POPULARITY
L'apertura di giornata con notizie e voci dei protagonisti, tutto in meno di 30 minuti. In conduzione Giulia Crivelli.Carceri italiane: nei primi due mesi del 2025, sono stati confermati già 13 suicidi. La situazione al momento non sembra migliorare dopo che lo scorso anno si sono registrati 88 suicidi e 243 decessi totali. Esce oggi per Laterza il libro “Morire di pena. 12 storie di suicidio in carcere” di Alessandro Trocino, giornalista del Corriere Della Sera, che parla proprio di questo fenomeno. Ci colleghiamo con lui.
Massimiliano Nerozzi (Corriere della Sera) ospite a "Fuori di Juve"
Massimiliano Nerozzi (Corriere della Sera) ospite a "Fuori di Juve"
« Qu'arrive-t-il à l'économie américaine ? », s'interroge le Corriere Della Sera à Rome. « Le président Trump a annoncé des droits de douane de 25 % contre l'Union européenne qui, selon lui, “a été créée pour nuire aux États-Unis“ ». Mais attention, pointe le journal, « tout le monde sait que l'augmentation des taxes aux frontières américaines pourrait se traduire par une hausse des prix dans les supermarchés ou chez les concessionnaires automobiles. Tout le monde comprend aussi que les usines américaines assemblent des composants chinois, qui seront désormais taxés à 10 % ». Résultat : « les investisseurs américains tout comme les ménages montrent des signes d'inquiétude ».Certes, pointe encore le Corriere Della Sera, « en Amérique, la croissance et l'investissement sont encore en progression, sans aucun doute. Mais depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, les marchés financiers et les consommateurs s'alarment. Le dollar a chuté de 2 et demi pour cent par rapport à la moyenne des six autres principales devises de réserve, signe d'une fuite de capitaux des actions américaines. Les indices boursiers sont en baisse ainsi que les indices de confiance des ménages ». Le pouvoir d'achat : un levier politique central…« L'inflation, ce caillou dans la chaussure de Donald Trump », renchérit Le Temps à Genève. « De plus en plus d'Américains redoutent les effets de la politique de l'ancien promoteur immobilier, l'instauration de nouveaux droits de douane menaçant d'attiser une inflation que la Réserve fédérale tente d'éradiquer depuis trois ans ». Et attention, prévient le quotidien suisse, le pouvoir d'achat est un levier politique central aux États-Unis : « plus que le mouvement anti-wokiste, la guerre en Ukraine ou même la tentative d'assassinat dont il a été l'objet l'été dernier, la flambée des prix post-pandémie a été déterminante dans l'incroyable come-back réalisé par le républicain, ralliant de nombreux indécis à sa candidature. En partie à raison, l'image de son prédécesseur est restée irrémédiablement associée à une baisse de pouvoir d'achat pour une majorité d'Américains ».Et là, pointe Le Temps, « le risque que le plan de Trump déraille est loin d'être négligeable car on ne conclut pas de “deal“ avec les prix. Et même si beaucoup d'eau va couler sous le Potomac d'ici là, le sort des élections de mi-mandat dépendra en grande partie de l'évolution du renchérissement du coût de la vie ».Des voitures bien plus chères…Le Wall Street Journal donne un exemple tout à fait concret : « un droit de douane de 25 % sur les pièces détachées automobiles en provenance du Canada ou du Mexique augmenterait de 9000 dollars le coût d'un SUV de grande taille assemblé aux États-Unis ».Et, « au-delà de l'automobile, poursuit le Wall Street Journal, les droits de douane imposés par Donald Trump renforceront l'incertitude économique qui s'est emparée des marchés financiers. (…) Le président pense peut-être que les droits de douane donneront lieu à un nouvel âge d'or économique, mais les travailleurs, les entreprises et les marchés financiers risquent de ne pas apprécier cette longue marche vers cette terre promise ».Des conséquences fâcheuses pour l'Europe…Et au-delà des États-Unis, « le protectionnisme tarifaire voulu par Donald Trump est un choc sans précédent dont on mesure mal les conséquences ». C'est ce que pointe Le Monde à Paris. « Et ce, d'autant plus que les droits de douane réciproques envisagés par le président américain mettent fin à un système bâti à la fin de la seconde guerre mondiale sur le principe de non-discrimination, où tous les pays sont traités à égalité en matière de droits de douane pour justement éviter les tensions géopolitiques ».Résultat, relève Le Monde : « la nouvelle politique douanière américaine pourrait avoir deux conséquences fâcheuses pour l'Europe : elle pourrait réorienter les exportations chinoises vers le Vieux Continent, frappant davantage encore nos entreprises, et pousser les industriels européens à délocaliser vers les États-Unis ».La brouille entre la France et l'AlgérieEnfin, à la Une également, le fossé qui se creuse entre Paris et Alger…« Réexamen des accords bilatéraux, détention de l'écrivain Boualem Sansal, tensions sur l'immigration… les deux pays traversent une crise diplomatique sans précédent depuis l'indépendance », constate Libération qui dénonce « un jeu dangereux : (…) les deux gouvernements, sous la tutelle de populistes, y ont tout à perdre ».À contrario, pour Le Figaro, « le gouvernement français semble avoir pris la mesure du piège algérien. L'inacceptable a assez duré, affirme le journal. Otage de cette relation malsaine provoquée et entretenue par Alger, l'écrivain Boualem Sansal doit vite retrouver la liberté ».
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Il caro bollette, la sfiducia alla Santanché, la difesa comune dell'UE. #Ilpostinazienda. Oggi con l'ITS ICT di Genova, uno dei migliori ITS informatici in italia. Con noi Irene Sarpa, 22 anni, diplomata all'ITS ICT di Genova da pochissimo, lavora per la Creative Words (azienda in cui ha fatto lo stage). Torna a trovarci Don Antonio Mazzi, per parlarci dello “Spazio della solidarietà di Don Mazzi”, da giovedì 27 febbraio a domenica 2 marzo 2025, dalle h 11.00 alle 19.00. Ingresso libero Moscova District Market. Il ritorno in tv della serie “Che dio ci aiuti”. Appuntamento domani sera, giovedì 27 febbraio su Rai 1. Ne abbiamo parlato con Luca Bernabei, amministratore delegato di "Lux Vide”. L'attualità, commentata dall'editorialista Corriere Della Sera, Ferruccio De Bortoli. All'interno di Non Stop News, con Enrico Galletti, Massimo Lo Nigro e Giusi Legrenzi.
« L'avenir de l'Europe se joue en ce moment, s'exclame Libération à Paris : samedi dernier à la Conférence sur la sécurité de Munich, hier lundi au mini-sommet européen de Paris, ce mardi à Riyad lors de la première rencontre de haut niveau depuis trois ans entre responsables américains et russes. Et si, prévient Libération, à la fin de cette semaine, le rapport de force avec les États-Unis et la Russie reste défavorable au Vieux Continent, il faut se préparer à une période d'instabilité et de solitude extrêmement dangereuse, a minima pour les quatre ans à venir. En gros, l'Amérique ne peut plus être considérée comme une alliée ».Malgré tout Libération se veut optimiste :« même s'il est tard, il est encore temps pour les Européens de réagir, de serrer les rangs et bâtir enfin une défense européenne. Le britannique Keir Starmer semble prêt à regagner le giron de l'Europe, Emmanuel Macron a beaucoup de défauts mais c'est un fervent Européen, le futur chancelier allemand ne pourra pas être plus mou qu'Olaf Scholz (espérons que l'extrême droite ne fasse pas une percée surprise dimanche), et la Pologne de Donald Tusk est au taquet, militairement et économiquement ».Divisions…Reste que pour l'instant, les Européens n'arrivent pas à se mettre d'accord… C'est ce que souligne le Corriere Della Sera à Rome. « Le seul succès certain de la journée d'hier est que les onze Européens ont réussi à se réunir rapidement, invités en urgence par le président Emmanuel Macron pour répondre aux diktats américains. Mais la “réunion informelle“ de Paris semble avoir cristallisé, plutôt qu'aplani, les différences ». Notamment sur l'envoi de troupes en Ukraine. « La France et le Royaume-Uni seraient prêts à envoyer une force de 25 à 30 000 hommes, croit savoir le Corriere Della Sera.Mais de nombreux autres pays se montrent réticents : l'Espagne, la Pologne, et surtout l'Italie et l'Allemagne. “Une solution inefficace“, selon la Première ministre Giorgia Meloni, qui souligne que les discussions à Paris ne doivent pas être interprétées comme un “front anti-Trump“. Olaf Scholz est également clair sur l'envoi de soldats européens pour maintenir la paix : “Je pense qu'il est complètement prématuré et inapproprié d'en parler maintenant. Nous ne sommes pas encore en paix, mais au milieu d'une guerre que la Russie mène toujours“ ».Un accord américano-russe d'ici Pâques ?Et pendant ce temps, l'administration Trump appuie sur l'accélérateur… C'est ce que constate Le Soir à Bruxelles : « les émissaires américains, au premier rang desquels le secrétaire d'État Marco Rubio, devraient entamer, ce mardi en Arabie saoudite, des pourparlers inédits avec une délégation russe. Pour Washington, il ne s'agit encore que de poser les “prémices“ d'une future négociation ».Toutefois, « à Washington, on parle d'un accord d'ici Pâques, relève le Süddeutsche Zeitung ; deux mois seraient un délai extrêmement court pour résoudre une tâche aussi complexe, commente le quotidien allemand. Et cela nourrit à nouveau les craintes des Européens que l'administration Trump soit plus intéressée par une solution rapide que par un accord garantissant les besoins de sécurité de l'Ukraine et de l'Europe ». Autre crainte, souligne encore le Süddeutsche Zeitung : « que Trump se laisse marcher sur les pieds par Poutine, comme lors de sa première présidence ».La montée en puissance diplomatique de l'Arabie saouditeEnfin, cette question : pourquoi cette réunion américano-russe se tient à Riyad ? Réponse de La Croix à Paris : « en creux, c'est aussi la montée en puissance stratégique de l'Arabie saoudite de Mohammed Ben Salman que mettent au jour ces pourparlers. Le pays est le principal partenaire arabe des Américains : ils partagent notamment de forts intérêts économiques autour du pétrole dont ils sont, avec la Russie, les plus gros producteurs mondiaux. Mais la pierre angulaire de la relation américano-saoudienne est politique et porte un nom, relève La Croix : les accords d'Abraham. Impulsés par Donald Trump lors de son premier mandat, ils normalisent les relations entre Israël, Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Maroc et le Soudan… Le président américain fait désormais de l'entente entre l'État hébreu et l'Arabie saoudite une priorité ».Toutefois, pointe le journal, « pas sans l'établissement d'un État palestinien viable et durable, répond Riyad, qui accueillera vendredi un sommet arabe pour discuter des alternatives au plan Trump pour Gaza ».
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Kiev e l'Europa, l'export italiano, Pechino e il rilancio economico. Paola Salvatore, di Donna Moderna è intervenuta per parlarci del gioco d'azzardo tra i giovani. Fisco. L'Agenzia delle Entrate si prepara a mandare 7,5 milioni di lettere anti-evasione e il governo valuta la proposta di una rottamazione quinquies delle cartelle. Il punto con il commercialista Christian Dominici. Don Antonio Mazzi, fondatore della comunità Exodus, regala ogni giorno un pensiero, un suggerimento, una frase agli ascoltatori di RTL 102.5. L'Italia pare sia colpita da quella che è stata definita come «una delle più forti ondate polari degli ultimi 20 anni». Quanto durerà questo freddo? Ne abbiamo parlato con Gianni Messeri, climatologo del CNR. Parliamo delle partite di Champions con i nostri inviati, Paolo Pacchioni, Massimo Caputi, Tommaso Angelini e Nicolò Pompei. Stasera alle 18,45 Milan-Feyenoord e alle 21 Atalanta Club Brugge. L'attualità, commentata dal direttore del Corriere Della Sera, Luciano Fontana. All'interno di Non Stop News, con Enrico Galletti, Massimo Lo Nigro e Giusi Legrenzi.
"Giuseppe Falci (Corriere Della Sera)" ospite a Ieri&Oggi
"Ieri e Oggi" con Franco Leonetti. Ospiti: Dario Giannini (Opinionista), Giuseppe Falci (Corriere Della Sera)
"Ieri e Oggi" con Franco Leonetti. Ospiti: Dario Giannini (Opinionista), Giuseppe Falci (Corriere Della Sera)
"Giuseppe Falci (Corriere Della Sera)" ospite a Ieri&Oggi
C'est un dessin à la Une de Libération à Paris : on y voit deux robots en train de faire la course, l'un américain, l'autre chinois… et derrière, un petit robot estampillé « France-Union Européenne », chevauché par Emmanuel Macron, qui tente désespérément de rattraper les deux autres…« La chasse à l'intelligence artificielle », titre le journal. « Chefs d'État et gratin mondial de l'IA se réunissent pendant deux jours (à Paris). Face au leadership américano-chinois, la France et l'Europe tentent de rester dans la course et la réguler ».Pour Le Figaro, « l'Europe ne peut pas passer à côté de la révolution de l'intelligence artificielle. Sa survie en dépend ».Le Figaro qui s'interroge : « l'Europe veut-elle se cantonner au rôle de régulateur en rédigeant les codes de la route des technologies conçues ailleurs ? Se contenter d'ériger des garde-fous pendant que d'autres bâtissent des empires ? Ou bien va-t-elle enfin comprendre qu'il est urgent de déverser des milliards et de faire tomber des barrières pour se doter d'infrastructures dignes de ce nom, de favoriser les alliances transfrontalières, de faire émerger ses propres titans technologiques en les aidant massivement, en capitaux et dans l'accès aux données ? Car l'enjeu dépasse largement la seule compétitivité économique, pointe encore Le Figaro : il s'agit d'une question de souveraineté. Un continent qui ne contrôle pas ses outils numériques devient dépendant, vulnérable, tôt ou tard une colonie numérique des puissances de la Silicon Valley ou de Shenzhen… »Un « contexte turbulent et incertain »Le Monde s'interroge : « ces efforts hexagonaux et européens sont-ils trop limités pour exister face aux puissances américaine et chinoise ? “L'exemple de DeepSeek montre qu'il n'y a pas besoin de centaines de milliards de dollars pour développer des IA. Et que, dans l'IA, tout n'est pas joué, répond-on à l'Élysée. Il reste énormément de transformations à venir, et la situation, la force des différents pays et start-up d'IA peuvent encore évoluer très rapidement“ ».Commentaire du Monde : « un optimisme de rigueur dans un contexte des plus turbulents et incertains ».« L'urgence d'une gouvernance mondiale de l'IA », s'exclame Le Soir à Bruxelles. Pour le quotidien belge, « au sommet de Paris, il sera crucial de choisir, collectivement, si l'IA sera un levier d'émancipation ou une menace incontrôlable. Laisser les géants de la tech décider à notre place n'est pas une option ».Macron se met en scène…Le Corriere Della Sera à Rome s'attarde, lui sur la vidéo diffusée samedi par l'Elysée, une vidéo créée grâce à l'intelligence artificielle et qui met en scène Emmanuel Macron… « Les images qui défilent, rigoureusement fausses, montrent un Macron sous diverses facettes, comme personne ne l'a jamais vu, relate le quotidien italien. Macron avec les cheveux longs donnant des conseils de beauté, Macron avec une coiffure des années 80, Macron dans une rave-party, Macron parlant de son amour pour les voitures dans une scène du film OSS117, Macron en rappeur, Macron habillé en femme… Et à la fin de cette vidéo, le président français explique à quoi sert le sommet international qui s'ouvre ce lundi à Paris : “plus sérieusement, dit-il, l'intelligence artificielle peut faire de grandes choses pour la santé, l'énergie et la vie en société. La France et l'Europe doivent être au cœur de cette révolution pour défendre les principes auxquels nous croyons" ».La France moteur européen de l'IA ?D'ailleurs, souligne le Corriere Della Sera, signe que l'Europe n'est pas à la traine : « l'assistant d'intelligence artificielle le plus rapide du monde est européen et s'appelle Le Chat. Il a été conçu par la société française Mistral en partenariat avec le fabricant de puces d'intelligence artificielle Cerebras Systems, soutenu par le conglomérat technologique émirati G42. (…) Et, affirme encore le quotidien italien, ce n'est qu'une des nouveautés qui émergent au sein de l'Union européenne, pour contrer la suprématie américaine en matière d'intelligence artificielle ».Et on revient au Monde à Paris, qui a publié ce week-end une tribune signée Sam Altman, le patron d'OpenAI, qui développe l'outil ChatGPT. Sam Altman affirme que la France est devenue un « centre névralgique de l'IA » sur le Vieux Continent.Pour lui, l'intelligence artificielle est indispensable pour stimuler l'économie. Et « si l'on veut de la croissance, des emplois et du progrès, affirme-t-il, il faut permettre aux innovateurs d'innover, aux bâtisseurs de bâtir et aux développeurs de développer. Le risque de l'inaction est trop grand pour être ignoré, c'est pourquoi le pays qui nous a apporté les Lumières (la France) prend aujourd'hui des mesures pour réussir sa transition vers l'ère de l'intelligence ».
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Il dialogo tra Trump e Putin, Albania e migranti, toghe e separazione carriere. Le partite del campionato di calcio di serie A del weekend, commentate dal nostro Paolo Pacchioni. I mutui, e il prestito d'onore, il finanziamento per studenti. Con noi Claudia Vassena responsabile Marketing Retail di Intesa Sanpaolo. Don Antonio Mazzi, fondatore della comunità Exodus, regala ogni giorno un pensiero, un suggerimento, una frase agli ascoltatori di RTL 102.5. L'attualità, commentata dall'editorialista del Corriere Della Sera, Ferruccio De Bortoli. Oggi, 10 febbraio, è il "Giorno del ricordo", istituito per rinnovare la memoria delle vittime delle Foibe. In diretta con noi Greta Schlaunich, giornalista, in libreria con "Le foibe. Spiegate ai ragazzi" (Edito da Piemme). Oggi si inaugura la settimana di Sanremo. Tutti i giorni ve lo racconteremo anche in Non Stop News con un ospite speciale. In diretta con noi uno dei protagonisti di questa edizione: Brunori Sas. Da Sanremo, è intervenuto il presidente di EarOne, Maurizio Gugliotta, che per tutti i giorni del Festival di Sanremo, ci informerà sulle classifiche delle canzoni di Sanremo, più trasmesse dalle radio. All'interno di Non Stop News, con Enrico Galletti, Massimo Lo Nigro e Giusi Legrenzi.
"Cose di Calcio XL" con Antonio Paolino. Ospiti: Malu Mpasinkatu (direttore sportivo), Paolo Tomaselli (Corriere della Sera).
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Giorgia Meloni indagata insieme a Nordio, Piantedosi e Mantovano. Il nostro inviato Alberto Ciapparoni, è intervenuto in diretta, per spiegarci le reazioni della politica, sul caso Almasri. Il leader di Noi Moderati, Maurizio Lupi, è intervenuto per dare il suo parere sul caso Almasri e su Giorgia Meloni indagata. Il direttore editoriale del giornale Libero, Daniele Capezzone, è intervenuto in diretta per parlarci del il caso Almasri e delle indagini su Giorgia Meloni. Calcio. Stasera i verdetti della prima fase di Champions League. Su RTL 102.5 trasmetteremo le radiocronache di tutte e cinque le partite delle italiane. Barcellona-Atalanta, Dinamo Zagabria-Milan, Inter-Monaco, Sporting-Bologna e Juventus-Benfica. Ci siamo collegati con uno dei nostri inviati sui campi Paolo Pacchioni. In diretta, Roberto Salamini, responsabile marketing di RCS Sport, che organizza il Giro d'Italia. E si rinnova anche la grande partnership tra il Giro e RTL 102.5 L'attualità, commentata dal direttore del giornale La Repubblica, Maurizio Molinari. Il direttore del Corriere Della Sera, Luciano Fontana, è intervenuto in diretta, per commentare il caso Almasri e le indagini su Giorgia Meloni. All'interno di Non Stop News, con Ivana Faccioli, Massimo Lo Nigro, Enrico Galletti e Giusi Legrenzi.
"Ieri e Oggi" con Franco Leonetti. Ospiti: Giuseppe Falci (Corriere della Sera), Nicola Penta (dirigente sportivo).
"Ieri e Oggi" con Franco Leonetti. Ospiti: Giuseppe Falci (Corriere della Sera), Nicola Penta (dirigente sportivo).
C'est le titre de l'éditorial d'El Pais en ce 2 janvier. Le quotidien espagnol n'est pas franchement optimiste… El Pais s'inquiète tout d'abord du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche : « si ses engagements se réalisent, dans les premières 24 heures de sa présidence, les guerres en Ukraine et au Moyen-Orient devront prendre fin, sans que l'on sache très bien comment et à quel prix. L'expulsion de millions de personnes installées aux États-Unis, mais qui n'en ont pas la nationalité, devrait également commencer. L'augmentation des droits de douane à l'importation, jusqu'à 60 % pour la Chine, sera préjudiciable à l'économie américaine et, par conséquent, à l'économie mondiale ».Dans le même temps, poursuit El Pais, l'Europe entre dans « une période de faiblesse en raison de la précarité politique des deux principales puissances du continent : la France et l'Allemagne ».Pour ce qui est de l'Ukraine, soupire encore le quotidien espagnol, « rien ne serait pire qu'une négociation bilatérale entre Washington et le Kremlin, sans solidarité européenne. Si Poutine sortait vainqueur d'une telle négociation, en obtenant des cessions territoriales et sans garanties suffisantes pour la sécurité de Kiev, l'Europe entrerait dans une dangereuse phase de fragilité face à l'expansionnisme russe ».Enfin, « au Moyen-Orient, pointe encore El Pais, les faiblesses et les fractures européennes à l'égard de la Palestine sont encore plus grandes. Sans l'UE et sans l'ONU, et avec Trump et Netanyahu qui proposent leur géométrie régionale, les attentes de paix et de stabilité seront faibles et la reconnaissance des droits individuels et collectifs des Palestiniens sera nulle ».L'Europe doit se réinventer…Finalement, cette année, il y aura « Donald, Vladimir et nous », renchérit Le Soir à Bruxelles. « 2025, une année entamée sous le sceau de l'instabilité mondiale mais où les présidents russe et américain joueront encore un rôle majeur. Et l'Europe ? Elle a du travail pour ne pas être réduite au rang de spectatrice ».Oui, « l'Europe doit changer », renchérit le Corriere Della Sera à Rome. « Aujourd'hui, la crise n'est pas financière, mais géopolitique, et oblige l'Europe à regarder au-delà d'elle-même et à reformuler son rôle mondial. Tout cela nécessite des outils de coopération encore plus complexes que ceux qui ont été nécessaires pour faire face à la crise de 2008-2012, car ils concernent non seulement la monnaie et les banques, mais aussi la politique industrielle, la défense, la sécurité énergétique et la politique étrangère, et nécessitent des actions innovantes capables de soutenir la demande intérieure sans compromettre la viabilité budgétaire. L'Europe, malgré les réformes des quinze dernières années, est fondamentalement la fille d'un monde qui n'existe plus, souligne encore le Corriere Della Sera. La question est donc de savoir si, telle quelle, elle peut survivre au nouveau contexte international. Un test fondamental sera la défense. Quel que soit le scénario qui prévaut en matière de politique étrangère de Trump – isolationnisme américain ou réaffirmation de son rôle dominant – l'Europe sera contrainte de dépenser davantage en matière de défense ».Et la France…Pour ce qui est de la France, « 2025 risque de devenir annus horribilis, affirme Libération à Paris. La France, qui fut longtemps le pays le plus stable d'Europe, en est devenue le grand malade à ceci près que le populisme a chez nous deux faces : une d'extrême droite, l'autre d'extrême gauche avec LFI. Les deux partisans de la crise à outrance, qui souhaitent accélérer la décomposition du régime en précipitant la démission de Macron et une élection présidentielle ».Pronostics…Enfin, le Wall Street Journal à New York se livre au jeu périlleux des prévisions… « Trump va présider à un accord de paix inédit entre Israël et l'Arabie saoudite. Mais cela ne suffira pas à sauver Benyamin Netanyahu, dont le gouvernement de coalition instable s'effondrera. Il n'y aura pas de cessez-le-feu immédiat en Ukraine, car Vladimir Poutine cherchera à gagner du temps. Friedrich Merz (le leader des conservateurs) deviendra le prochain chancelier allemand (à l'issue des élections de février) ».Et puis, prédit encore le Wall Street Journal, sans trop de risques : « les rêves impériaux de Donald Trump ne se réaliseront pas : le Canada ne deviendra pas le 51e État américain, le Danemark ne vendra pas le Groenland et le Panama refusera de restituer le canal ».
Une guerre qui s'éternise… Les Russes qui progressent lentement mais sûrement en territoire ukrainien… Des soutiens occidentaux, notamment américains, qui faiblissent… Les Européens qui pourraient s'engager davantage… Quel avenir pour l'Ukraine ?« Les consultations s'intensifient entre Européens autour de l'Ukraine, relève La Croix à Paris. D'abord parce que ce pays est en difficulté face à la Russie, dans la guerre d'agression menée par Vladimir Poutine depuis février 2022. Ensuite parce que le jour approche de l'entrée en fonction de Donald Trump à la Maison Blanche – le 20 janvier prochain. Le futur président des États-Unis a expliqué à maintes reprises qu'il pèserait pour une résolution rapide de ce conflit, fût-ce au prix de concessions plus ou moins réciproques. »Les Européens semblent vouloir se bouger, constate La Croix : ils « s'engagent à “soutenir l'Ukraine sur la voie irréversible de la pleine intégration euro-atlantique, y compris l'adhésion à l'Otan“ : c'est ce qu'ont affirmé récemment les ministres des Affaires étrangères de France, d'Allemagne, d'Italie, de Pologne, d'Espagne, du Royaume-Uni ainsi que la haute représentante de l'Union européenne. Le message est adressé à Moscou, mais aussi à Washington. »Toutefois, tempère le journal, « pour peser, il faudra plus que des déclarations. »L'envoi de troupes européennes fait son chemin…Justement, « envoyer des troupes en Ukraine, bientôt la fin d'un tabou européen ? », s'interroge Le Temps à Genève.Eh bien apparemment, répond le quotidien suisse. « Emmanuel Macron avait évoqué cette option en février déjà, non sans provoquer de polémique. Elle est en train de ressusciter. » Car, « Donald Trump dicte le ton. Pas plus tard que dimanche, il appelait, Kiev et Moscou à un “cessez-le-feu immédiat“. Les Européens redoutent d'être relégués au rang d'observateurs passifs d'un “deal“ pour geler le conflit duquel ils seraient écartés. Ils ne veulent pas “subir“ des négociations qui concernent également leur propre sécurité. C'est dans ce contexte que des pays alliés ont récemment fait savoir qu'ils seraient prêts à envisager l'envoi de troupes sur sol ukrainien. »Trois options seraient envisagées par les Européens, croit savoir Le Temps. Première option : une mission de maintien de la paix ou d'observateurs sous la forme d'une “présence légère“ le long de la ligne de contact. (…) Autre option, plus offensive, mais toujours dans le cadre d'un cessez-le-feu : une force de dissuasion. La force européenne serait placée sur le chemin des Russes, en première ligne. Ce qui signifie qu'en cas de nouvelle agression, la Russie attaquerait à la fois l'Ukraine et les Européens, et déclencherait une réponse militaire complète. (…) Enfin, le scénario le plus radical – et le plus tabou – est d'envoyer des troupes européennes directement au front pour soutenir les forces armées ukrainiennes. »Vers la création d'une armée européenne ?Pour le Corriere Della Sera à Rome, « il est désormais temps pour notre continent de faire sa part. (…) Le moment est venu pour tous ceux qui, ces deux dernières années, ont évoqué la création d'une “armée européenne“ de donner suite à leurs propos, affirme le quotidien italien. Au moins pour qu'un contingent de 200.000 hommes puisse être constitué et déployé en Ukraine. Pas maintenant, mais une fois la guerre terminée, pour assurer la survie de ce qui restera du pays tourmenté. Ce contingent européen devra contrer par les armes toute tentative éventuelle des armées de Poutine de franchir ces frontières et toute tentative également possible de vengeance ukrainienne. Cette offre européenne d'un important tampon d'interposition entre la Russie et l'Ukraine pourrait être, estime encore le Corriere Della Sera, le seul argument capable (peut-être) de convaincre Poutine et Zelensky d'accepter désormais une paix, quoique fragile. »Procès de Mazan : suite et fin…Enfin, à la Une également, en France, le verdict du procès de Mazan attendu ce matin… Et la presse internationale se passionne toujours autant pour cette affaire hors-norme. Le Guardian à Londres, El Pais en Espagne, ou encore le New York Times consacrent de longs papiers sur les ultimes instants du procès. Un procès qui est « l'un des plus médiatisés, les plus percutants et les plus mondialisés de la dernière décennie », affirme El Pais.Pour le Guardian, aucune surprise à attendre : « ce procès pour viols de masse qui a choqué la France et horrifié le monde entier devrait s'achever ce jeudi avec la condamnation à 20 de prison de Dominique Pelicot, qui a reconnu avoir drogué son ex-femme, Gisèle, et invité des inconnus pour la violer. »
« Un désastre » : c'est ainsi qu'El Pais à Madrid qualifie la situation politique en France après la chute hier soir du gouvernement Barnier. C'est l'impasse sur le plan politique. Et « pendant ce temps, la situation continue de se dégrader, pointe le quotidien espagnol, la dette est colossale (elle dépasse les mille milliards d'euros), le climat social est une poudrière, les revendications des agriculteurs, des fonctionnaires, des retraités et des salariés s'amplifient. Personne ne peut garantir que l'édifice institutionnel et politique résistera à la pression conjuguée de l'extrême droite, principale force qui rassemble à elle seule 11 millions d'électeurs, et d'un régime politique aussi branlant qu'imprévisible. L'échec d'Emmanuel Macron est retentissant ».« Le Macronisme est mort », renchérit le Corriere Della Sera à Rome. « Parce que l'alliance rouge-brun entre les deux populismes opposés a gagné, relève le quotidien italien. (…) Pour la première fois dans l'histoire de la Ve République, l'extrême gauche et l'extrême droite ont voté ensemble. Pourtant, ce ne seront pas Le Pen et Mélenchon qui résoudront l'effondrement du pouvoir d'achat, l'affaiblissement de la classe moyenne, et l'incapacité de l'Europe face aux guerres à ses frontières ».Vers une grande coalition ?Désormais, « la France est à la renverse », soupire Le Figaro à Paris. « La politique se confine dans des négociations catégorielles et des combinaisons lilliputiennes. C'est donc à l'Élysée de trouver le moyen d'équilibrer un peu ce qui est instable, estime le quotidien conservateur. D'abord, ne pas procrastiner pendant des semaines, mais nommer en quelques jours un nouveau Premier ministre ». Et « le pays étant évidemment à droite, il ne faut surtout pas un Premier ministre venant de la gauche ».Justement et maintenant ? Il faut « une grande coalition, seule issue au chaos français », affirme Le Soir à Bruxelles. Une « grande coalition entre les forces de gouvernement, de la droite à la gauche. Cela supposerait que le Parti socialiste se détache des Insoumis. Est-ce si dur ? »,s'exclame le quotidien belge. « Ce qui les unit encore n'a rien de noble : c'est la peur, s'ils n'ont pas de candidat commun, de perdre des plumes aux municipales de 2026 et aux futures législatives en cas de nouvelle dissolution. À un moment, l'histoire commande d'avoir la tête haute ».Marine le Pen en position de force ?Quant à Marine Le Pen, « elle semble vouloir se mettre en position de force », pointe le New York Times. « Elle veut déclencher une élection présidentielle ».Pas sûr qu'elle tire les marrons du feu, rétorque Libération à Paris : « en votant la censure, la cheffe du Rassemblement national revient à ses premières amours antisystème et risque de perdre les électeurs indécis ou les électeurs de droite déçus par LR, sensibles à l'image respectable qu'elle cherche à se forger depuis des années. Dans un contexte international déjà extrêmement préoccupant, conclut Libération, précipiter à la veille des fêtes de fin d'année le pays dans une nouvelle période d'incertitudes politique, économique et financière, risque aussi d'être très impopulaire. Et de laisser des traces ».
D'un côté une cathédrale à la splendeur retrouvée, de l'autre un gouvernement en ruines… Le Guardian à Londres fait le parallèle entre les deux événements qui vont bientôt marquer l'actualité française. « Emmanuel Macron s'apprête à accueillir ce week-end les dirigeants mondiaux pour la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, après l'incendie d'il y a cinq ans. Il aurait espéré y voir une métaphore : celle d'une union populaire pour empêcher l'effondrement d'un édifice sacré. Au lieu de cela, il est fort probable que le gouvernement français se sera effondré dès ce mercredi soir, et avec lui la confiance des électeurs envers les hommes politiques. »Le Guardian qui ne manque pas d'égratigner au passage Michel Barnier : « il semble que l'expérience de Michel Barnier dans la négociation du Brexit avec les Britanniques n'ait servie à rien dans le champ de bataille politique français. (…) C'est le meilleur des moments pour Notre-Dame, mais le pire pour le Premier ministre français. »Tout bénéfice pour Marine Le PenCelle qui se frotte les mains, c'est Marine Le Pen… C'est ce que constate notamment Le Temps à Genève. « C'est Noël avant l'heure pour le Rassemblement national, s'exclame le quotidien suisse. La séquence de ces derniers jours, qui devrait se clore ce soir avec la censure du gouvernement Barnier validée par toutes les oppositions, n'aura effectivement pas été avare en cadeaux pour le RN et sa patronne. Marine Le Pen a démontré à ceux qui en doutaient encore qu'elle était désormais la véritable maîtresse des horloges françaises et la seule opposante qui compte. (…) L'éternelle candidate à l'élection présidentielle aura donc réussi, pointe encore Le Temps, à être à la fois celle qui a incarné très fortement pendant plusieurs jours la défense du porte-monnaie des Français (le pouvoir d'achat reste au sommet des priorités des électeurs) mais aussi celle qui, au bout du compte, a donné forme à leur envie de dégagisme (53% d'entre eux sont favorables à la censure et 63% à une démission d'Emmanuel Macron). »Pas de solution miracle…Et Emmanuel Macron se retrouve en fâcheuse posture… Libération à Paris, ironise : « les voies que pourrait emprunter Emmanuel Macron pour sortir le pays de la crise politique sont pour l'heure impénétrables. Et il n'est pas sûr que passer le week-end à Notre-Dame, comme le Président s'apprête à le faire, permette de trouver la solution miracle… Croisons les doigts, poursuit Libération, que l'édifice inauguré en grande pompe tiendra un peu plus longtemps que la maison de paille politique bâtie par Emmanuel Macron. Cette dernière était ouverte aux quatre vents depuis le milieu de son premier quinquennat. Elle a perdu son toit en juin après la dissolution. Avec la censure et le départ de Michel Barnier, ce qu'il reste des murs est en train de s'écrouler sur le dernier locataire. (…) Dit de manière moins détournée, Emmanuel Macron est un roi presque nu. »Démissionner ?Et retour à la case départ, note le Corriere Della Sera à Rome : « Macron se retrouve là où il a commencé : trouver un nouveau Premier ministre et un gouvernement qui durera au moins quelques mois au Parlement, où le l'équilibre reste inchangé, avec aucune majorité possible. Selon la Constitution française, on ne peut pas retourner voter pour des législatives avant qu'un an ne se soit écoulé depuis les précédentes élections anticipées, donc avant l'été de l'année prochaine. Mais on pourrait théoriquement revenir voter pour l'Elysée, pointe le quotidien italien, et c'est pourquoi les voix de ceux qui demandent à Emmanuel Macron de démissionner se multiplient : seul moyen de redonner la parole au peuple et d'obtenir cette “clarification politique“ qu'il était, ironiquement, sûr d'obtenir en dissolvant l'Assemblée dans la soirée du 9 juin. »Non !Pour Emmanuel Macron pas question de partir… Alors, « si le chef de l'Etat n'entend pas démissionner, il devra toutefois nommer rapidement un successeur à Michel Barnier, relève Le Monde à Paris. “Il faut un gouvernement resserré avant la fin de la semaine, on ne peut pas rajouter la procrastination au désordre, préconise un ancien ministre macroniste. Sinon, plus les jours passeront, plus les gens diront que le président doit partir“. En nommant au plus vite un nouveau premier ministre, Emmanuel Macron peut apparaître comme un facteur de “stabilité institutionnelle“, estiment ses soutiens. »Toutefois, prévient Le Monde, « si Emmanuel Macron s'apprête à reprendre la main, il n'a pas le droit à l'erreur dans le choix de son prochain premier ministre. Un nouvel échec amplifierait les appels à la démission du chef de l'Etat, qui se retrouverait alors sans munitions. »
L'Italie a commencé à transférer le premier groupe de migrants vers les centres qu'elle gère en Albanie, une première pour un pays membre de l'Union européenne. Le patrouilleur de la marine italienne Libra a appareillé hier avec 16 migrants à son bord. Il doit arriver demain mercredi en Albanie.« Le grand bluff », s'exclame La Repubblica à Rome. « Deux jours de voyage pour transférer hors d'Italie 10 Égyptiens et 6 Bangladais qui, sur des bateaux de fortune, avaient quitté les côtes libyennes de Sabratha et Zuara. 16 migrants donc qui se retrouvent à bord d'un navire de la marine nationale italienne de 80 mètres de long, capable de transporter environ 200 passagers. (…) Et tout cela pour un coût de 250.000 euros… »Plus qu'une couleur pour leur redonner espoir…L'envoyé spécial du Corriere Della Sera a pu visiter ces centres de rétention en Albanie. « Les sols peints en vert, couleur de l'espoir, frappent le regard même à l'extérieur, en plein air, comme s'il y avait des pelouses tout autour. Cette couleur a été choisie parce qu'elle est relaxante. C'est du moins ce qu'explique le directeur du premier centre de rétention construit à l'étranger pour accueillir - selon les lois italiennes - les demandeurs d'asile ayant peu ou aucune chance de l'obtenir : des hommes adultes, sans famille, qui ont été sélectionnés apparemment en bonne santé et venant de pays considérés comme sûrs par Rome. Il en faudrait bien plus pour leur redonner espoir. »L'envoyé spécial du Corriere Della Serra s'est rendu notamment au centre de rétention de Gjader, à une vingtaine de kilomètres à l'intérieur des terres : « une énorme clôture en béton surmontée de barrières métalliques de six mètres de haut délimite une superficie de 70 mille mètres carrés divisée en trois secteurs : le plus grand est destiné aux demandeurs d'asile. Une autre section du centre est dédiée à ceux qui se voient refuser l'asile et attendent d'être rapatriés. Et puis, il y a un troisième secteur qui est un petit pénitencier de 20 places, pour ceux qui ont commis des délits au sein du centre. »Obstacles…Le Times à Londres s'interroge : « les nouveaux centres pour migrants de Giorgia Meloni en Albanie fonctionneront-ils ? » Pas évident… « Les demandes de rapatriement sont souvent ignorées. (…) Au cours des cinq années précédant la pandémie de Covid-19, l'Italie a réussi à renvoyer peu de migrants vers des pays supposés “sûrs“ : seulement 24 % des arrivants sont retournés en Tunisie, 13 % au Nigéria et 7 % au Bangladesh. Le taux de rapatriement pour le Mali et la Guinée était seulement de 1 %. »Qui plus est, pointe encore le Times, « le projet albanais a été dénoncé par plusieurs groupes de défense des droits de l'homme. Sea Watch, l'une des ONG qui exploitent des navires de sauvetage de migrants en Méditerranée, a déclaré que son lancement ouvrait un “chapitre sombre“. Amnesty International a qualifié ce projet d'“expérience cruelle [qui] fait tache sur le gouvernement italien“. Et puis autre casse-tête pour Meloni, relève le quotidien britannique : la Cour européenne de justice a estimé que les pays d'origine sûr – vers lequels les migrants peuvent être rapatriés – devait être sûr sur l'ensemble de leur territoire. Exemple : le Nigeria et l'Égypte figurent sur la liste italienne des pays sûrs, mais le sont-ils à 100 % ? Non. » L'Europe veut durcir sa politique migratoireHier, relève Le Monde à Paris, « Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission, a fait savoir que Bruxelles allait proposer une nouvelle législation pour faciliter les expulsions des personnes en situation irrégulière. (…) Bruxelles propose de faciliter les expulsions des personnes en situation irrégulière, en établissant notamment une reconnaissance mutuelle des décisions prises par tel ou tel Etat membre. (…) Moins de 20 % des décisions d'expulsion de migrants en situation irrégulière sont suivies d'effet, a encore souligné Ursula von der Leyen, promettant une coopération renforcée avec les pays tiers concernés, en durcissant par exemple l'octroi de visas à des pays récalcitrants. »Attention, prévient El País à Madrid : « Bruxelles doit veiller à ce que le traitement des migrants soit conforme aux normes européennes en matière de droits de l'homme. (…) Il serait bon que les auditions de la nouvelle équipe de commissaires – qui se tiendront en novembre – servent à exiger rigueur et transparence dans l'utilisation digne des milliards d'euros alloués à l'immigration. Externaliser l'horreur, conclut El País, n'est pas compatible avec les valeurs que l'Europe prétend défendre. »
"Terzo tempo" con Giulia Borletto. Ospiti: Paolo Tomaselli (Corriere della Sera), Corrado Saccone (preparatore atletico), Mike Fusco (Juventibus).
Mahsa Amini, jeune iranienne de 22 ans, « a été assassinée par la police des mœurs », rappelle Libération, qui fait sa Une avec les photos en gros plan du cinéaste Mohammad Rasoulof et de l'actrice Golshifteh Farahani, deux exilés « qui poursuivent la lutte depuis l'étranger ». « La première année qui a suivi la mort de Mahsa Amini », ajoute le quotidien français, « a été celle du mouvement "Femme, vie, liberté" (...) Une insurrection et un espoir monstre se sont emparés du pays, mais nous avons aussi été les témoins impuissants de la répression d'un état déployant son arsenal de terreur pour étouffer l'opposition et renvoyer les assoiffés de liberté se cloîtrer ». Toutefois, l'heure n'est pas pour autant au pessimisme. Pour Mohammad Rasoulof, « le mouvement Femme, Vie, Liberté a insufflé, un courage, une audace au peuple iranien ». De son côté, Golshifteh Farahani croit en la jeunesse, « elle a une force incroyable », dit-elle. « Elle est comme une graine qui est plantée. Même si c'est dans un environnement sale et hostile, elle va grandir, car c'est dans sa nature de pousser (...) ce n'est pas un espoir, c'est un fait. On sait que ça va arriver ». À Téhéran, Libération a rencontré Maryam, jeune femme de 28 ans, « fabricante de clés », qui travaille « toujours en tee-shirt, sans se couvrir les cheveux ». « C'est comme si une révolution avait eu lieu », explique-t-elle. « Avant la mort de Mahsa Amini, nous n'avions jamais imaginé que nous pourrions obtenir la moindre petite liberté avant des années et des années ». 37 condamnations à mortÀ la Une également, la condamnation à mort de 37 accusés en République Démocratique du Congo. Des condamnés jugés pour « tentative de coup d'état ». Et parmi lesquels se trouvent 3 américains et un britannique. Ce qui a aiguisé la curiosité du Guardian. Le quotidien britannique raconte que « six personnes ont été tuées lors de la tentative de coup d'état ratée menée par l'opposant Christian Malanga, le 19 mai dernier ». Parmi les trois américains condamnés, que l'on voit, en tenue bleu et jaune, en train d'attendre le verdict, figure Marcel Malanga, le fils de Christian Malanga, ainsi que Tyler Thomson Junior, un jeune américain de 21 ans qui, nous dit le Guardian, « s'était envolé depuis l'Utah avec Marcel, pour ce que sa famille croyait être des vacances tout frais payés ». Lors du procès, Marcel Malanga avait, lui, assuré que « c'était la première fois qu'il se rendait en RDC à l'invitation de son père qu'il n'avait pas vu depuis des années ». Les deux jeunes américains, ajoute le quotidien, « jouaient ensemble au football au lycée de Salt Lake City ». Mais selon certains de ses coéquipiers, ils ne parlaient pas que football. Ils accusent en effet Marcel Malanga « d'avoir offert jusqu'à 100 000 dollars pour l'accompagner "dans un travail de sécurité" en RDC ». Quant au britannique condamné à mort, il s'agirait d'un congolais naturalisé, selon le Guardian, qui avoue n'en savoir guère plus. Tous les condamnés peuvent désormais faire appel. À lire aussiRDC: 37 prévenus condamnés à mort dans le procès de la «tentative de coup d'État»Trump ou HarrisEnfin, le Corriere Della Sera était avec le pape François dans l'avion qui le ramenait de sa tournée en Asie... Le journal italien a tout d'abord voulu savoir si le pape était plutôt favorable à Donald Trump ou à Kamala Harris, dans la course à la Maison Blanche. « Tous les deux sont contre la vie », a répondu François, « l'un rejette les migrants », et « l'autre tue les enfants », allusion au droit à l'avortement, défendu par Kamala Harris. Le Corriere Della Sera a aussi interrogé François sur la guerre à Gaza. « Qu'avez-vous envie de dire aux belligérants ? » demande-t-il au pape. « J'appelle chaque jour la paroisse de Gaza, il y a là-bas, six cents personnes, des chrétiens, des musulmans, ils vivent comme des frères »,répond François qui ajoute : « quand vous voyez les corps d'enfants tués, quand une école est bombardée parce qu'elle abriterait des terroristes, c'est vraiment terrible ». « Serez-vous à Paris pour l'inauguration de Notre Dame en décembre ? », demande enfin le Corriere Della Sera ? La réponse est claire, mais négative, c'est « non ».
"Terzo tempo" con Marco Spadavecchia e Giulia Borletto. Ospiti: Paolo Tomaselli (Corriere della sera), Francesco Oppini, Genny De Gaetano (agenzia Area)
O presidente da Lufthansa reuniu-se esta segunda-feira com o Governo para negociar a venda de quase 20% da TAPSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. Pensioni e autonomia differenziata, Gran Bretagna e la manovra economica. In questo periodo si torna a parlare della "tassa di soggiorno", con una serie di ipotesi di cambiamento allo studio della politica. Abbiamo fatto il punto con Michele Damiani, giornalista di Italia Oggi. Parliamo di cibo, di dieta e di come tornare ai ritmi normali dopo gli sgarri dell'estate. Molti, ad esempio, si ritrovano già stressati e si sfogano con la cosiddetta "fame nervosa". Con noi il professor Nicola Sorrentino, dietologo e nutrizionista. Don Antonio Mazzi, fondatore della comunità Exodus, regala ogni giorno un pensiero, un suggerimento, una frase agli ascoltatori di RTL 102.5. Sono giorni di grande fermento per il conflitto tra Russia e Ucraina. Abbiamo fatto il punto con Eleonora Tafuro, dell'ISPI (Istituto per gli studi di politica internazionale). A partire da oggi Parigi ospiterà i suoi primi Giochi Paralimpici e, nel cuore della capitale francese, è prevista una spettacolare cerimonia di apertura. Alle 20:00, Place de la Concorde e gli Champs-Élysées ospiteranno 4.400 tra atlete e atleti paralimpici provenienti da 184 delegazioni per celebrare l'inizio di 11 giorni di gare, a partire dal 29 agosto. In diretta con noi, Martina Caironi, tra le più titolate atlete paralimpiche del nostro Paese, che gareggerà nel salto in lungo e nei 100 metri, e il Presidente del Comitato Italiano Paralimpico, Luca Pancalli. L'attualità , commentata dall' editorialista del Corriere Della Sera, Ferruccio De Bortoli. All'interno di Non Stop News, con Enrico Galletti, Massimo Lo Nigro e Giusi Legrenzi.
"Terzo tempo" con Giulia Borletto. Ospiti: Corrado Saccone (preparatore atletico), Camillo De Michelis, Paolo Tommasell (Corriere della sera).
"Terzo tempo" con Giulia Borletto. Ospiti: Corrado Saccone (preparatore atletico), Camillo De Michelis, Paolo Tommasell (Corriere della sera).
"Terzo tempo" con Giulia Borletto. Ospiti: Corrado Saccone (preparatore atletico), Camillo De Michelis, Paolo Tommasell (Corriere della sera).
"Terzo tempo" con Giulia Borletto. Ospiti: Camillo De Michelis, Gianni Balzarini (Sportmediaset), Nicola Balice (Corriere della sera).
"RBN Cafe" con Marco Spadavecchia e Giulia Borletto. Ospiti: Giovanni Albanese (Gazzetta dello Sport), Paolo Tomaselli (Corriere della Sera)
"RBN Cafe" con Marco Spadavecchia e Giulia Borletto. Ospiti: Giovanni Albanese (Gazzetta dello Sport), Paolo Tomaselli (Corriere della Sera)
10-12 IV 2024. Translationum COMPLURES a Luis Pesquera SUNT. ‘NUNTII IN LINGUA LATINA’ ‘IN LINGUA LATINA ET ANGLICA’ ‘AUDIS’! DE BELLO ISRAËLIANO-HAMASIANO ANNI DOMINI BIS MILESIMO VICESIMO TERTIO ET QUARTO. Usquequo manebit? {De syntaxe: orationes simplices interrogativae, sine particulae ATTENDE} ‘Loyd AUSTIN, Ministrum Defensionis Civitatum Americae Unitae,’ ‘DICIT’: ‘genocidii Israele’ ‘evidentiam’ ‘in Gaza’ ‘non ESSE’ {De syntaxe: infinitivi orationem secundariam completivam, in accusativo, cum infinitivo a inteligentiae / voluntatis / sensus verbis ATTENDE} /// ‘FAMES’ ‘belli arma’ ‘pro Israele’ ‘EST’, ‘Nationes Unitae’ ‘CONSIDERANT’. /// ‘IRANIA’ ‘Cisiordaniam’ ‘cum armis’ ‘OPPLET’. /// ‘Iosephus BIDEN, Civitatum Foederatarum praeses,’ ‘Iraniam’ ‘ADMONET’ [quod ‘VASINGTONIA’ ‘pro Israelis securitate’ ‘firmiter opem fert’] {De syntaxe: orationem secundariam relativam ATTENDE} /// ‘ISRAEL’ ‘evigilans’ ‘de Iraniae comminatione’ ‘EST’. /// ‘COPIAE ad Israelem Defendendum (anglice I-De-eF)’ ‘Hamas Haniyeh ducis tres filios’ ‘INTERFICIT’. IN ORBE TERRARUM. ‘Creditorum RATIO’ ‘sine mutatione’ ‘MANEBUNT’ [quoniam ‘Americae INFLATIO monetalis’ ‘ad tres punctum quinque centesimas’ ‘ADVENIT’] {De syntaxe: orationem secundariam causalem, cum verbo in modo indicativo, et cum coniuctione ‘quoniam’ ATTENDE} IN UCRANIA. ‘UCRAINA’ ‘contra corruptionem militarem’ ‘etiam PUGNAT’. IN HIBERNIA. TRANSLATIO de Hiberniae nuntiis a Valentina Suárez SUNT. /// Regimen agnoscet formaliter sicut Civitatis Palestinam. /// Pater meus novus Princeps Minister. Simon Harris ducem iuvenissimum nostrum fit, sed auditionem de reformatione inceperunt. IN BRITANNIÁRUM REGNO. TRANSLATIONES de ‘Britanniarum regnum’ nuntiis ab Israel García Avilés SUNT. /// Officium nationale salutatis in Brittania curam totam, de hominibus et mulieris qui identitatem sexualem propriam mutare volant, inspicit. Incerta cognitio est, Cass nuntiat, de possibilitate mutandi identitatem sexualem puerorum (THE DAILY TELEGRAPH). /// Brittania medicamenta ut identitatem sexualem puerorum mutabit, finit (THE NEW YORK TIMES). IN INDIA. ‘SENSEX, Mumbai index bursarius’, ‘ad septuaginta quinque milia punctos’ ‘ADVENIT’. ‘Decem ante annos’ ‘in viginti quinque milia punctis’ ‘ERAT’. /// ‘SKYMET’ ‘monsonii tempus normalis’ ‘PRAENUNTIAT’. IN COREA MERIDIANA. TRANSLATIO proxima ab Israel García Avilés EST. /// Populosa pars Coreae non longe comitia vincere abest. /// ‘PRAESES’ ‘DICIT’ [‘populorum voluntatem’ ‘humiliter ACCIPERE’]. IN VIENTAMIA. ‘FRAUS nummaria’ ‘in Vietnamia’ ‘FUIT’. ‘Procurator’ ‘ad poenam capitalem’ ‘CONDEMNATUR’. ‘NUNTII IN LINGUA LATINA’ ‘IN LINGUA LATINA ET ITALICA’ ‘AUDIS’! IN UCRAINA. ‘Ucrainae infrastructuram energeticam’ ‘in Odessa et in Mykolaiv et in Zaporizhia’ ‘Russia’ ‘percussam’ ‘FUIT’. /// ‘Russiae ASSULTUS magni’ ‘contra Odessam et Kharkiv’ ‘FUERUNT’. IN EUROPA. ‘Parlamentum Europaeum’ ‘DECLARAT’ [quod ‘abortum ius humanum’ ‘EST’] (CORRIERE DELLA SERA). /// Postridie, ‘COMMISSIO Europae Conferentium Episcoporum’ ‘adversum illam declarationem’ ‘ADFIRMATUR’ (L’OSSERVATORE ROMANO). IN ITALIA. ‘STRAGES’ ‘in Bononiae electrificina hydroelectrica’ FUIT. ‘Tres mortui et quattuor vulnerati’ ‘SUNT’. /// Hypothesis: ‘TRANSFORMATURUS unus ‘EXPLOSIT’. IN COLUMBIA. ‘BOGOTA, id est Columbiae regimen’, ‘Exercitus Liberationis Nationalis conditiones’ ‘ad dialogandum’ ‘pro pace’ ‘ACCEPIT’ {De morphologia: constructionem cum gerundio, in casu accusativo ATTENDE}. IN SINIS. TRANSLATIO proxima a Valentina Suárez EST. /// Praesidens russicus Putin in Sinae sub exitum anni erit. IN SOMALIA. ‘NUFRAGIUM’ ‘in Gibito’ ‘FUIT.’ ‘Triginta octo migrantes’ ‘mortui FUERUNT’. ‘NUNTII IN LINGUA LATINA’ ‘IN LINGUA LATINA ET GALLICA’ ‘AUDIS’! IN EUROPA. ‘PARLAMENUM Europaeum’ ‘pactum novum’ ‘ad migrationem gubernandum’ ‘ADOPTAT’ {De morphologia: constructionem cum gerundio, in casu accusativo ATTENDE}. /// ‘PACTUM novum’ ‘ad adventus registrandum et conrolandum’ ‘COGET’ {De morphologia: constructionem cum gerundio, in casu accusativo ATTENDE}. IN FRANCIA. ‘Detrimenti commercialis DISCRIMEN’ ‘contra Macron’ ‘EST’. /// ‘Legis CONSILIUM de euthanasia’ ‘longum iter’ ‘HABEBIT’ [quoniam ‘mediare’ ‘inter cura palliativa et auxilium pro moribundo’ ‘DEBET’] {De syntaxe: orationem secundariam causalem, cum verbo in modo indicativo, et cum coniuctione ‘quoniam’ ATTENDE}. IN BELGIO. TRANSLATIO proxima ab Alissa Sousa EST. /// Ludos aleatorios in communitatibus pauperibus florent. Onera apud humiliores quam apud opulentiores maior est. Sector hunc publicum specialiter non intendit. /// In duo milia vicesimum tertium otium temporarium ad summum gradum pervenit. IN CIVITATE VATICANA. ‘PAPA’ ‘novum documentum [quod ‘identitatem transsexualem’ ‘CONDEMNAT’] ‘ADNUNTIANT’ {De syntaxe: orationem secundariam relativam ATTENDE}. ‘Hoc DOCUMENTUM’ ‘Dignitas infinita’ ‘TITULATUR’. IN MEXICO. ‘MEXICUM’ ‘Americae industriam armorum’ ‘APPUGNAT’. ‘NUNTII IN LINGUA LATINA’ ‘IN LINGUA LATINA ET GERMANICA’ ‘AUDIS’! IN EUROPA. ‘PARLAMENTUM Europaeum’ ‘suffragium pro migrantium asylo reformatione’ ‘FERT’. /// ‘POLONIA et HUNGARIA’ ‘hoc reformationem pro asylo’ ‘REPREHENDUNT’. IN GERMANIA. ‘BELLUM’ ‘contra abortum praeconem’ ‘INICIPIT’. ‘COMMISSIO’ ‘eliminare abortum praeconoem’ ‘PROPONIT’ (DIE WELT). /// ‘FAESER, Germaniae Administra Foederalis Rerum Internaturum,’ ‘introducere reformationem pro asylo’ ‘celeriter VULT’. IN AUSTRIA. TRANSLATIO proxima ab Alba Daniela Rodríguez EST. /// Iudicium statutum conservandi climatis ut ius humanum in Europa. Successus causae Argentorati etiam consequentias habet pro Austria. ‘NUNTII IN LINGUA LATINA’ ‘IN LINGUA LATINA ET HISPANICA’ ‘AUDIS’! IN CIVITATE VATICANA. ‘DICASTERIUM PRO DOCTRINA FIDEI’ Declarationem ‘Dignitas infinita’ de dignitate humana ‘EVULGAVIT’. IN HELVETIA. TRANSLATIO proxima a Gabrielis Netzahualcóyotl Lara EST. /// Iustitia europaea iacit exemplum damnans Helvetiam segnitiā in climatis discrimine. Tribunal Europaeus Iurum Humanorum convenit cum coetu feminarum periculis calefactionis globalis. IN MEXICO. TRANSLATIONES de Mexici nuntiis a Casandra Freire SUNT. /// Universalis damnatio Ecuador ad expeditione legationem Mexicanae est. Civitates Americae Unitae, Consociatio Americae Unitae (anglice O- A- ES) et Nationes Americanae Latinae invisum gradum excitaverunt. /// Inflatio non dat: quattuor punctum quadraginta duo centesimae in mense Martio; annum claudere in illo gradu exspectant. /// Inquisitio Superior Foederationis (in lingua Hispanica A- ES- EF) quaestionem habere de re noluit in Pemex, Comissione Federationis Electricitatis (in lingua Hispanica C- EF - E) et Tren Maya. IN BRASILIA. ‘CURIA’ ‘Representatem’ ‘Marielle interficiendi accusatum’ ‘APPREHENDIT’. Si Nuntii in Lingua Latina traductor esse VULT, quaeso littteram electronicam ad lpesquera@up.edu.mx MITTIT’. If you would like to collaborate as a translator in Nuntii in Lingua Latina, please send an email to lpesquera@up.edu.mx
Viktor Gyökeres, classe 1998, attaccante svedese dello Sporting Lisbona entra di prepotenza tra gli obiettivi di calciomercato del Milan per la prossima stagione.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/radio-rossonera--2355694/support.
"Cose di Calcio" con Antonio Paolino Ospiti: Mimmo Celsi (preparatore atletico), Massimiliano Nerozzi (Corriere della Sera), Massimo Pavan (TuttoJuve).
Le prime pagine dei principali quotidiani nazionali commentate in rassegna stampa da Davide Giacalone. La Meloni e il voto farsa in Russia, i sondaggi sulle elezioni europee. Anteprima #ilpostinfabbrica, con Gianni Brugnoli, vicepresidente di Confindustria con delega al Capitale Umano. #ilpostinfabbrica. Il Gruppo Veronesi è il primo gruppo italiano con una filiera alimentare completa e integrata che parte dalla produzione dei mangimi sino alla trasformazione e distribuzione delle carni e dei salumi. È leader in Italia nel settore delle carni suine e dei salumi e ha posizioni di vertice in tutta la filiera. Veronesi, AIA e Negroni sono i tre marchi di riferimento presenti sul mercato. Ha 8400 dipendenti e ne cerca subito almeno 50. In diretta con noi c'è Diego Piccolo, Direttore delle risorse umane del Gruppo Veronesi. Don Antonio Mazzi, fondatore della comunità Exodus, regala ogni giorno un pensiero, un suggerimento, una frase agli ascoltatori di RTL 102.5. Abbiamo parlato di famiglie, in occasione della giornata della Felicità, raccontando la storia di Davide, un collega giornalista che, pensate, ha la bellezza di 11 figli. La Giornata mondiale della felicità. Oggi al Forum di Assago arriva "Happiness on Tour" evento di cui è partner Generali. In diretta Marco Oddone, Chief Marketing & Distribution Officer di Generali. L'attualità. commentata dall'editorialista del Corriere Della Sera, Ferruccio De Bortoli. All'interno di Non Stop News, con Massimo Lo Nigro, Enrico Galletti e Giusi Legrenzi.
LA GUERRA DI ISRAELE A GAZA E LE DIFFICOLTA' DELL'ONU con Roberto Festa e un focus sulle rotte commerciali del Mar Rosso messe a rischio dagli attacchi dei ribelli yemeniti Houthi, con Andrea Greco, giornalista economico di repubblica, ha da poco pubblicato per Feltrinelli il libro “L'arma del gas. L'europa nella morsa delle guerre per l'Energia” - L'EUROPA STRINGE LE MAGLIE SUI RICHIEDENTI ASILO, LA FRANCIA INASPRISCE LA SUA LEGISLAZIONE IN MATERIA con Annalisa Camilli giornalista di Internazionale esperta di immigrazione e Francesco Giorgini corrispondente da Parigi - LA NORMA BAVAGLIO SULLA CRONACA GIUDIZIARIA con Alessandra Costante Segretaria generale FNSI e Cesare Giuzzi, cronista di nera e giudiziaria del Corriere Della Sera. In studio Lorenza Ghidini, in redazione Massimo Alberti
"Paolo Tomaselli (Corriere della Sera)" ospite a Cose di Calcio.
"Cose di Calcio" con Antonio Paolino. Ospiti: Paolo Tomaselli (Corriere della Sera), Andrea Bosco (detto tra noi) e Malu Mpasinkatu (Dir. Sportivo).
"Terzo Tempo" con Marco Spadavecchia e Giulia Borletto. Ospiti: Paolo Aicardi (pres. piccoli azionisti Juventus), Paolo Tomaselli (Corriere della Sera) e Mike Fusco (Juventibus)
Cade la Lazio in casa contro l'AZ in Conference, vittorie facili in Champions League per il Chelsea e il Benfica. Questa sera il Milan a Londra si gioca tutto contro il Tottenham di Antonio Conte, che ritorna in panchina dopo lo stop dovuto a motivi di salute. Con noi Marco Imarisio, Carlos Passerini del Corriere Della Sera e Gabriele Marcotti corrispondente del Corriere dello Sport da Londra. L'Olimpia Milano vince a Valencia per 88-84, il quinto successo di fila in EuroLeague. Ci colleghiamo con Giampaolo Ricci, per lui ieri 12 punti, uno dei migliori in campo per la squadra guidata da Ettore Messina.
Monica Colombo del Corriere Della Sera è stata nostra ospite durante il Talk. Le sue parole in vista di Torino-Milan e sul momento di De Ketelaere.
Il nostro canale Youtube: https://www.youtube.com/channel/UC1vziHBEp0gc9gAhR740fCwSostieni DENTRO LA STORIA su Patreon: https://www.patreon.com/dentrolastoriaAbbonati al canale: https://www.youtube.com/channel/UC1vziHBEp0gc9gAhR740fCw/join"Un sasso è caduto in un bicchiere colmo d'acqua e l'acqua è traboccata sulla tovaglia. Tutto qui. Solo che il bicchiere era alto centinaia di metri e il sasso era grande come una montagna e di sotto, sulla tovaglia, stavano migliaia di creature umane che non potevano difendersi."Cosi scriveva Dino Buzzati nelle colonne del Corriere Della Sera all'indomani del 9 Ottobre 1963, dopo che un'onda con 25 milioni di metri cubi d'acqua spazzo' via i paesi di Erto, Casso e Longarone. Un'onda che porto' con se 2000 anime.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/racconti-di-storia-podcast--5561307/support.
Carlos Passerini del Corriere Della Sera è stato nostro ospite durante Radio Rossonera Talk. Le sue parole su Renato Sanches e Charles De Ketelaere...
Monica Colombo del Corriere Della Sera è stata ospite durante Radio Rossonera Talk. Dalle firme di Maldini e Massara alla scelta tra Botman e Bremer.
In einem Interview mit dem „Corriere Della Sera“ hat Papst Franziskus dem Westen eine Mitverantwortung für den Krieg in der Ukraine attestiert. Demnach kann nach seiner Einschätzung das Verhalten der NATO vor den Grenzen Russland provoziert haben. Web: https://www.epochtimes.de Probeabo der Epoch Times Wochenzeitung: https://bit.ly/EpochProbeabo Twitter: https://twitter.com/EpochTimesDE YouTube: https://www.youtube.com/channel/UC81ACRSbWNgmnVSK6M1p_Ug Telegram: https://t.me/epochtimesde Gettr: https://gettr.com/user/epochtimesde Facebook: https://www.facebook.com/EpochTimesWelt/ Unseren Podcast finden Sie unter anderem auch hier: iTunes: https://podcasts.apple.com/at/podcast/etdpodcast/id1496589910 Spotify: https://open.spotify.com/show/277zmVduHgYooQyFIxPH97 Unterstützen Sie unabhängigen Journalismus: Per Paypal: http://bit.ly/SpendenEpochTimesDeutsch Per Banküberweisung (Epoch Times Europe GmbH, IBAN: DE 2110 0700 2405 2550 5400, BIC/SWIFT: DEUTDEDBBER, Verwendungszweck: Spenden) Vielen Dank! (c) 2022 Epoch Times
Cosa hanno in comune l'Hedda Gabler di Ibsen e la Julie di Rousseau? L'Ersilia Drei di Pirandello, l'Albertine di Proust e la Signora delle Camelie di Dumas?Più di ogni altra cosa, le accomuna la morte. Tutte loro, come tanti altri personaggi femminili della letteratura occidentale, hanno davanti a sé una sola strada per raggiungere la gloria: una strada ineluttabilmente chiusa da una fine drammatica. Primo episodio della nuova stagione disponibile da martedì 8 marzo in anteprima sul sito del Corriere Della Sera. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Everyone uses data, but that doesn't mean it has to stay in a static or numeric form permanently. Giorgia Lupi has been transforming data into meaningful visual versions for years. She recalls being highly analytical and creative even back when she was a child organizing items in her grandmother's tailor shop. Since then, she's co-founded Accurat, a data visualization design studio, presented a Ted talk, become a Partner at Pentagram, and more.In this episode of Reverse Engineered, Jon Penland welcomes Giorgia Lupi of Pentagram to discuss information design, her humble beginnings with a weekly newspaper column creating visual data, and how that led into her career today helping brands showcase data. As an information designer, Giorgia has a passion for finding and looking at data through the lens of how it can be better interpreted and explained to others. Giorgia uses that ability to take datasets, big or small, and transform them into stories that stakeholders care about. While data visualization has picked up a lot of steam in recent years, Giorgia's on a mission to humanize the collection and interpretation of data to be more helpful overall.Check more episodes at https://kinsta.com/podcast/