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Charlotte Minvielle est la candidate Europe Ecologie Les Verts du Nouveau Front Populaire. Elle était déjà candidate en 2022. Elle se présente donc pour la 3ème circonscription des Français de l'étranger, comprenant les îles britanniques et les pays d'Europe du Nord. Lesfrançais.press l'a rencontrée. La suite sur le site Lesfrancais.pressSupport the Show.
Le dimanche 9 juin, un peu après 21 heures et dans la foulée des résultats des élections européennes largement remportées par l'extrême-droite, Emmanuel Macron décide de dissoudre l'Assemblée. Il ne laisse que peu de temps aux différents partis pour s'organiser en vue des élections législatives anticipées, qui auront lieu les 30 juin et 7 juillet. Dans la foulée, des rassemblements spontanés organisés par des militants de gauche ont lieu dans plusieurs villes de France. Un seul mot d'ordre : l'unité. Ils craignent que les partis de gauche ne parviennent pas à s'allier après les désillusions autour la Nupes, l'alliance mise en place pour les législatives de 2022. Pourtant, dès le lundi 10 juin, un accord de principe entre La France Insoumise, le Parti socialiste, Europe Ecologie Les Verts et le Parti Communiste Français est trouvé. Pierre Maurer et Julien Duffé, journalistes au service politique du Parisien en charge de la gauche, reviennent sur les étapes-clefs de cet accord.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier Amouroux, Camille Ruiz - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV, Quotidien, Fr2, France 24, AFP Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le parti Europe Écologie Les Verts traverse une nouvelle secousse. Ce mardi 2 avril 2024, Julien Bayou, ancien secrétaire national d'EELV, a annoncé démissionner de son parti et de son groupe parlementaire. Il est notamment accusé de violences psychologiques sur son ex-compagne. Quelques jours auparavant, il avait déjà été suspendu à titre conservatoire. « Je voudrais que, dans le mouvement Me Too, on passe de la dénonciation individuelle à la prise de conscience du sexisme systémique qui peut exister dans des organisations », témoigne Sandrine Rousseau, invitée des 4 Vérités, jeudi 04 avril 2024, sur France 2. En septembre 2022, la députée EELV de Paris, alors invitée sur le plateau de C à vous sur France 5, avait notamment indiqué qu'elle avait reçu chez elle, une femme accusant Julien Bayou, qui était alors secrétaire national d'EELV, de « comportements de nature à briser la santé morale des femmes ». Dans une enquête publiée par le journal Reporterre, plusieurs femmes ont accepté de témoigner, accusant Julien Bayou de violences psychologiques. De son côté, l'ex élu nie les faits qui lui sont reprochés. « Est-ce que la parole de Julien Bayou est sacrée ? », s'insurge-t-elle. « On est dans un parti politique où les femmes ont toutes leur place. Elles n'ont pas à être considérées comme des sujets de drague immédiat dès qu'elles arrivent dans le parti. Le parti politique n'est pas un lieu de rencontre. Bien des femmes en partent parce qu'elles ont le sentiment d'être sous le regard et l'avidité de certains. Ce n'est pas possible de continuer comme ça », affirme Sandrine Rousseau. Un appel à témoignages a été lancé. Chaînes TNT, un député Renaissance critiqué Alors que l'enquête parlementaire sur la TNT n'a pas encore rendu sa décision, l'attitude du président de la commission d'enquête, Quentin Bataillon, invité dans l'émission TPMP le 03 avril 2024 sur C8, interroge. Sur le plateau de Cyril Hanouna, Quentin Bataillon critique sa propre commission ainsi que le concurrent de l'animateur, Yann Barthès. La présidente de l'Assemblée nationale a appelé à « faire preuve de réserve », sans envisager de sanctions. Plusieurs leaders de gauche demandent sa démission. « Il faut absolument qu'il démissionne. C'est un piège qui a été tendu par Bolloré et Cyril Hanouna », estime l'élue EELV. « Cela décrédibilise le parlement. (…) Cette commission d'enquête est une institution très importante de notre République. Il vient de la piétiner et c'est absolument scandaleux », affirme-t-elle. Selon Sandrine Rousseau, « CNews est une officine qui joue bien trop avec les fake news pour être considérée comme une chaîne d'information » et selon elle, « les chaînes Bolloré posent une question démocratique fondamentale ». « Nous sommes assez démunis face à ce rouleau compresseur d'une bataille culturelle de l'extrême droite qui est menée actuellement en France », alerte Sandrine Rousseau.
Ce jeudi 21 mars, le Sénat doit examiner le CETA, le traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada, appliqué provisoirement de fait depuis plusieurs années. « Cet accord menace notre sécurité alimentaire, menace nos éleveurs et même nos législations », explique Yannick Jadot, sénateur Europe Écologie Les Verts, invité des 4 Vérités, jeudi 21 mars 2024, sur France 2. « Au Canada, les règles sont beaucoup plus souples sur les pesticides, sur l'élevage… (…) C'est un danger pour notre agriculture », renchérit-il. Selon le sénateur, c'est « perdant-perdant ». « Dire non au CETA, ce n'est pas dire non aux échanges avec le Canada, c'est dire non à certains échanges et à certaines règles ». Six ans après l'abandon du projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes, le groupe Vinci réclame aujourd'hui une indemnisation de l'État à hauteur de 1,6 milliards d'euros. Le jugement est attendu dans plusieurs semaines. « C'est inacceptable. Vinci est une société qui, grâce à la privatisation des autoroutes, fait des milliards et des milliards. Elle fait beaucoup d'argent avec l'État. Qu'elle vienne devant nos juridictions demander autant d'argent est scandaleux », réagit l'ancien candidat à l'élection présidentielle. Trafic de drogue : guerre totale ? Mardi 19 mars, le chef de l'État était en déplacement à Marseille pour saluer le dispositif de police XXL mis en place dans le cadre de la lutte contre les trafics de drogues. Invité sur BFMTV - RMC, le garde de Sceaux, Éric Dupont Moretti, a déclaré mercredi 20 mars 2024, que « celui qui fume son petit pétard le samedi, ce pétard-là voyez, il a le goût du sang séché sur les trottoirs », indiquant également que le gouvernement préparait une « grande loi sur les repentis ». « Cela peut être vrai, dans les conditions de deal et de trafic d'aujourd'hui. C'est pour cela qu'on est favorable à la légalisation du cannabis », souligne Yannick Jadot. « Le cannabis récréatif est dans la société. La France est le pays le plus répressif et un des pays où on en consomme le plus. Sortons des trafics de drogues, arrêtons de les alimenter. Cela permettra de travailler sur le narcotrafic ». Pour l'élu, ce sujet est « majeur », et mérite « une union nationale ». « Cela nécessite de continuer à mettre des moyens », estime-t-il, se disant favorable à la mise en place d'un « parquet particulier à Marseille pour taper les trafiquants au portefeuille ». Les émissions de gaz à effet de serre ont baissé de 4,8 % en 2023 par rapport à 2022, selon des chiffres provisoires publiés par le Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique (Citepa). Un chiffre historiquement bas, s'est réjoui le ministre de la transition écologique. « On progresse, tant mieux. Il faut remercier les Françaises et les Français qui ont maintenu leurs efforts pour économiser l'énergie. (…) Il ne faut absolument pas relâcher les efforts et travailler sur l'isolation des logements », commente le sénateur.
durée : 00:17:54 - 8h30 franceinfo - Le sénateur Europe Ecologie-Les Verts de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo" samedi 20 janvier.
Pour la présidentielle de 2012, Eva Joly faisait campagne pour Europe Ecologie Les Verts. Elle n'hésitait pas à être 100 pour cents écologique. Comme Yannick Jadot n'éteignait jamais la lumière, elle l'avait renvoyé. Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.
Dans notre rendez-vous hebdomadaire « Minute Papillon ! », on tend notre micro à la militante Elsa Deck-Marsault qui vient de publier « Faire justice », un ouvrage sur la justice transformatrice.Le concept nous vient des Etats-Unis. Son objectif est d'inventer des nouvelles formes de justice pour pouvoir gérer des situations conflictuelles en se passant des instances judiciaires. Dans l'actualité, nous pouvons nous rappeler la difficulté avec laquelle les groupes politiques La France Insoumise et Europe Ecologie-Les Verts ont essayé de résoudre, en interne et publiquement, les affaires d'accusation de violences conjugale pour l'un et de harcèlement pour l'autre. Il y a là un problème : les collectifs ont du mal à résoudre des conflits sans se déchirer. Aussi, selon Elsa Deck Marsault, qui plébiscite la justice transformatrice, il faut apprendre à résoudre des situations conflictuelles sans répondre selon une logique punitive, trop destructrice pour un groupe. Elle nous en dit plus dans ce podcast.
REDIFF - Pour représenter le parti Europe Ecologie Les Verts, Eva Joly s'était présentée à la présidentielle de 2012. Durant l'été 2011, elle était venue sur RTL pour donner son point de vue sur les attaques de requins et la protection du règne animal. Anecdotes de vacances, retour au travail... Cet été, retrouvez du lundi au vendredi une archive estivale de Laurent Gerra.
La rentrée politique approche - les élections sénatoriales et européennes aussi - et les camps politiques se fracturent ; entre Sarkozy qui a adoubé son ancien sous-fifre Gérald Darmanin - qui aimerait bien tirer ses marrons du feu d'ici 2027 - semant quelques zizanies dans le clan macroniste et la NUPES qui s'engueule au sujet des listes électorales, en particulier LFI avec Europe-Ecologie-Les-Verts, mais aussi avec le Parti Socialiste et le Parti Communiste. Les trois voulant faire front commun aux sénatoriales et aux européennes, mais sans La France Insoumise. C'est aussi le risque, selon certains, de laisser un boulevard au RN, qui n'a jamais rien à dire sur rien mais reste haut dans les sondages malgré tout, et qui d'ailleurs ne dit rien sinon des conneries, comme sur l'écologie, alors qu'on entre dans une nouvelle semaine de canicule record. D'ailleurs, fort de la suspension de sa dissolution par le Conseil d'Etat, les Soulèvements de la Terre sont repartis au combat avec le convoi de l'eau où 700 cyclistes et une vingtaine de tracteurs relient Sainte-Soline à Paris en passant par Orléans. De ces sujets et d'autres, il en sera question dans cette nouvelle édition du flash info de l'été. ▶ Soutenez Le Média :
REDIFF - La député "Europe-Ecologie Les Verts", Sandrine Rousseau, multiplie les déclarations polémiques. L'infatigable Jean-Michel Aphatie a décidé de la recevoir dans son émission "L'expert c'est Apathie", sur LCI... Tout l'été, du lundi au vendredi, retrouvez le meilleur de cette saison de Laurent Gerra.
durée : 00:28:30 - Avoir raison avec... - par : Sylvain Bourmeau - Né en 1904, mort en 2001, René Dumont aura traversé le XXe siècle en ayant souvent raison avant les autres, y compris parfois contre lui-même. - invités : Jean-Paul Besset Porte-parole de Nicolas Hulot, Eurodéputé Europe Ecologie Les Verts; Alexandre Moatti Polytechnicien, ingénieur en chef des Mines, haut fonctionnaire et historien des sciences.
La quatorzième journée de mobilisation intersyndicale contre la réforme des retraites a réuni mardi 281.000 manifestants en France, selon le ministère de l'Intérieur, « plus de 900.000 », selon la CGT. Après plus de cinq mois de manifestation, la mobilisation apparaît nettement en baisse par rapport à toutes les précédentes et le mouvement semble s'essouffler, à deux jours de l'examen à l'Assemblée d'une loi d'abrogation qui a peu de chances d'aboutir. « Après cinq mois et demi de combat du gouvernement, après sa promulgation en catimini et alors que les décrets d'application commencent à sortir, c'est assez inédit, ça n'est pas rien », commente Marine Tondelier, Secrétaire nationale d'Europe écologie les verts (EELV), invitée des 4 Vérités, mercredi 7 juin 2023, sur France 2. « Le match est en train de se terminer », a déclaré le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, dans la foulée, appelant les syndicats à « peser dans le rapport de force à venir » sur d'autres sujets. L'intersyndicale se réunira la semaine prochaine. « C'est un passage en force démocratique certes, mais légitime, je ne pense pas. Nous avions une crise environnementale, une crise sociale et maintenant, nous sommes dans une crise démocratique », estime-t-elle. Urgence climat Sur le plan environnemental, la France traverse un épisode de sécheresse inédit. Alors que les grandes chaleurs arrivent, le gouvernement a annoncé un plan Eau afin d'améliorer la gestion de l'eau. « On est dans les derniers instants à l'échelle de l'humanité où l'on peut réagir. Quand on fracture le pays sur des histoires de libertés publiques, à quoi ça rime ? On ne devait penser qu'à ça, ne parler que de ça et ne se préoccuper que de ça », affirme Marine Tondelier. La première ministre Elisabeth Borne, a annoncé le déblocage de 7 milliards d'euros afin de financer la transition écologique. « Ça ne suffira pas. On le sait. On devrait tout arrêter, tout ce qui n'est pas essentiel à la survie de l'humanité. On devrait peut-être laisser tomber certains combats qui n'en valent pas la peine », précise-t-elle. Invité sur France Inter, mardi 30 mai, l'ingénieur Jean-Marc Jancovici a émis l'idée d'instaurer les quotas de vols. Selon lui, il faudrait limiter chaque personne à 4 trajets en avion sur toute une vie. « La question du trajet en avion est un sujet, qui ne se pose pas pareil selon les situations. Le problème avec les quotas, c'est que les plus riches vont pouvoir racheter ceux des plus pauvres qui ne vont pas les utiliser. La vraie question environnementale est aussi la justice sociale. Aujourd'hui, les plus précaires ne contribuent pas pareil au changement climatique et pourtant, ils en seront les premières victimes », réagit l'écologiste, qui milite pour un ISF climatique. À un an des élections européennes, et alors que les tensions au sein de la Nupes se creusent, Marine Tondelier l'affirme : il y aura bien une liste écologiste, « comme on l'a toujours eu », assure-t-elle, malgré les menaces à répétition de son chef Jean-Luc Mélenchon.
« C'est une guerre de l'eau » affirme la députée Europe Ecologie-Les Verts, en parlant du conflit qui entoure les méga-bassines et la mobilisation des 25 et 26 mars dans le Poitou. Alors que les dirigeants du monde, réunis à New-York pour un sommet sur l'eau s'inquiètent d'une crise mondiale et d'une pénurie généralisée, la députée de la Vienne raconte, sur le plateau du Média, les raisons de la lutte pour l'eau. Le cycle de l'eau est perturbé et la France connaît une sécheresse historique. Dans le pays, près de 20 départements sont déjà en vigilance alors que le printemps ne fait que commencer. D'après le Bureau des recherches géologiques et minières, quelques 80% des nappes souterraines de métropole étaient à des niveaux inférieurs à la normale en février 2023, contre moins de 50% en février 2022. Mais les français ne sont pas les seuls à connaître une situation de pénurie d'eau, inédite. Selon l'ONU, lors des 40 dernière années, l'utilisation de l'eau douce a augmenté de 1% par an. Environ 10% de la population mondiale vit dans un pays où le stress hydrique atteint un niveau élevé ou critique. Selon le GIEC, dont le dernier rapport est public depuis lundi 20 mars, près de la moitié de la population mondiale subit de graves pénuries d'eau. C'est dans ce contexte que s'est tenu une conférence des Nations Unies sur l'eau, du 22 au 24 mars, à New-York. Alors que le 22 mars était la journée mondiale de l'eau, Antonio Guterres, secrétaire générale de l'ONU, alertait sur une crise mondiale « imminente ». Mais le changement climatique n'est pas seul responsable. Certains groupes privés s'accaparent et épuisent l'eau, tout en tirant profit de cette ressource, rappelant la célèbre phrase de Thomas Sankara : « il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns, et l'eau potable pour tous ». C'est ce qui amène à de nombreux conflits, dont celui qui concerne les méga-bassines et la mobilisation dans le Poitou, le week-end du 25 et 26 mars. Ceci est « une guerre de l'eau », affirme sur le plateau du Média, Lisa Belluco, députée de la Vienne et vice-présidente de la commission développement durable et aménagement du territoire. ▶ Soutenez Le Média :
Sandrine Rousseau est Maîtresse de conférences en économie, spécialiste de l'économie de l'environnement, des emplois domestiques et de la responsabilité sociale des entreprises. Elle a enseigné l'économie à l'Université de Lille, dont elle a été la Vice-Présidente de 2008 à 2021. Mais c'est comme femme politique du partie Europe Ecologie Les Verts qu'elle est plus connue. D'abord Vice-présidente du Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, elle a ensuite été désignée Secrétaire nationale adjointe du parti écologiste et est finalement devenue députée de la neuvième circonscription de Paris aux législatives en juin 2022. Sandrine Rousseau est aussi une figure de l'écofeminisme et de la lutte contre le harcèlement. En 2016, elle fait partie des quatre femmes politiques à avoir témoigné à visage découvert contre Denis Baupin, alors Député de Paris et Vice-Président de l'Assemblée Nationale, pour harcèlement et violences sexuelles. Elle publie ensuite un livre aux Editions Flammarion, intitulé Parler, et décidé d'accompagner les victimes de violences sexistes et sexuelles en fondant l'association En Parler. Rencontre avec cette militante par le prisme de l'alimentation et de l'écologie. *** Pour nous soutenir: - Abonnez-vous à notre podcast; - Donner votre avis via des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée; - Parler d'Ecotable et de son podcast autour de vous; - Aller manger dans nos restaurants vertueux et délicieux ! *** Ecotable est une entreprise dont la mission est d'accompagner les acteurs du secteur de la restauration dans leur transition écologique. Elle propose aux restaurateurs une palette d'outils sur la plateforme https://impact.ecotable.fr/. Écotable possède également un label qui identifie les restaurants écoresponsables dans toute la France sur le site https://ecotable.fr/fr.
durée : 00:06:38 - Les Journaux de France Bleu Azur
Au sommaire: la Chine assouplit ses mesures pour lutter contre le covid, le partie Europe Ecologie Les Verts choisit sa nouvelle direction et la numérisation des archives de l'ONU.
durée : 00:04:30 - L'invité de la rédaction de France Bleu Drôme Ardèche - Comment mieux sécuriser les abords du Pont Mistral à Guilherand-Granges et Valence ?
durée : 00:05:27 - Expression directe - avec EELV, Europe Ecologie Les Verts
La journée s'annonce mouvementée à l'Assemblée nationale. Les députés examinent, ce lundi 24 octobre, les motions de censure déposées par la Nupes et le Rassemblement national, suite à l'usage du 49.3 par le gouvernement afin de faire passer la première partie du budget 2023. Néanmoins, étant toutes minoritaires, aucune de ces motions de censure n'a véritablement de chance d'être adoptée et donc de renverser le pouvoir en place. « Cela sert à mettre un carton jaune gouvernement. C'est incroyable ce qu'il s'est passé, tous nos amendements ont été rejetés », réagit, Sandrine Rousseau, invitée des 4 vérités, lundi 24 octobre 2022, sur France 2. Les Républicains, seul parti à pouvoir véritablement coaliser les oppositions, ont de leur côté décidé de s'abstenir et de ne voter aucune des motions de censure déposées par la gauche ou le RN. Une décision saluée par le ministre chargé des Comptes publics, Gabriel Attal. « Ceux qui déposent des motions de censure proposent d'ajouter de la crise à la crise », a déclaré l'ancien porte-parole du gouvernement, sur France Inter, dimanche 23 octobre 2022. « On n'a jamais eu de dialogue avec le gouvernement. (…) On donne à Emmanuel Macron et Élisabeth Borne les clés de l'État pendant un an, en 49.3, sans débat parlementaire, c'est d'une brutalité politique sans nom », commente la députée Europe Écologie-Les Verts (EELV). « On nous demande d'obéir à leurs volontés. On n'a pas été élu pour ça », poursuit-elle, se disant prête à travailler avec l'exécutif sur certains « amendements structurants ». Si la situation s'améliore peu à peu dans les stations-essence, le climat social reste tendu. Mais pour l'heure, la contagion du mouvement social voulue par la Nupes et certains syndicats semble contenue. « On est dans une situation inédite et le seul leitmotiv du gouvernement, c'est la casse sociale. C'est scandaleux ce qui se passe », estime Sandrine Rousseau. C'est dans ce contexte que le gouvernement commence également les concertations politiques sur la réforme des retraites. Cette réforme devrait prévoir un allongement progressif de l'âge légal du départ à la retraite. Sandrine Rousseau souhaite, elle, un départ à 60 ans. « Il n'y a pas d'urgence à réformer le système de retraite », déclare-t-elle. Meurtre de Lola : « aucune récupération politique » C'est ce lundi que se tiennent également les obsèques de la jeune Lola, adolescente de 12 ans, violée et assassinée, vendredi 14 octobre, à Paris. Depuis, cette affaire a pris une tournure définitivement politique. Les oppositions de droite et d'extrême droite dénoncent la politique migratoire du gouvernement. « Ses proches ont demandé à ce qu'il n'y ait aucune récupération politique. C'est un meurtre effroyable et je respecte leur volonté », réagit Sandrine Rousseau.
La député "Europe-Ecologie Les Verts", Sandrine Rousseau, multiplie les déclarations polémiques. L'infatigable Jean-Michel Aphatie a décidé de la recevoir dans son émission "L'expert c'est Apathie", sur LCI...
La classe politique française est ébranlée par les affaires Adrien Quatennens (LFI) et Julien Bayou (EELV) respectivement accusés de violences physiques et violences morales. Tous deux ont été mis en retrait de leurs fonctions et Julien Bayou a même démissionné de ses postes de Secrétaire national Europe Ecologie Les Verts et co-président du groupe EELV à l'Assemblée nationale. Malgré le flou qui entoure les faits qui sont reprochés à ce dernier. Y a-t-il un risque de confondre morale et justice ? Hier (27 septembre 2022), le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti a dénoncé « une justice de droit privé ». Jusqu'où doit aller le « tribunal politique » ? Comment favoriser l'exemplarité sans tomber dans la chasse aux sorcières ? Avec nos invitées : - Laurence Devillairs, philosophe enseignante à l'Université Paris 1-Panthéon Sorbonne. Auteure du livre, Être quelqu'un de bien. Philosophie du bien et du mal (PUF). - Gabrielle Siry-Houari, maire adjointe du XVIIIè arrondissement de Paris, porte-parole du parti socialiste. Autrice de «La République des hommes», Éditions Bouquins.
La classe politique française est ébranlée par les affaires Adrien Quatennens (LFI) et Julien Bayou (EELV) respectivement accusés de violences physiques et violences morales. Tous deux ont été mis en retrait de leurs fonctions et Julien Bayou a même démissionné de ses postes de Secrétaire national Europe Ecologie Les Verts et co-président du groupe EELV à l'Assemblée nationale. Malgré le flou qui entoure les faits qui sont reprochés à ce dernier. Y a-t-il un risque de confondre morale et justice ? Hier (27 septembre 2022), le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti a dénoncé « une justice de droit privé ». Jusqu'où doit aller le « tribunal politique » ? Comment favoriser l'exemplarité sans tomber dans la chasse aux sorcières ? Avec nos invitées : - Laurence Devillairs, philosophe enseignante à l'Université Paris 1-Panthéon Sorbonne. Auteure du livre, Être quelqu'un de bien. Philosophie du bien et du mal (PUF). - Gabrielle Siry-Houari, maire adjointe du XVIIIè arrondissement de Paris, porte-parole du parti socialiste. Autrice de «La République des hommes», Éditions Bouquins.
L'Essentiel est une nouvelle série de podcasts de Radio Propos. Nous vous proposons, en une dizaine de minutes, d'en apprendre un peu plus sur un sujet, un invité, ou une thématique particulière. Pour ce premier épisode, nous recevons Mounir Satouri, eurodéputé Europe Ecologie Les Verts. En collaboration avec Voix d'Europe.
durée : 00:03:27 - Le brief politique - Alors que l'écologie n'a jamais été autant au cœur des préoccupations des Français, les écologistes peinent à élargir leur socle électoral. Comment parler d'écologie, notamment aux campagnes ? c'est une préoccupation au sein du parti Europe Ecologie Les Verts.
De retour à Paris après sa tournée européenne, Emmanuel Macron va désormais s'attaquer à la constitution du nouveau gouvernement avec Élisabeth Borne. Face à une Assemblée multipartite, la politique du compromis ne fait que commencer. Le président de la République et sa Première ministre devront faire le point sur les accords éventuels décrochés avec certains partis et surtout amorcer la question du remaniement. Trois ministres doivent céder leur place faute de voix aux législatives et une pour avoir été nommée à la présidence de l'Assemblée. Peut-il y avoir un écologiste dans ce nouveau gouvernement ? « L'enjeu c'est quel gouvernement ? On se sait pas très bien […] ce gouvernement ne répond pas aux urgences, atteint et tergiverse » assène Julien Bayou, coprésident du groupe écologiste à l'Assemblée. Sur les bancs de l'opposition, tous attendent la politique générale d'Élisabeth Borne qui n'a émis pour le moment aucun indice. Parmi les ministres sortants qui composaient le gouvernement Borne, la ministre de la Transition Écologique, Amélie de Montchalin, « ne va pas être regrettée puisqu'elle n'a rien fait », fustige notre invité. Le Haut Conseil pour le climat a récemment dénoncé l'inaction de la politique française face au réchauffement climatique de plus en plus pressant : « La France a même été condamnée pour inaction climatique . Face à un tel manque d'ambition, nous n'attendons rien de ce gouvernement ». Pour pallier cette fragilité de la politique environnementale, Julien Bayou compte bien faire entendre les quelques sièges d'EELV à l'Assemblée nationale : « Nous allons poser des propositions ambitieuses et nous verrons comment le gouvernement va se positionner ». Alors que Damien Abad fait l'objet d'une enquête pour tentative de viol, rien ne dit que le ministre des Solidarités ne fera pas partie de ce gouvernement. Depuis le début de l'affaire, Emmanuel Macron invoque la présomption d'innocence pour justifier la nomination de son ministre, pourtant accusé d'un crime pénal. Cette nouvelle enquête va-t-elle précipiter le départ de Damien Abad et servir d'exemple ? « Il y a la présomption d'innocence pour tout le monde et puis il y a le devoir d'exemplarité des ministres. Je fais vraiment le distinguo » explique le député avant de retoquer le gouvernement sur le garde des sceaux « mis en examen ». « Le plus simple c'est qu'il se mette en retrait, qu'il démissionne, que la justice puisse faire son travail et qu'ensuite on avise sur sa situation » affirme notre invité. Élisabeth Borne : pourquoi un vote de confiance ? Mercredi prochain, Élisabeth Borne prononcera son discours de politique générale à l'Assemblée nationale. Pratiquement tous les membres de l'opposition appellent la Première ministre à engager un vote de confiance. Pourtant rien ne l'y oblige. Élisabeth Borne va-t-elle se soustraire à la coutume ? « Il y a besoin d'un cadre et d'un discours de politique générale » pour clarifier la stratégie et les mesures prioritaires, à commencer par la retraite à 65 ans, l'augmentation des salaires et la rénovation thermique, sujets sur lesquels l'opposition dont EELV comptent bien s'emparer. Hier, le député LFI Éric Coquerel, a été élu à la tête de la Commission des Finances, un titre que convoitait de très près le Rassemblement national. Aujourd'hui, le parti d'extrême droite crie au scandale estimant que ce poste leur revenait de droit en tant que « premier parti » d'opposition à l'Assemblée. « Le Rassemblement national crie au scandale parce qu'on va peut-être lutter contre l'évasion fiscale » rétorque Julien Bayou. À gauche, cette commission des Finances va être un moyen de contrôler l'exemplarité fiscale des multinationales : « Elle va permettre de démonter ces montages qui ont vocation à tromper l'impôt. C'est le cas d'Euro Disney, de Starbucks […] trop d'entreprises ne payent pas leur juste part quand les artisans, les PME tirent la langue ». La loi sur le pouvoir d'achat fait partie des premiers dossiers soumis à l'Assemblée. Elle prévoit l'augmentation de 4% des prestations sociales indexées sur l'inflation, une revalorisation des APL et une aide alimentaire de 100€ pour les neufs millions de foyers les plus précaires. Les écologistes sont-ils favorables à ce texte ? « C'est trop peu, trop tard […] nous soutiendrons tout ce qui va dans le bon sens mais ce gouvernement n'a rien anticipé » conclut Julien Bayou qui souhaite aller « beaucoup plus loin » avec une proposition « d'augmentation du SMIC à 1500 euros net, le dégel du poids d'indice pour rattraper l'inflation et l'autonomie de la jeunesse ».
On commence avec cet accord pour les législatives entre la France Insoumise et Europe Ecologie les Verts, pour le parti socialiste et les communistes les négociations sont en cours
On commence avec cet accord pour les législatives entre la France Insoumise et Europe Ecologie les Verts, pour le parti socialiste et les communistes les négociations sont en cours
On commence avec cet accord pour les législatives entre la France Insoumise et Europe Ecologie les Verts, pour le parti socialiste et les communistes les négociations sont en cours
On commence avec cet accord pour les législatives entre la France Insoumise et Europe Ecologie les Verts, pour le parti socialiste et les communistes les négociations sont en cours
La France insoumise et Europe Ecologie-Les Verts ont trouvé un accord pour les prochaines élections législatives, des 12 et 19 juin prochains. Après plusieurs jours de discussions, les deux partis ont décidé de présenter une seule et même liste, sous la bannière de la "Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale". NP/Studio News I Journaliste : Ralph Bechani
Le 4 avril 2022, le troisième volet du sixième rapport du GIEC (le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) nous alertait sur la nécessité d'inverser la courbe de nos émissions de gaz à effet de serre avant 2025 et mettait en avant les solutions qui s'offrent à nous pour y parvenir. L'agriculture, troisième secteur le plus polluant et responsable de 22% des émissions de gaz à effet de serre, est un domaine clef de cette transition. Pourtant la France fait figure de mauvais élève en terme de transition agroécologique. Le 6 avril, la Commission Européenne a fait savoir à la France que sa déclinaison de la politique agricole commune (PAC) n'était pas conforme au règlement européen. En cause : la faible ambition environnementale de la politique agricole française. Un reproche déjà formulé par plusieurs organisations paysannes comme la plateforme "Pour une autre PAC". Avec Benoît Biteau, paysan en agroécologie et eurodéputé Europe Ecologie Les Verts, nous revenons sur la nécessité d'une transition agroécologique et sur les raisons d'un blocage à celle-ci en France et en Europe. © Jean-Marc Losey
En cette période électorale, Maintenant vous savez se met aux couleurs de la présidentielle 2022 et rediffuse des épisodes pour tout comprendre des notions qui entourent la vie démocratique en France. Du "référendum", au "vote alternatif" en passant par le terme récent de "déprésidentialisation", remémorez-vous ces concepts qui fondent notre citoyenneté. Qu'est-ce que la déprésidentialisation ? Depuis début octobre 2021, Yannick Jadot, qui représentera Europe Ecologie Les Verts à l'élection présidentielle d'avril 2022, défend sa volonté de déprésidentialiser la France. Dans un entretien donné au Journal du dimanche, il demande la fin du quinquennat renouvelable avec l'instauration d'un septennat non-renouvelable. La déprésidentialisation n'a pas de définition exacte mais revient régulièrement dans les débats lors des campagnes électorales. Il y a quelques années, on parlait à l'inverse d'hyperprésidentialisation pendant le mandat de Nicolas Sarkozy, entre 2007 et 2012. Mais d'abord, qu'est-ce que la présidentialisation ? Quel est le régime en France ? Et que préconise Yannick Jadot avec la déprésidentialisation ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Qu'est-ce que la décroissance ? Qu'est-ce qu'une démocrature ? Que sont les grands électeurs ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Au programme de ce nouvel épisode de L'instant Porcher présenté exceptionnellement par notre journaliste Nadiya Lazzouni : après la déception, l'heure est désormais au bilan. Il y a quand même de bonnes nouvelles. Jean-Luc Mélenchon est le troisième homme de l'élection présidentielle avec 21,9 % des voix. Le candidat de la France insoumise était loin, et en même temps si proche du second tour. Moins de 400 000 voix, soit 200 000 de moins qu'en 2017. Avec ce score, Jean-Luc Mélenchon s'installe un peu plus en première force à gauche. Ses idées politiques sont debout. Le leader de La France insoumise a fait un carton plein dans les grandes villes de l'Hexagone, dans les quartiers populaires ou encore dans les territoires ultramarins. C'est du succès de Jean-Luc Mélenchon dont nous parlerons avec Thomas Porcher. Un succès qui aurait pu être une victoire si la gauche n'était pas aussi fracturée. Quel avenir pour le PS, Europe Ecologie-Les Verts et le Parti communiste ? Autant de questions auxquelles notre analyse apportera une réponse. ▶ Soutenez Le Média :
Interview de Guilhem Kokot, représentant Europe-Ecologie-Les Verts et le candidat Yannick Jadot, Fabien Rousseau, référent de Jean-Luc Mélenchon et La France Insoumise, Nicolas Rivard, représentant du mouvement d'Eric Zemmour, Régine Mazloum-Martin, représentante de Les Républicains, et Marie-Ange Rousselot, représentante de La République en Marche.
Réunion du 14 Mars 2022 face à la filière Automobile, où Karima Delli, représentante de Yannick Jadot, candidat pour Europe Ecologie Les Verts, s
durée : 00:01:44 - Le vrai du faux - par : Antoine KREMPF - Le candidat Europe Ecologie-Les Verts était l'invité de France Inter, mardi 22 mars. Il a développé ses idées pour l'école.
C'est finalement Christiane Taubira qui est arrivée en tête de la Primaire populaire de la gauche, qui s'est clôturée dimanche 30 janvier, avec une « mention bien plus ». L'ancienne ministre de la Justice et candidate à l'élection présidentielle devance ainsi Yannick Jadot (2e, avec une « mention assez bien plus ») et Jean-Luc Mélenchon (3e, « mention assez bien moins »). De son côté, la candidate du Parti socialiste Anne Hidalgo n'arrive qu'en cinquième position. Lors d'une allocution, après le résultat de cette initiative citoyenne inédite, Christiane Taubira a appelé dans la soirée les autres candidats de gauche à « l'union et au rassemblement » en vue de l'élection présidentielle. « Je prendrai l'initiative d'appeler les autres candidats », a-t-elle affirmé, tout en citant les candidats socialistes, écologistes, insoumis et communistes. « Je sais leurs réticences, mais je sais aussi leur intelligence et leur sens de l'intérêt général. Cette union, nous la construisons ensemble », a-t-elle ajouté. Néanmoins, les autres partis refusent, pour l'heure, les autres leaders de la gauche refusent de se rallier derrière une candidature unique de la gauche. « Tout ça pour ça. Il y a une multitude de candidatures à gauche, et une de plus aujourd'hui. Mais il y a qu'une seule candidature de l'écologie et de la justice sociale, celle de Yannick Jadot », a affirmé Julien Bayou, le secrétaire national du parti Europe Écologie Les Verts (EELV), invité des 4 vérités, lundi 31 janvier, sur France 2. Cette initiative citoyenne avait pourtant pour but de désigner un candidat unique afin de réunir la gauche à la présidentielle. « C'était une sorte de sondage pour rassembler et finalement, il y a juste une candidature de plus. La sociale démocratie essaye de se départager cela nous concerne assez peu », a-t-il précisé, constatant « l'échec » de la candidature commune entre EELV et le PS en 2017. La campagne écologiste peine à décoller Près de quatre mois depuis son investiture à la primaire écologiste, Yannick Jadot peine à faire décoller sa campagne. Il plafonne depuis plusieurs semaines à 5% des intentions de vote, selon le baromètre réalisé au quotidien par OpinionWay - Kéa Partners pour « Les Échos ». « Ceux qui nous ont mis dans l'impasse, ce sont les gouvernements précédents », a estimé Julien Bayou. Certains électeurs déplorent l'absence du volet sécurité ou pouvoir d'achat dans le programme du candidat écologiste. Le parti EELV propose néanmoins la création d'un bonus malus et d'un ISF écologiste. « L'enjeu est que les ultra riches de notre pays paient leur juste part » a affirmé son porte parole.
"Maintenant, vous savez", c'est le podcast quotidien de Bababam, qui nous donne les clés essentielles pour savoir vraiment ce qui se cache derrière les mots, sigles, concepts qui font notre actualité. Du 3 au 17 janvier 2022, l'équipe de "Maintenant vous savez" vous révèle les 15 mots qui marqueront l'année 2022. Du nouveau phénomène "tourisme spatial" au monde virtuel "Métavers", en passant bien-sûr par l'expression "être woke", (re)découvrez ces mots qui feront notre actualité en 2022. Qu'est-ce que la déprésidentialisation ? Depuis début octobre 2021, Yannick Jadot, qui représentera Europe Ecologie Les Verts à l'élection présidentielle d'avril 2022, défend sa volonté de déprésidentialiser la France. Dans un entretien donné au Journal du dimanche, il demande la fin du quinquennat renouvelable avec l'instauration d'un septennat non-renouvelable. La déprésidentialisation n'a pas de définition exacte mais revient régulièrement dans les débats lors des campagnes électorales. Il y a quelques années, on parlait à l'inverse d'hyperprésidentialisation pendant le mandat de Nicolas Sarkozy, entre 2007 et 2012. Mais d'abord, qu'est-ce que la présidentialisation ? Quel est le régime en France ? Et que préconise Yannick Jadot avec la déprésidentialisation ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Qu'est-ce que la décroissance ? Qu'est-ce qu'une démocrature ? Que sont les grands électeurs ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:05:25 - Expression directe - Ce soir, Europe Ecologie Les Verts
Le 28 octobre 2021, Radio Germaine a convié les représentants de six organisations politiques qui font vivre le débat partisan à Sciences Po Paris pour discuter de trois enjeux majeurs du débat public et des positions de leurs candidats. Au programme : le travail (et notamment l'intégration des jeunes), l'écologie (l'énergie et les transports) et l'Europe (comment la rendre plus démocratique ?). Nos invités sont Emma Salley (La France Insoumise), Ugo Bertrand (La République En Marche), Théophane Briche Blida (Les Républicains), Léon Thébault (Europe Ecologie Les Verts), Antoine Hamria (Union des Etudiants Communistes) et Pauline Muller (Parti Socialiste). Si vous voulez en savoir plus, écoutez ce premier débat organisé par Ondes Politiques en cette année de présidentielle ! Un débat animé par Gabriel Koiran Portier et Ismail El Ayoubi. Un grand merci à Arthur Poinsot et Alexandre Bouyé pour l'organisation du débat.
Les primaires avant les présidentielles, certains les craignent, d'autres les réussissent. Et on peut dire qu'Europe Ecologie Les Verts (EELV) ont plutot bien réussi leur coup en septembre dernier. Non seulement ils ont réuni plus de 120 000 participants à leur primaire (4 fois plus que lors de la précédente), mais en plus ils ont fait sortir un vainqueur bankable plutôt qu'un candidat plus radical dans ses idées disons. Je referme ici la porte d'un débat qui n'a pas sa place sur La Mairie et préfère vous parler de notre invitée du jour Léa Balage El Mariky, la déléguée aux mobilisations au sein d'EELV. Comme à notre habitude dans cette série spéciale de La Mairie sur l'engagement citoyen et les Partis politiques, nous découvrirons comment EELV suscite et entretient l'engagement de ses militants, et se prépare pour la période électorale exceptionelle dans laquelle nous rentrons/sommes. A ne pas manquer dans cette épisode, les explications de Léa sur le "relational organising" (la campagne de proche à proche en meilleur français), un concept popularisé par la campagne de Bernie Sanders et qui fait un tabac. Quand on sait qu'il faut 10 000 tracts et 100 000 affiches pour changer UN vote...on se rend compte que le relational organizing a de beaux jours devant lui. A suivre lors de vos prochains dîners entre amis. Merci encore à toute l'équipe Koba Civique d'avoir rendu possible l'enregistrement de cet épisode. Si vous êtes élu.e ou travaillez pour une collectivité qui veut lancer un projet numérique, contactez Koba Civique (contact@koba.com), vous y trouverez la meilleure équipe pour vous accompagner dans vos projets de modernisation. Générique d'introduction : Yuksek (avec tous mes remerciements) Bonne écoute Quentin @ : qvignon@koba.com
En cette période d'élections consulaires partielles, nous nous retrouvons pour un nouveau débat, avec deux candidates de Pondichéry. Nous avons interrogé Chantal Samuel-David, tête de liste « Unis pour le changement », soutenue par Français du Monde. Face à elle Audrey Pelerin, tête de liste « Mouvement solidaire et écocitoyen de Pondichéry », soutenue par Europe Ecologie Les Verts. Les deux femmes confrontent leur programme.Des candidates très impliquées dans la vie de PondichéryAudrey Pelerin a grandi en France, et est d'origine pondichérienne. Elle a toujours été soucieuse des problématiques sociétales et environnementales en Inde et dans les pays d'Asie du Sud ; ingénieure en environnement, elle s'est installée à Pondichéry il y a trois ans. Elle est aujourd'hui consultante indépendante dans le domaine du développement durable et du zéro waste. Audrey Pelerin est aussi Vice-Présidente du Club des Entrepreneurs Français de Pondichéry, afin de développer l'entreprenariat à Pondichéry. De par son histoire et parcours, elle a à cœur d'assurer la liaison entre l'Inde et la France.L'éducation au cœur de leur campagne des candidatesChantal Samuel David est tout autant engagée à Pondichéry. Son domaine de prédilection est l'éducation, elle qui a été la secrétaire générale de l'Association des Parents d'Élèves du Lycée Français de Pondichéry (APELFP). Elle parle cinq langues, s'assure de toujours se faire comprendre par les Français non francophones de Pondichéry, et veille à leur transmettre toutes les informations dans leur langue. Présente depuis plus longtemps sur la scène politique de la ville, Chantal Samuel David nous raconte son expérience et ses diverses missions au sein de Pondichéry. Lors de ce débat de quinze minutes, l'éducation, leur rôle de liaison entre les électeurs et le consulat, ainsi que la campagne de vaccination de ce dernier sont les sujets abordés. Les candidates nous relatent notamment les obstacles linguistiques auxquelles elles ont pu faire face durant leur campagne électorale, ainsi que leur implication dans le domaine de l'éducation et du lycée français de Pondichéry. Elles détaillent chacune leur programme et des mesures qu'elles souhaitent mettre en place pour faciliter la vie de ces Français de Pondichéry. Nous vous proposons d'écouter leur débat dès maintenant.
Qu'est-ce que la déprésidentialisation ? Merci d'avoir posé la question ! Depuis début octobre 2021, Yannick Jadot, qui représentera Europe Ecologie Les Verts à l'élection présidentielle d'avril 2022, défend sa volonté de déprésidentialiser la France. Dans un entretien donné au Journal du dimanche, il demande la fin du quinquennat renouvelable avec l'instauration d'un septennat non-renouvelable. La déprésidentialisation n'a pas de définition exacte mais revient régulièrement dans les débats lors des campagnes électorales. Il y a quelques années, on parlait à l'inverse d'hyperprésidentialisation pendant le mandat de Nicolas Sarkozy, entre 2007 et 2012. Mais d'abord, qu'est-ce que la présidentialisation ? Quel est le régime en France ? Et que préconise Yannick Jadot avec la déprésidentialisation ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Pauline Weiss. A écouter aussi : Qu'est-ce que la décroissance ? Qu'est-ce qu'une démocrature ? Que sont les grands électeurs ? Vous pouvez réagir à cet épisode sur notre page Twitter. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:06:25 - 18h50 franceinfo - Pierre Hurmic, maire Europe Ecologie - Les Verts de Bordeaux, a estimé lundi sur franceinfo que Yannick Jadot est "de loin" le meilleur candidat du camp écologiste, porté par une "dynamique".
Invités YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » ISABELLE DE GAULMYN Rédactrice en chef – « La Croix » FRÉDÉRIC DABI Directeur général Opinion - Institut de sondages IFOP Auteur de « La fracture » C'est le sondage choc, celui dont tout le monde parle depuis hier. Eric Zemmour donné pour la première fois à 15% au premier tour de la présidentielle, devant n'importe quel candidat des Républicains, selon l'institut Ipsos-Sopra Steria. Un sondage qui confirme aussi l'effet de vase communicant entre l'électorat de Marine Le Pen et celui du polémiste, puisque la candidate du Rassemblement National tombe à 16%, une chute de 12 points en trois mois. L'idée que l'essayiste d'extrême-droite puisse se qualifier pour le second tour commence donc à être sérieusement envisagée. Si la candidature d'Eric Zemmour n'impacterait ni Emmanuel Macron ni la gauche, la droite a quant à elle tout a perdre face à l'ascension éclair de celui qui n'est même pas encore candidat. Celui-ci profite en réalité du vide chez Les Républicains, un parti qui se cherche encore un visage pour 2022, entre Valérie Pécresse, Xavier Bertrand et Michel Barnier. Les LR devraient choisir leur candidat le 4 décembre prochain lors d'un congrès mais deux mois de plus sans candidat semble un calendrier dangereux face à l'omniprésence médiatique de Zemmour. Pendant ce temps-là, du côté de la majorité présidentielle, on commence à faire campagne. A l'Isle-sur-la-Sorgue, Maud Bregeon bat le terrain, elle est porte-parole de la République en Marche. Avec 24% d'intentions de vote au premier tour, Emmanuel Macron semble pour l'instant en bonne voie d'être réélu. Tous les sondages le donne de plus vainqueur au second tour, quel que soit le ou la candidate en face de lui. Face à Zemmour, il obtiendrait 65% des voix selon un sondage YouGov. Enfin, chez les écolos, après quelques jours de flottement, Sandrine Rousseau veut finalement faire bonne figure en assurant se ranger derrière Yannick Jadot et faire campagne pour lui. L'enjeu à Europe Ecologie-Les Verts est à présent de rallier derrière soi Anne Hidalgo qui chute à moins de 6% dans les sondages, derrière Yannick Jadot qui fait à 9% jeu égal avec Jean-Luc Mélenchon. Alors, jusqu'où ira l'ascension d'Eric Zemmour ? Quelle stratégie la droite peut-elle prendre face à la candidature de l'ancien journaliste ? Qu'est-ce qui pourrait faire chuter Emmanuel Macron ? Yannick Jadot a t-il des chances de rassembler la gauche derrière lui ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Alexandre Langeard PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 01:59:06 - Le 7/9 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Sophie Marceau et François Ozon, actrice et réalisateur, pour leur film Tout s'est bien passé, Yannick Jadot, député européen EELV, et Sandrine Rousseau, économiste, finalistes de la primaire des écologistes, sont les invités du 7/9 de France Inter. - invités : Sophie Marceau, François Ozon, Sandrine Rousseau, Yannick JADOT - Sophie Marceau : Comédienne et réalisatrice, François Ozon : Réalisateur, Sandrine Rousseau : Candidate à la primaire du parti Europe Ecologie - Les Verts, économiste universitaire. Présidente de l'association "Parler"., Yannick Jadot : Homme politique
Samedi 11 septembre 2021, Jean-Marc Governatori, un des cinq candidats à la primaire écologiste en vue de la prochaine élection présidentielle était l'invité des 4 Vérités sur France 2. Vendredi 10 septembre, Agnès Buzyn a été mise en examen « pour mise en danger de la vie d'autrui » et a été placée sous le statut de témoin assisté pour « abstention volontaire de combattre un sinistre ». L'ancienne ministre de la Santé est accusée de ne pas avoir pris la mesure de l'ampleur de l'épidémie du coronavirus dans les premières semaines de la pandémie. Au cœur de l'enquête : sa gestion de la crise sanitaire. Depuis le début de l'épidémie en mars 2020, près de 18 000 plaintes ont été enregistrées. Les plaignants dénoncent un manque d'anticipation dans la prise en charge des malades. Au micro de Jeff Wittenberg, Jean-Marc Governatori a largement approuvé cette décision. D'autres personnalités politiques pourraient aussi être entendues par la Cour de justice de la République. Parmi eux, l'actuel ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran ou encore l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. A l'heure actuelle, deux tiers des Français sont aujourd'hui vaccinés. Or, le centriste écologiste s'est toujours montré sceptique à l'égard de la politique vaccinale du gouvernement, en particulier sur l'instauration du pass sanitaire qui a notamment permis d'éviter la quatrième vague redoutée. « Que des millions de Français se vaccinent c'est très bien », estime l'écologiste, avant de nuancer. « Mais qu'on oblige d'autres Français à se vacciner, je ne suis pas favorable. Je suis pour la liberté vaccinale et défavorable au pass sanitaire parce qu'il divise, il discrimine, il viole le secret médical et par ailleurs, peut poser problème au sport, à la culture, aux bars et aux restaurants…. ». Il n'exclut pas de se rendre à des manifestations contre le vaccin anti-Covid-19 qui sont prévues dans la journée de samedi 11 septembre. S'adresser à tous les électorats Le premier tour des primaires écologistes aura lieu du 16 au 19 septembre et le second du 25 au 28 septembre. Face à Jean-Marc Governatori, Sandrine Rousseau, Delphine Batho, Yannick Jadot, Éric Piolle seront également en lice. « Je représente l'écologie au centre. (…) La notion de responsabilité est importante. Chacun de nous a une part de co-responsabilité dans ce qu'il se passe », a-t-il déclaré. Le candidat veut s'adresser « à tous les électorats ». « Depuis 30 ans Europe Ecologie Les Verts cultive l'écologie à gauche. Cela nous empêche d'avoir un électorat national. Cela nous sectarise », a-t-il estimé. « Ca tue l'écologie que de la sectoriser à gauche », a-t-il renchéri. S'il se montre un peu moins sévère que ses concurrents concernant le bilan écologique du quinquennat d'Emmanuel Macron, Jean-Marc Governatori estime néanmoins qu'il « faut mieux faire ». Proche de Francis Lalanne, défenseur des gilets jaunes en 2018 mais favorable à rallier Renaud Muselier lors des dernières élections régionales en PACA, qui avait créé la polémique en voulant se rapprocher de La République en Marche, Jean-Marc Governatori, issu du monde entrepreneurial et nouveau venu sur la scène politique, a souvent été taxé « d'être opportuniste ». « Ce qui compte c'est le projet de société et l'engagement citoyen », a-t-il martelé. S'il est élu à l'élection présidentielle, il souhaite créer « une assemblée nationale de citoyens tirés au sort, qui sera une troisième chambre et qui, au même titre que le Sénat et l'Assemblée des députés, proposera et votera des lois », a-t-il conclu.
"Juste un dernier vert" avec le journal Le Drenche, c'est un podcast éphémère dans lequel nous interrogeons les candidats et candidates à la primaire écologiste ou leur porte-parole ! Le but, vous permettre de les découvrir, connaître leur parcours mais aussi leurs idées et leurs propositions. Dans ce second épisode, nous recevons Eric Piolle, engagé en politique depuis 1997, d'abord au sein du mouvement "Semaine de quatre jours" puis de la Nouvelle Donne. Il intègre par la suite Europe Ecologie Les Verts et obtient un premier mandat de conseiller régional de Rhône-Alpes en 2010. Il est élu maire de Grenoble en 2014 et réélu en 2020. C'est le second maire d'EELV d'une ville de plus de 100 000 habitants après Dominique Voynet à Montreuil. En juin 2021 il s'est porté officiellement candidat à la primaire écologiste. Dans ce podcast, nous aborderons son parcours professionnel et politique, ses propositions et ses différences avec les autres candidats à la primaires des écologistes. Bonne écoute !
"Juste un dernier vert" avec le journal Le Drenche, c'est un podcast éphémère dans lequel nous interrogeons les candidats et candidates à la primaire écologiste ou leur porte-parole ! Le but, vous permettre de les découvrir, connaître leur parcours mais aussi leurs idées et leurs propositions. Dans ce second épisode, nous recevons Eric Piolle, engagé en politique depuis 1997, d'abord au sein du mouvement "Semaine de quatre jours" puis de la Nouvelle Donne. Il intègre par la suite Europe Ecologie Les Verts et obtient un premier mandat de conseiller régional de Rhône-Alpes en 2010. Il est élu maire de Grenoble en 2014 et réélu en 2020. C'est le second maire d'EELV d'une ville de plus de 100 000 habitants après Dominique Voynet à Montreuil. En juin 2021 il s'est porté officiellement candidat à la primaire écologiste. Dans ce podcast, nous aborderons son parcours professionnel et politique, ses propositions et ses différences avec les autres candidats à la primaires des écologistes. Bonne écoute !
"Juste un dernier vert" avec le journal Le Drenche, c'est un podcast éphémère dans lequel nous interrogeons les candidats et candidates à la primaire écologiste ou leur porte-parole ! Le but, vous permettre de les découvrir, connaître leur parcours mais aussi leurs idées et leurs propositions. Dans ce second épisode, nous recevons Eric Piolle, engagé en politique depuis 1997, d'abord au sein du mouvement "Semaine de quatre jours" puis de la Nouvelle Donne. Il intègre par la suite Europe Ecologie Les Verts et obtient un premier mandat de conseiller régional de Rhône-Alpes en 2010. Il est élu maire de Grenoble en 2014 et réélu en 2020. C'est le second maire d'EELV d'une ville de plus de 100 000 habitants après Dominique Voynet à Montreuil. En juin 2021 il s'est porté officiellement candidat à la primaire écologiste. Dans ce podcast, nous aborderons son parcours professionnel et politique, ses propositions et ses différences avec les autres candidats à la primaires des écologistes. Bonne écoute !