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Dans cet épisode de LONG LIVE, je reçois Jean-Luc Hudry, conférencier, entrepreneur et auteur, qui a modélisé un concept aussi puissant que concret : l'optimisme opérationnel.Ici, pas de pensée magique, pas d'injonction à “voir la vie en rose”. Jean-Luc parle d'un optimisme ancré dans le réel, qui se construit dans l'action, la confrontation aux difficultés et les résultats obtenus sur le terrain.On parle de travail, de management, d'entrepreneuriat, mais aussi de vie tout court.Pourquoi fuir les problèmes nous affaiblit ?Comment se confronter aux situations difficiles peut, au contraire, renforcer la confiance et le mental ?Et comment transformer l'optimisme en levier de développement, de croissance et de performance, aussi bien individuelle que collective ?À travers son parcours personnel et professionnel, Jean-Luc partage une vision lucide, exigeante et profondément inspirante : voir les choses telles qu'elles sont, agir, apprendre, et bâtir un optimisme fondé sur des faits — pas sur des promesses.Un épisode dense, galvanisant et très concret, pour celles et ceux qui veulent arrêter de subir et commencer à avancer, debout !Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Je vous emmène, en compagnie d'Anne-Laure, sur la plus belle avenue du monde : les Champs-Elysées. Dans cet épisode, nous nous demandons ce que les Champs-Elysées nous évoquent. Les réponses sont nombreuses, car les Champs-Elysées font partie de notre histoire collective. Nous passerons au Drugstore Publicis, une sorte de mini-grand-magasin situé tout en haut des Champs-Elysées. C'est un des endroits très sympa des Champs. Ensuite, nous partirons dans le 8e arrondissement à la recherche d'une pagode et nous arriverons dans le quartier de Saint-Lazare pour un chocolat chaud. Entre temps nous aurons visité l'église Saint-Augustin. Le podcast n'est qu'une partie de l'expérience, retrouvez les notes culturelles et les photos de cette balade en vous abonnant sur www.onethinginafrenchday.com
Une semaine sur deux, je retrouve David Ordono dans LONG LIVE – Le Débrief.L'idée est simple : revenir ensemble sur l'épisode précédent pour voir comment la parole d'un expert résonne dans nos vies, et comment on peut passer de la science à notre réalité quotidienne.Cette semaine, on débriefe mon échange avec le Dr Laurent Chevalier (auteur du livre Le pouvoir fascinant de nos mitochondries), consacré aux mitochondries — ces minuscules centrales énergétiques qui vivent à l'intérieur de nos cellules et dont dépend notre vitalité.Avec David, on se pose des questions très concrètes :Pourquoi on ne nous a jamais parlé de ça avant ?Comment penser sa santé à l'échelle de la cellule change notre rapport au corps, au sport, à l'alimentation, aux toxiques du quotidien ?On revient sur ce qui nourrit ou abîme nos mitochondries : le bio, le sport régulier, la lumière, le sommeil… mais aussi l'alcool, le tabac, certains médicaments, les pesticides, ou encore les produits cosmétiques que l'on utilise sans y penser.Et surtout, on partage ce que cet épisode a provoqué chez nous : une prise de conscience, beaucoup d'espoir, et une autre manière — plus motivante — de prendre soin de soi, non pas pour « corriger » son corps, mais pour nourrir la beauté de la vie à l'intérieur.Un débrief passionnant, inspirant et très humain, pour continuer à explorer ce que la science peut nous apprendre… quand on la ramène à l'échelle de notre quotidien.Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Dans cet épisode, je reçois le Dr Laurent Chevalier, médecin nutritionniste et auteur du livre Le pouvoir fascinant de nos mitochondries — ces petits organites fascinants, présents par dizaines dans chacune de nos cellules, et qui produisent l'énergie nécessaire à tout ce que notre corps fait au quotidien !Cheveux, cœur, peau, muscles… tout dépend de ces minuscules centrales énergétiques.Avec lui, j'ai découvert à quel point la santé de nos mitochondries influence notre vitalité, notre vieillissement, nos performances, notre immunité, et potentiellement même l'apparition de nombreuses maladies. Alors on plonge dans ce monde de l'infiniment petit pour comprendre comment fonctionnent les mitochondries, ce qui les renforce, ce qui les fragilise, et comment un dysfonctionnement mitochondrial peut être impliqué dans des troubles aussi variés que la fatigue chronique, certaines maladies auto-immunes, les troubles de la mémoire, ou même le vieillissement.On parle alimentation (et pourquoi le bio n'est pas un détail), pesticides, alcool, médicaments, sommeil, froid, activité physique régulière, entraînement à jeun, lumière naturelle et infrarouge… tout ce qui, très concrètement, peut aider nos cellules à mieux produire de l'énergie.Et vous allez voir : mieux comprendre nos mitochondries, c'est remettre du bon sens dans la prévention.Un épisode passionnant, enthousiasmant, et surtout très utile pour apprendre à prendre soin de sa santé en partant de la base : nos cellules.Bonne écoute — et prenez soin de vos mitochondries… elles vous le rendront ! Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Comment le DOOH (Digital Out of Home) transforme-t-il notre manière de percevoir la publicité dans un monde saturé de messages ? Dans cet épisode captivant de L'Instant MARKETING COMMUNICATION, Florian Grimault s'entretient avec Aurélie Guyot une experte dans le secteur sur les stratégies de vente innovantes et l'impact du marketing émotionnel à travers des campagnes mémorables. Ensemble, ils plongent dans l'univers fascinant du DOOH, un outil puissant qui permet de créer des expériences immersives pour les passants, tout en soulignant l'importance du lieu, du format et du storytelling pour garantir le succès d'une campagne OOH. Découvrez comment une campagne marquante à la gare Saint-Lazare a su captiver l'attention d'un large public grâce à des vidéos projetées de manière stratégique. Cet exemple illustre non seulement l'analyse des tendances actuelles en matière de communication, mais aussi l'importance d'établir un lien affectif avec les consommateurs. Dans un environnement où le marketing digital et les réseaux sociaux dominent, il est essentiel de se démarquer par des approches créatives et engageantes. Les intervenants discutent également des défis et des opportunités liés à l'embauche marketing, en particulier à l'approche des JO de Paris. Comment les marques peuvent-elles générer un intérêt médiatique tout en respectant les contraintes juridiques ? Ce questionnement ouvre la voie à des stratégies de communication innovantes qui intègrent l'influence marketing et le contenu généré par les utilisateurs, renforçant ainsi l'engagement autour des marques, notamment dans le secteur du voyage. Ce podcast communication de marque vous offre des conseils d'experts en marketing, vous permettant de mieux comprendre les enjeux du DOOH et son rôle dans l'évolution du marketing sportif et du sponsoring sportif. En explorant des thèmes tels que l'analyse des médias et le monitoring de l'impact, vous serez en mesure de développer une stratégie de communication efficace qui répond aux besoins de votre audience. Ne manquez pas cette occasion d'approfondir vos connaissances sur le DOOH et d'explorer comment il peut révolutionner votre approche marketing. Rejoignez-nous dans L'Instant MARKETING COMMUNICATION pour un décryptage des tendances événementielles et une analyse des performances podcast qui vous aideront à devenir dircom dans un monde en constante évolution. suivez L'instant Marketing Communication de Florian GRIMAULT sur les réseaux sociaux LinkedIn linkedin. com/company/l-instant-marketing-communication-de-florian-grimault/? viewAsMember=true">https://www. linkedin. com/company/l-instant-marketing-communication-de-florian-grimault/? viewAsMember=true Site internet : net/">https://albatrosconseil. net/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une semaine sur deux, je retrouve David Ordono dans LONG LIVE – Le Débrief.Le concept est simple : on revient ensemble sur l'épisode précédent pour voir comment la parole d'un expert résonne dans nos vies… et surtout comment on peut passer de la théorie à la pratique.Cette semaine, on revient sur ma discussion avec Émilie Demoly, diététicienne, micronutritionniste et spécialiste de santé fonctionnelle. On parle de compléments alimentaires, de carences, de micronutrition et de prévention.Avec David, on essaie de comprendre : à quoi servent vraiment ces gélules qu'on voit partout ?Faut-il en prendre toute l'année ?Comment éviter les carences sans tomber dans l'excès ?Et surtout, comment écouter son corps pour repérer les petits déséquilibres avant qu'ils ne deviennent de vrais problèmes de santé.Un échange sincère et concret, entre scepticisme, curiosité et bon sens, pour apprendre à optimiser sa santé au quotidien sans tomber dans le piège du “tout supplément”.Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Est-ce que vous prenez des compléments alimentaires ? Vous ne savez pas lesquels choisir ? Ou vous vous sentez un peu perdu·e face à l'offre infinie de gélules, poudres et vitamines ?Dans cet épisode de LONG LIVE, je reçois Émilie Demoly, diététicienne, micronutritionniste et spécialiste de la santé fonctionnelle.Ensemble, on fait le tri des idées reçues et on explore le vrai rôle des compléments alimentaires :quand sont-ils utiles ?Lesquels peuvent vraiment nous aider ?Et surtout, comment éviter de se laisser berner par le marketing ?On parle microbiote, stress, sommeil, énergie, santé mentale, peau, cheveux, ongles, mais aussi de nos enfants !Et de cette idée essentielle : honorer sa vitalité, c'est nourrir ses cellules.Un épisode hyper concret pour mieux comprendre ce que notre corps demande — et apprendre à lui donner ce dont il a besoin !Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Une semaine sur deux, je retrouve David Ordono dans Le Débrief, pour revenir sur l'épisode précédent et voir comment la parole d'un expert résonne dans nos vies — et surtout, comment on peut passer de la théorie à la pratique!Cette semaine, on revient sur ma rencontre avec le Dr Mourad Aissou, anesthésiste-réanimateur et spécialiste de la douleur chronique. On parle de cette « mémoire de la douleur » inscrite dans le cerveau, de ces signaux qui persistent alors même que la cause a disparu, et des solutions concrètes pour reprogrammer le corps et l'esprit : activité physique, thérapies cognitives, neuromodulation, et surtout, mouvement.Un échange passionnant et optimiste, qui remet le corps au centre de la santé et montre qu'il est possible de vivre mieux avec moins de douleur — grâce à la science, au sport, et au bon sens!Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Dans cet épisode de LONG LIVE, je reçois le Dr Aissou, anesthésiste-réanimateur et spécialiste de la douleur.Saviez-vous que près de 40% des Français souffrent de douleurs chroniques ?Et que pour beaucoup, il n'existe aucune cause organique identifiable ?Ensemble, on plonge dans le fonctionnement fascinant — et parfois déroutant — du cerveau lorsqu'il est confronté à la douleur qui s'installe.On parle de :pourquoi ce n'est pas “dans la tête”, mais bien dans le cerveau,comment la douleur peut modifier notre humeur, notre énergie, notre sommeil, notre immunité,et surtout comment réentraîner notre cerveau pour diminuer la douleur, retrouver du mouvement, du plaisir… et de l'espoir.Le Dr Aissou nous partage des pistes concrètes : activité physique adaptée, techniques de neuromodulation, thérapies cognitives, nutrition, gestion de l'insomnie…Bref, un épisode riche, hyper pédagogique, et profondément utile pour tous ceux qui vivent avec la douleur — de près ou de loin.Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Une semaine sur deux, je retrouve David Ordono dans LONG LIVE – Le Débrief. L'idée, c'est de revenir ensemble sur l'épisode précédent pour voir comment la parole d'un expert résonne dans nos vies… et surtout comment on peut passer de la théorie à la pratique.Cette semaine, on revient sur notre échange passionnant avec Albane Reclus, autour de l'index glycémique, des sucres et de la relation que nous entretenons avec eux.On parle des idées reçues, des bons réflexes, de nos propres habitudes : la pomme de terre, le gras, les fruits, le plaisir de manger… et même la fameuse purée !C'est un débrief plein d'humour, de bon sens et de conseils concrets pour dédramatiser le sucre, comprendre comment il agit sur notre corps et apprendre à mieux le vivre — sans culpabilité et sans frustration.Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Dans cet épisode de Long Live, je reçois Albane Reclus, coach en nutrition et autrice du livre Ma journée IG bas.Ensemble, on décode le vaste sujet du sucre et de l'alimentation à index glycémique bas (IG bas).Pourquoi certains aliments font-ils grimper notre glycémie plus que d'autres ?Faut-il vraiment se méfier du sucre ?Et comment trouver un équilibre entre santé, plaisir et simplicité au quotidien ?Albane partage avec clarté et pédagogie les fondamentaux scientifiques de l'index glycémique, explique la différence entre glucose, insuline et résistance à l'insuline, et livre une foule d'astuces concrètes pour éviter les pics de fatigue, les fringales et les déséquilibres.De mon côté je veux poser les questions que nous nous posons tous : faut-il encore croire aux “sucres rapides et lents” ? Quid des féculents, du pain, ou encore des fruits ?Et en fin d'épisode, vous entendrez, on fait le tri entre les aliments amis et ceux qu'il vaut mieux consommer avec modération.Savez-vous, par exemple, dans quel camp ranger la pomme de terre ?Un échange limpide, vivant et déculpabilisant — pour mieux comprendre le rôle du sucre, faire la paix avec son assiette et retrouver des repas équilibrés, sans prise de tête !Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Comment TUI France parvient-elle à captiver l'attention des consommateurs dans un secteur aussi concurrentiel que celui du voyage ? Dans cet épisode de L'Instant MARKETING COMMUNICATION, Florian Grimault reçoit Aurélie Guyot, Directrice Marketing de TUI France, qui nous dévoile les secrets de ses campagnes marketing innovantes et émotionnelles. Aurélie nous plonge au cœur des stratégies de vente qui transforment l'expérience client et renforcent l'identité de la marque. Au fil de la conversation, elle aborde le partenariat stratégique avec l'émission Koh Lanta, une collaboration marquante qui illustre parfaitement l'importance du marketing émotionnel. En parallèle, Aurélie partage les détails des collaborations avec Disney pour les films Mufasa et Elio, mettant en lumière comment le licensing et les partenariats peuvent capter de nouveaux publics tout en renforçant la notoriété de la marque. Mais ce n'est pas tout ! Aurélie souligne également l'activation DOOH à la gare Saint-Lazare, ainsi que l'impact du marketing d'Ambush pendant les JO, des tendances événementielles qui démontrent l'importance d'une stratégie de communication bien pensée. Elle nous explique comment TUI s'efforce d'alléger la charge mentale liée à l'organisation des vacances, une problématique cruciale pour les consommateurs d'aujourd'hui. Dans ce podcast nous découvrons également les différentes marques du portefeuille de TUI et leur complémentarité, ainsi que les défis que rencontre Aurélie en tant que directrice marketing. Grâce à son expertise, elle partage des conseils d'experts en marketing qui peuvent inspirer quiconque souhaitant devenir dircom ou évoluer dans le domaine du marketing digital. Ne manquez pas cette opportunité d'apprendre des meilleures pratiques en matière de CRM, d'analyse des tendances et de monitoring de l'impact des campagnes. Si vous êtes passionné par le marketing sportif, le sponsoring sportif, ou même le social listening, cet épisode est fait pour vous ! Rejoignez-nous pour un décryptage captivant des stratégies de communication qui font la différence dans l'actualité marketing. Avec L'Instant MARKETING COMMUNICATION, plongez dans l'univers du marketing, explorez les tendances et découvrez comment les marques peuvent engager efficacement leur audience sur les réseaux sociaux. Écoutez maintenant et transformez votre vision du marketing ! Suivez L'instant Marketing Communication de Florian GRIMAULT sur les réseaux sociaux LinkedIn linkedin. com/company/l-instant-marketing-communication-de-florian-grimault/? viewAsMember=true">https://www. linkedin. com/company/l-instant-marketing-communication-de-florian-grimault/? viewAsMember=true Site internet : net/">https://albatrosconseil. net/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau Débrief, Lucile Woodward retrouve David Ordono, journaliste et producteur du podcast, pour revenir sur la conversation passionnante de la semaine dernière avec Paul Klotz, chercheur à la Fondation Jean-Jaurès.Un épisode qui a beaucoup fait réagir, parce qu'il touche à un mal silencieux TELLEMENT répandu : la sédentarité.Lucile et David reviennent sur les chiffres chocs, les enjeux politiques et sociétaux, mais aussi sur nos habitudes du quotidien :combien d'heures passons-nous réellement assis ?Pourquoi le sport ne suffit-il pas à compenser une vie trop statique ?Et surtout, comment remettre du mouvement dans nos journées sans culpabiliser ni tout chambouler ?Ils parlent aussi du “business de la sédentarité”, de la responsabilité collective, de la place du sport dans la société et de l'impact économique colossal d'un mode de vie trop immobile.Un débrief vif, drôle et inspirant, entre anecdotes, prises de conscience et vraies pistes d'action pour, enfin, faire bouger les choses — au sens propre comme au figuré.Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Aujourd'hui, je reçois Paul Klotz, chercheur à la Fondation Jean-Jaurès et expert sur le sujet de la sédentarité.Avec lui, on a parlé d'un sujet qui nous concerne tous, sans exception : le fait de rester trop assis.Ce mal discret, presque invisible, qui s'est glissé dans nos quotidiens – au bureau, en voiture, sur le canapé – et qui, petit à petit, impacte notre santé, notre moral et notre société tout entière.Paul met en lumière les enjeux profonds derrière cette habitude : comment nos modes de vie, notre urbanisme et notre rapport au travail ont peu à peu fabriqué une population sédentaire. Mais surtout, il nous aide à prendre du recul, à comprendre comment bouger davantage sans tout révolutionner, avec des gestes simples, accessibles, et efficaces.Un épisode qui fait réfléchir, bouger… et qui, je l'espère, vous donnera envie de remettre du mouvement dans votre vie.Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
Un samedi de cet été, je suis allée récupérer une commande de livres que j'avais passée chez Gibert, à Saint-Michel. J'ai dû rentrer en bus jusqu'à Saint-Lazare, en prenant le 21. Trois jeunes femmes installées derrière moi, trois amies étudiantes, parlaient, assises au fond du bus. Un peu malgré moi, j'ai suivi leur conversation : leur projets pour la fin août, où trouver les meilleurs débardeurs blancs et finalement « l'année prochaine ». L'une d'elles habitera le 17e à la rentrée. Dans cet épisode, on évoque : Paris, le 17e arrondissement, le parc Martin Luther King, la place de Clichy, la gare Saint-Lazare, le bus 21. On parle du fait d'être Parisienne, de la vie à Paris, du fait de changer de quartier et de la vie étudiante à Paris. Pour le transcript et les notes culturelles : www.onethinginafrenchday.com
C'est l'été, par un chaud samedi après-midi, je suis dans le bus 21 qui, je le crois, me ramène vers Saint-Lazare. Trois jeunes femmes discutent derrière moi et, un peu malgré moi, bercée par le bus, je suis leur conversation. Après avoir parlé de leurs plans pour la fin août, elles parlent maintenant des débardeurs blancs. Nous sommes dans un bus à Paris. Les trois jeunes femmes sont étudiantes. Il est question de shopping, de prix, de qualité des vêtements et d'une nouvelle d'Italo Calvino. www.onethinginafrenchday.com
Un samedi de cet été, je suis allée récupérer une commande de livres que j'avais passée chez Gibert, à Saint-Michel. J'ai dû rentrer en bus jusqu'à Saint-Lazare, en prenant le 21. Trois jeunes femmes installées derrière moi, trois amies étudiantes, parlaient, assises au fond du bus. Un peu malgré moi, j'ai suivi leur conversation : leur projets pour la fin août, où trouver les meilleurs débardeurs blancs et finalement « l'année prochaine ». L'une d'elles habitera le 17e à la rentrée. Dans cet épisode, on évoque la librairie Gibert, le quartier de Saint-Michel, la Place de Clichy, le bus 21, le 17e arrondissement de Paris, la vie étudiante à Paris. On évoque aussi le fait que les Parisiens ne sont pas toujours bien vus. Pour le transcript et les notes : www.cultivateyourfrench.com
Un samedi après-midi, je me retrouve à Paris, à Saint-Michel. La ligne 4 est fermée. Je suis chargée et j'ai envie de rentrer tranquillement, pas de marcher sous le soleil de plomb pour rejoindre Châtelet. C'est alors que je remarque qu'un bus 21 va bientôt arriver. C'est parfait, le 21 me déposera à Saint-Lazare. Et c'est ainsi que ma petite aventure commence. Le bus 21 passe par la rue de Rivoli, près du Louvre, à Opéra et place de Clichy. www.onethinginafrenchday.com (pour l'abonnement aux notes et aux transcripts)
Dans cet épisode, nous vous emmenons à Chypre.Pays séduisant par son mélange de cultures grecque et turque, par ses eaux turquoise, ses montagnes verdoyantes, ses sites antiques, ses villes pleines de charme, et son climat doux toute l'année, Chypre offre un voyage authentique et dépaysant.LarnacaSi vous décidez [de réaliser un itinéraire de 1 semaine à Chypre: https://www.selectour.com/chypre/sejour] et que vous vous demandez par où commencer, nous vous conseillons de débuter par Larcana. Baladez-vous sur la promenade de Finicoudès, visitez la mosquée Hala Sultan Tekke, au bord du lac Salé. Passez par l'église Saint-Lazare. La vieille ville de Larnaca est à visiter pour son église Lazaros d'une architecture byzantine. Le tombeau de Lazare est situé sous l'église.NicosieLa seconde étape de notre itinéraire de 1 semaine à Chypre se déroule dans la capitale, Nicosie. Elle est divisée en deux depuis 1974, d'un côté vous serez en Europe, en Chypre du Sud, de l'autre vous serez dans la partie Chypre-Turc. On peut visiter la partie Sud où il y a la vieille ville fortifiée et le musée de Chypre. Au Nord, il y a le musée de Mevlevi, du street art, etc.LimassolNous continuons notre itinéraire de 1 semaine à Chypre avec Limassol. Passez par les montagnes du Troodos à plus de 1 900 mètres d'altitude. Il y a beaucoup de petits villages comme Ómodos ou Kakopetria. Vous pouvez faire de belles randonnées en forêt avec des dégustations de vins locaux et visiter le monastère byzantin de Kykkos, vous avez aussi le jardin botanique de Troodos et les cascades Millomeris. Juste à côté de Troodos, vous avez la colline de Throni où repose la tombe du premier président de Chypre, Makarios III.Une fois arrivé à Limassol, visitez la vieille ville qui est pleine de charme et découvrez le château de Limassol. Côté plage paradisiaque, partez à la découverte Ayia Napa. Ensuite, direction le fabuleux site archéologique de Kourion Beach.PaphosDans notre itinéraire de 1 semaine à Chypre, nous vous proposons de terminer par Paphos, ville classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. Visitez les mosaïques de Kato Paphos, le tombeau des rois et terminez par une baignade près de Petra tou Romiou, le rocher d'Aphrodite. Découvrez l'épave d'Edro III Shipwreck, un bateau qui s'est échoué proche du rivage le 08/12/2011 à cause d'une tempête. À proximité de l'épave, vous pourrez observer les fameuses Sea Caves qui se trouvent à Paphos, ce sont des grottes creusées par la mer de couleurs blanches et ocres.Pourquoi voyager à Chypre ?Si vous cherchez un voyage riche, dépaysant, authentique, Chypre est une bonne adresse. Vous pouvez passer de la mer à la montagne, découvrir deux cultures en un seul pays, goûter la gastronomie grecque et surtout rencontrer des gens chaleureux et fiers de leur île. Chypre, on n'y pense pas toujours et c'est justement ce qui fait tout son charme.Si vous souhaitez en savoir plus sur la destination et, pourquoi pas, préparer votre prochain [séjour à Chypre: https://www.selectour.com/chypre/sejour], n'hésitez pas à faire appel à nos [experts: https://www.selectour.com/agent/recherche?postalCode=&city=&favoriteDestination=CY&page=1] !À bientôt dans le cockpit !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Saints du jour 2025-07-29 Sainte Marthe et Saint Lazare, Bienheureux Urbain II, Saint Olaf by Radio Maria France
On sait à peu près tout d'elle mais on a toujours quelque chose à en dire. De Victor Hugo à Mark Twain, de Léon Gambetta à Jules Michelet, Jeanne d'Arc a reçu les éloges de tous y compris des anti cléricaux. Sa statue rayonne autant que son statut intrigue. Sainte ou sorcière, l'Église a tranché longtemps après l'avoir fait bruler. Si la pucelle fascine, elle façonne aussi car son destin laisse entrevoir l'action surnaturelle dans l'Histoire des Hommes. Ces voix venaient-elles du Ciel ou souffrait-elle de trouble mentaux ? C'est le sujet d'un débat qui se déroule tout à l'heure à l'espace Bernanos dans le quartier Saint-Lazare à partir de 19h30. L'entrepreneur catho Olivier Bonnassies se frotte à Thomas Guénolé, politologue athée.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La dépendance à la voiture individuelle en banlieue est un défi climatique majeur. Dans Soluble(s), Carlos Holguin, cofondateur de SuburVAN, dévoile une solution prometteuse : Rocq-Express, une navette électrique reliant Rocquencourt (78) à la gare de Vaucresson (92) en seulement 10 minutes.Gratuit et sur réservation, ce service testé en Île-de-France réduit les émissions de CO2 de 99 % en remplaçant plus de 70 véhicules par jour. Une réponse concrète pour les 14 millions de Français vivant à proximité d'une gare, mais souvent contraints d'utiliser leur voiture.SuburVAN ne s'arrête pas là. En s'appuyant sur 30 ans de recherche française en conduite autonome, l'équipe vise des navettes de niveau 4 dès fin 2025, capables de rouler sans intervention humaine sur des trajets prédéfinis, sous supervision. D'ici 2027, l'objectif est l'autonomie totale (niveau 5), avec une supervision à distance.Les défis sont nombreux : fiabilité technique, cadre réglementaire strict et sécurité. Pourtant, l'acceptabilité semble acquise, avec 50 000 usagers ayant testé leurs prototypes dans 20 villes européennes.[Lire l'article complet sur le site du podcast : https://csoluble.media/epsode/les-navettes-autonomes-la-cle-pour-une-mobilite-periurbaine-plus-verte/ ]Les banlieues, conçues pour l'automobile, sont un casse-tête pour les transports publics. Les bus, lents et peu flexibles, peinent à rivaliser avec la voiture. Rocq-Express propose une alternative rapide et écologique, reliant les habitants aux gares pour rejoindre La Défense en 34 minutes ou Saint-Lazare en 46. Soutenu par la Région Île-de-France, ce projet incarne une mobilité collective et durable.EcoutezPOUR ALLER PLUS LOIN Visiter le site de SuburVAN : https://www.suburvan.com/ TIMECODES00:00 Introduction01:33 Le parcours de Carlos Holguin 03:25 La France, pionnière du véhicule autonome05:19 SuburVan : Le concept et le problème ciblé 08:10 Pourquoi les banlieues sont-elles si dépendantes de la voiture ? 10:16 L'expérimentation Rocq-Express : comment ça marche ? 12:56 Le modèle économique 15:21 Les défis du véhicule autonome (niveau 4) 21:21 L'acceptabilité des passagers : un faux problème ?24:03 Pourquoi le transport collectif est la bonne échelle pour l'autonomie ?25:33 L'intelligence artificielle et la sécurité des navettes autonomes 28:15 Fin CITATIONS Carlos Holguin, cofondateur de SuburVAN au micro de Soluble(s) : "En France, 95% des actifs en dehors des grandes villes utilisent la voiture pour aller au travail.""Sur les dix-huit millions de personnes qui vont travailler en voiture, il y en a quatorze millions en France qui sont à dix minutes en voiture d'une gare."“[Les banlieues] Ce sont des territoires qui ont été développés dans les années soixante où l'État voulait pousser l'industrie automobile et donc, la France a créé des quartiers pavillonnaires où les habitants sont très dispersés"Mots-clés : navette électrique, mobilité durable, SuburVan, mobilité, Rocquencourt, Vaucresson, véhicule autonomeSi vous aimez cet épisode, vous aimerez aussi (et vice-versa ;-) :Chaleur Humaine - La Terre au Carré - Basilic - Les Pieds sur terre - Sur Le Fil - Impact Positif Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vendredi 11 avril, à l'espace Bernanos, à Paris, dans le 9ème arrondissement, près de Saint-Lazare, un débat ouvert au public à partir de 19h30 va opposer Olivier Bonnassies à Thomas Guénolé. La question : avons-nous des preuves de l'existence de Dieu ? Une question éminemment fondamentale. Olivier Bonnnassies, polytechnicien entrepreneur a fondé le magazine « 1000 raisons de croire » et l'association Marie de Nazareth. Il avait fait sensation en publiant avec Michel-Yves Bolloré « Dieu, la science, les preuves, l'aube d'une révolution » aux éditions Guy Trédaniel en 2021. Une campagne de publicité assez forte avait été faite autour de ce livre. Thomas Guénolé est politologue, écrivain, il se revendique athée, professeur de relations internationales à la Schiller International University, sur le campus de Paris, chroniqueur à l'émission « Touche pas à mon poste » TPMP, la fameuse émission de Cyril Hanouna. Olivier Bonnassies et Thomas Guénolé sont au micro de Louis Daufresne. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 5 juin 2013, à l'occasion d'une vente privée de vêtements dans le centre de Paris, des militants antifascistes ont déclenché une rixe avec un groupe de skinheads d'extrême droite, entraînant le décès du militant « antifa » Clément Méric. Sa mort a soulevé une vague d'indignation et a posé la question de l'interdiction des groupes ultranationalistes.Un avant-goût d'été plane au-dessus de Paris. Après des semaines de grisaille, des mois chahutés par un climat politique houleux, le mercredi 5 juin 2013 profite d'une éclaircie. Au numéro 60 de la rue de Caumartin, une petite artère perpendiculaire aux grands boulevards, à mi-chemin entre le Palais Garnier et la gare Saint-Lazare, un attroupement flâne au soleil, les bras remplis de sacs. La société de distribution The Lifestyle Company organise une vente privée, mise à profit par de grandes marques souhaitant confier un stock de vêtements à liquider. Au choix, des chemises Ben Sherman, des vestes Fred Perry, ou encore ses fameux polos à liserés blancs, très appréciés par les mouvements radicaux. Deux camps qui se détestent, s'affrontent dans le pays depuis des décennies, depuis les années 80, quand red warriors et skinheads, antifas versus néonazis, se pourchassaient dans les rues de la capitale...
durée : 01:18:44 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - Des récits intimes sur la prison, la vie d'avant et d'après, c'est ce que propose en 1992 cette "Nuit magnétique" intitulée "La prison au féminin pluriel, de face et de profil". Paroles de femmes, historienne, criminologue, surveillante et détenue, avec notamment Michèle Perrot. - réalisation : Thomas Jost - invités : Michelle Perrot Historienne spécialiste de l'histoire des femmes, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris Cité
durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - L'émission "Visitez Paris avec nous" proposait le 21 mai 1950 une visite de la Gare Saint-Lazare à Paris.
Henri Cartier-Bresson prend ses quartiers d'été en Bretagne dans le Finistère nord. C'est à Landerneau que se niche le fonds Hélène et Édouard Leclerc, où une exposition monographique est programmée tous les ans. Après la peinture et le street art, c'est la première fois qu'une exposition y est dédiée à la photographie. Et c'est un parcours chronologique qui est proposé où l'on part sur les traces de celui qui a été surnommé « l'œil du siècle » et qui a parcouru le monde. Quand on pense Henri Cartier-Bresson, on pense à la notion d'instant décisif qui fait la force de ses clichés. Mais pour Clément Chéroux, le commissaire de l'exposition, il y a plusieurs Cartier-Bresson.« Cette exposition, qui présente 300 photographies dans un ordre plutôt chronologique, parcourt le XXe siècle. Elle montre qu'au-delà du Cartier-Bresson bien connu, de ses chefs-d'œuvre, il y a un photographe surréaliste au début des années 1930, un photographe qui crée la fameuse agence Magnum avec Robert Capa après la Seconde Guerre mondiale », explique Clément Chéroux.Il parcourt le monde et se retrouve aux moments clés de l'histoire aux premières loges. Une chance ? Pas seulement.« Cartier-Bresson était quelqu'un qui lisait beaucoup la presse. Tous les matins, il lisait les journaux et il était très au courant des affaires du monde, dans son pays, mais aussi à l'étranger. Ce qui explique qu'il était très souvent au bon endroit, au bon moment, précise le commissaire de l'exposition. Au moment de l'assassinat de Gandhi à New Delhi, au moment où Mao Zedong arrive au pouvoir en Chine, à Cuba, juste après la crise des missiles... Il y avait chez lui une très grande perception de là où il fallait être pour un photographe qui, essentiellement à cette époque-là, travaille avec la presse. »Saisir l'instantUn photographe qui aime aussi beaucoup déambuler et saisir ainsi l'instant singulier. Comme dans cette image, parmi les nombreuses photos iconiques qu'on peut voir dans l'exposition. Elle est intitulée « Derrière la gare Saint-Lazare ». Il l'a prise en 1932.« Cartier-Besson vient tout juste d'acheter un petit appareil Leica, considéré à l'époque comme un appareil miniature, très léger. Il voit entre deux planches de chantier un homme qui saute au-dessus d'une flaque d'eau. C'est une image où, à l'instant d'avant, le personnage n'aurait pas été en suspension dans l'espace, dans une position quasiment de danse, qui fait écho à une affiche représentant une danseuse en arrière-plan. La photographie n'aurait pas non plus pu être réalisée l'instant après, parce que le talon du sauteur aurait touché la flaque d'eau et ridé le reflet sur lequel toute la composition de cette image est construite », analyse Clément Chéroux.Et dans cette grande rétrospective, c'est un Cartier-Bresson multiple, mais toujours humaniste, qu'on redécouvre, s'attachant à capter la figure humaine dans un visage, un regard ou un groupe. À travers ses voyages dans le monde comme photo-reporter ou chez lui, sillonnant la France après Mai-68.L'exposition Henri Cartier-Bresson au Fonds Leclerc à Landerneau, c'est jusqu'au 5 janvier.À lire aussiRencontres d'Arles: Stephen Dock questionne sa vie antérieure de photojournaliste de guerre
Le domaine de Chaumont-sur-Loire accueille chaque année un festival international des jardins qui se visite jusqu'à l'automne, mais c'est aussi le premier centre d'Arts et de nature entièrement voué à la relation entre la nature et la Culture. Treize nouveaux artistes de toutes les disciplines ont investi le château, le parc et les dépendances avec un esprit tourné vers le vivant, mais aussi vers le fantastique. Depuis quinze ans, le domaine de Chaumont-sur-Loire, dans le Loir-et-Cher, au centre de la France, invite des artistes de renommée mondiale, qui crée pour le lieu – le château, son parc et ses dépendances, des œuvres dont certaines sont désormais pérennes.Cette année, place au fantastique avec la Grotte Chaumont de Miquel Barceló. Le peintre graveur et céramiste espagnol, enfant chéri de l'art contemporain, a conçu une grotte en céramique colorée de près de huit tonnes posée dans un bosquet représentant la bouche ouverte d'un animal imaginaire prêt à nous dévorer, aux dents aiguisées. Le fond de sa gorge est décoré de peintures rupestres, une référence à la grotte Chauvet en Ardèche, grotte paléolithique ornée de dessins.Dans les salles du château, coup de soleil assuré avec les grandes toiles du peintre Vincent Bioulés. À 86 ans, il a peint toute sa vie les paysages, les jardins et la lumière du sud depuis sa ville de Montpellier qu'il n'a jamais quittée. « J'habite au numéro 1, avenue Saint-Lazare, mais je suis né au numéro 7, raconte le peintre. Quand j'étais gosse, ces maisons étaient entourées de maraîchages, il suffisait de marcher un peu pour se trouver dans la campagne. Et, très jeune, je suis allé dessiner, je me suis promené... Ces jardins sont les lieux dans lesquels toute ma sensibilité s'est formée, s'est structurée. Le fil conducteur de cette exposition, c'est la lumière et la couleur. La lumière est la seule chose que les hommes ne sont pas arrivés à détruire. »Sous l'auvent des écuries, une tortue géante porte un globe terrestre sur son dos, elle est signée de l'artiste allemande Gloria Frydman. Assis au sommet du globe, un homme en équilibre précaire est en train de glisser. « Cet homme, c'est lui qui donne le titre, c'est "Le locataire", explique l'artiste. Nous avons tous déjà loué un appartement, quand on le quitte, on nous demande de le laisser en bon état. Aujourd'hui, malheureusement, on peut se dire "est-ce qu'on laissera la terre en bon état ?" avec tout ce qu'on y met comme plastique, etc. »Le peintre Damien Cabanes a, lui, choisi le motif de la fleur, version XXL : « J'avais fait venir une dizaine de rouleaux de dix mètres de papier Arches épais, 300 g. Je me suis baladé tous les jours avec un rouleau sur le dos et je le déroulais dans les allées du domaine. C'était presque la même taille que le massif lui-même. C'est une autre lumière, dehors... Les sens sont plus stimulés, il y a aussi les odeurs, il y a le vent, le soleil, les oiseaux. Aussi, la fleur symbolise un peu l'existence humaine, en plus rapide. Rien n'est fixe, la seule fixité, c'est le changement perpétuel. »À Chaumont-sur-Loire, les propositions sont parfois surprenantes comme ces dentelles de bois qui raconte la vie des arbres. Pascal Oudet, tourneur sur bois de génie, crée, à partir de billots de chêne de 150 kg, d'étonnante pièces aériennes d'à peine 300 g pour 2 mm d'épaisseur.Au domaine de Chaumont-sur-Loire, il est également possible d'admirer les œuvres de bien d'autres artistes dont Pascale Marthine Tayou, luminaires faits de branches d'arbres auxquelles sont accrochées des bouteilles en plastique brodées de tissus de récupération, Prune Nourry, sculptures d'homme-arbre en corde de bronze ou les courbes d'acier monumentales du plasticien Bernar Venet. À lire aussiAu Domaine de Chaumont-sur-Loire, rencontre entre art et nature
Micaela and I are at Gare Saint-Lazare for a summer stroll. Since the last renovation, the station has become a real shopping centre. There are numerous stores selling clothes, shoes and beauty products, as well as fast-food outlets and fine restaurants such as chef Eric Frechon's Lazare. I'm dying to try his Paris-Deauville dessert. But our program was more geared towards sweets. There's plenty to choose from at Saint-Lazare! We bought macarons at Ladurée, we also bought some at Dalloyau and finally, we stopped off at Les Merveilleux de Fred. Do you know this meringue and cream dessert? They're a big hit in Paris. So to cultivate your French, your palate, but also to discover this area of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text and cultural notes, I invite you to subscribe. One last thing: the podcast will be on hiatus next week, the week of August 15. I look forward to seeing you on Wednesday August 21. So if you'd like to improve your French, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
Micaela and I are at Gare Saint-Lazare for a summer stroll. Gare Saint-Lazare is the oldest station in Paris, having been renovated for the 1889 Universal Exhibition, the same year the Eiffel Tower was built. After going up rue de Rome to the Pont de l'Europe, the site of two famous paintings: Edouard Manet's Le chemin de fer and Gustave Caillebotte's Pont de l'Europe, we'll head back down to the station via rue d'Amsterdam. Can you follow us? So if you'd like to improve your French comprehension, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
We're at Gare Saint-Lazare, in the Europe district, whose streets bear the names of capital cities. This summer, I'd like to invite you on a four-part historical, cultural and gourmet summer stroll! Where were we? Ah yes, Micaela and I were walking up Rue de Rome, the street that runs alongside the train station from the Cour de Rome up towards the Batignolles district. We're going to talk about painting today. So if you'd like to improve your French comprehension, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
Gare Saint-Lazare is a star! What is it? A station that doesn't even have a TGV? A star? But why? Well, there are several reasons. First of all, in terms of passenger traffic, it's the second busiest station in France (after the Gare du Nord). The station serves the western suburbs of Paris, as well as Normandy. It's also the oldest station in Paris. It opened in 1837. It has been painted by some very famous artists. Would you like some names? Gustave Caillebotte, Édouard Manet, Claude Monet, Camille Pissaro, among others. These are all 19th-century artists. The Saint-Lazare station was fascinating because it embodied modernity and technical progress. These were themes dear to the artists who settled in the new Europe district. Micaela swiped her Navigo, I swiped my ticket, and you could hear the automatic gate open. We're at Gare Saint-Lazare, in the Europe district, whose streets bear the names of capitals. I'd like to invite you on a four-part summer stroll through history, culture and food! So if you'd like to improve your French, discover this part of Paris and benefit from all the positive effects of the exact text, as well as the cultural notes, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
Micaela et moi sommes Gare Saint-Lazare pour une promenade de l'été. Après être montées rue de Rome vers le pont de l'Europe, là où ont été peints deux célèbres tableaux : Le chemin de fer d'Édouard Manet et le Pont de l'Europe de Gustave Caillebotte, nous sommes redescendues par la rue d'Amsterdam en évoquant Zola et Monet, avant d'entrer à nouveau dans la gare. Depuis la dernière rénovation, la gare est devenue un véritable centre commercial. On y trouve de nombreuses boutiques de vêtements, de chaussures, de produits de beauté, de quoi aussi se restaurer avec de la restauration rapide ou un très beau restaurant comme Lazare du chef Éric Frechon. Je rêve de goûter son dessert le Paris-Deauville. Mais, notre programme était plutôt tourné vers les douceurs. Il y a du choix à Saint-Lazare ! www.onethinginafrenchday.com
Micaela et moi sommes Gare Saint-Lazare pour une promenade de l'été. La Gare Saint-Lazare est la doyenne des gares de Paris, elle a été rénovée à l'occasion de l'exposition universelle de 1889, l'année de la construction de la tour Eiffel. Après être montées rue de Rome vers le pont de l'Europe, là où ont été peints deux célèbres tableaux : Le chemin de fer d'Edouard Manet et le Pont de l'Europe de Gustave Caillebotte, nous allons redescendre vers la gare en empruntant la rue d'Amsterdam. Vous nous suivez ? www.onethinginafrenchday.com
C'est l'été, le podcast prend son rythme estival avec deux épisodes par semaine. Je suis à Reims avec Micaela, cette semaine. Nous sommes en stage de kung-fu. Au moment où j'enregistre cet épisode, nous sommes à quelques jours du second tour des élections législatives. Bien sûr, le transcript avec notes, auquel vous pouvez vous abonner sur le site du podcast One Thing In A French Day est riche de références culturelles et de photos. Où en étions-nous, ah oui, Micaela et moi remontions la rue de Rome… nous sommes dans le quartier de l'Europe dont les rues ont des noms de capitales. www.onethinginafrenchday.com
Micaela a passé son Navigo, j'ai passé mon ticket, vous avez pu entendre le portillon automatique s'ouvrir. Nous sommes Gare Saint-Lazare, dans le quartier de l'Europe dont les rues portent des noms de capitales. Je vous invite à une promenade estivale qui sera historique, culturelle et gourmande en quatre épisodes ! www.onethinginafrenchday.com
Dans ce nouvel épisode c'est Clémentine Larroumet, la co-fondatrice - avec Antoine Ricardou - des Ateliers Saint-Lazare qui répond à mes questions... en public ! Nous avions enregistré il y a qqs jours dans le bar ultra cosy de l'Hôtel des Grands Voyageurs devant des auditrices passionnées et attentives venues écouter la success story de ce petit studio devenu grand... Il faut dire que le travail de Saint-Lazare est particulièrement inspirant. Vous saviez qu'ils ont participé au lancement de Merci avec Marie-France Cohen ? Avant ça il y a eu Pierre Bergé, puis Sézane, Le Barn, Cyril Lignac, Veuve Cliquot, Roseanna, j'en passe et des meilleures. Clémentine nous parle de ces clients avec une grande humilité et un regard très précis sur leur manière de faire.Mais que font-il justement ? Saint Lazare est une agence de design graphique qui travaille sur l'identité de marque ou comment raconter une histoire grâce à un logo, une typo, des détails parsemés ici et là. Un métier qui a ensuite évolué vers l'archi pour imaginer des lieux et des ambiances, voire même des produits puisqu'ils ont lancé ASL, leur propre ligne d'objets et de mobilier.Avec Clémentine on parlede l'importance de l'identité de marquede leur changement d'identité à eux (Be-Pôles devenu St Lazare)de la manière dont ils travaillent avec les marqueset comment ils abordent les projetsde l'importance des détails du travail en équipede son parcoursde leur style très identifiédes oeuvres qu'ils chinentdes tendances qu'ils ne suivent surtout pasdes critères pour choisir un projetdu Rêve dont l'histoire est incroyablede leurs meubles et objets fonctionnels avant toutde leurs portraits de villede sa vie de maman de 4 enfantsde sa passion pour la photode son style décode l'entente avec son associéBref un épisode plein de sens et de belles histoires !Bonne écoute !!Si ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes> à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis")> à suivre @decodeur__ sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir les 100 épisodes déjà en ligne et les différents formats de l'émission> à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...! Merci beaucoup
Dans cet épisode, on parle de fleurs, de la gare Saint Lazare et d'un confinement protecteur, entre autres.---Retrouvez Vulgaire sur Instagram : @vulgaire_lepodcast---VULGAIREUn podcast de Marine Baousson / Studio BruneEcrit par Isabelle Le FaucheurRéalisé par Antoine OlierMusique : Guillaume Bérat du Collectif BranksGraphisme et illustrations : Juliette Poney Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
When we visited the Cité internationale de la langue française in Villers-Cotterêts last month, I came across an edition of Émile Zola's Carnets d'enquêtes. The famous novelist took copious notes before writing his novels. His notes were sometimes bits of sentences, words or even complete and precise descriptions. The book was only there for consultation, but I was lucky enough to find a second-hand copy at the Gibert bookshop. This is a unique bookshop in Paris that sells new and second-hand books on the same shelves. I placed my order and went to pick it up this morning. I took the metro at Saint-Lazare. The bookshop is on boulevard Saint-Michel, not far from Odéon station. On the way, I noticed a lady reading. That's what I'm going to tell you about today. In the notes that come with the transcript, I'll focus on three sentence structures that are very natural in French. Often, these are expressions that we understand, that we don't pay attention to, and that we forget to use when we speak. This way, you'll notice them and be able to use them in future conversations in French. You'll also find useful phrases for picking up an order in a shop, as I did myself today. So, to keep your own investigation diaries and enjoy all the positive effects of having the exact text of the episode, you could subscribe to the Cultivate Your French transcript at www.cultivateyoufrench.com. The subscription costs 4 euros a month and each new subscriber receives the 10 latest episodes.
De nombreuses gares, en France, portent des noms de saints. Et la sécularisation accélérée de la société, au cours du XXe siècle, n' a en rien modifié ces appellations. Mais d'où viennent ces noms ? Ils sont souvent donnés aux gares en raison du nom des lieux où elles se trouvent. Ainsi, la gare Saint-Jean, à Bordeaux, qui s'appela d'abord gare du Midi, doit son nouveau nom à celui de la rue à l'extrémité de laquelle elle se dresse. C'est donc ce cours Saint-Jean, devenu aujourd'hui cours de la Marne, qui est à l'origine de l'appellation actuelle de la gare. De son côté, la gare Saint-Charles, à Marseille, a été baptisée ainsi en raison d'un plateau dominant l'emplacement de la gare et qui portait ce nom. De même, si la gare Saint-Lazare, à Paris, située aujourd'hui rue d'Amsterdam, a reçu ce nom, c'est parce qu'elle a été bâtie, à l'époque, le long de la rue homonyme. Un lien possible avec la religion Si de nombreuses gares ont reçu un nom de saint, elles le doivent donc, la plupart du temps, au nom de la rue ou du quartier où elles ont été construites. Des quartiers qui avaient souvent hérité ce nom de celui de la paroisse. Mais parfois, le lien avec la religion semble plus palpable. Ainsi, la gare Saint-Roch de Montpellier ne devrait pas seulement son nom à celui de la rue ou du quartier où elle aurait vu le jour. En effet, il semble bien que la gare ait été baptisée ainsi en l'honneur de saint Roch, un personnage révéré des habitants, qui aurait protégé la ville de la peste. Lors de l'inauguration de la gare, en 2005, le maire de l'époque, Georges Frêche, a d'ailleurs ouvertement revendiqué cet héritage. Au XIXe siècle encore, les autorités religieuses étaient d'ailleurs souvent invitées à l'inauguration des gares. Ce fut notamment le cas de l'évêque de Marseille, qui est convié à l'inauguration de la gare Saint-Charles, en 1848. Il leur arrivait d'ailleurs, à cette occasion, de bénir les locomotives. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
De nombreuses gares, en France, portent des noms de saints. Et la sécularisation accélérée de la société, au cours du XXe siècle, n' a en rien modifié ces appellations.Mais d'où viennent ces noms ? Ils sont souvent donnés aux gares en raison du nom des lieux où elles se trouvent. Ainsi, la gare Saint-Jean, à Bordeaux, qui s'appela d'abord gare du Midi, doit son nouveau nom à celui de la rue à l'extrémité de laquelle elle se dresse.C'est donc ce cours Saint-Jean, devenu aujourd'hui cours de la Marne, qui est à l'origine de l'appellation actuelle de la gare. De son côté, la gare Saint-Charles, à Marseille, a été baptisée ainsi en raison d'un plateau dominant l'emplacement de la gare et qui portait ce nom.De même, si la gare Saint-Lazare, à Paris, située aujourd'hui rue d'Amsterdam, a reçu ce nom, c'est parce qu'elle a été bâtie, à l'époque, le long de la rue homonyme.Un lien possible avec la religionSi de nombreuses gares ont reçu un nom de saint, elles le doivent donc, la plupart du temps, au nom de la rue ou du quartier où elles ont été construites. Des quartiers qui avaient souvent hérité ce nom de celui de la paroisse.Mais parfois, le lien avec la religion semble plus palpable. Ainsi, la gare Saint-Roch de Montpellier ne devrait pas seulement son nom à celui de la rue ou du quartier où elle aurait vu le jour.En effet, il semble bien que la gare ait été baptisée ainsi en l'honneur de saint Roch, un personnage révéré des habitants, qui aurait protégé la ville de la peste. Lors de l'inauguration de la gare, en 2005, le maire de l'époque, Georges Frêche, a d'ailleurs ouvertement revendiqué cet héritage.Au XIXe siècle encore, les autorités religieuses étaient d'ailleurs souvent invitées à l'inauguration des gares. Ce fut notamment le cas de l'évêque de Marseille, qui est convié à l'inauguration de la gare Saint-Charles, en 1848. Il leur arrivait d'ailleurs, à cette occasion, de bénir les locomotives. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jeudi matin, je suis allée à Paris. J'avais quelques courses à faire : une commande à aller chercher à la Pharmacie du Four, rue du Four, et une autre chez Gibert, rue Pierre Sarrasin, au click and collect. J'aime beaucoup passer des commandes dans ces deux endroits et aller ensuite les chercher parce que je sais que je vais faire un de mes tours préférés à Paris. Saint-Germain des prés, ensuite Saint-Michel, traverser l'île de la Cité et rentrer à Saint-Lazare par la ligne 14. www.onethinginafrenchday.com
durée : 01:18:44 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Des récits intimes sur la prison, la vie d'avant et d'après, c'est ce que propose en 1992 cette "Nuit magnétique" intitulée "La prison au féminin pluriel, de face et de profil". Paroles de femmes, historienne, criminologue, surveillante et détenue, avec notamment Michèle Perrot. - invités : Michelle Perrot Historienne spécialiste de l'histoire des femmes, professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris Cité
Nous avons décidé de rentrer à pied à Saint-Lazare. Cela fait du bien de marcher dans Paris, car Paris change tout le temps : il y a de nouvelles boutiques, d'autres qui ont fermé, de nouvelles installations, des travaux, des vélos, de nouvelles modes. Et puis, c'est un moyen de vivre une expérience unique : le changement de quartier. www.onethinginafrenchday.com
After spending the afternoon at the hammam, my friend Geraldine and I did not feel like taking the metro back to Saint-Lazare. The weather was nice so we decided to walk instead. It was a nice walk because Paris is a city that changes a lot, and as you walk, you can really feel the change from one neighborhood to another. We stopped to eat a little something in a boulangerie. In the notes that come with the transcript, we will study how to talk about a place, un endroit in French. So to cultivate your French, you could subscribe to the transcript, enjoy the written text, read it in your mind or aloud and discover what I wished to higltit for you. . The subscription costs four euros a month. When you subscribe, you receive the transcript of the 10 latest episodes. www.cultivateyourfrench.com
Vous avez peut-être remarqué que le son est différent, aujourd'hui. Je suis dans le square des Batignolles. Il fait très beau. Nous sommes en fin de matinée, j'ai rendez-vous avec Anne-Laure dans un café, rue Legendre. Je me suis dit que j'allais profiter de cette traversée du square pour enregistrer cet épisode. Le square des Batignolles est au niveau de la station Pont Cardinet, donc juste avant Saint-Lazare. www.onethinginafrenchday.com
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
Présentation de l'invité : C'est après avoir traversé les Rocheuses américaines à pied en se nourrissant exclusivement de burgers que Rudy Guénaire cofonde avec Graffi Rathamohan, PNY : des burgers fabriqués à partir d'ingrédients soigneusement sélectionnés et qui à chaque bouchée, vous envoient à l'autre bout du monde. De l'assiette, au packaging des boîtes, en passant par la lumière et le mobilier, rien n'est laissé au hasard et chaque restaurant devient un terrain propice aux obsessions architecturales de Rudy. Dans ce nouvel épisode, Rudy Guénaire revient sur tout son parcours, sa traversée des États-Unis à pied, la genèse de PNY, leur succès, leur obsession du branding et de l'architecture, comment il travaille avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice, son obsession de l'architecture, ses inspirations ou encore son envie de créer des hôtels. « Tu viens dans un resto pour la bouffe, mais tu reviens parce que le staff est cool et qu'il se passe quelque chose dans ce lieu. » Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Rudy se présente Sa traversée des États-Unis à pied Comment gérer la rencontre avec un grizzli La genèse de PNY Qu'est-ce qu'un bon burger Pourquoi un tel succès Leur Branding La singularité de leur architecture Leur newsletter Sa façon de travailler avec Graffi Rathamohan, la cofondatrice Leurs apprentissages et leurs échecs Le financement de leurs restaurants Son avis sur les substituts de viande Son obsession de l'architecture Sa vision de l'architecture et de l'art Les gens qui l'inspirent Son envie de créer des hôtels Son avis sur l'IA et la créativité Qui il souhaiterait entendre dans ce podcast « Avec Instagram et Pinterest, c'est facile de faire des trucs bien, c'est facile de faire des trucs beaux : on a accès à tellement de références facilement que ce n'est plus vraiment ça qui a de la valeur. Il faut avoir quelque chose à dire. Est-ce que j'ai quelque chose à dire ? Je ne sais pas, en tout cas je cherche et j'y travaille. Quelque chose qui sort vraiment de soi-même, c'est peut-être ça qui est le plus intéressant. » « Graffi est le moteur de PNY et moi l'âme. » « Mon job est un peu schizophrénique : il y a une partie très entrepreneuriale, avec beaucoup d'énergie, de vitesse, d'impulsivité et une autre, complètement noyée dans la créativité, plus profonde, dans une sorte de réalité alternative. Ce sont deux extrêmes vraiment très agréables. » N'oubliez pas de vous inscrire à la newsletter de Entreprendre Dans La Mode, les industries créatives et l'art de vivre sur www.entreprendredanslamode.com. Aussi, si vous souhaitez me contacter ou me suggérer de nouveaux invités, vous pouvez le faire sur Instagram sous le pseudonyme @entreprendredanslamode. Enfin, le plus important : laissez-moi un avis sur Apple Podcast ou iTunes, 5 étoiles de préférence ; cela m'aide à faire connaître le podcast à plus de monde et me motive à faire de meilleures interviews ! Merci de soutenir ce podcast et à bientôt pour un nouvel épisode ! Références : PNY : https://www.pnyburger.com/ Rudy Guénaire : https://www.instagram.com/rudyguenaire/?hl=fr CUT architectures : http://www.cut-architectures.com/ Mathilde Selli : https://mathildeselli.ovh/ Leur Newsletter : https://www.pnyburger.com/pny-burger-news Audacia : https://www.audacia.fr/ Generis Capital : http://www.generiscapital.com/ Initiative et finance : https://www.initiative-finance.com/ L'Ultrafragola d'Ettore Sottsass : https://www.beauxarts.com/lifestyle/le-miroir-ultrafragola-dettore-sottsass-idole-dinstagram/ Bernard Dubois : http://www.bernarddubois.com AJP - Albert, Jean et Pedro : http://www.albertjeanetpedro.com/ Officine Universelle Buly : https://buly1803.com/ Aman : https://www.aman.com/ Saint-Lazare : https://saint-lazare.co/fr Atelier Franck Durand : https://www.atelierfranckdurand.com/ Super:futur : https://superfutur.co.uk/
La semaine dernière, samedi soir, Caroline et moi nous sommes retrouvées pour passer un moment ensemble. Nous avions rendez-vous à Saint-Lazare. De là, nous avons pris le métro, la ligne 3, jusqu'à Parmentier. Nous avons marché rue Oberkampf. C'est une rue très animée, avec beaucoup de restaurants différents. Il y a aussi un endroit où l'on peut écouter de la musique. www.onethinginafrenchday.com