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durée : 00:13:58 - Le Disque classique du jour du mardi 25 mars 2025 - Dans cet enregistrement, Clément Lefebvre invite l'auditeur à plonger dans l'univers envoûtant et visionnaire d'Alexandre Scriabine. À travers ses Impromptus, la Troisième Sonate et la Fantaisie, l'interprète dévoile les premières fulgurances créatrices d'un compositeur en quête d'absolu.
durée : 01:27:36 - En pistes ! du mardi 25 mars 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - A retrouver aujourd'hui, des sonates et préludes interprétés par de jeunes artistes comme le français Clément Lefebvre ou le japonais Nobuyuki Tsujii. Côté musique orchestrale, un capriccio espagnol signé Rimski-Korsakov.
durée : 00:13:58 - Le Disque classique du jour du mardi 25 mars 2025 - Dans cet enregistrement, Clément Lefebvre invite l'auditeur à plonger dans l'univers envoûtant et visionnaire d'Alexandre Scriabine. À travers ses Impromptus, la Troisième Sonate et la Fantaisie, l'interprète dévoile les premières fulgurances créatrices d'un compositeur en quête d'absolu.
durée : 01:27:36 - En pistes ! du mardi 25 mars 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - A retrouver aujourd'hui, des sonates et préludes interprétés par de jeunes artistes comme le français Clément Lefebvre ou le japonais Nobuyuki Tsujii. Côté musique orchestrale, un capriccio espagnol signé Rimski-Korsakov.
durée : 01:59:04 - The Curious Bards ; Clément Lefebvre ; The Theater of Music ; Carlos Zaragoza ; Quintette du Hot Club de France - par : Clément Rochefort - The Curious Bards : chants et danses de la Scandinavie du XVIIIème siècle ; Clément Lefebvre, à la découverte du jeune Scriabine ; The Theater of Music : musiques anglaises du XVIIème siècle ; Carlos Zaragoza, saxophone, et Kishin Nagai, piano ; le Quintette du Hot Club de France - réalisé par : Claire Lagarde
durée : 01:28:48 - En pistes ! du vendredi 14 mars 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Ce matin, on ouvre l'émission avec la musique virtuose de Paganini par la jeune violoniste andalouse María Dueñas ! À découvrir également : Scriabine par le pianiste Yunjie Chen, un disque autour des traditions bulgares ou l'album Le Temps des Lilas de l'ensemble I Giardini
durée : 01:28:48 - En pistes ! du vendredi 14 mars 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Ce matin, on ouvre l'émission avec la musique virtuose de Paganini par la jeune violoniste andalouse María Dueñas ! À découvrir également : Scriabine par le pianiste Yunjie Chen, un disque autour des traditions bulgares ou l'album Le Temps des Lilas de l'ensemble I Giardini
durée : 01:28:37 - En pistes ! du mardi 04 février 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Un voyage de Moscou à Venise en passant par Paris avec au programme : Victor Julien-Laferrière qui enregistre un Tchaïkovski méconnu, une intégrale des sonates de Scriabine, la musique de Fauré, ou le dernier disque consacré à Venise du violoncelliste Giovanni Sollima
durée : 01:28:37 - En pistes ! du mardi 04 février 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Un voyage de Moscou à Venise en passant par Paris avec au programme : Victor Julien-Laferrière qui enregistre un Tchaïkovski méconnu, une intégrale des sonates de Scriabine, la musique de Fauré, ou le dernier disque consacré à Venise du violoncelliste Giovanni Sollima
durée : 01:28:22 - Lang Lang, un virtuose superstar - par : Aurélie Moreau - Lang Lang, pianiste d'une immense célébrité, versé dans plusieurs genres musicaux, consacre la plus grande part de son art au répertoire classique. Au programme aujourd'hui : Mendelssohn, Mozart, Liszt, Beethoven, Scriabine et Saint-Saëns.
durée : 01:27:33 - En pistes ! du mercredi 22 janvier 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - A l'affiche ce matin : une double actualité de Christophe Rousset que l'on retrouve au clavecin chez Bach et à la baguette pour une Olimpiade de Cimarosa, mais aussi Scriabine, la harpe de Marie-Pierre Langlamet et la musique de Vítězslava Kaprálová
durée : 01:27:33 - En pistes ! du mercredi 22 janvier 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - A l'affiche ce matin : une double actualité de Christophe Rousset que l'on retrouve au clavecin chez Bach et à la baguette pour une Olimpiade de Cimarosa, mais aussi Scriabine, la harpe de Marie-Pierre Langlamet et la musique de Vítězslava Kaprálová
durée : 00:09:58 - Les visions mystiques d'Alexandre Scriabine - par : Max Dozolme - Ce matin, Max Dozolme nous parle du plus mystique de tous les compositeurs, c'est un Russe et il est l'auteur d'œuvres sublimes, d'une certaine manière prophétiques ou en tout cas en avance sur son temps.
durée : 01:28:10 - Severin von Eckardstein, virtuosité puissante et interprétations contrastées - par : Aurélie Moreau - Pianiste possédant une maîtrise exceptionnelle du clavier et l'art de faire jaillir la lumière de son jeu, Severin von Eckardstein donnera un récital à Paris mardi 17 décembre. Au programme aujourd'hui : Ravel, Scriabine, Korngold, Wagner, Schumann…
durée : 01:28:03 - En pistes ! du jeudi 03 octobre 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Du grand piano vous attend aujourd'hui. Vous découvrirez des préludes de Chopin et Scriabine par Mao Fujita, un grand récital de Purcell et du Mozart par Grigory Sokolov. En pistes !
durée : 01:28:03 - En pistes ! du jeudi 03 octobre 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Du grand piano vous attend aujourd'hui. Vous découvrirez des préludes de Chopin et Scriabine par Mao Fujita, un grand récital de Purcell et du Mozart par Grigory Sokolov. En pistes !
durée : 00:58:38 - Vadym Kholodenko, lyrisme et profondeur - par : Aurélie Moreau - Vadym Kholodenko a rapidement été reconnu comme l'un des pianistes les plus marquants de notre époque. A propos de ses disques, Philippe Cassard nous dit : « chaque témoignage musical – Tchaïkovski, Scriabine, Liszt – est une fête! » (Nouvel Obs).
L'AJAM confie sa clôture de saison à la jeune pianiste Nour Ayadi originaire de Casablanca. Sélectionnée dans la catégorie Révélation soliste instrumental des Victoires de la Musique classique, la jeune virtuose propose un programme varié : Fauré, Scriabine, Ravel, Albéniz et Stravinski. Le lien vers notre article complet : https://www.azur-fm.com/news/derniere-serie-de-concerts-pour-lajam-2110Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:33:48 - Relax ! du mardi 02 avril 2024 - par : Lionel Esparza - Aujourd'hui, un programme fait de bric et de broc ! Des découvertes, des inédits, des ignorés, et quelques incontournables pour équilibrer le tout. - réalisé par : Antoine Courtin
durée : 00:58:56 - Une heure, un compositeur : Alexandre Scriabine - par : Aurélie Moreau - La vie de Scriabine, selon les mots de Jean-Yves Clément, se résume à son œuvre, et à rien d'autre ! Une existence entièrement dédiée à sa pensée et à son art, émergeant d'un solipsisme très particulier, porteur de sa propre philosophie, aussi floue et désordonnée soit-elle.
durée : 01:28:40 - En pistes ! du vendredi 01 décembre 2023 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Pour clôturer cette semaine musicale avec Emilie et Rodolphe, nous entendrons Lars Vogt et l'Orchestre de chambre de Paris au service de Mozart, Philippe Jarrousky et Le concert de la loge dans Piccinni, mais également la pianiste Cordelia Williams interprétant la musique de Scriabine. En pistes !
durée : 01:29:06 - En pistes ! du mardi 20 décembre 2022 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Ce matin, c'est la musique de Jean-Sébastien Bach qui ouvre le bal avec la "Sinfonia en ré majeur" interprétée à la flûte à bec par Erik Bosgraaf. Nous écouterons également les oeuvrtes de de Mozart, Brahms, Fauré ou encore Scriabine.
durée : 01:29:40 - En pistes ! du lundi 19 décembre 2022 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Au programme de ce premier jour de la semaine : le Collegium 1704 interprétant Smetana et Zelenka mais aussi Sophie Dervaux et son basson ou encore la pianiste turco-belge, Isil Bengi, jouant Scriabine. En Piste !
durée : 01:58:35 - Nikita Magaloff (2/2) : la musique russe - par : Philippe Cassard - La musique russe avec l'accent rrrrrusse ! Où l'on entend Magaloff évoquer Prokofiev, jouer Stravinsky avec Stravinsky, et aussi Scriabine, Tchaïkovsky et Rachmaninov. - réalisé par : Colin Gruel
durée : 00:24:57 - Scriabine, Concerto pour piano - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur le concerto pour piano op 20 du pianiste, compositeur et poète Russe, Alexandre Scriabine ! - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:21:13 - Disques de légende du mercredi 02 novembre 2022 - 22 août 1968 : Svetlanov dirige le « Poème de l'Extase » chef-d'œuvre orchestral de d'Alexandre Scriabine.
durée : 01:28:50 - Anatol Ugorski, pianiste - par : François-Xavier Szymczak - Brimé par les autorités soviétiques pour ses liens avec la musique contemporaine occidentale, Anatol Ugorski fut redécouvert à partir des années 90 grâce à ses enregistrements Deutsche Grammophon, dont un somptueux Concerto de Scriabine dirigé par Pierre Boulez à Chicago ...
Vanessa Wagner présente l'album Study Of The Invisible (InFiné). S'il y a une constante chez Vanessa Wagner, c'est bien sa versatilité, au sens où l'entendent les Anglo-Saxons. Parallèlement à sa carrière de musicienne interprétant le grand répertoire soliste, chambriste et concertant sur les scènes du monde entier (et l'enregistrant pour le label La Dolce Volta), celle que Le Monde qualifie de "pianiste la plus délicieusement singulière de sa génération" et que Libération décrit comme "une des pianistes les plus curieuses et captivantes du paysage hexagonal - arpente avec la complicité du label InFiné des chemins tout aussi personnels, mais peut-être plus intimes". Après Statea en 2016, en duo avec le musicien électronique Murcof, elle vient aujourd'hui poursuivre avec Study Of The Invisible le voyage entamé sur son disque solo Inland (2019). Un voyage qui la voit défricher ce répertoire qu'elle est en France, voire en Europe, pratiquement la seule pianiste "classique" à aborder. Un répertoire contemporain et intemporel que l'on qualifiera, pour aller vite, de "minimaliste", mais qui recouvre en réalité une multitude d'univers singuliers et de personnalités musicales souvent hors du commun, toutes générations confondues. Pour composer ce programme, Vanessa Wagner a creusé son passionnant travail de découverte entamé avec Inland, assemblant des pièces rares qui tissent entre elles une mystérieuse histoire. Parmi les 15 stations qui composent ce palpitant périple, les États-Unis se taillent la part du lion. Sous le parrainage de Moondog, le viking aveugle et visionnaire, dont le très "bachien". Prélude en la majeur de 1961 constitue la pièce la plus ancienne du disque, se côtoient les icônes du minimalisme - l'incontournable Philip Glass, l'inclassable Harold Budd, pape de la musique ambient -, les représentants de la première génération de "postminimalistes" - Peter Garland, David Lang ou Julia Wolfe, nés dans les années 1950 - et la jeune garde : Bryce Dessner, Nico Muhly, Timo Andres, nés entre 1976 et 1985. Mais aussi quelques outsideuses de choix : Suzanne Ciani, plus connue (tout est relatif) comme pionnière de la musique électronique ou l'étonnante Caroline Shaw, qui fut en 2013, à 31 ans, la plus jeune lauréate du prix Pulitzer, et dont l'univers va et vient librement entre musiques "savante" et "populaire". Tout aussi inclassables, apparaissent aussi les œuvres et les parcours de l'Italien Ezio Bosso, du Français Melaine Dalibert ou, bien sûr, des frères Brian et Roger Eno, autres musiciens d'entre les mondes. Ces partitions qui peuvent de prime abord paraître simples techniquement - quoique les Études de Philip Glass ou de Nico Muhly exigent une vélocité extravagante - réclament en réalité de l'interprète - bien davantage que la simple virtuosité : une intériorité, une authentique disposition de l'âme. À l'instar de la musique d'Érik Satie, c'est une musique qu'il appartient à chacun d'habiter en se gardant de la dénaturer. Ainsi l'exploration à laquelle se livre Vanessa Wagner est aussi une quête : "Chercher son intériorité : c'est ce que j'aime de plus en plus dans la musique." Après avoir joué Scriabine, Rachmaninov ou Ravel, explorer l'intensité sans déluge de notes, le dépouillement comme mode d'expression me passionne. Il s'agit pour l'interprète de faire ressortir une vraie atmosphère, une respiration du tempo, une sensualité du son, de mettre une intensité dans chaque intention, et faire vivre et vibrer les espaces entre chaque note. "Ce n'est pas une musique légère, c'est une musique intense émotionnellement, qui va en profondeur, dans laquelle on met une part de son histoire…" Marier à ce degré d'intensité le contrôle - celui du toucher, du son - et l'abandon n'est pas à la portée de tous les instrumentistes. Tel est le sens de Study Of The Invisible : aller chercher ce monde mystérieux qui vit derrière la partition, les liens imperceptibles qui unissent ces silences et ces harmonies, mais aussi ces ressources intérieures que cette musique est capable de mettre à jour. Avec ce disque et ce voyage, Vanessa Wagner dont l'apparente mélancolie s'avère en fin de compte puissamment réconfortante, continue de donner ses lettres de noblesse à une musique qui, mieux que brillante, se révèle avant tout rayonnante et lumineuse. Et Labelle présente Eclat (InFiné/ Eumolpe), son nouvel album pour quatuor à cordes et électro-maloya avec la participation du quatuor Metavers. Avec Éclat - moment unique d'étincelle de la création - Labelle continue son exploration de l'infinie possibilité de la composition débutée en 2019 avec Orchestre Univers. Son quatrième album studio, centré autour d'un quatuor à cordes, est né lors d'une répétition à laquelle assistait Labelle : assis à côté des cordes, il les observe communiquer entre eux dans un langage sans paroles, presque télépathique, fait de contacts visuels, de hochements de tête et de coups d'archets. Depuis ses débuts, le compositeur aime s'affranchir des règles orchestrales traditionnelles pour expérimenter, innover et "créoliser" son art. "J'ai écrit pour eux comme si j'écrivais pour un groupe de rock." Jeremy précise : "Tu as ta section rythmique, tes deux guitares lead et un seul musicien joue de la basse." Dans la musique classique, le langage entre les musiciens est la clé - la conversation entre les lignes et les musiciens crée quelque chose d'organique et vivant. Ainsi, Labelle écrit aussi les parties électroniques pour qu'elles aient une double fonction : élément musical d'une part, clef de compréhension de l'œuvre d'autre part, devenant ainsi une partie du langage entre les musiciens. Ensemble, ils explorent un son unique où l'orchestration classique rencontre le Maloya, l'électronique moderne rencontre les instruments organiques, l'Afrique rencontre l'Europe, la terre rencontre l'espace. Labelle cherche l'inspiration partout : Mes Mondes a été augmenté d'un quart de ton pour correspondre à la gamme de la musique Gnaoua du Maroc, un morceau très rythmé et hypnotique étroitement lié au Maloya de La Réunion, pays d'origine de l'artiste. Le morceau suivant, Dann Ron Maloya, est une construction jusqu'à RON, la seule fois sur le disque où les quatre musiciens jouent la même ligne, un récit musical de l'état de transe que la musique et la danse Maloya peuvent permettre d'atteindre. Ils s'élèvent et s'élèvent jusqu'à ce qu'ils soient noyés dans la distorsion, ressemblant plus à un solo de guitare rock qu'à un quatuor à cordes. Le titre éponyme Éclat est peut-être celui qui s'inscrit le plus directement dans la lignée du précédent album de l'artiste, Orchestre Univers, évoquant un son cosmique, comme un orchestre suspendu en apesanteur. De nombreuses chansons ont d'abord été enregistrées lors d'une série de concerts, avant que la pandémie ne frappe en 2020, puis réenregistrées, éditées et superposées au cours d'une année de confinement. Sur le disque fini, grâce à un mixage et une production exceptionnelle, il est impossible de distinguer ce qui a été enregistré en direct de ce qui a été enregistré en studio : un témoignage du niveau étonnant de détails apporté à cet album. Pour immortaliser et ajouter la touche finale à cette expérimentation, le disque a été envoyé à Hector Plimmer pour un mixage supplémentaire. La touche jazz et expérimentale du producteur anglais déconstruit encore plus le quatuor à cordes, l'amenant vers un résultat encore plus beau et singulier. Labelle a créé un disque capable d'unir des éléments de rock, de jazz, d'électronique et de musique classique sans jamais perdre l'auditeur, il l'attire en l'introduisant lentement dans un monde où la musique se libère de toutes ses barrières. Ce n'est définitivement plus de la musique classique qu'il compose. À propos de Labelle Jeremy Labelle est à l'avant-garde d'une jeune génération de musiciens réunionnais représentant et développant le son Maloya à travers le monde. Après avoir enregistré sa première œuvre orchestrale Orchestre Univers lors de quatre concerts à guichets fermés à La Réunion, Éclat continue cette série de recherches atour de la composition classique et des sons traditionnels de son île. Titres interprétés au Grand studio à RFI - Étude n°16 [Philip Glass] Live RFI Vanessa Wagner voir le clip - Elude Live RFI Labelle - Prélude N°1 In A Minor [Moondog] Live RFI Vanessa Wagner - Mes Mondes enchainé avec Dann Ron Maloya Live RFI Labelle (4'15'' au total) - Explore ! Live RFI commun Vanessa Wagner et Labelle (Ennéade). Son Benoît Letirant, Fabien Mugneret, Mathias Taylor (Rediffusion du 5 juin 2022)
Vanessa Wagner présente l'album Study Of The Invisible (InFiné). S'il y a une constante chez Vanessa Wagner, c'est bien sa versatilité, au sens où l'entendent les Anglo-Saxons. Parallèlement à sa carrière de musicienne interprétant le grand répertoire soliste, chambriste et concertant sur les scènes du monde entier (et l'enregistrant pour le label La Dolce Volta), celle que Le Monde qualifie de "pianiste la plus délicieusement singulière de sa génération" et que Libération décrit comme "une des pianistes les plus curieuses et captivantes du paysage hexagonal - arpente avec la complicité du label InFiné des chemins tout aussi personnels, mais peut-être plus intimes". Après Statea en 2016, en duo avec le musicien électronique Murcof, elle vient aujourd'hui poursuivre avec Study Of The Invisible le voyage entamé sur son disque solo Inland (2019). Un voyage qui la voit défricher ce répertoire qu'elle est en France, voire en Europe, pratiquement la seule pianiste "classique" à aborder. Un répertoire contemporain et intemporel que l'on qualifiera, pour aller vite, de "minimaliste", mais qui recouvre en réalité une multitude d'univers singuliers et de personnalités musicales souvent hors du commun, toutes générations confondues. Pour composer ce programme, Vanessa Wagner a creusé son passionnant travail de découverte entamé avec Inland, assemblant des pièces rares qui tissent entre elles une mystérieuse histoire. Parmi les 15 stations qui composent ce palpitant périple, les États-Unis se taillent la part du lion. Sous le parrainage de Moondog, le Viking aveugle et visionnaire, dont le très "bachien". Prélude en la majeur de 1961 constitue la pièce la plus ancienne du disque, se côtoient les icônes du minimalisme –l'incontournable Philip Glass, l'inclassable Harold Budd, pape de la musique ambient -, les représentants de la première génération de "postminimalistes" –Peter Garland, David Lang ou Julia Wolfe, nés dans les années 1950 – et la jeune garde : Bryce Dessner, Nico Muhly, Timo Andres, nés entre 1976 et 1985. Mais aussi quelques outsideuses de choix : Suzanne Ciani, plus connue (tout est relatif) comme pionnière de la musique électronique ou l'étonnante Caroline Shaw, qui fut en 2013, à 31 ans, la plus jeune lauréate du prix Pulitzer, et dont l'univers va et vient librement entre musiques "savante" et "populaire". Tout aussi inclassables, apparaissent aussi les œuvres et les parcours de l'Italien Ezio Bosso, du Français Melaine Dalibert ou, bien sûr, des frères Brian et Roger Eno, autres musiciens d'entre les mondes. Ces partitions qui peuvent de prime abord paraître simples techniquement - quoique les Études de Philip Glass ou de Nico Muhly exigent une vélocité extravagante – réclament en réalité de l'interprète –bien davantage que la simple virtuosité : une intériorité, une authentique disposition de l'âme. À l'instar de la musique d'Erik Satie, c'est une musique qu'il appartient à chacun d'habiter en se gardant de la dénaturer. Ainsi l'exploration à laquelle se livre Vanessa Wagner est aussi une quête : "Chercher son intériorité : c'est ce que j'aime de plus en plus dans la musique." Après avoir joué Scriabine, Rachmaninov ou Ravel, explorer l'intensité sans déluge de notes, le dépouillement comme mode d'expression me passionne. Il s'agit pour l'interprète de faire ressortir une vraie atmosphère, une respiration du tempo, une sensualité du son, de mettre une intensité dans chaque intention, et faire vivre et vibrer les espaces entre chaque note. "Ce n'est pas une musique légère, c'est une musique intense émotionnellement, qui va en profondeur, dans laquelle on met une part de son histoire…" Marier à ce degré d'intensité le contrôle – celui du toucher, du son – et l'abandon n'est pas à la portée de tous les instrumentistes. Tel est le sens de Study Of The Invisible : aller chercher ce monde mystérieux qui vit derrière la partition, les liens imperceptibles qui unissent ces silences et ces harmonies, mais aussi ces ressources intérieures que cette musique est capable de mettre à jour. Avec ce disque et ce voyage, Vanessa Wagner dont l'apparente mélancolie s'avère en fin de compte puissamment réconfortante, continue de donner ses lettres de noblesse à une musique qui, mieux que brillante, se révèle avant tout rayonnante et lumineuse. Et Labelle présente Eclat (InFiné/ Eumolpe), son nouvel album pour quatuor à cordes et électro-maloya avec la participation du quatuor Metavers. Avec Éclat - moment unique d'étincelle de la création - Labelle continue son exploration de l'infinie possibilité de la composition débutée en 2019 avec Orchestre Univers. Son quatrième album studio, centré autour d'un quatuor à cordes, est né lors d'une répétition à laquelle assistait Labelle : assis à côté des cordes, il les observe communiquer entre eux dans un langage sans paroles, presque télépathique, fait de contacts visuels, de hochements de tête et de coups d'archets. Depuis ses débuts, le compositeur aime s'affranchir des règles orchestrales traditionnelles pour expérimenter, innover et "créoliser" son art. "J'ai écrit pour eux comme si j'écrivais pour un groupe de rock". Jeremy précise : "tu as ta section rythmique, tes deux guitares lead et un seul musicien joue de la basse". Dans la musique classique, le langage entre les musiciens est la clé - la conversation entre les lignes et les musiciens crée quelque chose d'organique et vivant. Ainsi, Labelle écrit aussi les parties électroniques pour qu'elles aient une double fonction : élément musical d'une part, clef de compréhension de l'œuvre d'autre part, devenant ainsi une partie du langage entre les musiciens. Ensemble, ils explorent un son unique où l'orchestration classique rencontre le Maloya, l'électronique moderne rencontre les instruments organiques, l'Afrique rencontre l'Europe, la terre rencontre l'espace. Labelle cherche l'inspiration partout : ‘Mes Mondes' a été augmenté d'un quart de ton pour correspondre à la gamme de la musique Gnaoua du Maroc, un morceau très rythmé et hypnotique étroitement lié au Maloya de La Réunion, pays d'origine de l'artiste. Le morceau suivant, ‘Dann Ron Maloya', est une construction jusqu'à ‘RON', la seule fois sur le disque où les quatre musiciens jouent la même ligne, un récit musical de l'état de transe que la musique et la danse Maloya peuvent permettre d'atteindre. Ils s'élèvent et s'élèvent jusqu'à ce qu'ils soient noyés dans la distorsion, ressemblant plus à un solo de guitare rock qu'à un quatuor à cordes. Le titre éponyme Éclat est peut-être celui qui s'inscrit le plus directement dans la lignée du précédent album de l'artiste, Orchestre Univers, évoquant un son cosmique, comme un orchestre suspendu en apesanteur. De nombreuses chansons ont d'abord été enregistrées lors d'une série de concerts, avant que la pandémie ne frappe en 2020, puis réenregistrées, éditées et superposées au cours d'une année de confinement. Sur le disque fini, grâce à un mixage et une production exceptionnelle, il est impossible de distinguer ce qui a été enregistré en direct de ce qui a été enregistré en studio : un témoignage du niveau étonnant de détails apporté à cet album. Pour immortaliser et ajouter la touche finale à cette expérimentation, le disque a été envoyé à Hector Plimmer pour un mixage supplémentaire. La touche jazz et expérimentale du producteur anglais déconstruit encore plus le quatuor à cordes, l'amenant vers un résultat encore plus beau et singulier. Labelle a créé un disque capable d'unir des éléments de rock, de jazz, d'électronique et de musique classique sans jamais perdre l'auditeur, il l'attire en l'introduisant lentement dans un monde où la musique se libère de toutes ses barrières. Ce n'est définitivement plus de la musique classique qu'il compose. À propos de Labelle : Jeremy Labelle est à l'avant-garde d'une jeune génération de musiciens réunionnais représentant et développant le son Maloya à travers le monde. Après avoir enregistré sa première œuvre orchestrale Orchestre Univers lors de quatre concerts à guichets fermés à La Réunion, Éclat continue cette série de recherches atour de la composition classique et des sons traditionnels de son île. Titres interprétés au Grand studio à RFI - Étude n°16 [Philip Glass] Live RFI Vanessa Wagner voir le clip - Elude Live RFI Labelle - Prélude N°1 In A Minor [Moondog] Live RFI Vanessa Wagner - Mes Mondes enchainé avec Dann Ron Maloya Live RFI Labelle (4'15'' au total) - Explore ! Live RFI commun Vanessa Wagner et Labelle (Ennéade). Son : Benoît Letirant, Fabien Mugneret, Mathias Taylor.
durée : 02:04:59 - Les Nuits de France Culture - Par Guy Erismann - Avec Michel Hofmann (écrivain, musicologue et traducteur franco-russe) - En illustration des disques rares et des ouvres inédites. Mélodies de Richard Strauss chantées par Richard Tauber (vers 1930) ; scène de la forge extraite de "Siegfried" de Richard Wagner par Lauritz Melchior et Albert Reiss, orchestre symphonique de Londres dirigé par Albert Coates (vers 1930) ; "Symphonie n°1" de Scriabine par l'orchestre de la radio d'état de l'URSS dirigé par Ievgueni Svetlanov ; "Zdravitsa" de Serge Prokofiev par les chours et l'orchestre de la radio d'état de l'URSS dirigé par Ievgueni Svetlanov ; "Les chants de la serve affranchie" de Serge Slonimsky par Youreneva et Kramsov, orchestre philharmonique de Leningrad dirigé par Jansons - Réalisation Janine Antoine
durée : 00:25:01 - Scriabine, Poème de l'extase - par : Anne-Charlotte Rémond - Dans cet épisode de Musicopolis, Anne-Charlotte Rémond revient sur la genèse du "Poème de l'extase" du compositeur russe Alexandre Scriabine (1872-1915). - réalisé par : Philippe Petit
durée : 00:58:45 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - De quelle façon un Mallarmé ou un Scriabine, poursuivent-ils des projet d'oeuvres cosmiques et ambitieuses, au risque de l'inachèvement? demande Pierre-Michel Menger. Le sociologue analyse la sémantique du choix dans l'acte créateur et nous propose une typologie. - invités : Pierre-Michel Menger sociologue, professeur au Collège de France depuis 2013 où il occupe la chaire Sociologie du travail créateur. Avec lui, nous reviendrons sur l'impact de la pandémie sur la création artistique et sur la vie des auteurs-artistes, sur le rapport Racine et s
durée : 01:56:53 - En pistes ! du mercredi 23 juin 2021 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Le "Ballet royal de la naissance de Vénus" de Lully par les Talens Lyriques et Christophe Rousset; le nouvel album de la violoniste coréenne Bomsori Kim ; programme russe pour le piano avec Moussorgski et Scriabine par Michele Campanella; un oratorio de Baldassare Galuppi... - réalisé par : Gilles Blanchard
durée : 00:58:33 - La trompette de Bach à Chostakovitch, en soliste et à l'orchestre - par : Aurélie Moreau - Le timbre éclatant de la trompette utilisé par Bach, Rossini, Telemann, Chostakovtich, Scriabine et Gustav Mahler dans le van de France Musique. - réalisé par : Louise Loubrieu
durée : 00:58:12 - Alexandre Scriabine, un mystique novateur - par : Aurélie Moreau - “La mélodie et l’harmonie représentent les deux aspects d’un principe unique. Ma mélodie est une harmonie décomposée et mon harmonie une mélodie condensée", expliquait Alexandre Scriabine à propos de son univers harmonique. - réalisé par : Olivier Guérin
Entre « Lumière » de la forme et « (R)évolution » du fond, le parcours de Vanessa Benelli Mosell s'affranchit des genres, des codes, des « modes » bref d'un quelconque « classicisme du classique » ; Pour preuve un choix de répertoire aux allures de champ des possibles sans limite pour cette merveilleuse passeuse d'émotion. De Stravinsky à Debussy, Scriabine, Ravel ou encore Stockhausen, dont la pianiste mais également cheffe d'orchestre peut s'enorgueillir d'avoir été l'une des dernières élèves, Vanessa Benelli Mosell se plait à emprunter des chemins de traverse, menant d'une baguette de fer dans un toucher de velours une carrière sans fausses notes. Avec « Casta Diva », la musicienne fait aujourd'hui un peu plus encore chanter son piano et renoue avec ses racines transalpines, nous proposant, de Puccini, Rossini ou Bellini quelques-uns des plus célèbres airs de l'opéra italien dans des transcriptions fruits du génie de Liszt, Chopin ou encore Thalberg. Quand le piano donne de la voix…
durée : 00:29:05 - Hommage à Dmitri Bashkirov - Dmitri Bashkirov, grand pianiste et pédagogue de génie nous a quittés le 7 mars 2021. Interprète recherché de Bach et Beethoven notamment, il a aussi conquis le public dans des oeuvres de Scriabine et Prokofiev. Il était membre du Trio des Solistes de Moscou avec lequel il jouait entre autres Mozart
Après des albums hauts en couleurs consacrés aux œuvres de Debussy, Messiaen, Bach, Liszt ou Scriabine, Célimène Daudet nous ouvre son cœur pour un retour aux sources chargé d'émotion. Avec « Haïti mon amour », les partitions s'érigent en déclarations enflammées. Les touches blanches et noires de son instrument, parfaites analogies à la dualité de ses propres racines, sont, pour la musicienne, l'occasion de délicieusement nous immerger dans une culture haïtienne dont on se plait à découvrir, entre-autre, le trop méconnu « Chopin noir » Ludovic Lamothe et ses œuvres aux inspirations romantiques. Loin du répertoire « classique », Célimène Daudet écrit une page de poésie musicale amoureuse où culture et art se mêlent avec un égal bonheur. Île en vue !
durée : 01:56:37 - En pistes ! du mercredi 10 février 2021 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Au menu du jour également : du piano avec la jeune Josefa Schmidt dans un programme réunissant Debussy, Crumb, Ravel et Scriabine ; un trio de Nino Rota et des sonates pour violon et piano de Brahms ; une collection de mélodies françaises sur le thème des fleurs par la soprano Melody Louledjian... - réalisé par : Lionel Quantin
durée : 01:28:04 - Pascal Amoyel, pianiste - par : François-Xavier Szymczak - Pascal Amoyel est à l’honneur aujourd’hui dans Arabesques ! De Chopin à Chostakovitch, en passant par Grieg, Liszt, Alkan et Scriabine, nous ferons quelques escales dans sa discographie, croisant à plusieurs reprises l’archet de la violoncelliste Emmanuelle Bertrand... - réalisé par : Céline Parfenoff
Sur la partition de certains Préludes, Scriabine écrivait « Douloureux déchirant ». Alors que l’interprète peut être tenté d’y voir une indication de jeu et s’en saisir comme une demande du compositeur à donner à l’exécution de telle page des accents douloureux et déchirants, ces annotations peuvent rester à l’état de témoignage d’un état d’esprit. Au lieu … Continuer la lecture de « Metaclassique #106 – Annoter »
durée : 00:58:28 - L'énergie et la précision de Lorin Maazel - par : Aurélie Moreau - Il est celui à propos de qui les musiciens de tous les orchestres s'accordent pour reconnaître la virtuosité de sa technique, l'infaillibilité de son oreille et la prodigiosité de sa mémoire : Lorin Maazel dirige Prokofiev, Sibelius, Puccini, Johann Strauss, Rimsky-Korsakov et Scriabine. - réalisé par : Adrien Roch
durée : 00:58:30 - Autour d'Alexandre Scriabine et Richard Wagner - par : Aurélie Moreau - Deux pages lyriques de Richard Wagner : extraites des Maîtres chanteurs et des Wesendonck-Lieder, avec une superbe page symphonique : son Idylle de Siegfried, associées à la musique d'Alexandre Scriabine dont nous écouterons quelques oeuvres pour piano et et un extrait de sa 3e Symphonie. - réalisé par : Louise Loubrieu
"Après le succès de son dernier album solo consacré à Messiaen et Debussy, Célimène Daudet revient au disque avec un nouveau dyptique, faisant cette fois résonner les dernières œuvres de Scriabine et Liszt. Elle nous invite ainsi à rentrer dans un univers intriguant, énigmatique, quasi-mystique, comme un ultime pèlerinage aux confins des possibilités sonores du piano. Construit autour des thématiques de la nuit, de la mort et du mystère, ce récital réunit des oeuvres emblématiques telles que la Sonate No. 9 "Messe noire", Vers la flamme de Scriabine ou Lugubre Gondola No. 2 et La Notte de Liszt." © Nomadmusic
durée : 00:58:09 - Leon Fleisher joue Beethoven - par : Aurélie Moreau - Leon Fleisher avait une trentaine d'années lorsqu'il a été choisi par George Szell pour enregistrer les cinq concertos de Beethoven, complément ainsi l'intégrale des symphonies du même Beethoven enregistrée par Szell avec son orchestre de Cleveland. - réalisé par : Louise Loubrieu
Nouvelle diffusion, ce dimanche, de la rencontre avec Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden, deux membres du quatuor de guitares ' Four Aces '. C'était ce 27 octobre 2019. "Et si Mozart avait joué de la guitare", c'est à partir de ce postulat, aussi sympathique, saugrenu, sérieux qu'intrigant qu'est né "Tabula Rasa" le 4e disque du "Four Aces guitar quartet" Le quatuor "Four aces", est comme son nom le dit un quatuor de guitares constitué de Menno Buggenhout, Inti De Maet, Stijn Verrelst et Maarten Vandenbemden . Fondé en 2009, il publie en ce moment son 4e disque "Tabula rasa". Deux de ses membres sont nos invités : les guitaristes Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden. " Tabula rasa " tente de répondre à une question que s'est posée le quatuor : "Que se serait-il passé si de grands Maîtres comme Jean-Sébastien Bach, Mozart, Chopin, Rachmaninov ou Bizet avaient composé pour la guitare ? " On se surprend bien sûr lorsqu'on ne connaît pas le monde de la guitare, à découvrir que ces grands compositeurs ne se sont pas intéressés à cet instrument !! La guitare a donc manifestement souffert d'un manque d'intérêt et de considération évidents, au cours des siècles passés. C'est pour pallier ce manque, pour ouvrir de nouveaux horizons au public et aux guitaristes, mais surtout pour se faire plaisir que les 4 membres du "Four Aces guitar quartet" se sont attelés à la transcription de chefs d'oeuvre du répertoire, de JS Bach, à Rachmaninov et Debussy, en passant par Mozart, Bizet et Scriabine. Essentiellement des oeuvres pour piano. Le résultat est d'abord un disque à la finition technique impeccable, mais c'est surtout dans la finesse des transcriptions que s'expriment le talent et la créativité de cette formation. " Une transcription doit bien sûr d'abord respecter le texte original ", nous confiera le guitariste Maarten Vandenbemden, " Mais elle doit aussi tenter d'y apporter une valeur ajoutée. " Une mission accomplie avec brio donc, en particulier dans la célèbre Marche Turque de Mozart qui clot ce disque. Le charme des transcriptions du "Four Aces guitar quartet", c'est aussi de nous donner à entendre davantage et autre chose que la partition originale. Le cas des "Estampes" de Claude Debussy est exemplaire à cet égard, tant la finesse des quatre voix donnent à Debussy une palette de couleurs, rarement entendue dans la version originale pour piano. Cela étant dit, ces transcriptions ne devraient pas non plus laisser penser qu'on n'a pas écrit du tout pour la guitare au cours des siècles passés! Le répertoire est abondant, en particulier à l'époque baroque, au 20e et à notre 21e siècle. On pense par exemple à des figures aussi importantes que Luciano Berio ou Toru Takemitsu. "Tabula rasa" et ce postulat "Et si Mozart avait joué de la guitare..." sont donc une vraie réussite. C'est d'abord un travail d'orfèvre qui ravira les mélomanes avertis, mais aussi un voyage sensoriel charmant, par la beauté des mélodies originales, et l'inventivité de leurs transcriptions : le "Four Aces guitar quartet" parvient ainsi à toucher un large public. "Tout le monde a une histoire avec la guitare", nous dira le guitariste Maarten Vandenbemden. " Que ce soit via un père, une soeur, une amie ou un cousin. Tout le monde connaît, de près ou de loin, quelqu'un qui a joué cet instrument ! " "Tabula Rasa" est publié chez Beeldenstorm Bonne écoute ! Réalisation et présentation: Laurent GRAULUS
Nouvelle diffusion, ce dimanche, de la rencontre avec Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden, deux membres du quatuor de guitares ' Four Aces '. C'était ce 27 octobre 2019. "Et si Mozart avait joué de la guitare", c'est à partir de ce postulat, aussi sympathique, saugrenu, sérieux qu'intrigant qu'est né "Tabula Rasa" le 4e disque du "Four Aces guitar quartet" Le quatuor "Four aces", est comme son nom le dit un quatuor de guitares constitué de Menno Buggenhout, Inti De Maet, Stijn Verrelst et Maarten Vandenbemden . Fondé en 2009, il publie en ce moment son 4e disque "Tabula rasa". Deux de ses membres sont nos invités : les guitaristes Stein Verrelst et Maarten Vandenbemden. " Tabula rasa " tente de répondre à une question que s'est posée le quatuor : "Que se serait-il passé si de grands Maîtres comme Jean-Sébastien Bach, Mozart, Chopin, Rachmaninov ou Bizet avaient composé pour la guitare ? " On se surprend bien sûr lorsqu'on ne connaît pas le monde de la guitare, à découvrir que ces grands compositeurs ne se sont pas intéressés à cet instrument !! La guitare a donc manifestement souffert d'un manque d'intérêt et de considération évidents, au cours des siècles passés. C'est pour pallier ce manque, pour ouvrir de nouveaux horizons au public et aux guitaristes, mais surtout pour se faire plaisir que les 4 membres du "Four Aces guitar quartet" se sont attelés à la transcription de chefs d'oeuvre du répertoire, de JS Bach, à Rachmaninov et Debussy, en passant par Mozart, Bizet et Scriabine. Essentiellement des oeuvres pour piano. Le résultat est d'abord un disque à la finition technique impeccable, mais c'est surtout dans la finesse des transcriptions que s'expriment le talent et la créativité de cette formation. " Une transcription doit bien sûr d'abord respecter le texte original ", nous confiera le guitariste Maarten Vandenbemden, " Mais elle doit aussi tenter d'y apporter une valeur ajoutée. " Une mission accomplie avec brio donc, en particulier dans la célèbre Marche Turque de Mozart qui clot ce disque. Le charme des transcriptions du "Four Aces guitar quartet", c'est aussi de nous donner à entendre davantage et autre chose que la partition originale. Le cas des "Estampes" de Claude Debussy est exemplaire à cet égard, tant la finesse des quatre voix donnent à Debussy une palette de couleurs, rarement entendue dans la version originale pour piano. Cela étant dit, ces transcriptions ne devraient pas non plus laisser penser qu'on n'a pas écrit du tout pour la guitare au cours des siècles passés! Le répertoire est abondant, en particulier à l'époque baroque, au 20e et à notre 21e siècle. On pense par exemple à des figures aussi importantes que Luciano Berio ou Toru Takemitsu. "Tabula rasa" et ce postulat "Et si Mozart avait joué de la guitare..." sont donc une vraie réussite. C'est d'abord un travail d'orfèvre qui ravira les mélomanes avertis, mais aussi un voyage sensoriel charmant, par la beauté des mélodies originales, et l'inventivité de leurs transcriptions : le "Four Aces guitar quartet" parvient ainsi à toucher un large public. "Tout le monde a une histoire avec la guitare", nous dira le guitariste Maarten Vandenbemden. " Que ce soit via un père, une soeur, une amie ou un cousin. Tout le monde connaît, de près ou de loin, quelqu'un qui a joué cet instrument ! " "Tabula Rasa" est publié chez Beeldenstorm Bonne écoute ! Réalisation et présentation: Laurent GRAULUS
durée : 00:12:34 - Silver age : Scriabine, Stravinsky, Prokofiev - Daniil Trifonov - Un très grand disque que le dernier enregistrement de Daniil Trifonov autour de Prokofiev, Stravinsky et Scriabine. Interprété avec l'Orchestre du Mariinsky, ce programme imposant témoigne de cet "âge d'argent" où ces trois compositeurs ont bouleversé l'histoire musicale de la Russie.
durée : 01:28:55 - Samson François, le nocturne du piano (2/5) - par : François-Xavier Szymczak - Samson François présentait « Mozart-Chopin-Debussy » comme sa Sainte Trinité. Nous les retrouverons aujourd’hui, avec en prime Fauré dans un de ses nocturnes, Scriabine et sa Troisième Sonate ou encore Beethoven dans Sonate au clair de lune. - réalisé par : Emmanuel Benito
durée : 00:57:50 - Musique matin du jeudi 20 août 2020 - par : Gabrielle Oliveira-Guyon - Le pianiste russe Boris Berezovsky nous livrera ce soir, le tout dernier concert du festival Pianos Folies au Touquet, dans la salle Ravel du Palais des Congrès. Ravel qui sera, par ailleurs, au programme de son récital ce jeudi 20 août, aux côtés de Debussy, Scriabine et Gerschwin. - réalisé par : Laurence Malonda
durée : 01:59:34 - Été Classique Matin du jeudi 06 août 2020 - par : Philippe Cassard - Philippe Cassard a sélectionné pour vous les enregistrements préférés de sa discothèque. - réalisé par : Davy Travailleur
durée : 00:58:44 - Un florilège - par : Aurélie Moreau - Beethoven, Wagner, Scriabine et Mozart pour conclure notre saison. - réalisé par : Sophie Pichon
durée : 01:57:44 - En pistes ! du lundi 22 juin 2020 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Au programme du jour également : Christian Zacharias dirige depuis son clavier l’Orchestre national d’Auvergne dans les Concertos de Carl Philipp Emanuel Bach; la pianiste Célimène Daudet revient au disque avec un nouveau diptyque faisant résonner les dernières œuvres de Scriabine et Liszt... - réalisé par : Davy Travailleur
La pianiste Lydia Jardon vient de faire paraître un disque consacré à trois sonates de Nicolaï Miaskovsky. Ce compositeur fut très proche de Prokofiev, sa musique évoque tantôt Scriabine, Medtner ou Rachmaninov mais revêt une très grande personnalité qui lui est propre. Lydia Jardon évoque cette musique avec passion. -- Générique de l'émission : Concert pour violon, piano et quatuor à cordes en ré majeur op. 21 (Sicilienne) de Ernest Chausson Par Itzhak Perlman, Jorge Bolet et le Juilliard String Quartet Mixage : Léo Sulmon
durée : 01:59:25 - Musique matin du vendredi 20 décembre 2019 - par : Gabrielle Oliveira-Guyon - Nous recevons aujourd'hui Nicolas Simon, à l'origine du Philharmonicoeur, un orchestre "solidaire, humaniste, altruiste, désintéressé et citoyen" ; il sera accompagné par le contrebassiste et arrangeur Lucas Henri. - réalisé par : Yassine Bouzar
durée : 01:59:21 - Musique matin du jeudi 14 novembre 2019 - par : Jean-Baptiste Urbain - Pour la cinquième saison de l'Instant Lyrique, nous recevons Karine Deshayes, sa marraine, toute la journée à l'honneur sur France Musique. La mezzo-soprano vient également de sortir deux disques "Offenbach - Fables de La Fontaine" et "Une Amoureuse Flamme", consacrés à des airs d'opéra français. - réalisé par : Yassine Bouzar
durée : 00:06:36 - Tendez l'oreille du samedi 28 septembre 2019 - par : Christophe Dilys - "Tendez l'oreille" version "Tendez l'Olympe" revient dans cet épisode sur le mythe de Prométhée : un mythe vieux comme Hésiode, qui a inspiré Beethoven, Percy Shelley, Scriabine, Schubert ou encore Frankenstein, et qui raconte les dangers de concurrencer les dieux dans la création de la vie.
durée : 02:58:42 - Été Classique Matin du jeudi 18 juillet 2019 - par : Charlotte Landru-Chandès - Préparez-vous à passer la matinée en compagnie de Poulenc, Debussy, Ravel, Saint-Saëns… Egalement au programme, de la musique romantique avec Brahms et Schumann et un peu de musique baroque. - réalisé par : Béatrice Trichet
durée : 02:58:27 - Été Classique Matin du jeudi 11 juillet 2019 - par : Benjamin François - Une entrée en matière tout sauf sérieuse avec Rossini et Offenbach, plus tard le très beau « Prométhée » de Scriabine sous la baguette de Riccardo Muti. Et en 3ème heure, notre trublion du classique, Teodor Currentzis, dans Tchaïkovski et Chostakovitch : que du bonheur ! - réalisé par : Jean-Charles Diéval
durée : 00:28:24 - La Grande table (1ère partie) - L'un des plus grand pianistes russes actuels, Boris Berezovsky, est invité à l’occasion de son récital de piano au Théâtre des Champs Elysées, le mardi 25 juin à 20h. Au programme, un compositeur phare de son répertoire, Rachamninov, et ses transcriptions, ainsi que du Scriabine...
durée : 00:28:24 - La Grande table (1ère partie) - L'un des plus grand pianistes russes actuels, Boris Berezovsky, est invité à l’occasion de son récital de piano au Théâtre des Champs Elysées, le mardi 25 juin à 20h. Au programme, un compositeur phare de son répertoire, Rachamninov, et ses transcriptions, ainsi que du Scriabine...
durée : 01:58:44 - Severin von Eckardstein (né en 1978), un Grand d'Allemagne - par : Philippe Cassard - Quel pianiste ! Peu connu en France, mais cultivant un tropisme francophile dans son répertoire, von Eckardstein a été 1er Prix Reine Elizabeth (2003) et poursuit depuis une belle carrière internationale. Ses enregistrements de Schubert, Schumann, Medtner et Scriabine sont déjà des références. - réalisé par : Pierre Willer
Vladimir Stoupel est un musicien pourvu d'un éventail sonore et émotionnel d'une richesse extraordinaire. Il s'aventure jusqu'aux limites extrêmes de l'expression avec une intensité qui emporte inéluctablement ses auditeurs. Sa pensée symphonique confère une dimension orchestrale à son jeu pianistique. Son enregistrement intégral des Sonates de Scriabine a reçu, parmi d'autres récompenses, le prix luxembourgeois « Excellentia ». La presse internationale a qualifié ses concerts comme étant des « feux d'artifice pianistiques » (Washington Post) et une « interprétation hors du commun » (Der Tagesspiegel Berlin). Vladimir Stoupel est souvent reconnu pour être l'instigateur et l'organisateur de programmes qui rompent avec les programmations conventionnelles, où il s'agit pour lui de réattribuer aux chefs-d'œuvre injustement tombés dans l'oubli leur place méritée, ainsi que de remettre en valeur leurs hautes qualités musicales en interaction avec les œuvres connues du répertoire. Il est constamment invité à offrir sa contribution exclusive dans les plus grands festivals internationaux, comme le Schleswig-Holstein Musikfestival, le Festival Piano en Valois (France), les Brandenburgischen Sommerkonzerten, le Printemps des Arts à Monte-Carlo, le Festival d'Helsinki, le Festival La Grange de Meslay à Tours (France) et le Bargemusic Festival à New York. En tant que directeur artistique, il dirige en collaboration avec Judith Ingolfsson son propre festival "Aigues-Vives En Musiques" dans le sud de la France. En tant que concertiste soliste, Vladimir Stoupel est invité par les orchestres de référence, tels l'Orchestre philharmonique de Berlin, l'Orchestre du Konzerthaus de Berlin, l'Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l'Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise, l'Orchestre symphonique allemand de Berlin, l'Orchestre symphonique de la Radiodiffusion berlinoise, l'Orchestre national russe, l'Orchestre national de Weimar, l'Orchestre national de Mayence, l'Orchestre philharmonique national de Cassel et l'Orchestre symphonique de Lancaster. Il travaille régulièrement avec les chefs d'orchestre Christian Thielemann, Michail Jurowski, Leopold Hager, Marek Janowski, Steven Sloane, Stefan Malzew, Patrik Ringborg et Günther Neuhold. Vladimir Stoupel s'est produit dans les salles les plus célèbres, telles la Philharmonie et le Konzerthaus de Berlin, l'Avery Fisher Hall à New York, la National Gallery à Washington DC, la Grosse Musikhalle à Hambourg et le Konzerthaus de Dortmund, pour n'en citer que quelques-unes. Sa vaste discographie dévoile différents styles et époques, tels que, par exemple, des œuvres pour piano de Chostakovitch (RPC, 1988), les œuvres complètes pour piano d'Arnold Schönberg (chez auris subtilis, 2001), de la musique de chambre de Schumann et de Brahms (chez auris subtilis, 2002), l'intégralité des sonates d'Alexandre Scriabine (chez Audite, 2008) et une sélection de musique pour piano du 20ème siècle (EDA 2007). L'enregistrement de l'œuvre complète pour alto et piano d'Henri Vieuxtemps avec l'altiste Thomas Selditz a reçu le fameux « Preis der deutschen Schallplattenkritik » (prix convoité de la critique allemande de l'industrie du disque). Ses trois CD «Concert-Centenaire», enregistrés avec la violoniste Judith Ingolfsson, avec des œuvres de Albéric Magnard, Rudi Stephan, Louis Vierne et Gabriel Fauré sont parus sur le label Accentus Music en 2016. Ils ont été acclamés par la critique internationale et le CD Fauré fut nominé pour les International Classical Music Awards 2017. Citoyen français depuis 1985, Vladimir Stoupel vit actuellement à Berlin.
Episode Summary: Today on the show we’re talking about the trade in illicit ivory. This is the focus of a new episode of the series, “Earth Focus” which airs on... Read more » The post EOC 025: The Illicit Ivory Trade with Raisa Scriabine, Kim Spencer and Miles Benson appeared first on Wild Lens.