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La dépendance à la voiture individuelle en banlieue est un défi climatique majeur. Dans Soluble(s), Carlos Holguin, cofondateur de SuburVAN, dévoile une solution prometteuse : Rocq-Express, une navette électrique reliant Rocquencourt (78) à la gare de Vaucresson (92) en seulement 10 minutes.Gratuit et sur réservation, ce service testé en Île-de-France réduit les émissions de CO2 de 99 % en remplaçant plus de 70 véhicules par jour. Une réponse concrète pour les 14 millions de Français vivant à proximité d'une gare, mais souvent contraints d'utiliser leur voiture.SuburVAN ne s'arrête pas là. En s'appuyant sur 30 ans de recherche française en conduite autonome, l'équipe vise des navettes de niveau 4 dès fin 2025, capables de rouler sans intervention humaine sur des trajets prédéfinis, sous supervision. D'ici 2027, l'objectif est l'autonomie totale (niveau 5), avec une supervision à distance.Les défis sont nombreux : fiabilité technique, cadre réglementaire strict et sécurité. Pourtant, l'acceptabilité semble acquise, avec 50 000 usagers ayant testé leurs prototypes dans 20 villes européennes.[Lire l'article complet sur le site du podcast : https://csoluble.media/epsode/les-navettes-autonomes-la-cle-pour-une-mobilite-periurbaine-plus-verte/ ]Les banlieues, conçues pour l'automobile, sont un casse-tête pour les transports publics. Les bus, lents et peu flexibles, peinent à rivaliser avec la voiture. Rocq-Express propose une alternative rapide et écologique, reliant les habitants aux gares pour rejoindre La Défense en 34 minutes ou Saint-Lazare en 46. Soutenu par la Région Île-de-France, ce projet incarne une mobilité collective et durable.EcoutezPOUR ALLER PLUS LOIN Visiter le site de SuburVAN : https://www.suburvan.com/ TIMECODES00:00 Introduction01:33 Le parcours de Carlos Holguin 03:25 La France, pionnière du véhicule autonome05:19 SuburVan : Le concept et le problème ciblé 08:10 Pourquoi les banlieues sont-elles si dépendantes de la voiture ? 10:16 L'expérimentation Rocq-Express : comment ça marche ? 12:56 Le modèle économique 15:21 Les défis du véhicule autonome (niveau 4) 21:21 L'acceptabilité des passagers : un faux problème ?24:03 Pourquoi le transport collectif est la bonne échelle pour l'autonomie ?25:33 L'intelligence artificielle et la sécurité des navettes autonomes 28:15 Fin CITATIONS Carlos Holguin, cofondateur de SuburVAN au micro de Soluble(s) : "En France, 95% des actifs en dehors des grandes villes utilisent la voiture pour aller au travail.""Sur les dix-huit millions de personnes qui vont travailler en voiture, il y en a quatorze millions en France qui sont à dix minutes en voiture d'une gare."“[Les banlieues] Ce sont des territoires qui ont été développés dans les années soixante où l'État voulait pousser l'industrie automobile et donc, la France a créé des quartiers pavillonnaires où les habitants sont très dispersés"Mots-clés : navette électrique, mobilité durable, SuburVan, mobilité, Rocquencourt, Vaucresson, véhicule autonomeSi vous aimez cet épisode, vous aimerez aussi (et vice-versa ;-) :Chaleur Humaine - La Terre au Carré - Basilic - Les Pieds sur terre - Sur Le Fil - Impact Positif Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 5 juin 2013, à l'occasion d'une vente privée de vêtements dans le centre de Paris, des militants antifascistes ont déclenché une rixe avec un groupe de skinheads d'extrême droite, entraînant le décès du militant « antifa » Clément Méric. Sa mort a soulevé une vague d'indignation et a posé la question de l'interdiction des groupes ultranationalistes.Un avant-goût d'été plane au-dessus de Paris. Après des semaines de grisaille, des mois chahutés par un climat politique houleux, le mercredi 5 juin 2013 profite d'une éclaircie. Au numéro 60 de la rue de Caumartin, une petite artère perpendiculaire aux grands boulevards, à mi-chemin entre le Palais Garnier et la gare Saint-Lazare, un attroupement flâne au soleil, les bras remplis de sacs. La société de distribution The Lifestyle Company organise une vente privée, mise à profit par de grandes marques souhaitant confier un stock de vêtements à liquider. Au choix, des chemises Ben Sherman, des vestes Fred Perry, ou encore ses fameux polos à liserés blancs, très appréciés par les mouvements radicaux. Deux camps qui se détestent, s'affrontent dans le pays depuis des décennies, depuis les années 80, quand red warriors et skinheads, antifas versus néonazis, se pourchassaient dans les rues de la capitale...
durée : 01:18:44 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - Des récits intimes sur la prison, la vie d'avant et d'après, c'est ce que propose en 1992 cette "Nuit magnétique" intitulée "La prison au féminin pluriel, de face et de profil". Paroles de femmes, historienne, criminologue, surveillante et détenue, avec notamment Michèle Perrot. - réalisation : Thomas Jost - invités : Michelle Perrot Historienne spécialiste de l'histoire des femmes, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris Cité
durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'émission "Visitez Paris avec nous" proposait le 21 mai 1950 une visite de la Gare Saint-Lazare à Paris.
Henri Cartier-Bresson prend ses quartiers d'été en Bretagne dans le Finistère nord. C'est à Landerneau que se niche le fonds Hélène et Édouard Leclerc, où une exposition monographique est programmée tous les ans. Après la peinture et le street art, c'est la première fois qu'une exposition y est dédiée à la photographie. Et c'est un parcours chronologique qui est proposé où l'on part sur les traces de celui qui a été surnommé « l'œil du siècle » et qui a parcouru le monde. Quand on pense Henri Cartier-Bresson, on pense à la notion d'instant décisif qui fait la force de ses clichés. Mais pour Clément Chéroux, le commissaire de l'exposition, il y a plusieurs Cartier-Bresson.« Cette exposition, qui présente 300 photographies dans un ordre plutôt chronologique, parcourt le XXe siècle. Elle montre qu'au-delà du Cartier-Bresson bien connu, de ses chefs-d'œuvre, il y a un photographe surréaliste au début des années 1930, un photographe qui crée la fameuse agence Magnum avec Robert Capa après la Seconde Guerre mondiale », explique Clément Chéroux.Il parcourt le monde et se retrouve aux moments clés de l'histoire aux premières loges. Une chance ? Pas seulement.« Cartier-Bresson était quelqu'un qui lisait beaucoup la presse. Tous les matins, il lisait les journaux et il était très au courant des affaires du monde, dans son pays, mais aussi à l'étranger. Ce qui explique qu'il était très souvent au bon endroit, au bon moment, précise le commissaire de l'exposition. Au moment de l'assassinat de Gandhi à New Delhi, au moment où Mao Zedong arrive au pouvoir en Chine, à Cuba, juste après la crise des missiles... Il y avait chez lui une très grande perception de là où il fallait être pour un photographe qui, essentiellement à cette époque-là, travaille avec la presse. »Saisir l'instantUn photographe qui aime aussi beaucoup déambuler et saisir ainsi l'instant singulier. Comme dans cette image, parmi les nombreuses photos iconiques qu'on peut voir dans l'exposition. Elle est intitulée « Derrière la gare Saint-Lazare ». Il l'a prise en 1932.« Cartier-Besson vient tout juste d'acheter un petit appareil Leica, considéré à l'époque comme un appareil miniature, très léger. Il voit entre deux planches de chantier un homme qui saute au-dessus d'une flaque d'eau. C'est une image où, à l'instant d'avant, le personnage n'aurait pas été en suspension dans l'espace, dans une position quasiment de danse, qui fait écho à une affiche représentant une danseuse en arrière-plan. La photographie n'aurait pas non plus pu être réalisée l'instant après, parce que le talon du sauteur aurait touché la flaque d'eau et ridé le reflet sur lequel toute la composition de cette image est construite », analyse Clément Chéroux.Et dans cette grande rétrospective, c'est un Cartier-Bresson multiple, mais toujours humaniste, qu'on redécouvre, s'attachant à capter la figure humaine dans un visage, un regard ou un groupe. À travers ses voyages dans le monde comme photo-reporter ou chez lui, sillonnant la France après Mai-68.L'exposition Henri Cartier-Bresson au Fonds Leclerc à Landerneau, c'est jusqu'au 5 janvier.À lire aussiRencontres d'Arles: Stephen Dock questionne sa vie antérieure de photojournaliste de guerre
Henri Cartier-Bresson prend ses quartiers d'été en Bretagne dans le Finistère nord. C'est à Landerneau que se niche le fonds Hélène et Édouard Leclerc, où une exposition monographique est programmée tous les ans. Après la peinture et le street art, c'est la première fois qu'une exposition y est dédiée à la photographie. Et c'est un parcours chronologique qui est proposé où l'on part sur les traces de celui qui a été surnommé « l'œil du siècle » et qui a parcouru le monde. Quand on pense Henri Cartier-Bresson, on pense à la notion d'instant décisif qui fait la force de ses clichés. Mais pour Clément Chéroux, le commissaire de l'exposition, il y a plusieurs Cartier-Bresson.« Cette exposition, qui présente 300 photographies dans un ordre plutôt chronologique, parcourt le XXe siècle. Elle montre qu'au-delà du Cartier-Bresson bien connu, de ses chefs-d'œuvre, il y a un photographe surréaliste au début des années 1930, un photographe qui crée la fameuse agence Magnum avec Robert Capa après la Seconde Guerre mondiale », explique Clément Chéroux.Il parcourt le monde et se retrouve aux moments clés de l'histoire aux premières loges. Une chance ? Pas seulement.« Cartier-Bresson était quelqu'un qui lisait beaucoup la presse. Tous les matins, il lisait les journaux et il était très au courant des affaires du monde, dans son pays, mais aussi à l'étranger. Ce qui explique qu'il était très souvent au bon endroit, au bon moment, précise le commissaire de l'exposition. Au moment de l'assassinat de Gandhi à New Delhi, au moment où Mao Zedong arrive au pouvoir en Chine, à Cuba, juste après la crise des missiles... Il y avait chez lui une très grande perception de là où il fallait être pour un photographe qui, essentiellement à cette époque-là, travaille avec la presse. »Saisir l'instantUn photographe qui aime aussi beaucoup déambuler et saisir ainsi l'instant singulier. Comme dans cette image, parmi les nombreuses photos iconiques qu'on peut voir dans l'exposition. Elle est intitulée « Derrière la gare Saint-Lazare ». Il l'a prise en 1932.« Cartier-Besson vient tout juste d'acheter un petit appareil Leica, considéré à l'époque comme un appareil miniature, très léger. Il voit entre deux planches de chantier un homme qui saute au-dessus d'une flaque d'eau. C'est une image où, à l'instant d'avant, le personnage n'aurait pas été en suspension dans l'espace, dans une position quasiment de danse, qui fait écho à une affiche représentant une danseuse en arrière-plan. La photographie n'aurait pas non plus pu être réalisée l'instant après, parce que le talon du sauteur aurait touché la flaque d'eau et ridé le reflet sur lequel toute la composition de cette image est construite », analyse Clément Chéroux.Et dans cette grande rétrospective, c'est un Cartier-Bresson multiple, mais toujours humaniste, qu'on redécouvre, s'attachant à capter la figure humaine dans un visage, un regard ou un groupe. À travers ses voyages dans le monde comme photo-reporter ou chez lui, sillonnant la France après Mai-68.L'exposition Henri Cartier-Bresson au Fonds Leclerc à Landerneau, c'est jusqu'au 5 janvier.À lire aussiRencontres d'Arles: Stephen Dock questionne sa vie antérieure de photojournaliste de guerre
No último ano, a voz de Ashley Fortes tem ecoado em diferentes estações do metro de Paris, o “maior palco” da capital francesa, onde milhares de pessoas passam diariamente. Fomos conhecer a cantora com origens cabo-verdianas, que homenageia Cesária Évora e que conquistou a etiqueta “Musicien du Métro”. Estamos no “maior palco” de Paris, aquele por onde passam milhares de pessoas todos os dias. É nesta azáfama dos corredores do metro que ecoa a famosa “saudade” da “diva dos pés descalços”, cantada por uma jovem francesa, de 33 anos, com raízes cabo-verdianas.Ashley Fortes começou a cantar no metro de Paris há cerca de um ano e faz parte do grupo de 300 músicos (seleccionados entre cerca de 1.000) que conquistaram a etiqueta de “Musicien du Métro”. Uma vitrina internacional que também permite ganhar a vida e complementar o seu trabalho de professora de canto.“Eu adoro cantar no metro. Ontem, uma mulher parou e ficou uma hora a ouvir-me e disse-me ‘Você foi o meu sol neste dia'. Ver estas pessoas faz com que eu saiba porque canto. O metro é uma maneira de atingir muitas pessoas e eu adoro”, conta à RFI na estação de Saint-Lazare, durante a última semana dos Jogos Olímpicos de Paris.Os corredores do metro de Paris foram também os primeiros palcos do músico americano Ben Harper ou do cantor nigeriano Keziah Jones. Ashley Fortes sabe disso e espera que novas oportunidades nasçam desta aventura.Eu adoro porque tem gente de todo o mundo que passa. É outra dimensão. Eu canto para todo o mundo! Ashley Fortes participou, em 2017, no programa televisivo em França “Nouvelle Star” e chegou à meia-final. Actualmente, está a preparar o seu primeiro EP e, em Junho, lançou o mais recente single intitulado “A Toutes les Femmes”. Descubra a história de Ashley Fortes, as suas origens, as suas inspirações e os seus projectos neste programa ARTES de 14 de Agosto de 2024.
Le domaine de Chaumont-sur-Loire accueille chaque année un festival international des jardins qui se visite jusqu'à l'automne, mais c'est aussi le premier centre d'Arts et de nature entièrement voué à la relation entre la nature et la Culture. Treize nouveaux artistes de toutes les disciplines ont investi le château, le parc et les dépendances avec un esprit tourné vers le vivant, mais aussi vers le fantastique. Depuis quinze ans, le domaine de Chaumont-sur-Loire, dans le Loir-et-Cher, au centre de la France, invite des artistes de renommée mondiale, qui crée pour le lieu – le château, son parc et ses dépendances, des œuvres dont certaines sont désormais pérennes.Cette année, place au fantastique avec la Grotte Chaumont de Miquel Barceló. Le peintre graveur et céramiste espagnol, enfant chéri de l'art contemporain, a conçu une grotte en céramique colorée de près de huit tonnes posée dans un bosquet représentant la bouche ouverte d'un animal imaginaire prêt à nous dévorer, aux dents aiguisées. Le fond de sa gorge est décoré de peintures rupestres, une référence à la grotte Chauvet en Ardèche, grotte paléolithique ornée de dessins.Dans les salles du château, coup de soleil assuré avec les grandes toiles du peintre Vincent Bioulés. À 86 ans, il a peint toute sa vie les paysages, les jardins et la lumière du sud depuis sa ville de Montpellier qu'il n'a jamais quittée. « J'habite au numéro 1, avenue Saint-Lazare, mais je suis né au numéro 7, raconte le peintre. Quand j'étais gosse, ces maisons étaient entourées de maraîchages, il suffisait de marcher un peu pour se trouver dans la campagne. Et, très jeune, je suis allé dessiner, je me suis promené... Ces jardins sont les lieux dans lesquels toute ma sensibilité s'est formée, s'est structurée. Le fil conducteur de cette exposition, c'est la lumière et la couleur. La lumière est la seule chose que les hommes ne sont pas arrivés à détruire. »Sous l'auvent des écuries, une tortue géante porte un globe terrestre sur son dos, elle est signée de l'artiste allemande Gloria Frydman. Assis au sommet du globe, un homme en équilibre précaire est en train de glisser. « Cet homme, c'est lui qui donne le titre, c'est "Le locataire", explique l'artiste. Nous avons tous déjà loué un appartement, quand on le quitte, on nous demande de le laisser en bon état. Aujourd'hui, malheureusement, on peut se dire "est-ce qu'on laissera la terre en bon état ?" avec tout ce qu'on y met comme plastique, etc. »Le peintre Damien Cabanes a, lui, choisi le motif de la fleur, version XXL : « J'avais fait venir une dizaine de rouleaux de dix mètres de papier Arches épais, 300 g. Je me suis baladé tous les jours avec un rouleau sur le dos et je le déroulais dans les allées du domaine. C'était presque la même taille que le massif lui-même. C'est une autre lumière, dehors... Les sens sont plus stimulés, il y a aussi les odeurs, il y a le vent, le soleil, les oiseaux. Aussi, la fleur symbolise un peu l'existence humaine, en plus rapide. Rien n'est fixe, la seule fixité, c'est le changement perpétuel. »À Chaumont-sur-Loire, les propositions sont parfois surprenantes comme ces dentelles de bois qui raconte la vie des arbres. Pascal Oudet, tourneur sur bois de génie, crée, à partir de billots de chêne de 150 kg, d'étonnante pièces aériennes d'à peine 300 g pour 2 mm d'épaisseur.Au domaine de Chaumont-sur-Loire, il est également possible d'admirer les œuvres de bien d'autres artistes dont Pascale Marthine Tayou, luminaires faits de branches d'arbres auxquelles sont accrochées des bouteilles en plastique brodées de tissus de récupération, Prune Nourry, sculptures d'homme-arbre en corde de bronze ou les courbes d'acier monumentales du plasticien Bernar Venet. À lire aussiAu Domaine de Chaumont-sur-Loire, rencontre entre art et nature
Le domaine de Chaumont-sur-Loire accueille chaque année un festival international des jardins qui se visite jusqu'à l'automne, mais c'est aussi le premier centre d'Arts et de nature entièrement voué à la relation entre la nature et la Culture. Treize nouveaux artistes de toutes les disciplines ont investi le château, le parc et les dépendances avec un esprit tourné vers le vivant, mais aussi vers le fantastique. Depuis quinze ans, le domaine de Chaumont-sur-Loire, dans le Loir-et-Cher, au centre de la France, invite des artistes de renommée mondiale, qui crée pour le lieu – le château, son parc et ses dépendances, des œuvres dont certaines sont désormais pérennes.Cette année, place au fantastique avec la Grotte Chaumont de Miquel Barceló. Le peintre graveur et céramiste espagnol, enfant chéri de l'art contemporain, a conçu une grotte en céramique colorée de près de huit tonnes posée dans un bosquet représentant la bouche ouverte d'un animal imaginaire prêt à nous dévorer, aux dents aiguisées. Le fond de sa gorge est décoré de peintures rupestres, une référence à la grotte Chauvet en Ardèche, grotte paléolithique ornée de dessins.Dans les salles du château, coup de soleil assuré avec les grandes toiles du peintre Vincent Bioulés. À 86 ans, il a peint toute sa vie les paysages, les jardins et la lumière du sud depuis sa ville de Montpellier qu'il n'a jamais quittée. « J'habite au numéro 1, avenue Saint-Lazare, mais je suis né au numéro 7, raconte le peintre. Quand j'étais gosse, ces maisons étaient entourées de maraîchages, il suffisait de marcher un peu pour se trouver dans la campagne. Et, très jeune, je suis allé dessiner, je me suis promené... Ces jardins sont les lieux dans lesquels toute ma sensibilité s'est formée, s'est structurée. Le fil conducteur de cette exposition, c'est la lumière et la couleur. La lumière est la seule chose que les hommes ne sont pas arrivés à détruire. »Sous l'auvent des écuries, une tortue géante porte un globe terrestre sur son dos, elle est signée de l'artiste allemande Gloria Frydman. Assis au sommet du globe, un homme en équilibre précaire est en train de glisser. « Cet homme, c'est lui qui donne le titre, c'est "Le locataire", explique l'artiste. Nous avons tous déjà loué un appartement, quand on le quitte, on nous demande de le laisser en bon état. Aujourd'hui, malheureusement, on peut se dire "est-ce qu'on laissera la terre en bon état ?" avec tout ce qu'on y met comme plastique, etc. »Le peintre Damien Cabanes a, lui, choisi le motif de la fleur, version XXL : « J'avais fait venir une dizaine de rouleaux de dix mètres de papier Arches épais, 300 g. Je me suis baladé tous les jours avec un rouleau sur le dos et je le déroulais dans les allées du domaine. C'était presque la même taille que le massif lui-même. C'est une autre lumière, dehors... Les sens sont plus stimulés, il y a aussi les odeurs, il y a le vent, le soleil, les oiseaux. Aussi, la fleur symbolise un peu l'existence humaine, en plus rapide. Rien n'est fixe, la seule fixité, c'est le changement perpétuel. »À Chaumont-sur-Loire, les propositions sont parfois surprenantes comme ces dentelles de bois qui raconte la vie des arbres. Pascal Oudet, tourneur sur bois de génie, crée, à partir de billots de chêne de 150 kg, d'étonnante pièces aériennes d'à peine 300 g pour 2 mm d'épaisseur.Au domaine de Chaumont-sur-Loire, il est également possible d'admirer les œuvres de bien d'autres artistes dont Pascale Marthine Tayou, luminaires faits de branches d'arbres auxquelles sont accrochées des bouteilles en plastique brodées de tissus de récupération, Prune Nourry, sculptures d'homme-arbre en corde de bronze ou les courbes d'acier monumentales du plasticien Bernar Venet. À lire aussiAu Domaine de Chaumont-sur-Loire, rencontre entre art et nature
Micaela and I are at Gare Saint-Lazare for a summer stroll. Since the last renovation, the station has become a real shopping centre. There are numerous stores selling clothes, shoes and beauty products, as well as fast-food outlets and fine restaurants such as chef Eric Frechon's Lazare. I'm dying to try his Paris-Deauville dessert. But our program was more geared towards sweets. There's plenty to choose from at Saint-Lazare! We bought macarons at Ladurée, we also bought some at Dalloyau and finally, we stopped off at Les Merveilleux de Fred. Do you know this meringue and cream dessert? They're a big hit in Paris. So to cultivate your French, your palate, but also to discover this area of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text and cultural notes, I invite you to subscribe. One last thing: the podcast will be on hiatus next week, the week of August 15. I look forward to seeing you on Wednesday August 21. So if you'd like to improve your French, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
Micaela and I are at Gare Saint-Lazare for a summer stroll. Gare Saint-Lazare is the oldest station in Paris, having been renovated for the 1889 Universal Exhibition, the same year the Eiffel Tower was built. After going up rue de Rome to the Pont de l'Europe, the site of two famous paintings: Edouard Manet's Le chemin de fer and Gustave Caillebotte's Pont de l'Europe, we'll head back down to the station via rue d'Amsterdam. Can you follow us? So if you'd like to improve your French comprehension, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
We're at Gare Saint-Lazare, in the Europe district, whose streets bear the names of capital cities. This summer, I'd like to invite you on a four-part historical, cultural and gourmet summer stroll! Where were we? Ah yes, Micaela and I were walking up Rue de Rome, the street that runs alongside the train station from the Cour de Rome up towards the Batignolles district. We're going to talk about painting today. So if you'd like to improve your French comprehension, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
Gare Saint-Lazare is a star! What is it? A station that doesn't even have a TGV? A star? But why? Well, there are several reasons. First of all, in terms of passenger traffic, it's the second busiest station in France (after the Gare du Nord). The station serves the western suburbs of Paris, as well as Normandy. It's also the oldest station in Paris. It opened in 1837. It has been painted by some very famous artists. Would you like some names? Gustave Caillebotte, Édouard Manet, Claude Monet, Camille Pissaro, among others. These are all 19th-century artists. The Saint-Lazare station was fascinating because it embodied modernity and technical progress. These were themes dear to the artists who settled in the new Europe district. Micaela swiped her Navigo, I swiped my ticket, and you could hear the automatic gate open. We're at Gare Saint-Lazare, in the Europe district, whose streets bear the names of capitals. I'd like to invite you on a four-part summer stroll through history, culture and food! So if you'd like to improve your French, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
Micaela et moi sommes Gare Saint-Lazare pour une promenade de l'été. Après être montées rue de Rome vers le pont de l'Europe, là où ont été peints deux célèbres tableaux : Le chemin de fer d'Édouard Manet et le Pont de l'Europe de Gustave Caillebotte, nous sommes redescendues par la rue d'Amsterdam en évoquant Zola et Monet, avant d'entrer à nouveau dans la gare. Depuis la dernière rénovation, la gare est devenue un véritable centre commercial. On y trouve de nombreuses boutiques de vêtements, de chaussures, de produits de beauté, de quoi aussi se restaurer avec de la restauration rapide ou un très beau restaurant comme Lazare du chef Éric Frechon. Je rêve de goûter son dessert le Paris-Deauville. Mais, notre programme était plutôt tourné vers les douceurs. Il y a du choix à Saint-Lazare ! www.onethinginafrenchday.com
Micaela et moi sommes Gare Saint-Lazare pour une promenade de l'été. La Gare Saint-Lazare est la doyenne des gares de Paris, elle a été rénovée à l'occasion de l'exposition universelle de 1889, l'année de la construction de la tour Eiffel. Après être montées rue de Rome vers le pont de l'Europe, là où ont été peints deux célèbres tableaux : Le chemin de fer d'Edouard Manet et le Pont de l'Europe de Gustave Caillebotte, nous allons redescendre vers la gare en empruntant la rue d'Amsterdam. Vous nous suivez ? www.onethinginafrenchday.com
C'est l'été, le podcast prend son rythme estival avec deux épisodes par semaine. Je suis à Reims avec Micaela, cette semaine. Nous sommes en stage de kung-fu. Au moment où j'enregistre cet épisode, nous sommes à quelques jours du second tour des élections législatives. Bien sûr, le transcript avec notes, auquel vous pouvez vous abonner sur le site du podcast One Thing In A French Day est riche de références culturelles et de photos. Où en étions-nous, ah oui, Micaela et moi remontions la rue de Rome… nous sommes dans le quartier de l'Europe dont les rues ont des noms de capitales. www.onethinginafrenchday.com
Micaela a passé son Navigo, j'ai passé mon ticket, vous avez pu entendre le portillon automatique s'ouvrir. Nous sommes Gare Saint-Lazare, dans le quartier de l'Europe dont les rues portent des noms de capitales. Je vous invite à une promenade estivale qui sera historique, culturelle et gourmande en quatre épisodes ! www.onethinginafrenchday.com
Dans ce nouvel épisode c'est Clémentine Larroumet, la co-fondatrice - avec Antoine Ricardou - des Ateliers Saint-Lazare qui répond à mes questions... en public ! Nous avions enregistré il y a qqs jours dans le bar ultra cosy de l'Hôtel des Grands Voyageurs devant des auditrices passionnées et attentives venues écouter la success story de ce petit studio devenu grand... Il faut dire que le travail de Saint-Lazare est particulièrement inspirant. Vous saviez qu'ils ont participé au lancement de Merci avec Marie-France Cohen ? Avant ça il y a eu Pierre Bergé, puis Sézane, Le Barn, Cyril Lignac, Veuve Cliquot, Roseanna, j'en passe et des meilleures. Clémentine nous parle de ces clients avec une grande humilité et un regard très précis sur leur manière de faire.Mais que font-il justement ? Saint Lazare est une agence de design graphique qui travaille sur l'identité de marque ou comment raconter une histoire grâce à un logo, une typo, des détails parsemés ici et là. Un métier qui a ensuite évolué vers l'archi pour imaginer des lieux et des ambiances, voire même des produits puisqu'ils ont lancé ASL, leur propre ligne d'objets et de mobilier.Avec Clémentine on parlede l'importance de l'identité de marquede leur changement d'identité à eux (Be-Pôles devenu St Lazare)de la manière dont ils travaillent avec les marqueset comment ils abordent les projetsde l'importance des détails du travail en équipede son parcoursde leur style très identifiédes oeuvres qu'ils chinentdes tendances qu'ils ne suivent surtout pasdes critères pour choisir un projetdu Rêve dont l'histoire est incroyablede leurs meubles et objets fonctionnels avant toutde leurs portraits de villede sa vie de maman de 4 enfantsde sa passion pour la photode son style décode l'entente avec son associéBref un épisode plein de sens et de belles histoires !Bonne écoute !!Si ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes> à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis")> à suivre @decodeur__ sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir les 100 épisodes déjà en ligne et les différents formats de l'émission> à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...! Merci beaucoup
Glady Baradaran lives in Saint Lazare, she was on her way to pick up her dog from daycare when a funnel formed in front of her car. She spoke to Ken Connors.
Dans cet épisode, on parle de fleurs, de la gare Saint Lazare et d'un confinement protecteur, entre autres.---Retrouvez Vulgaire sur Instagram : @vulgaire_lepodcast---VULGAIREUn podcast de Marine Baousson / Studio BruneEcrit par Isabelle Le FaucheurRéalisé par Antoine OlierMusique : Guillaume Bérat du Collectif BranksGraphisme et illustrations : Juliette Poney Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elisabeth Hornin, une cantatrice en villégiature dans le château des Dejouvel, est retrouvée morte au fond du parc et son collier de diamant s'est envolé. Suite à ce drame, les Dejouvel vendent leur demeure et le commissaire Gorgeret enquête, mais sans résultat. Quinze ans plus tard, il est à la gare Saint-Lazare où, muni d'un mandat, il compte arrêter Clara la blonde. Mais qui est cette jeune fille et de quoi est-elle accusée ? Dans cette nouvelle aventure, Arsène Lupin va encore jouer les protecteurs de jolies femmes... *** Fiction radiophonique diffusée dans l'émission “Les Aventures d'Arsène Lupin” de Maurice Renault - D'après une nouvelle de Maurice Leblanc - Réalisation : Abder Isker - Adaptation : Jean Marcillac - Première diffusion : 20/05/1961 sur France II Régionale de la RTF - Avec : Antoine Balpêtré, Anne Carrère, Noël Darzal, Henri Djanik, Fernand Fabre, Michel Gatineau, Georges Hubert, Théo Jehanne, Jean Mauvais, Michel Roux et Geo Wallery - Un podcast INA.
ESSENTIEL, le rendez-vous culture présenté par Sandrine Sebbane Elle reçoit Sébastien Spitzer pour son livre « Leonie B » aux éditons Albin Michel. À propos du livre : « Leonie B ». paru aux éditions Albin Michel Lorsqu'elle embarque à bord d'un bateau de la Marine nationale, Léonie B. n'a que dix-neuf ans. Elle s'est habillée en homme afin de participer à une expédition scientifique au pôle Nord. C'est l'audace de cette toute jeune femme qui séduit Victor Hugo lorsqu'il la rencontre à son retour. Ils ont vingt ans d'écart, sont tous deux mariés, le coup de foudre est immédiat. Tout juste nommé Pair de France, l'écrivain est protégé par son statut. Léonie, femme émancipée, va payer de sa liberté cet amour interdit. Elle est envoyée à la prison pour femmes de Saint-Lazare par son époux. Son sort fera prendre conscience à Victor Hugo de la condition des femmes et lui inspirera les premiers chapitres de son chef-d'œuvre : Les Misérables. Sébastien Spitzer est l'auteur de quatre romans couronnés par de nombreux prix littéraires et du Dictionnaire amoureux de Victor Hugo (Plon, 2023). Il est également administrateur de la Société des Amis de Victor Hugo. Léonie B., son nouveau roman, est tiré d'une histoire vraie. Sébastien Spitzer, né le 9 mars 1970 à Paris, est un écrivain français. Il est aussi scénariste et enseignant à Sciences Po Paris. Après une CPGE, étudie à l'Institut d'études politiques de Paris1 avant de se tourner vers le journalisme, travaillant pour Jeune Afrique, Canal+, M6, TF1, Marianne ou Rolling Stone. En 2017, il publie son premier roman et décroche plusieurs prix, dont le prix Stanislas, le prix Emmanuel-Roblès et le prix Méditerranée des lycéens pour Ces rêves qu'on piétine, qui sera traduit en plusieurs langues. Il sera finaliste du prix Goncourt des lycéens pour Le Cœur battant du monde. Il est enfin lauréat du prix Bibliothèques pour tous et le prix de l'Académie de Pharmacie pour La Fièvre. Il est aussi l'auteur de documents. La plupart de ses livres sont disponibles au Livre de Poche.
When we visited the Cité internationale de la langue française in Villers-Cotterêts last month, I came across an edition of Émile Zola's Carnets d'enquêtes. The famous novelist took copious notes before writing his novels. His notes were sometimes bits of sentences, words or even complete and precise descriptions. The book was only there for consultation, but I was lucky enough to find a second-hand copy at the Gibert bookshop. This is a unique bookshop in Paris that sells new and second-hand books on the same shelves. I placed my order and went to pick it up this morning. I took the metro at Saint-Lazare. The bookshop is on boulevard Saint-Michel, not far from Odéon station. On the way, I noticed a lady reading. That's what I'm going to tell you about today. In the notes that come with the transcript, I'll focus on three sentence structures that are very natural in French. Often, these are expressions that we understand, that we don't pay attention to, and that we forget to use when we speak. This way, you'll notice them and be able to use them in future conversations in French. You'll also find useful phrases for picking up an order in a shop, as I did myself today. So, to keep your own investigation diaries and enjoy all the positive effects of having the exact text of the episode, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
19 février 2024 Le prochain budget sera largement déficitaire, prévient François LegaultLe premier ministre a indiqué que des investissements «massifs» qui sont en cours en éducation et en santé auront des conséquences financières: le budget qui sera présenté le mois prochain sera «largement déficitaire» et le retour à l'équilibre budgétaire, jusqu'ici prévu pour 2027-2028, pourrait être reporté.La Fédération des omnipraticiens du Québec a dit à plusieurs médias qu'elle avait fait parvenir une mise en demeure à Christian Dubé. Que sait-on sur la mort d'Alexeï Navalny?Le principal opposant de Vladimir Poutine est mort vendredi dans une prison russe de l'Arctique. Un juge new-yorkais a condamné Donald Trump et ses fils à payer presque 500 millions $, dans un procès civil pour fraudes financières. Un enseignant québécois vend en ligne les dessins de ses élèves, à leur insuUn professeur d'arts plastiques d'une école secondaire de Saint-Lazare, à l'ouest de l'île de Montréal, a été mis en demeure par des parents parce qu'il a reproduit des dessins de ses élèves sur plus de 3000 objets – tasses, sacs et coussins – et les a mis en vente en ligne sans leur consentement.Air Canada est redevenue rentable l'an dernierQuel est le meilleur courtier en ligne?Chaque année, le Globe and Mail dresse un classement des courtiers en ligne selon des critères tels que le prix, les fonctionnalités et l'accès aux différents produits d'investissement.Pour une deuxième année consécutive, Placements Directs TD est au sommet du classement.Voyez quelques détail sur ce classement, à https://infobref.com/meilleurs-courtiers-globe-2024-02/ Selon le Financial Times, l'Union européenne s'apprête à infliger à Apple une amende de plus de 720 millions $ dans une affaire qui l'oppose aux diffuseurs de musique en ligne concurrents d'Apple Music. OpenAI a dévoilé un puissant générateur de vidéo: SoraComme chaque lundi, InfoBref vous fait découvrir une jeune entreprise québécoise innovanteAujourd'hui, on vous présente Moozoom, une jeune pousse montréalaise qui produit des films interactifs destinés à faciliter l'enseignement des compétences socio-émotionnelles dans les écoles.Pour en savoir plus, lisez le portrait de Moozoom à https://infobref.com/jeqi-moozoom-2024-02--- Détails sur ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Voir comment s'abonner au balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un enseignant de Saint-Lazare fait l'objet d'une enquête administrative, alors qu'il aurait mis en vente les œuvres d'art de ses élèves à leur insu. Entrevue avec Ysolde Gendreau, professeure titulaire de droit à l'Université de MontréalPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Un enseignant de Saint-Lazare fait l'objet d'une enquête administrative, alors qu'il aurait mis en vente les œuvres d'art de ses élèves à leur insu. Mario Perron, un enseignant d'arts plastiques à l'école secondaire Westwood Junior, à Saint-Lazare, se serait servi des œuvres d'art conçues par ses élèves pour créer de la marchandise à leur insu. Entrevue avec Joel DeBellefeuille, parent d'un enfant fréquentant l'école secondaire Westwood Junior, à Saint-LazarePour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
De nombreuses gares, en France, portent des noms de saints. Et la sécularisation accélérée de la société, au cours du XXe siècle, n' a en rien modifié ces appellations. Mais d'où viennent ces noms ? Ils sont souvent donnés aux gares en raison du nom des lieux où elles se trouvent. Ainsi, la gare Saint-Jean, à Bordeaux, qui s'appela d'abord gare du Midi, doit son nouveau nom à celui de la rue à l'extrémité de laquelle elle se dresse. C'est donc ce cours Saint-Jean, devenu aujourd'hui cours de la Marne, qui est à l'origine de l'appellation actuelle de la gare. De son côté, la gare Saint-Charles, à Marseille, a été baptisée ainsi en raison d'un plateau dominant l'emplacement de la gare et qui portait ce nom. De même, si la gare Saint-Lazare, à Paris, située aujourd'hui rue d'Amsterdam, a reçu ce nom, c'est parce qu'elle a été bâtie, à l'époque, le long de la rue homonyme. Un lien possible avec la religion Si de nombreuses gares ont reçu un nom de saint, elles le doivent donc, la plupart du temps, au nom de la rue ou du quartier où elles ont été construites. Des quartiers qui avaient souvent hérité ce nom de celui de la paroisse. Mais parfois, le lien avec la religion semble plus palpable. Ainsi, la gare Saint-Roch de Montpellier ne devrait pas seulement son nom à celui de la rue ou du quartier où elle aurait vu le jour. En effet, il semble bien que la gare ait été baptisée ainsi en l'honneur de saint Roch, un personnage révéré des habitants, qui aurait protégé la ville de la peste. Lors de l'inauguration de la gare, en 2005, le maire de l'époque, Georges Frêche, a d'ailleurs ouvertement revendiqué cet héritage. Au XIXe siècle encore, les autorités religieuses étaient d'ailleurs souvent invitées à l'inauguration des gares. Ce fut notamment le cas de l'évêque de Marseille, qui est convié à l'inauguration de la gare Saint-Charles, en 1848. Il leur arrivait d'ailleurs, à cette occasion, de bénir les locomotives. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
De nombreuses gares, en France, portent des noms de saints. Et la sécularisation accélérée de la société, au cours du XXe siècle, n' a en rien modifié ces appellations.Mais d'où viennent ces noms ? Ils sont souvent donnés aux gares en raison du nom des lieux où elles se trouvent. Ainsi, la gare Saint-Jean, à Bordeaux, qui s'appela d'abord gare du Midi, doit son nouveau nom à celui de la rue à l'extrémité de laquelle elle se dresse.C'est donc ce cours Saint-Jean, devenu aujourd'hui cours de la Marne, qui est à l'origine de l'appellation actuelle de la gare. De son côté, la gare Saint-Charles, à Marseille, a été baptisée ainsi en raison d'un plateau dominant l'emplacement de la gare et qui portait ce nom.De même, si la gare Saint-Lazare, à Paris, située aujourd'hui rue d'Amsterdam, a reçu ce nom, c'est parce qu'elle a été bâtie, à l'époque, le long de la rue homonyme.Un lien possible avec la religionSi de nombreuses gares ont reçu un nom de saint, elles le doivent donc, la plupart du temps, au nom de la rue ou du quartier où elles ont été construites. Des quartiers qui avaient souvent hérité ce nom de celui de la paroisse.Mais parfois, le lien avec la religion semble plus palpable. Ainsi, la gare Saint-Roch de Montpellier ne devrait pas seulement son nom à celui de la rue ou du quartier où elle aurait vu le jour.En effet, il semble bien que la gare ait été baptisée ainsi en l'honneur de saint Roch, un personnage révéré des habitants, qui aurait protégé la ville de la peste. Lors de l'inauguration de la gare, en 2005, le maire de l'époque, Georges Frêche, a d'ailleurs ouvertement revendiqué cet héritage.Au XIXe siècle encore, les autorités religieuses étaient d'ailleurs souvent invitées à l'inauguration des gares. Ce fut notamment le cas de l'évêque de Marseille, qui est convié à l'inauguration de la gare Saint-Charles, en 1848. Il leur arrivait d'ailleurs, à cette occasion, de bénir les locomotives. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jeudi matin, je suis allée à Paris. J'avais quelques courses à faire : une commande à aller chercher à la Pharmacie du Four, rue du Four, et une autre chez Gibert, rue Pierre Sarrasin, au click and collect. J'aime beaucoup passer des commandes dans ces deux endroits et aller ensuite les chercher parce que je sais que je vais faire un de mes tours préférés à Paris. Saint-Germain des prés, ensuite Saint-Michel, traverser l'île de la Cité et rentrer à Saint-Lazare par la ligne 14. www.onethinginafrenchday.com
durée : 01:18:44 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Des récits intimes sur la prison, la vie d'avant et d'après, c'est ce que propose en 1992 cette "Nuit magnétique" intitulée "La prison au féminin pluriel, de face et de profil". Paroles de femmes, historienne, criminologue, surveillante et détenue, avec notamment Michèle Perrot. - invités : Michelle Perrot Historienne spécialiste de l'histoire des femmes, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris Cité
Geneviève Lachance is mayor of Saint-Lazare. She spoke to Andrew Carter about the troubles on the Ile-aux-Tourtes Bridge.
Fluent Fiction - French: The Bag Exchange: A Serendipitous Encounter in Montmartre Find the full episode transcript, vocabulary words, and more:fluentfiction.org/the-bag-exchange-a-serendipitous-encounter-in-montmartre Story Transcript:Fr: Un jour à Paris, Pierre, un homme très distrait, sort d'un café bien animé de Montmartre.En: One day in Paris, Pierre, a very absent-minded man, leaves a bustling cafe in Montmartre.Fr: Sophie, une artiste talentueuse est installée à la même place ce matin-là.En: Sophie, a talented artist, is seated in the same spot that morning.Fr: Les deux ne se connaissent pas, jusqu'à ce que leurs chemins se croisent lors d'un heureux échange de sacs.En: The two do not know each other, until their paths cross in a happy exchange of bags.Fr: Il fait un temps merveilleux à Paris.En: The weather is wonderful in Paris.Fr: Le soleil brille dans le ciel bleu clair, réchauffant les ruelles animées de Montmartre.En: The sun shines in the clear blue sky, warming the lively streets of Montmartre.Fr: Les odeurs de café chaud et de pain frais se mêlent dans l'air.En: The smells of hot coffee and fresh bread mix in the air.Fr: Pierre, très pressé pour aller à son travail à Saint-Lazare, attrape rapidement son sac à dos posé sur la chaise voisine et se précipite vers le métro.En: Pierre, in a hurry to go to work at Saint-Lazare, quickly grabs his backpack from the neighboring chair and rushes towards the metro.Fr: Sophie, qui joue habituellement de la musique près du Sacré-Cœur, a décidé ce jour-là de prendre son petit déjeuner ici, avant d'aller travailler.En: Sophie, who usually plays music near the Sacré-Cœur, decided that day to have breakfast there before going to work.Fr: Plus tard ce jour-là, Pierre ouvre son sac à dos pour prendre son ordinateur portable.En: Later that day, Pierre opens his backpack to take out his laptop.Fr: Surprise !En: Surprise!Fr: A la place, il trouve une boîte à musique ancienne et un beau carnet de croquis plein de dessins magnifiques.En: Instead, he finds an antique music box and a beautiful sketchbook full of magnificent drawings.Fr: C'était clair, il avait pris le mauvais sac.En: It was clear, he had taken the wrong bag.Fr: Pierre pensait souvent à son travail de comptable, mais jamais il n'aurait imaginé qu'un simple sac à dos pourrait lui donner une telle surprise.En: Pierre often thought about his work as an accountant, but he never imagined that a simple backpack could give him such a surprise.Fr: Sophie, de son côté, ouvre le sac à dos qu'elle a pris par erreur et trouve des dossiers pleins de chiffres et un agenda très organisé.En: On the other hand, Sophie opens the backpack she took by mistake and finds folders full of numbers and a very organized agenda.Fr: Elle est confuse et inquiète, car tous ses croquis et sa boîte à musique précieuse se trouvent dans ce sac.En: She is confused and worried because all her sketches and her precious music box are in that bag.Fr: Pendant ce temps, Pierre est en train d'examiner le contenu de ce sac qui n'est pas le sien.En: Meanwhile, Pierre is examining the contents of this bag that is not his.Fr: Faisant défiler les croquis, il est ébloui par le talent de cette inconnue.En: As he scrolls through the sketches, he is amazed by the talent of this stranger.Fr: Il décide alors de retrouver la propriétaire de ce sac, non seulement pour lui rendre son bien, mais aussi pour la rencontrer.En: He then decides to find the owner of this bag, not only to return her belongings but also to meet her.Fr: Pierre se souvient enfin de cette matinée au café, comprend son erreur et revient sur ses pas.En: Finally remembering that morning at the cafe, Pierre understands his mistake and retraces his steps.Fr: Sophie, qui est déjà de retour au café en recherche de son sac à dos, soupire soulagée lorsqu'elle aperçoit Pierre.En: Sophie, who has already returned to the cafe in search of her backpack, sighs with relief when she sees Pierre.Fr: En se rencontrant, une conversation s'engage entre eux.En: Upon meeting, a conversation ensues between them.Fr: Sophie est heureuse de retrouver ses affaires et remercie Pierre pour sa gentillesse.En: Sophie is happy to find her things and thanks Pierre for his kindness.Fr: Pierre, de son côté, la complimente pour son talent.En: Pierre, on the other hand, compliments her talent.Fr: Ils se découvrent tous deux une passion commune pour la musique et décident alors d'échanger plus souvent.En: They both discover a shared passion for music and decide to exchange more often.Fr: Ainsi, une confusion matinale simple mais significative se conclut non seulement par un soulagement mais aussi par le début d'une nouvelle amitié à Paris.En: Thus, a simple yet meaningful morning mix-up concludes not only with relief but also with the beginning of a new friendship in Paris.Fr: Finalement, l'échange de sac imprévu de ce jour-là a donné naissance à une rencontre enrichissante improbable.En: In the end, the unexpected bag exchange that day gave rise to an unlikely and enriching encounter.Fr: Si Pierre a su replacer ses pas jusqu'au café, c'est parce qu'il a écouté son cœur, et cela a fais naître une belle amitié.En: If Pierre was able to retrace his steps to the cafe, it's because he listened to his heart, and that gave birth to a beautiful friendship. Vocabulary Words:One: Unday: jourin: àParis: ParisPierre: Pierrea: unvery: trèsabsent-minded: distraitman: hommeleaves: sorta: unbustling: bien animécafe: caféin: deMontmartre: MontmartreSophie: Sophietalented: talentueuseartist: artisteis: estseated: installéethe: lasame: mêmespot: placethat: cemorning: matin-làThe: Lestwo: deuxdo: nenot: pasknow: se connaissent
Escrito y narrado por: Susana Benko Frente a la estación Saint Lazare en París se encuentran dos esculturas muy peculiares. Ambas semejan “obeliscos” pero de objetos acumulados haciendo referencia al mundo industrializado: una con maletas de bronce apiladas titulada Consigne à vie que podemos traducir como Depósito de por vida; la otra con relojes superpuestos llamada L'heure de tous (La hora de todos). Ambas remiten al viaje, al traslado, al paso del tiempo, y por eso están en ese preciso y emblemático lugar. Son dos piezas urbanas que realizó en 1985 el artista francés Armand Pierre Fernández, mejor conocido como Arman. Nacido en Niza en 1928, Arman vivió una infancia feliz pese la precaria situación financiera familiar. Vivió en medio de acumulaciones de objetos pues su padre, músico y pintor, se rodeaba de materiales e instrumentos musicales; su bisabuelo coleccionó vehículos y su abuela hilos y tapones en cajas de cartón. Arman, por su parte, coleccionó juguetes. Este cúmulo de cosas, y otras más, aparecerán en su obra artística posterior. Vivió la Segunda Guerra Mundial. Fue testigo de los vuelos incesantes de aviones modernos y sus consecuentes explosiones. Conoció el hambre y la solidaridad con el prójimo. También la destrucción y la proximidad de la muerte. Terminada la guerra, se inscribió en la Escuela de Artes Decorativas de Niza, y en 1947, durante sus clases de Judo en la escuela de la Policía de esa ciudad, conoció a Yves Klein con quien entabló gran amistad. Ambos formarán parte del movimiento conocido como “Nouvelle Réalité”, (Nueva Realidad) tal como lo promovió el crítico Pierre Restany, su fundador. Al mudarse a París en 1949, Arman prosiguió estudios en el Louvre. En esta época formativa fue perfilando los intereses que consolidarán su obra futura. Es así que en esos años cincuenta, tres importantes personajes tuvieron en él fuerte impacto: el tipógrafo holandés Hendrik Nicolaas Werkman, de quien Arman extrajo el recurso de la repetición, una constante en su obra; Kurt Schwitters, de quien aprendió el valor de los desechos y su reinserción como materia artística en sus collages y ensamblajes de objetos encontrados; y Jackson Pollock, artista del expresionismo abstracto norteamericano, de quien se interesó por su procedimiento de cubrir con pintura y chorreados toda la superficie de la tela hasta el borde. Estos tres referentes fueron determinantes en él tanto en su obra pictórica como en relieves y piezas volumétricas. Con el tiempo Arman abandonó la pintura y se acercó cada vez más al objeto. Su pasión por coleccionar iba en aumento y, a partir de 1958, realizó su particular “reciclaje” de cosas trabajando de tres maneras: 1. utilizando la gestualidad pictórica cuando, por ejemplo, aplicaba pigmento directo del tubo sobre los objetos; 2. acumulando y serializándolos visto en cajas como en las esculturas de maletas y relojes que hemos antes comentado, y, 3. usando la violencia al destrozar pianos y muebles en su serie de Cóleras. Todo ello son gestos, al fin y al cabo, que determinan el estado de los objetos sometidos a una acción dinámica como su personal procedimiento artístico.
durée : 00:14:16 - Découvrez les invités du salon du livre régional du Lardin Saint-Lazare - Le Salon du Livre Régional, qui est gratuit, se déroule ce dimanche 5 novembre 2023 à la salle des fêtes du Lardin St Lazare. 30 autrices et auteurs seront au rendez-vous avec pour invité d'honneur Thierry de Carbonnières, homme de théâtre, de télévision, de cinéma et de lettres.
Nous avons décidé de rentrer à pied à Saint-Lazare. Cela fait du bien de marcher dans Paris, car Paris change tout le temps : il y a de nouvelles boutiques, d'autres qui ont fermé, de nouvelles installations, des travaux, des vélos, de nouvelles modes. Et puis, c'est un moyen de vivre une expérience unique : le changement de quartier. www.onethinginafrenchday.com
After spending the afternoon at the hammam, my friend Geraldine and I did not feel like taking the metro back to Saint-Lazare. The weather was nice so we decided to walk instead. It was a nice walk because Paris is a city that changes a lot, and as you walk, you can really feel the change from one neighborhood to another. We stopped to eat a little something in a boulangerie. In the notes that come with the transcript, we will study how to talk about a place, un endroit in French. So to cultivate your French, you could subscribe to the transcript, enjoy the written text, read it in your mind or aloud and discover what I wished to higltit for you. . The subscription costs four euros a month. When you subscribe, you receive the transcript of the 10 latest episodes. www.cultivateyourfrench.com
Saints du jour 2023-07-29 Sainte Marthe et Saint Lazare by Radio Maria France
Vous avez peut-être remarqué que le son est différent, aujourd'hui. Je suis dans le square des Batignolles. Il fait très beau. Nous sommes en fin de matinée, j'ai rendez-vous avec Anne-Laure dans un café, rue Legendre. Je me suis dit que j'allais profiter de cette traversée du square pour enregistrer cet épisode. Le square des Batignolles est au niveau de la station Pont Cardinet, donc juste avant Saint-Lazare. www.onethinginafrenchday.com
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Pour vous abonner à nos grandes émissions hebdomadaires en format intégral sans publicité pour le prix d'un café par mois, rien de plus simple, il suffit de cliquer ici : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Interview de Thérèse Charles-Vallin pour son ouvrage « Les Chénier - Destinée Renommée Fraternité » aux Editions de la Bisquine. Le propos principal de l'ouvrage est de faire la biographie croisée de deux frères, André et Marie-Joseph, dont la vie s'est trouvée bouleversée par la Révolution française, qu'ils ont dans un premier temps soutenu. André : poète, passionné de culture antique, talentueux, guillotiné le 25 juillet 1794 à 31 ans pour ses virulentes critiques à l'encontre des tribunaux d'exception de la Terreur. Marie-Joseph : dramaturge, engagé politiquement dans une certaine radicalité, mais qui participe le 9 thermidor à une conspiration pour mettre fin à la dictature exercée par ceux qui furent ses anciens amis politiques. Les deux frères sont très imprégnés de culture gréco-latine, sont nés et ont vécu une partie de leur enfance à Constantinople. Leur arbre généalogique montre une famille de gens honnêtes, plutôt bourgeois et ayant eu à son actif quelques beaux mariages. Leur père se retrouve à Constantinople pour le travail (il est dans le commerce du textile, et la situation internationale est favorable), leur mère est grecque et de très bonne famille. La famille (de 8 enfants) mène grand-train et à une vie mondaine développée. De retour en France, les deux frères sont séparés pendant de longues années le temps que leur père puisse subvenir aux besoins de sa nombreuse famille. André suit finalement la carrière des armes et obtient un certificat de noblesse qui n'est pas reconnu. Marie-Joseph quant à lui écrit des pièces de théâtre politique qui connaissent un certain succès (comme sa pièce Charles IX). Les deux frères ne se ressemblent pas : André est sans le sou quand Marie-Joseph mène grand train. Là où ils semblent se retrouver, c'est au travers de la politique. Dans le milieu politique de la Révolution française, les deux frères comptent de nombreux amis bien placés : Danton, Marat, David … Pourtant, les positions de Marie-Joseph sont plus radicales que celles d'André, bien plus critique envers les débordements induits par la Révolution. Déjà, il en montre les excès, et il va de plus en plus loin dans la critique. Cela amène les deux frères à se déchirer autour d'un virulent article d'André. Le Comité Révolutionnaire finit par envoyer André en prison à Saint-Lazare. Silence de son frère, qui aurait pourtant tenté d'empêcher son exécution. Le 10 mars 1793, André est condamné à mort. La vie continue pour Marie-Joseph, qui entre à l'Académie française, voit l'arrivée de Napoléon au pouvoir. Il fait publier les œuvres d'André, « reconnu comme le plus grand poète du XVIIIe siècle ».
La semaine dernière, samedi soir, Caroline et moi nous sommes retrouvées pour passer un moment ensemble. Nous avions rendez-vous à Saint-Lazare. De là, nous avons pris le métro, la ligne 3, jusqu'à Parmentier. Nous avons marché rue Oberkampf. C'est une rue très animée, avec beaucoup de restaurants différents. Il y a aussi un endroit où l'on peut écouter de la musique. www.onethinginafrenchday.com
On Saturday evening ten days ago, my friend Caroline and I met at Saint-Lazare. We had dinner in a nice pizzeria near the trendy and lively rue Oberkampf, in the eleventh arrondissement, in the east of Paris. But, did we really go that far to have pizza? Not really. We had a plan ! This is what you are going to hear in this episode. Caroline and I have known each other since our daughters Micaela and Juliette were only a few months old. We were leaving in the same Résidence. Do you think we started by saying « tu » or « vous » to each other the first time we met? We are almost the same age. Is it difficult to guess? Well, the answer is also in this episode. In the notes that come with the transcript, I will highlight for you 3 expressions that you could use in your own French conversations, they are simple but efficient expressions. I will also tell you how we use vous or tu in different everyday life circumstances. So, to cultivate your French, you could subscribe to the transcript at www.cultivateyourfrench.com
Croissance ou rentabilité ? Le débat refait surface alors que les investisseurs sont beaucoup plus regardant sur les business models depuis 6 mois. Exit les levées de fonds gigantesques et les valorisations démesurées. Incertitudes sur l'économie, inflation à 2 chiffres en zone euro, remontée des taux, l'environnement a radicalement changé. Je suis allé voir l'un de ces champions de la croissance de la French Tech, PayFit. C'est une solution de gestion de paie simple et automatisée qui s'adresse aux TPE/PME. Une vraie réussite jusqu'ici avec 1000 salariés, près de 10.000 clients et 200.000 employés dont la fiche de paie est gérée par la scale-up. Retour sur un très joli parcours et questions pour le futur : où sera PayFit dans quelques années ? Le co-fondateur, Firmin 30 ans, reçoit tech 45' au siège parisien, à 5 mn de la gare Saint Lazare, bon épisode ! PayFit en chiffres = Présence dans 4 pays, France puis Espagne et Allemagne depuis 2018 + Royaume-Uni en 2019 1000 salariés PayFit 10.000 clients pro (TPE, PME) 200.000 employés utilisent la solution tous les mois Financement = près de 500M€ levés au total Valorisation : 1,8 Md€ Aller plus loin leur mega-tour (254M) de début 2022 (Itw à Challenges) leur clip de l'automne 2022
La semaine dernière, Marilyne et moi vous avions emmenés faire un tour aux Grands magasins dans le quartier entre Saint-Lazare et Opéra. Nous avions fait un tour au Printemps, le grand magasin créé en 1865 par Jules Jaluzot, puis chez Lafayette Gourmet où nous avions goûté les pâtisseries de Jeffery Cagnes. Aujourd'hui, nous allons aux Galeries Lafayettes, le grand magasin à la coupole de verre, créé trente ans après le Printemps, par deux cousins venus des Vosges, Théophile Bader et Alphonse Kahn. Les Galeries Lafayette se trouvent dans le prolongement du Printemps, sur le boulevard Haussmann, en direction de l'Opéra Garnier. www.onethinginafrenchday.com
Pour ces épisodes de l'été, je vous propose une grande promenade à Paris. C'est agréable Paris l'été. On peut déambuler, regarder, s'intéresser, imaginer, prendre le temps de flâner. Notre grande promenade nous a déjà emmenés dans le quartier des Batignolles, à la recherche de la statue de Maria Deraismes. Depuis la semaine dernière, nous sommes dans le quartier de l'Europe juste au-dessus de la gare Saint-Lazare. Anne-Laure m'accompagne et ensemble nous croisons des personnages qui ont marqué cette zone de Paris, des personnages connus ou moins connus. Aujourd'hui, nous partons sur les traces de tableaux de Manet et de Caillebotte. Dans le transcript avec notes, à l'occasion de cette promenade, vous recevez aussi des notes culturelles à écouter, ainsi que des photos de notre promenade. La semaine prochaine, le podcast prendra une pause estivale de trois semaines, mais pas pour les abonnés au transcript qui recevront une série d'épisodes sur un thème sucré ! Je leur en laisse la surprise. Nous continuerons notre promenade de l'été fin août, avec une dernière étape. Pour cette dernière étape, nous reviendrons dans le temps présent en faisant la connaissance d'un personnage bien réel ! Bien sûr, je reviendrai avant notre départ pour la réponse à la devinette et vous en proposer une nouvelle ! www.onethinginafrenchday.com
Saints du jour 2022-07-29 Sainte Marthe, Saint Lazare et Saint Loup by Radio Maria France
Aujourd'hui, changement de décor. Après être partis à la recherche du livre Lisière de Kapka Kassabova à la libraire Galignani, l'une des plus anciennes de Paris qui se situe en face du jardin des Tuileries, nous nous dirigeons vers la place de Clichy afin de récupérer notre deuxième exemplaire à la librairie de Paris. La place de Clichy se situe au nord de la gare Saint-Lazare, de là on peut rejoindre Montmarte à pied en passant par le quartier de Pigalle. C'est donc une tout autre ambiance parisienne. La suite du texte est dans le TRANSCRIPT, abonnez-vous! http://bit.ly/OneThingTranscripts