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C dans l'air du 19 mai 2025 : Trump / Poutine : un coup de fil décisif ? « Mettre fin au bain de sang ». Tel est l'enjeu, selon les mots de Trump, du coup de fil qu'il aura à seize heures (heure française) avec Poutine. Cet entretien aura lieu trois jours après l'échec, à Istanbul, des pourparlers entre Kiev et Moscou. Les premières discussions directes entre les deux pays depuis 2022 n'ont en effet pas abouti à un cessez-le-feu. Le président américain cherche donc à remettre la pression sur le chef du Kremlin pour arrêter cette guerre.Zelensky, lui, a été reçu hier en audience privée le pape Léon XIV. Dans sa messe inaugurale de son pontificat, celui-ci a évoqué une Ukraine « martyrisée » et en a appelé à une « paix juste et durable ». Plus de trois ans après le début de ce conflit, c'est donc toute la communauté internationale qui pousse aujourd'hui à la paix.Pendant ce temps, les Britanniques retendent la main aux Européens lors du sommet Royaume-Uni - UE qui se tient à Londres. Il s'agit du premier sommet de cet ordre depuis le Brexit. Il est destiné à poser les fondations d'une relation plus étroite, en particulier en matière de défense. La guerre en Ukraine, et l'instabilité engendrée par le retour de Trump, favorisent ce rapprochement.Cette défense européenne devra se concentrer sur les cyberattaques, notamment russes. De nombreuses administrations sont visées. En France, les cyberagressions russes sont quotidiennes selon un document confidentiel de la DGSI et de la DGSE qui, pour y contrer, recrutent dans la cybersécurité. Alors, sur quoi peut déboucher la discussion entre Trump et Poutine ? Quelles relations futures entre le Royaume-Uni et l'Europe ? Comment se protéger des cyberattaques ?LES EXPERTS :Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique pour Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-UnisÉditorialiste à Ouest France Jean-Dominique GIULIANI - Président de la Fondation Robert Schuman, auteur de « Européen sans complexe » Paul GOGO – Journaliste, ancien correspondant à MoscouPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Vol d'ordinateurs, menace nucléaire, pannes électriques, espionnage à Polytechnique... La Russie agresse quotidiennement la France selon un document confidentiel de la DGSI et de la DGSE. Tristan Mendès-France, essayiste, expert en réseaux sociaux et nouveaux usages numériques est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vol d'ordinateurs, menace nucléaire, pannes électriques, espionnage à Polytechnique... La Russie agresse quotidiennement la France selon un document confidentiel de la DGSI et de la DGSE. Tristan Mendès-France, essayiste, expert en réseaux sociaux et nouveaux usages numériques est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vol d'ordinateurs, menace nucléaire, pannes électriques, espionnage à Polytechnique... La Russie agresse quotidiennement la France selon un document confidentiel de la DGSI et de la DGSE. Tristan Mendès-France, essayiste, expert en réseaux sociaux et nouveaux usages numériques est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vol d'ordinateurs, menace nucléaire, pannes électriques, espionnage à Polytechnique... La Russie agresse quotidiennement la France selon un document confidentiel de la DGSI et de la DGSE. Tristan Mendès-France, essayiste, expert en réseaux sociaux et nouveaux usages numériques est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 10 juillet 1985, entre 23h48 et 23h51, deux explosions retentissent dans le port d'Auckland, en Nouvelle-Zélande. Ce que l'on qualifie immédiatement d'attentat fait un mort. Un photographe, militant écologiste du nom de Fernando Pereira. Il n'était pas personnellement visé. La véritable cible est un bateau de Greenpeace, le Rainbow Warrior. Arrivé en Nouvelle-Zélande quelques jours auparavant pour un ravitaillement, cet ancien chalutier, désormais fer de lance de la lutte contre les lobbies destructeurs de la planète, dérange. Quelques hauts dirigeants français considèrent même son équipage comme dangereux. Des agents de la DGSE sont envoyés sur place pour une mission de neutralisation. Les préparatifs de ce plan « diabolique » se sont faits dans le plus grand secret.
Le 10 juillet 1985, entre 23h48 et 23h51, deux explosions retentissent dans le port d'Auckland, en Nouvelle-Zélande. Ce que l'on qualifie immédiatement d'attentat fait un mort. Un photographe, militant écologiste du nom de Fernando Pereira. Il n'était pas personnellement visé. La véritable cible est un bateau de Greenpeace, le Rainbow Warrior. Arrivé en Nouvelle-Zélande quelques jours auparavant pour un ravitaillement, cet ancien chalutier, désormais fer de lance de la lutte contre les lobbies destructeurs de la planète, dérange. Quelques hauts dirigeants français considèrent même son équipage comme dangereux. Des agents de la DGSE sont envoyés sur place pour une mission de neutralisation. Les préparatifs de ce plan « diabolique » se sont faits dans le plus grand secret.
durée : 00:38:13 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La suspension du partage de renseignements avec l'Ukraine par les États-Unis a semé le doute en Europe. Face à une alliance devenue incertaine, l'Union peut-elle vraiment se passer du soutien américain en matière de renseignement ? - réalisation : François Richer - invités : Philippe Hayez Haut fonctionnaire, ancien Directeur de la DGSE, professeur sur le renseignement à Sciences Po Paris; Maud Quessard Directrice du domaine Europe, Espace Atlantique Russie à l'IRSEM et co-dirige l'Observatoire de la politique extérieure américaine (OPEXAM); Serge Cholley Professeur à Sciences Po Aix. Ancien haut responsable au sein du ministère des Armées.
durée : 00:38:13 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - La suspension du partage de renseignements avec l'Ukraine par les États-Unis a semé le doute en Europe. Face à une alliance devenue incertaine, l'Union peut-elle vraiment se passer du soutien américain en matière de renseignement ? - réalisation : François Richer - invités : Philippe Hayez Haut fonctionnaire, ancien Directeur de la DGSE, professeur sur le renseignement à Sciences Po Paris; Maud Quessard Directrice du domaine Europe, Espace Atlantique Russie à l'IRSEM et co-dirige l'Observatoire de la politique extérieure américaine (OPEXAM); Serge Cholley Professeur à Sciences Po Aix. Ancien haut responsable au sein du ministère des Armées.
Phantom Quartz, 12min., France Directed by Marc DAVID Nolan Le, a former DGSE agent, aspires to lead an ordinary life with his daughter after several years of service, but fate intervened differently. Interview with Alexandre VU (Writer/Actor) and Marc DAVID (Director) Subscribe to the podcast: https://twitter.com/wildsoundpod https://www.instagram.com/wildsoundpod/ https://www.facebook.com/wildsoundpod
Voici l'émission du 17 Mars avec Clémence Houdiakova, au programme :2:30 Trump menace de taxer le champagne à 200% !
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Écrivaine et réalisatrice de documentaires sur la Shoah, Chochana Boukhobza a enquêté durant sept ans sur la déportation des femmes à Auschwitz-Birkenau, créé en mars 1942. Longtemps, leur internement dans ce camp s'est confondu avec celui, tout aussi tragique, des hommes. S'appuyant sur les témoignages des survivantes et à partir des minutes des procès des SS de l'après-guerre, l'auteure reconstitue l'organisation spécifique de Birkenau et redonne vie, dans un récit choral, aux prisonnières venues de toute l'Europe occupée. Pour l'essentiel juives, elles sont aussi catholiques, protestantes, agnostiques ou encore tziganes ; certaines d'entre elles ont été arrêtées pour des faits de Résistance, mais la plupart ne savaient pas ce qui les attendait. Toutes celles qui ont échappé à l'extermination seront soumises à un travail forcé implacable... Passé la sidération, des réactions se font jour contre le système carcéral, bureaucratique et criminel qui les écrase. Comme ces secrétaires, par exemple, qui tentèrent de sauver des femmes du gazage ou ces doctoresses qui refusèrent de participer aux expérimentations des médecins SS. Et si un four crématoire a explosé le 7 octobre 1944, ce fut aussi grâce à elles... Dans l'adversité, les femmes d'Auschwitz furent sans défense, mais elles se montrèrent courageuses, audacieuses, héroïques. Ce récit dédié à leur mémoire est un hymne à la solidarité et à la liberté, qui s'exprimèrent envers et contre tout.Chochana Boukhobza était notre invitée, en studio, et en vidéo sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=3KYgs4Pxsjo&t=2533s
Voici l'émission du 3 Mars avec Clémence Houdiakova, au programme :2:30 Affaire Epstein : l'Etat profond fait de la résistance !
Vous écoutez le podcast "Les interviews Histoire", notre émission hebdomadaire gratuite pour tous. Abonnez-vous à "5.000 ans d'Histoire" et accédez à environ 350 podcasts d'1 heure pour seulement 2€ par mois sans Pub ! Avec une nouvelle émission chaque semaine : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo À travers les portraits de six femmes aux destins hors du commun, Marie-Laure Buisson, notre invitée, nous plonge dans l'univers des services secrets des plus grandes puissances du monde, du xxe siècle à nos jours.Comment Sonya, espionne communiste allemande, a-t-elle aidé Staline à élaborer la bombe atomique soviétique ? Qu'est-ce qui a poussé la Sud-Africaine Sylvia à rejoindre le Mossad et à traquer Ali Salameh, le chef du groupe Septembre noir, responsable du sanglant attentat de Munich aux jeux Olympiques de 1972 ? Pourquoi Kim Hyun-hee, agent secret au service du redoutable dictateur Kim Il-sung, a-t-elle fait exploser un avion sud-coréen en 1987 ? Qu'est-ce qui a incité Amaryllis, à vingt ans, à suivre la trace de marchands d'armes nucléaires en Asie pour le compte de la CIA ? Plus près de nous, comment Justine, agent des services intérieurs français de la DGSI, piste-t-elle les terroristes islamistes d'Al-Qaïda, de Bali jusqu'en Afghanistan ? Et avec quels moyens Christine poursuit-elle des trafiquants de toutes sortes dans le golfe d'Aden, tout en empêchant un État hostile à la France de recruter un savant susceptible de nuire à ses intérêts ?Marie-Laure Buisson était notre invitée en partenariat avec le Salon du Livre d'Histoire de Versailles (2024)
The Lowest Moral Denominator.By FinalStand. Listen to the Podcast at Explicit Novels.Those who declare war are willing to kill as many as it takes to reach their goal.(The Lowest Moral Denominator)My first week at Havenstone, I'd biked to work alone on most days and I'd enjoyed that. I'd have treasure it more if I had glimpsed my future. I loved people, not crowds. I knew about violence, yet I had no affection for it. I was a confirmed bachelor. Now I was staring down both barrels of marriage. I had had also become a walking arsenal with a lethal omnipresent entourage.This situation was so fucked up that I had to stop by Caitlin's place just to see Aya. My favorite sprite gave me a hug and reminded me that I had to do what I could, not worry about what I couldn't do. She was my 9 year old Svengali. She was my little Valkyrie. In truth, she was the only woman knew I loved and that was the love of a father for his daughter.On the elevator ride up to the penthouse suite of the Midtown Hilton, I thought about Dad. What would Ferko Nyilas do in my shoes? It would be easy for someone who didn't know him to imagine my dad getting up on his high moral horse and telling me to just do the right thing, except that wasn't him. What he'd tell me was to not pass the buck. I had to deal with this, unless I knew someone else who could and would do it better.It wasn't about 'being a man'; it was being a member of the Human Race. We all pitched in and got the job done, or it didn't get done, and millions died because we refused to accept any responsibility for what was going on. That was my Dad, 'do what you can' and 'never be afraid to ask for help if you need it'. After the age of ten, he never told me I had to do anything. He'd tell me what needed to be done and leave it at that.So I wouldn't forget the pictures I knew I'd be seeing before too long, the innocent dead. If the sorrow broke me, it broke me. Until it did, I could not turn away. I had to 'do what I could'. That put me heading to a meeting at three o'clock in the afternoon in the penthouse suite.After my non-breakfast with Iskender, we had driven straight to Havenstone, where I demanded an immediate, private meeting with Katrina. This wasn't an info-dump and then out the door. No, I was part of the process now, one of those fools who were responsible for the lives of others. Katrina and I had argued about compartmentalizing my terrifying news.Her reasoning was clear. We were at war with the Seven Pillars. The basis of the 7P strength was China, so anything bad that happened to China was good for the Amazon Host. I nixed that. It was Katrina's job to think about our security. It was mine to juggle how we related to the rest of the planet. Absent the Golden Mare's opposition, Katrina couldn't stop me from doing my job as I saw fit.The Golden Mare was out of immediate contact, so we moved forward on my proposal. Katrina called Javiera, validated Vincent's call, and then suggested she bring in someone from the United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID) at Ft. Detrick. Katrina wouldn't tell her why.I dispatched Delilah to talk to her MI-6 guy while I made my way to Nicole Lawless's law offices. I need to talk to my Aunts. An hour later, I dismissed a somewhat piqued Nicole from the room, then laid out the upcoming crisis to my Mom's clones. I hesitated a minute before dropping the other bomb, Grandpa Cáel was back.Was I sure? I countered with, "Do you know who Shammuramat was?"Why, yes they did; Grandpa had a bust of her in his main office."Well, she's back, in the flesh and that spells all kinds of problems".The six aunts present agreed. They invited me to fly to Europe with five of them. Much to their surprise and joy, I agreed. I told them I would be a party of twelve with plenty of firepower. They were less pleased about that.I exited that scene, only to engage in another, somewhat unrelated, bit of diplomacy. I met with Brooke and Libra for lunch. They brought Casper, who was seeing a specialist in New York and had expressed an interest in seeing me again. Into that volatile mix, I placed my request: 'Could Brooke put up a friend for a couple of weeks while I made other arrangements?'Yes, this was a 'bizarre' friend. Yes, this was a violently bizarre friend. Yes, she walked around with enough weaponry to scare a seasoned SWAT officer. And yes, she was a mass murderer. Cool,, if I agreed to stop by and see how this 'friend' was doing, and gave Libra advance notice too, then they were fine with it.Thus Shammuramat, Sakuniyas, Saku became Brooke's roommate. Insane? Not really. Putting Saku inside Havenstone on a regular basis was going to result in a blood bath. Saku was abrasive and she was a criminal in the minds of her 'sisters'. This gave her an 'out', some space and time with a civilized person who she couldn't emotionally bowl over.If Saku got physical with Brooke, we both understood that House Ishara was going to cancel her return performance. Amazons could defend themselves, so we were fair game for her rude behavior. Brooke couldn't, so she was hopefully out of bounds. Saku had agreed to the arrangement without comment.She'd already figured out that no other Amazons wanted her around and there simply wasn't room at my place. With that chore done, I was able to see Miyako off before her flight to Tokyo by way of Seattle. Selena was with her, but not going. Miyako did have three Amazons in case things got rough.The Marda House guard woman looked mature and humorless. Her age wasn't a problem. She was a grandmother, yet if she thought she couldn't keep up, she'd have taken herself to the cliffs before now. It turned out she had been in Executive Services before returning to House Marda. My diplomat, I didn't know her, but she seemed eager enough. The member of House Ishara was a brand new recruit named Jenna.She was from Acquisitions and spoke seven Asian languages, including Japanese. She looked absolutely thrilled to be heading off into danger. I instructed the younger two to obey the Mardan. In private, I 'advised' the Mardan that our main mission was to be of aid to the ninja. Information gathering would be secondary. More Amazons were on the way. She gave me a nod.For this critical mid-afternoon meeting at the Midtown Hilton, Wiesława lead the way off the elevator. Buffy went next, then me and finally Saku. Delilah and Vincent had already arrived with their appropriate factions. Katrina took a separate elevator, with Elsa and Desiree. Pamela was, somewhere. After she'd pointed out a half-dozen people from four different agencies in the lobby, she told me to not wait while she went to the bathroom.At the door of the Penthouse were two familiar faces from the NYPD, Nikita Kutuzov and her partner, Skylar Montero. When Javiera's investigation followed me to New York, they had been drafted into the taskforce."Hey ladies," I smiled. My last meeting with Nikita hadn't gone well."Cáel," Nikita smiled back. "How have you been?""More trouble than normal," I shook her hand."We can tell," Skylar relaxed somewhat. As Nikita's partner, she had to know that our relationship had soured when she started investigating me. Katrina's group came up."I think you are the last to arrive," Nikita informed us. This time, Desiree was the first one through the door. I could hear the conversation trail off. Wiesława went next, then Katrina, me, Buffy, Saku and finally Elsa. I decided to toss 'civilized' behavior out the window seconds after entering. Virginia Maddox of the FBI, the initiator of the Amazon children's airlift, was here.I hugged her and after a moment, she hugged me back."Priya says hey and," she blushed slightly, "she's counting the days, all forty-five of them.""Don't forget, I owe you," I grinned then patted her shoulder. Javiera was next."Cáel," she headed my familiarity off. She was a Federal Prosecutor after all."This is the head of this taskforce, Jonas Baker (deep breath) Associate Deputy Undersecretary of Analysis for Homeland Security {ADUAHS} (deep breath)." I extended my hand, so he shook it. He looked somewhat annoyed by this whole encounter. Javiera was duly nervous because of his poor initial attitude. The introductions went around.Half way through it, Pamela showed up, from where, I didn't know. Delilah, her MI-6 boss and the British professional killer Chaz were there, much to the chagrin of the Americans. Vincent was there with Javiera. Cresky was representing the CIA plus there was ATF, ICE, Riki Martin (?) from the State Department and a man in a civil servant's salary suit and a military demeanor, Captain Moe Mistriano."Fine," Mr. Baker began. "I hope you aren't wasting our time." His gaze flicked between Katrina and me."May the Blessed Isis bring understanding to our meeting," I intoned, in old Egyptian."What was that?" Baker turned on me."Praying for guidance," I replied. Isis wasn't in the Amazon pantheon, but I could sure use her help at this point. Baker was going from put-out to pissed-off. If that is how they wanted to play it, their choice. "Are you the specialist from Ft. Detrick?" I asked the Captain."Yes, I am and I hope this is worth my time as well," he gave me a steady gaze. Oh, I really needed that."Anthrax, China," I stated and weighed his response. Oh yeah, I had his attention now, which meant his bio-warfare unit had some idea about what was happening in China."Care to enlighten me?" Baker inquired. He had gauged his medical expert's reactions as well and he didn't like what the biological warfare specialist was not saying."Mr. Baker," the Captain decided to go first. "Roughly fifty-five hours ago, we got wind that there was a massive Anthrax outbreak in Western China. Xinjiang, Qinghai, Gansu, Ningxia and Nei Mongol administrative regions have all reported outbreaks."Holy Shit!" Riki Martin gasped. Her dark, whip-like, Hispanic features noticeably paled."That sounds suspiciously like bio-terrorism," Jonas Baker turned on me."You'd be right about that," I refused to evade. "It is and it is about to get a whole lot worse.""The PRC has a robust vaccine program," the Captain stated. "That is why they aren't making a public stink about it. They have the problem well under control.""Damn, " I closed my eyes and lowered my head. In some deep section of my mind, I had fanned the feeble flames of hope that somehow, the Earth and Sky program had derailed. "That is the 'whole lot worse' I was talking about. The terrorists aren't terrorists. They, ""What do you mean they are not terrorists," Baker snapped. "They, ""Shut up and let the man speak," Katrina said calmly."Who are you again?" he glared at Katrina. "If you aren't part of the solution, you are part of the problem and I'm here to make sure this problem is dealt with. I am not here to play footsie with you. I am going to be asking some tough questions and you had better answer them.""I'm Cáel's boss," Katrina smiled. "Since we came here to help you and you don't want to let us speak, we are leaving. Cáel."The Amazons didn't turn and leave. No, we backed up toward the door."You can't start talking about an ongoing terrorist threat and then walk out the door," Baker argued."Javiera, I apologize," I looked her way. "Mr. Baker, Javiera's a smart cookie. I'm sure she's given you every bit of information that has come across her desk. That means you know we consider ourselves an independent nation-state without borders. You can't intimidate us. We feel no obligation to obey your legal system and we operate internationally," I kept going."Now, as we are trying to repay Javiera's kindness in our time of need, you are treating us like criminals currying favors. Blow it out your ass, you pompous bureaucrat" I concluded. "We aren't the problem here.""If that's the way you want it," he shrugged. "Javiera, arrest them." Pause."Sir, you do realize that if I give that order, there is a good likelihood they will resist with force?" Javiera replied calmly. Baker looked around the room."We outnumber them and these are law enforcement officers," he insisted. "Now, ""I wouldn't count on that 'outnumbered' thing," Delilah chimed in.Chaz and MI-6 dude didn't seem to be onboard with his plan. "I have reason to believe Cáel has information on a highly virulent weaponized Anthrax program. If our US allies aren't interested, Her Majesty's government certainly will be." That did interest the MI-6 senior officer."That is all the more reason to put these people into federal custody," Baker stated."Then what, Mr. Associate Deputy?" Chaz said. "Are you going to torture them for time sensitive data? In my military service, I've met some truly hard characters. Some people you can put a gun to their child's head and they'll tell you what you want to know. Not this group. They'll memorize your face and wait for a chance to make you pay, whether you kill the kid, or not.""That's my read on them as well," Agent Vincent Loire added."Mr. Baker, I worked under you when we were both in Counter-terrorism," Virginia spoke up. "I think you are mishandling this. Invoke the Patriot Act and all we get is a roomful of statues. I've fought beside these, Amazons and I'm reaffirming my report to Ms. Castello (Javiera), they do not believe their behavior is wrong.At some point in their fifties, they commit ritual suicide. They make their twelve year old daughters fight for their lives. They murder their male infants. Sir, they are an alien society, indoctrinated at birth to believe they are spiritual inheritors of the ancient Amazons mentioned by Homer during the time of the Iliad.They fanatically believe in a pantheon of goddesses and possess very little inclination for integration. They think they are superior to everyone in this room, except for Cáel, he's an oddity," Virginia pleaded."That legion of crimes is yet another reason to arrest them," Baker just wouldn't give up."What you have described, Agent Maddox is a right wing nut cult, like the Branch-Davidians at Waco. Arrest them.""What are the charges?" Javiera's face blanked out."Conspiracy to commit terrorist acts; aiding and abetting an international terrorist organization," Baker snapped."Everyone, put down your firearms and blades," Katrina ordered. I didn't have the status to give that order except to my own. For that matter,"Team, disarm," Elsa commanded her Security Detail people. Technically, Katrina couldn't order those girls to forego their primary mission, defend the Host. Out came the guns.The group of us went over to one wall, put our backs to it and sat down. Pro forma, Virginia, Vincent and the ATF guy drew their firearms. By this time, both Riki and the Captain looked ready to explode."Tell us what you know about this terrorist conspiracy and, " Baker said."We invoke our Right to Council," I raised my hand."You are being charged under the Patriot Act, smart-ass," Baker sneered. "We can hold you indefinitely if we can show a risk to National Security, such as a terrorist attack in China.""I apologize for dragging you into this," I turned to Katrina. "You too, Saku." Saku shrugged."I told you there is no benefit in helping 'these people'," Katrina comforted me. She meant non-Amazons and it was rather sad that it was looking like she was right and I was wrong."Unless you want to grow old and grey in Guantanamo, I suggest you start talking now," Baker threatened.There was no bravado on our part. We didn't zone out, or ignore him. We looked at him the same way we would a yappy dog while continuing to scan the room. Being disarmed didn't make us defenseless. It merely limited our options."Sir," Riki tapped Baker."If the People's Republic of China finds out we withheld details of a terrorist attack on their soil, that would be BAD, with a capital 'B'.""I have to call this in," the Captain shook his head."Wait until we have active intelligence," Baker said. The Captain completed his call."I don't work for you, Sir. I work for the Department of Defense and that man," the Captain pointed at me, "strung two words together he shouldn't have. Now, I don't know any of you people. I was told to come here, so here I am. I do know, Sir, that you are ignoring the advice from your experts about the expected results of standard interrogation techniques.You are acting on two assumptions which I find to be fictitious," the Captain was clearly furious. "First, you seem to think this won't get out, and you are wrong. Why? We have no idea who these people have talked with. We can only believe that any person outside of their organization can use that revelation for their own ends. Secondly, you haven't grasped the extent of the emergency.Chinese citizens are already starting to drop dead as we speak. This variant of Anthrax is highly contagious, fast-acting, and appears to be incredibly fatal. No nation on Earth has enough Anthrax vaccine on hand to protect their entire population, and that still implies that the vaccines we currently have will work on this new bacteria. Need I go on?"Then Captain Mistriano went back to talking softly with his companions back at Ft. Detrick. The MI-6 chief made his own call. This was his job after all. Before Baker could even start to threaten the Brit, Delilah and Chaz had their guns out, though pointed down. The US law enforcement operatives were far more leery of challenging agents of a friendly foreign power."I will make sure to tack on charges for all those deaths you are facilitating," Baker piled it on. "The US government might find it necessary to send you to the People's Republic of China to face charges there. After all, you claim to not be US citizens." None of us responded verbally. We looked at him. We certainly heard him speak, but his '
Dans ce nouvel entretien fauteuil, nous recevons Alain Juillet, ancien directeur du Renseignement extérieur au sein de la DGSE. Il a pu nous dévoiler son analyse sur les risques qui planent sur notre pays, l'islamisation de la société française, ainsi que la déclassification par Donald Trump des dossiers secrets de la CIA concernant l'assassinat du président Kennedy. Soutenez-nous sur frontieresmedia.fr et frontieresmedia.fr !
durée : 01:49:02 - Les Grandes Traversées - par : Amaury Chardeau - En 1939, la guerre vient d'éclater et Alan Turing, jeune mathématicien britannique sorti de Cambridge, rejoint Bletchley Park où, dans le plus grand secret, les Britanniques tentent de percer les communications ennemies. - réalisation : Yvon Croizier - invités : François Kersaudy Historien; Bruno Fuligni Historien et essayiste; Andrew Hodges Mathématicien et auteur, en 1983, de la première biographie d'Alan Turing; Jean Lassègue Philosophe et épistémologue, chargé de recherche CNRS et membre statutaire du LIAS (LInguistique Anthropologique et Sociolinguistique).; Arnaud Delalande Écrivain et scénariste; Cédric Villani Mathématicien français et ancien député, médaillé Fields en 2010; Pierre Mounier-Kuhn Historien, chercheur au CNRS et à l'Université Paris-Sorbonne; David Kenyon Historien à Bletchley Park; Anastasia Christophilopoulou Conservatrice au Fitzwilliam Museum de Cambridge; Dermot Turing Juriste et expert en histoire du décodage, neveu d'Alan Turing; Nadine (le prénom a été modifié) Historienne à la DGSE; Elliot (le prénom a été modifié) Cryptanalyste à la DGSE
durée : 01:49:02 - Les Grandes Traversées - par : Amaury Chardeau - "Très rapidement, il est tombé dans l'oubli, jusqu'à ce qu'on le réveille, comme Blanche-Neige, par un baiser. Cinquante ans plus tard, le monde reconnait enfin le grand penseur qu'il fut" David Lagercrantz - réalisation : Yvon Croizier - invités : Laurent Lemire Journaliste; Andrew Hodges Mathématicien et auteur, en 1983, de la première biographie d'Alan Turing; Anastasia Christophilopoulou Conservatrice au Fitzwilliam Museum de Cambridge; Dermot Turing Juriste et expert en histoire du décodage, neveu d'Alan Turing; Arnaud Delalande Écrivain et scénariste; Jonathan Swinton Chercheur en histoire des mathématiques et des théories biologiques à Manchester; David Lagercrantz Écrivain; Nadine (le prénom a été modifié) Historienne à la DGSE; Pierre Mounier-Kuhn Historien, chercheur au CNRS et à l'Université Paris-Sorbonne; James Sumner Historien des technologies à l'université de Manchester; Bill Burgwinkle Professeur de littérature française au King's College de Cambridge; Jean Lassègue Philosophe et épistémologue, chargé de recherche CNRS et membre statutaire du LIAS (LInguistique Anthropologique et Sociolinguistique).; Jean-Gabriel Ganascia Professeur d'informatique à la faculté des sciences de Sorbonne Université et membre senior de l'Institut Universitaire de France; Cédric Villani Mathématicien français et ancien député, médaillé Fields en 2010; Olivier Bousquet Directeur de recherches en Intelligence Artificielle chez Google; Gérard Berry Informaticien, Professeur au Collège de France, membre de l'Académie des sciences; Siri Hustvedt Écrivaine et essayiste; Jean-François Peyret Metteur en scène; Eva Navarro-Lopez Chercheuse en informatique à Manchester; Rodolphe Burger Compositeur, guitariste et chanteur français
Producteur franco-américain, Alex Berger a produit des centaines de programmes en tous genres : films, séries, clips, pubs…Son objectif : s'inspirer des modèles américains, et rendre la production audiovisuelle efficace grâce au rôle du 'showrunner' encore méconnu en France, et en plaçant l'écriture au centre du processus créatif.En 2008, il s'associe avec le réalisateur Eric Rochant pour fonder TOP-The Originals Productions.Ensemble, ils créent Le Bureau des Légendes, l'une des plus belles réussites françaises et la plus grosse vente des séries non-anglaises sur iTunes. C'est aujourd'hui encore la première franchise du groupe Canal+.La série a atteint les 120 millions de CA, comment ? En s'exportant et en multipliant les produits dérivés par la force de la propriété intellectuelle.Le “cœur concept” se base sur un agent du département le plus secret de la DGSE qui tombe amoureux d'une femme sous sa faute identité.Le réalisme des épisodes va jusqu'à séduire le directeur de la CIA.Dans cet épisode, Alex décortique les clés qui ont fait le succès de cette série et de ses autres projets audiovisuels :Comment faire un lancement de série réussi : le PMDC (Promo, Marketing, Digital, Comm)Les secrets pour être aussi efficaces que les AméricainsL'histoire folle du Bureau des légendes avec la DGSE et l'importance du “cœur concept”Comment s'exporter aux US sans perdre son IP (propriété intellectuelle)La méthode pour utiliser la puissance du storytelling et de la technologieComment trouver des financementsTIMELINE:00:00:00 : Le producteur français le plus américain00:18:23 : Ne plus jamais rater ses lancements avec le PMDC : promo, marketing, digital et comm00:31:52 : Pourquoi les américains sont plus efficaces que nous00:44:17 : Partir de zéro : la méthode pour réussir en 202500:54:35 : Comment trouver les financements pour la production : titrisation et “Other people's money”01:12:15 : Vendre la série à l'étranger et faire un raz-de-marée01:22:13 : L'histoire folle du Bureau des légendes avec la DGSE01:40:29 : Quand une série prophétise la réalité (attentats et difficulté du métier d'espion)01:56:17 : Utiliser la puissance du storytelling et de la technologie02:13:19 : L'enjeu de la propriété intellectuelle et l'exportation du concept aux US (The Agency)02:36:30 : La Maison : la réalité derrière les grandes familles du luxe02:50:25 : "You are what you watch" : l'influence de la fictionLes anciens épisodes de GDIY mentionnés :#400 - Arthur - Pirate de la radio, bouffon de la télé, roi du PAF#422 - Inoxtag - Vidéaste - Casser YouTube et rebattre les cartes de l'audiovisuel#233 - Pierre-Antoine Capton - Mediawan - Culot, audace et ambition pour mettre l'audiovisuel à ses pieds#429 - Nicolas Dessaigne - Y Combinator - Le berceau des futurs géants de la tech#437 - James Dyson - Dyson - “Failure is more exciting than success”#320 - Michael Horvath - Strava - You are what you do every dayNous avons parlé de :Le Bureau des légendesTOP - The Originals GroupL'organisation de la production chez TOPFederation StudioLa Maison (série)Éric Rochand (réalisateur)Les Patriotes (film)Black Doves (série)The Agency (serie)Décret SMADThe West Wing : à la Maison-Blanche (série)Les recommandations de lecture : Power PatateTechnopolitiqueYou Are What You WatchLes MouettesVous pouvez contacter Alex sur Linkedin, Instagram, et Facebook.La musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.
« La France et l'Algérie doivent refonder leur relation », a déclaré, mardi 21 janvier, le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu, qui a regretté « les dérives actuelles du gouvernement algérien ». Mais comment réconcilier deux pays qui sont au bord de la rupture diplomatique depuis six mois ? La réponse d'Akram Belkaïd, qui a été chroniqueur au Quotidien d'Oran, et qui est aujourd'hui rédacteur en chef au Monde diplomatique, à Paris. Il livre son analyse au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : La discrète visite à Alger la semaine dernière du patron de la DGSE, c'est-à-dire des services secrets français, est-ce que c'est le signe que l'escalade entre Paris et Alger est en train de s'arrêter ? Akram Belkaïd : Alors, je ne sais pas si l'escalade s'arrête. C'est au moins un signe de pragmatisme entre les deux parties. Parce que quel que soit l'état des relations, l'actualité fait que les pays ont besoin de se parler. Les services secrets ont besoin de se parler. Je pense au Proche-Orient notamment, les désordres qui naissent de la chute du régime de Monsieur Bachar el-Assad. Une vraie question.Beaucoup craignent, depuis la Syrie, le retour en France ou en Algérie de plusieurs dizaines de jihadistes franco-algériens. Est-ce que c'est un sujet d'inquiétude que peuvent partager Alger et Paris ? Paradoxalement, c'est un sujet très peu évoqué par les médias dans les deux pays. On sait très bien que l'actuelle situation en Syrie est absolument incertaine. Il se pourrait que le nouveau régime décide de libérer ces personnes détenues. Donc effectivement, il y a une nécessité pour les autorités algériennes comme pour les autorités françaises de continuer à regarder ça de près.Alors, cette guerre froide entre Paris et Alger depuis six mois, tout est parti de la reconnaissance par la France de la marocanité du Sahara, c'était en juillet dernier. Aussitôt, l'Algérie a arrêté toute coopération économique et commerciale avec la France. Et puis, au mois de novembre, elle a arrêté l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal. Jusqu'où Alger peut-il aller dans sa politique de représailles contre Paris ? C'est la vraie question. On parle de deux pays qui ont des liens importants. Il y a un va-et-vient constant de la population malgré les questions de visa. Vous avez un certain nombre d'entreprises françaises, de petites PME qui réalisent une partie de leur chiffre d'affaires conséquent en Algérie. Donc, effectivement, on se demande si on va malheureusement ou pas vers la rupture des relations diplomatiques, qui serait vraiment dommageable pour des dizaines de milliers de gens qui assistent impuissants à cette dérive.Je pense que, en fait, on est dans une séquence qui est bien plus ancienne, qui est le résultat de l'incapacité des deux régimes, Alger comme Paris depuis au moins une vingtaine d'années, depuis le milieu de la présidence de Jacques Chirac, une incapacité à penser le XXIᵉ siècle commun et à imaginer ce que pourraient être les relations franco-algériennes. C'est-à-dire que ces relations mériteraient un vrai travail de réflexion, une vraie stratégie, et pas simplement ce que j'appelle des ornements mémoriaux, de la discussion sur la mémoire, sur la guerre d'Algérie, alors qu'en fait, il y a tout un ensemble de choses qui auraient pu être abordées. Ça avait été esquissé entre Chirac et Bouteflika, ça n'a pas été fait pour diverses raisons et je crois que, depuis cette époque, ces deux pays se cherchent une table et un langage commun qu'ils n'arrivent pas à trouver. Ça crée des impatiences de part et d'autre. Et j'ajouterais aussi qu'il y a des réseaux d'amitié qui ont disparu. Il y a des personnalités consensuelles des deux côtés de la Méditerranée, qui ne sont plus là, qui ont disparu. Donc il y a tout ce travail souterrain qui a été fait dans le passé, qui consistait à arranger les problèmes, à trouver des solutions. Tout cela s'est érodé au fil du temps et on voit bien qu'il y a un vide aujourd'hui, que la relation franco-algérienne institutionnelle est caractérisée par un vide sidérant, parce que les deux parties n'ont pas réfléchi à la manière dont elles pourraient le combler.Il y a quelques semaines, le gouvernement algérien a renvoyé un influenceur algérien qui venait d'être expulsé du territoire français pour avoir appelé à tuer un opposant au régime d'Abdelmadjid Tebboune. Bruno Retailleau, le ministre français de l'Intérieur, a aussitôt accusé l'Algérie de vouloir humilier la France. Est-ce que vous craignez des mesures de rétorsion de la part de Paris ? Il est clair que cet influenceur, qui vit en France, mais qui professe des discours anti-français, c'est totalement paradoxal et inadmissible. J'ajoute que c'est très étonnant aussi de voir le gouvernement français se réveiller aussi tard. Il aurait fallu sévir bien plus tôt, mais de là à parler d'humiliation, on voit bien que c'est juste un jeu de ping-pong entre les deux, ce sera à celui qui embêtera le plus l'autre. Et on se demande à quel point cette crise est instrumentalisée à des fins de politique intérieure française ou à des fins de politique intérieure algérienne. Mais encore une fois, il ne faut pas se tromper, ça continuera, on aura d'autres soucis. Et indépendamment de la question du Maroc, il y a le refus, en tout cas l'incapacité des deux capitales à essayer de trouver un acte fondateur d'une redéfinition de ce que seraient les relations franco-algériennes. Et tant que ce ne sera pas fait, on continuera à avoir des crises à répétition entre Paris et Alger.À lire aussiLe chef de la diplomatie française «prêt à aller à Alger pour échanger avec les autorités»
durée : 00:26:01 - Le Feuilleton - Dans les relations entre le KGB, la DGSE et la CIA, le jeu de dupes atteint son paroxysme. Rien n'est ce qu'il paraît. Après avoir eu accès au saint des saints, l'agente secrète Alpine est forcée de faire un choix qui provoquera le chaos.
Les récents propos d'Emmanuel Macron sur « l'ingratitude » de certains dirigeants africains envers la France, passent décidément mal sur le continent…« Après le gouvernement tchadien et le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko, c'est au tour du Burkina Faso de réagir, pointe Jeune Afrique. Lundi, le capitaine Ibrahim Traoré, au pouvoir à Ouagadougou, a, lui aussi, exprimé sa colère et affirmé que le président français avait “insulté tous les Africains. Voilà comment ce monsieur voit l'Afrique, voit les Africains, a-t-il poursuivi. Nous ne sommes pas des humains à ses yeux“. Cette réaction du président putschiste intervient dans un contexte tendu entre la France et les pays de l'Alliance des États du Sahel, Mali, Niger et Burkina Faso, relève encore le site panafricain. Les militaires à leurs têtes, aux discours souverainistes et nationalistes, ont réclamé le départ de l'armée française de leurs territoires respectifs ».Réaction « au quart de tour »Le quotidien Aujourd'hui à Ouaga approuve la sortie du capitaine Ibrahim Traoré : « celui qui, depuis 2 ans, essaie de tracer un autre chemin pour le Burkina, en compagnonnage avec le Mali et le Niger, deux pays animés par la même dynamique et dirigés également par des militaires, IB a donc réagi au quart de tour à ce verbatim du président français. Explications à l'appui ! La France doit son existence aux ancêtres africains. Haro également, souligne Aujourd'hui, sur les conseillers militaires tapis dans les enclaves diplomatiques et plus dangereux que les militaires dans les camps et haro sur ces fermetures de bases militaires, sans dénonciation des Accords de défense. Foi de IB ! Et il appelle à un réveil conséquent des peuples africains. Si ce n'est pas du Lumumbisme ou du sankarisme, ça y ressemble ! »Comment quatre agents des services secrets français, détenus un an au Burkina Faso, ont été libérés…Justement, à propos de ces « conseillers militaires tapis dans les enclaves diplomatiques » évoqués par Aujourd'hui, Le Monde Afrique revient avec force détails sur la récente libération de quatre agents des services secrets français qui étaient détenus depuis un an au Burkina Faso.Le Monde Afrique qui nous rappelle le contexte : « comme son homologue malien, le général Assimi Goïta, le capitaine Ibrahim Traoré a rompu les liens avec la France, après un coup d'État. Entre Ouagadougou et Paris, les relations sont alors devenues exécrables : renvoi de l'ambassadeur et des forces spéciales françaises basées dans le pays depuis plus d'une décennie, déclarations au vitriol contre l'ex-puissance coloniale… En coulisse, pourtant, la coopération opérationnelle se poursuit entre l'agence nationale de renseignement burkinabée et la DGSE. C'est dans ce cadre que les quatre hommes se rendent à Ouagadougou, en novembre 2023. Membres de la direction technique qui gère les systèmes informatiques et de télécommunications, ces techniciens y sont présents pour une opération ponctuelle de quelques jours. Quarante-huit heures plus tard, ils sont interpellés à leur hôtel par des agents de la direction de la sûreté de l'État. Les faits reprochés sont graves : espionnage et “velléités déstabilisatrices“. La faute à des erreurs qui auraient pourtant pu être évitées, relève Le Monde Afrique : absence de visa diplomatique en bonne et due forme et, surtout, détention de téléphones de service non “nettoyés“ – c'est-à-dire purgés des informations sensibles – comme le prévoit la procédure de la DGSE. Dans ces appareils, des photos de sites d'intérêt de la capitale burkinabé et des contacts dans des régions sous tension sécuritaire ».L'action déterminante du Maroc…Les autorités françaises, qui soupçonnent les Russes d'être à la manœuvre, tentent d'abord une médiation togolaise, sans résultat, puis par l'intermédiaire des Émirats arabes unis, sans résultat.Les mois passent et l'affaire est dans l'impasse. Le Maroc entre alors en scène. « En juillet dernier, poursuit Le Monde Afrique, Emmanuel Macron adresse une lettre au souverain chérifien, dans laquelle il écrit que “le présent et l'avenir du Sahara occidental s'inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine“. Pour Paris et Rabat, c'est la fin de plusieurs années de brouille, et le début de la réconciliation. Entre les "services", un frein est levé, la coopération s'accélère ».Et finalement, les quatre agents français sont libérés le 18 décembre dernier. Et Le Monde Afrique de s'interroger : « Quelles contreparties le capitaine Traoré a-t-il obtenues en échange de la libération des Français ? “Le Maroc a payé 60 millions d'euros et donné du matériel aux Burkinabés“, affirme une source proche de la DGED, les services marocains. Une information formellement démentie par la DGSE ».
Quelque part entre "Le Bureau des Légendes" et "OSS 117". Une histoire dont on ne savait presque rien., le 19 décembre dernier, quand on a appris la libération de ces 4 agents français détenus au Burkina Faso. Ecoutez Le monde en marche avec William Galibert du 15 janvier 2025.
Ils avaient été arrêtés en décembre 2023, accusés d'espionnage, accusations rejetées par Paris. Ils ont donc été libérés hier, « grâce à la médiation du roi Mohamed VI » précise Wakatsera, au Burkina Faso. Alors qu'Aujourd8.net titre : « Petit dégel Axe-Ouaga-Paris via Rabat » et ajoute : « c'est ce qu'on appelle les fruits immédiats de la coopération, celle portée au pinacle par Emmanuel Macron, entre la France et le Maroc ». « La libération rendue à ces quatre personnes de la DGSE », poursuit le site burkinabé, « ne détendra pas l'atmosphère sibérienne entre l'axe Paris-Ouaga, mais c'est toujours ça de gagné. On ne peut que s'incliner devant la diplomatie de ce 'roi des pauvres', Mohamed VI, qui est incontournable au Sahel, dans le rapport avec la France ».Au Maroc, l'Opinion remarque que « le succès de la médiation du roi du Maroc, intervient alors que Paris et Rabat ont récemment scellé leur réconciliation, incarnée par une visite d'État du président français fin octobre au Maroc, après trois ans de crise aigüe. » APAnews, de son côté, parle d'une « percée diplomatique majeure, qui marque un tournant dans les relations internationales en Afrique de l'Ouest (…) dans un contexte diplomatique tendu entre Paris et Ouagadougou, depuis le coup d'État de septembre 2022, qui a porté le capitaine Ibrahim Traoré, au pouvoir ».Nouveau chef d'état-majorEn RDC, Félix Tshisekedi a procédé hier soir à une série de changements à la tête des forces armées. C'est ainsi, nous explique Objectif-infos, « que le chef de l'État a élevé le général Jules Banza, au grade de chef d'état-major des forces armées de la RDC ». « Sa nomination, ajoute le site d'information, intervient au moment où les rebelles du M 23, soutenus par le Rwanda, poursuivent leurs offensives dans la province du Nord-Kivu ». Le prédécesseur de Jules Banza, Christian Tshiwewe devient lui, « conseiller militaire du président », précise Actualité.cd qui ajoute : « il quitte la tête des forces armées, au moment où l'armée congolaise fait face à d'importantes difficultés sur le terrain, face à la rébellion du M 23, soutenue par le Rwanda. Sous son commandement, plusieurs localités du Nord-Kivu sont tombées sous le contrôle des rebelles ». « Certains analystes », poursuit Actualité.cd, estiment « qu'en renouvelant le commandement des FARDC, le chef de l'État Félix Tshisekedi, en sa qualité de commandeur suprême des forces armées, cherche à insuffler un nouvel élan au sein de l'armée congolaise. »Abandonnées à leur sortEnfin, le bilan du passage du cyclone Chido au Mozambique s'avère particulièrement lourd. « Le dernier bilan fait état d'au moins 70 morts et plus de 600 blessés », nous dit Afrik.com. « Cependant, les humanitaires estiment que le bilan pourrait être bien plus lourd, avec de nombreux dégâts non encore comptabilisés en raison des difficultés d'accès et de la lenteur des évaluations sur le terrain ». « Les habitants manquent de tout, bien que l'aide alimentaire commence à arriver », explique la responsable d'une ONG. « Les populations locales, commente Afrik.com « se sentent abandonnées à leur sort, confrontées à une succession de crises qui exacerbent leurs souffrances, entre catastrophes naturelles, insécurité et conflits armés ».De son côté, Africanews précise que « la Province de Cabo Delgado, où vivent environ deux millions de personnes, a été la première région touchée par le cyclone Chido au Mozambique. De nombreuses maisons, écoles et établissements de santé y ont été partiellement ou complètement détruits ». Au-delà du constat sur le terrain, Africanews rappelle que « depuis quelques années, les tempêtes dans la région sont de plus en plus violentes. En 2019, le cyclone Idai a ainsi tué plus de 1300 personnes, principalement au Mozambique, au Malawi et au Zimbabwé ».
C dans l'air l'invitée du 18 décembre avec Meriem Amellal, journaliste, spécialiste de l'Afrique et du Moyen-Orient à France 24.Les tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie s'intensifient. Jeudi dernier, l'ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, a été convoqué par le ministère des Affaires étrangères algérien. Une convocation qui intervient suite aux accusations de tentative de "déstabilisation" portées par Alger contre la France. Une opération présumée, qualifiée de "barbouzerie" par la presse algérienne, et qui aurait consisté pour la DGSE à recruter des terroristes algériens repentis, en Algérie. Un complot qui aurait été déjoué par les services secrets algériens, et auquel la télévision algérienne a consacré un documentaire. Dimanche matin, sur France Inter, le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, a immédiatement dénoncé des accusations "infondées et fantaisistes" au micro de France Inter. Les tensions diplomatiques entre les deux pays se sont accélérées depuis l'été dernier et un courrier adressé par Emmanuel Macron au roi du Maroc Mohammed VI, l'informant de la reconnaissance par la France de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. L'autorité sur cette ancienne colonie espagnole est disputée depuis les années 1970 entre le Maroc et le front indépendantiste Polisario, soutenu par l'Algérie. Depuis, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a annulé sa visite diplomatique en France prévue à la rentrée, alors que le président Emmanuel Macron a été reçu par le Royaume du Maroc au mois d'octobre. C'est dans ce contexte que l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a été arrêté à l'aéroport d'Alger le 16 novembre dernier pour atteinte à "l'intégrité du territoire national". Autre incident majeur : la campagne de dénigrement et les controverses en Algérie autour du roman de Kamel Daoud, "Houris", primé au Goncourt cette année. Meriem Amellal, journaliste spécialiste de l'Afrique et du Moyen-Orient à France 24, est notre invitée. Elle décryptera avec nous la dégradation des relations diplomatiques entre la France et l'Algérie.
Du bureau des légendes à OSS 117 en passant par James Bond, notre culture populaire est pleine de représentations en tout genre de la figure de l'espion. Mais qui sont-ils vraiment?Cette semaine j'ai le plaisir de recevoir Olivier Mas ancien de la DGSE et candidat remarqué du programme Loups Garous qui vient nous parler de sa carrière dans les services secrets.Quelles sont les principales clés de la manipulation ?Qu'est ce que ses années d'espionnage lui ont appris de la gestion du stress ?Comment peut-on savoir quand faire confiance à quelqu'un?J'ai le plaisir de vous inviter à rejoindre ma conversation avec Olivier Mas.__Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver olivier mas sur les réseaux :https://www.instagram.com/talkswithaspy/?hl=frhttps://www.youtube.com/channel/UC25tOdWmGRvMX3-H2wzs-yghttps://www.linkedin.com/in/olivier-mas-08937a178/Et pour suivre mes aventures au quotidien :https://www.instagram.com/louiseaubery/Si cet épisode t'a plu celui-ci te plaira sûrement : https://shows.acast.com/inpower/episodes/devenir-un-expert-de-la-negociation-avec-le-negociateur-du-g Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Reflecting on a year of phenomenal guests, we are bringing you a selection of the Best Conversations of 2024.Jack Beaumont (not his real name) grew up in a turbulent family in Paris before joining the French Air Force as a young man. After a devastating mid-air accident, he joined the DGSE and became a French secret agent and he now uses his first-hand knowledge to write spy thrillers set in the world of international espionage. Jack Beaumont (not his real name) is a former intelligence operative and the author of several spy thrillers.Jack grew up in a turbulent family in Paris and when he got older he decided to train as a jet fighter pilot with the French Air Force.During a training dogfight at supersonic speed, Jack suffered a devastating injury that meant he could no longer fly jets, but he still wanted a job steeped in adventure and danger.So he began piloting covert spy missions, and eventually became a spy with France's secret intelligence service: the DGSE, maintaining up to five secret identities as a time.While he now lives in a beautiful part of Australia with his wife and family, Jack has struggled to leave behind the extreme hyper vigilance of his early working life.This episode of Conversations contains discussions about spys, secret service, France, French Secret Service, DGSE, French Air Force, French Military, fighter pilots, fighter jets, back injuries, spinal injuries, disability, mid-air accidents, thrillers, novels, nom-de-plume, pen names, Australia, authors, writing, publishing, private schools, Napoleon, boarding school, Paris, families, family relationships, international relations, diplomacy, CIA, MI5, crime fiction, global politics.
durée : 00:28:31 - Le Feuilleton - Les agents Alpine et Orphée quittent la planque que leur avait procurée la DGSE en URSS. Pour rejoindre le monde libre, où la CIA et la DGSE mènent la danse, la route sera longue et périlleuse...
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durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - Juin 1985. Quatre otages français sont détenus au Liban. Pour sortir de l'impasse, la DGSE envisage de monter une opération risquée en URSS. L'ex-espionne Jeanne Evans va redevenir un maillon-clé du dispositif...
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durée : 00:03:17 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Une question pleine de gravité posée par Sophia, 7 ans, au micro des P'tits bateaux. Vincent Crouzet, ancien agent de la Direction générale de la sécurité extérieure, la DGSE, lui répond. Écrivain et spécialiste de géopolitique, il vient d'écrire "Comment vivre dans un monde en guerre ?" - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Daniel Forestier, un ancien agent de la DGSE a été exécuté le jeudi 21 mars 2019, sur un petit parking de Ballaison, en Haute-Savoie. Trois ans plus tard, le mystère autour de sa mort n'a toujours pas été résolu et les pistes sont aussi sulfureuses que nombreuses. Invités : Maitre Cédric Huissoud avocat de la famille Forestier, Lionel Feuerstein journaliste. (A CONFIRMER), Thomas Prouteau, service-police justice RTL Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 28 avril 2022
Ancien du service action de la DGSE, Pierre Martinet nous livre également son constat sur notre pays, et sur le destin qui l'attend si rien ne change. Soutenez-nous sur frontieresmedia.fr et frontieresmedia.fr !
Dans cette saison de La Traque, découvrez l'incroyable cavale de l'un des personnages les plus horribles de l'histoire : Klaus Barbie. Responsable en partie des massacres des Juifs en France pendant la Seconde Guerre mondiale, Barbie est l'une des figures les plus importantes de l'Allemagne Nazi. Après la fin de la guerre, il comprend que sa place n'est plus en Allemagne. Les autorités responsables des procès de Nuremberg engagent alors une poursuite sans relâche, à travers la planète entière, pour mettre la main sur ce criminel de guerre. Un procès pour l'histoire Après quarante années de traque, « le Boucher de Lyon » va répondre de ses crimes devant la justice. L'ancien SS, qui se pensait intouchable, qui narguait ses victimes à longueur d'interviews, est extradé vers la France. L'avion dans lequel se trouve Barbie a été affrété en secret par la DGSE, le contre-espionnage français, avec la complicité du gouvernement bolivien du président Hernan Siles. Les agents le conduisent à l'aérodrome de Corbas, près de Lyon. Il est transféré à la prison de Montluc où la Gestapo lyonnaise torturait les résistants français. Bientôt, s'ouvrira l'un des procès les plus retentissants de l'histoire… Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INEDIT] Frank Abagnale, le plus grand des faux escrocs : des mensonges toujours plus gros (1/4) [INEDIT] Frank Abagnale, le plus grand des faux escrocs : un parasite en Louisiane (2/4) [INEDIT] Frank Abagnale, le plus grand des faux escrocs : la métamorphose de l'imposteur (3/4) [INEDIT] Frank Abagnale, le plus grand des faux escrocs : une vie de mensonge (4/4) Crédits : Production : Bababam Textes : Pierre Serisier Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Première diffusion le 7 juin 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dopo l'attacco missilistico di ieri da parte dell'Iran in territorio israeliano, la domanda che il mondo intero si pone riguarda la possibile risposta di Israele. Ne parliamo con Valentina Furlanetto, nostra inviata a Gerusalemme, Roberto Bongiorni, inviato del Sole 24Ore in Israele, Alessandro Marrone, responsabile del programma "Difesa" di Iai, e con Alain Chouet, ex direttore della DGSE, l'agenzia estera dei servizi di sicurezza francesi, e profondo conoscitore del Medio Oriente.
durée : 00:28:51 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Alain Lewkowicz - Jeune diplômé, Thomas est approché par la DGSE. On lui propose de suivre une formation pour, peut-être, devenir agent au service du renseignement français. Jusqu'à ce que les choses changent de tournure… - réalisation : Emmanuel Geoffroy
When a devastating injury ended Jack Beaumont's career as a jet fighter pilot, he decided to become a spy, in the French Secret Service.Jack Beaumont (not his real name) is a former intelligence operative and the author of several spy thrillers.Jack grew up in a turbulent family in Paris and when he got older he decided to train as a jet fighter pilot with the French Air Force.During a training dogfight at supersonic speed, Jack suffered a devastating injury that meant he could no longer fly jets, but he still wanted a job steeped in adventure and danger.So he began piloting covert spy missions, and eventually became a spy with France's secret intelligence service: the DGSE, maintaining up to five secret identities as a time.While he now lives in a beautiful part of Australia with his wife and family, Jack has struggled to leave behind the extreme hyper vigilance of his early working life.This conversation discusses family dynamics, adventure, history, global politics, spies, military life and spycraft.
REDIFF - C'est le monde, de la manipulation, de l'écoute et du renseignement. Ici, on murmure, on ment, on invente. La DSGE est un monde à part avec ses codes, son vocabulaire, ses valeurs. On n'y entre pas par hasard : Ici, tous sont habités par la conviction patriote et ont pour mot d'ordre : le silence. Pourtant, ils ont accepté de le briser pour notre invité. "Jour J", c'est l'émission des grands entretiens d'actualité. Chaque jour, Flavie Flament explore les coulisses et les détails de l'info d'hier et d'aujourd'hui avec un témoin-expert. Une heure d'analyse et d'archives pour comprendre l'actualité avec recul et nuance.
De Francia a Estados Unidos, de Pekín a Yibuti, la película de Nolwenn Le Fustec y Antoine Izambard es la historia de una guerra poco conocida y despiadada, y de operaciones clandestinas que pretenden desestabilizar las democracias occidentales y convertir a China en la primera potencia mundial. para 2049. A diferencia de la CIA, la DGSE, el MI6, el Mossad, es poco probable que haya oído hablar del Guoanbu, el Ministerio de Seguridad del Estado de China, es decir, una de las agencias de inteligencia más poderosas del mundo. uno de los mejor equipados y avanzados, y sin duda el más ofensivo en la actualidad. Se estima que emplea a más de 100.000 personas (frente a las 7.000, por ejemplo, de la DGSE francesa). Su gran punto fuerte: el uso de una red informal de “subcontratistas” en todo el mundo, amparadas por farmacias comerciales, asociaciones culturales o de ayuda mutua llamadas “comisarías en el extranjero”. La ONG Saveguard Defenders ha identificado un centenar de estas estaciones en 53 países –siete de ellos en Francia– utilizadas por los servicios secretos chinos para misiones clandestinas: vigilancia, presión, robos e incluso secuestros, especialmente en el contexto de la búsqueda de opositores políticos que se han refugiado en el extranjero y son buscados bajo el conveniente cargo de “corrupción”. Ante esta violación manifiesta de la soberanía estatal, la respuesta de Francia sigue siendo muy tímida, como lamentó el senador André Gattolin, que interrogó al gobierno sobre esta cuestión en diciembre de 2022 antes de encontrarse entre las víctimas de un ciberataque dirigido a una veintena de organizaciones gubernamentales. en julio de 2023. “China nos está pisando los pies, pero no debemos decir “¡Ay!”. Sólo tienes que quitar el pie. » Estados Unidos, por el contrario, ya no duda en dar un duro golpe, como el pasado mes de abril con el desmantelamiento de la “comisaría de policía” de Manhattan. El estadounidense de origen chino que estaba a su cabeza corre el riesgo de ser condenado a cadena perpetua.
durée : 00:59:34 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - En matière de défense comme d'attaque, de nouveaux mondes se sont ouverts à l'espionnage avec les réseaux sociaux, le cyberespace, l'espace tout court... Avec une myriade de satellites espions, et bien sûr, l'intelligence artificielle qui n'en est qu'à ses débuts. - invités : Antoine Bondaz Chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, enseignant à Sciences Po; Philippe Hayez Magistrat de la Cour des Comptes, ancien directeur adjoint du renseignement à la DGSE, responsable des enseignements sur le renseignement à Sciences-po Paris, co-auteur avec Jean-Claude Cousseran de « Leçons sur le renseignement », ed. Odile Jacob.; Julien Nocetti Chercheur associé à l'IFRI (Institut français des relations internationales) et au centre géopolitique des technologies.; Nicolas Arpagian Vice-Président du cabinet HeadMind Partners, spécialisé dans l'analyse du risque numérique.; Ranya Stamboliyska Experte en cybersécurité et diplomatie numérique, fondatrice de RS Strategy, société de conseils en Cybersécurité
Les services secrets français sont-ils encore efficaces en Afrique ? La question se pose après la série de putschs au Sahel qui ont pris les autorités françaises au dépourvu. Beaucoup disent d'ailleurs que c'est à la suite du coup d'État au Niger, il y a un an, que Bernard Emié, le patron de la DGSE, a été limogé par le président Macron. Témoignage aujourd'hui d'un ancien officier français, qui a été en poste au Niger, au Tchad et en Côte d'Ivoire, avant de diriger le « secteur Afrique Noire » de la DGSE à Paris. Jean-Pierre Augé vient de publier « Afrique Adieu », aux éditions Mareuil. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Jean-Pierre Augé, dans votre livre, vous racontez que vous avez été d'abord en poste au Niger comme officier de liaison. C'était dans les années 1990. Or, il se trouve que c'est sans doute le Niger qui a fait tomber Bernard Emié, le patron de la DGSE, à la fin de l'année dernière. Il semble en effet que le président français Emmanuel Macron lui ait reproché de ne pas avoir vu venir le putsch militaire du 26 juillet 2023 à Niamey. Est-ce que ce reproche vous paraît justifié ?Jean-Pierre Augé : Ce que je sais, c'est qu'il est très difficile de déterminer le jour d'un putsch. Les complots, les Africains qui se livrent à ce genre d'exercice, généralement, s'y prennent au dernier moment, ce qui explique que nombre de complots échouent. Parce que c'est toujours dans la précipitation. C'est pour ça que ça ne me paraît pas très justifié de dire, qu'ils n'ont pas prévu le complot. Quand quelque chose ne va pas, il faut bien trouver un coupable.Alors vous êtes d'abord en poste au Niger, puis au Tchad, toujours dans les années 1990. Et donc, en 1996, Idriss Déby est au pouvoir depuis 6 ans, il organise une élection présidentielle, sa première. Son directeur de cabinet, Timan Erdimi, vous informe sous le sceau de la confidence qu'il a gagné dès le premier tour et, à ce moment-là, vous appelez Paris. Qu'est ce qui se passe ?Oui, mon travail est d'informer aussitôt de la victoire du Président. Donc, je le fais. Et Paris m'invite à voir le Président et à lui dire que cette victoire de 60% risque de ne pas être très appréciée par toute la communauté internationale et notamment nos amis américains. Parce qu'il faut replacer cet événement. Les Américains ont soutenu Habré jusqu'au bout. Donc, 6 ans après, les Américains notamment avaient quand même des raisons de douter de l'exactitude des résultats. Donc, Paris propose un 2e tour. Pourquoi ? Parce que l'élection d'Idriss Déby, elle était inéluctable. En fait, c'était une façon de la présenter mieux, de dire : il a accepté un 2e tour.Donc vous appelez Paris et Paris vous demande d'aller voir le Président Déby et de lui dire quoi ?Il fallait trouver les mots. Idriss Déby n'est pas homme à se plier aux caprices ou aux injonctions. Donc, il m'a fallu trouver les mots et les mots, ils étaient simples. Autant être relativement bien vu par le maximum de pays, donc pourquoi pas ? Et après quelques secondes, de longues secondes de réflexion,Et de silenceOui, Idriss Déby a convenu de l'intérêt de cette formule.Et du coup, il organise un 2e tour qu'il emporte officiellement face à Abdelkader Kamougué. Mais quelques années plus tard, plusieurs hauts magistrats tchadiens reconnaissent que les résultats d'alors avaient été trafiqués. À votre avis, quels ont été les vrais résultats de cette présidentielle ?Je n'en ai aucune idée. Ce qui peut paraître surprenant effectivement, c'est que le Sud ne lui était pas acquis et le Sud est quand même important, au point de vue démographique. Si on ne s'en tient qu'aux seuls Zaghawas déjà divisés entre eux... Mais bon, c'est comme ça. L'Afrique a un lien avec la force. Moi, ce que je reconnais à Idriss Déby, c'est 30 ans de paix dans son pays, ce qui est quand même un bon résultat.Alors, autre pays africain où vous avez été en poste, la Côte d'Ivoire. Un putsch surprend la France, c'est celui de décembre 1999 contre le président Henri Konan Bédié. À l'époque, vous êtes justement chargé de mission à la présidence ivoirienne. Est ce que vous avez vu venir quelque chose ?Je n'ai pas vu venir le putsch. D'ailleurs, même le putschiste était un peu un putschiste malgré lui. Le général Robert Gueï, on est venu le chercher. En revanche, j'ai senti que le régime Bédié n'était quand même pas très solide. On va dire ça comme ça. Et j'ai envoyé des choses [à Paris] qui devaient peut-être un peu surprendre. Et je me suis rendu compte assez vite, donc, que ce Président Bédié, ce n'était pas Félix Houphouët-Boigny, voilà ! Alors, a-t-on tenu compte de mes mots ? Je le pense. Mais de là à dire que quelques soldats se mutineraient un jour pour être mieux payés et entraîneraient, avec eux, la chute de Bédié… Moi-même, j'ai appelé son directeur de cabinet pour lui dire d'être dur, répressif. Surtout pour ne pas laisser cette mutinerie se développer, parce que ce n'est jamais très bon. Il ne l'a pas fait et, le lendemain, il était par terre. Mais je vous dis, ces putschs et complots partent de pas grand-chose. Parfois, une étincelle, un mécontentement, et c'est parti.Certains y ont vu la main d'Alassane Ouattara ?Non. Alors ça, je me trompe peut-être, mais je ne le crois pas du tout. Parce que Alassane Ouattaraest trop intelligent pour confier à quelques zèbres le soin de… Ils seraient tombés sur un Président qui avait une poigne, un petit peu de poigne, ça ne serait pas allé bien loin. À lire aussiAlain Chouet (ex-DGSE): «Quand on a des choses secrètes à dire, on le dit sur des réseaux secrets»
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Télécharger World of Tanks ➡️ : https://tanks.ly/4b0FJTdMerci à Pierre Martinet, ancien espion du service action de la DGSE, d'être venu dans le studio de LEGEND ! Il vient nous raconter les secrets d'un espion, et les moment marquants qu'il a vécu, notamment lorsqu'il a été pris en otage par l'ennemi.Retrouvez Pierre Martinet sur son Instagram ➡️ : https://tanks.ly/4b0FJTdSon livre « Pris en otage, un agent du service action raconte » est disponible juste ici ➡️ https://amzn.to/3WhX7P0Retrouvez également Léopold (acteur sur la sponsorise World of Tanks) sur son instagram ➡️ https://www.instagram.com/leopold_artiste?igsh=ZW96dTY4Nmo4NHVx&utm_source=qrEt sur YouTube ➡️ https://www.youtube.com/channel/UCEUfxlay2o4bI7BD1mWxaLw?app=desktopPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Son nom vous est sûrement inconnu, mais depuis 2017, c'est l'un des personnages les plus puissants de l'Etat. A la tête de la DGSE, Bernard Emié a profondément transformé le renseignement extérieur français, notamment grâce à la puissance de ses réseaux. Dans la première partie de ce double-épisode, Etienne Girard, rédacteur en chef du service Société de L'Express nous décrit l'ascension vertigineuse de ce "maître-espion".Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture : Mathias PenguillyPrésentation et montage : Charlotte BarisRéalisation : Jules KrotCrédits : "Le Bureau des légendes" (The Oligarchs Productions, Canal +) Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut Zschiesche Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.