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durée : 01:28:06 - En pistes ! du mardi 03 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - On découvrira le quintette de Florence Price et une étonnante suite pour clavecin de Fernande Decruck. On voyagera aussi du côté du baroque avec Monteverdi et Lully, et de la musique contemporaine avec un Requiem du compositeur allemand Sven Helbig...
durée : 01:28:06 - En pistes ! du mardi 03 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - On découvrira le quintette de Florence Price et une étonnante suite pour clavecin de Fernande Decruck. On voyagera aussi du côté du baroque avec Monteverdi et Lully, et de la musique contemporaine avec un Requiem du compositeur allemand Sven Helbig...
durée : 01:28:04 - En pistes ! du lundi 02 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - On débute cette semaine avec une archive inédite de la pianiste Catherine Collard et une version originale du Sacre du printemps de Stravinsky à 4 mains. A retrouver aussi, une nouvelle version d'Atys de Lully sous la baguette de Leonardo García-Alarcón...
durée : 01:28:04 - En pistes ! du lundi 02 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - On débute cette semaine avec une archive inédite de la pianiste Catherine Collard et une version originale du Sacre du printemps de Stravinsky à 4 mains. A retrouver aussi, une nouvelle version d'Atys de Lully sous la baguette de Leonardo García-Alarcón...
Carlos Iribarren | Los programas que dedicamos al ballet tienen siempre una recompensa maravillosa en forma de música dedicada a la danza, compuesta por maestros importantísimos desde el siglo XVI. En el programa de hoy, esas partituras corren por cuenta de autores del Renacimiento italiano, de genios del Barroco como Lully y Rameau o de maestros del Clasicismo como Michael Haydn y el gran W. A. Mozart. Ese recorrido de 3 siglos lo emprendemos gracias a una de nuestras invitadas favoritas, Nuria Balbaneda, profe de danza del Real Conservatorio de Danza Mariemma de Madrid y que acaba de publicar un libro muy completo sobre los principales aspectos de la materia que tanto ama: “La clase de ballet”. Nos desplazaremos por sus páginas mientras aprendemos sobre el origen de este arte y compartiremos las anécdotas más curiosas sobre sus coreógrafos, músicos, bailarines, mecenas, etc… Así de danzarina es la nueva entrega de Hoy Toca, el programa de Clásica FM que te quiere sorprender.
durée : 00:15:43 - Lully : Alceste, par les Épopées et le Chœur de l'Opéra Royal sous la direction de Stéphane Fuget - En 1674, Lully et Quinault créent Alceste, une tragédie en musique mêlant mythe grec et style baroque, qui rencontre le succès à la cour de Louis XIV. L'opéra affirme la tragédie en musique comme genre majeur.
durée : 01:27:30 - En pistes ! du lundi 28 avril 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Direction Versailles avec une nouvelle production d'Alceste de Lully qui réunit Véronique Gens, Cyril Auvity et Claire Lefilliatre. Le plus célèbre des mouvements lents des symphonies mahlériennes et le piano romantique de Brahms sont à retrouver également dans En Pistes aujourd'hui !
durée : 00:15:43 - Lully : Alceste, par les Épopées et le Chœur de l'Opéra Royal sous la direction de Stéphane Fuget - En 1674, Lully et Quinault créent Alceste, une tragédie en musique mêlant mythe grec et style baroque, qui rencontre le succès à la cour de Louis XIV. L'opéra affirme la tragédie en musique comme genre majeur.
durée : 01:27:30 - En pistes ! du lundi 28 avril 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Direction Versailles avec une nouvelle production d'Alceste de Lully qui réunit Véronique Gens, Cyril Auvity et Claire Lefilliatre. Le plus célèbre des mouvements lents des symphonies mahlériennes et le piano romantique de Brahms sont à retrouver également dans En Pistes aujourd'hui !
Dans un beau et passionnant livre intitulé, « Les musiciens et le pouvoir en France », (Gallimard), Maryvonne de Saint-Pulgent nous raconte ces liens, de Lully à Boulez. « Le rapport de Lully et Boulez au pouvoir et ses conséquences sur notre paysage musical ne sont pas des singularités, mais le fruit d'une exception française, due à la préférence nationale pour le mécénat d'État et les régimes politiques à exécutif fort », écrit l'auteure. Elle en parle avec passion dans IDÉES ce dimanche. Ancienne directrice de patrimoine au ministère de la Culture entre 1993 et 1997, professeure associée de musicologie à Paris IV, Maryvonne de Saint-Pulgent commence son histoire au temps de Louis XIV, par la place occupée par Lully « à qui la surintendance de la musique du roi avait permis d'exercer une forme de « dictature musicale » déplorée par Colbert ».L'auteure parcourt les siècles et note, avec de nombreux exemples, que ce soutien du pouvoir dépassait le mécénat classique qui se pratiquait « habituellement dans les cours européennes prédémocratiques ». Avec elle, nous avançons dans le temps ; la Révolution qui avait aussi ses musiciens et les régimes suivants, y compris la République qui « instrumentalisent l'art au service de leur propagande et favorisent une esthétique officielle ».Puis l'influence étatique passe du pouvoir aux Académies et naît la politique culturelle. Premiers jalons, ceux posés par Léon Blum, lors du Front populaire, « qui nourrit celle que mène ensuite un compagnon de route, l'écrivain André Malraux, lorsqu'il crée en 1959 le ministère des Affaires culturelles voulu par le général de Gaulle », écrit Maryvonne de Saint-Pulgent.Dernière étape, la seconde partie du XXè siècle et l'omnipotence de Pierre Boulez (dont on célèbre le centenaire en 2025) à qui plusieurs présidents de la République n'ont rien refusé.« Les musiciens et le pouvoir en France, de Lully à Boulez », Bibliothèque illustrée des histoires, Gallimard. Programmation musicale : Jean-Baptiste Lully (1632-1687) – « Atys – Ouverture », interprétée par l'ensemble musical Les Arts Florissants (direction : William Christie) « Ah ! Ça ira », interprété par Matthieu Lussier/ Les Jacobins Marie-Joseph Chénier (paroles) / Étienne-Nicolas Méhul (musique) – « Le chant du départ », interprété par l'orchestre de la Garde républicaine et le chœur de l'Armée française Hector Berlioz (1803-1869) – « La symphonie fantastique – Un bal », interprété par l'orchestre national de Lille (direction : Jean-Claude Casadesus) Gabriel Fauré (1845-1924) – « Requiem – Libera me », interprété par Simon Estes, l'orchestre de la Staatskapelle de Dresde et le Rundfunkchor de Leipzig (direction : Colin Davis) Pierre Boulez (1925-2016) – « Le marteau sans maître – Bel édifice et les pressentiments », interprété par l'ensemble InterContemporain (direction : Pierre Boulez) Maurice Ravel (1875-1937) – « Valses nobles et sentimentales – Assez animé », interprété par Ivo Pogorelich (piano).
Dans un beau et passionnant livre intitulé, « Les musiciens et le pouvoir en France », (Gallimard), Maryvonne de Saint-Pulgent nous raconte ces liens, de Lully à Boulez. « Le rapport de Lully et Boulez au pouvoir et ses conséquences sur notre paysage musical ne sont pas des singularités, mais le fruit d'une exception française, due à la préférence nationale pour le mécénat d'État et les régimes politiques à exécutif fort », écrit l'auteure. Elle en parle avec passion dans IDÉES ce dimanche. Ancienne directrice de patrimoine au ministère de la Culture entre 1993 et 1997, professeure associée de musicologie à Paris IV, Maryvonne de Saint-Pulgent commence son histoire au temps de Louis XIV, par la place occupée par Lully « à qui la surintendance de la musique du roi avait permis d'exercer une forme de « dictature musicale » déplorée par Colbert ».L'auteure parcourt les siècles et note, avec de nombreux exemples, que ce soutien du pouvoir dépassait le mécénat classique qui se pratiquait « habituellement dans les cours européennes prédémocratiques ». Avec elle, nous avançons dans le temps ; la Révolution qui avait aussi ses musiciens et les régimes suivants, y compris la République qui « instrumentalisent l'art au service de leur propagande et favorisent une esthétique officielle ».Puis l'influence étatique passe du pouvoir aux Académies et naît la politique culturelle. Premiers jalons, ceux posés par Léon Blum, lors du Front populaire, « qui nourrit celle que mène ensuite un compagnon de route, l'écrivain André Malraux, lorsqu'il crée en 1959 le ministère des Affaires culturelles voulu par le général de Gaulle », écrit Maryvonne de Saint-Pulgent.Dernière étape, la seconde partie du XXè siècle et l'omnipotence de Pierre Boulez (dont on célèbre le centenaire en 2025) à qui plusieurs présidents de la République n'ont rien refusé.« Les musiciens et le pouvoir en France, de Lully à Boulez », Bibliothèque illustrée des histoires, Gallimard. Programmation musicale : Jean-Baptiste Lully (1632-1687) – « Atys – Ouverture », interprétée par l'ensemble musical Les Arts Florissants (direction : William Christie) « Ah ! Ça ira », interprété par Matthieu Lussier/ Les Jacobins Marie-Joseph Chénier (paroles) / Étienne-Nicolas Méhul (musique) – « Le chant du départ », interprété par l'orchestre de la Garde républicaine et le chœur de l'Armée française Hector Berlioz (1803-1869) – « La symphonie fantastique – Un bal », interprété par l'orchestre national de Lille (direction : Jean-Claude Casadesus) Gabriel Fauré (1845-1924) – « Requiem – Libera me », interprété par Simon Estes, l'orchestre de la Staatskapelle de Dresde et le Rundfunkchor de Leipzig (direction : Colin Davis) Pierre Boulez (1925-2016) – « Le marteau sans maître – Bel édifice et les pressentiments », interprété par l'ensemble InterContemporain (direction : Pierre Boulez) Maurice Ravel (1875-1937) – « Valses nobles et sentimentales – Assez animé », interprété par Ivo Pogorelich (piano).
In deze aflevering van Kalm met Klassiek wanen we ons in de majesteuze zalen van het Paleis van Versailles, een kleine vierhonderd jaar terug in de tijd. Het waren de gloriedagen van het Franse hof, met aan het hoofd koning Lodewijk XIV, de Zonnekoning. Het waren óók de gloriedagen van hofcomponist Jean-Baptiste Lully. In opdracht van Lodewijk XIV schreef hij vele opera's en balletten, en vandaag hoor je muziek uit één van zijn theaterstukken, getiteld 'La grotte de Versailles'. Maak bij deze muziek je eigen voorstelling... Wil je meer Kalm met Klassiek? Ga naar npoklassiek.nl/kalmmetklassiek (https://www.npoklassiek.nl/thema/kalm-met-klassiek). Alle muziek uit de podcast vind je terug in de bijbehorende speellijst (https://open.spotify.com/playlist/6YgSfm1Sux7CroiJvzeUdx?si=be36463468d84e37). En klik hier (https://www.npoklassiek.nl/podcasts/klassieke-mysteries/53254/9-koningsdag-mysterie-wie-schreef-het-wilhelmus-s04) om te luisteren naar het Koningsdag-Mysterie.
Quoi de mieux que la musique de Lully pour découvrir ce lieu historique à bien des égards, fréquenté chaque année par 8,5 millions de visiteurs ? Versailles a décidé de célébrer à la fois la royauté et la République. La royauté avec une expérience inédite qui est proposée aux visiteurs depuis ce printemps : visiter les jardins de Louis XIV, jardins aujourd'hui disparus... Ecoutez La star du jour avec Stéphane Boudsocq du 14 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Die kulturelle Bedeutung des Wiener Hofs unter Leopold I wird sehr oft unterschätzt. Die meisten kennen Lully als Hofkomponisten des Sonnenkönigs, doch wer hat schon von Antonio Draghi gehört? Mit dem Kenner seiner Musik, dem Cembalisten Eugène Michelangeli, richten wir nun den Scheinwerfer auf diesen außergewöhnlichen Komponisten.Hier finden Sie den Link zur Biografie von Eugène Michelangeli.Dieser Link führt zu einer Aufführung von Antonio Draghis Sepolcro „Il terremoto“.Hier finden Sie den Tee der heutigen Sendung.Wenn Ihnen unser Podcast gefällt und Sie uns gerne unterstützen möchten, hier der Link zu unserem Spenden-Button. Wir freuen uns über Nachrichten, Sie können uns unter podcast@affinita.at gerne kontaktieren! Hier finden Sie die Homepage unseres Sponsors Jäger Tee in Wien.
durée : 01:28:31 - Relax ! du vendredi 28 mars 2025 - par : Lionel Esparza - Quelques petites marches, militaires, funèbres, nuptiales ou caractéristiques, signées Lully, Schubert, Elgar, Beethoven...
durée : 01:28:31 - Relax ! du vendredi 28 mars 2025 - par : Lionel Esparza - Quelques petites marches, militaires, funèbres, nuptiales ou caractéristiques, signées Lully, Schubert, Elgar, Beethoven...
Maryvonne de Saint-Pulgent présente "Les Musiciens et le Pouvoir en France, de Lully à Boulez", explorant les relations entre compositeurs français et régimes politiques, de Louis XIV à la Ve République. Elle montre comment certains, comme Lully, ont su tirer profit du pouvoir, tandis que d'autres, comme Berlioz, ont peiné à obtenir du soutien.Christophe Onot-Dit-Biot, écrivain et journaliste, partage sa fascination pour la mer dans "Mer intérieure". Plongeur passionné, il évoque l'imaginaire riche suscité par la mer, de son enfance au Havre à ses explorations sous-marines. Avec poésie, il décrit les trésors cachés des océans et la beauté des créatures marines menacées, comme le requin.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un livre, Un lecteur, émission présentée par Florence Berthout. Elle reçoit Maryvonne de Saint Pulgent, qui présentera son livre "Les musiciens et le pouvoir en France - De Lully à Boulez" aux éditions Gallimard. À propos du livre : « Les musiciens et le pouvoir en France - De Lully à Boulez » paru aux éditions Gallimard Partant de l'extraordinaire carrière offificielle de Pierre Boulez et de ses relations privilégiées avec les chefs d'État français, l'auteur s'interroge sur l'exceptionnalité de ce cas dans l'histoire musicale occidentale, hormis le précédent de Jean-Baptiste Lully, surintendant de la musique de Louis XIV et créateur de l'opéra français. Il montre que le rapport de Lully et Boulez au pouvoir et ses conséquences sur notre paysage musical ne sont pas des singularités, mais le fruit d'une exception française, due à la préférence nationale pour le mécénat d'État et les régimes politiques à exécutif fort, ainsi qu'à l'importance de la musique dans notre société, dont témoignent tant notre littérature qu'une très riche iconographie dessinée, gravée, peinte ou sculptée. Née sous la monarchie absolue, cette exception qui concerne aussi Rameau, Berlioz, Fauré et le groupe des Six perdure sous la Révolution, sous les monarchies du XIXᵉ siècle et au XXᵉ siècle, avec des éclipses pendant les régimes parlementaires, le relais étant alors pris par d'autres lieux de pouvoir, académies et salons parisiens notamment. Cette parenthèse de quatre siècles paraît refermée aujourd'hui, la musique savante ayant cessé d'intéresser les dirigeants politiques alors que disparaissait Pierre Boulez, dont on célèbre le centenaire en 2025. Le livre raconte, en dix moments de notre histoire et vingt et un compositeurs, les péripéties de cette relation particulière entre un art très politique et un pouvoir se voulant apollonien. Maryvonne de Saint Pulgent a été directeur du patrimoine au ministère de la Culture entre 1993 et 1997 et professeur associé de musicologie à Paris-IV. Elle a notamment publié aux Editions Gallimard Le gouvernement de la culture (1999), L'opéra-comique : Le gavroche de la musique (2010) et La Gloire de Notre-Dame : La foi et le pouvoir (2023).
durée : 00:29:38 - Avec Maryvonne de Saint Pulgent - par : Philippe Venturini - "Cette année Boulez rappelle la place qu'a pu occuper le musicien au XXe siècle. Une place importante, injustifiée pour certains, salutaire pour d'autres. On s'aperçoit que la relation entre Pierre Boulez et le pouvoir s'inscrit dans un courant qui prend sa source au XVIIe siècle" Philippe Venturini - réalisé par : Doria Zénine
Jaume Segalés y su equipo hablan del baile de carnaval en la Fundación Carlos de Amberes y de cine cláscio. Hoy en Km0, tras repasar la actualidad informativa y deportiva, profundizamos en los siguientes asuntos: Folía de Carnaval (baile de máscaras con música y danzas históricas) Hoy hablamos de un plan absolutamente sorprendente y original, ideal para celebrar San Valentín, que aúna Arte, música y danza en un lugar espectacular: Folía de Carnaval, una fiesta de máscaras exclusiva en Madrid. Hoy viernes 14 de febrero a las 19:30 en la Capilla de la Fundación Carlos de Amberes (c/ Claudio Coello, 99), la compañía de danza histórica Armonía Danza, en colaboración con la propia Fundación Carlos de Amberes, presenta su espectáculo Folía de Carnaval. Una experiencia participativa que recrea los bailes de máscaras de los siglos XVI y XVII al más puro estilo de las antiguas fiestas palaciegas. Con una cuidada iluminación y con decorados y vestuarios de época, 7 bailarines y un maestro de ceremonias desplegarán una experiencia escénica única combinando danza y teatro, con coreografías históricas renacentistas y barrocas al son de la música de Vivaldi o Lully, entre otros. Todo ello rodeado de una atmósfera elegante, íntima y festiva, en la que el elenco guiará al público, que también irá enmascarado, a lo largo de la representación. La velada culminará con un cóctel en la que se fusionará la música barroca y la electrónica. Una propuesta verdaderamente original creada por los directores de la compañía Armonía Danza, su fundadora Sofía Grande, a quien entrevistamos, y el coreógrafo Marco Bendoni. Sección de cine clásico Es sesión continua Antolín de la Torre hoy nos habla sobre El último tren de Gun Hill (Last Train from Gun Hill). Película estadounidense del género western dirigida por John Sturges, estrenada en 1959 y protagonizada por Kirk Douglas, Anthony Quinn, Carolyn Jones y Earl Holliman. Matt Morgan (Kirk Douglas) es un sheriff que busca venganza tras la violación y el asesinato de su mujer. Morgan advierte que los asesinos dejan una marca distintiva que le lleva hacia su viejo amigo Craig Belden (Anthony Quinn), un hombre que le trata muy bien hasta que se descubre que su hijo Rick está implicado en el asesinato. Morgan está determinado a capturar a Rick y decide hacerlo en el tren de las 9:00 en Gun Hill. Pero Rick sufre un percance con los hombres de Belden que intentan matarle para impedir que alcance a su hijo.
Send us a textToday's episode of The New Warehouse Podcast features returning guest Mike Myers, now the founder of Lully AI. A seasoned expert in automation and process improvement, Mike returns to the show to discuss his latest venture. Lully is breaking new ground in warehouse efficiency by enhancing existing systems without additional hardware. By focusing on software-driven optimization, Lully offers a cost-effective solution for warehouses, particularly those operating with minimal or no automation.Learn more about Surgere here. Find us at ProMat in Booth E1043! Follow us on LinkedIn and YouTube.Support the show
Mit 14 Jahren verlässt ein talentierter Junge seine Heimatstadt Florenz und geht nach Frankreich. Giovanni Battista Lulli heißt der Italiener, der das Glück hatte, als Tänzer, Geiger und Schauspieler an den Hof Ludwig XIV. zu kommen. Bald schon tanzt er mit dem jungen Ludwig Seite an Seite, der Ausgangspunkt für eine beispiellose Karriere am Hofe des Sonnenkönigs, die ihn in den Adelsstand hievte. Die Kompositionen von Lully, wie er sich bald französisch nannte, verbreiteten sich in ganz Europa. Wie war dieser Lully eigentlich? Unser ZOOM verrät es.
Virginie Girod raconte l'ascension d'une figure du Grand Sièce, le compositeur Jean-Baptiste Lully (1632-1687), dans le deuxième épisode d'un double récit inédit d'Au coeur de l'Histoire. Compositeur apprécié du Roi-Soleil, Lully collabore avec Molière afin d'œuvrer à la création de comédies-ballets. Le succès de l'illustre duo culmine en 1664, lors de la fête des Plaisirs de l'Ile Enchantée, à Versailles. Mais en 1687, une blessure fatale stoppe l'ascension du maître des fêtes de la Cour.
Con Isabel Juarez | La música nos acompaña a la hora de dormir con las nanas o nos hace más livianas las noches de insomnio, incluso es parte indispensable de las fiestas nocturnas. Con música de Mozart, Field, Scarlatti, Beethoven, Lully y Bach. La mejor música antigua, en Clásica FM, con Isabel Juarez.
The Montreal podcast that is proud to plug our own Lawrence Corber’s upcoming album recording “Lully” is giving you a free master class in recording a comedy album! Walter J. Lyng, Troy Stark and now Lawrence Corber (Lully to his[…]↓ Read the rest of this entry... The post Lawrence Corber Album Recording “Lully” – GPYS 305 appeared first on 9to5 (dot cc).
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Con Carlos Iribarren | Una de las cosas que más nos gusta de la música clásica es que sabemos que, por más y más maravillas que conozcamos, siempre nos va a quedar una cantidad enorme de joyas por descubrir. El musicógrafo y escritor Antonio Daganzo ha recopilado decenas de esas piezas en su libro “Música: Delicias del Asombro” y hemos decidido comentar con él una muestra de 6 ejemplos compuestos por autores del Renacimiento y del Barroco temprano y medio. Son músicos de diferentes países pero que comparten la maestría a la hora de crear obras de muchos quilates: Palestrina, Dowland, Da Venosa, Schütz, Lully y Charpentier son los elegidos para esta entrega que esperamos que disfrutes de principio a fin. Así de melodioso es el nuevo episodio de Hoy Toca, el programa de Clásica FM que te quiere sorprender.
Join us for another episode of the Prof Noctis Show where we are joined by the amazing @LullyJo ! Find out how Final Fantasy VII helped her find herself and her subsequent journey into content creation and reaction streaming (00:01:05-00:41:32). Next, we have a blast in our mini-game stretch break (00:41:32-00:50:07) and finally discuss her thoughts on the remake trilogy, especially her impressions of Rebirth (00:50:07-01:26:13).#ff7r #ff7rebirth #finalfantasy7 #ff7rebirth 0:00 -- Intro00:01:05 -- How FF7 Personally Impacted Lully Jo00:41:32 -- Mini-Game Stretch Break00:50:07 -- Lully's Hopes and Fears for Rebirth-------------------------------------------------Want to listen to the ProfNoctis Show on-the-go? Check out our audio-only version wherever you get your podcasts! Apple: https://podcasts.apple.com/us/podcast/the-profnoctis-weekly-show/id1756568221Spotify: https://open.spotify.com/show/1A9WZpJkxyxYwAR0Q0UMLS?si=2bc5e59640d54c9c-------------------------------------------------New episodes of the ProfNoctis Weekly Show release every Monday! https://youtube.com/@ProfNoctisCheck out my Livestream! http://twitch.tv/ProfNoctishttps://twitter.com/ProfNoctishttps://www.instagram.com/ProfNoctishttps://www.tiktok.com/@profnoctisJoin my Discord for even more discussion! https://discord.gg/mcrHhcZ3Fk__CLASS SUPPLIES and EXTRA CREDITAs an Amazon Associate I earn from qualifying purchases.Playstation 5 Console: https://amzn.to/46GNBb6Final Fantasy VII Rebirth for PS5: https://amzn.to/3LcnOxPGeek Therapy Card Deck for Clients and Therapists: 87 Practices to Improve Thoughts, Build Insight, Take Action in Your Life, & DestressCreated by Anthony Beanhttps://amzn.to/3VUyPKi
1954 landet der Barockkomponist Marc-Antoine Charpentier posthum einen Welthit: Da wird das Prélude seines Te Deum zur Eurovisionshymne und erklingt fortan vor TV-Klassikern wie dem ESC oder "Aktenzeichen XY". Dabei schrieb er die festliche Trompetenmelodie eigentlich für Ludwig XIV. Von Christoph Vratz.
As part of Radio 3's programming around LGBTQ+ Pride, Hannah French is joined by musicologists Berta Joncus and Lola Salem to explore the life and career of Jean-Baptiste Lully, who shot to fame at the court of King Louis XIV. Lully was an Italian violinist, guitarist and dancer, who caught the eye of the young King when they danced together in a ballet in 1653. Before long, he became an indispensable part of the Paris and Versailles music scenes, entertaining the royal family for the next thirty years and earning a very good salary from doing so. Lully was bisexual, and for many years his relationships with both men and women were never questioned – there was an implicit acceptance to same-sex desires among the upper echelons of 17th Century Parisian society. But in 1683, Queen Marie-Thérèse died, and the king's secret marriage to Madame de Maintenon changed everything. Devotion came to the fore at court, the king's enthusiasm for opera dissipated, he became increasingly annoyed by what he now considered Lully's dissolute lifestyle, and everything began to unravel…
DescriptionRoyal Harmonies: The Musical Splendor of France's Grand Court in 60 Seconds. Take a minute to get the scoop!Fun FactJean-Baptiste Lully, the master of French Baroque, is best known for his opera Armide and the grand ballet Le Bourgeois Gentilhomme. His work defined the court of Louis XIV, with the king himself often dancing in his productions. Lully's music, characterized by its rhythmic precision and grandeur, set the standard for French opera and ballet, making his compositions central to the opulent cultural life of the Sun King's Versailles.__________________________________________________________________About Steven, HostSteven is a Canadian composer & actor living in Toronto. Through his music, he creates a range of works, with an emphasis on the short-form genre—his muse being to offer the listener both the darker and more satiric shades of human existence. If you're interested, please check out his music website for more. Member of the Canadian League Of Composers.__________________________________________________________________You can FOLLOW ME on Instagram.
Certains se sont plu à imaginer une étroite amitié entre Molière et Louis XIV. Mais une telle intimité était exclue entre le monarque de droit divin et le simple comédien. Certains ont même imaginé qu'ils avaient pu partager un repas.Comment cette commensalité serait-elle possible, alors que le Roi, esclave d'un protocole immuable, mangeait souvent seul, lointaine idole qui ne saurait partager les plaisirs des simples mortels ?N'oublions pas non plus que les acteurs étaient alors l'objet d'une certaine réprobation et que l'Église n'autorisait pas leur inhumation en terre consacrée. Dès lors, comment le Roi-Soleil aurait-il pu frayer avec un tel personnage, qui plus est aux yeux de tous ?Ce qui ne veut pas dire que Louis XIV n'apprécie pas Molière. Bien au contraire. En effet, son goût personnel le portait vers le spectacle et il était lui-même un danseur émérite.En effet, il commence à danser très jeune et, jusqu'en 1670, il participe à pas moins de 27 ballets. De plus, il voyait l'art comme un moyen d'affirmer son ascendant sur les courtisans et l'élite de ses sujets.C'est en 1661, dans le cadre des grandes fêtes organisées par le surintendant Fouquet, dans son château de Vaux-le-Vicomte, que le Roi-Soleil rencontre Molière. Cette fête, jugée trop somptueuse par le Roi, vaut une disgrâce brutale à Fouquet, mais Molière, qui donne à cette occasion "Les fâcheux", la première comédie-ballet de l'histoire, est remarqué par le souverain.Dès lors, l'appui du Roi lui est assuré. C'est Molière qui, avec Lully, est chargé d'organiser, en 1664, les "Fêtes de l'Ile enchantée", que Louis XIV donne pour sa mère et sa femme.Le Roi riait aux mésaventures des personnages de Molière, sans se formaliser des audaces du dramaturge. C'est ainsi que les déboires d'Arnolphe, dans "L'école des femmes", lui rappelaient les avanies qu'il avait fait subir aux époux de ses nombreuses maîtresses.Même "Le Tartuffe", cette charge féroce contre les cagots et l'hypocrisie religieuse, reçoit le soutien du Roi, qui finit par autoriser la pièce, d'abord interdite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:28:09 - En pistes ! du jeudi 20 juin 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Au programme de ce jeudi matin sur les ondes d'En pistes ! Les incontournables Noces de Figaro, le Quatuor n°15 de Schubert, le Concerto pour piano n°2 de Prokofiev, également la 6ème symphonie de Tchaïkovski, Armide de Lully et des pièces pour orgue de Bach
durée : 00:25:03 - Jean-Baptiste Lully, Armide - par : Anne-Charlotte Rémond - Il y a 350, sous Louis XIV, naissait l'Académie Royale de Musique; Musicopolis célèbre l'évènement et vous invite à suivre pas à pas la genèse d' ''Armide'' de Jean-Baptiste Lully, créé au Théâtre du Palais-Royal le 15 février 1686 ! - réalisé par : Claire Lagarde
Er tanzte neben dem Sonnenkönig und das hat sein Leben verändert: Jean-Baptiste Lully. Durch die gemeinsame Begeisterung für das Ballett steigt Lully in der Gunst Ludwigs XIV immer höher und wird schließlich Frankreichs erster und einflussreichster Komponist. Uner ZOOM über die weniger bekannten, unschönen Methoden eines Aufsteigers.
durée : 00:12:31 - Le Disque classique du jour du mardi 30 avril 2024 - Le somptueux Te Deum de Lully et l'éclatant Exaudiat Te Dominus sont à l'honneur dans ce 4e et dernier volume de l'Intégrale des Grands Motets de Lully par Stéphane Fuget et Les Épopées
durée : 01:28:29 - En pistes ! du mardi 30 avril 2024 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Emilie et Rodolphe vous proposent ce matin de débuter avec le Te Deum de Lully, Une nuit sur le mont Chauve de Moussorgski dans sa version pour chœur, nous poursuivrons avec la Sonate n°2 pour piano de Rachmaninov, l'opéra "Déjanire" de Saint-Saëns par l'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo...
durée : 00:13:10 - La playlist du roi - Ensemble Molière - Dans ce nouvel enregistrement, l'Ensemble Molière nous offre une bande originale de musique dédiée à chaque instant de la journée du roi Louis XIV, mettant en vedette certains des plus grands compositeurs baroques français, dont Lully, Charpentier, Delalande et Marais.
This Day in Legal History: The Stamp Act of 1765On this day, March 22, 1765, a pivotal event in the prelude to the American Revolution occurred when the British Parliament enacted the Stamp Act. This legislation required that a wide array of documents within the American colonies—ranging from newspapers and legal documents to playing cards and dice—be printed on specially stamped paper produced in London, carrying an embossed revenue stamp. This act marked the first direct tax imposed by Britain on its American colonies, designed to raise funds to pay for the British troops stationed in North America after the French and Indian War.The Stamp Act ignited a firestorm of protest across the American colonies. Colonists united under the banner of "No taxation without representation," arguing that the British Parliament had no authority to levy taxes on them since they were not represented in the House of Commons. This principle challenged the very foundation of British authority in the colonies and set the stage for the escalating conflict that would eventually lead to the American Revolution.The colonies' response was swift and decisive. By October 1765, the Stamp Act Congress convened in New York City, bringing together representatives from nine of the thirteen colonies. This Congress was a significant step towards colonial unity, drafting a detailed petition to King George III and the British Parliament, demanding the repeal of the Stamp Act. They argued that only their own colonial assemblies had the legal authority to tax them.The Act also spurred the formation of secret societies, such as the Sons of Liberty, which organized protests and even intimidated stamp distributors, leading many to resign. The widespread boycott of British goods by American colonists further strained economic relations between the colonies and the mother country.The colonial resistance had a profound impact. By March 1766, less than a year after its enactment, the Stamp Act was repealed by Parliament, marking a significant victory for colonial opposition. However, the relief was short-lived as Parliament passed the Declaratory Act, asserting its right to legislate for the colonies "in all cases whatsoever," setting the stage for future conflicts.The Stamp Act and its repeal were crucial moments in American legal and political history, illustrating the colonies' growing resolve to govern themselves and laying the groundwork for their eventual fight for independence. This day marks not just a legislative act but a moment that galvanized the American spirit of liberty and self-determination.Law firms are reinforcing their diversity, equity, and inclusion (DEI) initiatives in response to conservative criticism and economic downturns, which have jeopardized recent advancements in diversity. Initiatives like increasing DEI education and clarifying the inclusivity of their programs are among the steps taken by firms such as Davis Wright Tremaine and Foley & Lardner. This response aims to sustain the progress made following the widespread calls for racial justice after George Floyd's murder in May 2020, which had led to a notable increase in the hiring of women and people of color. However, a Supreme Court decision and subsequent legal threats have pressured firms to modify their DEI practices, leading to a decline in the hiring of diverse candidates. The industry has witnessed a reduction in requests for diverse candidates and a significant drop in hiring amid a challenging economic climate, with global deal activity and recruitment of third-year law students declining. Despite these challenges, law firms remain committed to their diversity goals, as evidenced by the resilience of DEI fellowship programs and the positive outcomes for diversity fellows. This commitment is seen as crucial in maintaining diversity within the legal profession, despite the current political and economic headwinds.Law Firms Boost Diversity Defenses After Conservative BacklashIn a significant legal ruling, Sysco Corp. has been granted permission by a federal judge in Illinois to transfer its claims in a major chicken price-fixing lawsuit to Burford Capital Ltd., the external financier that provided $140 million in funding for the litigation. This decision comes after Burford Capital opposed Sysco's intentions to settle some of the claims for what it considered an insufficient amount, leading to an agreement that Burford would assume control of the claims. The move faced opposition from meat producers, who argued that Burford, being an outsider to the direct litigation, should not be allowed to take over the cases. This stance was somewhat supported by a previous ruling in Minnesota, where a judge denied a similar request by Burford to substitute itself in pork and beef price-fixing lawsuits, citing concerns that the funder's profit motives could obstruct settlement efforts. However, Judge Thomas M. Durkin's approval of Burford's substitution in the chicken litigation case marks a departure, emphasizing that such arrangements are increasingly common in modern litigation. This decision represents a notable victory for Burford Capital in its strategic litigation financing endeavors, highlighting the evolving dynamics of legal funding and the roles of external investors in litigation.Burford Notches Win in Quest to Take Over Sysco Chicken LawsuitsThe U.S. government's antitrust lawsuit against Apple, alleging monopolistic practices in the smartphone market, echoes the landmark 1998 case against Microsoft. However, legal experts believe that the differing market dynamics between Apple's current smartphone dominance and Microsoft's past control over desktop software present unique challenges for the government's case. The lawsuit accuses Apple of stifling competition and innovation through restrictive app developer policies, potentially leading to higher consumer prices. Apple, holding a 55% share of the North American smartphone market, contrasts with Microsoft's 95% desktop OS market share in the 1990s, suggesting a less clear-cut case of monopolistic behavior. Additionally, Apple faces significant global competition from Android, which commands a strong market presence outside North America. A previous antitrust case brought by Epic Games against Apple did not find that Apple users were unduly "locked-in" to its ecosystem, potentially complicating the government's position. Nonetheless, the Department of Justice and the Biden Administration's Federal Trade Commission are pursuing the case, reflecting a willingness to challenge big tech companies to foster competition and innovation in the sector.Apple antitrust suit mirrors strategy that beat Microsoft, but tech industry has changed | ReutersIn my column this week, I examine President Joe Biden's proposed housing tax credit, highlighted in his state of the union address, which aims to alleviate the financial burden for homeowners amidst high mortgage rates. I argue that while the intention behind the tax credit is commendable, its focus on demand rather than supply could exacerbate the existing housing imbalance. To truly foster homeownership, I suggest reforms to the Low-Income Housing Tax Credit (LIHTC) program to incentivize the construction of affordable homes. I also discuss the stalled Affordable Housing Credit Improvement Act of 2023 and propose radical supply-side reforms, such as more permissive tax-exempt financing for developers, to address the affordability crisis effectively.I critique the tax credit proposal for potentially favoring those who can afford higher upfront costs, thus disadvantaging lower-income buyers who need immediate relief. This, coupled with the proposal's year-end application, could inadvertently sideline the very demographic it aims to help. Moreover, without addressing the supply side of affordable housing, the policy might inflate prices further, making homeownership less accessible for first-time and lower-income buyers. Despite the good intentions behind Biden's proposal, I stress that solving the affordable housing crisis requires a comprehensive approach that balances supply and demand, and caters to the immediate financial needs of aspiring homeowners. Policymakers must prioritize long-term strategies over temporary fixes to ensure that homeownership is attainable for all Americans.Biden Housing Tax Credit Targets Demand, but Supply Is the IssueThis week's closing theme is by Jean Baptiste Lully.Jean-Baptiste Lully, born Giovanni Battista Lulli in Florence, Italy, in 1632, became one of the most influential composers of the French Baroque era and a founding father of French opera. His journey from Italian immigrant to the court composer for King Louis XIV of France is a remarkable tale of talent, ambition, and transformation. Lully's mastery of music and his ability to mirror the grandeur of the Sun King's reign through his compositions led him to become the superintendent of the king's music and the director of the Royal Academy of Music.Moving to France in his teens, Lully initially served as a dancer and violinist at the court of Louis XIV. His exceptional musical skills soon caught the attention of the king, leading to his appointment as the court composer. Lully's close relationship with Louis XIV allowed him to monopolize French opera, a position he maintained through a mix of talent and shrewd manipulation. He significantly contributed to the development of the tragédie lyrique, a genre combining French classic drama and ballet with music, which became immensely popular in the 17th century.One of Lully's most enduring works is "Le bourgeois gentilhomme," a comédie-ballet created in collaboration with the playwright Molière. First performed in 1670, this piece was commissioned by Louis XIV and is a satirical take on the pretensions of the social-climbing merchant class. The suite from "Le bourgeois gentilhomme," particularly its overture, showcases Lully's genius in blending witty musical themes with the elegance and majesty of the French court. The overture, with its lively and refined character, sets the tone for a work that is both entertaining and a subtle critique of contemporary society.Lully's influence extended beyond the confines of the opera house and the court, shaping the future of French music and leaving a legacy that endured well into the 18th century and beyond. His death in 1687, caused by gangrene from a wound sustained while conducting, marked the end of an era. Yet, through compositions like "Le bourgeois gentilhomme," Lully's genius continues to be celebrated for its pivotal role in the development of Western classical music.Without further ado, the overture from “Le bourgeois gentilhomme,” by Jean Baptiste Lully. Get full access to Minimum Competence - Daily Legal News Podcast at www.minimumcomp.com/subscribe
durée : 00:04:13 - Le zoom de la rédaction - C'est la deuxième plus importante église de Paris après Notre-Dame : l'église Saint-Eustache, au coeur du quartier des Halles, fête ses 800 ans avec du théâtre immersif et un spectacle vidéo numérique qui fait revivre l'histoire de ce lieu qui accueillit Lully, Richelieu, Molière, Colbert et Mozart.
durée : 01:27:24 - En pistes ! du vendredi 23 février 2024 - par : Charlotte Landru-Chandès - Au programme de ce vendredi matin : la pianiste Nour Ayadi, l'Orchestre Philharmonique de Vienne dirigé par Christian Thielemann, Andras Schiff en duo avec Cecilia Bartoli, le violoniste Mikhail Pochekin accompagné par l'Orchestre Philharmonique slovaque et l'Ensemble Les Présences dans Lully
durée : 00:15:21 - Le Disque classique du jour du jeudi 01 février 2024 - Christophe Rousset, à la direction de l'ensemble Les Talens Lyriques, nous propose sa version du célèbre "Atys" de Lully, enregistrée en juillet 2023 à l'Opéra Royal
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Louis XIV s'éteint le 1er septembre 1715, quelques jours avant son 77ème anniversaire. Le règne le plus long de l'Histoire de France vient de s'achever. Quel est le secret de cette longévité exceptionnelle ? Virginie Girod vous place au chevet du Roi-Soleil pour un examen de santé du souverain. À une époque où il n'existe ni vaccin ni antibiotique, la mortalité infantile est élevée. En 1647, Louis XIV, qui a 9 ans, est déjà roi lorsqu'on lui diagnostique la variole, une maladie mortelle. Conformément à la théorie des humeurs qui régit la médecine, on multiplie les saignées pour faire baisser la fièvre et on lui fait ingérer du chlorure de mercure. Le traitement est aussi dur que la maladie ! Le jeune roi endure la douleur et guérit miraculeusement. Louis XIV n'est qu'au début de ses pépins de santé : blennorragie, fièvre typhoïde, crises de goutte, le roi survit à tout. Mais le pire est à venir. À 48 ans, Louis XIV souffre d'une fistule annale ! C'est tellement douloureux que le roi ne peut plus rien faire, et doit s'en remettre à la chirurgie, discipline alors méprisée. L'opération est un succès et on raconte que Lully aurait composé un Te Deum en l'honneur de la santé du roi. Copié outre-Manche, l'air composé pour la fistule annale du roi aurait inspiré un peu plus tard l'hymne anglais : God Save The King ! En 1715, le souverain se plaint d'une vive douleur à la jambe. Le membre est ravagé par la gangrène et devient tout noir. Malgré la souffrance, le roi tente de continuer à vivre en suivant l'étiquette rigide qu'il a lui-même instaurée. Mais il est bientôt contraint de se reclure dans sa chambre pour attendre la mort. Après une douloureuse agonie, Louis XIV finit par s'éteindre. Le corps du Roi-Soleil est déposé dans la nécropole royale de Saint-Denis. Son cœur embaumé et placé dans un cardiotaphe en vermeil, puis il est offert à l'église Saint-Paul-Saint-Louis, à Paris. Dans le désordre de la Révolution française, le cœur est vendu à un artiste qui en fera… de la peinture ! Thèmes abordés : Louis XIV, santé, maladie, variole, Versailles "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler - Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix- Visuel : Sidonie Mangin
SynopsisWhether you live in sunny California or snowy Minnesota, the arrival of the solstice means, “It's official: Winter is here!” And if you were born someplace sunny, but moved to someplace snowy, the arrival of winter is pretty hard to ignore.Winter must have made an impression on the transplanted Italian composer Jean-Baptiste Lully, who was born in Florence but settled in Paris and ended up as the court composer for King Louis XIV.One of Lully's operas, Isis, had its premiere in the winter of 1676 and contains a chorus of “Trembleurs,” or “Trembling People from the Frozen Climes,” whose teeth chatter in slurred tremolos. This chorus became particular famous for the wintry pantomime ballet that accompanied it, as well as for its evocative music.Of course, the most famous of all Baroque winter music was served up by another Italian, Antonio Vivaldi, who was born in Venice but traveled widely in Northern Europe as well and died in Vienna.Vivaldi's “Winter” from The Four Seasons includes its own musical shivers, not to mention a musical depiction of slipping and sliding on icy streets.Music Played in Today's ProgramJean-Baptiste Lully (1632-1687) Isis; Philippe Caillard Chorale and Orchestra Erato 20983Antonio Vivaldi (1678-1741) Winter, from The Four Seasons; Enrico Onofrio, violin; Il Giardino Armonico Teldec 97671
PROLOGUETime, in his palace, promises fame to the glorious hero (Louis XIV). Flora joins the celebrations. Melpomene, the tragic muse, is united with Flora in order for the drama of Attis (Atys) to unfold.ACT IIn the land of Phrygia, Attis awaits the arrival of the earth goddess Cybele (Cybèle). Sangaride, due to be married to King Celaenus (Célenus), sings of her unrequited love for Attis. Seeing her distress, Attis confesses that he too loves her. Cybele descends in her chariot.ACT IIAttis and Celaenus cannot decide which of them will be the high priest for Cybele. Cybele also loves Attis and selects him to be high priest, confessing that it was for him and not Celaenus's marriage that she descended to earth.ACT IllAt the instigation of Cybele, Attis falls into a dreamfilled sleep in which he hears songs of love, but also warnings of danger should he deceive the gods. He wakes to find Cybele at his side, ready to comfort him. Sangaride begs Attis to prevent her marriag to Celaenus, and he promises to support her. Cybele, suspecting their love, laments her fate.ACT IVSangaride thinks that Attis no longer loves her, but he reassures her and they celebrate their love. As the high priest of Cybele, Attis calls off the wedding of Sangaride and Celaenus.ACT VCybele and Celaenus plot revenge against the lovers. The goddess places Attis under a spell and, in his delusion, he murders Sangaride, thinking her to be a monster. After regaining his reason, Attis tries to take his own life, and Cybele turns him into a pine tree. She laments the loss of her one true love, and the opera ends in desolation.
Certains se sont plu à imaginer une étroite amitié entre Molière et Louis XIV. Mais une telle intimité était exclue entre le monarque de droit divin et le simple comédien. Certains ont même imaginé qu'ils avaient pu partager un repas. Comment cette commensalité serait-elle possible, alors que le Roi, esclave d'un protocole immuable, mangeait souvent seul, lointaine idole qui ne saurait partager les plaisirs des simples mortels ? N'oublions pas non plus que les acteurs étaient alors l'objet d'une certaine réprobation et que l'Église n'autorisait pas leur inhumation en terre consacrée. Dès lors, comment le Roi-Soleil aurait-il pu frayer avec un tel personnage, qui plus est aux yeux de tous ? Ce qui ne veut pas dire que Louis XIV n'apprécie pas Molière. Bien au contraire. En effet, son goût personnel le portait vers le spectacle et il était lui-même un danseur émérite. En effet, il commence à danser très jeune et, jusqu'en 1670, il participe à pas moins de 27 ballets. De plus, il voyait l'art comme un moyen d'affirmer son ascendant sur les courtisans et l'élite de ses sujets. C'est en 1661, dans le cadre des grandes fêtes organisées par le surintendant Fouquet, dans son château de Vaux-le-Vicomte, que le Roi-Soleil rencontre Molière. Cette fête, jugée trop somptueuse par le Roi, vaut une disgrâce brutale à Fouquet, mais Molière, qui donne à cette occasion "Les fâcheux", la première comédie-ballet de l'histoire, est remarqué par le souverain. Dès lors, l'appui du Roi lui est assuré. C'est Molière qui, avec Lully, est chargé d'organiser, en 1664, les "Fêtes de l'Ile enchantée", que Louis XIV donne pour sa mère et sa femme. Le Roi riait aux mésaventures des personnages de Molière, sans se formaliser des audaces du dramaturge. C'est ainsi que les déboires d'Arnolphe, dans "L'école des femmes", lui rappelaient les avanies qu'il avait fait subir aux époux de ses nombreuses maîtresses. Même "Le Tartuffe", cette charge féroce contre les cagots et l'hypocrisie religieuse, reçoit le soutien du Roi, qui finit par autoriser la pièce, d'abord interdite. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Certains se sont plu à imaginer une étroite amitié entre Molière et Louis XIV. Mais une telle intimité était exclue entre le monarque de droit divin et le simple comédien. Certains ont même imaginé qu'ils avaient pu partager un repas.Comment cette commensalité serait-elle possible, alors que le Roi, esclave d'un protocole immuable, mangeait souvent seul, lointaine idole qui ne saurait partager les plaisirs des simples mortels ?N'oublions pas non plus que les acteurs étaient alors l'objet d'une certaine réprobation et que l'Église n'autorisait pas leur inhumation en terre consacrée. Dès lors, comment le Roi-Soleil aurait-il pu frayer avec un tel personnage, qui plus est aux yeux de tous ?Ce qui ne veut pas dire que Louis XIV n'apprécie pas Molière. Bien au contraire. En effet, son goût personnel le portait vers le spectacle et il était lui-même un danseur émérite.En effet, il commence à danser très jeune et, jusqu'en 1670, il participe à pas moins de 27 ballets. De plus, il voyait l'art comme un moyen d'affirmer son ascendant sur les courtisans et l'élite de ses sujets.C'est en 1661, dans le cadre des grandes fêtes organisées par le surintendant Fouquet, dans son château de Vaux-le-Vicomte, que le Roi-Soleil rencontre Molière. Cette fête, jugée trop somptueuse par le Roi, vaut une disgrâce brutale à Fouquet, mais Molière, qui donne à cette occasion "Les fâcheux", la première comédie-ballet de l'histoire, est remarqué par le souverain.Dès lors, l'appui du Roi lui est assuré. C'est Molière qui, avec Lully, est chargé d'organiser, en 1664, les "Fêtes de l'Ile enchantée", que Louis XIV donne pour sa mère et sa femme.Le Roi riait aux mésaventures des personnages de Molière, sans se formaliser des audaces du dramaturge. C'est ainsi que les déboires d'Arnolphe, dans "L'école des femmes", lui rappelaient les avanies qu'il avait fait subir aux époux de ses nombreuses maîtresses.Même "Le Tartuffe", cette charge féroce contre les cagots et l'hypocrisie religieuse, reçoit le soutien du Roi, qui finit par autoriser la pièce, d'abord interdite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Holly and Tracy discuss the commercial nature of Canaletto's work. They also talk about how Lully managed to achieve his many ambitions. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Jean-Baptistle Lully is perhaps best known for the unusual circumstances of his death. But he lived a fascinating life that would rival any fictional rags-to-riches story. Research: James R. Anthony. “Lully's Airs. French or Italian?” The Musical Times, vol. 128, no. 1729, 1987, pp. 126–29. JSTOR, https://doi.org/10.2307/964491 Brett, Philip. “Issues in Music and Sexuality in the Long Eighteenth Century.” Historical Reflections / Réflexions Historiques, vol. 33, no. 1, 2007, pp. 69–77. JSTOR, http://www.jstor.org/stable/41299400 Fairleigh, James P. “Lully as ‘Secrétaire Du Roi.'” Bach, vol. 15, no. 4, 1984, pp. 16–22. JSTOR, http://www.jstor.org/stable/41640222 Britannica, The Editors of Encyclopaedia. "Baroque music". Encyclopedia Britannica, 18 Mar. 2023, https://www.britannica.com/art/Baroque-music. Britannica, The Editors of Encyclopaedia. "the Fronde". Encyclopedia Britannica, 5 Feb. 2014, https://www.britannica.com/event/The-Fronde Anthony, James R. “The New Grove French Baroque Masters: Lully, Charpentier, Lalande, Couperin, Rameau.” New York. Norton. 1986. Accessed online: https://archive.org/details/newgrovefrenchba00anth/page/30/mode/2up?view=theater “The Sun King's Musician, 1632-1687.” Chateau de Versailles. https://en.chateauversailles.fr/discover/history/great-characters/lully “Jean Baptiste Lully.” New World Encyclopedia. https://www.newworldencyclopedia.org/entry/Jean_Baptiste_Lully See omnystudio.com/listener for privacy information.