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durée : 00:07:39 - Le Masque et la Plume - L'Hôtel du libre-échange de Feydeau revisité par Stanislas Nordet : une proposition audacieuse qui divise. Modernité et accessibilité pour certains, contresens et langue phagocytante pour d'autres. Une mise en scène à découvrir à l'Odéon.
durée : 00:06:03 - Le Masque et la Plume - La parodie du célèbre film de James Cameron par Tye Blue a suscité les avis mitigés de nos critiques. Si une partie a adoré l'audace queer et le côté kitch théâtral, l'autre a trouvé le spectacle cheap, répétitif et ringard.
En France, le débat parlementaire se poursuit sur la délicate question de la fin de vie. Les députés ont approuvé, samedi 17 mai, la création d'un « droit à l'aide à mourir », dans une version qui prévoit que les patients devront s'auto-administrer la substance létale s'ils en ont la capacité. Le texte sur l'aide active à mourir divise puisqu'il pose aussi la question de l'ouverture à l'euthanasie. Un geste qui implique aussi le corps médical. RFI a tendu son micro aux proches d'un patient qui en a bénéficié, mais aussi à un médecin français qui y est opposé. « Je m'adresse à vous en tant que futur défunt, au terme d'un long parcours de soins liés à une maladie mortelle et incurable. » Atteint d'une tumeur au cerveau, Nicolas Menet est mort à 44 ans, le 4 février 2023, à l'hôpital. Dans cette vidéo posthume, on voit marcher ce colosse dans la campagne ardéchoise, un bâton de montagnard guide ses pas. Il s'adresse aux parlementaires qui débattent actuellement sur la fin de vie : « Je ne veux pas quémander l'autorisation de mourir auprès des médecins. Je ne veux pas souffrir inutilement. Je veux choisir le moment, le lieu et l'endroit. Personne ne peut juger s'il est trop tôt pour moi ou trop tard, si je suis encore en bon état ou pas. Je dois être le seul à pouvoir juger de mes souffrances psychiques si j'en ai encore la possibilité cognitive. »Nicolas Menet militait pour la liberté de choisir l'euthanasie, autrement dit que le médecin ait le droit d'administrer la substance létale. Le texte prévoit pour le moment cette possibilité, à condition que la décision soit collégiale et que le praticien soit volontaire.Chef de service d'une unité de soins palliatifs pendant 25 ans, Claude Grange, lui, est contre l'euthanasie. « Ma seule compétence, ma seule légitimité, c'est d'avoir accompagné 4 000 personnes en fin de vie. Dans ces 4 000 personnes, il y en a que trois qui, malgré tous les bons soins, ont voulu aller en Suisse. Il y a plein de personnes qui peuvent être au départ dans une demande. Mais à partir du moment où on les soulage, on les entoure et on fait des choses qui ont du sens pour eux, ils ne nous demandent plus de mourir. Personne n'a envie de mourir. Même les grands malades. Ce sont les conditions du mourir qui font qu'on a envie de mourir. Quelque part, là, on va réintroduire la possibilité de donner la mort de la main des soignants. C'est catastrophique », explique-t-il, estimant que ce n'est pas au médecin de donner la mort.Jacques Buffières, qui a accompagné son mari Nicolas en fin de vie, répond à Claude Grange : « C'est la position de ce médecin. Ce n'est pas la position de tous les médecins. On peut avoir des clauses de conscience. Cela me paraît légitime qu'un médecin qui ne veut pas faire cela ne le fasse pas. Je rappelle quand même que, dans la France entière actuellement, des médecins, sans le dire, avec l'accord de la famille, osent cet acte. Comme avant 1974, des médecins pratiquaient des avortements sur des femmes. C'est cette hypocrisie, qu'on a connue sur l'avortement, à laquelle il faut mettre fin désormais. »Comme pour l'avortement, certains malades décident d'aller à l'étranger, dans des pays où cette pratique est autorisée. Un choix réservé à ceux qui en ont les moyens.À lire aussiFin de vie: les députés français approuvent un article créant un droit à l'aide à mourir
La question du service militaire des Haredim revient au centre du débat politique.Avec l’historienne Dre. Myriam Rosman, nous avons exploré les racines d’un conflit ancien, ravivé par les menaces des partis ultra-orthodoxes de faire chuter la coalition.Entre exigence d’égalité républicaine et logique communautaire, Benjamin Netanyahu se retrouve face à un dilemme politique redoutable. Un épisode à écouter pour saisir les tensions identitaires qui traversent la société israélienne.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis ce lundi 16h deux textes sont examinés au parlement. L'un qui concerne les soins d'accompagnement et le second qui vise à légaliser l'aide à mourir à de strictes conditions ne fait pas consensus à l'assemblée nationale.Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Mohamed Bouhafsi raconte une des histoires qui a fait l'actualité du jour.
durée : 00:02:16 - Avec le temps qui passe, pourquoi nos iris ne fleurissent pas comme avant dans nos jardins ? - Si les iris ne fleurissent plus, c'est souvent parce qu'ils sont en place depuis trop longtemps sans être divisés. Notre jardinier recommande de les diviser tous les trois ans, en juillet, et de replanter les rhizomes en surface dans une terre bien travaillée.
durée : 00:03:44 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne
Step Back, le podcast basket de la rédaction de L'Equipe En cumulant 27 points et 24 rebonds lors du match qui a abouti à l'élimination des Los Angeles Lakers, Rudy Gobert s'est rappelé au souvenir de ceux qui adorent le chambrer ou le critiquer. Mais pourquoi le pivot de Minnesota, élu quatre fois meilleur défenseur de l'année en NBA, suscite-il des réactions aussi tranchées ? Step Back s'est penché sur la question.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:11 - Le grand format - Marine Le Pen et Jordan Bardella vont mettre en scène l'unité ce jeudi lors d'un meeting à Narbonne. Le président du RN pourrait être amené à remplacer Marine Le Pen à la présidentielle de 2027 si la justice ne revient pas sur son inéligibilité. Qu'en disent les militants ? Reportage à Perpignan.
Le texte arrive en séance publique le 12 mai à l'Assemblée. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mercredi 16 avril 2025, 18 h 00 à Paris. ► EXERCICEComprendre un extrait du journal | L'OMS signe un accord mondial sur les pandémies | niveau A2 (exercice + PDF)Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Badc.A
"Neustarts im kleinen Stil" lautet die Divise dieser Folge: mit EDEN und DEAD TALENTS SOCIETY besprechen wir zwei verhältnismäßig eher kleinere Neustarts aus dem Bereich Kino und Streaming, dafür rollen wir aber einiges an Trailern und News auf und was dabei herauskommt... das müsst ihr wohl selbst beurteilen. Viel Spaß!-----Unser Linktree: https://linktr.ee/einhauchvonfilmHier findest du nützliche Links, zum Beispiel zu unseren Sozialen Netzwerken (wie beispielsweise Instagram) oder unserer Spotify-Playlist!-----Ein Hauch von Begrüßung00:00:00 StartEin Hauch von Neustarts00:16:04 Eden00:36:40 Dead Talents SocietyEin Hauch von News00:46:28 Trailer und NewsEin Hauch von Ende01:20:41 Ende
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Pour écouter l'épisode en entier tapez "#461 - Sébastien Bazin - PDG du groupe Accor - Diriger un groupe coté en bourse sans ordinateur" sur votre plateforme d'écoute.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Una sfida alla costruzione del miglior programma di College Football della storiaUn Draft di 10 round per costruire un programma da zero scegliendo: Location, Stadio, Divise, Fight Song, Mascotte, Giocatore Icona, Allenatore Icona, Tifoso celebre, Tradizione e Scandalo
En 2024, le Japon a accueilli un nombre record de 37 millions de touristes étrangers, du jamais-vu. C'est en grande partie dû au cours du yen qui, depuis deux ans, a dégringolé à un niveau plancher, historiquement bas. Mais – revers de la médaille – au Pays du Soleil levant également, le sur-tourisme pose de plus en plus de problèmes. À Kyoto notamment, ainsi que dans les localités proches du Mont Fuji, où la pratique de tarifs différenciés en fonction de la nationalité des clients se répand dans l'archipel. Dans un nombre grandissant de restaurants, d'hôtels ou de musées, par exemple, les touristes étrangers sont priés de payer davantage que les Japonais. Et cette évolution ne fait pas l'unanimité. L'an dernier, les touristes étrangers venus au Japon y ont dépensé la somme faramineuse de 8 000 milliards de yens – près de 50 milliards d'euros –, soit davantage que le montant des exportations de semi-conducteurs nippons ou des recettes générées à l'international par le « cool Japan », comme l'on dénomme le secteur du manga, des films d'animation et des jeux vidéo.Le Japon 10% plus cher pour les étrangersUne manne providentielle donc, pour une économie nationale qui ne va pas bien. Pour autant, Kotaro ne culpabilise pas d'avoir instauré des tarifs différenciés : dans son restaurant, les clients étrangers paient 10% de plus que les Japonais. Car, ne parlant pas un mot d'anglais, il a dû engager une serveuse bilingue et faire traduire et imprimer des menus en plusieurs langues. Et puis, à ses yeux, ce système offre un grand avantage : « Sans cette petite contribution que je demande gentiment aux clients étrangers, j'aurais dû répercuter la hausse du prix des produits alimentaires sur mes tarifs, et donc proposer des menus moins abordables, au détriment de mes clients japonais. »À Asakusa, le quartier le plus touristique de Tokyo, les avis divergent. Pour cet homme, « en termes d'hospitalité, je trouve ça moyen. On devrait remercier, et pas pénaliser, tous ces touristes qui nous font l'honneur de leur visite ». Une femme estime que « quelques yens en plus ou en moins, ils s'en fichent. Ils roulent sur l'or grâce au taux de change ».« Je ne suis pas du tout sûre que les Japonais en vacances à l'étranger apprécieraient de devoir payer plus que les locaux », confie une autre. Et pour cet habitant de Tokyo, « trier les clients en fonction de leur origine, on a beau dire, mais, au bout du compte, cela relève du délit de faciès. C'est très délicat. Le cliché de ''l'infinie courtoisie japonaise'' va en prendre un coup ».À lire aussiJapon: avec 36,8 millions de touristes étrangers en 2024, le pays fait face aux défis du surtourismeLes touristes étrangers, eux, sont tout autant partagés. Un premier confie : « Si cela devient vraiment difficile pour les Japonais en raison de la hausse du coût de la vie, c'est peut-être une bonne idée de pratiquer de tels tarifs différenciés. » Un autre déclare : « Ces prix majorés pour les visiteurs étrangers, selon moi, automatiquement, ça va les dissuader. Certains vont trouver inéquitable de devoir payer plus. »Certains commerçants vont encore plus loin. À la devanture de ce minuscule restaurant de nouilles, par exemple, un écriteau rédigé en anglais informe que l'accès est réservé aux clients parlant le japonais. Son gérant se justifie : « Je suis nul en langues étrangères, n'ai pas les moyens d'engager du personnel bilingue et suis tout seul à la fois en cuisine et au service. Donc les dialogues improbables en français, en espagnol ou en swahili via des applis ou 'Google Translate', désolé, mais non merci : je suis beaucoup trop débordé pour cela. »Le droit japonais tolère de telles restrictions d'accès fondées sur la nationalité ou la langue, considérant qu'elles relèvent de la liberté commerciale.À lire aussiJapon: les experts mettent en garde contre une éruption du mont Fuji
En 2024, le Japon a accueilli un nombre record de 37 millions de touristes étrangers, du jamais-vu. C'est en grande partie dû au cours du yen qui, depuis deux ans, a dégringolé à un niveau plancher, historiquement bas. Mais – revers de la médaille – au Pays du Soleil levant également, le sur-tourisme pose de plus en plus de problèmes. À Kyoto notamment, ainsi que dans les localités proches du Mont Fuji, où la pratique de tarifs différenciés en fonction de la nationalité des clients se répand dans l'archipel. Dans un nombre grandissant de restaurants, d'hôtels ou de musées, par exemple, les touristes étrangers sont priés de payer davantage que les Japonais. Et cette évolution ne fait pas l'unanimité. L'an dernier, les touristes étrangers venus au Japon y ont dépensé la somme faramineuse de 8 000 milliards de yens – près de 50 milliards d'euros –, soit davantage que le montant des exportations de semi-conducteurs nippons ou des recettes générées à l'international par le « cool Japan », comme l'on dénomme le secteur du manga, des films d'animation et des jeux vidéo.Le Japon 10% plus cher pour les étrangersUne manne providentielle donc, pour une économie nationale qui ne va pas bien. Pour autant, Kotaro ne culpabilise pas d'avoir instauré des tarifs différenciés : dans son restaurant, les clients étrangers paient 10% de plus que les Japonais. Car, ne parlant pas un mot d'anglais, il a dû engager une serveuse bilingue et faire traduire et imprimer des menus en plusieurs langues. Et puis, à ses yeux, ce système offre un grand avantage : « Sans cette petite contribution que je demande gentiment aux clients étrangers, j'aurais dû répercuter la hausse du prix des produits alimentaires sur mes tarifs, et donc proposer des menus moins abordables, au détriment de mes clients japonais. »À Asakusa, le quartier le plus touristique de Tokyo, les avis divergent. Pour cet homme, « en termes d'hospitalité, je trouve ça moyen. On devrait remercier, et pas pénaliser, tous ces touristes qui nous font l'honneur de leur visite ». Une femme estime que « quelques yens en plus ou en moins, ils s'en fichent. Ils roulent sur l'or grâce au taux de change ».« Je ne suis pas du tout sûre que les Japonais en vacances à l'étranger apprécieraient de devoir payer plus que les locaux », confie une autre. Et pour cet habitant de Tokyo, « trier les clients en fonction de leur origine, on a beau dire, mais, au bout du compte, cela relève du délit de faciès. C'est très délicat. Le cliché de ''l'infinie courtoisie japonaise'' va en prendre un coup ».À lire aussiJapon: avec 36,8 millions de touristes étrangers en 2024, le pays fait face aux défis du surtourismeLes touristes étrangers, eux, sont tout autant partagés. Un premier confie : « Si cela devient vraiment difficile pour les Japonais en raison de la hausse du coût de la vie, c'est peut-être une bonne idée de pratiquer de tels tarifs différenciés. » Un autre déclare : « Ces prix majorés pour les visiteurs étrangers, selon moi, automatiquement, ça va les dissuader. Certains vont trouver inéquitable de devoir payer plus. »Certains commerçants vont encore plus loin. À la devanture de ce minuscule restaurant de nouilles, par exemple, un écriteau rédigé en anglais informe que l'accès est réservé aux clients parlant le japonais. Son gérant se justifie : « Je suis nul en langues étrangères, n'ai pas les moyens d'engager du personnel bilingue et suis tout seul à la fois en cuisine et au service. Donc les dialogues improbables en français, en espagnol ou en swahili via des applis ou 'Google Translate', désolé, mais non merci : je suis beaucoup trop débordé pour cela. »Le droit japonais tolère de telles restrictions d'accès fondées sur la nationalité ou la langue, considérant qu'elles relèvent de la liberté commerciale.À lire aussiJapon: les experts mettent en garde contre une éruption du mont Fuji
Pour lutter contre les déserts médicaux, une proposition de loi transpartisane examinée ce mercredi en Commission des affaires sociales souhaite restreindre la liberté d'installation. Le médecin ne pourrait pas ouvrir son cabinet où il le souhaite et devrait privilégier les zones désertées. Pas question, répondent les syndicats de médecins.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour lutter contre les déserts médicaux, une proposition de loi transpartisane examinée ce mercredi en Commission des affaires sociales souhaite restreindre la liberté d'installation. Le médecin ne pourrait pas ouvrir son cabinet où il le souhaite et devrait privilégier les zones désertées. Pas question, répondent les syndicats de médecins.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour lutter contre les déserts médicaux, une proposition de loi transpartisane examinée ce mercredi en Commission des affaires sociales souhaite restreindre la liberté d'installation. Le médecin ne pourrait pas ouvrir son cabinet où il le souhaite et devrait privilégier les zones désertées. Pas question, répondent les syndicats de médecins.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:22 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Lundi 24 mars 2025 : l'acteur, Guillaume de Tonquédec. Dans le cadre du festival Paroles Citoyennes, il sera sur la scène du Théâtre Récamier, pour la pièce "Le dernier soir", le 8 avril.
Décryptage des dernières actualités entre la France et l'Algérie.▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - Après Bruno Retailleau, Gérald Darmanin brandit la menace d'une démission du gouvernement. Le ministre de la Justice veut interdire le port du voile dans toutes les compétitions sportives, ce que contestent d'autres ministres.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
L'11 marzo l'ex presidente delle Filippine Rodrigo Duterte è stato arrestato a Manila su mandato della Corte internazionale di giustizia, con l'accusa di aver commesso crimini contro l'umanità. Con Ilaria Maria Sala, giornalista, da ManilaIl ministero dell'istruzione del merito ha pubblicato la bozza delle nuove indicazioni sui programmi scolastici per l'infanzia e il primo ciclo di istruzione. Con Vanessa Roghi, storica dell'educazione e della scuola.Oggi parliamo anche di:Cinema • La città proibita di Gabriele Mainetti Ci piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it o manda un vocale a +39 3347063050Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti
Au Cameroun, Vincent Bolloré a cédé ses activités logistiques à l'opérateur italo-suisse MSC, en fin d'année 2022, pour 5,7 milliards d'euros. Avec la gestion du port, de la ligne de chemin de fer, une flotte de camions et plusieurs milliers d'employés, Bolloré était l'acteur référent dans le domaine. Si certains ont bénéficié du départ du Français, d'autres estiment que la libéralisation du secteur n'est pas toujours bénéfique. 100 000 tonnes, c'est la quantité de denrées alimentaires importées par le Programme alimentaire mondial via le port de Douala l'année dernière. Des vivres destinés aux crises humanitaires de la région qu'il faut convoyer notamment par camion. Gianluca Ferrera, le directeur du PAM au Cameroun, affirme avoir vu du positif dans le départ de Bolloré. « On a plusieurs acteurs présents sur le marché et donc cela a permis d'avoir une compétition entre les acteurs qui s'est reflétée sur les prix et aussi sur la qualité et la performance des acteurs. Donc, je dois dire que nous sommes dans une situation très confortable par rapport à la capacité de nos partenaires de nous fournir les services dont nous avons besoin », détaille-t-il.Une libéralisation du secteur et une mise en concurrence accrue que Monsieur Souley, du Groupement des transporteurs terrestres du Cameroun, regrette. « C'est très désorganisé. Parce qu'au moins, avant, on savait à quoi s'en tenir, mais aujourd'hui, c'est compliqué. Le Cameroun a tellement de camions qu'on ne sait pas quoi en faire. Le transport n'est pas compétitif, nous sommes tellement nombreux que si vous refusez un transport aller à Bangui à 2,5 millions, quelqu'un va le prendre à 2 millions », déplore cet acteur.À lire aussiLe PAM achemine l'aide alimentaire via le port de Douala pour faire face aux multiples crisesConcurrence et réorganisationHilaire Zipang, homme politique camerounais, mais également conseiller du Syndicat national des transporteurs routiers, voit certains aspects positifs au départ de Bolloré. « La première, c'est que Bolloré, au regard de l'absence d'investissement qu'on lui reprochait depuis 5 ans, la RTC [Régie du terminal à conteneurs] a fait de grosses avancées, elle a augmenté le chiffre d'affaires, elle a augmenté les emplois et a augmenté naturellement les investissements qu'elle a faits à l'intérieur du port », assure-t-il. Cependant, la fin du monopole de Vincent Bolloré au port a modifié l'organisation du secteur. « Maintenant, Bolloré n'a plus cette activité-là, elle s'est libéralisée assez brutalement, décrit Hilaire Zipang. S'est introduit maintenant un nouveau type de transporteurs, ce que nous appelons les transporteurs pour compte propre. C'est-à-dire que la plupart des grandes multinationales ont acheté des camions pour faire complètement cette activité et elles se payent à elles-mêmes. »Une concurrence considérée comme déloyale, car elle n'est pas soumise aux mêmes contraintes. « La fiscalité camerounaise a adoubé cette activité-là, elle a complètement mis de côté les transporteurs professionnels qui eux participent au développement du pays et qui ont une fiscalité différente, des assurances différentes, des charges du personnel différentes. Or celui qui exerce l'activité en propre n'est pas assujetti à ces contraintes », argumente-t-il. Autre défi, selon Hilaire Zipang, le maintien de relations fluides avec les partenaires de la région pour conserver le monopole du fret par les ports de Douala et Kribi. À lire aussiLe groupe Bolloré cède officiellement ses activités africaines à l'armateur MSC
Le piazze dell’opposizione divise nel kaos globale - Trump farà un annuncio enorme
Le città di Nova Gorica e Gorizia saranno capitale europea della cultura 2025. Per la prima volta un territorio diviso da un confine ha ottenuto questo riconoscimento. La città slovena aveva ideato il progetto, coinvolgendo fin da subito la città presente sul territorio italiano. Divise dal Trattato di Parigi del 1947, che assegnava il nucleo storico all'Italia ma la stazione ferroviaria e la periferia orientale alla Slovenia, le due città fino al 1955 furono divise da una invalicabile barriera di filo spinato. Poi concessioni sempre maggiori alla popolazione locale consentirono una forma di convivenza, dato che molte famiglie erano state separate proprio dalla nascita della frontiera. Nel 2004 la Slovenia è parte dell'Unione europea e pochi anni dopo ha pure adottato l'Euro. Oggi la frontiera è segnata solo sulle mappe catastali e geografiche, mentre la popolazione non fa nemmeno più caso all'esistenza di un confine. Nel 2025 Nova Gorica, figlia di una cultura socialista e orientale, e Gorizia, decisamente occidentale, ricorderanno all'Europa e al mondo l'importanza di una realtà senza confini, e della necessità della cultura per una convivenza pacifica e attiva.undefined
durée : 00:14:51 - Journal de 7 h - L'un est pour, l'autre est contre, Donald Trump pense que c'est une bonne chose mais dans la presse ce matin Emmanuel Macron s'y oppose.
durée : 00:14:51 - Journal de 7 h - L'un est pour, l'autre est contre, Donald Trump pense que c'est une bonne chose mais dans la presse ce matin Emmanuel Macron s'y oppose.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Les propos choc du président des Etats-Unis Donald Trump mis à part, qui voudrait faire de la bande de Gaza la "côte d'Azur du Moyen-Orient" reste un immense défi pour la bande de Gaza : celui de la reconstruction.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Les propos choc du président des Etats-Unis Donald Trump mis à part, qui voudrait faire de la bande de Gaza la "côte d'Azur du Moyen-Orient" reste un immense défi pour la bande de Gaza : celui de la reconstruction.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Les propos choc du président des Etats-Unis Donald Trump mis à part, qui voudrait faire de la bande de Gaza la "côte d'Azur du Moyen-Orient" reste un immense défi pour la bande de Gaza : celui de la reconstruction.
durée : 00:20:01 - Journal de 12h30 - Que faut-il entendre par "sentiment de submersion" ? Les mots hier soir du Premier ministre François Bayrou s'agissant d'immigration ont vite fait de susciter la polémique. - invités : Jean-Michel Tobelem Professeur associé à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur d'Option Culture (organisme d'études et de conseil)
durée : 00:20:01 - Journal de 12h30 - Que faut-il entendre par "sentiment de submersion" ? Les mots hier soir du Premier ministre François Bayrou s'agissant d'immigration ont vite fait de susciter la polémique. - invités : Jean-Michel Tobelem Professeur associé à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur d'Option Culture (organisme d'études et de conseil)
Le discours de politique générale de François Bayrou, très attendu, a tracé les grandes lignes de la feuille de route du nouveau Premier ministre. Le dossier sur lequel il était particulièrement attendu au Palais-Bourbon était celui de la réforme des retraites. Pas de grande surprise, le Béarnais a annoncé qu'il remettrait ce sujet en chantier. La France Insoumise (LFI) a d'ores et déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure, tandis que le Parti Socialiste (PS) et le Rassemblement National (RN) n'ont pas encore pris de décision définitive. Les Insoumis ont prévenu : ceux qui ne voteront pas cette motion de censure seront considérés comme complices de la politique macroniste.Cependant, certains estiment que le mal est déjà fait et se demandent si le NUPES (Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale) n'est pas en train de voler en éclats. Pour en discuter, nous recevons nos invités : Paul Elek, analyste politique pour Le Média, Gabrielle Cathala, députée LFI de la 6ème circonscription du Val d'Oise, et Gérard Filoche, ancien inspecteur du travail et fondateur de La Gauche démocratique et sociale. Au programme : un débat sur les implications de la réforme des retraites, la stratégie du PS et du NUPES, et la question de l'unité à gauche face à la politique de François Bayrou. ▶ Soutenez Le Média :
Dani Olmo finalement inscrit sur les listes du Barça... Mais la méthode du club catalan fait beaucoup parler en Espagne... Les GG vous expliquent tout !
Kickoff di Maracanà con Marco Piccari e Stefano Impallomeni. Ospiti: Garbo:" Lorenzo Pellegrini è tornato. Motta non rischia l'esonero le responsabilità vanno divise." Ceccarini:" Ranieri sa sempre dove andare. Motta non è rischio e prenderanno Zirkzee." Bonanni:" Motta deve svoltare vincendo. Le scelte di Palladino hanno sorpreso." Impallomeni:" Dedico un pensiero a Conte per la partita e non solo."
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 27 décembre 2024 : "Château-Arnoux : le projet d'un Super U divise les habitants", avec Fatima Aït-Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant, et Bruno Poncet, cheminot.
PSG invincible, Cherki en approche, Ramos ou pas ? Les DÉBATS qui DIVISE les supporters !
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. Chaque année principalement en cette période de l'année diverses campagnes sont en cours contre la vente des carpes vivantes. Les décorations de Noël peintes a la main, qui étaient autrefois fabriquées a Štítnik dans le district de Rožňava, sont encore aujourd'hui accrochées aux arbres dans de nombreux foyers slovaques ou étrangers. Elle ne manque pas sur les marchés de Noël en Slovaquie – c'est une boisson fermentée, faite d'eau et de miel : l'Hydromel ou si vous voulez – Medovina en slovaque.
Notre cerveau a une tendance naturelle à structurer nos expériences quotidiennes en séquences distinctes, ou « chapitres ». Cette organisation cognitive, mise en lumière par une étude dirigée par Alexandra De Soares et publiée dans Current Biology, joue un rôle essentiel dans notre mémoire et notre perception du temps. L'étude explore un mécanisme clé : les « frontières d'événements ». Ces moments marquent des transitions entre différentes activités ou contextes dans une journée, comme passer d'une réunion à un déjeuner ou rentrer chez soi après le travail. Ces frontières sont essentielles pour notre cerveau, car elles lui permettent de segmenter la journée en blocs cohérents et digestes. Les chercheurs ont montré que ces changements sont interprétés par des régions cérébrales spécifiques, notamment l'hippocampe et le cortex préfrontal. Ces structures sont connues pour leur rôle dans la mémoire épisodique, c'est-à-dire la capacité à se souvenir d'événements spécifiques dans leur contexte. Les frontières d'événements agissent comme des « points de repère » cognitifs, aidant à structurer nos souvenirs. Pour tester cette hypothèse, Alexandra De Soares et son équipe ont demandé à des participants de regarder une série de vidéos contenant des changements marqués dans le scénario ou le contexte, comme un passage d'une scène d'intérieur à une scène extérieure. En parallèle, l'activité cérébrale des participants a été mesurée par IRM fonctionnelle. Les résultats ont révélé une augmentation de l'activité dans l'hippocampe chaque fois qu'une frontière d'événement était rencontrée, indiquant que le cerveau enregistrait ces transitions comme des points de division significatifs. Ce processus a une fonction adaptative importante. Il permet de mieux organiser et stocker les informations dans notre mémoire à long terme. Par exemple, il est plus facile de se souvenir d'un voyage structuré en étapes — comme les différentes villes visitées — que d'un récit monotone sans transitions claires. Cependant, ce découpage a aussi des implications sur notre perception du temps. Une journée riche en « chapitres » semble souvent plus longue, car chaque segment est mémorisé distinctement. À l'inverse, une journée routinière, avec peu de transitions, peut paraître floue et passer très vite. En conclusion, cette étude illustre comment notre cerveau, grâce aux frontières d'événements, structure naturellement notre quotidien en chapitres pour optimiser la mémoire et donner du sens à nos expériences. Ce mécanisme est une pièce maîtresse de notre perception du monde et de notre identité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:59 - Les Échos d'ailleurs - Esther Duflo, à travers le récit des origines de Thanksgiving, met en lumière deux visions différentes de l'Amérique.
Un Effectif SURCOTÉ ? Le Débat Qui DIVISE Les Fans Du PSG ! ⚽️PODCAST FOOTBALL AU COEUR DU PARIS SAINT GERMAIN #psg #football #parissaintgermain #debrief #debriefpsg #ligue1ubereats 00:00 624M€ pour cet effectif, constat terrible ? 27:55 Luis Enrique et la Polyvalence… TROP de polyvalence TUE la polyvalence ? 45:30 Un PSG qui progresse ? Les STATS (xG) selon Basto. 01:16:30 Donnarumma remet son avenir au PSG en question
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Pierre Herbulot, journaliste au service économie de RTL, s'intéresse avec ses invités au télétravail. Ce mode d'organisation du travail s'est développé depuis la pandémie. Mais certaines entreprises reviennent sur ce qui est considéré par de nombreux salariés comme un "acquis social". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
durée : 00:10:18 - Le Masque et la Plume - Aurélien Bellanger raconte la naissance, l'évolution et les dérives d'un mouvement qu'il appelle le mouvement du 9 décembre et qui correspond en réalité au Printemps républicain créé par des proches du PS après les attentats de 2015. Ce roman a provoqué de vifs échanges entre les critiques du Masque
durée : 00:06:58 - Le Masque et la Plume - A quelques semaines de la présidentielle américaine et malgré les menaces de poursuites judiciaires de l'équipe Trump, The Apprentice, d'Ali Abbassi est en salle. Les critiques du Masque sont partagés