Podcast appearances and mentions of eric dupont moretti

Sujets traités : Fin d'exploitation pour la famille Grasser à Schweighouse sur moder. Après 80 ans d'existence, le groupe familial Grasser revend ses concessions automobiles. A compter du 1er juillet, les affaires Renault, Dacia et Nissan seront reprises par le groupe Hess qui conservera une grande majorité des 150 emplois.  La douzaine d'employés et les activités MG non reprises par le groupe Hess seront quant à elles reprises par Théobald. Caroline Grasser assure que personne ne sera laissé sur le carreau et que la transition se fera de la manière la plus douce possible.Ce samedi de 15h à 18h, rendez-vous à la résidence senior L'Étoile du Vignoble à Wintzenheim pour un après-midi Guinguette. Danse, quizz, jeux, buffet gourmand et tombola, Adeline Spannagel, directrice de la résidence nous parle du programme au micro de Sidonie Melchior. L'entrée est gratuite et ouverte à tous !La cité judiciaire de Colmar va voir le jour. Annoncé en début de semaine par la députée de la circonscription Brigitte Klinkert, sur sa page Facebook, le projet initié en 2023 par l'ancien ministre de la justice Eric Dupont-Moretti, a été validé par l'actuel garde des sceaux Gérald Darmanin. Malgré le contexte budgétaire, le projet qui vise à étendre l'emprise du palais de justice colmarien vers les 9 000 m² de la maison d'arrêt juste à côté, qui a été fermée en 2021, va donc bénéficier de 100 millions d'euros d'aides. Colmar toujours, les food-trucks sont là ! Pour rappel, la cité de Bartholdi avait lancé en début d'année un appel à candidature pour une plantation de food-trucks sur le Champ de Mars. A travers cette démarche, la ville avait annoncé souhaiter diversifier l'offre de restauration au centre-ville. Ils y seront installés jusqu'au mois de novembre, tous les midis du lundi au vendredi ainsi que le vendredi soir. Hier, le premier s'y est installé et il s'agit de l'enseigne Burger & Co. Des maîtres nageurs sauveteurs recherchés par la communauté de communes Alsace Rhin Brisach. En prévision des vacances d'été qui approchent à grand pas, la collectivité est toujours à la recherche de deux maîtres nageurs sauveteurs pour compléter l'équipe de la piscine Sirénia à Vogelgrun au mois d'août. Pour retrouver toutes les informations, direction le site cc-alsacerhinbrisach.frFaits divers à Bischwiller. La semaine dernière, un piéton avait été blessé par un automobiliste âgé de 21 ans. Les premiers éléments de l'enquête ont permis d'établir que l'accident était volontaire. Le piéton s'en était sorti que très légèrement blessé grâce à l'intervention du passager avant qui avait donné un coup de volant. Le parquet de Strasbourg avait ouvert une information judiciaire à l'encontre du conducteur pour tentative de meurte et blessures involontaires. Ce dernier, déjà connu des services de polices pour des délits routiers dont un refus d'obtempérer aggravé, a été placé en détention provisoire.A Sélestat, dans la nuit du jeudi 8 au vendredi 9 mai, 2 individus avaient été interpellés au niveau d'un salon de coiffure de la rue du 17 Novembre. L'un a reconnu avoir participé au vol avec effraction du commerce, où un téléphone et un peu plus de 300€ auraient été dérobés. Son ami a reconnu partiellement les faits, notamment deux tentatives de vol avenue Louis-Pasteur dans le quartier du Heyden. Ils ont respectivement été condamnés en début de semaine à 6 et 15 mois de prison à purger immédiatement. Tous deux ont écopé d'une interdiction définitive du territoire français.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.

Il racontera son expérience de ministre, dans une pièce qu'il a co-écrite

Il racontera son expérience de ministre, dans une pièce qu'il a co-écrite

Après les Législatives, Emmanuel Macron s'adresse pour la première fois aux français via une lettre publiée dans la presse régionale. Il y rappelle que personne n'a remporté le scrutin, que la nomination d'un nouveau Premier ministre n'est pour le moment pas au programme mais il demande aux forces politiques "républicaines" de "bâtir une majorité solide". Eric Dupont-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice répond aux questions d'Olivier Bost. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Bost du 11 juillet 2024.

Après les Législatives, Emmanuel Macron s'adresse pour la première fois aux français via une lettre publiée dans la presse régionale. Il y rappelle que personne n'a remporté le scrutin, que la nomination d'un nouveau Premier ministre n'est pour le moment pas au programme mais il demande aux forces politiques "républicaines" de "bâtir une majorité solide". Eric Dupont-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice répond aux questions d'Olivier Bost. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Bost du 11 juillet 2024.

Eric Dupont Moretti semble absolument marquer de son sceau les   élections européennes en participant à pas moins de 20 meetings un peu partout en France Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Eric Dupont Moretti ce matin sur RTL est revenu sur les nombres mesures annoncées hier par Gabriel Attal pour juguler la violence qui s'invite trop souvent à l'école. Les syndicats du milieu enseignant ne sont pas convaincus par ces premières pistes. Sophie Vénétitay, secrétaire générale adjointe du SNES FSU est l'invitée de RTL Midi. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Céline Landreau du 19 avril 2024

Eric Dupont Moretti ce matin sur RTL est revenu sur les nombres mesures annoncées hier par Gabriel Attal pour juguler la violence qui s'invite trop souvent à l'école. Les syndicats du milieu enseignant ne sont pas convaincus par ces premières pistes. Sophie Vénétitay, secrétaire générale adjointe du SNES FSU est l'invitée de RTL Midi. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Vincent Parizot et Céline Landreau du 19 avril 2024

Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.

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Chaque jour, retrouvez le journal de 8h pour faire le tour de l'actu.

Les relaxes de François Bayrou, Eric Dupont-Moretti et d'Olivier Dussopt: qu'est ce que cela dit de notre démocratie et de l'exercice du pouvoir ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.

Une nomination surprise. Le mardi 9 janvier, le choix d'Emmanuel Macron s'est arrêté sur Gabriel Attal, un fidèle de la première heure du président, pour succéder à Elisabeth Borne au poste de Premier ministre. À 34 ans, le natif des Hauts-de-Seine devient le plus jeune locataire de Matignon de la Ve République, après un passage éclair et remarqué à l'Education nationale.Sa tâche est considérable : relancer le second quinquennat du chef de l'Etat, en pleine crise après l'adoption de la loi immigration en décembre et à quelques mois des élections européennes. Pour cela, le Premier ministre s'est entouré d'un gouvernement composé des poids lourds de l'exécutif (Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Eric Dupont-Moretti) mais aussi de personnalités issues des rangs de la droite comme l'ancienne ministre sarkozyste Rachida Dati, nommée à la Culture. Code source revient sur les raisons de cette promotion avec Valérie Hacot, cheffe adjointe du service politique du Parisien, et Olivier Beaumont, journaliste en charge du suivi de l'exécutif.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : BFMTV, TF1, France Inter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

durée : 02:58:30 - Le 7/10 - Les invités de la matinale du jeudi 13 décembre sont : Bernard-Henri Lévy, Eric Dupont-Moretti, Laure Heinich x Marie Dosé, Kaaris, et Kàroly Fogarassy.

Il y a quelques années, Roselyne Bachelot et Eric Dupont-Moretti créaient le "Prix Goncourt des prisonniers". De quoi étonner Adil Rami, qui commence même à se poser quelques questions... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.

Toute l'actualité de la journée et de la semaine analysée et remise en perspective par Pierre de Vilno, les journalistes de la rédaction d'Europe 1, mais aussi les invités.

L'ancien secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger est mort. Ouverture de la COP 28 à DubaÏ. En France, Eric Dupont-Moretti reconnu non coupable de prise illégale d'intérêts.

“On commence avec la relaxe pour le Garde des Sceaux Eric Dupont Moretti déclaré non coupable de prise illégale d'intérêt par la Cours de Justice de la République…”

Humour, blagues, parodie de chansons et actualité : l'actu du 30 nov. 2023 vue par l'imitateur Rémi Marceau

L'ancien secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger est mort. Ouverture de la COP 28 à DubaÏ. En France, Eric Dupont-Moretti reconnu non coupable de prise illégale d'intérêts.

Humour, blagues, parodie de chansons et actualité : l'actu du 30 nov. 2023 vue par l'imitateur Rémi Marceau

“On commence avec la relaxe pour le Garde des Sceaux Eric Dupont Moretti déclaré non coupable de prise illégale d'intérêt par la Cours de Justice de la République…”

Anthony Albanese adresse des excuses officielles aux victimes du Thalidomide. En Inde, les 41 ouvriers coincés depuis 17 jours dans un tunnel éboulé ont été libérés. En France, la Cour de Justice de la République doit rendre son verdict concernant Eric Dupont-Moretti.

Anthony Albanese adresse des excuses officielles aux victimes du Thalidomide. En Inde, les 41 ouvriers coincés depuis 17 jours dans un tunnel éboulé ont été libérés. En France, la Cour de Justice de la République doit rendre son verdict concernant Eric Dupont-Moretti.

En France, c'est un procès historique qui touche à sa fin. Le Ministre de la Justice Eric Dupont-Moretti a été relaxé par la Cour de Justice de la République. Il faut attendre un éventuel pourvoi en cassation avant de clore cette affaire mais c'est déjà une première victoire pour le Garde des Sceaux….qui aurait démissionné s'il avait été condamné. On a appelé Joëlle Meskens, notre envoyée permanente à Paris pour voir avec elle ce qui restera de ce procès.

Bienvenue dans "Juriste Vulgaire", le podcast qui démystifie le droit avec humour et vulgarisation !  Avant tout chose, vous pouvez vous abonner à la newsletter du podcast pour ne manquer aucun épisode ! Je suis Thomas Lubert, je suis juriste et je suis prêt à vous guider à traversles notions juridiques en France ! Depuis lundi, le procès du garde des sceaux, Eric DUPONT-MORETTI pour prise illégale d'intérêt s'est ouvert devant la Cour de justice de la République. Dans cette épisode nous verrons le fonctionnement de cette juridiction d'exception française. Ne manquez pas ce nouvel épisode de "Juriste Vulgaire"  ! Restez à l'écoute pour d'autres épisodes passionnants, où nous aborderons différents sujets juridiques avec un langage simple et accessible à tous.  N'oubliez pas de vous abonner au podcast et de nous laisser des commentaires pour nous faire part de vos suggestions et questions.  N'hésitez pas à prendre contact avec moi. N'hésitez  pas à me suivre sur Linkedin ! Pour me contacter: lubert.projets@gmail.com  

Eric DUPONT-MORETTI, un ministre de la justice en exercice qui se rend à son propre procès… Une image surréaliste dont nous allons débattre ce soir avec nos invités… Faut-il y voir une illustration de plus d'une classe politique gangrenée par la corruption et les conflits d'intérêts ? Ou un procès politique mené par un “gouvernement des juges” qui voudrait la peau du ministre de la justice ? On en débat avec : Jean-Pierre MIGNARD, Avocat au barreau de Paris, maître de conférences à Sciences-Po, docteur en droit à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne, ancien membre du PS, auteur de « Lettre aux jeunes avocats » aux éditions (05/10/2023) Fabrice ARFI, Journaliste, co-responsable du pôle "enquêtes" de Mediapart, auteur de « Pas tirés d'affaires » aux éditions du Seuil (14/10/22) Denis SALAS, Magistrat, essayiste, président de l'Association française pour l'histoire de la justice, directeur de la revue « Les Cahiers de la Justice » Cécile BARGUES, Professeure agrégée de droit public à l'Université Paris II Panthéon-Assas, autrice de « Juger les politiques ? La Cour de justice de la République » aux éditions Dalloz (2017) Violette SPILLEBOUT, Députée Renaissance du Nord, porte-parole du groupe à l'Assemblée nationale

L'actualité du 7 nov. 2023 revue par l'imitateur Rémi Marceau

“ Depuis hier se tient à la cours de justice de Paris, le procès du ministre de la justice Eric Dupont Moretti accusé de conflit d'intérêt, c'est une première pour un ministre de la justice…”

“ Depuis hier se tient à la cours de justice de Paris, le procès du ministre de la justice Eric Dupont Moretti accusé de conflit d'intérêt, c'est une première pour un ministre de la justice…”

L'actualité du 7 nov. 2023 revue par l'imitateur Rémi Marceau

« Eric Dupont-Moretti va être jugé par des gens qui sont tous en conflit d'intérêts, c'est quand même extraordinaire » Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.

O ministro da Justiça francês, Eric Dupont-Moretti, começa hoje a ser julgado num caso de conflito de interesses, sendo a primeira vez que um ministro em França comparece em tribunal estando ainda em funções. O advogado Jorge Mendes teme que este julgamento não faça bem à imagem da Justiça em França devido a conflitos políticos. Pela primeira vez em França, um ministro da Justiça é julgado enquanto está em funções, recebendo o apoio total do Presidente da República, Emmanuel Macron, e da primeira-ministra, Elisabeth Borne. Eric Dupont-Moretti comparece hoje e até 16 de Novembro perante o Tribunal de Justiça da República, um órgão especial que julga membros e ex-membros do Governo, e é acusado de conflito de interesses no quadro das suas funções.Jorge Mendes, advogado em Marselha, explica-nos este caso e as suas implicações, temendo que a credibilidade da Justiça francesa seja posta em causa pelo "circo" político à volta deste caso."O que mais me faz medo é que isto seja um grande processo político do próprio sistema judicial. Vamos ver os deputados a falar, o ministro vai criticar os deputados que são políticos e isto não vai fazer bem à imagem da Justiça em França. Dupont-Moretti nunca deveria ser julgado por políticos. A Justiça é uma coisa séria e temos direito a um juíz independente e isto pode abrir uma grande crise em França com este confronto entre a Justiça e a política. Eu não acredito que os deputados vão conseguir ultrapassar a sua posição política, com extrema-direita e extrema-esquerda [...] e vai ser um circo muito grave para Justiça", indicou o advogado francês de origem portuguesa em entrevista à RFI.Dupont-Moretti é acusado de investigar juízes como ministro que encontrou quando era advogado de defesa de personalidades como o antigo Presidente da Repúblico Nicolas Sarkozy. Com mais de 36 anos de carreira, o actual ministro da Justiça francês tornou-se um dos maiores advogados criminais em França, não fugindo nem dos holofotes nem de casos complexos, sendo conhecido pela sua franqueza."Ele foi um grande advogado de defesa e foi mesmo contra o sistema judiciário e contra os juízes. Ele é conhecido como tendo uma grande personalidade e sempre falou contra os juízes e, neste caso, ele nem comparece bem perante juízes, mas sobretudo perante parlamentares, deputados e senadores, que constituem o Tribunal de Justiça da República", explicou Jorge Mendes.O Tribunal de Justiça da República é um órgão especial para julgar ministros e ex-ministros por alegados crimes cometidos em funções é composto por três juízes e doze parlamentares, deputados e senadores, vindos dos mais diferentes quadrantes políticos. Este não é um órgão consensual, tendo já havido tentativas de reformas deste sistema, com muitos críticos a considerarem que as penas atribuídas aos ex-governantes são demasiados leves.A decisão do tribunal vai ser conhecida daqui a três meses e quer no período de audiências, quer no período de espera até à decisão, Dupont-Moretti continua em funções. Caso seja considerado culpado, o actual ministro da Justiça pode ainda manter-se m funções, segundo Jorge Mendes, interpondo um recurso. 

Au sommaire : les fausses alertes à la bombe se multiplient ces derniers jours, ce matin sur RTL, Eric Dupont-Moretti a déclaré ce matin sur RTL que les parents "sont civilement responsables ". Vos réactions. Inondations dans les Alpes Maritimes, témoignage d'une auditrice sur place. Le gouvernement a la rescousse des commerces dans les villages. Et enfin, le 24e album des Rolling Stones. Avec en studio Eric Jean-Jean. Et toujours des auditeurs fans des papys rockeurs !

“ Le Garde des sceaux, Eric Dupont Moretti a averti que «les petits guignols» auteurs de fausses alertes ces derniers jours, seraient «retrouvés» et «punis».…”

Du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le MORNING DU RIRE avec BRUNO ROBLÈS

Du lundi au vendredi à 7h30, 8h30 et 9h30 dans le MORNING DU RIRE avec BRUNO ROBLÈS

“ Le Garde des sceaux, Eric Dupont Moretti a averti que «les petits guignols» auteurs de fausses alertes ces derniers jours, seraient «retrouvés» et «punis».…”

O presidente francês, Emmanuel Macron, não tem conseguido conter a insatisfação da população com a controversa reforma da Previdência. Com a continuação dos protestos em todo o país, o governo vem apelando a medidas consideradas autoritárias e que suscitam a preocupação da opinião pública. Daniella Franco, da RFIProibição de protestos e de materiais que façam barulho durante as manifestações, detenções preventivas, mobilização cada vez maior de policiais: o governo francês recorre a métodos cada vez mais repressivos para lidar com a crise social. Paralelamente, o desgosto da população com a atitude do Executivo não dá sinais de diminuir.No último 1° de Maio, a França foi palco de uma participação recorde nos atos no Dia do Trabalhador, com 2,3 milhões de pessoas nas ruas, segundo as centrais sindicais (782 mil segundo a polícia). Em comparação a 2022, o número de manifestantes foi sete vezes maior. Lei contra vândalosImpassível diante da mobilização, o governo opta por adotar o discurso do aumento da violência contra policiais durante os protestos para justificar iniciativas como a criação de uma lei “antibaderneiros”. O projeto vem sendo discutido entre o ministro da Justiça, Eric Dupont-Moretti, e o ministro do Interior, Gérald Darmanin. O objetivo é proibir a participação de manifestantes violentos nos protestos, uma iniciativa que preocupa especialistas. Em entrevista ao jornal La Croix, o jurista Nicolas Hervieu lembra que a França já conta com um rígido arsenal jurídico para repreender vândalos. Desde 2012, cerca de 20 leis de segurança foram adotadas. Já o advogado Arié Alimi aponta para a existência de uma “inflação legislativa repressiva às manifestaçõoes”. Em 2019, durante a crise dos coletes amarelos, um projeto de lei similar foi invalidado pelo Conselho Constitucional – a mais alta jurisdição da França – e nunca entrou em vigor. O texto foi considerado “um ataque ao direito de expressão coletivo de ideias e opiniões, que é garantido pela Declaração dos Direitos Humanos, criada em 1789 na França. O temor é que, adotando uma nova lei com a justificativa de impedir pessoas violentas a manifestarem, a liberdade de expressão seja ela própria desrespeitada. Opositores dizem que esse é mais um passo do governo para tentar reprimir uma revolta popular que persiste desde janeiro. Detenções arbitráriasA quantidade de pessoas detidas preventivamente nos atos contra a reforma da Previdência continua sendo alta. Nos protestos de 23 de março, que tiveram participação recorde, 457 pessoas foram presas em toda a França. Nas manifestações do 1° de maio, houve 540 detenções.Na quarta-feira (3) foi divulgado um relatório da Controladoria Geral de Locais de Privação de Liberdade, um órgão independente, denunciando uma série de irregularidades durante as operações policiais nas manifestações. Além de detenções arbitrárias, o documento também aponta para abordagens violentas, permanência de manifestantes nas delegacias sem nenhuma justificativa, selas precárias, suspeitos sendo revistados despidos, entre vários outros descumprimentosde protocolos. A autora do relatório, Dominique Simonnot, junto com equipes que ajudaram na elaboração dele, divulgaram os resultados do balanço depois de acompanharem o trabalho da polícia em nove delegacias de Paris. A conclusão é de uma instrumentalização geral das medidas de detenção preventiva. O documento também afirma que 80% das pessoas detidas durante as manifestações foram libertadas horas ou dias depois sem nenhuma justificativa ou acusação.O relatório é divulgado na mesma semana em que a Organização das Nações Unidas acusou a França de ataques a imigrantes, discriminação racial e violência policial durante manifestações. Várias delegações fizeram duras críticas ao governo francês, como a Suécia, a Noruega e a Dinamarca. A delegação de Liechtenstein pediu uma investigação independente sobre os excessos das forças de segurança e a de Luxemburgo solicitou que a França "repensasse sua política em termos de manutenção da ordem”. Ultragem e insulto ao presidenteNa quinta-feira (4), o jornal Libération revelou uma série de decisões arbitrárias contra cidadãos que se posicionam contra o governo. É o caso de um homem de 77 anos, da região do Eure, no norte da França, que foi processado por ter colocado em frente de casa um cartaz com uma mensagem “Macron, a gente te manda à merda”. Segundo a polícia local, o idoso só não foi detido devido à idade avançada. No entanto, foi condenado a fazer um estágio sobre cidadania. Outro caso polêmico diz respeito a um professor em Nice, no sul da França, que foi detido para interrogatório no final de março após ter colocadoum espantalho com a cara do Macron nos trilhos de uma estação de trem durante uma manifestação. O homem foi ouvido pela polícia durante oito horas por “ultragem à autoridade política” e “provocação pública”.Na região de Pas de Calais, no norte da França, uma mulher também foi detida para interrogatório após ter chamado Macron de “lixo” no Facebook. Segundo as autoridades locais a medida foi tomada depois da descoberta de uma pixação da mesma palavra em um depósito de dejetos perto de sua casa. Ela será julgada em junho por “ultragem” e “insulto” contra o presidente.

Hier soir, Roselyne Bachelot a dîné avec Jean Castex chez Eric Dupont-Moretti. De quoi intriguer les Grosses Têtes qui avaient quelques questions à poser à l'ancienne ministre. Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg

durée : 00:05:13 - Le journal de presque 17h17 - Le Sénat a adopté l'article 7 du projet de loi sur les retraites, Mardi, Eric Dupont-Moretti a fait trois bras d'honneur dans l'hémicycle de l'Assemblée Nationale, Eric Ciotti le Président des Républicains a déclaré à la presse : “Le féminisme est d'abord de droite" c'est l'actu du jour !

durée : 00:04:09 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le garde des Sceaux, Eric Dupont-Moretti vient d'annoncer des investissements massifs dans le secteur de la justice, en miettes. Des centaines de nouveaux juges vont être formés.

durée : 00:05:11 - L'invité de la rédaction de France Bleu Drôme Ardèche - Plus de moyens pour la justice. Eric Dupont Moretti le garde des sceaux a annoncé hier l'embauche de 10 000 fonctionnaires d'ici 2027, dont 1.500 magistrats et autant de greffiers.

durée : 01:45:47 - Les Matins - par : Guillaume Erner - À l'occasion de la Journée spéciale prisons, les Matins accueille le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti. En première partie, l'avocate Sylvie Topaloff reviendra quant à elle sur les procès des attentats de Paris de novembre 2015 et du 14 juillet 20216 à Nice. - invités : Éric Dupond-Moretti Garde des Sceaux, ministre de la Justice

Un ministre de la Justice… bientôt jugé. Le 3 octobre, la cour de justice de la République (CJR) a ordonné un procès contre Eric Dupont-Moretti pour «prise illégale d'intérêt». Une première dans l'histoire de la Ve République.Pour bien comprendre les ennuis judiciaires de l'actuel garde des Sceaux, il faut remonter à son ancienne vie d'avocat. Le célèbre pénaliste avait eu maille à partir avec plusieurs magistrats, notamment ceux qui ont analysé à son insu ses relevés téléphoniques dans l'enquête sur l'affaire des écoutes, visant l'ancien président Nicolas Sarkozy et son avocat.Eric Dupont-Moretti est accusé d'avoir voulu profiter de sa nouvelle fonction de ministre pour régler ses comptes avec ces magistrats, en diligentant des enquêtes administratives contre eux. Déjà très impopulaire auprès des juges, le ministre fait face à de nombreux appels à démissionner, mais il est soutenu par le président de la République. Code source remonte le fil des accusations qui pèsent sur le garde des Sceaux avec Timothée Boutry, journaliste au service police-justice du Parisien.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Thibault Lambert et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network, Epidemic Sound - Identité graphique : Upian - Archives : BFMTV, France Inter, France 3. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Élisabeth Borne est en déplacement en Algérie, tout juste un mois après la visite d'Emmanuel Macron. Le but est de consolider le rapprochement Paris - Alger après plusieurs années de gel diplomatique. Pour son 1er déplacement à l'étranger, la 1ʳᵉ ministre n'a pas fait les choses à moitié. Dans son sillage, elle a amené la moitié du gouvernement. Au total, quinze ministres et une poignée de chefs d'entreprise étaient sur le tapis rouge, dont Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Eric Dupont-Moretti, pour ne citer que les plus connus. Du jamais-vu pour une visite officielle en Algérie.

Élisabeth Borne est en déplacement en Algérie, tout juste un mois après la visite d'Emmanuel Macron. Le but est de consolider le rapprochement Paris - Alger après plusieurs années de gel diplomatique. Pour son 1er déplacement à l'étranger, la 1ʳᵉ ministre n'a pas fait les choses à moitié. Dans son sillage, elle a amené la moitié du gouvernement. Au total, quinze ministres et une poignée de chefs d'entreprise étaient sur le tapis rouge, dont Bruno Le Maire, Gérald Darmanin, Eric Dupont-Moretti, pour ne citer que les plus connus. Du jamais-vu pour une visite officielle en Algérie.

Va-t-on avoir un gouvernement Macron avec une assemblée majoritairement à (l'extrème-)droite ? Qui a fait exploser le pont ? Eric Dupont Moretti embarrasse-t-il le gouvernement ? Et il n'y plus d'essence ?? Quelle semaine...

Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat et sénateur de la Vendée, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des affaires Eric Dupont Moretti et Alexis Kohler, de la réforme des retraites, de la sobriété énergétique et de l'assurance-chômage.

Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat et sénateur de la Vendée, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des affaires Eric Dupont Moretti et Alexis Kohler, de la réforme des retraites, de la sobriété énergétique et de l'assurance-chômage.

Hier, relate Sud-Ouest, « les Français ont appris que le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti était renvoyé devant la Cour de justice de la République, puisque le très fidèle et irremplaçable bras droit du chef de l'État, Alexis Kohler, avait été mis en examen la semaine dernière, lui aussi pour prise illégale d'intérêts. Deux premières d'un coup. »  Finalement, pour ce qui concerne le garde des Sceaux, « pas de surprise, relève Libération, mais toujours une forme d'incompréhension et même de l'inquiétude. Le renvoi d'Éric Dupond-Moretti devant la Cour de justice de la République était attendu. Son pourvoi en cassation l'était tout autant. Comme la confirmation du côté de l'Élysée que la jurisprudence qui a longtemps voulu qu'un ministre mis en examen quitte ses fonctions appartient bel et bien au passé. Pas de surprises, donc, mais à l'arrivée une situation inédite, s'exclame Libération : jamais un ministre de la Justice n'avait fait l'objet d'un renvoi devant la CJR. Avouez que c'est plus que baroque, pointe encore le journal, et assez peu en phase avec le concept de sérénité qu'on accole normalement à l'idée de justice et à ceux qui la représentent. C'est d'ailleurs le vrai problème de cette histoire et l'objet de l'inquiétude de beaucoup. Le niveau de tensions et de défiance entre les magistrats, leur ministre et le pouvoir exécutif n'a jamais atteint un tel niveau. »  Vent mauvais ?  « République exemplaire : le serment d'hypocrites », dénonce pour sa part La Charente Libre. « C'est l'histoire d'un ministre de la Justice et d'un vice-président. Ils devaient régner sur une République exemplaire promise par leur patron. Ce lundi, la République exemplaire annoncée en 2017 s'effrite tel un bloc submergé par les vents mauvais, marées judiciaires et rafales de mises en examen. (…) On ne mesure pas l'effet de ce poison lent qui gangrène notre démocratie, fulmine encore La Charente Libre, avec l'appui assumé d'Emmanuel Macron. À son arrivée en 2017, les mis en examen devaient renoncer à leur poste au sein de l'exécutif. (…) À partir de 2021, changement de pied du Président : quand la justice s'intéresse de trop près à ses proches, c'est parce qu'elle veut s'attaquer à lui à travers eux. »   Alors, attention, prévient le quotidien charentais, « à force de présenter la justice comme un adversaire et non un pilier de la République, pourquoi les Français ne reprendraient pas l'exemple d'en haut pour suivre les politiques les plus extrêmes qui font d'autres piliers républicains des dangers, à commencer par l'État de droit ? »  Prendre ses distances avec le travail : un luxe ?  À la Une du Figaro, ce constat : « les Français et le travail : le grand bouleversement » « Quête de sens, rejet de la hiérarchie, volonté de privilégier sa vie personnelle… Depuis le début de la crise sanitaire et l'émergence du télétravail, un salarié sur trois, selon une enquête Ipsos, a changé son plan de carrière. Et un salarié sur quatre, révèle un autre sondage, envisage de démissionner prochainement. »  C'est vrai, reconnait Le Figaro, « la valeur travail, que Macron et la droite veulent réhabiliter, n'a plus la cote. Elle la retrouvera d'autant moins, commente le journal, que gauche et syndicats réunis, qui la défendaient bec et ongles, y sont désormais quasiment tous foncièrement hostiles, lui préférant le droit à la paresse. »  Et Le Figaro de prévenir : « il faut tout le confort de notre société d'abondance et de notre modèle social sans équivalent pour s'autoriser cette prise de distance avec l'effort et les contraintes professionnelles. Mais la France et l'Occident ne sont pas seuls au monde. Ailleurs, d'autres n'ont pas ce luxe. Sans états d'âme, ils accélèrent et nous défient. Il faudra bien se réveiller avant qu'il soit trop tard. »  Brésil : le populisme a de beaux jours devant lui…  Enfin, la présidentielle au Brésil, avec finalement un second tour entre Lula et Bolsonaro… « Le populisme a de beaux jours devant lui, relève La Croix. Coriace, il engage ceux qui le combattent dans une guerre totale et asymétrique. Comme Donald Trump, Jair Bolsonaro ne recule devant aucun bobard, aucune foucade, il joue sans vergogne des failles du système informationnel pour installer ses supporteurs dans des réalités parallèles, où l'Amazonie ne brûle pas, où le climat ne se réchauffe pas, où le Covid ne tue pas. Où les élections perdues sont gagnées. Cela fonctionne auprès d'une part importante de la population brésilienne. Ce qui n'augure rien de bon, conclut La Croix, pour le lendemain du second tour, quel qu'en soit le résultat. » 

durée : 00:05:23 - Le journal de presque 17h17 - Emmanuel Macron promet de travailler à de « nouvelles sanctions » contre la Russie, au Brésil, Lula devance de peu Jaïr Bolsonaro, et la cour de Justice de la République qui ordonne un procès contre Eric Dupont Moretti pour soupçons de conflit d'intérêt, c'est l'actu du jour !

durée : 00:05:23 - Le journal de presque 17h17 - Emmanuel Macron promet de travailler à de « nouvelles sanctions » contre la Russie, au Brésil, Lula devance de peu Jaïr Bolsonaro, et la cour de Justice de la République qui ordonne un procès contre Eric Dupont Moretti pour soupçons de conflit d'intérêt, c'est l'actu du jour !

durée : 00:05:23 - Le journal de presque 17h17 - par : Charline Vanhoenacker, Alex Vizorek - Emmanuel Macron promet de travailler à de « nouvelles sanctions » contre la Russie, au Brésil, Lula devance de peu Jaïr Bolsonaro, et la cour de Justice de la République qui ordonne un procès contre Eric Dupont Moretti pour soupçons de conflit d'intérêt, c'est l'actu du jour !

Retrouvez l'actualité et les débats de nos Vraies Voix, Philippe Bilger, Luc Gras et Nicolas Corato

Question posée dans cette émission : l'affaire Julien BAYOU menace-t-elle notre état de droit et notre socle démocratique, comme l'ont affirmé en 48 heures, l'avocate du député écolo et le ministre de la Justice, Eric DUPONT MORETTI ? En portant des accusations sur un plateau de télévision, Sandrine ROUSSEAU a-t-elle desservi la cause qu'elle défend depuis des années ? Est-ce le début d'un retour en arrière fatal au mouvement #Metoo ? On en débat avec : Hervé TEMIME, Avocat, il a défendu des personnalités accusées de violences sexuelles, (Roman Polanski, Gérard Depardieu) Élodie Tuaillon-Hibon est l'avocate de l'ex-compagne de Julien BAYOU Saskia HENNINGER a co-signé la tribune « L'amalgame entre violences sexuelles et comportements sexistes est dangereux et juridiquement inexact » Raphaëlle REMY-LELEU, Militante féministe, conseillère EELV de Paris Laurence ROSSIGNOL, Sénatrice PS, vice-présidente du Sénat, ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes (2016-2017) elle dit : « attention, la lutte contre les violences faites aux femmes, ce n'est pas “le ball trap politique” »

Fredéric Haziza reçoit Eric Dupont-Moretti, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice.

El presidente francés cuenta con 250 diputados. Está a 39 de la mayoría absoluta por lo que tendrá que buscar el apoyo de la oposición para poder aprobar las leyes. Con 89 diputados, el principal partido opositor es el de Le Pen. “Todo nos opone a ellos, no va a haber ningún tipo de alianza, después obviamente si los diputados de extrema derecha quieren votar propuestas que hagamos, son libres de hacerlo”, afirma Barbara Granatelli, responable del partido de Macron en el distrito 15 de París. Emmanuel Macron fue reelegido el pasado 24 de abril para un segundo mandato de cinco años. Pero este segundo quinquenio va a ser mucho más complicado puesto que ningún partido de oposición aceptó formar parte de un gobierno de coalición para garantizar la estabilidad del ejecutivo y asegurarse los votos necesarios en la Asamblea Nacional francesa para apoyar las leyes. De los 577 diputados, los tres grupos de la alianza de Macron ¡Juntos! tienen 250 escaños, la extrema derecha de Marine Le Pen suma 89, la alianza NUPES compuesta por cuatro partidos de izquierdas y ecologistas tienen 131 (con grupos parlamentarios independiente) y los conservadores obtuvieron 62 legisladores. Un hemiciclo más fragmentado que nunca con el que el ejecutivo tendrá que componer y buscar puntualmente apoyos para poder convertir sus proyectos en leyes. “Esos votos se van a tener que ir a buscar, no necesariamente todos juntos a un mismo partido, sino ir diputado por diputado, ver quiénes son los que quieren contribuir a que Francia avance”, explica la franco-argentina Granatelli, quien está en el partido de Macron desde su creación en 2017. Estos últimos días ha habido miembros del gobierno con comentarios un tanto ambiguos, incluso algunos bastante directos, que normalizan el partido de extrema derecha de Marine Le Pen. El ministro de Justicia, Eric-Dupont Moretti, evocaba en una entrevista la posibilidad de avanzar con la extrema derecha. “Cuando necesitamos una mayoría y si es bueno para los franceses, iremos a buscar esos votos”, dijo por su parte la diputada macronista Céline Calvez. “No hay ningún tipo de alianza con la extrema derecha”, aclara la responsable del partido de Macron en el distrito 15 de París. “No hay ningún valor que nos una, creo que lo hemos visto a lo largo de estos cinco años, todo nos opone a la extrema derecha. Después obviamente si los diputados de extrema derecha quieren votar propuestas que hagamos, libre cada uno de votar lo que quiera”, añade Bárbara Granatelli. Sobre la mesa, Macron tiene dos leyes primordiales. Una es la espinosa reforma de las jubilaciones con la que quiere retrasar la edad de la jubilación de los 62 a los 65 años y la otra que va a empezar a debatirse en los próximos días, la del poder adquisitivo. Granatelli defiende las dos y cree que podrán encontrarse apoyos en la Asamblea para poder adoptarlas. Algunos partidos de oposición ya están pensando en presentar mociones de censura para poder forzar unas elecciones anticipadas. “Creo que la idea hoy en día no es disolver la Asamblea. Si vemos que efectivamente hay bloqueo puede que sea una opción, pero claramente no es la opción actual”, concluye Bárbara Granatelli. #EscalaenParís también está en Facebook. Un programa coordinado por Florencia Valdés, realizado por Fabien Mugneret, Thibault Baduel y Stéphane Defossez. 

El presidente francés cuenta con 250 diputados. Está a 39 de la mayoría absoluta por lo que tendrá que buscar el apoyo de la oposición para poder aprobar las leyes. Con 89 diputados, el principal partido opositor es el de Le Pen. “Todo nos opone a ellos, no va a haber ningún tipo de alianza, después obviamente si los diputados de extrema derecha quieren votar propuestas que hagamos, son libres de hacerlo”, afirma Barbara Granatelli, responable del partido de Macron en el distrito 15 de París. Emmanuel Macron fue reelegido el pasado 24 de abril para un segundo mandato de cinco años. Pero este segundo quinquenio va a ser mucho más complicado puesto que ningún partido de oposición aceptó formar parte de un gobierno de coalición para garantizar la estabilidad del ejecutivo y asegurarse los votos necesarios en la Asamblea Nacional francesa para apoyar las leyes. De los 577 diputados, los tres grupos de la alianza de Macron ¡Juntos! tienen 250 escaños, la extrema derecha de Marine Le Pen suma 89, la alianza NUPES compuesta por cuatro partidos de izquierdas y ecologistas tienen 131 (con grupos parlamentarios independiente) y los conservadores obtuvieron 62 legisladores. Un hemiciclo más fragmentado que nunca con el que el ejecutivo tendrá que componer y buscar puntualmente apoyos para poder convertir sus proyectos en leyes. “Esos votos se van a tener que ir a buscar, no necesariamente todos juntos a un mismo partido, sino ir diputado por diputado, ver quiénes son los que quieren contribuir a que Francia avance”, explica la franco-argentina Granatelli, quien está en el partido de Macron desde su creación en 2017. Estos últimos días ha habido miembros del gobierno con comentarios un tanto ambiguos, incluso algunos bastante directos, que normalizan el partido de extrema derecha de Marine Le Pen. El ministro de Justicia, Eric-Dupont Moretti, evocaba en una entrevista la posibilidad de avanzar con la extrema derecha. “Cuando necesitamos una mayoría y si es bueno para los franceses, iremos a buscar esos votos”, dijo por su parte la diputada macronista Céline Calvez. “No hay ningún tipo de alianza con la extrema derecha”, aclara la responsable del partido de Macron en el distrito 15 de París. “No hay ningún valor que nos una, creo que lo hemos visto a lo largo de estos cinco años, todo nos opone a la extrema derecha. Después obviamente si los diputados de extrema derecha quieren votar propuestas que hagamos, libre cada uno de votar lo que quiera”, añade Bárbara Granatelli. Sobre la mesa, Macron tiene dos leyes primordiales. Una es la espinosa reforma de las jubilaciones con la que quiere retrasar la edad de la jubilación de los 62 a los 65 años y la otra que va a empezar a debatirse en los próximos días, la del poder adquisitivo. Granatelli defiende las dos y cree que podrán encontrarse apoyos en la Asamblea para poder adoptarlas. Algunos partidos de oposición ya están pensando en presentar mociones de censura para poder forzar unas elecciones anticipadas. “Creo que la idea hoy en día no es disolver la Asamblea. Si vemos que efectivamente hay bloqueo puede que sea una opción, pero claramente no es la opción actual”, concluye Bárbara Granatelli. #EscalaenParís también está en Facebook. Un programa coordinado por Florencia Valdés, realizado por Fabien Mugneret, Thibault Baduel y Stéphane Defossez. 

Macron 2 : nouvelle équipe... nouveaux défis LES INVITÉ.ES : - Bruno JEUDY - Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match » - Nathalie MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale « Ebra » - Fanny GUINOCHET - Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune » - Spécialiste des questions économiques et sociales - BERNARD SANANÈS - Politologue – Président de l'Institut de sondages Elabe Elle est enfin dévoilée. Près d'un mois après la réélection d'Emmanuel Macron, la nouvelle équipe gouvernementale a été annoncée hier après-midi sur le perron de l'Elysée par Alexis Kohler, secrétaire général du Palais. Une liste de 27 ministres et secrétaires d'Etat qui constituera donc le premier gouvernement d'Elisabeth Borne. Parmi les noms cités, plus de la moitié officiaient déjà sous Jean Castex, certains restant au même poste comme Bruno Le Maire à l'économie, Gérald Darmanin à l'Intérieur ou Eric Dupont-Moretti à la Justice. D'autres sont reconduits mais changent de portefeuille, comme Gabriel Attal qui passe de Porte-parole du gouvernement à Ministre du budget. Peu de surprises donc dans ce nouveau gouvernement qui a des airs de simple remaniement. Un nouvel entrant a cependant attiré l'attention : Pap Ndiaye, qui remplace Jean-Michel Blanquer au ministère de l'Education nationale. Cet historien des minorités et directeur du musée de l'Histoire de l'immigration de Paris est une prise importante pour Emmanuel Macron. Apprécié et salué à gauche pour son parcours et ses valeurs, il est l'antithèse parfaite de son prédécesseur. Mais Ndiaye est aussi décrié à l'extrême-droite, qualifié de « militant racialiste » hier par Jordan Bardella, patron du Rassemblement national. Elisabeth Borne, surnommée la « dame du faire », devra donc conduire cette nouvelle équipe pour mener à bien les réformes promises par le chef de l'Etat. Celle des retraites notamment, sans doute la plus périlleuse. Décrite comme à l'écoute, la nouvelle Première ministre s'était cependant montré intransigeante lors de son passage à la RATP comme aux ministères des Transports ou du Travail, négociant pied à pied avec les partenaires sociaux. L'écologie devrait aussi être au cœur de ses priorités. Elle sera entourée d'Amélie de Montchalain à la transition écologique et d'Agnès Pannier-Runacher à la transition énergétique. Sur le plan énergétique justement, le chef de l'Etat veut faire renaître le nucléaire français en voulant construire 14 réacteurs EPR. Mais ces réacteurs de nouvelle génération tardent à sortir de terre, les chantiers accumulant retards sur retards depuis des années. Il y a quelques jours encore, EDF a annoncé que son chantier à Hinkley Point, en Angleterre, accuserait un nouveau retard d'un an, engendrant des coûts supplémentaires d'au moins 3 milliards de livres. Alors, pourquoi Emmanuel Macron a-t-il choisi la continuité à la rupture ? Comment comprendre la nomination de Pap Ndiaye au ministère de l'Education nationale ? Elisabeth Borne sera-t-elle une redoutable cheffe de gouvernement ? Les projets d'EPR s'apparentent-ils à un interminable fiasco ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

MACRON 2 : LES RECONDUITS... ET LES SURPRISES ? – 20/05/22 Invités YVES THRÉARD Éditorialiste et directeur adjoint de la rédaction « Le Figaro » CAROLINE MICHEL-AGUIRRE Grand reporter au service politique « L'Obs » EVE ROGER Directrice adjointe de la rédaction « Le Parisien – Aujourd'hui en France » PASCAL PERRINEAU Politologue - Professeur des universités à Sciences Po Auteur de « Le populisme » Quatre jours après la nomination d'Élisabeth Borne à Matignon et presque un mois après la réélection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, la composition de la nouvelle équipe gouvernementale est annoncée ce vendredi après-midi depuis le perron de l'Elysée. Plusieurs membres du gouvernement sont reconduits. Ainsi Bruno Le Maire reste à l'Economie, Gérald Darmanin demeure Place Beauvau et Eric Dupont-Moretti place Vendôme. Sébastien Lecornu est promu ministre des Armées, Brigitte Bourguignon ministre de la Santé, Olivier Dussopt ministre du Travail, Olivia Grégoire devient porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal sera chargé des Comptes publics, Amélie de Montchalin de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher de la Transition énergétique et Marc Fesneau à l'Agriculture. Enfin d'autres font leur entrée : Stanislas Guerini récupère le ministère de la Fonction publique, l'ancienne ministre de Jacques Chirac Catherine Colonna le Quai d'Orsay, l'ex-président du groupe LR à l'Assemblée Damien Abad les Solidarités et l'historien Pap Ndiaye va remplacer Jean-Michel Blanquer à l'Education nationale. Le week-end sera donc rythmé par les passations de pouvoir dans les ministères, avant un premier Conseil des ministres prévu ce lundi. Le gouvernement sera alors soumis à un devoir de réserve le temps de la campagne électorale des législatives, et quelque part en période d'essai. Car pour rester après le 19 juin, il faudra pour chaque ministre sans doute gagner dans sa circonscription. Le début d'une campagne éclair voulue par l'exécutif alors qu'à gauche la Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) vient de dévoiler son « programme partagé » de gouvernement. Avec une ambition clairement affichée : convaincre pour imposer une cohabitation à Emmanuel Macron après avoir remporté une majorité à l'Assemblée nationale à l'issue des élections des 12 et 19 juin prochains. Pour cela, la Nupes a détaillé jeudi, quinze jours après sa naissance, un programme commun riche de 8 chapitres et 650 mesures, dont les plus emblématiques : salaire minimum à 1 500 euros net, nationalisation des aéroports, des autoroutes, d'EDF et d'Engie, retraite à 60 ans à taux plein avec 40 annuités de cotisation, passage aux 32 heures hebdomadaires pour les métiers pénibles, blocage des prix de produits de première nécessité, revalorisation des retraites, « en finir avec les pesticides », rétablir un ISF incluant un volet climatique, recruter 100.000 soignants pour l'hôpital public, avènement d'une VIe République, référendum d'initiative citoyenne… 33 « nuances » ou divergences qui subsistent sont également indiquées, notamment sur le nucléaire, l'Otan ou l'Europe. Pas de quoi néanmoins convaincre les opposants socialistes à l'alliance menée par LFI qui ont commencé à se structurer lors d'une première réunion de coordination. Objectif : accompagner les candidats PS qui entendent se présenter face à des candidats Nupes aux législatives, comme c'est le cas notamment dans l'Hérault. Chez LREM – ou plutôt Renaissance, le nouveau nom du parti – on connaît aussi quelques dissidences, même si la majorité présidentielle a réussi à dégoupiller les plus gros risques, grâce à l'accord avec Horizons, le parti d'Edouard Philippe, et le Modem. Quant à l'extrême droite, le Rassemblement national a décidé de présenter des candidats dans presque toutes les circonscriptions, sans accord avec le parti Reconquête d'Éric Zemmour qui est lui-même candidat dans le Var. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

La justice, c'est une administration à laquelle on a donné le nom d'une vertu. « Moi, je ne voudrais pas avoir à faire la justice ! » affirmait Eric Dupont Moretti dans une interview donnée à Paris Normandie en juin 2014. D'une certaine façon, le débat sur la place de la justice en France est un thème cyclique, récurrent. Que l'on pense à Montesquieu, à ses 3 pouvoirs, mais seulement 2 puissances (excluant ainsi la justice) ou plus proche de nous, que l'on pense à l'article de Arnaud LE PILLOUER, « ceci n'est pas un pouvoir ! ». Le débat autour de la place de l'autorité judiciaire en France demeure essentiel. Le présent podcast ne prétend pas évoquer tous les aspects de ce questionnement, simplement en présenter une synthèse, actualisée. En somme, il entend poser une question essentielle : la justice, à défaut d'être un pouvoir, est-elle un service public comme un autre ? Pour répondre à cette question, nous avons le plaisir de recevoir Grégory Portais, Professeur de droit public au sein de la Prépa ISP.

Jornada de vaga interprofessional avui. Les principals reivindicacions concerneixen l'augment dels salaris, la creació de més llocs de treball i la millora de les condicions de treball. Una manifestació sortirà a les 10h30 de plaça Catalunya a Perpinyà. El ministre de la justícia francès, Eric Dupont-Moretti serà de visita avui a Perpinyà. Vindrà per donar suport al diputat Romain Grau que va ser agredit per manifestants anti Pass Vaccinal, dissabte passat a la seua permanència de Perpinyà. La taxa d'incidència del virus continua augmentant i a Catalunya Nord estem a punt d'arribar als 3.000 casos positius per 100.000 habitants. Al Principat de Catalunya, a partir d'aquesta pròxima mitjanit, ja no caldrà presentar el pass sanitari per entrar en un bar, un restaurant o una sala d'esport. El Palau de les exposicions de Perpinyà acull avui la 36a edició del Fòrum dels estudis superiors i dels mesters.

2022, année présidentielle, avec une démocratie mise à l'épreuve par le Covid et par la déferlante Omicron, qui semble tester, plus que jamais, la cohésion de la société française… A moins de 100 jours du 1er tour, deux camps semblent s'affronter : “La démocratie ne fait plus rêver certains”, affirmait hier le garde des Sceaux, Eric DUPONT-MORETTI, en dénonçant les agressions et les menaces de mort contre les élus… De l'autre côté, certains opposants au passe vaccinal, qui est débattu depuis aujourd'hui à l'Assemblée, dénoncent un “péril collectif”, un état d'exception qui deviendrait la norme, et une trop grande verticalité du pouvoir… Comment réconcilier ces deux France ? Comment éradiquer la pandémie tout en maintenant un équilibre démocratique ? En 2022 comme en 2021, le débat est ouvert... Avec :

Animé par Frédéric Haziza. Invité : Eric Dupont-Moretti, Ministre de la Justice, Garde des Sceaux.

À quelques mois du premier tour de l'élection présidentielle 2022, Éric Dupond-Moretti, ministre de la Justice est l'invité de votre rendez-vous politique événementiel "Face à BFM" présenté par Maxime Switek. Quel bilan pour la majorité ? Où en sont les "Etats généraux de la Justice" souhaités par Emmanuel Macron ? Quelle réforme pour l'institution judiciaire ? Éric Dupond-Moretti est interrogé par : Maxime Switek, présentateur BFMTV; Apolline de Malherbe, présentatrice sur RMC; Bruce Toussaint, présentateur BFMTV ; Cécile Danré, grand reporter à du service police-justice de BFMTV et Roselyne Dubois, qui intervient pour relayer les réactions sur les réseaux sociaux.

Le conseil constitutionnel valide la loi Séparatisme / Anne Hidalgo peut-elle vraiment créer la surprise aux présidentielles de 2022 ? / Eric Dupont-Moretti a-t-il raison de se rendre aux obsèques du prêtre tué en Vendée ? / «Mettons un terme à l'aberration juridique qui a permis le meurtre du père Olivier Maire» - Tribune dans le Figaro / Le mouvement anti passe sanitaire / Un jeune sapeur-pompier sauve une vie grâce à l'application

durée : 00:02:29 - Histoires politiques - "En France, la Justice est souvent politisée", une phrase souvent entendue chez les partisans de Marine Le Pen, chez ceux de François Fillon pendant la Présidentielle, chez Jean-Luc Mélenchon pendant sa perquisition, et maintenant chez LREM avec la perquisition chez Eric Dupont-Moretti.

Dans "Anne Roumanoff, ça fait du bien", le journaliste et présentateur Christophe Hondelatte, revient sur son amitié avec l'avocat et actuel ministre de la justice, Eric Dupont-Moretti. Pour le journaliste, l'avocat est "un des meilleurs avocats de ces 50 dernières années".

Présenté par Frédéric Haziza. Invité : Eric Dupont-Moretti, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux.

durée : 00:02:58 - Le Billet de Nicole Ferroni - par : Nicole Ferroni - Ce matin, Nicole est inspirée par le ministre de l'intérieur, Gérald Darmanin, qui disait: «le problème de la police, c'est la faiblesse de moyens de la justice ».

Sujets traités :  - Jean Castex et Eric Dupont Moretti inaugurent le nouveau centre pénitentiaire de Lutterbach. Doté de 520 places, il doit être mis en service au mois d’octobre, en remplacement des deux établissements de Mulhouse et Colmar. Les élus LR d’Alsace ont profité de cette visite ministérielle pour remettre Emmanuel Macron face à ses promesses de campagne. Si en 2017, le candidat Macron annonçait la création de 15.000 places de prison pendant son quinquennat, 4 ans plus tard, seules 2.000 ont été livrées. “Il y a urgence”, soulignent les parlementaires LR d’Alsace. Urgence à bâtir davantage de places de prison dans le pays, alors que la densité carcérale globale atteint 106% au mois de mars et même 123% dans les seules maisons d’arrêt. Dans son discours, Jean Castex a assuré que 7.000 places sur 15.000 étaient déjà programmées. Les 8.000 restantes sont prêtes à sortir de terre. - Lors de son déplacement à Montpellier, lundi, Emmanuel Macron a confirmé le déploiement de 10.000 policiers et gendarmes supplémentaires sur la durée du quinquennat. Pour le Haut-Rhin, 31 postes de policiers seront créés sur l’année 2021 : 10 pour la circonscription de sécurité publique de Colmar et 21 pour celle de Mulhouse. - Sur le front de l’épidémie, 11 nouveaux décès sont à déplorer pour la journée d’hier, en Alsace. 768 malades sont toujours hospitalisés, dont 145 en réanimation. Hier, quelques 6.000 doses de vaccin ont été administrées dans les centres de vaccination de la CEA. - Conseil municipal, lundi soir à Colmar, l’occasion pour le maire Eric Straumann, d’informer la population quant à la poursuite des mesures d’extinction de l’éclairage public la nuit. Pas de panique donc, si un soir, passé minuit en semaine, et 1h le Week-end, vous vous retrouvez dans le noir, ce ne sera pas une panne de courant. D’ici la fin du mois et jusqu’à fin juin, les agents techniques vont adapter les réseaux de la ville pour cette opération. Seront concernés, les quartier des maraichers, Europe, Saint-Vincent, Saint-Léon, le Ladhof, Sainte-Marie. Les axes principaux, limités à 50 kmh, resteront en revanche éclairés. Quant à l’hypercentre, le maire préfère attendre un moment plus propice pour aborder la question avec les commerçants et restaurateurs, déjà dans une situation compliquée. Les vitrines commerciales, bien qu’elles sont déjà censées être éteintes la nuit, feront l’objet de contrôles pour faire appliquer la loi, mais là aussi, Eric Straumann préfère laisser passer la tempête et faire dans la pédagogie, quand les affaires iront mieux. - Autre décision prise lundi par le conseil municipal : la construction d’un nouveau gymnase pour les quartiers ouest de la ville. Le gymnase Brant sera détruit et un nouvel équipement sera construit en lieu et place de la cité Bel Air. Une salle de 1.500 m² avec 450 m² modulables et 250 places dans les tribunes. Un projet estimé à 6,8 millions d’euros.

Sujets traités :  Jean Castex et Eric Dupont Moretti inaugurent le nouveau centre pénitentiaire de Lutterbach. Doté de 520 places, il doit être mis en service au mois d’octobre, en remplacement des deux établissements de Mulhouse et Colmar. Les élus LR d’Alsace ont profité de cette visite ministérielle pour remettre Emmanuel Macron face à ses promesses de campagne. Si en 2017, le candidat Macron annonçait la création de 15.000 places de prison pendant son quinquennat, 4 ans plus tard, seules 2.000 ont été livrées. “Il y a urgence”, soulignent les parlementaires LR d’Alsace. Urgence à bâtir davantage de places de prison dans le pays, alors que la densité carcérale globale atteint 106% au mois de mars et même 123% dans les seules maisons d’arrêt. Dans son discours, Jean Castex a assuré que 7.000 places sur 15.000 étaient déjà programmées. Les 8.000 restantes sont prêtes à sortir de terre. Lors de son déplacement à Montpellier, lundi, Emmanuel Macron a confirmé le déploiement de 10.000 policiers et gendarmes supplémentaires sur la durée du quinquennat. Pour le Haut-Rhin, 31 postes de policiers seront créés sur l’année 2021 : 10 pour la circonscription de sécurité publique de Colmar et 21 pour celle de Mulhouse. Sur le front de l’épidémie, 11 nouveaux décès sont à déplorer pour la journée d’hier, en Alsace. 768 malades sont toujours hospitalisés, dont 145 en réanimation. Hier, quelques 6.000 doses de vaccin ont été administrées dans les centres de vaccination de la CEA. Conseil municipal, lundi soir à Colmar, l’occasion pour le maire Eric Straumann, d’informer la population quant à la poursuite des mesures d’extinction de l’éclairage public la nuit. Pas de panique donc, si un soir, passé minuit en semaine, et 1h le Week-end, vous vous retrouvez dans le noir, ce ne sera pas une panne de courant. D’ici la fin du mois et jusqu’à fin juin, les agents techniques vont adapter les réseaux de la ville pour cette opération. Seront concernés, les quartier des maraichers, Europe, Saint-Vincent, Saint-Léon, le Ladhof, Sainte-Marie. Les axes principaux, limités à 50 kmh, resteront en revanche éclairés. Quant à l’hypercentre, le maire préfère attendre un moment plus propice pour aborder la question avec les commerçants et restaurateurs, déjà dans une situation compliquée. Les vitrines commerciales, bien qu’elles sont déjà censées être éteintes la nuit, feront l’objet de contrôles pour faire appliquer la loi, mais là aussi, Eric Straumann préfère laisser passer la tempête et faire dans la pédagogie, quand les affaires iront mieux. Autre décision prise lundi par le conseil municipal : la construction d’un nouveau gymnase pour les quartiers ouest de la ville. Le gymnase Brant sera détruit et un nouvel équipement sera construit en lieu et place de la cité Bel Air. Une salle de 1.500 m² avec 450 m² modulables et 250 places dans les tribunes. Un projet estimé à 6,8 millions d’euros.

Sujets traités :  750 malades de la Covid-19 hospitalisés en Alsace, selon les derniers chiffres de Santé Publique France, qui précise que 158 d’entre eux ont été admis en réanimation. Ce week-end, 8 nouveaux décès ont été constatés dans les hôpitaux alsaciens. Sur le front de la vaccination, plus de 134.000 personnes ont pu être vaccinées. Depuis 2018, l'association MSADA réalise des maraudes pour venir en aide aux plus démunis sur Colmar. Sabra est allée à leur rencontre… Retrouvez le sujet complet sur azur-fm.com dans la rubrique actualités régionales : https://www.azur-fm.com/news/colmar-decouvrez-l-association-msada-qui-vient-en-aide-aux-plus-demunis-302  Mobilisation dans le cadre de la journée Agir contre la ré-intoxication du monde, samedi, à Wittelsheim. Les collectifs Eau en Danger et Déstocamine se sont retrouvés pour une action symbolique. Aux entrées de Wittelsheim, ils ont apposé des panonceaux 3 poubelles, dans l’esprit des 3 fleurs qui récompensent les villes fleuries. Une façon de protester contre la décision du gouvernement de laisser enfouis les déchets de Stocamine. Le collectif appelle au déstockage total du site et rappellent à la Région Grand Est et à la Collectivité européenne d’Alsace leurs promesses de prendre en main les opérations de déstockage. Le Premier ministre et le garde des Sceaux, prochainement en visite en Alsace. Information révélée par nos confrères des DNA qui affirment que Jean Castex et Eric Dupont-Moretti sont attendus demain à Lutterbach. Ils viennent visiter le chantier du centre pénitentiaire, qui touche à sa fin après 3 ans de travaux. La nouvelle prison permettra d’accueillir quelque 520 détenus, hommes et femmes. L’ouverture est prévue à l’automne. La disparition d’Henri Goetschy, ce week-end. L’ancien sénateur et président du Conseil général du Haut-Rhin est décédé dans la nuit de vendredi à samedi. Il était âgé de 95 ans. Les sports du week-end. En football, 33ème journée de Ligue 1. Hier, le Racing se déplaçait à Nîmes et les Strasbourgeois ont sauvé les meubles avec un match nul, 1 partout. Le Racing est 14ème du classement de Ligue 1. En basket, la SIG se déplaçait à Cholet, samedi soir. Les Alsaciens l’emportent par 97 points contre 90. Enfin, les Internationaux WTA de Strasbourg se joueront du 22 au 29 mai. Décision des organisateurs alors que les conditions d’accueil du public restent très incertaines. Le tournoi se disputera la semaine précédant Roland-Garros.

Sujets traités :  - 750 malades de la Covid-19 hospitalisés en Alsace, selon les derniers chiffres de Santé Publique France, qui précise que 158 d’entre eux ont été admis en réanimation. Ce week-end, 8 nouveaux décès ont été constatés dans les hôpitaux alsaciens. Sur le front de la vaccination, plus de 134.000 personnes ont pu être vaccinées. - Depuis 2018, l'association MSADA réalise des maraudes pour venir en aide aux plus démunis sur Colmar. Sabra est allée à leur rencontre… Retrouvez le sujet complet sur azur-fm.com dans la rubrique actualités régionales : https://www.azur-fm.com/news/colmar-decouvrez-l-association-msada-qui-vient-en-aide-aux-plus-demunis-302  - Mobilisation dans le cadre de la journée Agir contre la ré-intoxication du monde, samedi, à Wittelsheim. Les collectifs Eau en Danger et Déstocamine se sont retrouvés pour une action symbolique. Aux entrées de Wittelsheim, ils ont apposé des panonceaux 3 poubelles, dans l’esprit des 3 fleurs qui récompensent les villes fleuries. Une façon de protester contre la décision du gouvernement de laisser enfouis les déchets de Stocamine. Le collectif appelle au déstockage total du site et rappellent à la Région Grand Est et à la Collectivité européenne d’Alsace leurs promesses de prendre en main les opérations de déstockage. - Le Premier ministre et le garde des Sceaux, prochainement en visite en Alsace. Information révélée par nos confrères des DNA qui affirment que Jean Castex et Eric Dupont-Moretti sont attendus demain à Lutterbach. Ils viennent visiter le chantier du centre pénitentiaire, qui touche à sa fin après 3 ans de travaux. La nouvelle prison permettra d’accueillir quelque 520 détenus, hommes et femmes. L’ouverture est prévue à l’automne. - La disparition d’Henri Goetschy, ce week-end. L’ancien sénateur et président du Conseil général du Haut-Rhin est décédé dans la nuit de vendredi à samedi. Il était âgé de 95 ans. - Les sports du week-end. En football, 33ème journée de Ligue 1. Hier, le Racing se déplaçait à Nîmes et les Strasbourgeois ont sauvé les meubles avec un match nul, 1 partout. Le Racing est 14ème du classement de Ligue 1. En basket, la SIG se déplaçait à Cholet, samedi soir. Les Alsaciens l’emportent par 97 points contre 90. Enfin, les Internationaux WTA de Strasbourg se joueront du 22 au 29 mai. Décision des organisateurs alors que les conditions d’accueil du public restent très incertaines. Le tournoi se disputera la semaine précédant Roland-Garros.

Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques... Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.

Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques... Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée le samedi. Même recette le dimanche pour anticiper la semaine à venir. Un rendez-vous emblématique pour mieux comprendre l'air du temps et la complexité de notre monde.

Au début, comme pas mal de parisiens non initiés, je me méfiais un peu de ce Dupont-Moretti, avocat pénaliste star de l'acquittement et le soir sur scène en one man show, cela me faisait penser à ces chirurgiens de l'impossible frayant avec le showbizz. Et puis le 22 juillet, quand j'ai vu celui que l'on surnomme l'ogre du nord monter les marches de l'Elysée, comme beaucoup d'entre nous je me suis intéressé à cet amateur de chasse, de corrida et d'alcools forts à qui le gouvernement avait décidé de faire confiance, à la barbe des magistrats et des féministes...

Elise Van Beneden est avocate au Barreau de Paris et présidente de anticor, une association très active de lutte contre la corruption et pour l'éthique en politique. Pendant une heure, en compagnie de Denis Robert, notre invitée explique et montre que le combat mené par son association est difficile, laborieux et surtout nécessaire. De l'affaire Darmanin dont la défense niant le viol est presque un aveux de culpabilité de corruption, à l'affaire Kholer, actuel secrétaire général de l'Elysée d'Emmanuel Macron, en passant par Patrick Balkany et les arrangements de Louis Vuitton et Bernard Arnault avec sa nouvelle fondation. Ce TPA dresse le portrait d'une France ou la corruption est omniprésente. Et la Macronie dans tout ça ? Au delà de Macron qui a construit une grande partie de sa campagne pour devenir président de la République sur la question de la moralisation de la vie politique, la discussion viendra aussi sur la nomination de Eric Dupont-Moretti et les attentes d'anticor (qui ne sont pas très élevées) de changement dans l'institution judiciaire et dans les blocages qui concernent ces affaires au plus haut niveau, dont certaines concernent directement ses collègues du gouvernement. Bref, la bataille est loin d'être gagnée pour faire disparaître la corruption de ce pays, peu d'associations tiennent ce rôle, et c'est de plus en plus difficile pour elles de continuer à opérer, c'est donc pour ça qu'il faut les soutenir ! ▶ Soutenez Le Média :