POPULARITY
durée : 00:06:08 - L'invité d'ICI Matin, ICI Drôme Ardèche - La CGT, la FSU et Solidaires appellent à une journée nationale de grève et de manifestations le mardi 2 décembre 2025 contre l'austérité et pour les salaires, en plein examen du budget 2026. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La jeunesse donne de la voix sur le continent : la génération Z, qui regroupe ceux qui sont nés entre 1997 et 2012, est majoritaire dans nombre de pays d'Afrique et elle veut se faire entendre, exprimer ses revendications et participer au débat politique. C'est le cas à Madagascar… Après une première journée de mobilisation jeudi dernier, constate Le Monde Afrique, « des centaines de jeunes sont à nouveau descendus samedi dans les rues de la capitale, Antananarivo, à l'appel du collectif Gen Z Madagascar pour réclamer l'accès à l'eau, à l'électricité et le respect de la liberté d'expression. (…) Le cortège a rapidement été stoppé par les forces de police et de gendarmerie, lourdement armées. Des grenades lacrymogènes ont été tirées et plusieurs blessés seraient à déplorer. » Et la semaine qui débute sera « déterminante », s'exclame L'Express de Madagascar. Avec de nouveaux appels à manifester de la part de Gen Z. En effet, malgré les appels au calme et l'intervention du président Andry Rajoelina qui a dit avoir entendu les revendications des jeunes, « la Génération Z a publié hier un communiqué ignorant ostensiblement ces annonces, constate le quotidien malgache. Le mouvement est train de franchir un nouveau cap : de sociales, les revendications prennent une tournure politique. La Génération Z réclame la démission du gouvernement et celle du préfet d'Antananarivo. (…) Le mouvement risque ainsi de s'amplifier, conclut L'Express. (…) Tout laisse donc présager une semaine à haut risque. » La stratégie de la passivité ? « Le courage et la fierté des manifestants avant-hier ont été salués par tout le monde, pointe pour sa part Midi Madagascar. Le message qu'ils ont délivré a été entendu bien au-delà des frontières de la Grande île, mais les événements malheureux qui ont eu lieu par la suite ont quelque peu occulté sa portée, déplore le journal. L'arrivée d'individus malintentionnés et les dégradations matérielles qu'ils ont accomplies ont scandalisé la population. Ils n'avaient absolument rien à voir avec le mouvement de revendication légitime des manifestants. » Et « face à la passivité apparente des forces de l'ordre », relève Midi Madagascar, on peut se demander « s'il ne s'agit pas d'une stratégie délibérée pour occulter totalement le message véhiculé par les manifestants sincères. » « Des dérapages incontrôlés ou téléguidés ? », s'interroge en écho Madagascar Tribune. « On sait depuis la deuxième République de Ratsiraka que l'utilisation de casseurs et de voyous pour discréditer les mouvements de protestation est une pratique des dirigeants malgaches. » Arrogance ? En tout cas, s'agace Madagascar Tribune, « en se comportant avec arrogance depuis des décennies, les dirigeants actuels portent une grande responsabilité dans la colère de la population, en accumulant fraudes électorales, gaspillant les deniers publics dans des projets inutiles, affichant une totale impunité dans la corruption, et n'hésitant jamais à des mensonges cousus de fil blanc et vite rattrapés par la réalité. (…) C'est dans ce contexte, poursuit le journal, qu'à l'inspiration de l'exemple népalais, la Gen Z malgache est apparue. Elle se caractérise par une maitrise des réseaux sociaux pour l'efficacité de la communication et de la mobilisation, et par une absence de véritables leaders pour personnaliser le mouvement et le politiser. Cela lui donne une crédibilité et une légitimité que la classe politique n'a pas. » Au Maroc aussi Et il n'y a pas qu'à Madagascar que la jeunesse donne de la voix… « Au Maroc, la Génération Z descend dans la rue, constate Afrik.com : santé, école, dignité et débat sur les priorités budgétaires. » Ces derniers jours, pointe le site panafricain, « des collectifs de jeunes Marocains qui se sont coordonnés en ligne ont tenté d'organiser des marches dans plusieurs villes pour dénoncer la dégradation des services publics — surtout la santé et l'école. Entre interdictions, dispersions et interpellations, cette séquence met à nu le fossé entre une génération connectée, exigeant dignité et emploi, et des autorités focalisées sur la stabilité. Elle ouvre un bras de fer durable autour des priorités budgétaires et d'un nouveau contrat social. » Et « une réponse essentiellement sécuritaire ne changera pas les revendications, prévient Afrik.com. La fenêtre d'apaisement passe par des gestes tangibles et vérifiables sur la santé et l'éducation, plutôt que par la seule communication gouvernementale. (…) Les prochains week-ends diront si la “Génération Z“ transforme l'essai de la rue en agenda de réformes mesurables. »
Au Nord-Mali, l'accalmie sur le terrain militaire est trompeuse, affirment les rebelles touaregs du FLA, le Front de Libération de l'Azawad. « C'est le calme avant la tempête », précise le porte-parole du FLA, Mohamed Elmaouloud Ramadane. Depuis la sanglante bataille de Tine Zaouatène, il y a 14 mois, qui a coûté la vie à plus de 80 paramilitaires russes de Wagner, les rebelles du FLA et l'armée malienne affûtent leurs armes. Comment les rebelles se procurent-ils des drones ? Quels sont leurs vrais liens avec les jihadistes du JNIM ? De passage à Paris, le porte-parole du FLA répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Mohamed Elmaouloud Ramadane, bonjour Mohamed Elmaouloud Ramadane, depuis plusieurs semaines, aucun combat n'est signalé dans la région de Kidal et de Tinzawaten, les fiefs du FLN au Nord du Mali. Est-ce qu'on peut parler d'une accalmie ? Mohamed Elmaouloud Ramadane : Non, moi je ne pense pas que c'est une accalmie. Je peux dire que c'est ce qu'on appelle le calme avant l'arrivée de la tempête. Donc les FLA (Forces de libération de l'Azawad) sont bien présentes sur le terrain, de leur côté, l'ennemi aussi, il est là-bas. Ils sont soit à Kidal ou bien à Tessalit. Ils sont dans les camps laissés par la Minusma ou bien la force Barkhane. Et surveillés en général par les drones. Ils n'arrivent pas à quitter en dehors de ces camps comme auparavant. Ils avaient l'habitude de quitter, d'aller un peu dans les hameaux, d'aller sur les puits, de massacrer et de piller les populations. Maintenant, ce n'est plus le cas. Donc par rapport aux opérations ou bien aux combats, c'est une question de temps. C'est le terrain qui commande. En juillet 2024, il y a eu cette bataille de Tinzawaten, tout près de la frontière algérienne, où vous vous êtes affrontés durement aux forces armées maliennes et aux paramilitaires russes de Wagner. Vous dites que vous avez gagné, mais est-ce que vous n'avez pas perdu aussi beaucoup de combattants ? Bon, on ne peut pas faire la guerre et faire des combats sans perdre des combattants. L'essentiel, c'est de gagner la bataille. Nous avons gagné parce que nous avons détruit toute cette unité de mercenaires russes de Wagner. Aucun combattant n'a pu s'échapper, aucune voiture n'a pu s'échapper. Donc c'était une lourde défaite pour ces mercenaires. D'ailleurs, je crois que c'est une première sur le continent africain. Donc c'est vrai, nous avons perdu des hommes. D'ailleurs, on a même fait un monument à Tinzawaten avec les noms de tous les martyrs. C'est une vingtaine de nos martyrs avec une quinzaine de blessés. Et du côté des Maliens et des paramilitaires russes, quel est le bilan des pertes ? Vous savez, nous avons recensé à peu près 85 à 87 cadavres des mercenaires de Wagner avec quelques militaires maliens. Mais la majorité, c'étaient les mercenaires de Wagner. Nous avons aussi des prisonniers russes et des FAMA prisonniers. Combien de prisonniers russes avez-vous aujourd'hui ? Deux. Deux prisonniers ? Deux prisonniers russes. Lors de cette bataille de Tinzawaten de l'année dernière, vos ennemis ont utilisé des drones, mais vous aussi vous avez utilisé des drones. Quels sont les pays amis qui vous ont livré ces engins ? Nous n'avons aucun pays ami qui nous a vraiment livré ou bien dont nous avons bénéficié de son aide matérielle. Les drones sont sur le marché noir. On peut les acheter. Donc, ce sont des choses qu'on achète et qu'on sophistique et qu'on modifie, une fois arrivées chez nous. Depuis plus d'un an, le torchon brûle entre Alger et Bamako. Est-ce que naturellement l'Algérie s'est rapprochée de vous et vous a peut-être aidé à vous livrer en matériel ? L'Algérie, sa position par rapport à la question de l'Azawad a toujours été claire et par rapport au Mali en général. Donc il n'y a aucun rapprochement entre nous et les autorités algériennes, que ce soit politique, que ce soit autre chose, aucun rapprochement. En tout cas, Bamako est persuadé que l'Algérie vous sert de base arrière. Vous savez, Bamako accuse tout le monde. Accuse la France, accuse l'Ukraine, accuse l'Algérie. Qui n'est pas accusé ? Accuse la Côte d'Ivoire, accuse le Sénégal, la Mauritanie. Personne n'échappe à son accusation. Donc, c'est la théorie du complot qui les a toujours prolongés dans cette crise, qu'ils sont en train de vivre. Au Nord Mali, Il n'y a pas que le FLA, il y a aussi les jihadistes du Jnim. Vous avez combattu ensemble l'an dernier à Tinzawaten contre les forces armées maliennes et Wagner. Est-ce à dire que vous êtes désormais des alliés sur le terrain militaire ? Le Jnim n'est pas que dans l'Azawad. Il est un peu partout dans le Mali et dans tous les pays du Sahel. Il occupe une grande partie du territoire du Mali. Aujourd'hui, il est autour de Bamako et de Kayes. Donc, c'est un acteur qui est sur le terrain que nous ne pouvons pas nier. Nous sommes, c'est vrai, sur le terrain où il y a la présence des hommes du Jnim sur le territoire aussi, mais il n'y a aucune coordination entre nous. Vous connaissez l'adage « Les ennemis de mes ennemis sont mes amis ». Du coup, puisque vous avez les mêmes ennemis, est-ce que vous n'êtes pas devenus amis ? Oui, « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », c'est vrai. Donc, on peut avoir un ennemi commun que nous combattons tous. Mais nous n'avons pas les mêmes objectifs. Le Jnim est présent un peu partout. Il a des revendications différentes des nôtres. Nous, nous sommes limités sur le territoire de l'Azawad. Nous n'avons pas d'autres combats en dehors de cela, nos revendications sont politiques. C'est seulement pour la population de l'Azawad. On ne veut pas aller au-delà de ça. Est-ce qu'il n'y a pas au moins, entre vos deux mouvements, un pacte de non-agression ? Exactement. Il y a un pacte de non-agression. Ça, je vous le confirme parce que, après les combats qui ont eu lieu sur la frontière avec la Mauritanie, entre les FLA et le Jnim en avril 2024, suite à cela, il y a eu des initiatives menées par des chefs des tribus, des communautés, parce que c'est leurs fils qui sont dans le Jnim et qui sont dans les FLA. Donc, pour éviter des confrontations, ils ont mis un mécanisme pour un accord de non-agression et pour éviter les accidents et les accrochages. À lire aussiNord du Mali: les rebelles du CSP veulent «un statut politique et juridique» pour l'Azawad À lire aussiRebelles du FLA et jihadistes du Jnim envisagent de mener des opérations conjointes dans le nord du Mali
La jeunesse donne de la voix sur le continent : la génération Z, qui regroupe ceux qui sont nés entre 1997 et 2012, est majoritaire dans nombre de pays d'Afrique et elle veut se faire entendre, exprimer ses revendications et participer au débat politique. C'est le cas à Madagascar… Après une première journée de mobilisation jeudi dernier, constate Le Monde Afrique, « des centaines de jeunes sont à nouveau descendus samedi dans les rues de la capitale, Antananarivo, à l'appel du collectif Gen Z Madagascar pour réclamer l'accès à l'eau, à l'électricité et le respect de la liberté d'expression. (…) Le cortège a rapidement été stoppé par les forces de police et de gendarmerie, lourdement armées. Des grenades lacrymogènes ont été tirées et plusieurs blessés seraient à déplorer. » Et la semaine qui débute sera « déterminante », s'exclame L'Express de Madagascar. Avec de nouveaux appels à manifester de la part de Gen Z. En effet, malgré les appels au calme et l'intervention du président Andry Rajoelina qui a dit avoir entendu les revendications des jeunes, « la Génération Z a publié hier un communiqué ignorant ostensiblement ces annonces, constate le quotidien malgache. Le mouvement est train de franchir un nouveau cap : de sociales, les revendications prennent une tournure politique. La Génération Z réclame la démission du gouvernement et celle du préfet d'Antananarivo. (…) Le mouvement risque ainsi de s'amplifier, conclut L'Express. (…) Tout laisse donc présager une semaine à haut risque. » La stratégie de la passivité ? « Le courage et la fierté des manifestants avant-hier ont été salués par tout le monde, pointe pour sa part Midi Madagascar. Le message qu'ils ont délivré a été entendu bien au-delà des frontières de la Grande île, mais les événements malheureux qui ont eu lieu par la suite ont quelque peu occulté sa portée, déplore le journal. L'arrivée d'individus malintentionnés et les dégradations matérielles qu'ils ont accomplies ont scandalisé la population. Ils n'avaient absolument rien à voir avec le mouvement de revendication légitime des manifestants. » Et « face à la passivité apparente des forces de l'ordre », relève Midi Madagascar, on peut se demander « s'il ne s'agit pas d'une stratégie délibérée pour occulter totalement le message véhiculé par les manifestants sincères. » « Des dérapages incontrôlés ou téléguidés ? », s'interroge en écho Madagascar Tribune. « On sait depuis la deuxième République de Ratsiraka que l'utilisation de casseurs et de voyous pour discréditer les mouvements de protestation est une pratique des dirigeants malgaches. » Arrogance ? En tout cas, s'agace Madagascar Tribune, « en se comportant avec arrogance depuis des décennies, les dirigeants actuels portent une grande responsabilité dans la colère de la population, en accumulant fraudes électorales, gaspillant les deniers publics dans des projets inutiles, affichant une totale impunité dans la corruption, et n'hésitant jamais à des mensonges cousus de fil blanc et vite rattrapés par la réalité. (…) C'est dans ce contexte, poursuit le journal, qu'à l'inspiration de l'exemple népalais, la Gen Z malgache est apparue. Elle se caractérise par une maitrise des réseaux sociaux pour l'efficacité de la communication et de la mobilisation, et par une absence de véritables leaders pour personnaliser le mouvement et le politiser. Cela lui donne une crédibilité et une légitimité que la classe politique n'a pas. » Au Maroc aussi Et il n'y a pas qu'à Madagascar que la jeunesse donne de la voix… « Au Maroc, la Génération Z descend dans la rue, constate Afrik.com : santé, école, dignité et débat sur les priorités budgétaires. » Ces derniers jours, pointe le site panafricain, « des collectifs de jeunes Marocains qui se sont coordonnés en ligne ont tenté d'organiser des marches dans plusieurs villes pour dénoncer la dégradation des services publics — surtout la santé et l'école. Entre interdictions, dispersions et interpellations, cette séquence met à nu le fossé entre une génération connectée, exigeant dignité et emploi, et des autorités focalisées sur la stabilité. Elle ouvre un bras de fer durable autour des priorités budgétaires et d'un nouveau contrat social. » Et « une réponse essentiellement sécuritaire ne changera pas les revendications, prévient Afrik.com. La fenêtre d'apaisement passe par des gestes tangibles et vérifiables sur la santé et l'éducation, plutôt que par la seule communication gouvernementale. (…) Les prochains week-ends diront si la “Génération Z“ transforme l'essai de la rue en agenda de réformes mesurables. »
Pour débuter l'émission de ce jeudi 18 septembre 2025, les GG : Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent du sujet du jour : "Journée noire : le grand flou des revendications ?".
durée : 00:02:31 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque semaine, une femme ou un homme politique la métropole lilloise est l'invité spécial de BFM Lille pour répondre aux questions d'Adrien Lanoy.
durée : 00:06:29 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Au lendemain de la journée de mobilisation "Bloquons tout", retour sur le profil des manifestants avec Magali Della Sudda, directrice de recherche en sciences politiques au CNRS, au Centre Émile Durkheim à Bordeaux. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Frédéric Hermel, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste politique - Jules Torres, journaliste politique au JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nomination des Senior Counsel : entre contestations judiciaires, accusations d'ingérence politique et revendications syndicales, la controverse sur la séparation des pouvoirs prend de l'ampleur by TOPFM MAURITIUS
Invité : - Philippe Tabarot, ministre des transports. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 26 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les négociations directes entre Kiev et Moscou à Istanbul n'auront rien donné. Comment sortir de ce cycle ? Donald Trump a effectué la première tournée depuis sa réélection, une tournée réservée aux monarchies arabes. Il est rentré chez lui avec de riches promesses. Enfin, Gerard Depardieu a été condamné pour agression sexuelle, quelques heures avant l'ouverture du Festival de Cannes. Au delà du symbole, nous verrons comment le milieu du cinéma effectue sa mue.
Philippe Tabarot, Ministre chargé des Transports répond aux questions de Yoann Usaï au sujet des syndicats qui brandissent la menace d'une semaine noire à la SNCF. La CGT et Sud Rail appellent les contrôleurs à faire grève du 7 au 11 mai.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marche pacifique : des revendications formulées par la Renal Disease Patients Association by TOPFM MAURITIUS
Dans ce nouvel épisode, les syndicalistes chrétiens et socialistes se sont rendus à City 2 pour bloquer l'ouverture du magasin Action et on finit par bloquer une grande partie des magasins du centre commercial ainsi que quelques commerces de la rue Neuve et de la galerie. La lettre de l'ambassade américaine pour l'arrêt des politiques contre la discrimination dans les entreprises a fait réagir plusieurs entreprises européennes qui estiment que cette obligation va à l'encontre des valeurs européennes. Le fonds pour les malades de longue durée a élargi son champ de candidats. Aujourd'hui, plus de personnes y auront accès et bénéficieront d'un accompagnement vers une réorientation de carrière. Du côté de la Tech, Christophe Charlot donne les détails de la nouvelle IA intégrée à Whatsapp. Du côté des la bourse, Vincent Juvyns analyse les conséquences des taxes douanières américaines sur les marchés boursiers internationaux.
Karine rencontre des difficultés avec son ex-conjoint concernant la garde de leur fils de 4 ans. Malgré le rejet de la demande de garde exclusive par le père, celui-ci a cessé de voir l'enfant depuis octobre 2024. L'auditrice, espérant avoir tourné la page, fait face à une nouvelle convocation des services sociaux, son ex réclamant une mesure éducative. Karine exprime son épuisement et sa frustration face à une situation qui semble sans fin. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
La rencontre Martineau-Dutrizac avec Richard Martineau et Benoit Dutrizac Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le nouveau Président, qui sera investi le 20 Janvier, sème déjà la panique parmi ses alliés en recyclant de vieilles lunes impériales...Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Les 8 et 9 décembre 1984, un rassemblement amérindien se tenait au village kali'na d'Awala, à l'ouest de la Guyane. Ce fut l'acte fondateur du militantisme autochtone guyanais. Le discours politique prononcé par Félix Tiouka est devenu un texte fondamental pour les luttes autochtones en Guyane. Un article de Helene Ferrarini (Guyaweb) publié mardi 10 décembre et lu par Christine Pâris.
Des millions de fonctionnaires sont appelés à la grève ce jeudi afin d'ouvrir un front social en pleine crise politique, au lendemain de la chute du gouvernement de Michel Barnier sur une motion de censure adoptée par la gauche et le Rassemblement national.
Un sondage récent révèle que 62 % des Français soutiennent l'interdiction des grèves dans les transports durant la période de Noël. Beaucoup considèrent ces mouvements sociaux comme insupportables, estimant qu'ils portent atteinte à l'esprit des fêtes et perturbent les retrouvailles familiales.Ce débat met en lumière le droit de grève, un droit fondamental mais qui, selon certains, devrait être encadré, notamment pendant des périodes sensibles comme Noël. Ces moments revêtent une importance particulière pour les familles, souvent privées de la possibilité de se réunir lorsque les transports sont paralysés.Un autre point sensible est la question du fret ferroviaire, parfois perçue comme un simple prétexte pour justifier les grèves à Noël. Cependant, d'autres soutiennent qu'il s'agit d'un enjeu stratégique et sérieux, qui mérite d'être mieux compris par les Français.Les avis des intervenants restent partagés. Certains approuvent l'idée d'interdire les grèves pendant les fêtes, tandis que d'autres insistent sur la protection inconditionnelle du droit de grève, quelles que soient les circonstances.Ce débat soulève finalement une question essentielle : comment trouver un équilibre entre le respect du droit de grève et la minimisation de ses impacts sur la vie des Français, en particulier durant des périodes aussi symboliques que Noël ?Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur l'arrivée des revendications identitaires dans le débat public en 1989.
Aujourd'hui, Elina Dumont, Didier Giraud et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Gréve des Footballeurs : Un Manque De RESPECT pour ceux qui TRIMENT ? ⚽️PODCAST FOOTBALL AU COEUR DU PARIS SAINT GERMAIN #psg #football #parissaintgermain #debrief #debriefpsg #ligue1ubereats
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "Timeline 5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pour Les interviews Histoire de Timeline, nous avons eu la chance de nous entretenir avec Frédéric Granier, pour son livre "Imagine. 12 chansons qui ont fait l'histoire". Un livre qui retrace l'histoire méconnue de douze succès planètaires. L'histoire méconnue de douze succès planétaires. Un livre-chapitres conçu comme un album. " Vous pourriez dire que je suis un rêveur. Mais je ne suis pas le seul. " En octobre 1971, un an et demi après la séparation des Beatles, John Lennon publie la chanson Imagine, qui deviendra le plus grand succès de sa carrière en solo mais aussi l'un des titres les plus emblématiques du répertoire de la pop, jusqu'à être qualifiée de " morceau du siècle " par certains classements. L'hymne pour la paix le plus célèbre de l'histoire, que l'on entonne toujours lors des manifestations et au lendemain des drames, ne raconte pas seulement les ambivalences d'un artiste tiraillé entre idéalisme et activisme : il marque aussi les derniers feux de l'ère hippie et des utopies des années 1960, avant l'entrée de plain-pied dans une décennie marquée par le désenchantement. Ce ne sera pas la dernière fois qu'en quelques notes et une poignée de mots un tube incarnera son époque et en dévoilera les soubresauts comme les ambiguïtés. Revendications sociales, tensions diplomatiques, alternances et changements de majorité... De nombreux événements peuvent se lire à l'aune d'une chanson qui en dit souvent bien plus qu'un long discours. En 1977, God Save the Queen des Sex Pistols éclipsera le jubilé de la reine, et marquera l'entrée dans une nouvelle ère, celle du punk et du " No Future ", comme We Are the World (1985), coécrite par Michael Jackson et Lionel Richie, symbolisera la naissance de l'industrie de l'humanitaire et du charity-business. Publiée neuf mois avant la mort de Freddie Mercury, Innuendo (1991) de Queen deviendra à la fois l'épitaphe du groupe et le symbole des années sida. Hit emblématique de la britpop et de la " Cool Britannia ", Wonderwall du groupe Oasis contribuera à réinstaller les travaillistes au pouvoir en Angleterre en 1997, mettant fin à presque deux décennies de thatchérisme. Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, The Rising de Bruce Springsteen aidera à panser les plaies d'une Amérique meurtrie. De ABBA à Gainsbourg, de Scorpions aux Cranberries, des protest songs les plus virulentes aux hymnes pop (en apparence) anecdotiques : en douze titres incontournables qui forment autant de chapitres, cet ouvrage écrit avec maestria fait se percuter la grande histoire avec celle du rock, et raconte à sa manière certains des bouleversements politiques et sociaux majeurs des soixante dernières années.
Aujourd'hui Barbara Lefebvre, Didier Giraud et Mehdi Ghezzar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mardi 21 mai, la grève à la SNCF autour des primes JO et la facture sociale prévue pour ce grand événement sportif ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Stéphane Pedrazzi, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 21 mai, la grève à la SNCF autour des primes JO et la facture sociale prévue pour ce grand événement sportif ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Stéphane Pedrazzi, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Retrouver du pouvoir d'agir On naît, on grandit et on vit dans des sociétés patriarcales au point que parfois, on ne s'en rend plus compte. Depuis des siècles, le patriarcat se niche dans notre inconscient et dans nos histoires intimes et familiales. Alors est ce qu'il ne faudrait pas que les thérapeutes s'emparent des outils et des grilles de lecture du féminisme pour nous aider à aller mieux et à comprendre ce qui nous arrive ? Charlotte Bienaimé est allée à la rencontre de psychologues et de patientes qui ont choisi des thérapies féministes. Ils et elles nous racontent en quoi cela consiste. Ça permet de nommer les violences, de guérir les traumatismes causés par la volonté de destruction de certains hommes et plus largement de trouver comment vivre nos vies sous le patriarcat.De plus en plus nombreuses, ces thérapies articulent psychologie et social. Parce que malgré les oppressions, l'objectif est de retrouver du pouvoir d'agir et de prendre conscience que se soigner individuellement est un acte éminemment politique et collectif. Avec :- Sarah, Maguy et Nina- Françoise Sironi, psychologue- Juliette Mercier, neuropsychologue- Annie Ferrand, psychologue- Kyn Yoram Krakowski, psychologue- Kaoutar Ben Moumene, psychologue- Sylvie Dalnoky, psychologue Lectures :- « Souvenez-vous, résistez, ne cédez pas », Andrea Dworkin, Éditions Syllepse- « Le corps n'oublie rien », Bessel van der Kolk, Éditions Albin Michel- « Charge », Treize, Éditions La Découverte- « Manuel rabat-joie féministe », Sara Ahmed, Éditions La Découverte Ressources : - « Reconstruire après les traumatismes », Judith Lewis Herman, InterEditions- Centre Bertha Pappenheim- « Spécificité des traumatismes intentionnels », Françoise Sironi, Éditions Odile Jacob- Association pour le soin queer et féministe (ASQF)- Liste Psys Situé·es- « Revendications féministes en santé mentale : histoire et impact », Stéphanie Pache, Presses de Rhizome- Psychology's feminist voices- « Jeunes femmes pleines de promesses », Suzanne Scanlon, Les Éditions du Portrait- Tu devrais consulter- La psy révoltée- Paye ta psychophobie- Site de la thérapeute Elisende Coladan- Site de la psychothérapeute Estelle Bayon- Site de la psychothérapeute Marianne Kuhni- Santé mentale des personnes migrantes et/ou descendant·es de l'immigration post-coloniale Remerciements :- Un grand merci au groupe de psychologues féministes marseillaises : Nelly, Sophie, Sophie-Leila, Lucie, Solveig- Merci à Estelle Bayon et Elisende Coladan- À toutes les femmes en thérapie féministe : Amandine, Andrea, Marcia, Sol, Emeline, Lou…- Un merci tout particulier à Judith Chemla Enregistrements : avril 2024 - Prise de son, montage, textes et voix : Charlotte Bienaimé - Réalisation et mixage : Annabelle Brouard - Lectures : Judith Chemla - Accompagnement éditorial : Sarah Bénichou - Illustrations : Anna Wanda Gogusey - Production : ARTE Radio
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. Apres la greve des agriculteurs européens et slovaques, qu´en est-il de leurs revendications ? Ont-ils eu le soutien escompté par l´UE ? Une mise a jour s´impose. 20 ans dans l‘UE – On se connaît ? La Chypre
De nombreux corps de métiers menacent de faire grève à l'approche des JO. Après la SNCF, qui réussira à obtenir de nouveaux avantages contre la promesse de ne pas perturber la grande fête olympique ? La réponse avec nos amis les Deschiens. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.
En Éthiopie, les représentants syndicaux ont lancé, en présence de la ministre du Travail, un appel pour mettre fin aux conflits qui minent le pays et pénalisent l'économie. Ils demandent l'instauration d'un salaire minimum pour les nombreux Ethiopiens qui ne parviennent pas à vivre de leurs revenus.
durée : 00:14:18 - Journal de 7 h - Un an après la bataille contre la réforme des retraites les syndicats avanceront ce mercredi en ordre dispersé dans les cortèges de la fête du travail.
durée : 00:14:18 - Journal de 7 h - Un an après la bataille contre la réforme des retraites les syndicats avanceront ce mercredi en ordre dispersé dans les cortèges de la fête du travail.
durée : 00:42:42 - La Série musicale - par : Zoé Sfez - Le deuxième épisode de notre série consacrée aux polyphonies nous emmène ce dimanche sur l'île de beauté, où les entrelacs de voix surgissent sur les cols des montagnes, dans les maisons ou les églises et depuis des temps immémoriaux.
durée : 00:42:42 - La Série musicale - par : Zoé Sfez - Le deuxième épisode de notre série consacrée aux polyphonies nous emmène ce dimanche sur l'île de beauté, où les entrelacs de voix surgissent sur les cols des montagnes, dans les maisons ou les églises et depuis des temps immémoriaux.
Pour parler AVS, Constitution valaisanne et radicalisme, tous les chemins mènent à Martigny. Plus précisément du côté de chez Pascal Couchepin. Nos journalistes Romain Clivaz et Vincent Bourquin se sont rendus «en Octodure». Au micro de Sous la Coupole, l'ancien conseiller fédéral PLR se montre combatif en vue du 3 mars prochain et s'oppose résolument à la 13e rente AVS. S'il critique le style «lutte des classes» de Pierre-Yves Maillard, il salue les débuts d'Elisabeth Baume-Schneider. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Historique du conflit entre Israël et la Palestine. Discussion société avec Luc Lavoie, chroniqueur et analyste politique.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque week-end, à 8h13, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité
Ce vendredi 26 janvier, la faisabilité des revendications des agriculteurs et les éventuelles propositions du Premier ministre Gabriel Attal à l'occasion de sa descente sur le terrain pour stopper le mouvement ont été abordés par Nathalie Janson, professeur à Neoma Business School, Dany Lang, enseignant chercheur en économie à Sorbonne Paris-Nord, et Laurent Vronski, DG d'Ervor, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:26:30 - 8h30 franceinfo - Le président de la FNSEA était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 24 janvier 2024.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des manifestations des policiers tenues en France, et de leurs revendications à trois mois des Jeux Olympiques.
Merci à « Thomas » d'être venu nous expliquer le fonctionnement, les revendications et le quotidien d'un black-bloc. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je discute dans cet épisode avec Delphine BRARD la directrice de la communication et de la stratégie pour l'association la Vie Active. Le sujet est : le collectif "les métiers de l'humain en danger" qui milite depuis plusieurs mois pour revaloriser les métiers et pour améliorer l'accompagnement des personnes fragiles. Ce collectif, rassemble des associations gestionnaires d'établissement intervenant auprès des personnes en situation de handicap, du grand âge, de la protection de l'enfance, et de la lutte contre les exclusions. Le premier problème commence par l'absence de revalorisation salariale pour tous les métiers du social et du médico-social. Certains métiers ont bénéficié d'une prime Ségur mais pas tous. Une situation qui amène un sentiment d'injustice dans les équipes. Malgré des moyens supplémentaires accordés à partir de 2021, les moyens restent insuffisants pour accompagner au mieux les personnes et pour rendre les métiers de l'humain attractifs. La problématique est finalement toujours la même, comment éveiller les consciences pour que les politiques s'emparent des sujets et fassent le choix d'allouer des moyens pour améliorer les conditions de travail et de vie dans les établissements médico-sociaux. Ce qui est intéressant avec ce collectif est la mobilisation nationale et le fait de continuer à organiser des manifestations alors que les projets de lois et de réformes n'aboutissent pas. J'interroge donc Delphine BRARD sur la manière dont vie le collectif pour tenir. Nous savons que les professionnels de la santé et du social n'ont pas le temps de bloquer les routes pour obtenir de meilleures conditions de travail. C'est sans doute pour cela que les choses n'avancent pas. Nous discutons aussi de la manière de communiquer de la Vie Active. Parler avec humour des sujets importants. Comment valoriser les personnes accompagnées et le travail des équipes sur les réseaux sociaux ? Si vous souhaitez en savoir plus sur le collectif : https://vieactive.fr/wp-content/uploads/2021/12/REVENDICATIONS_30112021.pdf
Voici l'épisode 461 de "la quotidienne iWeek" en ce mercredi 20 septembre 2023 ! Abonnez-vous : c'est gratuit ! Ce que demandent les salariés des Apple Store en France. Présentation : Benjamin VINCENT (@benjaminvincent) + Fabrice Neuman (@fabriceneuman). Production : OUATCH Audio. Tags : batterie : on compte désormais les cycles ; ce que demandent les salariés des Apple Store en France ; mises à jour pour Final Cut Pro et iMovie ; les promesses d'Intel ; satisfaction client : Samsung aussi bien qu'Apple. Bonne découverte de "la quotidienne iWeek" si vous nous écoutez pour la première fois, parlez de nous autour de vous, retweetez-nous (@iweeknews), bonne journée, bonne écoute et à demain ! Benjamin VINCENT et la team #iweekLQI PS1 : rejoignez la communauté iWeek sur patreon.com/iweek et bénéficiez de bonus exclusifs ! PS2 : retrouvez-nous aussi pour "iWeek (la semaine Apple)", notre podcast hebdo, chaque milieu de semaine. PS3 : l'épisode 154 d'iWeek (la semaine Apple) est imminent !
Pour cet épisode d'Xpresso nous avons eu la chance de nous entretenir avec Frédéric Granier, pour son livre "Imagine. 12 chansons qui ont fait l'histoire". Un livre qui retrace l'histoire méconnue de douze succès planètaires. L'histoire méconnue de douze succès planétaires. Un livre-chapitres conçu comme un album. " Vous pourriez dire que je suis un rêveur. Mais je ne suis pas le seul. " En octobre 1971, un an et demi après la séparation des Beatles, John Lennon publie la chanson Imagine, qui deviendra le plus grand succès de sa carrière en solo mais aussi l'un des titres les plus emblématiques du répertoire de la pop, jusqu'à être qualifiée de " morceau du siècle " par certains classements. L'hymne pour la paix le plus célèbre de l'histoire, que l'on entonne toujours lors des manifestations et au lendemain des drames, ne raconte pas seulement les ambivalences d'un artiste tiraillé entre idéalisme et activisme : il marque aussi les derniers feux de l'ère hippie et des utopies des années 1960, avant l'entrée de plain-pied dans une décennie marquée par le désenchantement. Ce ne sera pas la dernière fois qu'en quelques notes et une poignée de mots un tube incarnera son époque et en dévoilera les soubresauts comme les ambiguïtés. Revendications sociales, tensions diplomatiques, alternances et changements de majorité... De nombreux événements peuvent se lire à l'aune d'une chanson qui en dit souvent bien plus qu'un long discours. En 1977, God Save the Queen des Sex Pistols éclipsera le jubilé de la reine, et marquera l'entrée dans une nouvelle ère, celle du punk et du " No Future ", comme We Are the World (1985), coécrite par Michael Jackson et Lionel Richie, symbolisera la naissance de l'industrie de l'humanitaire et du charity-business. Publiée neuf mois avant la mort de Freddie Mercury, Innuendo (1991) de Queen deviendra à la fois l'épitaphe du groupe et le symbole des années sida. Hit emblématique de la britpop et de la " Cool Britannia ", Wonderwall du groupe Oasis contribuera à réinstaller les travaillistes au pouvoir en Angleterre en 1997, mettant fin à presque deux décennies de thatchérisme. Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, The Rising de Bruce Springsteen aidera à panser les plaies d'une Amérique meurtrie. De ABBA à Gainsbourg, de Scorpions aux Cranberries, des protest songs les plus virulentes aux hymnes pop (en apparence) anecdotiques : en douze titres incontournables qui forment autant de chapitres, cet ouvrage écrit avec maestria fait se percuter la grande histoire avec celle du rock, et raconte à sa manière certains des bouleversements politiques et sociaux majeurs des soixante dernières années.
Elisabeth Borne a rencontré lundi Geoffroy Roux de Bézieux et François Asselin, représentants des organisations patronales. Nicolas Bouzou fait le point sur une question d'actualité économique.
durée : 01:45:28 - Les Matins - par : Guillaume Erner - Depuis le Qatar, qui s'apprête à accueillir le Mondial de football, jusqu'aux manifestations en Iran, en passant par le conflit ukrainien qui a sommé chacun de se positionner sur les valeurs qu'il entend défendre, quelle culture le monde peut-il avoir en partage ? - invités : Bertrand Badie Politiste, spécialiste des relations internationales; Olivier Roy Politologue, professeur à l'Institut universitaire européen de Florence