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durée : 00:03:07 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Pratiquer le baisemain. Ôter son chapeau. "Après vous." Autant de faits de politesse qui, au-delà des conventions, traduisent une exigence de respect. Pour le philosophe Alain, ces cérémonies sont essentielles à la vie en société. Mais qu'est-ce que le respect et pourquoi le manifestons-nous ? - réalisation : Riyad Cairat
durée : 01:21:35 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Depuis la nuit des temps les Humains appellent ou conjurent la pluie. Dans cette "Matinée des autres" de 1985, de grandes voix d'intellectuels, d'écrivains de journalistes, dressent un large panorama des rituels de la pluie dans les sociétés humaines : danse, prière, procession, marionnettes... - réalisation : Laurence Millet - invités : Françoise Gründ; Slimane Zeghidour Écrivain et éditorialiste à TV5 Monde.; Jacques Soustelle Homme politique et ethnologue français
Aujourd'hui dans Silicon Carne :- OpenAI qui cherche ENCORE et TOUJOURS plus d'argent. Ils ont besoin visiblement de 400 milliards de dollars pour construire la plus grande infrastructure informatique de l'histoire. - On s'intéresse aussi à Mercor, la startup qui loue des cerveaux pour entraîner les IA des géants comme OpenAI ou Meta. Personne en parle en France mais ils sont passés de 1 à $500M de revenu en seulement un an.- Et puis on parle de F5 Networks, ce géant de la cybersécurité piraté pendant des mois par des hackers d'État. ===================
Alyssia, 15 ans, a rencontré son petit copain, Danny, sur Internet.Après plusieurs jours à tchatter ou à s'envoyer des snaps, ils décident de se rencontrer.C'est l'amour fou.Et par amour, elle se retrouve rapidement sur des sites pour adultes à monnayer ses charmes sous la « protection » de Danny.Alyssia n'est ni idiote ni en rupture avec ses parents, mais elle décide de partir avec son « lover boy ».À la suite du signalement de ses parents, une enquête permet de la retrouver et de la sortir des griffes de son petit ami proxénète.Des cas comme celui d'Alyssia sont plus nombreux qu'on ne l'imagine.Je vous propose une nouvelle conversation avec Najat Arbib, juge au tribunal de première instance de Liège, qui juge de ces affaires de traite des êtres humains, caractérisées par une exploitation économique ou sexuelle, ...Nous avons également évoqué le trafic d'êtres humains, le rôle des passeurs et la façon dont ils sont confondus, parfois condamnés.C'est un plongeon dans un univers cruel et dans la manière dont les juges abordent ces questions.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:42 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Dans le chapitre consacré à La Fontaine, Michel Serres montre comment les fables utilisent l'animalité comme modèle et fantasme. Il révèle que l'humain peut devenir plus monstrueux que tous les vivants, exposant crainte, fragilité et loi du plus fort - réalisation : Luc-Jean Reynaud
AIBA est une association qui lutte contre le gaspillage et qui favorise une consommation plus responsable. Début avril 2025, une recyclerie/ressourcerie nommée Errobil a ouvert ses portes à l'ancien établissement de soins de La Nive sur le site Hirigoinbehera à Itxassou. Concrètement, l'association collecte, répare et remet en circulation des objets de toutes sortes. Nous avons rencontré Elisabeth Charriau, présidente de l'association qui nous présente ce projet . Jatorria : Radiokultura
Qu'allons-nous réellement fêter en 2030 au moment où la Belgique célèbrera ses 200 ans ? Gaea Schoeters répond à l'occasion du dernier Parlement des écrivain.e.s à Bozar (Bruxelles). Merci pour votre écoute Dans quel Monde on vit, c'est également en direct tous les samedi de 10h à 11h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Dans quel Monde on vit sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8524 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Température qui baisse, rythme cardiaque ralenti, métabolisme en mode “économie d'énergie”. C'est ce que font les animaux hibernants. Mais… est-ce possible pour un humain ? Actuellement, la réponse est : pas encore — mais la science y réfléchit sérieusement. Chez certains mammifères — ours, écureuils, marmottes — l'hibernation est un état physiologique naturel appelé torpeur prolongée : leur température corporelle chute, leur métabolisme ralentit jusqu'à des pourcentages très faibles, et l'animal survit des mois sans se nourrir. Le défi, pour les humains, est de recréer ce type de suspension biologique sans déclencher des lésions cérébrales, cardiaques ou vasculaires... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après la rentrée ou un changement de groupe, certains enfants mettent du temps à retrouver leur équilibre… et les soirées peuvent vite tourner au chaos!
durée : 00:59:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1985, les "Nuits magnétiques" proposent une rencontre avec le cinéaste Akira Kurosawa, son producteur Serge Silberman et le directeur de production Ully Pickardt. Kurosawa analyse son oeuvre, dont son dernier film "Ran". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Akira Kurosawa Cinéaste japonais
Dans le balado aujourd'hui : MO nous en apprend sur la pornographie pour aveugle! FOD essaye de vous convaincre de regarder la série Hostel… la série Décadence… la série Conjuration… MO l’échappe en parlant du film Humains centipèdes!
Et si votre dernier dîner recommandé sur TripAdvisor avait été préparé avec un ingrédient interdit ? C'est la question glaçante que soulève TripAdvisor n'a Jamais Vu Ça – Les Plats Étaient Humains, un nouvel épisode de Dans l'Ombre des Légendes Podcast. Ici, nous explorons la frontière entre gastronomie et horreur à travers un récit de restaurant clandestin, La Table Noire, qui aurait servi à ses clients une spécialité aussi macabre qu'inoubliable. Dans ce podcast horreur cannibale, l'horreur prend place dans l'assiette : derrière l'apparence d'un plat de terroir, c'est un morceau d'humain qui se retrouve sous les fourchettes des convives.Cet épisode pousse plus loin l'univers du podcast horreur français en s'ancrant dans une rumeur persistante : un chef masqué, un algorithme complice, et une clientèle entière trompée par la promesse d'une expérience culinaire unique. À travers des témoignages, des extraits d'archives et des rumeurs issues du dark web, nous retraçons la mécanique de ce banquet interdit. La ville devient spectatrice et actrice d'une horreur insoupçonnée, avalant sans le savoir un fragment de cauchemar.La Table Noire, ce n'est pas seulement un mythe : c'est une parabole moderne sur la confiance aveugle que nous accordons aux plateformes. Les légendes urbaines françaises audio nous ont toujours raconté des histoires de repas étranges ou de recettes secrètes, mais ici, les récits creepypasta rejoignent la réalité. Car les archives évoquent bien des disparitions de critiques culinaires, des avis codés laissés sur des forums, et des plats impossibles à identifier lors d'autopsies.Dans ce podcast horreur cannibale, l'immersion est totale : on explore la psychologie des convives fascinés par l'interdit, le rôle des algorithmes dans la dissimulation du crime, et la mécanique du consentement dans un rituel culinaire inhumain. Le récit se nourrit d'éléments qui pourraient appartenir à un podcast horreur basé sur faits réels, brouillant les pistes entre enquête documentaire et cauchemar fictionnel.
durée : 00:02:27 - Bientôt chez vous - La kératine contenue dans les cheveux offre un engrais naturel pour les plantes. L'ONG Matter of Trust Japan a pensé à recycler ceux des salons de coiffure pour l'agriculture. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous rentrez chez vous, votre chien accourt, il plonge son regard dans le vôtre. Rien qu'un échange de regards. Et pourtant, à ce moment précis, votre cerveau libère une hormone… l'ocytocine.L'ocytocine, on la surnomme « l'hormone de l'amour » ou « de l'attachement ». On la connaît pour son rôle dans le lien mère-enfant, dans les relations amoureuses, ou encore dans la confiance entre deux personnes. Mais en 2005, une équipe de chercheurs japonais menée par Takefumi Kikusui a montré que cette même molécule joue aussi un rôle clé dans nos rapports… avec les animaux.L'expérience est simple : on observe des propriétaires interagir avec leur chien. On mesure leur taux d'ocytocine avant et après. Résultat ? Quand un humain fixe son chien dans les yeux, son taux d'ocytocine grimpe. Et, incroyable : celui du chien aussi. C'est une boucle hormonale, un cercle vertueux qui unit les deux espèces, presque comme un langage silencieux.Mais pourquoi est-ce si particulier ? Parce que l'ocytocine ne se contente pas de donner du bien-être. Elle renforce la confiance, la coopération, le sentiment d'attachement. C'est elle qui transforme un simple animal en compagnon, en membre de la famille.Cette découverte a aussi une dimension évolutive. Au fil des millénaires, les chiens capables de créer ce « dialogue hormonal » avec l'homme ont été privilégiés : mieux nourris, mieux protégés. Et en retour, nous, humains, avons trouvé dans ces animaux des alliés fidèles. L'ocytocine aurait donc contribué à sceller un pacte vieux de dizaines de milliers d'années.Depuis, d'autres études l'ont confirmé : caresser un chien ou un cheval, jouer avec un chat, ça stimule cette même hormone. Cela explique aussi pourquoi les thérapies assistées par les animaux peuvent réduire l'anxiété, le stress ou la dépression.Alors, la prochaine fois que vous croisez le regard de votre chien, souvenez-vous : ce n'est pas seulement une émotion. C'est une réaction biologique. Une petite molécule, l'ocytocine, qui traverse les frontières entre espèces et nous rappelle à quel point le lien avec les animaux est profondément inscrit… jusque dans notre cerveau. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
היום אנחנו עוסקים בשאלה שמעסיקה כולנו: מה קורה כשמכונות לא רק חושבות, אלא גם פועלות בעצמן? מה יקרה כשהמכונות יהיו למעשה עובדים בארגונים?איתי היום ניסן ירון, מייסד Humains.com ואחד מהמומחים המובילים בתחום ה-AI Agents. ניסן לא רק מרצה על העתיד - הוא בונה אותו. הפלטפורמה שלו מייצרת ומנהלת סוכני AI אוטונומיים שכבר היום עובדים במקומות עבודה אמיתיים.בפרק הזה נדבר על השאלות הגדולות: איך נראים העובדים הדיגיטליים של המחר? ומה זה אומר על עתיד העבודה שלנו? בואו נתחיל.אם הפרק הזה עזר לכם להבין טוב יותר את עולם ה-AI Agents והעתיד שלנו איתם, אשמח אם תעשו subscribe לפודקסט - זה ממש עוזר לנו להמשיך להביא לכם תכנים איכותיים ומעודכנים ואורחים מעניינים על הטכנולוגיות שמעצבות את העתיד.תודה רבה לכם על האזנה, ובפרק הבא נמשיך לחקור את גבולות הטכנולוגיה והאנושות. עד אז, שיהיה לכולנו טוב!
durée : 00:27:54 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Radu Jude a tourné 28 films en 20 ans de carrière, entre fictions, documentaires, longs et courts-métrages, films expérimentaux... la star du cinéma indépendant roumain revient avec Kontinental' 25, une tragicomédie grinçante qui ausculte les failles de nos sociétés contemporaines. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Radu Jude Cinéaste et scénariste roumain
Comment sentons-nous ? Même si nous avons moins de récepteurs olfactifs que d'autres animaux, notre sens de l'odorat, en lien direct avec nos affects, notre mémoire, nos goûts et nos dégoûts est très complexe. Comment décrypter ces mécanismes ? Comment vous sentez... vous ? Intéressons-nous au plus énigmatique de nos sens : l'odorat. Comment sentons-nous ? Comment décrypter les mécanismes de l'olfaction ? Pourquoi ce sens essentiel, source de tous nos goûts et de tous nos dégoûts, relié à nos affects et notre mémoire, qui guide chaque instant de notre vie, est-il si méconnu ? Et si complexe à étudier ? Avec Claire de March, chimiste, lauréate du prix Irène Joliot-Curie 2023 dans la catégorie « Jeune femme scientifique ». Elle est parvenue à reproduire la toute première structure tridimensionnelle expérimentale d'un récepteur olfactif. Musiques diffusées dans l'émission Zenzile - Smell The Roses Obongjayar - Gasoline.
Comment sentons-nous ? Même si nous avons moins de récepteurs olfactifs que d'autres animaux, notre sens de l'odorat, en lien direct avec nos affects, notre mémoire, nos goûts et nos dégoûts est très complexe. Comment décrypter ces mécanismes ? Comment vous sentez... vous ? Intéressons-nous au plus énigmatique de nos sens : l'odorat. Comment sentons-nous ? Comment décrypter les mécanismes de l'olfaction ? Pourquoi ce sens essentiel, source de tous nos goûts et de tous nos dégoûts, relié à nos affects et notre mémoire, qui guide chaque instant de notre vie, est-il si méconnu ? Et si complexe à étudier ? Avec Claire de March, chimiste, lauréate du prix Irène Joliot-Curie 2023 dans la catégorie « Jeune femme scientifique ». Elle est parvenue à reproduire la toute première structure tridimensionnelle expérimentale d'un récepteur olfactif. Musiques diffusées dans l'émission Zenzile - Smell The Roses Obongjayar - Gasoline.
Un parcours lumineux dans Tite 2:11–3:8 : Paul confie à Tite le cœur de l'Évangile : le concept révolutionnaire de "la grâce du Dieu sauveur pour tous". Une théologie simple et forte qui libère, éduque et met en mouvement vers la sagesse, la justice et la piété, pour un bien concret « beau et utile aux humains ». Texte et vidéo : https://jecherchedieu.ch/temoignages/la-grace-du-dieu-sauveur-pour-tous-les-humains-tite-2-11-3-8-evangile-et-salut-pour-tous/
Éléphants, pigeons, sangliers et même chiens ont appris à se méfier de l'espèce humaine quand elle lui veut du mal. Parlez-vous l'éléphant ? Les éléphants, eux, reconnaissent les langues et dialectes humains. L'expérience a été menée au Kenya auprès de dizaines de troupeaux. On diffusait par haut-parleur des phrases du peuple des Massaï, et d'autres de l'ethnie des Kamba. Pas de changement notable de comportement avec les Kamba, pacifistes. En revanche, face aux voix des Massaï, les éléphants devenaient nerveux, avant de se regrouper, identifiant un danger, celui des Massaïs qui tuent régulièrement des pachydermes. Un éléphant se trompe rarement. À lire aussiLes barrissements des éléphants comparables à des noms pour se désigner, selon une récente étude Les pigeons, eux, gardent la mémoire des visages. C'est ce qu'ont montré deux chercheurs français. L'un, bienveillant, donnait à manger aux pigeons, alors que l'autre s'amusait à leur faire peur, à les chasser. Un mois plus tard, les deux scientifiques sont revenus. Les pigeons se sont tout de suite approchés du gentil, en évitant le méchant. La corneille, l'un des oiseaux les plus intelligents, est aussi capable de se souvenir de ceux qui leur font du mal, ou les dérangent, comme nous le racontait le biologiste Frédéric Jiguet, qui a l'habitude d'attraper des corneilles pour les baguer. « Je capture des corneilles, ici, au Jardin des plantes depuis quelques années, et des individus me reconnaissent et sonnent l'alarme auprès de leurs congénères pour signaler que le méchant monsieur est là, témoigne le chercheur au Museum national d'histoire naturelle. En 2020, on a eu un confinement assez long, je suis revenu début juin, avec un masque. J'étais à peine entré dans le jardin qu'une corneille donnait l'alerte à toutes les autres en disant : "Cette personne est là, elle est revenue !" » Il y a aussi le cas des Bernaches, des oies migratrices, qui comprennent très bien le sens d'un coup de fusil. On s'est aperçu qu'elles avaient appris à contourner les zones de chasse. C'est aussi pour éviter de croiser des humains que des mammifères sont devenus nocturnes, comme les cerfs, les sangliers. Un apprentissage collectif. Mais quand la chasse est interdite, on les voit plus souvent le jour. On termine avec une histoire de pizza et de chien, « le meilleur ami de l'homme ». Un chien agressif en présence de certains humains, mais pas tous, sans qu'on sache pourquoi. Jusqu'à ce qu'on comprenne que chaque personne à ses yeux indésirables venait de manger de la pizza. Les chiens sentent très bien les odeurs, et pas seulement celle de la mozzarella : leur odorat est 40 fois plus développé que le nôtre. Mais pourquoi une telle phobie de la pizza chez ce chien ? C'est un traumatisme lié à l'enfance ; le jeune chiot avait reçu un coup de pied d'un livreur de pizza. Et depuis, il associait l'odeur de la pizza à un danger. La question de la semaine
durée : 00:05:20 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - 1er sujet : 7 ressortissants chinois ont été condamnés à 20 ans de prison en Afrique du Sud pour avoir forcé 91 Malawites, dont 37 enfants, à travailler dans un atelier textile clandestin. 2e sujet : Apple a-t-il adapté son IA générative à la culture de l'ère Trump ? Politico pose la question.
durée : 00:58:32 - Le Book Club - par : Marie Richeux - Que serait Los Angeles dans un futur sans humains ? C'est la question que pose le nouveau roman de Céline Minard. Dans un décor post-apocalyptique, où la vie est contrainte de se réinventer, la Cité des anges abrite des paysages luxuriants où plantes et animaux créent de nouvelles solidarités. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Céline Minard Écrivaine
En cette année de la mer, « La Story » le podcast d'actualité des « Echos » consacre une série aux problématiques et aux personnalités des océans. Pour ces deux derniers épisodes Pierrick Fay et son invité l'anthropologue écrivain Fabien Clouette reviennent sur les liens que tissent certains animaux marins avec les humains.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juillet 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Fabien Clouette (anthropologue, chargé de recherches au CNRS et auteur du livre « Des vies océaniques » aux éditions du Seuil). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : DR. Sons : Auray Télé, 30 Millions d'Amis, France 3 Bretagne, XO Éditions, Longitude 181, France 2. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a 80 ans, les bombardements américains de deux villes japonaises Hiroshima et Nagasaki faisaient des dégâts incommensurables. Humains, matériels. S'ils ont généré la reddition du Japon face aux États-Unis, le traumatisme est toujours là. À l'échelle mondiale, 80 ans après, l'arme nucléaire connait une grave crise de prolifération alors qu'après la fin de la Guerre froide, le facteur nucléaire semblait avoir perdu de son acuité. Selon l'Institut International de Recherche sur la Paix de Stockholm, le SIPRI, une nouvelle course aux armements nucléaires est en train d'émerger, à un moment où les régimes de contrôle des armements sont gravement affaiblis. La quasi-totalité des neuf États dotés de l'arme nucléaire – États-Unis, Russie, Royaume-Uni, France, Chine, Inde, Pakistan, Corée du Nord et Israël, ont poursuivi ces derniers mois leurs programmes intensifs de modernisation nucléaire. On recense actuellement 12.241 ogives qui, presque toutes, appartiennent à la Russie ou aux États-Unis, mais également à la Chine. La Chine qui possèderait désormais au moins 600 ogives nucléaires et dont l'arsenal nucléaire croît plus rapidement que celui de tout autre pays. 12.241 ogives, c'est l'équivalent de 360.000 bombes d'Hiroshima. L'ère de la réduction du nombre d'armes nucléaires dans le monde, en cours depuis la fin de la Guerre froide, touche à sa fin. La tendance actuelle est à l'augmentation des arsenaux nucléaires, à l'exacerbation de la rhétorique nucléaire et à l'abandon des accords de contrôle des armements. En février 2026, expirera le Traité New START de 2010 sur les mesures visant à réduire et à limiter davantage les armements stratégiques offensifs. Avec l'invasion de la Crimée par la Russie en 2014, l'environnement stratégique mondial s'est dégradé en même temps que s'est exacerbée la compétition stratégique entre les États-Unis et la Chine et dégradée la situation sécuritaire au Moyen-Orient. Les bombardements israéliens et américains sur l'Iran au mois de Juin sont venus confirmer que la question nucléaire était bel et bien revenue sur le devant de la scène internationale. Plus que jamais, le risque de prolifération se pose au risque de désagréger l'ordre nucléaire. La sécurité mondiale s'en trouve détériorée d'autant. Invités : Héloïse Fayet, chercheuse à l'Institut français des Relations Internationales et chercheuse associée à l'Institut français de Géopolitique, spécialiste des questions nucléaires Benjamin Hautecouverture, maître de recherche à la Fondation pour la Recherche Stratégique Jean-Marie Colin, directeur d'ICAN France, campagne internationale pour l'abolition des armes nucléaires. Prix Nobel de la Paix 2017.
durée : 02:01:48 - Les Nuits de France Culture - par : Lydia Ben Ytzhak - "En plantant des arbres, nous semons des graines de paix", déclare Wangari Maathai, première Africaine lauréate du prix Nobel de la paix. Fondatrice du Mouvement de la ceinture verte, elle lutte pour l'environnement et contre la pauvreté. En 2004, Radio Libre retrace son parcours et son engagement. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Wangari Maathaï
durée : 00:03:05 - La planète des sciences - par : Fabienne Chauvière - Retour sur deux récentes études qui montrent combien il est difficile d'interpréter les traces laissées par les humains de la préhistoire : la découverte d'une empreinte digitale laissée par un néandertalien et ce qui pourrait être une maquette en 3D gravée dans la roche par des Sapiens. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Toi aussi tu t'es déjà demandé comment le monde était apparu ? Et qu'est-ce qu'il y avait sur Terre avant les Humains et même avant les dinosaures ?Si tu es curieux de connaître la réponse, je t'invite à écouter Raconte-moi la naissance du monde, une série audio de Bayard Jeunesse pour tout savoir sur notre planète depuis sa création !Retrouve Lucie, Luca et leur grand-père dans cette fantastique aventure immersive !A écouter dès maintenant sur les plateformes BayaM, Spotify, Audible et tous les audiolibraires en cliquant sur l'url : https://lnk.to/rmlndPORaconte-moi la Naissance du monde, série en 10 épisodesComme de nombreux enfants, Lucas et Lucy se posent des questions sur nos origines et sur le monde qui nous entoure.Une petite sœur (Morgane) vient d'arriver dans leur famille. Cette naissance porte une part de mystère et de fascination. Elle semble si fragile, cette petite sœur née au cœur d'une nuit d'automne !Mais comment deux petites cellules peuvent donner un bébé humain ? Et comment la vie s'est-elle développée sur notre planète ? D'où venons-nous ? Qu'y avait-il avant notre naissance, avant les humains ? Avant la Terre ?Face aux questions de ses petits-enfants, leur grand-père les embarque dans une histoire fascinante : celle de la naissance du monde.Au gré de leurs discussions et de leurs balades dans la nature environnante, il va leur faire prendre conscience de la formidable richesse de notre Terre, de sa fragilité, et de l'incroyable complexité de nos origines.Entre vertige et émerveillement…Cette série est une adaptation du livre de Bertrand Fichou "La naissance du monde en 100 épisodes" ; Adaptation audio : Thomas Le Petit Corps ; Illustration : Florent Grattery ; Interprètes voix : Mathieu Buscatto, Pauline Ziadé, Julie Politi ; Musique : Alexandre Ferreira ; Réalisation : Alexandre Ferreira ; Production exécutive : Billy the Cats - Julien Moch ; Productrice : Hélène Loiseau pour Bayard Jeunesse 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je suis Anne Margalin, Créatrice de l'univers de Sweet Papi Podcast, fondatrice d'un centre de ressources positives pour les aidants où nous prenons soin de nous et de nos parents en perte d'autonomie, avec bienveillance et sourire
durée : 00:13:03 - L'invité d'un jour dans le monde - Alors que les affrontements entre l'Iran et Israël entrent dans leur cinquième journée, la société iranienne oscille entre terreur et incertitudes quand à leur avenir. Entretien avec Chirinne Ardakani, avocate de la prix Nobel de la Paix Narges Mohammadi et fondatrice de l'association Iran Justice.
L'enfance dure exceptionnellement longtemps chez les humains par rapport à la majorité des autres espèces animales, et cette particularité s'explique par une combinaison de facteurs évolutifs, biologiques, cognitifs et sociaux.Tout d'abord, la raison principale réside dans le développement du cerveau humain, qui est extrêmement complexe et demande beaucoup de temps pour arriver à maturité. À la naissance, le cerveau humain ne représente qu'environ 25 % de sa taille adulte, alors que chez de nombreux autres mammifères, il atteint déjà 60 à 90 %. Cette lente croissance postnatale permet une grande plasticité cérébrale, c'est-à-dire une capacité d'adaptation et d'apprentissage étendue. Le cerveau de l'enfant reste flexible pendant des années, ce qui lui permet d'acquérir le langage, des connaissances culturelles, des compétences sociales et des comportements complexes.Ensuite, sur le plan évolutif, les humains ont adopté une stratégie différente de celle d'autres espèces. Là où certains animaux doivent être autonomes très rapidement pour survivre, l'humain mise sur un développement lent mais riche en apprentissage. Cette stratégie, dite « K-sélective », favorise un faible nombre d'enfants, des soins parentaux intensifs, une longue dépendance, mais un fort potentiel adaptatif à long terme.Cette longue enfance est rendue possible par la structure sociale humaine. Les humains vivent en groupes et pratiquent souvent l'élevage coopératif, c'est-à-dire que d'autres membres du groupe – comme les grands-parents ou les frères et sœurs – participent à l'éducation des enfants. Cela permet à l'enfant de rester dépendant plus longtemps sans que cela mette en danger sa survie.Enfin, l'humain est une espèce profondément culturelle. L'enfance ne sert pas seulement à grandir physiquement, elle est aussi un temps d'acculturation. Pendant cette période, l'enfant apprend à parler, à comprendre les règles sociales, à manipuler des outils, à imiter des comportements et à intégrer des normes morales. Le jeu, l'observation et l'expérimentation sociale font partie intégrante de ce long apprentissage.En résumé, l'enfance dure si longtemps chez l'humain parce que notre cerveau met du temps à se développer, notre espèce a fait le choix évolutif de privilégier l'apprentissage plutôt que l'autonomie précoce, et notre culture nécessite un long temps de préparation. C'est un investissement évolutif qui permet aux humains de s'adapter à un monde complexe, changeant et culturellement riche. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:24:52 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Le soleil inspirait aux peuples précolombiens une forme de terreur sacrée au point d'organiser des rituels de sacrifices humains pour apaiser les dieux. Plusieurs spécialistes du Mexique ancien nous livrent la vision du monde des Aztèques et en particulier leur mysticisme inquiet et violent. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Alain Musset Géographe à l'Institut universitaire de France; Serge Gruzinski Directeur d'études à l'Ehess.
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Barbara Lefebvre, Eléonore Lemaire et Antoine Diers.
Nous sommes à la fin du VIIIe siècle avant J.-C., époque à laquelle fut composée l'Iliade, l'épopée attribuée à Homère. le sanglier y occupe une place symbolique forte, illustrée, par exemple, par la description détaillée d'un casque guerrier fabriqué en défenses de sanglier. Au-delà de l'équipement militaire, le sanglier est un modèle de courage et de férocité dans la littérature épique grecque, souvent utilisé dans des comparaisons pour glorifier les héros comme Hector, Ulysse ou Ajax. La chasse au sanglier elle-même constitue un rite d'initiation crucial pour les jeunes hommes, leur permettant de prouver leur valeur virile et de marquer leur passage à l'âge adulte. L'importance symbolique du sanglier n'est pas limitée à la Grèce ainsi dans le monde étrusque, il est au cœur de l'idéologie aristocratique. Chez les Celtes de l'âge du Fer, il est agressif et viril, tandis qu'en Égypte ancienne, son statut est complexe, tantôt impur, tantôt propre à la consommation. Cette diffusion symbolique de l'image du sanglier et de son descendant, le cochon, s'inscrit dans une longue histoire commune avec l'humain qui débute avec la domestication de l'animal il y a environ 8000 ans en Anatolie orientale et en Chine. Comment cette image a-t-elle évolué à travers les différentes cultures et époques ? Quels indices archéologiques, au-delà des ossements, peuvent nous aider à comprendre les pratiques d'élevage et de consommation anciennes ? De quelle manière l'hybridation et la domestication ont-elles transformé notre rapport à l'animal ? Des bords du Nil à la forêt ardennaise, partons à la rencontre des suidés… Eugène Warmenbol, professeur à l'ULB, chaire d'archéologie protohistorique du Nord-Ouest de l'Europe. Exposition "Sangliers et cochons dans la Préhistoire et l'Antiquité", au Musée du Malgré-Tout, à Treignes. Sujets traités : cochons, sangliers, Homère, Hector, Ulysse , Ajax, rite, Grèce, Celtes, domestication, Préhistoire, Antiquité Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:40 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Le Worldwide Soundscapes est un catalogue qui rassemble les sons du vivant captés par suivi acoustique passif. Sa première synthèse mondiale démontre un lien entre augmentation du bruit humain et recul de la biophonie.
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Pour écouter mon podcast Choses à Savoir Culture Générale:Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Spotify:https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3?si=e794067703c14028----------------------------La température corporelle humaine "normale", établie à 37 °C par le médecin allemand Carl Wunderlich en 1851, n'est aujourd'hui plus d'actualité. Plusieurs études récentes confirment que cette valeur a progressivement diminué au fil des deux derniers siècles. En moyenne, les hommes modernes ont vu leur température chuter de 0,59 °C et les femmes de 0,32 °C. Ainsi aujourd'hui la température moyenne est aujourd'hui autour de 36,6 °C, voire un peu moins. Cette évolution, bien que surprenante à première vue, s'explique scientifiquement par des facteurs biologiques et environnementaux.L'une des hypothèses principales repose sur la baisse généralisée des niveaux d'inflammation chronique dans la population. En effet, au XIXe siècle, les infections bactériennes étaient beaucoup plus fréquentes (tuberculose, syphilis, maladies dentaires, etc.). Elles provoquaient des inflammations durables, stimulant le système immunitaire et augmentant la température de base du corps. Or, avec l'amélioration des conditions sanitaires, l'accès aux antibiotiques, à la vaccination et à une meilleure hygiène, le fardeau infectieux a nettement diminué.Une étude emblématique publiée en 2020 dans la revue eLife par le Pr. Julie Parsonnet et son équipe de l'université de Stanford a confirmé ce phénomène. En analysant plus de 677 000 données de température corporelle collectées aux États-Unis entre 1862 et 2017, les chercheurs ont observé une baisse constante de la température moyenne, décennie après décennie. Selon eux, la diminution de l'inflammation systémique et de l'activité du système immunitaire expliquerait en grande partie cette évolution.Mais ce n'est pas tout : notre mode de vie moderne joue aussi un rôle essentiel. Les êtres humains vivent aujourd'hui dans des environnements thermiquement plus stables et confortables, grâce au chauffage central et à la climatisation. Cette stabilité thermique réduit le besoin pour le corps de réguler activement sa température en produisant de la chaleur – un processus métabolique coûteux en énergie. Moins sollicité, le métabolisme de base ralentit, ce qui peut entraîner une baisse légère mais mesurable de la température corporelle.D'autres facteurs sont évoqués, comme la réduction de l'activité physique, l'évolution de la masse corporelle moyenne, ou encore les modifications de l'alimentation. L'ensemble de ces changements contribue à redéfinir la "norme" physiologique humaine.En somme, la baisse de notre température corporelle est le reflet d'une transformation profonde de notre santé, de notre environnement et de notre mode de vie. Elle ne témoigne pas d'un dysfonctionnement, mais plutôt d'une adaptation biologique à un monde moins hostile et plus maîtrisé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:56:01 - LSD, la série documentaire - par : Stéphane Bonnefoi - Au XIXe et jusqu'au milieu du XXe siècle, les zoos humains vont mettre en scène l'infériorité des peuples colonisés, tant en Europe qu'au Japon ou aux Etats-Unis. Et permettre ainsi une large diffusion de ce que nous nommons, depuis le début du XXe siècle, le racisme. - réalisation : Diphy Mariani
La température corporelle humaine "normale", établie à 37 °C par le médecin allemand Carl Wunderlich en 1851, n'est aujourd'hui plus d'actualité. Plusieurs études récentes confirment que cette valeur a progressivement diminué au fil des deux derniers siècles. En moyenne, les hommes modernes ont vu leur température chuter de 0,59 °C et les femmes de 0,32 °C. Ainsi aujourd'hui la température moyenne est aujourd'hui autour de 36,6 °C, voire un peu moins. Cette évolution, bien que surprenante à première vue, s'explique scientifiquement par des facteurs biologiques et environnementaux.L'une des hypothèses principales repose sur la baisse généralisée des niveaux d'inflammation chronique dans la population. En effet, au XIXe siècle, les infections bactériennes étaient beaucoup plus fréquentes (tuberculose, syphilis, maladies dentaires, etc.). Elles provoquaient des inflammations durables, stimulant le système immunitaire et augmentant la température de base du corps. Or, avec l'amélioration des conditions sanitaires, l'accès aux antibiotiques, à la vaccination et à une meilleure hygiène, le fardeau infectieux a nettement diminué.Une étude emblématique publiée en 2020 dans la revue eLife par le Pr. Julie Parsonnet et son équipe de l'université de Stanford a confirmé ce phénomène. En analysant plus de 677 000 données de température corporelle collectées aux États-Unis entre 1862 et 2017, les chercheurs ont observé une baisse constante de la température moyenne, décennie après décennie. Selon eux, la diminution de l'inflammation systémique et de l'activité du système immunitaire expliquerait en grande partie cette évolution.Mais ce n'est pas tout : notre mode de vie moderne joue aussi un rôle essentiel. Les êtres humains vivent aujourd'hui dans des environnements thermiquement plus stables et confortables, grâce au chauffage central et à la climatisation. Cette stabilité thermique réduit le besoin pour le corps de réguler activement sa température en produisant de la chaleur – un processus métabolique coûteux en énergie. Moins sollicité, le métabolisme de base ralentit, ce qui peut entraîner une baisse légère mais mesurable de la température corporelle.D'autres facteurs sont évoqués, comme la réduction de l'activité physique, l'évolution de la masse corporelle moyenne, ou encore les modifications de l'alimentation. L'ensemble de ces changements contribue à redéfinir la "norme" physiologique humaine.En somme, la baisse de notre température corporelle est le reflet d'une transformation profonde de notre santé, de notre environnement et de notre mode de vie. Elle ne témoigne pas d'un dysfonctionnement, mais plutôt d'une adaptation biologique à un monde moins hostile et plus maîtrisé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand, et où, les premiers humains sont-ils apparus sur Terre ? Si les premiers Homo sapiens sont bien apparus il y a environ 300 000 ans en Afrique, comment se sont-ils ensuite déplacés jusqu'à occuper aujourd'hui tous les continents. Et pourquoi ont-ils eu besoin ou envie de faire de si grands voyages au rythme de la marche ? Grâce et les Petits Curieux de sciences – Antonia, Victor, Mathis, Renan et Elsa – ont rencontré Christine Verna, paléoanthropologue au Muséum national d'histoire naturelle. “Curieux de sciences” est une aventure sonore qui entraîne les enfants dans l'univers fascinant de la science. Elle dévoile la rigueur et les surprises qui accompagnent les découvertes scientifiques, tout en stimulant l'imaginaire et la curiosité. Crédits : Ce podcast est coproduit par le magazine Images Doc (Bayard Jeunesse) et le Muséum national d'Histoire naturelle. Direction éditoriale : Bertrand Fichou. Comité scientifique du Muséum : Ronan Allain, Line Le Gall, Jean-Jacques Bahain. Chercheuse invitée : Christine Verna. Directeur de production : Julien Moch. Journaliste et hoste : Grâce Leplat. Comédiens : Julien Gueho, Lucille Boudonnat et Pauline Ziadé. Production exécutive : Billy the Cast. Réalisation : Benoît Laur. Musiques : Emmanuel Viau et Benoît Laur. Création visuelle : Camille Ferrari. Coordination Muséum : Claire Gonçalves. Productrice : Hélène Loiseau. Avec la complicité des élèves de CM2 de l'école Félix Faure, Paris 15e, année 2024-25Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, PPC et Alexandre décortiquent sans langue de bois les transformations que l'IA impose au monde du travail, aux compétences humaines et aux choix politiques à venir. Remplacement ou collaboration ? Quelle valeur ajoutée restera aux humains ? Faut-il tout réguler, tout encadrer, ou laisser l'IA avancer sans frein ?Un échange sans bullshit sur les métiers de demain, l'avenir de l'éducation, la cohabitation homme-machine… et les dérives possibles si on ne garde pas la main. Vous entendrez aussi une IA qui parle, relance, s'adapte, et s'invite à la table. Littéralement.À écouter si vous vous demandez :• Quels métiers vont survivre à l'automatisation ?• Comment faire bosser une IA avec vous, pas à votre place ?• Peut-on réguler sans tuer l'innovation ?• Et si l'IA nous forçait à redevenir… plus humains ?Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Sahara est hostile aujourd'hui, mais il a connu des périodes plus humides. Il y a environ 300 000 ans, cela a permis à des humains préhistoriques d'habiter ce qui est actuellement un désert. On le sait grâce à toutes les traces qu'ils ont laissées : pierres taillées, peintures ou gravures sur les parois rocheuses. Alice Leplongeon explique comment on peut comprendre le mode de vie de ces premiers humains à partir des découvertes archéologiques qu'elle fait dans ce désert. Grâce et les Petits Curieux de sciences – Nathan, Gabin, Inès et Insaf – ont rencontré Alice Leplongeon, archéologue au Muséum national d'histoire naturelle. “Curieux de sciences” est une aventure sonore qui entraîne les enfants dans l'univers fascinant de la science. Elle dévoile la rigueur et les surprises qui accompagnent les découvertes scientifiques, tout en stimulant l'imaginaire et la curiosité. Crédits : Ce podcast est coproduit par le magazine Images Doc (Bayard Jeunesse) et le Muséum national d'Histoire naturelle. Direction éditoriale : Bertrand Fichou. Comité scientifique du Muséum : Ronan Allain, Line Le Gall, Jean-Jacques Bahain. Chercheuse invitée : Alice Leplongeon. Directeur de production : Julien Moch. Journaliste et hoste : Grâce Leplat. Comédiens : Julien Gueho, Lucille Boudonnat et Pauline Ziadé. Production exécutive : Billy the Cast. Réalisation : Benoît Laur. Musiques : Emmanuel Viau et Benoît Laur. Création visuelle : Camille Ferrari. Coordination Muséum : Claire Gonçalves. Productrice : Hélène Loiseau. Avec la complicité des élèves de CM2 de l'école Félix Faure, Paris 15e, année 2024-25Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, revivez l'effroyable crash du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571. Autrement appelé le drame de la Cordillère des Andes, cet accident aéronautique aura marqué le milieu des années 70. Véritable tragédie humaine, cette catastrophe est aussi une incroyable histoire de survie. Joignez-vous alors à nous pour découvrir cette effroyable épopée. Des restes humains comme dernier repas Depuis maintenant quelques jours, une idée sordide circule parmi eux… Une idée qui les ferait définitivement basculer dans l'immoralité absolue. Mais il est question de vie ou de mort, et pour survivre, ils envisagent l'impardonnable : manger les cadavres. Jusqu'à présent, l'idée ne faisait pas l'unanimité. Mais aujourd'hui… Quelque chose en eux s'est brisé. Le monde entier les croit morts. Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [Les oubliées de l'histoire] Valentina Terechkova, la première femme dans l'espace [Les oubliées de l'histoire] Madame de Staël, la femme qui défia Napoléon [Les oubliées de l'histoire] Sophie Scholl, l'héroïne de la Résistance allemande [Les oubliées de l'histoire] Joséphine Baker, du ghetto américain au Panthéon Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Jean Gabriel Rassat) Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:05:01 - Avec sciences - par : Alexandre Morales - Une nouvelle étude tout juste parue dans Science démontre la capacité des bonobos à faire des vocalisations complexes, à la manière dont les humains font des phrases.
durée : 00:05:02 - Avec sciences - par : Alexandre Morales - Une récente publication parue dans Communications Biology démontre l'importance de l'entraînement des humains pour améliorer le décodage de la parole imaginée par une interface cerveau-machine. - invités : Anne-Lise Giraud Neuroscientifique, spécialiste du langage et de ses pathologies
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durée : 00:03:07 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Pratiquer le baisemain. Ôter son chapeau. "Après vous." Autant de faits de politesse qui, au-delà des conventions, traduisent une exigence de respect. Pour le philosophe Alain, ces cérémonies sont essentielles à la vie en société. Mais qu'est-ce que le respect et pourquoi le manifestons-nous ? - réalisation : Riyad Cairat
Au XIXe siècle, préserver les êtres vivants devient un argument pour légitimer la révolution industrielle. Humains et animaux partagent alors les tâches : tirer, moudre, pomper. Le moteur animal coexiste longtemps avec les premières machines à énergie fossile, avant d'être relégué au rang d'archaïsme. François Jarrige, auteur de La Ronde des Bêtes (La Découverte), explore cette histoire effacée du travail partagé.
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durée : 00:03:50 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Face aux événements qui nous sidèrent, l'histoire éclaire leurs causes et leurs enchaînements. Mais au-delà des faits, elle révèle aussi les représentations que les humains se font de leur place dans le temps et dans le monde. En tant qu'objet de connaissance, peut-elle prévenir la guerre ? - réalisation : Riyad Cairat
durée : 00:03:14 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Ce spectacle en miroir inversé, interroge les liens entre les agents conversationnels qui se perfectionnent et les humains frappés par les maladies de l'oubli, ces solitudes peuvent-elles se consoler ?
