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durée : 00:58:26 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Recherche autour d'un corps occulté car jugé trop gros, "Étude de robe de chambre pour Balzac" est une œuvre méconnue d'Auguste Rodin. À mi-chemin entre la mode et la sculpture, une exploration des représentations des corps idéalisés, statufiés, et réels se dévoile entre des plis de tissu. - réalisation : Laurence Millet - invités : Marine Kisiel Historienne de l'art, conservatrice au Palais Galliera, musée de la mode de Paris
durée : 00:04:36 - Le Reportage de la rédaction - Le Palais Galliera, musée de la Mode de Paris, bénéficie du label "Olympiade culturelle" pour une série d'expositions jusqu'en septembre 2025. Avant et pendant les Jeux olympiques et paralympiques, plus de 2 500 projets réunissant arts et sports ont fait naître des collaborations inédites.
durée : 00:04:36 - Le Reportage de la rédaction - Le Palais Galliera, musée de la Mode de Paris, bénéficie du label "Olympiade culturelle" pour une série d'expositions jusqu'en septembre 2025. Avant et pendant les Jeux olympiques et paralympiques, plus de 2 500 projets réunissant arts et sports ont fait naître des collaborations inédites.
durée : 00:27:11 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, des expositions : "Rétrospective Olga de Amaral" à la fondation Cartier et "Stephen Jones, chapeaux d'artiste" au Palais Galliera, musée de la mode de Paris. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro; Céline du Chéné Productrice à France Culture
-> Cet épisode est l'extrait d'un entretien. Vous trouverez l'entretien entier sur ce même compte.Sylvie Lécallier, responsable de la collection photographique au Palais Galliera, revient sur son parcours, de ses études à Arles à la gestion de collections photographiques. Elle nous parle des évolutions dans les pratiques muséales, des étapes de création d'expositions, comme celle dédiée au photographe de mode Paolo Roversi en 2024, et partage ses conseils pour travailler dans le département photo d'un musée et pour les photographes de mode. Bonne écoute !Le LinkedIn de Sylvie Lécallier : https://www.linkedin.com/in/sylvie-l%C3%A9callier-481aa9b0/Le site du Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/Pour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
téphane Bern raconte une femme de légende qui a créé la mode française autant que sa propre histoire : la créatrice de mode Gabrielle - dite Coco - Chanel qui a caché des événements de sa vie et réinventé son histoire au gré des discussions et des biographies, une couturière qui a ouvert, avec l'aide de son amant - et de son ex amant aussi - sa première boutique de chapeaux devenue une maison de couture avec 3 établissements - un à Biarritz, un à Deauville et un à Paris - qui ont permis à Coco Chanel de se faire un nom, et de nouer de nouvelles relations... A partir de quand Coco Chanel devient-elle une icône ? Comment a-t-elle réussi à créer un tel empire dans la haute couture ? Quels mystères restent-ils encore autour de la créatrice de mode et de la femme qu'elle était ?Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Alexandre Samson, historien de l'art, responsable des collections haute couture (à partir de 1947) et des créations contemporaines du Palais Galliera, le musée de la mode à Paris.
téphane Bern raconte une femme de légende qui a créé la mode française autant que sa propre histoire : la créatrice de mode Gabrielle - dite Coco - Chanel qui a caché des événements de sa vie et réinventé son histoire au gré des discussions et des biographies, une couturière qui a ouvert, avec l'aide de son amant - et de son ex amant aussi - sa première boutique de chapeaux devenue une maison de couture avec 3 établissements - un à Biarritz, un à Deauville et un à Paris - qui ont permis à Coco Chanel de se faire un nom, et de nouer de nouvelles relations... A partir de quand Coco Chanel devient-elle une icône ? Comment a-t-elle réussi à créer un tel empire dans la haute couture ? Quels mystères restent-ils encore autour de la créatrice de mode et de la femme qu'elle était ?Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Alexandre Samson, historien de l'art, responsable des collections haute couture (à partir de 1947) et des créations contemporaines du Palais Galliera, le musée de la mode à Paris.
Sylvie Lécallier, chargée de la collection photographique au Palais Galliera, revient sur son parcours, de ses études à Arles à la gestion de collections photographiques. Elle nous parle des évolutions dans les pratiques muséales, des étapes de création d'expositions, comme celle dédiée au photographe de mode Paolo Roversi en 2024, et partage ses conseils pour travailler dans le département photo d'un musée et pour les photographes de mode. Bonne écoute !3'45 – À 20 ans, Sylvie Lécallier est encouragée par le photographe Marc Riboud d'intégrer l'école d'Arles malgré un parcours initial en lettres classiques.5'50 – Sa découverte des métiers de la conservation photographique durant ses études à Arles. Elle réalise qu'elle souhaite être passeur et valoriser les images plutôt que de les produire.7'00 – Sa première expérience professionnelle grâce à une bourse de recherche sur des collections photographiques conservées par le ministère de la Culture.8'45 – Ses expériences multiples au musée Galliera, puis à la bibliothèque nationale des Ponts et Chaussées où elle inventorie des albums photographiques du 19ᵉ siècle.18'00 – Son arrivée au Palais Galliera grâce au legs du photographe Henri Clarke en 1998.23'10 – Présentation du Palais Galliera en tant que musée de la mode, avec une collection de 40 000 costumes, accessoires, dessins et photographies.34'00 – Étapes de création d'une exposition au Palais Galliera, illustrées par celle dédiée à Paolo Roversi en 2024. La première du musée avec un artiste vivant.46'40 – Les évolutions dans l'organisation des expositions : des équipes plus nombreuses et professionnelles, permettant des échanges en amont et une meilleure coordination.48'30 – Conseils pour travailler dans un musée : être passionné par son sujet, vouloir partager ses connaissances, et apprendre sur le terrain.50'30 – Conseils pour les photographes de mode : suivre sa propre vision, éviter de produire des images normées, et ouvrir son regard en explorant des domaines hors de la mode.53'00 – Importance des dons dans l'enrichissement des collections : des contributions Le LinkedIn de Sylvie Lécallier : https://www.linkedin.com/in/sylvie-l%C3%A9callier-481aa9b0/Le site du Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterPour suivre l'actualité du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this edition of arts24, Jennifer Ben Brahim meets the master of millinery, Stephen Jones, at a monumental exhibition of his work at Paris's Palais Galliera museum. The British designer has been working for over four decades on both sides of the English Channel, for the likes of the late Princess Diana to Lady Gaga at the Paris Olympics opening ceremony. From collaborating with couture houses like Dior and Jean Paul Gaultier, Stephen Jones has made the hat more than just an accessory, turning it into wearable art.
“CORPS IN·VISIBLES”au Musée Rodin, Parisdu 15 octobre 2024 au 2 mars 2025Entretien avec Marine Kisiel, conservatrice du département mode XIXe siècle du Palais Galliera – musée de la Mode de Paris, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris,14 octobre 2024, durée 16'30,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/10/19/3565_corps-in-visibles_musee-rodin/Communiqué de presseCommissariat #corpsinvisiblesMarine Kisiel, conservatrice du département mode XIXe siècle du Palais Galliera, musée de la Mode de ParisIsabelle Collet, conservatrice générale, cheffe du département scientifique et des collections du musée Rodin.Une exposition organisée avec la collaboration exceptionnelle du Palais Galliera, musée de la Mode de Paris, et avec le concours de l'Institut de France. À l'automne 2024, le musée Rodin met à l'honneur une pièce méconnue de ses collections, l'Étude de robe de chambre pour Balzac d'Auguste Rodin. Conçue à partir d'une sélection de sculptures issues des collections du musée, de pièces de mode du XIXe siècle du Palais Galliera et d'archives inédites de la bibliothèque de l'Institut de France, l'exposition intitulée Corps In·visibles déplie, à partir de la singulière Robe de chambre, une enquête sur la recherche d'un corps de Balzac par Rodin. Cette investigation est un véritable prélude à une réflexion sur les corps — réels, idéalisés, statufiés et occultés – dans la statuaire monumentale du XIXe siècle qui peuplent toujours notre monde contemporain.Le corps de Balzac, tel que Rodin l'appréhende par le vêtement, lorsqu'il fait refaire un costume du romancier disparu par le tailleur de Balzac, révèle de l'homme son physique considéré comme peu avantageux par les commanditaires du monument : Balzac, en un mot, était gros. Faisant dialoguer couture et sculpture, et rapprochant la pratique des tailleurs de celle des statuaires, l'exposition observe comment la perception des corps influence la fabrique de leur image de bronze, fortement idéalisée. Elle révèle combien le mythe de Balzac écrivant en robe de chambre permet finalement à Rodin de cacher sous d'amples plis un corps refusé en raison de sa corpulence. L'exposition « Corps In·visibles » invite, ce faisant, à réfléchir à la représentation des corps dans l'espace public, et au nécessaire élargissement contemporain de ces représentations.Retrouver un corpsChoisi par la Société des Gens de Lettres en 1891 pour sculpter un monument à Balzac, Auguste Rodin se lance dans la quête du romancier disparu depuis près d'un demi-siècle : de l'étude de l'image de Balzac à Bruxelles chez un collectionneur de reliques balzaciennes, à la recherche de son corps dans la Touraine natale de l'écrivain où Rodin trouve pour modèle un charretier corpulent, les étapes de cette enquête sont restituées au fil de l'exposition. Fait largement inconnu, Rodin retrouve même le tailleur de Balzac et lui fait refaire un costume de l'écrivain pour mieux en comprendre la physionomie. Les visiteurs pourront ainsi découvrir la redingote de Balzac, retaillée pour l'occasion à partir des mesures réelles et inédites de son corps.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this episode I go on a sartorial journey with the celebrated British Milliner Stephen Jones OBE. Jones is considered one of the most radical and important milliners of the late 20th and early 21st centuries. He is also one of the most prolific, having created hats for the catwalk shows of many leading couturiers and fashion designers, from John Galliano, Kim Jones and Maria Grazia Chiuri at Dior, Jean Paul Gaultier, Vivienne Westwood, the house of Schiaparelli to Rei Kawakubo at Commes des Garcons. His work is known for its inventiveness and high level of technical expertise. Stephen's hats have adorned Rock Stars and Royalty and way beyond… His major retrospective exhibition opens in October at the Palais Galliera in Paris. Stephen is chatty and has a wonderful way with words, painting pictures as he goes…We discuss jointly dressing the then Meghan Markle for her first Royal engagement when she attended the Commonwealth Service in 2018 with Prince Harry. He shares his insights on the process, the importance of the Royal Family to the world of millinery, and how people the world over use hats and headwear as style signifiers. I ask him to explain his quote “You wear clothes – and hats – to convince yourself and others that you're a certain way. Fashion is still a fabulous, fabulous lie.” …needless to say his answer was both insightful and amusing. Fashion and appearance clearly run deep in Stephen's veins and he talks with such knowledge, intuition and wisdom…and more than a little cheeky humour. I felt privileged, and entertained having this conversation with him. Thank you Stephen for sharing your wit and wisdom.
La chronique expo de Fabienne Cohen-Salmon.
La mode est le medium par excellence du mouvement : la vie, le corps, sont ses supports premiers. Et pourtant, loin de n'être qu'un ornement éphémère, le vêtement encapsule en lui-même une histoire sociale, politique, économique, artisanale, intime aussi, qui va bien au delà du seul mouvement. Savoir saisir cette profondeur et la rendre accessible à tout un chacun est un travail patrimoniale d'envergure, que réalisent les musées dédiées à la mode. Alors qui mieux qu'Alexandre Samson, en charge du département haute couture depuis 1947 du musée de la mode de Paris, pour nous parler de son métier ? Aujourd'hui il revient pour Décousu sur son parcours, sa formation, et ses missions pour faire rayonner la mode sur notre territoire comme à l'étranger. Bon épisode à toutes et à tous !Retrouvez le podcast sur instagram @decousupodcast
“Luxe de poche”Petits objets précieux au siècle des Lumièresau musée Cognacq-Jay, Parisdu 28 mars au 29 septembre 2024Entretien avec Sixtine de Saint Léger, attachée de conservation au musée Cognacq-Jay, et co-commissaire l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 29 avril 2024, durée 23'43,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/05/06/3537_luxe-de-poche_musee-cognacq-jay/Communiqué de presseCommissariat généralSixtine de Saint Léger, attachée de conservation au musée Cognacq-JayGabrielle Baraud, assistante de conservationComité scientifiqueVincent Bastien, collaborateur scienti»que au Château de VersaillesAriane Fennetaux, professeure des universités, Université Sorbonne NouvellePascal Faracci, conservateur en chef du patrimoineL'exposition Luxe de poche au musée Cognacq-Jay présente une collection exceptionnelle de petits objets précieux et sophistiqués, en or, enrichis de pierres dures ou de pierres précieuses, couverts de nacre, de porcelaine ou d'émaux translucides, parfois ornés de miniatures. Les usages de ces objets varient, mais ils ressortent tous des us et coutumes d'un quotidien raffiné, signe de richesse, souvenir intime. Au siècle des Lumières comme aux suivants, ils suscitent un véritable engouement en France d'abord puis dans toute l'Europe.Luxe de poche a pour ambition de renouveler le regard que l'on porte sur ces objets, en adoptant une approche plurielle, qui convoque à la fois l'histoire de l'art et l'histoire de la mode, l'histoire des techniques, l'histoire culturelle et l'anthropologie en faisant résonner ces objets avec d'autres œuvres : des accessoires de mode, mais aussi les vêtements qu'ils viennent compléter, le mobilier où ils sont rangés ou présentés et enfin des tableaux, dessins et gravures où ces objets sont mis en scène. Ce dialogue permet d'envisager ces objets dans le contexte plus large du luxe et de la mode au XVIIIe et au début du XIXe siècle.Point de départ de cette nouvelle exposition, la collection remarquable d'Ernest Cognacq est enrichie de prêts importants – d'institutions prestigieuses comme le musée du Louvre, le musée des Arts décoratifs de Paris, le Château de Versailles, le Palais Galliera, les Collections royales anglaises ou le Victoria and Albert Museum à Londres et des collections particulières – afin d'offrir une nouvelle lecture de ces accessoires indispensables du luxe. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le photographe âgé de 76 ans, dont le travail est exposé jusqu'au 14 juillet au Palais Galliera, à Paris, nous reçoit dans son studio au sein d'un immeuble moderne du 14e arrondissement, à deux pas de la porte d'Orléans.Paolo Roversi évoque son enfance heureuse à Ravenne en Italie auprès d'un père médecin et d'une mère au foyer qui lui transmet le goût de la beauté. Très jeune, il s'intéresse au football puis à la poésie, de Pétrarque à Montale, se passionne pour Pasolini, Antonioni et les écrivains de la Beat Generation. Après avoir monté son studio, il se met à la photo de mode sous l'influence d'Helmut Newton ou Guy Bourdin. Il parle de son rapport poétique aux images et à la réalité et de l'importance d'avoir une émotion au moment du déclic. Et des artistes et modèles qui l'ont inspiré.Il revient ainsi sur son enthousiasme pour Verdi, Johnny Cash, Rothko et récemment l'exposition Vermeer à Amsterdam : « C'était sublimissime ! Ses tableaux sont assez photographiques finalement, avec cette recherche de la lumière qui rentre par la fenêtre et ses poses, comme des petits instantanés. Les voir les uns après les autres comme cela, c'était incroyable. C'est comme s'il m'avait suggéré certaines photos. Je me suis dit : “Voilà pourquoi j'ai fait cette photo-là”. »Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Emmanuel BauxMusique : Gotan Project
Ce dont on parle dans cet épisode de Laisse-moi kiffer :Retrouvez Pauline Grisoni dans son podcast La Leçon et sur son Instagram+ Mini kiff : l'interview de Sandrine Sophie, fondatrice de la marque Kalia NatureLe kiff d'Ariane : être dans un renouveau physiqueLe kiff de Pauline : monter un groupe de rockLe kiff de Fanny : la série Mrs Maisel+ Le documentaire Merci Internet sur SqueezieLe kiff d'Anthony : l'exposition Paolo Roversi au Palais Galliera à ParisLaisse-moi kiffer :Madmoizelle donne un micro à 4 imbéciles. Autour d'une table, chaque jeudi, l'équipe échange recos culturelles, anecdotes et coups de gueule. Envoyez-nous sur Instagram vos anecbofs de star (une anecdote bof avec une star cool et vice versa), vies de boloss (une VDM mais en 2024, quoi) et autres messages boubou (si/quand vous avez un petit coup dans le nez).Retrouve-nous sur instagram :Laisse-moi kiffer / Anthony / Ariane / Fanny / PaulineAbonnez-vous :Apple Podcasts • Deezer • SpotifyLaisse-moi kiffer est un podcast de Madmoizelle présenté par Anthony VincentAvec Ariane Hemery, Fanny Cohen Moreau et Pauline GrisoniRéalisation et production : Fanny Cohen Moreau.Rédaction en chef : Marie-Stéphanie Servos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:50:11 - Grand Canal - par : Eva Bester - D'origine italienne et Parisien d'adoption, le photographe Paolo Roversi présente sa première exposition personnelle au Palais Galliera, jusqu'au 14 juillet. À travers 140 œuvres, célèbres ou inédites, l'artiste rend hommage à la beauté des mannequins et à la beauté de la lumière qui les magnifie.
durée : 00:58:31 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Alors que le Palais Galliera lui consacre une grande exposition rétrospective, le photographe Paolo Roversi revient avec nous sur 50 années de pratique, et sur la façon dont il s'est emparé de l'univers de la mode pour en faire la matière de sa création. - invités : Paolo Roversi Photographe
durée : 01:00:18 - Toute une vie - Faire de sa cérémonie funéraire un moment de joie est une chose plutôt rare. Mais pas lorsque l'on s'appelle Vivienne Westwood et que l'on a dédié sa vie à lutter contre le conformisme. - invités : Jean-Charles De Castelbajac Styliste et créateur de mode, ami de Vivienne Westwood; Timothy A. Heron Maître de conférences à l'université de Strasbourg, spécialiste du mouvement punk; Stephen Jones Modiste britannique et ami de Vivienne Westwood; Sylvie Grumbach Attachée de presse de Vivienne Westwood de 1983 à 1998; Zoe Lee Créatrice de chaussures et ancienne styliste maroquinerie pour Vivienne Westwood; Alexandre Samson Historien de la mode, responsable des collections haute couture (à partir de 1947) et des créations contemporaines du Palais Galliera
Laurent Cotta est conservateur, en charge du département des arts graphiques du Palais Galliera, Musée de la Mode de la Ville de Paris.Lieu emblématique pour tous les connaisseurs, mais loin d'être élitiste puisqu'il appartient à la ville et a donc une mission de service public. Mais ce n'est pas au Palais Galliera que j'ai rencontré Laurent Cotta ! Il m'a accueillie dans un lieu exceptionnel — les réserves et ateliers de restauration et de conservation du musée, quelque part dans Paris.Installés dans l'une des réserves, en sous-sol, nous avons parlé des devoirs et fonctions d'un conservateur de musée, du statut inaliénable des œuvres, de la construction d'une exposition ; mais aussi de vanités, de trésors, de paradoxes, d'ego, et même de la robe de Marilyn Monroe portée par Kim Kardashian au Met Gala.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Se faisant l'écho des Jeux Olympiques et Paralympiques qui se tiendront à Paris en 2024, l'exposition « La mode en mouvement » interroge la place et l'évolution du vêtement dans la pratique d'activités physiques et sportives, et met en avant le rapport au corps et à son image, entre contrainte et liberté de mouvement. Aujourd'hui, on bouge dans VMDN. On se met en mode mouvement, à travers le mouvement de la mode, grâce à une exposition qui nous raconte le corps en mouvement à travers l'histoire de la mode du XVIIIè siècle à nos jours. Costumes de promenade ou de bain, tenues d'amazones ou de cyclistes, manteaux d'automobiliste ou robes de tennis, paires de flâneurs 1941 ou sneakers des temps modernes… Elles ont de quoi surprendre, ces quelque 200 œuvres qui nous montrent à quel point – avec les soubresauts de l'histoire, l'évolution des mœurs et le progrès technique – la place du vêtement a évolué en ce qui concerne la pratique des activités physiques et sportives ! Marie-Laure Gutton est notre invitée pour nous guider à travers ces évolutions. Elle est l'un des commissaires de l'exposition La mode en mouvement, à découvrir au Palais Galliera, le musée de la mode de la Ville de Paris, jusqu'au 7 septembre 2023. Reportage : Solène Gardré a visité l'exposition Détours d'un quartier monde à l'Institut des cultures d'Islam à Paris.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !
Chaque semaine, Sortiraparis vous propose une sélection de sorties à faire à Paris et en Ile-de-France ! ©Musique proposée par La Musique Libre/Jazz In Paris - Media Right Productions/Rizhlaine Ferfar/Laurent Pradal
Directeur artistique, commissaire d'exposition et directeur de musée mais aussi créateur, historien de la mode et amateur de lettres et de jean, Olivier Saillard est une référence incontournable du milieu de la mode en France. Ancien directeur du Palais Galliera, administrateur de la fondation Alaïa et directeur artistique chez Weston, il s'emploie à rendre la mode savante, onirique et moderne depuis près de 30 ans. Nous le recevons aujourd'hui dans le studio du Printemps pour une masterclass tout en élégance, denim et raffinement.
Découvrez ma visite de l'exposition “La Mode en mouvement” au Palais Galliera-Musée de la Mode de Paris, du 16 juin 2023 au 7 septembre 2025.
An enormous part of a museum's success depends on its curators. At Paris's Palais Galliera fashion museum, curator Alexandre Samson has declared 1997 a year unparalleled in its influence on global fashion. It was the year Jean-Paul Gaultier designed the costumes for Luc Besson's film "The Fifth Element", Comme des Garçons and Martin Margiela revealed iconic collections and Tom Ford embraced the porno-chic aesthetic at Gucci. We check out a celebration of 1990s audacity at the exhibition "1997 Fashion Big Bang".
À Paris, le Palais Galliera consacre sa nouvelle exposition à 1997, une année décisive pour la mode selon Alexandre Samson qui en est le commissaire. "1997 Fashion Big Bang" invite à redécouvrir des créations restées incontournables. Cette année-là, Jean-Paul Gaultier a notamment dessiné les costumes du "Cinquième élément" de Luc Besson. La marque japonaise Comme des Garçons et le couturier Martin Margiela ont présenté des collections emblématiques. Enfin, l'Américain Tom Ford a décliné son concept de "porno chic" avec le G string pour Gucci.
La chronique expo de Fabienne Cohen-Salmon. 1997 Fashion Big Bang, une exposition dédiée à l'année 1997, une année décisive dans l'histoire de la mode contemporaine, au Palais Galliera, du 7 mars au 16 juillet 2023. À la fois consécration de la mode des années 1990 et charnière vers le nouveau millénaire, 1997 voit l'enchaînement effréné de collections, de défilés, de nominations, d'inaugurations et d'événements qui dessinent l'échiquier de la mode tel qu'on le connait aujourd'hui. Cet impact est tel que 1997 pourrait être considérée comme le lancement de la mode du XXIe siècle.
Aujourd'hui, je suis avec Anouck Leclercq, la fondatrice de Superchinerie, la référence en art de la table de seconde main. En véritable passionnée, Anouck manie l'art du dépareillé comme personne et élabore de magnifiques collections à partir de pièces isolées qu'elle chine aux quatre coins de la France. L'idée derrière ce projet lancé il y a un an : moderniser l'image de la brocante traditionnelle et proposer un art de la table vintage en circuit court, mais surtout encourager le maximum de personnes à mieux consommer. ____ Pour prolonger l'épisode : Compte Instagram d'Anouck Leclercq : https://www.instagram.com/anouckleclercq/ Compte Instagram de Superchinerie : https://www.instagram.com/superchinerie/ Compte Instagram de Maison Légère : https://www.instagram.com/maison_legere/ Site Internet de Superchinerie : https://www.superchinerie.com/ ______ Les bonnes adresses d'Anouck : Côté mode Seconde Main - Adöm (2 friperies rue de la Roquette) - Free'p'star (celle de rue de Rivoli) - Thanks God i'm a VIP Neuf - Maison Cléo Côté food - Tapisserie (pâtisseries) - Clamato (fruits de mer) - Le Barav (bar à vins) - L'ilôt (fruits de mer) - Gramme (pour les cookies) Côté art - Librairie 0fr - Librairie Yvon Lambert - Palais Galliera ______ Retrouvez toute l'actualité du podcast sur Instagram ou en vous abonnant à la newsletter .
Présentation de l'invitée : Depuis le 15 septembre et jusqu'au 5 mars 2023, Le Palais Galliera nous plonge dans l'intimité de Frida Kahlo, artiste mexicaine née le 6 juillet 1907 et disparue le 13 juillet 1954 dont l'oeuvre autobiographique a su par sa puissance et son engagement ,marquer durablement le monde de l'art, jusqu'à faire de cette artiste, une des icônes de la pop-culture. En collaboration avec le Museo Frida Kahlo, cette exposition retrace la vie de l'artiste grâce à la découverte incroyable en 2004 d'objets lui ayant appartenu et provenant de la Casa Azul, où elle a vécu tout au long de sa vie. Bien loin des clichés, le Palais Galliera propose à travers un parcours biographique et thématique de comprendre comment s'est construite l'identité de Frida Kahlo à travers son œuvre et son apparence. Pour ce nouvel épisode, j'ai eu la chance de parcourir cette exposition accompagné de Miren Arzalluz, directrice du Palais Galliera qui m'a fait découvrir une autre facette de Frida Kahlo, en me racontant l'histoire de ses objets (photos, vêtements, bijoux, lettres, cosmétiques, objets médicaux etc.) témoins de sa vie passionnée et tumultueuse. « Ce n'est pas une rétrospective sur Frida Kahlo, mais une exposition qui nous permet de rentrer dans son intimité et qui nous parle de la construction de son image en tant que femme, en tant qu'artiste à travers l'imagerie extraordinaire que nous avons tous en tête. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Qu'est ce que le Palais Galliera Miren Arzalluz se présente Présentation de Frida Kahlo La genèse de l'exposition L'influence de la révolution mexicaine Sa découverte de l'art après son accident L'histoire de la Casa Azul L'influence du costume Tehuana Frida Kahlo et le communisme Frida Kahlo et Diego Rivera : un couple explosif L'intime et le féminin au coeur de son oeuvre Ses premières expositions à Paris et New-York Sa rencontre avec André Breton et les surréalistes Réaffirmer sa culture grâce au vêtement Transcender la souffrance par l'art La Fridamania : pourquoi elle continuer à inspirer L'influence de Frida Kahlo sur la mode contemporaine « Frida Kahlo est devenue une icône culturelle, mais aussi esthétique. » « Frida Kahlo a tout de suite compris la force des vêtements pour s'exprimer et se construire. » « Nous voulons proposer de nouvelles lectures autour de la mode et Frida Kahlo nous permet de le faire. Sa popularité nous permet aussi d'élargir notre public : on voit des gens qui ne venaient que rarement au Palais Galliera, voire qui ne connaissent pas notre musée. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : L'épisode de Miren Arzalluz sur Entreprendre dans la mode : https://podcasts.apple.com/us/podcast/miren-arzalluz-directrice-du-palais-galliera-la-mode/id1300541489?i=1000566776940 Le Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/ La Casa Azul : https://www.museofridakahlo.org.mx/ Diego Rivera : http://www.artnet.fr/artistes/diego-rivera/ Frida (2002) Julie Taymor : https://youtu.be/-CTM7FcY1LE Frida Kahlo par Nickolas Muray : https://www.artsy.net/article/artsy-editorial-intimate-iconic-photos-nickolas-muray-frida-kahlo Frida Kahlo photographiée par Toni Frissell en 1937 pour le Vogue américain : https://artsandculture.google.com/asset/frida-kahlo-photographed-for-the-october-1-1937-issue-of-vogue-toni-frissell/UQFWVaTWC8xZnw?hl=fr 5 objets de l'exposition au Palais Galliera qui racontent Frida Kahlo : https://www.parismusees.paris.fr/fr/actualite/5-objets-de-l-exposition-au-palais-galliera-qui-racontent-frida-kahlo
Présentation de l'invitée : Depuis le 15 septembre et jusqu'au 5 mars 2023, Le Palais Galliera nous plonge dans l'intimité de Frida Kahlo, artiste mexicaine née le 6 juillet 1907 et disparue le 13 juillet 1954 dont l'oeuvre autobiographique a su par sa puissance et son engagement ,marquer durablement le monde de l'art, jusqu'à faire de cette artiste, une des icônes de la pop-culture. En collaboration avec le Museo Frida Kahlo, cette exposition retrace la vie de l'artiste grâce à la découverte incroyable en 2004 d'objets lui ayant appartenu et provenant de la Casa Azul, où elle a vécu tout au long de sa vie. Bien loin des clichés, le Palais Galliera propose à travers un parcours biographique et thématique de comprendre comment s'est construite l'identité de Frida Kahlo à travers son œuvre et son apparence. Pour ce nouvel épisode, j'ai eu la chance de parcourir cette exposition accompagné de Miren Arzalluz, directrice du Palais Galliera qui m'a fait découvrir une autre facette de Frida Kahlo, en me racontant l'histoire de ses objets (photos, vêtements, bijoux, lettres, cosmétiques, objets médicaux etc.) témoins de sa vie passionnée et tumultueuse. « Ce n'est pas une rétrospective sur Frida Kahlo, mais une exposition qui nous permet de rentrer dans son intimité et qui nous parle de la construction de son image en tant que femme, en tant qu'artiste à travers l'imagerie extraordinaire que nous avons tous en tête. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Qu'est ce que le Palais Galliera Miren Arzalluz se présente Présentation de Frida Kahlo La genèse de l'exposition L'influence de la révolution mexicaine Sa découverte de l'art après son accident L'histoire de la Casa Azul L'influence du costume Tehuana Frida Kahlo et le communisme Frida Kahlo et Diego Rivera : un couple explosif L'intime et le féminin au coeur de son oeuvre Ses premières expositions à Paris et New-York Sa rencontre avec André Breton et les surréalistes Réaffirmer sa culture grâce au vêtement Transcender la souffrance par l'art La Fridamania : pourquoi elle continuer à inspirer L'influence de Frida Kahlo sur la mode contemporaine « Frida Kahlo est devenue une icône culturelle, mais aussi esthétique. » « Frida Kahlo a tout de suite compris la force des vêtements pour s'exprimer et se construire. » « Nous voulons proposer de nouvelles lectures autour de la mode et Frida Kahlo nous permet de le faire. Sa popularité nous permet aussi d'élargir notre public : on voit des gens qui ne venaient que rarement au Palais Galliera, voire qui ne connaissent pas notre musée. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : L'épisode de Miren Arzalluz sur Entreprendre dans la mode : https://podcasts.apple.com/us/podcast/miren-arzalluz-directrice-du-palais-galliera-la-mode/id1300541489?i=1000566776940 Le Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/ La Casa Azul : https://www.museofridakahlo.org.mx/ Diego Rivera : http://www.artnet.fr/artistes/diego-rivera/ Frida (2002) Julie Taymor : https://youtu.be/-CTM7FcY1LE Frida Kahlo par Nickolas Muray : https://www.artsy.net/article/artsy-editorial-intimate-iconic-photos-nickolas-muray-frida-kahlo Frida Kahlo photographiée par Toni Frissell en 1937 pour le Vogue américain : https://artsandculture.google.com/asset/frida-kahlo-photographed-for-the-october-1-1937-issue-of-vogue-toni-frissell/UQFWVaTWC8xZnw?hl=fr 5 objets de l'exposition au Palais Galliera qui racontent Frida Kahlo : https://www.parismusees.paris.fr/fr/actualite/5-objets-de-l-exposition-au-palais-galliera-qui-racontent-frida-kahlo
In today's Dressed Classic episode, Miren Arzalluz, Director of the Palais Galliera in Paris, joins us to discuss the "master of us all," Cristóbal Balenciaga.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Présentation de l'invitée : Depuis le 15 septembre et jusqu'au 5 mars 2023, Le Palais Galliera nous plonge dans l'intimité de Frida Kahlo, artiste mexicaine née le 6 juillet 1907 et disparue le 13 juillet 1954 dont l'oeuvre autobiographique a su par sa puissance et son engagement, marquer durablement le monde de l'art, jusqu'à faire de cette artiste, une des icônes de la pop-culture. En collaboration avec le Museo Frida Kahlo, cette exposition retrace la vie de l'artiste grâce à la découverte incroyable en 2004 d'objets lui ayant appartenu et provenant de la Casa Azul, où elle a vécu tout au long de sa vie. Bien loin des clichés, le Palais Galliera propose à travers un parcours biographique et thématique de comprendre comment s'est construite l'identité de Frida Kahlo à travers son œuvre et son apparence. Pour ce nouvel épisode, j'ai eu la chance de parcourir cette exposition accompagné de Miren Arzalluz, directrice du Palais Galliera qui m'a fait découvrir une autre facette de Frida Kahlo, en me racontant l'histoire de ses objets (photos, vêtements, bijoux, lettres, cosmétiques, objets médicaux etc.) témoins de sa vie passionnée et tumultueuse. « Ce n'est pas une rétrospective sur Frida Kahlo, mais une exposition qui nous permet de rentrer dans son intimité et qui nous parle de la construction de son image en tant que femme, en tant qu'artiste à travers l'imagerie extraordinaire que nous avons tous en tête. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Qu'est ce que le Palais Galliera Miren Arzalluz se présente Présentation de Frida Kahlo La genèse de l'exposition L'influence de la révolution mexicaine Sa découverte de l'art après son accident L'histoire de la Casa Azul L'influence du costume Tehuana Frida Kahlo et le communisme Frida Kahlo et Diego Rivera : un couple explosif L'intime et le féminin au coeur de son oeuvre Ses premières expositions à Paris et New-York Sa rencontre avec André Breton et les surréalistes Réaffirmer sa culture grâce au vêtement Transcender la souffrance par l'art La Fridamania : pourquoi elle continuer à inspirer L'influence de Frida Kahlo sur la mode contemporaine « Frida Kahlo est devenue une icône culturelle, mais aussi esthétique. » « Frida Kahlo a tout de suite compris la force des vêtements pour s'exprimer et se construire. » « Nous voulons proposer de nouvelles lectures autour de la mode et Frida Kahlo nous permet de le faire. Sa popularité nous permet aussi d'élargir notre public : on voit des gens qui ne venaient que rarement au Palais Galliera, voire qui ne connaissent pas notre musée. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : L'épisode de Miren Arzalluz sur Entreprendre dans la mode : https://podcasts.apple.com/us/podcast/miren-arzalluz-directrice-du-palais-galliera-la-mode/id1300541489?i=1000566776940 Le Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/ La Casa Azul : https://www.museofridakahlo.org.mx/ Diego Rivera : http://www.artnet.fr/artistes/diego-rivera/ Frida (2002) Julie Taymor : https://youtu.be/-CTM7FcY1LE Frida Kahlo par Nickolas Muray : https://www.artsy.net/article/artsy-editorial-intimate-iconic-photos-nickolas-muray-frida-kahlo Frida Kahlo photographiée par Toni Frissell en 1937 pour le Vogue américain : https://artsandculture.google.com/asset/frida-kahlo-photographed-for-the-october-1-1937-issue-of-vogue-toni-frissell/UQFWVaTWC8xZnw?hl=fr 5 objets de l'exposition au Palais Galliera qui racontent Frida Kahlo : https://www.parismusees.paris.fr/fr/actualite/5-objets-de-l-exposition-au-palais-galliera-qui-racontent-frida-kahlo
Présentation de l'invitée : Depuis le 15 septembre et jusqu'au 5 mars 2023, Le Palais Galliera nous plonge dans l'intimité de Frida Kahlo, artiste mexicaine née le 6 juillet 1907 et disparue le 13 juillet 1954 dont l'oeuvre autobiographique a su par sa puissance et son engagement ,marquer durablement le monde de l'art, jusqu'à faire de cette artiste, une des icônes de la pop-culture. En collaboration avec le Museo Frida Kahlo, cette exposition retrace la vie de l'artiste grâce à la découverte incroyable en 2004 d'objets lui ayant appartenu et provenant de la Casa Azul, où elle a vécu tout au long de sa vie. Bien loin des clichés, le Palais Galliera propose à travers un parcours biographique et thématique de comprendre comment s'est construite l'identité de Frida Kahlo à travers son œuvre et son apparence. Pour ce nouvel épisode, j'ai eu la chance de parcourir cette exposition accompagné de Miren Arzalluz, directrice du Palais Galliera qui m'a fait découvrir une autre facette de Frida Kahlo, en me racontant l'histoire de ses objets (photos, vêtements, bijoux, lettres, cosmétiques, objets médicaux etc.) témoins de sa vie passionnée et tumultueuse. « Ce n'est pas une rétrospective sur Frida Kahlo, mais une exposition qui nous permet de rentrer dans son intimité et qui nous parle de la construction de son image en tant que femme, en tant qu'artiste à travers l'imagerie extraordinaire que nous avons tous en tête. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Qu'est ce que le Palais Galliera Miren Arzalluz se présente Présentation de Frida Kahlo La genèse de l'exposition L'influence de la révolution mexicaine Sa découverte de l'art après son accident L'histoire de la Casa Azul L'influence du costume Tehuana Frida Kahlo et le communisme Frida Kahlo et Diego Rivera : un couple explosif L'intime et le féminin au coeur de son oeuvre Ses premières expositions à Paris et New-York Sa rencontre avec André Breton et les surréalistes Réaffirmer sa culture grâce au vêtement Transcender la souffrance par l'art La Fridamania : pourquoi elle continuer à inspirer L'influence de Frida Kahlo sur la mode contemporaine « Frida Kahlo est devenue une icône culturelle, mais aussi esthétique. » « Frida Kahlo a tout de suite compris la force des vêtements pour s'exprimer et se construire. » « Nous voulons proposer de nouvelles lectures autour de la mode et Frida Kahlo nous permet de le faire. Sa popularité nous permet aussi d'élargir notre public : on voit des gens qui ne venaient que rarement au Palais Galliera, voire qui ne connaissent pas notre musée. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : L'épisode de Miren Arzalluz sur Entreprendre dans la mode : https://podcasts.apple.com/us/podcast/miren-arzalluz-directrice-du-palais-galliera-la-mode/id1300541489?i=1000566776940 Le Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr/ La Casa Azul : https://www.museofridakahlo.org.mx/ Diego Rivera : http://www.artnet.fr/artistes/diego-rivera/ Frida (2002) Julie Taymor : https://youtu.be/-CTM7FcY1LE Frida Kahlo par Nickolas Muray : https://www.artsy.net/article/artsy-editorial-intimate-iconic-photos-nickolas-muray-frida-kahlo Frida Kahlo photographiée par Toni Frissell en 1937 pour le Vogue américain : https://artsandculture.google.com/asset/frida-kahlo-photographed-for-the-october-1-1937-issue-of-vogue-toni-frissell/UQFWVaTWC8xZnw?hl=fr 5 objets de l'exposition au Palais Galliera qui racontent Frida Kahlo : https://www.parismusees.paris.fr/fr/actualite/5-objets-de-l-exposition-au-palais-galliera-qui-racontent-frida-kahlo
Lecture par Anne Alvaro Lecture créée aux Correspondances de Manosque 2022. Figure marquante de la peinture mexicaine, Frida Kahlo (1907-1954) a produit une œuvre picturale prolifique et saisissante qui témoigne à la fois de la culture traditionnelle de son pays et de sa souffrance physique. Atteinte de poliomyélite depuis l'enfance et victime d'un grave accident de bus en 1925, elle subit de nombreuses interventions chirurgicales tout au long de sa courte vie. C'est à la suite de son accident qu'elle commence à peindre. Très vite, elle devient le symbole vivant du Mexique à l'étranger et une icône du féminisme. Elle incarne une femme libre, indépendante qui affirme ses idées politiques, immensément courageuse face aux douloureux obstacles dont sa vie est semée. « Je ne suis pas morte et j'ai une raison de vivre. Cette raison, c'est la peinture. » En 1929, elle épouse le peintre Diego Rivera qu'elle admire et avec lequel elle aura une relation passionnelle. Dans ses lettres adressées à ses amis, ses amants, son médecin et Diego, Frida Kahlo évoque ses amours, ses combats politiques, son engagement féministe, son corps douloureux. « Je ne saurais dire si mes tableaux sont surréalistes ou pas, mais je sais qu'ils sont la plus franche expression de moi-même, sans jamais tenir compte des jugements et des préjugés de quiconque. » Frida Kahlo À lire – Frida Kahlo par Frida Kahlo, Lettres 1922-1954, Points, 2009. À voir – Exposition Frida Kahlo, Au-delà des apparences, Palais Galliera, jusqu'au 5 mars 2023.
durée : 00:58:29 - Toute une vie - En deux décennies d'une carrière avant-gardiste éblouissante, Elsa Schiaparelli inventa le sportswear, le rose shocking et les zips apparents, et fut l'autre couturière phare des années 30 face à Gabrielle Chanel, sa rivale de toujours. - invités : Bertrand Guyon directeur de style de la maison Schiaparelli.; Sophie Fontanel Journaliste et écrivain; Pamela Golbin conservatrice en chef mode et textile au Musée des Arts Décoratifs de Paris.; Marie-Sophie Carron de La Carrière conservatrice en chef du partimoine au département mode et textile du Musée des Arts décoratifs.; Marie-Laure Gutton responsable du département des accessoires du Palais Galliera.; Sophie Grossiord Conservatrice générale du Palais Galliera
Extrêmement rare, la robe volante acquise par le Palais Galliera est un témoin extraordinaire de l'évolution du vêtement féminin au 18e siècle. Tenue dite de déshabillé, en opposition aux vêtements de cour officiels, elle est autant le reflet de l'évolution de la société qu'un exemple exceptionnel des modes en vigueur au 18e siècle. Modcast est un hors série du podcast Des Habits et nous créé par la journaliste Hélène Altmann. Production : La Maison de Production.
La Mexicaine Frida Kahlo, l'une des artistes les plus marquantes du XXe siècle, fait son entrée au Palais Galliera à Paris. À travers plus de 200 objets et effets personnels, dont beaucoup jamais montrés en France, le Musée de la mode dévoile « Frida Kahlo, au-delà des apparences ».
La Mexicaine Frida Kahlo, l'une des artistes les plus marquantes du XXe siècle, fait son entrée au Palais Galliera à Paris. À travers plus de 200 objets et effets personnels, dont beaucoup jamais montrés en France, le Musée de la mode dévoile « Frida Kahlo, au-delà des apparences ».
Le chapeau chaussure conçu par Elsa Schiaparelli est le premier des détournements de l'histoire de la mode. Comment a-il été créé et pourquoi est il aujourd'hui au Palais Galliera? La place des surréalistes, le rôle de Dali, le Paris des années 40 et d'aujourd'hui : on marche toujours sur la tête. Modcast est un hors série du podcast Des habits et nous créé par la journaliste Hélène Altmann.
La chronique Expo/Culture de Fabienne Cohen-Salmon
El museo de la moda parisino celebra a Frida Kahlo a través de una colección de objetos que explican cómo la famosa artista mexicana construyó una imagen colorida y potente, que ha influenciado y sigue inspirando a los diseñadores contemporáneos.
“Frida Kahlo“ Au-delà des apparencesau Palais Galliera, Parisdu 15 septembre 2022 au 05 mars 2023Interview de Miren Arzalluz, directrice du Palais Galliera et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 12 septembre 2022, durée 21'57.© FranceFineArt.Commissariat :Circe Henestrosa, conceptrice et commissaire de l'exposition, directrice de l'école de mode LASALLE College of the Arts, SingapourMiren Arzalluz, directrice du Palais Galliera, assistée de Alice FreudigerGannit Ankori, conseillère curatoriale, PhD, directrice et conservateur en chef Henry and Lois Foster, Rose Art Museum, Etats-UnisLe Palais Galliera célèbre Frida Kahlo (6 juillet 1907-13 juillet 1954), l'une des artistes les plus reconnues et influentes du XXe siècle. Loin des clichés qui entourent sa personnalité, l'exposition Frida Kahlo, au-delà des apparences propose aux visiteurs d'entrer dans l'intimité de l'artiste, et de comprendre comment elle s'est construit une identité à travers la manière de se présenter et de se représenter.Pour la première fois en France et en étroite collaboration avec le Museo Frida Kahlo, l'exposition rassemble plus de 200 objets provenant de la Casa Azul, la maison où Frida est née et a grandi : vêtements, correspondances, accessoires, cosmétiques, médicaments, prothèses médicales… Ces effets personnels ont été mis sous scellés au décès de l'artiste, en 1954, par son mari le peintre muraliste mexicain Diego Rivera, et ont été redécouverts cinquante ans plus tard, en 2004. Cette précieuse collection – comprenant des robes traditionnelles Tehuana, des colliers précolombiens que Frida collectionnait, des exemplaires de corsets et de prothèses peints à la main… – est présentée, avec des films et photographies de l'artiste, pour constituer un récit visuel de sa vie hors norme.L'apparence de Frida Kahlo constitue un moyen d'exprimer ses préoccupations identitaires et politiques : c'est, en effet, à la suite d'un grave accident, survenu à l'âge de 18 ans, que Frida se consacre à la peinture et adopte le vêtement traditionnel qui lui permet d'affirmer sa mexicanité, mais aussi de composer avec son handicap. Ainsi, l'exposition Frida Kahlo, au-delà des apparences retrace la manière dont l'artiste a façonné, tel un manifeste, son image nourrie par son héritage culturel et par son expérience du genre et du handicap.Dans un parcours à la fois biographique et thématique, le Palais Galliera met en lumière le passage de l'artiste à Paris et ses relations avec le groupe des Surréalistes.La visite se prolonge avec une exposition-capsule, présentée du 15 septembre au 31 décembre 2022, qui aborde l'influence de l'artiste sur la mode contemporaine et la façon dont elle demeure, encore de nos jours, une icône et une source d'inspiration pour les designers, parmi lesquels Alexander McQueen, Jean Paul Gaultier, Karl Lagerfeld pour CHANEL, Riccardo Tisci pour Givenchy, Maria Grazia Chiuri pour Dior ou Rei Kawakubo pour Comme des Garçons.#expofridakahlo Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Paris, capitale de la mode. Et pour cause, on parle souvent du vivier créatif que cette ville représente où de nombreuses marques y dédient leur cœur d'activité. Mais n'oublions pas la richesse historique et culturelle que ce domaine représente. Pour Miren Arzalluz, directrice du Palais Galliera depuis 2018, la mode est avant tout un phénomène culturel, politique et social qu'elle ne cesse d'étudier. Avec ses collections notables, l'institution publique où repose une grande partie de l'histoire de la mode marque les esprits avec ses grandes expositions thématiques. Au-delà de sa pratique de recherche, l'historienne de formation façonne la matière à penser de demain. Elle cultive un rapport temporel où le passé, le présent et le futur se conjuguent en symbiose, et c'est sûrement là où réside en effet tout le challenge de la culture : tenir compte des reliques de la mode pour mieux s'atteler aux questions d'identité et de société. Pédagogique tout comme divertissante, la mode au musée recèle de sujets illimités encore à creuser… Dans cet épisode, Miren partage sa brillante vision de la mode à travers le multiculturel relatif à ses origines, mais aussi les coulisses de projets d'exposition. « Ce qui me fascine de la mode, ce sont toutes ses dimensions en tant que phénomène culturel comme manifestations politique, social, un outil de dé-construction d'identité, une expression artistique et aussi une industrie puissante d'un point de vue économique.» Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Miren se présente Ses premières expériences dans la culture Ce qu'elle apprend en Histoire de la Mode La culture Basque et son histoire Le paysage de la mode au Pays Basque Les minestrones de sa carrière Son expérience à Londres Faire un musée sur Balenciaga Son double statut d'historienne et de curatrice Sa nomination à la direction du Palais Galliera L'histoire du Palais Galliera Le rôle d'une musée de la mode Attirer un public large dans une exposition Les expositions au Palais Galliera Les thématiques à aborder Les enjeux du musée face aux crises sociétales Son opinion sur la prise de conscience de l'industrie Sa consommation de mode Comment elle est habillée Sa vision pour les prochaines années « Je suis convaincue de la place centrale de la mode dans notre société. » « Quand on analyse l'histoire, ce n'est pas que pour être nostalgique, il faut essayer d'identifier les clés pour comprendre l'avenir, c'est pour ça qu'on est historien aujourd'hui.» « Toutes ces crises ne font qu'accélérer des changements déjà en cours; je veux croire qu'on va vers une mode plus engagée et militante. L'avenir de cette planète est de notre responsabilité. Si ce n'est pas l'industrie, ce sont les consommateurs et la société qui vont l'exiger. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : Palais Galliera : https://www.palaisgalliera.paris.fr Victoria & Albert Museum, Londres : https://www.vam.ac.uk London School of Economics : https://www.lse.ac.uk Musée Cristóbal Balenciaga : https://www.cristobalbalenciagamuseoa.com/fr/ Musée Guggenheim, Bilbao : https://www.guggenheim-bilbao.eus/fr Kensington Royal Palace : https://www.hrp.org.uk/kensington-palace/ Musée de la Mode, Anvers : https://www.momu.be/fr/informations-visiteurs Institut Culturel Basque : institut culturel basque MET Museum, New York : https://www.metmuseum.org Musée Carnavalet : https://www.carnavalet.paris.fr Musée d'Art Moderne de Paris : https://www.mam.paris.fr Olivier Saillard : https://www.radiofrance.fr/personnes/olivier-saillard Musée Bourdel : https://www.bourdelle.paris.fr Exposition Backside, Dos à la mode, 2019 : https://www.bourdelle.paris.fr/fr/exposition/back-side/dos-la-mode FIT Institute, New York : https://www.fitnyc.edu
Chaque semaine, Sortiraparis vous propose une sélection de sorties à faire à Paris et en Ile-de-France ! ©Musique proposée par La Musique Libre/Jazz In Paris - Media Right Productions/Rizhlaine Ferfar/Laurent Pradal
“L'esprit Art Nouveau“ La donation Pierre Roche au Petit Palaisau Petit Palais, Parisdu 10 mars au 11 septembre 2022Interview de Clara Roca, conservatrice des arts graphiques et photographies des XIXe et XXe siècles, Petit Palais,et de Joëlle Raineau-Lehuédé, collaboratrice scientifique, arts graphiques, Petit Palais, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 6 mai 2022, durée 23'53.© FranceFineArt.Communiquéde presse Commissariat :Cécilie Champy-Vinas, directrice du musée ZadkineJoëlle Raineau-Lehuédé, collaboratrice scientifique, arts graphiques, Petit PalaisClara Roca, conservatrice des arts graphiques et photographies des XIXe et XXe siècles, Petit PalaisLe Petit Palais est très heureux de faire (re)découvrir l'oeuvre de Pierre Roche, artiste Art Nouveau, qui fut l'ami de Loïe Fuller et de Huysmans. Aujourd'hui tombé dans l'oubli, certaines de ses sculptures ornent pourtant les parcs et jardins ainsi que les rues de Paris, comme la Fontaine Avril située dans les jardins du Palais Galliera. Formé à la peinture par Gervex et Roll puis à la sculpture par Dalou, l'artiste est un véritable touche-à-tout qui aime expérimenter. Il s'intéresse aux arts décoratifs mais aussi à la gravure pour laquelle il invente de nouvelles techniques. Cet accrochage, rendu possible grâce au don par sa famille d'un ensemble exceptionnel de 4 000 pièces provenant directement de son atelier, est réparti en 7 chapitres autour d'une centaine d'oeuvres. Il permettra de présenter les différentes facettes et l'originalité de son oeuvre.En complément de l'exposition, le Petit Palais propose une visite virtuelle : https://www.parismusees.paris.fr/fr/expositions-virtuelles/l-esprit-art-nouveau Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
“Boldini“ Les plaisirs et les joursau Petit Palais, Parisdu 29 mars au 24 juillet 2022Interview de Servane Dargnies-de Vitry, conservatrice des peintures du XIXe siècle au Petit Palaisi et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 28 mars 2022, durée 20'13.© FranceFineArt.Communiqué de presse Commissariat :Servane Dargnies-de Vitry, conservatrice des peintures du XIXe siècle au Petit PalaisBarbara Guidi, directrice des musées de la ville de Bassano del GrappaLe Petit Palais consacre une grande exposition à l'artiste italien Giovanni Boldini (1842-1931), dont la dernière rétrospective en France remonte à plus de soixante ans. Pourtant, le portraitiste virtuose fut l'une des plus grandes gloires du Paris au tournant des XIXe et XXe siècles, en observateur attentif de la haute société qu'il admirait et fréquentait. Une scénographie évocatrice et immersive accompagne un parcours riche de 150 œuvres mêlant peintures, dessins, gravures, costumes et accessoires de mode prêtés par des musées internationaux comme le musée Giovanni Boldini à Ferrare, le Museo di Capodimonte à Naples, la National Portrait Gallery de Londres, le musée d'Orsay, le Palais Galliera, le MAD parmi tant d'autres, et de nombreuses collections particulières. À travers l'oeuvre de Boldini, l'exposition invite le public à revivre les plaisirs de la Belle Époque et l'effervescence d'une capitale à la pointe de la modernité.Né en Italie à Ferrare en 1842, Boldini passe la majeure partie de sa vie dans la Ville Lumière. Il est vite introduit dans les milieux artistiques et devient proche de Degas. Protégé du marchand Adolphe Goupil, il se fait remarquer par le choix de ses sujets qui évoquent la modernité et le bouillonnement de la vie parisienne. Boldini profite des loisirs qu'offre la capitale et sort tous les soirs au théâtre, au restaurant en emportant toujours avec lui ses crayons. Les lumières nocturnes créées par le nouvel éclairage électrique le fascinent ainsi que les mouvements incessants de cette ville qui ne s'arrête jamais. Les tableaux qu'il tire de ses croquis comme Scène de fête au Moulin Rouge témoignent de l'effervescence qui s'empare alors de la ville. L'artiste se lie également d'amitié avec le caricaturiste Sem et le peintre Paul Helleu et tous les trois deviennent inséparables.Mais au-delà de ces scènes de genre, ce sont ses portraits qui vont lui apporter le succès. Boldini saisit d'une manière très moderne mais à contre-courant des avant-gardes tout ce que la capitale compte d'héritières, de princesses, de dandys, d'artistes et d'écrivains. Ses portraits qui vont fixer à jamais le tout-Paris de la Belle Époque sont comme les équivalents picturaux des personnages d'À la Recherche du temps perdu de Proust, l'un de ses plus grands admirateurs. Avec ces tableaux, le peintre témoigne également de son goût prononcé pour la mode. Il brosse à grands traits les plus belles tenues des couturiers Worth, Paul Poiret, Jacques Doucet et bien d'autres et développe, au fil de ces commandes, un style unique qui sera sa signature : une touche rapide, une attention à la pose du modèle, une mise en valeur de la ligne serpentine des corps. À travers les oeuvres présentées, l'exposition livre un témoignage captivant et émouvant de ce Paris perdu. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
#Palais Galliera muestra un recorrido por la #moda del siglo XVIII hasta nuestros días
D'un chef d'œuvre à l'autre, de la robe volante aux créations de Comme des garçons, le Palais Galliera raconte son histoire de la mode, dans une toute nouvelle exposition. Un an après la réouverture du lieu, vous entendrez moult anecdotes sur les tendances dans nos pays voisins européens ayant influencé la mode parisienne, au fil des siècles...
C'est un défilé à travers 300 ans de styles et de goûts vestimentaires. L'exposition « Une histoire de la mode » dévoile 350 pièces - vêtements, accessoires et photographies -, issues des collections du Palais Galliera à Paris (avec un fond riche de quelque 200 000 objets) pour retracer l'histoire de la mode du XVIIIe siècle jusqu'à nos jours.
Vogue magazine is an institution in the fashion world. To celebrate its 100th anniversary, a special exhibition is showing Vogue covers from the past century.
Le Palais Galliera propose la première exposition consacrée à Gabrielle Chanel, qui est riche et passionnante. Coco Chanel est parvenue à libérer les femmes, tout en mélangeant les codes masculins et féminins. C'est l'occasion d'admirer les plus grandes créations de la couturière, comme son célèbre tailleur des années 50, ou encore ses robes iconiques. L'exposition nous montre aussi une sélection de bijoux, d'accessoires et de parfums. «Gabriel Chanel - manifeste de mode », une exposition à voir jusqu'au 18 juillet, au Palais Galliera dans le 16ème. Il vous faut réserver un créneau horaire sur le site www.palaisgalliera.paris.fr
Se cumplen 100 años del perfume más famoso del mundo, el emblemático N°5 de Chanel. Francia conmemora también los 200 años de la muerte de Napoleón Bonaparte quien se convirtió en un icono para las artes. El sector cultural tiene perspectivas de reapertura tras más de seis meses de cierre por causa de crisis sanitaria. Sera el 19 de mayo, aunque manteniendo algunas restricciones. Es sin duda el perfume más conocido en el mundo y hasta una estrella del cine como Marilyn Monroe se atrevió a decir que solo se ponía una gota de esta fragancia para dormir. Chanel N°5 apareció en el mercado el 5 de mayo de 1921 e inmediatamente tuvo un éxito rotundo. No solo porque era una creación de la muy distinguida casa de alta costura que fundó la francesa Gabrielle Chanel. Sino porque su perfume abstracto y ultra femenino que revoluciono completamente el lenguaje olfativo. No se componía de un olor sino distintas fragancias: por un lado, las esencias de flores como el jazmín de la ciudad de Grasse, la rosa de mayo, el lirio, el iris y el ylang, a los que se añadieron aromas de vainilla, pachulí, y cítricos como el limón y la bergamota. La idea genial de Gabrielle Chanel fue considerarlo no como un accesorio sino como una prenda que contribuía a la elegancia de la mujer, en perfecta sintonía con el vestuario. “El número 5 y en general su idea de la perfumería y de la belleza, fueron para Chanel una prolongación de su visión de la moda para la mujer. Entonces, como hizo con sus creaciones de moda, también fue radical con su perfume. En su época, los perfumes llevaban nombres evocadores, eran florales. Chanel rompe con todo eso y hace radicalmente opuesto, desde el punto de vista dela fragancia y hasta del frasco, que era cuadrado y sencillo. Además, con un nombre que es un número, que correspondía a la prueba que más le gustó. Y por último, Chanel consideró a su perfume como una prenda más de la mujer elegante”, explicó a RFI Miren Arzalluz, directora del Palais Galliera museo de la moda de Paris. “Napoleón no es ni negro ni blanco” Francia conmemora también los 200 años de la muerte de Napoleón Bonaparte. Un personaje central de la historia, que dejó una huella imborrable en las sociedades francesas y europeas, pero que como todas las grandes figuras históricas también tuvo rasgos más oscuros. Algunos ponen de relieve sus campanas de conquista que sembraron muerte desde Europa hasta Egipto, o su polémica decisión de restaurar la esclavitud en Francia. Napoleón también se convirtió en un icono para las artes, inspirando a artistas, desde la pintura, la escultura, el grabado, y en el siglo XX el cine. Beethoven fue uno de sus más fervientes admiradores, y hasta escribió para él una sinfonía, antes de retractarse decepcionado cuando Napoleón se proclamó Emperador “No es de extrañar que Napoleón levante todavía tanto debate. Hoy en dia se tiene un conocimiento amplio de sus campanas, desde Rusia hasta Egipto. No hay que olvidar que fue ante todo, un militar, y que fue la guerra la que lo catapultó al Imperio. Pero no hay que caer en amalgamas absurdas, como lo es comparar a dictadores como él, y dictadores contemporáneos. Eso es un error historiográfico fundamental. El Imperio si fue un periodo terrible, marcado por guerras y destrucciones, pero también conllevo a la creación de muchas instituciones que definen a la Europa de hoy”, expresó desde Roma el historiador Adrián Almoguera, especialista del Primer Imperio francés. Esperanza para el sector cultural Más de seis meses de parálisis para el sector cultural en Francia llegaran a su fin el próximo 19 mayo. Según informo el gobierno, las salas de cine y de espectáculo, los teatros, museos y monumentos podrán abrir sus puertas, aunque con limitaciones de aforo. Será además una reanudación progresiva, pero tanto el público como los profesionales de la cultura han recibido estas medidas con una mezcla de entusiasmo y reserva. “Le reste” de Clara Luciani Terminamos este Carrusel presentándoles el más reciente trabajo de la cantante francesa Clara Luciani, una artista francesa que ya hemos invitado a nuestro programa. Luciani acaba de presentar el primer single, “Le reste”, de su nuevo disco previsto para junio.
“Le Paris de Dufy” au Musée de Montmartre, Parisdu printemps à septembre 2021Extrait du communiqué de presse :Commissariat :Didier Schulmann, Ancien Conservateur au Musée national d'art moderne/CCI – Centre Pompidou, Paris Saskia Ooms, Responsable de la conservation du Musée de Montmartre Scénographie, Atelier Maciej Fiszer La mémoire collective retient de Raoul Dufy (1877-1953) la dextérité de son trait, l'équilibre de ses compositions, son talent de coloriste, son sens de la synthèse et sa monumentale Fée Electricité ; et sous la plume des critiques, pour caractériser son oeuvre, les mots de charme, distinction, légèreté, élégance, fraîcheur se sont imposés à la sensibilité commune. L'exposition « Le Paris de Dufy » que présente le Musée de Montmartre a pour ambition de montrer et d'étudier le choix de la thématique de Paris comme motif dans l'oeuvre de l'artiste : un sujet qui, malgré les nombreuses expositions dédiées à Raoul Dufy, n'a jamais été traité jusqu'à aujourd'hui.Organisée avec la participation exceptionnelle du Centre Pompidou, en partenariat avec le Mobilier national et les manufactures des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie, l'exposition réunit près de deux-cents oeuvres et documents de Raoul Dufy (peintures, dessins, aquarelles, lithographies, céramiques, tapisseries, mobilier, objets et photographies), représentatives du Paris qui a inspiré l'artiste : Montmartre, ses ateliers parisiens, ses monuments les plus emblématiques – la tour Eiffel, le Panthéon, les Invalides, l'Opéra, les soirées mondaines, la Seine, les balades en canotage sur la Marne et les promenades au Bois de Boulogne…Elle se veut aussi être un hommage à celui qui occupa l'un des ateliers du 12 rue Cortot -où se situe aujourd'hui le Musée de Montmartre- et qui à partir de 1911, s'installe au 5 impasse Guelma : lieu qui vit naître un grand nombre de chefs-d'oeuvre dont certains figurent dans l'exposition et qui fut durant toute la vie du peintre son point d'attache. Les oeuvres exposées, datées de 1898 à 1953, ont été sélectionnées parmi les collections du MNAM, Centre Pompidou et des musées dépositaires -Château-Musée Grimaldi-Cagnes sur mer, Musée d'Art moderne André Malraux – MuMa, Le Havre, Musée National de la Céramique-Sèvres, Musée des Tissus-Lyon, Musée des Beaux-Arts de Bordeaux, Musée d'Arts de Nantes, Musée des Beaux-Arts Jules Chéret- Nice ; le Musée d'art Moderne de Paris, Palais Galliera, Musée de la Mode de Paris, Musée Calvet-Avignon, le Musée de Grenoble, le Musée Calvet d'Avignon. A celles-ci s'ajoutent, les prêts précieux de mobiliers consentis par Le Mobilier national et les manufactures des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie. Des prêts d'importantes collections privées et de galeries couronnent l'ensemble.Le catalogue [édité par In Fine éditions d'art] qui réunit les essais des commissaires Didier Schulmann et Saskia Ooms, de Sophie Krebs, conservatrice générale du patrimoine et responsable des collections du Musée d'Art moderne de Paris, de Romy Golan, professeure de l'histoire de l'art du XXème siècle au Graduate Center of the City University of New York ainsi qu'un entretien inédit avec Fanny Guillon-Laffaille, experte de l'oeuvre de Raoul Dufy et auteure du catalogue raisonné, enrichit nos connaissances sur cette thématique, qui rappelons-le, est pour la première fois étudiée.Raoul Dufy (Le Havre 1877- Forcalquier 1953)Raoul Dufy est né le 3 juin 1877 au Havre. Il est le deuxième des neuf enfants de Léon-Marius Dufy et de Marie-Eugénie Lemonnier. Son père est comptable, musicien, maître de la chapelle Saint-Joseph. Il transmettra son amour de la musique à plusieurs de ses fils, Raoul jouera du piano et de l'orgue. En 1891, alors âgé de quatorze ans, le jeune Raoul qui dessine déjà beaucoup, est contraint d'aider financièrement sa famille ; il travaille au port du Havre pour une maison d'importation de cafés brésiliens et y passe cinq ans : « J'ai passé ma vie sur le pont des navires : c'est une formation idéale pour un peintre. » confiera-t-il quelques années plus tard.Octobre 1899, Raoul Dufy quitte le Havre pour Paris Après avoir obtenu une bourse de la ville du Havre où il a commencé son apprentissage du dessin en suivant les cours du soir de Charles Lhuillier à l'Ecole municipale des Beaux-Arts, Raoul Dufy décide, pour perfectionner sa formation, de quitter sa ville natale pour Paris. Il s'inscrit alors à l'Ecole nationale Supérieure des Beaux-Arts, est admis dans l'atelier de Léon Bonnat où il y retrouve son camarade Émile-Othon Friesz (Le Havre, 1879 – Paris, 1949) qui y travaille déjà depuis deux ans. Dans la foulée de son arrivée, Dufy loge dans des ateliers successifs, passant très alternativement de la rive droite à la rive gauche : 9, rue Campagne- Première en 1899 puis à Montmartre au 12, rue Cortot avec Othon Friesz ; ensemble, ils vont occuper un atelier situé au premier étage de l'aile droite (actuel emplacement du musée). Paris captive le jeune havrais qui, crayons et carnet de dessins en poche, passe beaucoup de temps à arpenter ses rues et ses différents quartiers. Pour se rendre à l'Ecole des Beaux-Arts, Raoul emprunte souvent la rue Laffitte où au 16, le marchand Durand-Ruel expose les impressionnistes, un peu plus loin au 37, il découvre Gauguin, Cézanne chez Ambroise Vollard. Il visite les musées, se rend régulièrement au Louvre, observe et se promène dans les jardins, croque les scènes de la vie quotidienne, dessine les monuments emblématiques, des vues de Paris depuis Montmartre ou d'autres points de vue… Peint à la manière impressionniste, il réalise des portraits et autoportraits ainsi que de nombreux paysages. Ce n'est donc pas un hasard si Didier Schulmann choisi l'expression flâneur en lévitation comme titre de son essai publié dans le catalogue de l'exposition.Paris, au fil des rencontres… « Mais de Paris ce n'est pas qu'une vision monumentale et urbaine qui le passionne. C'est tout ce milieu parisien unique qui permet à un peintre de rencontrer tous les acteurs de la scène artistique et littéraire »précise Sophie Krebs dans son essai Dufy et Paris La naissance du décoratif. Assez rapidement, il fait la connaissance de la marchande de tableaux Berthe Weill qui sera la première à lui acheter en 1902 un pastel La rue de Norvins. Elle le convie par la suite à participer à ses expositions collectives dans sa galerie-brocante du 25 avenue Victor-Massé à Montmartre. Et c'est en 1903 que Raoul Dufy participe pour la première fois au Salon des Indépendants où il présente des plages normandes et des vues de Montmartre. Le peintre renouvellera son expérience en 1904 et montrera six peintures dont trois vues de Paris.En 1905, la visite du Salon des Indépendants est un choc pour Dufy ! Il y découvre l'oeuvre d'Henri Matisse « Luxe, calme et volupté ». Séduit, il adopte alors radicalement le style fauve. Mais le fauvisme n'est qu'une étape vers la découverte de son style personnel, il s'en détachera en 1907… Comme tous les peintres de sa génération, il est marqué par la grande rétrospective que consacre le Salon d'Automne à Paul Cézanne(1839-1906), disparu l'année précédente en 1906. Dufy prend alors conscience de l'importance de la géométrie des formes. En 1908, un voyage à l'Estaque avec Braque fait évoluer ses recherches picturales : il simplifie alors les formes, structure l'espace et adouci ses couleurs. Assez rapidement, il se débarrasse des contraintes cubistes pour se laisser aller au plaisir de la liberté du trait, lui permettant ainsi de développer son sens de la courbe, de l'arabesque ainsi que la force de suggestion d'une forme à peine esquissée… Ces deux périodes stylistiques ne produisent aucune oeuvre en lien avec les oeuvres parisiennes. En 1909, Dufy fait la connaissance du célèbre couturier Paul Poiret (1879-1944) et lors d'un diner que ce dernier donne, rencontre Guillaume Apollinaire (1880-1918). A la demande du poète, Raoul Dufy grave trente bois destinés à illustrer le recueil « Le Bestiaire ou Cortège d'Orphée ». Cette collaboration fructueuse incite Apollinaire à introduire Raoul Dufy dans les cercles littéraires parisiens. Quelques mois après, Paul Poiret, fasciné par les bois gravés de l'artiste, lui propose de transposer ces motifs sur textile. L'intérêt de Dufy pour les arts décoratifs commence à s'affirmer. Au Salon des Indépendants de 1910, il présente cinq peintures dont trois « Jardins » inspirés de ses visites au Jardin des Plantes. Et c'est en 1911, qu'il s'installe avec sa jeune épouse Eugénie-Émilienne Brisson au 5, impasse Guelma, à Montmartre. Cette même année, il créé avec Paul Poiret, une entreprise d'impression de tissus au 141, boulevard de Clichy, dénommée La petite Usine. Mais c'est surtout à partir de 1912, en signant un contrat avec la firme de soieries lyonnaise Bianchini-Férier, que Raoul Dufy exprime pleinement son talent de créateur de tissus et de décorateur. Il y épanouira à la fois la stylisation ornementale de ses sujets : monuments, fleurs, animaux, personnages, et son penchant pour la couleur. En août 1914, quelques mois après son retour d'un second voyage en Allemagne où il visite Berlin, Cologne, Düsseldorf et où il rencontre le marchand et publiciste d'art Herwarth Walden, la Première Guerre mondiale est déclarée. Pour avoir déclaré un rhumatisme articulaire aigu, il ne pourra pas être envoyé au Front. Son engagement patriotique se traduit alors à travers la diffusion de gravures de propagande issues de sa propre entreprise, Iconographie Raoul Dufy, créée en 1915. La qualité et la variété des séries qu'il fait sortir des presses d'Épinal lui valent, en janvier 1917, d'être mis à la disposition du musée de la Guerre. En février 1918, Dufy devient le conservateur adjoint, chargé de la bibliothèque. Il a la charge des documents bibliographiques et iconographiques, dont des photographies, comportant des vues aériennes qui, on le suppose, auront une influence sur son travail de peintre.1919 : Dufy devient subitement Dufy En 1919, sa peinture acquiert un dynamisme nouveau, il se concentre sur trois domaines : la fluidité, la couleur et le mouvement. L'originalité du véritable « style Dufy » que l'artiste met en place et auquel il restera fidèle tient dans la dissociation de la forme et de la couleur. La forme, donnée par le dessin tracé au crayon, à l'encre de Chine, au pinceau fin, voire grattée directement dans un à-plat de couleur, structure la scène et lui apporte la vie. La couleur, étalée tantôt en larges à-plats, tantôt en zébrures nerveuses et rapides, débordant largement pour créer une ambiance faite de tons purs et rayonnants. Cette même année, il signe un premier contrat avec les galeristes Bernheim-Jeune et Vildrac, il y exposera jusqu'en 1932. Poursuivant inlassablement ses recherches sur la lumière et la couleur, Raoul Dufy effectue, en 1922, un long voyage en Italie où il fait la connaissance du critique Pierre Courthion qui lui consacrera une monographie en 1929. Il rencontre, quelques temps après, le céramiste catalan Josep Llorens i Artigas(1892-1980), qui lui permet d'ouvrir un nouveau champ artistique. Il s'imposera quelque temps plus tard comme un exceptionnel décorateur de céramique.1923 : Paris et ses monuments inspirent Dufy Raoul Dufy est sollicité en 1923 pour réaliser une série de cartons de tapisseries sur le thème de Paris et de ses monuments. Ils serviront à des garnitures de sièges, à un paravent et seront exécutés par la manufacture nationale de Beauvais. En 1925, il peint Paris à vol d'oiseau pour une tenture pour Poiret dont il reprend et adapte le concept pour le paravent commandé par l'Etat et réalisé en 1933. Cette composition inventée par un Dufy en lévitation au-dessus du paysage urbain parisien renoue avec un genre passé de mode : les panoramas. Christian Zervos évoquera cette conception originale dans Sélection. Chronique de la vie artistique « Le voici s'amusant à prendre Paris comme sujet de son oeuvre. Paris est représenté à vol d'oiseau ; des maisons serrées les unes contre les autres comme dans les anciennes représentations des villes qui ornent les relations de voyage. Par endroits se détachent les monuments de la capitale. Pour en donner l'aspect principal, Dufy les a tournés tous vers le spectateur. L'effet en est des plus heureux ». L'année suivante, en 1926, il réédite en hommage à son ami Guillaume Apollinaire décédé en 1918 Le poète assassiné. Ce sont des monuments emblématiques parisiens comme La Basilique du Sacré Coeur, le Panthéon… qu'il choisit comme décor des 36 lithographies. En 1934, Marie Cuttoli, célèbre mécène de la tapisserie moderne, qui souhaitait par une collaboration avec des artistes contemporains renouveler la tapisserie d'Aubusson, propose à Raoul Dufy de créer de nouveaux cartons de tapisseries sur le thème de Paris. Les deux tapisseries réalisées respectivement en 1934 et 1937 par les lissiers de l'atelier André Delarbre sont présentes dans l'exposition et pour la première fois réunies ! En 1936, son talent d'artiste décorateur étant largement reconnu, plusieurs commandes de décors lui sont faites. Il exécute La Seine, de Paris à la mer pour parer le mur de l'hémicycle du bar-fumoir du théâtre du Palais de Chaillot. Et c'est en 1937, qu'il réalise pour le pavillon de l'Electricité à l'Exposition internationale des arts et des techniques La Fée Electricité. Cette même année, il est invité à être membre du jury du prix Carnegie, et se rend pour la première fois aux États-Unis, à Pittsburg en Pennsylvanie. A partir de 1938, la couleur et la lumière occupent une place prépondérante dans son oeuvre, sublimant les scènes de cargos, d'ateliers et d'hommages aux musiciens qui caractérisent à cette époque sa production. Comme le dit si bien le célèbre critique d'art et fondateur du Musée national d'Art moderne de Paris Jean Cassou(1897-1986), « Coloriste unique, l'un des plus merveilleux de tous les temps, il sait de ses étonnants bleus, verts, jaunes et violets, emplir une toile, la saturer, en faire une explosion d'intensité.« De la lumineuse et juvénile Vue de Paris depuis Montmartre de 1902 (p. suivante) à la crépusculaire pochade de 1952 pour la brochure touristique de Thérèse Bonney (p16), c'est bien un Paris vu d'en haut, et ses monuments vus de face, qui traversent toute l'oeuvre de Dufy, sur quelque support qu'il les inscrive.Pour accompagner l'exposition, un catalogue coédité par le Musée de Montmartre et les Editions In Finé est publié. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Mix #1 Mcbaise / She's a big boy / Dirty MelodySébastien Tellier / Birthday boy / Record MakersHanni El Khatib / Harlow / Innovative LeisureMetronomy / Mandibules (Main theme) / Ed Banger Alors Régis, ça vient ? Annoncée depuis plusieurs semaines, la belle histoire de BabyfingersPatrice Rushen / Let there be funk / Prestige Mix #2 Dominique Fils-Aimé / While we wait / EnsoulAmeriie vs Incredible Bongo Band / Wot I want / B-Boy BreaksCOEO / Express lane / Razor-N-TapeFarsta Kalle & Samo DJ / More give me some more / Take Away L'info du 20h : 34 tenues de Daho atterrissent au Palais Galliera, musée de la mode de la Ville de ParisEtienne Daho & Air / Me manquer / Virgin Mix #3 Bruno Leys / Dans la galaxie / Born BadGiorgia Lauda / Taci (Baci edit) / Centre Neptune Le Menu Prestige : le stockholmois Samo DJ nous tuyaute sur ses 5 morceaux les plus cools de la Terre (pour connaitre les 4 non diffusés dans cette émission, envoyer une enveloppe timbrée à votre adresse à Sam Forsberg Nyholm, Sankt Eriksgatan 25B, 112 39 StockholmAmerican Gypsy / Inside out / Philips Mix #4 X-Ray Ted / Party time / Bomb StrikesPages / Mack / Suncut Le morceau de fin spécial désinfection du variant chilienQuincy Jones / Stuff like that (Mr K edit) / Razor-N-Tape
La artista colombiana Diana Velásquez da una mirada a la situación de las personas mayores a través de su instalación "La espera". A 50 años de la muerte de la diseñadora Gabrielle Chanel, el Palais Galliera la recuerda con una amplia muestra que reúne 350 piezas emblemáticas. Una nueva serie de Netflix rescata al intrépido Arsenio Lupin, mientras que la cantante Karimouche rinde homenaje a las mujeres con su disco "Folies Berberes". El Grand Palais de París hizo un pedido especial a la artista plástica colombiana Diana Velásquez para exponer en la fachada del monumental edificio parisino. La artista, quien vive y trabaja en Madrid, respondió con una instalación que invita a reflexionar sobre la vejez, en tiempos de pandemia, a través de 10 lienzos de gran formato adornan las columnas del Grand Palais de París. “L’attente” (La espera) nació de una reflexión durante la pandemia, cuando se evidenció la soledad en la que viven muchos ancianos en el mundo. Chanel, la diseñadora que revolucionó la moda femenina Gabrielle Chanel creó piezas emblemáticas que hoy figuran en el guardarropa de cualquier mujer. En 2021 se conmemoran los 50 años de su muerte, y aunque su imagen se ha visto ensombrecida por sus presuntos vínculos con el nazismo, también es cierto que fue una de las grandes diseñadoras de moda de la historia. Eso es lo que pone de relieve el Palais Galliera de París, museo que dedica la primera retrospectiva jamás realizada sobre Gabrielle Chanel. Lupin, el “Sherlock Holmes” francés, tiene su mini serie Esta serie francesa en cinco capítulos producida por Netflix está teniendo un éxito rotundo no solo en Francia sino también en el resto del mundo. “Lupin” relata las aventuras de un ladrón de guante blanco y piel oscura personificado por la estrella francesa Omar Sy. Música berebere, feminista y colorida en la voz de Karimouche Karimouche es una artista “made in France”, que habla de la importancia de conocer sus raíces y de decir lo que uno piensa. Carrusel de las Artes le dio cita a esta artista multicultural en el distrito 12 de París, donde nos habló de su último álbum, trabajo que incluye un tema feminista, en colaboración con la cantante brasileña Flavia Coelho.
Le Palais Galliera, musée de la mode à Paris, rouvre ses portes dans le XVIe arrondissement après deux ans de travaux qui auront permis de doubler ses surfaces. Une rétrospective de l’œuvre de la créatrice Coco Chanel est à l'honneur, dont la maison de couture est le principal mécène des travaux.
Dịch Covid-19 và cái lạnh đầu mùa không làm nản lòng những người hâm mộ « Coco » đến xem triển lãm Gabrielle Chanel. Manifeste de mode (tạm dịch : Gabrielle Chanel. Tuyên ngôn thời trang, từ 01/10/2020 đến 14/03/2021). Sau hai năm đóng cửa để mở rộng, Bảo tàng Thời trang Paris (Musée de la Mode de la Ville de Paris, Palais Galliera) đã dành cuộc triển lãm đầu tiên cho « Coco », người làm cách mạng thời trang nữ giới. Có một điều chắc chắn, đó là thời trang và sáng tạo của nhà thiết kế Pháp vẫn giữ sức hấp dẫn vượt thời gian. Dù phải đăng ký trước trên internet, theo khung giờ ấn định, nhưng dòng người vẫn nối nhau từ hành lang vòng cung trong sân của bảo tàng ra đến vỉa hè. Tất cả kiên nhẫn chờ, do phải tuân thủ hàng loạt biện pháp phòng ngừa vì nguy cơ khủng bố chưa qua, dịch bệnh vẫn còn đó. Triển lãm dành 1.500 m2, trong đó có nhiều gian trưng bày mở dưới tầng hầm, giới thiệu hơn 350 tác phẩm của nhà thiết kế số 31 phố Cambon, Paris, nằm trong các bộ sưu tập của bảo tàng Galliera, Di sản Chanel và nhiều bảo tàng quốc tế (Victoria & Albert Museum ở Luân Đôn (Anh), De Young Museum ở San Francisco (Mỹ), Museo de la Moda ở Santiago (Chilê), MoMu ở Anvers (Bỉ)…), cũng như từ nhiều bộ sưu tập tư nhân. Trả lời đài France 24, bà Miren Arzaluz, giám đốc Bảo tàng Thời trang, giải thích : « Chúng tôi chọn tên Fashion manifesto bởi vì chúng tôi nhận thấy có hai giai đoạn trong sự nghiệp của Chanel hoàn toàn trái ngược với xu hướng thời trang đương thời. Đó là giai đoạn đầu sự nghiệp khi Gabrielle 19 tuổi và khi bà trở lại với thế giới thời trang vào thập niên 1950. Chanel đã thực sự đặt người phụ nữ làm trọng tâm cho những thiết kế của bà. Tất cả những gì bà thiết kế đều cho thấy người phụ nữ rất tự nhiên và tự do. Và đó là điều gì đó mang tính cách mạng đối với một nhà thiết kế còn rất trẻ, cũng như vào thời kỳ đó ». Tầng trệt của bảo tàng như biến thành sàn diễn thời trang của Chanel trong nửa đầu thế kỷ XX với những thiết kế làm xoay chuyển thế giới thời trang, được xếp thành « 10 chương ». Bắt đầu từ chiếc áo thắt eo Marinière Hè 1916, tiếp theo là một loạt mẫu váy thuôn, thiết kế đơn giản, nhẹ nhàng nhưng tôn lên nét uyển chuyển, sự năng động của người phụ nữ, nhờ chất liệu mềm mại, từ lụa Jersey, đến lụa, nhiễu (lụa kếp Trung Quốc), hay taffeta, mousseline… Gabrielle Chanel hoàn toàn có lý khi nói rằng « chính chất liệu mới làm nên chiếc váy, chứ không phải những phụ kiện mà người ta có thể đính kèm ». Cuộc cách mạng thời trang nữ giới mang tên Chanel Rất nhiều mẫu váy của Chanel từ đầu thế kỷ XX vẫn hoàn toàn hợp thời trang một thế kỷ sau đó. Và đây chính là một trong những nguyên tắc sáng tạo của Chanel, theo giải thích của bà Miren Arzaluz, giám đốc Bảo tàng Galliera : « Tính hiện đại trong tác phẩm của Chanel đến từ sự đơn giản trong thiết kế và từ việc bà luôn dựa vào khái niệm không lỗi thời. Đó chính là những tiêu chí thuận tiện, đơn giản, nhẹ nhàng và trẻ trung. Những khái niệm này đã định hướng cho thiết kế của Chanel và giúp bà nổi tiếng đến như vậy. Điểm mạnh của bà, đó chính là đưa kỹ thuật phục vụ cho sự tự do trong cử động và sự thoải mái. Và bà không bao giờ đi chệch những nguyên tắc này ». Sau những thiết kế váy nhẹ nhàng, nhưng đầy tính năng động cho trang phục hàng ngày của một phụ nữ trẻ như « Coco » thời đó, là những bộ váy sang trọng, những chiếc áo khoác lịch lãm và những bộ đầm dạ hội kiều diễm. Lưng và bờ vai trần của người phụ nữ luôn được Chanel chú trọng, vì vậy những thiết kế váy dạ hội của bà luôn có gì đó mỏng manh nhưng tôn lên vẻ sang trọng, quyến rũ của người mặc, như nhận xét với RFI Tiếng Việt của Théo Veyrat-Parisien, một sinh viên ngành thiết kế thời trang, Viện Thời trang Pháp (Institut français de la Mode) : « Đúng thế ! Với chúng ta hiện giờ thì điều đó rất đỗi bình thường và tự nhiên, đôi khi không phải là có gì đó đặc biệt. Nhưng cần phải đặt mình vào bối cảnh và khi nhìn lại những gì có trước thời kỳ Chanel và những gì mà Chanel đã làm, thì đó là cả một cuộc cách mạng và phát động cho thời trang giai đoạn đó. Nhưng cần phải đánh giá theo cách nhìn lịch sử và mới thấy được điểm thú vị ». Phần thứ hai của triễn lãm giúp người xem giải mã những quy tắc trang phục của « Coco » Chanel : những bộ suit nữ bằng vải tweed, đôi giầy cao 5 cm với hai tông huyền thoại, mẫu túi 2.55 (viết tắt của ngày ra mắt tháng 2/1955) làm điên đảo tín đồ thời trang, tạo nên phong cách lịch lãm rất riêng của Chanel. « Coco » đã phá vỡ mọi quy tắc cứng nhắc, bó buộc vẫn được áp dụng trong thời trang nữ giới. Bà biến mầu đen « buồn bã » thành biểu tượng của sang trọng, dùng chất liệu vải tweet, chỉ dành cho âu phục nam giới, làm chiếc áo khoác biểu tượng cho người phụ nữ hiện đại, tự tin, thành đạt. « Coco » đã làm một cuộc cách mạng xoay chuyển thời trang của nữ giới. Và chính sự sáng tạo của Chanel trong nửa thập kỷ đầu thế kỷ XX đã thu hút Théo Veyrat-Parisien : « Tôi thấy giai đoạn đầu của Gabrielle Chanel là thời kỳ thú vị nhất, từ những năm 1930 cho đến Thế Chiến. Tại vì đối với tôi, đó là thời kỳ sáng tạo nhất của bà và có rất nhiều tiểu tiết kỹ thuật. Tôi là sinh viên thời trang nên rất quan tâm đến những điểm đó. Phải nói là có rất nhiều chi tiết kỹ thuật rất thú vị và được nhìn tận mắt, rồi được lại gần ngắm những bộ váy, vẫn thích hơn là ngắm chúng qua ảnh hay qua những cuộc trình diễn thời trang. Đó là những chi tiết rất thông thường như là đường may, lên gấu, cách sắp xếp từng chi tiết của chiếc váy hoặc những đường cắt để váy ôm trọn cơ thể người phụ nữ thời đó để giải phóng cử động giúp họ. Rất thú vị khi nhìn được những chỉ tiết này và đây là điểm thu hút tôi trong các cuộc triển lãm ». Gian trưng bày chính dưới tầng hầm của bảo tàng được dành cho những phụ kiện (từ những chuỗi hạt trai giả, vòng tay đến khuyên tai, nhẫn, ghim cài áo…) được thiết kết độc đáo đa mầu sắc và đồ nữ trang cao cấp của Chanel từ những năm 1920. Một gian khác dành cho thiết kế nước hoa, đặc biệt là không thể bỏ qua Chanel N°5 huyền thoại. Bên cạnh đó là những bộ sưu tập từ năm 1956 cho đến bộ sưu tập cuối cùng, Xuân-Hè 1971, vẫn trung thành theo nguyên tắc : đơn giản nhưng sang trọng. Những mẫu váy kèm áo khoác bằng vải tweet, những chiếc váy dạ hội mầu đen tinh tế và quý phái, ngược với xu hướng óng ánh và gắn đá trang trí được nhiều nhà may nổi tiếng đương thời ưa chuộng. Tuy nhiên, rất dễ nhận thấy là những thiết kế của Chanel cũng thay đổi theo độ tuổi của bà, như nhận xét của Théo Veyrat-Parisien : « Đúng, có sự khác biệt lớn vì tôi biết được rất nhiều thiết kế của Chanel nhờ những cuốn sách và tạp chí sưu tập được. Chanel tự thiết kế trang phục cho mình, bà từng trả lời phỏng vấn một tạp chí là bà sẽ không dám du lịch nếu không mặc trang phục do chính mình thiết kế. Vào cuối đời, bà vẫn tìm cách tạo ra phong cách riêng, dù đã 80 tuổi, khi mà vẫn muốn được nhắc đến. Tuy nhiên, việc này phức tạp hơn khi phong trào của giới trẻ ghi lại dấu ấn sâu sắc trong những năm 1960. Vì thế, có thể nhận thấy là thời trang của bà trở nên già đi vào thời kỳ cuối. Điều này cũng rất thú vị khi xem trong triển lãm. Còn về mặt sáng tạo thì thật sự là tôi thích thời kỳ đầu của Chanel hơn là giai đoạn cuối ». Dù nhiều mẫu bị lãng quên, nhưng những thiết kế huyền thoại nhất, hiện vẫn có sức ảnh hưởng, cho thấy sự trường tồn của phong cách Chanel, cũng như tầm nhìn xa mà nhà thiết kế Pháp đã có từ cách đây gần một thế kỷ.
Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer... C'est ici !
Béatrice Agenin incarne sur la scène du Théâtre Montparnasse le destin hors du commun de «Marie des Poules, gouvernante chez George Sand». Béatrice Agenin est une immense comédienne, capable de passer en un quart de seconde de la candeur d’une jeune paysanne de 11 ans à l’autorité glaçante d’une matriarche lettrée. De la Comédie Française à une série télévisée aussi populaire qu’ «Une famille formidable» sur TF1, elle a montré qu’elle savait tout jouer, jusqu’à obtenir cette année le Molière de la Meilleure comédienne dans un spectacle de théâtre privé. Béatrice Agenin présente «Marie des Poules, gouvernante chez George Sand». Un spectacle de Gérard Savoisien, mise en scène d’Arnaud Denis, toujours à l’affiche à Paris, au Théâtre Montparnasse, qui a aussi obtenu le Molière du Meilleur spectacle. Au menu de ce Café Gourmand : - Marjorie Bertin a vu Josep, le premier long métrage d’Aurel, sur «la Retirada» de 1939. Sorti en salles dans toute la France, il fait partie de la sélection officielle du Festival de Cannes 2020. - Elisabeth Lequeret est allée visiter à la Fondation Louis Vuitton à Paris la première rétrospective depuis 14 ans de Cindy Sherman, artiste américaine culte. - Amélie Beaucour s'est rendue au Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, présente la première rétrospective en France d’une couturière hors normes : Gabrielle Chanel (1883-1971). - Alain Pilot nous présente de «Paraldehyde», l’album de This Is Shit, sorti chez Upton Park, en digital,CD et Vinyle chez l’autre distribution / Idol.
Bi urteko lanaren ostean eta Palais Galliera berriztatu ostean, Parisko Moda Museoak ateak zabaldu ditu. Gabrielle Chanel moda diseinatzaileari eskainitako atzera begirakoa aurkeztu du Miren Arzalluz museoko zuzendariak eta guk Ispilu Beltzaren parera gonbidatu dugu. Gainera, egunotan Donostian egiten ari den Crossover telesailen inguruko jaialdiaz hitz egin dugu Patxi Presa Koldo Mitxelenako zuzendariarekin. Eta Ines Garcia Azpiazuk liburu bat eta bi mixtape gomendatu dizkigu astebururako. Jarri kaskoak eta entzun!
The Palais Galliera has reopened in Paris as the city's first permanent fashion museum with a major retrospective on the life and work of Gabrielle "Coco" Chanel. Olivia Salazar-Winspear gives us a preview. We also check out a "hybrid" Paris Fashion Week with fashion journalist Alice Pfeiffer, who chats to Eve Jackson about Dior's physical show and the best of the digital collections.
Welcome back to this week's episode of Paris History Avec a Hemingway. I chat once more with Claudine Hemingway about a Female French Creative from history. Today we learn all about Dalida. I like to compare Dalida to Cher in America.Lolanda “Dalida” Gigliotti was born in Egypt to Italian parents in 1933. The young beauty would be named Miss Egypt in 1954 and a few months after she headed to Paris. Dalida, one of the biggest international stars at a young age, was in awe of Rita Hayworth when she saw her in her iconic role Gilda. With the help of radio host Lucien Morisse her songs began to play on the radio and in a few short years she had her first big hit, Bambino. Before long she was performing on the Olympia stage with Charles Anzavour. Recording songs in French, German, Italian, Spanish she would tour the world for decades. The major star of the stage, known for her amazing outfits was barely known in the United States, turning down major contracts. Her tragic love life on the other hand left her broken and depressed with one partner after another killing themselves. Sadly her own life would end in her Montmartre home when she couldn't take it anymore. On May 3, 1987 she would overdose on pills washed down with whisky. Today she is remembered with a bust in the Place Dalida at the base of the winding road in the shadow of Sacre Coeur. Created in 1997 on the ten year anniversary of her death by Alain Aslan, it is customary to give her a little rub for good luck. Aslan also created the life size statue for her grave in the Montmartre cemetery, with a gold sun as a halo behind her, also evoking an Egyptian tomb of a queen. To visit her home, follow the small Rue d'Orchcampt and just as the road bends look up to the white house with its wonderful windows. I first became fascinated by Dalida after seeing an exhibition at the Palais Galliera of her years of costumes. From the young girl and her sweet dresses to the international star in all her glitz and glamour.Support the show (https://www.patreon.com/join/Laviecreative)
We talk about the thoughtful documentary about Martin Margiela and our admiration for his wonderful work. See links below. Reiner Holzemer (director), Martin Margiela: In His Own Words (2019): https://www.imdb.com/title/tt11284244/ and https://www.martinmargielafilm.co.uk/ Margiela, the Hermès Years, Momu, Antwerp (31 March 2017 – 27 August 2017): https://www.momu.be/en/exhibitions/new-entry-2 MARGIELA / GALLIERA, 1989-2009, Palais Galliera (3 March – 15 July 2018): http://www.palaisgalliera.paris.fr/en/exhibitions/margiela/galliera-1989-2009
We discuss our favourite designers, wondering what criteria we should use to decide on our favourite designers ... See links below. Hans Holbein, Christina of Denmark, Duchess of Milan (National Gallery, London, 1538): https://www.nationalgallery.org.uk/paintings/hans-holbein-the-younger-christina-of-denmark-duchess-of-milan Witt Library: https://courtauld.ac.uk/study/resources/image-libraries/witt-library Headdress Frames, Museum of London: https://collections.museumoflondon.org.uk/online/search/#!/results?terms=headdress%20frame Joanna Freedman, A study of female dress worn in England, c.1525-1545: with specific reference to the Lisle Letters, Courtauld Institute of Art Dissertation (1991): https://tinyurl.com/qmk68ft Simone Rocha: https://simonerocha.com/ Rebecca Arnold, ‘Vionnet and Classicism’, in Vionnet, Judith Clark Costume (15 March – 16 April 2001): https://judithclarkcostume.com/wp-content/uploads/Judith-Clark-16pp-Vionnet.pdf Elsa Schiaparelli: https://www.schiaparelli.com/en/21-place-vendome/the-life-of-elsa/ Pierre Balmain, My Years and Seasons (Cassell 1964): https://books.google.co.uk/books/about/My_Years_and_Seasons.html?id=Hv7bAAAAMAAJ Louiseboulanger, Evening dress, Metropolitan Museum of Art (1928): https://www.metmuseum.org/art/collection/search/83209 Rebecca Arnold, 30-Second Fashion (Ivy Press 2016): https://www.quartoknows.com/books/9781782406679/30-Second-Fashion.html Jeanne Lanvin: https://www.lanvin.com/fi/maison/jeanne-lanvin/ Jeanne Lanvin, Palais Galliera, Paris (8 March - 23 August 2015): http://www.palaisgalliera.paris.fr/en/exhibitions/jeanne-lanvin ‘Indiscrétions : le New Look 49’, Pierre Balmain, Jacques Fath and Maggy Rouff (1949): https://www.ina.fr/video/AFE85002936/indiscretions-le-new-look-49-video.html Dans l’atelier de Sonia Rykiel, Archive INA (1969): https://www.youtube.com/watch?v=Hnbc3z40ZsU ‘Helmut Lang: The Searching Stays with You', 032c (19 December 2013): https://032c.com/helmut-lang-the-searching-stay-with-you 'Romeo Gigli on Photographic Collaborations', AnOther (31 July 2012): https://www.anothermag.com/art-photography/2094/romeo-gigli-on-photographic-collaborations Maison Margiela, Fall 2012 Couture: https://www.vogue.com/fashion-shows/fall-2012-couture/maison-martin-margiela Jean-Paul Gaultier: https://www.jeanpaulgaultier.com/fr-fr/le-createur/ Katharine Hamnett: https://katharinehamnett.com/ Dries van Noten: https://www.driesvannoten.com/
durée : 01:11:38 - La Grande table d'été - par : Maylis Besserie - Sur les courbes sinueuses des dos, se lisent les rapports du corps au vêtement, et de l'évolution du caché/montré dans la mode qui habille ou dévêt cette surface inaccessible. La bouche, elle, goûte et imagine des saveurs encore inédites, celles d'un inventeur culinaire, le chef Alexandre Gauthier. - invités : Alexandre Gauthier, Bouchra Jarrar, Alexandre Samson - Alexandre Gauthier : Chef cuisinier Bouchra Jarrar : Directrice artistique, créatrice de mode et photographe Alexandre Samson : Historien de la mode, conservateur au département création contemporaine du Palais Galliera - réalisé par : Alexandra Longuet
This week Miren Arzalluz, Director of the Palais Galliera in Paris, joins us to discuss the "master of us all," Cristóbal Balenciaga. Learn more about your ad-choices at https://news.iheart.com/podcast-advertisers
Rébecca Leger works with the costume and textile collection at Palais Galliera, a famous and historic fashion museum in Paris. She considers herself a custodian of the collection, offering beauty and knowledge to the public through the museum’s exhibitions, while taking care of the fragile and historic garments. Rébecca works to display the pieces in line with the curator’s narrative and also interpreting the unique spirit of each designer and the history of the garment. Rébecca has a background in theatre and costume. She entered into the world of vintage fashion under the mentorship of the late Mary Vaudoyer, a private collector and pioneering writer/researcher on couture and vintage clothing. Rebecca worked with Mary to create her seminal book, “Le Livre de la Haute Couture” (The Book of Haute Couture).
Annie Cohen-Solal, professeur des Universités à l'université de Caen, auteur de Azzedine Alaïa au XXIe siècle (éditions BAI, 2011), revient sur la carrière d'un grand couturier auquel le musée Galliera consacre une exposition jusqu'au 26 janvier 2014. Exploration de l'oeuvre d'un "passeur" dont la création est marquée par l'interdisciplinarité, le croisement des cultures et la liberté : Azzedine Alaïa travaille hors des institutions et des rituels, il ne défile pas pendant les fashion weeks... Secret, silencieux, mystérieux, Azzedine Alaïa serait à la mode "ce que Patrick Modiano est à la littérature". Un de ces rares créateurs de mode dont on peut dire qu'il laissera "une oeuvre" (dixit Olivier Saillard, directeur du Palais Galliera).
Annie Cohen-Solal, professeur des Universités à l'université de Caen, auteur de Azzedine Alaïa au XXIe siècle (éditions BAI, 2011), revient sur la carrière d'un grand couturier auquel le musée Galliera consacre une exposition jusqu'au 26 janvier 2014. Exploration de l'oeuvre d'un "passeur" dont la création est marquée par l'interdisciplinarité, le croisement des cultures et la liberté : Azzedine Alaïa travaille hors des institutions et des rituels, il ne défile pas pendant les fashion weeks... Secret, silencieux, mystérieux, Azzedine Alaïa serait à la mode "ce que Patrick Modiano est à la littérature". Un de ces rares créateurs de mode dont on peut dire qu'il laissera "une oeuvre" (dixit Olivier Saillard, directeur du Palais Galliera).
Annie Cohen-Solal, professeur des Universités à l'université de Caen, auteur de Azzedine Alaïa au XXIe siècle (éditions BAI, 2011), revient sur la carrière d'un grand couturier auquel le musée Galliera consacre une exposition jusqu'au 26 janvier 2014. Exploration de l'oeuvre d'un "passeur" dont la création est marquée par l'interdisciplinarité, le croisement des cultures et la liberté : Azzedine Alaïa travaille hors des institutions et des rituels, il ne défile pas pendant les fashion weeks... Secret, silencieux, mystérieux, Azzedine Alaïa serait à la mode "ce que Patrick Modiano est à la littérature". Un de ces rares créateurs de mode dont on peut dire qu'il laissera "une oeuvre" (dixit Olivier Saillard, directeur du Palais Galliera).
Maison Margiela's Spring/Summer Paris 2024 Haute Couture collection show delivered a haunting jolt that is hard to forget. Whether you loved the show or hated it, it was a moment. And that moment–which will undoubtedly gown down in fashion history–was also packed with references to the history of fashion itself. Alexandre Samson, Curator of Haute Couture from 1947 to Contemporary Design at the Palais Galliera in Paris joins us to decode the collection.April and Cassidy also address John Galliano's troubled history of anti-semitism and his restitutive work with the Anti-Defamation League who have publicly lauded the designer's "arduous work to change his world view."Maison Margiela Artisanal 2024 collectionGivenchy: The Complete CollectionsWant more Dressed: The History of Fashion? Our website and classesOur InstagramOur bookshelf with over 120 of our favorite fashion history titlesOur Sponsors:* Check out Rosetta Stone and use my code TODAY for a great deal: https://www.rosettastone.com/Support this podcast at — https://redcircle.com/dressed-the-history-of-fashion/exclusive-contentAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Because one episode could not contain all of our Paris adventures! Today we chat about an exhibition on hair and body hair that we saw at the Musée des Arts Décoratifs, three fashion exhibitions at the Palais Galliera, fashion and the French Revolution as seen at the Musée Carnavalet and what the dancers at Paris' famed Crazy Horse did--and didn't--wear on-stage.https://www.palaisgalliera.paris.fr/en/palacehttps://madparis.fr/Des-cheveux-et-des-poils-2304https://www.carnavalet.paris.fr/enSupport this podcast at — https://redcircle.com/dressed-the-history-of-fashion/exclusive-contentAdvertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy