Podcasts about frontex

Le canot pneumatique a dérivé une semaine en mer sans nourriture, sans eau potable. 65 personnes sont mortes pendant la traversée, 24 ont survécu. Cécile Debarge a retrouvé plusieurs de ces rescapés, un an après le drame. La Méditerranée centrale reste la route migratoire la plus mortelle. Dimanche 4 mai, 108 personnes, dont un bébé de 11 mois, étaient secourues au large de la Libye, mais depuis le début de l'année, près de 500 personnes ont perdu la vie en tentant la traversée vers l'Europe.En Italie, des témoignages exceptionnelsL'histoire s'est passée le 13 mars 2024. Vers midi, le navire humanitaire Ocean Viking met le cap sur un bateau en bois qui lui a été signalé. Par hasard, les sauveteurs tombent sur un autre bateau, un pneumatique avec 24 migrants à bord. Ils sont à la dérive depuis sept jours et environ 65 personnes sont mortes. Un rapport de l'association Alarm Phone met en cause les garde-côtes italiens et Frontex. Selon leurs informations, ce bateau a été sciemment laissé à la dérive. Pendant des mois, notre correspondante en Italie Cécile Debarge a tenté de retrouver les survivants pour qu'ils racontent ce qui s'est joué à bord et comment ils ont survécu.Le sauvetage humanitaire en mer a 10 ansAu printemps 2015, deux naufrages de bateaux de migrants faisaient à quelques jours d'intervalle 1 200 morts en Méditerranée. Le dispositif de secours du gouvernement italien Mare Nostrum avait pris fin quelques mois plus tôt ; c'est à ce moment-là que les opérations humanitaires des ONG ont commencé.Invitée : Fabienne Lassalle, directrice adjointe de SOS Méditerranée.L'ONG, créée le 9 mai 2015, a débuté ses opérations l'année suivante. En dix ans, la situation en mer, au large de la Libye, n'a pas changé. Mais le travail des sauveteurs est entravé, criminalisé. L'Espagne valorise l'apport de l'immigrationL'OCDE constate que les immigrés versent plus d'impôts et de cotisations que les gouvernements ne dépensent pour leur protection sociale, leur santé et leur éducation dans les pays occidentaux. L'Espagne, qui fait figure de locomotive économique de l'Europe avec 3,2 % de croissance, doit en grande partie son dynamisme à l'immigration. Sur deux millions d'emplois créés en six ans, 70 % sont occupés par des personnes d'origine étrangère. Les immigrés pallient le déséquilibre démographique et pourvoient les emplois des secteurs en tension. Face à ce constat, le gouvernement espagnol mène une politique migratoire volontariste, qui prône la régularisation des migrants sans papiers, à contre-courant de ses partenaires européens. Les précisions de Diane Cambon.8 mai 1945 : en Allemagne, le devoir de mémoire prend une nouvelle dimensionDemain, jeudi 8 mai, l'Europe célèbre les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, et la capitulation de l'Allemagne nazie. La commémoration de l'événement est toujours importante dans le pays et cette année, le 8 mai sera même exceptionnellement jour férié à Berlin. Depuis des semaines déjà, des cérémonies ont lieu à travers le pays. Notamment autour de la libération des camps et lieux de détention qui se trouvent sur son territoire : Ravensbrück, Buchenwald, Sachsenhausen ; Delphine Nerbollier s'est rendue au bois de Bellow, dans le Brandebourg, pour une cérémonie en la mémoire des prisonniers jetés sur les routes lors des marches de la mort de ce printemps 1945. Où l'on constate que 80 ans plus tard, le travail de mémoire reste un défi.À lire aussi7 et 8 mai 1945: les deux capitulations de l'Allemagne nazie

Le canot pneumatique a dérivé une semaine en mer sans nourriture, sans eau potable. 65 personnes sont mortes pendant la traversée, 24 ont survécu. Cécile Debarge a retrouvé plusieurs de ces rescapés, un an après le drame. La Méditerranée centrale reste la route migratoire la plus mortelle. Dimanche 4 mai, 108 personnes dont un bébé de 11 mois étaient secourues au large de la Libye, mais depuis le début de l'année, près de 500 personnes ont perdu la vie en tentant la traversée vers l'Europe.En Italie, des témoignages exceptionnelsL'histoire s'est passé le 13 mars 2024. Vers midi le navire humanitaire Ocean Viking met le cap sur un bateau en bois qui lui a été signalé. Par hasard, les sauveteurs tombent sur un autre bateau, un pneumatique avec 24 migrants à bord. Ils sont à la dérive depuis sept jours et environ 65 personnes sont mortes. Un rapport de l'association Alarm Phone met en cause les garde-côtes italiens et Frontex. Selon leurs informations, ce bateau a été sciemment laissé à la dérive. Pendant des mois, notre correspondante en Italie Cécile Debarge a tenté de retrouver les survivants pour qu'ils racontent ce qui s'est joué à bord et comment ils ont survécu.Le sauvetage humanitaire en mer a 10 ansAu printemps 2015, deux naufrages de bateaux de migrants faisaient à quelques jours d'intervalle 1.200 morts en Méditerranée. Le dispositif de secours du gouvernement italien Mare Nostrum avait pris fin quelques mois plus tôt ; c'est à ce moment-là que les opérations humanitaires des ONG ont commencé.Invitée : Fabienne Lassalle, directrice adjointe de SOS MéditerranéeL'ONG, créée le 9 mai 2015, a débuté ses opérations l'année suivante. En 10 ans, la situation en mer, au large de la Libye, n'a pas changé. Mais le travail des sauveteurs est entravé, criminalisé. L'Espagne valorise l'apport de l'immigrationL'OCDE constate que les immigrés versent plus d'impôts et de cotisations que les gouvernements ne dépensent pour leur protection sociale, leur santé et leur éducation dans les pays occidentaux. L'Espagne, qui fait figure de locomotive économique de l'Europe avec 3,2% de croissance, doit en grande partie son dynamisme à l'immigration. Sur deux millions d'emplois créés en six ans, 70% sont occupés par des personnes d'origine étrangère. Les immigrés pallient le déséquilibre démographique et pourvoient les emplois des secteurs en tension. Face à ce constat, le gouvernement espagnol mène une politique migratoire volontariste, qui prône la régularisation des migrants sans papiers, à contre-courant de ses partenaires européens. Les précisions de Diane Cambon.8 mai 1945 : en Allemagne, le devoir de mémoire prend une nouvelle dimensionDemain, jeudi 8 mai, l'Europe célèbre les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, et la capitulation de l'Allemagne nazie. La commémoration de l'événement est toujours importante dans le pays et cette année le 8 mai sera même exceptionnellement jour férié à Berlin. Depuis des semaines déjà, des cérémonies ont lieu à travers le pays. Notamment autour de la libération des camps et lieux de détention qui se trouvent sur son territoire : Ravensbrück, Buchenwald, Sachsenhausen ; Delphine Nerbollier s'est rendue au bois de Bellow, dans le Brandebourg, pour une cérémonie en la mémoire des prisonniers jetés sur les routes lors des marches de la mort de ce printemps 1945. Où l'on constate que 80 ans plus tard, le travail de mémoire reste un défi.

Le 13 mars 2024, l'Ocean Viking met le cap sur un bateau en bois qui lui a été signalé. Les sauveteurs tombent par hasard sur un autre bateau, un canot pneumatique qui transporte 23 migrants. Cela fait sept jours qu'ils sont à la dérive, environ 65 personnes sont déjà mortes. Un rapport d'Alarm Phone met en cause les garde-côtes italiens et Frontex : selon leurs informations, ce bateau a été sciemment laissé à la dérive. Les survivants racontent ce qu'il s'est joué à bord.  De notre correspondante à Ancône,C'est la deuxième nuit que la situation commence à se dégrader. Les vagues sont énormes, le moteur ne fonctionne plus. Depuis plusieurs heures, le bateau pneumatique dérive au large des côtes libyennes et se remplit d'eau qu'il faut écoper sans cesse. Seules les lumières d'une plateforme pétrolière éclairent la nuit noire. Certains passagers ont des hallucinations, se souvient Ali, qui a 17 ans lors du voyage : « Un homme disait : ''Je vais marcher, me mettre debout et monter dans la voiture." Il délirait, mais à ce moment-là, personne n'était mort. » Cette traversée, c'est le premier face à face d'Ali avec la mort. Dès le deuxième jour, il n'y a plus rien à manger et de l'eau de mer comme seule boisson. À partir du quatrième jour, les morts s'accélèrent : « Certains sautaient dans l'eau, mais c'étaient eux qui voulaient le faire, raconte le jeune homme. Personne ne les a poussés. Parfois, ils voyaient un bateau au loin et sautaient par-dessus bord pour le rejoindre. » De l'autre côté du bateau, Modou, 21 ans, reste uniquement concentré sur son objectif : atteindre l'Europe. Comme Ali, il essaie de ne pas dormir ou le moins possible et de ne penser qu'à rester en vie. C'est la deuxième fois qu'il tente de monter à bord d'un bateau après que le premier a coulé à quelques mètres de la plage du départ en Libye. « J'ai subi beaucoup de tortures, beaucoup de problèmes... Il fallait que je parte, confie Modou. J'ai un vécu très difficile. Je vivais en Casamance, au Sénégal, dans la zone la plus difficile. À cinq ans, je me suis séparé de ma mère. J'ai toujours travaillé seul. C'est cette force qui m'a donné cette énergie. » À lire aussiRoyaume-Uni: lancement d'une commission d'enquête sur le pire naufrage de migrants survenu dans la MancheAu total, 23 personnes ont survécu, des Gambiens, Maliens et Sénégalais. Ils vivent aujourd'hui en Italie où ils attendent leurs papiers, et l'un d'entre eux vit en Espagne. Tous ont refusé de reparler de ce voyage et ont demandé à Modou de parler pour eux. « La partie la plus importante pour lui, affirme-t-il au nom de son camarade, c'est de raconter vraiment la situation de tous ceux qui ont perdu la vie en mer qui et qui ne sont pas arrivés jusqu'ici. Ce sont des personnes qui étaient chargées d'une mission, d'un objectif, pour apporter de l'espérance à leur famille. » En 2024, au moins 2 475 personnes migrantes sont mortes en Méditerranée et plus de 500 depuis le début de l'année. À lire aussiTunisie: dans le camp du «kilomètre 23» démantelé, les migrants ne savent pas où aller

Le 13 mars 2024, l'Ocean Viking met le cap sur un bateau en bois qui lui a été signalé. Les sauveteurs tombent par hasard sur un autre bateau, un canot pneumatique qui transporte 23 migrants. Cela fait sept jours qu'ils sont à la dérive, environ 65 personnes sont déjà mortes. Un rapport d'Alarm Phone met en cause les garde-côtes italiens et Frontex : selon leurs informations, ce bateau a été sciemment laissé à la dérive. Les survivants racontent ce qu'il s'est joué à bord.  De notre correspondante à Ancône,C'est la deuxième nuit que la situation commence à se dégrader. Les vagues sont énormes, le moteur ne fonctionne plus. Depuis plusieurs heures, le bateau pneumatique dérive au large des côtes libyennes et se remplit d'eau qu'il faut écoper sans cesse. Seules les lumières d'une plateforme pétrolière éclairent la nuit noire. Certains passagers ont des hallucinations, se souvient Ali, qui a 17 ans lors du voyage : « Un homme disait : ''Je vais marcher, me mettre debout et monter dans la voiture." Il délirait, mais à ce moment-là, personne n'était mort. » Cette traversée, c'est le premier face à face d'Ali avec la mort. Dès le deuxième jour, il n'y a plus rien à manger et de l'eau de mer comme seule boisson. À partir du quatrième jour, les morts s'accélèrent : « Certains sautaient dans l'eau, mais c'étaient eux qui voulaient le faire, raconte le jeune homme. Personne ne les a poussés. Parfois, ils voyaient un bateau au loin et sautaient par-dessus bord pour le rejoindre. » De l'autre côté du bateau, Modou, 21 ans, reste uniquement concentré sur son objectif : atteindre l'Europe. Comme Ali, il essaie de ne pas dormir ou le moins possible et de ne penser qu'à rester en vie. C'est la deuxième fois qu'il tente de monter à bord d'un bateau après que le premier a coulé à quelques mètres de la plage du départ en Libye. « J'ai subi beaucoup de tortures, beaucoup de problèmes... Il fallait que je parte, confie Modou. J'ai un vécu très difficile. Je vivais en Casamance, au Sénégal, dans la zone la plus difficile. À cinq ans, je me suis séparé de ma mère. J'ai toujours travaillé seul. C'est cette force qui m'a donné cette énergie. » À lire aussiRoyaume-Uni: lancement d'une commission d'enquête sur le pire naufrage de migrants survenu dans la MancheAu total, 23 personnes ont survécu, des Gambiens, Maliens et Sénégalais. Ils vivent aujourd'hui en Italie où ils attendent leurs papiers, et l'un d'entre eux vit en Espagne. Tous ont refusé de reparler de ce voyage et ont demandé à Modou de parler pour eux. « La partie la plus importante pour lui, affirme-t-il au nom de son camarade, c'est de raconter vraiment la situation de tous ceux qui ont perdu la vie en mer qui et qui ne sont pas arrivés jusqu'ici. Ce sont des personnes qui étaient chargées d'une mission, d'un objectif, pour apporter de l'espérance à leur famille. » En 2024, au moins 2 475 personnes migrantes sont mortes en Méditerranée et plus de 500 depuis le début de l'année. À lire aussiTunisie: dans le camp du «kilomètre 23» démantelé, les migrants ne savent pas où aller

Reiche, Matthias www.deutschlandfunk.de, Das war der Tag

Euronews spoke with Frontex director Hans Leijten, discussing the importance of safeguarding fundamental rights, calls for the agency to suspend its mission with Greece and working with NGOs. What exactly is Frontex's role in border guarding? Should it do more to protecting migrants' lives?This episode also takes you to Poland, where the Three Seas Initiative Summit is starting, bringing together the leaders of 13 EU member states located between the Adriatic, Baltic and Black Seas, and their strategic partners. Finally, research shows that European leaders may be overestimating citizens' trust in new technologies.Radio Schuman is hosted and produced by Maïa de la Baume, with journalist and production assistant Lauren Walker. Audio editing by David Brodheim. Music by Alexandre Jas. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Nog niet zo lang geleden was de migratieroute over de Balkan de drukste van Europa. Dat is totaal veranderd, als je de cijfers van de Europese grensbewakingsdienst Frontex mag geloven. Maar kloppen die wel? Sheila Sitalsing bespreekt het met buitenlandverslaggever Maartje Bakker, die naar Servië ging en zag dat de migratie gewoon doorgaat, alleen dan nu onder de radar. Lees ook het artikel. Onze journalistiek steunen? Dat kan het beste met een (digitaal) abonnement op de Volkskrant, daarvoor ga je naar www.volkskrant.nl/podcastactie Presentatie: Sheila SitalsingRedactie: Corinne van Duin, Lotte Grimbergen, Julia van Alem en Jasper VeenstraMontage: Rinkie BartelsSee omnystudio.com/listener for privacy information.

VOV1 - Truyền thông phương Tây đưa tin, Hy Lạp có thể phải đối mặt với các hình phạt từ Cơ quan bảo vệ biên giới của Liên minh châu Âu (Frontex) vì có nhiều động thái không phù hợp với người di cư và tị nạn.

Friedrich Merz will einen "neuen Kurs in der Migrationspolitik", teilweise gegen die neuen EU-Regeln. Diese werden gerade mit Hochdruck umgesetzt. Lars Gerdes vom europäischen Grenzschutz Frontex gibt Einblick. Mit Kathrin Schmid und Matthias Reiche. Von Kathrin Schmid.

Adrian Pourviseh hat sich als Seenotretter auf dem Mittelmeer engagiert. Er war mehrfach im Einsatz auf der Sea Watch 3 und berichtet von dramatischen Rettungsaktionen, an denen er beteiligt war.In dieser Folge sprechen wir über die unterschiedlichsten Fluchtursachen und die Gefahren, die auf dem Mittelmeer warten. Adrian erklärt, wieso die Küstenwachen und Frontex die Rettung von Menschen in Not bewusst unterlassen und sogar verhindern. So bleiben private Seenotrettungs-Schiffe die letzte Hoffnung für alle, die es nicht aus eigener Kraft an das rettende Ufer schaffen.Adrian berichtet, wie Rettungen auf hoher See ablaufen und welche Spuren diese bei ihm hinterlassen haben. Eine Art, sein Trauma zu bewältigen, ist die Medienarbeit: So spricht er über das Erlebte, und hat ein Grafic Novel über das „Schimmern der See“ veröffentlich, welches ihm noch in schmerzhafter Erinnerung ist…Adrians Buch „Das Schimmern der See“ findet ihr hier: https://www.avant-verlag.de/comics/das-schimmern-der-see/Weitere Infos zu Sea Watch könnt ihr hier finden: https://sea-watch.orgMit „Ein Leben für den Ozean“ ist ein Buch zum Podcast erschienen. Es erzählt 10 Geschichten über die Held*innen der Meere und begeistert bildgewaltig für den Ozean. Ihr könnt es unter www.ein-leben-fuer-den-ozean.de bestellen.Den Link zu meinen Werbepartnern findest du hier: https://linktr.ee/helden_der_meere_partner

A Frontex, agência europeia de fronteiras, comunicou que no primeiro trimestre deste ano, entraram na Europa menos 33.600 imigrantes irregulares em relação a igual período do ano passado. Em 2024, a queda já tinha sido de 38%. As organizações de direitos humanos dizem que a queda fica a dever-se em parte às políticas mais securitárias da União Europeia. Neste episódio, conversamos com Miguel Duarte, activista da Associação HuBB – Humans Before Borders.See omnystudio.com/listener for privacy information.

In dieser Episode von Kynotalk by Kynotec wurden wir, Flo und Chris von Kynotec, von René interviewt. René hat sich die besondere Mühe gemacht, vorab mit all unseren bisherigen Interviewpartnern Kontakt aufzunehmen, um Fragen für uns zu sammeln – und wir wussten bis zum Interview nichts davon!  Wir tauchen in die Welt der Hundearbeit ein, mit einem Fokus auf Spürhunde, und teilen unsere persönlichen Erfahrungen, die zur Gründung von Kynotec führten. Dabei sprechen wir über die Herausforderungen in der Zusammenarbeit mit Behörden wie Frontex und Privatpersonen und reflektieren über die Bedeutung von Authentizität und Ehrlichkeit in unserer Arbeit. Ein besonderer Schwerpunkt liegt auf innovativen Ansätzen in der Spürhund-Ausbildung, insbesondere der Verwendung von Getxent im Vergleich zu Echtstoffen. Wir erklären, warum wir Getxent als wertvolle Ergänzung im Training sehen und wie Studien die Wirksamkeit von Trainingsmethoden belegen können.  Wir teilen auch unsere Vision für die Zukunft von Kynotec, die eine Erweiterung unserer Dienstleistungen und eine stärkere Fokussierung auf professionelle Ansätze vorsieht. Dabei reflektieren wir über die gemischte öffentliche Wahrnehmung und betonen, wie wichtig es ist, nicht jedem gefallen zu wollen. Die Herausforderungen im Bereich der Diensthunde erfordern Flexibilität, und wir diskutieren, wie wir diese meistern. Die Ausbildung von Hundeführern ist ein zentraler Bestandteil unserer Arbeit, und wir geben Einblicke in unsere Erfahrungen.  Zum Abschluss teilen wir persönliche Einblicke, wie einschneidende Erlebnisse unsere Sichtweise geprägt haben und warum Motivation für uns aus der Freude an der Arbeit kommt. Wir geben Tipps, wie man eine klare Tagesroutine etabliert, und betonen die Bedeutung kontinuierlicher Weiterbildung.  Diese Episode ist eine Mischung aus persönlichen Geschichten, fachlichen Einblicken und praktischen Tipps – und wir hoffen, dass sie für alle, die sich für Hundearbeit und Spürhunde interessieren, inspirierend und informativ ist.Kapitel00:00 Einführung in den Podcast und die Gäste00:51 Der Weg zur Hundearbeit05:12 Die Idee hinter Kynotec08:04 Die Gründung von Kynotec13:11 Die Entwicklung der Spürhundearbeit20:09 Zusammenarbeit und Synergien26:07 Die Vielfalt der Kynotec Dienstleistungen33:43 Unterschiede zwischen Behörden und Zivilpersonen35:30 Wissen und Individualität im Hundetraining38:46 Zusammenarbeit zwischen zivilen und behördlichen Hundeführern44:03 Unterschiede in der Ausbildung von Hunden für Behörden und Zivilisten48:50 Dienstleistungen und Angebote von Kynotec54:30 Zukunftsvisionen und Expansion von Kynotec01:12:12 Kritik und Wahrnehmung im Hundetraining01:17:16 Einschneidende Erlebnisse im Hundetraining01:23:08 Eigenschaften und Werte im Umgang mit Menschen01:25:39 Motivation und Herausforderungen im Selbstständigen01:32:54 Zukunftsperspektiven und Interessen außerhalb der Hundewelt01:37:29 Innovationen im Spürhundebereich01:42:20 Musik und Training: Ein unerwartetes Duo01:43:54 Ratschläge an das jüngere Ich: Reflexion und Neugier01:49:05 Hundeführer vs. Hundetrainer: Ein philosophischer Blick01:54:30 Unterschiede in der Ausbildung: Grundkurs vs. Instruktorenkurs02:03:06 Get-Scent vs. Echtstoff: Eine kritische Diskussion02:09:52 Wissensaneignung: Bücher und Ressourcen für HundeführerLinks zu Rene

(0:00) Wstęp(1:18) Stany Zjednoczone nałożyły cła w wysokości stu czterech procent na import z Chińskiej Republiki Ludowej(2:51) Amerykańskie wojska opuściły bazę w Jasionce pod Rzeszowem(4:18) Szef NATO uważa, że sojusz nie powinien być naiwny w kwestii chińskich zbrojeń(5:38) Holandia skontroluje naukowców pod kątem zagrożeń dla bezpieczeństwa narodowego(7:04) Wielka Brytania domaga się śledztwa w sprawie śmierci pracowników humanitarnych w Strefie Gazy(8:26) Frontex prowadzi postępowanie wobec Grecji w związku z traktowaniem imigrantówInformacje przygotował Maurycy Mietelski. Nadzór redakcyjny – Igor Janke. Czyta Michał Ziomek.Mecenasi programu:Casa Playa:⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://casaplaya.pl/zakup-nieruchomosci-w-hiszpanii-pdf-pc-instruktaz/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠AMSO - oszczędzaj na poleasingowym sprzęcie IT: ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠www.amso.pl⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠

The European Union's border protection agency, Frontex, announced this week that it's investigating a dozen serious allegations of human rights violations by Greece when it comes to handling irregular immigration. The latest addition to the long list of violations is the investigation carried by Solomon, Swiss investigative outlet Republik, and the Swiss research collective WAV, into the living conditions of unaccompanied children in refugee camps on Greece's islands.But how can the EU claim to uphold human rights while funding border policies that lead to deaths at sea and inhumane refugee camps?Join us on our journey through the events that shape the European continent and the European Union.Production: By Europod, in co production with Sphera Network.Follow us on:LinkedInInstagram Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

De Nederlander Hans Leijtens is nu twee jaar hoofd van de Europese grensbewakingsorganisatie Frontex. Hij werd aangesteld om schoon schip te maken, nadat zijn voorganger door fraudejagers werd beticht van mensenrechtenschendingen. Slaagt Leijtens in zijn opdracht?

De Nederlander Hans Leijtens is nu twee jaar hoofd van de Europese grensbewakingsorganisatie Frontex. Hij werd aangesteld om schoon schip te maken, nadat zijn voorganger door fraudejagers werd beticht van mensenrechtenschendingen. Slaagt Leijtens in zijn opdracht?

A lecture on "german" Identity (white,colonial,nato,frontex) and european ideology (von der leyen) and the situation in swana.

Dota Kehrs Song zeigt die Notwendigkeit auf, die Grenzen der Menschen besser zu schützen und weniger die Grenzen der Länder, insbesondere bei Menschen, die Schutz suchen.Es gibt Frontex und Pushbacks, Zäune, Waffen, Flüchtlingsabwehr Konferenzen das Mittelmeer wird ein Massengrab - es gibt Grenzen. Diese Brutalisierung an den Außengrenzen, wo das Menschenleben nicht mehr zählt, wo allein die Abschottung des europäischen Wohlstands gegen den Rest der Welt im Zentrum steht, da geht Menschlichkeit verloren. Jetzt nach der Bundestagswahl sieht es so aus, als ob diese Brutalität auch weiter zunehmen wird, dass sie an Fahrt aufnimmt, dass noch mehr investiert wird in Inhumanität, in Ausgrenzung, in Abschottung und Abschiebung. Das Kirchenasyl ist der Versuch Menschen, die in der Situation sind, abgeschoben zu werden, zu schützen. Es ist oft die letzte Möglichkeit, die bleibt, um Menschen eine Perspektive zu eröffnen."Warum schützt man die Grenzen der Staaten so gut und die Grenzen der Menschen so schlecht?" – diese Frage aus dem Lied ist hochaktuell. Menschen auf der Flucht sind oft an ihren psychischen und physischen Grenzen, weil sie auf ihrem Weg Misshandlungen, Angst und Ausweglosigkeit erleben. Kirchenasyl bietet ihnen eine Atempause – einen geschützten Raum, in dem sie nicht nur vor Abschiebung sicher sind, sondern auch wieder zur Ruhe kommen können. Doch Kirchenasyl ist nicht nur ein Schutzraum für die Betroffenen, sondern auch ein Zeichen für die Kirche selbst: Es zeigt, dass Christsein mehr ist als Worte – es bedeutet, Verantwortung zu übernehmen und konkrete Solidarität zu leben.Mit in der Folge ist Benedikt Kern, ein Theologe, der Kirchengemeinden in Fragen des Kirchenasyls berät https://www.katholisch.de/artikel/46751-theologe-kirchenasyl-entscheidend-fuer-relevanz-der-kirchenFoto ©Annika Weinthal Homepage: https://7tage1song.dePlaylist Podcast und Song: https://open.spotify.com/playlist/20KHRuuW0YqS7ZyHUdlKO4?si=b6ea0b237af041ecInstagram: https://www.instagram.com/7tage1song/Facebook: https://www.facebook.com/pg/7tage1song/Kontakt: post@7tage1song.deLink zum Song: https://open.spotify.com/intl-de/track/56tnCUAec2vaY6N5IBj3L7?si=c0f503daafc54699Spotify Playlist: https://open.spotify.com/playlist/0M5tOXTC0lM8RVycUBQnjy?si=idKC-CFaRp2ZD992gvWvsQ 

FRONTEX's role in returning rejected asylum-seekers should be monitored, especially in terms of the protection of fundamental rights, green MEP Tineke Strik tells Radio Schuman on Monday.Earlier this month, the European Commission presented a new regulation that would - if approved - enable EU countries to transfer rejected asylum seekers to distant countries where they have never been before.Although the law did not establish deportation centres or “return hubs”, it lays the groundwork for outsourcing the migration tasks to the European Border and Coast Guard Agency FRONTEX.“I think we first need to make sure that FRONTEX is dealing with fundamental rights in a proper way, in line with EU law. And only then we can see what role they can take if it comes to third countries,” says green MEP Tineke Strik, as the agency has been investigated in the past for human rights violations.Today, Radio Schuman also takes a look at a discussion among agriculture ministers on the new Commission's plans to change agriculture in Europe, and also at a compilation by Euronews culture on the things people miss the most from the March 2020 Covid lockdown. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Las devoluciones en caliente se han convertido en elemento estructural de la gestión fronteriza en el Mediterráneo. No es sadismo, es una estrategia. Las políticas migratorias se han convertido en políticas asesinas y lo contamos con el periodista Hibai Arbide Aza y su libro “Con el agua al cuello. Muertes y devoluciones en caliente en la peor frontera de Europa” en el que narra, desde Lesbos, una década de políticas migratorias salvajes. Analizamos este maltrato sistémico hacia las personas migrantes y la comisión de atrocidades e ilegalidades de forma abierta por parte de guarda costera, gobiernos y agencias como Frontex. Y hablamos de la externalización de fronteras y la necropolítica migratoria europea con el periodista José Bautista. Más información aquí: https://bit.ly/DevolucionesCC1477 Haz posible Carne Cruda: http://bit.ly/ProduceCC

Jakob Ólafsson fyrrverandi flugstjóri á þyrlum og flugvélum Landhelgisgæslunnar segir hér frá ýmsu áhugaverðu sem á daga hans dreif á áratugaferli sem atvinnuflugmaður, lengst af í björgunar- og sjúkraflugi fyrir Landhelgisgæslu Íslands og síðustu árin í gæsluflugi fyrir Frontex. Jakob var einnig flugmaður um tíma hjá flugfélaginu Erni á Ísafirði um það leyti þegar hörmuleg slys urðu hjá félaginu sem m.a. ollu því að hann söðlaði um og fór til Landhelgisgæslunnar. Jakob rifjar upp fyrstu árin í þyrlufluginu, baráttu fyrir að komast í nám í Bandaríkjunum og við að safna reynslu áður en hann var ráðinn til þyrlusveitar Landhelgisgæslunnar árið 1987. Þá segir hann frá ýmsum merkilegum atburðum sem hann upplifði á sínum langa starfsferli í flugsveit gæslunnar og ekki síst á þyrlunum TF-SIF og TF-LÍF.

Tous les soirs, la rédaction d'Europe 1 vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain.

Tous les soirs, la rédaction d'Europe 1 vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain.

François Bayrou vient d'annoncer que la France allait demander au gouvernement algérien que soit réexaminée la totalité des accords entre les deux pays en matière d'immigration. Écoutez la réaction de Arnaud Le Gall, député La France Insoumise du Val-d'Oise, et de Fabrice Leggeri, député Patriotes au Parlement européen, porte-parole du RN, ancien directeur de Frontex, l'Agence européenne de garde-frontières et des garde-côtes. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 février 2025.

François Bayrou vient d'annoncer que la France allait demander au gouvernement algérien que soit réexaminée la totalité des accords entre les deux pays en matière d'immigration. Écoutez la réaction de Arnaud Le Gall, député La France Insoumise du Val-d'Oise, et de Fabrice Leggeri, député Patriotes au Parlement européen, porte-parole du RN, ancien directeur de Frontex, l'Agence européenne de garde-frontières et des garde-côtes. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 26 février 2025.

In this episode, we speak with Yasha Maccanico a researcher and journalist at StateWatch, a UK-based charity focused on civil liberties, human rights and democracy in Europe.    We talk about a proposed EU law that could make it easier for states to criminalise acts of solidarity with people on the move.   Yasha also talks to us about abuses of state power in Europe under the guise of lowering immigration, the externalisation of the EU's borders in Africa, and much more.    ---Get in touch---   Twitter: @FleetCivil   Mastodon: @civilfleet@kolektiva.social   Bluesky: @thecivilfleet.bsky.social   Instagram: thecivilfleet   info@civilfleet.com   civilfleet.com --- Show notes ---   For more on StateWatch, check out their work here: statewatch.org   Follow them on BlueSky: @statewatch.bsky.social Ben misquotes the late left-wing politician Tony Benn, who once said: “The way a government treats refugees is very instructive, because it shows you how they would treat the rest of us if they thought they could get away with it.” In fact, the phrase may have been misattributed to Tony Benn. You can watch one of Tony Benn's most famous speeches against the US-UK' illegal invasion of Iraq, here: https://www.youtube.com/watch?v=A7ciGW7h7PI&ab_channel=PoliticsJOE    Yasha mentions the an independent media company Bristol Cable. You can read their work here: thebristolcable.org   Ben and Yasha talk briefly about the toppling of the statue of slave trader Edward Colston in Bristol in 2020. You can read more about that here; https://exhibitions.bristolmuseums.org.uk/the-colston-statue   Here's where you can find out more about Migreurop: https://migreurop.org/?lang=en   Ben mentions an episode of The Civil Fleet with Jihed, a Tunisian activist with Alarm Phone and Louise Michelle. Check out episode 48 for that.    For more on Frontex, the European Border and Coastguard Agency, check out episodes 54, 52, 50, 34, 31, 23, 15, 7 and 1   Ben mentions previous The Civil Fleet Podcast episodes with people who have been arrested and given ludicrous sentences for driving boats or cars across borders. Check out episodes: 56, which focuses on Homayoun Sabetara, a father who fled Iran to be reunited with his daughters in Germany and was sentenced to 18 years behind bars in Greece after he was forced to drive across the border.  53 with Nadia, a young refugee woman from Lebanon who husband was arrested by the Greek authorities and accused of human smuggling after spending 10 days adrift in the Mediterranean.  35 with Hanad, a Somalian refugee who was senteced to 142 years behind bars for trying to stop his boat from sinking in the Aegean Sea and saving the lives of 33 others   Here are the links Yasha sent:   EU: New migrant smuggling law to ensure criminalisation of solidarity (December 2024) https://www.statewatch.org/analyses/2024/eu-new-migrant-smuggling-law-to-ensure-criminalisation-of-solidarity/   A new EU law on the criminalisation of migrant smuggling will be examined by the Justice and Home Affairs (JHA) Council. The Council is due to approve its position for negotiations with the European Parliament. The existing law has been criticised for failing to prevent the criminalisation of migration and acts of solidarity with migrants and refugees. The new text, obtained by Statewatch and published here, appears likely to worsen the situation. ----- EU: Council lowers threshold for migrant smuggling prosecutions (July 2024, with PICUM) https://www.statewatch.org/news/2024/july/eu-council-lowers-threshold-for-migrant-smuggling-prosecutions/  EU institutions are discussing proposed changes to the law criminalising the facilitation of irregular migration, which has also been used to criminalise migrants and individuals acting in solidarity with them. The Belgian Council presidency presented a revised draft to other EU member states at the end of May, which would simplify the criminalisation of irregular entry, amongst other things. The draft will serve as the basis for further discussions within the Council, with Hungary now in the presidency role until the end of this year.   -----   Viewpoint, Hindering humanitarianism: European Commission will not ensure protection for those aiding sans-papiers, Chris Jones (April 2017) https://www.statewatch.org/media/documents/analyses/no-311-facilitation-directive.pdf   -----   The shrinking space for solidarity with migrants and refugees: how the European Union and Member States target and criminalize defenders of the rights of people on the move (TNI, Yasha Maccanico, Ben Hayes, Samuel Kenny, Frank Barat, September 2018) https://www.tni.org/files/publication-downloads/web_theshrinkingspace.pdf   -----   Libya/elmasri: including full text of Shatz/Branco submission to the ICC against Italian ministers: http://www.statewatch.org/news/2025/february/italian-ministers-should-face-justice-for-freeing-fugitive-war-criminal-says-legal-complaint/   -----   Secrecy: http://www.statewatch.org/news/2024/november/italy-has-nullified-the-right-to-transparency-regarding-borders/   -----   Tunisia: http://www.statewatch.org/news/2024/november/tunisia-no-to-the-criminalisation-of-solidarity-with-migrants/   -----   Deportations (aka returns): http://www.statewatch.org/news/2025/january/deportations-new-role-for-frontex-as-eu-pushes-for-more-voluntary-returns/   -----   Egypt: http://www.statewatch.org/news/2025/january/eu-police-cooperation-with-egypt-sacrifices-people-s-rights-and-freedoms-for-security/   -----   “Outsourcing borders” externalisation bulletin project, bulletins and documents archive: https://www.statewatch.org/outsourcing-borders-monitoring-eu-externalisation-policy/     -----   To challenge border militarisation (with partners, 2023/24), Telling the story of EU border militarisation, https://www.statewatch.org/media/4000/eu-border-militarisation-narrative-guide.pdf     -----   Europe's techno-borders (2023 with EuroMed Rights) https://www.statewatch.org/publications/reports-and-books/europe-s-techno-borders/    -----   Frontex and interoperable databases: knowledge as power? (2023) https://www.statewatch.org/frontex-and-interoperable-databases-knowledge-as-power/    -----   Empowering the police, removing protections: the new Europol Regulation (2022) https://www.statewatch.org/publications/reports-and-books/empowering-the-police-removing-protections-the-new-europol-regulation/    -----   Interoperability, eu-LISA and the biometric state (2022) Building the biometric state: Police powers and discrimination https://www.statewatch.org/publications/reports-and-books/building-the-biometric-state-police-powers-and-discrimination/   -----   Background docs selection on interoperability and the EU JHA policy field http://www.statewatch.org/observatories/interoperability-eu-big-brother-database/    -----   Secrecy and externalisation of EU border control (2022) https://www.statewatch.org/media/3781/secrecy-and-externalisation-of-migration-control.pdf    -----   Renditions observatory http://www.statewatch.org/observatories/rendition-the-use-of-european-countries-by-the-cia-for-the-transport-and-illegal-detention-of-prisoners/ 

Today, we welcome Colleen Ryan from OSCE, border training and management. We brought her on today to discuss the current challenges of border security in Europe.  --- One CA is a product of the civil affairs association  and brings in people who are current or former military, diplomats, development officers, and field agents to discuss their experiences on the ground with a partner nation's people and leadership. We aim to inspire anyone interested in working in the "last three feet" of U.S. foreign relations.  To contact the show, email us at CApodcasting@gmail.com  or look us up on the Civil Affairs Association website at www civilaffairsassoc.org --- Great news! Feedspot, the podcast industry ranking system rated One CA Podcast as one of the top 10 shows on foreign policy. Check it out at: https://podcast.feedspot.com/foreign_policy_podcasts/ --- Special thanks to the site "Rockstar Beats" for the sample of Taylor Seift "Midnight." Retrieved from: https://youtube.com/playlist?list=PLXyd0iAdUYUWN7ifYYoqymNqJsaE0vEDC&si=-Vp6gUuRpqpHq66D   --- Transcript: 00:00:04    Introduction Welcome to the 1CA Podcast. This is your host, Jack Gaines. 1CA is a product of the Civil Affairs Association and brings in people who are current or former military, diplomats, development officers, and field agents to discuss their experiences on ground with the partner nation's people and leadership. Our goal is to inspire anyone interested in working the last three feet of foreign relations. To contact the show, email us at capodcasting@gmail.com. Or look us up on the Civil Affairs Association website at www.civilaffairsassos.org. I'll have those in the show notes. 00:00:39    Colleen Ryan My name is Colleen Ryan. I'm currently the Border Advisor to the OSC in Vienna. I'm seconded by the United States. So I do need to make it clear that I'm not speaking on behalf of the OSC or on the broader political or organizational context right now. I'm specifically focusing on my work and my experiences. Wow. You're seconded? What does that mean? Yeah, I'm essentially loaned out by the U .S. to the OSCE to serve in this role. They pay my salary. 00:01:13    Jack Nice. How did you get nominated? Where do you normally work? 00:01:15    COLLEEN RYAN In a past life, I was a police officer back in the U .S. before transitioning to working internationally. So I came to find out about OSCE and opportunities while I was doing my master's back in the States. And then I just ended up applying for the special monitoring mission to Ukraine. So I was out there as a monitoring officer up until Russia's full -scale invasion. And then went back during the war with a non -governmental organization working on humanitarian protection in the South. And then made my way to this current role. That's great. So you've been part of living history in a way. Yeah, to be out in Donetsk up until a couple days before the invasion. Working with border guards all across Europe and the changing security landscape has been an interesting role so far. 00:02:04    JACK GAINES So you've lived what soldiers call the moment before. There's a feel in the air, and it makes you edgy, it makes you a little twitchy, because you know that you're about to go down with an enemy. And so did you get that sense? Did you get that feel that things were coming close in Donetsk? 00:02:23    COLLEEN RYAN We were there at the time to monitor the Minsk agreements, which was a ceasefire at the time. It wasn't until when the U .S. evacuated all U .S. personnel that you started to realize that, you know, it may actually happen. 00:02:36    JACK GAINES Right. And so your current position is now training the border guards of Ukraine. 00:02:44    COLLEEN RYAN Yes, I manage a project that trains border guards across the OSCE, specifically on detecting porch documents and imposters. So if it's a forged passport presented at the airport or at the road crossing or for the train, we train the border guards, whether it's from Ukraine, Moldova, Bulgaria, Albania. So it really depends on the needs of OSC participating states in this realm. It's obviously a field that requires recurrent training because travel documents like passports are constantly updated. that national authorities can stay ahead of forgers. So it is something that we have to continue training on. And with the current war against Ukraine, they have the most need. They're one of the bigger border services in Europe. And then just the need in terms of half their border guard is currently engaged in combat operations, while you have the rest who are working to secure their western and southern borders and the surge in western and southern border crossings with the closure of Ukraine's airspace. You know, all of that contributes to an ongoing need for these skills and updated training on detecting passport forgeries and detecting imposters. And then you see that on the flip side with Moldova, they've seen a surge in the border crossings because a lot evacuated from Ukraine into Moldova. A lot of humanitarian NGOs and other people now fly into Kijanel to go to Ukraine. And so they've seen just a huge... spike in terms of the number of travel documents and also diversity in terms of different countries, different types of documents. And so that's why we've also been training Moldovan border police as well. 00:04:29    JACK GAINES Sure. So you're there to teach them how to spot forged documents, but is there also a follow on either by that nation's foreign affairs office or their law enforcement that tries to find the forger and remove them? 00:04:43    COLLEEN RYAN Yeah, there is very likely follow on. in terms of criminal investigations when they find forged documents or if they identify an imposter. But our project primarily focuses on those who are working on the first line and second line document checks to just spot the person posing as someone else. And then we do some work with the forensic experts after the fact to make sure that they've got that next level of training as part of their investigations. But primarily it's focusing on the first and second line officers. 00:05:14    JACK GAINES I'm sure they see all kinds of crazy stuff. Everything from the amateur glue stick to people who actually have passport printer creating forged documents. 00:05:24    COLLEEN RYAN Yeah, it's sad and it's also really interesting, the surge in the use of artificial intelligence and seeing the ways that they're incorporating things like morphing into the passport to their forgeries where two people can now travel on one passport using morphing images and things like that. It really just shows how quickly this field in terms of document forgeries is evolving and how much border services are struggling to keep up and to maintain their training so they can spot these techniques. Right, which is why they're starting to put chips and other special films that have a radio signature and stuff like that. 00:05:53    JACK GAINES they're starting to put chips and other special films that have a radio signature and stuff like that. You could print it, but to actually find those films or chips that have that radio signature has got to be a lot tougher. 00:06:08    COLLEEN RYAN Yeah, and a lot of it is just down to, like, Order guards are under a lot of stress and pressure and they don't have much time to spot the fakes. They're getting crushed by people. Yeah. So a lot of it is just making sure that they can spot some of these easier to identify orgery trends and to make a quicker decision before it gets to the point of really having to do an in -depth examination of the document. 00:06:32    JACK GAINES Yeah, I would imagine that you would see forgery trends because people would be going to the same forger and they would be doing similar patterns until that turned away. 00:06:41    COLLEEN RYAN Yeah. 00:06:41    JACK GAINES And what's it like working with all these different border guards from different countries? I mean, everyone has got to be a little different, but the same. 00:06:49    COLLEEN RYAN For me, it's interesting because I'm one of the few who has worked in policing, worked in this operational arena, kind of understands a lot of what they've done. And so you kind of speak the same language. It's interesting to hear from them, like what they view as their biggest security challenges and what their biggest day -to -day challenges are in terms of their work life. Because you see common trends across a lot of the services. A lot of them can be underpaid and that contributes to staff turnover. And so then that means you go back to a country to do more training because you have new staffs. But then to see how a country's security... You know, their perspective in terms of their biggest border security threats in Albania, where I trained in June, might be different from Bulgaria, where I trained last month. But, you know, it's still the commonalities of document forgeries, imposters, making sure your airports are secure and things like that. So I like talking with the border guards, such a different perspective across each country. Right. 00:07:51    JACK GAINES I think that's really helpful that you have a law enforcement background. helps break that ice. 00:07:58    COLLEEN RYAN I understand the perspective, but we're really just there to help and to fill the gaps that their service might not have the time or the funding to provide additional training because they've got the whole spectrum of border security issues to deal with within their service. And so that's where our organization or other international organizations doing these types of projects come in is just fill the gaps and help them develop their capacity. Especially with some other countries we train for where Frontex, maybe they're not working in that country. So then we can help supplement other EU or Frontex or IOM or UN initiatives and help to harmonize border security standards across Europe, South Caucasus, Central Asia. 00:08:45    JACK GAINES I don't want to just keep circling around Ukraine. Is there any stories you have from some of the other countries you worked with? What's your favorite beer hall story on those? 00:08:53    COLLEEN RYAN Yeah, I mean, most of my stories are with Ukraine because I've trained Ukraine so much. So I'm happy to talk about that. Yeah, I feel very fortunate so far in the last year and a half to have trained almost 50 Ukraine border guards. And I was able to go to meet with their administration and their main forensic center in June to do a needs assessment to see how we could keep supporting. to make sure we weren't duplicating efforts from other international organizations or other bilateral initiatives there because we do know it's a crowded space there. 00:09:28    JACK GAINES I'm sure talking to them, you could figure out pretty quickly what those border guards needed, even if they were getting training from two or three organizations, if they weren't hitting it on the head. Yeah. And what was nice for us is we were able to actually shadow them on their train from out west as entered from. 00:09:38    COLLEEN RYAN was nice for us is we were able to actually shadow them on their train from out west as entered from. Shamashil, Poland, and went to Lviv. And so we got to board on the Ukrainian side and just seeing what they're dealing with in terms of doing document checks aboard the trains now and the different challenges they have with that as opposed to what it would be like to check a document at the airport. It's a very different perspective and it gives you insights on things like lighting and being able to see different security features in the passport. With the lighting on the train and the time of day when they're doing the document check, the technical equipment that they have aboard and that may not be connecting to the cell tower or have service as the train moves. And so it gives you a different perspective to actually be there and see it instead of just hearing about it over a Zoom call or in a sterile training environment. And so then building on that. We've been able to take some of those lessons learned and put them into our training where we're encouraging them and reminding them to say, hey, how would you see this in different types of light settings, running different types of simulations, so it more accurately reflects the conditions that they'll be doing the document checks in. So what's coming up next? 00:10:57    JACK GAINES What's the future of training? Do you have anything interesting coming up that you want to promote? 00:11:02    COLLEEN RYAN Yes, through the rest of the year, we have a couple more study visits. And these are important because they help the border guards to learn from other counterparts. They will look through how this country that they're visiting manages their forgery desk at an airport or in their border service. And it really helps with networking and sharing more information in terms of what they're seeing in terms of detecting trends or alerts on forged documents. We've got a couple of study visits coming up next week. I'll be in Madrid with another group from Ukraine. The following week, I'll be with Albania and Milan. And then a week after that, I'll be in Dublin, Ireland with forensic experts from Ukraine's border service to round out the year. So it's a busy stretch right now. That's very cool. 00:11:50    JACK GAINES Do these multinational engagements, do they ever end up with countries with border guards doing a bilateral agreement on border protection? Or do they ever work on... building something like Eurogest, where if they find a forger from multiple countries, they'll work together to try to find out where the route is. Is that multinational cooperation starting to build, or have you seen it? 00:12:14    COLLEEN RYAN On a smaller level with us, we do see that. So at the operational level with these border guards, even in -country, being able to message colleagues around their own country. Or the experts that do our trainings are active document experts serving in their border service. So now they've got another resource, say, if we're using experts from Spain or the Netherlands or UK or Italy, then these trainees now have another resource to flag potential trends and forge documents or to ask questions if they're unsure. And then, you know, moving ahead, we'll be looking to do some more joint training between two or three countries. Especially if we do it with bordering countries, it will really help that collaboration to, say, connect the two participating states. And now they've got operational contacts to ping across the border to say, hey, we're seeing this. What are you seeing? Things like that. So it's a good opportunity for us to foster that collaboration and increase the information sharing with us through the training or study visits. Right. Because it's so important to have that contact. 00:13:23    JACK GAINES to have that contact. It's one thing when you see an issue and you want to reach out and you have to make that cold call and figure out who's the right person. It's better if you've made a contact, you know someone from training, you can just say, hey, what's this and what's going on? And they can just plug you in with the right person and then Zoom. You know, a problem's fixed versus making it a whole, oh, you have to talk to our embassy and our embassy has to write our embassy. And so it's great that those kind of cross -border contacts are being made because. Even though so much of Europe is dominated by the Schengen, there's still issues with legal immigration and criminal movement that each country still monitors what's going on and partners. And then those that are outside the Schengen zone, it's just as important for them to actually have that contact so they can partner and work on things to quickly spot forgeries, theft, criminal activity, then stop it before it becomes rampant. So that's awesome. 00:14:22    COLLEEN RYAN And it's just it's it's the first building block of really increasing that cooperation, especially with your neighboring state and contributing towards that angle of integrated border management and jointly managed VCP. So even being able to have frontline document inspectors from two neighboring countries being able to reach out, that's just your first building block to building that relationship. So, yeah, it's always useful to have those contacts. Must be fun to be in the middle of it. Yeah. And it's really rewarding. To get your group of border officers on day one, you've got 20 to 30 border officers from all across their country, wherever we're training, they're virtual strangers, and to see them learn to open up and engage and to learn from our experts and then start to share some of their challenges with me and to build those relationships, whether it's in a group or with our experts or with OSCE, it's super rewarding because then you just get to keep building from there and asking, okay, what's next? What do you need next in addition to these document trainings? What do your forensic experts need or what do your border control officers need? So, yeah, it's really rewarding to be able to deliver when you've got the funding and you've got the interest of participating states and to help them manage their borders better. 00:15:37    JACK GAINES You know, we kind of forgot to talk about who OSCE is, Organization for Security Cooperation in Europe. You want to give me a brief overview of what the organization is? Yes. But it does. 00:15:50    COLLEEN RYAN Yeah. So the OSCE is world's largest regional security organization, the state of 57 participating states. And we operate on a consensus -based approach where all participating states have to agree. And we utilize an approach of comprehensive security. And so this really helps us to support our participating states in developing. their security sector and to enhance resilience and to develop capacity to address transnational threats. So my border security management unit is situated within the Transnational Threats Department. So that's our goal is to help participating states build their capacity to confront a wide array of transnational threats that can harm their national security and pan security more broadly. Right. Now, when I think security, I think of NATO. 00:16:38    JACK GAINES I think of NATO. So you've got to be a little different. NATO is, of course, a military organization that deals with security from conflict, either deterrence or response to conflict or crisis, disaster. What is it that OSCE does in terms of security? 00:16:55    COLLEEN RYAN Our three dimensions are political, military, economic and environmental, and human dimension. So what you would traditionally think of as human rights. And so being able to take that comprehensive approach opens up. a library of opportunities for us in terms of what we can provide support on. And so my unit's mandate stems from our border security management concept that the OSC Ministerial Council adopted in 2005. So our mandate in terms of border security is pretty broad. And I think our bread and butter really is helping to develop capacity of our participating states and providing technical assistance. I mean, our unique added value is that we can provide this tailored approach and we're pretty responsive when participating states do approach us with needs. So it's a bit different from NATO since we're not providing military support. We're looking at long -term institutional capacity buildings, whether it's in border security, policing, security sector agencies. That's the core of our work. And can you talk about what the application process was like to get involved? It's different for each job. So OSC, you either have secondments, like when I am on, where your national authority nominates you, or you have the professional contract where OSC directly hires you. So for mine, I had to apply through my seconding authority in the U .S., and I was competing amongst the Americans who wanted to be nominated. And so then once I got past that, then the U .S. put my name forward in the process, and then it was straight into the OSC hiring process. It's a written exam, and then it was an oral interview, and then it's shortlisted, and you go from there. But if it's a contracted offer, obviously you skip the secondment stage of it, and it's applying straight to OSC in the typical HR process. So it's a little different. You just have to look at the job posting and if it's a secondment or not. 00:19:01    JACK GAINES They give you a salary. 00:19:02    COLLEEN RYAN Do they give you a housing allowance? 00:19:02    JACK GAINES give you a housing allowance? 00:19:04    COLLEEN RYAN Yeah, it's about when I was paying in the U .S. The really fun expense was moving my cats over. So that it's a week in a housing allowance. But it's different for contracted. So it really just depends on which job you're going for, contracted or second. 00:19:22    JACK GAINES Had you traveled internationally before you joined this position? 00:19:26    COLLEEN RYAN Yeah, I had traveled quite a bit. Back when I was still a police officer, I liked to take my leave time to go over to Europe. So I did travel a bit. But never officially. It was always first travel. It was always tourist travel. Yeah, no, I had very, very little duty travel as a cop. 00:19:43    JACK GAINES But I bet that travel helped with your application to say, yeah, I've been to Europe and I've toured around, even though I was a tourist. 00:19:50    COLLEEN RYAN Yeah, and travel is just a great educator. And I know it's expensive and not everyone can do it. Travel just gives you good life experience, especially if you're doing it solo and traveling in Europe and interacting with different cultures and just finding your way and being able to navigate and step outside of your American comfort zone. If you're looking to work internationally, in addition, obviously, to the job experience and language and whatnot, travel is just such a good educator and a good way to end your horizons. Right. And I'll tell you what, traveling and living someplace, 00:20:23    JACK GAINES living someplace, It's a whole new experience because you learned the trains when you traveled, but now you got to find out, get a lease and what that takes. 00:20:32    COLLEEN RYAN Yeah. And then if you don't speak German or you don't speak the local English, that adds another layer of complexity. So yeah, you're absolutely right. The difference between living somewhere and traveling is huge. 00:20:43    JACK GAINES But it's fun. And actually, once you've lived overseas, you start to do quirky things, I find. Like, I'll travel and I'll go to a grocery store just to see how they do their business there. Yeah. You know, you go to restaurants, but see how laundry is done or, you know, just how the public services are done because you think, man, if I had to live here, I'd have to drag my trash to the backyard this time. Or over here, they take it on the street or the Germans, they have to have a lockbox. 00:21:12    COLLEEN RYAN What's been really interesting for me is my American friends hear me speak now and they think I'm starting to lose my accent and I can't tell where I'm from or I'll... interact with Europeans over here and they can't quite pick up on my American accent and I think I'm from the UK or Ireland or Australia. So that's been a really interesting experience because I don't think about it. I just talk and just the little things that come when you're living abroad. 00:21:37    SPEAKER_00 Okay. I think we got everything we wanted. Is there anything left that you want to draw on the table? 00:21:44    COLLEEN RYAN As I've mentioned, I firmly believe that any type of security cooperation, defense cooperation is built on relationships and trust. And so there's two of the Ukrainians in particular that I've become close with because they joined our training last year. And then this year they served as trainers for us and they've joined a few study visits. And so through that, we've developed trust and become friends. So now it's gotten to a point where they know I'm a huge Swifty. Oh, no. 00:22:14    SPEAKER_01 no. 00:22:16    COLLEEN RYAN You're a Swifty? Yeah. 00:22:16    SPEAKER_01 a Swifty? 00:22:19    COLLEEN RYAN So they'll ask, oh, what's the Taylor Swift song we should listen to for this trip? Or what's your favorite Taylor Swift song these days? And it's just a funny example of how this all starts with just building those relationships and getting people's trust when you're working with your partner nations. Sure. 00:22:38    SPEAKER_01 I thought maybe you brought Taylor Swift to the border and you couldn't get her across. 00:22:44    COLLEEN RYAN No, but I did give them Taylor Swift friendship bracelets when I was in Ukraine in June. 00:22:50    SPEAKER_01 Oh my gosh. I was going to say, next time you see them, they'll be like, hey, still have my Taylor Swift. They had them in London last week, so they still have them. 00:22:57    COLLEEN RYAN week, so they 00:23:02    SPEAKER_01 They probably feel obligated, like I can't take it off. She'll think less of me. 00:23:10    SPEAKER_01 It was quite funny. Cool. 00:23:14    SPEAKER_01 But yeah, you're right. It's those relationships, right? You build them and then you can reach out and the people are there. It's so much easier than a cold call. So much easier. That's half the job. 00:23:25    COLLEEN RYAN On one hand, you can joke about Taylor Swift, but then on the other, they can come to you with more training needs or more requests for specific areas of engagement. 00:23:34    SPEAKER_01 Yeah, they know they're safe to do it. Yeah, exactly. By just talking to you. Yeah. 00:23:39    SPEAKER_01 Well, cool. Okay. Well, I got it. And I will say just one more thing that I should mention. 00:23:43    COLLEEN RYAN I will say just one more thing that I should mention. I'm able to do all this work because I'm very lucky that the U .S. mission has fully funded my project and recognize the importance of OSCE as a multilateral line of effort to strengthen international security and broaden our engagement. Honestly, the amount of funding they've given me has been a huge boost and really made this work possible. So I feel like I have to give them a shout out here. 00:24:11    SPEAKER_01 Cool. All right, Coley. Well, thanks a bunch. All right.

Frontex, the EU border agency is armed and is the only EU body to have a uniform. It's task is to guard the EU's borders and to implement the aggressive push back of migrants trying to escape war and poverty to reach Europe. With an increasing budget it also operates unaccountably. But as the EU tries to maintain "Fortress Europe" it's own system designed to maintain free-movement of labour within the Schengen Agreement area is beginning to fall apart. There are increasing numbers of instances of restrictions by individual countries on the Agreement's operation or of its suspension. The massive contradictions at the heart of the EU's management of migration are becoming impossible to ignore.

durée : 00:54:44 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Fabrice Legerri député européen Patriotes pour l'Europe, ancien directeur de Frontex est l'invité de Questions politiques ce dimanche.

durée : 00:54:44 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Fabrice Legerri député européen Patriotes pour l'Europe, ancien directeur de Frontex est l'invité de Questions politiques ce dimanche.

Dans cette chronique de rentrée, nous vous proposons un tour d'horizon du nouveau paysage institutionnel européen pour la mandature 2024-2029.Cet épisode vous présente « qui fait quoi » sur la scène européenne en 2025 ; il vous permettra d'y voir plus clair dans l'écosystème institutionnel européen.Cette chronique est préparée et animée par Hélène Biais, Directrice des affaires publiques de la Délégation des Barreaux de France à Bruxelles.À la réalisation : Hélène Biais, Angeline Doudoux, journaliste Lefebvre Dalloz et Laurent Montant, Directeur du Studio Média Lefebvre Dalloz.Illustration : Studio Média Lefebvre Dalloz.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Repasamos la actualidad de la semana con Íñigo Domínguez, Sarah Morris, Belén Rodrigo y Mathieu de Taillac. Sumamos a la conversación a Ainhoa Ruiz Benedicto, investigadora en militarización de fronteras del Centro Delàs de Estudios por la Paz y del Observatorio Bretxa, para reflexionar sobre las políticas fronterizas de los países de la Unión Europea y el papel de la agencia Frontex.

ROMA (ITALPRESS) - In questa edizione:- Frontex, forte calo per l'immigrazione irregolare- DiscoverEU, 36 mila viaggiatori alla scoperta dell'Europa- La Politica Agricola Comune piace, per il 70% degli europei è utile per cibi più sanisat/mrv

Podle evropské pohraniční agentury Frontex klesla v minulém roce nelegální migrace do Evropské unie ve srovnání s předešlým rokem o 38 procent. Do Unie se nelegálně dostalo 239 tisíc lidí, přičemž největší pokles Frontex hlásí na migračních trasách přes západní Balkán a centrální Středomoří. Vzrostl naopak počet migrantů přicházejících ze západní Afriky přes Kanárské ostrovy a hranice Ukrajiny a Běloruska.Všechny díly podcastu Názory a argumenty můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.

Bienvenidos a La Diez Capital Radio! Están a punto de comenzar un nuevo episodio de nuestro Programa de Actualidad, donde la información, la formación y el entretenimiento se encuentran para ofrecerles lo mejor de las noticias y temas relevantes. Este programa, dirigido y presentado por Miguel Ángel González Suárez, es su ventana directa a los acontecimientos más importantes, así como a las historias que capturan la esencia de nuestro tiempo. A través de un enfoque dinámico y cercano, Miguel Ángel conecta con ustedes para proporcionar una experiencia informativa y envolvente. Desde análisis profundos hasta entrevistas exclusivas, cada emisión está diseñada para mantenerles al tanto, ofrecerles nuevos conocimientos y, por supuesto, entretenerles. Para más detalles sobre el programa, visiten nuestra web en www.ladiez.es - Informativo de primera hora de la mañana, en el programa El Remate de La Diez Capital Radio. Hoy hace un año: El papa Francisco abordará hoy con Clavijo el drama migratorio. Se prevé que el presidente de Canarias reitere su invitación al pontífice para que visite las Islas en noviembre, con motivo de una escala rumbo a Argentina. Hoy hace 365 días: Helicópteros y maquinaria pesada refrescan el incendio en la planta de compostaje de Arona. El incendio comenzó 4 días antes. Hoy se cumplen 1.056 días del cruel ataque e invasión de Rusia a Ucrania. Hoy es miércoles 15 de enero de 2025. Día mundial de la nieve “Año de nieves, año de bienes”. Los refranes populares nos recuerdan la importancia de la nieve. Afirman que si nieva en invierno, la cosecha y los animales son más productivos el resto del año. Los ecosistemas naturales de agua dulce son los más productivos del mundo y su influencia en la economía local es crucial. A pesar de que el 70% de la Tierra está cubierta por agua, sólo una mínima parte es dulce y la mayoría se encuentra congelada en los polos o forma parte de aguas subterráneas, aguas alimentadas, en última instancia, por el deshielo de las zonas más altas. El Día Mundial de la Nieve fue una iniciativa de la Federación Internacional de Esquí con el objetivo de promocionar las distintas actividades que se realizan en la nieve sobre todo entre los niños, facilitar a que la gente disfrute el deporte del esquí y otros tipos de deporte que se realizan en la nieve. 1759.- Inauguración del Museo Británico, en Londres. 1798.- Goya empieza a pintar los frescos de la iglesia madrileña de San Antonio de la Florida. 1913.- Primera transmisión telefónica sin hilos entre Nueva York y Berlín. 1934.- Fulgencio Batista se hace con el poder en Cuba. 1941.- Alfonso XIII abdica en Roma de sus derechos al trono español en su hijo el príncipe don Juan, conde de Barcelona. 1971.- Inauguración de la gran presa de Asuán, en el río Nilo. 1992.- La Comunidad Europea reconoce a Croacia y Eslovenia, lo que supone la desmembración de Yugoslavia como Estado unitario a efectos europeos. 2001.- Nace Wikipedia, enciclopedia libre y publicada en Internet creada por Jimmy Wales y Larry Sanger. 2006.- Alberto Núñez Feijóo sustituye a Manuel Fraga como presidente del PP de Galicia. 2009.- Se salvan los 155 viajeros del Airbus 320, caído al río Hudson, en Nueva York (EEUU), gracias a la pericia del piloto. Santos Pablo, Mauro, Macario y Miqueas. Israel y Hamás ultiman los detalles de un acuerdo de tregua en Gaza que según EE.UU. está "listo para firmar" La ampliación de la Unión Europea "se basará en el mérito" y no en la geopolítica, según Bruselas. Felipe VI pide "hacer valer" a España como "aliado necesario" y "ahondar" en la relación con EE.UU. en la era Trump. Junts descarta apoyar una moción de censura del PP e insiste en que Sánchez debe someterse a una cuestión de confianza. Ayuso califica como un nuevo Watergate el caso del fiscal general del Estado y Óscar López pide su "dimisión inmediata" Interior tiene detectados en Canarias 6.769 casos activos por violencia de género Por comunidades, el mayor número de casos activos por violencia de género está en Andalucía. Por comunidades, el mayor número de casos activos por violencia de género está en 1.- Andalucía, con 26.716 ; le sigue la 2.- Comunidad Valenciana, con 16.886; la 3.- Comunidad de Madrid, con 12.812; 4.- Canarias, con 6.769. El 20% de los migrantes irregulares que cruzan la frontera de la UE entra por Canarias. Frontex advierte que la ruta atlántica es la vía migratoria que más creció en 2024, con un incremento del 18% de las llegadas. El precio de la vivienda en Canarias supera en casi un 8% el máximo de la burbuja inmobiliaria. Los precios se dispararon en el archipiélago en diciembre, anotando el mayor incremento del país: un 11,5%. El Ayuntamiento de Las Palmas de Gran Canaria sigue sin concretar las ubicaciones de los diferentes actos del Carnavala tres semanas y media de su inicio, y lo único que ha anunciado es que se celebrará entre el parque Santa Catalina y la plaza Manuel Becerra. Proyectan instalar 11 radares para detectar vertidos marinos en Tenerife. 15 enero de 1983. Llega al número 1 en UK el single You Can´t Hurry Love de Phil Collins. - Sección de actualidad con mucho sentido de Humor inteligente en el programa El Remate de La Diez Capital radio con el periodista socarrón y palmero, José Juan Pérez Capote, El Nº 1. - Sección en el programa El Remate de La Diez Capital radio con el analista político, Manolo Fernández. Ayuso califica como un nuevo Watergate el caso del fiscal general del Estado y Óscar López pide su "dimisión inmediata" Junts descarta apoyar una moción de censura del PP e insiste en que Sánchez debe someterse a una cuestión de confianza. - Entrevista en “El Remate” de La Diez Capital Radio. Hoy, en el programa El Remate de La Diez Capital Radio, contamos con la presencia del Dr. Antonio Alarcó, Adjunto al Diputado del Común. Durante esta interesante entrevista, hablamos sobre su nuevo libro, “Conciencia Colectiva”, una obra que invita a reflexionar sobre el papel de la sociedad en la toma de decisiones conjuntas para enfrentar los desafíos actuales. Además, el Dr. Alarcó nos ofrece su análisis experto sobre un tema de gran relevancia: la incidencia de la gripe en un contexto con cinco virus en circulación. Nos explica las claves para protegernos y prevenir contagios, destacando la importancia de la salud pública y de actuar de manera conjunta para enfrentar estos retos sanitarios. ¡No te pierdas esta entrevista imprescindible para entender mejor nuestra realidad actual! - No te pierdas el “Especial Bodas” de los “Cabañas”. En unos minutos comenzará en Capital Radio “La Hora de Beatriz Cabañas”, un programa para almas inquietas y amantes de la vida. Estás invitado/a. Saludos y feliz día a tod@s! B.C. - Sección en El Remate de La Diez Capital Radio. En la sección de hoy en El Remate de La Diez Capital Radio, el coordinador de la Alianza de Vecinos de Canarias, Abel Román, conversa con un invitado de excepción: el Dr. Rodrigo Martín, presidente del Colegio Oficial de Médicos de Santa Cruz de Tenerife. El tema central de esta edición es la carga laboral de los médicos en el sistema sanitario español. Analizan la cantidad de horas que dedican los profesionales de la salud en su jornada, las consecuencias de estas largas jornadas en su bienestar y la calidad de la atención que reciben los pacientes. Un debate crucial que pone de manifiesto los desafíos del sistema sanitario y la necesidad de buscar soluciones que beneficien tanto a los médicos como a los ciudadanos. ¡No te lo pierdas! - Sección en El Remate de La Diez Capital Radio. En la sección de hoy en El Remate de La Diez Capital Radio, contamos con la participación de Virginia Teja para analizar la actualidad informativa. Abordamos los temas más relevantes del momento, desgranando las claves y los puntos de vista que marcan la agenda mediática. Una conversación dinámica y enriquecedora que ofrece una visión clara y reflexiva sobre las noticias que están dando forma a nuestra realidad.

Nelle prime ore del 26 ottobre l'esercito israeliano ha attaccato alcuni obiettivi militari in territorio iraniano, in risposta al lancio di missili che Teheran ha condotto contro Israele il 1 ottobre. Con Lorenzo Trombetta, analista per il Medio Oriente per l'Ansa e Limes.A vent'anni esatti dalla sua nascita, Frontex ha ottenuto sempre più potere e sempre più soldi, ma è anche molto contestata e accusata di gravi violazioni. Con Francesca Spinelli, giornalista che si occupa di politiche europee sulle migrazioni, da Bruxelles Scienza • “Il posto migliore dove cercare gli alieni” di Alexandra Witzehttps://www.internazionale.it/magazine/alexandra-witze/2024/10/24/il-posto-migliore-dove-cercare-gli-alieniLibri • Martire! di Kaveh Akbar (La nave di Teseo)Ci piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it o manda un vocale a +39 3347063050Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti

Manfred Weber, EVP-Fraktionschef im Europaparlament, hält den EU-Migrationspakt für einen Meilenstein. Dennoch fordert er weitere Maßnahmen wie den Ausbau von Frontex auf 30.000 Beamte und die direkte Rückführung von Geflüchteten. May, Philipp www.deutschlandfunk.de, Interviews

Personas. Lenguajes. Comprensiones. Sabemos que necesitamos categorías para entender el mundo. Así funciona la mente. ¿Y el corazón? ¿Cómo funciona? Otorgar el poder a la mente nos ha traído a la realidad que vivimos actualmente. Una realidad cada vez más polarizada, en la que vemos a otras personas dentro de una categoría.Las categorías son necesarias, también son peligrosas. Lamentablemente, nuestras mentes han aprendido a que las personas de color diferentes, que hablan otros idiomas, llevan otro pasaporte o le rezan a otro Dios, son una amenaza. ¿Y ahora qué? ¿Queremos seguir categorizando para excluir y separar? O estamos listas para ponerle una pizca de corazón a las categorías para tender puentes entre ellas. Las personas que buscan asilo en el territorio europeo crece. Y va a seguir creciendo. Las medidas de bloqueo ante las mareas de personas que huyen de guerras, el cambio climático o violaciones de los derechos humanos, no funcionan.En este episodio de Proyecto Co, exploramos las complejidades de la migración y el asilo en Europa junto a Yolanda Bassas Gimeno, abogada especializada en derecho de asilo y presidenta de la asociación No One is Illegal. Yolanda, con más de veinte años de experiencia profesional, nos guía a través de su carrera, que incluye asesorar a solicitantes de asilo y personas refugiadas, y su trabajo con la Agencia de la Unión Europea para el Asilo (EUAA).Durante la conversación, abordan cómo el endurecimiento de las políticas migratorias europeas, especialmente el blindaje de fronteras, afecta a personas que huyen de guerras y violaciones de derechos humanos. A través de su organización, Yolanda lucha por brindar apoyo legal a personas migrantes en riesgo de exclusión social, visibilizando las injusticias que enfrentan.También reflexionan sobre la importancia de tender puentes entre diferentes categorías de personas, superando los prejuicios que muchas veces perpetúan la discriminación.En este episodio puedes escuchar: (5:00 / 10:00) - Trayectoria personal y profesional de Yolanda: Impulsada por su deseo de comprender la crisis migratoria, Yolanda decidió durante dos años ayudar en diversos campos de personas desplazadas y refugiadas en Grecia, Serbia e Italia.(10:00 / 15:00) - Creación de "No One is Illegal": Tras su experiencia, Yolanda fundó una organización dedicada al asesoramiento y representación legal de personas migrantes, brindando apoyo directo a casos vulnerables.(15:00 / 20:00) - Crítica a las políticas migratorias europeas: Yolanda cuestiona las políticas restrictivas de Europa, centradas en el blindaje de fronteras y la externalización, que no priorizan los derechos humanos.(20:00 / 30:00) - Desigualdad en el trato a los refugiados: Todo es un tema político, la diferencia en el trato a refugiados ucranianos frente a otras nacionalidades refleja profundas desigualdades y el uso político de la migración.(3:00 / 45:00) - Desafíos y acciones frente a la situación migratoria en Europa: Canarias, Frontex y la fuerza ciudadana como forma de mejorar los flujos migratorios y la recepción de migrantes en todo el continente. Un episodio cargado de reflexión sobre cómo nuestras mentes y corazones deben aprender a ver más allá de las categorías que dividen, especialmente en un contexto donde la migración seguirá en aumento debido a factores como el cambio climático y los conflictos armados.EFECTO COLIBRÍ - TU SITIO DE PODCAST PARA IMPULSAR UNA REALIDAD INCLUSIVA, JUSTA Y REGENERATIVAMás en: www.efectocolibri.comConviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/proyecto-co--4842174/support.

En Las Mañanas de RNE, Juan José Imbroda, presidente de Melilla, ha abordado los saltos masivos de migrantes de la valla fronteriza entre España y Marruecos de las últimas semanas: "Ahora, afortunadamente, no tenemos una crisis migratoria importante. Hay una colaboración positiva entre las autoridades españolas y marroquíes. Ha sufrido más Ceuta que nosotros". De la misma manera, Imbroda ha comentado que en las crisis migratorias que sufren Ceuta o Canarias parece que los menores migrantes "se subastan para ver qué comunidad autónoma de la península los acoge, lo que acaba provocando agravios a los menores. Por ello, ha reivindicado "la necesidad de una política migratoria que unifique criterios" y ha subrayado que quien la tiene que llevar a cabo es el Gobierno central, ya que es su competencia. "No sé por qué el Ministerio del Interior tiene tanto resquemor en que el Frontex entre de una manera mucho más rotunda y profunda. Si hay una política común europea, hay que aprovechar todos los medios que tenga Europa. Es un problema de todos", ha resaltado el presidente de Melilla, Juan José Imbroda. Escucha la entrevista completa en RNE Audio. Escuchar audio

Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 septembre 2024.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.DÉMISSION DE THIERRY BRETON, UN GÂCHIS ET UNE GIFLELundi, Thierry Breton, le commissaire européen français sortant, chargé du Marché intérieur, de la Politique industrielle, du Tourisme, du Numérique, de l'Audiovisuel, de la Défense et de l'Espace, a présenté sa démission avec « effet immédiat » à la présidente de l'exécutif européen, Ursula von der Leyen, lui écrivant « Vous avez demandé à la France de retirer mon nom — pour des raisons personnelles qu'en aucun cas vous n'avez discutées directement avec moi — et avez offert, en guise de compromis politique, un portefeuille prétendument plus influent pour la France dans le futur collège ». Emmanuel Macron l'avait désigné le 25 juillet pour effectuer un nouveau mandat de cinq ans, L'éviction de Thierry Breton avait été demandée à plusieurs reprises par Ursula von der Leyen. Durant son mandat, Thierry Breton s'était mis plusieurs fois en travers de la route de la présidente de l'exécutif européen, en s'opposant avec d'autres commissaires à la nomination d'une cheffe économiste américaine à la concurrence, ou à la nomination d'un proche d'Ursula von der Leyen comme délégué aux PME).Pendant les cinq ans de son mandat, Thierry Breton a notamment défendu de grands textes de régulation numérique, et assumé de contrer les intérêts des géants américains de la tech. Il n'a eu de cesse d'afficher l'ambition de réguler par tous les moyens le « Far West numérique » qui prévalait en Europe, dominé par les grandes plateformes technologiques étrangères, auxquelles il semblait jusque-là bien difficile d'imposer des lois. Sous son impulsion, l'Europe s'est doté d'instruments juridiques majeurs comme le Digital Services Act, le Digital Markets Act, ou l'AI Act. Très impliqué dans leur mise en œuvre, il avait rappelé à l'ordre en août dernier Elon Musk, le patron du réseau social X, sur son devoir de respecter les règles européennes en matière de modération des contenus. Son bilan s'étend également de l'industrie - le Chips Act - au spatial, en passant par la défense. Il a permis à l'Europe d'obtenir les vaccins contre le Covid en mettant la pression sur les groupes pharmaceutiques et sur leurs fournisseurs, stimulé les industries de défense, lancé la constellation satellitaire Iris 2, défendu bec et ongles l'énergie nucléaire, etc.Ursula von der Leyen a accepté mardi la candidature présentée par Emmanuel Macron de Stéphane Séjourné et l'a nommé « vice-président exécutif » de la Commission, chargé de la « prospérité et de la compétitivité ». Un portefeuille quasi jivarisé pour le Français, puisque désormais la défense, le numérique, le tourisme, l'audiovisuel et l'espace seront distribués à d'autres commissaires. Par ailleurs, la nouvelle commission de Mme von der Leyen n'est pas une bonne nouvelle pour les tenants du nucléaire et un sujet d'interrogation pour les soutiens de l'Ukraine en guerre.LE « VOYAGE D'ÉTUDE » DE KEIR STARMER EN ITALIE À PROPOS DE L'IMMIGRATIONAu lendemain d'un nouveau naufrage meurtrier de migrants dans la Manche, le Premier ministre britannique Keir Starmer s'est entretenu lundi à Rome avec son homologue italienne Giorgia Meloni de la lutte contre l'immigration illégale, sujet à l'origine de violentes émeutes cet été au Royaume-Uni. Accompagné de son nouveau commandant de la sécurité des frontières du Royaume-Uni, Martin Hewitt chargé de lutter contre les traversées de la Manche et les passeurs, Keir Starmer, qui a rejeté le plan du précédent gouvernement conservateur britannique d'expulser des migrants au Rwanda, se dit « intéressé » par la méthode de Mme Meloni. « Il y a eu ici une réduction assez spectaculaire des entrées de migrants clandestins et je veux comprendre comment cela s'est produit » a expliqué le Premier ministre britannique en visitant le Centre national de coordination sur la migration à Rome.L'agence Frontex indique que l'Italie a réduit de 64 % en un an les traversées irrégulières de bateaux vers les côtes italiennes. Selon les chiffres du ministère italien de l'Intérieur, les arrivées de migrants par la mer ont considérablement baissé depuis le début de l'année : 44.675 entre le 1er janvier et le 13 septembre, contre 125.806 lors de la même période de 2023. Au cours des douze derniers mois, les traversées en provenance de Tunisie ont chuté de 80 % et celles depuis la Libye de 27 %. Une baisse due notamment à des accords de plusieurs millions d'euros, passés en novembre 2023 dans le cadre du « processus de Rome », visant à renforcer les patrouilles sur les côtes nord-africaines et à faciliter les retours. L'UE a accordé des fonds à la Tunisie pour renforcer la sécurité des frontières, tandis que l'Italie a fourni des navires de patrouille et finance son gouvernement. Keir Starmer a tenu à préciser qu'il s'intéressait davantage à ces mécanismes qu'à l'accord de Rome avec Tirana sur les migrants pour l'ouverture de deux centres d'enregistrement des demandes d'asile. Ces deux sites, financés et gérés par l'Italie, doivent pouvoir héberger jusqu'à 3.000 migrants. On y examinera les demandes d'asile et on y décidera qui est admis et qui est renvoyé. Les dossiers de 36.000 migrants pourraient être ainsi traités chaque année. Le premier centre, situé dans le port de Shengjin (au nord de l'Albanie) devait ouvrir prochainement.L'Organisation internationale des migrations et les ONG de secours des migrants en Méditerranée font valoir qu'une partie des candidats à l'entrée dans l'UE ont tout simplement changé d'itinéraire. Sur les huit premiers mois de l'année, les « détections » de migrants clandestins franchissant les frontières de l'UE ont diminué de 39%, selon l'agence Frontex. Mais si les routes migratoiresdes Balkans et de Méditerranée centrale ont vu les flux nettement baisser (-77% et -64%), celle d'Afrique de l'Ouest et la frontière terrestre orientale ont enregistré de fortes hausses (+123% et +193% respectivement).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

Příslušníci Evropské agentury pro pohraniční a pobřežní stráž, zkráceně Frontex, jsou zastrašováni svými bulharskými kolegy. Ti na ně údajně tlačí, aby nevypovídali o nepřípustném chování bulharských pohraničníků k migrantům, jehož jsou na podpůrných misích v tamním pohraničí opakovaně svědky. Píše o tom server Balkan Insight.Všechny díly podcastu Svět ve 20 minutách můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.

C'est malheureusement souvent la même histoire. Des dizaines de jeunes gens qui s'entassent sur une pirogue, pensant trouver une vie meilleure en Europe en passant par le territoire espagnol des îles Canaries. Et à l'arrivée, bien souvent, c'est la mort par noyade qui les attend.« Le décompte macabre se poursuit toujours après le drame maritime de dimanche dernier, lié à l'émigration irrégulière, soupire le site d'information Dakar Actu. Selon des informations confirmées par les unités des sapeurs-pompiers de Mbour, 36 corps sans vie sont pour le moment enregistrés officiellement. Les recherches sont, à cette heure, suspendues. Elles reprendront ce mercredi. »« La majorité des migrants retrouvés morts sont originaires de (cette même ville de) Mbour, précise le site Senego. Les dépouilles sont exposées au niveau de la plage et à la morgue afin de permettre leur identification par leurs familles. L'organisateur du voyage a été arrêté lundi, aux environs de 17 heures, chez son charlatan, où il se rendait pour se munir de protections mystiques, afin d'échapper à une arrestation. » Pour le coup, c'est raté.Trente-six morts pour l'instant, donc. Mais « le bilan du naufrage pourrait encore s'alourdir, relève WalfQuotidien. Citant Babacar Senghor, président du Conseil local de la pêche artisanale à Mbour, des personnes ont affirmé que 80 corps avaient été repêchés. Pour l'heure, on ne sait pas avec certitude combien de personnes avaient pris place dans la pirogue. Mais on estime qu'elles étaient une centaine. »Qui pour leur faire comprendre ?Le site Dakar Matin laisse éclater sa colère : « qui pour leur dire que la vie, c'est ici, dans ce pays, et maintenant ? Qui pour leur faire comprendre que la réussite est à portée de main et que l'espoir est de retour dans leur propre pays où tout est à reconstruire et qu'il suffit d'y croire pour exister ? Tous ces jeunes qui meurent bêtement au fond de l'océan, éblouis par les mirages d'une Europe en crise et qui rêvent d'Eldorado, se trompent dans leur entreprise périlleuse (…). L'arrivée d'un nouveau régime n'a pas arrêté la traversée macabre, pointe encore Dakar Matin. Elle se poursuit et s'intensifie sans répit avec la présence de despérados d'autres nationalités qui font de ce Sénégal côtier un pays de transit. Un exode qui, à lui seul, résume l'échec d'un pouvoir qui nous promettait une hypothétique émergence et qui nous a laissé un pays en lambeaux. »Et rien n'y fait, constate L'Observateur Paalga au Burkina Faso… « On a beau tout essayer, avec l'opération Frontex, avec la politique de fixation des jeunes dans leurs terroirs, avec l'aide au développement. Ils sont encore des milliers et des milliers à prendre le désert ou la mer à la recherche d'un hypothétique eldorado, quitte à y rester en cours de route (…). Depuis le début de l'année, ils sont quelque 5 000 à s'être noyés en voulant traverser l'Atlantique. Entre janvier et mars, un peu plus de 13 000 migrants ont atteint les îles Canaries de manière irrégulière après avoir traversé en bateau depuis les côtes de l'Afrique de l'Ouest, soit une augmentation de 502 % par rapport à 2023. »Tous ces « Mbour »Et malheureusement, relève pour sa part WakatSéra, ce phénomène de l'immigration clandestine n'est pas l'apanage du Sénégal. « Les “Mbour“ ne sont pas qu'au Sénégal qui constitue, avec la Gambie et la Mauritanie, en Afrique de l'Ouest, les passages les plus usités pour atteindre l'Europe. Les “Mbour“ sont dans le désert algérien. Les “Mbour“ sont à la porte du Maroc qui s'ouvre sur (l'enclave de) Melilla. Les “Mbour“ sont dans le no man's libyen où les migrants sont tués ou, au mieux, vendus comme esclaves. Et tous ces “Mbour“, s'agace le site burkinabé, ne se construisent pas en dehors des dérives de ceux qui nous gouvernent, qui transforment, grâce à la mal gouvernance, la corruption et la soif inextinguible d'un pouvoir de fer, leurs populations en bêtes de somme, juste bonnes pour servir de bétail électoral. Quand la confiscation des libertés se conjugue avec ces pratiques égoïstes, sport national de nombre de dirigeants africains, le départ vers des horizons meilleurs devient la seule issue possible. Alors, soupire encore WakatSéra, les “Mbour“ ouvriront toujours les bras aux désespérés de la vie dans les goulags que sont la plupart des “Républiques très très démocratiques du Gondwana“ où le “leader bien-aimé“ ne règne que pour lui-même et sa famille. »

På overfladen lignede det en bragende succes for tilhængerne af en stram, europæisk grænsepolitik, da grænseagenturet Frontex i august kunne offentliggøre nye tal for tilstrømningen af migranter: Målt over årets første syv måneder er antallet af migranter, der ulovligt har taget den farlige vej til Europa, faldet med 36 procent sammenlignet med samme periode sidste år.  Men mens trafikken på middelhavsruten falder, er udviklingen diametralt modsat ved Europas sydvestlige grænse, hvor Spanien er endt med sorteper. På De Kanariske Øer nærmer modtagecentrene sig sammenbrud - og på det seneste har en ny rute fra Algeriet til Ibiza, Mallorca og Menorca sendt de spanske myndigheder i alarmberedskab.  Så hvad gør Europa?  Gæst: Martin Tønner, Berlingskes korrespondent i Sydeuropa Vært: Kaare SvejstrupSee omnystudio.com/listener for privacy information.

Au Sénégal, l'armée donnait le week-end dernier un premier bilan de l'opération « Djoko » lancée le 15 août, pour lutter contre l'émigration clandestine. Depuis dix jours, des forces de l'ordre patrouillent sur le littoral, pour empêcher les départs de migrants clandestins depuis les côtes sénégalaises. En tout, 453 personnes, dont plus de la moitié de nationalité sénégalaise, ont été interpellées. Et parmi elles, des membres de réseaux de passeurs. Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez commence aujourd'hui une tournée africaine, avec le Sénégal pour étape, pour évoquer l'immigration irrégulière. Y a-t-il eu un changement de politique depuis l'arrivée au pouvoir au Sénégal du duo Faye-Sonko ? Le sociologue Aly Tandian enseigne à l'université Gaston-Berger de Saint-Louis, et préside l'Observatoire sénégalais des migrations.  RFI : L'armée sénégalaise a déclaré avoir interpellé 453 personnes candidates à la migration irrégulière, parmi lesquelles des passeurs, dans le cadre de l'opération Djoko. Quel est votre regard sur cette opération lancée par les nouvelles autorités ?Aly Tandian : Les recherches n'ont cessé de montrer les limites de la sécurisation en matière de réponse sur les questions de migration irrégulière. Alors, je ne sais pas pourquoi l'État du Sénégal a pris cette option. Ce que d'autres n'ont pu faire en termes de sécurisation des frontières, je ne vois pas comment l'État du Sénégal pourrait le faire. Pour rappel, il y a Frontex qui a eu à mener durant plusieurs années un contrôle strict et sévère des côtes européennes et extra-européennes.Frontex est l'agence qui contrôle et sécurise les frontières de l'Europe…Frontex n'a pas pu apporter des réponses parce que les causes de la migration irrégulière sont d'abord sociales. Je pense qu'il faudrait plutôt chercher les réponses au niveau du social, mais pas au niveau sécuritaire.C'est vrai que l'opération militaire Djoko correspond au modèle répressif que l'on peut voir dans plusieurs pays luttant contre l'immigration clandestine. Avez-vous constaté une nouvelle approche depuis l'arrivée du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye et de son Premier ministre Ousmane Sonko ?Ce qu'on a pu remarquer, c'était le grand silence. À ce jour, sans me tromper, il y a eu deux, trois petites sorties. Une première sortie par le président de la République lorsqu'il a reçu le Président du Conseil européen Charles Michel qui était là. Et la deuxième sortie qui a été constatée, c'est le Premier ministre lorsqu'il s'est rendu à Saint-Louis suite à un nouveau drame migratoire. Ce silence inquiète parce qu'entre-temps, il faut le dire, il y a eu beaucoup de pertes de vies. Pour rappel, du 1ᵉʳ janvier au 31 juillet 2024, près de 27 640 migrants ont atteint les côtes des îles Canaries à bord de 822 embarcations. Ce sont des chiffres qui interpellent, d'autant plus qu'il y a une augmentation de plus de 12 % par rapport à la même période de l'année précédente. Le deuxième élément, c'est que nous avons toujours mobilisé des hypothèses en soutenant qu'il y a eu des départs parce qu'il y a l'absence d'avenir pour plusieurs candidats à la migration irrégulière, parce qu'il y a une vie difficile. Mais qu'est-ce qui a changé ? On a changé d'acteurs politiques, mais cette population juvénile n'a pas encore trouvé une réponse qui pourrait les rassurer et qui pourrait leur donner l'opportunité de rester davantage. Au contraire, les choses se sont intensifiées. Entre-temps, il y a une juvénilisation des candidats à la migration irrégulière, une présence de plus en plus importante de femmes et de jeunes filles sur les routes migratoires et désormais, un éclatement des destinations. Si auparavant on parlait de « Barça » ou « Barzakh » pour évoquer ceux qui partaient à Barcelone, aujourd'hui il y a de plus en plus de jeunes qui partent vers des destinations de plus en plus lointaines, ce qui laisse penser l'absence d'espoir, de réponse à offrir à cette population juvénile. Et parmi ces lointaines destinations, il y a le Nicaragua, par lequel passent de plus en plus de migrants pour ensuite traverser plusieurs pays d'Amérique latine avant d'atteindre les États-Unis. D'après les statistiques américaines, l'an dernier, plus de 60 000 Africains ont rejoint illégalement les États-Unis par ce moyen, dont 20% de Sénégalais. Et ce n'est pas donné car il faut compter entre 8 000 et 10 000 dollars pour le voyage et les passeurs. Donc, c'est aussi toute une économie dont on parle ?Aujourd'hui, il y a toute une échelle qui est établie depuis les banlieues, les marchés et même les universités pour faciliter le départ des jeunes. Ces jeunes partent davantage, cherchant çà et là de l'argent en mobilisant des bourses, vendant le peu qu'ils possèdent pour partir, avec assez souvent la contribution de la parentèle. Les jeunes parlent du besoin de « se sauver », parce qu'en face ils n'ont rien d'autre que du noir et l'absence de perspectives. Quand les gens pensent que partir est une forme de suicide, c'est parce qu'ils ignorent les conditions de vie dans lesquelles les populations vivent dans leur territoire d'origine. Ces jeunes qui partent, ils veulent être au cœur de la mondialisation, ils ne veulent pas continuer à en être de simples victimes. Ce sont des acteurs qui profitent des technologies de l'information et de la communication, qui sont au courant du développement du monde. La grande difficulté que nous avons aujourd'hui, c'est que nous avons un éclatement des réponses, alors qu'on a plutôt besoin d'une mobilisation d'acteurs divers, d'une mobilisation des États pour trouver une réponse régionale, et non pas une réponse pays par pays.

Počet ilegálních migrantů přicházejících do Evropy v první polovině roku znatelně poklesl, podle údajů agentury Frontex jich je meziročně o třetinu méně. „Lze říci, že začínají fungovat dohody se severoafrickými státy, zejména s Tuniskem, odkud jsme loni zaznamenávali rekordní počty osob přicházejících na ostrov Lampedusa. Pokles je znatelný,“ vysvětluje v pořadu Interview Plus ředitel Organizace na pomoc uprchlíkům Martin Rozumek.

Die EU-Agentur Frontex hat zwei Aufgaben, die in Widerspruch zu stehen scheinen: Sie soll die Außengrenzen der Europäischen Union schützen und gleichzeitig Menschen aus Seenot retten und das Grundrecht auf Asyl gewährleisten. Dafür hat sie in den vergangenen Jahren immer mehr Budget von der EU erhalten. Über 900 Millionen Euro waren es zuletzt. Aber nicht nur personell will Frontex wachsen – auch mit den Negativschlagzeilen der vergangenen Jahre soll endlich Schluss sein. Mit WDR/NDR-Investigativ-Journalist Manuel Bewarder gehen wir in dieser 11KM-Folge allerdings einem aktuellen Verdacht nach: Hat Frontex einfach zugeguckt, als Geflüchtete illegal zurück aufs offene Meer gedrängt wurden? Die Veröffentlichungen von Manuel Bewarder und seinem Recherche-Team findet ihr unter anderem in der ARD-Mediathek und auf tagesschau.de: https://www.ardmediathek.de/video/strg_f/skandalbehoerde-frontex-gelingt-der-eu-grenzschutzagentur-der-neustart/funk/Y3JpZDovL2Z1bmsubmV0LzExMzg0L3ZpZGVvLzE5Nzk4Mjcvc2VuZHVuZw https://www.tagesschau.de/investigativ/ndr-wdr/frontex-pushbacks-eu-100.html Mehr zur Asylreform hört ihr in unserer 11KM-Folge “An der Grenze: Zwischen Asylreform und Realität”: https://www.ardaudiothek.de/episode/11km-der-tagesschau-podcast/an-der-grenze-zwischen-asylreform-und-realitaet/tagesschau/13304381/ Und hier noch ein Podcast-Tipp “Sahra Wagenknecht”: https://1.ard.de/wagenknecht-mdr-podcast An dieser Folge waren beteiligt: Folgenautorin: Susanne Dietrich Mitarbeit: Moritz Fehrle Produktion: Laura Picerno, Christiane Gerheuser-Kamp und Christine Dreyer Redaktionsleitung: Fumiko Lipp und Lena Gürtler 11KM: der tagesschau-Podcast wird produziert von BR24 und NDR Info. Die redaktionelle Verantwortung für diese Episode liegt beim BR.

Jsou to lidé, kteří nezvládli náročnou cestu přes hranici, jež má být po částečném vstupu Bulharska do Schengenu ještě přísněji střežená. Na nelegální vytlačování migrantů přes hranici do Turecka a další násilné praktiky bulharských pohraničníků nedohlédne podle některých svědectví ani evropská pohraniční agentura Frontex. Situací na vnější hranici Evropské unie se bude zabývat dnešní pořad Za obzorem. Připravil ho Tomáš Havlín.

What are borders, and why do we have them? And how is violent border enforcement at the US-Mexico border connected to Israel's brutal assault on Gaza? And what happens when borders cross living land and communities? We'll dig into these questions in this week's episode with the help of Heba Gowayed, sociology professor at CUNY Hunter College and Graduate Center. And then we'll hear a story brought to us by In Confianza, with Pulso about one time when the natural boundary between two countries changed – and what happened to the people caught on the other side. Learn more about the story and find the transcript on  radioproject.org. Making Contact is an award-winning, nationally syndicated radio show and podcast featuring narrative storytelling and thought-provoking interviews. We cover the most urgent issues of our time and the people on the ground building a more just world. EPISODE FEATURES: This episode features Heba Gowayed, sociology professor at CUNY Hunter College and Graduate Center and author of Refuge: How the State Shapes Human Potential and the forthcoming The Cost of Border; Charlie Garcia, writer and producer of the story “The Border is Alive!” from In Confianza, with Pulso. MAKING CONTACT: This episode is hosted by Lucy Kang. It is produced by Anita Johnson, Lucy Kang, Salima Hamirani, and Amy Gastelum. Our executive director is Jina Chung.  MUSIC: This episode features "Documentary" by AlisiaBeats via Pixabay. Learn More: Heba Gowayed In Confianza, with Pulso “The Border is Alive!” full episode

La investigación periodística internacional de Lighthouse Reports revela que la Unión Europea (U.E) ha financiado con 75 millones de euros operaciones en Túnez, Marruecos y Mauritania para detener violentamente a migrantes y arrojarlos en el desierto con pleno conocimiento de la Comisión Europea, el Europarlamento y las agencias que gestionan los fondos. Las víctimas son personas de raza negra. El objetivo: evitar que los migrantes lleguen a Europa.  La investigación realizada por Lighthouse Reports en colaboración con el Washington Post, El País, Der Spiegel, Le Monde, IrpiMedia, ARD, Enass e Inkyfada revela que, a través de pactos bilaterales, Túnez, Marruecos y Mauritania se benefician de la financiación del bloque y de países europeos que es utilizada en operaciones anti migración, contrarias a la legislación de la UE y a los tratados internacionales.En entrevista exclusiva con Radio Francia Internacional (RFI) Beatriz Ramalho da Silva, periodista de investigación y coautora del informe de Lighthouse Reports, detalla el modus operandi de estas prácticas que se llevan a cabo de forma sistemática en los tres países africanos.“Las fuerzas de seguridad detienen de forma regular y arbitraria a migrantes en redadas callejeras o en sus domicilios y los llevan a comisarías o centros de detención no oficiales. Después, se conduce a estas personas a lugares desérticos y remotos donde se deja sin agua y sin comida”.   La periodista subraya que, a través de las filmaciones, documentación complilada y entrevistas hechas durante la investigación, se pudo comprobar que entre las personas detenidas hay niños y mujeres y que han sido arrojados en “zonas de guerra activa”, como en la frontera de Mauritania con Mali, o en el desierto entre Túnez y Libia. “Luego son conducidos a centro de detención libios en los que las condiciones son más que horribles”.El material recabado también comprueba que los recursos entregados por la U.E. o por algún país del bloque europeo -como automóviles, por ejemplo-, en el marco de los pactos migratorios bilaterales suscritos con los tres países norafricanos, se ha utilizado en estas operaciones violatorias del derecho internacional y de la legislación europea (ver video concedido por Lighthouse Reports ©)La U.E. lo sabeDurante el año de pesquisas, los periodistas recabaron licitaciones, contratos, acuerdos y pruebas visuales que vinculan directamente la financiación de la U.E. con estas operaciones ilegales. Y más aún: que el bloque europeo está al corriente de los destinos que toma su financiación.“Hace años que la Unión Europea sabe que eso está pasando y, sin emabrgo, sigue proporcionando los fondos”, deplora Ramalho da Silva. Y precisa: “Tenemos documentos confidenciales. Uno de la Comisión Europea, por ejemplo, describe estas prácticas de desplazamiento en Marruecos y en el mismo documento se aprueba la financiación de otra ronda de fondos de gestión de migración”.El consorcio periodístico liderado por Lighthouse Reports también tuvo acceso a documentos de la Agencia de Fronteras Europea, Frontex, que reseñan este tipo de desplazamientos forzados a los migrantes, y a testimonios de trabajadores vinculados a estos proyectos de externalización de la política migratoria europea.  “Las personas que trabajan en estos proyectos nos dijeron que estas operaciones tienen el propósito de hacerle la vida imposible a los migrantes para que después de una, dos, o tres veces de ser desplazados, pidan un retorno voluntario a sus países”, afirma la investigadora de Lighthouse Reports.Otra pista contundente: “La Comisión Europea ha dicho que no puede hacer evaluaciones de derechos humanos cuando se financian proyectos de gestión de migrantes en el extranjero. Esa medida da prueba del carácter de la política de externalización de la gestión migratoria que tiene la UE”, concluye la periodista.Las víctimas son personas negras"Lo que nos están haciendo sigue siendo el sistema de esclavitud", dijo Moussa, migrante camerunés acorralado y detenido en las calles de Sfax (Túnez) y arrojado, luego, al desierto libio en un camión Nissan idéntico a los proporcionados por Alemania e Italia. "No respetan a los seres humanos, no respetan al hombre africano", denuncia Moussa. La investigación periodística subraya que las víctimas son principalmente personas negras. (ver video concedido por Lighthouse Reports ©)“Estas detenciones se hacen con base en el color de la piel de las personas.  La gente puede estar simplemente haciendo su vida en la calle, haciendo cola en una panadería, pueden ser personas negras que ni siquiera desean emigrar, igual se les detiene arbitrariamente. Es una práctica sistemática”, afirma la investigadora Ramalho da Silva."Cuando ven a un negro, van por él", narró a los periodistas Lamine, un guineano de 25 años que fue detenido, golpeado y arrojado al desierto por las fuerzas marroquíes a pesar de tener documentos de refugiado expedidos por el ACNUR, la Agencia de la ONU para los Refugiados.  En 2019, el estadounidense negro Timothy Hucks también fue víctima de una violenta detención por fuerzas financiadas por la U.E. en las calles de Rabat, a pocas manzanas de su casa, tras salir de su apartamento para ir a la tienda. Hucks no pensaba emigrar a ningún lugar.Tras dar a conocerse estas revelaciones del consorcio internacional de periodismo de investigación, la Unión Europea (U.E.) aseguró que no cambiará su política migratoria.