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« Les funérailles du pape François transforment Rome en centre du monde », titre le journal le Monde, qui parle de « grand-messe diplomatique ». Au total, nous dit-on, « 160 délégations étrangères sont attendues sur la place Saint-Pierre, reflet de l'influence du Vatican sur la scène internationale et des engagements du défunt pape argentin ». « Pour une journée au moins », poursuit le quotidien français, « celle qui voit un pape porté en terre, la cité du Vatican, plus petit État de la planète, prend des allures de nombril du monde ».Plus intéressé par les questions religieuses, le journal la Croix a, de son côté, interrogé sur la place Saint-Pierre des fidèles, venus, tôt ce matin, pour assister aux funérailles du pape. C'est le cas de Maria, 25 ans, « qui a fait le voyage depuis le Portugal avec ses parents ». « François a été élu pape lorsque j'étais encore petite » raconte-t-elle. « Il m'a aidé à construire ma foi, à confirmer des intuitions que j'avais en tant que jeune catholique ».Ne jamais oublier les pauvresMais les invités à ces funérailles, n'ont pas tous le profil du catholique lambda. Le Guardian rappelle qu'outre les nombreuses délégations officielles, « des réfugiés, des prisonniers, des personnes transgenres et des sans abri », font partie des invités... Deux organisations de soutien aux réfugiés qui risquent leur vie en traversant la Méditerranée, ont aussi été invitées aux funérailles du pape, précise le quotidien britannique.Le fondateur de l'une de ces ONG, Mediterranea Saving Humans, témoigne : « François nous encourageait toujours à sauver des personnes en mer, à les aider à fuir la Lybie ou la Tunisie et à les accueillir. Il était un vrai disciple de Jésus. Il parlait à tout le monde ». Le New York Times, de son côté, cite le communiqué du Vatican rappelant que « le pape avait choisi le nom de François pour ne jamais oublier les pauvres. Saint François d'Assise ayant renoncé à sa fortune pour vivre dans la pauvreté ». « Près de chez lui », rappelle d'ailleurs le New York Times, « François avait insisté pour que le bureau de poste du Vatican soit transformé en une clinique gratuite pour les sans-abri et les migrants ». Qui sera le prochain pape ?La presse internationale se demande par ailleurs ce matin qui remplacera le pape François. C'est à la Une d'El Païs. Le quotidien espagnol nous explique que « deux grands courants émergent : l'un est en faveur de la continuité et chercher à faire avancer les réformes entreprises par le pape. Et l'autre, inquiet, veut corriger le tir et rétablir l'ordre ». « Le secrétaire d'État du Vatican, Pietro Parolin, « diplomate chevronné et considéré comme une figure à mi-chemin entre François et ses adversaires, est cité comme l'un des favoris, car il lui a été fidèle, est progressiste, mais a gardé ses distances sur certaines questions », explique El Païs. Mais quoi qu'il advienne, « le désir d'unité prévaudra : un schisme est la plus grande peur de la hiérarchie ecclésiastique », assure le quotidien espagnol.ConclaveEnfin, le Wall Street Journal fait entendre sa différence. Moins respectueux que la plupart des autres titres de la presse internationale, le quotidien américain parle du « Super Bowl du catholicisme ». À ses yeux, « tout le monde est devenu un expert de la papauté. Catholiques et non-catholiques se mobilisent autour de leurs candidats favoris pour le poste religieux le plus en vue au monde (…) Ils font la promotion de leurs prétendants sur les réseaux sociaux et dans les paris sportifs, comparant les qualifications des cardinaux comme des juges d'American Idol et évaluant leurs chances comme des experts sportifs ».Un enthousiasme semble-t-il encouragé par le livre et le film « Conclave », sorti l'année dernière, une histoire de machinations politiques au sein du Vatican, après le décès inattendu et mystérieux du pape. Noa, une américaine de 33 ans interrogée par le Wall Street Journal, a lu le livre et vu le film. Avec son père rabbin, raconte-t-elle, « elle suit les réflexions et les dernières nouvelles des cardinaux, comme s'il s'agissait d'une élection présidentielle ». À lire aussi[Direct] Obsèques du pape François: des milliers de fidèles affluent vers la place Saint-Pierre
Le Journal en français facile du mardi 25 mars 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BWi8.A
La situation au Proche-Orient est toujours suivie avec attention par les médias du continent et la Syrie, bien sûr, ne fait pas exception…« Syrie: les rebelles annoncent avoir renversé le président Bachar el-Assad », s'exclame WakatSéra à Ouagadougou.« Lâché par la Russie, offensive fulgurante des rebelles : ce qui a perdu Bachar el-Assad », titre WalfQuotidien à Dakar. Le quotidien sénégalais qui s'alarme : « la chute du régime de Bachar el-Assad, jadis présenté comme un “président réformateur“, mais qui est devenu un “autocrate sanguinaire“, plonge la Syrie dans le chaos, et met le Moyen-Orient au bord de l'implosion. Et pour cause, à peine le cessez-le feu décrété entre Israël et le Hezbollah libanais, la guerre s'est réveillée en Syrie. Le Proche-Orient risque ainsi de s'embraser à nouveau, là où l'on ne l'attendait pas ».Le site ivoirien Afrique sur 7 revient sur les raisons de cette chute : « la révolution de 2011, en parallèle du printemps arabe, n'a offert au peuple Syrien ni vainqueur ni vaincu mais une désolation totale. (…) À cela s'ajoute l'ampleur des sanctions économiques et l'isolement diplomatique imposées par la Communauté internationale. L'ancien président syrien était affaibli de l'intérieur et de l'extérieur. (Des années durant) des milliers de Syriens ont préféré quitter le pays, à la recherche de la paix loin des canons et des bombardements. C'est pour ces raisons que l'offensive lancée fin novembre par la coalition des rebelles a eu raison du régime de Bachar el-Assad ».Désormais, pointe Afrique sur 7, « il y a la peur de l'inconnu : on craint que la Syrie d'après Bachir el-Assad ne devienne l'Irak d'après Saddam Hussein ». « On croise les doigts… »« La sortie de l'histoire, par la fenêtre, de celui qu'on surnommait le boucher de Damas, rappelle la triste fin de certains chefs d'État africains », relève Le Pays au Burkina Faso. « Ces dirigeants qui ont fui leurs pays respectifs pour se réfugier à l'étranger. On se rappelle encore des cas de Mobutu de l'ex-Zaïre ou encore de Ben Ali de Tunisie, qui, finalement, sont morts, loin des leurs et dans des conditions peu enviables ».Et Le Pays de s'interroger également sur la suite des événements : « maintenant que Bachar el-Assad n'est plus aux affaires, soufflera-t-il un vent de liberté sur la Syrie ? Ou alors la tyrannie continuera-t-elle de prévaloir ? Malgré les assurances qu'il donne, on ne saurait donner le bon Dieu sans confession au leader des rebelles (…). S'il est vrai que Bachar el-Assad n'est pas à plaindre, on ne saurait applaudir de facto l'arrivée de radicaux au pouvoir ; tant ces derniers peuvent être capables de tout. Il faut même craindre que le cas syrien n'ouvre une boîte de Pandore avec tout ce que cela pourrait engendrer comme conséquences. On croise les doigts. Mais en attendant, pointe encore Le Pays, il faut que les grandes puissances, qui ont joué les pyromanes, mettent les bouchées doubles pour assurer le service-après-vente en Syrie, au risque de voir le pays devenir une déglingue, comme c'est le cas de la Lybie, où on ne sait plus qui fait quoi et pourquoi ».« Réjouissons-nous ! »Le Matin d'Algérie s'interroge également : « quelle sera la conséquence de tout ce désastre ? (…) Que sera le destin de la Syrie avec des rebelles victorieux qui se proclament de l'islamisme ? Entre les islamistes, la mosaïque confessionnelle et le morcellement territorial, l'héritage est lourd en Syrie, pointe le site algérien d'opposition. Le monde arabo-musulman en est responsable car pour la gloire et le pouvoir d'un tyran, il faut un peuple qui chante ses louanges, un système militaro-policier qui le protège et des corrompus qui n'ont aucun intérêt à sa chute ».En tout cas, conclut Le Matin d'Algérie : « pour le moment, le tyran est tombé, réjouissons-nous ».Et, pour le site Tunisie Numérique, « on verra bien si cette coalition de rebelles, nébuleuse d'islamistes radicaux et de combattants, est vraiment éprise de liberté et de démocratie. On verra comment tout cela s'emboitera, comment cette mayonnaise très improbable prendra. Ce ne sera pas simple et le succès n'est pas garanti, mais l'essentiel est ailleurs, pointe le site tunisien. Il est dans cette joie profonde, ces liesses populaires qui n'ont rien de factice, ce sentiment de libération nationale, ces prisons qui se vident, des détenus dont certains étaient là sans aucune justification depuis le sombre règne d'Hafez el-Assad. (…) Tout ça, c'est terminé… Enfin, il faut l'espérer ».
La situation au Proche-Orient est toujours suivie avec attention par les médias du continent et la Syrie, bien sûr, ne fait pas exception…« Syrie: les rebelles annoncent avoir renversé le président Bachar el-Assad », s'exclame WakatSéra à Ouagadougou.« Lâché par la Russie, offensive fulgurante des rebelles : ce qui a perdu Bachar el-Assad », titre WalfQuotidien à Dakar. Le quotidien sénégalais qui s'alarme : « la chute du régime de Bachar el-Assad, jadis présenté comme un “président réformateur“, mais qui est devenu un “autocrate sanguinaire“, plonge la Syrie dans le chaos, et met le Moyen-Orient au bord de l'implosion. Et pour cause, à peine le cessez-le feu décrété entre Israël et le Hezbollah libanais, la guerre s'est réveillée en Syrie. Le Proche-Orient risque ainsi de s'embraser à nouveau, là où l'on ne l'attendait pas ».Le site ivoirien Afrique sur 7 revient sur les raisons de cette chute : « la révolution de 2011, en parallèle du printemps arabe, n'a offert au peuple Syrien ni vainqueur ni vaincu mais une désolation totale. (…) À cela s'ajoute l'ampleur des sanctions économiques et l'isolement diplomatique imposées par la Communauté internationale. L'ancien président syrien était affaibli de l'intérieur et de l'extérieur. (Des années durant) des milliers de Syriens ont préféré quitter le pays, à la recherche de la paix loin des canons et des bombardements. C'est pour ces raisons que l'offensive lancée fin novembre par la coalition des rebelles a eu raison du régime de Bachar el-Assad ».Désormais, pointe Afrique sur 7, « il y a la peur de l'inconnu : on craint que la Syrie d'après Bachir el-Assad ne devienne l'Irak d'après Saddam Hussein ». « On croise les doigts… »« La sortie de l'histoire, par la fenêtre, de celui qu'on surnommait le boucher de Damas, rappelle la triste fin de certains chefs d'État africains », relève Le Pays au Burkina Faso. « Ces dirigeants qui ont fui leurs pays respectifs pour se réfugier à l'étranger. On se rappelle encore des cas de Mobutu de l'ex-Zaïre ou encore de Ben Ali de Tunisie, qui, finalement, sont morts, loin des leurs et dans des conditions peu enviables ».Et Le Pays de s'interroger également sur la suite des événements : « maintenant que Bachar el-Assad n'est plus aux affaires, soufflera-t-il un vent de liberté sur la Syrie ? Ou alors la tyrannie continuera-t-elle de prévaloir ? Malgré les assurances qu'il donne, on ne saurait donner le bon Dieu sans confession au leader des rebelles (…). S'il est vrai que Bachar el-Assad n'est pas à plaindre, on ne saurait applaudir de facto l'arrivée de radicaux au pouvoir ; tant ces derniers peuvent être capables de tout. Il faut même craindre que le cas syrien n'ouvre une boîte de Pandore avec tout ce que cela pourrait engendrer comme conséquences. On croise les doigts. Mais en attendant, pointe encore Le Pays, il faut que les grandes puissances, qui ont joué les pyromanes, mettent les bouchées doubles pour assurer le service-après-vente en Syrie, au risque de voir le pays devenir une déglingue, comme c'est le cas de la Lybie, où on ne sait plus qui fait quoi et pourquoi ».« Réjouissons-nous ! »Le Matin d'Algérie s'interroge également : « quelle sera la conséquence de tout ce désastre ? (…) Que sera le destin de la Syrie avec des rebelles victorieux qui se proclament de l'islamisme ? Entre les islamistes, la mosaïque confessionnelle et le morcellement territorial, l'héritage est lourd en Syrie, pointe le site algérien d'opposition. Le monde arabo-musulman en est responsable car pour la gloire et le pouvoir d'un tyran, il faut un peuple qui chante ses louanges, un système militaro-policier qui le protège et des corrompus qui n'ont aucun intérêt à sa chute ».En tout cas, conclut Le Matin d'Algérie : « pour le moment, le tyran est tombé, réjouissons-nous ».Et, pour le site Tunisie Numérique, « on verra bien si cette coalition de rebelles, nébuleuse d'islamistes radicaux et de combattants, est vraiment éprise de liberté et de démocratie. On verra comment tout cela s'emboitera, comment cette mayonnaise très improbable prendra. Ce ne sera pas simple et le succès n'est pas garanti, mais l'essentiel est ailleurs, pointe le site tunisien. Il est dans cette joie profonde, ces liesses populaires qui n'ont rien de factice, ce sentiment de libération nationale, ces prisons qui se vident, des détenus dont certains étaient là sans aucune justification depuis le sombre règne d'Hafez el-Assad. (…) Tout ça, c'est terminé… Enfin, il faut l'espérer ».
Lundi. 20h. Ministère des Armées. La France a démasqué avec une certitude absolue son ennemi. C'est désormais le temps de l'action sur tous les terrains. Qu'ils soient bien réels comme en méditerranée, au Kazakhstan et en Lybie où les hommes des forces spéciales interviennent ou qu'il soit digital où L'IA inonde à son tour les médias et réseaux sociaux d'informations...
Après la Deuxième Guerre mondiale, il n'était plus de bon ton de défendre l'œuvre de Benito Mussolini. Quand on mentionnait le doctorat honoris causa que l'Unil lui avait décerné, on entendait souvent des alibis : au minimum une erreur de casting, voire un piège tendu par la diplomatie fasciste. Aujourd'hui après le Livre blanc de 1987 puis les différentes recherches et le rapport du comité d'experts de 2022, ces arguments n'opèrent plus aussi bien qu'avant. En 1937, on savait que le fascisme italien réprimait toutes oppositions à l'intérieur et on savait, après la conquête de la Lybie et de l'Ethiopie, que c'était un gouvernement prédateur à l'extérieur. On sait aussi que Mussolini a séduit en Suisse. C'est justement sur cette force d'attraction en territoire helvète que l'historien Marc Perrenoud s'est penché pour comprendre le contexte de ces honneurs universitaire rendus à Mussolini en 1937. Lien : Les informations sur le colloque « Présences fascistes en Suisse. Autour du doctorat honoris causa de Benito Mussolini (1937) » et l'exposition « Docteur Mussolini. Un passé sensible » : https://www.labo-histoire.ch/evenement/pour-une-histoire-globale-du-fascisme/.
Ce jeudi 31 octobre, les fonds de l'accord du partenariat entre la Libye et l'Italie après la visite de Georgia Meloni, présidente du Conseil des ministres italien à Tripoli ont été abordés par Annalisa Capellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
En 2016, à l'âge de 19 ans, il quitte la Guinée Conakry et traverse 6 autres pays pour arriver à Bruxelles après 18 mois de voyage. Il part parce qu'il le doit, par nécessité, pour rester en vie et trouver un lieu où mener une existence apaisée. Il ne sait pas au moment du départ les enfers succesifs auxquels il va être confronté. En Afrique d'abord, en Europe ensuite. Il sera torturé, vendu à trois reprises, réduit à l'esclavage en Lybie, humilié, dépouillé, sali, traumatisé par ce qu'il a vu. Il traversera ce chemin dans des conditions indignes de toute humanité. Il en a fait le récit terrible dans un livre « Notre soleil » transposé ensuite à la scène. Il a joué ce spectacle lui-même et n'a eu de cesse de vouloir éveiller les consciences et alerter ici et en Afrique, où on croit encore souvent que l'Europe est un eldorado, un paradis où trouver la paix, l'argent et le bonheur alors que les trois se perdent en chemin. Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Le Fonds libyen de développement et de reconstruction est devenu depuis janvier dernier la principale arme politique des autorités de l'est libyen. La stratégie du fonds dirigé par un fils de Khalifa Haftar, le maréchal et homme fort du Cyrénaïque, est de moderniser et remodeler entièrement la région. Mais si les chantiers sont visibles sur le terrain, la pérennité et le fonctionnement de ce fonds interroge. Dans la rue de Cyrénaïque, les panneaux de chantiers siglés du Fonds de reconstruction et de développement sont presque aussi nombreux que les affiches à la gloire du maréchal Khalifa Haftar.Le fonds est dirigé par son fils, Belkasem Haftar, qui a une obsession, prouver aux Libyens et aux étrangers que son organisation travaille : « Depuis 2006, les maintenances des écoles, des hôpitaux et des routes ont été négligées. Nous les réparons parce que ces bâtiments fournissent un service quotidien pour les citoyens. Nous refaisons aussi le réseau routier qui est en ruine, le réseau électrique et le réseau d'assainissement. Tout a été négligé depuis 20 ans. »Une reconstruction concrète aux détails flousSur le terrain, les progrès sont indéniables. 2 000 logements flambants neufs seront remis aux familles sinistrées en septembre 2024. La vie se modernise au rythme des pelleteuses, selon la stratégie de Belkasem Haftar. À Derna, les cafés mixtes ont fait leur apparition. À Benghazi, des espaces piétons sont aménagés.Mais le fonctionnement du Fonds demeure opaque. Les contrats ne respectent ni les règles de l'appel d'offres, ni celle du gré à gré. Belkasem Haftar explique que le financement provient d'une partie du budget de l'État alloué à l'investissement.Claudia Gazzini, chercheuse à l'ONG internationale Crisis group, pointe, elle, des zones d'ombre : « Le Parlement a crédité le fonds de 10 milliards de dinars. Mais au-delà de ce chiffre, la modalité de financement, sur quels chapitres, sur quels articles s'inscrit le fonds, rien n'est clair. »À lire aussiLibye: à Derna, suite aux inondations, un nouvel urbanisme pour faire renaître la ville [1/3]« Tous les regards se focalisent sur Derna »Pour la population, seul le résultat compte. À l'image de Najib Souaissi : « La vie à Derna était difficile avant. Il n'y avait pas de projets avant l'inondation. Même le commerce n'était pas très actif. La situation était très difficile. Mais depuis l'inondation, on est au centre des projecteurs, tous les regards se focalisent sur Derna. Les autorités essayent d'aider au maximum la reconstruction de la cité de Derna. »Au lendemain de l'inondation, le jeune homme de 22 ans était parti refaire sa vie à Benghazi. Six mois après, celui qui a perdu toute sa famille dans la catastrophe était de retour, impressionné par le nouveau visage de sa ville.À lire aussiLibye: comment Derna tente de se reconstruire neuf mois après avoir été ravagée par les flots
Eric est un ancien moine bouddhiste, ayant été détenu arbitrairement en prison en Lybie par des milices pendant plusieurs mois. Lors de son arrestation, il était avec son père avec qui il a partagé cette expérience d'enfermement total et de sévices psychologiques. Il nous explique dans ce récit comment la pratique bouddhique lui a permis d'aller au delà de l'injustice subie et d'accepter la situation telle qu'elle était afin d'en tirer sa responsabilité. Son bourreau lui est même apparu comme une personne aux facettes différentes, un démon aux comportements sadiques envers les prisonniers mais aussi un être humain avec des élans d'empathie. Riches d'enseignements, ce témoignage nous est délivré avec simplicité et bienveillance, je remercie Eric qui a accepté de nous partager cette étape intime de sa vie et ce qu'elle lui a appris.____☀️S'inscrire à la Newsletter☀️Instagram : https://www.instagram.com/susana_darcambel/☀️ Site : https://www.susanadarcambel.com
Télécharger World of Tanks ➡️ : https://tanks.ly/4b0FJTdMerci à Pierre Martinet, ancien espion du service action de la DGSE, d'être venu dans le studio de LEGEND ! Il vient nous raconter les secrets d'un espion, et les moment marquants qu'il a vécu, notamment lorsqu'il a été pris en otage par l'ennemi.Retrouvez Pierre Martinet sur son Instagram ➡️ : https://tanks.ly/4b0FJTdSon livre « Pris en otage, un agent du service action raconte » est disponible juste ici ➡️ https://amzn.to/3WhX7P0Retrouvez également Léopold (acteur sur la sponsorise World of Tanks) sur son instagram ➡️ https://www.instagram.com/leopold_artiste?igsh=ZW96dTY4Nmo4NHVx&utm_source=qrEt sur YouTube ➡️ https://www.youtube.com/channel/UCEUfxlay2o4bI7BD1mWxaLw?app=desktopPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:35:25 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Il y a une semaine encore, la communauté internationale portait l'espoir d'un accord de cessez-le-feu pour Gaza, mais aujourd'hui Benyamin Netanyahou annonce une nouvelle offensive à Rafah. Pour parler d'une guerre plus facile à faire que la paix, nous recevons Bernard-Henri Lévy et Ghassan Salamé. - invités : Bernard-Henri Lévy Écrivain, philosophe; Ghassan Salamé Envoyé spécial de l'ONU en Lybie
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Connaissez-vous Théodora, prostituée devenue impératrice de Byzance ? Dans un récit inédit en deux parties, Virginie Girod vous raconte l'histoire de cette femme à la destinée exceptionnelle. Théodora voit le jour à Constantinople, la "Nouvelle Rome", vers 500. L'Empire romain d'Occident s'est effondré quelques années auparavant, mais l'Empire romain d'Orient continue à perdurer. Cet empire est devenu chrétien, c'est même la religion officielle de l'État depuis un siècle. Les païens ne sont plus qu'une minorité religieuse opprimée. Les empereurs, quant à eux, arrivent souvent au pouvoir grâce à des coups d'État.> Retrouvez Virginie Girod dans Madame Figaro en kiosques à partir du 19 janvier avec un récit inédit. https://madame.lefigaro.fr "Au Cœur de l'Histoire" est un podcast Europe 1 Studio.Le père de Théodora est dresseur d'ours tandis que sa mère est actrice. A l'époque, on ne fait pas de distinction entre les professions d'actrice et de prostituée : on considère que se montrer sur scène, c'est déjà de la prostitution. La famille, modeste, vit dans le quartier de l'hippodrome, le dernier grand édifice de spectacles hérité de la Rome antique encore toléré par les Chrétiens. Dès l'âge de 12 ans, Théodora commence elle aussi sa formation d'actrice, et donc, la prostitution.Décrite par ses contemporains comme dotée d'une beauté exceptionnelle, elle se taille vite une réputation de courtisane inaccessible ce qui décuple son succès. Elle devient la star du tout Byzance. Elle fait alors la rencontre Hékébolos, haut fonctionnaire de l'empire, qui lui propose de l'accompagner dans sa nouvelle mission de gouverneur en Cyrénaïque, en Lybie actuelle. Hékébolos fait de Théodora une sorte d'agent d'influence auprès de l'aristocratie locale, mais la délaisse bien vite. Pour rentrer à Constantinople, la jeune actrice décide de parcourir les 3000 kilomètres… à pied ! Sur le chemin, une rencontre va changer le cours de son existence.Thèmes abordés : Empire Byzantin, Constantinople, prostitution, Méditerranée "Au cœur de l'histoire" est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier- Réalisation : Julien Tharaud- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
durée : 00:22:58 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - Ghassan Salamé, professeur émérite de relations internationales à Sciences Po Paris et ancien ministre libanais, est l'invité du Grand Entretien de France Inter. - invités : Ghassan SALAME - Ghassan Salamé : Envoyé spécial de l'ONU en Lybie
Selon un bilan officiel provisoire du ministre Othman Abdeljalil, les inondations en Lybie ont fait plus de 3 000 morts et plus de 40 000 personnes ont été déplacées suite à celles-ci. Lors de catastrophes naturelles pareilles, on a tendance à pointer du doigt le réchauffement climatique. Dans cet épisode, on vous explique ce principe de cause à effet. Le nombre de catastrophes naturelles a été multiplié par cinq depuis 1970 selon l'Organisation météorologique mondiale. Un groupe de chercheurs internationaux tente d'expliquer la relation entre changement climatique et catastrophe naturelle avec la science de l'attribution. La science de l'attribution, c'est quoi ? Depuis quand existe cette science ? Mais concrètement, comment travaillent ces scientifiques ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Antonella Francini. Date de première diffusion : 4 octobre 2022 A écouter aussi : Qu'est-ce que la théorie de l'attachement ? Une union de la gauche est-elle vraiment possible en France ? Pourquoi la santé mentale des étudiants se dégrade-t-elle ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Séisme au Maroc, inondations en Lybie, situation tendue à Lampedusa... Quel regard porter sur l'autre quand il vit une catastrophe et cherche à fuir son pays pour un avenir meilleur ?
L'Égypte frappée en plein cœur par les inondations chez son voisin libyen, une catastrophe qui a fait des milliers de morts et de disparus. Parmi les victimes, il y a ces expatriés égyptiens venus d'un petit village de la vallée du Nil, 75 jeunes agriculteurs venus travailler de l'autre côté de la frontière. Ils ont été emportés par les eaux. Le choc est immense dans leur village, où s'est rendue Alice Moreno pour RTL.
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Ce jeudi 14 septembre, l'absence de coordination adéquate du gouvernement libyen dans la réponse à la catastrophe et l'incapacité de l'autorité locale et des ONG, à gérer son ampleur ont été abordés par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dans l'actualité de ce 13 septembre 2023; le Cancer Council salue l'annonce du gouvernement qui veut réformer l'industrie du tabac; Qantas perd son appel dans l'affaire sur la mise à pied de plus de 1600 travailleurs durant la pandémie de Covid-19; les secours tentent toujours de recencer les victimes en Lybie après le passage de la tempête Daniel; et au Maroc, le bilan du séisme approche les 3000 morts.
Plus de 5 000 personnes ont péri dans les inondations qui ont frappé la Lybie dont 3 800 dans la seule ville de Derna selon le gouvernement en place dans l'Est du pays. Mais le nombre de victimes est très difficile à établir. La zone reste difficile d'accès dans ce pays ou règne le chaos. Le ministre libyen des affaires étrangères du gouvernement de l'Est a appelé a l'envoi de secouristes en urgence.
Dans l'actualité de ce 13 septembre 2023; le Cancer Council salue l'annonce du gouvernement qui veut réformer l'industrie du tabac; Qantas perd son appel dans l'affaire sur la mise à pied de plus de 1600 travailleurs durant la pandémie de Covid-19; les secours tentent toujours de recencer les victimes en Lybie après le passage de la tempête Daniel; et au Maroc, le bilan du séisme approche les 3000 morts.
C dans l'air du 30 août - Gabon : encore un coup d'Etat ! LES EXPERTS : - Pascal BONIFACE - Directeur de l'IRIS - Institut de Relations Internationales et Stratégiques - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux - Stéphanie HARTMANN - Journaliste indépendante, spécialiste des questions de politique africaine - Yves THREARD - Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction du Figaro « Nous mettons fin au régime en place ». C'est par cette déclaration qu'une douzaine de militaires ont proclamé hier l'annulation du scrutin au Gabon, alors que venait tout juste d'être annoncée la réélection du président Ali Bongo. « Toutes les institutions de la république sont dissoutes : le gouvernement, le Sénat, l'Assemblée nationale, la Cour constitutionnelle », ont-t-ils poursuivi, proclamant aussi la fermeture des frontières du pays « jusqu'à nouvel ordre ». Face à cette tentative de coup d'État, des premières manifestations de soutien ont eu lieu à Libreville, la capitale. Les réactions internationales non plus n'ont pas manqué. En France, la Première ministre affirme « suivre avec la plus grande attention » la situation. Alors que l'Afrique connait son cinquième putsch depuis 2020 (après le Mali, le Burkina Faso, la Guinée, la Tchad et le Niger), François Hollande estime de son côté qu' « il n'y a pas eu de réaction suffisante après le coup de force au Mali, y compris de la France ». La question se pose aussi de la possible influence d'autres pays dans ces événements. La Chine ou la Russie par exemple. En Afrique, l'avenir de la milice Wagner est en suspens depuis que son leader Prigojine a disparu. Lors de sa dernière mise en scène, l'homme disait pourtant effectuer une « mission de reconnaissance » pour « rendre le continent africain plus libre encore ». Ces dernières années, l'Afrique représentait une part considérable des activités du groupe, engagé en Lybie, au Soudan, en Centrafrique, au Mozambique, à Madagascar et au Mali. Sans oublier sa possible présence au Niger. Un autre pays pourrait lui aussi voir sa stabilité compromise : le Sénégal. L'élection présidentielle de février prochain semble incertaine, avec une opposition qui compterait déjà plus d'un millier de détenus politiques. Alors, comment expliquer ce putsch au Gabon ? et cette contagion de coups d'état en Afrique ? Après la mort de Prigojine, quel avenir pour Wagner sur ce continent ? Un coup de force peut-il bientôt avoir lieu au Sénégal ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 25 août -Wagner : quel avenir après la disparition de Prigojine ? LES EXPERTS : - GÉNÉRAL DOMINIQUE TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU - TATIANA KASTOUÉVA-JEAN - Directrice du Centre Russie - IFRI - SYLVIE BERMANN - Diplomate, ancienne ambassadrice de France en Russie, auteure de Madame l'Ambassadeur - RYM MOMTAZ - Chercheuse en relations internationales et défense européenne - International Institute for Strategic Studies (IISS) - SYLVAIN TRONCHET - Correspondant à Moscou pour Radio France (par Skype) « Un homme talentueux qui a commis des erreurs ». C'est en ces termes que Vladimir Poutine a rendu hier hommage au patron de la milice paramilitaire Wagner, Evguéni Prigojine, disparu dans un crash d'avion en début de semaine, et devenu traître à la nation depuis sa tentative de putsch en juin dernier. Son élimination agite les observateurs et une succession d'hypothèses ont fleuri un peu partout. Les yeux sont évidemment tournés vers le chef du Kremlin, connu pour être sans pitié envers ses adversaires. Les activistes et opposants sont traqués sur le sol russe comme européen, et avec le conflit qui dure, cette purge pourrait bien s'accélérer. La question est aujourd'hui de savoir ce que Wagner va devenir maintenant que son leader a disparu. Aucun successeur n'étant désigné, le flou est grand sur l'avenir des membres de cette milice. Sur le front ukrainien, Wagner était déjà en recul depuis plusieurs mois pour céder leurs positions à l'armée régulière. En Afrique aussi l'avenir de Wagner est en suspens. Lors de sa dernière mise en scène, Prigojine disait effectuer une « mission de reconnaissance » pour « rendre le continent africain encore plus libre ». Ces dernières années, l'Afrique représentait une part considérable des activités du groupe, engagé en Lybie, au Soudan, en Centrafrique, au Mozambique, à Madagascar et au Mali. Sans oublier sa possible présence au Niger. Pendant ce temps, lors du sommet des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) à Johannesburg, Poutine a profité dans son intervention par vidéo depuis Moscou pour justifier sa guerre menée en Ukraine. Bien que le mandat de la Cour pénale internationale (CPI) l'ait empêché de se déplacer en personne, ce sommet est l'occasion pour lui de montrer qu'il n'est pas isolé, et qu'il conserve le soutien de certains de ses partenaires. Alors, quel avenir pour Wagner après la disparition de Prigojine ? Que deviendra-t-il de sa présence en Afrique ? Quel place Poutine occupe-t-il encore sur le plan international ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Comment cet homme d'affaire italien qui a commencé comme gentil organisateur des croisières Costa a-t-il pu, en traversant une initiation auprès de l'ultra-sulfureuse loge fasciste "Propaganda Due", se hisser au sommet absolu de la politique italienne, et comment en est-il tombé d'un seul coup après d'être opposé aux projets de Barack Obama pour la Lybie? SOUTENEZ le podcast : https://www.paypal.com/paypalme/IdrissAberkanePod?country.x=FR&locale.x=fr_FR Écrivez-moi à IdrissAberkanePodcast@gmail.com pour toute demande commercial. #Italie #SilvioBerlusconi #IdrissAberkane
Depuis la 6e édition du What a Trip de Montpellier, Flo et Steph de la webradio voyage Allô la Planète accueillent la réalisatrice Sophie Bachelier et Yancouba Badji venus présenter le film Tilo Koto . Film qui a beaucoup touché le public du festival. Sophie Bachelier raconte son parcours professionel et explique la raison pour laquelle elle s'intéresse aux thématiques de l'émigration, de l'exil, aux destins singuliers bouleversés par l'histoire collective qu'elle tente de restituer depuis plusieurs années sous différentes formes narratives. Le casamançais Yancouba Badji Yancouba raconte sa rencontre et ses premiers échanges avec les deux réalisatrices du documentaire dans un centre de réfugiés en Tunisie. Après quatre vaines tentatives, sa dernière traversée de la Méditerranée depuis les côtes libyennes, s'était arrêtée brutalement dans le Sud tunisien. Un an et demi sur les routes clandestines où il a failli maintes fois perdre la vie. Tilo Koto, c'est l'histoire d'un homme brûlé dans sa chair et son âme par la traversée d'un enfer qu'il sublimera par la peinture.
Rencontre avec M. Mohamed Al Hammadi, Écrivain et journaliste spécialisé dans les affaires internationales, intéressé par le dossier du terrorisme et de l'islam politique au Moyen-Orient et les questions de libertés et de droits de l'homme. Il dirige actuellement le Centre international" Jusoor" à Genève, est président de l'Association des journalistes des Émirats arabes unis et membre du Comité exécutif de la Fédération internationale des journalistes à Bruxelles. Il a publié trois livres, dont « La chute des frères musulmans ». Gilles Soulhac l'a rencontré lors du symposium "Pourquoi les organisations et les actions internationales ont échouée en Lybie, en Syrie et au Yémen pour instaurer la paix." au Club la suisse de la presse.
Avec Samuel Armanius www.les21.com
L'Orient rencontre l'Occident à travers la musique. Une sélection de jeunes artistes d'Egypte, de Lybie, du Liban, de Turquie, de Syrie, Palestine, Inde, Pakistan (entre autres) et des artistes à l'influence orientale en provenance des États-Unis, du Japon, du Brésil, d'Autriche, de Hongrie et d'Italie. Featuring tracks by: Babel Metis, Omid Walizadeh, Grup Sës Beat, Restless Legg Syndrome, The Gaslamp Killer, Wodashin x Dirty Tape, Maryam Sale7, El-Rass Ft. Abyusif, The Clerk X Milangeles, Farhot, Chakk, Edd Fareeq L'Atrash x Yaseen x Malikah x Ram6 Hamorabi, Alsarah & The Nubatones, Stas, Su Real, Bosaina, Rais Khan x Ashraf Khan x Maga Bo, Mahrgan a3ksah at7rsh l2.Sadat and fifty,مهرجان الحظ و كبده استديو مافيا العظماء ...
Ce soir, ''Jour J'' reçoit Pierre Martinet, ancien otage en Lybie et ex agent au service action de la DGSE. Découvrez dès à présent un extrait de l'émission et rendez-vous ce soir à 20h sur RTL pour écouter la suite de ce nouveau numéro de "Jour J". "Jour J", c'est l'émission des grands entretiens d'actualité internationale, culturelle, économique et politique. Chaque jour sur RTL de 20h à 21h et en podcast, Flavie Flament reçoit un acteur de l'actualité et revient avec lui sur une date fondamentale de sa vie.
Consultant pour l'Office central des biens culturels au sein de la Police judiciaire, l'archéologue néo-aquitain Vincent Michel raconte comment s'organise la recherche des oeuvres et artefacts pillés en zones de conflit, notamment en Lybie et en Syrie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:36 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - C'est une bouffée d'oxygène, un rayon de soleil pour les jeunes qui vivent dans une Libye encore instable et chaotique, sans beaucoup d'horizon....
durée : 00:02:36 - La chronique d'Anthony Bellanger - par : Anthony BELLANGER - C'est une bouffée d'oxygène, un rayon de soleil pour les jeunes qui vivent dans une Libye encore instable et chaotique, sans beaucoup d'horizon....
L'auteur du tweet raciste contre Kylian Mbappé après l'élimination de l'équipe de France à l'Euro, sera jugé ce mercredi au tribunal correctionnel de Paris. Le supporter de l'équipe de France, qui avait tweeté des propos racistes à l'encontre de Kylian Mbappé après son tir au but manqué contre la Suisse lors de l'élimination française au dernier Euro, va être jugé ce mercredi devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris. L'individu avait publié un message à caractère raciste sur le réseau social Twitter : «Kylian Mbappé ce sale nègre mérite de se prendre une centaine de coups de fouets et de se faire revendre en Lybie ce négro ne mérite pas la République Française direction le Cameroun ou les champs de coton…» avait-il écrit suite à l'élimination de la France en 8es de finale de l'Euro. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/aziz-mustaphi/message
Nouche, de son vrai nom Mouhamadou Moustapha Ndiaye, est un jeune sénégalais qui a quitté son Sénégal natal à l'âge de 17 ans pour faire ses études à Londres. En 2014, il y a à peine 8 ans, a commencé sa folle aventure d'aller explorer ce monde et ce qu'il regorge de beau. Partir en fin fond de la Palestine, visiter la Jordanie, la Lybie, l'Europe entière, aller voir les aurores boréales en Islande, essayer de prier dans la mer rouge comme le prophète Moussa (je ne sais pas s'il a pu la diviser en deux, on va l'appeler Kukandé du coup), ou encore visiter la Mecque deux fois, partir au Brésil sur un coup de tête, on va dire que ce n'est pas chose commune de nos jours, de tous les temps d'ailleurs. Et ce qui est incroyable mais vrai, il a visité tous ces pays avec son passeport sénégalais !Je t'invite donc à aller écouter avec attention et j'espère avec beaucoup de plaisir ma conversation avec THE Nouche Life. J'aurais tellement appris sur l'importance d'avoir des rêves dans la vie et de se donner les moyens pour y arriver.J'aurais beaucoup appris sur l'abnégation, le courage, la détermination et la capacité à se surpasser quand on veut quelque chose. Ci dessous, quelques sujets abordés dans ce podcast. 18:00: Voyager avec un passeport sénégalais20:00: Le tunnel de l'amour
En cette année 2011, la Tunisie, l'Égypte et la Lybie ont vu le sol trembler sous les pas des manifestants et de leurs slogans. Dans chacun de ces pays, tous ne réclamaient qu'une seule chose, le départ de leur président, qui bien souvent était en place depuis trop longtemps, et s'accrochait au pouvoir. Alors, inspirés par ce qu'ils ont vu ailleurs, quelques adolescents vont s'improviser tagueurs et écrire sur le mur d'une école de la ville de Deraa : '' Ton tour arrive, docteur ''. Mais qui est ce docteur ? Et bien il s'agit de Bachar al-Assad, le président syrien, ophtalmologue de formation. Pour avoir tagué ce mur, ils seront détenus plusieurs semaines, et même torturés. Texte de Bastien Robin Ecoutez Jour J avec Flavie Flament du 24 janvier 2022
La route, le photojournaliste Pierre Terdjman la connaît bien. De la République centrafricaine à la Lybie en passant par l'Afghanistan et la Géorgie, le reporter a beaucoup roulé. Dans cet épisode de Bagnolards, il se souvient des voitures qui ont marqué ses reportages, en particulier d'un Land Rover avec lequel il se déplaçait dans Bangui, la capitale centrafricaine, en proie à la guerre civile. Pierre Terdjman évoque aussi la car culture des pays qu'il a arpentés pour réaliser ses reportages. Le photographe explique d'ailleurs comment on conduit dans un pays en guerre. Et raconte l'histoire de Lady Caddi, une Cadillac DeVille devenue la mascotte de Dysturb, collectif de photojournalistes et studio créatif qu'il a cofondé en 2014.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/bagnolards. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
V říjnu 1991 unesl 17letý mladík z Nových zámků letadlo TU 134 A mířící z Bratislavy do Prahy. Únosce nejprve hrozil výbušninou, a kromě dvou padáků žádal milion marek.
Nous sommes le 20 octobre 2011. Le tyran n'est plus qu'une dépouille ensanglantée dont on peine à imaginer qu'il ait un jour porté l'âme d'un dictateur capable de mener son peuple à l'agonie. Muammar Kadhafi est mort, à Syrte, en Lybie, dans son fief natal, dernier rempart des loyalistes, dans lequel il s'est réfugié, fin août, quand la capitale Tripoli est passée aux mains des « thuwars », les rebelles révolutionnaires. Menacé par les tirs et une frappe aérienne de l'OTAN, Kadhafi, son fils Moatassem et une poignée de fidèles avaient organisé la fuite. Ils devaient partir ce matin, vers 4.00, pendant le sommeil des rebelles. Mais ils se mettront finalement en marche plus tard... trop tard. Ecoutez Jour J avec Flavie Flament du 05 octobre 2021
Ce vendredi 4 juin, comment les drones armés fabriqués en Turquie sont en train de prendre un essor industriel et stratégique de première ordre a été expliqué par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique dans l'émission Good Morning Business présentée par Sandra Gandoin et Christophe Jakubyszyn sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast..
L'objectif du projet "Jardins du Sahara" est de faire revivre les anciennes traditions de l'agriculture oasienne dans les montagnes du Tibesti et de les compléter avec les outils actuels de l'agriculture durable. Il vise à fournir des produits frais, de qualité, à la population locale qui importe des conserves de Lybie. L'ethnologue Tilman Musch, de l' Université de Bayreuth, est l'invité du Club.
Au sommaire: "2034, ou la prochaine guerre mondiale et la situation en Lybie."
Il y a dix ans, quasiment jour pour jour, un mouvement de contestation populaire parti de Tunisie, embrasait le monde arabe…, les révoltes s’étaient alors propagées et, tel un tsunami, avait balayé des régimes autoritaires en place depuis des décennies… Moubarak en Égypte, Ben Ali en Tunisie, Kadhafi en Lybie… le vent du « printemps arabe » avait même soufflé sur le Maroc, Bahreïn, ou encore l’Algérie avec plus ou moins de succès. Mais une décennie plus tard, alors qu’en Europe on se réjouissait de la démocratisation du monde arabe et musulman, le « printemps arabe » a laissé place à « l‘hiver islamiste »… Les formations islamistes ont su profiter de la contestation sociale… Mais pour de nombreux spécialistes, le retour des islamistes dans le jeu politique ne serait EN réalité que la conséquence d’une révolution salafiste mondiale... Cette révolution islamiste aurait même commencé à produire des effets en Europe en France… Depuis quelques semaines le débat a même pris une nouvelle tournure avec le concept « d’islamo-gauchisme » … Alors : la révolution islamiste : mythe ou réalité ? Pour en parler, je reçois Samir Hammal, professeur d’institutions politiques à Sciences Po et enseignant de Culture Générale à la prépa ISP…
L'Histoire du Soir en LYBIE avec Maurine MERCIER – Un espoir de paix serait-il en train de naître en Lybie ?
Au menu : la liste de Mondher Kbaier contre la Lybie et la Guinée equatoriale pour la suite des qualifs de la CAN 2021. L'analyse d'avant-match face à la Libye, le onze idéal, les enjeux etc.
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce mardi, il s'intéresse au nouveau gouvernement lybien. Abdelhamid Dbeibah a prêté serment ce lundi.
Quatre lycéennes havraises ont été sélectionnées pour la finale régionale du concours de plaidoirie des lycéens du Mémorial de Caen. Quatre jeunes femmes engagées et passionnées. Israa, scolarisée au lycée Porte-Océane, s'élève contre la "Kafala system" en Lybie.
Récit de Vie #1 - Eric, anciennement détenu en prison en Lybie Ce premier récit de vie est l'histoire d'Eric, ancien moine bouddhiste, ayant été détenu arbitrairement en prison en Lybie par des milices pendant plusieurs mois. Lors de son arrestation, il était avec son père avec qui il a partagé cette expérience d'enfermement total et de sévices psychologiques. Il nous explique dans ce récit comment la pratique bouddhique lui a permis d'aller au delà de l'injustice subie et d'accepter la situation telle qu'elle était afin d'en tirer sa responsabilité. Son bourreau lui est même apparu comme une personne aux facettes différentes, un démon aux comportements sadiques envers les prisonniers mais aussi un être humain avec des élans d'empathie. Riches d'enseignements, ce témoignage nous est délivré avec simplicité et bienveillance, je remercie Eric qui a accepté de nous partager cette étape intime de sa vie et ce qu'elle lui a appris. Merci de partager cet épisode autour de vous, de laisser un commentaire sur Apple Podcasts ou de noter l'épisode, cela me fera extrêmement plaisir et récompensera ce dur labeur mené à bien depuis plusieurs mois. ___ CRÉDITS : Réalisation/Habillage sonore/Voix : Susana d'Arcambel Mixage : Swann Brosset Musique originale : Frédérique Bouchain Illustration : Aurore Heldt
Le Plan Q du jour, c'est la série "L'Arabe du Futur" de Riad Sattouf, une des sagas de bandes-dessinées les plus populaires de ces dernières années. Abonnez-vous au podcast pour ne rater aucune épisode du Plan Q Une oeuvre à nous suggérer ? Laissez-nous un commentaire !
durée : 01:53:31 - Les Matins du samedi - par : Caroline Broué, Stéphanie Villeneuve - L'écrivain et membre de l'Académie française Amin Maalouf qui fait paraitre "Nos frères inattendus", chez Grasset // Entretien autour du Liban et de l'ONU, avec l'ancien Envoyé spécial de l'ONU en Lybie, ancien ministre de la Culture du Liban et professeur émérite à Science-Po, Ghassan Salamé. - réalisation : Jean-Christophe Francis
Texte:La France n'acceptera pas une intervention militaire turque en Lybie. Emmanuel Macron accuse Ankara de jouer “un jeu dangereux”.Traduction:France will not tolerate Turkey's military intervention in Libya. Emmanuel Macron is accusing Ankara of playing "a dangerous game".
Chaque jour, Europe 1 s’intéresse à ce qui fera l’actualité demain dans le monde. Aujourd'hui, en Lybie, les menaces d’intervention de l’Egypte, par Didier François.
Dans le flash de la semaine, Un autre angle revient sur l'actu de la semaine, en 4 minutes chaque samedi soir ! Politique, relations internationales, économie, social, culture et environnement, tous les thèmes seront traités. Les sujets qui ont fait la une seront bien sûr aborder, mais aussi des thématiques moins médiatisées, pour apporter encore plus d'info. Au programme du flash de la semaine du 1er juin : États-Unis : manifestations contre les violences policières et recueillement pour George Floyd France : manifestations de solidarité au mouvement Black Lives Matter sous l'impulsion du collectif "La Vérité pour Adama" COVID-19 : le point sur la progression de la pandémie Économie : une reprise en demi-teinte Politique : la fuite des documents de travail sur le prochain remaniement gouvernemental Espace Schengen : une réouverture progressive et coordonnée des frontières Libye : une victoire stratégique importantes pour le Gouvernement d'Union Nationale Hong Kong : une commémoration de Tian'anmen sous haute tension Bonne écoute et à la semaine prochaine !
STAV: primitivní industrializace, minimální průmyslová základna, chaotické kořistění surovinového bohatství - přírodního (kaučuk, dřevo), surovinového (ropa, diamanty) - ekologické katastrofy, nízká konkurenceschopnost, nestabilní režimy, časté puče Válečné konflikty v Africe: války o surovinové zdroje - Angola - ropa a diamanty (Lidové hnutí za osvobození Angoly S x Unita J, Sierra Leone - diamanty, Súdán - ropné zdroje (mezi křesťanským jihem a muslimským severem), Nigérie - ropa - Republika Biafra, Spory o hranice - Somálsko x Keňa, Súdán x Egypt, Lybie x Čad, Etiopie x Somálsko, Spory o území Etiopie x Eritrea, Maroko x Alžírsko (o Západní Saharu), Náboženské a etnické konflikty - genocida umírněných Tutsijů a Hutů radikálními Tutsiji, Burundi - Zpočátku Tutsijové vyvražďují Huty, posléze naopak, Klanové a rasové konflikty - Zimbabwe - občanská válka v Rhodésii (dnešní Zimbabwe) - černošská většina x bělošská menšina, nakonec dohoda v Lancsster House - zdárné odzbrojení, Uganda - 5 království, těžké sjednotit - Sjednocení diktaturou - Adi Amin, SNAHY O SPOLUPRÁCI Organizace Africké jednoty (OAU) - sdružuje osvobozené státy bez koloniální nadvlády - 1963 Addis Abeba, zánik 2002 (v organizaci již téměř všechny africké státy), Hnutí nezúčastněných (neangažovaných) - celá Afrika kromě Západní Sahary a Jižního Súdánu, ECOWAS - hospodářské společenství západoafrických států - Senegal, Gambie, Guinea-Bissau, Guinea, Sierra Leone, Libérie, Pobřeží slonoviny, Ghana, Mali, Burkina Faso, Togo, Benin, Nigérie, Niger LAS (Liga arabských států) - vojenská spolupráce - S Afrika (Mauretanie, Maroko, Alžír, Tunis, Lybie, Egypt, Súdán, Džibutsko, Somálsko + celý arabský poloostrov kromě Izraele - Saúdská arábie, Jemen, Oman, Spojené arabské emiráty, Badrain, Katar, Kuwait, Palestina, Jordánsko, Irák, Sýrská účast r 2011 odložena ARABSKÉ JARO 2011 - Tunisko - 1. Protesty 2010 sebevražda upálením prodavače Muhammada Buazízího - důvod: více jak 70% nezaměstnaných ve věku 15 - 27 let, omezení internetu, prezident Zine El Abidine ben Ali ve funkci 1987 - 2011, uprchl do Saúdské arábie, nový prezident Moncef Marzouki, Egypt - 1/2011 Káhira - demonstrace proti korupci a chudobě, 2/2011 odstupuje prezident Mubarak (ve funkci 1981 - 2011) - vládu předává armádě 6/2011 Mubarak za své nepřítomnosti odsouzen na doživotí, Maroko - 2/2011 demonstrace v Rabatu - požadavky: reformy, nová ústava, 7/2011 Muhammad V (po Muhammadu V ben Júsaf), vítězství v referendu o reformě vlády - nedochází ke změně vlády, Lybie - 2/2011 demonstrace x vládě Muammara Kaddáfího 1969 - 2011 - reaguje na demonstrace střílením - mobilizace armády, proti civilistům nasazuje i letadla - obviněn ze zločinů proti lidskosti, stíhán OSN, 10/2011 dopaden povstalci, zlynčován a zastřelen- vítězství rebelů, nicméně obyvatelstvo ozbrojeno => mnoho menších konfliktů
1. Evropané už 14. Století, 15. Století Portugalci - cílem Indie (později i Holanďané - cílem Indonésie) objevné plavby podporuje Jindřich Mořeplavec 1415 dobytí Ceuty 1487 Bartolomeo Diaz - mys Dobré naděje 1498 Vasco de Gama obeplutí Afriky 16. Století osady na pobřeží - Portugalci a Holanďané, ve vnitrozemí domorodé říše - Říše Ašantů (Ghana), Dahome - časté boje - o otroky a suroviny, 17. Století velmi výnosný obchod - odvlečeno asi 60 200 000 otroků => časté války - prodej otroků = výdělek, 17. - 18. Století Afrika - zdroj otrocké pracovní síly pro americké plantáže, využití mezikmenových válek, období průmyslové revoluce - Afrika na okraji zájmů velmocí (málo kolonií - např Alžír - Francie, Sierra Leone - VB), jižní Afrika - Búrové = kalvínští většinou nizozemští a němečtí přistěhovalci do Afriky v 17. Století - v Evropě nepřijímáni - 30. - 40. Léta 19. Století Velký trek - Búrové putují na S do vnitrozemí - na J Britové označují území za své vlastní kolonie - vyhnání Búrů ( Afrikánců) - vytvoření búrských států - Transvaal, Oranžsko, Natalie (později britská kolonie Natal), přelom 19. a 20. Století Burské války (2), počátek 19. Století zákaz obchodu s otroky - ne vždy dodržováno, USA - emancipační proklamace - 70. Léta 19. Století - ustanovení ilegality otrokářství, 1847 1. Svobodný černošský stát - Republika Libérie - stěhování černochů z USA, 1869 budování Suezského průplavu - začínají Francouzi, dále Britsko-francouzská společnost (1956 znárodnění - egyptský prezident Gamal Abdal Násir OBJEVOVÁNÍ NEPROBÁDANÝCH MÍST - cesty do rovníkové Afriky - David Livingstone - skotský misionář - Viktoriiny vodopády - jedny z největších na světě, Livingstonovy vodopády, Livingstonovo pohoří, Henry Stanley z Wales- hledá Livingstona - úspěch, pomáhá Leopoldu II se založením Belgického konga, oproti Livingstonovi souhlasí s otrokářstvím, novinář, Emil Holub - český badatel - etnografická výprava u Zambezi k Viktoriiným vodopádům, narozen 1847, IMPERIALISMUS - léta 1880 - 1914 metody-křesťanské misie, obchodní stanice, protektorátní smlouvy - chápány jako obchodní kontrakt, násilí - na místech, kde se domorodí vládcové odmítají podřídit, hospodářský rozmach evropských zemí - stoupá význam kolonií - i s objevem kaučukových lesů, nalezišť diamantů a kovů- rozdělení světa na impéria - 1885 konference v Berlíně (Kongokonferenz) - sféry vlivu, regulace expanze, koloniální velmoci: Velká Británie - plán Cecila Rhodese - S-J od Kapského města až po Káhiru - kolonie: Egypt, Súdán, Britská východní Afrika, Natal, Ňaska (dnešní Malawi) Rhodésie (po siru Rhodesovi), mimo hlavní plán Nigérie, Gambie, Ghana, Sierra Leone, Burské války (1899 - 1902) - Búrové (gerilová válka) x VB - velké ztráty u Britů - nasazení 500 000 vojáků, schopných Búrů (nikoli ženy a děti) 85 000, neúspěch britů v 1. Burské válce - drastické metody: koncentrační tábory, mučení - Búrové se přizpůsobují a také užívají drastických prostředků, 2. Burská válka - dočasné podrobení Búrů pod podmínkou brzké autonomie - 1910 částečně splněno vznikem Jihoafrické unie, Francie - směr V-Z - střet s VB - Fašodská krize (J - Súdán - stanice Fašoda) - ústup Francie ( vnitřní problémy - Dreyfusova aféra + spojenecké Rusko nemá zájem se v této oblasti angažovat), kolonie: Alžír, Tunis, Francouzská západní a rovníková Afrika (např. dnešní Maroko, Mauretanie, Mali, Niger, Čad, Gabon), Madagaskar, Francouzské kongo, Portugalsko - Angola, Mosambik, Německo - Namíbie, Tanzanie, Kamerun, Togo, Itálie - Lybie, část Somálska, neúspěšný útok na Etiopii (Habeš) - znovu před 2. Světovou válkou - Mussolini, Španělsko - např Západní Sahara, Belgie - Kongo VZPOURY DOMORODÉHO OBYVATELSTVA - povstání kmene Hererů - 1. Genocida moderních dějin 2000 německých vojáků x 85 000 Hererů (celkově) - přežije 15 000 - rozehnání na poušť, Války v Dahome - převaha průmyslově vyspělejších Francouzů, Mahídský stát - muslimský vůdce al-Máhdí - osamostatnění Súdánu 1881 - 1899), po smrti al-Máhdího opět součást VB
ÚVODNÍ CHARAKTERISTIKA: rozloha 30 500 000 km2 (Evropa 10 200 000 km2), obyvatelstvo - přes 1 mld. - 15% světové populace - S arabské komunity, J bělošské komunity - Zimbabwe, JAR, vysoká - negramotnost, natalita (porodnost - na 1 ženu např. v Nigeru připadá plodnost více jak 7 dětí), kojenecká úmrtnost, mortalita (úmrtnost) - muži 46-50 let, ženy 50 let, S Afrika muži 66 let, ženy 70, náboženství - Islám 45%, křesťanství 40%, Baháí - vznik 19. Stol., judaismus, hinduismus, Státy - 55, zásahy ekonomicky vyspělých zemí, režimy nestálé - vojenské diktatury, spory o území a hranice - Lybie x Čad, Etiopie x Eritrea, Etiopie x Somálsko, Somálsko x Keňa, Alžír x Maroko (spor o Západní saharu), války o surovinové zdroje - Sierra Leone - diamanty, Nigérie - ropa, Etnické konflikty - Rwanda, Burundi, Klanové, rasové a politické problémy - Somálsko, Zimbabwe, Uganda, Typické rysy života - nestabilní režimy - časté puče, vojenské diktatury, malá průmyslová základna - pomalá industrializace, primitivní nemechanizované zemědělství, nemoci, hladomory, chaotické kořistění surovinového a přírodního bohatství => ekologické katastrofy, humanitární pomoc, hospodářství - nižší HDP, konkurenceschopnost, účast na mezinárodním trhu PRAVĚK AFRIKY - osídlení - lovci, sběrači - dnes Khoi - lidé, kteří vlastní domácí zvířata - hanlivě hotentoti, San - křováci, černý světadíl, kolébka lidstva - Darwinova teorie: egyptopythekus, ramapythekus, dryopythekus, ramapythekus - před rozdělením - dále se dělí na a) hominoidy b) kočkodanovité (opice Starého světa) a) hominoidi - 1) hominidé 2) giboni 1) hominidé - Australopythekus - Taungské dítě - vesnice Taung v JAR, 1,5m, 50 kg, bipedie, pravděpodobně slepá linie, dále se hominidé dělí na rody - a) šimpanz b) orangutan c) gorila d) člověk - Rod člověk - vývojové typy a) homo habilis - člověk zručný, rokle Olduwai- Tanzánie, Jezero Turkana - Keňa, b) homo erectus - člověk vzpřímený - 2 - 1,8 mil. Let, rozšíření do Asie, Evropy c) homo sapiens - člověk rozumný, 4) homo sapiens sapiens - člověk dnešního typu, Teorie a) monocentrická - vývoj člověka pouze v Africe b) polycentrická - vznik člověka na více místech zároveň - např. I v Asii, STAROVĚK - neolitické kultury 7000 př n l - území Sahary - v této době není pouští + dolní tok Nilu - pšenice špalda - znalost zemědělství z oblasti úrodného půlměsíce 6000 př n l organizované záplavové zemědělství, hovězí dobytek, holuby, drůbež, posvátné zvíře - kočka, první státy, 3000 př n l spojení Horního a Dolního Egypta - Stará říše - pyramida v Sakkáře, pyramidy v Ghize, hlavní město Memfis (Mennofer), Střední říše - hlavní město Ictavej - ve fajjúmské oáze, útoky mořských národů - Hiksósové - koně, válečné vozy, Nová říše - největší rozkvět, faraoni - S - vyspělé národy - Ramesse II - bitva u Kadéše - 1. Mírová smlouva - chetité, vývoje na J - Núbie - stavební kámen, cín, zlato Pozdní Egypt - Peršané, Alexandr Makedonský, Ptolemaiovci, Římané, Kromě Egypta - Aksamitské království - území Etiopie, Království Sahelu, Numidie, Núbijské království, S Afriky - Středozemní moře - Řecké kolonie - Apollonia, Kyrené, Naukratis, féničané - Leptis Micra, Leptis Megalé, Acholla, Oié, Sabratha a Kartágo - kolonisté z města Tyros, opevnění, 3 přístavy - 2 obchodní, 1 válečný, obchodní flotila - cín ze Skandinávie, pávy a opice z Afriky, Britské i Kanárské ostrovy, rivalita s Římem - Punské války (3) - 2. Punská válka - přechod Hannibala přes Alpy se slony, všechny 3 války prohra - konec Kartága - Římské kolonie - Numidia, Aegyptus, Afrika (zde město Římské Kartágo), Mauretania, Cyrenaica - východ Lybie, STŘEDOVĚK - rozdělení Říma - 395 n l - Vandalové přes Pyrenejský poloostrov do Římského Kartága - zde zakládají Říši Vandalů - odtud nadjezdy - 410 n l dobytí Říma, Egypt - součást Byzantské říše - rozkvět 6. Stol. - Justinián I., 622 Hidžra - 7. Století dobytí Egypta Araby - zastavení arabů až v bitvě u Poitiers - u Gibraltaru Karel Martel, J od Sahary organizované státy - Ghana, Benin
Invité : Amiral Olivier Lajous Conseils aux dirigeants et managers de l'auteur de l'Art de Diriger, l'Art du Temps et l'Art de l'Equilibre. Olivier Lajous a passé 38 ans sous l'uniforme de la marine nationale, d'abord matelot à 19 ans, il a commandé 3 navires de combat, participé aux opérations extérieurs en Irak, Liban, Lybie, Afghanistan. Devenu directeur de communication de la marine, puis DRH, il reçu le Trophée du DRH de l'année en 2012. Disponible en vidéo : https://youtu.be/7HPuMxqNSRI
Pour ce nouvel épisode de Chiffon, je reçois une femme qui est un véritable modèle de courage, d’humanité et d’élégance. Depuis 1984, des millions de téléspectateurs l’ont vue dans le journal de 20h sur France 2, non en studio mais sur le terrain en direct de Sarajevo assiégée, depuis Bagdad, ou encore en Lybie ou en Syrie. Martine Laroche-Joubert est grand reporter et spécialiste des zones de conflits dans le Monde.Elle est arrivée dans ce milieu par hasard mais ne regrette aucunement ce choix. Martine est une aventurière qui nous raconte avec beaucoup d’humilité -et avec beaucoup d’anecdotes- son quotidien dans les zones de guerre. Et qui dit quotidien dit fringues. Et on ne s’habille pas par hasard même dans les zones de conflit. Martine se fait un point d’honneur à « toujours être présentable » sur le terrain par respect pour les populations locales.Son uniforme ? Elle refuse le gilet pare-balles car trop lourd pour une femme. Sa valise contient des culottes jetables en papier, des lingettes pour l’hygiène, des crèmes hydratantes, du maquillage, des foulards, des chemises à manches longues, des chaussures de marche à scratch, des vêtements « commodes mais jolis ». Etre propre et présentable lui donne confiance en elle.Quand elle revient à Paris, Martine enfile des pantalons slim, du cachemire et des jolis sous vêtements. Elle nous rappelle que la séduction n’a pas d’âge.Sa définition de l’élégance ? « On peut décider d’être élégant » mais cela ne passe pas forcément par des vêtements. Martine nous donne l’exemple des combattantes kurdes qui sont selon elle des modèles d’élégance avec leurs nattes et leurs foulards colorés.Une femme au front de Martine Laroche-Joubert au Cherche Midi, 192 pages, 17 euros.Valérie Tribes See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Dans ce 25ème épisode, Loren raconte son tour du bassin méditerranéen en camping car
durée : 00:02:34 - BD bande desinée - par : Jean-Christophe OGIER - Cet été , chaque samedi, une BD d'actualité et de reportage. Cinq journalistes d'investigation et un dessinateur tirent les fils des relations troubles entre la France de Nicolas Sarkozy et la Lybie de Mouammar Kadhafi.
Regard sur le monde:Maurine Mercier correspondante en Lybie ; Gaza,escalade de violence entre Israël et Palestine:Le point avec B. Barthe ; Chronique municipale de M-A Carignan:Musée McCord, agrandir plutôt que déménager ; Retour sur le conseil général du PLQ avec Dominique Anglade ; Chronique politique avec Sébastien Bovet ; Colmatage de la digue de Sainte-Marthe sur le Lac avec la mairesse Sonia Paulus ; Économie avec René Vézina ; Entrevue avec le danseur Guillaume Côté:Sa création Crypto ; Duo Marie Grégoire et François Cardinal ; Entrevue de Laurence Vincent Lapointe:Début des essais nationaux de canoë-kayak ; Faire le tour du monde en 80 jours et sans un sou en poche avec Muammer Yilmaz
Franz Schubert a 25 ans en 1822 lorsqu’il entame la composition de sa symphonie n°8 en si mineur, plus connue sous le nom de Symphonie Inachevée. Malade, il ne la terminera jamais. Depuis, l’œuvre intrigue et de nombreux compositeurs s’essayent à la compléter. Et ce 04 février, la symphonie sera présentée au Cadogan Hall de Londres avec ses deux derniers mouvements composés par… une intelligence artificielle de Huawei. "Nous avons utilisé les capacités de l'intelligence artificielle pour repousser les limites de ce qui est humainement possible et ainsi voir l'impact positif que la technologie pourrait avoir sur la culture moderne.", se félicite Walter Ji, président de CBG, Huawei Western Europe. Alors une IA peut-elle remplacer la créativité humaine ? Peut-on encore parler d'art lorsque c'est une machine qui produit ? A quoi cela sert-il, de demander à une IA de composer de la musique, est-ce autre chose qu'un coup de pub? On va en parler avec nos invités, Thierry Dutoit, professeur à l'Université de Mons, président de l'institut Numédiart qui étudie les liens entre l'art et le numérique, et Pierre Barreau, co-fondateur de Aiva, une start-up qui crée justement de la musique grâce à l'intelligence artificielle. FOCUS 2 / Journalisme en zone de guerre : comment se forme-t-on avant de partir ? Une équipe de la RTBF se prépare à partir au Yémen, une zone du monde peu couverte par les médias... Le Yémen est en guerre depuis quatre ans et en proie à une situation humanitaire catastrophique. Sur place, il faudra faire attention. Ne pas se faire remarquer. Assurer sa sécurité, passer des checkpoints, être capable de réagir rapidement en cas de danger. Comment se forme-t-on à tout cela ? Les Décodeurs ont assisté à la formation et interrogé Gaetan Vannay, le formateur, reporter de guerre pendant 17 ans dans des zones comme la Lybie, la Syrie ou la Géorgie. Tendances Pub - Super Bowl, Super Pub Dans sa rubrique Tendances Pub, Frédéric Brébant s’intéressera à l'événement sportif le plus populaire des Etats-Unis qui est aussi la plus grande foire publicitaire sur écran : le Super Bowl, finale du championnat de football américain qui se déroulera dans la nuit de dimanche à lundi pour nous, téléspectateurs européens. Nouvelles Technologies - IA : Gagner à Starcraft2 et conquérir le monde L’intelligence artificielle de Google, AlphaStar, a sèchement battu des joueurs professionnels du jeu vidéo Starcraft2, un jeu de stratégie en temps réel. C’est une vraie performance qui ouvre la porte de nombreuses autres applications. Jusqu’à la stratégie militaire ? Une chronique de Gilles Quoistiaux. L’Autre Web – Le monde brûle Hé non, Instagram n’est pas qu’un réseau social destiné à poster des photos de soi à la plage ! Saviez-vous que c’est aussi un endroit où de nouvelles formes de BD trouvent leur place ? Lucie Rezsöhazy met quelques comptes Insta à l’honneur, de la BD futuriste avec « Le monde brûle », à l’illustrateur québécois Alex Lévesque et son compte décapant « Dessine Bandé ». Présentation : Marie Vancutsem
Osm neziskovek ve Středozemním moři zachraňuje uprchlíky z Libye a Afriky. Jedna z nich je vyšetřovaná za spolupráci s pašeráky. A to je vše. Do toho sporný kodex a pomalé jednání EU, Frontex a EASO. Italské úřady vyšetřují aktivisty z Jugend Rettet (loď Iuventus), dále u Lybie operují MOAS, Stichting Bootvluchting, MSF (Lékaři bez hranic), Save the Children, Proactiva Open Arms, Sea-Watch, Sea-Eye a Life Boat. V mém videu probírám vše podstatné - neziskové a nevládní organizace, pašeráci, převaděči, migranti, uprchlíci, migrace, kodex, záchrané čluny, lodě, motory, soudy, vyšetřování, financování, Soros, důkazy, Zdechovský, Freedomeurope.eu, ilumináti, NWO a další. Názor a kritika. ZDROJE: - Článek T. Zdechovského: http://bit.ly/2uEV9aT - Video s důkazy: https://youtu.be/gMl-sYdljTE - Článek freedomeurope.eu: http://bit.ly/2wGfM7Y HUDBA: Ion Romania - Politics Of Smooth @FMA
Pus grande étendue aride du monde, le désert du Sahara n'est pas pour autant dépourvu de vie et d'habitants. Avec Tinariwen et Tamikrest en concert à Paris, c'était l'occasion de faire un épisode sur les musiciens du Sahara. Nous allons revenir sur la musique des touaregs et celles des toubous, avec des morceaux chantés en arabe ou d'autres langues locales (notamment le tamasheq, une langue touarègue). Une émission au delà des villes, entre les frontières et les états. Retrouvez des groupes qui traversent les frontières de l'Algérie, du Mali, de la Mauritanie, de la Lybie, du Sahara Occidental ou encore du Niger. les musiciens du Sahara Tinariwen - Assawt Mariem Hassan - Id Chab Ibrahim Djo Experience - Blues du Désert (part 1) Hasna El Becharia - Hakmet Lakdar Aziza Brahim - ¡Dios Mío! Group Doueh & Cheveu - Hamadi Tamikrest - Djanegh Etoumast Ali Farka Touré - Jangali Famata Malouma - Jraad Kel Assouf - Lemiyet Kel Tin Lokiene - Ihama Mamane Barka - Mashi Abonnez-vous dans nos réseaux Pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l'intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates).
Pus grande étendue aride du monde, le désert du Sahara n'est pas pour autant dépourvu de vie et d'habitants. Avec Tinariwen et Tamikrest en concert à Paris, c'était l'occasion de faire un épisode sur les musiciens du Sahara. Nous allons revenir sur la musique des touaregs et celles des toubous, avec des morceaux chantés en arabe ou d'autres langues locales (notamment le tamasheq, une langue touarègue). Une émission au delà des villes, entre les frontières et les états. Retrouvez des groupes qui traversent les frontières de l'Algérie, du Mali, de la Mauritanie, de la Lybie, du Sahara Occidental ou encore du Niger. les musiciens du Sahara Tinariwen - Assawt Mariem Hassan - Id Chab Ibrahim Djo Experience - Blues du Désert (part 1) Hasna El Becharia - Hakmet Lakdar Aziza Brahim - ¡Dios Mío! Group Doueh et Cheveu - Hamadi Tamikrest - Djanegh Etoumast Ali Farka Touré - Jangali Famata Malouma - Jraad Kel Assouf - Lemiyet Kel Tin Lokiene - Ihama Mamane Barka - Mashi Abonnez-vous dans nos réseaux Pour suivre Mappemonde, vous pouvez vous abonner à la page Facebook ainsi que le compte Instagram. Vous pouvez écouter l’intégrale des podcasts via iTunes et autres plateformes de podcast (cherchez : « mappemonde radio campus paris » et abonnez-vous aux updates). Mappemonde est une émission créée par Thomas Guillot pour Radio Campus Paris. Épisode animé et réalisé par Thomas Guillot. Générique réalisé par Thomas Guillot.
Après avoir donné conseils astrals très judicieux à M. Hans-Rudolf Merz pour qu'il puisse libérer otages en Lybie, je suis sur les ondes de Radio Banane pour vous donner les passe-partout du bonheur et de la félicité.
Pour écouter cette chronique donnée sur AligreFM le 07/02/2012L’Allemagne comme modèleLa nouveauté de cette dernière semaine est certainement l’installation de l’Allemagne comme modèle économique pour la France. Certains s’en réjouissent, trouvant que c’est une excellente chose que l’Europe entre ainsi dans les faits, d’autres s’en offusquent, trouvant assez surprenant et, pour tout dire, un peu déplaisant de se voir ainsi comparé au bon élève si l’Allemagne est bien un bon élève, ce qui n’est pas le cas dans tous les domaines comme on nous l’a régulièrement rappelé. Mais cet exemple allemand a été surtout convoqué par le Président de la République pour vendre sa TVA sociale dont l’objectif avoué est de réduire le coût du travail. On a dit, à juste titre, qu’une hausse de 1,6% de la TVA n’effacerait pas l’écart entre les salaires français et ceux pratiqués dans les pays émergents. C’est l’évidence, mais ce n’est sans doute pas l’objectif. Cette mesure vise beaucoup plus les écarts de compétitivité entre l’industrie française et celle de nos voisins immédiats avec lesquels nous faisons l’essentiel de notre commerce. Est-ce que ce sera suffisant ? ce peut l’être marginalement pour des entreprises qui exportent en Europe des produits également fabriqués en Italie, en Espagne ou en Allemagne. Tous pays qui pourraient, éventuellement, réagir, en prenant à leur tout des mesures qui renchérissent nos produits. Mais revenons à l’Allemagne : son succès viendrait, si on a bien compris Nicolas Sarkozy, de ce qu’elle a su baisser les salaires, de ce qu’elle a, au fond, appliqué les recettes du Medef. C’est, bien sûr, inexact. Si l’industrie allemande est aujourd’hui si puissante c’est pour bien d’autres motifs.Entreprises exportatrices : des salaires plus élevés que la moyenneLes performances de l’industrie allemande à l’exportation sont, nous dit-on, la meilleure preuve de sa compétitivité. C’est exact. Mais il faut tordre le coût à une première idée : ce ne sont pas des salaires plus faibles qui en sont la cause. Non seulement, les salaires allemands, sont, malgré les mesures de Schröder, parmi les plus élevés au monde, mais ils sont plus élevés que la moyenne dans le secteur manufacturier et ils le sont plus encore dans les entreprises qui exportent (Schank, Schnabel, Wagner, Do exporters really pay higher wages? et Klein, Moser, Urban, The contribution of trade to wage inequality). Ce n’est pas propre à l’Allemagne. On retrouve le même phénomène un peu partout dans le monde, dans les pays industrialisés comme dans les pays émergents. Aux Etats-Unis, l’écart sont de l’ordre de 7 à 11%. Et ceci est particulièrement vrai pour les salariés les plus qualifiés. En Allemagne, cet écart entre les salaires pratiqués dans les entreprises qui exportent et celles qui ne travaillent que pour le marché domestique n’a fait que croître ces dernières années avec la libéralisation des marchés et l’augmentation du nombre d’entreprises allemandes qui exportent. On devine pourquoi : les entreprises qui exportent emploient des personnels plus qualifiés, la concurrence plus vive à laquelle elles sont confrontées les amènent à investir dans tout ce qui peut améliorer leur compétitivité. Et, enfin, comme elles sont en général plus importantes que la moyenne, elles bénéficient d’économies d’échelles. Ce ne sont pas les exportations qui augmentent les salaires, mais ce sont les plus performantes, celles qui emploient les personnels les plus qualifiés, celles donc qui paient les meilleurs salaires, qui exportent. S’il y a eu modération salariale en Allemagne, elle a surtout concerné les entreprises qui travaillent pour le marché domestique. Ce n’est donc pas de ce coté là qu’il faut chercher la raison des meilleures performances de l’industrie allemande.Un tissu de PME exportatrices qui ont la confiance de leur banquierLa raison est plutôt à chercher du coté de la structure de l’industrie allemande. On sait qu’il y a plus de grosses PME en Allemagne qu’en France. Et que celles-ci, qu’on appelle les Mittelstand, jouent un rôle déterminant dans les succès de l’industrie allemande à l’étranger. Mais pourquoi ?On peut avancer plusieurs explications. La première est à chercher du coté du financement de ces entreprises le plus souvent familiales qui entretiennent des liens étroits avec leur banquier. Elles n’en ont souvent qu’un, l’Hausbank, qui les connaît parfaitement bien et est un spécialiste du crédit aux entreprises industrielles. Parce qu’il entretient avec eux des relations solides, il leur prête volontiers sur le long terme, ce qui favorise les investissements de productivité. Parce que c’est un spécialiste du crédit aux entreprises, il peut leur fournir des services multiples et variés : analyse économique du secteur, études de marché à l’étranger… A l’inverse, les entreprises françaises même petites ont en général plusieurs banquiers qui les connaissent moins bien, sont donc plus sensibles au risque pris et préfèrent, pour ce motif, leur prêter sur le court terme : les banques françaises consentent plus volontiers des avances de trésorerie à leurs clients que de quoi financer des équipements et des machines. Ce mode de financement favorise bien sûr le développement d’activités industrielles qui demandent plus de capitaux que les activités de service.Cette qualité des relations entre les entreprises et leur banque est particulièrement utile dans les périodes de crise. Lorsqu’en 2009, l’industrie allemande a connu de très graves difficultés, les banques sont venues au secours de ces entreprises familiales, les prêts aux entreprises ont augmenté alors que chez nous, on le voit aujourd’hui, nos grandes banques ont plutôt tendance à restreindre le crédit dans les périodes difficiles.Et lorsqu’elles prêtent, elles le font dans des conditions proches de celles consenties aux grandes entreprises, ce qui est bien moins le cas en France. Cette différence tient, pour beaucoup, à la structure du secteur bancaire en Allemagne, bien moins concentré qu’en France, avec beaucoup de banques locales, municipales, de coopératives, de caisses d’épargne, les Sparkassen, spécialisées dans le financement de l’industrie, souvent contrôlées par le autorités municipales particulièrement attentives aux performances des entreprises et au marché de l’emploi. Beaucoup ont, d’ailleurs, dans leur raison sociale l’obligation d’être profitable mais aussi de soutenir les activités locales. Si l’on cherchait quelque chose de similaire en France, on pourrait le trouver du coté des caisses régionales du Crédit Agricole dont le rôle dans le soutien l’agriculture française a longtemps été déterminant. De ce point de vue, le projet de François Hollande de créer une banque d’investissement avec des établissements délocalisés dans les régions, proches donc des entreprises, est une bonne idée qui pourrait corriger cette faiblesse notre économie.Une spécialisation qui protègeAutre différence : la spécialisation. Les PME allemandes qui exportent sont plus autonomes que les françaises. Elles ont cherché et trouvé des niches, des créneaux techniques sur lesquelles elles se sont développées à l’abri de la concurrence avec des produits qui ne souffrent pas trop d’un coût élevé, soit parce que le travail n’entre que pour peu dans leur coût final, soit parce qu’ils sont protégés par des brevets qui interdisent la copie, soit encore parce que leur fabrication demande de telles compétences que les écarts de salaires entre pays ne jouent plus de manière aussi significative. Les grosses PME françaises, qui sont souvent des filiales des grands groupes industriels, pratiquent plus volontiers la sous-traitance : si elles exportent, c’est à l’abri, sous le parapluie des grands groupes. Or, cela les fragilise : leur donneur d’ordre peut à tout moment leur préférer un concurrent mieux disant installé ailleurs dans le monde. Tout ce que l’on dit sur l’incitation des grands groupes à tirer les PME à l’exportation va donc plutôt dans le mauvais sens. Cette autonomie à l’exportation des PME allemandes n’est possible que parce que l’Allemagne a développé un formidable outil de mutualisation, de partage des efforts commerciaux. C’est le pays des grandes foires. Il faut être allé une fois à la Foire de Hanovre, qui regroupait l’année dernière 6500 entreprises venues de plus de 65 pays pour en mesurer la puissance. Les industriels du monde entier viennent faire leur marché en Allemagne. On ne peut pas dire qu’ils le fassent en France. Et ces foires allemandes sont accessibles à toutes les entreprises, même aux plus petites : le m2 de stand est vendu à la foire de Hanovre moins de 200€.Centrales nucléaires, TGV ou aéronautique, pour ne prendre que ces quelques exemples de spécialités industrielles françaises, font appel à de très hautes technologies et demandent des compétences et tout un environnement qui ne se copient pas du jour au lendemain. Il faudra des années avant que la Chine ou l’Inde fabriquent des avions capables de faire concurrence à Airbus ou à Boeing. Des années, sauf si… nous les aidons. Et on aperçoit là une autre différence majeure entre la France et l’Allemagne. Nos exportations sont très souvent tirées par de gros contrats négociés au plan politique. Nicolas Sarkozy est allé en Inde faire la promotion du Rafale, après l’avoir tenté sans succès au Brésil et en Lybie, et il espère bien en tirer un avantage politique. D’autres avant lui ont fait de même et c’est même une des traditions les mieux ancrées dans les couloirs du pouvoir que l’organisation de ces voyages politico-industriels où le Président emmène quelques dizaines de grands patrons pour signer des contrats. La presse d’opposition s’en moque en général, soulignant chaque fois que possible l’écart entre les déclarations d’intention et la réalité des contrats effectivement signés. Mais il arrive qu’ils aboutissent. Et c’est alors que la différence entre l’Allemagne et la France apparaît.Que peuvent en effet demander les autorités politiques des pays clients au Président de la République ? des remises de prix ? Ce n’est pas de leur compétence. Ils recherchent des avantages politiques, des investissements chez eux et des transferts de technologie. En achetant des Rafales, si elle les achète bien, l’Inde se procurera également des compétences, du savoir-faire qu’elle pourra demain nous opposer. Il en va évidemment tout autrement lorsqu’un industriel indien achète des roulements à bille, des moteurs ou des pièces mécaniques très sophistiquées à un producteur allemand : seuls comptent alors les caractéristiques, les performances et le rapport qualité-prix. Dit autrement, la spécialisation de l’Allemagne la protège mieux de la concurrence des pays émergents.Un hinterland industrielToutes ces caractéristiques que je viens de décrire sont anciennes, datent, pour certaines, du début de l’industrialisation en Allemagne, pour d’autres de l’immédiat après-guerre lorsqu’il a fallu créer des institutions financières pour distribuer les fonds du plan Marshall. Les mesures Schröder n’ont donc pas grand chose à voir avec cela. Les mini-jobs dont on parle tant, ces emplois qui permettent de gagner 400€ en travaillant à temps partiel exonéré de cotisations sociales et d’impôts qui ont tant fait pour améliorer les statistiques du chômage outre-Rhin et augmenter le nombre de travailleurs pauvres, sont surtout utilisés dans les activités de service : restauration rapide, services aux personnes, commerce de détail… On en trouve beaucoup moins dans les entreprises industrielles qui ont besoin d’un personnel qualifié.Ce qui est nouveau, et probablement décisif pour l’avenir de l’industrie allemande, est la création, ces dix dernières années d’un véritable hinterland, d’un arrière pays industriel dans les ex pays socialistes, la Pologne, la Hongrie, la Slovaquie et, surtout, la Tchéquie. Les industriels allemands ont investi massivement dans ces pays, surtout l’industrie automobile qui voyait ses marges diminuer et qui souffrait d’un manque de flexibilité lié au développement d’une automatisation conçue pour réduire le coût du travail.On en parlait la semaine dernière, à propos de la Chine, l’automatisation a de nombreuses vertus, elle améliore la productivité mais elle rend plus difficile les changements rapides de gammes de production. En créant des usines dans les ex-pays de l’Est, les Allemands ont trouvé des pays avec des traditions et un environnement favorable, une population éduquée, une tradition industrielle, un enseignement professionnel de qualité que le communisme n’avait pas détruit. Et, bien sûr, une main d’œuvre bien meilleur marché et ceci à quelques heures de route de ses grands centres de production. Il ne faut pas plus de 5 heures de transport par la route pour aller de Prague au cœur de l’Allemagne. Ce n’est pas plus loin que Paris de Lyon.Les industriels qui se sont installés en nombre dans ces pays de l’Est, sont allés chercher des salaires plus faibles mais aussi une plus grande flexibilité. Flexibilité dans la production comme je le disais à l’instant avec des usines moins automatisées, mais aussi flexibilité salariale. Il est bien plus facile de faire varier, à la hausse ou à la baisse, le coût du travail dans ces pays qu’en Allemagne ou en France. Parce qu’il est plus facile de licencier le personnel quand la charge de travail diminue, mais aussi parce que la structure des salaires s’y prête qui associe un fixe et des primes ou des bonus dont le montant varie en fonction de l’activité. Si celle-ci diminue, la masse salariale suit…Ces investissements dans les ex pays socialistes sont en train de modifier profondément la géographie économique de l’Europe. Il ne s’agit pas en effet de délocalisations éphémères comme celles que pratiquent les industriels à la recherche de coûts salariaux toujours plus faibles, comme Nike qui quitte un pays lorsqu’il trouve mieux ailleurs, il ne s’agit pas non plus de délocalisations pour conquérir un marché, comme lorsque Carrefour s’installe en Chine pour vendre aux consommateurs chinois, il s’agit vraiment de la constitution d’une immense zone industrielle à l’est de l’Europe. Les Allemands sont là pour rester. En témoignent leurs investissements en R&D dans ces pays qui vont leur apporter dans la durée ce qui risque de rapidement leur manquer en Allemagne : une main d’œuvre abondante et motivée (Kampik, Dachs, The Innovative Performance of German Multinationals Abroad). Un modèle allemand ?On connaît les problèmes démographiques de l’Allemagne. Ce n’est pas la seule difficulté qui menace à moyen terme l’économie allemande. Il en est une autre directement liée à ces mesures prises par Gerhard Schröder dont on nous vante aujourd’hui les mérites de ce coté ci du Rhin : le désengagement des salariés allemands. Un récent sondage de Gallup, l’institut américain, révélait que 13% seulement des Allemands étaient engagés dans leur travail. 20% de la population est activement désengagée et le reste n’est ni l’un ni l’autre. Cela se traduit par un absentéisme élevé que Gallup a évalué à 247€ par salarié, et probablement par une diminution de la productivité et une dégradation de la qualité. D’autres études soulignent les effets pervers des mii-jobs introduits par Schröder qui éloignent du marché du travail des gens qui se contentent de ce salaire d’appoint plutôt que de chercher un emploi.S’il convient de regarder ce qui se passe en Allemagne, s’il est pertinent de s’en inspirer ce n’est pas forcément en allant chercher du coté de mesures dont la principale vertu aux yeux de ceux qui nous les proposent est d’apporter de l’eau au moulin du Medef. Le montant des salaires et des cotisations sociales sont une réalité incontournables. Et si l’Allemagne nous donne un exemple, c’est bien lorsqu’elle nous montre que l’on peut rester compétitif avec un coût du travail élevé pour peu que l’on construise une économie et une offre industrielle adaptées. C’est ce à quoi devraient s’attacher nos prochains gouvernements.