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What does Yemen's political, economic and social history and experience tell us about what is realistic for the coming decade and beyond? This keynote lecture delivered by writer and researcher Helen Lackner discussed the main socio-political transformations since the 1960s, and addressed the most relevant features for the country's future. Lackner's presentation drew on her personal experience in different sectors throughout the country. Meet our speaker and chair Helen Lackner has been involved with Yemen for more than half a century, working in all three Yemeni states which have existed since the 1960s. She has worked as a consultant in social aspects of rural development in over thirty countries in the Middle East, Africa, Asia and Europe. Her two most recent books on Yemen are 'Yemen in Crisis, Devastating Conflict, Fragile Hope' (Saqi, 2023) and 'Yemen: Poverty and Conflict' (Routledge, 2023). Lackner was the Sir William Luce Fellow at Durham University in 2016, an associate researcher at SOAS from 2016 to 2022. She edited the Journal of the British-Yemeni Society for eight years and writes regularly for the Arab Digest and Orient XXI and has contributed longer academic papers to numerous books and other institutions. Richard Barltrop is a Visiting Senior Fellow at the LSE Middle East Centre. His research is on contemporary international approaches to peacemaking, and why peace processes fail or succeed, with a particular focus on Yemen, Sudan and South Sudan. He is the author of 'Darfur and the International Community: The Challenges of Conflict Resolution in Sudan' (IB Tauris/Bloomsbury, 2011/2015).
« Entre la France et l'Algérie, les relations reviennent à la normale », affirme Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères, qui a été reçu le 6 avril 2025 à Alger en audience pendant plus de deux heures par le président Abdelmadjid Tebboune. Ces derniers mois, la crise entre Paris et Alger avait fait craindre une rupture des relations diplomatiques. Mais le 31 mars, un coup de téléphone Macron - Tebboune a tout débloqué. Quelles sont les coulisses de ce rebondissement ? À Paris, Akram Belkaïd est le rédacteur en chef du Monde Diplomatique. Il est aussi membre du comité éditorial du site Orient XXI. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : « Le rideau se lève », dit Abdelmadjid Tebboune. Est-ce que ça y est, la lumière jaillit ?Akram Belkaïd : Oui, quelle étrange formule ! « Le rideau se lève », c'est plutôt un spectacle. Et donc, on se dit que le spectacle continue dans ce feuilleton interminable des relations franco-algériennes. Mais peut-être que c'est aussi pour dire qu'on revient à plus de normalité, à plus de choses transparentes.« Les questions de réadmission et les questions de visas seront traitées dans le cadre des accords existants », dit le ministre français Jean-Noël Barrot. Est-ce à dire que ce sera donnant-donnant, réadmission contre visas ? Alors on peut effectivement comprendre ça, même si pour le moment ce sont les accords qui existent qui priment. Donc, le fameux accord de 1968 qui a été révisé à plusieurs reprises, faut-il le rappeler, et donc les dispositions bilatérales concernant les visas. Donc on n'est pas dans un contexte où on nous explique que tout va être remis à zéro, même si, dans le même temps, on nous dit tout de même qu'il va y avoir des négociations, en tout cas des « enrichissements ».Et des rencontres entre les consuls d'Algérie en France et les préfets de France… Ça, c'est une très bonne chose. On se demande pourquoi ça n'existait pas avant. Il y a une importante communauté algérienne en France. Il y a des problèmes concrets qui se posent à la communauté algérienne de France et c'est une très bonne chose, à mon sens, que ces consuls puissent dialoguer avec les préfectures de manière à ce que la vie quotidienne de cette communauté ne soit pas entravée.Est-ce que les déclarations du ministre français des Affaires étrangères ne sont pas en contradiction avec celles de son collègue de l'Intérieur, Bruno Retailleau, qui accusait récemment l'Algérie de vouloir agresser et humilier la France ? Absolument. On se demande d'ailleurs quelle va être la réaction de monsieur Retailleau, puisque c'est lui qui, au cours des dernières semaines, a jeté de l'huile sur le feu par des déclarations incandescentes. Une menace de démission aussi. Là, visiblement, le dossier lui échappe puisqu'il n'a même pas été cité dans la liste des contacts bilatéraux à venir, puisque c'est le garde des sceaux français qui a été cité sur le plan, en tous les cas, des questions juridiques. Je dirais que, là, pour le coup, ça devient un problème de politique intérieure française.Dans le domaine sécuritaire, le ministre français des Affaires étrangères a annoncé qu'il y aura désormais entre l'Algérie et la France « un dialogue stratégique sur le Sahel ». Comment réagissez-vous ? Alors, c'est une déclaration qui est très importante parce que, dans le contexte actuel du Sahel, avec la montée en puissance, je dirais, de la contestation contre la France mais aussi contre l'Algérie, il est évident que Paris et Alger ont intérêt à trouver un accord pour suivre ce qui se passe au Mali, au Niger, au Burkina Faso aussi, qui sont des zones où traditionnellement les intérêts français et algériens n'ont pas toujours été convergents, mais là où, pour le coup, ils le deviennent. On parle beaucoup de l'influence russe, on parle beaucoup de l'influence turque. Et les deux, je dirais, acteurs habituels semblent avoir perdu la main sur les questions géostratégiques qui concernent cette région.Peut-on parler d'une convergence entre Paris et Alger contre la présence de Wagner à Kidal ? En tous les cas, il est vrai aussi qu'il y a aujourd'hui une dissonance dans les rapports algéro-russes sur la présence effectivement de Wagner à Kidal, que l'Algérie n'accepte pas, que l'Algérie dénonce de manière plus ou moins explicite. Et donc effectivement, on sent bien que là, pour le coup, il y a une entente possible entre Algériens et Français sur ce point-là.Dans le communiqué conjoint des deux présidents lundi 31 mars, comme dans la déclaration du ministre français du 6 avril, pas un mot sur le Sahara occidental qui a pourtant été l'élément déclencheur de la crise au mois de juillet dernier. Est-ce à dire que l'Algérie se résigne à voir la France reconnaître la marocanité du Sahara ? C'est un point qui a été volontairement et délibérément mis de côté. Maintenant, les langues se délient un peu… Quand Emmanuel Macron a adressé sa lettre au roi du Maroc, il est apparu que, en fait, c'était une perspective que les Algériens avaient entérinée depuis un moment et que ça faisait partie, je dirais, des choses qui semblaient être inscrites. Donc, oui, c'est une sorte non pas de résignation, mais Alger prend acte de la position française et l'idée, c'est d'avancer en mettant ce dossier à part, c'est-à-dire en essayant de le réduire à un point, je dirais, de non-accord entre l'Algérie et la France, sachant qu'il est très possible aussi que des choses puissent se cristalliser dans les prochains mois dans, non pas un rapprochement, mais dans un léger réchauffement des relations entre Alger et Rabat.
Quelques semaines après le 7 octobre 2023, la journaliste Meriem Laribi se fait accréditée aux points presse de l'Elysée. Dans Ci-gît l'humanité (Editions Critiques), elle raconte comment, semaine après semaine, les services du Président et certains de ses confrères ont tenté de la museler. Au delà se son expérience, son essai démonte le traitement médiatique de la guerre en Palestine et pointe du doigt un biais systémique : comment, sous couvert de neutralité, la presse occidentale a validé un récit tronqué, invisibilisé les victimes palestiniennes et normalisé l'inacceptable. Meriem Laribi, journaliste notamment pour « Le Monde Diplomatique » et « Orient XXI », est convoquée pour la deuxième fois Au Poste.
durée : 00:58:00 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Margaux Leridon - Après l'affaiblissement du Hamas et du Hezbollah, le renversement de Bachar Al-Assad marque la chute d'un nouveau domino de l'axe pro-Iranien et antisioniste au Proche-Orient. Dans ce contexte d'équilibres incertains, la Syrie doit désormais se reconstruire et nouer des alliances. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Bernard Hourcade Géographe, chercheur émérite au CNRS et membre du comité de rédaction Orient XXI; Ziad Majed Politiste, professeur à l'Université américaine de Paris ; Iris Lambert Journaliste en Irak et Syrie (Libération, La Croix, Le Soir) et doctorante au CERI (Sciences Po/CNRS)
C'est sur la base du dernier rapport de l'Unicef, qu'Afrik.com dresse un tableau particulièrement sombre des viols et agressions sexuelles dont sont victimes les femmes en Afrique subsaharienne. Facteur aggravant de cette situation,« 22 % des femmes vivant en Afrique subsaharienne ont subi des agressions sexuelles ou des viols avant même d'attendre l'âge de 18 ans », précise Afrik.com, qui s'indigne : « Les violences sexuelles, surtout lorsqu'elles sont subies à un jeune âge, laissent des traces indélébiles (...) Ces agressions perturbent gravement le développement des jeunes filles, impactant leur capacité à apprendre et à s'épanouir...» Ainsi, « une jeune fille violée aura souvent du mal à poursuivre une scolarité normale, freinant ainsi son avenir et son intégration sociale ». « Dans certaines sociétés », ajoute Afrik.com, « l'absence de soutien psychologique et médical adapté est un autre obstacle qui empêche les victimes de briser le silence ». « Une réalité effrayante et dévastatrice », commente le site d'information, qui s'interroge : « Pourquoi ces violences continuent-elles à sévir avec une telle intensité ? Et quelles solutions pour y mettre fin ? ». Afrik.com préconise le renforcement « des mécanismes de protection des femmes et des filles », ainsi que « l'éducation des populations ».À lire aussiUne femme sur huit victime de violences sexuelles avant ses 18 ans dans le monde, selon l'UnicefDes dizaines de disparusÀ la Une également, l'inhumation de plusieurs des victimes au naufrage survenu sur le lac Kivu le 10 octobre. C'est Actualité.cd qui nous en parle. « L'inhumation de 11 corps identifiés d'habitants de Goma a eu lieu hier au cimetière Makao ». « Une photo nous montre les proches des victimes se recueillir devant des cercueils blancs ». « Émoi, émotions, colère... voilà l'image qu'on pouvait lire sur les visages des personnes venues assister aux cérémonies d'au revoir » raconte le site d'information qui précise : « Peu avant de convoyer les corps des victimes vers leurs dernières demeures, le gouverneur du Sud-Kivu et le vice-gouverneur du Nord-Kivu, ont indiqué que les recherches se poursuivent sur le Lac Kivu, en vue de tenter de repêcher l'épave du bateau, avec plusieurs disparus à son bord ». Une question cruciale car elle préoccupe fortement les familles de victimes qui ont d'ailleurs manifesté leur mécontentement. « À la veille de l'inhumation des victimes de Goma », indique Actualité.cd, « la levée des corps de la morgue de l'hôpital provincial du Nord-Kivu a été perturbée par des membres des familles dont les corps n'ont toujours pas été retrouvés ». Et ils sont nombreux. « Le bilan provisoire de ce drame reste à ce jour d'au moins 34 corps repêchés, 80 rescapés, et plusieurs dizaines des disparus », souligne Actualité.cd. Le Caire 2050Prenons à présent la direction de l'Égypte, où un architecte est sous les feux des projecteurs. Il s'appelle Mostafa Madbouli. « L'homme qui défigure le Caire », titre d'emblée Orient XXI, qui dresse son portrait en quelques mots : « un homme effacé mais déterminé », « un urbaniste qui a su s'acclimater avec le contexte politique de son pays pour réaliser son projet Le Caire 2050 ». De quoi s'agit-il exactement ? Orient XXI n'y va pas par quatre chemins. « Le plan du Caire 2050 », nous dit-on, « révèle une volonté manifeste de vider la capitale des classes pauvres pour la transformer en un centre d'investissement et de commerce, au service de l'élite économique ». « Une vision d'avenir », ironise Orient XXI, « qui repose largement sur les expulsions forcées » (...) « Aussi, avec un régime militaire, la présence de responsables civils dociles et obéissants, comme Madbouli, représente un pilier essentiel pour la stabilité du régime, et pour passer de la planification à la mise en œuvre. « L'architecte qui ne manque pas d'avenir puisque selon Orient XXI, « les dirigeants ne peuvent ni se passer de lui, ni le craindre, car il travaille de toutes ses forces au maintien du régime au pouvoir, à renflouer les caisses de l'État, et à faciliter la mainmise du pouvoir ».
C'est sur la base du dernier rapport de l'Unicef, qu'Afrik.com dresse un tableau particulièrement sombre des viols et agressions sexuelles dont sont victimes les femmes en Afrique subsaharienne. Facteur aggravant de cette situation,« 22 % des femmes vivant en Afrique subsaharienne ont subi des agressions sexuelles ou des viols avant même d'attendre l'âge de 18 ans », précise Afrik.com, qui s'indigne : « Les violences sexuelles, surtout lorsqu'elles sont subies à un jeune âge, laissent des traces indélébiles (...) Ces agressions perturbent gravement le développement des jeunes filles, impactant leur capacité à apprendre et à s'épanouir...» Ainsi, « une jeune fille violée aura souvent du mal à poursuivre une scolarité normale, freinant ainsi son avenir et son intégration sociale ». « Dans certaines sociétés », ajoute Afrik.com, « l'absence de soutien psychologique et médical adapté est un autre obstacle qui empêche les victimes de briser le silence ». « Une réalité effrayante et dévastatrice », commente le site d'information, qui s'interroge : « Pourquoi ces violences continuent-elles à sévir avec une telle intensité ? Et quelles solutions pour y mettre fin ? ». Afrik.com préconise le renforcement « des mécanismes de protection des femmes et des filles », ainsi que « l'éducation des populations ».À lire aussiUne femme sur huit victime de violences sexuelles avant ses 18 ans dans le monde, selon l'UnicefDes dizaines de disparusÀ la Une également, l'inhumation de plusieurs des victimes au naufrage survenu sur le lac Kivu le 10 octobre. C'est Actualité.cd qui nous en parle. « L'inhumation de 11 corps identifiés d'habitants de Goma a eu lieu hier au cimetière Makao ». « Une photo nous montre les proches des victimes se recueillir devant des cercueils blancs ». « Émoi, émotions, colère... voilà l'image qu'on pouvait lire sur les visages des personnes venues assister aux cérémonies d'au revoir » raconte le site d'information qui précise : « Peu avant de convoyer les corps des victimes vers leurs dernières demeures, le gouverneur du Sud-Kivu et le vice-gouverneur du Nord-Kivu, ont indiqué que les recherches se poursuivent sur le Lac Kivu, en vue de tenter de repêcher l'épave du bateau, avec plusieurs disparus à son bord ». Une question cruciale car elle préoccupe fortement les familles de victimes qui ont d'ailleurs manifesté leur mécontentement. « À la veille de l'inhumation des victimes de Goma », indique Actualité.cd, « la levée des corps de la morgue de l'hôpital provincial du Nord-Kivu a été perturbée par des membres des familles dont les corps n'ont toujours pas été retrouvés ». Et ils sont nombreux. « Le bilan provisoire de ce drame reste à ce jour d'au moins 34 corps repêchés, 80 rescapés, et plusieurs dizaines des disparus », souligne Actualité.cd. Le Caire 2050Prenons à présent la direction de l'Égypte, où un architecte est sous les feux des projecteurs. Il s'appelle Mostafa Madbouli. « L'homme qui défigure le Caire », titre d'emblée Orient XXI, qui dresse son portrait en quelques mots : « un homme effacé mais déterminé », « un urbaniste qui a su s'acclimater avec le contexte politique de son pays pour réaliser son projet Le Caire 2050 ». De quoi s'agit-il exactement ? Orient XXI n'y va pas par quatre chemins. « Le plan du Caire 2050 », nous dit-on, « révèle une volonté manifeste de vider la capitale des classes pauvres pour la transformer en un centre d'investissement et de commerce, au service de l'élite économique ». « Une vision d'avenir », ironise Orient XXI, « qui repose largement sur les expulsions forcées » (...) « Aussi, avec un régime militaire, la présence de responsables civils dociles et obéissants, comme Madbouli, représente un pilier essentiel pour la stabilité du régime, et pour passer de la planification à la mise en œuvre. « L'architecte qui ne manque pas d'avenir puisque selon Orient XXI, « les dirigeants ne peuvent ni se passer de lui, ni le craindre, car il travaille de toutes ses forces au maintien du régime au pouvoir, à renflouer les caisses de l'État, et à faciliter la mainmise du pouvoir ».
L'épilogue de Carnets de correspondante Au lendemain des massacres terroristes du Hamas le 07 octobre 2023, quand l'État israélien commence sa guerre de représailles, Marine Vlahovic cherche à entrer dans la bande de Gaza. Mais l'ex-correspondante en Palestine reste bloquée au Caire. Alors, malgré les black-outs, elle garde le contact avec l'enclave palestinienne à travers des messages vocaux et des appels audio ou vidéo. Dans ce nouvel épisode de Carnets de correspondante (Prix SCAM du podcast documentaire 2021), elle compile les milliers de messages, les centaines d'heures de rushs et tout ce qu'elle récolte sur les réseaux pour documenter le quotidien à Gaza. Elle raconte aussi la difficulté à faire sortir les informations de la bande de Gaza et fait le portrait de ses amis et collègues gazaouis qui sont à la fois victimes et témoins d'une guerre atroce et de la disparition de leur monde. Avec les sons de Mohamed J Abu Safia, Hind el Khoudary, Hatem Hany Rawagh, Rami Abou Jamous et Islam Idhair. Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage Amours occupées (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019, elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones. Une expérience qu'elle relate dans Carnets de correspondante (juin 2021) pour lequel elle a reçu le prix SCAM du podcast documentaire 2021. Elle a récemment imaginé et co-réalisé pour ARTE Radio Le Souffle de Beyrouth (août 2022) et Enlèvement à l'italienne (octobre 2022). Vous pouvez lire le journal de bord de Rami Abou Jamous sur Orient XXI. Ce podcast est dédié à Shireen Abu Akleh, tuée par un soldat israélien le 11 mai 2022 dans le camp de réfugiées de Jénine (Cisjordanie), Bilal Jadallah, le directeur de Gaza Press House, visé par un char israélien le 19 novembre 2023 dans la bande de Gaza ainsi qu'à tous les professionnels de l'information qui ont perdu la vie depuis le début de ce conflit. Enregistrements : octobre 2023-juin 2024 - Prise de son, texte, voix : Marine Vlahovic - Réalisation : Charlie Marcelet et Marine Vlahovic - Mix: Charlie Marcelet - Musique originale: Arnaud Forest - Illustration: Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio
Auteur de “Palestine, un peuple qui ne veut pas Mourir”, paru aux éditions Les Liens qui Libèrent, Alain Gresh, journaliste, pose un regard un regard lucide et recontextualisé sur le génocide en Palestine. Journaliste, essayiste, fondateur du média Orient XXI, spécialiste du Proche Orient et du Monde Arabe, auteur d'innombrables ouvrages sur cette zone, Alain Gresh était sur le plateau du Média pour parler du dernier en date et qui est intitulé “Palestine, un peuple qui ne veut pas Mourir”, paru aux éditions Les Liens qui Libèrent. Un regard lucide et recontextualisé sur la guerre d'Israël en Palestine. Il passe au crible tous les détails de la situation entre Israël et la Palestine, son histoire, surtout celle de la lutte des Palestiniens pour leur survie, leur Terre, le droit à l'autodétermination et la fin de la colonisation. Il décrypte jusqu'à la sémantique utilisée dans les médias et par les autorités politiques soutiens d'Israël et qui tend à justifier le massacre indiscriminé qui court en ce moment dans la Bande de Gaza… Comme lorsque l'on parle de “guerre” entre Israël et le Hamas. Faire passer le colonisé et l'opprimé pour un terroriste pour mieux le déshumaniser et justifier son sort.
Henry LaurensCollège de FranceHistoire contemporaine du monde arabeAnnée 2023-2024Colloque - L'année 1979 au Moyen-Orient : Le traité de paix israélo-égyptien et la question de PalestineDima AlsajdeyaChercheuse et doctorante associée à la chaire Histoire contemporaine du monde arabehttps://www.college-de-france.fr/fr/personne/dima-alsajdeyaFrançois CeccaldiChercheur associé à la chaire Histoire contemporaine du monde arabehttps://www.college-de-france.fr/fr/personne/francois-ceccaldiAlain GreshJournaliste spécialiste du Proche-Orient, directeur du journal Orient XXIDima AlsajdeyaDima Alsajdeya est docteure en science politique, relations internationales, chercheuse associée à la chaire Histoire contemporaine du monde arabe du Collège de France et au Centre Thucydide (université Paris-Panthéon-Assas) et chargée d'enseignement à Sciences Po Paris. Ses recherches portent sur la place de la question israélo-palestinienne dans la politique étrangère de l'Égypte et sur les dynamiques de pouvoirs en Palestine. Elle est membre du comité de rédaction de la revue Confluences Méditerranée. Elle a codirigé avec François Ceccaldi et Emilio Dabed, « Pouvoir(s) en Palestine », Confluences Méditerranée, 2021). Sa dernière publication porte sur « La Cisjordanie, l'arrière-plan de la guerre israélienne contre Gaza » (Confluences Méditerranée, 2023).Alain GreshAlain Gresh est journaliste spécialiste du Proche-Orient, directeur du journal Orient XXI et ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont De quoi la Palestine est-elle le nom ? (Les Liens qui libèrent, 2010) et Un chant d'amour. Israël-Palestine, une histoire française, avec Hélène Aldeguer (La Découverte, 2017). Il a également préfacé, présenté et contextualisé le document Le Fatah. La révolution palestinienne et les Juifs, un texte publié au printemps 1970 par le Fatah et réédité en 2021 (Orient XXI – Libertalia).François CeccaldiFrançois Ceccaldi est politiste, docteur en études politiques de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) et chercheur à la chaire Histoire contemporaine du monde arabe du Collège de France. Il est président du Cercle des chercheurs sur le Moyen-Orient (CCMO) et enseigne également à Sciences Po Paris. Ses recherches ont porté sur les factions de gauche de l'OLP et sur la formulation d'une opposition politique au sein du mouvement national palestinien après la signature des accords d'Oslo en 1993. Il a publié plusieurs analyses sur les dynamiques politiques palestiniennes et s'est intéressé plus récemment à la question du pouvoir et de la représentation en Palestine. Ses dernières publications ont porté sur « La Palestine face à la guerre en Ukraine » (Annuaire français des relations internationales, 2023), « Les relations entre Israël et l'OLP (1967-1993) : l'impossible dialogue ? », Fréquenter les infréquentables (CNRS, 2023) et « La disqualification des interlocuteurs palestiniens par Israël » (Confluences Méditerranée, 2023).
Le journaliste et essayiste Alain Gresh, ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique, et directeur du journal en ligne Orient XXI, est notre invité. Auteur de nombreux ouvrages sur le Proche-Orient, il vient de republier un livre co-signé avec Hélène Aldeguer : "Un chant d'amour Israël-Palestine, une histoire française" (Coédition Libertalia/Orient XXI). Son dernier article dans le Monde diplomatique s'intitule "Barbares et civilisés"
▶ “Qui ne serait indigné devant les assassinats du Hamas ? Et devant le déluge de bombes ordonné par le gouvernement israélien ? Le premier est qualifié de « terroriste » — pas le second. Au fil de l'histoire, cette notion a beaucoup varié.” Voilà comment débute le nouvel article du journaliste Alain Gresh, paru en Une du dernier numéro du Monde Diplomatique. Un papier qui s'insère dans un “Dossier spécial Israël-Palestine”, où Alain Gresh a lui décidé de faire focus sur le concept de "terrorisme". Une rubrique fourre-tout depuis les attentats de New-York en 2001, qui permet, selon lui, de discriminer à grande échelle toute une partie du monde. Alain Gresh se base sur le droit international et les résolutions de l'ONU pour apprécier le conflit historique israélo-arabe, et parle alors "d'actes terroristes" plutôt que de qualifier des groupes de "terrorisme". Du PKK à l'IRA, en passant par Al Qaida et les Suffragettes, nous passeront en revue des exemples qui ont fait l'Histoire. Journaliste, ancien rédacteur en chef du Monde Diplomatique, il est le fondateur des sites d'informations Orient XXI et Afrique XXI. Alain Gresh est l'un des grands spécialistes du conflit Israélo-palestinien en France. Il est notre invité pour ce nouvel entretien d'actu. ▶ On est là ! Jamais un média populaire et indépendant, qui n'est détenu ni par de riches oligarques ni par l'Etat, n'avait arraché le droit d'être diffusé à la TV ! Nous si ! RDV sur le canal 350 de la freebox, et toujours sur Youtube et sur notre site internet !
Le site d'information Orient XXI, qui se présente comme « le journal en ligne de référence du monde arabe et musulman », fête ses dix ans. Pour discuter de ses nombreux défis, « L'atelier des médias » reçoit Sarra Grira, sa rédactrice en chef. Lancé en 2013, le site Orient XXI fête ses 10 ans. Indépendant, il est totalement gratuit et sans publicité. La journaliste tunisienne Sarra Grira en est depuis peu la rédactrice en chef. Au micro de « L'atelier des médias », elle explique comment Orient XXI est organisé éditorialement et détaille son modèle économique. Mondoblog audio fait entendre le blogueur malien Ousmane Makaveli qui depuis Bamako insiste sur la tradition malienne du vivre ensemble.
C'est un journal sur Internet qui a vu le jour en 2013. Dix années plus tard, Orient XXI est devenu un hebdomadaire de référence dans le monde arabe et musulman. Un site en français et en arabe qui s'est élargi à l'anglais, au persan, à l'espagnol et à l'italien. Un média qui a su se diversifier avec des thématiques ancrées dans la vie des sociétés, et qui s'est adjoint un journal frère : Afrique XXI. Orient Hebdo reçoit son directeur et fondateur Alain Gresh, et sa rédactrice en chef Sarra Grira. + La revue de presse Israël/monde arabe : avec Michel Paul à Jérusalem et Alexandre Buccianti au Caire.
durée : 00:34:52 - L'Invité(e) des Matins d'été - par : Quentin Lafay - Selon le dernier bilan de l'ONU, plus de 3000 personnes ont été tuées et près de trois millions ont fui le Soudan. Des chiffres qui risque d'augmenter puisqu'après trois mois, la guerre opposant deux généraux rivaux ne s'affaiblit pas. - invités : Gwenaëlle Lenoir Grande reporter indépendante, notamment pour Mediapart, Orient XXI et Marianne, spécialiste de Afrique orientale et du Proche et Moyen-Orient; Khadidja Medani Doctorante à l'Université Paris 1
durée : 02:02:29 - Les Matins d'été - par : Quentin Lafay - Soudan : une guerre qui s'enlise / « Faîtes vos jeux » à Deauville : la machination des machines à sous - invités : Gwenaëlle Lenoir Grande reporter indépendante, notamment pour Mediapart, Orient XXI et Marianne, spécialiste de Afrique orientale et du Proche et Moyen-Orient; Khadidja Medani Doctorante à l'Université Paris 1; Sébastien Gokalp Conservateur du patrimoine au musée d'art moderne de la Ville de Paris
durée : 00:57:54 - Cultures Monde - par : Julie Gacon - Loin de la transition démocratique engagée par les révolutionnaires de 2018, le Soudan est pris depuis le 15 avril dans une lutte sanglante entre différentes factions militaires pour la domination du pays et de ses ressources. - invités : Anne-Laure Mahé Fellow au département de méthodologie de la London School of Economics et chercheuse associée au Centre d'étude et de documentation économique, juridique et sociale de Khartoum (CEDEJ); Clément Deshayes Chercheur “Afrique de l'Est” à l'Institut de recherche stratégique de l'Ecole militaire (IRSEM), spécialiste du Soudan; Gwenaëlle Lenoir Grande reporter indépendante, notamment pour Mediapart, Orient XXI et Marianne, spécialiste de Afrique orientale et du Proche et Moyen-Orient
Hace 20 años Recep Tayyip Erdogan llegó al poder en Turquía. Ahora, el presidente turco espera obtener un nuevo mandato en las elecciones presidenciales que se celebrarán el 14 de mayo de 2023. Pero el conservador se encuentra en una posición delicada frente a una oposición que ha logrado designar a un candidato único y con el foco de la actualidad aún puesto en el grave seísmo que devastó el sureste del país el pasado 6 de febrero. Hoy vamos a analizar no sólo la contienda electoral que se le presenta al presidente turco sino también cómo es la Turquía actual, en qué se parece y en qué se diferencia a la de finales del siglo pasado. Nos acompañan en esta edición: -Chris den Hond, periodista de Orient XXI que cubre Turquía-Delia Arrunategui, periodista independiente, estudiado sistema político turco -Laurent Perpigna Iban, periodista y fotógrafo acaba de regresar de Turquía y acudirá a cubrir las elecciones en mayo. En Primera Plana también está en las redes sociales.Coordinación editorial: Florencia ValdésRealización: Yann Bourdelas, Mathias Taylor, David Brockwell
Hace 20 años Recep Tayyip Erdogan llegó al poder en Turquía. Ahora, el presidente turco espera obtener un nuevo mandato en las elecciones presidenciales que se celebrarán el 14 de mayo de 2023. Pero el conservador se encuentra en una posición delicada frente a una oposición que ha logrado designar a un candidato único y con el foco de la actualidad aún puesto en el grave seísmo que devastó el sureste del país el pasado 6 de febrero. Hoy vamos a analizar no sólo la contienda electoral que se le presenta al presidente turco sino también cómo es la Turquía actual, en qué se parece y en qué se diferencia a la de finales del siglo pasado. Nos acompañan en esta edición: -Chris den Hond, periodista de Orient XXI que cubre Turquía-Delia Arrunategui, periodista independiente, estudiado sistema político turco -Laurent Perpigna Iban, periodista y fotógrafo acaba de regresar de Turquía y acudirá a cubrir las elecciones en mayo. En Primera Plana también está en las redes sociales.Coordinación editorial: Florencia ValdésRealización: Yann Bourdelas, Mathias Taylor, David Brockwell
Remi Carayol est un des animateurs du site d'information spécialisé Afrique XXI et il collabore régulièrement à Mediapart, au Monde diplomatique et à Orient XXI. Dans notre microcosme politico-médiatique, les polémiques vont et viennent, suscitent les controverses puis sont très vite démodées. Il y a quelques jours, c'est-à-dire une éternité, l'acteur Omar Sy suscitait mille indignations surjouées parce qu'il s'était interrogé sur l'indifférence d'une partie de ses compatriotes au sujet des guerres en Afrique. Une indifférence pourtant réelle, et qui profite bien aux politiques, qui n'ont pas à faire trop d'efforts pour fabriquer le consentement de l'opinion publique au moment de s'engager en guerre, au Sahel, en multipliant les fake news et les narratifs mythologiques. Une indifférence qui permet de faire admettre l'échec en rase campagne que l'on observe aujourd'hui, en procédant par un tour de passe-passe : en gros, on a tout bien fait, mais les trolls russes font croire des bobards à nos Africains. C'est contre cette indifférence qui entrave la délibération démocratique sur les engagements de son pays en Afrique que mon confrère Rémi Carayol entend se battre en publiant ce livre aux Éditions La Découverte. « Le Mirage sahélien », sous-titré « La France en guerre en Afrique/Serval, Barkhane et après ? ». Remi Carayol est un des animateurs du site d'information spécialisé Afrique XXI et il collabore régulièrement à Mediapart, au Monde diplomatique et à Orient XXI. ▶ Soutenez Le Média :
#37 La révolution c'est le bonheurDeuxième partie de l'épisode consacré au révolutionnaire Thomas Sankara qui fut à la tête du Burkina Faso entre 1983 et 1987. Après avoir évoqué, dans le premier volet, son ancrage politique anti impérialiste, nous entendrons ici sa conception de la révolution comme changement total en direction du bonheur de toustes.Références :« Symposium international en vue de la création de l'Institut des peuples noirs Ouagadougou, 21 -26 avril 1986 ».« Discours de clôture de la deuxième conférence nationale des CDR (Dédougou) », 3 Avril 1987.« Thomas Sankara », documentaire de la RST (1984)« Thomas Sankara, l'interview oubliée », 1 et 2, Orient XXI, 2021.Discours du 4 octobre 1984 à l'ONUThomas Sankara parle. La révolution au Burkina Faso (1983-1987), Pathfinder, 1988.Musique:Alif Naaba, M'tenga (2021). Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Charlotte Clavreul est Directrice exécutive du Fonds pour une presse libre (FPL). Elle présente ce fonds de dotation et ses intentions en faveur du droit d'accéder à une information de qualité. # Le FPL a été créé en 2019 par les cofondateurs et salariés de Mediapart, mais il reste indépendant à l'égard de ce média. # La structure dépend des dons de plus de 2000 particuliers, fondations et entreprises, pour un budget d'autour de 300 000 € par an. # Le Fonds pour une presse libre défend les éditeurs de presse indépendants. En 2021, il a attribué des aides financières aux médias Disclose, Far Ouest, Guiti News, Le Poulpe, Le Ravi, Orient XXI et Radio Parleur. # En octobre 2021, le FPL lance une alerte sur la concentration des médias dans l'Appel des indépendants. Au bout de 2 semaines, 93 éditeurs de presse étaient devenus signataires. # Charlotte Clavreul affirme la volonté du FPL de partager son expertise auprès des médias indépendants en développant une solution de conseil gratuite. Pour en savoir plus sur les références abordées au cours de cet épisode : # Commission Sénatoriale sur la Concentration des médias # Réunion publique Fonds pour une presse libre “Changer les médias, l'urgence d'agir” # Streetpress, Médiacités # #48 Libération : Le modèle subscription first, un nouveau départ concluant, avec Denis Olivennes Pour découvrir tout ça, c'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, par là si vous préférez Deezer, ici si vous préférez Google Podcasts, ou encore là si vous préférez Spotify. Et n'oubliez pas de laisser 5 étoiles et un commentaire sympa sur Apple Podcasts si l'épisode vous a plu. Mediarama est un podcast du label Orso Media.
24 janvier 2022 - Rencontre avec Hicham Mansouri, journaliste marocain réfugié en France. Modération : Sarra Grira, journaliste à Orient XXI. Retrouvez la vidéo : https://youtu.be/Oz3LqUlTgP0 Suivez nos évènements sur les réseaux sociaux YouTube : @upiremmo Facebook : @institutiremmo Twitter : @IiReMMO Instagram : @institutiremmo LinkedIn : @Institut iReMMO Soutenez notre chaîne Tipeee : @iremmo Lilo : @iremmo HelloAsso : @iremmo
12 janvier 2022 - Rencontre avec Lina Attalah, cofondatrice du média indépendant en ligne Mada Masr, Ahdaf Soueif, romancière et journaliste anglo-égyptienne, Modération : Alain Gresh, journaliste, directeur du journal en ligne Orient XXI. Retrouvez la vidéo : https://youtu.be/QgF8l_7G5QM Suivez nos évènements sur les réseaux sociaux YouTube : @upiremmo Facebook : @institutiremmo Twitter : @IiReMMO Instagram : @institutiremmo LinkedIn : @Institut iReMMO Soutenez notre chaîne Tipeee : @iremmo Lilo : @iremmo HelloAsso : @iremmo
Alain Gresh, a French journalist, was the editor of Le Monde Diplomatique and is now the director of Orient XXI, an online journal about Middle East affairs. Gresh's writing on Israel-Palestine and on the battles over Islam and secularism have made him one of the most important voices on the left in France. Born in Cairo in 1948, Gresh learned in his late 20s that a man he knew in Paris as a family friend, the Egyptian-Jewish revolutionary exile Henri Curiel, was his biological father. In 1978, Curiel was assassinated in his apartment building – a crime that remains unresolved to this day. In our conversation, Gresh talked to me about his trajectory as a radical commentator on the Middle East, his upbringing in Egypt on the eve of decolonization, his relationship to Curiel, and his ongoing search for the truth about Curiel's murder.Henri Curiel, citizen of the third world - Le Monde diplomatiqueWhen Palestine captured a generation's dreams - Le Monde diplomatiqueFrench Law on Separation of Church and State - Orient XXIPLO: The Struggle WithinAnouar Brahem - Blue Maqams
durée : 00:58:29 - Cultures Monde - par : Florian Delorme - Après une première étape au Soudan, où la transition démocratique a laissé la place à un pouvoir militaire répressif, direction le Chili, où l'élection de Gabriel Boric laisse entrevoir les défis qui attendent la gauche chilienne. - invités : Gwenaelle Lenoir Grand reporter indépendante, notamment pour Mediapart, Orient XXI et Marianne; Olivier Compagnon Historien, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Sorbonne-Nouvelle et directeur du Centre de recherche et de documentation des Amériques (CNRS/Paris 3); Sebastián Pérez Sepúlveda Docteur en sociologie de l'EHESS, attaché temporaire d'enseignement et de recherche à l'Université Le Havre Normandie
durée : 00:13:00 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Entretien avec Patrick Haimzadeh, ancien diplomate français à Tripoli, auteur de "Au cœur de la Libye de Kadhafi ". - invités : Patrick Haimzadeh Ancien diplomate français à Tripoli , auteur de "Au coeur de la Libye de Kadhafi ", contributeur régulier du Monde diplomatique et du site Orient XXI
7 octobre 2021 - Rencontre avec Leila Shahid, ancienne diplomate palestinienne, Alain Gresh, journaliste, directeur du journal Orient XXI. Modération : Dominique Vidal, journaliste et historien. Retrouvez la vidéo : https://youtu.be/0A1BOuktmZM Suivez nos évènements sur les réseaux sociaux YouTube : @upiremmo Facebook : @institutiremmo Twitter : @IiReMMO Instagram : @institutiremmo LinkedIn : @Institut iReMMO Soutenez notre chaîne Tipeee : @iremmo Lilo : @iremmo HelloAsso : @iremmo
28septembre 2021 - Rencontre avec Adam Baczko, auteur de La guerre par le droit : les tribunaux taliban en Afghanistan (CNRS éditions, 2021), Gilles Dorronsoro, chercheur en science politique. Modération : Alain Gresh, directeur du journal en ligne Orient XXI. Retrouvez la vidéo : https://youtu.be/z76ZbFA1jrY Suivez nos évènements sur les réseaux sociaux YouTube : @upiremmo Facebook : @institutiremmo Twitter : @IiReMMO Instagram : @institutiremmo LinkedIn : @Institut iReMMO Soutenez notre chaîne Tipeee : @iremmo Lilo : @iremmo HelloAsso : @iremmo
durée : 00:57:38 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon - Dix ans après la révolution libyenne soutenue par la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, le pays est en proie aux rivalités internes et à une profonde crise économique et politique. - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Virginie Collombier professeur à l'Institut universitaire européen (European University Institute) de Florence; Patrick Haimzadeh Ancien diplomate français à Tripoli , auteur de "Au coeur de la Libye de Kadhafi ", contributeur régulier du Monde diplomatique et du site Orient XXI; Igor Delanoë Directeur adjoint de l'Observatoire franco-russe de Moscou
Après deux décennies de surinvestissement militaire en Afghanistan, on assiste au retour des Talibans dans la capitale. Comment expliquer une telle déroute pour la première puissance mondiale ? On décrypte avec Alain Gresh, ancien rédacteur en chef du Monde Diplomatique et actuel directeur du site spécialisé Orient XXI. Ces derniers jours, ce sont des images sidérantes qui nous parviennent d'Afghanistan. Des images de foules désespérées de personnes quittant ou essayant de quitter le pays. Des images de Talibans prenant leurs quartiers au palais présidentiel de Kaboul, un peu moins de 20 ans après avoir été chassés du pouvoir par une coalition internationale dirigée par les États-Unis. Les Talibans, ces combattants djihadistes obscurantistes désignés comme les ennemis publics du monde libre, punis pour avoir accordé l'hospitalité à un certain Ossama Ben Laden, sont de nouveau au pouvoir. Face à cette actualité dont on sent confusément qu'elle marquera l'Histoire, on se pose des questions. Comment se fait-il qu'en dépit de 20 ans d'années de surinvestissement militaire, politique et économique des États-Unis, première puissance mondiale, les Talibans aient pu s'imposer aussi facilement ? Quelles sont les forces qui les soutiennent ? Sur le temps long, quelle est la signification de ce nouvel épisode, dont on ne sait pas très bien s'il est un épilogue ? Pour en savoir plus, nous nous sommes adressés au journaliste Alain Gresh, ancien rédacteur en chef du Monde Diplomatique et directeur de l'excellent site spécialisé Orient XXI. ▶ Signez notre pétition pour une contre-matinale engagée en vue des présidentielles ici ▶ Soutenez Le Média :
Peut-on parler d'un coup d'État en Tunisie ? Quel avenir pour le pays ? On en parle avec Sarra Grira, journaliste à Orient XXI. Après des mois de crise politique latente avec le Parlement tunisien, le président de la République Kaïs Saïed a passé une étape décisive dans l'exercice de son pouvoir. Le 25 juillet dernier, il décidait unilatéralement de limoger son Premier ministre et de suspendre les activités du Parlement pendant un mois. Le même jour, des manifestations avaient secoué le pays en protestation contre la classe politique tunisienne et la majorité parlementaire. Une aubaine pour Kaïs Saïed, qui dispose depuis son élection en 2019 d'une légitimité populaire plus importante que celle de son grand adversaire le parti islamiste Ennahda, composante essentielle de la majorité parlementaire aujourd'hui mise à mal. Depuis son coup de force dimanche dernier, ses opposants ont annoncé la volonté d'un dialogue pour résoudre cette nouvelle crise politique sur fond de crise sanitaire, tandis que les réactions plutôt timides de la communauté internationale ont renforcé la position présidentielle dans cette bataille. Alors peut-on parler d'un coup d'Etat en Tunisie ? Quel avenir se dessine pour ce pays englué dans une crise institutionnelle, politique et économique d'ampleur ? Pour en parler, nous recevons Sarra Grira, journaliste à Orient XXI et responsable des pages arabes de ce média en ligne. ▶ Signez notre pétition pour une contre-matinale engagée en vue des présidentielles ici ▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:52:04 - Répliques - par : Alain Finkielkraut - Après 10 jours de conflit et l'annonce d'un cessez-le-feu le 20 mai dernier, état des lieux de la tragédie au Proche-Orient. Entretien croisé avec Denis Charbit et Alain Gresh pour analyser les enjeux. - réalisation : François Caunac - invités : Denis Charbit professeur de science politique à l'Open University d'Israël; Alain Gresh journaliste, ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique, fondateur du journal en ligne Orient XXI
Combat de l’ombre et stratégie Un épisode autour de l’ouvrage "Les métamorphoses du Hezbollah", paru en 2007 aux éditions Kartala et signé Jean-Loup Samaan, ancien élève de l’historien Francois Géré. Métamorphoses… signe de modification, de déplacement, de reniement? Quelles ont été les changements opérée par le Hezbollah? Pour répondre à ces questions, entretiens croisés entre Francois Géré, historien et spécialiste des questions géostratégiques, et Alain Gresh, journaliste fondateur du magazine en ligne Orient XXI et auteur d’un documentaire sur le Hezbollah libanais. Photo: un partisan du Hezbollah avec sur sa tête un portrait du chef suprême de l'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, lors de la commémoration du 40e anniversaire de la révolution islamique iranienne, dans le sud de Beyrouth, au Liban, mercredi 6 février 2019. (© Hussein Malla/Keystone)
Combat de l’ombre et stratégie Quelles sont les connexions territoriales établies depuis le Liban par Hezbollah? Que sait-on des différentes communautés chiites réparties sur des territoires allant du Liban à l’Iran en passant par l’Irak et enfin que sait-on du fonctionnement des adhésions au mouvement Hezbollah? Des questions auxquelles répondent trois experts, Francois Géré, historien et spécialiste des questions géostratégiques, Olivier Roy politologue spécialiste de l’islam et directeur de recherche au CNRS et Alain Gresh, journaliste fondateur du magazine en ligne Orient XXI et auteur d’un documentaire sur le Hezbollah libanais. Photo: des partisans du parti libanais Kataëb agitent des drapeaux libanais et brandissent des pancartes opposées au hezbollah et à l'Iran lors d'une manifestation à Beyrouth, au Liban, le 10 mars 2021. Sur les pancartes, on peut lire en arabe "Non à l'occupation iranienne" ou "L'occupation iranienne symbolise la corruption". (© Nabil Mounzer/Keystone)
Combat de l’ombre et stratégie Comment faire de la politique dans l’ombre? Comment s’organiser? Comment choisir ses chefs et constituer les réseaux? Comment trouve-t-on le financement? Pour répondre à ces questions, rencontres et entretiens croisés avec François Géré, historien et spécialiste des questions géostratégiques, Olivier Roy, politologue spécialiste de l’islam et directeur de recherche au CNRS et Alain Gresh, journaliste fondateur du magazine en ligne Orient XXI et auteur d’un documentaire sur le Hezbollah libanais. Photo: soldats iraniens et russes lors d'un exercice militaire conjoint dans la mer d'Oman et le nord de l'océan Indien, en février 2021.(© AP Photo/Armée iranienne)
Combat de l’ombre et stratégie Histoire Vivante vous propose une semaine sur l’Iran et ses relations stratégiques, politiques et religieuses avec ses alliés. Qu’en est-il des relations entre le Hezbollah et l’Iran? Quelle est la base confessionnelle de ce pays? Et que reste-t-il de ce qui autrefois a porté le nom de "Panarabisme"? Pour répondre à ces questions, rencontres et entretiens croisés avec François Géré, historien et spécialiste des questions géostratégiques; Antoine Sfeir, journaliste et directeur des Cahiers de l’Orient et Alain Gresh, journaliste fondateur du magazine en ligne Orient XXI et auteur d'un documentaire sur le Hezbollah libanais. Dimanche 18 avril à 21h05 sur RTS Deux, vous pourrez voir le documentaire "Général Soleimani – Le stratège de l’Iran", un documentaire de Magali Serre (France, 2021) Photo: enterrement dans la banlieue sud de Beyrouth, au Liban, le dimanche 1er mars 2020, d'un combattant du Hezbollah tué dans la région d'Idlib, au nord-ouest de la Syrie. (© AP Photo/Hassan Ammar)
27 mars 2021 - Alain Gresh, directeur du journal en ligne Orient XXI. Retrouvez la vidéo : https://youtu.be/UqRBgOT7MTU Suivez nos évènements sur les réseaux sociaux YouTube : @upiremmo Facebook : @institutiremmo Twitter: @IiReMMO Instagram: @institutiremmo LinkedIn : @Institut iReMMO Soutenez notre chaîne Tipeee: @iremmo Lilo : @iremmo HelloAsso : @iremmo
Hace 10 años, el movimiento de protestas de la Primavera Árabe tomó por asalto Oriente Medio y el Norte de África, desencadenado por la muerte de Mohamed Bouazizi, un vendedor ambulante tunecino que se prendió fuego para desafiar el orden establecido, lo cual avivó la llama del fervor revolucionario. Sin embargo, aunque los primeros días estuvieron definidos por la esperanza, en muchos países donde se realizaron manifestaciones masivas también se produjo una brutal represión y el surgimiento de guerras civiles, lo que enturbió el legado de las revueltas a favor de la democracia. Egipto hizo caer a Mubarak. Antes había sido Ben Ali, en Túnez, y después llegaría Gadafi, ejecutado en Libia. El mundo lo celebró y los gobiernos occidentales se apresuraron a congratularse, a ponerse del lado del vencedor, a reunirse con los jóvenes que se manifestaban…Pero, de la euforia y la ilusión del cambio en enero y febrero de 2011 se pasó rápido a la decepción y el abandono. ¿Cómo fue esa transición? ¿La propia definición mediática de "primavera árabe" se usó con premura y con poca visión de lo que luego serían "inviernos" con guerras, islamismo o mantenimiento del status quo? Son algunas de las cuestiones que nos planteamos en esta edición, en la que además abordaremos si estos procesos siguen abiertos, si su onda expansiva puede continuar en el futuro. Nos acompañan en esta edición: +Chris Den Hond periodista en Orient XXI video periodista que estuvo en 2011 en Egipto, Libia y luego en Siria +Sarra Grira periodista en Orient XXI +Laurent Perpigna Iban periodista independiente Gracias a Chris Den Hond por sus imágenes filmadas en Bahrein en 2011. #EnPrimeraPlana también está en Facebook. Un programa coordinado por Florencia Valdés, realizado por Souheil Khedir, Fabien Mugneret y Vanessa Loiseau.
Journalistes, étudiants et diplomates Seconde partie de ce grand entretien avec Alain Gresh autour de la création de la revue en ligne ORIENT XXI. Alain Gresh est journaliste spécialiste du Proche-Orient, il a été longtemps le rédacteur en chef du Monde Diplomatique et dirige aujourd'hui une revue web sur thème du Moyen-Orient. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, dont "Un chant d'amour, Israël-Palestine, une histoire française" paru aux éditions La Découverte. Photo: Alain Gresh (Nawaat Youtube channel / Wikimedia)
Journalistes, étudiants et diplomates Cette semaine, Histoire Vivante s'intéresse au Moyen-Orient au travers de la revue ORIENT XXI, (orientxxi.info) dirigée par Alain Gresh journaliste, ancien rédacteur en chef du Monde diplomatique et fondateur du journal en ligne Orient XXI. Au cours de la semaine, nous recevrons différents journalistes et contributeurs de cette revue. Ce lundi, entretien avec Alain Gresh autour de la création du journal en ligne ORIENT XXI. Alain Gresh est journaliste spécialiste du Proche-Orient, il a été longtemps le rédacteur en chef du Monde Diplomatique et dirige aujourd'hui une revue web sur le Moyen-Orient. Il est auteur de plusieurs ouvrages sur le Proche-Orient. Photo: Alain Gresh (Nawaat Youtube channel / Wikimedia)
Israël va-t-il annexer, comme le prévoit le plan américain pour le Proche-Orient, certaines parties de la Cisjordanie, territoire palestinien qu’il occupe depuis 1967 ? A partir du 1er juillet 2020, le Premier ministre Benyamin Netanyahu pourrait passer à l’acte. Mais prendra-t-il le risque d’embraser les Territoires palestiniens et de s’attirer les foudres des pays arabes, Jordanie en tête qui jugent le projet israélien inacceptable ? En cas d’annexion, les Européens iront-ils plus loin que la simple condamnation verbale ? Les Palestiniens ont-ils les moyens de faire reculer Israël ? Faut-il redouter une 3ème Intifada ? La solution à 2 États est-elle encore envisageable ? 3 invités : - Vincent Lemire, historien, directeur du Centre de recherche français de Jérusalem, a dirigé l’ouvrage «Jérusalem, histoire d'une ville-monde des origines à nos jours», paru en 2016 chez Flammarion- Sylvain Cypel, journaliste, collaborateur d’Orient XXI et du «1», auteur de «L'État d'Israël contre les juifs», paru en février 2020 aux Éditions La Découverte- Dominique Vidal, journaliste et historien, a publié en 2018 «Antisionisme = antisémitisme ? Réponse à Emmanuel Macron» aux Éditions Libertalia, co-dirige avec Bertrand Badie «L’état du monde», aux éditions La Découverte.
durée : 00:58:23 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Troisième temps de notre semaine consacrée à la gouvernance des villes. Aujourd'hui direction la Turquie. La révocation des maires kurdes acte-telle la fin de tout espoir de changement, même à l’échelle d’une ville ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Olivier Piot Journaliste, grand reporter. Travaille notamment pour Orient XXI et Le Monde Diplomatique.; Jean-François Pérouse Géographe, maître de conférences à l’Université Toulouse-II, délégué auprès de l’Université Galatasaray.; Lucie Drechselova chercheuse à l'Institut oriental de l'académie des sciences tchèque.; Elise Massicard Sociologue, chargée de recherche au CNRS, spécialiste de la Turquie contemporaine, ancienne pensionnaire de l’Institut français d’études anatoliennes d’Istanbul
durée : 00:58:51 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Dernier épisode de notre semaine, l'épidémie et la guerre : comment les belligérants ont pu profiter de l’inattention internationale pour sortir leur épingle du jeu ? Est-ce que l’épidémie a frappé les populations déjà vulnérables dans les pays ravagés par la guerre ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Ziad Majed chercheur et politiste franco-libanais, professeur à l'Université américaine de Paris; Jalel Harchaoui chercheur à l'institut des relations internationales de Clingendael aux Pays-Bas, auteur notamment de l’article « Libye. Quand Haftar saccage des années de diplomatie », publié dans le revue « Orient XXI ».; Laurent Bonnefoy Politologue spécialiste de la péninsule arabique. Chargé de recherche au CNRS, au CERI et au centre français d’archéologie et de sciences sociales de Sanaa (CEFAS), auteur notamment de Le Yémen, de l’Arabie heureuse à la guerre (Fayard); Niagalé Bagayoko Politologue, présidente de l’African Security Sector Network, une organisation panafricaine qui rassemble des spécialistes de la réforme des systèmes de sécurité
durée : 01:00:16 - Les Petits matins - Vincent Lacoste vous parle du film d'Antoine de Bary "Mes jours de gloire", et Patrick Haimzadeh du dialogue inter-libyen. Les chroniques s'intéressent à la prison et à la prophétie auto-réalisatrice. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Vincent Lacoste Comédien; Patrick Haimzadeh Ancien diplomate français à Tripoli , auteur de "Au coeur de la Libye de Kadhafi ", contributeur régulier du Monde diplomatique et du site Orient XXI
durée : 00:11:22 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Les deux camps, pro-maréchal Haftar et pro-gouvernement, ont annoncé la suspension de leur participation à la Commission politique mise en place à Genève. Les nations unies décident de maintenir quand même une réunion prévue ce mercredi. Entretien avec l'ancien diplomate Patrick Haimzadeh. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Patrick Haimzadeh Ancien diplomate français à Tripoli , auteur de "Au coeur de la Libye de Kadhafi ", contributeur régulier du Monde diplomatique et du site Orient XXI
Vous l'avez peut-être connue dans le documentaire À voix haute: La Force de la parole sur Fance 2, mais depuis elle en a fait du chemin. Leïla Alaouf est journaliste et autrice spécialisée dans les questions de genres post-coloniales. En plus de ses différentes collaborations avec Orient XXI ou encore le HuffPost, elle lance aujourd'hui son podcast Anwa3. Dans cet épisode, elle parle de ce qui la pousse à écrire, de féminisme et de son rapport à l'arabité depuis qu'elle vit à Dubaï. Si vous écoutez cet épisode sur Apple Podcast, n'oubliez pas de mettre des étoiles et un commentaire.
durée : 00:59:45 - Les Petits matins - Ugo Bienvenu et Merwan vous parlent de leurs BD respectives, "Préférence système" et "Mécanique céleste", tandis que Jalel Harchaoui décrypte le jeu de la France en Libye. Guillaume Erner s'interroge sur le lien entre les smarties et le marché français. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Ugo Bienvenu Auteur, illustrateur de bande dessinée; Merwan; Jalel Harchaoui chercheur à l'institut des relations internationales de Clingendael aux Pays-Bas, auteur notamment de l’article « Libye. Quand Haftar saccage des années de diplomatie », publié dans le revue « Orient XXI ».
durée : 00:58:08 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - Tout d'abord, retour de RDC avec la journaliste de RFI Sonia Rolley. Ensuite, direction la Libye où la Turquie a annoncé l’envoi de troupes en appui au gouvernement d’union nationale de Fayez el-Sarraj. De quoi cette internationalisation des conflits au Moyen-Orient est-elle le symptôme ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Jalel Harchaoui chercheur à l'institut des relations internationales de Clingendael aux Pays-Bas, auteur notamment de l’article « Libye. Quand Haftar saccage des années de diplomatie », publié dans le revue « Orient XXI ».; Ziad Majed chercheur et politiste franco-libanais, professeur à l'Université américaine de Paris
durée : 00:16:31 - Les Enjeux internationaux - par : Julie Gacon - Dans les années 80, elle ignorait le général Haftar, impliqué dans la guerre libyenne au Tchad puis répudié par Kadhafi. Aujourd'hui, il est son interlocuteur incontournable, aux dépens du gouvernement libyen officiel. Quel jeu joue la France en Libye? Entretien avec le chercheur Jalel Harchaoui. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Jalel Harchaoui chercheur à l'institut des relations internationales de Clingendael aux Pays-Bas, auteur notamment de l’article « Libye. Quand Haftar saccage des années de diplomatie », publié dans le revue « Orient XXI ».
C’est une langue qui s’apprend en famille, entre ami·e·s, dans des associations ou dans l’enseignement privé. Mais dès qu’on parle de son enseignement dans le public, notamment à l’école primaire, elle déchaine les passions.La langue arabe est perçue soit comme un marqueur communautaire, soit un rempart contre le communautarisme : d’où vient ce paradoxe ? Pourquoi son apprentissage serait uniquement accessible aux arabo-descendants ? Leïla Izrar reçoit Nada Yafi, interprète, traductrice, directrice du centre de langues de l’IMA, et autrice de « L’arabe langue du monde » (éditions l’Harmattan).RÉFÉRENCES « Pourquoi l’enseignement de l’arabe en France suscite-t-il la polémique ? » de Nada Yafi dans Orient XXI (2018), la Fête de la langue arabe du 13 au 15 décembre à l’IMA.CRÉDITSTarab est un podcast de Binge Audio animé par Leïla Izrar, soutenu par l'Institut du Monde Arabe. Cet épisode a été enregistré au studio V. Despentes de Binge Audio (Paris, 19e). Réalisation : Victor Dubin. Musique : Waseem et Lamisse. Chargées de production et d’édition : Camille Regache et Diane Jean. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Extrait de la rencontre avec Alain Gresh, journaliste, directeur du journal en ligne Orient XXI, Akram Belkaïd, journaliste au Monde diplomatique. Modération : Dominique Vidal, journaliste et historien. Retrouvez les questions du public dans la vidéo : https://youtu.be/kAccGEOOzFM Suivez nos évènements sur les réseaux sociaux YouTube : @upiremmo Facebook : @institutiremmo Twitter : @IiReMMO Instagram : @institutiremmo Soutenez notre chaîne Tipeee : @iremmo Lilo : @iremmo HelloAsso : @iremmo
This event is a book launch for Eric Rouleau's autobiographical work titled Truths and Lies in the Middle East: Memoirs of a Veteran Journalist, 1952-2012. Eric Rouleau was one of the most celebrated journalists of his generation, a status he owed to his extraordinary career, which began when Hubert Beuve-Méry, director of Le Monde, charged him with covering the Near and Middle East. Alain Gresh, French journalist and former editor of Le Monde Diplomatique, who also wrote the foreword for this book will be speaking at this event about Rouleau's life and work. The event will be chaired by Jim Muir, Visiting Senior Fellow at the LSE Middle East Centre and BBC Middle East Correspondent. Writing between Cairo and Jerusalem, Rouleau was a chief witness to the wars of 1967 and 1973, narrating their events from behind the scenes. He was to meet all the major players, including Nasser, Levi Ashkol, Moshe Dayan, Golda Meir, Yasser Arafat, Ariel Sharon, and Anwar Sadat, painting striking portraits of each. More than a memoir, his book presents a history, lived from the inside, of the Israel–Palestine conflict. In 1963, Rouleau was invited by Gamal Abd al-Nasser to interview him in Cairo, a move which was not lost on the young Rouleau—going through him, a young Egyptian Jew who had been exiled from Egypt in late 1951, shortly before the Free Officers coup, was a means to renew diplomatic ties with de Gaulle’s France. This exclusive interview, which immediately made headlines around the world, propelled Rouleau into the center of the region’s conflicts for two decades. Alain Gresh is Publication Director of the online newspaper Orient XXI. He was previously Deputy Director of Le Monde Diplomatique from 2008-2013. A specialist on the Middle East, he is author of several books including PLO: The Struggle Within, de quoi la palestine est elle le nom? and Un chant d’amour. Israël-Palestine, une histoire française. In 1983, Gresh completed a PhD on the Palestinian Liberation Organisation. Jim Muir is a British journalist and BBC Middle East Correspondent. After taking a first in Arabic at Cambridge University in 1969, Jim worked in book publishing in London in the early 70s and moved to Beirut in January 1975. He covered all phases of the Lebanese Civil War 1975–1990 for the BBC and many other radio and print outlets. He then moved to Bosnia in the early 1990s before arriving in Cairo as BBC Middle East correspondent in 1995. Jim then reopened the BBC Tehran bureau and was correspondent there from 1999 to 2004. In 2005, he returned to Beirut and spent much time covering Iraq for the BBC, followed by the overthrow of Mubarak in Egypt in 2011. Jim also provided a large proportion of the BBC's coverage of the Syrian uprising and civil war from the spring of 2011. Join the conversation on Twitter using #LSEMiddleEast
durée : 00:58:28 - Cultures Monde - par : Florian Delorme, Mélanie Chalandon, Hélaine Lefrançois - L'énième bataille libyenne, où les vieux missiles datant du régime de Kadhafi côtoient les drones émiratis et turcs, illustre une nouvelle fois le non-respect par un grand nombre d’Etats de l’embargo sur les armes imposé au pays.Dans quelle mesure la situation actuelle découle-t-elle de 2011 ? - réalisation : Vincent Abouchar, Benjamin Hû - invités : Patrick Haimzadeh Ancien diplomate français à Tripoli , auteur de "Au coeur de la Libye de Kadhafi ", contributeur régulier du Monde diplomatique et du site Orient XXI; Jalel Harchaoui chercheur à l'institut des relations internationales de Clingendael aux Pays-Bas, auteur notamment de l’article « Libye. Quand Haftar saccage des années de diplomatie », publié dans le revue « Orient XXI ».; Jean-Pierre Darnis Maitre de conférences à l'université Côte d'Azur (Nice), conseiller scientifique à l'Istituto Affari Internazionali de Rome
Episode 63: Entretien avec Dr. Khadija Mohsen-Finan sur son dernier livre : Les Dissidents du Maghreb depuis les Independences Dans ce podcast, Dr. Meriem Guetat , Directrice Adjointe du CEMAT, s’entretient avec Dr. Khadija Mohsen-Finan sur son dernier livre Les Dissidents du Maghreb depuis les Indépendences. L’ouvrage de Dr. Khadija Mohsen-Finan est l’un des premiers travaux post-2011 qui s’intéressent au concept de la dissidence à travers le Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie) et qui se base sur une recherche rétrospective de longue durée. Dans cet episode, Dr. Mohsen-Finan souligne l’importance d’étudier l’histoire du Maghreb à travers le prisme de la dissidence, tout courants idéologiques confondus, ce qui constitue un renversement de la perspective traditionnelle de recherche se concentrant exclusivement sur le pouvoir. Selon Dr. Mohsen-Finan, il s’agit d’aborder une histoire méconnue du Maghreb qui permet de comprendre ses diffrentes évoultions historiques mais aussi d’interprèter et d’imaginer les développements politiques futures dans la région. Lors de cette conversation, Dr. Mohsen-Finan a été invitée à répondre à un nombre de questions s’articulant autour des thèmes suivant : La définition de la notion de dissidence dans son ouvrage ainsi que le rapport du dissident au pouvoir. Les moments phares de l’histoire du Maghreb qui décrivent au mieux le rapport de lutte entre le pouvoir et ses opposants et ce en concentrant sur le moment Youssefiste et de l’affaire Ahmed Ben Salah. Le groupe « perspectives » en Tunisie et l’évolution de ses relations avec le pouvoir. Le rôle des défenseurs des droits humains et le rôle joué par la LTDH dans l’analyse de la Tunisie. Le printemps noir de Kabylie dans le cadre de la dissidence post-2011 et le rôle des minorités ethniques et linguistiques pour la compréhension de la notion de dissidence. Dr. Khadija Mohsen-Finan est politologue spécialiste du Maghreb et du monde arabe, Docteur en sciences politiques (IEP Paris) et diplômée d’histoire (Université d’Aix-en-Provence). Actuellement enseignante et chercheure à l’Université de Paris 1 - Panthéon Sorbonne (laboratoire SIRICE), elle enseigne parallèlement à l’Université Ca’Foscari de Venise. Elle contribue également au comité de rédaction et à l’animation du journal en ligne Orient XXI. Cet épisode a été enregistré le 21 février 2019 au Centre d'Études Maghrébines à Tunis (CEMAT) et s'inscrit dans le cadre du cycle de conférences Pensées contemporaines. Nous remercions notre ami Mohammed Boukhoudmi pour son interpretation de l'extrait de nouba, "Dziriya," par Dr. Noureddine Saoudi pour l'introduction et la conclusion de ce podcast. Posted by Hayet Lansari, Librarian, Outreach Coordinator, Content Curator (CEMA).
Au sommaire : Soudan Quand un régime en chasse un autre. Suite à une mobilisation de quatre mois, Omar el-Béchir a été destitué après trente ans passés au pouvoir. Pendant deux ans, la transition sera assurée par l'armée. Mais les Soudanais se laisseront-ils voler cette victoire ? Brexit Le Royaume-Uni a obtenu six mois de sursis pour quitter l'Union européenne, mais sous condition. Faute de parvenir à un accord avant le 23 mai 2019, les Britanniques devront participer aux élections européennes. Reste à Teresa May de convaincre son Parlement. Israël Il défie le temps et les scandales et, sauf surprise d'ici juillet 2019, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu aura connu un record de longévité à ce poste. Mais pour combien de temps, compte tenu de ses ennuis judiciaires ? Libye C'est une attaque surprise contre Tripoli qui a fait trembler la communauté internationale. Celle de Khalifa Haftar, l'homme fort de l'Est libyen, face au gouvernement de Faïez el-Sarraj, reconnu par la communauté internationale. De quoi saper les efforts diplomatiques. Mais que se cache-t-il derrière cette bataille ? Invités : Sylvain Cypel, journaliste au magazine Orient XXI ; Zyad Limam, rédacteur en chef à « Afrique magazine » ; Seidik Abba, journaliste-écrivain ; Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse « Le Temps ». Présentation : Nidhya Paliakara.
Un superbe documentaire d'animation ! La complexité de l'Irak, entre douceur et violence, guerre et poésie, terrorisme et désir de vivre en paix... Dans cette interview, nous évoquons cette web-série devenue documentaire d'animation, le livre qui l'accompagne, l'enfance et la vie de Feurat Alani entre la France et l'Irak, son désir, très tôt, de travailler pour déconstruire les clichés sur ce pays, ses habitants et sa culture. Tout comme dans son récit, Feurat Alani nous raconte aussi sa propre histoire et celle de sa famille.Nous parlons ensuite des guerres et du terrible embargo qui ont détruit l’Irak, de la vie quotidienne sous un tel embargo, de l'injustice de ces mesures pour les civils, des conséquences des sanctions internationales et de ce qu'elles contribuent à faire naître, du traitement médiatique du terrorisme, des guerres et des migrants qui n'offre que trop rarement de perspective pour comprendre les origines des problèmes... Nous abordons aussi le sujet des armes chimiques utilisées par les Américains qui, rappelons-le, accusaient l'Irak d'en posséder. Et enfin, Feurat Alani nous parle de ce qu'il voit de positif aujourd'hui en Irak, malgré une situation critique, il nous décrit la jeunesse et la culture irakienne et nous offre quelques conseils pour la découvrir !Feurat Alani est né en 1980 à Paris de parents irakiens. Il a été correspondant à Bagdad entre 2003 et 2008 de I Télé, Ouest France, La Croix et Le Point. Il a ensuite travaillé à Paris avec l’équipe de l’émission l’Effet Papillon, pour laquelle il réalise des reportages en Irak mais aussi dans beaucoup d’autres pays, il collabore régulièrement avec Le Monde Diplomatique, le site web Orient XXI et la revue Géo. Il s’est à installé à Dubaï en 2012 et y a créé une agence de production In Sight Films. Il collabore donc régulièrement en tant que producteur et réalisateur avec les chaînes Arte, France 24 et Canal+. Il a écrit une histoire passionnante, la sienne, qui s’est transformée en un superbe documentaire d’animation et un tout aussi superbe livre, Le Parfum d’Irak, co-produits et co-édités par Arte et Nova et je l’ai rencontré pour en parler.Voir la page du podcast de Feurat Alani, Le parfum d'Irak sur So Sweet PlanetUne interview réalisée par Anne Greffe See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Nouveau numéro de la saison 2 du Podcast "Comprendre le monde" avec Pascal Boniface. Il reçoit aujourd'hui Sylvain Cypel, journaliste à Orient XXI et à la Revue America. Le thème abordé cette semaine : "Les juifs américains s’éloignent-ils d’Israël ?" L'émission est disponible sur Soundcloud, l'application Podcast, I-Tunes, Youtube, le site internet de l'IRIS, Mediapart et le blog de Pascal Boniface.
Au sommaire de ce TDMA, Eclairez-nous revient sur la polémique autour de la messe en l'honneur Franco en Espagne. Nos journaux s'arrêtent sur la communauté bahaïe au Yemen et vous présentent Viola Desmond, la "Rosa Parks du Canada", la première femme noire à figurer sur un billet de banque en Amérique du Nord. En Chine, découvrez le championnat de dragon bateau. Mais surtout, n'hésitez pas de découvrir en deuxième partie d'émission les résultats des derniers championnat du monde de sauvetage sportif, qui ont eu lieu en Australie. La chronique Pas à Pas fait un stop sur les mesures drastiques prises par le gouvernement en Angola contre les migrations. Le Tour du Monde de l'Actu, c'est aussi un partenariat le Jeu de l'Oie, la revue internationale de Sciences Po Lille. Sources : BusinessNews, AfricaNews, Jeune Afrique, Alsuamaitprize.org, Reussirbusiness, Sowetan Live, HuffPost CNN, Balkan Insight, BBC, Lactualité.com, RFI, The Print, euronews, Asianews, Orient-le Jour, The Times of Israel, Orient XXI, Courrier International, Al Jarida, Channel 10, Amnesty International, La 1ère, France Antilles, ARS Guadeloupe, Opfra, Caledonia, Les sports infos, Fédération française de sauvetage et de secourisme, El Mundo, El diario