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durée : 00:07:51 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - L'intelligence artificielle est sortie des mondes spécialisés de l'informatique et gagne le grand public, avec les logiciels d'IA générative de plus en plus intégrés aux moteurs de recherche classiques. Les infrastructures se multiplient, une question demeure : quelle empreinte environnementale ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Anne-Laure Ligozat Professeure en informatique au Laboratoire Interdisciplinaire des Sciences du Numérique et à l'École Nationale Supérieure d'Informatique pour l'Industrie et l'Entreprise
Episode 204: Entretien avec L'économiste Slimane Bedrani Le projet « Archives d'histoire orale de la production intellectuelle maghrébine » vise à documenter les trajectoires de vie, les formations intellectuelles et les luttes politiques de plusieurs générations de femmes et d'hommes nord-africains qui ont contribué à la création de la culture écrite et parlée dans cette partie du monde. Les entretiens sont réalisés avec des économistes, planificateurs, nutritionnistes, architectes, sociologues ruraux et d'autres chercheurs algériens, marocains et tunisiens. Il s'agit de la toute première initiative au Maghreb visant à créer des archives écrites, orales et filmées du travail intellectuel de générations qui se sont battues pour construire leurs sociétés. Elle innove en rassemblant ces voix et en les portant à la connaissance d'un large public afin de mieux faire connaître les premiers aux seconds et de démocratiser l'accès au savoir dans notre région. Dans ce podcast, enregistré en février 2023, Habib Ayeb, professeur émérite de géographie à l'Université de Paris 8, s'entretient avec Slimane Bedrani, Professeur d'économie à l'École Nationale Supérieure d'Agronomie (ENSA). Ancien Directeur de recherche au Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD) et Rédacteur en chef des Cahiers du CREAD. Équipe : Habib Ayeb, Géographe Max Ajl, Sociologue Ernest Riva Image : Leila Saadna Post-production :Benoît Kalka Découvrez la vidéo et l'interview en pdf Nous remercions Dr. Tamara Turner, Ethnomusicologue et chercheur au Max Planck Institute for Human Development, Centre for History of Emotions, pour son interprétation de Sidna Boulal du répertoire Hausa du Diwan (Hausa Sug). Montage : Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA).
durée : 00:03:50 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Le piratage informatique fascine autant qu'il inquiète. Mais comment cela fonctionne vraiment ? Pour répondre à la question de Côme, 11 ans, l'équipe des P'tits Bateaux a fait appel à Nicolas Arpagian, expert en cybersécurité et formateur à l'École Nationale Supérieure de la Police. - invités : Nicolas Arpagian - Nicolas Arpagian : Vice-Président du cabinet HeadMind Partners, spécialisé dans l'analyse du risque numérique. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Découvrez ma formation en ligne sur les fondamentaux de l'accueil !Chers Insiders, C'est l'été, mais l'excellence de service ne prend pas de vacances. Et j'ai à cœur de continuer ce voyage qui nous emporte vers des invités toujours plus inspirants. Connaissez-vous The Vendôm Company ? C'est le nouveau partenaire exclusif d'Hospitality Insiders. Vendôm, c'est d'abord un incubateur de talents spécialisé dans le luxe avec un réseau qualifié de 16 000 candidats et plus de 300 recruteurs. Mais Vendôm, c'est surtout une entreprise dont je partage les valeurs humaines, j'ai d'ailleurs croisé leur chemin à de nombreuses reprises et je vous les recommande vivement pour vous accompagner dans vos recrutements. Dites-leur que vous venez de ma part et recrutez les talents du luxe que votre entreprise mérite. Je suis Maxime Blot, artisan hôtelier, et vous êtes sur Hospitality Insiders. Elle est cheffe patissière, mais aussi entrepreneuse ainsi que Youtubeuse. J'ai eu l'occasion de goûter certaines de ses créations et croyez-moi elle sait régaler nos papilles. Aujourd'hui ce sont nos oreilles qui vont être gâtées par cet entretien avec Muriel Aublet-Cuvelier ! Notes et références : ENSP : École Nationale Supérieure de la Patisserie Christian Camprini, Meilleur Ouvrier de France patisserie Eric Rava, chef patissier Julien Alvarez, champion du monde de patisserie en 2011 L'auberge Saint Gabriel à Montréal Marc Bolet, patron de l'auberge Guy Laliberté, co-fondateur du cirque du soleil Garou, chanteur québécois Des gâteaux et du pain, patisserie fine à Paris Lilian Bonnefoi, chef patissier à Hôtel du Cap Eden Roc Antibes Jimmy Mornet, chef patissier au Park Hyatt Paris Vendôme Saison 1 du meilleur pâtissier : les professionnels Philippe Conticini, chef patissier Pierre Hermé, chef patissier Frédéric Bau, directeur de la création chez Valhrona Youtubeur LinksTheSun Le Grand Colbert, brasserie parisienne Barbara Pravi - chanteuse finaliste de l'Eurovision Contacter Muriel : Lessecretsdemuriel.com">Lessecretsdemuriel.com Instagram : muriel_aublet_cuvelier Youtube : Les secrets de Muriel Si cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
30ème émission de TOKIO radio, toujours et encore des rencontres fabuleuses, des conversations qui s'étirent jusqu'aux étoiles
durée : 00:15:19 - Journal de 12h30 - Au lendemain d'un nouvel échange d'otages israéliens contre des détenus palestiniens, le Comité international de la Croix-Rouge sort de sa réserve et s'inquiète des conditions dans lesquelles se déroulent les opérations d'échange. - invités : François Purseigle Sociologue spécialiste du monde agricole, professeur à l'École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse
durée : 00:15:19 - Journal de 12h30 - Au lendemain d'un nouvel échange d'otages israéliens contre des détenus palestiniens, le Comité international de la Croix-Rouge sort de sa réserve et s'inquiète des conditions dans lesquelles se déroulent les opérations d'échange. - invités : François Purseigle Sociologue spécialiste du monde agricole, professeur à l'École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse
A partir d'aujourd'hui et pour plusieurs jours, Paris devient la capitale mondiale de l'IA, avec en point d'orgue le sommet qui va voir défiler dans les prochains jours une centaine de chefs d'Etats et tous les plus grands acteurs de la tech… Qui va remporter cette course de vitesse, cette bataille géopolitique de l'intelligence artificielle ? Les États-Unis, la Chine ou des acteurs privés ? L'Europe, qui accueille symboliquement ce sommet, est-elle paradoxalement condamnée à être spectatrice de cet affrontement technologique entre chinois et américains ?Il y a donc l'enjeu géostratégique, et puis il y la question plus philosophique ou anthropologique : qui contrôle qui dans cette histoire ? Est-ce l'homme qui contrôle l'IA ou l'inverse ? Sommes-nous en train de nous augmenter ou de nous amoindrir voire de nous détruire ? Qui est le maître ? Qui est l'esclave ? Nous allons en débattre ce jeudi 6 février 2025 avec : ▶︎ Gilles BABINET Entrepreneur, coprésident du Conseil national du numérique, auteur de « Green IA – L'intelligence artificielle au service du climat » aux éditions Odile Jacob (27.03.24)▶︎ Raphaël GRABLY Journaliste, chroniqueur BFM TV▶︎ Anne BOUVEROT Présidente du Conseil d'Administration de l'École Nationale Supérieure, envoyée spéciale du Président de la République pour le Sommet l'IA▶︎ Diana FILIPPOVA Écrivaine, autrice de «Technopouvoir. Dépolitiser pour mieux régner » aux éditions Les Liens Qui Libèrent (13.11.19) et de « Rien n'est plus grand que la mère des hommes » aux éditions Albin Michel (08.01.25)▶︎ Apolline GUILLOT Rédactrice en chef de Philonomist, journaliste à Philosophie Magazine, co-autrice de « L'IA est-elle une chance ? » édité par Philosophie Magazine (19.04.24)▶︎ Juliette DUQUESNE Journaliste indépendante, autrice de « L'humain au risque de l'intelligence artificielle » aux éditions Presses Châtelet (06.05.2021)
durée : 00:04:08 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Parcoursup est déjà ouvert et va se terminer le 13 mars prochain. Alors pourquoi pas ce Parcoursup maritime, en parlant de l'École Nationale Supérieure Maritime avec son directeur général, François Lambert pour les Chroniques Littorales...
Ana Gonzalez, Photo byJuan Moore Ana González's artistic practice celebrates the landscapes of her native Colombia and her partnerships with the indigenous communities dedicated to their preservation. Her work serves as a vibrant tribute to the sensory richness and cultural significance of these environments whilst highlighting their crucial role in historic ecosystems. Her oeuvre bridges multiple disciplines, including painting, photography, and sculpture. In her work González references to the 18th-century naturalist Alexander von Humboldt and his exploration of the interconnectedness of all living systems. Her Devastations series features textiles onto which the artist prints photographs of Colombia's vulnerable environments which she then partially unravels by hand. The works preserve these spaces as sites of power, abundance, and renewal while referencing the slow disappearance of ancient ecologies. González has worked closely with Colombian Indigenous communities, leading social and humanitarian initiatives with the Sierra Nevada de Santa Marta communities, the Nukak people of Guaviare, and Misak women in Cauca. In collaboration with Cartier and the Amazon Conservation Team, González founded a health and social project in the Colombian Amazon. In November 2024 they completed a healthcare center in Murui Muina, Umancia, an indigenous settlement positioned at the intersection of three key regions: Putumayo, Caquetá, and Amazonas. Ana González is a graduate in architecture from Universidad de Los Andes in Bogotá, Colombia. She pursued advanced studies in Art and Gender at Trinity College in Dublin, Ireland, and completed a master's in arts and media, focusing on Photography, Printing, and Publishing, at both the École Nationale Supérieure des Beaux-Arts and the École Supérieure de Commerce de Paris in France. Her work is part of significant private and public collections, including the Patricia Phelps de Cisneros Collection, the Havremagasinet Länskonsthall Museum in Sweden, the National Museum of Colombia, the Bogotá Museum of Modern Art (MAMBO), the Santa Barbara Museum of Art, CA, the JP Morgan Chase Art Collection, NY, the Bancolombia Art Collection and the Museo de la Universidad de Antioquia, Medellín, Colombia. She currently lives and works in Bogotá. Ana González, PALMAS DE CERA (WAX PALM TREES), 2024 sublimation printing on roughened tarp 58 1/4 x 58 11/16 inches. © Ana González Courtesy Sean Kelly, New York/Los Angeles. Ana González, RÍO VAUPÉS (RIVER IN THE AMAZON FOREST), 2024, sublimation printing on roughened tarp, 21 5/8 x 27 9/16 inches. © Ana González Courtesy Sean Kelly, New York/Los Angeles. Ana González, KYBA (DREAM), 2024, diptych graphite and acrylic on canvas. canvas: 63 x 47 1/4 inches (160 x 120 cm) each. © Ana González Courtesy Sean Kelly, New York/Los Angeles.
durée : 00:07:15 - L'invité de 6h20 - Alors que les élections des chambres d'agriculture s'ouvrent, François Pursegle, professeur de sociologie, décrypte les enjeux et les forces en présence. Une campagne tendue pour un vote qui pourrait changer la donne. - invités : François Purseigle - François Purseigle : Sociologue spécialiste du monde agricole, professeur à l'École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse
durée : 00:58:05 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - La perspective de l'adoption prochaine de l'accord de libre-échange entre le Mercosur et l'Union européenne provoque la colère de nombreux éleveurs européens qui redoutent la concurrence de la viande latino-américaine. - réalisation : Margot Page - invités : Vincent Chatellier Ingénieur de recherche en économie agricole à l'INRAE.; François Purseigle Sociologue spécialiste du monde agricole, professeur à l'École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse; Stefan De Vries Correspondant de la radio néerlandaise BNR pour les affaires européennes
Bruna Dominici, art director di IT'S dialoga con Alia Bengana architetta, insegnante e giornalista.Laureata presso l'École Nationale Supérieure d'Architecture di Paris-Belleville, ha ottenuto il Certificate in Advanced Studies presso l'ETH di Zurigo, specializzandosi in materiali rigenerativi.Sviluppa progetti in Francia e all'estero attraverso un approccio bioclimatico e manifestando un interesse particolare per la terra cruda, i materiali naturali e il riutilizzo. Qui ci illustra come da questi possa essere rielaborato il concetto di sostenibilità in architettura
durée : 00:38:58 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Intempéries, volatilité des prix : crise après crise, les agriculteurs ne décolèrent pas. Alors que la France perd deux cents fermes par semaine et que les exploitations de taille moyenne tendent à s'effacer au profit des firmes, quel modèle imaginer pour l'agriculture de demain ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : François Purseigle Sociologue spécialiste du monde agricole, professeur à l'École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse; Sophie Thoyer Economiste, directrice de recherche à l'INRAE; Thomas Borrell Chargé de mission scientifique chez l'Atelier Paysan
On n'épouse jamais son fantasme, disait le cinéaste italien Federico Fellini. Il se pourrait bien que la peinture épouse tous les fantasmes d'une peintre diplômée de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, née en Iran. Silhouettes de femmes apprêtées sur un champ de ruines, visage de femme poignard sous le menton, beauté de femme blanche enlaçant beauté de femme africaine, scènes de guerre, allusion biblique ou mythologique, les toiles de Nazanin Pouyandeh font place à l'humanité. Mais, foin de blabla droit-de-l'hommiste, non, Nazanin n'a d'yeux que pour une humanité féminine, transgressive, désobéissante à l'image de son exposition éponyme à voir en ce moment à Montpellier, en France. Bien sûr, nos yeux d'amoureux, de journaliste, de critique, vont chercher des indices de sa vie passée en Iran. Ils vont chercher des tapis persans, des tapis volants, des préjugés coiffés de turban, chers vous tous, passez votre chemin... La Pouyandeh n'est pas l'Iranienne de service attendue, c'est une guerrière, peut-être bien une amazone.
On n'épouse jamais son fantasme, disait le cinéaste italien Federico Fellini. Il se pourrait bien que la peinture épouse tous les fantasmes d'une peintre diplômée de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, née en Iran. Silhouettes de femmes apprêtées sur un champ de ruines, visage de femme poignard sous le menton, beauté de femme blanche enlaçant beauté de femme africaine, scènes de guerre, allusion biblique ou mythologique, les toiles de Nazanin Pouyandeh font place à l'humanité. Mais, foin de blabla droit-de-l'hommiste, non, Nazanin n'a d'yeux que pour une humanité féminine, transgressive, désobéissante à l'image de son exposition éponyme à voir en ce moment à Montpellier, en France. Bien sûr, nos yeux d'amoureux, de journaliste, de critique, vont chercher des indices de sa vie passée en Iran. Ils vont chercher des tapis persans, des tapis volants, des préjugés coiffés de turban, chers vous tous, passez votre chemin... La Pouyandeh n'est pas l'Iranienne de service attendue, c'est une guerrière, peut-être bien une amazone.
durée : 00:55:00 - Les Nuits de France Culture - À partir de 1949, le peintre et plasticien Jacques Villeglé commence à récolter des affiches lacérées sur les murs des villes pour en faire des œuvres d'art. Dans cette émission enregistrée en 1999 il explique son travail au micro de Jean Daive. - invités : Jacques Villeglé; Raymond Hains Artiste plasticien français; Didier Semin Professeur d'histoire de l'art à l'École Nationale Supérieure des Beaux-arts à Paris. Auteur; Christian Caujolle Critique d'art. Est l'un des fondateurs et le directeur artistique de l'Agence VU; Bruno Mathon Peintre et critique d'art.; Jean de Loisy Critique d'art et commissaire d'exposition français, spécialiste de l'art moderne et contemporain; Philippe Dagen Professeur d'histoire de l'art contemporain à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, journaliste au Monde
Photographe et enseignant-chercheur, depuis une quinzaine d'années, l'Italien Nicola Lo Calzo interroge les parallèles entre les expériences queers et décoloniales. De Sao Tomé à Haïti, de la Sardaigne au Bénin en passant par la Guyane, Cuba ou la Louisiane… Voyage aux marges de l'Histoire. Né en 1979 à Turin, Nicola Lo Calzo aurait pu devenir architecte paysagiste mais le voilà photographe et enseignant-chercheur à l'École Nationale Supérieure d'Arts de Paris-Cergy et Cergy-Paris Université. Altérité, identité, intersectionnalité et post-colonialité sont les sujets qui l'animent depuis dix ans et ses travaux ont déjà été exposés dans le monde entier, de l'Italie au Mexique en passant par le Nigeria ou encore les Pays-Bas. Nominé au Prix Élysée 2019 et finaliste du prix Niepce en 2020, dans ses travaux, Nicola Lo Calzo met en parallèle le marronnage et l'expérience queer qu'il identifie comme des pratiques de résistance mais aussi de clandestinité, deux zones de pénombre et de dissimulation, deux zones d'auto-émancipation aussi. Les liens entre marronnage et expérience queer sont aussi les moteurs d'un projet au long cours : le projet KAM, soit huit séries photographiques autour des mémoires de l'esclavage et de ses résistances dans les sociétés postcoloniales. Un projet qui, depuis son lancement en 2010, a déjà mené Nicola Lo Calzo des rivages de l'Afrique de l'Ouest aux périphéries de Port-au-Prince à Haïti, en passant par les Mornes de la Guadeloupe, les quartiers oubliés de la Nouvelle-Orléans, les rives du fleuve Maroni en Guyane ou encore les faubourgs de Santiago de Cuba. Depuis son arrivée à Paris en 2005, Nicola Lo Calzo photographie régulièrement son entourage, sa « queer family » : militant·es, activistes de la lutte contre le sida ou encore artistes du milieu de la nuit parisienne... Une famille choisie composée de destins communs et d'individualités très fortes. Ainsi est né le projet Lyannaj («faire lien, allier ou rallier» en créole) qui, à travers un prisme intersectionnel, donne à voir les pratiques de soin et de résistance qui s'organisent en région parisienne et en outre-mer.En 2021, Nicola Lo Calzo publie Binidittu (L'Artiere éditions), soit le résultat de trois ans d'enquête en Sicile sur l'histoire de Biniditttu, c'est ainsi qu'était surnommé l'ermite Saint Benoît le More, fils d'esclaves africains né en Sicile au XVIème siècle et canonisé en 1807, devenant ainsi le premier saint noir de l'Église Catholique. Ici, le Saint-Patron de Palerme permet à Nicola Lo Calzo de déployer une réflexion plus vaste sur l'accueil des migrants sur les côtes de «mare nostrum», la Méditerranée. Escale également à Sao-Tomé-et-Principe, cet archipel du golfe de Guinée réputé pour ses forêts tropicales, ses plages magnifiques, sa chaîne de volcans. Une « île du bout du monde » colonisée dès 1471 par les Portugais qui y ont mis en place une sorte de laboratoire de l'esclavage qui allait conduire à la déportation de millions d'Africains vers les Amériques. Aujourd'hui, à Sao-Tomé-et-Principe, se perpétuent des rites et des traditions théâtrales héritées des premiers colons qui avaient fait venir des comédiens européens pour distraire les esclaves du travail dans les plantations de canne à sucre. Le «tchiloli» et le «danço congo», des rites autant que des héritages immatériels complexes redécouverts à la faveur du mouvement de décolonisation et de l'obtention de l'indépendance par Sao Tomé, en 1975. Et c'est tout l'objet de l'enquête qu'y a mené Nicola Lo Calzo, à retrouver prochainement dans un livre intitulé Tragedia. En savoir plus : ► Le site web de Nicola Lo Calzo ► Faire un don à SOS Méditerranée.
Photographe et enseignant-chercheur, depuis une quinzaine d'années, l'Italien Nicola Lo Calzo interroge les parallèles entre les expériences queers et décoloniales. De Sao Tomé à Haïti, de la Sardaigne au Bénin en passant par la Guyane, Cuba ou la Louisiane… Voyage aux marges de l'Histoire. Né en 1979 à Turin, Nicola Lo Calzo aurait pu devenir architecte paysagiste mais le voilà photographe et enseignant-chercheur à l'École Nationale Supérieure d'Arts de Paris-Cergy et Cergy-Paris Université. Altérité, identité, intersectionnalité et post-colonialité sont les sujets qui l'animent depuis dix ans et ses travaux ont déjà été exposés dans le monde entier, de l'Italie au Mexique en passant par le Nigeria ou encore les Pays-Bas. Nominé au Prix Élysée 2019 et finaliste du prix Niepce en 2020, dans ses travaux, Nicola Lo Calzo met en parallèle le marronnage et l'expérience queer qu'il identifie comme des pratiques de résistance mais aussi de clandestinité, deux zones de pénombre et de dissimulation, deux zones d'auto-émancipation aussi. Les liens entre marronnage et expérience queer sont aussi les moteurs d'un projet au long cours : le projet KAM, soit huit séries photographiques autour des mémoires de l'esclavage et de ses résistances dans les sociétés postcoloniales. Un projet qui, depuis son lancement en 2010, a déjà mené Nicola Lo Calzo des rivages de l'Afrique de l'Ouest aux périphéries de Port-au-Prince à Haïti, en passant par les Mornes de la Guadeloupe, les quartiers oubliés de la Nouvelle-Orléans, les rives du fleuve Maroni en Guyane ou encore les faubourgs de Santiago de Cuba. Depuis son arrivée à Paris en 2005, Nicola Lo Calzo photographie régulièrement son entourage, sa « queer family » : militant·es, activistes de la lutte contre le sida ou encore artistes du milieu de la nuit parisienne... Une famille choisie composée de destins communs et d'individualités très fortes. Ainsi est né le projet Lyannaj («faire lien, allier ou rallier» en créole) qui, à travers un prisme intersectionnel, donne à voir les pratiques de soin et de résistance qui s'organisent en région parisienne et en outre-mer.En 2021, Nicola Lo Calzo publie Binidittu (L'Artiere éditions), soit le résultat de trois ans d'enquête en Sicile sur l'histoire de Biniditttu, c'est ainsi qu'était surnommé l'ermite Saint Benoît le More, fils d'esclaves africains né en Sicile au XVIème siècle et canonisé en 1807, devenant ainsi le premier saint noir de l'Église Catholique. Ici, le Saint-Patron de Palerme permet à Nicola Lo Calzo de déployer une réflexion plus vaste sur l'accueil des migrants sur les côtes de «mare nostrum», la Méditerranée. Escale également à Sao-Tomé-et-Principe, cet archipel du golfe de Guinée réputé pour ses forêts tropicales, ses plages magnifiques, sa chaîne de volcans. Une « île du bout du monde » colonisée dès 1471 par les Portugais qui y ont mis en place une sorte de laboratoire de l'esclavage qui allait conduire à la déportation de millions d'Africains vers les Amériques. Aujourd'hui, à Sao-Tomé-et-Principe, se perpétuent des rites et des traditions théâtrales héritées des premiers colons qui avaient fait venir des comédiens européens pour distraire les esclaves du travail dans les plantations de canne à sucre. Le «tchiloli» et le «danço congo», des rites autant que des héritages immatériels complexes redécouverts à la faveur du mouvement de décolonisation et de l'obtention de l'indépendance par Sao Tomé, en 1975. Et c'est tout l'objet de l'enquête qu'y a mené Nicola Lo Calzo, à retrouver prochainement dans un livre intitulé Tragedia. En savoir plus : ► Le site web de Nicola Lo Calzo ► Faire un don à SOS Méditerranée.
La guerre est aussi devenue numérique. Comment la cyberguerre redéfinit-elle les frontières par la technologie ? Durant tout l'été, profitez de nos REMIX ! Aujourd'hui : Nicolas Arpagian (enregistré en mai 2022) Nicolas Arpagian est enseignant à l'École Nationale Supérieure de la Police (ENSP) et à l'Ecole Nationale de la Magistrature (ENM). Auteur prolifique, dont “La Cybersécurité” aux éditions “Que Sais-Je”, qui a été récompensé par le Prix du Livre Cyber du Forum International de la Cybersécurité (#FIC). Il est aussi Vice Président de HeadMind Partners et chroniqueur au quotidien Les Echos. L'évolution de la #cybersécurité et l'extension de la guerre par le numérique redéfinissent les frontières traditionnelles. Avec l'augmentation des objets connectés, la valorisation des #BigTech dépassant le PIB de certains États, et les prses de position de certains de leurs patrons, on peut se demander de "guerre" nous ne sommes pas déjà passés à une cyberguerre...Les différentes cyberattaques et les prédictions de Gartner sur les réponses des États aux attaques numériques soulèvent des inquiétudes sur la sécurité des infrastructures critiques et la nécessité de préparer des réponses appropriées. Quelles réponses ? De quel ordre ? Sous quelle forme ? Les thèmes de cet épisode :La définition et les enjeux de la cyberguerreLe rôle des nouveaux acteursLes nouveaux arsenaux numériques ---
Ghada Amer was born in Cairo, Egypt in 1963 and moved to Nice, France when she was eleven years old. She remained in France to further her education and completed both of her undergraduate requirements and MFA at Villa Arson École Nationale Supérieure in Nice (1989), during which she also studied abroad at the School of the Museum of Fine Arts in Boston, Massachusetts in 1987. In 1991 she moved to Paris to complete a post-diploma at the Institut des Hautes Études en Arts Plastiques. Following early recognition in France, she was invited to the United States in 1996 for a residency at the University of North Carolina, Chapel Hill. She has since then been based in New York. Ghada's work is in public collections around the world including The Arab Museum of Modern Art, Doha; the Art Institute of Chicago, Chicago, IL; the Barjeel Art Foundation, Sharjah; the Brooklyn Museum of Art, New York, NY; Centre Georges Pompidou, Paris; Chrysler Museum of Art, Norfolk, VA; Crystal Bridges Museum of American Art, Bentonville, AR; the Guggenheim Museum, Abu Dhabi; the Israel Museum, Jerusalem; the Samsung Museum, Seoul; among others. She is regularly invited to prestigious group shows and biennials-such as the Whitney Biennial in 2000 and the Venice Biennales of 1999 (where she won the UNESCO Prize), 2005 and 2007. She was recognized with a mid-career retrospective at the Brooklyn Museum of Art in New York in 2008 and a larger, more extensive one at the MUCEM and across other venues in Marseille, France in 2022. Amer studied at the Villa Arson École Nationale Supérieure in Nice, France, at the School of the Museum of Fine Arts in Boston, MA, and at the Institut des Hautes Études en Arts Plastiques in Paris. She lives and works in New York.
Sean Carroll's Mindscape: Science, Society, Philosophy, Culture, Arts, and Ideas
Which is more intelligent, ChatGPT or a 3-year old? Of course this depends on what we mean by "intelligence." A modern LLM is certainly able to answer all sorts of questions that require knowledge far past the capacity of a 3-year old, and even to perform synthetic tasks that seem remarkable to many human grown-ups. But is that really intelligence? François Chollet argues that it is not, and that LLMs are not ever going to be truly "intelligent" in the usual sense -- although other approaches to AI might get there.Support Mindscape on Patreon.Blog post with transcript: https://www.preposterousuniverse.com/podcast/2024/06/24/280-francois-chollet-on-deep-learning-and-the-meaning-of-intelligence/François Chollet received his Diplôme d'Ingénieur from École Nationale Supérieure de Techniques Avancées, Paris. He is currently a Senior Staff Engineer at Google. He has been awarded the Global Swiss AI award for breakthroughs in artificial intelligence. He is the author of Deep Learning with Python, and developer of the Keras software library for neural networks. He is the creator of the ARC (Abstraction and Reasoning Corpus) Challenge.Web siteGithubGoogle Scholar publicationsWikipedia"On the Measure of Intelligence"See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
What you'll learn in this episode: How Terhi's work changed as she moved from Finland to Amsterdam to France How the weather influenced Terhi's recent exhibition at Ornamentum Gallery How jewelry can help us explore the relationship between man and nature Why Terhi creates her work on a mannequin, and how she lets materials tell her what they want to be Why love is the most important thing an artist can put in their work About Terhi Tolvanen Currently based in the French countryside, Terhi Tolvanen was born in Helsinki, Finland (1968). Following studies at the Lahti Design Institute, Finland, and the Gerrit Rietveld Academy, NL, Tolvanen earned a Master's Degree in Jewelry at the Sandberg Institute, Amsterdam, NL. Tolvanen's works can be found in numerous distinguished private and public collections worldwide, including the Swiss National Museum, the Victoria & Albert Museum (London, UK) the Dallas Museum of Art (TX- USA) among others. Photos available on TheJewelryJourney.com: Additional Resources Website Instagram Transcript: Terhi Tolvanen's jewelry isn't made of gold or diamonds, but in its own way, it's just as precious. The Finnish jeweler uses natural materials like wood, raw minerals and shells to create jewelry that not only looks beautiful, but challenges viewers to reflect on the world around them. She joined the Jewelry Journey Podcast to talk about how her daily walks shape her work; how living in Amsterdam and rural France have changed her jewelry over the years; and her advice for emerging artists. Read the episode transcript here. Welcome to the Jewelry Journey, exploring the hidden world of art around you. Because every piece of art has a story, and jewelry is no exception. Sharon: Hello, everyone. Welcome to the Jewelry Journey Podcast. This is the first part of a two-part episode. Please make sure you subscribe so you can hear part two as soon as it's released later this week. We're so glad you're here today. I'd never heard of our guest, Terhi Tolvanen, before. I'll let her pronounce the name in Finnish. I don't know how I missed her jewelry because I like large, statement-type pieces, and that's what many of Terhi's pieces are. I was really taken with them. She uses a lot of materials found in nature, integrated with stones that we might see in other jewelry. Her work can be found in many prestigious museums around the world. She herself has studied in several countries, growing and perfecting her work. Today, we will learn a lot about Terhi and the inspiration and ideas you will find all around her. Welcome to the podcast, Terhi. Terhi: Thank you so much, Sharon, for inviting me. It's great to be talking with you. Sharon: I'm so glad that we have the chance to talk. Can you tell us why you moved from Finland to Amsterdam to France? Can you tell us how the materials varied in each area? Terhi: I moved away from Finland. Originally, I was supposed to be going away for only one year, but after technical school, I was missing quite a lot to learn more about the reasons why to make things. At the time in Finland, there was no possibility to continue. That's why I started looking elsewhere. I ended up then studying in Rietveld Academy in Amsterdam, in the Netherlands, and I totally fell in love with the school. The one year I was supposed to stay became six years. After four years, I also did a master course over there, and after school I stayed because it was great. I fell in love with jewelry. There were galleries, there were events, there were colleagues, there were things happening. During the school years, I made a lot of friends, and I found a place to stay and all that. Now for about 10 years, I've been in France. I moved to France because of love. I fell in love. Sharon: Love, okay. And did you find materials different in each area? Terhi: The materials, yeah, of course. Moving to France has changed the accessibility to my materials totally, because I moved to the countryside from the city. This meant that I was able to use more and more branches that I could collect and find a little bit everywhere. And I've continued what I started doing already in the Netherlands for finding all my minerals and stones. I would go to mineral fairs. Now that I'm in France, I go to Paris. Sharon: Are there are a lot of materials in Paris? Do you find things to work with? Terhi: There is a quite good mineral fair once a year, in the beginning of December. I almost always have to wait one year if I want to have something or find the same thing again or find new material. When I do that, I have to count that I have enough for working for one year. I buy a lot and I don't always use everything. Sometimes it can even take up to five years before I really know what I want to do with certain minerals, but this is always very exciting for me. I'm a very big fan of minerals and stones in any shape and color and format. I have used a lot of rough minerals that I would cut just a little bit so that the dimensions would fit on a piece. For about three or four years, I've also been buying some cut stones. When I still lived in Amsterdam, I used to work with a stone cutter who would cut stones especially for me, and that was a very good cooperation. Since then, he has stopped working a little bit in that way. But he would save me things the normal goldsmiths wouldn't want to buy. He learned very quickly that was interesting for me. Mainly it was things that were a little bit different, a little bit less perfect than a traditional goldsmith would want to use. Sharon: How long have you been a maker? Did you choose it later or did you choose it when you were young? Terhi: I have been a maker since my graduation from the Sandberg Instituut. The master course in Amsterdam is called Sandberg Instituut. I graduated from there in 1999, and I had my first solo show in 2000. Of course, it took a little time to get going. But now it's 24 years ago. It's long. Sharon: And you knew when you graduated that you wanted to be a maker or a jeweler. That's what you wanted to do professionally. Terhi: Yes. I was asking this question a lot while studying. When I started studying in Amsterdam, I was absolutely convinced that I don't want to be an artist and I don't want to make jewelry. But I thought, “Never mind. I will be able to learn a lot of important things anyway at school.” This meant that during a lot of school years, I was trying all kinds of different things. I was drawing a lot, I was making objects, I was working a lot with textiles, sort of half- clothes, half-sculpture pieces. And then at one moment towards the end of the master course, when it really became a reality that soon I will have to get out of the school and go into the real world, I really decided, “Okay, I will make jewelry,” because my conclusion, after all these school years, was that that's the thing I can do the best. So, I really chose it. Also, because of the situation at the time in the Netherlands, it was possible to ask for working grants for jewelry arts. I had some very good school friends that were very much encouraging me to take the jewelry direction. So, yes, it was a very conscious decision at the time, and I have not regretted it. Sharon: It was long periods when you were in a country. You said you were in Amsterdam for six years. Did you teach? I don't know, maybe I have that wrong. Terhi: No, not there. I was there for school for six years altogether. Also, I stayed for the reason that it was cheaper to work at school than rent a studio. When I graduated from the Instituut, I stayed in Amsterdam because it was, work wise, very exciting to stay there. I had a job on the site. Then later I got a working grant. I had a nice studio, so I stayed in Amsterdam until 2013 when I moved to France. Sharon: I have to ask if you knew the languages before you came to each country. Well, English in Amsterdam works. What languages do you speak? Terhi: I'm multilingual. in Amsterdam I decided that I would like to learn Dutch because I thought it is very important for the quality of life. I managed to learn Dutch, so I speak Dutch quite fluently. At school it was a lot in English, of course. I speak Finnish, Dutch, English, and now in France, people don't speak so much English, so I really had to learn French. I had already studied French during all my school time in Finland, so I had a base for that, but I couldn't speak it so well. Now, of course, with all the years, I have learned to speak French. I'm teaching now in France at ENSAD Limoges, the École Nationale Supérieure d'Art et de Design, which is one of the national art schools. I'm teaching in French. Sharon: As you learned each language, did your works change? Did it make it easier to work or harder? Did you see a change in your work? Terhi: Well, living abroad, it's often lost in translation, of course. To know a language very well, you need to also understand the mentality and the culture of each country. I don't know if it's so much the language that's influencing the work. It's more the physical fact being in a certain place with certain surroundings. Of course, for me nature is very important. It's a richness, the language is. Definitely, yes. Sharon: Your most recent exhibition, I don't know if you had another one since then, but last summer you were at Ornamentum Gallery. Your work was shown at Ornamentum Gallery, which is in Massachusetts, I think. Terhi: It's in Hudson, New York. Sharon: Okay. I couldn't remember. Hudson, New York. The exhibit was called Moderate to Southwest Winds. What does that mean in jewelry? What did you think it meant? Terhi: I chose the title. It's a weather forecast. It's taken out of a weather forecast. I chose that because while working for that show, I realized that what is really making the rhythm of my work and my thinking is the weather. I go out every morning for a walk, and this is a very important moment for me depending on the face in the work. Either I try to just empty my mind and observe things in nature. I look at colors and light and shapes and textures. Or, when I'm a little bit further in the work, then the moment of walking is very nice for finding solutions, so I'm working in my head. And, of course, what is then very important is the weather. If it's nice weather, if the sun is shining, if it's raining, if it's the spring or the winter. In wintertime, there is not so much light, so I have to wait for the light to be able to go out. This is totally deciding the rhythm of my day. As I also wrote at the time for the text of the exhibition, all my life I've been following the weather forecast. I check every morning what kind of weather it's going to be. I plan my day. If it's raining in the morning, I will go and do my walk in the afternoon and so on. This is something that I learned from my grandfather in Finland who had a little summer cottage on a little island. It's important to know what kind of weather it is, if it was safe to take the boat to the mainland or not. This is a kind of habit. It's sort of a daily ritual for me. I was also thinking that as the weather is the factor that is so important, I can also say that what was a little bit different for this exhibition was that the theme was a little bit more general. I let myself have the freedom of not deciding so tightly the theme that I'm working on. During COVID, I had put aside all kinds of different plans, all kinds of pieces that I wanted to make but I was not able to make at the time. I also had some materials that they had put on the site especially for the show at Ornamentum. I decided to make the show in that way, that I will make all these pieces that were waiting to be made. I found that, like the weather, the circumstances of the situation led to that conclusion somewhat and what I could say. Sharon: How did COVID affect you and your work? Terhi: I found it a very, very difficult time. I didn't stop working totally, but I was not able to really make my big pieces. It was quite military like, I would say. How to explain? The French system was very strict. To go out, you had to sign a paper and you had to tell what you were going to do, and you had one hour to do that. If you would not be back at home on time, then you would get fined. There was a very efficient fear campaign on television and so on. It felt very uncertain, and I'm sure this was the case for everybody. It took away a lot of the safe feeling which is necessary to be able to really dive into a big work. In a way, the time was cut in small moments when it was possible to create. Ever since I started working, I think the COVID year was really the first year that I didn't have so much production. Sharon: Were you allowed to go out to your studio? Is your studio in your home or is it separate? Terhi: At the time, I had a studio in a little town close to home. When they announced that the lockdown is going to come, I moved the most important things from my studio to my home so then I didn't have to go. This would have been possible. I could have signed the paper and said, “I'm going to my work,” but I felt better working at home. Also, being in the countryside, it was more free to go out. It was an isolated house at the time. I have moved since, but it was much easier to be there than in a city situation. I'm glad I did it. I moved my goldsmithing bench and my main tools and my main materials. Sharon: You moved them home? Terhi: Yeah, I had a little room at home to be able to work. Sharon: What did you want them to learn from the exhibition? Let's say your show at Ornamentum was the first time they were seeing your work or contemporary jewelry. What did you want them to learn by looking at it? Terhi: I'm very concerned about wearability in my work. This gives the scale. For somebody who is not so acquainted with contemporary jewelry, a lot of times people find it very big. I like to say that my work is sculpture. Then one could say that it's wearable sculpture. I'm also, first of all, talking about nature since the beginning. I'm working on the same theme in a way for about 20 years. I never changed because there are always new things. What I want to really put in the front—this is a little bit of a French saying, sorry—is that nature is very precious, and there are a lot of very beautiful things to see. How to put it very simply? I just want to show that it's very special. There are a lot of little things you can see when one walks in the forest. It's worthwhile to really look. This sounds a little bit like no explanation because there are so many factors. But I'm talking about a dialog between man and nature. I'm talking about respect towards nature. I'm talking about this kind of eagerness to control nature, and the nature is fighting back so this dialog is never ending. Of course, today this is a topic that is more actual than ever. There are so many wonderful things. It's amazing, I think. I mean, just the mineral world. It's amazing what nature can make. Sharon: We will have photos posted on the website. Please head to TheJewelryJourney.com to check them out. Thank you again for listening. Please leave us a rating and review so we can help others start their own jewelry journey.
A student at the École Beaux-arts de Versailles (1983–1985), and then at the École Nationale Supérieure d'Art de Bourges (1985-1988), French artist Valerie Belin obtained the French higher national diploma in visual expression in 1988 and also holds a diploma in advanced studies (DEA) in the philosophy of art from the Université de Paris Panthéon-Sorbonne (1989). Initially influenced by various minimalist and conceptual tendencies, Valérie became interested in the photographic medium in its own right; this is at once the subject of her work and her way of reflecting and creating. Light, matter and the “body” of things and beings in general, as well as their transformations and representations, constitute the terrain of her experiments and the world of her artistic ideas. Her work is articulated in photographic series, each one produced within the framework of a specific project. Valérie's work has been exhibited around the world and is held in numerous public and private collections. Winner of the Prix Pictet in 2015 (Disorder), she was made an officer of France's Ordre des Arts et des Lettres in 2017. This same year, a touring exhibition was co-produced by the Three Shadows Photography Art Center in Beijing, the SCôP in Shanghai and the Chengdu Museum. In 2019, Valérie unveiled a major new series at the Victoria & Albert Museum in London and this year, 2024, she has been named as Master of Photography at Photo London where she will have a major career retrospective.Valerie lives and works in Paris. In episode 228, Valerie discusses, among other things:Her father being an artist at heartThe influence of a particular teacherThe dual influence of American minimal art and Italian baroque artHow she discovered photography and was inspired by a misogynistic teacherNot photographing people initiallyPresence and absenceWhy she chose bodybuilders as her first foray into shooting peopleThe theme of beautyHow women are ‘attacked' by stereotypesAI being paradoxical to what she wants to showThe importance of Photoshop to her practiceWhere the ideas come fromUse of comic booksMaking a livingRecent series' ‘Heroes' and ‘Lady Stardust'. Referenced:Carl AndreRobert MorrisTony Smith (sculptor)Richard Serra Website | Instagram“I think it's still true to say I'm very close to my medium and to the hybridation, because if you think of it what is photography today when with the same camera you can make videos, you can make whatever you want? I think we are in a time when you always have a kind of superimposition in your mind, you have several channels on all the time in your mind and maybe my pictures are showing that way of thinking or way of living.” Become a full tier 1 member here to access exclusive additional subscriber-only content and the full archive of previous episodes for £5 per month.For the tier 2 archive-only membership, to access the full library of past episodes for £3 per month, go here.
Artist Amanda Riffo joins us to discuss newly receiving the 2024 Icelandic Art Prize Artist of the Year award, exhibitions, projects, residencies and creative coincidences. Amanda received the award based on her exhibition House of Purkinje, her first major solo show, which was exhibited in The Living Art Museum in 2023 and curated by Sunna Ástþórsdóttir. Amanda's natural storytelling takes us through various works and exhibitions, art encounters, soundtracks, some of her personal history and the ways she approaches thinking about and creating art. Amanda Riffo (b.1977) is a French-Chilean artist based in Reykjavik. After completing a Master of Arts at the École Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Paris, she later participated in exchange programs in Tokyo and Beirut. Her work has been shown in Europe, Japan, Iceland, Chile, Finland, Belgium and more. Exhibition projects in Iceland include her solo exhibition in Open (2018) and Skaftfell (Seyðisfjörður, 2019), as well as participation in the international art biennial Sequences Xl (2019). She is the current recipient of the Artist of the Year, Icelandic Art Prize and the Friend of Nýlo Artist for 2024. Amanda Riffo - House of Purkinje at the Living Art Museum @amanda_riffo @nylistasafnid @icelandic_art_prize @gallery_port The episode's playlist by Amanda Riffo herself: * James Ferraro -individualism-album Human History 3 /2016** Robert Wyatt -at last I am free-album Nothing Can Stop Us /1982*** Ol dirty Bastard -Brooklyn Zoo -/1995
durée : 01:12:54 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - par : Claire Servajean - Alors que les blocages se multiplient et se durcissent, Le Téléphone Sonne ce soir propose une émission spéciale dédiée à la colère du monde agricole. Cette première heure se penche sur l'origine du malaise et les raisons de ces contestations. - invités : François Purseigle - François Purseigle : Sociologue spécialiste du monde agricole, professeur à l'École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse - réalisé par : Juliette GOUX
In French in this CDA S3#68 (monday online), “Hatching in the emergencies situation”, an interview of Marguerite Charles and Alice Riegert, landscapers. In English in CDA S3#69 (wednesday online), “Labo Rabo in Grenoble, France” by the Europan 16 Team, winners for Grenoble project : GASPARD BÉGUÉ (FR), ALICE RIEGERT (FR), FLORIANT BONNY (FR), MARGUERITE CHARLES (FR), MAXIME BARDOU (FR) – landscape architects, CYNTHIA BONNEFILLE (FR) – architect Lyon, France . En français dans le CDA S3#68 (lundi en ligne), "Eclore dans l'urgence" avec Marguerite Charles et Alice Riegert, paysagistes. En anglais dans CDA S3#69 (mercredi en ligne), “Labo Rabo à Grenoble, France” by the Europan 16 Team, winners for Grenoble project : GASPARD BÉGUÉ (FR), ALICE RIEGERT (FR), FLORIANT BONNY (FR), MARGUERITE CHARLES (FR), MAXIME BARDOU (FR) – paysagistes, CYNTHIA BONNEFILLE (FR) – architecte Lyon, France.___Marguerite Charles et Alice Riegert, paysagistes, se sont rencontrées à l'École Nationale Supérieure de la Nature et du Paysage de Blois. En 2020, en plein confinement, elles sont en année de diplôme ; année où enfermées, elles doivent pourtant produire un projet « en nature ». Un an plus tard, elles sont diplômées, lauréate d'Europan 16 et pourvues d'un emploi. Une éclosion parfaitement réussie, dans l'urgence, et dont elles seules détiennent le secret, une éclosion à l'image du monde du vivant au sein duquel elles se frayent une place, leurs places.Dans ce numéro de Com d'Archi, ces deux jeunes paysagistes nous racontent le lien qu'elles ont tissé avec leur métier et parlent au nom de toute l'équipe Labo Rabo du projet EUROPAN 16 ! Des cortèges de végétaux à la ville qui se réchauffe, 40 mn d'un épisode passionnant. Portrait DR © Marguerite Charles et Alice Riegert - Labo Rabo Europan 16Ingénierie son : Julien Rebours____ Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this episode, Fabrice Bourlez, who teaches aesthetics (ENSBA) and practices psychoanalysis in Paris, speaks about his exploration of concepts of tact and elasticity in his practice, and in his reading of Freud, Ferenczi, and Lacan, as well as of Michel de Certeau, Michel Foucault, and queer theory. The author of Pulsions pasoliniennes (Pasolinean Drives) and of Queer psychanalyse: clinique mineure et déconstructions du genre (Queer Psychoanalysis: Minor Clinic and Deconstructions of Gender) discusses the importance of sustaining a conversation across queer politics and the metapsychology and technique of psychoanalysis in the 21st century, as part of awakening ethics and listening in a minor mode.Psychanalyste et professeur à l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris (ENSBA), Fabrice Bourlez parle dans cet épisode de son travail avec les concepts de tact et d'élasticité dans son travail clinique et dans sa lecture de Freud, de Ferenczi et de Lacan, aussi bien que dans la lecture d'écrivains tels que Michel de Certeau, Michel Foucault, et de la théorie queer. L'auteur de Pulsions pasoliniennes et de Queer psychanalyse: clinique mineure et déconstructions du genre souligne l'importance de soutenir, au 21ème siècle, une conversation de la politique queer avec la métapsychologie et la technique de la psychanalyse. Il s'agit, suggère-t-il, d'une tactique pour réveiller une éthique et une entente en mode mineur. Merci à Kellen Corrallo pour son travail avec le fichier audio.
On today's show, Laurent Guyenot discusses the JFK assassination and the Israel-Gaza conflict. GUEST OVERVIEW: Laurent Guyénot was born in France in 1960. After graduating as an engineer from the École Nationale Supérieure de Techniques Avancées in Paris, and working in the armaments industry in the United States for two years, he turned to the study of religious history and anthropology. He has earned a PhD in Medieval Studies in The Sorbonne, Paris. He has been researching America's "deep history" for the last ten years, and has been a contributor to Voltairenet.organd The Unz Review unz.com His book JFK-911 is a signal contribution to our understanding of the common threads linking the two gravest Deep State crimes in American history.
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 2000, le Musée du Belvédère à Vienne organisait une grande rétrospective du peintre autrichien Gustav Klimt. A cette occasion, pour l'émission "Peinture Fraîche", Jean Daive s'entretenait avec Didier Semin, critique d'art, Denis Laget, peintre, et les commissaires de l'exposition. - invités : Didier Semin Professeur d'histoire de l'art à l'École Nationale Supérieure des Beaux-arts à Paris. Auteur; Denis Laget
Éco d'ici Éco d'ailleurs a traversé l'Atlantique cette semaine. Direction le Canada et la ville de Québec, l'un des berceaux historiques de la langue française. C'est là que l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) organisait la 3ème Semaine mondiale de la Francophonie scientifique. Venus du monde entier, des étudiants, des professeurs, des chercheurs, des décideurs politiques et économiques y ont réfléchi à l'articulation entre la sphère universitaire, concentrée sur l'acquisition de connaissances et de compétences, et la réalité des entreprises, désireuses d'accueillir ces jeunes salariés énergiques et innovants, souvent prêts à faire évoluer les fondamentaux d'une économie mondiale qui ne leur conviennent pas. Ces jeunes francophones, notamment africains, sont aussi férus de mobilité internationale. Le Québec les attire beaucoup, avec la perspective quasi-certaine de trouver un emploi du fait des pénuries de main d'œuvre. Dans cette émission délocalisée au Centre des congrès de Québec, nous analysons les principales problématiques que sont : la qualité des systèmes universitaires dans le monde et leur complémentarité, les liens avec le monde des affaires et les opérateurs économiques ou encore le montant des frais de scolarité plus que jamais décisif dans les projets d'expatriation. Nos invités : Slim Khalbous, recteur de l'Agence Universitaire de la Francophonie Fouad Zmokhol, président du Conseil économique et social de l'AUF, doyen de la Faculté de Gestion et de Management à l'Université Saint-Joseph à Beyrouth et président du Mouvement international des Chefs d'entreprises libanais (MIDEL) El Yza Mohamedou, cheffe du Centre des compétences de l'OCDE Hilaire Hounkpodoté, coordinateur du Programme d'Analyse des Systèmes Éducatifs (PASEC) au sein de la conférence des ministres de l'Éducation de l'Espace francophone (CONFEMEN) basée à Dakar (Sénégal) Frank Pons, doyen de la Faculté de sciences de l'Administration de l'Université Laval (Québec) Pascale Guéricolas, correspondante de RFI à Québec. Et de nombreux étudiants et étudiantes francophones dont : Fokou Sa'a Ngounou Excelle Noëlla, présidente du Club Entrepreneuriat et Leadership de l'École Nationale Supérieure des Travaux Publics de Yaoundé Charlotte Lafon, présidente ACCEDE Provence Entrepreneurs (Kedge Business School Marseille) Guillaume Tchoffo Talla, étudiant en Finance à l'Université Laval de Québec.
Éco d'ici Éco d'ailleurs a traversé l'Atlantique cette semaine. Direction le Canada et la ville de Québec, l'un des berceaux historiques de la langue française. C'est là que l'Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) organisait la 3ème Semaine mondiale de la Francophonie scientifique. Venus du monde entier, des étudiants, des professeurs, des chercheurs, des décideurs politiques et économiques y ont réfléchi à l'articulation entre la sphère universitaire, concentrée sur l'acquisition de connaissances et de compétences, et la réalité des entreprises, désireuses d'accueillir ces jeunes salariés énergiques et innovants, souvent prêts à faire évoluer les fondamentaux d'une économie mondiale qui ne leur conviennent pas. Ces jeunes francophones, notamment africains, sont aussi férus de mobilité internationale. Le Québec les attire beaucoup, avec la perspective quasi-certaine de trouver un emploi du fait des pénuries de main d'œuvre. Dans cette émission délocalisée au Centre des congrès de Québec, nous analysons les principales problématiques que sont : la qualité des systèmes universitaires dans le monde et leur complémentarité, les liens avec le monde des affaires et les opérateurs économiques ou encore le montant des frais de scolarité plus que jamais décisif dans les projets d'expatriation. Nos invités : Slim Khalbous, recteur de l'Agence Universitaire de la Francophonie Fouad Zmokhol, président du Conseil économique et social de l'AUF, doyen de la Faculté de Gestion et de Management à l'Université Saint-Joseph à Beyrouth et président du Mouvement international des Chefs d'entreprises libanais (MIDEL) El Yza Mohamedou, cheffe du Centre des compétences de l'OCDE Hilaire Hounkpodoté, coordinateur du Programme d'Analyse des Systèmes Éducatifs (PASEC) au sein de la conférence des ministres de l'Éducation de l'Espace francophone (CONFEMEN) basée à Dakar (Sénégal) Frank Pons, doyen de la Faculté de sciences de l'Administration de l'Université Laval (Québec) Pascale Guéricolas, correspondante de RFI à Québec. Et de nombreux étudiants et étudiantes francophones dont : Fokou Sa'a Ngounou Excelle Noëlla, présidente du Club Entrepreneuriat et Leadership de l'École Nationale Supérieure des Travaux Publics de Yaoundé Charlotte Lafon, présidente ACCEDE Provence Entrepreneurs (Kedge Business School Marseille) Guillaume Tchoffo Talla, étudiant en Finance à l'Université Laval de Québec.
Julien Gardair portrait by Catherine Talese Julien Gardair is a French artist based in New York City since 2007. His cutout paintings, installations, sculptures, and works on paper are known for their adherence to strict sustainable systems. Gardair's art frequently incorporates a blend of languages and stories, creating a diverse and multilayered visual experience. Julien Gardair's recent paintings reveal his innovative approach to art. Drawing inspiration from the Supports/Surfaces movement in France and the Pattern/Decoration movement in the United States, Gardair's art is a fusion of materiality and pattern, along with the structural constraints of Minimalism. These multi-faceted pieces are a synthesis of vibrant paintings and textile works and are created by employing techniques like folding, cutting, and stitching. His work challenges the viewer's perception of materiality. His sustainable approach ensures that no parts of the paintings are discarded, nodding to the global potential of restoration and upcycling. He holds an MFA from the École Nationale Supérieure d'Arts de Paris Cergy and his work has been shown throughout Europe and the United States. Notably, he was included in La couleur toujours recommencée, the first exhibition of the re-vamped Musée Fabre in Montpellier along with Joan Mitchell, Sam Francis, Shirley Jaffe, Peter Soriano and others. He has had solo exhibitions at Galerie Jean Fournier, Paris, Musée d'Art Moderne de Céret and Bric Arts, Brooklyn. He was commissioned by the New York MTA Arts & Design to create a permanent installation for the 18th Avenue and Kings Highway stations in Brooklyn. The Mobilier National also commissioned him to design a Savonnerie carpet on display at the Elysée Palace. The exhibition Julien Gardair / Melanie Vote: Concurrence, offers an intimate exploration of works by both artists, who beyond their individual artistic pursuits, share a bond as a married couple. The show, presented by Garvey|Simon takes place at DFN Projects, 16 East 79th Street until November 3rd, 2023, Monday to Friday from 11 am to 4 pm. Julien Gardair, Ascension, 2023, 16x12in, Acrylic on canvas, folded, cut, stitched, and stretched over wooden stretchers. Julien Gardair, Wide open, 2023, 16x12in, Acrylic on canvas, folded, cut, stitched, and stretched over wooden stretchers. Left: Julien Gardair, Zaouji, 2023, 16x12in, Acrylic on reclaimed pants and canvas, folded, cut, stitched, and stretched over wooden stretchers. Center: Melanie Vote, Flamboyan, 2023, 16 x 12, oil on paper on wood. Right: Julien Gardair, Striped, 2023, 16x12in, Acrylic on reclaimed t-shirt and canvas, folded, cut, stitched and stretched over wooden stretchers.
In French in this CDA S3#44 (monday online), “Building with large natural frameworks”, an interview of Claire Roy and Adélie Collard associate architect of Rerum office, and Elisabeth Boscher architect. In English in CDA S3#45 (wednesday online), " Dour, Koad, Ker project in Quimper in France, Europan 16” by Claire Roy, Adélie Collard et Elisabeth Boscher.En français dans le CDA S3#44 (lundi en ligne), "Bâtir avec les grandes armatures naturelles", une interview de Claire Roy et Adélie Collard architectes fondatrices et associées de l'agence Rerum, et Elisabeth Boscher architecte. En anglais dans CDA S3#45 (mercredi en ligne), "Le projet Dour, Koad, Ker à Quimper en France, Europan 16” par Claire Roy, Adélie Collard et Elisabeth Boscher.___L'équipe qui a reçu une mention Europan 16, pour le projet Dour-Koad-Ker à Quimper, est composée de l'association de l'agence Rerum architecte, représentée par ses deux architectes fondatrices, Claire Roy et Adélie Collard, et d'Elisabeth Boscher, architecte également, qui intervient en son nom propre.Claire et Elisabeth ont travaillé ensemble au sein de l'Agence Philippe Fichet architectes à Paris. Claire et Adélie ont étudié et présenté leurs diplômes ensemble à l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Lyon en 2012. En 2021, elles fondent ensemble l'agence Rerum, à laquelle Elisabeth associe régulièrement ses compétences en urbanisme et en paysage. Dans ce numéro de Com d'Archi, en plus de leurs récits sur leurs parcours respectifs, surgit l'histoire du projet de Quimper des trois protagonistes, leurs convictions communes et leur esprit d'équipe indispensable, pour cette jeune génération, prête à nous préparer, à nous armer, grâce à ses compétences urbanistiques, paysagères et architecturales, à prévenir les aléas des prochains évènements climatiques exceptionnels. Portrait DR © Claire Roy, Adélie Collard, d'Elisabeth BoscherIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:55:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - À partir de 1949, le peintre et plasticien Jacques Villeglé commence à récolter des affiches lacérées sur les murs des villes pour en faire des œuvres d'art. Dans cette émission enregistrée en 1999 il explique son travail au micro de Jean Daive. - invités : Jacques Villeglé; Raymond Hains Artiste plasticien français; Didier Semin Professeur d'histoire de l'art à l'École Nationale Supérieure des Beaux-arts à Paris. Auteur; Christian Caujolle Critique d'art. Est l'un des fondateurs et le directeur artistique de l'Agence VU; Bruno Mathon Peintre et critique d'art.; Jean de Loisy Président du Palais de Tokyo et producteur de l'émission "L'Art est la matière" sur France culture; Philippe Dagen Professeur d'histoire de l'art contemporain à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, journaliste au Monde
➜ La Newsletter de TheBoldWay : https://www.theboldway.fr/newsletter Pour cet épisode inédit, j'ai l'immense privilège de recevoir Rudy Ricciotti, éminent architecte français d'origine italienne. J'ai eu le bonheur de l'interviewer chez lui à Cassis dans les Bouches du Rhône, jouissant d'une vue imprenable sur la Méditerranée. Architecte de renom en France, salué pour ses créations audacieuses et novatrices, Rudy Ricciotti, né le 22 août 1952 à Kouba en Algérie, se distingue par un style architectural singulier mêlant matériaux bruts, lignes épurées et une mise en lumière et en espace. Après avoir poursuivi ses études à l'École Nationale Supérieure d'Architecture de Marseille, il fonde sa propre agence d'architecture à Bandol en 1980. Ses premières réalisations reflètent une forte empreinte méditerranéenne, mettant en avant la simplicité et l'harmonie avec l'environnement naturel. Son rayonnement international est attribué à la réalisation de projets ambitieux, parmi lesquels ressort le Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (le Mucem) à Marseille. L'audacieuse architecture de ce musée, avec sa coque en béton en treillis, illustre sa capacité à fusionner esthétique et innovation technique. Tout au long de sa carrière, il n'a cessé de repousser les limites de l'architecture, en particulier dans sa passion pour l'utilisation polyvalente et expressive du béton. Ses réalisations couvrent un large éventail de secteurs, incluant les édifices culturels, les espaces publics, les installations sportives et les hubs de transport. Aujourd'hui encore, il reste une figure majeure dans le domaine de l'architecture, constamment en quête de nouvelles perspectives pour défier les conventions et ériger des édifices marquants. Son dévouement envers l'innovation, allié à sa fusion unique d'art et d'ingénierie, font de lui un véritable visionnaire au sein du monde architectural. Pour clore en beauté, il convient de mentionner ses innombrables titres et distinctions qui témoignent de son impressionnante renommée. Parmi ceux-ci figurent le Grand Prix National de l'Architecture en 2006, la prestigieuse distinction de Commandeur des Arts et des Lettres en 2010. Son éblouissante carrière a également été honorée par les Médailles d'Or de l'Académie d'Architecture en 2005 et le titre d'Officier de l'Ordre National du Mérite en 2007, pour n'en citer que quelques-uns parmi de nombreux autres. Que vous soyez passionné d'architecture ou simplement curieux, cet épisode vous est destiné. Laissez-vous emporter dans une saga riche en histoire, en compagnie de l'un des architectes les plus marquants de son époque. Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : La vie précoce de Rudy, son parcours, son histoire, ses origines Le début de sa fascination pour le monde de l'architecture ainsi que ses plus grandes influences Ses racines méditerranéennes et comment celles-ci ont influencé sa vision architecturale, mettant l'accent sur la simplicité et l'harmonie avec la nature. La création de sa propre agence d'architecture à Bandol en 1980 Ses premières œuvres Sa passion persistante pour l'innovation et l'exploration de nouvelles possibilités à travers l'architecture. Comment Ricciotti marie l'art et l'ingénierie dans ses créations, avec un accent sur l'utilisation polyvalente et expressive du béton. Les innombrables distinctions et prix que Rudy Ricciotti a reçus au cours de sa carrière L'impact de Rudy Ricciotti sur l'architecture contemporaine ➜ Retrouvez toutes les références et les photos prises lors de l'enregistrement sur www.theboldway.fr Références Ballet Preljocaj au Pavillon Noir : Centre chorégraphique national conçu par Rudy 19M : Siège de Chanel conçu par Rudy École Nationale Supérieure d'Architecture de Marseille : Là où il a étudié Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée (le Mucem) : Musée conçu par Rudy Grand Prix National de l'Architecture : Prix gagné par Rudy en 2006 Commandeur de la Légion d'Honneur : Titre obtenu par Rudy en 2013 Commandeur des Arts et des Lettres : Titre obtenu par Rudy en 2010 Académie d'Architecture : Académie française qui a décerné la médaille d'argent à Rudy Ordre National du Mérite : Ordre honorifique français dont Rudy a été officier en 2007 Bandol : commune dans le sud de la France où Rudy a ouvert son cabinet d'architecture en 1980 Cassis : Commune où vit Rudy Ricciotti TheBoldWay ou The Bold Way, anciennement connu sous le nom de Entreprendre dans la mode ou EDLM , est un podcast produit et réalisé par Adrien Garcia.
Fabien Allo highlights his award-winning article, "Characterization of a carbonate geothermal reservoir using rock-physics-guided deep neural networks." In this episode with host Andrew Geary, Fabien shares the potential of deep neural networks (DNNs) in integrating seismic data for reservoir characterization. He explains why DNNs have yet to be widely utilized in the energy industry and why utilizing a training set was key to this study. Fabien also details why they did not include any original wells in the final training set and the advantages of neural networks over seismic inversion. He closes with how this method of training neural networks on synthetic data might be useful beyond the application to a geothermal study. This episode is an exciting opportunity to hear directly from an award-winning author on some of today's most cutting-edge geophysics tools. Listen to the full archive at https://seg.org/podcast. RELATED LINKS * Fabien Allo, Jean-Philippe Coulon, Jean-Luc Formento, Romain Reboul, Laure Capar, Mathieu Darnet, Benoit Issautier, Stephane Marc, and Alexandre Stopin, (2021), "Characterization of a carbonate geothermal reservoir using rock-physics-guided deep neural networks," The Leading Edge 40: 751–758. - https://doi.org/10.1190/tle40100751.1 BIOGRAPHY Fabien Allo received his BSc in mathematics, physics, and chemistry with a biology option from the Lycée Chateaubriand, Rennes (France) in 2000 and his MSc and engineering degree in geology from the École Nationale Supérieure de Géologie, Nancy (France) in 2003. Since joining CGG 20 years ago, he has held several roles in the UK, Brazil, and now Canada working on inventing, designing, and developing reservoir R&D workflows for seismic forward modeling and inversion with a specific focus on data integration through rock physics. Fabien was recently promoted to the position of rock physics & reservoir expert within CGG's TECH+ Reservoir R&D team. He has increasingly applied geoscience capabilities to energy transition areas, such as carbon capture & sequestration (CCS) and geothermal projects. He received the SEG Award for Best Paper in The Leading Edge in 2021 for a CGG-BRGM co-authored paper published in October 2021: "Characterization of a carbonate geothermal reservoir using rock-physics-guided deep neural networks." (https://www.cgg.com/sites/default/files/2021-10/TLE%20Oct%202021%20Allo%20et%20al%20Final%20published.pdf) CREDITS Seismic Soundoff explores the depth and usefulness of geophysics for the scientific community and the public. If you want to be the first to know about the next episode, please follow or subscribe to the podcast wherever you listen to podcasts. Two of our favorites are Apple Podcasts and"Spotify. If you have episode ideas, feedback for the show, or want to sponsor a future episode, find the "Contact Seismic Soundoff" box at https://seg.org/podcast. Zach Bridges created original music for this show. Andrew Geary hosted, edited, and produced this episode at TreasureMint. The SEG podcast team is Jennifer Cobb, Kathy Gamble, and Ally McGinnis.
Nous sommes 5,18 milliards d'utilisateurs d'internet dans le monde et nous consacrons en moyen 6h35 de nos journées à surfer sur le web. Entre la recherche d'information, les réunions en ligne, les réseaux sociaux, les sites de streaming vidéo... les activités en ligne sont nombreuses mais pas toujours sans conséquences. En cliquant sur des liens douteux, en partageant ses photos et sa vie privée, l'internet s'expose à des dangers. Hameçonnage, arnaque amoureuse, vol de données, … comment se protéger au mieux sur le net ? Comment savoir ce que nous partageons sans le savoir sur la toile ? Avec :- Nicolas Arpagian, vice-président du Cabinet Headmind Partners. Enseignant à l'École Nationale Supérieure de la Police (ENSP), à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye et à l'Université Polytechnique Mohammed VI au Maroc.- Jean-Marc Bourguignon, co-fondateur de Nothing2Hide, ONG spécialisée dans la sécurité numérique et l'usage des technologies au service de la protection et diffusion de l'information. Programmation musicale :► Atmósfera - Craneo, Bejo ► We Dey Chill - Ay eL, Fati, Kuami Eugene.
Nous sommes 5,18 milliards d'utilisateurs d'internet dans le monde et nous consacrons en moyen 6h35 de nos journées à surfer sur le web. Entre la recherche d'information, les réunions en ligne, les réseaux sociaux, les sites de streaming vidéo... les activités en ligne sont nombreuses mais pas toujours sans conséquences. En cliquant sur des liens douteux, en partageant ses photos et sa vie privée, l'internet s'expose à des dangers. Hameçonnage, arnaque amoureuse, vol de données, … comment se protéger au mieux sur le net ? Comment savoir ce que nous partageons sans le savoir sur la toile ? Avec :- Nicolas Arpagian, vice-président du Cabinet Headmind Partners. Enseignant à l'École Nationale Supérieure de la Police (ENSP), à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye et à l'Université Polytechnique Mohammed VI au Maroc.- Jean-Marc Bourguignon, co-fondateur de Nothing2Hide, ONG spécialisée dans la sécurité numérique et l'usage des technologies au service de la protection et diffusion de l'information. Programmation musicale :► Atmósfera - Craneo, Bejo ► We Dey Chill - Ay eL, Fati, Kuami Eugene.
داستان برند جیوانچیهوبرت جیمز تافین دو ژیوانشی کیست؟هوبرت ژیوانشی در سال 1927 در شهر بووه فرانسه به دنیا آمد. هنگامی که او نوجوان بود، خانه را ترک کرد تا به دنبال علاقه خود، طراحی باشد. او در École Nationale Supérieure des Beaux-Arts (مدرسه ی ملی برتر هنر های زیبا) تحصیل کرد و در نهایت در سال 1947 نزد السا شیاپارلی شاگردی کرد. پس از رسیدن به سمت مدیر هنری در این برند، Givenchy تصمیم گرفت در سال 1952 از این سمت خارج شود و مستقل شود. خواندن ، تحلیل و بررسی کتاب ها و مقالات مدیریت مرتبط با حوزه مدیریت و کارآفرینی مناسب هنرجویان طلا و جواهرسازی به صورت گسترده مناسب علاقه مندان به حوزه فشن. و همچنین مصاحبه با بزرگان و حرفه ای های این صنعت.در این پادکست قصد داریم تا مطالب مدیریتی که مورد نیاز کارآفرینان حوزه مد است را با هم مرور کنیم.http://www.ardavananoosh.comhttps://www.twitter.com/ardavananooshardavananoosh [@] gmail.comhttps://www.instagram.com/ardavananoosh
Le 15 août 2022, poussés dehors par la junte au pouvoir à Bamako, les derniers soldats de l'opération Barkhane quittaient le territoire malien. Un départ en catimini après 9 ans sur place à combattre les groupes armés jihadistes. Nouvel affront pour Paris : le 24 janvier 2023, la junte burkinabè demandait le retrait sous un mois des forces spéciales françaises de l'opération Sabre stationnées au Burkina Faso... Mali, Burkina : deux pays dont une large partie du territoire est désormais aux mains de la mouvance jihadiste, deux pays dirigés par des putschistes, deux pays déchirés par les conflits communautaires, deux pays où Moscou avance ses pions via les mercenaires de Wagner. Quelles sont les leçons à tirer de cette guerre «anti-terroriste» menée par Barkhane au Sahel pendant 9 ans ? Pourquoi cette montée du sentiment anti-français dans la région ? Est-ce un épiphénomène ou le signe qu'une page se tourne, que l'Afrique veut désormais être maîtresse de son destin et de ses alliances, même si elles déplaisent aux Occidentaux. Dans ce contexte, quelle stratégie à présent pour la France au Sahel et y a-t-elle encore un rôle à jouer ? Trois invités - Rémi Carayol, journaliste indépendant, auteur de «Le mirage sahélien», aux éditions La Découverte - Oswald Padonou, professeur à l'École Nationale Supérieure des Armées, au Bénin - Elie Tenenbaum, directeur du Centre des Études de sécurité de l'IFRI, l'Institut Français de Relations Internationales. Co-auteur avec Marc Hecker de «La guerre de vingt ans. Djihadisme et contre-terrorisme au XXIème siècle», paru chez Robert Laffont en 2021, sorti en poche en 2022 augmenté d'une préface actualisée.
Julie Curtiss was born in Paris, France, and lives and works in Brooklyn, NY. She holds an MFA and a BA from École Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Paris, France. Her work is included in the permanent collections of the High Museum, Atlanta, GA; MCA Chicago, Chicago, IL; Columbus Museum of Art, Columbus, OH; Bronx Museum of Art, NY; Los Angeles County Museum of Art, CA; Walker Art Centre, Minneapolis, MN; Maki Collection, Tokyo; Centre Pompidou, Paris, France; Dallas Museum of Art, Dallas, TX; Museum of Contemporary Art San Diego, CA; and Yuz Museum Shanghai, China. Julie is represented by Anton Kern Gallery and White Cube. Julie Curtiss Waiting room, 2022 Oil and vinyl paint on canvas 60 × 48 inches (152 4 x 121.9 cm Julie Curtiss Ice cream truck, 2022 Acrylic and oil on canvas 40 × 32 inches (101.6 × 81.3 cm) Mauvais Sang, 2020, Oil, acrylic, and vinyl on canvas 30 × 25 in (76.2 × 63.5 cm)
La question de l'énergie est dans la bouche de toutes et tous aujourd'hui. Et Jean-Pierre Clamadieu est au cœur du réacteur puisqu'il est à la tête d'une des plus grandes entreprises énergétiques françaises : Engie. Anciennement GDF Suez, le groupe est né en 2008 de la fusion entre Gaz de France et Suez, et emploie à ce jour près de 160 000 salariés. Né à Chambéry d'un père cheminot et d'une mère couturière, il mène un parcours scolaire brillant qui le mène jusqu'à devenir étudiant au sein de la prestigieuse École Nationale Supérieure des Mines de Paris, puis Ingénieur en Chef du Corps des Mines. Après avoir travaillé dans l'administration française, il passe dans le privé chez Rhônes-Poulenc puis chez Rhodia dont il mène la fusion avec le groupe Solvay. En 2018, il est nommé par le président de la république et les administrateurs d'Engie à la tête du groupe énergétique. La méritocratie républicaine qu'il incarne est-elle encore d'actualité ? Comment est-il parvenu à se frayer un chemin jusqu'à l'un des plus grands groupes français ? Quelle est sa position et l'action de son groupe à propos de la crise énergétique historique que l'on vit ? Il est avec nous aujourd'hui pour nous répondre et revenir sur son parcours unique.
durée : 00:04:11 - Chroniques littorales de José-Manuel Lamarque - par : Jose Manuel Lamarque - Le Centre d'entraînement à la survie et au sauvetage en mer
GUEST OVERVIEW: Laurent Guyénot was born in France in 1960. After graduating as an engineer from the École Nationale Supérieure de Techniques Avancées in Paris, and working in the armaments industry in the United States for two years, he turned to the study of religious history and anthropology. He has earned a PhD in Medieval Studies in The Sorbonne, Paris. He has been researching America's "deep history" for the last ten years, and has been a contributor to Voltairenet.organd The Unz Review unz.com. His book JFK-911 is a signal contribution to our understanding of the common threads linking the two gravest Deep State crimes in American history.
durée : 00:21:10 - Journal de 12h30 - La première vague de mobilisation en Russie est passée. Et déjà les jeunes soldats à peine entraînés se retrouvent pour certains envoyés sur la ligne de front. - invités : François Purseigle sociologue spécialiste du monde agricole, professeur à l'École Nationale Supérieure Agronomique de Toulouse
In this sixth episode of the Stanford d.school spotlight; Barry Svigals gives a peek of the thoughts around his book Changing the Conversation about School Safety. Published as a d.school guide. Read it here: https://issuu.com/stanforddschool/docs/changingtheconversationaboutschoolsafety-k12lab.Can over-securing reduce feelings of enjoyment and senses of safety? How does might an obsession with safety present obstacles and challenges when designing learning environments and systems?Barry Svigals offers a brave and bold approach to safety in schools from a unique and close perspective of school shootings and the following decision making. After all the safest place to learn would be a reinforced concrete padded box but we could imagine a-lot would be lost in such environments.Design for our environments and systems should be a way that isn't static and involve those who best know the environment, people, and the dynamic of safety in the context of creating a learning environment that will enliven and delight students of all ages.Barry' Svigals is an artist, architect, musician, keynote speaker and thought leader, Barry Svigals is helping communities and organizations become more creative and collaborative, making places that express who they are. Trained as both an artist and an architect, he wove those two worlds together in the founding of an architecture+art firm which he led for over 30 years. Work, play, surprise, and fun are all part of the collective effort to infuse “making with meaning.” At the heart of it all is his passion to challenge his own creativity as well as the creativity of others in service of what is needed in the world. A graduate of Yale College and the Yale School of Architecture, Barry also studied sculpture at the École Nationale Supèrieure des Beaux Arts in Paris. Along the way he enjoyed another kind of education playing rock and roll in with a band that still plays today. All of that contributed to a long list of projects for diverse clients, among them major universities such as Yale, Boston College and the University of Connecticut as well as major corporations and institutions such PepsiCo and the Metropolitan Museum of Art. Residential clients included Keith Richards and Patti Hansen as well as Garry Trudeau and Jane Pauley. The firm's best known project is the Sandy Hook School in Newtown, Connecticut completed in 2016.In addition to speaking engagements, Barry is currently preparing for an exhibition of his paintings in Italy in spring 2020 and is working on a book, How We Are Matters, which will be published in late 2019.Hosted by The Learning Future's very own Louka Parry, indulge your cortex in some modern thinking at the forefront of educational design with our amazing guest.Transcription upon request - e-mail hello@thelearningfuture.com