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durée : 00:58:50 - Toute une vie - par : Tewfik Hakem - Du haut des 40 films réalisés par le cinéaste égyptien Youssef Chahine au cours de 60 années de carrière, on peut contempler l'histoire mouvementée du 20ème siècle d'un tout autre point de vue. Révolutionnaire tranquille, cet humaniste levantin reste le cinéaste arabe le plus connu dans le monde. - réalisation : Christine Robert - invités : Olivier Séguret Journaliste et critique de cinéma; Dominique Racle Attachée de presse; Frédéric Bonnaud Directeur général de la Cinémathèque française.; Marianne Khoury Productrice et cinéaste; Youssra Actrice égyptienne; Jack Lang Président de l'Institut du Monde Arabe, ancien ministre de la Culture; Yousry Nasrallah Réalisateur; Amir Ramsès Cinéaste
durée : 00:58:52 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Comme chaque semaine, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Maïlys Khider qui rentre de Cuba ; suivi d'une table-ronde sur les négociations entre Washington et Téhéran au sujet du programme nucléaire iranien. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Maïlys Khider Journaliste indépendante; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier; Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève
durée : 00:33:28 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Les diplomates états-uniens et iraniens se réunissent cette semaine dans la capitale omanaise pour discuter d'un possible accord sur le programme nucléaire iranien. Une soudaine convergence d'intérêts qui a permis aux deux États de renouer des contacts directs pour la première fois depuis 45 ans. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève; Clément Therme Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier
Une gigantesque mosaïque byzantine représentant des humains et des animaux. De graciles statuettes de marbre et de bronze immergées pendant des millénaires dans les flots, des amphores, de vénérables stèles funéraires, une magnifique Aphrodite sortie des eaux, voici une partie du sublime patrimoine de Gaza. De l'âge de bronze à nos jours, Gaza n'est pas que l'horreur de la guerre. C'est aussi 5 000 ans d'histoire, d'architecture, d'art, de métissages et de voyages. Et des archéologues qui s'affairent, dans des conditions précaires, pour préserver et faire découvrir ce patrimoine que met à l'honneur l'Institut du monde arabe de Paris avec Trésors sauvés de Gaza. Une immersion sensible, exigeante et forcément politique, pour que son patrimoine ne sombre pas dans l'oubli et les décombres.Elodie Bouffard, sa commissaire et le frère Jean-Baptiste Humbert, directeur honoraire du laboratoire de l'École biblique et archéologique française de Jérusalem, sont les invités de Sur le pont des arts. Trésors sauvés de Gaza, 5 000 ans d'histoire est à voir à l'Institut du monde arabe jusqu'au 2 novembre 2025. Au programme de l'émission :► Chronique les librairies du mondeAmbroise Kom de la Librairie des Peuples noirs à Yaoundé au Cameroun nous parle d'un livre de Marie-Emmanuelle Pommerolle, qui vient de paraître aux éditions Karthala De la loyauté au Cameroun. De la loyauté au Cameroun, un essai sur un ordre politique et ses crises. ► ReportageLisa Giroldini est allée découvrir l'adaptation théâtrale d'un roman censuré de Violette Leduc, censuré des années 50 aux années 2 000, Thérèse et Isabelle. Ce roman raconte la passion amoureuse de deux adolescentes que l'époque va condamner. La metteuse en scène Marie Fortuit sort aujourd'hui ce texte de l'ombre pour l'adapter au grand jour. ► Playlist du jour- Stella – Omorfo mou- Saint Levant – Exile- Véronique Sanson - Je me suis tellement manquée
Une gigantesque mosaïque byzantine représentant des humains et des animaux. De graciles statuettes de marbre et de bronze immergées pendant des millénaires dans les flots, des amphores, de vénérables stèles funéraires, une magnifique Aphrodite sortie des eaux, voici une partie du sublime patrimoine de Gaza. De l'âge de bronze à nos jours, Gaza n'est pas que l'horreur de la guerre. C'est aussi 5 000 ans d'histoire, d'architecture, d'art, de métissages et de voyages. Et des archéologues qui s'affairent, dans des conditions précaires, pour préserver et faire découvrir ce patrimoine que met à l'honneur l'Institut du monde arabe de Paris avec Trésors sauvés de Gaza. Une immersion sensible, exigeante et forcément politique, pour que son patrimoine ne sombre pas dans l'oubli et les décombres.Elodie Bouffard, sa commissaire et le frère Jean-Baptiste Humbert, directeur honoraire du laboratoire de l'École biblique et archéologique française de Jérusalem, sont les invités de Sur le pont des arts. Trésors sauvés de Gaza, 5 000 ans d'histoire est à voir à l'Institut du monde arabe jusqu'au 2 novembre 2025. Au programme de l'émission :► Chronique les librairies du mondeAmbroise Kom de la Librairie des Peuples noirs à Yaoundé au Cameroun nous parle d'un livre de Marie-Emmanuelle Pommerolle, qui vient de paraître aux éditions Karthala De la loyauté au Cameroun. De la loyauté au Cameroun, un essai sur un ordre politique et ses crises. ► ReportageLisa Giroldini est allée découvrir l'adaptation théâtrale d'un roman censuré de Violette Leduc, censuré des années 50 aux années 2 000, Thérèse et Isabelle. Ce roman raconte la passion amoureuse de deux adolescentes que l'époque va condamner. La metteuse en scène Marie Fortuit sort aujourd'hui ce texte de l'ombre pour l'adapter au grand jour. ► Playlist du jour- Stella – Omorfo mou- Saint Levant – Exile- Véronique Sanson - Je me suis tellement manquée
Quatrième Pyramide d'Égypte ou 7è colonne du temple romain de Jupiter à Baalbek : l'Égyptienne Oum Kalsoum et la Libanaise Fayrouz nourrissent toujours l'inconscient collectif arabe. Et la littérature. (Rediffusion) Avec Ysabel Saiah Baudis et Marjorie Bertin qui ont écrit respectivement sur Oum Kalsoum et Fayrouz.Notre 1ère invitée est la journaliste Marjorie Bertin (qui travaille à RFI) pour la parution de « Fayrouz, Moi je chante l'humanité », aux éditions Orients.Elle est considérée comme la dernière légende vivante du monde arabe. « Ambassadrice du Liban à travers le monde », Fayrouz a enregistré plus de 800 chansons, sorti une cinquantaine d'albums et joué dans une vingtaine de films et de comédies musicales. Celle qui refusa de quitter son pays pendant la guerre civile libanaise incarne plus qu'aucune autre chanteuse un symbole de paix et d'espoir. Pourtant, on en sait peu sur elle, épouse d'Assi Rahbani, qui avec son frère Mansour révolutionna la musique libanaise du XXème siècle. Son fils Ziad, artiste engagé et enfant prodige de la scène libanaise, assurera le tournant jazz de la carrière de sa mère à partir de la fin des années 1970.Comment Fayrouz est-elle devenue la dernière icône révérée dans tout le monde arabe ? Pour la première fois, un livre en français retrace l'histoire de cette chanteuse légendaire. Titres joués :Atini el nay wa ghani (Donne-moi la flûte et chante) d'après Khalil GibranAbbaytak belsaif (Je t'ai aimé l'été)Kifak inta (qui marque le tournant de sa musique avec son fils Ziad)Li Beyrouth (concerto d'Aranjuez et magnifique poème sur la ville, sorti pendant la guerre).► Culture Prime Fayrouz► « Fayrouz, Moi je chante l'humanité » chez Orients Puis nous recevons la journaliste et éditrice Ysabel Saiah Baudis, qui réédite « Oum Kalsoum, l'étoile de l'Orient » « Elle est toujours vivante ! », confie Ysabel Saïah Baudis. C'est la nature des génies, car cela fait 50 ans que la diva égyptienne est décédée (3 février 1975) et pourtant, on l'entend, on la voit, elle tagguée, reprise, commentée. Sa vie est digne des plus beaux contes orientaux : née pauvre, paysanne, fille d'un religieux, elle possède un don qu'elle cultivera grâce à sa farouche détermination. La chance aidant, elle rencontrera les plus grands poètes et musiciens qui l'accompagneront dans son ascension. Adulée de son vivant par le président de l'Égypte aussi bien que par l'homme du peuple, elle accompagnera toutes les luttes de liberté, d'instruction, d'ouverture et de progrès techniques du XXème siècle. Elle reste la Voix qui guide et réunit tout le monde arabe.À l'occasion des 50 ans de sa disparition, la Philharmonie de Paris propose une semaine spéciale avec concert hommage le 2 février.Extraits joués : Al Atlal, Weddad, 1ère comédie musicale de la diva.► Philharmonie de Paris du 30 janvier au 2 février ► IMA ► Olympia Paris 1967 ► Orients Éditions ► Culture Prime Oum.
Quatrième Pyramide d'Égypte ou 7è colonne du temple romain de Jupiter à Baalbek : l'Égyptienne Oum Kalsoum et la Libanaise Fayrouz nourrissent toujours l'inconscient collectif arabe. Et la littérature. (Rediffusion) Avec Ysabel Saiah Baudis et Marjorie Bertin qui ont écrit respectivement sur Oum Kalsoum et Fayrouz.Notre 1ère invitée est la journaliste Marjorie Bertin (qui travaille à RFI) pour la parution de « Fayrouz, Moi je chante l'humanité », aux éditions Orients.Elle est considérée comme la dernière légende vivante du monde arabe. « Ambassadrice du Liban à travers le monde », Fayrouz a enregistré plus de 800 chansons, sorti une cinquantaine d'albums et joué dans une vingtaine de films et de comédies musicales. Celle qui refusa de quitter son pays pendant la guerre civile libanaise incarne plus qu'aucune autre chanteuse un symbole de paix et d'espoir. Pourtant, on en sait peu sur elle, épouse d'Assi Rahbani, qui avec son frère Mansour révolutionna la musique libanaise du XXème siècle. Son fils Ziad, artiste engagé et enfant prodige de la scène libanaise, assurera le tournant jazz de la carrière de sa mère à partir de la fin des années 1970.Comment Fayrouz est-elle devenue la dernière icône révérée dans tout le monde arabe ? Pour la première fois, un livre en français retrace l'histoire de cette chanteuse légendaire. Titres joués :Atini el nay wa ghani (Donne-moi la flûte et chante) d'après Khalil GibranAbbaytak belsaif (Je t'ai aimé l'été)Kifak inta (qui marque le tournant de sa musique avec son fils Ziad)Li Beyrouth (concerto d'Aranjuez et magnifique poème sur la ville, sorti pendant la guerre).► Culture Prime Fayrouz► « Fayrouz, Moi je chante l'humanité » chez Orients Puis nous recevons la journaliste et éditrice Ysabel Saiah Baudis, qui réédite « Oum Kalsoum, l'étoile de l'Orient » « Elle est toujours vivante ! », confie Ysabel Saïah Baudis. C'est la nature des génies, car cela fait 50 ans que la diva égyptienne est décédée (3 février 1975) et pourtant, on l'entend, on la voit, elle tagguée, reprise, commentée. Sa vie est digne des plus beaux contes orientaux : née pauvre, paysanne, fille d'un religieux, elle possède un don qu'elle cultivera grâce à sa farouche détermination. La chance aidant, elle rencontrera les plus grands poètes et musiciens qui l'accompagneront dans son ascension. Adulée de son vivant par le président de l'Égypte aussi bien que par l'homme du peuple, elle accompagnera toutes les luttes de liberté, d'instruction, d'ouverture et de progrès techniques du XXème siècle. Elle reste la Voix qui guide et réunit tout le monde arabe.À l'occasion des 50 ans de sa disparition, la Philharmonie de Paris propose une semaine spéciale avec concert hommage le 2 février.Extraits joués : Al Atlal, Weddad, 1ère comédie musicale de la diva.► Philharmonie de Paris du 30 janvier au 2 février ► IMA ► Olympia Paris 1967 ► Orients Éditions ► Culture Prime Oum.
durée : 00:38:05 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - La crise profonde survenue cet été entre la France et l'Algérie montre des signes d'apaisement. Malgré la multiplication des griefs au cours des derniers mois, sommes-nous à l'aube d'un dénouement ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève; François Zimeray Président de l'Association française des victimes du terrorisme, l'AFVT, ancien ambassadeur en charge des droits de l'Homme
durée : 02:30:49 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : François Zimeray Président de l'Association française des victimes du terrorisme, l'AFVT, ancien ambassadeur en charge des droits de l'Homme; Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève; Alexandre Taithe Chercheur à la Fondation pour la Recherche Stratégique et coordinateur de l'Observatoire de l'Arctique; Jacques Dallest Magistrat honoraire, consultant judiciaire, ancien Procureur de la république à Marseille (2008 à 2013).
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à l'historien Vincent Lemire, le diplomate Gérard Araud ou encore Gilles Kepel, spécialiste du monde Arabe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à l'historien Vincent Lemire, le diplomate Gérard Araud ou encore Gilles Kepel, spécialiste du monde Arabe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à l'historien Vincent Lemire, le diplomate Gérard Araud ou encore Gilles Kepel, spécialiste du monde Arabe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Musiques du monde arabe Episode 1 Oum Kalsoum, Asmahan, Nazem El Ghazali, Chekha Rimitti, Rachid Taha, Sabreen… C'est un grand et beau voyage au cœur des musiques du monde arabe que nous allons entreprendre, un voyage à la rencontre de ces rythmes et de ces mélodies qui transcendent les générations, les milieux sociaux, les frontières et les nationalités de cette vaste région que l'on appelle le monde arabe. Dans ce premier épisode, on va tenter de percevoir les liens qui existent entre, par exemple, les rythmes dansants des montagnes kurdes et les mélodies des salons du Caire. En d'autres mots, en quoi les musiques jouées et écoutées dans une région aussi vaste que le monde arabe participent-elles à un répertoire commun ? L'invitée de Jonathan Remy, Coline Houssais, spécialisée sur les musiques de monde arabe, elle enseigne les liens entre musique, société et politique dans le monde arabe à Sciences Po à Paris. Elle a publié un livre aux éditions le mot et le reste, intitulé « Musiques du monde arabe – une anthologie en 100 artistes ». Sujets traités : Oum Kalsoum, Asmahan, Nazem El Ghazali, Chekha Rimitti, Rachid Taha, Sabree, rythme, mélodie, arabe, Caire, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Musiques du monde arabe -Episode 2 On poursuit notre voyage entamé hier, un voyage qui nous entraine à la découverte des musiques du monde arabe. De Bagdad à Oran en passant par Alep, la Palestine et le sultanat d'Oman, on va déambuler de payes en pays à la rencontre des richesses des musiques de cette région. L'invitée de Jonathan Remy, Coline Houssais, spécialisée sur les musiques de monde arabe enseigne les liens entre musique, société et politique dans le monde arabe à Sciences Po à Paris . Elle a écrit un livre, paru en 2020 aux édition le mot et le reste, intitulé « Musiques du monde arabe – une anthologie en 100 artistes ». Sujets traités : musique, arabe, Bagdad, Oran, Alep, Oman, Palestine, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:20:47 - Journal de 12h30 - François Bayrou réunit plusieurs ministres cet après-midi à Matignon afin de définir de nouvelles orientations en matière d'immigration. La relation franco-algérienne s'est invitée au cœur de ce conseil interministériel après l'attentat de Mulhouse le week-end dernier. - invités : Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève
durée : 00:20:47 - Journal de 12h30 - François Bayrou réunit plusieurs ministres cet après-midi à Matignon afin de définir de nouvelles orientations en matière d'immigration. La relation franco-algérienne s'est invitée au cœur de ce conseil interministériel après l'attentat de Mulhouse le week-end dernier. - invités : Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève
Extrait de l'interview réalisée avec El Seed, artiste de graffiti pratiquant la calligraphie arabe, à retrouver dans sa version complète ici: https://smartlink.ausha.co/surprises-interculturelles/el-seed-graffiti-calligraphie-arabe-tunisie---Plongeons dans l'univers fascinant d'El Seed, artiste calligraffeur dont le travail fusionne art, culture et engagement social.Une conversation inspirante sur l'art, l'identité et le pouvoir des mots pour transformer le regard que nous portons sur le monde.À travers ses œuvres monumentales, il utilise la calligraphie arabe pour connecter les peuples et provoquer des réflexions sur l'identité, l'histoire et le vivre-ensemble.Nous avons eu la chance et le plaisir d'être généreusement accueillis par l'Institut du Monde Arabe pour enregistrer cet épisode. Merci à elles et eux !Au fil de cette discussion, nous abordons :
Le Journal en français facile du 21 février 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BQwT.A
C'est une rare démonstration d'unité face à Donald Trump. Les pays arabes se réunissent ce vendredi en sommet à Riyad pour tenter de faire bloc face au projet du président américain de déplacer deux millions et demi de Palestiniens. Avec quelles ambitions et surtout quelle unité ? Le monde arabe parviendra-t-il à afficher un front commun face à Donald Trump ? Peut-il encore exister un front arabe autour de la cause palestinienne ?
Passé la sidération, après les propos de Donald Trump de vider Gaza de sa population, les États arabes de la région affichent un "non" clair et unanime. L'Égypte et la Jordanie martèlent leur refus d'accueillir les Palestiniens chassés de leur terre. Sur la même ligne, l'Arabie saoudite balaie, elle aussi, toute tentative de négociation. Dans le même temps, et malgré l'indignation, du côté de l'État hébreu le ministre israélien de la Défense donne l'ordre à l'armée de préparer un plan qui permettra à tout Gazaoui de partir vers n'importe quel endroit du monde qui accepterait de l'accepter.
Walid Bouchouchi est né à Alger. Adolescent, il vit l'irruption de la société de consommation avec son esthétique mondialisée. Il entre aux Beaux Arts d'Alger, séduit par des rencontres avec des passionnés lors d'une journée PO. Artiste plasticien, il expose déjà pendant ses études. L'envie d'aller voir ailleurs le mène à Paris 8 en Pratique Esthétique et Histoire de l'art contemporaine : un enseignement très théorique, un peu aride mais très formateur.Ses stages seront un point de bascule, chez AAAAA Atelier en création graphique et auprès de Jérémy Landes en création typo. Ça y est, Walid est accro au design graphique, il a quelques projets en freelance et crée son studio Akakir. Grâce à un contrat avec Tactile Studio, Walid découvre le design inclusif et les problématiques d'accessibilité pour tous des musées et autres lieux du patrimoine.Une expérience singulière dans laquelle le design est au service du toucher et non des yeux.Cette gymnastique de transcription d'une langue vers une autre, d'un alphabet arabe à l'alphabet berbère en passant par l'alphabet latin, d'une idée en une image, c'est le coeur de la pratique de Walid. Bienvenu dans le monde du multi script.Immense merci à la @Librairie sans titre, ma librairie de cœur, qui soutien cet épisode.➡️ @akakir_studio @walidbouchouchi akakir.comLes références et noms cité.es :- Countach Studio- Tactile Studio- graphisme.design, Félix Muller, Paris 8- Jérémy Landes- Velvetyne Foundry- Ciné Palestine- Bye Bye Binary- Naïma Ben Ayed- AAAAA Atelier- L'Institue du Monde Arabe, ParisType in use : Avara, Raphaël Bastide, Wei Huang, Lucas Le Bihan, Walid Bouchouchi, Jérémy Landes, Velvetyne et script arabe par Walid BouchouchiPour faire un don et soutenir le podcast.Pour vous inscrire à la newsletter mensuelle de Graphic Matter.Pour suivre le podcast @graphicmatterpodcastMerci pour votre soutien, on se retrouve toutes les deux semaines pour une nouvelle rencontre. Conception, production, curation, graphisme : Louise GomezHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans Parlons-en, une reine, une diva, une idole : Oum Kalthoum, disparue il y a cinquante ans. Une légende venue d'Egypte, dont les chansons et surtout les combats continuent d'inspirer aujourd'hui, comme une Fayrouz au Liban. Ces artistes chantaient autant l'amour que la révolution.
Rire et sourire de la société de la vie de l'amour et surtout d'eux-mêmes : les talents de l'humour et du stand up sont à l'honneur ces jours-ci à Paris sur la scène de l'IMA Comedy Club. C'est la 6è édition de ce festival à l'initiative de l'Institut du Monde Arabe. À l'affiche des artistes francophones et arabophones, des talents confirmés ou des humoristes en herbe, ils ont en commun leur regard acide et décalé sur le monde. Ça a débuté hier soir (29 janvier 2025) avec le gala d'ouverture. Ce soir, place à l'Algérien Abdelkader Secteur avec Mehraba et demain (31 janvier 2025) le gala Habibi, pour faire entendre l'humour queer.Les humoristes, Lilia Benchabane et Lucie Carbone ainsi que Tarik Seddak, directeur artistique du festival, sont les invités de Sur le pont des arts. L'IMA Comedy Club se tient jusqu'au 2 février 2025 à l'Institut du Monde Arabe. Au programme de l'émission :Café polarCatherine Fruchon-Toussaint s'est entretenue avec Macodou Attolodé pour son premier roman Étincelles Rebelles (Série Noire Gallimard) qui se déroule au Sénégal avec l'inspecteur Gabriel Latyr Faye.
Rire et sourire de la société de la vie de l'amour et surtout d'eux-mêmes : les talents de l'humour et du stand up sont à l'honneur ces jours-ci à Paris sur la scène de l'IMA Comedy Club. C'est la 6è édition de ce festival à l'initiative de l'Institut du Monde Arabe. À l'affiche des artistes francophones et arabophones, des talents confirmés ou des humoristes en herbe, ils ont en commun leur regard acide et décalé sur le monde. Ça a débuté hier soir (29 janvier 2025) avec le gala d'ouverture. Ce soir, place à l'Algérien Abdelkader Secteur avec Mehraba et demain (31 janvier 2025) le gala Habibi, pour faire entendre l'humour queer.Les humoristes, Lilia Benchabane et Lucie Carbone ainsi que Tarik Seddak, directeur artistique du festival, sont les invités de Sur le pont des arts. L'IMA Comedy Club se tient jusqu'au 2 février 2025 à l'Institut du Monde Arabe. Au programme de l'émission :Café polarCatherine Fruchon-Toussaint s'est entretenue avec Macodou Attolodé pour son premier roman Étincelles Rebelles (Série Noire Gallimard) qui se déroule au Sénégal avec l'inspecteur Gabriel Latyr Faye.
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient à vos questions sur la libération de la chanteuse Rokia Traoré, l'opération israélienne en Cisjordanie occupée et le port de Tartous en Syrie. Corée du Sud : le président destitué inculpé pour « insurrection »Sur les conseils de l'Agence anticorruption chargée de l'enquête sur le président destitué Yoon Suk-yeol, le Parquet a inculpé le président déchu pour « insurrection ». Comment les enquêteurs en sont-ils arrivés à cette conclusion ? Détenu depuis le 15 janvier, que risque-t-il avec de telles accusations ?Avec Nicolas Rocca, journaliste au service international de RFI. Rokia Traoré : pourquoi la chanteuse malienne a-t-elle été libérée ? Condamnée à deux ans de prison pour « non-représentation d'enfant », Rokia Traoré a été libérée après plusieurs mois d'incarcération en Italie puis en Belgique. Pourquoi ce revirement de la justice alors qu'elle a été condamnée en octobre 2023 ? Pourquoi un autre procès est-il prévu alors que la chanteuse malienne et le père de sa fille se sont mis d'accord ? Que risque-t-elle ?Avec Pierre Benazet, correspondant de RFI à Bruxelles. Cisjordanie : après Gaza, le nouveau front israélien ? Depuis l'entrée en vigueur de la trêve dans la bande de Gaza, Israël mène une vaste opération militaire en Cisjordanie occupée. Baptisée « Mur d'acier », elle a coûté la vie à douze Palestiniens jusqu'à présent. Quels sont les objectifs de cette opération ? Est-ce le signe d'un déplacement des hostilités en Cisjordanie ?Avec Thomas Vescovi, doctorant en Études politiques à l'EHESS et à l'Université libre de Bruxelles, auteur de « L'échec d'une utopie, une histoire des gauches en Israël » (éditions La Découverte). Syrie : un camouflet pour la Russie ? Les nouvelles autorités syriennes ont mis fin au contrat qui donnait à la Russie le contrôle du stratégique port de Tartous jusqu'en 2068, permettant à Moscou une présence militaire en Méditerranée orientale. Pourquoi le nouveau pouvoir a-t-il annulé ce contrat ? Quels avantages espère-t-il en tirer ?Avec Thomas Pierret, chargé de recherches à l'Institut de Recherches et d'Études sur le Monde Arabe et Musulman (IREMAM), spécialiste de la Syrie.
Quatrième Pyramide d'Égypte ou 7e colonne du temple romain de Jupiter à Baalbek : l'Égyptienne Oum Kalsoum et la Libanaise Fayrouz nourrissent toujours l'inconscient collectif arabe. Et la littérature. Avec Ysabel Saiah Baudis et Marjorie Bertin qui ont écrit respectivement sur Oum Kalsoum et Fayrouz.Notre 1ère invitée est la journaliste Marjorie Bertin (qui travaille à RFI) pour la parution de « Fayrouz, Moi je chante l'humanité », aux éditions Orients.Elle est considérée comme la dernière légende vivante du monde arabe. « Ambassadrice du Liban à travers le monde », Fayrouz a enregistré plus de 800 chansons, sorti une cinquantaine d'albums et joué dans une vingtaine de films et de comédies musicales. Celle qui refusa de quitter son pays pendant la guerre civile libanaise incarne plus qu'aucune autre chanteuse un symbole de paix et d'espoir. Pourtant, on en sait peu sur elle, épouse d'Assi Rahbani, qui avec son frère Mansour révolutionna la musique libanaise du XXème siècle. Son fils Ziad, artiste engagé et enfant prodige de la scène libanaise, assurera le tournant jazz de la carrière de sa mère à partir de la fin des années 1970.Comment Fayrouz est-elle devenue la dernière icône révérée dans tout le monde arabe ? Pour la première fois, un livre en français retrace l'histoire de cette chanteuse légendaire. Titres joués :Atini el nay wa ghani (Donne-moi la flûte et chante) d'après Khalil GibranAbbaytak belsaif (Je t'ai aimé l'été)Kifak inta (qui marque le tournant de sa musique avec son fils Ziad)Li Beyrouth (concerto d'Aranjuez et magnifique poème sur la ville, sorti pendant la guerre).► Culture Prime Fayrouz► « Fayrouz, Moi je chante l'humanité » chez Orients Puis nous recevons la journaliste et éditrice Ysabel Saiah Baudis, qui réédite « Oum Kalsoum, l'étoile de l'Orient » « Elle est toujours vivante ! », confie Ysabel Saïah Baudis. C'est la nature des génies, car cela fait 50 ans que la diva égyptienne est décédée (3 février 1975) et pourtant, on l'entend, on la voit, elle tagguée, reprise, commentée. Sa vie est digne des plus beaux contes orientaux : née pauvre, paysanne, fille d'un religieux, elle possède un don qu'elle cultivera grâce à sa farouche détermination. La chance aidant, elle rencontrera les plus grands poètes et musiciens qui l'accompagneront dans son ascension. Adulée de son vivant par le président de l'Égypte aussi bien que par l'homme du peuple, elle accompagnera toutes les luttes de liberté, d'instruction, d'ouverture et de progrès techniques du XXème siècle. Elle reste la Voix qui guide et réunit tout le monde arabe.À l'occasion des 50 ans de sa disparition, la Philharmonie de Paris propose une semaine spéciale avec concert hommage le 2 février.Extraits joués : Al Atlal, Weddad, 1ère comédie musicale de la diva.► Philharmonie de Paris du 30 janvier au 2 février ► IMA ► Olympia Paris 1967 ► Orients Éditions ► Culture Prime Oum.
Quatrième Pyramide d'Égypte ou 7e colonne du temple romain de Jupiter à Baalbek : l'Égyptienne Oum Kalsoum et la Libanaise Fayrouz nourrissent toujours l'inconscient collectif arabe. Et la littérature. Avec Ysabel Saiah Baudis et Marjorie Bertin qui ont écrit respectivement sur Oum Kalsoum et Fayrouz.Notre 1ère invitée est la journaliste Marjorie Bertin (qui travaille à RFI) pour la parution de « Fayrouz, Moi je chante l'humanité », aux éditions Orients.Elle est considérée comme la dernière légende vivante du monde arabe. « Ambassadrice du Liban à travers le monde », Fayrouz a enregistré plus de 800 chansons, sorti une cinquantaine d'albums et joué dans une vingtaine de films et de comédies musicales. Celle qui refusa de quitter son pays pendant la guerre civile libanaise incarne plus qu'aucune autre chanteuse un symbole de paix et d'espoir. Pourtant, on en sait peu sur elle, épouse d'Assi Rahbani, qui avec son frère Mansour révolutionna la musique libanaise du XXème siècle. Son fils Ziad, artiste engagé et enfant prodige de la scène libanaise, assurera le tournant jazz de la carrière de sa mère à partir de la fin des années 1970.Comment Fayrouz est-elle devenue la dernière icône révérée dans tout le monde arabe ? Pour la première fois, un livre en français retrace l'histoire de cette chanteuse légendaire. Titres joués :Atini el nay wa ghani (Donne-moi la flûte et chante) d'après Khalil GibranAbbaytak belsaif (Je t'ai aimé l'été)Kifak inta (qui marque le tournant de sa musique avec son fils Ziad)Li Beyrouth (concerto d'Aranjuez et magnifique poème sur la ville, sorti pendant la guerre).► Culture Prime Fayrouz► « Fayrouz, Moi je chante l'humanité » chez Orients Puis nous recevons la journaliste et éditrice Ysabel Saiah Baudis, qui réédite « Oum Kalsoum, l'étoile de l'Orient » « Elle est toujours vivante ! », confie Ysabel Saïah Baudis. C'est la nature des génies, car cela fait 50 ans que la diva égyptienne est décédée (3 février 1975) et pourtant, on l'entend, on la voit, elle tagguée, reprise, commentée. Sa vie est digne des plus beaux contes orientaux : née pauvre, paysanne, fille d'un religieux, elle possède un don qu'elle cultivera grâce à sa farouche détermination. La chance aidant, elle rencontrera les plus grands poètes et musiciens qui l'accompagneront dans son ascension. Adulée de son vivant par le président de l'Égypte aussi bien que par l'homme du peuple, elle accompagnera toutes les luttes de liberté, d'instruction, d'ouverture et de progrès techniques du XXème siècle. Elle reste la Voix qui guide et réunit tout le monde arabe.À l'occasion des 50 ans de sa disparition, la Philharmonie de Paris propose une semaine spéciale avec concert hommage le 2 février.Extraits joués : Al Atlal, Weddad, 1ère comédie musicale de la diva.► Philharmonie de Paris du 30 janvier au 2 février ► IMA ► Olympia Paris 1967 ► Orients Éditions ► Culture Prime Oum.
C dans l'air du 23 janvier 2025 - Paris/ Alger : les "influenceurs"... et la criseSi vous manquez de temps pour écouter l'émission en entier, nous vous donnons la possibilité d'accéder directement aux questions posées par les téléspectateurs qui sont un bon résumé de l'émission du jour.Les experts :- HASNI ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM, Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV , spécialiste des questions internationales- AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- RACHEL BINHAS - Journaliste au service société - Marianne
C dans l'air du 23 janvier 2025 - Paris/ Alger : les "influenceurs"... et la criseEn pleines tensions entre la France et l'Algérie, le ministre de l'Intérieur continue d'occuper le terrain. Monté en première ligne depuis plusieurs semaines sur le dossier, Bruno Retailleau a ainsi annoncé mercredi sur X l'arrestation d'un nouvel influenceur algérien qui "appelait à commettre des actes violents sur le territoire français sur TikTok". Dans la foulée, Beauvau a précisé que cette nouvelle interpellation a eu lieu dans le XIIIe arrondissement de Paris, avant de se faire recadrer par le parquet de Paris. "À ce stade, rien n'est retenu contre la personne concernée, qui doit en outre suivre des soins. Elle n'est à cette heure pas en garde à vue", a expliqué le ministère public qui pris soin de rappeler à Bruno Retailleau que "seule l'autorité judiciaire est légitime à communiquer sur une affaire judiciaire en cours, et qu'une personne qui n'est pas jugée est présumée innocente", dénonçant une "fuite prématurée".Dans son message, Bruno Retailleau avait appelé à "ne rien laisser passer". Une formule qu'il avait déjà employée le 16 janvier dernier, après l'annonce de l'arrestation d'un autre influenceur algérien : Mahdi B. Ce dernier avait été interpellé trois jours plus tôt, après un signalement à la plateforme Pharos. Le ministre disait là aussi que Mahdi B "vantait, en langue arabe, de vouloir commettre des actions violentes sur le sol français". Depuis, l'influenceur a été condamné à huit mois de prison et écroué. Au total, dans un contexte de fortes tensions entre Paris et Alger, notamment autour des dossiers du Sahara occidental et de l'incarcération de l'écrivain Boualem Sansal, au moins sept influenceurs algériens font désormais l'objet de signalements pour des appels à la haine sur TikTok. Parmi eux, le parcours de "Doualemn" - Boualem N. de son vrai nom - a été particulièrement médiatisé. Interpellé le 5 janvier à Montpellier, après que le maire de la ville et le préfet de l'Hérault ont signalé à la justice la publication sur TikTok d'une de ses vidéos, dans laquelle il appelait à la violence contre un manifestant algérien anti-régime, cet agent d'entretien de 59, père de deux enfants, avait été expulsé le 9 janvier en Algérie, où il a été refusé. De retour en France le soir même, placé en centre de rétention administrative (CRA), il doit être jugé le 24 février pour "provocation publique à commettre un crime". Bruno Retailleau avait affirmé qu'en le renvoyant vers Paris, l'Algérie avait cherché à "humilier la France". De son côté, l'Algérie avait rejeté les accusations françaises "d'escalade" et "d'humiliation", en invoquant une "campagne de désinformation" contre Alger. Depuis le ministre de l'Intérieur a multiplié les déclarations dans les médias. Cette semaine il a accordé un long entretien à L'Express dans lequel il plaide pour dépassionner la relation, tout en défendant aussitôt "puisque la manière douce n'a pas suffi", la remise en cause de l'accord franco-algérien de 68, relatif aux conditions d'entrée en France des ressortissants algériens, qu'il estime "datés et déséquilibrés", la fin des facilités de voyage pour les dignitaires et de l'accord pour les soins en France. Dans le même entretien, Bruno Retailleau est revenu sur la question coloniale, estimant que "nous devons retrouver un regard équilibré sur cette période". "La colonisation, c'est bien sûr des pages sombres qu'il faut dénoncer, et nous l'avons fait. Il y a eu aussi, je le dis, des apports et des liens qui se sont créés" a-t-il affirmé. Jugeant inadmissible la façon "de plus en plus agressive" dont l'Algérie traite notre pays, le ministre de l'Intérieur a révélé "n'avoir aucun interlocuteur institutionnel" en Algérie et n'avoir pas consulté les autorités algériennes avant de placer dans l'avion l'influenceur Doualem.Une interview qui a soulevé des interrogations et des critiques de la part des "ex" de la diplomatie française. Gérard Araud, ancien ambassadeur de la France aux Etats-Unis et en Israël, a tancé des "postures de matamore" étriquées : "Qu'il se taise ! Je sais qu'il satisfait ainsi une partie de son électorat mais qu'il pense à l'intérêt national. Ce n'est pas ainsi qu'on fait de la politique étrangère". L'ancien Premier ministre et ancien ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin a critiqué de son côté la "surenchère" du ministre de l'Intérieur sur l'Algérie et l'a invité à ne pas céder à "la tentation du règlement de comptes" car "ce n'est jamais dans l'escalade qu'on règle les crises". "Il y a un malentendu depuis le départ du ministre de l'Intérieur qui veut régler des questions qui ne se règlent que par la diplomatie" a-t-il tranché."Chacun est libre d'exprimer ses opinions ou de formuler des propositions. Mais c'est bien au Quai d'Orsay et sous l'autorité du président de la République que se forge la politique étrangère de la France", a de son côté affirmé lundi sur RMC-BFMTV le ministre des Affaires étrangères. Jean-Noël Barrot s'est également dit prêt à se rendre à Alger, estimant que "ni la France ni l'Algérie n'avaient intérêt à ce que s'installe une tension durable" entre elles. Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a également appelé mardi sur France Inter à "refonder la relation" actuellement très tendue entre l'Algérie et la France, en regrettant "les dérives actuelles du gouvernement algérien". Il a par ailleurs exprimé "la compassion, l'empathie et le soutien" de la France envers l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, incarcéré depuis la mi-novembre en Algérie pour atteinte à la sûreté de l'Etat. Ce jeudi le Parlement européen a adopté une résolution exigeant la libération immédiate de l'auteur franco-algérien âgé de 75 ans. Alors quelle relation avec l'Algérie ? Pourquoi cette montée des tensions entre Paris et Alger ? Que sait-on de l'arrestation de Boualem Sansal et de ses conditions de détention ?Les experts :- HASNI ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM, Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV , spécialiste des questions internationales- AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- RACHEL BINHAS - Journaliste au service société - Marianne PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Jack Lang semble prêt à tout pour rester à la tête de l'Institut du Monde Arabe, y compris cuisiner un couscous maison... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.
Samas, Crier la paix. C'est le titre de l'exposition de Zad Moultaka qui vient de s'ouvrir à l'Institut du monde arabe. L'installation créée pour le pavillon du Liban à la Biennale de Venise en 2017 n'a jamais été aussi actuelle dans un monde fracturé, spécialement au Moyen-Orient. L'artiste franco-libanais y dénonce la violence dans une œuvre qui se nourrit de l'Antiquité. Le visiteur entre dans l'installation visuelle et sonore. Dans le fond de la salle, un mur brille de mille feux. Il est recouvert de pièces de monnaie anciennes, symbole du veau d'or et de l'idolâtrie. Face à la puissance de l'argent, est érigé un moteur de bombardier qui représente la violence alors que le chant et la musique s'élèvent pour dire l'humanité. Rencontre avec l'artiste. Pour aller plus loin : Samas, Crier la paix à l'Institut du monde arabe
Samas, Crier la paix. C'est le titre de l'exposition de Zad Moultaka qui vient de s'ouvrir à l'Institut du monde arabe. L'installation créée pour le pavillon du Liban à la Biennale de Venise en 2017 n'a jamais été aussi actuelle dans un monde fracturé, spécialement au Moyen-Orient. L'artiste franco-libanais y dénonce la violence dans une œuvre qui se nourrit de l'Antiquité. Le visiteur entre dans l'installation visuelle et sonore. Dans le fond de la salle, un mur brille de mille feux. Il est recouvert de pièces de monnaie anciennes, symbole du veau d'or et de l'idolâtrie. Face à la puissance de l'argent, est érigé un moteur de bombardier qui représente la violence alors que le chant et la musique s'élèvent pour dire l'humanité. Rencontre avec l'artiste. Pour aller plus loin : Samas, Crier la paix à l'Institut du monde arabe
durée : 00:15:46 - Journal de la création du dimanche 15 décembre 2024 - par : Laurent Vilarem - Outre l'impressionnante exposition ŠamaŠ à l'Institut du Monde Arabe, Zad Moultaka connaît plusieurs créations d'importance durant les prochaines semaines. Nous chantons ensuite l'esprit de Noël avec un concert très original de l'Ensemble Ptyx à Tours et un programme sacré à Notre-Dame de Paris. - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 00:11:05 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - L'annonce officielle est tombée mercredi 11 décembre : l'édition 2034 de la Coupe du monde de football sera confiée à l'Arabie saoudite, en dépit des critiques concernant le non-respect des droits humains et l'impact environnemental prévu. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Raphaël Le Magoariec, Chercheur au sein de l'Équipe Monde Arabe et Méditerranée de l'université de Tours
53 ans de dictature viennent de tomber. 53 années de régime autoritaire, répressif, sanguinaire. 53 ans d'un clan Assad qui a régné sans partage sur toute la Syrie, confisquant toutes ses richesses, préservé par les puissances occidentales qui voyait dans ce régime un élément de stabilité au Proche-Orient. À quel prix pour les Syriens ? Depuis près d'une semaine, les médias français se sont passionnés, à raison, pour le moment historique de la chute du régime sy ...
Au sommaire de l'émission "Pascal Praud et vous": L'ARCOM a confirmé l'exclusion de la chaîne C8 de la TNT fin février, malgré une pétition de plus d'un million de signatures pour la sauver, ce qui entraînerait la perte d'emploi de 400 personnes.Le président Macron s'apprête à nommer un nouveau Premier ministre dans la journée, après la censure du gouvernement de Michel Barnier, avec plusieurs noms qui circulent comme François Bayrou ou Sébastien Lecornu.La Haute Autorité de Santé souhaite un accès gratuit à la transition de genre pour tous à partir de 16 ans, suscitant un débat sur l'encadrement de cette procédure.La Cour des Comptes pointe du doigt les erreurs budgétaires de l'Institut du Monde Arabe, dont le financement repose désormais principalement sur la France.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:03:13 - Géopolitique - Les orientations des nouveaux maîtres de la Syrie sont encore incertaines, mais les exemples des transitions en Irak, en Égypte, Libye ou Tunisie après la chute de leurs dictateurs, montrent les pièges à éviter. Sauront-ils y échapper ?
"Plusieurs débats au coeur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : L'Institut du monde arabe "dans une situation fragile" Coupe du monde 2034, l'Arabie Saoudite va l'organiser
durée : 00:03:13 - Géopolitique - Les orientations des nouveaux maîtres de la Syrie sont encore incertaines, mais les exemples des transitions en Irak, en Égypte, Libye ou Tunisie après la chute de leurs dictateurs, montrent les pièges à éviter. Sauront-ils y échapper ?
A conversation between artist Samia Halaby and Sanna Almajedi, recorded live following a performance at e-flux on September 10, 2024. In the performance, Halaby used a computer program that she coded in the early '90s to generate abstract shapes. These were manipulated in real-time alongside sonic improvisation by musician Amir ElSaffar. Samia Halaby is a trailblazer in contemporary abstract art internationally. In her distinctive painting style, Halaby draws inspiration from nature and historical movements such as early Islamic architecture and the Soviet avant-garde. Displaced from Palestine in 1948 with her family when she was eleven, Halaby was educated in the American Midwest at a time when abstract expressionism was popular but female abstract painters were marginalized. Halaby believes that new approaches to painting can transform our ways of seeing and thinking, not only within aesthetics, but also as a way to discover new perspectives for advances in teaching, technology, and society at large. This conviction has inspired her to pursue additional experiments in drawing, printmaking, computer-based kinetic art, and free-from-the-stretcher painting. Halaby's work is collected by many museums such as the Solomon R. Guggenheim Museum of Art (New York and Abu Dhabi); Cleveland Museum of Art; Institut du Monde Arabe; and Birzeit University (Ramallah).
Using photography, testimony and archive, Diana Matar's in-depth bodies of work investigate themes of history, memory and state sponsored violence. Grounded in heavy research and often spending years on a project, Diana attempts to capture the invisible traces of human history and produces installations and books that query what role aesthetics might playin the depiction of power. A graduate of the Royal College of Art, Diana has received the Deutsche Bank Pyramid Award for Fine Art; the International Fund for Documentary Photography; a Ford Foundation Grant for artists making work on history and memory; and twice been awarded an Arts Council of England Individual Artist Grant. Her work is held in public and private collections and has been exhibited in numerous institutions including Tate Modern, London; The National Museum of Singapore; Museum Folkswang, Essen, Germany; The Institut du Monde Arabe, Paris; The Museum of Contemporary Photography, Chicago; and Musee de la Photographie a Charleroi. Her monograph Evidencewas published in 2014 by Schilt Publishing Amsterdam to critical acclaim and chosen by New York Times Photography critic Teju Cole as one of two best photography books of the year. In 2019 Matar was appointed Distinguished Artist at Barnard College Columbia University, New York. In April 2024 Diana's most recent book, My America, was published by GOST Books. In episode 238, Diana discusses, among other things:Early experiences in Panama and Latin America.How an errand to buy a lightbulb changed everything.A brush with Manuel Noriega.How she met her Libyan husband, the writer Hisham Matar.Why she found doing her M.A. ‘really, really challenging'.Her first book project, Evidence.The inclusion of her own writing in the book.Her latest book, My America.Some of the key factors around the issue of police shootings.The complexities of the subject.How she has “intermalised a European sense of America.”Why she shot the project on her iPhone and the rules she imposed on herself.Whether photographs can ‘bear the burden of history.'What she is currently working on.Her reaction to the bonus questions. Website | Instagram“I think I internalised a European sense of America in several different ways. When I was out on the road a lot of things seemed exotic to me, things that I'd grown up with and were just part of being: the long distances; these buildings that just pop up in the middle of nowhere; the emptiness; the scale… the kind of watching of movies of what is the American west. The internalisation I think has something to do with scale. I live in London - the small streets, you're around people all the time, and then being in this openness, which i miss and i love, but I did find it unnerving and it effected how I made the work actually.” Become a full tier 1 member here to access exclusive additional subscriber-only content and the full archive of previous episodes for £5 per month.For the tier 2 archive-only membership, to access the full library of past episodes for £3 per month, go here.Subscribe to my weekly newsletter here for everything A Small Voice related and much more besides.Follow me on Instagram here.Build Yourself a Squarespace Website video course here.
Welcome back to ARTMATTERS: The Podcast for Artists. My guest today is Ebtisam Abdulaziz. Ebtisam is a multidisciplinary artist and writer. She explores issues of identity and culture through installation, performance, mixed-media, painting and works on paper. She has exhibited extensively and internationally including the 53rd Venice Biennale as part of the United Arab Emirates and Abu Dhabi Pavilions. Her installations, paintings, works on paper and videos are held in numerous public and private collections.Her video work Autobiography from 2007 was purchased for the Guggenheim Museum collection in Abdu Dhbai. Additionally Abdulaziz was named as one of 100 Powerful Arab Women of 2013. She has been living and working in Washington, D.C. since 2014. In our conversation, Ebtisam explains her art-making as a mix of meditation, play and practicality. We discuss her drawings, her mentor Hassan Sharif, her daily practice, how her practice relates to her audience, how she judges ideas only after they are complete, and so much more. Enjoy the show!About Ebtisam Abdulaziz: Combining the scientific with the arbitrary, Abdulaziz draws from her training in science and mathematics, methodically exploring subconscious states and the expansiveness of daily life. She creates codes, systematic structures, graphic language, and performative gestures to force viewers to question their assumptions about rules in the natural and formulaic world. The intimate juxtapositions of these concepts center awareness on our surrounding environment and the issues that perplex and shape us. In addition to the Venice Biennale, Ebtisam Abdulaziz's work has been exhibited at the 7th and 10th Sharjah Biennial, Sharjah, United Arab Emirates; Dubai Next, Basel; The Institut du Monde Arabe, Paris, France; The Kunst Museum, Bonn, Germany; The Mori Art Museum, Tokyo, Japan; Benin Biennial 2012, Kora Centre, Benin; FotoFest Biennial, Art in Houston, Texas; Cara Gallery; Smack Mellon gallery in New York; NYUAD Art Gallery; Guggenheim Abu Dhabi, The Florida Museum of Photographic Arts; Tampa; American University Museum at the Katzen Arts Center. In 2014, her work was part of the touring exhibition of Past Forward: Contemporary Art from the Emirates, which took place across several American cities and is included in international collections. Her installations, paintings, works on paper and videos are held in numerous public and private collections. You can now support this podcast by clicking HERE where you can donate using PATREON or PayPal!If you're enjoying the podcast so far, please rate, review, subscribe and SHARE ON INSTAGRAM! If you have an any questions you want answered, write in to artmatterspodcast@gmail.com host: Isaac Mann www.isaacmann.cominsta: @isaac.mann guest: Ebtisam Abdulaziz www.artistebtisamaziz.com insta: @ebtisamabdulazizThank you as always to ARRN, the Detroit-based artist and instrumentalist, for the music.
durée : 00:12:15 - La Question du jour - par : Julie Gacon - Hier ont commencé à se réunir à Doha au Qatar les négociateurs de tout bord pour faire advenir un cessez-le-feu à Gaza, dans ce que d'aucun considèrent comme les pourparlers de la dernière chance. Quelle est la base de ces nouvelles négociations et ont-elles une chance d'aboutir ? - invités : Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève
durée : 01:59:52 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon - . - invités : Camille Besombes Médecin, épidémiologiste ; Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève; Laëtitia Madancos Autrice et metteuse en scène
Auteur de “Palestine, un peuple qui ne veut pas Mourir”, paru aux éditions Les Liens qui Libèrent, Alain Gresh, journaliste, pose un regard un regard lucide et recontextualisé sur le génocide en Palestine. Journaliste, essayiste, fondateur du média Orient XXI, spécialiste du Proche Orient et du Monde Arabe, auteur d'innombrables ouvrages sur cette zone, Alain Gresh était sur le plateau du Média pour parler du dernier en date et qui est intitulé “Palestine, un peuple qui ne veut pas Mourir”, paru aux éditions Les Liens qui Libèrent. Un regard lucide et recontextualisé sur la guerre d'Israël en Palestine. Il passe au crible tous les détails de la situation entre Israël et la Palestine, son histoire, surtout celle de la lutte des Palestiniens pour leur survie, leur Terre, le droit à l'autodétermination et la fin de la colonisation. Il décrypte jusqu'à la sémantique utilisée dans les médias et par les autorités politiques soutiens d'Israël et qui tend à justifier le massacre indiscriminé qui court en ce moment dans la Bande de Gaza… Comme lorsque l'on parle de “guerre” entre Israël et le Hamas. Faire passer le colonisé et l'opprimé pour un terroriste pour mieux le déshumaniser et justifier son sort.
durée : 00:11:48 - Les Enjeux internationaux - par : Quentin Lafay - L'agence Bloomberg a révélé hier que les renseignements américains prévoient une “attaque imminente” de l'Iran sur Israël. Et ces derniers temps, il semble qu'ils se soient rarement trompés… - invités : Hasni Abidi Directeur du Centre d'Etudes et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen, à Genève
C dans l'air du 24 octobre 2023 - Otage libérée: à 85 ans..."j'ai traversée l'enfer" LES EXPERTS : - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux - Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération - Alain BAUER- Professeur au CNAM, responsable du pôle sécurité, défense et renseignement - Hasni ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM, Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen
C dans l'air du 24 octobre 2023 - Otage libérée: à 85 ans..."j'ai traversée l'enfer" Deux femmes israéliennes, kidnappées le 7 octobre dernier avec leurs maris au sein d'un kibboutz, ont été libérées lundi soir par le Hamas. Le groupe palestinien dit avoir relâché les deux octogénaires “pour des raisons humanitaires pressantes” grâce à une médiation du Qatar et de l'Égypte. L'une d'entre elles a raconté avoir vécu pendant dix-huit jours dans pièces dans les tunnels sous Gaza. Au moins 220 personnes sont encore retenues par le Hamas. Parmi elles, neufs Français. Emmanuel Macron a rencontré ce matin à Tel-Aviv leurs familles ainsi que celles des victimes françaises. Trente Français ont été assassinés lors de l'attaque du 7 octobre. C'est "une page noire de notre propre histoire", a déploré ce matin le chef de l'État aux côtés du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Le président de la République - qui a assuré la population israélienne de "la solidarité" de la France – a ensuite proposé que la coalition internationale déployée en Irak et en Syrie pour lutter contre l'État islamique "puisse lutter aussi contre le Hamas". "Je propose à nos partenaires internationaux" que "nous puissions bâtir une coalition régionale et internationale pour lutter contre les groupes terroristes qui nous menacent tous", a-t-il expliqué. Le chef de l'Etat a également appelé "à une relance décisive du processus politique avec les Palestiniens". "Le Hamas doit être combattu mais la cause palestinienne doit être entendue avec raison", a plaidé Emmanuel Macron avant de rencontrer dans l'après-midi à Ramallah le président de l'autorité palestinienne Mahmoud Abbas, puis se rendre dans la soirée en Jordanie. Alors quels sont les enjeux du déplacement d'Emmanuel Macron au Proche-Orient ? Comment relancer le processus de paix entre Israël et la Palestine ? Que signifie "bâtir une coalition internationale" contre le Hamas ? Comment cette proposition est-elle reçue dans la région ? Quel est le traitement médiatique du déplacement d'Emmanuel Macron et plus largement de la guerre entre Israël et le Hamas dans le monde arabe ? Enfin à l'heure où l'information est un champ de bataille dans cette guerre entre Israël et le Hamas, comment parvenir à informer sur la situation à Gaza ? Depuis le 7 octobre, Israël bombarde sans discontinuer Gaza, dont l'entrée est impossible pour les journalistes étrangers. Le travail des correspondants est la seule source d'information indépendante disponible pour les rédactions du monde entier. Mais il est devenu extrêmement dangereux. En deux semaines de combats, vingt-trois sont morts, selon un décompte tenu par le Committee to Protect Journalists, une ONG américaine. La plupart sont palestiniens. Le dernier, le journaliste Roshdi Sarraj, 31 ans, qui était par ailleurs "fixeur" pour plusieurs médias français dont Radio France ou Mediapart, a été tué dimanche par une frappe israélienne. LES EXPERTS : - Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux - Alexandra SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération - Alain BAUER- Professeur au CNAM, responsable du pôle sécurité, défense et renseignement - Hasni ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM, Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen
C dans l'air, l'invité du 18 octobre 2023 : Jérôme Guedj, député PS de l'Essonne. LES EXPERTS : - Hasni ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM - Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen - Benjamin HADDAD - Député Renaissance, membre de la Commission des affaires étrangères - Assemblée Nationale - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - France Inter, spécialiste des questions internationales - Delphine MINOUI - Grand reporter spécialiste du monde iranien - Le Figaro, auteure de "Je vous écris de Téhéran" - Louis HAUSALTER - Journaliste politique à Marianne
C dans l'air du 18 octobre 2023 - Biden peut-il éviter la guerre totale ? C'est une frappe qui enflamme le monde arabe et peut peut-être changer le cours du conflit. Hier, à 19 heures, heure locale, une explosion a retenti sur l'hôpital Al-Ahli de Gaza. Plusieurs centaines de Palestiniens ont été tués selon le Hamas qui accuse l'armée israélienne d'avoir fait un carnage. Israël, de son côté, parle d'une roquette tirée par un autre groupe palestinien le Jihad Islamique et dit avoir des preuves. Très vite, les images du bâtiment en flamme et des victimes ont tourné dans les médias et sur les réseaux sociaux. Aussitôt la nouvelle connue, des manifestations ont eu lieu dans les capitales du monde arabe. A Beyrouth, Amman, Istanbul mais aussi à Tunis où des centaines de personnes se sont rassemblées devant l'ambassade de France tandis qu'en Cisjordanie la foule s'en est pris au président de l'autorité palestinienne, accusé de passivité. Mahmoud Abbas a condamné hier soir un "massacre" et décrété un deuil devant être "observé à travers la Palestine pour les victimes de la frappe aérienne brutale israélienne sur l'hôpital al-Ahli à Gaza". Pendant ce temps-là, Joe Biden prenait l'avion pour Israël pour une visite de solidarité. Arrivé ce matin à Tel-Aviv, le président américain s'est dit "profondément attristé et choqué" par l'explosion survenue à Gaza, lors d'une conférence de presse en compagnie du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou. "À la lumière de ce que j'ai vu, il apparait que cela a été mené par la partie adverse, pas par vous", a-t-il indiqué en s'adressant au chef du gouvernement de l'État hébreu avant d'estimer toutefois qu'il serait peut-être difficile "de tirer les choses au clair" alors que depuis hier soir les réactions indignées et les appels à arrêter cette guerre se multiplient. Une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'Onu est attendue dans la journée. Soutien de l'Etat hébreu, meurtri par la pire attaque terroriste de son histoire, Joe Biden veut aussi protéger les civils de la bande de Gaza et faire entrer l'aide humanitaire dans l'enclave placée en état de siège total. Mais après ce tir sur l'hôpital de Gaza l'autre partie de son voyage est annulé. Joe Biden ne rencontrera pas le président de l'autorité palestinienne Mahmoud Abbas, le roi de Jordanie Abdallah II, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi à Amman à Amman. Alors le voyage du président américain change-t-il de nature ? Quels sont les enjeux du déplacement de Joe Biden en Israël ? Le conflit menace-t-il de s'étendre au sud du Liban ? Depuis l'attaque du groupe islamiste palestinien en Israël, les tensions se multiplient à la frontière avec le Liban. Soutenu par l'Iran, le Hezbollah, allié du Hamas, a prévenu qu'il "était prêt" à intervenir en cas d'offensive terrestre à Gaza, et dans le pays, la population se prépare à un affrontement. La Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul), déployée dans le sud du pays, "est activement engagée auprès des autorités des deux côtés pour tenter de faire baisser la tension", a fait savoir l'ONU. Nos journalistes se sont rendus dans le pays pour essayer de décrypter la situation. Leur reportage sera diffusé ce soir dans #cdanslair. LES EXPERTS : - Hasni ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM - Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen - Benjamin HADDAD - Député Renaissance, membre de la Commission des affaires étrangères - Assemblée Nationale - Anthony BELLANGER - Éditorialiste - France Inter, spécialiste des questions internationales - Delphine MINOUI - Grand reporter spécialiste du monde iranien - Le Figaro, auteure de "Je vous écris de Téhéran" - Louis HAUSALTER - Journaliste politique à Marianne DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/