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durée : 00:03:27 - Géopolitique - Les États-Unis n'ont pas signé la Déclaration du Sommet de Paris sur l'IA, marqué par une sortie du vice-président JD Vance contre la « régulation excessive » de l'UE. Un signe de plus du refus du multilatéralisme par l'administration Trump : les États-Unis croient désormais à la loi du plus fort.
durée : 00:03:27 - Géopolitique - Les États-Unis n'ont pas signé la Déclaration du Sommet de Paris sur l'IA, marqué par une sortie du vice-président JD Vance contre la « régulation excessive » de l'UE. Un signe de plus du refus du multilatéralisme par l'administration Trump : les États-Unis croient désormais à la loi du plus fort.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Pomart et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîte. Marlène Schiappa, ancienne ministre. Et Daniel Riolo, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
En Corée du Sud, les étudiantes de trois des sept universités réservées aux femmes s'opposent au passage de leurs établissement à la mixité, ce qui déclenche une vague de réactions misogynes. En RD Congo, notre Observateur dénonce l'insalubrité du marché Zando de la capitale Kinshasa, où se pressent chaque jour des dizaines de milliers de personnes.
De plus en plus d'enfants japonais refusent d'aller à l'école. Soit parce qu'ils ne s'y sentent pas en sécurité, car ils sont victimes de harcèlement, soit parce qu'ils ne supportent plus, nerveusement, la pression constante qui pèse sur eux, les enjoignant à l'excellence. 300 000 petits Japonais sont en refus de scolarisation. C'est 22 % de plus que l'an dernier. Et, concrètement, cela veut dire que dans chaque classe, il y a un pupitre qui reste vide tout au long de l'année scolaire. De notre correspondant à Tokyo,« T'es moche », « T'es grosse », « Tu pues ! », « Dégage : tu fais honte à notre classe ! », « Tu ne mérites pas de vivre », voilà des exemples des phrases terribles que Yuka, 8 ans, a dû écouter pendant des années. Souffre-douleur de sa classe, elle a vécu un enfer. Un jour, à bout, elle a dit à sa mère, Aiko, qu'elle ne voulait plus aller à l'école. « Je lui ai expliqué que l'instruction étant obligatoire, elle ne pouvait pas sécher les cours. Puis, tous les matins, je l'ai amenée de force à l'école, se rappelle la mère de la petite fille, mais une semaine plus tard, elle m'a dit : "Je n'ai envie que d'une chose : mourir". Ça a été un choc terrible : ce sont les pires mots, je crois, qu'une maman puisse entendre dans la bouche de son enfant. J'ai alors compris combien la situation était gravissime. Et je me suis dit que la seule façon d'éviter la mort de ma fille, c'était que moi-même, je change de vie. Pour être en mesure de lui venir en aide. »Aiko a pris un congé sans solde pour avoir le temps d'écouter sa fille, de consulter des spécialistes, d'essayer de trouver une solution. Avec succès : début septembre, après plus d'un an d'absence, Yuka a repris le chemin de l'école.À lire aussi Au Japon, les jeunes de moins en moins intéressés par la parentalité, les autorités s'inquiètent700 000 élèves japonais sont victimes de harcèlementUn chiffre en hausse constante depuis vingt ans et sous-évalué, selon les associations, beaucoup de victimes endurant leur calvaire en silence par peur de représailles si elles se confiaient. Un autre facteur est souvent invoqué par les écoliers en refus de scolarisation : le reproche qui leur est fait en permanence de ne jamais en faire assez pour exceller. Harcèlement et pression scolaire sont d'ailleurs intimement liés, selon les experts. Les harceleurs s'en prennent à ceux qui incarnent le moins l'excellence — ceux qui ont de mauvaises notes à l'école ou en sport... —, ces enfants les renvoient à leur propre hantise de ne pas être à la hauteur des attentes. Des centres d'enseignement spéciaux existent au Japon pour les enfants qui sont en refus de scolarisation. Kawatai et Rikuto, 19 et 14 ans respectivement, fréquentent une école de ce type : « Ici, le "chacun pour soi" n'est pas permis : l'esprit de compétition, être à tout prix le premier de la classe, donc écraser les autres, et tout cela. La règle, c'est l'entraide, se réjouit Kawatai. Le principe, c'est : aucun élève ne progresse si le groupe dans son ensemble ne progresse pas. Ça change la vie... »Rakuto confirme ce sentiment : « Je me sens en sécurité ici. On fonctionne en petits groupes. Chacun peut progresser à son rythme. Et quand je n'ai pas compris, on ne m'engueule pas : on me félicite de l'avoir dit. Du coup, j'ai repris confiance en moi. On m'a toujours traité de "gosse à problèmes", mais je commence à me dire que, peut-être, je deviendrai un "adulte normal" ».Mais ces écoles alternatives ne sont pas assez nombreuses et il s'agit souvent d'établissements privés, donc assez chers. Dès lors, 38 % des mineurs japonais en refus de scolarisation — soit plus de 100 000 jeunes — ne sont aucunement pris en charge sur le plan éducatif.À lire aussiCorée-Japon : étude, mariage, enfant... Une jeunesse sous pression
De plus en plus d'enfants japonais refusent d'aller à l'école. Soit parce qu'ils ne s'y sentent pas en sécurité, car ils sont victimes de harcèlement, soit parce qu'ils ne supportent plus, nerveusement, la pression constante qui pèse sur eux, les enjoignant à l'excellence. 300 000 petits Japonais sont en refus de scolarisation. C'est 22 % de plus que l'an dernier. Et, concrètement, cela veut dire que dans chaque classe, il y a un pupitre qui reste vide tout au long de l'année scolaire. De notre correspondant à Tokyo,« T'es moche », « T'es grosse », « Tu pues ! », « Dégage : tu fais honte à notre classe ! », « Tu ne mérites pas de vivre », voilà des exemples des phrases terribles que Yuka, 8 ans, a dû écouter pendant des années. Souffre-douleur de sa classe, elle a vécu un enfer. Un jour, à bout, elle a dit à sa mère, Aiko, qu'elle ne voulait plus aller à l'école. « Je lui ai expliqué que l'instruction étant obligatoire, elle ne pouvait pas sécher les cours. Puis, tous les matins, je l'ai amenée de force à l'école, se rappelle la mère de la petite fille, mais une semaine plus tard, elle m'a dit : "Je n'ai envie que d'une chose : mourir". Ça a été un choc terrible : ce sont les pires mots, je crois, qu'une maman puisse entendre dans la bouche de son enfant. J'ai alors compris combien la situation était gravissime. Et je me suis dit que la seule façon d'éviter la mort de ma fille, c'était que moi-même, je change de vie. Pour être en mesure de lui venir en aide. »Aiko a pris un congé sans solde pour avoir le temps d'écouter sa fille, de consulter des spécialistes, d'essayer de trouver une solution. Avec succès : début septembre, après plus d'un an d'absence, Yuka a repris le chemin de l'école.À lire aussi Au Japon, les jeunes de moins en moins intéressés par la parentalité, les autorités s'inquiètent700 000 élèves japonais sont victimes de harcèlementUn chiffre en hausse constante depuis vingt ans et sous-évalué, selon les associations, beaucoup de victimes endurant leur calvaire en silence par peur de représailles si elles se confiaient. Un autre facteur est souvent invoqué par les écoliers en refus de scolarisation : le reproche qui leur est fait en permanence de ne jamais en faire assez pour exceller. Harcèlement et pression scolaire sont d'ailleurs intimement liés, selon les experts. Les harceleurs s'en prennent à ceux qui incarnent le moins l'excellence — ceux qui ont de mauvaises notes à l'école ou en sport... —, ces enfants les renvoient à leur propre hantise de ne pas être à la hauteur des attentes. Des centres d'enseignement spéciaux existent au Japon pour les enfants qui sont en refus de scolarisation. Kawatai et Rikuto, 19 et 14 ans respectivement, fréquentent une école de ce type : « Ici, le "chacun pour soi" n'est pas permis : l'esprit de compétition, être à tout prix le premier de la classe, donc écraser les autres, et tout cela. La règle, c'est l'entraide, se réjouit Kawatai. Le principe, c'est : aucun élève ne progresse si le groupe dans son ensemble ne progresse pas. Ça change la vie... »Rakuto confirme ce sentiment : « Je me sens en sécurité ici. On fonctionne en petits groupes. Chacun peut progresser à son rythme. Et quand je n'ai pas compris, on ne m'engueule pas : on me félicite de l'avoir dit. Du coup, j'ai repris confiance en moi. On m'a toujours traité de "gosse à problèmes", mais je commence à me dire que, peut-être, je deviendrai un "adulte normal" ».Mais ces écoles alternatives ne sont pas assez nombreuses et il s'agit souvent d'établissements privés, donc assez chers. Dès lors, 38 % des mineurs japonais en refus de scolarisation — soit plus de 100 000 jeunes — ne sont aucunement pris en charge sur le plan éducatif.À lire aussiCorée-Japon : étude, mariage, enfant... Une jeunesse sous pression
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, "Cat's Eyes" est la série la plus chère jamais produite par TF1, le retour du jeu "Une famille en or", les communes de Dax et de Mont-de-Marsan ne participeront pas au retour du jeu culte "Intervilles" et le projet d'un feuilleton quotidien sur W9 semble avoir été abandonné.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, "Cat's Eyes" est la série la plus chère jamais produite par TF1, le retour du jeu "Une famille en or", les communes de Dax et de Mont-de-Marsan ne participeront pas au retour du jeu culte "Intervilles" et le projet d'un feuilleton quotidien sur W9 semble avoir été abandonné.
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, "Cat's Eyes" est la série la plus chère jamais produite par TF1, le retour du jeu "Une famille en or", les communes de Dax et de Mont-de-Marsan ne participeront pas au retour du jeu culte "Intervilles" et le projet d'un feuilleton quotidien sur W9 semble avoir été abandonné.
Au sommaire de cette émission : après la victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine, certain·es s'inquiètent de ce que son programme pourrait représenter comme menace pour les droits des femmes. En Iran, Ahoo Daryaei est devenue une icône de la lutte contre la musellement des femmes. Les images de sa déambulation en sous-vêtements dans Téhéran ont fait le tour du monde. Enfin, des femmes ont pris la parole en prenant la plume sous un nom d'homme... Nombreuses sont les écrivaines qui, contraintes par l'époque ou les convenances, n'ont pas pu signer leurs œuvres littéraires de leur nom. Aujourd'hui, dans "Ils sont elles", Catherine Sauvat les réhabilite.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la demande des syndicats à la SNCF de refuser la campagne publicitaire du livre de Jordan Bardella.
durée : 00:15:34 - Journal de 8 h - La journée de mercredi a encore été marquée par des combats entre l'armée israélienne et le Hezbollah libanais. Reportage à Tyr, au Liban, où quelques centaines d'habitants refusent d'abandonner leur ville.
durée : 00:15:34 - Journal de 8 h - La journée de mercredi a encore été marquée par des combats entre l'armée israélienne et le Hezbollah libanais. Reportage à Tyr, au Liban, où quelques centaines d'habitants refusent d'abandonner leur ville.
durée : 00:15:34 - Journal de 8 h - La journée de mercredi a encore été marquée par des combats entre l'armée israélienne et le Hezbollah libanais. Reportage à Tyr, au Liban, où quelques centaines d'habitants refusent d'abandonner leur ville.
Tous les soirs, le correspondant de BFM aux Etats-Unis, Benoit Ballet est en direct dans BFM Radio Soir, pour nous faire vivre la campagne électorale pour la présidentielle du 5 novembre 2024.
durée : 00:22:00 - L'invité de 8h20 - Deux ans après le début du mouvement "Femme, vie, liberté", l'athlète Marjan Jangjoo, grimpeuse iranienne arrivée en février 2023 en France, la journaliste Mariam Pirzadeh, ancienne correspondante en Iran et l'avocate Chirinne Ardakani, évoquent la situation des femmes en Iran.
Tous les matins, à 6h50, un récit d'actualité, contextualisé et raconté avec toute l'expérience journalistique d'Amélie Rosique.
Avec : Pierre Rondeau, expert en économie du sport. Élise Goldfarb, entrepreneure et militante féministe. Et Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîte en Dordogne. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l'émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l'écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpere, autrice et militante associative. En simultané sur RMC Story.
Nos juges sont-ils neutres? Le ministre de la Défense, un possible favoritisme ? La rencontre Santarossa-Moranville avec David Santarossa.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Avec : Périco Légasse, journaliste à Marianne. Thierry Moreau, journaliste médias. Et Yael Mellul, ancienne avocate et présidente de l'association "Femme et libre". - Après le succès d'audience rencontré cette année, Rémy Barret repart pour une nouvelle saison. Accompagné d'Alfred Aurenche et sa bande, Rémy Barret s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… Cette saison, une nouvelle chronique axée sur la vie conso & quotidienne, vient rythmer l'émission. Coté casting : Stéphane Pedrazzi, Jérôme Lavrilleux, Fred Hermel seront entourés de l'écologiste Mathilde Imer, la journaliste Rachel Binhas et Anne-Sophie Simpere, autrice et militante associative. En simultané sur RMC Story.
Au programme : Le retour de François Hollande est un atout ou handicap pour le NFP et en cas de victoire du RN, accepteriez-vous que certains hauts fonctionnaires refusent d'appliquer les lois?
Un nouvel épisode du Pharmascope est maintenant disponible! Dans de ce 138ème épisode, Nicolas, Isabelle et Olivier discutent d'un problème pas reposant : le syndrome des jambes sans repos. Les objectifs pour cet épisode sont les suivants: Expliquer la présentation clinique, les critères diagnostics et les facteurs de risque du syndrome des jambes sans repos. Conseiller des mesures non-pharmacologiques pour aider les personnes avec un syndrome des jambes sans repos. Discuter des bénéfices et des désavantages associés aux principaux traitements pharmacologiques du syndrome des jambes sans repos Ressources pertinentes en lien avec l'épisode Manconi M, Garcia-Borreguero D, Schormair B, Videnovic A, Berger K, Ferri R, Dauvilliers Y. Restless legs syndrome. Nat Rev Dis Primers. 2021 Nov 3;7(1):80. Trotti LM, Becker LA. Iron for the treatment of restless legs syndrome. Cochrane Database Syst Rev. 2019 Jan 4;1(1):CD007834. Earley CJ, García-Borreguero D, Falone M, Winkelman JW. Clinical Efficacy and Safety of Intravenous Ferric Carboxymaltose for Treatment of Restless Legs Syndrome: A Multicenter, Randomized, Placebo-controlled Clinical Trial. Sleep. 2024 Apr 16:zsae095. Short V, Allen R, Earley CJ, Bahrain H, Rineer S, Kashi K, Gerb J, Auerbach M. A randomized double-blind pilot study to evaluate the efficacy, safety, and tolerability of intravenous iron versus oral iron for the treatment of restless legs syndrome in patients with iron deficiency anemia. Am J Hematol. 2024 Jun;99(6):1077-1083. Wilt TJ, MacDonald R, Ouellette J, Khawaja IS, Rutks I, Butler M, Fink HA. Pharmacologic therapy for primary restless legs syndrome: a systematic review and meta-analysis. JAMA Intern Med. 2013 Apr 8;173(7):496-505. Allen RP, Chen C, Garcia-Borreguero D, Polo O, DuBrava S, Miceli J, Knapp L, Winkelman JW. Comparison of pregabalin with pramipexole for restless legs syndrome. N Engl J Med. 2014 Feb 13;370(7):621-31. Trenkwalder C, Benes H, Grote L, Happe S, Högl B, Mathis J, Saletu-Zyhlarz GM, Kohnen R; CALDIR Study Group. Cabergoline compared to levodopa in the treatment of patients with severe restless legs syndrome: results from a multi-center, randomized, active controlled trial. Mov Disord. 2007 Apr 15;22(5):696-703. Trenkwalder C, Beneš H, Grote L, García-Borreguero D, Högl B, Hopp M, Bosse B, Oksche A, Reimer K, Winkelmann J, Allen RP, Kohnen R; RELOXYN Study Group. Prolonged release oxycodone-naloxone for treatment of severe restless legs syndrome after failure of previous treatment: a double-blind, randomised, placebo-controlled trial with an open-label extension. Lancet Neurol. 2013 Dec;12(12):1141-50. Carlos K, Prado GF, Teixeira CD, Conti C, de Oliveira MM, Prado LB, Carvalho LB. Benzodiazepines for restless legs syndrome. Cochrane Database Syst Rev. 2017 Mar 20;3(3):CD006939. Jadidi A, Rezaei Ashtiani A, Khanmohamadi Hezaveh A, Aghaepour SM. Therapeutic effects of magnesium and vitamin B6 in alleviating the symptoms of restless legs syndrome: a randomized controlled clinical trial. BMC Complement Med Ther. 2022 Dec 31;23(1):1. Wali SO, Abaalkhail B, Alhejaili F, Pandi-Perumal SR. Efficacy of vitamin D replacement therapy in restless legs syndrome: a randomized control trial. Sleep Breath. 2019 Jun;23(2):595-601.
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Face à la menace d'un conflit ouvert entre Israël et l'Iran, les spécialistes des marchés de l'énergie excluent le recours à l'arme pétrolière comme en 1973. Mais cela n'évacue pas le risque d'un choc pétrolier, malgré tout. L'Europe serait alors à nouveau en première ligne. Un article de Martine Orange, publié le 15 avril 2024, lu par Jérémy Zylberberg.
Ils sont 580.000 à cumuler emploi et retraite en France selon la Cnav (Caisse nationale d'assurance vieillesse), soit +65% en 10 ans : Gautier Delhon-Bugard a mené l'enquête auprès de ces retraités actifs qui refusent de s'arrêter. L'argument numéro 1 est bien souvent financier. Rencontre avec l'un de ces "vieux travailleurs" en Normandie. Ecoutez RTL Evènement du 06 mars 2024 avec Gautier Delhon-Bugard.
Paul Lê est à la tête de la première foodtech de France à être rentable ! Une belle récompense pour cet entrepreneur de 41 ans, qui a grandi et vit toujours à Évry. Fils de restaurateurs, ses parents lui enseignent très tôt le sens du service client. Il en garde l'idée qu' « une bonne entreprise c'est une entreprise avec des clients heureux ! » En 2015, il décide de créer La Belle Vie avec son associé Alban Wienkoop pour s'attaquer au marché de la livraison de courses à domicile. Un marché concurrentiel de 1 milliard d'euros, qui a vu naitre et disparaitre de nombreuses entreprises ces dernières années. En effet, entre la gestion des stocks, la logistique et la livraison, personne n'a jamais réussi à résoudre cette équation complexe pour atteindre la rentabilité avant lui. Pour arriver à maitriser ce système complexe, Paul et Alban font le pari de la tech et mettent au point leurs propres logiciels logistiques. La Belle Vie capte progressivement 10% du marché, compte réaliser plus de 100 millions d'euros de CA cette année et fini par racheter l'un de ses principaux concurrents, Frichti.En quelques années, Paul et Alban ont révolutionné le monde de la livraison de courses et envisagent même d'ouvrir un jour des supermarchés !Paul Lê y a cru depuis le début, même quand les investisseurs lui tournaient le dos.Aujourd'hui il récolte et partage le fruit de son travail (avec toujours beaucoup d'humilité).Bonne écoute ! *** BONUS OFFERT PAR LA BELLE VIE ***La Belle Vie vous offre 10 euros de remise sur votre première commande (à partir de 50 euros d'achat) grâce au code promo LBT10
A 10h, ce mercredi 24 janvier 2024, les GG : Zohra Bitan, fonctionnaire, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Antoine Diers, consultant, débattent de : JO, des maires refusent d'accueillir des migrants déplacés.
Tous les matins RMC S'engage Avec Vous : toute l'équipe d'Amélie Rosique se mobilise pour vous aider à résoudre vos problèmes et porter vos combats. Une adresse pour nous contacter : rmcavecvous@rmc.fr.
Aujourd'hui, Sarah Saldmann, Mourad Boudjellal et Etienne Liebig sont à la table des GG pour débattre de l'actualité.
durée : 00:04:22 - Le zoom de la rédaction - À la frontière entre l'Ukraine et la Roumanie, l'armée traque les Ukrainiens qui quittent le pays car ils ne veulent pas combattre. Depuis le début de la guerre, les gardes-frontières ont arrêté 150 passeurs et près de 3.500 déserteurs dans cette région.
Leclerc, Carrefour, Intermarché et Système U (4.000 stations) vont vendre leur essence à prix coûtant. Il faut rester dans le match face à TotalEnergies et soigner son image auprès du grand public, explique Martial You.
En route pour les 20 ans ! Les Grandes Gueules, le talk-show de la liberté d'expression, autour du duo Alain Marschall/Olivier Truchot. Trois heures de débats parfois musclés avec vos GG toutes issues de la société civile : médecin, éleveur, prof, chef d'entreprise, policier, fonctionnaire, avocat... L'actualité vue et commentée par des Grandes Gueules qui défendent leurs idées, points de vues, opinions toujours variés ! Et par les audteurs du 3216 qui n'hésitent pas à rappeler nos GG à l'ordre ! Au menu de cette nouvelle saison une version XXL de "Le GG Set et Match" dès 10h45. Vos Grandes Gueules s'affrontent sur un sujet clivant, alors quelle équipe sera la plus convaincante ? Aux auditeurs de voter !
Le pays des GG, c'est le vôtre ! Parce que l'actu nait chez vous, dans votre région, nos Grandes Gueules la commentent et en débattent. Chaque jour, vos GG réagissent à une actu locale qui fait écho dans tout le pays. Aujourd'hui, direction Paris où la Préfecture de Paris a annoncé vouloir déménager les bouquinistes parisiens des quais de Seine durant la cérémonie d'ouverture des JO 2024.
Ce jeudi 7 septembre, l'importance du niveau de la dette public, et les difficultés qui pèsent sur les grandes distributions face à l'inflation qui ne baisse pas, notamment du point de vue des citoyens français selon le sondage de l'Insee a été abordé par Christian de Boissieu, professeur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et vice-président du Cercle des économistes, Emmanuel Combe, professeur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et Xavier Timbeau, directeur principal de l'OFCE, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La coopération laitière dit "non". Pas question de rouvrir des négociations sur les prix en juin comme le veut le gouvernement. C'est un piège. Les producteurs laitiers ont tout à y perdre et ne veulent pas baisser leurs tarifs. On ne peut sans doute pas les mettre dans le même panier que les grandes multinationales et on doit les protéger selon Martial You sur RTL.
Tous les matins, à 6H10 et 8H40, c'est les Sondages du matin !
Ce mercredi 1er février, l'augmentation du prix de l'électricité de seulement 15% grâce au bouclier tarifaire, ainsi que sur l'appel de la BCE aux entreprises à la modération salariale pour éviter l'effet de second tour de l'inflation, ont été abordés par Ronan Le Moal, fondateur d'Epopée Gestion et fonds d'investissements régional, Agnès Michel, membre du comité éditorial de Terra Nova, et Sylvain Orebi, président d'Orientis, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:04:23 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Les autorités néo-zélandaises ont demandé aujourd'hui à la justice de leur confier la garde d'un bébé dont les parents, craignant qu'il ne reçoive du sang provenant de donneurs vaccinés contre le Covid-19, s'opposent à une opération chirurgicale destinée à lui sauver la vie.
durée : 00:04:23 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Les autorités néo-zélandaises ont demandé aujourd'hui à la justice de leur confier la garde d'un bébé dont les parents, craignant qu'il ne reçoive du sang provenant de donneurs vaccinés contre le Covid-19, s'opposent à une opération chirurgicale destinée à lui sauver la vie.
Marina est nounou et s'occupe de deux enfants en bas âge. Elle a constaté qu'ils vivent dans des conditions alarmantes. Elle a essayé d'en parler à son directeur mais celui-ci ne semble pas vouloir réagir. Elle se retrouve démunie face à cette situation. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
durée : 00:20:04 - Journal de 18h - Le silence contre la répression en Iran. Les footballeurs iraniens sont restés muets pendant que l'hymne de la République islamique retentissait dans le stade de Doha au Qatar, avant leur match contre l'Angleterre.
durée : 00:20:04 - Journal de 18h - Le silence contre la répression en Iran. Les footballeurs iraniens sont restés muets pendant que l'hymne de la République islamique retentissait dans le stade de Doha au Qatar, avant leur match contre l'Angleterre.
Depuis des décennies, les militaires américains, et notamment les pilotes de l'US Air Force, sont confrontés à des phénomènes ariens non identifiés. Et, à cet égard, la Marine n'est pas en reste.Ainsi, entre 2004 et 2021, les pilotes de la Navy auraient observé pas moins de 144 ovnis. En 2020, trois vidéos montrant de tels engins avaient été déclassifiées. Mais, dans l'ensemble, l'armée américaine est assez réticente à dévoiler ces documents.Et pourtant, la Navy admet posséder d'autres informations sur ces ovnis.Une menace pour la sécurité nationaleSi, voilà deux ans, la Marine a rendu publiques ces vidéos montrant des engins non identifiés, c'est qu'elle n'a guère eu le choix. En effet, c'est en s'appuyant sur une loi consacrant la liberté de l'information qu'un site spécialisé dans ce type de questions a demandé, et obtenu, la déclassification de ces documents.La même démarche a été faite à propos des autres rapports détenus par la Navy. Mais, cette fois, la réponse a été négative. Et l'argument avancé est toujours le même.Pour les militaires, en effet, dévoiler ces informations pourrait compromettre la sécurité nationale. Si leur réponse est différente de ce qu'elle avait été en 2020, c'est que, à ces dates, les vidéos avaient été vues avant qu'elles ne soient rendues publiques.Dès lors, leur divulgation ne pouvait pas présenter de risques supplémentaires. Il n'en est pas de même cette fois-ci. Les engins aperçus n'étant pas encore identifiés, il pourrait s'agir d'un nouveau type d'avions, conçu par un pays étranger.Dans ce cas, ils représenteraient une menace potentielle pour la sécurité des États-Unis. D'où la décision de ne pas dévoiler ces images. Pour autant, il semble que les militaires n'excluent pas l'existence éventuelle d'engins venus de l'espace.C'est pour eux une hypothèse comme les autres. Dans un tel cas, ils seraient considérés, eux aussi, comme une menace potentielle pour le pays. Par conséquent, les vidéos qui les montrent ne doivent pas être divulguées non plus.En attendant, un organisme spécifique, créé par l'armée, est chargé d'examiner les documents relatifs aux ovnis. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis des décennies, les militaires américains, et notamment les pilotes de l'US Air Force, sont confrontés à des phénomènes ariens non identifiés. Et, à cet égard, la Marine n'est pas en reste. Ainsi, entre 2004 et 2021, les pilotes de la Navy auraient observé pas moins de 144 ovnis. En 2020, trois vidéos montrant de tels engins avaient été déclassifiées. Mais, dans l'ensemble, l'armée américaine est assez réticente à dévoiler ces documents. Et pourtant, la Navy admet posséder d'autres informations sur ces ovnis. Une menace pour la sécurité nationale Si, voilà deux ans, la Marine a rendu publiques ces vidéos montrant des engins non identifiés, c'est qu'elle n'a guère eu le choix. En effet, c'est en s'appuyant sur une loi consacrant la liberté de l'information qu'un site spécialisé dans ce type de questions a demandé, et obtenu, la déclassification de ces documents. La même démarche a été faite à propos des autres rapports détenus par la Navy. Mais, cette fois, la réponse a été négative. Et l'argument avancé est toujours le même. Pour les militaires, en effet, dévoiler ces informations pourrait compromettre la sécurité nationale. Si leur réponse est différente de ce qu'elle avait été en 2020, c'est que, à ces dates, les vidéos avaient été vues avant qu'elles ne soient rendues publiques. Dès lors, leur divulgation ne pouvait pas présenter de risques supplémentaires. Il n'en est pas de même cette fois-ci. Les engins aperçus n'étant pas encore identifiés, il pourrait s'agir d'un nouveau type d'avions, conçu par un pays étranger. Dans ce cas, ils représenteraient une menace potentielle pour la sécurité des États-Unis. D'où la décision de ne pas dévoiler ces images. Pour autant, il semble que les militaires n'excluent pas l'existence éventuelle d'engins venus de l'espace. C'est pour eux une hypothèse comme les autres. Dans un tel cas, ils seraient considérés, eux aussi, comme une menace potentielle pour le pays. Par conséquent, les vidéos qui les montrent ne doivent pas être divulguées non plus. En attendant, un organisme spécifique, créé par l'armée, est chargé d'examiner les documents relatifs aux ovnis. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:04:17 - Le journal de presque 17h17 - Le lancement de la mission Artemis, des piscines contraintes de fermer en France en raison de l'explosion du prix de l'énergie, et une "pneumonie d'origine inconnue", c'est l'actu du jour !
durée : 00:04:17 - Le journal de presque 17h17 - Le lancement de la mission Artemis, des piscines contraintes de fermer en France en raison de l'explosion du prix de l'énergie, et une "pneumonie d'origine inconnue", c'est l'actu du jour !
Tout comme une grande partie de l'opposition guinéenne, la Cédéao a rejeté la transition de 36 mois proposée par les militaires au pouvoir. Les autorités guinéennes n'ont pas manqué d'exprimer leur mécontentement, en estimant ne pas avoir de leçon à recevoir de la part de cette organisation. L'éclairage de Malick Diakité, correspondant de France 24 à Conakry.
Ce mercredi 18 mai, la désapprobation des actionnaires d'Intel et JP Morgan sur la résolution consultative des salaires et des primes versées à leurs hauts responsables a été abordé par Christian Chavagneux, éditorialiste à Alternatives Economiques, Philippe Manière, président de Vae Solis Communications, et Sylvain Orebi, président d'Orientis, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.