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Ce lundi 5 mai, la provenance de la diminution des prix du baril de pétrole, qui se situe désormais sous la barre symbolique des 60 dollars, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 5 mai, la provenance de la diminution des prix du baril de pétrole, qui se situe désormais sous la barre symbolique des 60 dollars, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
À première vue, il pourrait sembler plus logique de stocker le carburant d'un avion dans le fuselage, près des moteurs ou de la soute. Pourtant, dans la majorité des avions modernes, le carburant est principalement stocké dans les ailes. Ce choix d'ingénierie n'a rien d'un hasard : il repose sur des raisons techniques, aérodynamiques et sécuritaires.1. Une meilleure répartition du poidsL'aile d'un avion n'est pas seulement une surface portante : c'est aussi une structure capable de supporter des charges importantes. En plaçant le carburant dans les ailes, les ingénieurs répartissent mieux le poids total de l'avion, ce qui permet de réduire les contraintes structurelles. Plus précisément, cela limite la flexion de l'aile en vol.Imagine une aile sans carburant : elle supporterait son propre poids, celui du revêtement et surtout la portance exercée par l'air sous l'aile. Cela pourrait la faire fléchir vers le haut de manière excessive. En remplissant l'aile de carburant, on ajoute du poids vers le bas, ce qui équilibre les forces et rend la structure plus stable et plus durable.2. Un gain d'espace et d'efficacitéLes ailes offrent un espace creux naturel très pratique pour stocker du carburant sans empiéter sur la cabine passagers ou la soute à bagages. Cela permet de maximiser la capacité utile de l'avion. En d'autres termes : plus de carburant sans sacrifier d'espace pour les passagers ou le fret.De plus, comme les ailes sont proches des moteurs, cela réduit la longueur des tuyauteries nécessaires pour alimenter ceux-ci. Moins de tuyaux, c'est moins de poids, moins de risques de fuites, et une maintenance simplifiée.3. Une meilleure sécurité en volLe fait de répartir le carburant dans plusieurs réservoirs situés dans les ailes permet aussi d'équilibrer l'avion en vol. Lorsque le carburant est consommé, le système peut réguler les quantités dans chaque aile pour éviter un déséquilibre latéral, ce qui est crucial pour la stabilité.Enfin, en cas d'incident grave (comme un feu moteur), il est plus sûr d'avoir le carburant éloigné du fuselage, où se trouvent les passagers et les systèmes vitaux. Les ailes sont conçues pour isoler les réservoirs et limiter les risques de propagation en cas de choc.ConclusionLe stockage du carburant dans les ailes est un choix ingénieux, fruit de décennies d'optimisation aéronautique. Il combine performance, sécurité et logique structurelle, tout en contribuant à faire voler des machines aussi imposantes que légères. Comme quoi, dans l'aviation, chaque goutte est à sa place. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans Le cas Trump (Écosociété), Alain Roy dresse un portrait stupéfiant du personnage : menteur compulsif, héritier dégénéré, populiste enragé. Trois pôles structurent sa lecture – le mensonge, le narcissisme, la destructivité – et éclairent le vide sidéral d'un homme tout entier tourné vers lui-même.
Ce matin, Romano décide de faire des économies de carburant en allant siphonner, avec leur autorisation, le réservoir des Français ! Les conseils pas chers sur Skyrock !
Un point complet sur l'actualité à 6h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le concept car révolutionnaire de Renault, Bernard Arnault patron jusqu'à 85 ans ? Rattrapez l'actualité économique du jour avec notre podcast 120 secondes. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C'est aujourd'hui l'un des grands paris de l'industrie aéronautique pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 : le SAF, pour Sustainable Aviation Fuel, ou carburant d'aviation durable. Une alternative plus verte au kérosène classique, capable de réduire les émissions de CO₂ jusqu'à 80 %. Mais cette solution miracle a un prix… et il est salé.Produits à base de biomasse – comme l'huile de friture usagée – les SAF fonctionnent sur un principe circulaire : la plante absorbe du CO₂ pendant sa croissance, et le relâche lors de la combustion. Résultat : un bilan carbone bien plus léger. Surtout, ces carburants sont déjà compatibles avec les infrastructures et les avions existants. « Il n'y a rien à modifier, ni sur les avions, ni sur les aéroports », assure Julien Manhes, expert SAF chez Airbus. Problème : le coût. Une tonne de SAF atteint en moyenne 2 500 euros, contre 1 000 euros pour le kérosène traditionnel. Une facture deux à cinq fois plus élevée, selon les estimations, que les compagnies aériennes ont du mal à absorber… sans faire grimper le prix des billets.Pour faciliter l'adoption du SAF, deux initiatives viennent d'être lancées. D'abord, Airbus a présenté son programme Book and Claim, un système de certificats environnementaux. Concrètement, une compagnie peut acheter les bénéfices écologiques du SAF sans en consommer physiquement : un moyen de contourner les contraintes logistiques. Autre avancée : l'IATA, l'Association internationale du transport aérien, a dévoilé le SAF Registry, un registre mondial géré par la Civil Aviation Decarbonization Organization. Objectif : garantir la transparence des transactions, éviter le double comptage des réductions d'émissions, et démocratiser l'accès au SAF, y compris pour les petites compagnies. Mais malgré ces progrès, les tensions persistent. L'IATA pointe du doigt les compagnies pétrolières, accusées de ne pas tenir leurs promesses d'approvisionnement. Et une question demeure : qui doit réellement supporter le coût de cette transition écologique ? Car ni les avionneurs, ni les compagnies aériennes ne pourront tout financer seuls. Le carburant durable est prêt, mais sa démocratisation est encore loin d'avoir décollé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On poursuit notre découverte des métiers du groupe aéronaval qui est actuellement déployé pour le compte de la Mission Clémenceau, et on retrouve aujourd'hui le maître Steeve qui exerce son métier dans la section carburéacteur à bord du porte-avions Charles de Gaulle.
Les prix des carburants à la pompe sont en baisse depuis plusieurs semaines. Mais elle est devenue significative au moment où nous parlons! 1,63 pour le gazole, 1,68 pour l'essence. La baisse est continue depuis trois mois. Olivier Gantois, président d'UFIP Energies et Mobilités, est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 19 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les prix des carburants à la pompe sont en baisse depuis plusieurs semaines. Mais elle est devenue significative au moment où nous parlons! 1,63 pour le gazole, 1,68 pour l'essence. La baisse est continue depuis trois mois. Olivier Gantois, président d'UFIP Energies et Mobilités, est l'invité de RTL Soir. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 19 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Ricoul souligne l'importance de s'informer malgré la surcharge d'actualités et les fausses nouvelles amplifiées par l'IA. Il insiste sur l'esprit critique, le choix de sources fiables et la confrontation des idées pour préserver la qualité du débat démocratique.
Selon l'OMS, "le stress est un état d'inquiétude ou de tension mentale causé par une situation difficile". Mais les mêmes facteurs peuvent être vécus par les individus de manière variable : Mélanie Freymond est journaliste et animatrice. Carburant à l'adrénaline, elle ne souhaiterait pour rien au monde troquer sa vie d'indépendante à 100 à l'heure pour une vie bien rangée. De son côté, Sabine est vite submergée par le stress. Elle met en place différentes méthodes comme les bains en eaux froides ou la cohérence cardiaque pour relâcher la pression. Reportages : Karin Jorio Réalisation : Rodolphe Bauchau Production : Laurence Difélix
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le hausse surprise du prix du carburant, les droits de douane des vins et spiritueux et la fusée Louis Bielle-Biarrey.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le hausse surprise du prix du carburant, les droits de douane des vins et spiritueux et la fusée Louis Bielle-Biarrey.
durée : 00:58:05 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les déclarations répétées de Donald Trump sur sa volonté de faire main basse sur le Groenland s'expliquent en partie par la richesse des sous-sols du territoire. Cela révèle les liens étroits entre les aspirations indépendantistes de l'île, propriété du Danemark, et sa souveraineté minière. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Pia Bailleul Chercheuse postdoctorale au CERI et chargée de recherche au fonds Latour; Marine Duc Enseignante chercheuse en géographie sociale et politique à l'université de Reims, membre du laboratoire d'analyse comparée des pouvoirs; Marie-Noëlle Rimaud Enseignante-chercheuse à Excelia et membre du CFR-AAN (Centre Français pour la Recherche en Arctique et Antarctique)
Ce vendredi 3 mars, la baisse du prix du carburant attribuable au recul du prix du baril du pétrole et les effets positifs sur le pouvoir d'achat ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce vendredi 3 mars, la baisse du prix du carburant, attribuable au recul du prix du baril du pétrole, et les effets positifs sur le pouvoir d'achat ont été abordés par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Choisir une berline qui allie confort, design et économie de carburant n'est pas toujours simple. Avec des réglementations environnementales de plus en plus strictes, les constructeurs redoublent d'ingéniosité pour proposer des modèles toujours plus sobres et efficients. Et aujourd'hui, les berlines reviennent sur le devant de la scène, offrant une alternative intéressante aux SUV avec une meilleure efficience énergétique et une expérience de conduite plus engageante.Dans cet épisode, nous vous dévoilons notre top 5 des berlines qui consomment le moins. Que vous recherchiez une voiture pour réduire vos coûts de carburant ou que vous soyez curieux des technologies les plus performantes du moment, nous avons sélectionné les modèles qui combinent parfaitement performance et sobriété.Installez-vous, c'est parti pour un nouvel épisode avec Caroom !⏰ Sommaire de l'épisode :00:00 Introduction01:55 BMW Série 3 320d : consommation mixte de 4,8 l/100 km03:55 Ford Focus 1.0 Ecoboost 155 MHEV : consommation mixte de 5,2 l/100 km06:09 Mercedes-Benz Classe C 300 de : consommation mixte : 0,4 l/100 km08:45 Audi A6 40 TDI S-Tronic : consommation mixte de 5,3 l/100 km10:50 Toyota Prius PHEV : consommation mixte de 0,5 l/100 km12:45 : L'essentiel à retenir
Dans un podcast inédit, Stanislas Vignon, rédacteur en chef de "Ça peut vous arriver", vous dévoile chaque jour certains des cas qui seront abordés par son équipe à l'antenne dans l'émission le lendemain. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Ce matin Romano essaie d'escroquer les français avec son arnaque au chèques carburant ! Les conseils pas chers sur Skyrock !
Ce mardi 11 février, le référendum basé sur le modèle social français, la hausse de la taxe Chirac, l'appel au patriotisme économique d'Emmanuel Macron, et le nouveau geste attendu de la BCE, ont été abordés par Frédéric Farah, économiste, enseignant à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Alexandra Roulet, professeure à l'INSEAD, et Emmanuel Combe, professeur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business Schoo, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Effets du jeûne sur les mitochondries , le rôle des cétones sur notre métabolisme et le cerveau
Effets du jeûne sur les mitochondries , le rôle des cétones sur notre métabolisme et le cerveau
Le bioéthanol E85 est le carburant le moins cher à la pompe : 78 centimes, quasi 1 euro de moins que le sans plomb. Mais comment convertir sa voiture essence pour accepter ce carburant ? Conseils de notre spécialiste auto Christophe Bourroux Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 29 janvier 2025.
Le bioéthanol E85 est le carburant le moins cher à la pompe : 78 centimes, quasi 1 euro de moins que le sans plomb. Mais comment convertir sa voiture essence pour accepter ce carburant ? Conseils de notre spécialiste auto Christophe Bourroux Ecoutez Le conseil conso avec La rédaction de RTL du 29 janvier 2025.
Chaque matin, l'équipe vous parle du con du jour.
Le sujet :Saviez-vous qu'il existe des moyens simples pour économiser des centaines d'euros sur vos vacances, voyages et transports ? Ce serait dommage de passer à côté !L'invité du jour :Marc Mazière est un expert des astuces économiques. Depuis 2015, il aide des milliers de personnes à dépenser moins et à gagner plus d'argent, grâce à son blog Radin Malin.Au micro de Matthieu Stefani, Marc nous partage ses meilleurs plans : Train, bus, avion : les top astucesVoiture : comment économiser sur le carburant ?Logements de vacances : comment alléger la facture ?Payer, retirer et téléphoner à l'étranger : les meilleurs tipsPourquoi s'intéresser au cashback et programmes fidélité ?Avantages :Bonne nouvelle ! Marc nous a partagé son lien de parrainage pour obtenir 10€ en cadeau sur iGraal (site de cashback et codes promos). Rendez-vous juste ici pour en profiter.Ils citent les références suivantes :Le site mes-aides.gouv.frLes comparateurs de transport : Omio et TrainlineLe billet congés annuel SNCFLes services d'indemnisation pour retard d'avion : Air Indemnité, AirHelpLe comparateur de carburants : prix-carburant.gouv.frRéduction sur l'autoroute : autoroute-eco.frLes primes covoiturageHébergement alternatif : TocToc RoomsConciergeries pour locations saisonnières : WeHost, HostnFlyService d'abonnement partagé : GamsgoAinsi que d'anciens épisodes de La Martingale :#133 - Comment faire des économies au quotidien ?#216 - Comment bien choisir, acheter et revendre sa voiture ?Merci à notre partenaire Louve Invest:Louve Invest vous propose jusqu'à 3,5% cashback sur les frais de souscription, sur les SCPI éligibles: jusqu'à 350€ pour 10.000€ investis!Cliquez sur ce lien pour bénéficier des offres avec cashback boosté :)On vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.
Tous les matins juste après le journal de 6h30, un fait divers repéré et raconté par les journalistes du service Police-Justice de RMC.
Au menu du journal des arnaques du jour : - Motos volées : une assurance refuse de rembourser après un vol. Mais aussi, les rebondissements des cas du jour abordés de 10h à 12h : - Erreur de carburant : une station essence a mis du gasoil à la place du sans-plomb. - Fraude à l'assurance : une gérante de galerie propose une fausse déclaration pour éviter de rembourser un vase cassé. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Bien avant de s'installer dans le débat public et dans les discours politiques, le déclassement est un objet sociologique. Autrement dit, on peut l'observer et le mesurer. Dès les années 1960, la sociologie l'étudie, mais l'intérêt est marginal. Les « trente glorieuses » battent leur plein, et la norme est que les enfants acquièrent une meilleure position sociale que leurs parents.La crise qui s'installe dans les années 1990 bouleverse la donne. Et le mot investit le champ politique.D'où vient cette notion, devenue aujourd'hui si présente dans les discours politiques ? Est-ce que le déclassement nourrit particulièrement un vote populiste ? Et sur quelle réalité concrète s'ancre-t-elle ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Marion Dupont, journaliste au service Idées du Monde, nous raconte comment le déclassement et la peur qui l'accompagne se sont peu à peu imposés au cours de l'histoire récente et des évolutions sociales.Un épisode d'Adèle Ponticelli, aidée de Marion Bothorel. Réalisation : Quentin Bresson. Musiques : Amandine Robillard et Epidemic Sound. Rédaction en chef et présentation : Adèle Ponticelli. Extraits d'une interview d'Elisabeth Borne sur France Inter le 23 octobre 2024, de Jacques Chirac invité du journal télévisé de France 2 le 2 mai 1995, d'Alain Madelin sur France 2 le 30 septembre 1996, d'un reportage d'Euronews le 17 septembre 2018.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
L'ÉDITORIAL DU FIGARO - Les consommateurs de drogue, venus de tous les milieux, sont les complices involontaires des mafias qui imposent leurs lois et défient l'État.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, à 6h50, ça nous concerne sur RMC. Amélie Rosique enquête sur des sujets qui vous concernent. Vous êtes consommateur, citoyen, à la tête d'une association, vous pouvez l'alerter en écrivant à l'adresse canousconcerne@rmc.fr.
Des milliards de dollars, des dizaines d'années, 1 français sur 2, une hausse de 10%… Chaque jour, les chiffres inondent l'actualité et on s'y perd parfois. Alors, l'équipe de La Loupe décortique l'un d'eux à la virgule près. Aujourd'hui, Béatrice Mathieu, grand reporter à L'Express, spécialiste Economie, nous explique pourquoi on peut acheter aujourd'hui plus de deux fois plus de carburant qu'il y a 50 ans. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 27 août 2024, Total a annoncé une baisse du prix à la pompe à certains de ses clients. Coup de pouce ou coup de com' ? Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses bons tuyaux éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé !
"Plusieurs débats au coeur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Louis Boyard a trouvé le numéro de Gabriel Attal Nouveau variant Mpox, l'Institut Pasteur prêt à tester et vacciner Le prix du carburant est en baisse
À moins d'une semaine du premier tour des élections législatives, Julien Courbet et son équipe d'experts décryptent les programmes politiques des partis et des candidats, dans une nouvelle formule de l'émission "Ça peut vous arriver". Pour le débat du jour consacré aux transports, le plateau accueille Jean-Philippe Tanguy (Rassemblement National) et Pierre Cazeneuve (Renaissance). Toute la semaine, RTL vous aide à faire votre choix pour les élections législatives ! Pouvoir d'achat, succession, énergie, retraite... Chaque jour, Julien Courbet accueille des candidats pour débattre autour de problématiques tournées vers le porte-monnaie des Français.
À une semaine du premier tour des élections législatives, Julien Courbet et son équipe d'experts décryptent les programmes politiques des partis et des candidats, dans une nouvelle formule de l'émission "Ça peut vous arriver". Pour ce débat consacré à l'énergie, David Cormand, députés européens pour le parti Europe Écologie Les Verts était en plateau avec Alexandre Avril, maire de Salbris (Centre-Val de Loire) et porte-parole du Rassemblement des droites - Les Républicains et Le Rassemblement National. Toute la semaine, RTL vous aide à faire votre choix pour les élections législatives ! Pouvoir d'achat, succession, énergie, retraite... Chaque jour, Julien Courbet accueille des candidats pour débattre autour de problématiques tournées vers le porte-monnaie des Français.
Baisse du prix de l'essence : jusqu'à quand ? Olivier Gantois, patron de l'UFIP Énergies et mobilités, répond aux questions de Jérôme Florin. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin et Marina Giraudeau du 19 juin 2024
Baisse du prix de l'essence : jusqu'à quand ? Olivier Gantois, patron de l'UFIP Énergies et mobilités, répond aux questions de Jérôme Florin. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin et Marina Giraudeau du 19 juin 2024
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Libéraux contre nationalistes, la Pologne est polarisée à la veille des élections européennesAvec les élections européennes du 9 juin 2024, la Pologne aura connu trois scrutins en huit mois. En octobre 2023, le pays a voté pour l'alternance après huit années de pouvoir ultraconservateur du parti Droit et Justice. C'est désormais l'ancien président du Conseil européen Donald Tusk qui occupe le poste de Premier ministre, à la tête d'un gouvernement de coalition centriste. Mais si le PiS n'a pu conserver le pouvoir, il n'en reste pas moins le premier parti du pays. Critiqué pour ses atteintes à l'État de droit, le parti nationaliste et ultraconservateur a laissé un héritage, dont le nouveau pouvoir a du mal à se défaire.Un Grand reportage d'Anastasia Becchio qui s'entretient avec Patrick Adam. La colère rurale, carburant du populisme aux Pays-BasSuite de notre série spéciale « Élections européennes : la montée des nationalismes en question ». Aux Pays-Bas, où l'agriculture intensive est la norme, les lois environnementales déclenchent la colère des agriculteurs. Un nouveau parti populiste, le BBB (Mouvement agriculteur-citoyen) prospère sur cette contestation. Mais cette colère dépasse les seules questions écologiques. Elle se nourrit aussi d'un discours anti-élite qui va peser lors des prochaines européennes.Un Grand reportage de Julien Chavanne qui s'entretient avec Patrick Adam.
Suite de notre série spéciale « Élections européennes : la montée des nationalismes en question ». Aux Pays-Bas, où l'agriculture intensive est la norme, les lois environnementales déclenchent la colère des agriculteurs. Un nouveau parti populiste, le BBB (Mouvement agriculteur-citoyen) prospère sur cette contestation. Mais cette colère dépasse les seules questions écologiques. Elle se nourrit aussi d'un discours anti-élite qui va peser lors des prochaines européennes. De notre envoyé spécial,En 2019, la Cour suprême des Pays-Bas a pris une décision contre les rejets d'azote : trop d'agriculture intensive dans le pays, trop d'engrais, trop de bétails et trop de lisier… Le gouvernement a donc essayé de réduire la facture environnementale issue de l'agriculture. Pour Nanda, productrice de lait à Putten à 11 heures de route d'Amsterdam, cette décision revient à signer l'arrêt de mort de nombreux fermiers : « ils ont voulu se débarrasser des agriculteurs, en tout cas de beaucoup d'entre nous… À cause de la nature, pour faire de la place pour construire des maisons… Et maintenant on a vraiment un problème aux Pays-Bas mais aussi dans l'Union européenne parce que les règles, on n'arrive pas à les suivre… On veut le faire mais c'est impossible ! » Nanda et son mari ont participé aux manifestations organisées ces dernières années. Un parti politique est né pendant cette crise.Le BBB, le mouvement agriculteurs et citoyens. À sa tête, une ancienne journaliste et ex-communicante dans le secteur de la viande : Caroline van der Plas.« Caroline est très active », salue Nanda devant une immense banderole accrochée dans un de ses hangars. « Elle est vraiment connectée à la réalité. Elle vit dans une maison normale comme le reste des Hollandais. Pas dans un grand manoir ou un truc du genre. C'est ça que j'admire profondément chez elle : elle est comme nous. Et même si c'est une personnalité politique, elle est restée normale. J'aime vraiment ça chez elle. »Une ascension surpriseLe BBB est sorti de nulle part, il a raflé la mise lors des élections locales de mars 2023 : un raz-de-marée dans l'intégralité des 12 provinces et au Sénat où le parti de Caroline van der Plas est le premier groupe avec 16 élus sur 75.Une réussite phénoménale qui a pris de court la classe politique et les médias. « Tout le monde a été surpris par leur succès », abonde Frank Hendrikx, journaliste politique, l'une des grandes signatures du Volkskrant, le troisième quotidien du pays, classé à gauche. « Ils ont d'abord réussi à entrer au Parlement avec un siège. Ça nous a étonnés parce que le parti était sous les radars. Mais après bien sûr, on a vu que la cheffe du parti Caroline van der Plas était très compétente, très bonne dans les médias, très appréciée par beaucoup de personnes et par les électeurs. On s'attendait à ce qu'elle ait du succès mais elle a réussi à faire du BBB le plus grand parti des Pays-Bas et ça a surpris tout le monde. »Le succès du BBB répond aussi à un sentiment de déclassement et anti-élites de la population rurale. « Au début, Caroline van der Plas représentait la communauté des agriculteurs. Mais ensuite, elle a eu une audience beaucoup plus large, plus seulement les agriculteurs, et elle a gagné de plus en plus de sympathisants. Et c'était clair que c'était parmi un électorat profondément déçu par le système politique et par le statu quo à la tête du pays. »« Ramener du bon sens » à BruxellesNous rencontrons Caroline van der Plas à la Chambre basse du Parlement à La Haye. La patronne du BBB a un objectif clair aux européennes : « On veut ramener du bon sens dans les règlements et les politiques de l'Union européenne. C'est nécessaire quand vous voyez ce qui a été décidé ces dernières années. Les gens veulent voter autre chose, ils en ont marre de toutes les règles et de tous les plans sur l'environnement et la nature. » Faire plier l'Union européenne, c'est ce que souhaite Wilco Brouwer de Koning. Ce producteur laitier à Heillo, dans le nord-ouest des Pays-Bas, a repris avec son frère la ferme familiale. Il espère que l'irruption du BBB sera « un réveil pour La Haye mais aussi pour toute l'Union européenne. Parce que beaucoup de gens ne sont pas contents des politiciens : trop de blabla et pas assez de vrai travail pour nous aider nous les agriculteurs. Le lien avec les politiciens s'est rompu. » Réveil brutal pour les partis traditionnelsLe réveil a été brutal pour les partis traditionnels de gauche et de droite, mis sur la touche aux dernières élections. Le PVV du leader d'extrême-droite Geert Wilders est sorti grand vainqueur. Mais il doit composer avec d'autres partis pour former un gouvernement. Et les négociations s'éternisent… Le BBB est aujourd'hui un partenaire du PVV ce qui pousse le chercheur Koen Damhuis à classer Caroline van der Plas dans la catégorie populiste : « Le BBB est ouvertement populiste dans ses manières de caractériser le pouvoir politique en place. Les élites qui sont directement opposées à un peuple présupposé », estime ce maître de conférences en Sciences politiques à l'Université d'Utrecht. « Le BBB reste quand même beaucoup moins dur que le PVV ».Dans les locaux du grand quotidien Volkskrant à La Haye, Frank Hendrikx est moins nuancé.« C'est un parti populiste », assène le journaliste. « Leur programme est comme un conte de fées, tout est possible. Par exemple, d'un côté ils vont dire qu'ils veulent moins d'immigration mais quelques pages plus loin, on lit qu'ils veulent plus d'immigration pour aider les agriculteurs ou le secteur agricole… Ils veulent baisser les impôts tout en dépensant plus… Ils promettent tout et son contraire, et c'est un point commun à tous les partis populistes. »La principale intéressée, elle, n'a pas peur de l'étiquette populiste. « Si par populisme, vous voulez dire que vous écoutez les gens en Europe, alors oui nous sommes populistes. Mais quel est le problème d'écouter les gens », s'interroge faussement Caroline van der Plas. « J'aimerais que tous les autres partis fassent de même. Alors le BBB ne serait pas nécessaire. Le problème en Europe et aux Pays-Bas, c'est qu'ils n'écoutent pas les gens et ce dont les gens ont besoin. Nous on a vu leurs besoins, on les a identifiés et on a agi pour y répondre. »Ambitions modestes au Parlement européenEn pleine négociation pour former un cabinet, le BBB comme le PVV ne s'occupe pas encore publiquement des élections européennes. Pas de campagne, pas de meetings, les partis se contentent des émissions politiques à la télévision.Le mouvement de Geert Wilders a pourtant beaucoup à gagner en juin 2024. Il pourrait remporter 6 sièges sur les 14 occupés par les Pays-Bas.Le BBB lui ne peut espérer qu'un seul siège. Mais le parti espère malgré tout peser à Bruxelles et à Strasbourg. « On veut moins de règles pour les entreprises. C'est le principal objectif. On veut que les plans de l'UE soient plus réalistes », nous glisse le députéHenk Vermeer entre deux réunions à la Chambre basse du Parlement. C'est lui qui dirige la campagne européenne du BBB : « Beaucoup de réglementations viennent de l'Europe, donc on doit négocier, on doit avoir de l'influence là où tous les plans sont préparés. »Risque de normalisation ?Désormais bien installée dans le paysage politique néerlandais, Caroline van der Plas est menacée de normalisation. Au risque de perdre son authenticité dans les couloirs du Parlement à La Haye ?« Il faut rester vigilant pour que ces partis continuent à défendre les droits des agriculteurs et ne se perdent pas en chemin. C'est un risque », s'inquiète Jos Ubels, un éleveur de vaches destinées aux boucheries, dans le nord du pays. « J'appelle ça le syndrome de Stockholm. Si vous vivez à La Haye, que votre appartement, vos bureaux sont à côté des autres politiques, que vous leur parlez tous les jours, que vous buvez un café avec eux le matin, vous leur dites « bonjour, bonjour ! »… Vous finissez par bien les connaître, vous vivez avec eux alors que ce sont vos adversaires parce que vous défendez d'autres idées. Mais je pense que tous les agriculteurs doivent se lever pour défendre leurs droits. Et que ce soit la Farmers Defence Force ou d'autres groupes, on doit maintenir les politiques sur la bonne voie. »Jos Ubels est aussi le numéro 2 de la Farmers Defence Force, la force de défense des agriculteurs. Ce collectif a vu le jour en 2019 après l'occupation d'une ferme par des militants écologistes. Pour ce groupe, les agriculteurs doivent se défendre eux-mêmes. Et ils ne veulent faire aucune concession. Ils ont d'ailleurs prévu une grande manifestation à Bruxelles juste avant les élections de juin.Caroline van der Plas ne craint pas de se perdre au contact des politiques et du pouvoir : « Je suis restée moi-même. Et ça rend la vie plus facile de rester qui on est. » Avenir incertainÀ Putten, on retrouve Nanda, à côté de ses vaches qu'elle aime traire à la main, plutôt qu'avec un robot. Sa ferme, ses bêtes, son travail, c'est sa passion. Mais l'avenir l'angoisse. La jeune trentenaire ne sait pas si son fils de 3 ans reprendra, un jour, les rênes de la ferme comme elle et son mari : « Pour être honnête, j'espère que non. Je l'aime et parce que je l'aime, je veux le préserver de tout le bordel en ce moment. J'espère qu'il trouvera une autre passion. Mais oui, bien sûr, on aimerait lui léguer notre ferme, mais c'est si difficile et on a tellement de soucis avec notre ferme, tellement de tristesse… », confie Nanda, les larmes aux yeux. « J'espère qu'il fera quelque chose qui le rendra heureux. Si c'est la ferme, ce sera la ferme mais je ne veux pas qu'il ait autant de problèmes que nous maintenant. »
"Plusieurs débats au coeur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : MeToo, Macron nie avoir défendu Depardieu. Carburant, explosion des prix à la pompe.
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Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Mourad Boudjellal et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A 10h, ce mardi 16 avril 2024, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de : Faut-il plafonner le prix du carburant à 1,50 euro ?
Aujourd'hui, Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Jean-Loup Bonnamy, prof de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.