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Plus de 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis, partis pour fuir l'insécurité, mais aussi pour poursuivre le rêve américain. L'aisance économique du pays voisin profite au Mexique grâce aux « remesas », les sommes d'argent envoyées par les Mexicains depuis l'étranger à leur famille. Il s'agit de sommes importantes : plus de 60 milliards de dollars en 2023. Après l'Inde, le Mexique est le second pays au monde à en recevoir autant, plus de 90% provient des États-Unis. Dans l'État du Michoacan, le village de Comachuen s'est développé et continue de le faire en grande partie grâce à cet argent. De notre envoyée spéciale à Comachuen, Les habitants du village de Comachuen ont mis en place un système bien rodé : une pratique annuelle de migration légale, grâce à un permis agricole nommé H2. 300 000 Mexicains en profitent chaque année en partant travailler dans les champs aux États-Unis pendant une saison. « Normalement, ici à Comachuen, il y a très peu d'emploi. Il n'y a pas de travail. La seule source de revenu que nous avons actuellement est là-bas [aux États-Unis] », explique Porfirio Reyes, qui coordonne les migrations agricoles dans le village.Comme lui, depuis 25 ans, plus de 300 hommes partent chaque saison dans une ferme de l'État de New York. Il s'agit d'une migration tout à fait légale, avec un visa d'employé, un travail intense de 5 à 9 mois payé 17 dollars de l'heure. « Il y a de plus en plus de gens. Chaque mois et chaque année, ils sont plus nombreux », témoigne Porfirio Reyes.« Moi, je voulais voir ma famille aller de l'avant, mais je ne savais pas comment faire. Donc, j'ai décidé d'aller de l'autre côté [de la frontière] pour leur offrir une vie meilleure, raconte celui qui coordonne les migrations agricoles dans le village. Et je crois que chaque jeune homme qui fait le choix d'aller là-bas y va avec cette intention : d'aider sa famille, ses enfants, ses parents. »« On migre par nécessité, pas pour le plaisir »La migration à Comachuen a commencé dans les années 1990. Dans les rues, Roberto Gonzalez montre les réalisations financées avec les dollars américains. Le village espère bientôt ouvrir une école. « Ils soutiennent une communauté de plus de 10 000 habitants, se réjouit-il. Les preuves de leur investissement se ressentent partout dans les maisons, l'éducation, dans la santé. »Roberto Gonzalez a fait son doctorat sur ces travailleurs. Il est lui-même parti une fois. « Cela ne signifie pas pour autant que c'est simple. Eux payent le prix et ont des séquelles, regrette-t-il. À chaque saison, ils poussent et se forcent. Donc, les travailleurs qui font ça depuis 10 ans ont des douleurs et des maladies… Mais ils ont des besoins, alors ils continuent de migrer. Comme le disent eux-mêmes : on migre par nécessité, pas pour le plaisir. »Sur le pas de son petit commerce, José Gonzales présente l'accomplissement de son travail. Il est parti pour la première fois en 2010. « Ce n'était pas comme ça au début, se rappelle-t-il. On a commencé par mettre un revêtement au sol. On y va petit à petit, ça s'améliore. J'ai envie de faire ici une mini-épicerie, pour ça, il faudrait que j'aille aux États-Unis encore une saison ou deux. »Sa fille Leydi qui l'aide en boutique s'apprête à devenir professeure, elle se réjouit de finir ses études. Fier de sa fille, José Gonzales a aussi deux fils et rêve « qu'ils deviennent quelqu'un. »À écouter dans GéopolitiqueMexique, un État nord-américain ?
Plus de 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis, partis pour fuir l'insécurité, mais aussi pour poursuivre le rêve américain. L'aisance économique du pays voisin profite au Mexique grâce aux « remesas », les sommes d'argent envoyées par les Mexicains depuis l'étranger à leur famille. Il s'agit de sommes importantes : plus de 60 milliards de dollars en 2023. Après l'Inde, le Mexique est le second pays au monde à en recevoir autant, plus de 90% provient des États-Unis. Dans l'État du Michoacan, le village de Comachuen s'est développé et continue de le faire en grande partie grâce à cet argent. De notre envoyée spéciale à Comachuen, Les habitants du village de Comachuen ont mis en place un système bien rodé : une pratique annuelle de migration légale, grâce à un permis agricole nommé H2. 300 000 Mexicains en profitent chaque année en partant travailler dans les champs aux États-Unis pendant une saison. « Normalement, ici à Comachuen, il y a très peu d'emploi. Il n'y a pas de travail. La seule source de revenu que nous avons actuellement est là-bas [aux États-Unis] », explique Porfirio Reyes, qui coordonne les migrations agricoles dans le village.Comme lui, depuis 25 ans, plus de 300 hommes partent chaque saison dans une ferme de l'État de New York. Il s'agit d'une migration tout à fait légale, avec un visa d'employé, un travail intense de 5 à 9 mois payé 17 dollars de l'heure. « Il y a de plus en plus de gens. Chaque mois et chaque année, ils sont plus nombreux », témoigne Porfirio Reyes.« Moi, je voulais voir ma famille aller de l'avant, mais je ne savais pas comment faire. Donc, j'ai décidé d'aller de l'autre côté [de la frontière] pour leur offrir une vie meilleure, raconte celui qui coordonne les migrations agricoles dans le village. Et je crois que chaque jeune homme qui fait le choix d'aller là-bas y va avec cette intention : d'aider sa famille, ses enfants, ses parents. »« On migre par nécessité, pas pour le plaisir »La migration à Comachuen a commencé dans les années 1990. Dans les rues, Roberto Gonzalez montre les réalisations financées avec les dollars américains. Le village espère bientôt ouvrir une école. « Ils soutiennent une communauté de plus de 10 000 habitants, se réjouit-il. Les preuves de leur investissement se ressentent partout dans les maisons, l'éducation, dans la santé. »Roberto Gonzalez a fait son doctorat sur ces travailleurs. Il est lui-même parti une fois. « Cela ne signifie pas pour autant que c'est simple. Eux payent le prix et ont des séquelles, regrette-t-il. À chaque saison, ils poussent et se forcent. Donc, les travailleurs qui font ça depuis 10 ans ont des douleurs et des maladies… Mais ils ont des besoins, alors ils continuent de migrer. Comme le disent eux-mêmes : on migre par nécessité, pas pour le plaisir. »Sur le pas de son petit commerce, José Gonzales présente l'accomplissement de son travail. Il est parti pour la première fois en 2010. « Ce n'était pas comme ça au début, se rappelle-t-il. On a commencé par mettre un revêtement au sol. On y va petit à petit, ça s'améliore. J'ai envie de faire ici une mini-épicerie, pour ça, il faudrait que j'aille aux États-Unis encore une saison ou deux. »Sa fille Leydi qui l'aide en boutique s'apprête à devenir professeure, elle se réjouit de finir ses études. Fier de sa fille, José Gonzales a aussi deux fils et rêve « qu'ils deviennent quelqu'un. »À écouter dans GéopolitiqueMexique, un État nord-américain ?
En tur rundt om jorden med blandt andre Driss El Maloumi, Arianna Savall, Keith Jarret, Caroline Shaw, José Gonzales, Sjostakovitj, Mahsa Vadat og Schumann. Svævende og frit. Vært: Minna Grooss. (Sendt første gang 21. april).
José Gonzales is the chef and owner of the restaurant Al Mercat Dota in the mountains of Costa Rica, which is attached to a small ecolodge. It's a big change for Jose. He is one of the most talented chefs in Latin America and spent years cooking in France, but for many years Al Mercat was in San Jose. He is someone that could have very easily focused on 50 Best rankings and media attention, but he has consistently chosen his happiness and making a life for himself that was sustainable. He grew up on farms and he speaks often of Costa Rica being a País Comestible, an edible country, which he grew up living but couldn't really express in San José. He's happier now. You'll hear it in his voice in the interview. You hear his excitement about cooking and living surrounded by nature and picking avocados from a tree.We talk a lot about dysfunction in restaurants.Noma announced it was closing in a couple of years, well sort of. There's still going to be a Noma. And I feel like we already knew all of this but whatever. But anyway, there's all of this talk about how restaurants cannot work, but there is rarely talk about how they can. I think the choices José has made and keeps making is one of those ways. He is figuring out how it can work for him. You're probably not going to get a fruit leather beetle made by a stagier at Al Mercat Dota, but you'll get his heart and soul with whatever you are served.There is always going to be fine dining. I think Noma could even charge double and they would still be full every day. Would that change the restaurant? Maybe instead of the same international foodies that go there every season it would just be those people that go there once in their lifetime. A very special occasion. A front row seat to a Rolling Stones concert would still cost more. Or maybe we just don't need fruit leather beetles? Maybe we just need more José's cooking their hearts out everywhere.
José Gonzales nos cuenta su experiencia de mas de 20 años en la compraventa de autos usados, los riesgos y complicaciones de comprar y vender autos de segunda mano
José Antonio Montenegro con la ayuda de su invitado José Gonzales, Socio Director de GCG Advisors, analiza el objetivo de ir a una mayor integración de las Américas.Para conocer sobre cómo CNN protege la privacidad de su audiencia, visite CNN.com/privacidad
El gigante petrolero Chevron firmó la semana pasada "contratos para la continuación de las operaciones y las actividades de producción" en Venezuela, tras recibir una licencia de Estados Unidos para retomar parcialmente sus actividades en este país bajo embargo, informó el gobierno venezolano. José Gonzales; director de la consultora GCG Advisors, explica por qué “Occidente necesita que Venezuela produzca petróleo nuevamente”. En Venezuela, el régimen de Nicolás Maduro celebra la actualización de la licencia que el gobierno de Estados Unidos otorgó el viernes 1° de noviembre al gigante petrolero Chevron, que podrá retomar parcialmente sus actividades en el país sudamericano. Las actividades de Chevron en Venezuela estaban paralizadas desde 2020 en el marco de un embargo impuesto contra Maduro por Donald Trump. ¿Qué significa esto para Venezuela y su deteriorada industria petrolera? “Por primera vez Venezuela puede volver a producir y exportar crudo a los Estados Unidos vía Chevron, que explota petróleo en la Guajira venezolana desde 1920”, recuerda a RFI José Gonzales el director de la consultora GCG Advisors. “Es el primer paso que abre las puertas para la reconstitución y reconstrucción de la industria petrolera venezolana que llegó a producir 3.300.000 barriles de petróleo al día y hoy produce menos de 700.000, teniendo la capacidad para producir hasta 6 millones de barriles diarios. En el contexto de la crisis energética, son imprescindibles para Occidente” recalca el analista. La falta de petróleo en el mercado internacional es la clave del giro de la política de Estados Unidos. “No hay petróleo convencional en el mundo, y Venezuela tiene las reservas más grandes del mundo. Además, está en Occidente: no hay estrecho de Ormuz, no hay Canal de Suez, no hay oleoductos que pasen por Ucrania, y la infraestructura está hecha. Está muy deteriorada, hay que hacer una inversión de capital importantísima en Venezuela para que el país recupere esos tres millones diarios y llegue a los cinco, seis millones a los que podría llegar, contemplando la capacidad de refinación venezolana que es de calidad mundial”, afirma. “La refinería de El Palito es una de las más grandes del mundo y está funcionando al 15%. Es decir, el bono de que Venezuela retorne a los mercados petroleros es que además puede refinar. Occidente necesita el petróleo venezolano, de ahí que la presión, particularmente de Francia y del presidente Emmanuel Macron, hacia los Estados Unidos, a la que se han sumado Italia y España, porque tanto Total como Eni como Repsol tienen empresas mixtas y producen en Venezuela y han sido bloqueadas por estas sanciones… Occidente necesita que Venezuela produzca petróleo nuevamente y ahí, lo que se ha aplicado con el régimen de Nicolás Maduro, es la ‘real politik' de Henri Kissinger”, enfatiza Gonzales. Cabe recordar que la licencia especifica que la estatal venezolana PDVSA no reciba ingresos directamente por las ventas de la compañía estadounidense.
El gigante petrolero Chevron firmó la semana pasada "contratos para la continuación de las operaciones y las actividades de producción" en Venezuela, tras recibir una licencia de Estados Unidos para retomar parcialmente sus actividades en este país bajo embargo, informó el gobierno venezolano. José Gonzales; director de la consultora GCG Advisors, explica por qué “Occidente necesita que Venezuela produzca petróleo nuevamente”. En Venezuela, el régimen de Nicolás Maduro celebra la actualización de la licencia que el gobierno de Estados Unidos otorgó el viernes 1° de noviembre al gigante petrolero Chevron, que podrá retomar parcialmente sus actividades en el país sudamericano. Las actividades de Chevron en Venezuela estaban paralizadas desde 2020 en el marco de un embargo impuesto contra Maduro por Donald Trump. ¿Qué significa esto para Venezuela y su deteriorada industria petrolera? “Por primera vez Venezuela puede volver a producir y exportar crudo a los Estados Unidos vía Chevron, que explota petróleo en la Guajira venezolana desde 1920”, recuerda a RFI José Gonzales el director de la consultora GCG Advisors. “Es el primer paso que abre las puertas para la reconstitución y reconstrucción de la industria petrolera venezolana que llegó a producir 3.300.000 barriles de petróleo al día y hoy produce menos de 700.000, teniendo la capacidad para producir hasta 6 millones de barriles diarios. En el contexto de la crisis energética, son imprescindibles para Occidente” recalca el analista. La falta de petróleo en el mercado internacional es la clave del giro de la política de Estados Unidos. “No hay petróleo convencional en el mundo, y Venezuela tiene las reservas más grandes del mundo. Además, está en Occidente: no hay estrecho de Ormuz, no hay Canal de Suez, no hay oleoductos que pasen por Ucrania, y la infraestructura está hecha. Está muy deteriorada, hay que hacer una inversión de capital importantísima en Venezuela para que el país recupere esos tres millones diarios y llegue a los cinco, seis millones a los que podría llegar, contemplando la capacidad de refinación venezolana que es de calidad mundial”, afirma. “La refinería de El Palito es una de las más grandes del mundo y está funcionando al 15%. Es decir, el bono de que Venezuela retorne a los mercados petroleros es que además puede refinar. Occidente necesita el petróleo venezolano, de ahí que la presión, particularmente de Francia y del presidente Emmanuel Macron, hacia los Estados Unidos, a la que se han sumado Italia y España, porque tanto Total como Eni como Repsol tienen empresas mixtas y producen en Venezuela y han sido bloqueadas por estas sanciones… Occidente necesita que Venezuela produzca petróleo nuevamente y ahí, lo que se ha aplicado con el régimen de Nicolás Maduro, es la ‘real politik' de Henri Kissinger”, enfatiza Gonzales. Cabe recordar que la licencia especifica que la estatal venezolana PDVSA no reciba ingresos directamente por las ventas de la compañía estadounidense.
José Antonio Montenegro analiza la importancia de contar con clases medias fuertes con José Gonzales, director de GCG Advisors. Gonzales asegura que las clases medias que generaron en varios países de América Latina las reformas económicas en la década de 1990 quieren ahora ampliar su protagonismo. Además, enfatiza la importancia de la estrecha vinculación que existe entre el progreso de las clases medias y las inversiones hechas en educación. Para conocer sobre cómo CNN protege la privacidad de su audiencia, visite CNN.com/privacidad
José Antonio Montenegro conversa con José Gonzales, socio director de GCG Advisors, sobre las posibilidades de lograr un mercado común americano. Ambos analizan si las Américas se están volviendo pragmáticas en economía y si están yendo hacia un proceso similar al de Europa. Gonzales dice que "las asociaciones económicas actuales latinoamericanas tienen que renovarse con una visión contemporánea" para hacerse más efectivas y relevantes. El socio director de GCG Advisors agrega que América Latina debería avanzar hacia un plan como el que en su momento puso en marcha el Mercado Común Europeo, actualmente Unión Europea. Para conocer sobre cómo CNN protege la privacidad de su audiencia, visite CNN.com/privacidad
La empresa Chevron estría negociando con la administración Biden para que ésta levante las sanciones impuestas a Venezuela y autorice licencias para duplicar su producción a 800.000 barriles diarios, según varios medios estadounidenses. Todo esto, con el objetivo de remplazar las importaciones de crudo ruso por el venezolano. El análisis de José Gonzales, director de la consultora GCG Advisors. Chevron, la compañía estadounidense, ha dado mucho de qué hablar últimamente en Venezuela. Sobre todo, desde que recientemente la administración Biden decidió boicotear el petróleo ruso. Recurrir a Chevron es una carta que tiene bajo la manga Washington. La ventaja es que esa compañía petrolera nunca se fue realmente de Venezuela, explica a RFI José Gonzales, director de la consultora GCG Advisors. "Chevron tiene un campamento importante, Petroboscan, un mega-campamento que producía mucho petróleo. Ellos dejaron de producir a raíz de las sanciones de 2017 y las restricciones a la comercialización del petróleo venezolano, Chevron se dedicó básicamente a mantener lo que tenía sin invertir para incrementar esa producción. Si se modifican ciertas licencias, y se hiciera una inversión relativamente razonable, Venezuela puede pasar rápidamente de producir esos 600.000 a 700.000 barriles de petróleo a producir, sin ningún problema, en meses, 1,3 e incluso 1,4 millones de barriles diarios. Chevron lo puede hacer porque no se fueron del todo de Venezuela y además conocen el mercado y tienen la capacidad", explica Gonzales. Y es que el petróleo venezolano tiene algo que los demás países no pueden ofrecer: es un crudo pesado, no liviano como el canadiense. "Cuando Estados Unidos bloquea le petróleo ruso, bloquea más o menos 650.000 a 700.000 barriles de petróleo ruso pesado que se refinaba en las refinerías del Golfo. ¿Por qué no se usan esas refinerías para petróleo canadiense? Porque el petróleo canadiense es light, no es pesado. Usted no puede utilizar una refinería que fue diseñada para crudo pesado, para refinar crudo liviano: no se puede. Y no tiene sentido porque hay más crudos pesados en el mundo que livianos", subraya este experto. El problema con el petróleo liviano venezolano en cambio han sido las sanciones aplicadas en 2017. "La administración Trump estaba convencida de que el gobierno Maduro estaba a punto de caer y prohibieron comercializar petróleo con cualquier entidad pública venezolana, ya sea el Estado o PDVSA. Ahora, Chevron tiene una licencia especial que le permite comercializar petróleo venezolano, pero en volúmenes muy limitados porque no pueden invertir ni pueden gastar ni pueden incrementar esos volúmenes de negociación con Venezuela. Ahora, es muy sencillo revertir eso, pues las licencias de las cuales dependen las sanciones las emite el Departamento del Tesoro de Estados Unidos y solo requieren una orden ejecutiva. Solo requiere una orden ejecutiva, ni siquiera del presidente, sino del Secretario del Tesoro".
Se trata del experto en finanzas y banquero José Gonzales, quien aseguró que los buenos gobernantes deben tener sensibilidad en lo social, racionalidad en lo político y pragmatismo en lo económico.
La variante Delta se encuentra en cientos de países, mientras se busca acelerar los proceso de vacunación. En El Gran Musical dialogamos con el Dr. José Gonzáles Zamora, director asociado del Programa de Enfermedades Infecciosas de la Universidad de Miami, sobre el virus, vacunación y prevención.
José Antonio Montenegro, con ayuda de José Gonzales, socio director de GCG Advisors, analiza el planteamiento de la política económica global del gobierno de Joe Biden en Estados Unidos, escenografiado en la reciente cumbre del G7. Para conocer sobre cómo CNN protege la privacidad de su audiencia, visite CNN.com/privacidad
¿Cuáles son las últimas de la economía mundial? Si estornuda Estados Unidos, nos resfriamos todos. De eso y más hablamos con José Gonzales en Cara y Sello.
Hoy en Día a Día, comenzamos conversando con el Dr. Iván González, pediatra especialista en enfermedades infecciosas, sobre la autorización de EE.UU a vacunar niños a partir de los 12 años: “Se ha demostrado que los casos en niños de esas edades han subido, entonces es importante que se les ofrezca la vacuna para que estén protegidos… El proceso será igual que con los adultos: van a seleccionar algunos sitios a los que podrán ir los niños a vacunarse y se dará la misma dosis que se aplicó a los adultos”. El economista José Gonzales conversó con nosotros sobre las consecuencias del ciberataque al oleoducto Colonial: “Son 18 estados por los que pasa el oleoducto, que suple de 2.5 millones de barriles por día al mercado norteamericano… Se espera que no se reponga por completo sino hasta este viernes”, nos informó. Gonzales destacó que “Todo esto ha causado que los precios de la gasolina llegaran a los $3, que es el nivel más alto desde el 2014… La demanda se ha incrementado en 20%, porque la gente tiene temor de quedarse sin gasolina”. Desde Caracas nos atendió el periodista Pedro Pablo Peñaloza, quien nos habló sobre la propuesta de Juan Guaidó a negociar con el Gobierno y su apoyo a levantar las sanciones: “Este llamado incluye a las potencias extranjeras, ya no como mediadores u observadores del proceso, sino como actores”, comento. Peñaloza destacó que “La oposición venezolana debe de alguna manera reinstitucionalizarse, o seguirá habiendo dispersión y enfrentamiento” y puntualizó que “Sentarse a negociar con un régimen como el chavista cuando tú mismo estás dividido y enfrentado, muy difícilmente lograrás obtener algún tipo de resultado”. El periodista especialista en Medio Oriente, Gabriel Ben-Tasgal, abordó con nosotros el tema de la escalada de ataques entre Israel y Hamás: “La aviación de Israel atacó unos 500 objetivos de Hamás dentro de la Franja de Gaza… Más o menos 900 cohetes han sido disparados”, nos informó, y explicó que “Hamás necesita demostrarle a su población que es valiente y que se ha enfrentado a un ejército más poderoso, e Israel necesita demostrar que puede amedrentar a Hamás para que no se anime por un tiempo a volver a disparar como ahora”. El periodista expresó: “Por lo menos en los próximos días, me cuesta creer que esto se calme”. Y para cerrar, la periodista de Infobae y Punto de Corte, Sebastiana Barráez, nos habló sobre los ocho militares venezolanos secuestrados por disidentes de las FARC en Apure: “Las FARC plantea que sean entregados los militares en el marco de una mesa de conversaciones con los voceros de la Fuerza Armada y del gobierno… El problema es que dentro de la Fuerza Armada y del gobierno, las FARC de Gentil Duarte tiene simpatías, pero también las FARC de Santrich y Márquez”, nos explicó. “Tenemos nuestro territorio tomado por fuerzas irregulares sin una Fuerza Armada con la capacidad y voluntad para poder enfrentarlas”, expresó la periodista.
¿Qué lecciones podemos aprender del “New Deal” que acaba de lanzar Joe Biden en los Estados Unidos de Norteamérica? Lo analizamos con José Gonzales, desde Nueva York
En la primera edición del segmento DOSXDOS, José Gonzales desmenuza con Oscar Díaz las debilidades del actual Modelo Económico de cara al próximo quinquenio, en Cara y Sello
El infectólogo del hospital Jackson Memorial, de Estados Unidos, relató a RPP que los efectos secundarios de la vacuna son moderados y de breve duración.
El infectólogo del hospital Jackson Memorial, de Estados Unidos, relató a RPP que los efectos secundarios de la vacuna son moderados y de breve duración.
Hoy en #DiaADia, comenzamos conversando con el economista José Gonzales, quien nos comentó que “Biden intenta que por lo menos el 50% de los productos que se compran, sean hechos en América”, destacando que “Necesita 10 votos de los republicanos en el senado para aprobar esos $1.9 billones” y que “Su plan de rescate y recuperación aspira a generar 18 millones de empleos en 10 años”. Gonzales mencionó que “Biden en menos de una semana de gobierno ha emitido 38 acciones ejecutivas, por lo que está poniendo la acción antes que la palabra”, y que “Hay un incentivo de reforma migratoria para legalizar a los 11 millones de migrante ilegales en los Estados Unidos en los próximos 10 años”. El periodista y director de El Pitazo César Batiz, nos contó que “Nuestro canal de YouTube ha sido suspendido por una semana, debido a la difusión de un contenido falso”, por lo que “Aunque puede ser visto por los usuarios, no podemos cargarle información nueva durante una semana”. Batiz alertó que “Los pronósticos no son favorables, porque 400.000 barriles de petróleo para un país que estuvo produciendo 2.300.000 barriles hasta 2014, es una cantidad ínfima”, destacando que “La producción de 400.000 barriles no es suficiente para el país”, por lo que “Maduro está en una búsqueda desesperada de conseguir inversionistas para el sector petrolero”. Desde Ciudad de México nos atendió la conductora de noticias en W Radio México, Verónica Méndez, quien nos habló acerca de la situación con el Covid-19 en México: “A raíz de los festejos de fin de año, se multiplicaron los casos”, dijo, destacando que tienen “150.273 fallecidos y 1.771.000 casos positivos”, por lo que “Se vive un total desorden en México en cuanto una jornada de vacunación que inició sin vacunas”. Méndez también mencionó que “La noticia de que el presidente López Obrador está contagiado implica mucho, por toda la gente que estuvo con él en estos días y los vuelos en los que viajó”. También nos atendió la editora de política en The Washington Post, Natalie Jennings, quien nos comentó que “A partir del 8 de febrero, el senado se dedicará por completo al tema del impeachment”, destacando que “El presidente Biden debe tomar una serie de medidas urgentes por el tema del Coronavirus, y el impeachment las distraerá”. Jennings también nos explicó que “El ‘filibuster’ es uno de los recursos privativos exclusivos del senado, y consiste en acordar una mayoría menor a la requerida”. El médico internista e infectólogo, Julio Castro, nos explicó que “El Carvativir es un producto químico bastante conocido, al cual se le atribuyen propiedades anti infecciosas y anticancerosas”, sin embargo, “No tiene ninguna fase de investigación en ninguna parte del mundo”, por lo que “No es un medicamento estándar que haya sido aprobado”. Castro también alertó que “Cada vez llegan a las emergencias pacientes más graves, producto de que dilataron su oportunidad de usar los tratamientos que sí pueden tener algún beneficio, porque están utilizando estos récipes milagrosos”. Y para cerrar, la periodista Idania Chirinos expresó que “Esta es una mañana triste para Colombia y Venezuela, porque hemos perdido a un gran aliado en la lucha por la restauración de la democracia”, refiriéndose al Ministro de Defensa de Colombia, Carlos Holmes, a quien describió como “Un hombre de firmes convicciones democráticas, que siempre entendió que la democracia en Venezuela era la democracia en Colombia, porque ambos destinos estaban unidos”. Chirinos comentó que “Carlos Holmes fue un hombre que defendió esa vuelta a la democracia en todos los foros internacionales posibles” y que “Tenía 69 años, y se contagió de Covid en la costa de Barranquilla”.
Dagens gäst heter Katharina Grubmüller, hon är en låtskrivare, producent och artist som kan höras i egna projektet Valnöt, men hennes musikaliska DNA hittar vi också i musik från bland andra Petra Marklund, i hennes bejublade José Gonzales-remix och i musik av Adrian Modigård. I detta avsnitt pratar vi bland annat om hur akustisk indie och elektroniska remixer kan vara nära besläktade, om produktion på distans i Coronas tidevarv samt hur Katharina strömlinjeformat Logic för sitt workflow.Programledare: Niklas Berglöf och Joakim Jarl See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Los temas tratados en este episodio: - Los ministros del presidente Vizcarra brillan por su ausencia. - Posibles repercusiones del referendo de Chile en latinoamerica y el Perú. - Elecciones USA en cuenta regresiva. Debate a cargo de Oscar Díaz, José Gonzales, analista financiero y Juan Carlos Ruiz, analista político.
Los temas tratados en este episodio: - Nuevas denuncias de soborno contra Vizcarra y el fantasma de la Vacancia Presidencial. -Qué buscan los electores en los candidatos presidenciales del 2021? - Elecciones en Bolivia y EEUU / Vuelve la violencia a Chile. Debate a cargo de Oscar Díaz, José Gonzales, analista financiero y Juan Carlos Ruiz, analista político.
Los temas tratados en este episodio: - ¿La política peruana mejoró o empeoró en la presidencia de Martin Vizcarra? ¿Cuál es su legado? - ¿El Peru necesita una Reactivación Económica o Reconstrucción Nacional? - ¿Hacia dónde camina la economía mundial? ¿Pasaremos de la Economía de Mercado a la Sociedad de Mercado? Debate a cargo de Oscar Díaz, José Gonzales, analista financiero de Wall Street y Juan Carlos Ruiz, analista político.
En el octavo episodio del podcast Oscar Díaz tiene un debate con José Gonzales, analista financiero de Wall Street y Juan Carlos Ruiz, analista político donde se discutieron los siguientes temas: -Radiografía de la primera entrevista al Presidente Vizcarra en 200 días de pandemia. -La lucha anticorrupción se desdibuja con detenciones sin fundamento. -Trump tiene COVID. Su reelección también?
En el séptimo episodio del podcast Oscar Díaz tiene un debate con José Gonzales, analista financiero de Wall Street y Juan Carlos Ruiz, analista político donde se discutieron los siguientes temas: - La Fase 4 y la amenaza del rebrote. - La caída del empleo y las reales posibilidades de su recuperación. - Faltan 35 días para las elecciones USA.
En el sexto episodio del podcast Oscar Díaz tiene un debate con José Gonzales, analista financiero de Wall Street y Juan Carlos Ruiz, analista político donde se discutieron en una edición especial un análisis de los pre candidatos para las próximas elecciones presidenciales del país.
En el quinto episodio del podcast Oscar Díaz tiene un debate con José Gonzales, analista financiero de Wall Street y Juan Carlos Ruiz, analista político donde se discutieron los siguientes temas: - ¿Cómo terminará la guerra entre el parlamento y el ejecutivo? ¿La vacancia expres ya fue? - ¿Cuál es el efecto actual de la crisis política en las inversiones nacionales extranjeras?
En el cuarto episodio del podcast Oscar Díaz tiene una debate con José Gonzales, analista financiero de Wall Street y Juan Carlos Ruiz, analista político donde se discutieron los siguientes temas: -La verdad de las mentiras sobre las vacunas contra el Covid. - ¿Estamos mal por el Covid o por una pésima gestión económica? - ¿La pandemia beneficia o perjudica a China?
En el tercer episodio del podcast, Oscar Díaz tiene un debate con José Gonzales, analista financiero en Wall Street y Juan Carlos Ruiz, vicepresidente ejecutivo de Pacific Latam, donde se discutieron los siguientes temas. -BCR anuncia reducción de tasas de interés. -Pro y Contras de la campaña comunicacional del gobierno. -Trump pelea por su reelección como presidente.
En el segundo episodio del podcast, Oscar Díaz tiene un debate con José Gonzales, analista financiero en Wall Street y Juan Carlos Ruiz, vicepresidente ejecutivo de Pacific Latam, donde se discutieron los siguientes temas. -Los 13 fallecidos en la discoteca ilegal de Los Olivos y la falta de estrategias comunicacionales para enfrentar el COVID 19. -El Presidente de la República, Martín Vizcarra y la petición de bajar las tasas de interés para préstamos a los bancos. -Carrera de reelección de Donald Trump y su candidato “gringo” para presidir el BID.
En el primer episodio del podcast, Oscar Díaz tiene un debate con José Gonzales, analista económico en Wall Street y Juan Carlos Ruiz, vicepresidente ejecutivo de Pacific Latam, donde se discutieron los siguientes temas. -Congreso Express y populista -Minería frente a un congreso antiminero y un ejecutivo débil -¿Es negocio tener un medio de comunicación?
José Gonzales, Nelson Ramirez y Reynaldo Diaz conversan y analizan la situación de los mercados financieros internacionales
José Gonzales @joseg333 , economista internacional desde Nueva York - managing partner de GCG Advisors nos explica el impacto en la economía que ha traído esta enfermedad. Moderadores Reynaldo Díaz y Nelson Ramírez, directores de VBC Internacional. #markethalted #coronavirus #coronavirusmarketpanic
Matthias Oldofredi aka Filous ist mit gerade einmal 22-Jahren einer der erfolgreichsten Electronic Acts aus Österreich. Der Produzent und autodidakte Multiinstrumentalist aus Wien Simmering hat mit 15 Jahren begonnen, Songs auf Soundcloud zu veröffentlichen. Der Durchbruch gelang dann 2015, als er gemeinsam mit James Hersey den Song "How Hard I Try" veröffentlichte. Mittlerweile hat Filous über 700 Millionen Streams auf Spotify, Youtube und Co und hat sich sich mit Remixes für Selena Gomez, José Gonzales und Milky Chance international einen Namen gemacht. In dieser Folge erzählt Filous, wie es auf internationalen Songwritingcamps so zugeht, wie er sich für diesen Song die Stimme der amerikanischen Sängerin und Songwriterin Ashe geholt hat und was die ehemalige ORF Sendung „Wer will mich“ mit dem Song zu tun hat.
Wilder Westen oder Westfalen-Stadion? Staub oder Stollen? Dan Houser oder Gerald Köhler? José Gonzales oder José Mourinho? In unserem letzten Viertelfinale schenken sich die beiden Christians nichts. Bei Anstoss 2 gegen Red Dead Redemption 1 wird gezogen und gezerrt und nicht einmal vor Regeldiskussionen oder dem Einsatz von emotionsgeladener Klimpermusik zurückgeschreckt. Aber auch bei Last Game Standig gilt: Die Wahrheit liegt auf dem Platz, genauer: Im Forum. Geht auf forum.lastgamestanding.de und stimmt ab: welches ist der beste zweite Teil? Anstoss 2 oder Red Dead Redemption?
Nella prima parte della puntata di oggi di Mu siamo accoccolati su un divano ad ascoltare il disco nuovo di Josè Gonzales
Da Leonard Cohen a José Gonzales
The extraordinary ordinary life of José Gonzales inviger Göteborgs filmfestival i helgen. En annorlunda musikdokumentär om en skygg och tillbakadragen musiker. I veckans Kino tar vi oss an genren som porträtterar musikvärldens stjärnor. Regissörerna Mikael Cee Karlsson, Fredrik Egerstrand och filmens huvudperson José Gonzáles berättar om hur de använt övervakningskameror, animationer och en naken man med gristryne för att fånga Gonzales person. Punkdjävlar och Mera brännvin är två av Eddie Meduzas största hits. Nu kommer dokumentären Eleganten från vidderna som försöker återupprätta den kontroversiella och htatade artisten. Och så har vår filmnörd Lars Lönroth grävt fram den gamla rullen Carnegie Hall från 1947 ur arkivet - en film där den klassiska musikvärldens superstjärnor spelar sig själva. . Möt också Sapphire, författaren som skrev boken som ligger till grund för kritikerhyllade Precious. Hör henne berätta om hur filmen lyckas fånga de sista skälvande sekunderna av det gamla Harlem, innan slummen fixades om till trendiga kvarter. Programledare: Roger Wilson