French term for re-establishment of friendly relations
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Ce jeudi 8 mai, les objectifs de la visite de quatre jours du président chinois en Russie ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Frédéric Taddeï s'entretient avec Offer Bornstein, conseiller d'Emmanuel Macron pour le rapprochement entre Israéliens et Palestiniens. Au cœur des discussions, la décision annoncée par le président français de reconnaître l'État palestinien en juin 2025, en échange de la reconnaissance d'Israël par les pays arabes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 3 avril, la volonté de la Chine de se rapprocher de l'Union européenne suite à la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce lundi 24 mars, le début hier des phases de pourparlers entre l'Ukraine et la Russie, et l'optimisme des deux parties quant à l'issue des négociations, ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Politique : Tania Diolle dément tout rapprochement avec le Parti Travailliste by TOPFM MAURITIUS
Politique : Tania Diolle dément tout rapprochement avec le Parti Travailliste by TOPFM MAURITIUS
L'émission 28 minutes du 04/03/2025 Rapprochement entre Washington et Moscou : une aubaine pour Poutine ?Le revirement diplomatique américain vis-à-vis de la guerre en Ukraine semble acter le rapprochement entre Washington et Moscou. Le porte-parole de la présidence russe a affirmé en fin de semaine dernière : “La nouvelle administration (américaine) modifie rapidement toutes les configurations de sa politique étrangère. Cela coïncide largement avec notre vision.” Dans la nuit du 3 au 4 mars, Donald Trump a ordonné une pause dans l'aide militaire à l'Ukraine, quelques jours après une altercation violente avec son homologue ukrainien devant les caméras du monde entier. Pour Vladimir Poutine, ce changement de position est une aubaine. Son pays est soumis à des sanctions économiques fortes et il fait lui-même l'objet d'un mandat d'arrêt international de la Cour pénale internationale. Même s'il n'était pas complètement isolé, la nouvelle position de Donald Trump lui permet de revenir au centre de la scène internationale. Comment les Européens doivent-ils réagir ? Maintenir leur ligne officielle, soit ne pas discuter avec Vladimir Poutine, ou bien infléchir leur position ? On en débat avec Jean de Gliniasty, directeur de recherche à l'Iris, ancien ambassadeur de France en Russie, Vera Grantseva, politologue, spécialiste de la Russie et enseignante à Sciences Po et Veronika Dorman, grand reporter à Libération.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 04 mars 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 04/03/2025 La philosophe Dominique Méda veut réenchanter le monde du travailAlors que les questions écologiques sont reléguées à l'arrière-plan, que l'État-providence est fragilisé par les coupes budgétaires et son principe remis en cause, Dominique Méda continue de défendre un modèle basé sur la coopération et la qualité de vie, dans l'esprit de ce que fut le Conseil national de la résistance. La philosophe et sociologue s'est fait connaître par ses écrits sur le travail : la place centrale qu'il occupe dans nos sociétés, la dégradation des conditions dans lesquelles il s'exerce et les conséquences de cette dégradation en termes de lien social et de radicalisation politique, à l'extrême droite. Dominique Méda propose de repenser le travail pour mieux répondre aux grands défis du moment. Elle publie “Une société désirable. Comment prendre soin du monde” aux éditions Flammarion, un recueil de ses chroniques enregistrées pour France Culture. Rapprochement entre Washington et Moscou : une aubaine pour Poutine ?Le revirement diplomatique américain vis-à-vis de la guerre en Ukraine semble acter le rapprochement entre Washington et Moscou. Le porte-parole de la présidence russe a affirmé en fin de semaine dernière : “La nouvelle administration (américaine) modifie rapidement toutes les configurations de sa politique étrangère. Cela coïncide largement avec notre vision.” Dans la nuit du 3 au 4 mars, Donald Trump a ordonné une pause dans l'aide militaire à l'Ukraine, quelques jours après une altercation violente avec son homologue ukrainien devant les caméras du monde entier. Pour Vladimir Poutine, ce changement de position est une aubaine. Son pays est soumis à des sanctions économiques fortes et il fait lui-même l'objet d'un mandat d'arrêt international de la Cour pénale internationale. Même s'il n'était pas complètement isolé, la nouvelle position de Donald Trump lui permet de revenir au centre de la scène internationale. Comment les Européens doivent-ils réagir ? Maintenir leur ligne officielle, soit ne pas discuter avec Vladimir Poutine, ou bien infléchir leur position ? Xavier Mauduit revient sur la vente aux enchères du Code civil personnel de Napoléon Bonaparte. Marjorie Adelson nous présente la nouvelle campagne de prévention pour le dépistage du cancer colorectal au nom provocateur : “Va chier”. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 04 mars 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Deux jours après sa vive altercation avec Donald Trump à la Maison Blanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est rendu, dimanche 2 mars, à Londres pour y rencontrer ses alliés européens. Les dirigeants britannique, allemand, français, polonais, italien veulent faire front commun pour soutenir l'Ukraine, face à un président américain qui adopte de plus en plus ouvertement le langage du Kremlin. À tel point que commence à être évoqué un rapprochement économique entre Washington et Moscou. Volodymyr Zelensky était venu à Washington pour signer avec Donald Trump un accord sur l'exploitation des minéraux ukrainiens. Après la brutale séance d'humiliation publique que lui ont infligé le président et le vice-président américain, il est parti sans céder à cette exigence de Trump. Mais le président américain était-il seulement encore intéressé par le deal ? « J'aimerais également pouvoir acheter des minéraux sur le sol russe »déclarait-il à la veille de recevoir son homologue ukrainien. « Ils ont d'excellentes terres rares, et aussi du pétrole, du gaz... Ce serait bien pour la Russie qu'on trouve un accord, ils ont des gisements de grande valeur qui sont inexploités, donc oui ça pourrait bien finir par arriver ». Soucieuse de ne pas voir les liens entre Kiev et Washington se renforcer, Moscou a fait une contre-proposition aux Américains, faisant passer le message que la Russie disposait de réserves beaucoup plus importantes que l'Ukraine en terres rares, sans préciser que ces réserves incluaient les gisements situés dans les territoires ukrainiens conquis depuis février 2022 et illégalement occupés par l'armée russe.Trump et le rapprochement avec MoscouDonald Trump n'y a visiblement pas été insensible. La semaine dernière, alors qu'il s'apprêtait à recevoir le président français Emmanuel Macron, il évoquait sur son réseau social « des discussions très sérieuses avec Vladimir Poutine » concernant « des accords de développements économiques majeurs ». C'est l'un des facteurs qui explique peut-être ce spectaculaire retournement d'alliances, ce basculement de l'ordre mondial auquel on est en train d'assister. Pour l'heure, ce rapprochement peine à se traduire concrètement. Bloomberg évoque de premières discussions sur l'établissement de routes commerciales en mer arctique, une manière de prendre la température de l'eau et de tester les limites du dégel des relations entre les deux puissances. Les entreprises occidentales face à l'incertitude russeLa situation est regardée de très près par les grandes entreprises occidentales. Beaucoup ont été forcés de quitter la Russie depuis l'invasion russe à grande échelle de l'Ukraine. C'est le cas de deux tiers des entreprises américaines. Un retour en masse n'est pas à l'ordre du jour, en tout cas pas tant que les sanctions n'auront pas été levées. C'est dans l'intérêt des Russes dont l'économie souffre plus que ne veulent bien le reconnaître les autorités. Donald Trump lui est obsédé par la Chine, pour enfoncer un coin dans l'alliance entre Moscou et Pékin il est visiblement prêt à sacrifier l'Ukraine. La presse américaine fait état de premiers contacts établis entre le Kremlin et les états-majors de plusieurs multinationales. Les entreprises occidentales sont hésitantes. Elles n'ont pas oublié les conditions dans lesquelles elles ont dû partir, forcées de brader leurs actifs à des entrepreneurs proches du Kremlin quand l'État russe ne les a pas tout simplement saisi. Les pertes cumulées des entreprises américaines en Russie dépassent 45 milliards de dollars d'après le Financial Times.Certaines sont tout de même tentées, y voyant un marché à reconquérir. Au moment de partir, certaines entreprises ont fait inscrire une clause de rachat dans les contrats de vente, qui doivent en théorie leur permettre de récupérer leurs actifs russes à bon prix. Or bon nombre de ces clauses vont arriver à expiration dans les prochains mois. En cas de cessez-le-feu durable, la question pourrait aussi se poser pour les entreprises européennes. Le contexte est favorable à celles qui sont restées malgré la guerre. La banque autrichienne Raiffeisen par exemple, pointée du doigt ces trois dernières années pour son refus ostensible de quitter le pays. Depuis la victoire de Donald Trump à la présidentielle son action a pris plus de 40 %.
Le spectaculaire rapprochement opéré par l'administration Trump avec la Russie de Vladimir Poutine a des conséquences directes et importantes, d'abord pour l'Ukraine et les Européens, mis au pied du mur. Et pour la Chine également, qui regarde ces événements avec attention, tout en restant assez discrète pour l'instant. Mais que dit ce changement incroyable du gouvernement de Trump vis-à-vis de la Chine ? On peut dire que ce tournant majeur du positionnement américain vis-à-vis du conflit en Ukraine et des États européens a également des conséquences à la fois sur la relation entre les États-Unis et la Chine, et sur celle entre la Chine et la Russie.Pour certains analystes, c'est même l'objectif stratégique essentiel de Donald Trump : se débarrasser du conflit en Ukraine, laisser les Européens se débrouiller tout seuls et se rapprocher de Moscou pour tenter de déstabiliser la Chine. Ce dernier pays reste l'adversaire principal, le concurrent systémique, d'un point de vue économique et politique, des États-Unis.L'idée est de contrarier fortement le lien entre Moscou et Pékin, qui s'est fortement resserré depuis le début de l'invasion russe en Ukraine. Pour des raisons économiques et géopolitiques, la Russie de Vladimir Poutine a tenté de se défaire de l'étau des pays occidentaux en affichant sa proximité avec Pékin. Et en développant un partenariat déjà existant.Un jeu d'équilibriste pour la ChineDe son côté, la Chine joue une partition apparemment équilibrée depuis trois ans. Elle ne condamne pas l'agression russe mais rappelle son attachement à l'intégrité territoriale des États, ce qui va plutôt dans le sens de Kiev, qui réclame le départ des troupes russes des territoires ukrainiens occupés, y compris la Crimée. Ce faisant, Pékin pense à ses propres intérêts, puisque c'est au nom de ce principe d'intégrité qu'elle revendique de rattacher l'île de Taïwan à son espace.Dans les faits, néanmoins, les Chinois ont accepté sans sourciller de développer leurs liens politiques, économiques et militaires avec Moscou. Les États-Unis accusent même Pékin d'une aide militaire indirecte à l'effort de guerre russe.À lire aussiComment la Chine compte-t-elle réagir aux droits de douane imposés par les États-Unis ?Cette stratégie peut-elle fonctionner ?Les prochaines semaines le diront. Moscou sera sans doute obligée d'afficher une forme de distance avec Pékin puisqu'elle s'engage dans un dialogue actif avec Washington. Mais cela n'ira sûrement pas plus loin qu'une forme de posture. La Russie considère la Chine comme un roc solide, avec un dirigeant qui reste au pouvoir, contrairement aux États-Unis, où les élections tous les quatre ans peuvent changer la donne.De plus, l'alliance Russie-Chine repose aussi sur des intérêts mutuels bien compris. Les Chinois, de leur côté, vont continuer à se présenter comme un pays neutre et facilitateur dans le conflit, pour concurrencer le nouveau rôle des États-Unis.Au final, l'objectif de Washington de briser le lien entre Moscou et Pékin a peu de chances de se concrétiser. Car la Russie notamment n'a aucun intérêt à mettre tous ses œufs dans le même panier – américain en l'occurrence.À lire aussiLe rapprochement à pas réfléchis du Kremlin avec Donald Trump
L'Ukraine a fait la Une des médias cette semaine, une semaine folle sur le plan de la diplomatie avec ce rapprochement Trump-Poutine. A-t-on basculé dans un nouvel ordre mondial ? ; le Hamas a restitué les corps des otages israéliens dans le cadre de la première phase de l'accord de trêve. Comment envisager la phase 2 de ce processus ? ; en France, François Bayrou a de nouveau échappé à une motion de censure en pleine affaire Bétharram. Le Premier ministre est-il sur la sellette ?
Donald Trump avait promis qu'il réglerait la question ukrainienne dès son retour à la Maison-Blanche, mais son rapprochement très rapide avec Vladimir Poutine a créé une onde de choc en Europe. Écarté des négociations sur la paix en Ukraine, les dirigeants européens se sont retrouvés à l'Elysée cette semaine. Le président de la République a également reçu les chefs des partis politiques français. En seconde partie de cette émission, nous reviendrons aussi sur la situation de François Bayrou, fragilisé par l'affaire Betharram.
Chers amis, Merci de dédier l'étude de ce cours pour l'élévation de l'âme de ma chère femme Nathalie Kamra bat Daniel Saada BENCHETRIT. Conférence donnée en Israël. Merci,
A deal was reached with Venezuela where they will take back their deported nationals & Trump's comment's may lay the groundwork for a potential rapprochement between the United States and Venezuela
Ce lundi 3 février, le surprenant rapprochement entre Washington et Caracas et les conséquences de cette nouvelle relation pour les deux pays ont été abordés par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Sandra Gandoin, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'actualité japonaise de décembre 2024 par Gael et Charly : 00:00 Introduction Rubrique TOURISME : 01:02 Les trains Shinkansen aux couleurs de One Piece 03:51 Augmentation du prix des billets de train JR East en 2026 05:25 Augmentation du prix pour l'ascension du Mont Fuji 06:26 Changement de détaxe pour les achats des touristes au Japon en 2026 09:05 Facilitations des visas pour les voyageurs chinois au Japon Rubrique SOCIÉTÉ : 10:35 Le mot et le kanji de l'année 2024 15:54 Le saké japonais entre au patrimoine mondial de l'Unesco 18:08 Un astronaute japonais va prendre le commandement de l'ISS 19:08 Un ours fait des ravages dans un supermarché d'Akita 22:12 Crèches gratuites à Tokyo pour encourager la natalité 24:26 Criminalisation de la consommation du cannabis au Japon 26:20 De la peinture jaune pour éviter la prostitution à Osaka-Umeda 29:11 La fin des cartes d'assurance santé pour tout rassembler dans MyNumber Rubrique POLITIQUE et ÉCONOMIE : 30:41 Augmentation des impôts au Japon pour le budget de la défense 32:29 La demande d'extradition de Paul Watson par le Japon refusée par le Danemark 34:42 Record du nombre de fermetures d'Izakaya 36:29 Rapprochement entre Nissan et Honda 39:02 Prêts à taux zéro pour les travaux de mises au normes sismiques des séniors Rubrique POP CULTURE : 39:52 Bilan des Game Awards : récompenses des jeux vidéo japonais et grosses annonces 49:21 Du saké dans l'espace 51:08 Notre avis sur le documentaire NHK "Hayao Miyazaki et le Héron" sur Netflix Nos RÉCURRENTS : 55:54 Le Yen toujours faible Record du nombre de visiteurs au Japon Les articles Kanpai du mois passé Les podcasts Kanpai du mois passé et du mois prochain Les press-tours auxquels Kanpai a été invité 01:02:18 Conclusion
durée : 00:34:01 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - En 2014, Barack Obama annonçait un rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba, marquant la fin d'une ère de tensions. Dix ans plus tard, après les mandats de Donald Trump et Joe Biden, que reste-t-il de cette volonté d'apaisement ? - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:34:01 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - En 2014, Barack Obama annonçait un rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba, marquant la fin d'une ère de tensions. Dix ans plus tard, après les mandats de Donald Trump et Joe Biden, que reste-t-il de cette volonté d'apaisement ? - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:03:19 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - C'est un peu passé inaperçu, mais l'Arabie saoudite et l'Iran poursuivent leur rapprochement. Une nouvelle réunion s'est tenue cette semaine à Riyad. Cette réconciliation constitue un énorme obstacle aux plans de paix imaginés par les Israéliens et les Américains.
durée : 00:03:42 - Mare latinu FB Radio Corse Fréquenza Mora - Dans la "Mare Latinu" de ce jour, nous nous intéressons ce matin au festival du film engagé, Camera Pulitica, festival dont RCFM est partenaire. Une journée Corse Sardaigne est programmée pour le vendredi 22 novembre.
Le journal en français facile du vendredi 25 octobre 2024.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B4dV.A
Nikoloz Bitsadze - Georgian Elections in October 2024 | Ep 370 - Sep 26, 2024Conversations on GroongTopics:Election, Politics, and The Geopolitical ContextWho are the Major External Influencers in Georgia's Politics?Is Talk of Civilizational Catastrophe, or Rapprochement with Abkhazia/South Ossetia Election-time Populism?Neutrality and Georgian-Armenian RelationsGuest:Dr. Nikoloz Bitsadze, TW/@nickland1995Hosts:Hovik Manucharyan - TW/@HovikYerevanAsbed Bedrossian - TW/@qubriqEpisode 370 | Recorded: September 26, 2024Subscribe and follow us everywhere you are: linktr.ee/groong
Ce mercredi 25 septembre, la polémique autour de Giorgia Meloni, récompensée par l'Atlantic Council et dont le prix a été remis par Elon Musk, a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:05:32 - La Revue de presse internationale - La presse zimbabwéenne salue les rapprochements économiques conclus au forum Chine-Afrique à Pékin, mais une enquête nous plonge dans l'envers du décor, dans l'enfer, même, que constituent des mines de charbon pour les habitants dans la région de Hwange, où s'implantent des entreprises chinoises.
« Musa et Moussa » se sont rencontrés, comme l'écrit Wakat Séra. Le chef d'état-major de l'armée nigériane, le général Christopher Musa, s'est rendu à Niamey, mercredi 27 août, pour échanger avec son homologue nigérien, le général Moussa Salaou Barmou. Les deux pays ont annoncé leur volonté de reprendre leur coopération militaire pour lutter contre l'insécurité dans la région. C'est une avancée, puisqu'il y a seulement un peu plus d'un an, comme le rappelle Wakat Séra, « le Nigérian comptait se rendre au Niger, mais le canon en l'air, à la tête d'une force armée ouest-africaine, qui aurait eu pour mission de rétablir dans ses fonctions le président Mohamed Bazoum », juste après le coup d'État de juillet 2023. Finalement, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest n'a pas mis sa menace à exécution. Un plus tard, « après le coup de froid, c'est donc le dégel » entre Abuja et Niamey, note L'Observateur Paalga. Le quotidien burkinabé estime que « la real politique est sans doute passée par là », puisque « les deux pays partagent 1400 kilomètres de frontière commune et ne peuvent pas se payer le luxe de se fâcher indéfiniment ».« Une nouvelle page s'est certainement ouverte », confirme Le Pays, qui pense que ce rapprochement « pourrait s'avérer payant dans la lutte contre les groupes armés terroristes ». Le média burkinabé espère que cette « réconciliation » ouvrira la voie à une autre : celle entre le Niger et le Bénin, qui sont également brouillés depuis le coup d'État à Niamey. En ce qui concerne le Nigeria, la prochaine étape sera la visite que le général Barmou a acceptée à Abuja.C'était il y a un : le coup d'État au Gabon Le Gabon célèbre « la Journée de la Libération », titre L'Union. Le quotidien gabonais dresse la liste des événements prévus ce vendredi 30 août, notamment une parade militaire et un concert populaire. Un an après le coup d'État qui a renversé Ali Bongo, le nouvel homme fort du pays, le général Brice Clotaire Oligui Nguema, « fait désormais partie des dirigeants fréquentables » sur la scène internationale, selon L'Union. Et ce, grâce au « caractère paisible de la transition gabonaise », estime le quotidien national, et « à une gestion diplomatique habile ».C'est sans nul doute, ajoute Le Pays, « parce que la communauté internationale, excédée par les trucages électoraux au Gabon, gardait toujours en mémoire le souvenir de la crise électorale de 2016 ». Mais un an plus tard, le journal burkinabé s'interroge : « Le Gabon post-Bongo se porte-t-il mieux ? ». Il y a des « signaux positifs », écrit Le Pays, notamment dans le domaine social avec « le rétablissement des bourses des élèves et étudiants, et le paiement des pensions des retraités ». « Mais l'on peut bien se demander, ajoute Le Pays, si ces mesures ne sont pas destinées à appâter les Gabonais pour les faire mordre à l'hameçon. » Autrement dit, le quotidien burkinabé émet des doutes sur la transition du pouvoir, et rappelle que plusieurs voix ont déjà demandé au général Oligui Nguema de « troquer le treillis contre le costume », à l'issue de la période transitoire.Le Premier ministre espagnol a terminé sa tournée en Afrique de l'OuestPedro Sanchez a conclu sa tournée de trois jours en Mauritanie, en Gambie et au Sénégal, pour parler de la coopération sur le contrôle de la migration irrégulière en direction des îles Canaries. Ce jeudi 29 août, le Premier ministre espagnol a rencontré Bassirou Diomaye Faye, le président sénégalais. Ils ont annoncé, selon Africanews, « la signature d'un "protocole d'accord" en faveur d'une migration dite "circulaire" ». Ce nouvel accord doit renforcer les règles déjà mises en place entre les deux pays, pour cadrer les entrées régulières sur le sol espagnol en fonction des besoins de main d'œuvre. Pedro Sanchez a d'ailleurs signé des accords similaires avec la Mauritanie et la Gambie. D'après le ministère espagnol de l'Intérieur, plus de 22 000 personnes ont débarqué sur les côtes espagnoles depuis janvier, soit plus du double du nombre d'arrivées irrégulières au cours de la même période, l'an dernier.
Tous les samedis et dimanches à 19h17, Pascal de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation réagit pour la première fois sur la vente d'avions Rafale à la Serbie.
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Chaque matin, Judith Waintraub, grand reporter au Figaro Magazine, revient sur l'actualité politique du jour.
Les motifs de disputes entre l'Allemagne et la Pologne n'ont pas manqué dans le passé. Bien sûr, ils étaient pour une bonne part liés à la Seconde Guerre mondiale, à l'invasion allemande qui a déclenché le conflit en 1939, à la décision d'Hitler de raser la capitale après le soulèvement de Varsovie en 1944, aux camps de concentration évidemment, à la question des réparations, et même jusqu'à récemment au tracé de leur frontière commune. Pour apaiser les dernières rancœurs, des programmes scolaires organisent des rencontres entre jeunes allemands et polonais. Cette année, par exemple, pour le 80è anniversaire du soulèvement de Varsovie, une quinzaine de jeunes Polonais ont été reçus à l'Institut Wiltold Pilecki de Berlin pour rencontrer un groupe d'étudiants polonais de Zwickau (ZVIKAO). Une rencontre placée sous le signe de la montée de l'extrême-droite aux élections européennes et de la guerre en Ukraine. Reportage de Frédérique Lebel.Une bien meilleure entente germano-polonaiseIl faut souligner que les relations entre l'Allemagne et la Pologne font l'objet d'un travail constant, y compris auprès des jeunes… Tout comme pour les relations franco-allemandes avec l'OFAJ, il existe un Office germano-polonais qui a supervisé des programmes d'échanges pour trois millions de jeunes. Et puis, tout comme entre Paris et Berlin, l'histoire des deux pays est ponctuée de moments forts de réconciliation, comme en 1970 lorsque le chancelier allemand Willy Brandt s'était agenouillé devant le mémorial du ghetto de Varsovie. Plus récemment, en 2019, le chancelier allemand a demandé pardon aux Polonais, 80 ans jour pour jour après l'invasion de la Pologne par le IIIè Reich.Pourtant, cette réconciliation était au point mort pendant les huit années de pouvoir du parti populiste Droit et justice, le PiS, qui, il faut le rappeler, a perdu les élections en décembre 2023 au profit d'un centriste pro-européen, l'actuel Premier ministre Donald Tusk. Le PiS avait, en effet, cessé de tenir un discours très anti-germanique, voulant rouvrir le dossier des réparations entre les deux pays, suite à l'occupation nazie et réclamant à Berlin la somme pharaonique de 1 300 milliards d'euros. Une demande aujourd'hui abandonnée.Sur le fond, Varsovie reprochait beaucoup de choses à Berlin, sur fond de crainte polonaise de disparaître de la carte, ce qui a été le cas au XIXè siècle et ce qui a failli se passer en 1938, après la signature du pacte germano-soviétique. Aujourd'hui, d'ailleurs, la Pologne reproche toujours à l'Allemagne de ne pas assez se méfier de la Russie, lorsqu'il s'agit par exemple des contrats gaziers signés avec Moscou ou de l'hésitation allemande à livrer ses fameux chars Léopard à l'Ukraine.Mais aujourd'hui, les relations de Berlin avec le nouveau gouvernement Tusk sont au beau fixe. Les différends avec l'UE sur l'État de droit appartiennent au passé. On a également vu refaire surface un format de coopération qu'on avait cru oublié : le triangle de Weimar, c'est-à-dire la réunion des trois ministres des Affaires étrangères polonais, français et allemand. Ils cherchent à relancer la défense européenne et mieux gérer les sanctions contre la Russie. Et enfin, sur le plan économique, l'entente est toujours bonne : l'Allemagne reste le premier investisseur en Pologne.Nigel Farage sera-t-il député ?Nous partons maintenant pour une station balnéaire anglaise. À Clacton-on-Sea plus exactement, sur la côte sud-est de l'île, dans la circonscription briguée par le leader de l'extrême-droite Nigel Farage aux élections du 4 juillet. Aujourd'hui déclassée, très pauvre, cette petite ville côtière avait voté à 70% pour le « oui » au Brexit en 2016. Et aujourd'hui, son électorat pourrait élire pour la première fois le chef de la formation Reform UK au Parlement de Westminster, au nom de l'une des villes les plus pauvres d'Angleterre. C'est un reportage sur place de Marie Billon.Toujours au Royaume-Uni… Il dirige le Parti travailliste britannique depuis 2020 et il a choisi de recentrer le programme et le discours du Labour. Et c'est une stratégie payante pour Keir Starmer qui devrait, sauf coup de théâtre, remporter les élections anticipées du 4 juillet. Daniel Vallot dresse aujourd'hui pour Accents d'Europe le portrait de notre Européen de la semaine.
Les motifs de disputes entre l'Allemagne et la Pologne n'ont pas manqué dans le passé. Bien sûr, ils étaient pour une bonne part liés à la Seconde Guerre mondiale, à l'invasion allemande qui a déclenché le conflit en 1939, à la décision d'Hitler de raser la capitale après le soulèvement de Varsovie en 1944, aux camps de concentration évidemment, à la question des réparations, et même jusqu'à récemment au tracé de leur frontière commune. Pour apaiser les dernières rancœurs, des programmes scolaires organisent des rencontres entre jeunes allemands et polonais. Cette année, par exemple, pour le 80è anniversaire du soulèvement de Varsovie, une quinzaine de jeunes Polonais ont été reçus à l'Institut Wiltold Pilecki de Berlin pour rencontrer un groupe d'étudiants polonais de Zwickau (ZVIKAO). Une rencontre placée sous le signe de la montée de l'extrême-droite aux élections européennes et de la guerre en Ukraine. Reportage de Frédérique Lebel.Une bien meilleure entente germano-polonaiseIl faut souligner que les relations entre l'Allemagne et la Pologne font l'objet d'un travail constant, y compris auprès des jeunes… Tout comme pour les relations franco-allemandes avec l'OFAJ, il existe un Office germano-polonais qui a supervisé des programmes d'échanges pour trois millions de jeunes. Et puis, tout comme entre Paris et Berlin, l'histoire des deux pays est ponctuée de moments forts de réconciliation, comme en 1970 lorsque le chancelier allemand Willy Brandt s'était agenouillé devant le mémorial du ghetto de Varsovie. Plus récemment, en 2019, le chancelier allemand a demandé pardon aux Polonais, 80 ans jour pour jour après l'invasion de la Pologne par le IIIè Reich.Pourtant, cette réconciliation était au point mort pendant les huit années de pouvoir du parti populiste Droit et justice, le PiS, qui, il faut le rappeler, a perdu les élections en décembre 2023 au profit d'un centriste pro-européen, l'actuel Premier ministre Donald Tusk. Le PiS avait, en effet, cessé de tenir un discours très anti-germanique, voulant rouvrir le dossier des réparations entre les deux pays, suite à l'occupation nazie et réclamant à Berlin la somme pharaonique de 1 300 milliards d'euros. Une demande aujourd'hui abandonnée.Sur le fond, Varsovie reprochait beaucoup de choses à Berlin, sur fond de crainte polonaise de disparaître de la carte, ce qui a été le cas au XIXè siècle et ce qui a failli se passer en 1938, après la signature du pacte germano-soviétique. Aujourd'hui, d'ailleurs, la Pologne reproche toujours à l'Allemagne de ne pas assez se méfier de la Russie, lorsqu'il s'agit par exemple des contrats gaziers signés avec Moscou ou de l'hésitation allemande à livrer ses fameux chars Léopard à l'Ukraine.Mais aujourd'hui, les relations de Berlin avec le nouveau gouvernement Tusk sont au beau fixe. Les différends avec l'UE sur l'État de droit appartiennent au passé. On a également vu refaire surface un format de coopération qu'on avait cru oublié : le triangle de Weimar, c'est-à-dire la réunion des trois ministres des Affaires étrangères polonais, français et allemand. Ils cherchent à relancer la défense européenne et mieux gérer les sanctions contre la Russie. Et enfin, sur le plan économique, l'entente est toujours bonne : l'Allemagne reste le premier investisseur en Pologne.Nigel Farage sera-t-il député ?Nous partons maintenant pour une station balnéaire anglaise. À Clacton-on-Sea plus exactement, sur la côte sud-est de l'île, dans la circonscription briguée par le leader de l'extrême-droite Nigel Farage aux élections du 4 juillet. Aujourd'hui déclassée, très pauvre, cette petite ville côtière avait voté à 70% pour le « oui » au Brexit en 2016. Et aujourd'hui, son électorat pourrait élire pour la première fois le chef de la formation Reform UK au Parlement de Westminster, au nom de l'une des villes les plus pauvres d'Angleterre. C'est un reportage sur place de Marie Billon.Toujours au Royaume-Uni… Il dirige le Parti travailliste britannique depuis 2020 et il a choisi de recentrer le programme et le discours du Labour. Et c'est une stratégie payante pour Keir Starmer qui devrait, sauf coup de théâtre, remporter les élections anticipées du 4 juillet. Daniel Vallot dresse aujourd'hui pour Accents d'Europe le portrait de notre Européen de la semaine.
Oui ou non ? À vous de voter ! Donnez votre avis et découvrez celui des autres internautes en répondant à la question du jour. Les résultats sont publiés sur la première page de notre quotidien Le Figaro. Vous retrouverez également sur cette page les autres questions posées par la rédaction numérique du Figaro pour débattre de l'actualité avec les lecteurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du rapprochement possible entre Marion Maréchal et le Rassemblement national en vue des élections législatives.
Note aux auditeurs et auditrices : cet épisode a été diffusé une première fois le 29 mars 2024.Nous rediffusion cet entretien à l'occasion de la visite en France du chef d'Etat chinois XI Jinping, qui a effectué lundi et mardi une visite d'Etat de deux jours en France, où il a assure vouloir "œuvrer" avec son homologue français Emmanuel Macron à "résoudre la crise" en Ukraine et continuer à investir dans l'Hexagone.Emmanuel Macron a pour sa part fait savoir qu'il entendait prôner la "réciprocité" commerciale et la recherche d'une résolution de la guerre en Ukraine face à un président chinois qui continue d'afficher son soutien à la Russie. "La Chine n'est ni à l'origine de la crise, ni partie prenante. Cependant, nous n'assistons pas indifférents au malheur d'autrui. Nous jouons depuis le début un rôle positif dans la recherche de la paix", a assuré XI Jinping lundi soir lors de déclarations à la presse à Paris, une rencontre où les questions n'étaient pas autorisées. Pékin se présente comme une partie neutre et appelle régulièrement à un règlement politique pour mettre fin aux combats en Ukraine.Dans Chine Russie, le grand rapprochement (Gallimard), la chercheuse Alice Ekman explore la elation solide qui unit les deux pays et préfigure selon elle la volonté d'instaurer un nouvel ordre mondial, post-occidental, où les démocraties n'auront qu'une place marginale. Nous l'avons invitée dans Sur le Fil pour en parler.Réalisation: Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Si la Russie a résisté aux multiples sanctions occidentales qui la visent depuis l'invasion de l'Ukraine il y a deux ans, c'est aussi grâce à Pékin.C'est en Chine que la Russie a trouvé des débouchés pour ses hydrocarbures, c'est aussi en Chine que Vladimir Poutine peut se rendre sans risquer d'être arrêté, et Pekin est un allié diplomatique de premier plan. Selon la chercheuse Alice Ekman, responsable de l'Asie à l'Institut des études de sécurité de l'Union européenne, ces liens représentent bien plus qu'une alliance de circonstance. Dans Chine Russie, le grand rapprochement (Gallimard), Alice Ekman explore cette relation solide qui, préfigure selon elle la volonté d'instaurer un nouvel ordre mondial, post-occidental, où les démocraties n'auront qu'une place marginale. Nous l'avons invitée dans Sur le Fil pour en parler.Réalisation: Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Today I spoke with Dr. Louis Rothschild about his new book Rapprochement Between Fathers and Sons Breakdowns, Reunions, Potentialities (Karnac, 2024). Our conversation moved freely between theory, generational attitudes, thinkers, and personal vignettes. What is a good enough father? What is the difference between a man of achievement and a man of power? Who is the father of the mother's mind? What happens when a father enables holding? How is masculinity valued by other men? What is meant by phrases such as a “man's gotta do what a man's gotta do?” Why exactly do we need to “call the boy's father?” How is the father's role rendered invisible? These are some of the questions subsumed in the broader question of “Who nurtures and who is nurtured?” (And does the myth of the “self-made-man” indicate a man who exists without nurturing?) “What I'm arguing”, says Rothschild, “is that that sexist dichotomy is a mirage in its own right and that attachment strings needn't be severed. They can be reworked over the lifespan and this idea of having this clean tidy break and going off to live your life where liberating the kid from this regressive maternal bond is the path to individuation, I think that's just patently false.” Like an analyst, the book has been in formation for many years. “Percolating and distilling” as Dr. Rothschild says at the top of the interview. Motivated by the “way the culture was shifting” he sensed “that things I take for granted are actually a minority opinion.” Rothschild's survey of sons includes mythology; Oedipus scripture; Issac. As well as the sons of literature; Sendak's Max, Silverstein's Boy, White's Swan, and others. Affect rich case illustrations are also presented. The issues addressed in the book are the ones we are contending with in in analysis. They are the discussions we are having with our fathers, sons, and families. Rothschild's book is essential and meets the clinical moment. “Louis Rothschild's book is both an outstanding representative of ‘return to the father' and a unique explication of psychoanalytic thought on its own. This is a book of great literary elegance and impressive psychological wisdom.” Salman Akhtar, MD Christopher Russell, LP is a psychoanalyst in Chelsea, Manhattan. He is a member of the faculty and supervising analyst at The Center for Modern Psychoanalytic Studies and The New York Graduate School of Psychoanalysis. His primary theorists are Sándor Ferenczi and Hyman Spotnitz. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/psychoanalysis
Today I spoke with Dr. Louis Rothschild about his new book Rapprochement Between Fathers and Sons Breakdowns, Reunions, Potentialities (Karnac, 2024). Our conversation moved freely between theory, generational attitudes, thinkers, and personal vignettes. What is a good enough father? What is the difference between a man of achievement and a man of power? Who is the father of the mother's mind? What happens when a father enables holding? How is masculinity valued by other men? What is meant by phrases such as a “man's gotta do what a man's gotta do?” Why exactly do we need to “call the boy's father?” How is the father's role rendered invisible? These are some of the questions subsumed in the broader question of “Who nurtures and who is nurtured?” (And does the myth of the “self-made-man” indicate a man who exists without nurturing?) “What I'm arguing”, says Rothschild, “is that that sexist dichotomy is a mirage in its own right and that attachment strings needn't be severed. They can be reworked over the lifespan and this idea of having this clean tidy break and going off to live your life where liberating the kid from this regressive maternal bond is the path to individuation, I think that's just patently false.” Like an analyst, the book has been in formation for many years. “Percolating and distilling” as Dr. Rothschild says at the top of the interview. Motivated by the “way the culture was shifting” he sensed “that things I take for granted are actually a minority opinion.” Rothschild's survey of sons includes mythology; Oedipus scripture; Issac. As well as the sons of literature; Sendak's Max, Silverstein's Boy, White's Swan, and others. Affect rich case illustrations are also presented. The issues addressed in the book are the ones we are contending with in in analysis. They are the discussions we are having with our fathers, sons, and families. Rothschild's book is essential and meets the clinical moment. “Louis Rothschild's book is both an outstanding representative of ‘return to the father' and a unique explication of psychoanalytic thought on its own. This is a book of great literary elegance and impressive psychological wisdom.” Salman Akhtar, MD Christopher Russell, LP is a psychoanalyst in Chelsea, Manhattan. He is a member of the faculty and supervising analyst at The Center for Modern Psychoanalytic Studies and The New York Graduate School of Psychoanalysis. His primary theorists are Sándor Ferenczi and Hyman Spotnitz. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network
Today I spoke with Dr. Louis Rothschild about his new book Rapprochement Between Fathers and Sons Breakdowns, Reunions, Potentialities (Karnac, 2024). Our conversation moved freely between theory, generational attitudes, thinkers, and personal vignettes. What is a good enough father? What is the difference between a man of achievement and a man of power? Who is the father of the mother's mind? What happens when a father enables holding? How is masculinity valued by other men? What is meant by phrases such as a “man's gotta do what a man's gotta do?” Why exactly do we need to “call the boy's father?” How is the father's role rendered invisible? These are some of the questions subsumed in the broader question of “Who nurtures and who is nurtured?” (And does the myth of the “self-made-man” indicate a man who exists without nurturing?) “What I'm arguing”, says Rothschild, “is that that sexist dichotomy is a mirage in its own right and that attachment strings needn't be severed. They can be reworked over the lifespan and this idea of having this clean tidy break and going off to live your life where liberating the kid from this regressive maternal bond is the path to individuation, I think that's just patently false.” Like an analyst, the book has been in formation for many years. “Percolating and distilling” as Dr. Rothschild says at the top of the interview. Motivated by the “way the culture was shifting” he sensed “that things I take for granted are actually a minority opinion.” Rothschild's survey of sons includes mythology; Oedipus scripture; Issac. As well as the sons of literature; Sendak's Max, Silverstein's Boy, White's Swan, and others. Affect rich case illustrations are also presented. The issues addressed in the book are the ones we are contending with in in analysis. They are the discussions we are having with our fathers, sons, and families. Rothschild's book is essential and meets the clinical moment. “Louis Rothschild's book is both an outstanding representative of ‘return to the father' and a unique explication of psychoanalytic thought on its own. This is a book of great literary elegance and impressive psychological wisdom.” Salman Akhtar, MD Christopher Russell, LP is a psychoanalyst in Chelsea, Manhattan. He is a member of the faculty and supervising analyst at The Center for Modern Psychoanalytic Studies and The New York Graduate School of Psychoanalysis. His primary theorists are Sándor Ferenczi and Hyman Spotnitz. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/psychology
durée : 00:10:41 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Depuis mercredi, les yeux des observateurs européens (mais pas que) se sont tournés vers la Moldavie, ou plus précisément, la Transnistrie, ce territoire d'environ 4 000 km2 à l'est du pays, partageant sa frontière avec l'Ukraine. - invités : Florent Parmentier Secrétaire général du CEVIPOF/Sciences Po, chercheur associé au Centre de géopolitique de HEC
Les journalistes et experts de RFI répondent aux questions des auditeurs sur le nouveau recours de l'Afrique du Sud devant la CIJ, sur l'augmentation des cyberattaques pro-iraniennes et sur Kylian Mbappé. Maroc : le rapprochement de Rabat avec les pays de l'AES Le Premier ministre nigérien, Ali Mahamane Lamine Zeine, s'est rendu à Rabat, près de deux mois après la visite des ministres des Affaires étrangères malien, burkinabè et nigérien. Pourquoi ces pays sahéliens se tournent-ils vers le Maroc au détriment de l'Algérie ? Quel est l'intérêt du Maroc dans ce rapprochement ? Avec Ahmedou Ould Abdallah, président du Centre4s, ancien Représentant Spécial du SG de l'ONU pour l'Afrique de l'Ouest.Guerre Israël / Hamas : pourquoi la CIJ a rejeté la nouvelle requête de l'Afrique du SudPrétoria a vu rejetée sa nouvelle requête auprès de la Cour internationale de Justice contre Israël. Avec ce recours, que recherchait l'Afrique du Sud ? Cette nouvelle implication ne va-t-elle pas dégrader davantage les relations de l'Afrique du Sud avec les États-Unis ? Avec Claire Bargelès, correspondante de RFI à Johannesburg. Guerre Israël/Hamas : hausse des cyberattaques pro-iraniennesDans deux rapports, les entreprises américaines Google et Microsoft ont souligné une augmentation significative des cyberattaques pro-iraniennes depuis le début du conflit entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza. Quels sont les groupes qui mènent ces cyberattaques ? Quelles sont leurs cibles principales ? Avec Maxime Arquillière analyste en cybermenace pour la société française de cybersécurité Sekoia.io Foot : Quel avenir pour Kylian Mbappé après son départ du PSG ? Selon une fuite du club parisien, Kylian Mbappé aurait indiqué à la direction du PSG son départ à la fin de la saison. Pourquoi cette annonce survient-elle maintenant pendant les 8è de finale de la Ligue des Champions ? Comment le PSG pourrait-il évoluer sans son attaquant star ? Le capitaine des Bleus pourrait-il enfin rejoindre le Real Madrid ? Avec Baptiste Leduc, journaliste au service des sports de RFI.
Aujourd'hui Flora Ghebali, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cihan Dizdaroğlu on “Turkish-Greek Relations: Foreign Policy in a Securitisation Framework” (Edinburgh University Press). The book looks at how ties between Athens and Ankara have gone through various cycles of improvement and deterioration from the early Republic of Turkey to today. Become a member to support Turkey Book Talk. Members get a 35% discount on all Turkey/Ottoman History books published by IB Tauris/Bloomsbury, transcripts of every interview, transcripts of the whole archive, and over 200 reviews covering Turkish and international fiction, history and politics.
This is the first part of a trilogy that I made for Pax Palestine Podcast about the 'Civil Society for Dignity' project, a project by MEND, PCR, PCPD and PAX for Peace, supported by the European Union. This project aims to bridge the gap between the Palestinian civil society and the local governments.In this first episode you will learn more about the political reality for Palestinians under military rule and the civil society landscape of Palestine, in an interview with George Rishmawi, Director of the Palestinian Center for Rapprochement of people.Partners in this joined project are:MEND stands for Middle East Non Violence and Democracy. MEND promotes active nonviolence and encourages alternatives to violence among youth and adults throughout Palestine. MEND employs innovative methods, especially with the media, and is widely respected for working with authenticity, professionalism and courage.PCR is the Palestinian Center for Rapprochement between people. PCR works to bridge the gap between Palestinians and peoples from all around the world, informing the public about the reality in Palestine, and empowering the community through nonviolent direct action. PCPD is the Palestinian Center for Peace and Democracy. They were established to promote a just peace based on the Palestinian Declaration of Independence of 1988 and relevant United Nations Resolutions towards a two state solution, in which democracy and social justice are guaranteed. PAX for Peace is based in the Netherlands and works together with committed citizens and partners to protect civilians against acts of war, to end armed violence, and to build a just peace. In Palestine PAX supports local partners in building resilient communities, promoting human security and equality in the political, cultural and social domain, and in fighting the injustices resulting from the protracted occupation. If you want to know more about the work of Pax for Peace you can visit their website https://paxforpeace.nlMEND: https://www.mend-online.org/PCR: https://www.pcr.ps PCPD: https://pcpd.ps
This is the second part of a trilogy I made for Pax Palestine Podcast about the 'Civil Society for Dignity' project, a project by MEND, PCR, PCPD and PAX for Peace, supported by the European Union. This project aims to bridge the gap between the Palestinian civil society and the local governments.In this episode you will learn more about the project 'Civil Society for Dignity' itself. Muna Rishmawi, the project manager, talks about the aims of the project, the cooperation between the different organizations that are involved and how the project is being implemented. One of the young female participants, Aseel, tells us about her personal experiences and what her participation meant to her personal development. We conclude with Yara, who carried out a research and shares her findings with us. Partners in this joined project are:MEND stands for Middle East Non Violence and Democracy. MEND promotes active nonviolence and encourages alternatives to violence among youth and adults throughout Palestine. MEND employs innovative methods, especially with the media, and is widely respected for working with authenticity, professionalism and courage.PCR is the Palestinian Center for Rapprochement between people. PCR works to bridge the gap between Palestinians and peoples from all around the world, informing the public about the reality in Palestine, and empowering the community through nonviolent direct action. PCPD is the Palestinian Center for Peace and Democracy. They were established to promote a just peace based on the Palestinian Declaration of Independence of 1988 and relevant United Nations Resolutions towards a two state solution, in which democracy and social justice are guaranteed. PAX for Peace is based in the Netherlands and works together with committed citizens and partners to protect civilians against acts of war, to end armed violence, and to build a just peace. In Palestine PAX supports local partners in building resilient communities, promoting human security and equality in the political, cultural and social domain, and in fighting the injustices resulting from the protracted occupation. If you want to know more about the work of Pax for Peace you can visit their website https://paxforpeace.nlMEND: https://www.mend-online.org/PCR: https://www.pcr.ps PCPD: https://pcpd.ps
This is the third and last part of a trilogy that I made for Pax Palestine Podcast about the 'Civil Society for Dignity' project, a project by MEND, PCR, PCPD and PAX for Peace, supported by the European Union. This project aims to bridge the gap between the Palestinian civil society and the local governments.In this last episode Anwaar, who works for MEND and is the media and outreach coordinator for this project and journalist Hayat Hamdan tell us more about an important part of the Civil Society for Dignity project: the media training. This training helps young Palestinians to brainstorm about and to vocalize what they would like to change in their societies and it teaches them the skills and tools to create media content that can be used to communicate their wishes for change. This is an important skill that can be used in civil society participation on the political level. Partners in this joined project are:MEND stands for Middle East Non Violence and Democracy. MEND promotes active nonviolence and encourages alternatives to violence among youth and adults throughout Palestine. MEND employs innovative methods, especially with the media, and is widely respected for working with authenticity, professionalism and courage.PCR is the Palestinian Center for Rapprochement between people. PCR works to bridge the gap between Palestinians and peoples from all around the world, informing the public about the reality in Palestine, and empowering the community through nonviolent direct action. PCPD is the Palestinian Center for Peace and Democracy. They were established to promote a just peace based on the Palestinian Declaration of Independence of 1988 and relevant United Nations Resolutions towards a two state solution, in which democracy and social justice are guaranteed. PAX for Peace is based in the Netherlands and works together with committed citizens and partners to protect civilians against acts of war, to end armed violence, and to build a just peace. In Palestine PAX supports local partners in building resilient communities, promoting human security and equality in the political, cultural and social domain, and in fighting the injustices resulting from the protracted occupation. If you want to know more about the work of Pax for Peace you can visit their website https://paxforpeace.nlMEND: https://www.mend-online.org/PCR: https://www.pcr.ps PCPD: https://pcpd.ps
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Américain John Kerry est depuis hier en visite officielle en Chine.
(Aloka Earth Room) Short Reflection & Guided Meditation | Wednesday-Mornings | 7
Photo: No known restrictions on publication. @Batchelorshow #PRC: #USA: Disrupted planned rapprochement for Beijing and Washington. Gregory Copley, Defense & Foreign Affairs. https://www.telegraph.co.uk/world-news/2023/02/13/china-accuses-us-flying-10-spy-balloons-airspace/