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Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
-Invité exceptionnel, Tony Estanguet à l'occasion de la sortie de son livre « Par amour du sport » aux éditions Calmann Levy. Il se confie sur les coulisses des JOP 2024 et leur impact sur sa vie personnelle. -Retour sur la victoire peu convaincante du XV de France face aux Fidji avec notre consultant Olivier Magne. -Fil rouge football sur les qualifications au Mondial 2026 : Azerbaïdjan - France avec Nicolas Georgereau, sur place. -Sébastien Gardillou, le sélectionneur de l'EDF féminine de handball avant le mondial qui débute dans 10 jours. -Gros plan sur Timothy Loubineau, nouveau recordman du monde du 5000m en patinage de vitesse.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est le dernier match de la sélection française en 2025. Déplacement en Azerbaïdjan en fin d'après-midi pour terminer cette campagne de qualifications à la Coupe du Monde 2026. Le match est sans enjeu, la France est qualifiée, l'Azerbaïdjan éliminé. Après son entrée fulgurante face à l'Ukraine, Hugo Ekitike sera titulaire à Baku. Son profil est-il parfait pour la France ? Est-il le 9 dont la France a besoin ? Comment au mieux orchestrer l'attaque des hommes de Didier Deschamps ? Dans ce match sans enjeu, qui a des points à marquer ? Qui doit impressionner le sélectionneur ?
-Invité exceptionnel, Tony Estanguet à l'occasion de la sortie de son livre « Par amour du sport » aux éditions Calmann Levy. Il se confie sur les coulisses des JOP 2024 et leur impact sur sa vie personnelle. -Retour sur la victoire peu convaincante du XV de France face aux Fidji avec notre consultant Olivier Magne. -Fil rouge football sur les qualifications au Mondial 2026 : Azerbaïdjan - France avec Nicolas Georgereau, sur place. -Sébastien Gardillou, le sélectionneur de l'EDF féminine de handball avant le mondial qui débute dans 10 jours. -Gros plan sur Timothy Loubineau, nouveau recordman du monde du 5000m en patinage de vitesse.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
-Invité exceptionnel, Tony Estanguet à l'occasion de la sortie de son livre « Par amour du sport » aux éditions Calmann Levy. Il se confie sur les coulisses des JOP 2024 et leur impact sur sa vie personnelle. -Retour sur la victoire peu convaincante du XV de France face aux Fidji avec notre consultant Olivier Magne. -Fil rouge football sur les qualifications au Mondial 2026 : Azerbaïdjan - France avec Nicolas Georgereau, sur place. -Sébastien Gardillou, le sélectionneur de l'EDF féminine de handball avant le mondial qui débute dans 10 jours. -Gros plan sur Timothy Loubineau, nouveau recordman du monde du 5000m en patinage de vitesse.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
- Invité exceptionnel, Tony Estanguet à l'occasion de la sortie de son livre « Par amour du sport » aux éditions Calmann Levy. Il se confie sur les coulisses des JOP 2024 et leur impact sur sa vie personnelle. - Retour sur la victoire peu convaincante du XV de France face aux Fidji avec notre consultant Olivier Magne. - Fil rouge football sur les qualifications au Mondial 2026 : Azerbaïdjan - France avec Nicolas Georgereau, sur place. - Sébastien Gardillou, le sélectionneur de l'EDF féminine de handball avant le mondial qui débute dans 10 jours. - Gros plan sur Timothy Loubineau, nouveau recordman du monde du 5000m en patinage de vitesse.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Debrief Azerbaïdjan - France (1-3), 6e journée de qualifications pour la Coupe du Monde 2026 aux Etats-Unis.
Le WFC distribue ses notes pour le match entre l'Azerbaïdjan et la France (1-3). Malo Gusto est-il l'homme du match ? Quelles notes pour Ekitike, Akliouche ou encore Mateta ?
C'est le rendez-vous du week-end à ne pas manquer pour tous les fans de sport ! Rugby, natation, Formule 1… tous les sports et grands événements sont à suivre en live sur RMC, et c'est Flora Moussy qui sera désormais aux commandes de ce show ! Le samedi à partir de 16h, elle sera aux côtés de Benoit Boutron, Christophe Cessieux et Thibaut Giangrande qui continueront de se succéder au micro.
C'est la libre-antenne du dimanche midi ! Attablez-vous et venez débattre avec la joyeuse bande de Stephen Brun tous les dimanches entre 13h00 et 15h00. Durant deux heures, les auditeurs sont au cœur de l'émission pour échanger avec Stephen Brun, Alexandre Biggerstaff, Maxime Pauty, Erwan Abautret et tous leurs invités.
Sur le buzzer c'est le dernier débat des GG du Sport ! Pile à temps pour s'écharper une dernière fois lors de l'émission…
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Retrouvez Rothen s'enflamme de 18h à 20h sur RMC.
Debrief France - Azerbaïdjan (3-0), troisième journée de qualifications pour la Coupe du Monde.
Malgré une cascade de blessés en attaque, l'équipe de France a une belle occasion de consolider sa 1re place dans le groupe D et de se rapprocher de la qualification pour le Mondial 2026 en recevant le modeste Azerbaïdjan, vendredi (20h45) au Parc des Princes. Bien qu'arrivé au rassemblement des Bleus avec des douleurs à la cheville, Kylian Mbappé devrait tenir sa place. "Je veux jouer, le coach veut que je joue, je pense qu'il n'y aura pas de problème", a-t-il déclaré à la veille de la rencontre. L'attaquant du Real, qui a dépassé en septembre Thierry Henry au classement des meilleurs buteurs des Bleus avec 52 réalisations, est doublement motivé. Au-delà du sésame pour la Coupe du monde à aller chercher, Mbappé va essayer de profiter de la faible opposition azérie pour se rapprocher du recordman Olivier Giroud (57). "Je pense que je vais le battre mais quand, je ne sais pas. Peut-être demain, qui sait ?" Analyse de cette petite phrase et des grandes ambitions du numéro 10 des Bleus avec Philippe Sanfourche et Florian Gazan. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Emmanuel Clévenot, journaliste chez Reporterre, raconte son incroyable voyage de 9 jours en train depuis la France pour rejoindre la COP29 en Azerbaïdjan.À travers son récit, il nous plonge dans les coulisses du média Reporterre, tout en partageant les imprévus, les rencontres et les réflexions suscitées par ce périple hors du commun.
Ensemble, Docdis, Shini et Wicou commentent l'actualité F1, reviennent sur le déroulement du Grand Prix d'Azerbaïdjan, distribuent les bons points et les poings dans la gueule, et élisent le move du GP.
Cet épisode de GRAND PRIX revient sur le GP d'Azerbaïdjan et sur la victoire de Max Verstappen à Bakou, ainsi que sur la catastrophe subie par McLaren, et sur le premier podium de Carlos Sainz avec Williams.
durée : 00:05:03 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Une nouvelle étude montre qu'en 2023, les séismes turcs ont déclenché en Azerbaïdjan un séisme silencieux. Ce tremblement de terre sans secousse compte parmi les plus importants observés et s'est doublé de l'éruption de cinquante volcans de boue.
Bakou aura été fidèle à sa réputation de week-end où il se passe très souvent des choses. Max Verstappen l'emporte pour le 2e week-end d'affilé. Peut-il mettre la pression sur les pilotes McLaren ? Pour la première fois de sa carrière, Oscar Piastri est passé totalement au travers. Lando Norris aurait pu en profiter mais le Britannique n'a pas optimisé ses chances encore une fois. Grand Prix encore extrêmement difficile pour la Scuderia Ferrari qui peine depuis la reprise alors que Georges Russell signe son 7e podium de la saison. Isack Hadjar grapille une nouvelle fois le point de la 10e place même si le Français aurait probablement pu réaliser un meilleur résultat.
On revient sur le grand prix d'Azerbaïdjan 2025
Le Bulletin GP revient sur le Grand Prix d'Azerbaïdjan 2025, remporté par Max Verstappen. Cette course fut surtout marquée par l'abandon d'Oscar Piastri, au premier tour. Carlos Sainz a obtenu son premier podium avec Williams et Lando Norris a terminé septième.Suivez-nous sur Facebook, Instagram, Threads et Bluesky (@lebulletingp). Lisez nos chroniques sur lebulletingp.substack.comPour rejoindre le groupe Facebook de La Monoplace: https://www.facebook.com/groups/427199868294999/
La F1 pose ses roues à Bakou en Azerbaïdjan pour la 17e manche du championnat du monde ! McLaren peut d'ores et déjà être sacré champion du monde des constructeurs en cas de doublé de ses pilotes. La lutte pour le titre mondial pilote bat son plein entre Oscar Piastri et Lando Norris. Max Verstappen, vainqueur à Monza, et Charles Leclerc, 4 fois poleman à Bakou, espèrent jouer les trouble-fêtes sur un circuit apprécié par le paddock. Nicolas Paolorsi, Louis Gerbier et Séraphin Bette reviennent sur le passage d'Isack Hadjar sur le sol français. Le pilote Racing Bulls était la tête d'affiche du Red Bull Motormania qui a rassemblé plus de 25 000 fans. En 8 mois, Hadjar est devenu une superstar !
durée : 00:58:51 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - L'Arménie et l'Azerbaïdjan ont signé à Washington le 8 août dernier une déclaration allant vers un accord de paix après plus de trente ans de conflit. L'occasion pour Donald Trump d'apparaître comme un faiseur de paix et de prendre pied dans le Sud-Caucase, historiquement sous influence russe. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Julien Zarifian professeur à l'université de Poitiers, membre junior de l'Institut universitaire de France; Anita Khachaturova Doctorante au Cevipol, à l'Université Libre de Bruxelles; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier et à Sciences Po Paris
durée : 00:04:45 - Le Reportage de la rédaction - Alors que la COP29 vient de débuter à Bakou, en Azerbaïdjan, on s'intéresse ce matin aux conséquences du dérèglement climatique en France, à Marseille et sur la côte bleue, où les eaux de la Méditerranée montent, et de plus en plus vite.
durée : 00:04:45 - Le Reportage de la rédaction - Alors que la COP29 vient de débuter à Bakou, en Azerbaïdjan, on s'intéresse ce matin aux conséquences du dérèglement climatique en France, à Marseille et sur la côte bleue, où les eaux de la Méditerranée montent, et de plus en plus vite.
Jon Jones n'est plus un combattant UFC ! Tout le monde savait que ça allait arriver mais personne ne s'y attendait à ce moment-là. Dans la confidentialité d'une conférence de presse en Azerbaïdjan, le boss Dana White a annoncé que "Bones" ne combattrait plus dans la cage de l'organisation. Entre déboires judiciaires, tests positifs a des substances dopantes et refus d'affronter Tom Aspinall, la nouvelle soulève beaucoup de questions. Le RMC Fighter Club revient sur la carrière de celui que beaucoup considèrent comme le GOAT du MMA.
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce mercredi, il revient sur la libération du graffeur Théo Clerc après 422 jours de détention en Azerbaïdjan. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur une plainte déposée en Guinée sur les événements de Nzérékoré et un accord de paix entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. RDC : pourquoi la SADC se retire-t-elle de l'est du pays ? Lors d'un sommet extraordinaire de la Communauté de développement d'Afrique australe (SADC), les chefs d'Etat ont mis fin au mandat de la force militaire dans l'est de la RDC. Pourquoi une telle décision maintenant malgré la situation sécuritaire ? Comment va s'organiser le retrait ? D'autres options sont-elles envisagées pour remplacer la SAMIDRC ?Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. Guinée : la plainte déposée sur le drame de Nzérékoré a-t-elle des chances d'aboutir ? En Guinée, trois mois après la bousculade meurtrière du stade de Nzérékoré, une plainte a été déposée par les familles des victimes pour « homicide involontaire, omission de porter secours et recel de cadavres ». La justice ira-t-elle jusqu'au bout et jugera-t-elle les responsables, y compris les ministres présents lors du match ?Avec Sidy Yansané, journaliste au service Afrique de RFI. Arménie-Azerbaïdjan : après 30 ans de conflit, enfin la paix ? Après plus de trois décennies de conflit marquées par deux guerres, l'Arménie et l'Azerbaïdjan ont annoncé conclure un accord de paix. Comment les deux pays sont-ils finalement parvenus à s'entendre ? Quel avenir pour les frontières, notamment autour du Haut-Karabakh, et les 100 000 Arméniens déplacés de cette région ?Avec Taline Papazian, politologue, maîtresse de conférences à Sciences Po.
Dans ce 128ème épisode, Nirina raconte l'Azerbaïdjan
Dans ce 127ème épisode, Guillaume raconte la Bulgarie
durée : 00:36:58 - Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT, Cellule investigation de Radio France - Après de multiples tentatives d'assassinats contre un blogueur azerbaïdjanais réfugié à Nantes, un ancien procureur opposant politique au régime de Bakou a été tué, en septembre 2024, à Mulhouse. Avec en arrière-plan, l'ombre de Bakou. - réalisé par : Christophe IMBERT
En Azerbaïdjan, où a eu lieu la COP29 du 13 au 24 novembre 2024, les conséquences du changement climatique sont déjà évidentes. Le pays connait une crise d'approvisionnement en eau sans précédent, et la mer Caspienne, la plus grande étendue d'eau intérieure au monde, a baissé de trois mètres depuis 1995. Un drame pour les villages alentour, comme à Balikcilar, où 95% de la population vit de la pêche depuis des générations. De notre envoyée spéciale de retour de Balikcilar,Balikcilar, littéralement « le village des pêcheurs », a perdu toute sa raison d'exister. Ces dernières années, l'eau de la mer Caspienne a reculé. Les poissons, eux, ont migré. avec elle, les poissons ont migré. « Ça a tellement changé. Avant, l'eau montait jusqu'ici », constate un habitant de ce village d'Azerbaïdjan.Le village créé par l'Union soviétique dans les années 1930 pour accueillir les pécheurs azéris a, lui, été déserté. « Avant, il y avait plus de 200 familles qui vivaient ici. Désormais, il n'y en a plus que 56. Il n'y a plus de poissons, donc il n'y a plus rien à faire. Les jeunes partent tous dans les grandes villes, à Bakou, même en Russie et en Turquie », poursuit le même habitant.« Tout l'Azerbaïdjan connaissait notre village. Les pêcheurs de Balikcilar étaient célèbres. Et puis, entre pêcheurs, on s'entraidait comme des frères. Aujourd'hui, c'est différent. On galère tellement », complète un autre.« La mer Caspienne n'est pas épargnée »Dans le salon de thé, une baraque désormais entourée de marécages, de vieux pêcheurs se rappellent l'époque où les vagues frôlaient encore les fondations de leur maison. Désormais, le village est une étendue de sable gris où s'entassent les algues sèches, les détritus, les vieux filets de pêche.Velia Gaillard, 70 ans, nous montre sur son téléphone d'anciennes photos de sa barque remplie de poissons. Un vieux souvenir de 1992 : « Dans ce village, nous sommes tous nés pécheurs, notre chair est faite de poisson. Mon grand-père était pêcheur, mon père l'était également, et moi, je le suis devenu. Mais mon fils, non. Je ne le laisserai pas devenir pêcheur. C'est devenu le boulot le plus dur au monde. J'ai jeté ma dernière pierre à la mer, désormais, je suis réparateur. Je fais de la soudure. J'étais pécheur, c'était beau. Tout ça à cause de l'écologie. La mer Caspienne n'est pas épargnée. »À lire aussiCOP29: les défenseurs du climat de plus en plus réprimés en Azerbaïdjan et dans le mondeRisque de déséquilibre de l'écosystèmeÀ l'origine du phénomène, il y a la baisse des précipitations. Il y a aussi l'augmentation des températures. Et il y a surtout l'intensification des irrigations agricoles et des extractions d'eau dans la Volga et l'Oural, les deux fleuves qui alimentent la mer Caspienne. Bien que les cinq pays côtiers soient concernés, aucun accord au système de gouvernance n'a encore été mis en place.En Azerbaïdjan, le phénomène est déjà visible partout. Bakou, la capitale, est désormais entourée de terres grises et boueuses, au milieu desquelles sont creusés des puits pour extraire du pétrole. Avec ces derniers, l'eau de la Caspienne a été polluée. À terme, la mer connaît un risque d'eutrophisation, un processus qui peut entraîner une baisse de l'oxygène et asphyxier les poissons. « C'est Dieu qui l'a voulu ainsi. Qui sommes-nous pour y faire quelque chose ? », lâche un pêcheur.Près de la Caspienne, quand la mer se retire, restent les légendes, comme celle d'un esturgeon d'une demi-tonne pêchée au tournant des années 1990, que se répète, à Balikcilar comme ailleurs, tous les anciens.À lire aussiMer Caspienne: les pays riverains signent un accord historique
Dans le supplément de ce dimanche, Grand reportage week-end nous emmène en première partie en Espagne, à Valence qui a vécu des crues meurtrières, fin octobre dernier. Bilan: 230 morts et plusieurs personnes disparues. La population se solidarise pour le nettoyage des rues, des maisons... En deuxième partie, direction le Haut-Karabakh, après les trente ans d'affrontements entre Arméniens et Azerbaidjanais, l'heure est à la reconstruction, mais le retour des premières familles sur leurs terres a lieu alors que tout est encore en ruines. Inondations de Valence en Espagne : un torrent de désolation Il y a un peu plus d'un mois, des trombes d'eau s'abattent sur le sud-est de l'Espagne. En cause : une dynamique atmosphérique exacerbée par le changement climatique. Celui-ci rend deux fois risqué ce genre d'épisode et l'aggrave de 12% en intensité. L'eau a tout balayé le 29 octobre 2024, noyant dans la boue la périphérie de Valence... Valence, où il n'avait pourtant pas plu. Bilan : 230 personnes ont péri et il y a toujours des disparus. Un mois après, la vie n'est toujours pas revenue à la normale.Un Grand reportage de Pauline Gleize qui s'entretient avec Jacques Allix. Haut-Karabach : l'après-guerre entre reconstruction et propagande de l'AzerbaïdjanGrand reportage nous emmène aujourd'hui dans le Haut-Karabakh. Après trois décennies de conflit entre Arméniens et Azerbaïdjanais, la région a été entièrement récupérée par Bakou au terme d'un assaut militaire éclair, le 19 septembre 2023. En quelques jours, la région a été vidée de ses quelque 120 000 Arméniens. Depuis, le régime d'Ilham Aliyev mène de grands travaux. Objectif : faire revenir au plus vite les 700 000 déplacés internes de la première guerre des années 1990, alors que la majorité des terres sont encore recouvertes de ruines et de mines. RFI a eu un accès rare à la région. Face aux journalistes, la réinstallation des premières familles est soigneusement mise en scène.Un Grand reportage de Manon Chapelain qui s'entretient avec Jacques Allix.
Grand reportage nous emmène aujourd'hui dans le Haut-Karabakh. Après trois décennies de conflit entre Arméniens et Azerbaïdjanais, la région a été entièrement récupérée par Bakou au terme d'un assaut militaire éclair, le 19 septembre 2023. En quelques jours, la région a été vidée de ses quelque 120 000 Arméniens. Depuis, le régime d'Ilham Aliyev mène de grands travaux. Objectif : faire revenir au plus vite les 700 000 déplacés internes de la première guerre des années 1990, alors que la majorité des terres sont encore recouvertes de ruines et de mines. RFI a eu un accès rare à la région. Face aux journalistes, la réinstallation des premières familles est soigneusement mise en scène. «Haut-Karabach : l'après-guerre entre reconstruction et propagande de l'Azerbaïdjan», un Grand reportage de Manon Chapelain.
L'Azerbaïdjan a profité de l'accueil de la COP29 dans sa capitale en novembre pour se rapprocher un peu plus des Outre-mer français. Dans un contexte de tensions diplomatiques croissantes entre Paris et Bakou, les autorités françaises accusent l'Azerbaïdjan d'agiter les sentiments indépendantistes de ses territoires ultra-marins. De notre envoyée spéciale de retour de Bakou,Au pavillon malien du 29ᵉ sommet de l'ONU sur le climat, une conférence. Parmi les intervenants, des Guadeloupéens, des Martiniquais, ou encore des Kanaks. Le sujet : l'impact de la colonisation française sur le changement climatique. Le tout, organisé par l'Azerbaïdjan. Alors que nous essayons d'interroger l'un des intervenants, un présentateur de télévision azerbaïdjanaise nous coupe la route. Dans un français parfait, il l'invite en direct sur son plateau pour l'interroger sur les récentes tensions de la France avec ses Outre-mer. À écouter dans GéopolitiqueOutre-mer : les racines de la colèreAutour du plateau, des membres du Groupe d'initiative de Bakou, une ONG créée en juillet 2023. Elle vise officiellement à « soutenir les peuples face au néo-colonialisme » et organise régulièrement des réunions avec l'ensemble des partis indépendantistes d'Outre-mer.Paris accuse de son côté Bakou d'utiliser le groupe comme un outil d'ingérence afin d'agiter les velléités indépendantistes de ses territoires ultramarins. Ce que réfute Jean-Jacob Bicep, secrétaire général de l'Union populaire pour la libération de la Guadeloupe : « Ils [la France] sont inquiets de la relation, ils ont sûrement peur que toutes les anciennes colonies se soulèvent en même temps, et qu'ils ne puissent pas gérer. Moi, je pense que l'aide que l'Azerbaïdjan nous apporte lui attire plus de problèmes que ça lui apporte quelque chose. Il y a la volonté d'aider les pays encore colonisés, il n'y a aucune question à se poser. »Si certains peuvent se demander pourquoi l'Azerbaïdjan s'intéresse à ce sujet, Jean-Jacob Bicep répond : « À ce moment-là, l'Azerbaïdjan assumait la présidence du Mouvement des pays non-alignés. Dans la constitution même du Mouvement des pays non-alignés, il y a le principe de la décolonisation, c'est l'un des grands principes. »Des tensions en lien avec le conflit au Haut-KarabakhÀ l'origine de l'accélération des tensions diplomatiques entre Paris et Bakou, la décision française de livrer des armes à son alliée, l'Arménie, en conflit avec l'Azerbaïdjan depuis près 30 ans au sujet de l'enclave du Haut-Karabakh. « La France a toujours essayé de garder une attitude assez équilibrée entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie. On peut dire que cet équilibre a été rompu depuis l'arrivée au pouvoir de cette administration du président Macron, analyse Elchin Amirbayov, représentant du président azerbaïdjanais Ilham Aliev et ancien ambassadeur en France. La livraison d'armement létal et offensif à l'Arménie est considérée par nous comme un acte d'hostilité absolu. »Dans ce contexte, le Quai d'Orsay déconseille désormais à tout Français de se rendre en Azerbaïdjan. De fait, depuis le début de l'année, deux Français ont été arrêtés, dont Théo Clerc. Condamné à trois ans de prison pour un graffiti dans le métro, son procès en appel doit se tenir ce lundi 16 décembre.À lire aussiLa crise du Haut-Karabakh en cinq questions
La COP29, la conférence sur les changements climatiques, s'est achevée le dimanche 24 novembre à Bakou, en Azerbaïdjan. Les 198 pays participants sont finalement arrivés à un accord après des négociations houleuses dans un contexte marqué par la récente élection de Donald Trump aux Etats-Unis, ouvertement climatosceptique.Mais l'accord est jugé insatisfaisant par plusieurs pays et par les associations de défense de l'environnement. Cette COP, vivement critiquée depuis le début, est désormais qualifiée de fiasco par de nombreux observateurs.Cet épisode de Code Source est raconté par deux journalistes spécialistes de l'environnement, Frédéric Mouchon et Emilie Torgemen qui co-pilote le service Futurs du Parisien.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux et Clara Grouzis - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Huffington Post, Le Monde, France TV. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 22 novembre 2024.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LA QUESTION AGRICOLE ET LE MERCOSURL'Union européenne et le Mercosur - le Marché commun du Sud, regroupant l'Argentine, la Bolivie, le Brésil, le Paraguay et l'Uruguay - discutent depuis 1999 d'un traité de libre-échange. « La négociation agricole a été finalisée en 2019 », précise-t-on à la Commission européenne. Pour les secteurs les plus sensibles, des quotas tarifaires ont été fixés : chaque année, 99 000 tonnes de bœuf, 180 000 tonnes de sucre de canne et 180 000 tonnes de volaille pourront accoster en Europe sans payer de droits de douane, ou alors minimes. Au-delà, les taxes habituelles s'appliqueront. Le quota de bœuf brésilien représente moins de 1 % de la consommation annuelle européenne et 1,2 % pour celle de sucre. Les discussions entre l'UE et le Mercosur ont repris en mars 2023 et ne portent désormais que sur quelques questions précises, faisant l'objet d'un « protocole additionnel ». En l'absence d'entente rapide, le Mercosur pourrait se rapprocher de la Chine, craint l'exécutif européen. Onze pays ont signé une lettre pour dire leur soutien à l'accord. Parmi eux, l'Allemagne, premier exportateur européen et troisième exportateur mondial, dont l'économie est à la peine. Mais la France qui s'oppose depuis 2019 à l'accord, s'est lancée dans une course contre la montre, en vue de faire pencher les pays indécis.Les agriculteurs français s'inquiètent de la menace d'un débarquement de denrées alimentaires sud-américaines à bas prix, en concurrence déloyale car issues d'un modèle productiviste soumis à des normes sociales, sanitaires et environnementales bien moins exigeantes. Ils se sentent sacrifiés quand l'Allemagne, première puissance industrielle d'Europe, va pouvoir mieux vendre ses voitures alors que la France, première puissance agricole d'Europe, subira les importations de viande sud-américaine. La FNSEA et les Jeunes Agriculteursont ont lancé un mouvement de protestation, lundi, alors que la Coordination rurale a appelé, mardi, à des actions plus radicales, comme le blocage du fret alimentaire. Leur mobilisation intervient alors qu'en janvier se profilent les élections professionnelles pour le contrôle des chambres d'agriculture. Au soutien de la colère paysanne, les décideurs politiques font front uni. L'opposition au Mercosur s'élargit. Après une première tribune signée par 200 députés dans Le Figaro le 5 novembre, 600 parlementaires en ont signé une autre le 12 dans Le Monde, adressée à la présidente de la Commission européenne. Emmanuel Macron, qui a déjà fait bloquer l'accord en 2019, répète qu'« en l'état, le traité n'est pas acceptable ». Michel Barnier a fait l'aller-retour à Bruxelles le 13 novembre pour avertir que « l'impact serait désastreux » et qu'il ne faudrait « pas passer outre la position d'un pays comme la France ». Le gouvernement va proposer un débat au Parlement le 10 décembre suivi d'un vote sur l'accord commercial.BAKOU : NAUFRAGE DES ACCORDS DE PARIS ? La 29e conférence mondiale sur le climat (COP29) s'est déroulée du 11 au 22 novembre à Bakou en Azerbaïdjan en l'absence de nombreux membres du G20 (qui représente près de 80 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre) : ni les Etats-Unis, ni la Chine, ni l'Inde, ni le Canada, ni le Japon n'ont envoyé de représentants. Les acteurs importants de la diplomatie climatique : le président français, le chancelier allemand et la présidente de l'Union européenne étaient également absents. La COP29 avait pour principal objectif d'augmenter l'aide financière annuelle des pays riches. En ces temps de morosité économique, de guerres en Ukraine, à Gaza et au Liban, alors que le climato-sceptique Trump a été élu aux Etats-Unis et que l'intensification des impacts climatiques se fait sentir comme récemment en Espagne, les fossés entre les différents blocs de pays ne sont pas résorbés. Face aux demandes multiples d'aides financières (le groupe Afrique évoque 1.300 milliards de dollars, les ONG du Climate Action Network « au moins »1.000 milliards), l'Union européenne refuse de dévoiler son jeu.Les pays de l'Union européenne ne souhaitent pas faire de trop grandes promesses quant au montant des aides à apporter aux pays en développement, tout en redoutant d'apparaître comme la partie responsable du blocage. Mercredi, le commissaire européen à l'action pour le climat Wopke Hoekstra a estimé nécessaire de définir d'abord ce qu'englobe le chiffrage des pays en développement. Une façon de ne pas focaliser les débats sur les chiffres et de continuer à discuter de l'élargissement de la liste des contributeurs ou, au moins, de comptabiliser les aides des pays émergents, de l'intégration des investissements du privé, et du fait que les aides soient orientées vers les pays les plus vulnérables. La Chine refuse d'être incluse dans la liste des pays contributeurs, ce qui remettrait en cause son statut de pays en développement. Jeudi, la présidence de la COP a dévoilé un texte évoquant au moins « 1.000 milliards de dollars », mais sans préciser de chiffrage. Une proposition jugée inacceptable par M. Hoekstra tandis que les pays en développement ont proposé un compromis à 500 milliards par an.Avant l'Accord de Paris de 2015, les émissions de gaz à effet de serre augmentaient de 16 % par an. Selon les estimations de l'ONU, les politiques mises en œuvre depuis 2015 ont permis de diminuer cette augmentation qui s'établirait à 3 % en 2030. Loin des 30 à 45 % de diminution nécessaires pour atteindre la neutralité carbone au milieu du siècle. Selon l'Observatoire international climat et opinions publiques, un baromètre annuel publié par Ipsos et EDF, partout dans le monde, la priorité environnementale recule et le changement climatique inquiète de moins en moins. En France, la proportion de personnes très préoccupées par le sujet a baissé de 35 %.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:05:55 - Le Journal de l'éco - Alors que la COP29, qui se tient à Bakou en Azerbaïdjan, suscite de vives controverses, nous nous penchons ce matin sur une technologie prometteuse : l'hydrogène. Cette solution pourrait jouer un rôle clé dans la décarbonation de l'industrie et des transports.
durée : 00:03:10 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - La COP 29 entre dans le dur des négociations, avec l'arrivée des ministres en Azerbaïdjan. Mais les 1770 lobbyistes des énergies fossiles, eux, ils sont déjà là depuis une semaine.
La COP29, la conférence sur les changements climatiques, se déroule à Bakou du 11 au 22 novembre, en Azerbaïdjan. Ce petit État pétrolier du Caucase est officiellement une démocratie, mais le pays a le même président depuis 2003… Ilham Aliyev, un homme qui a succédé à son père, arrivé au pouvoir en 1993. L'Azerbaïdjan est régulièrement accusée de bafouer les droits humains, et le régime menace ses opposants. À l'ouverture de la COP, Le Parisien a fait le portrait de l'un d'entre eux : Mahammad Mirzali, 30 ans…. Un homme exilé en France, où il a subi plusieurs tentatives d'assassinats. Code source raconte son histoire avec Charles de Saint Sauveur, chef du service international du Parisien. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Clémentine Spiler, Clara Garnier-Amouroux, Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:10 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - La COP 29 entre dans le dur des négociations, avec l'arrivée des ministres en Azerbaïdjan. Mais les 1770 lobbyistes des énergies fossiles, eux, ils sont déjà là depuis une semaine.
durée : 00:14:29 - Journal de 8 h - La première semaine de négociations se termine à Bakou en Azerbaïdjan où se déroule la COP29.
C dans l'air du 16 novembre - Trump II, un pas en arrière vers le climat ? Sur le point de revenir à la Maison Blanche, Donald Trump inquiète les membres de la COP29 de Bakou, en Azerbaïdjan. Le futur président de la première puissance mondiale, hostile à la protection du climat, avait sorti les Etats-Unis de l'accord de Paris lors de son premier mandat et pourrait bien les en sortir à nouveau une fois au pouvoir. C'est aussi le gouvernement qu'il constitue qui alarme. Avec la nomination de Doug Burnum à la tête d'un Conseil national de l'énergie ainsi qu'au ministère de l'Intérieur, Trump veut tenir sa promesse de miser sur les énergies fossiles pour réduire la facture des Américains. Robert F Kennedy Junior, neveu du président assassiné, sera quant à lui ministre de la Santé en dépit de ses positions controversées en matière de santé publique.Pendant ce temps, en Espagne, les récentes inondations dans la région de Valence continuent d'attiser la colère des citoyens. Après un accueil très agité du roi et de la reine d'Espagne, certains élus sont forcés de présenter leurs excuses aux sinistrés, à l'instar de Carlos Mazon, président de a région de Valence. La mauvaise gestion de la catastrophe s'est transformée en crise politique.En France, la situation politique est elle aussi agitée depuis la dissolution de l'Assemblée nationale. De retour dans l'Hémicycle sous les couleurs du NFP, l'ex-ministre de l'Environnement Dominique Voynet étrille les arbitrages budgétaires de Michel Barnier. L'élue pointe aussi du doigt la responsabilité de la gauche dans la difficulté à imposer des idées écologistes.Alors, doit-on craindre le pire en matière d'environnement avec Donald Trump ? Jusqu'où ira la crise politique en Espagne ? Pourquoi l'écologie n'arrive pas à s'imposer en France ?Les experts : PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur du Grand basculement Esther CRAUSER-DELBOURG - Économiste de l'eau, fondatrice de Water WiserAUDREY GARRIC - Journaliste au service Planète du MondeBÉATRICE GIBLIN – Géographe, directrice de la revue HérodoteLOLA VALLEJO - Conseillère spéciale Climat – Iddri (Institut du Développement Durable et des Relations InternationalesPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Le Journal en français facile du mardi 12 novembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B7jU.A
durée : 00:04:27 - Le Reportage de la rédaction - Alors que la COP29 vient de débuter à Bakou, en Azerbaïdjan, on s'intéresse ce matin aux conséquences du dérèglement climatique en France, à Marseille et sur la côte bleue, où les eaux de la Méditerranée montent, et de plus en plus vite.
durée : 00:38:53 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - La COP29 qui s'est ouverte hier à Bakou en Azerbaïdjan ne sera pas, ou probablement pas, une grande COP. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Jean-Baptiste Fressoz Historien des sciences, des techniques et de l'environnement; Marc-Antoine Eyl-Mazzega Directeur du Centre Energie et Climat de l'Ifri, spécialiste des échanges gaziers entre la Russie, l'Ukraine et l'Union européenne; Claire Tutenuit Déléguée générale de l'Association française des Entreprises pour l'Environnement
durée : 00:07:38 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - La COP29 s'ouvre lundi 11 novembre en Azerbaïdjan, et la question de l'aménagement des métropoles dans un contexte écologique incertain devrait à nouveau animer les discussions. Mais que peut-on dire du bilan du modèle de la "ville durable" ? Ce modèle urbain est-il réellement plus écologique ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Matthieu Adam Chercheur en études urbaines, chargé de recherche CNRS au Laboratoire Environnement Ville Société
durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - L'argent, le nerf de la guerre. Le financement climatique est au cœur de la COP29 qui s'ouvre à Bakou en Azerbaïdjan. Reportage dans cette édition en Floride où les conséquences du dérèglement se font déjà sentir.
durée : 00:02:54 - Planète verte - par : Célia Quilleret - Cette semaine, dans la sphère climatique en France, la victoire du candidat Républicain, connu pour ses prises de positions climato-sceptiques, a provoqué un ouragan d'effroi et de contestation. Ce séisme change-t-il pour autant la perspective de la COP29 à Bakou en Azerbaïdjan ?