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Una sfida alla costruzione del miglior programma di College Football della storiaUn Draft di 10 round per costruire un programma da zero scegliendo: Location, Stadio, Divise, Fight Song, Mascotte, Giocatore Icona, Allenatore Icona, Tifoso celebre, Tradizione e Scandalo
En 2024, le Japon a accueilli un nombre record de 37 millions de touristes étrangers, du jamais-vu. C'est en grande partie dû au cours du yen qui, depuis deux ans, a dégringolé à un niveau plancher, historiquement bas. Mais – revers de la médaille – au Pays du Soleil levant également, le sur-tourisme pose de plus en plus de problèmes. À Kyoto notamment, ainsi que dans les localités proches du Mont Fuji, où la pratique de tarifs différenciés en fonction de la nationalité des clients se répand dans l'archipel. Dans un nombre grandissant de restaurants, d'hôtels ou de musées, par exemple, les touristes étrangers sont priés de payer davantage que les Japonais. Et cette évolution ne fait pas l'unanimité. L'an dernier, les touristes étrangers venus au Japon y ont dépensé la somme faramineuse de 8 000 milliards de yens – près de 50 milliards d'euros –, soit davantage que le montant des exportations de semi-conducteurs nippons ou des recettes générées à l'international par le « cool Japan », comme l'on dénomme le secteur du manga, des films d'animation et des jeux vidéo.Le Japon 10% plus cher pour les étrangersUne manne providentielle donc, pour une économie nationale qui ne va pas bien. Pour autant, Kotaro ne culpabilise pas d'avoir instauré des tarifs différenciés : dans son restaurant, les clients étrangers paient 10% de plus que les Japonais. Car, ne parlant pas un mot d'anglais, il a dû engager une serveuse bilingue et faire traduire et imprimer des menus en plusieurs langues. Et puis, à ses yeux, ce système offre un grand avantage : « Sans cette petite contribution que je demande gentiment aux clients étrangers, j'aurais dû répercuter la hausse du prix des produits alimentaires sur mes tarifs, et donc proposer des menus moins abordables, au détriment de mes clients japonais. »À Asakusa, le quartier le plus touristique de Tokyo, les avis divergent. Pour cet homme, « en termes d'hospitalité, je trouve ça moyen. On devrait remercier, et pas pénaliser, tous ces touristes qui nous font l'honneur de leur visite ». Une femme estime que « quelques yens en plus ou en moins, ils s'en fichent. Ils roulent sur l'or grâce au taux de change ».« Je ne suis pas du tout sûre que les Japonais en vacances à l'étranger apprécieraient de devoir payer plus que les locaux », confie une autre. Et pour cet habitant de Tokyo, « trier les clients en fonction de leur origine, on a beau dire, mais, au bout du compte, cela relève du délit de faciès. C'est très délicat. Le cliché de ''l'infinie courtoisie japonaise'' va en prendre un coup ».À lire aussiJapon: avec 36,8 millions de touristes étrangers en 2024, le pays fait face aux défis du surtourismeLes touristes étrangers, eux, sont tout autant partagés. Un premier confie : « Si cela devient vraiment difficile pour les Japonais en raison de la hausse du coût de la vie, c'est peut-être une bonne idée de pratiquer de tels tarifs différenciés. » Un autre déclare : « Ces prix majorés pour les visiteurs étrangers, selon moi, automatiquement, ça va les dissuader. Certains vont trouver inéquitable de devoir payer plus. »Certains commerçants vont encore plus loin. À la devanture de ce minuscule restaurant de nouilles, par exemple, un écriteau rédigé en anglais informe que l'accès est réservé aux clients parlant le japonais. Son gérant se justifie : « Je suis nul en langues étrangères, n'ai pas les moyens d'engager du personnel bilingue et suis tout seul à la fois en cuisine et au service. Donc les dialogues improbables en français, en espagnol ou en swahili via des applis ou 'Google Translate', désolé, mais non merci : je suis beaucoup trop débordé pour cela. »Le droit japonais tolère de telles restrictions d'accès fondées sur la nationalité ou la langue, considérant qu'elles relèvent de la liberté commerciale.À lire aussiJapon: les experts mettent en garde contre une éruption du mont Fuji
En 2024, le Japon a accueilli un nombre record de 37 millions de touristes étrangers, du jamais-vu. C'est en grande partie dû au cours du yen qui, depuis deux ans, a dégringolé à un niveau plancher, historiquement bas. Mais – revers de la médaille – au Pays du Soleil levant également, le sur-tourisme pose de plus en plus de problèmes. À Kyoto notamment, ainsi que dans les localités proches du Mont Fuji, où la pratique de tarifs différenciés en fonction de la nationalité des clients se répand dans l'archipel. Dans un nombre grandissant de restaurants, d'hôtels ou de musées, par exemple, les touristes étrangers sont priés de payer davantage que les Japonais. Et cette évolution ne fait pas l'unanimité. L'an dernier, les touristes étrangers venus au Japon y ont dépensé la somme faramineuse de 8 000 milliards de yens – près de 50 milliards d'euros –, soit davantage que le montant des exportations de semi-conducteurs nippons ou des recettes générées à l'international par le « cool Japan », comme l'on dénomme le secteur du manga, des films d'animation et des jeux vidéo.Le Japon 10% plus cher pour les étrangersUne manne providentielle donc, pour une économie nationale qui ne va pas bien. Pour autant, Kotaro ne culpabilise pas d'avoir instauré des tarifs différenciés : dans son restaurant, les clients étrangers paient 10% de plus que les Japonais. Car, ne parlant pas un mot d'anglais, il a dû engager une serveuse bilingue et faire traduire et imprimer des menus en plusieurs langues. Et puis, à ses yeux, ce système offre un grand avantage : « Sans cette petite contribution que je demande gentiment aux clients étrangers, j'aurais dû répercuter la hausse du prix des produits alimentaires sur mes tarifs, et donc proposer des menus moins abordables, au détriment de mes clients japonais. »À Asakusa, le quartier le plus touristique de Tokyo, les avis divergent. Pour cet homme, « en termes d'hospitalité, je trouve ça moyen. On devrait remercier, et pas pénaliser, tous ces touristes qui nous font l'honneur de leur visite ». Une femme estime que « quelques yens en plus ou en moins, ils s'en fichent. Ils roulent sur l'or grâce au taux de change ».« Je ne suis pas du tout sûre que les Japonais en vacances à l'étranger apprécieraient de devoir payer plus que les locaux », confie une autre. Et pour cet habitant de Tokyo, « trier les clients en fonction de leur origine, on a beau dire, mais, au bout du compte, cela relève du délit de faciès. C'est très délicat. Le cliché de ''l'infinie courtoisie japonaise'' va en prendre un coup ».À lire aussiJapon: avec 36,8 millions de touristes étrangers en 2024, le pays fait face aux défis du surtourismeLes touristes étrangers, eux, sont tout autant partagés. Un premier confie : « Si cela devient vraiment difficile pour les Japonais en raison de la hausse du coût de la vie, c'est peut-être une bonne idée de pratiquer de tels tarifs différenciés. » Un autre déclare : « Ces prix majorés pour les visiteurs étrangers, selon moi, automatiquement, ça va les dissuader. Certains vont trouver inéquitable de devoir payer plus. »Certains commerçants vont encore plus loin. À la devanture de ce minuscule restaurant de nouilles, par exemple, un écriteau rédigé en anglais informe que l'accès est réservé aux clients parlant le japonais. Son gérant se justifie : « Je suis nul en langues étrangères, n'ai pas les moyens d'engager du personnel bilingue et suis tout seul à la fois en cuisine et au service. Donc les dialogues improbables en français, en espagnol ou en swahili via des applis ou 'Google Translate', désolé, mais non merci : je suis beaucoup trop débordé pour cela. »Le droit japonais tolère de telles restrictions d'accès fondées sur la nationalité ou la langue, considérant qu'elles relèvent de la liberté commerciale.À lire aussiJapon: les experts mettent en garde contre une éruption du mont Fuji
Pour lutter contre les déserts médicaux, une proposition de loi transpartisane examinée ce mercredi en Commission des affaires sociales souhaite restreindre la liberté d'installation. Le médecin ne pourrait pas ouvrir son cabinet où il le souhaite et devrait privilégier les zones désertées. Pas question, répondent les syndicats de médecins.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour lutter contre les déserts médicaux, une proposition de loi transpartisane examinée ce mercredi en Commission des affaires sociales souhaite restreindre la liberté d'installation. Le médecin ne pourrait pas ouvrir son cabinet où il le souhaite et devrait privilégier les zones désertées. Pas question, répondent les syndicats de médecins.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour lutter contre les déserts médicaux, une proposition de loi transpartisane examinée ce mercredi en Commission des affaires sociales souhaite restreindre la liberté d'installation. Le médecin ne pourrait pas ouvrir son cabinet où il le souhaite et devrait privilégier les zones désertées. Pas question, répondent les syndicats de médecins.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:22 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Lundi 24 mars 2025 : l'acteur, Guillaume de Tonquédec. Dans le cadre du festival Paroles Citoyennes, il sera sur la scène du Théâtre Récamier, pour la pièce "Le dernier soir", le 8 avril.
Décryptage des dernières actualités entre la France et l'Algérie.▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:20:00 - Journal de 18h - Après Bruno Retailleau, Gérald Darmanin brandit la menace d'une démission du gouvernement. Le ministre de la Justice veut interdire le port du voile dans toutes les compétitions sportives, ce que contestent d'autres ministres.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
L'11 marzo l'ex presidente delle Filippine Rodrigo Duterte è stato arrestato a Manila su mandato della Corte internazionale di giustizia, con l'accusa di aver commesso crimini contro l'umanità. Con Ilaria Maria Sala, giornalista, da ManilaIl ministero dell'istruzione del merito ha pubblicato la bozza delle nuove indicazioni sui programmi scolastici per l'infanzia e il primo ciclo di istruzione. Con Vanessa Roghi, storica dell'educazione e della scuola.Oggi parliamo anche di:Cinema • La città proibita di Gabriele Mainetti Ci piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it o manda un vocale a +39 3347063050Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti
Concernant l'équilibre budgétaire de l'État, avec un déficit prévu de 11 milliards, Marie-Eve Fournier rappelle que nous sommes devant un choix: les coupures ou la hausse de revenus. L'IRIS propose un nouvel impôt sur le patrimoine (NIP) pour les ménages possédant plus de 1,8 million de dollars, visant à générer 6 milliards de dollars annuellement. Ce débat fiscal soulève des questions sur l'évaluation des actifs et l'impact sur les plus riches. Écoutez la chronique financière de Marie-Eve Fournier, jeudi, où elle explique la proposition de l'IRIS pour un nouvel impôt au Québec, à Lagacé le matin. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Les députés français examinent une proposition de résolution sur le renforcement du soutien à l'Ukraine. Il sera aussi question de l'adhésion de Kiev à l'Union Européenne, mais c'est surtout le sujet des avoirs russes gelés au début de la guerre qui fera débat. La classe politique est divisée sur leur saisie. Roselyne Febvre en parle avec Pierre Jacquemain et David Revault-d'Allonnes.
durée : 00:06:05 - Générations Mouvement veut rajeunir son image. L'association de retraités a tenu ce mardi son assemblée générale au Mans. Gérard Moulin, le président de Générations Mouvement en Sarthe est l'invité d'Ici Maine - C'est le premier réseau de retraités de France. La fédération sarthoise de Générations Mouvement tenait mardi son assemblée générale au mans. Voyages, belote, activités sportives, l'association organise aussi des ateliers autour de la sécurité routière.
Au Cameroun, Vincent Bolloré a cédé ses activités logistiques à l'opérateur italo-suisse MSC, en fin d'année 2022, pour 5,7 milliards d'euros. Avec la gestion du port, de la ligne de chemin de fer, une flotte de camions et plusieurs milliers d'employés, Bolloré était l'acteur référent dans le domaine. Si certains ont bénéficié du départ du Français, d'autres estiment que la libéralisation du secteur n'est pas toujours bénéfique. 100 000 tonnes, c'est la quantité de denrées alimentaires importées par le Programme alimentaire mondial via le port de Douala l'année dernière. Des vivres destinés aux crises humanitaires de la région qu'il faut convoyer notamment par camion. Gianluca Ferrera, le directeur du PAM au Cameroun, affirme avoir vu du positif dans le départ de Bolloré. « On a plusieurs acteurs présents sur le marché et donc cela a permis d'avoir une compétition entre les acteurs qui s'est reflétée sur les prix et aussi sur la qualité et la performance des acteurs. Donc, je dois dire que nous sommes dans une situation très confortable par rapport à la capacité de nos partenaires de nous fournir les services dont nous avons besoin », détaille-t-il.Une libéralisation du secteur et une mise en concurrence accrue que Monsieur Souley, du Groupement des transporteurs terrestres du Cameroun, regrette. « C'est très désorganisé. Parce qu'au moins, avant, on savait à quoi s'en tenir, mais aujourd'hui, c'est compliqué. Le Cameroun a tellement de camions qu'on ne sait pas quoi en faire. Le transport n'est pas compétitif, nous sommes tellement nombreux que si vous refusez un transport aller à Bangui à 2,5 millions, quelqu'un va le prendre à 2 millions », déplore cet acteur.À lire aussiLe PAM achemine l'aide alimentaire via le port de Douala pour faire face aux multiples crisesConcurrence et réorganisationHilaire Zipang, homme politique camerounais, mais également conseiller du Syndicat national des transporteurs routiers, voit certains aspects positifs au départ de Bolloré. « La première, c'est que Bolloré, au regard de l'absence d'investissement qu'on lui reprochait depuis 5 ans, la RTC [Régie du terminal à conteneurs] a fait de grosses avancées, elle a augmenté le chiffre d'affaires, elle a augmenté les emplois et a augmenté naturellement les investissements qu'elle a faits à l'intérieur du port », assure-t-il. Cependant, la fin du monopole de Vincent Bolloré au port a modifié l'organisation du secteur. « Maintenant, Bolloré n'a plus cette activité-là, elle s'est libéralisée assez brutalement, décrit Hilaire Zipang. S'est introduit maintenant un nouveau type de transporteurs, ce que nous appelons les transporteurs pour compte propre. C'est-à-dire que la plupart des grandes multinationales ont acheté des camions pour faire complètement cette activité et elles se payent à elles-mêmes. »Une concurrence considérée comme déloyale, car elle n'est pas soumise aux mêmes contraintes. « La fiscalité camerounaise a adoubé cette activité-là, elle a complètement mis de côté les transporteurs professionnels qui eux participent au développement du pays et qui ont une fiscalité différente, des assurances différentes, des charges du personnel différentes. Or celui qui exerce l'activité en propre n'est pas assujetti à ces contraintes », argumente-t-il. Autre défi, selon Hilaire Zipang, le maintien de relations fluides avec les partenaires de la région pour conserver le monopole du fret par les ports de Douala et Kribi. À lire aussiLe groupe Bolloré cède officiellement ses activités africaines à l'armateur MSC
Le piazze dell’opposizione divise nel kaos globale - Trump farà un annuncio enorme
C'est une nouvelle construction qui émerge peu à peu dans le sud de Paris, porte de Versailles. La tour Triangle arrivera dans quelques jours à la moitié de sa taille finale. En 2026, quand elle sera terminée, elle culminera à 180 mètres de hauteur, un peu moins que la tour Montparnasse (210 mètres) et surtout la tour Eiffel (330 mètres). Mais elle changera le profil de la capitale. Au milieu des grues, des bruits de chantier et des nombreux passants, la tour Triangle atteint déjà plus de 60 mètres. Tout en haut, les ouvriers travaillent sur le béton des étages à venir. Plus bas, les premiers niveaux sont déjà intégralement recouverts de grands panneaux vitrés qui reflètent le ciel.« Ça n'est pas vraiment différent de ce qu'il y avait par rapport à avant, s'étonne Yueng, 23 ans, qui vit juste en face de la tour. Peut-être que ça va redynamiser, mais il n'y a pas besoin, je pense. Il y a déjà assez de mouvement. Il y a tout le temps des trucs au parc des Expos. » Livrée, la tour fera 180m, il s'agira de la troisième plus grande de Paris. Le dernier bâtiment comparable construit dans la capitale est la tour Montparnasse, c'était il y a plus de 50 ans. Pour les urbanistes, construire en hauteur reste une solution d'avenir. « Dans toutes les villes d'Europe, il y a un léger regain des tours, mais tout le temps avec l'idée d'utiliser des terrains qu'on ne pourrait pas construire autrement, explique Pietro Cremonini, architecte à Paris. Une préoccupation écologique fait qu'effectivement, on émet l'hypothèse qu'on ne peut plus étaler la ville, qu'il faut trouver les moyens de la densifier, mais aussi de la densifier là où les infrastructures sont déjà là. » « Ce qui est choquant, c'est ce gros machin »Pourtant, la tour ne fait pas l'unanimité auprès des habitués du quartier. « Ce qui est choquant, c'est ce gros machin. Ce qui me gêne le plus, c'est la taille plutôt que l'architecture, critique Sophie, qui passe tous les jours par la porte de Versailles à vélo. Ça aurait été encore un truc de logement, mais il y a déjà trop de bureaux, etc. Donc, je ne suis pas sûre de comprendre. »La tour Triangle sera en grande partie composée de bureaux, mais elle comportera aussi des magasins et des hôtels. Il reste encore un an et demi de travaux, le projet a commencé après 10 ans de bataille juridique. Ce n'est pas forcément la tour que les riverains n'apprécient pas, mais son intégration dans le tissu urbain, c'est du moins ce que pense Pietro Cremonini : « Une tour qui s'implante au rez-de-chaussée, sur un trottoir et sur lequel on peut accéder en tramway, en métro, c'est-à-dire une tour qui n'entraîne pas forcément des gigantesques parkings à ses pieds, analyse l'architecte, c'est en fait que l'architecture moderne, puissante, haute, n'est pas incompatible avec une forme d'urbanité douce. »Si la tour Triangle ne convainc pas les Parisiens, les travaux avancent désormais de façon visible. Pour la mairie de Paris, le bâtiment est une promesse de dynamisme économique et d'offre touristique comparable à celle de grandes villes comme New York. Les visiteurs pourront profiter d'une vue panoramique à son sommet tout en sirotant leur café au bar.À écouter dans Grand reportageScandinavie: des gratte-ciel en bois toujours plus hauts
Le città di Nova Gorica e Gorizia saranno capitale europea della cultura 2025. Per la prima volta un territorio diviso da un confine ha ottenuto questo riconoscimento. La città slovena aveva ideato il progetto, coinvolgendo fin da subito la città presente sul territorio italiano. Divise dal Trattato di Parigi del 1947, che assegnava il nucleo storico all'Italia ma la stazione ferroviaria e la periferia orientale alla Slovenia, le due città fino al 1955 furono divise da una invalicabile barriera di filo spinato. Poi concessioni sempre maggiori alla popolazione locale consentirono una forma di convivenza, dato che molte famiglie erano state separate proprio dalla nascita della frontiera. Nel 2004 la Slovenia è parte dell'Unione europea e pochi anni dopo ha pure adottato l'Euro. Oggi la frontiera è segnata solo sulle mappe catastali e geografiche, mentre la popolazione non fa nemmeno più caso all'esistenza di un confine. Nel 2025 Nova Gorica, figlia di una cultura socialista e orientale, e Gorizia, decisamente occidentale, ricorderanno all'Europa e al mondo l'importanza di una realtà senza confini, e della necessità della cultura per una convivenza pacifica e attiva.undefined
Comment faites-vous les courses, professeur Hercberg ?C'était une question que j'avais trop envie de poser au fondateur du Nutriscore.À l'inventeur du "Mangez bougez".Au créateur du "Mangez 5 fruits et légumes par jour".Et sa réponse m'a fait sourire :“Je fais comme tout le monde. J'observe, je compare, je choisis.”Mais à une différence près :Il sait que deux produits aux noms similaires peuvent cacher des compositions radicalement différentes.En fait,Derrière cette question, il y a un sujet qui fâche.Car le Nutriscore dérange.Depuis son apparition sur les emballages, il a obligé les industriels à revoir leurs recettes.Certains ont reformulé leurs produits pour obtenir une meilleure note.D'autres ont misé sur la transparence et l'affichent fièrement.Les consommateurs, eux, s'en servent pour guider leurs choix.Mais tout le monde ne joue pas le jeu.Certaines marques ont préféré retirer le Nutriscore plutôt que d'adapter leurs produits.Les lobbies continuent d'exercer des pressions pour ralentir son déploiement.Et les critiques, parfois légitimes, sont trop souvent détournées pour décrédibiliser l'outil.Alors, jusqu'où ira cette bataille ?Le Nutriscore doit-il devenir obligatoire pour éviter ces dérives ?Comment garantir une information fiable et accessible aux consommateurs ?Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:51 - Journal de 7 h - L'un est pour, l'autre est contre, Donald Trump pense que c'est une bonne chose mais dans la presse ce matin Emmanuel Macron s'y oppose.
durée : 00:14:51 - Journal de 7 h - L'un est pour, l'autre est contre, Donald Trump pense que c'est une bonne chose mais dans la presse ce matin Emmanuel Macron s'y oppose.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Justice des mineurs, la guerre des chefs à droite, Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l'Ifop, s'exprime dans C à Vous. Il nous présente également son dernier livre une enquête sur le microcosme particulier que représente les PMU en France dans "Micro-comptoirs, enquête sociologique dans la France des PMU" pour la fondation Jean Jaurès.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Première discorde au sein du gouvernement fédéral. La taxe sur les plus-values divise le MR de Georges-Louis Bouchez et le reste de la coalition Arizona. Donald Trump a signé le décret visant à taxer tout l'acier et l'aluminium qui entrent aux États-Unis. L'industrie européenne pourrait être fortement impactée. Le prix du gaz atteint son plus haut niveau en deux ans. La hausse va-t-elle se poursuivre? On décortique la question dans ce Brief. Présentation: Ondine Werres Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:14:47 - Journal de 8 h - Les propos choc du président des Etats-Unis Donald Trump mis à part, qui voudrait faire de la bande de Gaza la "côte d'Azur du Moyen-Orient" reste un immense défi pour la bande de Gaza : celui de la reconstruction.
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durée : 00:20:01 - Journal de 12h30 - Que faut-il entendre par "sentiment de submersion" ? Les mots hier soir du Premier ministre François Bayrou s'agissant d'immigration ont vite fait de susciter la polémique. - invités : Jean-Michel Tobelem Professeur associé à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur d'Option Culture (organisme d'études et de conseil)
durée : 00:20:01 - Journal de 12h30 - Que faut-il entendre par "sentiment de submersion" ? Les mots hier soir du Premier ministre François Bayrou s'agissant d'immigration ont vite fait de susciter la polémique. - invités : Jean-Michel Tobelem Professeur associé à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, directeur d'Option Culture (organisme d'études et de conseil)
Le discours de politique générale de François Bayrou, très attendu, a tracé les grandes lignes de la feuille de route du nouveau Premier ministre. Le dossier sur lequel il était particulièrement attendu au Palais-Bourbon était celui de la réforme des retraites. Pas de grande surprise, le Béarnais a annoncé qu'il remettrait ce sujet en chantier. La France Insoumise (LFI) a d'ores et déjà annoncé le dépôt d'une motion de censure, tandis que le Parti Socialiste (PS) et le Rassemblement National (RN) n'ont pas encore pris de décision définitive. Les Insoumis ont prévenu : ceux qui ne voteront pas cette motion de censure seront considérés comme complices de la politique macroniste.Cependant, certains estiment que le mal est déjà fait et se demandent si le NUPES (Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale) n'est pas en train de voler en éclats. Pour en discuter, nous recevons nos invités : Paul Elek, analyste politique pour Le Média, Gabrielle Cathala, députée LFI de la 6ème circonscription du Val d'Oise, et Gérard Filoche, ancien inspecteur du travail et fondateur de La Gauche démocratique et sociale. Au programme : un débat sur les implications de la réforme des retraites, la stratégie du PS et du NUPES, et la question de l'unité à gauche face à la politique de François Bayrou. ▶ Soutenez Le Média :
Dani Olmo finalement inscrit sur les listes du Barça... Mais la méthode du club catalan fait beaucoup parler en Espagne... Les GG vous expliquent tout !
Kickoff di Maracanà con Marco Piccari e Stefano Impallomeni. Ospiti: Garbo:" Lorenzo Pellegrini è tornato. Motta non rischia l'esonero le responsabilità vanno divise." Ceccarini:" Ranieri sa sempre dove andare. Motta non è rischio e prenderanno Zirkzee." Bonanni:" Motta deve svoltare vincendo. Le scelte di Palladino hanno sorpreso." Impallomeni:" Dedico un pensiero a Conte per la partita e non solo."
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 27 décembre 2024 : "Château-Arnoux : le projet d'un Super U divise les habitants", avec Fatima Aït-Bounoua, prof de français, Antoine Diers, consultant, et Bruno Poncet, cheminot.
PSG invincible, Cherki en approche, Ramos ou pas ? Les DÉBATS qui DIVISE les supporters !
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. Chaque année principalement en cette période de l'année diverses campagnes sont en cours contre la vente des carpes vivantes. Les décorations de Noël peintes a la main, qui étaient autrefois fabriquées a Štítnik dans le district de Rožňava, sont encore aujourd'hui accrochées aux arbres dans de nombreux foyers slovaques ou étrangers. Elle ne manque pas sur les marchés de Noël en Slovaquie – c'est une boisson fermentée, faite d'eau et de miel : l'Hydromel ou si vous voulez – Medovina en slovaque.
Notre cerveau a une tendance naturelle à structurer nos expériences quotidiennes en séquences distinctes, ou « chapitres ». Cette organisation cognitive, mise en lumière par une étude dirigée par Alexandra De Soares et publiée dans Current Biology, joue un rôle essentiel dans notre mémoire et notre perception du temps. L'étude explore un mécanisme clé : les « frontières d'événements ». Ces moments marquent des transitions entre différentes activités ou contextes dans une journée, comme passer d'une réunion à un déjeuner ou rentrer chez soi après le travail. Ces frontières sont essentielles pour notre cerveau, car elles lui permettent de segmenter la journée en blocs cohérents et digestes. Les chercheurs ont montré que ces changements sont interprétés par des régions cérébrales spécifiques, notamment l'hippocampe et le cortex préfrontal. Ces structures sont connues pour leur rôle dans la mémoire épisodique, c'est-à-dire la capacité à se souvenir d'événements spécifiques dans leur contexte. Les frontières d'événements agissent comme des « points de repère » cognitifs, aidant à structurer nos souvenirs. Pour tester cette hypothèse, Alexandra De Soares et son équipe ont demandé à des participants de regarder une série de vidéos contenant des changements marqués dans le scénario ou le contexte, comme un passage d'une scène d'intérieur à une scène extérieure. En parallèle, l'activité cérébrale des participants a été mesurée par IRM fonctionnelle. Les résultats ont révélé une augmentation de l'activité dans l'hippocampe chaque fois qu'une frontière d'événement était rencontrée, indiquant que le cerveau enregistrait ces transitions comme des points de division significatifs. Ce processus a une fonction adaptative importante. Il permet de mieux organiser et stocker les informations dans notre mémoire à long terme. Par exemple, il est plus facile de se souvenir d'un voyage structuré en étapes — comme les différentes villes visitées — que d'un récit monotone sans transitions claires. Cependant, ce découpage a aussi des implications sur notre perception du temps. Une journée riche en « chapitres » semble souvent plus longue, car chaque segment est mémorisé distinctement. À l'inverse, une journée routinière, avec peu de transitions, peut paraître floue et passer très vite. En conclusion, cette étude illustre comment notre cerveau, grâce aux frontières d'événements, structure naturellement notre quotidien en chapitres pour optimiser la mémoire et donner du sens à nos expériences. Ce mécanisme est une pièce maîtresse de notre perception du monde et de notre identité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le nom du successeur de Michel Barnier devrait être annoncé dans les prochaines 24 heures, mais François Bayrou est confiant. "Il est très désireux de s'engager", confie l'un de ses proches.
durée : 00:02:59 - Les Échos d'ailleurs - Esther Duflo, à travers le récit des origines de Thanksgiving, met en lumière deux visions différentes de l'Amérique.
Ce lundi marque un événement rare en Wallonie : la fusion des communes de Bastogne et Bertogne, une première depuis 1977. À l'époque, sous le gouvernement national Tindemans II, les fusions visaient à rationaliser les moyens, réduisant le nombre de communes belges de 2 359 à 596, non sans résistances. Aujourd'hui, dans une Belgique régionalisée, l'objectif reste similaire : générer des économies d'échelle et accroître le poids politique local. En Flandre, sept fusions ont déjà eu lieu depuis 2017, mais en Wallonie, ce projet suscite des controverses. À Bastogne-Bertogne, la population s'était exprimée négativement, mais la fusion a été imposée, promettant plus d'un million d'euros d'économies et 10 millions de bonus régionaux. Toutefois, certains rappellent que la taille critique ne garantit pas la santé financière : les grandes villes restent souvent plus endettées. La réforme pourrait s'étendre : à Bruxelles, les débats sur la fusion des communes, CPAS et zones de police se heurtent à des tensions communautaires, transformant la discussion en affrontement politique. La fusion des échelons, d'où qu'elle vienne, reste une musique discordante. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Un Effectif SURCOTÉ ? Le Débat Qui DIVISE Les Fans Du PSG ! ⚽️PODCAST FOOTBALL AU COEUR DU PARIS SAINT GERMAIN #psg #football #parissaintgermain #debrief #debriefpsg #ligue1ubereats 00:00 624M€ pour cet effectif, constat terrible ? 27:55 Luis Enrique et la Polyvalence… TROP de polyvalence TUE la polyvalence ? 45:30 Un PSG qui progresse ? Les STATS (xG) selon Basto. 01:16:30 Donnarumma remet son avenir au PSG en question
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Pierre Herbulot, journaliste au service économie de RTL, s'intéresse avec ses invités au télétravail. Ce mode d'organisation du travail s'est développé depuis la pandémie. Mais certaines entreprises reviennent sur ce qui est considéré par de nombreux salariés comme un "acquis social". Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
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durée : 00:10:18 - Le Masque et la Plume - Aurélien Bellanger raconte la naissance, l'évolution et les dérives d'un mouvement qu'il appelle le mouvement du 9 décembre et qui correspond en réalité au Printemps républicain créé par des proches du PS après les attentats de 2015. Ce roman a provoqué de vifs échanges entre les critiques du Masque
durée : 00:06:58 - Le Masque et la Plume - A quelques semaines de la présidentielle américaine et malgré les menaces de poursuites judiciaires de l'équipe Trump, The Apprentice, d'Ali Abbassi est en salle. Les critiques du Masque sont partagés
Le Gabon se dirige vers un référendum constitutionnel. Un rendez-vous crucial qui se prépare sur fond de polémique autour de la nouvelle loi fondamentale. Les soutiens de la transition militaire sont déjà en ordre de bataille pour le triomphe du oui. L'opposition appelle au boycott du scrutin prévu d'ici la fin de l'année. Elle dénonce son caractère discriminatoire en référence à certaines de ses dispositions qui écartent de la présidentielle les candidats nés d'un parent étranger.
durée : 00:03:17 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël a connu une grève générale et des manifestations monstre après la mort de six otages aux mains du Hamas. Les protestataires en veulent à leur premier ministre qui multiplie les obstacles à un accord de cessez-le-feu qui pourrait sauver les derniers otages vivants.