la música venezolana en un péniche al borde de la Villette, en el noreste de París. Reportaje de Mariana Rivera Ramírez para RFI A orillas de la red fluvial parisina, diversas péniches —pequeños barcos, tipo crucero— forman parte del paisaje de la ciudad. Al menos una decena de estas barcazas, ancladas en las cuencas y canales del distrito XIX de París, suelen estar reservadas para proyectos artísticos: desde incubadoras culturales, cine, teatro y otras artes escénicas. Pero, una de ellas, es realmente especial para la comunidad venezolana: la Péniche Anako. En este barquito amarrado a la dársena del Bassin de la Villette, músicos y personas amantes de los ritmos tradicionales de la patria de Bolívar, se reúnen, cada mes, para armar la denominada Parranda Vénézuélienne. Una pareja de con una larga y reconocida trayectoria en la música tradicional venezolana, es la artífice de este encuentro musical: Cristobal Sotony Hayley Soto. Ella es cantante, se encarga de la programación de los conciertos y de la curaduría de los artistas. “Se nos ocurrió que podía ser este este formato: hacer un concierto de 45 minutos y después que la gente en general, no solamente los alumnos, sino otras personas, pudieran integrarse y hacer música venezolana”, explica Hayley. Leer tambiénMontevideo retumba en París con los tambores del candombe Su esposo, Cristóbal, es un franco-venezolano que nació y creció en París, a los 20 años se fue a vivir a Caracas, la capital de la tierra de su padre; él es multiinstrumentista y ahí desarrolló una prolífica carrera como mandolinista y como maestro de música tradicional. Años después, a su regreso a tierras francesas, fundó la Asociación Sonar en París para darle continuidad a su labor de enseñanza y difusión de las músicas tradicionales. Sonar es el preámbulo de la Parranda Vénézuélienne. “Ahora somos varios los que damos clases en el local nuestro, organizamos hace más de 20 años un curso de verano. Todos los años son más o menos unos 30, 40 alumnos que pasan una semana…Y eso es música de las 09:00 hasta las 23:00 de la noche mínimo”, detalla Cristóbal. Semillas venezolanas en la capital francesa El curso intensivo anual de la Asociación Sonar, que se realiza a las afueras de París, es un punto de convergencia para la música tradicional venezolana en este lado del mundo y todo un semillero de proyectos musicales. De ahí surgió el Collectif Bululú, un grupo que toca y expone variedad de ritmos venezolanos en París. Sus integrantes son cuatro jóvenes de Venezuela y dos franceses, quienes son alineación fija en las jam de las parrandas. La venezolana Rossmary Rangel, canta y toca la tambora y la bandola en el Colectivo, pero también tiene su proyecto propio como flautista, con el cual presentó su nuevo disco “Guayayo Project” en la Parranda del pasado mes de junio. “Vengo de otro mundo que es el mundo de las orquestas”, cuenta la artista a RFI, en medio de un ensayo que tuvo junto a sus colegas de Bululú en una sala de la Asociación Sonar en París, previo a ese espectáculo. La música popular es pan de cada día de las y los venezolanos, sin importar la escuela musical donde se aprenda. “Ya tú ves orquestas de cuatro, orquestas de mandolina, arpa, maracas (…) Entonces, no hay una cuestión de que la música popular esté alejada o que sea para un grupo específico de gente. Aquí nosotros hemos cultivado esa tradición desde muy pequeños… Yo crecí incluso tocando música un poco más académica en formación, pero siendo música venezolana”, agrega Rangel. El Sistema de Orquestas venezolano sin duda ha sido ejemplar y un gran promotor de la cultura musical del país. Se trata de un programa social, educativo y cultural, fundado por el maestro José Antonio Abreu en 1975. Este modelo, reconocido mundialmente, ha impactado la vida de miles de jóvenes, como fue el caso de Rossmary. “En todas las casas usualmente hay un cuatro” Más allá de la música formal, la música tradicional es una vena que atraviesa la idiosincrasia de este país suramericano. Muchas de las festividades venezolanas están asociadas a celebraciones católicas y suelen estar acompañadas con ritmos tradicionales. En diciembre, por ejemplo, cuando las familias se reúnen a cocinar hallacas, las gaitas, las parrandas y los aguinaldos son tan esenciales como los ingredientes mismos de ese platillo navideño. Dariana López, la cantante, compositora y cuatrista del grupo, recalca que “Venezuela es un país que en donde la música tiene como una plaza muy importante en la vida diaria, mucha gente canta y toca sin ser forzosamente músico profesional (...) en todas las casas usualmente hay un cuatro. El cuatro es el instrumento tradicional por excelencia de Venezuela”. Leer tambiénEn París, tras la huella de la zampoña Esa pequeña guitarra de cuatro cuerdas es por tanto, infaltable en las parrandas y de ahí se van sumando todos los demás “desde mandolinas, maracas, bajo, contrabajo, guitarra… Una variedad de instrumentos tradicionales venezolanos: las maracas, la bandola… cantidad de instrumentos de percusión, detalla Daniel Uzcategui, el cuatrista principal y arreglista del Colectivo Bululú. Para formar parte de la programación de la Parranda, cada proyecto debe tener un mínimo de madurez musical y cumplir con el requisito indispensable: hacer música venezolana. “Que además no es tan conocida, digamos, como otras músicas como la música brasileña, por ejemplo, como la misma música colombiana que tienen más espacios donde se hacen en diferentes sitios. Hay muchas ruedas de samba, hay muchas ruedas de cumbia, pero parrandas venezolanas por el momento hay solo una”, recalca López. Esa exclusividad de la que habla Dariana, es la que hace tan especial la cita musical en la péniche, pues más allá de ser un lugar de encuentro para la comunidad venezolana, es una fiesta de ritmos y un punto de convergencia multicultural. La Parranda intenta abarcar el diverso y rico abanico de géneros musicales que tiene Venezuela. “Por supuesto, se hace mucho joropo llanero, que es como el más conocido, que involucra el arpa y algunas veces la bandola. Está el merengue venezolano que digamos que eso no va a faltar nunca (...) es como que un género muy característico de Venezuela”, ejemplifica López. “La música no la define el pasaporte” La cosmopolita París, sin duda es cómplice de todo ello. Ofrece un escenario idóneo para el público de distintas edades y procedencias. Anabel es venezolana y visita, desde Panamá, a su hija Eliana que está radicada en Francia. Ella asegura que la música tradicional es lo que te conecta con tu identidad: “Me ha hecho regresar a un pasado que dejé en mi país”, comenta tras asistir a la Parranda Venezolana. Para algunas personas locales ya es una cita habitual en la capital francesa. Francis, un músico francés enamorado de la música venezolana, acude todos los meses con su guitarra a la Parranda: “soy guitarrista y puedo tocar esas cosas que yo tocaba hace muchos años”. Brillitte, también francesa, es otra asistente ferviente: “Encontré al maestro Cristóbal Soto y empecé a tocar cuatro (...) y realmente es una fecha que no podemos faltar. Cada mes hay que venir porque es un momento único de música”. La paradoja de la música es que por un lado refuerza la identidad de una nación pero, al mismo tiempo, difumina las fronteras, porque como dice Cristóbal: “La música no la define el pasaporte, la define las ganas y el conocimiento del estudiarla, trabajarla, practicarla y compartirla”. Ese sentimiento lo comparte Daniel, desde su experiencia en el Colectivo Bululú: “se elimina ese límite entre el que es venezolano y el que es francés, y es como que se te olvida cuando estás tocando. Cuando yo estoy tocando con Adrien, cuando yo estoy tocando con Juliette, cuando yo estoy tocando con Marina, con Dariana, no pienso que Juliette es venezolana o francesa. Es como un sitio donde esa barrera, como geográfica, de un pasaporte se borra”. Ese impulso por compartir la música es lo que ha mantenido a Cristóbal y a Hayley constantes con su proyecto pedagógico de transmisión de las músicas tradicionales, por más de 20 años en este lado del Atlántico. “Es que está viva en nosotros. Es parte de nuestras vidas (...) No hay ninguna meta otra que disfrutar de eso que conocemos y que nos gusta compartir, reflexiona el maestro Cristóba Tras cinco años en París, esa vitalidad también atraviesa a Dariana. Cada vez que toca, las montañas de su natal Mérida, se sienten más cerca: “Hacer música tradicional venezolana aquí es una manera también que me permite seguir conectando con eso que dejé allá, ¿no? Gracias a la música tradicional venezolana, yo he creado esta red que me hace seguir sintiéndome en casa”. La Péniche Anako es administrada por una asociación de armenios y gracias a la alianza con la Asociación Sonar, esta fiesta musical venezolana ya es una cita fija en la agenda mensual desde hace más de una década. Cada tercer martes del mes La Parranda Venezolana resuena al borde de la Villette y es una parada obligatoria para músicos, personas curiosas y amantes de las músicas latinoamericanas.
El tercer martes de cada mes, hay una cita exclusiva con la música venezolana en un péniche al borde de la Villette, en el noreste de París. Reportaje de Mariana Rivera Ramírez para RFI A orillas de la red fluvial parisina, diversas péniches —pequeños barcos, tipo crucero— forman parte del paisaje de la ciudad. Al menos una decena de estas barcazas, ancladas en las cuencas y canales del distrito XIX de París, suelen estar reservadas para proyectos artísticos: desde incubadoras culturales, cine, teatro y otras artes escénicas. Pero, una de ellas, es realmente especial para la comunidad venezolana: la Péniche Anako. En este barquito amarrado a la dársena del Bassin de la Villette, músicos y personas amantes de los ritmos tradicionales de la patria de Bolívar, se reúnen, cada mes, para armar la denominada Parranda Vénézuélienne. Una pareja de con una larga y reconocida trayectoria en la música tradicional venezolana, es la artífice de este encuentro musical: Cristobal Sotony Hayley Soto. Ella es cantante, se encarga de la programación de los conciertos y de la curaduría de los artistas. “Se nos ocurrió que podía ser este este formato: hacer un concierto de 45 minutos y después que la gente en general, no solamente los alumnos, sino otras personas, pudieran integrarse y hacer música venezolana”, explica Hayley. Leer tambiénMontevideo retumba en París con los tambores del candombe Su esposo, Cristóbal, es un franco-venezolano que nació y creció en París, a los 20 años se fue a vivir a Caracas, la capital de la tierra de su padre; él es multiinstrumentista y ahí desarrolló una prolífica carrera como mandolinista y como maestro de música tradicional. Años después, a su regreso a tierras francesas, fundó la Asociación Sonar en París para darle continuidad a su labor de enseñanza y difusión de las músicas tradicionales. Sonar es el preámbulo de la Parranda Vénézuélienne. “Ahora somos varios los que damos clases en el local nuestro, organizamos hace más de 20 años un curso de verano. Todos los años son más o menos unos 30, 40 alumnos que pasan una semana…Y eso es música de las 09:00 hasta las 23:00 de la noche mínimo”, detalla Cristóbal. Semillas venezolanas en la capital francesa El curso intensivo anual de la Asociación Sonar, que se realiza a las afueras de París, es un punto de convergencia para la música tradicional venezolana en este lado del mundo y todo un semillero de proyectos musicales. De ahí surgió el Collectif Bululú, un grupo que toca y expone variedad de ritmos venezolanos en París. Sus integrantes son cuatro jóvenes de Venezuela y dos franceses, quienes son alineación fija en las jam de las parrandas. La venezolana Rossmary Rangel, canta y toca la tambora y la bandola en el Colectivo, pero también tiene su proyecto propio como flautista, con el cual presentó su nuevo disco “Guayayo Project” en la Parranda del pasado mes de junio. “Vengo de otro mundo que es el mundo de las orquestas”, cuenta la artista a RFI, en medio de un ensayo que tuvo junto a sus colegas de Bululú en una sala de la Asociación Sonar en París, previo a ese espectáculo. La música popular es pan de cada día de las y los venezolanos, sin importar la escuela musical donde se aprenda. “Ya tú ves orquestas de cuatro, orquestas de mandolina, arpa, maracas (…) Entonces, no hay una cuestión de que la música popular esté alejada o que sea para un grupo específico de gente. Aquí nosotros hemos cultivado esa tradición desde muy pequeños… Yo crecí incluso tocando música un poco más académica en formación, pero siendo música venezolana”, agrega Rangel. El Sistema de Orquestas venezolano sin duda ha sido ejemplar y un gran promotor de la cultura musical del país. Se trata de un programa social, educativo y cultural, fundado por el maestro José Antonio Abreu en 1975. Este modelo, reconocido mundialmente, ha impactado la vida de miles de jóvenes, como fue el caso de Rossmary. “En todas las casas usualmente hay un cuatro” Más allá de la música formal, la música tradicional es una vena que atraviesa la idiosincrasia de este país suramericano. Muchas de las festividades venezolanas están asociadas a celebraciones católicas y suelen estar acompañadas con ritmos tradicionales. En diciembre, por ejemplo, cuando las familias se reúnen a cocinar hallacas, las gaitas, las parrandas y los aguinaldos son tan esenciales como los ingredientes mismos de ese platillo navideño. Dariana López, la cantante, compositora y cuatrista del grupo, recalca que “Venezuela es un país que en donde la música tiene como una plaza muy importante en la vida diaria, mucha gente canta y toca sin ser forzosamente músico profesional (...) en todas las casas usualmente hay un cuatro. El cuatro es el instrumento tradicional por excelencia de Venezuela”. Leer tambiénEn París, tras la huella de la zampoña Esa pequeña guitarra de cuatro cuerdas es por tanto, infaltable en las parrandas y de ahí se van sumando todos los demás “desde mandolinas, maracas, bajo, contrabajo, guitarra… Una variedad de instrumentos tradicionales venezolanos: las maracas, la bandola… cantidad de instrumentos de percusión, detalla Daniel Uzcategui, el cuatrista principal y arreglista del Colectivo Bululú. Para formar parte de la programación de la Parranda, cada proyecto debe tener un mínimo de madurez musical y cumplir con el requisito indispensable: hacer música venezolana. “Que además no es tan conocida, digamos, como otras músicas como la música brasileña, por ejemplo, como la misma música colombiana que tienen más espacios donde se hacen en diferentes sitios. Hay muchas ruedas de samba, hay muchas ruedas de cumbia, pero parrandas venezolanas por el momento hay solo una”, recalca López. Esa exclusividad de la que habla Dariana, es la que hace tan especial la cita musical en la péniche, pues más allá de ser un lugar de encuentro para la comunidad venezolana, es una fiesta de ritmos y un punto de convergencia multicultural. La Parranda intenta abarcar el diverso y rico abanico de géneros musicales que tiene Venezuela. “Por supuesto, se hace mucho joropo llanero, que es como el más conocido, que involucra el arpa y algunas veces la bandola. Está el merengue venezolano que digamos que eso no va a faltar nunca (...) es como que un género muy característico de Venezuela”, ejemplifica López. “La música no la define el pasaporte” La cosmopolita París, sin duda es cómplice de todo ello. Ofrece un escenario idóneo para el público de distintas edades y procedencias. Anabel es venezolana y visita, desde Panamá, a su hija Eliana que está radicada en Francia. Ella asegura que la música tradicional es lo que te conecta con tu identidad: “Me ha hecho regresar a un pasado que dejé en mi país”, comenta tras asistir a la Parranda Venezolana. Para algunas personas locales ya es una cita habitual en la capital francesa. Francis, un músico francés enamorado de la música venezolana, acude todos los meses con su guitarra a la Parranda: “soy guitarrista y puedo tocar esas cosas que yo tocaba hace muchos años”. Brillitte, también francesa, es otra asistente ferviente: “Encontré al maestro Cristóbal Soto y empecé a tocar cuatro (...) y realmente es una fecha que no podemos faltar. Cada mes hay que venir porque es un momento único de música”. La paradoja de la música es que por un lado refuerza la identidad de una nación pero, al mismo tiempo, difumina las fronteras, porque como dice Cristóbal: “La música no la define el pasaporte, la define las ganas y el conocimiento del estudiarla, trabajarla, practicarla y compartirla”. Ese sentimiento lo comparte Daniel, desde su experiencia en el Colectivo Bululú: “se elimina ese límite entre el que es venezolano y el que es francés, y es como que se te olvida cuando estás tocando. Cuando yo estoy tocando con Adrien, cuando yo estoy tocando con Juliette, cuando yo estoy tocando con Marina, con Dariana, no pienso que Juliette es venezolana o francesa. Es como un sitio donde esa barrera, como geográfica, de un pasaporte se borra”. Ese impulso por compartir la música es lo que ha mantenido a Cristóbal y a Hayley constantes con su proyecto pedagógico de transmisión de las músicas tradicionales, por más de 20 años en este lado del Atlántico. “Es que está viva en nosotros. Es parte de nuestras vidas (...) No hay ninguna meta otra que disfrutar de eso que conocemos y que nos gusta compartir, reflexiona el maestro Cristóba Tras cinco años en París, esa vitalidad también atraviesa a Dariana. Cada vez que toca, las montañas de su natal Mérida, se sienten más cerca: “Hacer música tradicional venezolana aquí es una manera también que me permite seguir conectando con eso que dejé allá, ¿no? Gracias a la música tradicional venezolana, yo he creado esta red que me hace seguir sintiéndome en casa”. La Péniche Anako es administrada por una asociación de armenios y gracias a la alianza con la Asociación Sonar, esta fiesta musical venezolana ya es una cita fija en la agenda mensual desde hace más de una década. Cada tercer martes del mes La Parranda Venezolana resuena al borde de la Villette y es una parada obligatoria para músicos, personas curiosas y amantes de las músicas latinoamericanas.
C'est l'une des grandes voix européennes sur la scène électronique. Ses débuts en tant que DJ dans des clubs emblématiques parisiens comme Le Pulp datent d'il y a plus de trente ans. Jen Cardini poursuit sa carrière avec une musique à la croisée de la house et de la techno, teintée d'influences new wave et électronica. L'artiste sera en concert ce vendredi 31 octobre au Sucre, à Lyon dans le sud-est de la France. La première édition de son festival, "Nightclubbing", axé sur la culture club et l'inclusion, tiendra sa première édition du 24 au 27 septembre 2026 dans différents clubs et lieux situés au cœur du bassin de la Villette, à Paris.
C'est l'une des grandes voix européennes sur la scène électronique. Ses débuts en tant que DJ dans des clubs emblématiques parisiens comme Le Pulp datent d'il y a plus de trente ans. Jen Cardini poursuit sa carrière avec une musique à la croisée de la house et de la techno, teintée d'influences new wave et électronica. L'artiste sera en concert ce vendredi 31 octobre au Sucre, à Lyon dans le sud-est de la France. La première édition de son festival, "Nightclubbing", axé sur la culture club et l'inclusion, tiendra sa première édition du 24 au 27 septembre 2026 dans différents clubs et lieux situés au cœur du bassin de la Villette, à Paris.
En décembre 1910, à Paris, dans un appartement du boulevard de la Villette, on trouve le cadavre d'un homme qui porte un uniforme de « garçon de recettes ». Un homme chargé d'aller chez les gens, collecter l'argent qu'ils doivent à la banque. Deux adolescents de 16 et 17 ans, avouent l'avoir tué pour le dépouiller de son argent et prendre ensuite du bon temps.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En décembre 1910, à Paris, dans un appartement du boulevard de la Villette, on trouve le cadavre d'un homme qui porte un uniforme de « garçon de recettes ». Un homme chargé d'aller chez les gens, collecter l'argent qu'ils doivent à la banque. Deux adolescents de 16 et 17 ans, avouent l'avoir tué pour le dépouiller de son argent et prendre ensuite du bon temps.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:02:01 - Live à Fip - Nous sommes au cœur de la 4e édition du festival de rap indépendant, à la Grande Halle de la Villette avec Gen, AKISSI, Ino Casablanca et Jean Jass en interview, ainsi que Jean Morel programmateur du festival. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ils traversent le temps avec la même grâce réjouissante qu'ils parcourent l'espace de la scène : pour les danseurs de la compagnie DCA, du piano de cabaret à l'électro, de Bach à Madonna en passant par Rameau et Gloria Gaynor, toutes les musiques sont bonnes. Le nouveau spectacle de Philippe Decouflé «Entre temps», créé au printemps est en ce moment à la Villette, à Paris, à l'espace Chapiteaux. C'est un spectacle qui nous parle du temps qui passe, de la mémoire qui s'envole et du temps du rêve. Philippe Decouflé et Dominique Boivin étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Madonna - Isla Bonita. - Keren Ann - Paris Amour.
Ils traversent le temps avec la même grâce réjouissante qu'ils parcourent l'espace de la scène : pour les danseurs de la compagnie DCA, du piano de cabaret à l'électro, de Bach à Madonna en passant par Rameau et Gloria Gaynor, toutes les musiques sont bonnes. Le nouveau spectacle de Philippe Decouflé «Entre temps», créé au printemps est en ce moment à la Villette, à Paris, à l'espace Chapiteaux. C'est un spectacle qui nous parle du temps qui passe, de la mémoire qui s'envole et du temps du rêve. Philippe Decouflé et Dominique Boivin étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Madonna - Isla Bonita. - Keren Ann - Paris Amour.
There has never been a literary family quite like the Brontës. In our autumn podcast Ann Dinsdale, Principal Curator of the Brontë Parsonage Museum at Haworth in Yorkshire, joined the Slightly Foxed team to discuss the story of the family's life there. The Brontës moved to Haworth in 1820 when Patrick Brontë became curate, and the parsonage was established as a museum in 1928 when it was acquired by the Brontë Society. Mrs Brontë and the oldest two daughters, Maria and Elizabeth, died there from tuberculosis, leaving Charlotte, Emily, Anne and their brother Branwell to be educated at home by their widowed father. Ann talks about her work at the Parsonage Museum, a treasure trove of Brontë memorabilia, containing 9,000 items including clothes, letters, first editions and the sisters' own writing boxes. The Brontës were a close-knit family, sharing their games and creating a rich imaginary world which formed the basis of their later writing. Patrick Brontë was a loving and in many ways an unconventional father, who encouraged the girls' education and allowed them to read freely. He was a lover of the natural world, and on their daily walks in the wild moorland country around Haworth the sisters absorbed the atmosphere that would permeate their novels. Recognition came in 1847 when each published a novel, though initially they hid behind the pseudonyms of Currer, Ellis and Acton Bell. Charlotte's Jane Eyre was the first, an overnight sensation which was the talk of literary London, causing endless speculation about the identity of its author. Three months later came Emily's Wuthering Heights, which shocked readers with its story of passion, violence and revenge, and finally Anne's Agnes Grey. The scene could have been set for brilliant literary careers, but within two years both Emily and Anne were dead from tuberculosis, Emily at 30 and Anne at 29. Charlotte married her father's curate, lived on to write Shirley and Villette, based on her time as a teacher in a school in Brussels, and died at 38. Branwell, who never fulfilled his family's high expectations, died addicted to alcohol and opium when he was 31. Even before Charlotte's death Haworth had become a place of pilgrimage for Brontë fans, and Mrs Gaskell's 1857 biography of her helped to establish the family's lasting fame. Today the Parsonage Museum is hugely popular with visitors. It is also a centre for research and runs an annual festival of women's writing. Ann's deep knowledge of the Brontës and her experience of running the museum made for a fascinating discussion, leaving us to wonder, had the sisters lived longer, what their eventual literary legacy might have been. Autumn book recommendations were Blythe Spirit, Ian Collins's biography of Ronald Blythe, The Brothers York by Thomas Penn, Plainsong, an American novel by Kent Haruf, Traitor's Legacy by S. J. Parris, and The Land in Winter by Andrew Miller. For episode show notes, please see the Slightly Foxed website. Opening music: Preludio from Violin Partita No. 3 in E Major by Bach Hosted by Rosie Goldsmith Produced by Philippa Goodrich
Je suis ravie de vous retrouver pour ce nouvel épisode de Mask Off, où vous allez découvrir le parcours d'une réalisatrice de talent : Lena HEMPELElle gravite dans l'univers du sport et met en lumière, d'une manière assez exceptionnelle, les athlètes et leur personnalité. Elle a réalisé des videos pour Betclic Elite, l'Européen League of Football ou encore, plus récemment pour la prestigieuse équipe du PSG, rien que ça.Je dis elle car oui, c'est une femme, et c'est même la première femme à inaugurer ce plateau en tant qu'invitée de MASK OFF. Dans cet épisode, elle revient en toute intimité sur son enfance, des débuts dans le sport et notamment le football américain, le secret de sa tenacité et persévérance et aussi nous confie la plus dure épreuve de sa vie en témoignant de sa transition de genre qui a aussi été la meilleure décision qu'elle ait prise.Merci Lena de m'avoir permis de te découvrir avec autant de sincérité et de m'avoir fait confiance pour le poignant témoignage de ta vie.Si tu aimes Mask Off, abonne-toi pour me soutenir, et n'hésites pas à partager ou me laisser un commentaire/like
Nouveauté : Brieuc lance une lettre hebdomadaire : Adaptable(s). Abonnez-vous pour recevoir des outils, principes et retours d'expériences pour permettre aux dirigeantes et dirigeants d'entreprises d'anticiper les risques, notamment physiques, du 21ème siècle.Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Cette semaine, Justine accueille Olivier FLAMENT, directeur de l'Association de Prévention du Site La Villette (APSV), et Juliette LATOUR, chargée de mission Écologie Industrielle et Territoriale (EIT) du Quartier Circulaire de la Villette. La Villette couvre 55 hectares dans Paris. C'est le plus grand parc culturel urbain en France !Comment l'APSV transforment concrètement un lieu culturel de 55 hectares accueillant plus de 10 millions de visiteurs par an, pour réduire les déchets, créer de l'emploi solidaire et remodeler l'Est parisien.Ce que vous allez découvrir dans notre échange :Une réponse massive aux déchets culturels : Face aux centaines de tonnes de déchets produites annuellement sur le site, l'APSV a créé OECO, une entreprise sociale d'insertion spécialisée dans l'économie circulaire.L'efficacité du réemploi local (avec des chiffres impressionnants) : OECO propose une chaîne de valeur complète incluant la location, le transport en vélo cargo (mobilité décarbonée) et le lavage de contenants réemployables.Rien qu'avec son premier client, le Zénith de Paris, l'activité concerne entre 5 000 et 10 000 contenants par concert.La station de lavage d'OECO, la seule intra-muros à Paris, gère entre 450 000 et 500 000 contenants par an.Grâce aux rotations quotidiennes, les acteurs réduisent leur besoin de stock par 5 (par exemple, de 100 000 à 20 000 contenants nécessaires pour le Zénith).L'empreinte environnementale sur le transport est divisée par 5 grâce au recours aux vélos cargo.Un ancrage social fort : La PSV, fondée en 1986, accompagne déjà environ 7 000 à 8 000 personnes par an dans des démarches sociales, utilisant désormais les transitions écologiques comme outil d'inclusion et de création d'emplois durables.La transformation des pratiques culturelles : Au-delà du lavage, la démarche vise la lutte contre le plastique à usage unique et la valorisation des gisements. La PSV collecte entre 40 et 50 tonnes de biens par an (matériaux bruts, décors, mobilier, informatique) pour le don et le réemploi local auprès d'associations.Un modèle économique collaboratif en pleine structuration : Le projet de Quartier Circulaire, lauréat en 2022, fédère déjà une cinquantaine d'acteurs économiques (incluant de grandes institutions culturelles) autour de cinq filières clés (déchets verts, consigne, mobilier professionnel/culturel, BTP).Dès 2026, la démarche passera à un système d'adhésion pour consolider l'animation. La contribution financière est fixée entre 4 000 et 6 000 € par an pour les grandes entreprises.Olivier et Juliette partagent leurs solutions concrètes, leurs défis (comme la nécessité de mettre fin aux stocks dormants) et leur vision militante d'un territoire où l'impact écologique et social est pleinement intégré à la production culturelle. Ils jouent le rôle de chef d'orchestre pour forcer la coopération dans un secteur naturellement concurrentiel. Notre conversation permet de comprendre comment l'économie circulaire s'implante massivement en milieu urbain dense !Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sortie de la 8ème édition de Understanding Quantum TechnologiesNouvelle édition le 29 septembre. PDF unique de 1 510 pages contenant tout le contenu du livre, avec une version A4 et Letter (> 500 Mo). Vous pouvez également télécharger le livre en 5 parties compressées (prologue, matériel d'informatique quantique, logiciels d'informatique quantique, communications et cryptographie et détection, écosystèmes) également en A4 et Letter. Enfin, vous pouvez également télécharger la version courte des « points clés » de 36 pages, en A4 et en Letter. Il y a même une timeline des principaux progrès dans le domaine depuis 2018, l'année où nous avons plongé dedans.Remerciements à Lucas Leclerc, Stefan Bogdanovic, Raphaël Lescanne, Olivier Hess, Tom Darras, Mathys Rennela, Kenzo Bougneta, Pierre Desjardins, Lydia Baril, Evan Tanner, Jean-Philippe Nominé, Elisabeth Eude et Fanny Bouton pour les relectures . Un grand merci à Vincent Pinte-Deregnaucourt qui a poussé à migrer vers LaTeX, à Michel Kurek qui a soigneusement relu plusieurs fois l'ensemble du livre comme pour de nombreuses éditions précédentes, et même développé quelques scripts pour supprimer les liens morts dans la bibliographie, et Christophe Jurczak pour sa préface mise à jour. Cet ouvrage est également soutenu par le Lab Quantique, non pas financièrement, mais pour sa visibilité. https://www.oezratty.net/wordpress/2025/understanding-quantum-technologies-2025 Evénements Gottingen DPG Congress https://www.oezratty.net/Files/Conferences/Olivier%20Ezratty%20DPG%20Fall%20Gottingen%20Sept2025.pdfSIDO à Lyon- panel sur l'IA et le calcul quantique organisé au SIDO à Lyon le 17 septembre 2025 avec Félix Givois (GENCI), Salvatore Cina (CEA), Filippo Vincentini (Collège de France, Ecole Polytechnique), Giovanni Lammana (Laboratoire d'Annecy de Physique des Particules), animé par Julien Bergouhnoux (Usine Digitale). https://www.youtube.com/watch?v=HldA3KZNGxM Journée France-Allemagne - A Station F puis chez Quandela avait lieu le 23 septembre la seconde journée de rapprochement entre les deux écosystèmes. “French German Dialogue of Quantum Technology Players : Building today the future of Europe for and with the industry”. La matinée était organisée sous forme de séances de brainstorming sur l'adoption des technologies quantiques par les grands utilisateurs. Q2B Paris- La Q2B Paris 2025 avait lieu à la Cité des Sciences de la Villette. Elle regroupait environ 300 participants sur deux journées, les 24 et 25 septembre. Les intervenants étaient un mix de startups et d'entreprises utilisatrices.https://www.oezratty.net/Files/Conferences/Olivier%20Ezratty%20Q2B%20Paris%20FTQC%20Roadmaps%20Sept2025.pdfune grille d'analyse des roadmaps FTQC des constructeurs d'ordinateurs quantiques - énergétique des ordinateurs FTQC, en liaison avec mon rôle de cofondateur de la Quantum Energy Initiative https://www.oezratty.net/Files/Conferences/Olivier%20Ezratty%20Q2B%20Paris%20FTQC%20Energetics%20Sept2025.pdf Les vidéos des interventions seront bientôt publiées. Quantum World Congress https://www.youtube.com/playlist?list=PLqMDXDxb_hzKoVf20NEDZi76tHg7xPhrL Quantum.Tech EuropeCette conférence a lieu la première semaine d'octobre à Rotterdam. Quantum Computing Europe - 1er octobre à Bruxelles. C'est un forum reliant la Commission Européenne et les acteurs de l'écosystème quantique. https://quantumcomputingeurope.com/ Journées QuantAlps 2025 à Grenoble, les 13 et 14 octobre (inscriptions). QET-W, le second forum sur les technologies habilitantes aura lieu le 13 novembre sur le campus de Saint Germain en Laye (inscriptions). GDR-TEQ 2025 à Grenoble des 12 au 14 novembre (inscriptions). Symposium France Singapour chez Bpifrance à Paris les 25 et 26 novembre (inscriptions). Avec notamment une intervention d'Alain Aspect en compagnie d'Artur Ekert. QUEST-IS début du 1ier au 4 décembre 2025 (inscriptions). Q2B Santa Clara la seconde semaine de décembre. Actualités France Alice&Bob- livre blanc sur l'intégration HPC-QPU https://alice-bob.com/newsroom/hpc-report-press-release/ Pasqal-premiers qubits logiques Actualités Internationales Infleqtion - L'une des quatre startups des atomes froids aux USA publiait un papier sur la réalisation d'un QPU de 114 atomes supportant leur architecture Sqale qui gère la connectivité many-to-many entre atomes et jusqu'à 12 qubits logiques. Demonstration of a Logical Architecture Uniting Motion and In-Place Entanglement: Shor's Algorithm, Constant-Depth CNOT Ladder, and Many-Hypercube Code by Rich Rines, Benjamin Hall, Mariesa H. Teo, and Ilya Vinogradov, arXiv, September 2025 (17 pages). Quantum Motion- premier ordinateur à base de qubit silicium au NQCC, ayant obtenu un financement de $8M en 2024. https://quantummotion.com/quantum-motion-delivers-the-industrys-first-full-stack-silicon-cmos-quantum-computer/ IonQ - Première machine avec 64 qubits livrée. https://investors.ionq.com/news/news-details/2025/IonQ-Achieves-Record-Breaking-Quantum-Performance-Milestone-of-AQ-64/default.aspx Financements
Nous avons passé une après-midi, à l'Hôpital pédiatrique Robert Debré, à Paris. Dans le centre scolaire du service de pédopsychiatrie. Une école au cœur de l'hôpital qui permet aux enfants et aux ados, de continuer leur scolarité malgré l'hospitalisation, parfois longue dans ce service… A l'intérieur, l'équipe enseignante a mis en place une classe à projets artistiques et culturels. Et cette année, elle a initié des ateliers de mouvement, dans le but d'aider ses enfants, ayant des troubles psychiques, à se réapproprier leur corps… Ces ateliers étaient organisés tout au long de l'année, en collaboration avec la Villette, qui remplit là sa mission de service public, en allant à la rencontre des publics empêchés. Et c'est Emmanuelle Soum, une jeune chorégraphe que la Villette accompagne dans ce projet, qui les menaient… Soutenez-nous sur Patreon !
durée : 00:02:43 - Thomas extrait du marbre dans la carrière de Villette - Dans la carrière de Villette, depuis les romains on extrait du marbre, le "bleu de Savoie". Thomas y est carrier, il découpe la montagne pour en tirer un marbre réputé dans le monde entier. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce week-end, à la Bellevilloise, c'est la 4ème édition du Burning Festival, un festival d'art féministe pluridisciplinaire, où nous retrouverons Louise Petrouchka, Paloma Colombe, crenoka, Le Talu… un week-end de fête, d'expo, de performances, pour imaginer ensemble un futur désirable et inclusif. Le Burning Festival on en parle à la fin de cette émission. Mais juste avant, petite virée transalpine avec notre spécialiste maison en musica leggera, Benoît Felix-Lombard… en Italie, comme ici, il est beaucoup question d'IA. C'est la rentrée à Tsugi Radio, mais nous n'avions pas encore parlé de chanson. En même temps ce mot paraît bien trop étroit pour le nouvel album de mes invités du jour. Un disque tourmenté, inquiet, mais soudé par l'amitié qui lie les désormais 4 membres du groupe Catastrophe. Après la fête de leur précédente sortie, Gong!, et les 200 concerts qui ont suivis, Blandine Rinkel, Pierre Jouan, Arthur Navellou et Carol Teillard d'Eyry conjuguent leurs peurs au futur mais toujours avec la même envie de la sublimer par les rimes et les subtils arrangements de cordes, de vents et de synthés du merveilleux Jérémie Arcache. « Hier est mort / Et nous sommes en vie », harmonisent-ils sur Sauvons-nous… et si finalement, c'est la musique qui faisait vivre l'espoir. Catastrophe, invité aujourd'hui de Place des Fêtes, en direct de la Villette.
Ce lundisoir a été tourné à chaud, soit le 11 septembre. Nous y avons convié Ritchy Thibault pour qui avait passé la journée du 10 entre blocages et manifestations sauvages et trois membres de Cultures en lutte ayant participé à l'occupation de la « Maison des cultures urbaines » de la Villette. Toutes les informations sur le mouvement n'étaient pas encore parvenues à nos oreilles. La discussion tient le juste équilibre entre l'exaltation joyeuse d'une potentielle séquence insurrectionnelle qui s'ouvre et la critique modérée d'une situation qui s'est présentée sur un mode mou, incertain, hésitant, parfois même virtuel ou quantique. On s'excuse pour la piètre qualité du son qu'il a fallu remixer avec les moyens du bord à cause d'un gros problème technique.Notons que les points de vue partagés sont, de facto, très parisiens. Et après réflexion, il nous semble qu'un point n'a pas pu être soulevé. Avec cette présentation, nous voulons nous rattraper. Si le dispositif policier était énorme, la répression a été, grosso modo, moins intense que d'habitude. Pourtant, de nombreuses images de brutalité féroce sont remontées. On en tire la conclusion hypothétique suivante : le dispositif policier avait pour mot-d'ordre de ventiler d'éventuels points de fixation (blocage) et de détruite dans l'œuf toute initiative. Son objectif n'était pas, directement, de pratiquer le terrorisme répressif tout azimut comme au temps des Gilets Jaunes. Les multiples cruautés policières que nos camarades ont pu constater ont donc un autre sens que stratégique : un certain nombre de policiers font du zèle, et ce zèle, est précisément ce surplus de jouissance brutaliste qui caractérise la jouissance fasciste. Nous vous laissons découvrir le contenu de la discussion, mais, s'il fallait retenir une seule chose, ce serait celle-ci : il faut passer du blocage à l'occupation. Le blocage sans occupation est éphémère ; l'occupation sans blocage est sans piquant.Vous aimez ou au moins lisez lundimatin et vous souhaitez pouvoir continuer ? Ca tombe bien, pour fêter nos dix années d'existence, nous lançons une grande campagne de financement. Pour nous aider et nous encourager, C'est par ici.
durée : 01:01:40 - Club Jazzafip - En direct et en public de la Grande Halle de la Villette nous invitons aussi Anne Sanogo la co-programmatrice du festival en interview. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:35 - Live à Fip - Retrouvez le concert du rappeur irlandais enregistré à la Grande Halle de La Villette pour la 24e édition du festival. En partenariat avec France.TV. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:00:03 - Live à Fip - Retrouver le concert du chanteur anglo-nigérian qui présentait son album "Yonder" à la Grande Halle de La Villette pour la 24e édition du festival. En partenariat avec France.TV. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:55:50 - Club Jazzafip - En direct et en public de la Grande Halle de la Villette nous invitons Jeff Mills en interview ainsi que Knoel Scott du Sun Ra Arkestra et Frank Piquard co-programmateur du festival pour nous parler de sa programmation où se côtoient Great Black Music, jazz, hip-hop, soul et funk. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:32:56 - Live à Fip - Retrouvez le concert du producteur de Detroit, du claviériste Jean-Phi Dary et du joueur de tablas indien Prabhu Edouard enregistré à la Grande Halle de La Villette pour la 24e édition du festival. En partenariat avec France.TV. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:29:16 - Live à Fip - Retrouvez le concert de la mythique formation jazz cosmique, enregistré à la Grande Halle de La Villette pour la 24e édition du festival. En partenariat avec France.TV. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
This week, arts24 welcomes one of Detroit's finest: DJ and producer Jeff Mills, who is taking part in the latest edition of Paris's "Jazz à la Villette" festival as part of Tomorrow Comes The Harvest, a collective he created with the late Afrobeat drummer Tony Allen. He tells Marjorie Hache about performing live alongside the legendary Sun Ra Arkestra and their future album "The Forbidden Planet" that will be out in 2026. They also look at new releases by David Byrne, The Hives and Suede.
[Première diffusion le 5 juillet 2024] Les lieux dédiés à la musique électronique se multiplient à Paris. Espaces en plein-air, péniches, clubs… Pour le plus grand bonheur des fans de techno ou de house, et des métiers du monde de la nuit, les soirées électro revivent.Elles avaient eu leur période de gloire, avec des lieux mythiques comme le Rex-Club ou encore le Queen sur les Champs-Elysées, dans les années 90. Après le creux des années 2010, plusieurs établissements liés à l'électro ouvrent, mais la pandémie de Covid-19 s'en mêle. Aujourd'hui, c'est le quartier de la Villette, dans le 19e arrondissement de Paris, qui réunit les amateurs de musique électronique. Cet épisode est raconté par Paul Abran, reporter à l'édition de Paris, accompagné de Camille Ruiz, reporter à Code source, qui l'a suivi dans les nouveaux lieux dédiés à la musique électronique, prisés par les Parisiens. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Camille Ruiz - Production : Raphaël Pueyo, Clara Garnier-Amouroux et Barbara Gouy - Réalisation et mixage : Alexandre Ferreira - Musiques : François Clos, Audio Network, Maceo Plex, Aazar, Eastel, Charlotte de Witte, Mall Grab. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
fWotD Episode 3008: Scanners (collection) Welcome to featured Wiki of the Day, your daily dose of knowledge from Wikipedia's finest articles.The featured article for Wednesday, 30 July 2025, is Scanners (collection).Scanners (Autumn/Winter 2003) was the twenty-second collection by British fashion designer Alexander McQueen for his eponymous fashion house. The collection is based on the idea of exiles travelling eastward through northern Eurasia: Siberia, Tibet, and finally Japan. The designs borrow heavily from the traditional clothing and art of those areas, and reflect an overall aesthetic of luxury, with voluminous silhouettes and rich materials. Cultural motifs include heavy embroidery, traditional patterns, and kimono-like shapes. The runway show was staged on 8 March 2003 at the Grande halle de la Villette in Paris, with production by McQueen's usual creative team. The set was made to look like a desolate tundra with rocks and snow. A clear plastic wind tunnel was suspended over the runway on industrial scaffolding for some models to walk through. Fifty-nine looks were presented in roughly three stages, representing the journey through each of Siberia, Tibet, and Japan. The show ended with a model struggling through the wind tunnel in an enormous kimono.Critical reception was mostly positive and sales were reportedly strong. Academic analysis has considered whether McQueen was engaging in cultural appropriation of Asian culture. Items from Scanners have appeared in exhibitions like the retrospective Alexander McQueen: Savage Beauty.This recording reflects the Wikipedia text as of 00:30 UTC on Wednesday, 30 July 2025.For the full current version of the article, see Scanners (collection) on Wikipedia.This podcast uses content from Wikipedia under the Creative Commons Attribution-ShareAlike License.Visit our archives at wikioftheday.com and subscribe to stay updated on new episodes.Follow us on Mastodon at @wikioftheday@masto.ai.Also check out Curmudgeon's Corner, a current events podcast.Until next time, I'm standard Amy.
L'émission 28 minutes du 10/07/2025 La chorégraphe Blanca Li nous immerge dans le Bal de ParisChorégraphe, danseuse, réalisatrice, metteuse en scène et aujourd'hui présidente de la Grande Halle de la Villette, Blanca Li n'a jamais cessé d'élargir le champ du possible. Son œuvre est une œuvre du mouvement, au sens propre comme au figuré. Née à Grenade, formée à New York chez Alvin Ailey et Martha Graham, elle mêle flamenco, hip-hop, danse baroque, ballet classique, robots et réalité virtuelle dans un travail jubilatoire et sans frontières. Fondatrice de sa compagnie en 1992, elle impose dès "Macadam Macadam" une danse urbaine sur scène, puis enchaîne avec "Al Andalus", "Elektrik", "Robot", ou encore "Le Jardin des Délices". Artiste populaire et pionnière, elle signe aussi des clips pour Daft Punk ou Beyoncé, des défilés pour Jean-Paul Gaultier et des comédies musicales pour les Folies Bergère. Première femme chorégraphe élue à l'Académie des Beaux-Arts, elle a parfois dérouté par son éclectisme assumé, mais toujours ouvert des voies nouvelles. Son actualité : le retour du "Bal de Paris", bal masqué en réalité virtuelle, récompensé à la Mostra de Venise, est à découvrir du 21 septembre au 2 novembre à la Seine Musicale. Un moment d'extase collective où le spectateur devient danseur. L'avion moins cher que le train : faut-il payer plus cher l'aérien ?Avec plus de 12 millions de billets vendus pour juillet et août, la SNCF s'attend à un été record. Rien que pour le premier grand week-end des vacances, 1,3 million de voyageurs étaient attendus à bord de 2 400 trains TGV, Ouigo et Intercités. Mais si le train séduit toujours, il reste souvent plus cher que l'avion pour voyager en Europe. Une étude conjointe de Greenpeace, UFC-Que Choisir et Réseau Action Climat révèle qu'un billet de train coûte en moyenne 2,6 fois plus cher qu'un billet d'avion pour des trajets européens. Un paradoxe, alors que les épisodes caniculaires de ce début d'été rappellent l'urgence climatique. Faut-il rendre l'avion plus cher pour inciter à des choix plus écologiques ? Enfin, Théophile Cossa nous parle du trafic de drogue sous marin et Marjorie Adelson s'intéresse à l'essor des espaces strictement féminins, en Chine.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
It's been nearly a year since we said, "Bonjour!" to the Paris 2024 Olympics and Paralympics, so what's been happening in Paris since the cauldron went out? Let's take a look at the initial legacy of these Games! We look at the money, initial economic impact, audience figures, building legacies, and elements of the Games that are still impacting Paris. If you're interested in training in the sport climbing warm-up gym, check out Le B.O.S.E.. If you want to swim like an Olympian, the newly-built (and very gorgeous) Centre Aquatique Olympique is now open for swimming and so much more. Le Prisme has opened in Bobigny to provide another workout facility that includes accessible training--and para sport research. Paris also leveraged the Games to rejuvenate some areas of the city. If you're in Paris on July 20 and want to see how that process is coming along, check out the Olympic Heritage Grand Walk, which goes from Parc de la Villette to the Bassin de la Maltournee in Saint-Denis. It's a free day-long adventure with plenty of surprises planned. Register here. Cleaning up the Seine was another major project, and on July 26, the first anniversary of the Olympics, the city will host a big water festival along the Seine, including a free open-air karaoke session on the Place du Chatelet. Plus, we revisit moments that really stick out to us as the legacy of Paris 2024 starts to take shape in our memories. What moments from Paris 2024 stick out in your heads a year later? How do you think the legacy of these Games is shaping up? Will they be among the greatest Games of all time? Will they be an economic boon to the city and country? Let us know! Don't forget! Our 400th episode party is coming up on Monday, July 14 from 8 to 10pm Eastern. Hope to see you there! For a transcript of this episode, please visit http://flamealivepod.com. Thanks so much for listening, and until next time, keep the flame alive! *** Keep the Flame Alive: The Olympics and Paralympics Fan Podcast with hosts Jill Jaracz & Alison Brown. New episodes released every week and daily during the Olympics and Paralympics. Support the show: http://flamealivepod.com/support Bookshop.org store: https://bookshop.org/shop/flamealivepod Become a patron and get bonus content: http://www.patreon.com/flamealivepod Buy merch here: https://flamealivepod.dashery.com Hang out with us online: Facebook: https://www.facebook.com/flamealivepod Insta: http://www.instagram.com/flamealivepod Facebook Group: hhttps://www.facebook.com/groups/flamealivepod Newsletter: Sign up at https://flamealivepod.substack.com/subscribe VM/Text: (208) FLAME-IT / (208) 352-6348
Cette semaine dans Swing une émission spéciale tournée en direct du Château de Villette à l'occasion du centenaire de PGA France.Avec nous pour revenir sur l'évolution du golf français et de l'enseignement nous aurons Eric Douennelle (Président de PGA France), Pascal Grizot (Président de la FFGolf), Jean Van De Velde (2 victoires sur le Tour européen), Benoit Teilleria (Sélectionneur de l'Équipe de France), Louis Cohen-Boyer (Coach de Journal du Golf TV) et Berthet (Directeur du golf des Aisses).Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:49 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Blanca Li est chorégraphe, danseuse, réalisatrice, depuis peu présidente de la Grande Halle de la Villette, mais aussi grande curieuse des nouvelles technologies qu'elle injecte dans ses créations, à l'image de "L'Ombre" une version 2.0 du conte d'Andersen présentée à l'Ircam - Centre Pompidou. - réalisation : Laurence Malonda, Anna Holveck - invités : Blanca Li Chorégraphe
On the Shelf for April 2025 The Lesbian Historic Motif Podcast - Episode 311 with Heather Rose Jones Your monthly roundup of history, news, and the field of sapphic historical fiction. In this episode we talk about: A special announcement about your host Recent and upcoming publications covered on the blog Ragan, Bryant T. Jr. 1996. “The Enlightenment Confronts Homosexuality” in Homosexuality in Modern France ed. by Jeffrey Merrick and Bryant T. Ragan, Jr. Oxford University Press, New York. ISBN 0-19-509304-6 Merrick, Jeffrey. 1996. “The Marquis de Villette and Mademoiselle de Raucourt: Representations of Male and Female Sexual Deviance in Late Eighteenth-Century France” in Homosexuality in Modern France ed. by Jeffrey Merrick and Bryant T. Ragan, Jr. Oxford University Press, New York. ISBN 0-19-509304-6 Colwill, Elizabeth. 1996. “Pass as a Woman, Act like a Man: Marie-Antoinette as Tribade in the Pornography of the French Revolution” in Homosexuality in Modern France ed. by Jeffrey Merrick and Bryant T. Ragan, Jr. Oxford University Press, New York. ISBN 0-19-509304-6 Sautman, Francesca Canadé. 1996. “Invisible Women: Lesbian Working-class Culture in Ferance, 1880-1930” in Homosexuality in Modern France ed. by Jeffrey Merrick and Bryant T. Ragan, Jr. Oxford University Press, New York. ISBN 0-19-509304-6 Oram, Alison & Annmarie Turnbull. 2001. The Lesbian History Sourcebook: love and sex between women in Britain from 1780 to 1970. Routledge, New York. ISBN 9-78-0-415-11485-3 Choma, Anne. 2019. Gentleman Jack: The Real Anne Lister. Penguin Books, New York. ISBN 978-0-14-313456-5 Ó Síocháin, Tadhg. 2017. The Case of The Abbot of Drimnagh: A Medieval Irish Story of Sex-Change. Cork Studies in Celtic Literatures. ISBN 978-0-9955469-1-2 Recent Lesbian/Sapphic Historical Fiction Glitter in the Dark by Olesya Lyuzna That Self-Same Metal (The Forge & Fracture Saga #1) by Brittany N. Williams Saint-Seducing Gold (The Forge & Fracture Saga #2) by Brittany N. Williams Iron Tongue of Midnight (The Forge & Fracture Saga #3) by Brittany N. Williams Mere by Danielle Giles Renegade Girls: A Queer Tale of Romance and Rabble-Rousing by Nora Neus and Julie Robine The Scarlett Highwaywoman (The Highwaywomen #1) by Delilah Kent A Thief's Kiss (The Highwaywomen #2) by Delilah Kent Velvet & Vengeance (The Highwaywomen #3) by Delilah Kent The Butchers Bride (The Highwaywomen #4) by Delilah Kent The Duchess and the Dagger (The Highwaywomen #5) by Delilah Kent Reckless Hearts (The Highwaywomen #6) by Delilah Kent Banshee's Cry (Lesbian Pirates #3) by Marina Tempest Lucky Harp (Lesbian Pirates #4) by Marina Tempest Mercy's Blade (Lesbian Pirates #5) by Marina Tempest Midnight Serpent (Lesbian Pirates #6) by Marina Tempest Rum & Roses (Velvet & Vice #3) by V.C. Sterling Brandy & Betrayal (Velvet & Vice #4) by V.C. Sterling Absinthe & Affection (Velvet & Vice #5) by V.C. Sterling Moonshine & Mayhem (Velvet & Vice #6) by V.C. Sterling Scotch & Secrets (Velvet & Vice #7) by V.C. Sterling What I've been consuming Gentleman Jack by Anne Choma The Tomb of Dragons by Katherine Addison The Suffragette Scandal by Courtney Milan A transcript of this podcast is available here. (Interview transcripts added when available.) Links to the Lesbian Historic Motif Project Online Website: http://alpennia.com/lhmp Blog: http://alpennia.com/blog RSS: http://alpennia.com/blog/feed/ Twitter: @LesbianMotif Discord: Contact Heather for an invitation to the Alpennia/LHMP Discord server The Lesbian Historic Motif Project Patreon Links to Heather Online Website: http://alpennia.com Email: Heather Rose Jones Mastodon: @heatherrosejones@Wandering.Shop Bluesky: @heatherrosejones Facebook: Heather Rose Jones (author page)
L'Affaire du Collier de la Reine est l'un des plus grands scandales du XVIIIe siècle, impliquant Marie-Antoinette et contribuant à sa chute. Cette affaire, mélange de tromperie, d'avidité et d'intrigue politique, a renforcé l'image d'une reine dépensière et détachée des souffrances du peuple, à la veille de la Révolution française.Un Collier d'une Valeur InestimableTout commence dans les années 1770. Deux joailliers parisiens, Böhmer et Bassenge, fabriquent un somptueux collier de diamants destiné à la favorite du roi Louis XV, Madame du Barry. Mais à la mort du souverain en 1774, Louis XVI refuse d'acheter ce bijou pour son épouse Marie-Antoinette, qui juge ce collier trop extravagant.Face à cette perte financière, les joailliers cherchent désespérément un acheteur. C'est alors qu'intervient la comtesse de La Motte, une femme ambitieuse et manipulatrice, qui va orchestrer une escroquerie magistrale.Un Plan MachiavéliqueLa comtesse de La Motte convainc le cardinal de Rohan, un aristocrate influent en disgrâce auprès de la reine, qu'il peut regagner ses faveurs en servant d'intermédiaire pour l'achat du collier. Elle lui fait croire que Marie-Antoinette souhaite secrètement acquérir le bijou, mais qu'elle ne peut pas le faire officiellement.Avec l'aide de son amant, le faussaire Retaux de Villette, elle forge des lettres prétendument signées par la reine. Elle pousse même la supercherie jusqu'à organiser une rencontre nocturne entre le cardinal et une fausse Marie-Antoinette – en réalité, une prostituée ressemblant à la reine.Convaincu d'agir pour la souveraine, le cardinal négocie avec les joailliers et prend possession du collier, qu'il remet à un messager… en réalité complice de la comtesse, qui s'empresse de le démonter et de revendre les diamants.Le Scandale ÉclateLorsque les bijoutiers réclament leur dû à Marie-Antoinette, elle tombe des nues. L'affaire est portée devant la justice en 1785. Lors du procès, le cardinal est acquitté, mais la comtesse de La Motte est arrêtée et fouettée en place publique.Toutefois, l'opinion publique retient une seule chose : Marie-Antoinette est impliquée dans un gaspillage indécent, renforçant son image de reine frivole et insouciante. Cet événement contribue à sa chute et alimente le climat de haine qui mènera à la Révolution. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mike chats with Olivia Laing, winner of a 2017 Windham-Campbell Prize for Nonfiction, about the strange and confounding (and wonderful) pleasures of Charlotte Brontë's Villette. READING LIST: Villette by Charlotte Brontë • Suppose a Sentence by Brian Dillon • Fear and Loathing in Las Vegas by Hunter S. Thompson • The Bell Jar by Sylvia Plath • Anna Karenina by Leo Tolstoy • The Transit of Venus by Shirley Hazzard • Jane Eyre by Charlotte Brontë Olivia Laing is the author of several books of nonfiction and fiction including The Garden Against Time and the forthcoming The Silver Book. The Lonely City (2016) was shortlisted for the Gordon Burn Prize and the National Book Critics Circle Award for Criticism and has been translated into 14 languages. The Trip to Echo Spring (2013) was a finalist for both the Costa Biography Award and the Gordon Burn PrizeLaing lives in Cambridge, England, and writes on art and culture for many publications, including The Guardian, The New Statesman, and The New York Times. Her debut novel Crudo was published by Picador and W. W. Norton & Company in June 2018. The Windham-Campbell Prizes Podcast is a program of The Windham-Campbell Prizes, which are administered by Yale University Library's Beinecke Rare Book and Manuscript Library. The Windham-Campbell Prizes Podcast is a co-production between The Windham-Campbell Prizes and Literary Hub. Music by Dani Lencioni, production by Drew Broussard, hosted by Michael Kelleher. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Peut-on, dans une même vie, boucler un Vendée Globe ET un mandat de parlementaire européen ? Oui, et une seule femme l'a fait, Catherine Chabaud.Sa passion au départ, est d'abord maritime et singulièrement, sous l'influence de son père, sous-marine. Mais bientôt les bateaux l'emmènent sur la mer et le virus de la régate la saisit : étudiante, au début des années 1980, puis jeune journaliste, elle multiplie les embarquements. Sans réseau, elle trouvera ses premiers convoyages via la bourse des équipiers de France Inter. Elle bouffe du mille, beaucoup, partout. Et elle est déjà une femme de projets.Avec la Mini Transat pour objectif, elle lance en 1990 la construction de son proto Berret dans le cadre d'une exposition à la Cité des sciences et de l'industrie de la Villette et trouve son premier sponsor, Whirlpool, qui va l'emmener loin. La Mini 1991 ne fait que confirmer sa passion et la saison suivante, elle enchaîne les podiums et les victoires sur le circuit 6.50 à la barre d'un plan Finot-Conq.Elle s'essaye ensuite au Figaro pour deux saisons puis, se lance en Imoca en 1996, sur l'ancien Fujicolor de Loïck Peyron, enchaînant transat anglaise puis Québec-Saint-Malo - elle est toujours journaliste, avec le Vendée Globe en ligne de mire assez lointaine... Mais quand elle apprend que le cigare rouge de VDH est à louer, fin septembre à La Rochelle, elle joue son va-tout : autre temps, autres mœurs, on peut, à l'époque, lancer un projet Vendée Globe 6 semaines avant le départ !Elle sera donc de la troisième édition mythique du Vendée Globe, celle des tempêtes, des naufrages (Dinelli, Bullimore, Dubois) et de la disparition de Gerry Roufs. Une course qu'elle termine en 6e position, après 140 jours de mer. Et il faut écouter son émotion intacte, presque 30 ans plus tard, pour mesurer les traces qu'a laissées cette épreuve chez ceux qui y ont participé...Catherine Chabaud, désormais pro, enchaîne le circuit classique : Rhum en 1998, puis Fastnet (1ère), Course de l'Europe (2e), Transat Jacques Vabre (2e) en 1999, avec un plan Lombard neuf, qui va devenir légendaire : le Pingouin. Elle s'aligne au départ de son deuxième Vendée Globe, qui sera moins fluide que le premier - elle en parle avec franchise et sincérité - et se termine dans le dur, par un démâtage au large de l'Espagne, à quelques jours de l'arrivée.Sac à terre en 2001, elle reprend son métier de journaliste et s'engage pour la préservation des océans, multipliant les actions et les projets : la plateforme Océan et Climat, le projet Voilier du Futur, la Fondation de la mer, l'appel « L'océan, bien commun de l'Humanité »... Elle est membre du Conseil économique social et environnemental (2010-2015) puis Déléguée à la mer et au littoral au ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer (2016-2017). Elle finit par céder aux sirènes du politique en 2019, en étant élue au Parlement européen jusqu'en 2024 - non sans avoir, au milieu de son mandat, participé à la Route du Rhum sur son cigare rouge !Et maintenant ? A 64 ans, elle fourmille toujours autant de projets... forcément !Diffusé le 7 février 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.