POPULARITY
durée : 00:20:16 - Journal de 18h - Ancien conseiller de l'ombre de Nicolas Sarkozy, Patrick Buisson a été retrouvé mort aujourd'hui à son domicile des Sables d'Olonne, il avait 74 ans. Journaliste et essayiste, Patrick Buisson défendait l'union des droites. Il s'était rapproché d'Eric Zemmour ces dernières années.
durée : 00:20:16 - Journal de 18h - Ancien conseiller de l'ombre de Nicolas Sarkozy, Patrick Buisson a été retrouvé mort aujourd'hui à son domicile des Sables d'Olonne, il avait 74 ans. Journaliste et essayiste, Patrick Buisson défendait l'union des droites. Il s'était rapproché d'Eric Zemmour ces dernières années.
La trêve annoncée dans la guerre Israël-Hamas est l'occasion de revenir sur les difficultés d'informer, sur les manipulations de l'opinion et sur le rôle de la propagande militaire. Une phrase attribuée à Kipling dit que « la première victime d'une guerre, c'est la vérité ». Et en effet, depuis le début du conflit, avec d'abord ces vidéos coordonnées du Hamas mettant en scène l'attaque du 7 octobre, mais évitant de montrer les atrocités, puis la riposte israélienne à Gaza, où il s'agit d'anéantir un mouvement sans se soucier des pertes civiles et en assimilant le Hamas à Daech, il y a eu beaucoup de propagande.L'absence de journalistes occidentaux à Gaza a rendu les médias encore plus perméables aux manipulations. Deux exemples : l'hôpital Al-Ahli, où une frappe qui fait de nombreuses victimes est imputée à Israël, alors que l'analyse des images montre qu'il s'agit d'une rocket tirée depuis Gaza. Et l'hôpital al-Chifa où l'armée israélienne a montré des images 3D d'un quartier général du Hamas sous l'hôpital, mais sans être en mesure de prouver ses dires après son arrivée, même si elle a dévoilé des tunnels en béton dans l'enceinte de l'hôpital.Quand la communication de l'armée israélienne s'invite aussi parfois sur les plateauxTV5Monde avait invité lundi un porte-parole de l'armée qui répondait aux questions par des questions. Le journaliste, Mohamed Kaci a alors demandé à l'officier de clarifier si Tsahal « se comportait comme le Hamas », organisation reconnue comme terroriste par l'Union européenne, avant de mettre fin abruptement à l'interview.La direction de l'information de TV5 a alors désavoué publiquement son journaliste en estimant que les règles journalistiques n'avaient pas été respectées, ce qui a fait bondir les syndicats de journalistes qui rappellent qu'une question dérangeante ne signifie pas qu'on se montre partisan. Ce qui est sûr, c'est que la formule même qui consiste à interviewer un militaire en direct amène le journaliste à remplir le rôle du contradicteur tant il est vrai qu'on ne peut pas, dans le même temps, donner la parole à l'autre belligérant, à savoir le Hamas.L'Arcom suit de près ce qui se dit sur les antennesLe régulateur des médias a mis en garde Radio France après un sketch de l'humoriste Guillaume Meurice qui avait comparé Netanyahu à « une sorte de nazi, mais sans prépuce ». Et il a ouvert la voie à des sanctions contre CNews pour des propos antimusulmans d'Eric Zemmour et de l'avocat Arno Klarsfeld qui faisait des musulmans des terroristes en puissance.Quid des réseaux sociaux ? Sur France Inter, l'animateur Arthur a estimé que l'antisémitisme y était « en roue libre » et que les médias en avaient fait très peu sur les 40 Français tués le 7 octobre ou sur les 8 otages français.
Les élections européennes auront lieu en juin 2024. Et en France, ça se précise à droite de l'échiquier politique. Le Rassemblement national et Reconquête ont dévoilé les noms de leurs têtes de listes quasiment au même moment, à la rentrée. Ce sera Jordan Bardella pour le RN et Marion Maréchal, la nièce de Marine Le Pen pour le parti d'Eric Zemmour. Mais toujours pas de fumée blanche chez les Républicains (LR). Le patron des Républicains Eric Ciotti ne veut visiblement pas se lancer dans la bataille trop vite. Au siège du parti, on nous promet une liste en janvier, peut-être en décembre mais rien n'est sûr. Il y a au moins trois raisons à cela. La première, c'est que le parti ne veut pas entrer trop vite en campagne, question de stratégie. « Laissons Marion Maréchal et Jordan Bardella s'entretuer. Nous, notre adversaire, c'est la macronie », glisse un membre de la direction. Pas d'urgence : Renaissance ne devrait pas dévoiler sa liste avant début 2024. Deuxième raison : le parti veut se concentrer sur l'examen du budget et puis surtout sur le texte immigration qui arrive au Sénat dans deux semaines. Troisième raison, peut-être la principale : Eric Ciotti hésite encore sur le nom de sa tête de liste. « Tout le monde est paumé », résume un habitué des bureaux politiques, rue de Vaugirard.François-Xavier Bellamy quasiment assuré de rempilerPour mener la liste, un seul nom semble pour l'instant crédible : François-Xavier Bellamy, la tête de liste sortante. Celui qui avait mené les Républicains à leur première grosse déroute électorale en 2019, avec seulement 8% des voix. Et malgré ce score il y a cinq ans, il va sans doute rempiler, « faute de mieux », répète-t-on chez LR. Le patron du parti a même assuré cet été qu'il y avait « une très forte probabilité » qu'il mène la liste l'an prochain.À la recherche d'une « pépite » introuvableMais Eric Ciotti cherche encore, selon une source bien informée. Le président du parti à la recherche d'une « pépite » pour incarner les couleurs de la droite à Strasbourg. Quelqu'un de connu, de populaire. Sauf que depuis cet été, il ne l'a pas trouvée. Laurent Wauquiez, le patron de la région Auvergne-Rhône-Alpes et candidat quasi déclaré pour 2027, pousse la candidature de l'ancien ministre Michel Barnier. Mais pas de quoi déchaîner les foules. Eric Ciotti a approché le maire de l'Haÿ-les-Roses Vincent Jeanbrun, dont la maison a été attaquée par des émeutiers en juillet dernier. Mais les deux hommes n'ont pas topé. Alors, pour l'aider à se décider, Eric Ciotti est en train de commander une série de sondages pour tester ses différentes options.Éviter la « fin du naufrage »L'enjeu est de taille. S'ils font moins de 5% en juin prochain, pas d'élu LR à Strasbourg. Et ce serait une nouvelle catastrophe pour le parti. « La fin du naufrage », selon un député qui consent que s'il y a encore une chance de l'éviter, ça vaut bien la peine de se donner quelques semaines de réflexion.
Dans ce bulletin d'information qui fait partie de la programmation d'été du Média, Théophile Kouamouo revient sur la cagnotte créée par Jean Messiha, activiste d'extrême droite proche de Marine Le Pen puis d'Eric Zemmour, dans le but de soutenir la famille de Florian Menesplier, le policier par qui la tragédie Nahel est arrivée. “Circulez y a rien à voir” : c'est en gros le message des responsables de Gofundme. Et ils sont confortés par le silence complice du gouvernement. Et les propos choquants d'Eric Ciotti, le président des Républicains, le parti de ce qui est censé être la droite “traditionnelle”, “modérée”. Dans ce module d'info nous revenons également sur la version des faits de l'IGPN, qui a déjà commencé à communiquer sur la vidéo amateur où l'on voit le crime policier qui a coûté la vie à Nahel. Une version qui s'oppose à celle des amis du jeune infortuné. L'actualité autour de la tragédie Nahel, ce sont aussi les révoltes qui se poursuivent avec les dégâts matériels qu'elles peuvent causer mais aussi leur lot d'interpellations. Environ 78 à 1h30 dans la nuit de dimanche à lundi. Un rythme plus faible que la nuit précédente durant laquelle 719 personnes avaient été interpellées. Interpellations mais également comparutions immédiates. Des comparutions immédiates qui suscitent déjà de nombreuses critiques, comme durant la révolte des Gilets jaunes. A l'international, la presse du monde entier a toujours les yeux rivés sur la situation. En gros, c'est majoritairement sous l'angle de la dénonciation du racisme et des problématiques liées à l'immigration que plusieurs médias internationaux ont commenté la situation sociale de la France. ▶ Soutenez Le Média :
Le Journal du dimanche (JDD) est entré dans sa deuxième semaine et qui va aboutir à un nouveau dimanche sans parution. La grève a de nouveau été votée de façon écrasante par 96% des journalistes, et de nouveau, elle va avoir pour conséquence la non-parution du journal. Samedi dernier, c'est l'offensive de Wagner en Russie qui n'a pas pu être traitée, cette fois ce sont les émeutes urbaines. Entre ces deux jours, toutefois, la situation n'est plus tout à fait la même. D'abord, la rédaction a fait montre de sa résistance, en faisant bloc, en continuant à rejeter la nomination à sa tête de Geoffroy Lejeune, ce journaliste d'extrême-droite venu de Valeurs actuelles et proche d'Eric Zemmour. Ensuite, les journalistes continuent de réclamer des garanties d'indépendance comme il en existe au Monde, aux Echos, à Libération, à L'Express, à L'Obs ou à Télérama. Des journaux qui sont parfois détenus par des milliardaires comme Xavier Niel ou Bernard Arnault et où, malgré tout, l'actionnaire ne peut nommer un patron de la rédaction dont ne veulent pas au moins la moitié des journalistes concernés.Autre changement, la mobilisation de la profession, de la gauche et même de certaines voix de la majorité à l'instar de la ministre de la Culture Rima Abdul Malak qui s'alarme au nom des « valeurs républicaines ». Mardi, à l'appel de Reporters sans frontières, un millier de personnes ont manifesté leur soutien à la rédaction du JDD au Théâtre Libre, à Paris, appartenant à Jean-Marc Dumontet, un proche de Macron. Huit anciens directeurs du journal, pas moins de trente sociétés de journalistes, ou encore la Nupes sont venus épauler les grévistes, en particulier en reprenant une idée chère à l'économiste Julia Cagé : conditionner les aides à la presse à ce droit de véto de la rédaction sur son directeur.Politiquement, le JDD recompose aussi les droites puisque cette nomination a le soutien de Marine Le Pen, mais aussi d'Eric Ciotti, le président des Républicains. Selon Libération, Marine Le Pen a raconté à un ancien directeur du JDD qu'elle savait ce que ses patrons souhaitaient faire de leur journal et qu'elle n'avait « pas de suspicions à avoir, mais des certitudes dans ce domaine ». Bien sûr, Geoffroy Lejeune est un choix qui a été validé par Vincent Bolloré, qui vient de mettre la main sur le groupe Lagardère même si Arnaud Lagardère en reste le président. Dans Le Figaro, cet héritier a assuré que cette nomination ne devait rien à Vivendi de Bolloré, que c'était un choix « économique et pas du tout idéologique », et pourtant personne n'y croit. Car c'est plutôt et l'un et l'autre. Un choix idéologique en faveur de l'extrême droite et un choix économique en direction de ses sympathisants.
L'émission 28 Minutes du 28/06/2023 "Je suis né dans les livres, je ne les ai jamais quittés." À 76 ans, l'historien et écrivain Michel Pastoureau revient à la source avec son quatre-vingt-sixième ouvrage : "Dernière visite chez le roi Arthur. Histoire d'un premier livre" aux éditions du Seuil. Il raconte l'histoire d'un écrit de jeunesse à travers ses souvenirs, comme la bibliothèque dans laquelle il travaillait et sa machine à écrire. Il y évoque aussi le parcours du combattant que peut représenter l'édition d'un livre : "l'éditeur était tout, l'auteur n'était rien, surtout un jeune auteur débutant." L'occasion de réfléchir sur la symbolique d'un premier livre, sur les mœurs singulières de l'édition française et sur la portée de la vulgarisation historique. Michel Pastoureau est notre invité. C'était un dimanche sans “Journal du Dimanche” (JDD). La nomination de Geoffroy Lejeune — proche d'Eric Zemmour et ex-directeur de la rédaction du journal d'extrême droite “Valeurs Actuelles” — à la tête du JDD a secoué le monde médiatique et politique français. En réaction, les journalistes de la rédaction ont voté la grève à 96 % ce week-end, jugeant que "Geoffroy Lejeune exprime des idées à l'opposé des valeurs que porte le JDD depuis 75 ans" et redoutant que le journal prenne un virage très à droite dans les prochaines semaines. Deux tribunes dénonçant une atteinte au pluralisme et à l'indépendance de la presse ont également été publiées dans “Le Monde” en soutien au mouvement. Arnaud Lagardère, directeur du groupe homonyme et propriétaire du JDD avec Vincent Bolloré, se défend et affirme : "ce fantasme de l'extrême droite qui s'invite au JDD n'est pas réel". Faut-il craindre une trop grande concentration des médias en France ? Y a-t-il une atteinte au pluralisme ? Nos invités en débattent. Enfin, retrouvez également les chroniques de Xavier Mauduit et Alix Van Pée ! 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio Enregistrement : 28 juin 2023 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités reviennent sur les violences lors de la dédicace d'Eric Zemmour à Brest.
Démission du maire de Saint-Brévin, alliances des droites, élections européennes... C'était l'essentiel du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI d'Eric Zemmour, le président de Reconquête. Qu'en ont pensé ses interviewers ?
Ecoutez Le Grand Jury du 21 mai 2023 avec Olivier Bost et Marie-Pierre Haddad.
On commence avec la fin de garde à vue pour le fils d'Eric Zemmour après que celui-ci est provoqué un accident de la route, percutant un scooter sous l'emprise de l'alcool… il a été mis en examen
Humour, podcast et actualité : - L'actu vue par Rémi Marceau
Depuis 3 semaines Eric Zemmour écume les plateaux pour vendre son nouveau livre. Près d'un après la présidentielle, le candidat déçu a semble -t-il un peu de mal à tourner la page. Comme une sensation de n'avoir rien appris !
Loïc Besson, qui suit d'habitude Marine Le Pen et le RN pour BFMTV, est allé pour la première fois à un meeting d'Eric Zemmour organisé pour le premier anniversaire de Reconquête! et raconte comment le parti essaye de prendre racine malgré les désillusions à la présidentielle et aux législatives.
durée : 00:02:27 - Le brief politique - Ce dimanche, Eric Zemmour va fêter le premier anniversaire de son parti Reconquête, lors d'un meeting à Paris, où l'on prépare déjà les Européennes de 2024. Une élection où le leadership d'Eric Zemmour pourrait être contesté. Le brief politique de Jean-Rémi Baudot.
Le dénouement approche au Rassemblement national avec le vote des adhérents qui désignent le successeur de Marine Le Pen à la tête du parti. Pour la première fois, le nom de Le Pen ne sera plus en haut de l'affiche, mais cela va-t-il changer quelque chose ? Le résultat pourrait influer sur l'avenir de « Reconquête! », le parti d'Eric Zemmour qui avait fait sensation lors des premiers mois de la campagne pour l'élection présidentielle. Que va devenir cette force politique dont le candidat a finalement terminé à la 4è place au soir du premier tour ? Quel est l'avenir de l'extrême droite française ? Pour en débattre : - Pierrick Bonno, journaliste au service politique de RFI - Dorian Dreuil, politiste, expert associé à la Fondation Jean-Jaurès, enseignant à l'Université Paris-Nanterre - Olivier Guyottot, enseignant chercheur en Stratégie et Sciences politiques à l'INSEEC Grande École, auteur de plusieurs articles parus sur le site The conversation, notamment, «RN : clap de fin pour les Le Pen ?» et «L'extrême droite, premier courant politique français ?».
Philippe De Villiers, ancien ministre, fondateur du Py du Fou, soutien d'Eric Zemmour pendant la campagne et écrivain, répond aux questions de Sonia Mabrouk.
Philippe de Villiers, ancien secrétaire d'Etat à la culture et auteur de "La valse de l'adieu", était l'invité d'Europe 1 ce jeudi matin. Au micro de Sonia Mabrouk, il est revenu sur l'échec d'Eric Zemmour lors de la campagne présidentielle. Mais il l'assure : "Eric Zemmour avait raison avant tout le monde".
A quatre jours des élections législatives en Italie, qui est la favorite du scrutin ? Giorgia Meloni pourrait être un croisement de Marine Le Pen et d'Eric Zemmour.
REDIFF. Le 23 septembre dernier, Christiane Taubira était l'invitée de RTL. Devant elle, Philippe Caverivière a notamment abordé les vacances d'Eric Zemmour.
REDIFF. Le 23 septembre dernier, Christiane Taubira était l'invitée de RTL. Devant elle, Philippe Caverivière a notamment abordé les vacances d'Eric Zemmour.
Avec Camille Combal et Nathalie Odzierejko. Présenté par Florent Bernard et Adrien Ménielle.On en parle de choses dans cet épisode : quand l'alcool nous fait faire de la merde, des tigres de Fort Boyard, de chiens, d'Eric Zemmour, d'une star des jeux à gratter... Tu peux nous laisser des bonnes notes sur ta plateforme d'écoute et/ou en parler autour de toi, le bouche-à-oreille, c'est toujours chanmé ! Bises,Flo. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
LÉGISLATIVES : SUSPENSE À L'ASSEMBLÉE – 17/06/22 Invités CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique - « Les Echos » AURÉLIE HERBEMONT Journaliste politique - « RTL » GUILLAUME DARET Grand reporter au service politique – « France Télévisions » JEAN-DANIEL LÉVY Directeur délégué - Institut de sondages Harris Interactive Tension maximale à 48 heures du vote des Français. Après des jours de bras de fer, invectives et dramatisation des enjeux, la campagne des législatives s'achève ce soir à minuit. Alors dans ces toutes dernières heures, les candidats multiplient déplacements et déclarations dans les médias pour tenter, pour la coalition présidentielle, de convaincre qu'il faut une majorité absolue à Emmanuel Macron, pour la Nupes, qu'une cohabitation est possible et souhaitable. Objectif pour chaque camp dans cette dernière ligne : mobiliser les électeurs et notamment les abstentionnistes qui ont représenté plus d'un électeur sur deux au premier tour et ont aujourd'hui entre leurs mains l'une des clés du scrutin. A gauche, on se tourne notamment vers les jeunes qui ont boudé à 70 % les urnes. La macronie, elle, cible, les reports de voix de droite comme de gauche espérant obtenir les 289 députés, seule ou avec ses alliés du Modem et d'Horizons, nécessaires pour constituer une majorité absolue. Mais pour l'heure, ce n'est pas fait et plusieurs ministres sont en ballotage défavorable. C'est le cas d'Amélie de Montchalin, ministre de la Transition écologique qui n'a obtenu que 31 % des voix au premier tour dans sa circonscription de l'Essonne face à Jérôme Guedj, candidat de la Nupes, arrivé en tête avec 38 % des suffrages. Une situation très incertaine pour la coalition présidentielle qui pousse les regards à se tourner vers Les Républicains. Car si Emmanuel Macron n'obtient qu'une majorité relative au palais Bourbon, il devra négocier un accord afin de pouvoir faire passer ses textes de loi au Parlement. Or les dernières projections évoquent 60 à 80 sièges au sein de l'hémicycle pour LR. Autre acteur qui pourrait s'inviter dans les débats parlementaires : le Rassemblement national. Présent au second tour dans plus de 200 circonscriptions, et avec 108 candidats en tête au premier tour, le parti de Marine Le Pen est quasi assuré d'obtenir un groupe dans la future Assemblée (15 députés) et a déjà réussi dimanche dernier à renflouer ses caisses. En effet lors du premier tour, chaque voix « exprimée » pour un candidat d'un parti politique rapporte 1,64 euro à ce parti. Et chaque voix récoltée définit une partie de son financement, ce pour une durée de 5 ans, jusqu'à la prochaine élection. Et peu importe que le candidat soit qualifié ou non pour le second tour. Pour toucher cette dotation publique, il suffit à ce parti de récolter au moins 1 % des suffrages sur au moins 50 circonscriptions et de rendre public ses comptes. Ainsi Ensemble (coalition présidentielle) devrait percevoir 9 606 400 euros, la Nupes (union de la gauche) 9 571 371 euros, le Rassemblement national de Marine Le Pen 6 977 746 euros, Les Républicains 3 888 130,04 euros, Reconquête d'Eric Zemmour 1 582 383, 52 euros. A cela viendra s'ajouter la manne du second tour. Si chaque voix exprimée cette fois ne vaut pas un euro, chaque député élu rapporte en plus 37 402 euros à son parti. Alors sur quoi déboucheront ces élections législatives ? Majorité absolue, relative, cohabitation ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:03:58 - La chronique de Djamil le Shlag - par : Djamil le Shlag - Aujourd'hui, Djamil le Shlag nous parle de la défaite d'Eric Zemmour et de son parti Reconquête aux Législatives.
Gilbert Collard, député européen et président d'honneur de Reconquête !, est l'invité de Livre Noir en exclusivité et en direct pour commenter les résultats du premier tour des élections législatives et notamment la défaite d'Eric Zemmour. Soutenez-nous !
MACRON / MÉLENCHON : TOUT EST POSSIBLE ? – 13/06/22 Invités DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique NEILA LATROUS Journaliste politique - « France Info » MATHILDE SIRAUD Journaliste politique – « Le Point » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Pari réussi pour Jean-Luc Mélenchon. La percée de la gauche rassemblée derrière lui sous la bannière de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (Nupes) a bien eu lieu hier soir lors du premier tour des élections législatives. Ce tour de force s'est produit en dépit d'une très forte abstention, souvent préjudiciable à la gauche. 52,49 % des électeurs ne se sont en effet pas déplacés, dépassant ainsi les 51,3% du premier tour de 2017. Un nouveau record. La coalition de gauche fait jeu égal avec Ensemble !, le bloc de la majorité, d'après les résultats définitifs du ministère de l'Intérieur. La majorité dispose d'une très courte avance avec 25,75 % des voix contre 25,66 % des suffrages à la Nupes. Les deux ensembles politiques ne sont séparés que par 21 441 voix. Les deux blocs seront opposés dans 272 duels au second tour ainsi que dans cinq des huit triangulaires. En dépit de la très forte poussée de la gauche, les premières projections en termes de sièges à l'Assemblée, à prendre avec précaution, laissent entrevoir la victoire de Ensemble !. L'alliance de la Nupes pourrait en effet obtenir entre 150 et 190 sièges. Quant à celle d'Ensemble !, elle est créditée, selon les premières tendances de l'institut de sondage Ipsos-Sopra Steria, de 255 à 295 sièges. La majorité absolue ne lui est donc pas assurée. Le RN de Marine Le Pen réalise lui un très bon résultat, cumulant 18,7% des voix et lui permettant d'espérer obtenir dans une semaine un groupe de plusieurs dizaines de parlementaires, peut-être même le plus important jamais obtenu par le parti. Les Républicains font, avec 10,4 % des suffrages exprimés, meilleure figure qu'à la présidentielle. Ils bénéficient de l'ancrage local de nombreux candidats, mais enregistrent malgré cela un net recul par rapport à 2017. Le groupe qu'ils devraient obtenir à l'Assemblée, de 50 à 80 élus, pourrait toutefois constituer une force d'appoint non négligeable pour le camp présidentiel afin d'obtenir la majorité absolue. Au sein de cette majorité présidentielle, 15 ministres sont candidats à la députation. Et ce n'est rien de moins que leur avenir qui se joue. Car conformément à la consigne édictée par l'Élysée, tous les ministres candidats qui seraient battus aux élections législatives devront démissionner du gouvernement. A l'issue du premier tour, tous sont qualifiés. Gérald Darmanin est arrivé largement en tête dans la 10ème circonscription du Nord avec 39,11%. Le ministre de l'Intérieur, implanté à Tourcoing, commune dont il a longtemps été maire envisage le second tour avec sérénité. Même constat pour Damien Abad. En dépit des polémiques qui l'ont vu être accusé d'agressions sexuelles dans les jours qui ont suivi sa nomination au gouvernement, l'ancien patron des députés LR, aujourd'hui ministre des Solidarités, sera présent au second tour dans la 5ème circonscription de l'Ain. Pour d'autres, l'affaire est plus compliquée. Avec 35,81% des voix dans la 7ème circonscription de Paris, Clément Beaune est en ballottage défavorable. Le ministre délégué à l'Europe affrontera au second tour Caroline Mecary, de la Nupes, qui l'a devancé avec 40,43%. Dans la 6ème circonscription de l'Essonne, Amélie de Montchalin est également en mauvaise posture pour le second tour. Avec 31,46%, la ministre de la Planification écologique est distancée par son adversaire Nupes, Jérôme Guedj, qui obtient 38,31% des voix. Des symboles de la macronie sont eux d'ores et déjà éliminés. C'est le cas de l'ex-ministre du Logement Emmanuelle Wargon dans le Val-de-Marne ou encore de l'ancien patron de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer dans le Loiret. A l'extrême-droite, c'est la douche froide pour Eric Zemmour et Reconquête !. Le candidat ne passe pas la barre du premier tour dans la 4ème circonscription du Var. S'il a réuni 23,19 % des voix, ce sont les candidats de la majorité présidentielle et du RN qui se qualifient. Un nouvel échec politique. Guillaume Peltier, vice-président du parti, et député sortant de la 2ème circonscription du Loir-et-Cher, est également éliminé dès le premier tour avec 13,99 % des voix. Tout comme Stanislas Rigault, le président de Génération Zemmour et candidat dans la 2ème circonscription du Vaucluse, qui atteint tout juste 10,54 % des voix. Ensemble ! aura-t-elle une majorité absolue ? Jean-Luc Mélenchon peut-il encore espérer devenir Premier ministre ? Combien de ministres sont menacés de défaite au second tour ? Est-ce la fin de la carrière politique d'Eric Zemmour ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Jules Torres est le grand invité de Livre Noir jeudi 2 juin à 20h pour décrypter avec les nous les coulisses de la campagne présidentielle d' Eric Zemmour et présenter son dernier ouvrage « Zemmour, dans les secrets de sa campagne » ! Il a tout vu et tout entendu dans l'équipe d'Eric Zemmour, et vient en parler chez Livre Noir en exclusivité. Soutenez-nous !
Tous les jours, dans la chronique "Le journal du Off", Jeremy Trottin vous présente toutes les informations exclusives, les indiscrétions et les coulisses autour de l'élection présidentielle 2022. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
Le moment est venu... de recevoir Philippe de Villiers. Ancien Ministre, écrivain, fondateur du Puy du Fou et du Vendée Globe, aujourd'hui soutien d'Eric Zemmour, Philippe de Villiers nous livre tout pendant près de 3 heures. Un entretien fleuve qui permet de sonder sa personnalité, son parcours, son engagement politique et son amour pour la France. Soutenez-nous !
Le moment est venu... de recevoir Philippe de Villiers. Ancien Ministre, écrivain, fondateur du Puy du Fou et du Vendée Globe, aujourd'hui soutien d'Eric Zemmour, Philippe de Villiers nous livre tout pendant près de 3 heures. Un entretien fleuve qui permet de sonder sa personnalité, son parcours, son engagement politique et son amour pour la France. Soutenez-nous !
Ecoutez Le débrief des auditeurs ont la parole avec Laurent Tessier du 12 mai 2022 : Le chant abject d'ultras niçois contre Emiliano Sala, l'ex attaquant du FC Nantes décédé en 2019 dans un crash d'avion / "C'est le Zemmour en balade" pour Dominique sur la candidature d'Eric Zemmour aux élections législatives à Saint-Tropez / Le nouveau duo musical Pascal Praud - Cyprien Cini avec une chanson de Michel Fugain.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent du choix d'Eric Zemmour de se présenter dans la 4ème circonscription dans le Var, à Saint-Tropez, là où il a fait le plus beau score à l'élection présidentielle, avec 22% des voix récupérées.
Après avoir critiqué Marine Le Pen, Eric Zemmour s'est mis à dos le Rassemblement National qui lui refuse toute alliance pour l'élection législative. Philippe de Villiers, l'un des plus grands soutien d'Eric Zemmour, se sent attaqué de toute part !
Chaque jour, nos Grandes Gueules debriefent les brèves de campagne dans "GG 2022". - Avec : Jérôme Marty, médecin généraliste. Barbara Lefebvre, enseignante en reconversion. Et Thomas Porcher, professeur d'économie. - Alain Marschall et Olivier Truchot présentent un show de 3 heures avec leurs invités, où actualité rime avec liberté de ton, sur RMC la radio d'opinion. « Les Grandes Gueules » animées par Alain Marschall et Olivier Truchot sont de retour pour une 18e saison ! Agriculteur, fromager, avocat, enseignante… les 14 GG, issues de la société civile, n'ont jamais peur de défendre leurs idées. Entre débats animés, accrochages et éclats de rires, ces 3 heures de talk-show sont le reflet des vraies préoccupations des Français. Cette année, Fred Hermel débarque dans les GG avec un billet d'humeur : « C'est ça la France ». RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
MACRON/LE PEN : LA SEMAINE DE TOUS LES DANGERS - 18/04/22 Invités YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction « Le Figaro » CÉCILE CORNUDET Éditorialiste politique « Les Echos » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique « Huffington Post » PASCAL PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po Auteur de « Le populisme » Le sprint final, à sept jours du second tour. Les deux finalistes de l'élection présidentielle, Marine Le Pen et Emmanuel Macron, continuent de s'affronter à distance avant leur débat télévisé de mercredi soir. En déplacement aujourd'hui dans le Calvados, la candidate du Rassemblement National a fait plusieurs annonces. Sur son éventuel gouvernement tout d'abord, qui prendrait « le meilleur de la droite comme de la gauche ». Sur les logements sociaux ensuite, pour lesquels « il n'est pas question d'expulser les étrangers des HLM », a-t-elle affirmé. Une nouvelle manière de rassurer les possibles électeurs après son rétropédalage sur la peine de mort ou ses tergiversations sur l'interdiction du voile. De son côté, Emmanuel Macron cherchait les voix des électeurs de gauche samedi dernier à Marseille. Lors de son meeting au Pharo, il a axé son discours sur l'écologie en affirmant que son prochain Premier ministre serait directement en charge de la planification écologique. Toujours donné vainqueur dimanche prochain selon les différents sondages, le président sortant battrait sa rivale d'extrême droite de six à onze points selon les différents instituts. Pendant ce temps, la jeunesse militante se fait entendre. Alors que les jeunes ont largement voté pour Jean-Luc Mélenchon au premier tour, certains manifestent leur colère face à une finale qui ne leur correspond pas. Après leurs revendications à la Sorbonne la semaine dernière, des marches contre l'extrême-droite ont eu lieu dans plusieurs villes de France ce week-end, notamment à Paris. Le mouvement écologiste Extinction Rebellion s'est aussi lancé dans une action de désobéissance civile au cœur même de la capitale pour dénoncer « l'inaction climatique dangereuse » des dirigeants politiques. Pour une partie de ces jeunes électeurs, ce ne sera ni Macron ni Le Pen dimanche prochain. Enfin, côté LR, l'avenir est plus incertain que jamais après la déroute de Valérie Pécresse au premier tour. La candidate de la droite est arrivée en-dessous de la barre des 5%, plongeant le parti dans les difficultés financières. À Nice, dans la circonscription d'Eric Ciotti, les électeurs hésitent pour le second tour. Le député n'a pas appelé à voter Emmanuel Macron, mais n'a pas non plus apporté son soutien à Marine Le Pen. Plus globalement, c'est tout un parti qui se retrouve écartelé au lendemain du premier tour, entre La République en marche et le parti Reconquête ! d'Eric Zemmour. Alors, qui de Marine Le Pen ou d'Emmanuel Macron fait la meilleure campagne d'entre-deux-tours ? Le débat de mercredi soir peut-il tout changer ? La jeunesse déboussolée s'abstiendra-t-elle massivement le 24 avril ? Quel avenir pour Les Républicains ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Marine Le Pen peut-elle gagner ? LES INVITÉ.ES : - Christophe BARBIER - Directeur de la rédaction - « Franc-Tireur » - Soaziq QUEMENER - Rédactrice en chef du service politique - « Marianne « - Caroline VIGOUREUX – Journaliste politique – « l'Opinion » - Frédéric DABI - Directeur général Opinion de l'Institut de sondages IFOP, auteur de « La fracture » C'est la grande accélération. À une semaine du second tour, Emmanuel Macron et Marine Le Pen continuent de s'affronter à distance sur le terrain, auprès des Français. Le président sortant est en meeting cet après-midi à Marseille, son objectif y est de convaincre les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, notamment les jeunes, de voter pour lui le 24 avril. Dans cette ville, le leader de la France Insoumise est arrivé en tête au premier tour avec 31% des voix. De son côté, Marine Le Pen est en Eure-et-Loir aujourd'hui. Pour elle aussi, le report des voix des sympathisants de l'Union populaire sera une des clés de son résultat du second tour. Mais dans cet entre-deux-tours, le front républicain semble se remettre en place pour lui faire barrage. Les tribunes appelant à voter Emmanuel Macron se multiplient, celles de sportifs ou d'artistes par exemple. Et puis, c'est surtout son image qui se rediabolise ces jours-ci. Eric Zemmour n'est plus là et le candidat de Reconquête !, au ton plus radical, lui servait de parapluie ces derniers mois. Pendant ce temps-là, à Châteaudun, ville de 13.000 habitants en Eure-et Loir, les résultats des scrutins présidentiels sont à l'image des résultats nationaux depuis des années et ce, à quelques dixièmes de pourcentages près. On y vote comme les Français en somme et certains regardent cette commune comme on consulte un prophète. Dimanche dernier encore, les chiffres étaient similaires à ceux de l'Hexagone. Mais qu'en sera-t-il pour le second tour ? Enfin, du côté des électeurs d'Eric Zemmour, le temps est là aussi au choix d'un bulletin pour le second tour. Si l'ancien polémiste a clairement appelé à voter Rassemblement National, certains jeunes hésitent encore. C'est surtout l'avenir de leur parti et de leur candidat qui est en question après la lourde déception de dimanche dernier. Seuls 7% des électeurs ont finalement voté pour celui qui avait bousculé le début de la campagne présidentielle. Alors, ce week-end d'entre-deux-tour sera-t-il décisif pour l'issue du scrutin ? Marine Le Pen a t-elle des chances de l'emporter ? Emmanuel Macron peut-il convaincre les électeurs de gauche ? Quel avenir pour les militants de Reconquête ! et d'Eric Zemmour ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec Léopold Audebert, qui a suivi toute la campagne d'Eric Zemmour, retour sur cette épopée politique aussi fulgurante que fugace qui a débouché sur un score décevant et inattendu pour ceux qui croyaient avec ferveur que l'ancien journaliste allait accéder au second tour.
C'est un nouveau duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen qui se prépare. Le 10 avril au soir, la candidate du Rassemblement National est arrivée en deuxième position derrière le président sortant, et se qualifie donc pour le second tour de l'élection présidentielle.Depuis sa défaite en 2017, Marine Le Pen se prépare à ce match retour. Pour rallier les électeurs, elle fait tout pour adoucir son image clivante. En 2018, elle change le nom de son parti et depuis le début de la campagne présidentielle, elle montre régulièrement un côté plus personnel d'elle-même. Malgré les difficultés posées par la candidature rivale d'Eric Zemmour, elle a réussi à tirer son épingle du jeu en se plaçant comme la candidate qui soutient les Français face à la hausse des prix. Aujourd'hui, il n'est pas question de commettre les mêmes erreurs qu'au débat d'entre-deux tours de 2017. A quelques semaines du second tour, la candidate espère créer un front anti-Macron et susciter les votes en sa faveur.Cet épisode de Code source est raconté par Alexandre Sulzer, journaliste au service politique du Parisien. Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Préparation : Clara Garnier-Amouroux - Reporter : Ambre Rosala - Production : Ambre Rosala, Thibault Lambert et Sarah Hamny - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archive : France 2, Europe 1, M6. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Interview de Guilhem Kokot, représentant Europe-Ecologie-Les Verts et le candidat Yannick Jadot, Fabien Rousseau, référent de Jean-Luc Mélenchon et La France Insoumise, Nicolas Rivard, représentant du mouvement d'Eric Zemmour, Régine Mazloum-Martin, représentante de Les Républicains, et Marie-Ange Rousselot, représentante de La République en Marche.
Avec Léopold Audebert, qui suit la campagne d'Eric Zemmour. Le candidat croit-il encore en ses chances d'être qualifié au second tour ? S'il ne l'est pas, est-il prêt à appeler à voter pour Marine Le Pen ?
Grand **Aveu de Macron à 6:56** par Arnaud Upinsky Historien des sciences, mathématicien, épistémologue, linguiste et docteur en philosophie. Réarmer l'intelligence: http://upinsky.work/ Rejoignez-nous sur Telegram
Arnaud Upinsky est historien des sciences, mathématicien, épistémologue, linguiste et docteur en philosophie. Interview sur l'instruction publique et le retour à la formation classique: les enjeux de l'intelligence pour placer le Pouvoir dans une incapacité de puissance et de domination. “Macron Assassin”! au Trocadéro: l'occasion ratée d'Eric Zemmour de dire la Vérité. Réarmer l'intelligence: http://upinsky.work/ Rejoignez-nous sur Telegram
Avec Léopold Audebert et Benjamin Duhamel, quelques minutes après la fin du discours d'Eric Zemmour au Trocadéro. La mobilisation de ses partisans peut-elle suffire pour le relancer dans la course au second tour ?
durée : 00:07:47 - "Macron Assassin", polémique au meeting d'Éric Zemmour au Trocadéro, à Paris - ,
Episode 3/5 : Liberté, égalité, diversité Qu'est-ce qu'être Français ? La question de l'appartenance à la nation est un sujet de débat qui revient souvent. Nous partons donc à la rencontre de nos compatriotes qui s'interrogent sur leur(s) identité(s), dans un pays de plus en plus multiculturel. Premier arrêt à Villepinte, près de Paris, où nous rencontrons Ludovic (identité changée). Il assiste au premier meeting de campagne d'Eric Zemmour. Ce candidat d'extrême droite a fait de l'identité nationale sa croisade. Il agite l'épouvantail du "grand remplacement" de la population française par des immigrés. Ludovic, fils d'une immigrée malaisienne, a grandi en banlieue parisienne. Il se dit "fier d'être français et pleinement assimilé", contrairement, selon cet ingénieur de 28 ans, à beaucoup de ses anciens camarades de classe. “Assimilation”, “intégration”, ces mots reviennent sans cesse dans les débats sur l'identité nationale, car c'est bien d'immigration dont il est question. En France, un habitant sur dix est immigré et selon les chercheurs ils sont souvent victimes d'un racisme systémique. Deuxième arrêt, place de la République à Paris, pour un meeting d'Assa Traoré. Cette fille d'un couple de Maliens, née à Paris, est devenue l'une des figures de l'antiracisme en France. Elle a perdu son frère, mort après son interpellation par les gendarmes en 2016 et continue cinq ans après, à réclamer justice. Pour elle, son frère a été victime de racisme. Merci à toutes les personnes qui ont accepté de partager leur histoire, dans l'ordre d'apparition : Ludovic (identité changée), jeune ingénieur qui hésite à voter Eric Zemmour, Carole Reynaud-Paligot, historienne, professeure à l'université de Bourgogne et autrice de "Comment devient-on raciste" (éditions Casterman), Patrick Simon, socio-démographe à l'institut national d'études démographiques (INED), Assa Traoré, militante antiraciste, Rokhaya Diallo, journaliste, réalisatrice et une jeune étudiante qui a préféré garder l'anonymat. Auteur réalisateur : Antoine BoyerMusique originale : Clémence Reliat et Nicolas Vair.Mixage : Christophe Robert. Illustration : Julie Pereira.Marketing et communication : Laurent Nicolas, Coline Sallois. Rédaction en chef : Michaëla Cancela-Kieffer. Un podcast de l'AFP Audio. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:23 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger les militants d'Eric Zemmour.
durée : 00:01:55 - Le vrai du faux - par : Antoine KREMPF - Ce chiffre a été avancé dimanche par Marion Maréchal, soutien d'Eric Zemmour.
durée : 00:05:23 - Le moment Meurice - par : Guillaume Meurice - Aujourd'hui, Guillaume Meurice est allé interroger les militants d'Eric Zemmour.
Avec Léopold Audebert, qui revient au service politique couvrir la campagne d'Eric Zemmour, après trois semaines pendant lesquelles il a été envoyé suivre la fuite des réfugiés d'Ukraine. En trois semaines, beaucoup de choses ont changé pour le candidat qu'il couvre depuis la fin de l'été. Eric Zemmour est désormais dans un trou d'air.
Mathieu Bock-Côté est notre invité ce dimanche ! Le sociologue québécois, à l'accent fleuri, au débit de parole rapide, aux formules acérées et à l'argumentation implacable nous parle de son combat contre la bien pensance. D'abord considéré comme la relève d'Eric Zemmour sur Cnews, il a réussi à imprimer sa marque à son émission, et son arrivée dans le paysage médiatique français est un succès. Il nous livre ici la clé de son armurerie pour remporter la guérilla culturelle. Soutenez-nous !