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Une étude internationale récente, soutenue par le CNRS et publiée en avril 2025 dans Scientific Reports, a révélé que les femmes entendent en moyenne mieux que les hommes. Cette recherche, menée par le Centre de recherche sur la biodiversité et l'environnement (CRBE) à Toulouse en collaboration avec l'Université de Bath, a évalué la sensibilité cochléaire de 448 adultes âgés de 18 à 55 ans, répartis dans 13 populations à travers le monde, notamment en Équateur, en Angleterre, au Gabon, en Afrique du Sud et en Ouzbékistan.Les chercheurs ont utilisé une technique appelée émissions otoacoustiques transitoires (TEOAE) pour mesurer la sensibilité de l'oreille interne. Cette méthode consiste à envoyer des sons brefs dans l'oreille et à enregistrer les réponses acoustiques produites par la cochlée, fournissant ainsi une mesure objective de la sensibilité auditive sans nécessiter de réponse active du participant.Différence entre les sexes : Les femmes ont montré une sensibilité auditive supérieure de 2 décibels en moyenne par rapport aux hommes, et ce, dans toutes les populations étudiées. Facteurs influents : Le sexe est apparu comme le facteur le plus déterminant dans la variabilité de l'audition humaine, suivi par l'environnement, puis l'âge et enfin la latéralité (oreille gauche ou droite). Influence de l'environnement : Les personnes vivant en milieu urbain présentaient une sensibilité accrue aux hautes fréquences, probablement en raison du bruit ambiant constant des villes. En revanche, celles vivant en forêt tropicale avaient une meilleure sensibilité auditive globale, tandis que les populations en haute altitude montraient une sensibilité réduite, possiblement liée à des adaptations physiologiques à l'altitude. Les chercheurs suggèrent que cette différence entre les sexes pourrait être due à des facteurs biologiques tels que l'exposition hormonale pendant le développement embryonnaire ou à des différences structurelles dans l'anatomie cochléaire. De plus, les femmes ont également obtenu de meilleurs résultats dans des tests de perception de la parole, indiquant une capacité accrue à traiter les informations auditives. Bien qu'une meilleure sensibilité auditive puisse sembler avantageuse, elle pourrait également rendre les femmes plus susceptibles aux effets négatifs du bruit environnemental, tels que les troubles du sommeil ou les maladies cardiovasculaires. Cette étude souligne l'importance de considérer à la fois les facteurs biologiques et environnementaux dans la compréhension de l'audition humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Marc Leverger est un entrepreneur dynamique originaire de Toulouse, connu pour avoir fondé Brico Privé, une entreprise opérant à l'échelle nationale et internationale. Dans sa quête de renouveau après le succès de Brico Privé, Marc a décidé de se concentrer sur le développement régional en investissant dans des PME locales du Sud-Ouest de la France. Il s'est associé à un fonds d'entrepreneurs, Ressources, qui met en avant la collaboration avec des chefs d'entreprise locaux pour soutenir le tissu économique régional. Ce fonds se distingue par son approche de proximité et son engagement à incarner le développement économique des territoires.Dans sa nouvelle aventure, Marc reste fidèle à son esprit entrepreneurial, s'impliquant activement dans le développement des entreprises locales et soutenant des projets variés allant de la tech à la PME classique. Il s'intéresse particulièrement à des entreprises résilientes et cherche à identifier des dirigeants capables de porter des projets ambitieux. À travers son engagement, Marc continue de promouvoir l'innovation tout en valorisant les compétences locales et en consolidant le tissu économique régional, tout en apportant son expertise en matière de croissance et de gestion stratégique.[00:00:00]: Introduction[00:00:18]: Avantages du train versus avion[00:00:57]: Implantation régionale et Brico Privé[00:02:30]: Développement régional avec Fonds Ressources[00:04:35]: Rôle dans le fonds et relation avec les entrepreneurs[00:05:27]: Création d'un fonds, une aventure entrepreneuriale[00:09:31]: Profil des entreprises ciblées par le fonds[00:14:42]: Processus de sélection des entreprises[00:17:31]: Risque et rendement dans le capital développement[00:19:58]: Facteurs communs de succès des entreprises[00:20:58]: Qualités recherchées chez un dirigeant[00:27:27]: Diversité des secteurs d'activité[00:29:43]: Surprises et découvertes en région[00:31:24]: Avantages des fonds régionaux[00:33:44]: Vision et stratégie de Ressources[00:37:52]: Exemples d'entreprises investies[00:39:04]: Accompagnement des entrepreneurs par Marc[00:44:35]: Culture du private equity en région[00:47:06]: Impact de Brico Privé sur l'accompagnement des entrepreneurs[00:49:38]: Challenges de l'hyper croissance[00:52:28]: Importance de l'apprentissage continuDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La motivation, ce Graal insaisissable, peut parfois sembler compliquée à comprendre et encore plus difficile à maintenir. C'est normal de ne pas toujours être à 100%, nous ne sommes ni Superman ni Wonder Woman. Mais pourquoi ne pas découvrir ce qui influence réellement votre motivation ?Dans cet épisode, je partage avec vous les cinq principaux leviers qui impactent votre motivation. À la fin, vous pourrez faire un bilan pour voir si les conditions pour une motivation optimale sont réunies pour vous.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 30/04/2025, il revient en compagnie de la députée européenne Reconquête, Sarah Knafo sur le meurtre qui eu lieu dans une mosquée du Gard et la récupération politique de l'extrême gauche. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1er épisode / 5, de la série sur la sclérose en plaques de l'enfant. Episode 1 : Maladie rare – Qu'appelle-t-on sclérose en plaques de l'enfant ? Invitée : Dr Emmanuel Cheuret, neuropédiatre, praticien hospitalier au sein du service de neurologie pédiatrique du CHU de Toulouse, co-rédacteurs du PNDS sur la sclérose en plaques de l'enfant et coordinateur du centre de compétence de la région Occitanie-Ouest des maladies inflammatoires rares du cerveau et de la moelle (MIRCEM), membre de la filière Brain-Team. https://brain-team.fr/ 1️⃣ Qu'appelle-t-on sclérose en plaques de l'enfant ? [0'36 – 2'57] ✔️ Environ 700 enfants touchés en France, plus fréquente dans les régions moins ensoleillées. ✔️ Caractérisée par deux poussées temporelles, espacées d'un mois, et spatiale (plusieurs zones du système nerveux central atteintes). Pour plus d'informations, retrouvez notre page article : https://rarealecoute.com/la-sclerose-en-plaques-de-lenfant/ 2️⃣ Quel tableau clinique doit faire suspecter une sclérose en plaques chez l'enfant ? Quelle différence clinique avec celle de l'adulte ? [2'58 – 4'32] ✔️ Signes similaires à l'adulte : paralysie partielle (hémiparésie), troubles sensitifs (fourmillements), troubles visuels (baisse de vision). Possible somnolence, confusion ou état comateux (plus rare chez l'adulte). ✔️ Autres atteintes possibles : troubles des sphincters, paralysie faciale, mouvements anormaux des yeux. 3️⃣ Quelle est la physiopathologie de cette maladie rare ? [4'33 -6'33] ✔️ Maladie auto-immune : le système immunitaire attaque le cerveau et la moelle épinière avec formation de plaques. ✔️Facteurs multiples : génétique, virus EBV, tabagisme passif, obésité... 4️⃣ Quel est le pronostic de la sclérose en plaques chez l'enfant ? [6'34 -8'48] ✔️ Poussées suivies de rémissions complètes, bien contrôlées par les traitements disponibles. ✔️ Risque de handicap à long terme. 5️⃣ À qui adresser les jeunes patients en cas de suspicion de sclérose en plaques ? [8'49 – 10'23] ✔️ Consultation en pédiatrie ou passage aux urgences en cas de symptômes évocateurs. ✔️ Orientation vers un centre de référence pour un diagnostic précis et un suivi adapté pour limiter l'évolution et prévenir le handicap. L'équipe : Virginie Druenne – Ambassadrice RARE à l'écoute Cyril Cassard – Journaliste/Animation Hervé Guillot - Production Crédits : Sonacom *************************************************** À propos : "RARE à l'écoute" est un podcast dédié à la sensibilisation aux maladies rares et au soutien des personnes touchées par ces affections. Créé par un groupe passionné de professionnels de la santé, le podcast vise à informer les professionnels de santé et fournissant des informations sur les dernières avancées médicales et scientifiques dans le domaine des maladies rares, et inspirer les patients et leurs proches en partageant des histoires de courage et de persévérance. Contenu :
Cheveux cassants, pelade (chute de cheveux par plaques), alopécie (chute partielle ou complète des cheveux ou des poils)… Les problèmes capillaires sont nombreux, chez les hommes et chez les femmes. La nature du cheveu peut créer des fragilités spécifiques et certaines pratiques (lissage, tissage…) peuvent encore aggraver cette vulnérabilité. Quels sont les facteurs qui peuvent favoriser la chute des cheveux ? Dr Philippe Assouly, dermatologue spécialiste du cuir chevelu au Centre Sabouraud, de l'hôpital Saint-Louis, à Paris(Rediffusion)Retrouvez l'émission en entier ici : Santé des cheveux & du cuir chevelu
En 2009, une étude menée par le Conseil de Recherche Médicale d'Afrique du Sud (MRC) a révélé que plus d'un quart des hommes sud-africains interrogés ont admis avoir commis un viol. Cette enquête, dirigée par la professeure Rachel Jewkes, a porté sur un échantillon représentatif de 1 738 hommes des provinces du Cap-Oriental et du KwaZulu-Natal. Principaux résultats de l'étude :27,6 % des hommes interrogés ont reconnu avoir violé une femme ou une fille.Parmi eux, 23,2 % ont déclaré avoir violé deux ou trois femmes, 8,4 % entre quatre et cinq, 7,1 % entre six et dix, et 7,7 % plus de dix femmes ou filles. 46,5 % des auteurs de viols ont commis leur premier acte entre 15 et 19 ans, et 9,8 % avant l'âge de 10 ans.Ces chiffres alarmants mettent en lumière une culture de la violence sexuelle profondément enracinée en Afrique du Sud. Les raisons évoquées par les auteurs incluent la recherche de "plaisir", l'ennui, la pression des pairs et des notions de punition envers les femmes. Facteurs contribuant à cette situation :Normes culturelles et sociales : Des idées de masculinité basées sur la hiérarchie de genre et le sentiment d'un droit sexuel des hommes sont répandues. Inégalités socio-économiques : Les disparités économiques et le chômage élevé exacerbent les tensions et la violence.Héritage de l'apartheid : La période de l'apartheid a laissé une société fragmentée avec des structures familiales déstabilisées et une méfiance envers les institutions. Conséquences sur la santé publique :L'étude a également établi un lien entre la violence sexuelle et la prévalence du VIH. Les hommes violents envers leurs partenaires sont deux fois plus susceptibles d'être séropositifs. De plus, une femme violée par un homme de plus de 25 ans a une chance sur quatre que son agresseur soit porteur du VIH. Réactions et mesures prises :Face à ces révélations, des organisations locales et internationales ont intensifié leurs efforts pour lutter contre la violence sexuelle en Afrique du Sud. Des campagnes de sensibilisation ont été lancées pour remettre en question les normes de genre toxiques et promouvoir des relations égalitaires. Cependant, malgré des lois progressistes, leur application reste insuffisante, et la culture de l'impunité persiste. Conclusion :Les résultats de l'étude du MRC ont mis en évidence l'ampleur de la crise de la violence sexuelle en Afrique du Sud. Ils soulignent la nécessité d'une approche multidimensionnelle, combinant des réformes législatives, des programmes éducatifs et des initiatives communautaires pour transformer les attitudes et réduire la prévalence du viol dans le pays. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 2 avril : Baisse du courrier, a-t-on encore besoin de facteurs ? ; avec Élina Dumont, intervenante sociale, Étienne Liebig, éducateur, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise.
Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) constituent une préoccupation majeure en santé publique, avec plus de 120 000 cas recensés chaque année en France, entraînant environ 30 000 décès. Traditionnellement associés aux personnes âgées, les AVC touchent également des populations plus jeunes, une tendance mise en lumière par des études récentes.Incidence des AVC selon l'âgeSelon le bulletin épidémiologique publié le 4 mars 2025 par Santé publique France, l'âge moyen des patients hospitalisés pour un AVC en 2022 était de 73,2 ans, avec une différence notable entre les sexes : 70,5 ans pour les hommes et 76,3 ans pour les femmes. La moitié des patients avaient plus de 75 ans au moment de l'AVC, et 25,4 % étaient âgés de moins de 65 ans. Ces chiffres illustrent que, bien que l'incidence des AVC augmente avec l'âge, une proportion significative touche des individus de moins de 65 ans. Le risque d'AVC augmente significativement avec l'âge, atteignant son maximum chez les personnes de 85 ans et plus. Augmentation des AVC chez les moins de 65 ansBien que le vieillissement de la population explique en partie l'augmentation globale des AVC, un "signal épidémiologique" préoccupant est observé chez les adultes de moins de 65 ans depuis une quinzaine d'années. Cette tendance suggère une hausse de l'incidence et des hospitalisations pour AVC dans cette tranche d'âge, nécessitant une attention particulière. Facteurs de risque chez les moins de 65 ansPlusieurs facteurs peuvent contribuer à cette augmentation chez les moins de 65 ans :Hypertension artérielle : facteur de risque majeur d'AVC.Diabète : augmente le risque de maladies vasculaires, y compris les AVC.Tabagisme : endommage les vaisseaux sanguins et favorise les caillots.Sédentarité et obésité : contribuent à l'hypertension et au diabète.Consommation excessive d'alcool : peut entraîner une hypertension et des troubles du rythme cardiaque.L'adoption de modes de vie sains, incluant une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et l'arrêt du tabac, est essentielle pour réduire ces risques.ConclusionBien que le risque d'AVC augmente avec l'âge, touchant principalement les personnes de plus de 75 ans, une proportion notable survient chez les moins de 65 ans. L'augmentation de l'incidence dans cette tranche d'âge souligne l'importance de la prévention et de la sensibilisation aux facteurs de risque modifiables, afin de réduire l'impact des AVC sur cette population. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode de 3 minutes Prépa Physique, (re)découvrez les facteurs de la vitesse... en seulement 3 minutes !Si vous souhaitez aller plus loin, voici une ressource complémentaire : Les raisons qui t'empêchent d'aller plus vite↳ Tous les lundis à 8h, je vous livre les notions essentielles de la préparation physique issues de mon expérience de vingt ans dans le haut niveau en 3 minutes top chrono !
La calvitie, ou alopécie androgénétique, est un phénomène qui affecte majoritairement les hommes. Si les femmes peuvent également perdre leurs cheveux avec l'âge, elles sont généralement moins touchées et de manière différente. Pourquoi cette différence entre les sexes ?Le rôle clé des hormones masculinesL'une des principales causes de la calvitie masculine est l'action d'une hormone : la dihydrotestostérone (DHT). Issue de la transformation de la testostérone sous l'action de l'enzyme 5-alpha-réductase, la DHT se fixe sur les follicules pileux du cuir chevelu et provoque leur miniaturisation. Avec le temps, les follicules produisent des cheveux de plus en plus fins, jusqu'à cesser totalement leur croissance.Chez les hommes, la concentration de testostérone est beaucoup plus élevée que chez les femmes. Par conséquent, la production de DHT est plus importante, ce qui explique une plus grande sensibilité des follicules pileux à cette hormone.Une répartition différente des récepteurs hormonauxLes follicules pileux ne sont pas tous sensibles à la DHT. Chez les hommes, ceux situés sur le haut du crâne et les tempes possèdent un grand nombre de récepteurs à la DHT, ce qui explique pourquoi la calvitie commence souvent par un dégarnissement des golfes et du sommet du crâne. À l'inverse, la couronne occipitale (l'arrière de la tête) est moins affectée, raison pour laquelle cette zone conserve souvent des cheveux toute la vie.Chez les femmes, les follicules pileux sont moins sensibles à la DHT, ce qui ralentit et limite la perte de cheveux. De plus, les hormones féminines, notamment les œstrogènes, jouent un rôle protecteur contre l'action de la DHT.Un schéma de perte de cheveux différent chez les femmesSi les femmes sont moins touchées par la calvitie, elles peuvent tout de même connaître une perte de cheveux diffuse, notamment après la ménopause, lorsque les niveaux d'œstrogènes chutent. Contrairement aux hommes, elles ne perdent généralement pas totalement leurs cheveux sur certaines zones, mais constatent plutôt un éclaircissement général du cuir chevelu.Facteurs génétiques et héréditéLa prédisposition à la calvitie est largement héréditaire. Chez les hommes, si le père ou le grand-père paternel était chauve, le risque de calvitie est plus élevé. Chez les femmes, la transmission génétique influence aussi l'amincissement des cheveux, mais les effets restent souvent moins marqués.ConclusionLa perte de cheveux touche davantage les hommes à cause de la testostérone et de sa transformation en DHT, qui accélère la miniaturisation des follicules pileux. Les femmes, protégées par leurs hormones, connaissent un éclaircissement plus diffus, souvent plus tard dans la vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les marchés financiers ont connu une semaine mouvementée, marquée par une baisse généralisée des principaux indices boursiers. La chute de FedEx, perçue comme un indicateur précurseur de l'économie mondiale, les tensions commerciales ravivées par Donald Trump, et l'ambitieux projet de Tesla avec son robot Optimus sont autant de facteurs ayant contribué à la volatilité des marchés. Analyse de ces trois éléments clés.https://www.daytradercanada.com/billet-boursier/fedex-trump-tesla-facteurs-agitant-marches-boursiers/Site web: https://daytradercanada.com/Nous joindre: https://daytradercanada.com/nous-joindre/Facebook: https://www.facebook.com/daytradercanadaYoutube: https://www.youtube.com/@DayTraderCanadaLinkedIn: https://www.linkedin.com/company/day-trader-canada/
Dans cet épisode, j'échange avec Johan Theuret sur un sujet qui fait débat : les arrêts maladie dans la fonction publique. Sont-ils réellement plus nombreux que dans le privé ? Si oui, pourquoi ? Entre idées reçues, réalité des conditions de travail et enjeux politiques, nous déconstruisons ensemble les stéréotypes pour mieux comprendre ce phénomène.
La calvitie, ou alopécie androgénétique, est un phénomène qui affecte majoritairement les hommes. Si les femmes peuvent également perdre leurs cheveux avec l'âge, elles sont généralement moins touchées et de manière différente. Pourquoi cette différence entre les sexes ?Le rôle clé des hormones masculinesL'une des principales causes de la calvitie masculine est l'action d'une hormone : la dihydrotestostérone (DHT). Issue de la transformation de la testostérone sous l'action de l'enzyme 5-alpha-réductase, la DHT se fixe sur les follicules pileux du cuir chevelu et provoque leur miniaturisation. Avec le temps, les follicules produisent des cheveux de plus en plus fins, jusqu'à cesser totalement leur croissance.Chez les hommes, la concentration de testostérone est beaucoup plus élevée que chez les femmes. Par conséquent, la production de DHT est plus importante, ce qui explique une plus grande sensibilité des follicules pileux à cette hormone.Une répartition différente des récepteurs hormonauxLes follicules pileux ne sont pas tous sensibles à la DHT. Chez les hommes, ceux situés sur le haut du crâne et les tempes possèdent un grand nombre de récepteurs à la DHT, ce qui explique pourquoi la calvitie commence souvent par un dégarnissement des golfes et du sommet du crâne. À l'inverse, la couronne occipitale (l'arrière de la tête) est moins affectée, raison pour laquelle cette zone conserve souvent des cheveux toute la vie.Chez les femmes, les follicules pileux sont moins sensibles à la DHT, ce qui ralentit et limite la perte de cheveux. De plus, les hormones féminines, notamment les œstrogènes, jouent un rôle protecteur contre l'action de la DHT.Un schéma de perte de cheveux différent chez les femmesSi les femmes sont moins touchées par la calvitie, elles peuvent tout de même connaître une perte de cheveux diffuse, notamment après la ménopause, lorsque les niveaux d'œstrogènes chutent. Contrairement aux hommes, elles ne perdent généralement pas totalement leurs cheveux sur certaines zones, mais constatent plutôt un éclaircissement général du cuir chevelu.Facteurs génétiques et héréditéLa prédisposition à la calvitie est largement héréditaire. Chez les hommes, si le père ou le grand-père paternel était chauve, le risque de calvitie est plus élevé. Chez les femmes, la transmission génétique influence aussi l'amincissement des cheveux, mais les effets restent souvent moins marqués.ConclusionLa perte de cheveux touche davantage les hommes à cause de la testostérone et de sa transformation en DHT, qui accélère la miniaturisation des follicules pileux. Les femmes, protégées par leurs hormones, connaissent un éclaircissement plus diffus, souvent plus tard dans la vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Simon et Jérémie partagent les facteurs pouvant influencer le poids, un enjeu très présent dans le monde du fitness.
Il est question ce matin d'une étude des chercheurs de l'université d'Oxford. Et cette étude, elle vient répondre à cette question résumée par Femme Actuelle : quels sont les facteurs principaux qui entrent en jeu dans le vieillissement d'une personne et le risque de développer une maladie chronique ?Les résultats ont été publiés dans la revue Nature. La grande ligne, c'est que « les facteurs environnementaux expliquent 17 % de la variation du risque de décès, contre moins de 2 % expliqués par la prédisposition génétique ». Ça, c'est le constat général.Les chercheurs ont étudié le développement de certaines maladies auprès d'un demi-million de personnes. Le but de cette étude était de voir les effets de facteurs environnementaux sur le développement de ces maladies.Ils sont variés : la taille et le poids à l'âge de 10 ans, le tabagisme maternel à la naissance, l'emploi, le revenu, le niveau d'activité physique ou encore le lieu de résidence. Et sur base ces facteurs et d'autres, les chercheurs ont voulu s'intéresser sur l'apparition d'une vingtaine de maladies. Et ils vont corréler cela avec la présence de certaines protéines dans le sang, ce qu'ils appellent « l'horloge du vieillissement ».Les auteurs de l'étude affirment que « le tabagisme, le statut socioéconomique, l'activité physique et les conditions de vie ont eu le plus d'impact sur la mortalité et le vieillissement biologique ». La consommation de tabac et le statut socioéconomique sont associés à une vingtaine de maladies, l'activité physique à une quinzaine. Quant au risque génétique, il serait surtout présent dans les risques de démence et le cancer du sein. La conclusion, c'est que les expositions environnementales « ont eu un effet plus important sur les maladies du cœur, des poumons et du foie ».Mais tout n'est pas perdu ! Pour les chercheurs, « il est possible d'influencer nos risques de développer des problèmes de santé ». Arrêter le tabac, bouger plus, peuvent exercer une influence positive sur notre santé cardiaque et circulatoire.
La fréquence des rapports sexuels au sein d'un couple est souvent perçue comme un indicateur de satisfaction et de bonheur. Une étude canadienne, publiée dans la revue Social Psychological and Personality Science, a cherché à comprendre dans quelle mesure le sexe influence le bien-être. Contrairement à l'idée reçue selon laquelle « plus c'est fréquent, mieux c'est », les résultats montrent qu'au-delà d'une fois par semaine, l'augmentation de la fréquence ne procure pas de bénéfice supplémentaire en termes de bonheur.L'étude et ses résultatsL'étude s'est appuyée sur l'analyse des données de plus de 30 000 Américains sur une période de 40 ans. Les chercheurs ont examiné le lien entre la fréquence des rapports sexuels et la satisfaction relationnelle. Il en ressort que :- Les couples ayant des rapports sexuels au moins une fois par semaine se disent plus heureux que ceux qui en ont moins.- Cependant, au-delà d'un rapport hebdomadaire, le niveau de bonheur ne s'améliore pas davantage.Ces résultats suggèrent que la relation entre fréquence sexuelle et bonheur suit une courbe ascendante jusqu'à un point de saturation, après lequel l'augmentation du nombre de rapports n'a plus d'impact significatif.Pourquoi une fois par semaine suffit ?L'explication repose sur plusieurs facteurs :1. Équilibre entre désir et routine- Avoir des relations sexuelles régulièrement permet de maintenir l'intimité et la connexion émotionnelle.- Une fréquence trop élevée pourrait transformer le sexe en une obligation plutôt qu'un plaisir spontané.2. Qualité vs quantité- Ce n'est pas tant la fréquence qui importe, mais plutôt la qualité des rapports et leur capacité à renforcer le lien entre partenaires.- Un couple qui a des relations sexuelles de qualité une fois par semaine peut être plus satisfait qu'un autre ayant des rapports plus fréquents mais moins épanouissants.3. Facteurs psychologiques et émotionnels- L'intimité ne repose pas uniquement sur le sexe mais aussi sur la communication, le respect et le partage.- Une connexion émotionnelle forte joue un rôle essentiel dans la satisfaction globale du couple.ConclusionFaire l'amour une fois par semaine semble être le juste équilibre entre maintenir une intimité forte et éviter la pression d'une fréquence trop élevée. Cependant, chaque couple est unique, et l'important reste d'être en phase avec les désirs et besoins de chacun. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui Christophe Bordet revient sur La Poste qui est mise en défaut dans la presse. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Le Premier ministre a annoncé au parlement, vendredi dernier, que la roupie a connu une appréciation depuis la prise du pouvoir du gouvernement de l'alliance du Changement. Il a aussi déclaré que la monnaie locale se stabilise par rapport aux devises étrangères. Pour l'économiste Manish Dookony, cela a été possible grâce au dynamisme injecté par le nouveau gouvernement, mais aussi par des mesures mises en place par la banque centrale. Elle soutient que cela doit se concrétiser par une augmentation de la productivité qui va générer plus de devises.
Dans ce nouvel épisode de la série À la source, on aborde un sujet important : le traitement de l'eau utilisée par les torréfacteurs pour le cupping et le contrôle qualité de leurs cafés ainsi que pour les dégustations faites à leurs clients. Entre précision, adaptation à la clientèle, constance et reproductibilité, Nicolas Guimont, water sommelier chez Brita nous donne quelques conseils. Envie d'en savoir plus sur les solutions Brita pour professionnels : https://www.brita.fr/filtres-professionnelsUne question, un problème lié à la gestion de ton eau dans la préparation de tes cafés ? Tu peux aussi me contacter ici ou retrouver les services d'Aquarius Coffee Lab dédiés aux torréfacteurs et coffee shops : https://linktr.ee/aquarius.coffeelab Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le vieillissement s'accompagne de nombreux changements biologiques, dont une modification du rythme du sommeil. Il est courant d'observer un réveil plus matinal chez les personnes âgées, lié à des facteurs neurologiques, hormonaux et environnementaux.1. Modification du rythme circadienLe rythme circadien, notre horloge biologique interne, régule les cycles veille-sommeil. Avec l'âge, cette horloge avance progressivement, un phénomène appelé avance de phase du sommeil. Cela signifie que les personnes âgées ressentent le besoin de dormir plus tôt et se réveillent naturellement plus tôt.Cette modification est due à une altération des noyaux suprachiasmatiques (NSC), situés dans l'hypothalamus, qui régulent le cycle circadien en réponse à la lumière. Avec le temps, ces structures deviennent moins sensibles aux signaux lumineux, ce qui altère l'ajustement naturel du sommeil.2. Diminution de la production de mélatonineLa mélatonine, l'hormone du sommeil, est produite par la glande pinéale en réponse à l'obscurité. En vieillissant, sa production diminue, ce qui réduit la capacité du corps à rester endormi plus longtemps.De plus, la baisse de mélatonine entraîne une réduction du sommeil profond (stade 3), essentiel à la récupération physique et cognitive. Ainsi, le sommeil devient plus léger et fragmenté, favorisant des réveils précoces.3. Changements dans la structure du sommeilAvec l'âge, le sommeil évolue :- Réduction du sommeil profond (qui favorise la récupération).- Augmentation des micro-éveils nocturnes, dus à des inconforts corporels ou des maladies chroniques.- Augmentation du sommeil léger (stade 1 et 2), qui est plus sensible aux bruits et aux stimulations externes.Ces changements conduisent à un sommeil moins réparateur, incitant les personnes âgées à dormir plus tôt et à se réveiller avant l'aube.4. Facteurs de santé et mode de vieD'autres facteurs peuvent accentuer ces réveils matinaux :- Douleurs chroniques (arthrose, neuropathies) qui perturbent le sommeil.- Troubles urinaires (prostate, incontinence) nécessitant des réveils fréquents la nuit.- Moins d'exposition à la lumière naturelle, ce qui dérègle encore plus l'horloge biologique.ConclusionLe réveil matinal chez les personnes âgées est un phénomène multifactoriel, lié à des changements hormonaux, neurologiques et physiologiques. Bien que naturel, il peut être atténué par une meilleure hygiène de sommeil, une exposition suffisante à la lumière du jour et une activité physique régulière. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quels objectifs réalistes pour le CF Montréal en 2025 ?Segment 1 : Où en est le CF Montréal aujourd'hui ?Segment 2 : Playoffs, reconstruction ou trophées ?Segment 3 : Facteurs clés pour réussir en 2025Segment 4 : Comparaison avec les saisons précédentes
durée : 00:03:08 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Le recensement a lieu en ce moment dans toutes les communes. Vichy l'a confié à La Poste pour la deuxième année consécutive. C'est, pour le moment, la seule commune auvergnate qui a recours aux facteurs.
Les fruits pourrissent plus vite lorsqu'ils sont à côté d'une banane en raison d'un phénomène lié à la production de gaz éthylène. Ce gaz, naturellement émis par les bananes (et d'autres fruits), agit comme une hormone végétale qui régule la maturation et le vieillissement des fruits. Voici une explication scientifique détaillée : 1. Rôle de l'éthylène dans la maturationL'éthylène (C₂H₄) est un composé chimique gazeux produit par de nombreux fruits, en particulier les bananes, pendant leur processus de maturation. Il agit comme un signal chimique qui active des enzymes responsables de divers changements dans le fruit :- La dégradation de la chlorophylle, entraînant un changement de couleur (par exemple, le vert devient jaune ou rouge).- La conversion de l'amidon en sucres, rendant le fruit plus doux.- L'amollissement du tissu cellulaire, rendant le fruit plus tendre. Ce processus, bien qu'essentiel pour la maturation, accélère également le vieillissement des fruits, les rendant plus susceptibles de pourrir. 2. Effet de proximité des bananesLes bananes, en particulier lorsqu'elles sont mûres, produisent une grande quantité d'éthylène. Si elles sont placées à proximité d'autres fruits, ces derniers sont exposés à des concentrations élevées de ce gaz, ce qui :- Stimule leur maturation de manière prématurée.- Augmente leur sensibilité à la dégradation, les rendant plus vulnérables aux micro-organismes (bactéries, champignons) qui provoquent le pourrissement. Par exemple, un avocat placé à côté d'une banane mûre mûrira beaucoup plus rapidement que s'il était isolé. 3. Facteurs amplifiant l'effet- Température : Une température ambiante élevée accélère la production d'éthylène et les réactions enzymatiques associées.- Maturité des bananes : Les bananes très mûres produisent davantage d'éthylène que les bananes encore vertes, accentuant leur effet sur les autres fruits. 4. Utilisation pratiqueBien que ce phénomène puisse causer des pertes lorsqu'on veut conserver les fruits plus longtemps, il peut aussi être utilisé à notre avantage. Par exemple, si vous souhaitez accélérer la maturation d'un fruit dur (comme un kiwi ou un avocat), placez-le dans un sac avec une banane. Les fruits pourrissent plus vite à proximité des bananes en raison de l'éthylène qu'elles émettent, qui accélère le processus de maturation et de dégradation. Pour préserver vos fruits, il est recommandé de stocker les bananes à part ou dans un environnement frais pour limiter leur production d'éthylène. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La procrastination du sommeil est un comportement où une personne retarde volontairement l'heure de son coucher, même si elle n'a pas de raison évidente de le faire et qu'elle est consciente des conséquences négatives sur sa santé et son bien-être. Ce phénomène est de plus en plus étudié en psychologie et en sciences du comportement, car il est lié à des problèmes modernes comme le stress, l'utilisation excessive des écrans, et les déséquilibres dans la gestion du temps. Caractéristiques principales 1. Décalage du sommeil sans raison externe : La procrastination du sommeil n'est pas causée par des obligations professionnelles ou familiales, mais par des choix personnels, souvent liés à des activités non essentielles, comme regarder des vidéos, naviguer sur les réseaux sociaux ou jouer à des jeux. 2. Conscience des conséquences : Les individus savent généralement qu'ils devraient aller se coucher plus tôt, mais ils choisissent délibérément de reporter ce moment, ce qui peut entraîner fatigue, irritabilité et baisse de productivité le lendemain. 3. Lien avec l'autocontrôle : Ce comportement est souvent associé à un manque de discipline ou d'autocontrôle, particulièrement à la fin de la journée, lorsque les ressources mentales sont épuisées. Origines possibles - Besoin de "revanche" : Ce comportement est parfois décrit comme une forme de "procrastination de revanche", où les personnes ayant des journées très remplies ou stressantes reportent leur coucher pour récupérer un temps "à elles". Elles prolongent les moments de détente, même au détriment de leur sommeil. - Facteurs technologiques : L'utilisation des écrans avant le coucher, avec la lumière bleue qu'ils émettent, perturbe la production de mélatonine, l'hormone du sommeil. Cela encourage à rester éveillé plus longtemps. - Stress et anxiété : Les personnes stressées ou anxieuses peuvent avoir du mal à se détendre, ce qui les pousse à éviter le lit, associé à des pensées négatives ou des insomnies. Conséquences La procrastination du sommeil peut entraîner des effets négatifs à court et long terme :- Fatigue chronique et baisse des capacités cognitives.- Irritabilité, stress accru et troubles de l'humeur.- Risques pour la santé, comme l'affaiblissement du système immunitaire, l'augmentation de la prise de poids ou des problèmes cardiaques. Solutions Pour limiter ce phénomène, il est conseillé de :- Mettre en place une routine stricte du coucher.- Réduire l'exposition aux écrans avant le sommeil.- Travailler sur la gestion du temps et l'équilibre vie personnelle/vie professionnelle.- Pratiquer des techniques de relaxation pour faciliter l'endormissement. En somme, la procrastination du sommeil est un défi comportemental et psychologique lié à nos modes de vie modernes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le port du soutien-gorge a suscité des débats quant à son éventuelle association avec le cancer du sein. Cependant, les données scientifiques actuelles ne soutiennent pas l'hypothèse d'un lien causal entre le port de soutien-gorge et l'augmentation du risque de cancer du sein. Origine de la controverse En 1995, le livre Dressed to Kill de Sydney Ross Singer et Soma Grismaijer a suggéré que le port de soutien-gorge pourrait entraver la circulation lymphatique, entraînant une accumulation de toxines dans le tissu mammaire et augmentant ainsi le risque de cancer du sein. Cette hypothèse a suscité une attention médiatique considérable, mais elle n'était pas étayée par des preuves scientifiques solides. Études scientifiques et conclusions Des recherches ultérieures ont examiné cette hypothèse. Une étude de 2014 menée par le Fred Hutchinson Cancer Research Center a analysé les habitudes de port de soutien-gorge chez plus de 1 500 femmes ménopausées, dont certaines atteintes de cancer du sein et d'autres non. Les résultats n'ont montré aucune association significative entre le port de soutien-gorge et le risque de développer un cancer du sein, indépendamment de la durée quotidienne de port, de la présence d'armatures ou de l'âge auquel le port de soutien-gorge a commencé. De plus, des institutions reconnues, telles que la Société canadienne du cancer, affirment qu'il n'existe aucune preuve scientifique sérieuse démontrant un lien entre le port de soutien-gorge et le cancer du sein. Facteurs de risque avérés Il est essentiel de se concentrer sur les facteurs de risque établis du cancer du sein, tels que : - Âge avancé : Le risque augmente avec l'âge.- Antécédents familiaux : Une histoire familiale de cancer du sein peut accroître le risque.- Facteurs hormonaux : Une exposition prolongée aux hormones œstrogènes, que ce soit par des cycles menstruels précoces ou une ménopause tardive, peut augmenter le risque.- Mode de vie : La consommation d'alcool, le tabagisme, l'obésité et la sédentarité sont des facteurs de risque modifiables. Conclusion Les recherches actuelles ne soutiennent pas l'idée que le port de soutien-gorge augmente le risque de cancer du sein. Il est crucial de se concentrer sur les facteurs de risque avérés et de ne pas se laisser distraire par des hypothèses non fondées. Pour réduire le risque de cancer du sein, il est recommandé d'adopter un mode de vie sain, de participer aux programmes de dépistage appropriés et de consulter régulièrement des professionnels de la santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La durée de vie des dinosaures, ces créatures fascinantes ayant dominé la Terre pendant des millions d'années, varie considérablement en fonction des espèces. Contrairement à l'idée populaire selon laquelle les dinosaures vivaient tous des centaines d'années, leur espérance de vie était influencée par leur taille, leur mode de vie et leur environnement. Durée de vie des dinosaures : une question de tailleLes petits dinosaures, comme les Compsognathus ou les Velociraptors, vivaient généralement moins longtemps, leur durée de vie étant comparable à celle des mammifères de taille similaire. Ils atteignaient rapidement leur maturité sexuelle pour compenser un taux de mortalité plus élevé, et leur espérance de vie moyenne se situait autour de 10 à 20 ans. En revanche, les dinosaures géants comme les sauropodes (Apatosaurus, Brachiosaurus) ou les théropodes de grande taille (Tyrannosaurus rex) avaient une espérance de vie bien plus longue, atteignant parfois 70 à 100 ans. Leur grande taille et leur lente croissance leur conféraient une protection contre les prédateurs, ce qui augmentait leur longévité. Facteurs influençant leur longévitéLa croissance des dinosaures est un facteur clé pour comprendre leur durée de vie. Les paléontologues analysent leurs os fossilisés, en particulier leurs anneaux de croissance, comparables aux cernes des arbres. Ces anneaux permettent d'estimer leur âge et leur rythme de croissance. Par exemple, le célèbre T. rex atteignait sa taille adulte en 20 ans mais pouvait vivre jusqu'à environ 30 ans. Le métabolisme des dinosaures joue également un rôle. Bien que leur métabolisme exact reste débattu, il est probable qu'ils avaient une physiologie intermédiaire entre celle des reptiles modernes et des oiseaux. Les dinosaures géants, avec un métabolisme plus lent, vivaient plus longtemps que les plus petits, au métabolisme rapide. Comparaison avec les espèces modernesLes dinosaures modernes, les oiseaux, ont une durée de vie très variable. Les petits passereaux vivent généralement quelques années, tandis que les grands oiseaux comme les perroquets peuvent atteindre 80 ans. Cela reflète en partie la diversité des dinosaures disparus. En somme, la durée de vie des dinosaures était extrêmement diverse, allant de quelques décennies pour les petits carnivores à près d'un siècle pour les géants herbivores. Ces durées reflètent l'adaptation de chaque espèce à son environnement, témoignant de la diversité incroyable de ces anciens habitants de la Terre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'obésité est une maladie complexe. Facteurs génétiques, dérèglement alimentaire et sédentarisation sont essentiellement en cause. Mais l'individu est-il vraiment seul responsable de sa surcharge pondérale ? La société, le monde politique, le secteur industriel n'ont-ils pas une part de responsablité dans l'épidémie d'obésité en cours ? Stéphane Joost et Idris Guessous, ont créé un groupe de chercheurs interdisciplinaire qui a cartographié la ville de Lausanne et listé les critères qui rendent une ville obésogène. (Rediffusion du 29 mai 2019, reportage Laurence Difélix, réalisation Didier Rossat, production Véronique Marti)
Le prix d'un appartement dans une station de ski en France varie considérablement en fonction de la localisation, de la renommée de la station et des caractéristiques spécifiques du bien immobilier. Voici un aperçu des prix moyens au mètre carré dans différentes stations et massifs français : Stations de ski les plus onéreuses : - Val d'Isère : Cette station prestigieuse affiche des prix moyens d'environ 11 200 € par mètre carré pour un appartement et 16 100 € par mètre carré pour un chalet. - Courchevel et Megève : Ces stations haut de gamme présentent également des prix élevés, bien que légèrement inférieurs à ceux de Val d'Isère. Prix moyens par massif : - Alpes du Nord : Le prix moyen d'un appartement est de 3 574 € par mètre carré, soit environ 232 412 € pour un appartement de 60 m². - Alpes du Sud : Les appartements se négocient en moyenne à 2 340 € par mètre carré, équivalant à 128 400 € pour un 60 m². - Pyrénées : Le prix moyen est de 1 657 € par mètre carré, soit environ 99 441 € pour un appartement de 60 m². Facteurs influençant les prix : - Renommée de la station : Les stations internationales et prisées, comme Val d'Isère ou Courchevel, affichent des prix plus élevés en raison de leur attractivité et de leurs infrastructures haut de gamme. - Altitude et enneigement : Les stations situées à plus haute altitude, garantissant un meilleur enneigement, tendent à avoir des prix plus élevés. - Accessibilité et infrastructures : La proximité des grandes villes, la qualité des remontées mécaniques et des services offerts influencent également les prix de l'immobilier. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Barbara Lefebvre et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le changement suscite des réactions contrastées en termes d'émotions et de comportements ; quête permanente de nouveautés pour certains, tandis que d'autres semblent paralysés par la perspective du changement ; synonyme à leurs yeux d'insécurité et de perte de repères. Comment expliquer la résistance au changement, voire l'anxiété provoquée par une modification dans l'organisation du quotidien ? Comment favoriser l'adaptation et l'apaisement ? Dr Marie-Claude Gavard, psychiatre et psychanalyste à ParisRetrouvez l'émission en intégralité iciPsychologie: accepter le changement
À l'approche des fêtes de fin d'année, l'acquisition d'un sapin de Noël est une tradition pour de nombreuses familles. Le prix d'un sapin varie en fonction de plusieurs critères, notamment la taille, l'espèce, la qualité et le lieu d'achat. Taille et espèce du sapin La taille la plus demandée se situe entre 150 et 175 cm, représentant environ 80 % des ventes. Les espèces les plus courantes sont le Nordmann et l'Épicéa. Le Nordmann est apprécié pour sa résistance à la chute des aiguilles, tandis que l'Épicéa est prisé pour son parfum traditionnel. Prix moyen selon l'espèce et la taille - Nordmann de 150-175 cm : Le prix varie généralement entre 39 et 45 euros. Dans certaines régions, comme les Vosges, les prix peuvent atteindre 50 à 55 euros pour cette taille. - Épicéa de 150-175 cm : Souvent moins cher que le Nordmann, l'Épicéa de cette taille se vend généralement entre 20 et 30 euros. Facteurs influençant le prix - Qualité : Les sapins de qualité supérieure, avec une forme harmonieuse et une densité de branches élevée, sont vendus à un prix plus élevé. - Lieu d'achat : Acheter directement chez le producteur ou dans une ferme peut être plus économique. Par exemple, à la sapinière O'Vent des sapins en Vendée, un Nordmann de 175-200 cm est vendu 44 euros en direct. Les magasins appliquent généralement une marge, augmentant le prix final. - Région : Les prix peuvent varier selon les régions en raison des coûts de transport et de la disponibilité locale. Impact des conditions économiques et climatiques La sécheresse de 2022 et l'augmentation des coûts ont affecté la filière du sapin naturel. Cependant, en 2024, une météo favorable et une légère diminution du prix des carburants ont permis aux producteurs de maintenir les prix de 2023. Néanmoins, certains producteurs craignent que la baisse du pouvoir d'achat n'incite certaines familles à se passer de sapin cette année. Conseils pour un achat optimal - Comparer les offres : Visitez plusieurs points de vente pour comparer les prix et la qualité des sapins proposés. - Privilégier les circuits courts : Acheter directement chez le producteur peut offrir un meilleur rapport qualité-prix. - Anticiper l'achat : Acheter son sapin dès la fin novembre peut permettre de bénéficier d'un plus large choix et de meilleurs prix. En conclusion, le "juste prix" d'un sapin de Noël dépend de nombreux facteurs. Il est recommandé de définir ses critères prioritaires (taille, espèce, budget) et de comparer les offres disponibles pour faire un choix éclairé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 3 janvier est le jour où l'on enregistre le plus de décès en France, selon une étude de l'Insee. Cette statistique marquante met en lumière des dynamiques de mortalité liées à plusieurs facteurs, notamment la saisonnalité et les conditions de santé de la population après les fêtes de fin d'année. 1. Le contexte saisonnierLe début du mois de janvier est marqué par des conditions météorologiques particulièrement rigoureuses. Le froid hivernal peut aggraver les pathologies chroniques, comme les maladies respiratoires ou cardiovasculaires, surtout chez les personnes âgées ou fragiles. De plus, les infections virales, comme la grippe, atteignent souvent leur pic d'incidence à cette période. L'organisme affaibli par le froid et les virus est donc plus vulnérable, augmentant le risque de décès. 2. Les conséquences des fêtes de fin d'annéeLes festivités de Noël et du Nouvel An sont des périodes de grande convivialité, mais elles impliquent souvent des excès alimentaires, de l'alcool, et une fatigue accumulée. Pour les personnes en mauvaise santé, ces excès peuvent être particulièrement nocifs. Par ailleurs, les rassemblements familiaux peuvent favoriser la propagation de virus, accentuant les risques pour les personnes fragiles. Le délai d'incubation de certaines infections, comme la grippe, peut aussi expliquer pourquoi les décès augmentent quelques jours après le Nouvel An. 3. Facteurs psychologiques et physiologiquesIl ne faut pas sous-estimer les effets psychologiques de la période des fêtes. Pour certaines personnes, le stress ou la déprime post-festive peut aggraver des conditions de santé préexistantes. De plus, les services médicaux peuvent être saturés durant cette période, ce qui peut retarder l'accès aux soins nécessaires. 4. Une baisse globale de la mortalité en 2023L'Insee a également souligné qu'en 2023, le nombre total de décès en France a diminué par rapport aux années précédentes, avec 639 300 décès enregistrés. Cette baisse reflète un retour à des niveaux de mortalité plus "normaux" après les années de pandémie de COVID-19. Cependant, le fait que le 3 janvier reste le jour avec la plus forte mortalité rappelle l'importance de la prévention des risques de santé durant l'hiver. En somme, le 3 janvier concentre un ensemble de facteurs climatiques, physiologiques, et comportementaux qui expliquent ce pic de mortalité. Comprendre ces phénomènes peut inciter à adopter des mesures de précaution, notamment pour les personnes les plus vulnérables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cheveux cassants, pelade (chute de cheveux par plaques), alopécie (chute partielle ou complète des cheveux ou des poils)… Les problèmes capillaires sont nombreux, chez les hommes et chez les femmes. La nature du cheveu peut créer des fragilités spécifiques et certaines pratiques (lissage, tissage…) peuvent encore aggraver cette vulnérabilité. Quels sont les facteurs qui peuvent favoriser la chute des cheveux ? Dr Philippe Assouly, dermatologue spécialiste du cuir chevelu au Centre Sabouraud, de l'hôpital Saint-Louis, à ParisRetrouvez l'émission en entier ici : Santé des cheveux & du cuir chevelu
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.Dans cette édition : La météo s'est calmée après le passage de la tempête Berthe, avec quelques averses localisées et des températures en baisse sur l'ensemble du pays.À Saint-Nazaire, les facteurs n'osent plus distribuer le courrier dans un quartier gangrené par le trafic de drogue, obligeant les habitants à récupérer leur courrier à plusieurs kilomètres.Le programme d'éducation à la sexualité à l'école fait polémique, certains parents estimant que les notions abordées, notamment sur l'identité de genre, sont inadaptées pour les plus jeunes.En Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain doit impérativement s'imposer face au Bayern Munich pour éviter une élimination précoce.En Corse, l'église lance un appel aux dons pour financer la visite du pape François prévue le 15 décembre. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :La tempête Berthe a frappé la France, mais le temps est désormais plus calme avec quelques averses par-ci par-là, notamment dans le Cotentin, la Nouvelle-Aquitaine et le Grand Est, et des rafales de vent jusqu'à 50 km/h dans le Sud-Ouest et le long de la Manche.À Saint-Nazaire, les facteurs n'osent plus distribuer le courrier dans un quartier gangrené par le trafic de drogue, obligeant les habitants à récupérer leur courrier à plusieurs kilomètres de là.Le programme d'éducation à la sexualité à l'école fait polémique, certains parents estimant que les notions abordées, comme l'identité de genre, sont trop précoces pour les enfants.En politique, Anne Hidalgo annonce qu'elle ne sera pas candidate à un troisième mandat de maire de Paris en 2026.Un cessez-le-feu semble imminent entre Israël et le Hezbollah libanais, avec le retrait des troupes israéliennes du Liban.Le Paris Saint-Germain affronte le Bayern Munich ce soir en Ligue des Champions, avec l'obligation de gagner pour éviter l'élimination.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Dans cette édition :Dans une cité sensible de Saint-Nazaire, les habitants subissent l'insécurité liée au trafic de drogue, obligeant La Poste à adapter la distribution du courrier en fonction des horaires d'ouverture des points de deal.Au procès des viols de Mazan, le réquisitoire est très lourd à l'encontre de Dominique Pellicot, l'ex-mari de Gisèle Pellicot, avec une peine de 20 ans de réclusion criminelle réclamée.La FNSEA et les jeunes agriculteurs repartent en campagne avec des manifestations prévues devant le Parlement européen à Strasbourg, dans un contexte d'élections professionnelles agricoles à venir.Elon Musk devient l'homme le plus riche de l'histoire avec une fortune estimée à 348 milliards de dollars, dépassant largement celle de Rockefeller.Le gouvernement tente d'éviter la censure du budget par l'opposition, avec des enjeux politiques importants.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
(Terre d'Éveil Vipassana)
En vieillissant, la qualité et la quantité de sommeil tendent à diminuer, un phénomène bien documenté par la recherche scientifique. Plusieurs facteurs physiologiques et neurologiques contribuent à ces changements. Changements dans les cycles du sommeilLe sommeil se compose de plusieurs cycles, dont le sommeil lent profond, qui est le plus réparateur. Avec l'âge, la proportion de sommeil profond diminue, tandis que les phases de sommeil léger augmentent. Une étude de *Sleep Medicine Reviews* en 2017 a montré que les personnes âgées passent moins de temps en sommeil profond, ce qui rend leur sommeil plus facilement interrompu. Cela signifie qu'ils se réveillent plus fréquemment durant la nuit et ressentent souvent un sommeil moins reposant. Modification de l'horloge biologiqueL'horloge interne, ou rythme circadien, qui régule le cycle veille-sommeil, devient moins stable avec l'âge. Les personnes âgées ressentent souvent une tendance à s'endormir plus tôt le soir et à se réveiller plus tôt le matin, un phénomène appelé « avancement de phase ». Une étude publiée dans *Chronobiology International* en 2018 a montré que ce changement dans l'horloge biologique est dû à une réduction de la sensibilité à la lumière et à des modifications dans la production de mélatonine, une hormone régulatrice du sommeil. Réduction de la production de mélatonineLa mélatonine, souvent appelée « hormone du sommeil », aide à induire le sommeil et à maintenir un rythme de sommeil régulier. En vieillissant, le corps produit moins de mélatonine, ce qui peut rendre l'endormissement plus difficile et le sommeil moins profond. Une recherche dans *Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism* a révélé que les niveaux de mélatonine baissent progressivement avec l'âge, ce qui explique en partie pourquoi les personnes âgées peuvent avoir des difficultés à dormir aussi longtemps ou aussi profondément. Facteurs de santé et médicamentsLes troubles de santé chroniques, comme les douleurs articulaires, l'arthrite, ou les problèmes urinaires, peuvent également perturber le sommeil. Par ailleurs, de nombreux médicaments prescrits aux personnes âgées, comme les traitements pour la tension artérielle ou les diurétiques, peuvent avoir des effets secondaires qui nuisent au sommeil. Selon une étude publiée en 2015 dans *Sleep Health*, plus de la moitié des personnes âgées rapportent des interruptions de sommeil dues à des douleurs ou des besoins fréquents d'uriner la nuit. En somme, le vieillissement affecte le sommeil à plusieurs niveaux, de la structure même des cycles de sommeil à la régulation hormonale. Ces changements sont une combinaison de facteurs biologiques, de modifications de l'horloge biologique, et d'effets liés aux conditions de santé, ce qui explique pourquoi le sommeil devient moins profond et plus interrompu avec l'âge. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons d'une question qui intéresse de nombreux parents : le sommeil des enfants. Au bout de combien de temps un bébé peut-il faire ses nuits et ne plus être nourri pendant la nuit ? Pr Marième Soda Diop Sène, neurologue épileptologue et neurophysiologiste à l'Hôpital de Fann de Dakar, au Sénégal. Secrétaire générale de la Ligue sénégalaise contre l'épilepsie Retrouvez l'émission dans son intégralité iciQuestions de femmes: le sommeil des enfants
Le syndrome de pica est un trouble alimentaire caractérisé par l'ingestion répétée de substances non nutritives, qui ne sont pas normalement considérées comme des aliments. Ces substances peuvent inclure de la terre, de la craie, de l'argile, du papier, du savon, de la glace, du métal, ou même des cheveux. Ce comportement doit persister pendant au moins un mois pour être diagnostiqué comme pica et ne doit pas correspondre à un comportement normal ou culturel dans le contexte du patient. Causes du picaLes causes précises du pica ne sont pas entièrement comprises, mais plusieurs facteurs peuvent contribuer à son apparition : 1. Carences nutritionnelles : Une des hypothèses les plus répandues est que le pica peut être lié à des carences en minéraux essentiels comme le fer ou le zinc. Par exemple, les femmes enceintes ou les personnes souffrant d'anémie ferriprive sont plus susceptibles de développer un pica, car le corps pourrait rechercher des minéraux manquants dans les substances ingérées. 2. Troubles psychologiques : Le pica est souvent associé à des troubles psychiatriques, tels que le trouble obsessionnel-compulsif (TOC) ou les troubles du spectre autistique. Chez ces individus, l'ingestion de substances non alimentaires peut être liée à des comportements répétitifs, une impulsivité ou un besoin de stimulation sensorielle. 3. Facteurs environnementaux et culturels : Dans certaines cultures ou pratiques, manger de la terre ou de l'argile (géophagie) peut avoir des connotations rituelles ou symboliques. Cependant, ce type de comportement n'est pas toujours considéré comme un trouble dans ces contextes. 4. Grossesse : Il n'est pas rare de rencontrer des comportements de pica pendant la grossesse, où les besoins nutritionnels du corps sont accrus. Cela pourrait expliquer pourquoi certaines femmes enceintes ressentent l'envie de consommer des substances comme la glace ou l'argile. Complications du picaLe pica peut entraîner diverses complications médicales graves. L'ingestion de substances potentiellement toxiques, comme le plomb dans la peinture ou le métal rouillé, peut provoquer une intoxication. Manger des objets non comestibles peut également causer des obstructions intestinales, des perforations dans le tractus gastro-intestinal ou des infections parasitaires (par exemple, la consommation de terre contaminée). Diagnostic et traitementLe diagnostic du pica repose sur une évaluation clinique détaillée, où les antécédents alimentaires et de santé mentale du patient sont pris en compte. Les traitements varient selon la cause sous-jacente. Si le pica est lié à une carence nutritionnelle, la supplémentation en minéraux peut souvent suffire. Dans les cas où le trouble est d'origine psychologique, une thérapie comportementale peut être nécessaire, accompagnée de soutien médical si des complications physiques surviennent. Le syndrome de pica est donc un trouble complexe, nécessitant une prise en charge globale. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, plongez avec nous dans l'univers fascinant de l'agriculture tinctoriale, où les plantes tinctoriales révèlent leurs secrets pour offrir des couleurs végétales éclatantes. Notre hôte, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la teinture végétale, accueille des experts du domaine : Patrick Brenac de Greening et Louis Lévisse de Terrateck. Ensemble, ils explorent les enjeux et les innovations qui façonnent la production de colorants biosourcés.Patrick Brenac nous éclaire sur les facteurs agronomiques qui influencent la production de molécules colorantes dans les plantes. Il met en lumière l'importance de l'origine génétique et des conditions de culture, tout en évoquant le paradoxe entre la biomasse produite et la concentration de pigments végétaux. « L'expérimentation est essentielle pour optimiser la culture des plantes tinctoriales », affirme-t-il, nous incitant à repenser nos méthodes de culture pour maximiser le potentiel de la garance et de l'indigo.Louis Lévisse, quant à lui, nous présente des solutions ergonomiques et des outils de mécanisation qui révolutionnent le quotidien des agriculteurs. Avec des équipements spécifiques comme la cueilleuse à boutons pour les fleurs de bleuet et un système de nettoyage pour les récoltes, il nous montre comment allier confort et rendement dans la production de teinture naturelle. À travers ses interventions, il nous rappelle que le design et l'innovation sont des alliés précieux dans le monde de l'agriculture durable.En fin d'épisode, Pauline annonce avec enthousiasme les sujets des prochains épisodes, notamment la réalisation de plants et la culture de semences, promettant ainsi une continuité passionnante dans notre exploration des couleurs de plantes. Cet épisode d'ArtEcoVert est une véritable mine d'informations pour tous ceux qui s'intéressent à l'agriculture durable et à l'utilisation des plantes tinctoriales. Que vous soyez un passionné de teinture végétale, un amateur de fibres naturelles, ou simplement curieux d'en apprendre davantage sur les colorants végétaux, cet échange vous apportera des éclairages précieux.Ne manquez pas cette occasion d'enrichir vos connaissances et de découvrir comment les tanins et les pigments végétaux peuvent transformer notre approche de la couleur. Belle écoute à tous, et n'hésitez pas à nous faire part de vos impressions et questions !
L'anorexie mentale touche aujourd'hui près d'1 % de la population.C'est une maladie essentiellement féminine et qui concerne majoritairement les adolescentes. Je crois qu'il est important d'avoir ce chiffre en tête, 1 personne malade sur 5 meurt de l'anorexie.J'ai voulu comprendre un peu plus les dessous de ce trouble du comportement alimentaire en invitant Laura Di Lodovico, médecin psychiatre italienne, ancienne cheffe de clinique aux hôpitaux de Paris et chercheuse à l'INSERM spécialisée sur le sujet.Laura prend le temps d'expliquer à vous parents, les ressorts de cette maladie, les signes à repérer, la prise en charge à demander et toutes les stigmatisations dont cette maladie souffre.L'anorexie touche de plus en plus jeunes alors parlons-en !En enregistrant cet épisode j'ai eu des pensées constantes pour mes amies qui ont souffert d'anorexie et pour une personne de ma famille qui a traversé cette maladie. Je suis éternellement reconnaissante qu'elles soient toujours en vie aujourd'hui.
Le sentiment de faim, même lorsque l'on ne fait rien, peut sembler paradoxal, mais il est en réalité un phénomène régulé par un ensemble complexe de mécanismes physiologiques et psychologiques. Voici une explication scientifique de ce processus : 1. La régulation hormonale de la faim :Le sentiment de faim est principalement régulé par des hormones qui sont produites en fonction des signaux que le corps reçoit sur l'état des réserves d'énergie. Les principales hormones impliquées sont : - Ghréline : C'est l'hormone de la faim. Elle est sécrétée principalement par l'estomac lorsqu'il est vide. Plus le taux de ghréline est élevé, plus vous ressentez la faim, même si vous ne faites aucune activité physique.- Leptine : Elle est produite par les cellules graisseuses et signale au cerveau que le corps a assez de réserves d'énergie. Lorsque la leptine diminue, le cerveau reçoit le signal de manger, même sans grande dépense d'énergie. 2. Le métabolisme basal :Même lorsque nous sommes au repos (comme en regardant la télévision ou en restant assis), le corps consomme de l'énergie pour maintenir les fonctions vitales, comme :- Le battement du cœur- La respiration- Le maintien de la température corporelle- L'activité cérébrale Ces fonctions nécessitent une quantité d'énergie minimale, appelée métabolisme basal, qui peut représenter 60 à 70 % de la dépense énergétique totale quotidienne. Le corps réclame donc de l'énergie (via la faim) pour maintenir ces processus, même lorsqu'il n'y a pas d'activité physique évidente. 3. Les fluctuations de la glycémie :Lorsque nous mangeons, en particulier des glucides, la glycémie (le taux de sucre dans le sang) augmente. Cette élévation déclenche la libération d'insuline, une hormone qui aide à absorber le glucose dans les cellules. Cependant, après un certain temps, la glycémie redescend, et cette baisse peut déclencher une sensation de faim, même sans dépense énergétique importante. Si les repas sont composés de glucides simples, cette fluctuation peut être rapide, entraînant des pics de faim fréquents. 4. Facteurs psychologiques et comportementaux :- Conditionnement et habitudes alimentaires : Le cerveau est souvent conditionné par l'habitude de manger à certains moments de la journée, indépendamment des besoins énergétiques. Si vous êtes habitué à manger à des heures régulières, vous pouvez ressentir la faim à ces moments-là, même sans avoir bougé.- Ennui et gestion émotionnelle : Parfois, la faim peut être confondue avec des sensations comme l'ennui, l'anxiété ou le stress. Le cerveau associe souvent l'absence d'activité à la prise alimentaire, surtout si cela est devenu une habitude comportementale. 5. Le mécanisme de préservation énergétique :Le corps humain a évolué pour survivre en période de famine, et il a donc tendance à "anticiper" les besoins énergétiques. Même si vous ne faites rien, le cerveau envoie des signaux de faim pour éviter un futur déficit d'énergie. Ce mécanisme était avantageux à une époque où la nourriture était rare, car il incitait les individus à manger dès que possible pour stocker de l'énergie sous forme de graisse. 6. Les variations hormonales au repos :Lorsque nous sommes au repos, les niveaux d'insuline et de ghréline peuvent fluctuer. Ces fluctuations hormonales augmentent parfois la sensation de faim, même si l'activité physique est faible. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Le phénomène du lait qui déborde d'une casserole est un processus physique et chimique relativement simple, mais intéressant. Voici une explication claire et scientifique de ce qui se passe : 1. Composition du lait Le lait est une émulsion, c'est-à-dire un mélange de plusieurs substances, principalement de l'eau (environ 87 %), des matières grasses, des protéines (comme la caséine et le lactosérum), des glucides (surtout du lactose), et quelques autres éléments comme des minéraux et des vitamines. 2. Ébullition du laitLorsqu'on chauffe du lait dans une casserole, le processus suit plusieurs étapes : - Évaporation de l'eau : Comme toute autre substance contenant de l'eau, le lait commence à chauffer et atteindre la température d'ébullition (environ 100 °C). À ce moment-là, l'eau contenue dans le lait commence à s'évaporer et forme de la vapeur. - Formation de la crème en surface : À mesure que le lait chauffe, ses composants ne réagissent pas tous de la même manière. La matière grasse et les protéines, en particulier, montent à la surface et forment une fine couche appelée crème. Cette couche, faite de graisses et de protéines (caséine et lactosérum), devient un film relativement stable en surface. 3. Accumulation de la vapeur sous la couche de crèmeL'eau contenue dans le lait continue à s'évaporer à partir de la surface de la casserole. Normalement, la vapeur d'eau s'échapperait dans l'air comme elle le fait avec de l'eau pure en ébullition. Cependant, dans le cas du lait, la couche de crème agit comme une barrière qui empêche la vapeur de s'échapper librement. Cette vapeur d'eau accumulée sous la couche de crème exerce une pression ascendante. À mesure que la vapeur continue de se former et d'accumuler de la pression, elle pousse la couche supérieure du lait (la crème), ce qui provoque le gonflement du lait. 4. DébordementLorsque la vapeur d'eau finit par soulever complètement la couche de crème et ne trouve plus de place pour s'échapper rapidement, elle entraîne un débordement brutal du lait hors de la casserole. Ce phénomène est accentué si le lait est chauffé trop rapidement, car la vapeur se forme plus rapidement et la pression s'accumule sous la couche de crème plus rapidement aussi. 5. Pourquoi ce phénomène est spécifique au lait ?Ce phénomène est propre au lait à cause de sa composition hétérogène. Dans l'eau pure, il n'y a pas de couche protectrice en surface, donc la vapeur peut s'échapper librement. Dans le lait, les matières grasses et les protéines forment un film à la surface, ce qui retient la vapeur et conduit au débordement. Facteurs contribuant au débordement :- Température élevée : Plus on chauffe le lait rapidement, plus la vapeur d'eau se forme rapidement sous la couche de crème, accélérant ainsi le débordement.- Taille de la casserole : Si la casserole est trop petite, le volume de lait est important par rapport à la surface de la casserole, ce qui augmente les chances que le lait déborde rapidement.- Mélange ou absence de mélange : En remuant le lait pendant son ébullition, on empêche la formation de la couche de crème à la surface, ce qui permet à la vapeur d'eau de s'échapper plus facilement et réduit le risque de débordement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'envie de fumer en buvant de l'alcool est un phénomène bien documenté, et il existe plusieurs explications pour comprendre pourquoi ces deux comportements sont souvent liés :1. Effets neurologiques similairesL'alcool et la nicotine agissent tous deux sur le système de récompense du cerveau, en libérant des neurotransmetteurs comme la dopamine, qui provoquent des sensations de plaisir et de relaxation. Quand on boit de l'alcool, le cerveau peut associer cette sensation agréable à la nicotine, renforçant ainsi l'envie de fumer pour prolonger ou intensifier ce sentiment de bien-être.2. Association comportementalePour beaucoup de gens, boire et fumer sont des activités socialement liées. Par exemple, certaines personnes associent le fait de fumer à des moments de socialisation ou de détente, qui sont également des situations où l'alcool est souvent consommé. Cette association conditionnée peut rendre le besoin de fumer plus fort lorsqu'on boit.3. Réduction des inhibitionsL'alcool est connu pour réduire les inhibitions et diminuer le contrôle de soi. Lorsque quelqu'un boit, il est plus susceptible de céder à des impulsions ou des habitudes qu'il pourrait autrement contrôler. Ainsi, même si une personne essaie d'arrêter de fumer, l'alcool peut rendre cette résolution plus difficile à tenir.4. Renforcement mutuelLa nicotine et l'alcool peuvent avoir un effet de renforcement mutuel. Fumer peut atténuer certains des effets sédatifs de l'alcool, ce qui permet à la personne de se sentir plus alerte et de continuer à boire plus longtemps. De plus, l'alcool peut amplifier les effets agréables de la nicotine, créant ainsi un cycle de consommation où chaque substance renforce le désir de l'autre.5. Facteurs sociaux et environnementauxDans certains contextes, comme les fêtes, les bars ou les soirées, boire de l'alcool et fumer sont des comportements souvent observés ensemble. L'exposition à des situations sociales où d'autres personnes fument pendant qu'elles boivent peut augmenter l'envie de fumer, surtout si l'on est entouré de fumeurs.En résumé, l'envie de fumer en buvant de l'alcool est le résultat d'une combinaison de facteurs neurologiques, comportementaux, et sociaux, où l'alcool et la nicotine s'entremêlent pour créer un fort désir de consommer les deux simultanément. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:23:25 - L'invité de 8h20 - Les vastes États généraux de l'information voulus par Emmanuel Macron ont émis 15 propositions aux responsables politiques et aux acteurs du secteur, dans un contexte lourd d'incertitudes et après près d'une année de travaux.
Le ralentissement de la parole peut être un indicateur utile pour prédire le déclin cognitif. Plusieurs études ont démontré que les changements dans le rythme et la vitesse de la parole peuvent refléter des altérations dans les fonctions cognitives. Citons ici celle men&e en mars 2024 par l'Université de Toronto et qui met clairement en lumière une corrélation intrigante entre la vitesse de la parole et la santé cognitive chez les adultes âgés.Voici comment ce phénomène se manifeste et pourquoi il est pertinent :1. Rythme et vitesse de la parole- Diminution de la vitesse : Un ralentissement notable dans la manière de parler peut indiquer des difficultés cognitives. Les personnes en début de déclin cognitif prennent souvent plus de temps pour formuler leurs pensées et trouver les mots appropriés.- Augmentation des pauses : Les pauses fréquentes et prolongées pendant la parole peuvent signaler des problèmes de mémoire et de traitement de l'information.2. Fluidité verbale- Hésitations et répétitions : Les personnes peuvent hésiter davantage et répéter des mots ou des phrases, ce qui indique des difficultés à accéder rapidement à leur vocabulaire et à structurer leurs pensées.- Réductions des expressions spontanées : La spontanéité de la parole peut diminuer, avec des discours plus laborieux et moins fluides.3. Facteurs neurobiologiques- Dysfonctionnement des aires cérébrales : Les régions du cerveau impliquées dans la production et le contrôle de la parole, comme l'aire de Broca et l'aire de Wernicke, peuvent être affectées par des troubles neurodégénératifs, entraînant un ralentissement de la parole.- Problèmes de mémoire de travail : La mémoire de travail est essentielle pour maintenir et manipuler les informations verbales. Les difficultés dans ce domaine peuvent ralentir la capacité à parler couramment.4. Évaluation clinique- Tests standardisés : Des tests neuropsychologiques peuvent mesurer la vitesse de la parole et d'autres aspects du langage pour évaluer le déclin cognitif.- Enregistrements de la parole : L'analyse d'enregistrements de la parole sur une période donnée peut aider à détecter des tendances de ralentissement.5. Technologie et intelligence artificielle- Outils de traitement du langage naturel : Les technologies basées sur l'IA peuvent analyser les échantillons de parole pour détecter des changements subtils dans la vitesse et le rythme. Ces outils peuvent fournir des évaluations précises et en temps réel des capacités cognitives.- Applications mobiles : Il existe des applications qui peuvent surveiller la parole des utilisateurs et fournir des alertes précoces sur le déclin cognitif.6. Importance de l'approche longitudinale- Suivi continu : Une surveillance continue et à long terme de la parole permet de détecter des changements progressifs, offrant une vue plus complète et précise du déclin cognitif potentiel.ConclusionLe ralentissement de la parole est un indicateur prometteur pour la prédiction du déclin cognitif. Il reflète des modifications sous-jacentes dans les fonctions cérébrales et la mémoire. Cependant, comme pour tout indicateur, il est essentiel de l'utiliser en combinaison avec d'autres méthodes de diagnostic pour obtenir une évaluation complète et fiable de la santé cognitive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'alcool est connu pour ses propriétés vasodilatatrices. En provoquant l'élargissement des vaisseaux sanguins, la molécule d'éthanol accentue le flux de sang et se montre responsable d'un rougissement de la surface de la peau. Mais pourquoi la coloration s'accentue-t-elle plus particulièrement au niveau du nez ? Pour comprendre ce phénomène, il faut s'intéresser aux particularités anatomiques de notre organe sensoriel.Inflammation et vasodilatation : le double effet de l'alcoolCommençons par examiner les causes du rougissement de la peau lors d'une prise d'alcool. La molécule d'éthanol agit sur le système nerveux central en favorisant la libération de certains neurotransmetteurs. Ces derniers agissent au niveau des muscles lisses qui entourent les vaisseaux sanguins. En présence d'alcool, ils se relâchent et favorisent la dilatation des parois des veines, artères et capillaires. Le sang circule alors plus librement, et sa présence plus importante se constate par le rougissement de la peau dans les zones très irriguées du corps.D'autre part, l'alcool provoque aussi une inflammation car l'organisme réagit face à cette molécule qu'il considère comme nocive. L'inflammation est une réaction immunitaire marquée par un gonflement, par une chaleur et par un rougissement de la zone concernée.Pourquoi les rougeurs apparaissent surtout sur le nez ?Le nez comporte de nombreux petits capillaires, des vaisseaux sanguins qui irriguent les tissus. Lorsque l'alcool provoque la vasodilatation, ces capillaires se dilatent plus facilement, ce qui entraine l'apparition de rougeurs marquées sur le nez.Le nez est également une zone du visage peu couverte par d'autres tissus tels que la graisse ou les muscles, qui pourraient camoufler la dilatation sanguine. Les vaisseaux se trouvent en surface, très proches de la peau. Leur augmentation de volume se remarque donc plus facilement que sur d'autres parties du corps.Facteurs et conditions qui aggravent les rougeurs au nezParfois, la condition médicale de la personne ou des facteurs additionnels aggravent les rougeurs qui apparaissent après une consommation d'alcool. Les personnes qui ont la peau claire ou très claire rougissent ainsi plus facilement, car leur épiderme laisse davantage passer la lumière donc la couleur des vaisseaux. Certaines prédispositions génétiques entrainent aussi un rougissement plus rapide.La chaleur, la consommation d'épices ou la prise de médicaments contribuent à dilater les vaisseaux, et peuvent amplifier le phénomène de rougeur du nez. Des affections cutanées spécifiques comme la rosacée induisent aussi une sensibilité accrue à la vasodilatation et à l'inflammation induites par l'alcool, avec des symptômes plus sévères en cas de consommation alcoolisée.Comment éviter les rougeurs au visage après avoir consommé de l'alcool ?La solution la plus efficace pour rétablir la coloration habituelle de la peau est de s'hydrater en buvant beaucoup d'eau, soit après avoir consommé de l'alcool, soit en même temps, en alternant entre un verre alcoolisé et un verre d'eau pure. L'hydratation de la peau avec une crème et le sommeil permettent également de récupérer un visage plus clair après une soirée festive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.