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Zone Parallèle | CJMD 96,9 FM LÉVIS | L'ALTERNATIVE RADIOPHONIQUE
A.F.F.A = .- / ..-. / ..-. / .-Zone ParallèleUn liens avec l'inconnuUfologie|SCIENCE|PARANORMAL|INEXPLIQUÉAnimé par Carole Lauzéhttps://www.facebook.com/zoneparallelehttps://www.facebook.com/SteveZ582https://www.zoneparallele.com/https://twitter.com/zoneparallelehttps://www.youtube.com/@zoneparallele Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet essai, le journaliste spécialisé en rap Mehdi Maïzi dresse un état des lieux du rap aujourd'hui... Comment le rap, né dans l'underground, est devenu en un demi-siècle une musique planétaire et un sujet d'études, y compris chez des linguistes tels qu'Alain Rey ? C'est donc l'histoire d'une conquête ! Né dans les années 70 dans les ghettos américains dont le point névralgique se situait à New-York, le premier tube serait le titre Rapper's Delight du groupe Sugar Hillgang, un morceau très dansant. Puis, le rap se répand dans le monde entier. Ce courant musical apparaît en France dans les années 80 avec un rap très politisé. Si l'émission H.I.P. H.O.P diffusée à la télévision dès janvier 1984 contribue à son succès, ce sont les années 90 qui permettent sa consécration avec des groupes comme NTM, IAM, Assassin — héritiers du groupe américain Public Enemy - MC Solaar et plus tard, Ministère AMER, La Clique, Oxmo Puccino.... ou encore Booba dont la musique et les textes évolueront beaucoup au fil de sa carrière, avec des punchlines qui font mouche. Un rappeur «protéiforme» selon les termes de Mehdi Maïzi qui en a influencé tant d'autres. On a souvent tendance à penser que le rap est une musique très carrée, mais ça peut être plein de choses différentes ! C'est une musique qui est en mouvement, qui n'est pas figée. Mehdi Maïzi Les industries se mettent alors en place à une époque où la visibilité des personnes racisées dans les médias étaient moindres. D'un mouvement underground et militant, on passe aussi à des titres plus commerciaux.L'année 95 marque un tournant intéressant dans le rap français, avec des textes plus écrits avec beaucoup d'assonances, d'allitérations, et une modernisation esthétique grâce à la technique. «L'École du micro d'argent» de IAM en est l'un des meilleurs exemples selon le spécialiste. Invité : Mehdi Maïzi, journaliste spécialisé en rap. Il présente chaque semaine l'émission web « Le Code », consacrée à l'actualité du rap. Son livre « Le rap a gagné » est publié chez la Fabrique éditions. Et comme chaque mercredi, retrouvez la chronique « La puce à l'oreille » de Lucie Bouteloup. Aujourd'hui, elle décortique avec le lexicographe Benjamin Rouxel l'expression «Être plein aux as». Une chronique en collaboration avec Le Robert.Programmation musicale : L'artiste Théodora avec le titre Do u wanna ?
Dans cet essai, le journaliste spécialisé en rap Mehdi Maïzi dresse un état des lieux du rap aujourd'hui... Comment le rap, né dans l'underground, est devenu en un demi-siècle une musique planétaire et un sujet d'études, y compris chez des linguistes tels qu'Alain Rey ? C'est donc l'histoire d'une conquête ! Né dans les années 70 dans les ghettos américains dont le point névralgique se situait à New-York, le premier tube serait le titre Rapper's Delight du groupe Sugar Hillgang, un morceau très dansant. Puis, le rap se répand dans le monde entier. Ce courant musical apparaît en France dans les années 80 avec un rap très politisé. Si l'émission H.I.P. H.O.P diffusée à la télévision dès janvier 1984 contribue à son succès, ce sont les années 90 qui permettent sa consécration avec des groupes comme NTM, IAM, Assassin — héritiers du groupe américain Public Enemy - MC Solaar et plus tard, Ministère AMER, La Clique, Oxmo Puccino.... ou encore Booba dont la musique et les textes évolueront beaucoup au fil de sa carrière, avec des punchlines qui font mouche. Un rappeur «protéiforme» selon les termes de Mehdi Maïzi qui en a influencé tant d'autres. On a souvent tendance à penser que le rap est une musique très carrée, mais ça peut être plein de choses différentes ! C'est une musique qui est en mouvement, qui n'est pas figée. Mehdi Maïzi Les industries se mettent alors en place à une époque où la visibilité des personnes racisées dans les médias étaient moindres. D'un mouvement underground et militant, on passe aussi à des titres plus commerciaux.L'année 95 marque un tournant intéressant dans le rap français, avec des textes plus écrits avec beaucoup d'assonances, d'allitérations, et une modernisation esthétique grâce à la technique. «L'École du micro d'argent» de IAM en est l'un des meilleurs exemples selon le spécialiste. Invité : Mehdi Maïzi, journaliste spécialisé en rap. Il présente chaque semaine l'émission web « Le Code », consacrée à l'actualité du rap. Son livre « Le rap a gagné » est publié chez la Fabrique éditions. Et comme chaque mercredi, retrouvez la chronique « La puce à l'oreille » de Lucie Bouteloup. Aujourd'hui, elle décortique avec le lexicographe Benjamin Rouxel l'expression «Être plein aux as». Une chronique en collaboration avec Le Robert.Programmation musicale : L'artiste Théodora avec le titre Do u wanna ?
durée : 00:01:56 - Le brief éco - Le gouvernement renforce les obligations des employeurs en matière de prévention des risques professionnels liés à la chaleur. À l'approche de l'été, un décret renforce le code du travail à ce sujet.
Le Code noir, promulgué en 1685 sous Louis XIV, est un texte juridique destiné à encadrer l'esclavage dans les colonies françaises. Il fixe le statut des personnes réduites en esclavage, leurs droits (très limités) et surtout leurs obligations, ainsi que celles de leurs propriétaires. Mais contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, le Code noir n'a jamais été officiellement abrogé par la France. Pourquoi ?1. Un texte devenu obsolète par les faitsLe Code noir a perdu sa force juridique non pas par abrogation explicite, mais par l'évolution du droit et de la société :L'esclavage est aboli une première fois en 1794 sous la Révolution, mais rétabli par Napoléon en 1802.Il est définitivement aboli en 1848, sous la IIe République, grâce à Victor Schœlcher, sous-secrétaire d'État à la Marine et aux Colonies.À partir de là, l'existence d'un texte qui régit l'esclavage devient juridiquement caduque : on ne peut plus appliquer un code qui s'appuie sur une pratique désormais interdite.Mais voilà : le Code noir n'a jamais été expressément abrogé par une loi, tout simplement parce qu'il n'en avait plus besoin. Il est tombé en désuétude, comme on dit en droit. Il est devenu un texte mort, sans qu'on prenne la peine de l'enterrer formellement.2. Pourquoi ne pas l'avoir symboliquement aboli ?Plusieurs raisons peuvent expliquer ce silence :La coutume législative : en France, on n'abroge pas toujours formellement les textes anciens quand ils sont rendus caducs par d'autres lois plus récentes.L'oubli ou l'embarras : le Code noir est longtemps resté un angle mort de l'histoire nationale. Pendant des décennies, l'État français a minimisé ou évité le débat sur son héritage colonial et esclavagiste.L'absence de demande juridique : puisqu'il n'était plus appliqué, aucune pression n'a été exercée pour l'abroger dans les textes.3. Reconnaissance tardive mais réelleCe n'est que très récemment que la France a commencé à reconnaître pleinement les conséquences de l'esclavage. En 2001, la loi Taubira a officiellement reconnu l'esclavage comme crime contre l'humanité. Elle marque une étape symbolique et politique forte, mais sans toucher directement au Code noir.En résuméLe Code noir n'a pas été aboli parce qu'il est devenu inutile juridiquement après l'abolition de l'esclavage en 1848. Il est tombé dans l'oubli, sans abrogation formelle. Ce silence témoigne aussi d'un long déni collectif sur l'histoire coloniale et esclavagiste de la France, que la mémoire nationale ne commence à affronter que depuis quelques décennies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En ce mois de commémoration sur l'esclavage, la Guadeloupe, rend hommage ce 27 mai aux milliers de victimes mises en esclavage. C'est l'occasion d'évoquer le Code noir, ce texte juridique qui réglementait la vie des esclaves dans les colonies françaises. Contre toute attente, le 13 mai dernier, des députés interpellent le Premier ministre demandant l'abolition de ce texte. Lors des questions hebdomadaires au gouvernement dans l'hémicycle, Laurent Panifous, président du groupe Liot – Liberté, Indépendants, Outre-Mer et Territoires – interpelle le Premier ministre François Bayrou : « L'heure est venue de se laver de cette ignominie qu'est le Code noir au nom de la justice réparatrice. »« Le Code noir est un texte juridique qui a été demandé par l'administration de Colbert qui, à l'époque, était ministre de la Marine, rappelle Éric Mesnard, historien. Louis XIV signe le texte qui concerne les colonies françaises d'Amérique : la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane. L'article le plus connu, c'est celui qui concerne ce qu'on appelle le marronnage, suite à la fuite de la plantation. Si un esclave quitte la plantation, la première fois, il sera marqué au fer rouge et il aura une oreille coupée. La deuxième fois, il aura le jarret coupé, on le mutilera. La troisième fois, ce sera la mort. La quatrième catégorie d'articles, ce sont ceux qui sont probablement les plus choquants dans le livre parce qu'ils sont d'une froideur excessive – ce sont des juristes qui écrivent ces textes. Ce sont les articles qui définissent le statut de l'esclave comme un bien meuble/immeuble, qui peut être vendu, qui peut être légué par héritage. »En ce mois de commémoration, plusieurs communes, comme celle de Beaumont-sur-Oise en région parisienne, inaugurent une stèle et plantent un arbre de vie, symbole de liberté pour rendre hommage à ces milliers de femmes, d'enfants, d'hommes arrachés à leur terre natale et mis en captivité. Dans les discours qui s'enchaînent, la condition des esclaves est évoquée. « L'esclavage n'a pas été qu'un système d'exploitation, c'était une entreprise d'effacement. Effacer les noms, les langues, les identités », insiste une oratrice. « Le Code noir promulgué en France en 1685 leur déniait même la qualité d'homme », appuie un autre.À écouter aussiAbolition de l'esclavage : comment devient-on un lieu de mémoire?Une histoire qui résonne encore au sein des associations mémorielles afro-antillaises. Certains craignent qu'abolir le texte revienne à faire comme s'il n'avait jamais existé. « Il faut qu'il y ait des traces de ce qui existait pour qu'on n'oublie pas et que ça ne se reproduise pas », estime une dame. Un autre s'interroge : « Ils veulent le retirer ou l'effacer de l'histoire ? C'est pas pareil. Mais s'il le retire pour le faire disparaître comme dans les livres d'histoire quand on était à l'école, c'est pas bon ! »Une histoire à transmettre aux générations futures, c'est l'une des missions de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage. « Une fois qu'on a abrogé ce code, quels sont les moyens supplémentaires que l'on met en place pour transmettre cette histoire ? Que faisons-nous des inégalités en outre-mer qui sont directement liées à l'histoire de l'esclavage ? », demande Aïssata Seck, directrice de cette institution. Le Premier ministre s'est engagé à abolir le Code noir en promettant un texte prochainement au Parlement.À écouter aussiLa dette coloniale peut-elle être remboursée?
Une nouvelle blague par jour à écouter et podcaster, grâce à Rire & Chansonsla blague du jour
Une nouvelle blague par jour à écouter et podcaster, grâce à Rire & Chansonsla blague du jour
Dans le langage courant, la filouterie désigne un comportement malhonnête, mais souvent rusé, discret, sans violence. Il s'agit de tromper autrui pour obtenir un avantage, sans utiliser la force, mais en abusant de sa confiance ou en profitant d'une situation. Le mot est dérivé du terme « filou », qui évoque un voleur habile et astucieux, plutôt qu'un criminel brutal.On emploie volontiers le mot « filouterie » avec une nuance ironique ou légère, pour parler d'un petit tour de passe-passe ou d'un acte de malice, comme partir discrètement d'un restaurant sans payer, ou mentir sur son âge pour bénéficier d'un tarif réduit. Mais dans certaines circonstances, cette ruse peut devenir un véritable délit aux yeux de la loi.La filouterie en droit françaisEn droit pénal français, la filouterie est une infraction spécifique, qui consiste à obtenir un bien ou un service en connaissance de cause, sans intention de payer, tout en dissimulant cette intention. Autrement dit, c'est un vol par dissimulation, sans effraction ni menace.Le Code pénal ne contient pas de rubrique "filouterie" à proprement parler, mais ce type d'infraction est réprimé sous différentes formes, notamment dans les cas suivants :Filouterie d'hôtel : s'installer dans un établissement hôtelier en sachant qu'on ne paiera pas, puis partir sans régler.Filouterie de restaurant : consommer un repas tout en prévoyant de fuir sans payer.Filouterie de carburant : faire le plein à une station-service et prendre la fuite sans passage en caisse.Filouterie de transport : monter dans un train, taxi ou avion sans billet, en cachant volontairement son intention.Ces faits peuvent être poursuivis au titre de l'escroquerie (article 313-1 du Code pénal), ou de l'abus de confiance, selon les circonstances.Sanctions et peines encouruesLa filouterie peut être punie de peines allant jusqu'à :5 ans d'emprisonnement,Et 375 000 euros d'amende, en cas d'escroquerie caractérisée.Pour des faits mineurs (comme une addition impayée ou un plein de carburant frauduleux), les peines sont souvent réduites, mais peuvent tout de même inclure :Une amende (souvent entre 150 et 1500 euros),Un stage de citoyenneté,Des travaux d'intérêt général,Et en cas de récidive, un passage au tribunal correctionnel.Si la filouterie fait parfois sourire dans le langage courant, elle est, juridiquement, un acte répréhensible assimilé à de la fraude ou du vol par ruse. Et à ce titre, elle peut entraîner de vraies sanctions pénales. La malice n'est pas toujours sans conséquence… Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fatigue Dating, une tendance de plus en plus marquée Comme le burnout classique marqué par une fatigue profonde, un désinvestissement de l'activité professionnelle, et un sentiment d'échec, le « fatigue dating » se présente comme une fatigue relationnelle liée aux applications de rencontres qui est marquée par la frustration et la déception de ne pas rencontrer l'âme sœur tout en ayant l'impression de tout donner pour y arriver. Le grand supermarché des applications de rencontres engendre pour certains, stress et anxiété. On en parle avec Martine Clerckx, sociologue, fondatrice et directrice associée de WIDE, l'Institut sociétal stratégique Value Factory et Aurélie Jean pour « Le Code a changé » (Ed. de l'Observatoire). Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Québec est accusé par des profs et syndicats de vouloir « museler » le personnel scolaire avec un code d’éthique jugé excessif, interdisant toute critique pouvant nuire à l’image de l’école. ENTREVUE avec Richard Bergevin, président de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSQ-CSQ)Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
C'est le combat devant la justice française d'une dizaine de travailleurs sans papiers majoritairement venus du Maroc et d'Algérie. Pendant plusieurs années, de 2019 à 2022, en pleine pandémie de Covid-19, ils ont trié les déchets dans les centres de recyclage de la région parisienne. Exploités par un sous-traitant, ils ont travaillé pour le compte de grands groupes du secteur. Rencontre avec ces travailleurs qui se battent pour leurs droits et leur régularisation. Nous sommes devant le Conseil des prud'hommes de Paris, tribunal chargé de régler les litiges en lien avec le droit du travail en France. Ils sont une dizaine à être venus plaider leur cause. Tous ont travaillé pour le compte de NTI, une entreprise sous-traitante spécialisée dans le tri des déchets. Parmi eux, Hind, venue avec sa petite fille : « J'ai travaillé chez NTI pendant trois ans, sans contrat. J'ai trié les déchets sur le tapis alors que j'étais enceinte. J'ai dû travailler la nuit jusqu'à l'accouchement. Aujourd'hui, ma fille à trois ans demi. »NTI a été placée en redressement judiciaire il y a bientôt deux ans. Mais ces anciens employés demandent réparation aux donneurs d'ordres Veolia, Suez, Paprec, pour le compte desquels ils ont effectivement travaillé. Pour leur avocate, Me Katia Piantino, les géants du secteur du déchet ont volontairement fermé les yeux :« Le Code du travail demande aux donneurs d'ordres de vérifier que son sous-traitant ne commet pas de travail illégal. Cela veut dire qu'il n'emploie pas de travailleurs étrangers sans titre et ne commet pas de travail dissimulé. On leur demande de ne pas ignorer, parce que, ce qui ressort du dossier, c'est qu'ils ont profité d'une main-d'œuvre hyper bon marché du sous-traitant NTI, qui a raflé tous les contrats de sous-traitance dans le secteur. Pourquoi ? Parce que la main-d'œuvre était vachement moins chère... Bizarrement, puisqu'elle n'était pas déclarée. »Heures supplémentaires non payéesLes travailleurs de l'ombre décrivent un système où ils étaient totalement captifs. L'un d'eux confie : « J'ai travaillé cinq ans au noir, dans l'incinération, dans les fours. Parfois, je travaillais la journée, la nuit. On travaillait sans formation, on faisait des heures supplémentaires sans être payés. On n'a pas eu droit au chômage, on ne pouvait pas refuser un travail. Parfois, ils nous appelaient la nuit pour commencer le matin. Et si tu refusais, tu n'avais pas de travail le mois d'après. »Ali Chaligny, représentant syndical CGT chez Veolia qui les accompagne, ne veut pas résumer le problème à celui d'un simple patron voyou. Lui aussi dénonce un véritable système : « Ce sont des métiers en tension où les entreprises ont du mal à recruter, et du coup, il y a une délocalisation de la masse ouvrière des salariés. Étant donné que l'on ne peut pas délocaliser nos activités de collecte et traitement des déchets ménagers, pour pallier ce manque de main-d'œuvre, on délocalise les salariés en France pour assurer ces services essentiels à la nation. »La justice attendra encore quelques mois. L'audience a finalement été reportée au 26 septembre 2025.
Et si l'univers tout entier vibrait à des fréquences invisibles qui influencent notre réalité ? Et si ces fréquences pouvaient être comprises, captées et utilisées pour transformer notre vie ? Yannick Vérité - thérapeute, écrivain et conférencier - aurait percé le mystères des fréquences cachées de l'univers. Il nous révèle comment elles influencent notre conscience, notre bien-être et notre parcours de vie au quotidien.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
✨ Suis-moi sur Instagram : https://instagram.com/laurita.socaliente/ La vie est un jeu, et parfois les règles semblent fumeuses, peu claires. - Quel est votre avatar ? De Beckham à Steeve Jobs - Tu peux tomber dans le vide maintenant - La vie est pleine de "méchants" ;) - Quelles sont les règles ? - Les cartes chance et malchance - Les quêtes et missions - Tu as une stamina dans la vie aussi - As-tu vaincu le boss de fin de niveau ? - Utlises-tu des power ups ? - La vie est un vrai jeu de WOO, multi joueurs - Les cheat codes peuvent t'emmener loin ou jusqu'au Game Over Spoiler alert : sauver la Princesse Peach n'a jamais été le but du jeu. Bonne écoute ! ATTIRE ENFIN L'ARGENT : ✨ MONEY MAGNET : Deviens un aimant à argent https://coaching.socaliente.fr/money-magnet
Stanotte continua il mondo "meno discorsi filosofici e più problemi reali"... Vi voglio parlare del famoso uomo/donna tetris che a volte trovate davanti a voi quando siete in coda al supermercato....
Aujourd'hui dans Parlons-en, nous vous proposons de nous éloigner un peu des fracas du monde… et de discuter de l'une des musiques les plus écoutées au monde : le rap. Un genre longtemps méprisé, né comme un cri, qui s'invite aujourd'hui au premier rang des défilés de mode. Le rap, plus fort que la pop ? On en parle avec Mehdi Maïzi, présentateur de l'émission "Le Code" sur Apple Music et auteur de "Le rap a gagné, à quel prix ?" (éd. La Fabrique) et Benjamine Weill, autrice de "À qui profite le sale ?" (éd. Payot et Rivages).
Une vente aux enchères aura lieu cet après-midi à Paris, à l'espace Tajan. L'estimation haute est fixée à 200.000 euros, et le prix pourrait bien s'envoler. On rappelle que le Code civil a posé les bases du droit français. Et cet exemplaire est un trésor, parce qu'il appartenait à son créateur, Napoléon Bonaparte.
Alors qu'un Code Civil ayant appartenu à Napoléon est mis en vente, Marc Bourreau revient sur 220 ans de cet écrit juridique...Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les conflits armés ont toujours existé, mais l'idée de réglementer la guerre pour limiter ses atrocités est relativement récente. Si les lois de la guerre telles qu'on les connaît aujourd'hui sont le fruit de plusieurs siècles d'évolution, elles trouvent leurs racines dans des traditions anciennes avant d'être codifiées dans des traités internationaux. Des règles anciennes de la guerre Dès l'Antiquité, certaines civilisations établissent des codes visant à limiter les abus en temps de guerre. - Les textes religieux : Le Code d'Hammurabi (vers 1750 av. J.-C.) en Mésopotamie, ou encore des passages de la Bible et du Coran, contiennent des règles sur le traitement des prisonniers et la protection des populations civiles. - La Grèce et Rome : Les Romains, influencés par les Grecs, développent le jus fetiale, un ensemble de règles destinées à déclarer et mener la guerre de manière « légale », notamment en respectant les trêves et en négociant avec les ennemis. - Le Moyen Âge : En Europe, l'Église impose certaines limites avec la « Trêve de Dieu » (XIe siècle), interdisant les combats certains jours et protégeant les civils et le clergé. L'essor du droit de la guerre à l'époque moderne Avec l'apparition des États modernes et des armées professionnelles, la guerre devient plus organisée, ce qui favorise l'émergence de règles formelles. - Hugo Grotius et le droit de la guerre (1625) : Le juriste néerlandais Hugo Grotius publie De Jure Belli ac Pacis (Le droit de la guerre et de la paix), qui pose les bases du droit international humanitaire. Il y défend l'idée que même en temps de guerre, certaines règles doivent être respectées, notamment pour limiter la souffrance des soldats et des civils. - Les premières conventions militaires : Au XVIIIe siècle, Frédéric II de Prusse et d'autres souverains européens imposent des codes de conduite à leurs armées, comme l'interdiction de piller sans autorisation. La codification moderne : la naissance du droit international humanitaire La véritable institutionnalisation des lois de la guerre commence au XIXe siècle avec la montée des mouvements humanitaires. - Les Conventions de Genève (1864-1949) : Initiées par Henri Dunant, fondateur de la Croix-Rouge, ces conventions fixent des règles sur le traitement des blessés, des prisonniers et des civils en temps de guerre. La première convention de 1864 établit l'obligation de soigner les soldats blessés, même ennemis. - Les Conventions de La Haye (1899-1907) : Elles établissent les bases du droit de la guerre moderne en interdisant certaines armes (comme les balles dum-dum), en protégeant les civils et en définissant des règles pour les occupations militaires. Un cadre toujours en évolution Depuis, les lois de la guerre continuent d'évoluer. Après les atrocités de la Seconde Guerre mondiale, les Conventions de Genève de 1949 sont renforcées. Plus récemment, les tribunaux internationaux, comme celui de La Haye, jugent les crimes de guerre, et des protocoles interdisent les armes chimiques ou les mines antipersonnel. Conclusion Les lois de la guerre sont donc le fruit d'une longue évolution, passant des codes moraux antiques aux conventions internationales modernes. Si elles ne peuvent empêcher les conflits, elles visent à en limiter les pires abus et à préserver un minimum d'humanité, même en temps de guerre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
Dans cet épisode, nous accueillons Jean-Noël Lafargue, un auteur, artiste, enseignant et chercheur français inclassable, qui pense l'art et le numérique par le code, et bien plus encore. Après des études aux Beaux-Arts de Paris, il obtient un diplôme d'études approfondies (DEA). Il commence comme maître de conférences associé à l'Université Paris 8, puis devient professeur d'art à l'École supérieure d'art et de design (ESAD) d'Amiens et continue son enseignement à l'École supérieure d'art et design Le Havre-Rouen.Jean-Noël a participé à une quinzaine de CD-ROMs pour des éditeurs tels que Hyptique, Montparnasse Multimédia ou Gallimard, de nombreux sites Internet (Musée de la publicité, Musée d'Art Moderne du Luxembourg, Synesthésie), et assiste des artistes dans leurs créations numériques, notamment Jean-Louis Boissier et Claude Closky.Blogueur de référence, son site Le Dernier des blogs est une référence pour tous les amateurs de sujets contemporains, de culture des médias, de bande dessinée et des technologies, mais aussi de polémique sociétale avec Castagne.Il a signé un certain nombre de textes dans la presse ou dans des revues et a publié plusieurs ouvrages sur la culture numérique, la programmation et la vulgarisation scientifique.Bonne écoute. Liens utiles: Profil BlueSky https://bsky.app/profile/jean-no.bsky.social Le dernier des blogs: https://hyperbate.fr/dernier Ateliers Geeks https://www.ateliersgeeks.com Le livre “
Et si l'impatiente était un appel à une autre conscience des choses ?Cet épisode est un love enregistré en direct sur mon compte instagram eadenr_ le 30 janvier 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aurélie Jean est scientifique, entrepreneure et autrice, spécialiste en modélisation algorithmique. Son dernier livre, paru aux éditions de l'Observatoire est intitulé "Le code a changé. Amour & sexualité au temps des algorithmes". On va enfin pouvoir mieux comprendre les bouleversements que nous expérimentons (époque, mœurs, valeurs etc), et comment les applications de rencontres (et réseaux sociaux) fonctionnent réellement, pour mieux les utiliser ou s'en détacher, selon nos besoins.Extrait qui parlera à nombre d'entre nous : "Je ne reconnaissais pas la manière dont on définit sa relation avec l'autre. Avant cette décennie, j'avais compris que lorsqu'on couchait avec un homme ou une femme, c'était (l'action faisant le nom) une "relation" ; et il fallait sortir de l'ambiguïté pour s'accorder sur un autre statut - une aventure d'un soir ou une amitié sexuelle, par exemple. Depuis 2016, je découvre (...) une logique opposée. Comme si les relations naissantes s'inscrivaient la plupart du temps dans une dimension purement sexuelle et sans ressort sentimental, sauf annonce explicite."Bonne écoute ! Prochain épisode le 15 janvier, avec une intervenante experte dans les questions liées l'intimité, au corps, à la charge sexuelle... Si vous voulez soutenir Single Jungle, avec un don en une seule fois, j'ai ouvert un Tipeee : https://fr.tipeee.com/single-jungle. J'ai suivi le conseil d'auditrices et d'auditeurs qui ont proposé de participer à la hauteur de leurs moyens, ponctuellement, aux frais des épisodes (prise de son/montage et hébergement). Merci aux premières personnes qui ont participé ! Retrouvez Aurélie Jean sur les réseaux sociauxhttps://www.instagram.com/aureliejeanphd/https://x.com/Aurelie_JEANhttps://bsky.app/profile/aureliejeanphd.bsky.social crédit photo Alcibiade Cohen, Références citées dans l'épisode ou en bonus ou recommandées par l'invitée (à suivre) AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez une dépense inutile. Episode enregistré en décembre 2024, à distance, via ZoomMontage et mixage : Isabelle FieldMusique : Nouveau générique ! Vous l'avez reconnu ? C'est le générique de la série mythique des années 90 "Code Quantum" avec Scott Bakula
Le Code de Jill Planetarium Ghost Travel Wasps in the ice cream Vivre sans attendre The Binding (MEILLEURE LECTURE DE MON ANNÉE 2024) Défier la nuit Cunning Women Plein Ciel The last legacy Home before dark Merci pour votre écoute et à bientôt, dans ma bibilothèque. Rejoignez-moi et écrivez-moi sur instagram : @l.odeur.des.livres ou par mail : hello.lodeurdeslivres@gmail.com
Mathieu (prénom d'emprunt) a vécu plusieurs années avec sa belle-fille. Mais depuis sa séparation, la mère refuse qu'il la revoie. Dans son étude genevoise, Corinne Nerfin, avocate spécialisée en droit de la famille, précise que les beaux-parents n'ont pas de droits, mais des devoirs. Le Code civil stipule que chaque époux a « une obligation d'entretien envers les enfants nés d'un premier mariage ». Reportages de Pauline Rappaz Réalisation : Didier Rossat Production : Raphaële Bouchet
Intellectuels, chefs d'entreprises, artistes, hommes et femmes politiques… Frédéric Taddeï reçoit des personnalités de tous horizons pour éclairer différemment et prendre du recul sur l'actualité de la semaine écoulée. Ce dimanche, Aurélie Jean pour « Le code a changé - amour et sexualité au temps des algorithmes » aux éditions de l'Observatoire.
Attaque présumée contre la Cour suprême à Brasilia, ce mercredi (13 novembre 2024) : après avoir tenté en vains de pénétrer dans le bâtiment de la Cour suprême, un homme a provoqué plusieurs explosions, dont une l'a tué. Les enquêteurs tentent d'éclaircir son mobile. Ces explosions interviennent alors que le pays accueille, la semaine prochaine, un sommet du G20 à Rio de Janeiro et le président chinois à Brasilia. « Selon les premières informations, il s'agirait d'un suicide », affirme la gouverneure de Brasilia. Il y a eu en fait deux explosions, explique O Globo : une près de la Chambre des députés, dans laquelle l'homme a trouvé la mort, et une autre à 500 mètres de là, quand son véhicule a pris feu dans un parking.La police fédérale estime qu'il pourrait y avoir un lien avec la tentative de coup d'État du 8 janvier 2023, qui a eu lieu au même endroit. Le président du Tribunal suprême fédéral a indiqué que si c'est le cas, l'enquête sur l'explosion sera jointe à celle du 8 janvier, rapporte Folha de Sao Paulo. Et, souligne le quotidien, les députés du l'ex-président d'extrême droite Jair Bolsonaro craignent déjà que les explosions de ce mercredi compromettent l'examen du projet de loi amnistiant les personnes condamnées pour la tentative de coup d'État. D'autant que, écrit Folha, le suspect a été candidat à un poste de conseiller municipal du Parti Libéral de Jair Bolsonaro. À Port-au-Prince, des tirs de jour comme de nuit Ce mercredi, nouvelle journée au ralenti dans la capitale haïtienne : il n'y avait quasiment pas d'école ni de commerces ouverts, par contre les tirs ont continué. Nouvelles autorités, mêmes problèmes, constate le quotidien Le Nouvelliste : si les autorités politiques essaient de monter un nouveau gouvernement, la vie quotidienne des Haïtiens est toujours perturbée, avec des tirs de jour comme de nuit, explique le rédacteur en chef du quotidien Frantz Duval. Et, selon l'Organisation internationale des migrations, 4 500 personnes ont quitté leur domicile les deux premiers jours de la semaine.Le Nouvelliste rapporte une autre information qui donne une idée de l'ampleur des violences : les soldats des Bahamas, dépêchés au sein de la mission multinationale d'appui à la sécurité, ont été libérés de leurs obligations par leur gouvernement. Ils peuvent partir s'ils ne se sentent pas en sécurité. « Il faut dire que ces derniers jours, on ne voit plus les Kenyans, on n'entend plus parler d'opération majeure de la police », note Frantz Duval : « on résiste toujours ici et là, mais c'est toujours une dégringolade qui continue ». Attaque d'une ambulance de MSF à Port-au-PrinceCe lundi (11 novembre 2024), une ambulance de Médecins sans frontières a été attaquée dans la capitale haïtienne. Elle a d'abord été forcée par la police de changer de destination pour conduire ses trois blessés par balles vers un hôpital public, où des personnes armées ont finalement abattu au moins deux des trois blessés. Les équipes de MSF ont, elles, été gazées, menacées de mort, insultés. « On est tous sous le choc, c'est vraiment la première fois qu'on a du personnel qui se fait agresser, menacer verbalement, violemment », explique Christophe Garnier, le chef de mission de MSF France en Haïti. MSF qui se pose maintenant la question de sa présence dans le pays, même si le départ de l'organisation « serait une catastrophe » : « si on n'a pas l'assurance du gouvernement notamment, de travailler en toute sécurité ça va devenir problématique ». La Colombie adopte un texte interdisant le mariage des enfants El Colombiano précise que ces dernières années, la loi interdisant le mariage d'enfants avait déjà échoué à huit reprises à être adoptée. Cette fois, le projet de loi a été soutenu par plusieurs groupes parlementaires. Il est maintenant entre les mains du président Gustavo Petro.El Informador indique qu'entre 2020 et 2023, 1 403 mariages d'enfants ont été enregistrés en Colombie. Le Code civil permettait jusqu'ici le mariage à partir de 14 ans avec la permission des parents, ce qui avait « engendré, malheureusement, un marché », écrit le quotidien, « de filles et de garçons qui étaient utilisés comme monnaie d'échange contre du bétail, des ressources, des lots »… Semana rappelle de son côté que les mariages d'enfants « entraînent des cas de violence fondés sur le genre, des grossesses d'enfants et d'adolescentes, la déscolarisation »... La situation des filles indigènes est la plus préoccupante, pointe El Universal : un tiers d'entre elles sont mariées avant d'être majeures à des hommes ayant le double ou le triple de leur âge. Le racisme au MexiqueAu Mexique, universitaires et militants cherchent des moyens de parler du racisme, très ancré dans la société du pays, au-delà du cercle des spécialistes de la question. Un racisme lié à l'histoire coloniale. La question mémorielle a d'ailleurs récemment provoqué des tensions entre le Mexique et l'Espagne. Depuis 2019, le pays réclame des excuses à l'Espagne. Pour l'historien et philosophe Martin Rios – que la correspondante de RFI Gwendolina Duval a rencontré, ce serait l'occasion de déconstruire les méconnaissances qui perdurent sur cette période : « Certains groupes en Espagne », explique-t-il, « maintiennent encore que la conquête a été un processus civilisateur où les tribus indigènes ont été libérées. » Une réflexion commune pourrait bénéficier aux deux nations mais aussi à toute l'Amérique latine, estime-t-il, pour assumer le passé.Et ne pas s'arrêter là : au Mexique, le récit national repose sur le métissage, mais la classification des différentes catégories de personnes est loin d'avoir disparu, explique José Angel Bazán, qui travaille pour une association de défense des victimes de racisme. Dans les films et les publicités, « la réussite sociale est bien souvent le privilège des personnages blancs tandis que les peaux plus foncées incarnent les représentations de la misère et de la marginalisation sociale ». Une « racialisation » à l'origine de bon nombre d'inégalités économiques. Des nominations coup de poingAux États-Unis, Donald Trump continue d'annoncer les membres de son gouvernement, et la dernière salve de noms soulève beaucoup de questions. Toute la presse parle d'eux : Matt Gaetz, ministre de la Justice ; Pete Hegseth, secrétaire à la Défense ; et Tulsi Gabbard, directrice du Renseignement national. Trois personnes, selon le Washington Post,« idéologiquement extrémistes et manquant de l'expérience nécessaire », alors que le président les a choisies pour des postes-clé de la sécurité du pays.Chacun de ces choix, estime le quotidien, constitue pour le nouveau Sénat à majorité républicaine « un test majeur de sa capacité à faire passer l'intérêt général avant la loyauté envers le parti ». De fait, les sénateurs républicains sont bien embêtés, à en croire le Boston Globe : au Congrès, la presse s'est précipitée pour les faire réagir, et « ils ont affirmé ne pas avoir connaissance des dernières informations, ou ils se sont réfugiés dans des ascenseurs, ou ils ont poussé de longs soupirs incrédules ». De toute façon, Donald Trump compte se passer de leur assentiment, puisque, rappelle le New York Times, il a insisté pour que le chef de la majorité républicaine au Sénat organise des pauses dans les sessions, qui lui permettront d'installer unilatéralement les membres de son cabinet – le quotidien parle d'une « attaque en déni de service contre un des instances de contrôle de la présidence ». Le journal de la PremièreC'est la journée du diabète.
Le code vestimentaire du juif - 2 Halakhot pour être Ben Olam Aba by Rav David Touitou
Le Journal en français facile du lundi 4 novembre 2024, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B6JI.A
durée : 00:37:54 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Le 15 octobre dernier un cycliste est mort à Paris, écrasé par un automobiliste, suscitant une vive émotion chez tous les usagers de la route. Comment penser des espaces de mobilités apaisés qui rassembleraient automobilistes, cyclistes et piétons ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Mathieu Flonneau Enseignant-chercheur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, historien spécialiste des mobilités, de la civilisation de la route et de l'automobilisme, directeur de l'Institut AES-EDS; Aude Raynaud doctorante au Laboratoire aménagement économie transport, associée au Club des villes et territoires cyclables et marchables.
durée : 02:30:40 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Avec Thorniké Gordadzé, chercheur à l'institut Jacques Delors et au think tank géorgien Gnomon Wise / Christophe Girardier, président de la société de conseil Bolonyocté / Mathieu Flonneau, historien spécialiste des mobilités, Aude Raynaud, doctorante au Laboratoire aménagement économie transport - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:07:26 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors que les 50 hommes accusés d'avoir abusé de Gisèle Pelicot sont entendus en ce moment, comment ce procès historique risque-t-il de bousculer les définitions actuelles du viol dans le Code pénal ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Didier Rebut Directeur de l'Institut de criminologie et de droit pénal de Paris, professeur de droit à l'Université Panthéon-Assas (Paris II), membre du club des juristes.
Lorsqu'une personne est en arrêt maladie, il existe certaines restrictions légales et réglementaires qu'elle doit respecter pour éviter des sanctions ou la perte de ses droits. Le Code la sécurité sociale les prévoit à l'article L323-6. 1. Travailler pour son employeur ou pour un autre employeur : Pendant un arrêt maladie, le salarié est censé se reposer pour se rétablir. Travailler pendant cette période, même pour un autre employeur, est considéré comme une fraude et peut entraîner des sanctions.2. Sortir en dehors des heures autorisées : En France, par exemple, les sorties sont souvent limitées à des plages horaires spécifiques, généralement de 9h à 11h et de 14h à 16h. Sortir en dehors de ces heures sans autorisation médicale est interdit.3. Voyager sans autorisation : Les déplacements, surtout ceux de longue distance ou à l'étranger, sont généralement interdits sans une autorisation préalable du médecin traitant et de l'Assurance Maladie. Voyager sans cette autorisation peut entraîner la suspension des indemnités journalières.4. Pratiquer des activités incompatibles avec la maladie : S'engager dans des activités physiques ou sociales qui sont contraires aux recommandations médicales peut être considéré comme abusif. Par exemple, une personne en arrêt maladie pour des problèmes de dos ne devrait pas être vue en train de faire des activités sportives intenses.5. Ne pas respecter les visites médicales de contrôle : Les organismes de sécurité sociale ou l'employeur peuvent mandater des visites de contrôle pour vérifier l'état de santé du salarié. Ne pas se présenter à ces rendez-vous sans justification valable peut entraîner des sanctions.6. Mentir sur son état de santé : Fournir de fausses informations sur son état de santé pour obtenir un arrêt maladie constitue une fraude. Si cela est découvert, le salarié peut faire face à des sanctions disciplinaires de la part de l'employeur et à des poursuites pénales.Le non-respect de ces obligations peut entraîner des sanctions telles que la suspension des indemnités journalières ou des mesures disciplinaires de la part de votre employeur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:01:35 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Petite histoire du QR code en 80 secondes ce matin, du QR code et donc de son ancêtre, le code barre.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Barbara Lefebvre et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Mathieu (prénom d'emprunt) a vécu plusieurs années avec sa belle-fille. Mais depuis sa séparation, la mère refuse qu'il la revoie. Dans son étude genevoise, Corinne Nerfin, avocate spécialisée en droit de la famille, précise que les beaux-parents n'ont pas de droits, mais des devoirs. Le Code civil stipule que chaque époux a « une obligation d'entretien envers les enfants nés d'un premier mariage ». Reportages de Pauline Rappaz Réalisation : Didier Rossat Production : Raphaële Bouchet
Débat entre Mischa Müller, co-fondatrice de l'association Recap-Me, docteure en sciences humaines et sociales, Manfred Bühler, conseiller national (UDC/BE) et Jessica Jaccoud, conseillère nationale (PS/VD).
Carte grise, permis probatoire, infractions... Avec ce quiz, édition code de la route, l'expert en la matière Maître de Caumont, teste les connaissances de ses confrères et des invités de l'émission. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.
Aujourd'hui Zohra Bitan, Elina Dumont et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le 6 mai prochain, les Tchadiens vont élire leur président pour cinq ans. Après les interviews sur RFI et France 24 du président-candidat Mahamat Idriss Déby et du Premier ministre-candidat Succès Masra, voici celle de l'opposant Albert Pahimi Padacké, qui est arrivé officiellement deuxième à la présidentielle d'avril 2021 et qui dirige le parti RNDT Le Réveil. Sa stratégie ? Essayer de se distinguer du président et du Premier ministre, qui, à ses yeux, ont conclu « un arrangement » et ne se livrent qu'un « match amical ». Il a accordé cette interview à Ndjamena à nos envoyés spéciaux Christophe Boisbouvier, de RFI, et Marc Perelman, de France 24. RFI/France24 : C'est donc votre quatrième candidature. Les fois précédentes, vous avez crié à la fraude. Cette élection est organisée par le régime du nouveau président de Transition. Pensez-vous que, cette fois, le scrutin sera bel et bien transparent ?Albert Pahimi Padacké : Il serait trop tôt de dire que nous croyons à la transparence de cette élection. Malheureusement, nous avons eu le référendum [constitutionnel du 17 décembre 2023] qui a montré que nous ne sommes pas sur la voie de la transparence électorale, puisque le peuple a boycotté. Les résultats ont été en décalage avec les résultats des bureaux de vote. Là, nous allons à une présidentielle avec une nouvelle constitution, quelles que fussent les conditions de son adoption. Avec l'Ange – l'administration électorale mise en place par le pouvoir – nous constatons qu'il y a monopole d'un camp, d'un parti : celui du candidat-président de la Transition. Les autres partis, avec lesquels nous sommes aujourd'hui en compétition, sont exclus de toute l'administration électorale. Donc, nous ne pouvons pas gager sur la transparence de cette élection, dans laquelle nous sommes engagés. Et dans son organisation, nous en sommes exclus.Pour cette élection du 6 mai, beaucoup annoncent un duel entre le président-candidat Mahamat Idriss Déby et le Premier ministre-candidat Succès Marsa, parce qu'ils disposent tous les deux des facilités et des réseaux qui sont liés à leurs fonctions. Alors, Albert Pahimi Padacké, ne craignez-vous pas de ne jouer qu'un rôle de figurant ?Il y a deux choses. Ceux qui pensent que ce serait un duel, je leur dirais plutôt que c'est un match amical entre le président et son Premier ministre, parce qu'aucun Tchadien ne croit que le Premier ministre est véritablement candidat face au président. C'est inimaginable. Pourquoi ? Nous savons que ce système fait que, si vous exprimez une opinion contraire à ce que veut le pouvoir, vous êtes pourchassé, vos collaborateurs chassés de l'administration publique et c'est le cas du RNDT-Le Réveil. Lorsque nous avions décidé de boycotter un référendum mal organisé, nos camarades, nos militants ont été chassés de l'administration du territoire, même en pleine campagne. Personne ne peut croire qu'un Premier ministre soit candidat face au président en exercice et qu'il reste en poste, même dans les grandes démocraties, chez vous.C'est dans le cadre de la cohabitation que Mitterrand et Chirac ont pu aller en compétition ensemble [en France, en 1988]. Mais sur ce cas de figure, c'est parce que le Premier ministre n'était pas le choix du président, il était imposé par l'Assemblée nationale. Ici, il ne peut pas y avoir un duel entre les deux. C'est un arrangement, un match amical. Et la deuxième chose, c'est que nous, nous ne jouons pas les figurants dans cette élection. Nous connaissons l'état d'esprit de notre peuple : la population tchadienne a besoin de changement. Elle vit aujourd'hui une vie de misère. Pour la première fois depuis des décennies, le Tchad ne produit que 30 mégawatts d'électricité et on vient de finir un ramadan sans électricité. Le peuple tchadien en a marre et donc nous sommes en harmonie avec les attentes de notre peuple.À écouter aussiMahamat Idriss Déby, président tchadien: «Le Tchad n'est pas dans le principe d'un esclave qui veut changer de maître»Vous venez d'évoquer, donc, ce qui semble être les contours d'un accord secret entre le président de Transition et son Premier ministre. En êtes-vous sûr et pensez-vous que cet accord signifie qu'une fois l'élection passée, cet attelage va rester en place ?Je ne peux pas vous parler avec certitude. J'ai des appréhensions, les appréhensions qui sont celles du peuple tchadien. Appréhensions portant sur les dessous de l'accord de Kinshasa [accord signé le 31 octobre 2023 entre le gouvernement tchadien et le parti Les Transformateurs]. Nous savons très bien d'où les choses sont parties. Des jeunes ont été massacrés [le 20 octobre 2022] au nombre de 300, aux dires même du président des Transformateurs. Aujourd'hui, on revient, on ne parle plus de ces enfants tués. On est nommé Premier ministre et on est candidat – sans démissionner – et le président et le Premier ministre sont d'accord pour continuer. Les appréhensions sont sérieuses, les suspicions sont fortes. Il y a une entente entre le président et son Premier ministre. L'un est candidat, certainement pour garder son poste de président, l'autre est candidat pour garder son poste de Premier ministre. C'est un match amical.Venons-en aux questions régionales. Le régime soudanais a accusé devant les Nations unies le Tchad d'avoir pris fait et cause pour le général Hemetti – chef des Forces de soutien rapide (FSR) – en les armant. Même si Ndjamena a nié, pensez-vous que c'est une erreur d'avoir choisi un des camps dans cette guerre civile qui dure depuis maintenant un an ?Si le gouvernement tchadien a pris fait et cause pour un des belligérants au Soudan, je considère cela comme une erreur grave. Nous n'avons pas besoin de nous mêler de ce qui se passe au Soudan, sauf si nous avons la possibilité d'aider ces frères à se mettre ensemble et se réconcilier. Mais nous n'avons pas intérêt, en tant que peuple tchadien, de prendre parti dans un conflit interne au Soudan.Le gouvernement a-t-il pris parti ?Je n'ai pas la confirmation, je dis simplement que le Tchad n'a pas intérêt à prendre parti dans cette guerre.En janvier dernier, le président Mahamat Idriss Déby est allé voir son homologue russe Vladimir Poutine à Moscou et a dit que le Tchad était un « pays frère » de la Russie. Le pensez-vous tenté par un changement d'alliance militaire au profit de la Russie ? Et si vous étiez élu, envisageriez-vous la même option ?Si nous sommes élus, nous travaillerons avec nos partenaires traditionnels, sans renier la possibilité de nous ouvrir à d'autres partenaires, dans l'intérêt de notre peuple. Nous avons besoin de développer notre pays et, pour le développer, nous avons besoin des ressources extérieures. Dans ce cadre-là, je pense qu'il faut nouer des relations avec tous les pays. Mais ces relations doivent se développer dans l'intérêt de notre peuple. Et parmi les intérêts de notre peuple, il y a la démocratie. Nous avons besoin des pays qui vont nous aider, également, dans la construction démocratique de notre pays, pour éviter de retomber dans ce cycle infernal de guerre que nous avons connu.De façon très concrète, il y a environ 1 000 soldats français et trois bases militaires françaises sur le sol tchadien. Est-ce que ça veut dire moins de soldats et moins de bases, si vous êtes élu ? Cette question, telle que les politiques la posent, que ce soit en Afrique comme en France, je pense que c'est en décalage total avec la réalité. Pour nous, la question des rapports avec la France n'est pas une question de base militaire. Ce n'est pas le sujet. Le sujet est que, depuis 60 ans, les populations africaines sont en décalage d'intérêt avec leurs gouvernants, lesquels gouvernants sont vus par les populations comme étant soutenus par l'Élysée. Ce qu'il faut donc faire, c'est de ramener la coopération entre la France et l'Afrique dans l'intérêt des populations. Il faut que les politiques français cessent de miser sur des personnes, mais sur le peuple.Albert Pahimi Padacké, vous avez bien connu Mahamat Idriss Déby à son arrivée au pouvoir il y a trois ans, puisque vous étiez son Premier ministre. À l'époque, il avait promis qu'il ne se présenterait pas et finalement, il a fait le contraire. Aujourd'hui, il promet la démocratie. Craignez-vous qu'il veuille mettre en place une nouvelle dynastie sur le continent ?Je ne sais pas. D'abord, je ne suis pas de ceux qui pensent, honnêtement, que c'est parce qu'il serait le fils du Maréchal [Idriss Déby Itno], qu'il porte le patronyme Déby qu'il ne devrait pas être candidat. Je ne raisonne pas comme ça. Pour moi, il peut être candidat, pourvu que les conditions d'élections soient les conditions les plus transparentes, mettant à égalité tous les candidats. Dans ces conditions, je me sens capable de le battre. Est-ce qu'il amènera la démocratie ? Je suis candidat, justement, pour restaurer la démocratie dans mon pays, parce que je considère aujourd'hui que le président-candidat Mahamat Idriss Déby est une menace pour la démocratie, au vu de la qualité du référendum que nous avons connu, au vu de l'organisation de l'actuelle présidentielle.C'est pour ça que j'annonce : un, dans mon programme, pour habituer le Tchad à la passation pacifique du pouvoir, je n'exercerai qu'un seul mandat pour organiser le retour au jeu démocratique réel. Deux, je remettrai en jeu la Constitution actuelle, qui est mal adoptée, et je soumettrai la question de la forme de l'État à un référendum, avec un projet sur la forme fédérale et un projet sur la forme unitaire, pour que le peuple puisse décider. Trois, je dissoudrai l'administration électorale actuelle – qui est inique, l'Ange – pour mettre en place une administration électorale équitable. Le Code électoral sera révisé totalement pour y remettre les conditions de transparence. En tout cas, toute l'architecture juridique et institutionnelle permettra d'organiser des élections transparentes, libres et inclusives dans notre pays et d'éviter le retour aux cycles de violences.À lire aussiTchad: le Premier ministre Succès Masra demande aux électeurs «cinq ans pour mettre fin à 60 ans d'obscurité»
Lorsqu'une cyberattaque frappe, les questions fusent. Des hôpitaux aux communes, des grandes entreprises aux citoyennes et citoyens ordinaires, nul n'est à l'abri d'un vol de données, d'une arnaque numérique ou d'une demande de rançon! Que peut-on faire face à ces attaques? Qui protège nos données et négocie avec ces organisations cybercriminelles? Et derrière l'écran, qui tire les ficelles? Ce sont les hackers, figures mystérieuses et objets de beaucoup de fantasmes. Car au-delà de leur image de bandits à capuche se cache une communauté diverse et complexe, faite d'adeptes du «bidouillage» informatique et de pirates éthiques qui protègent nos données. Une communauté issue de cette sous- culture née dans les années soixante et axée sur le partage, la connaissance et la liberté. Les invité.e.s des écho : Solange Ghernaouti Experte internationale en cybersécurité, cyberdéfense et lutte contre la cybercriminalité. Directrice de recherche. Professeure à l'Université de Lausanne. Auteure de nombreux livres dont « Cybercriminalité. Comprendre. Agir. Réagir. » et avec Philippe Monnin le roman « OFF » paru cette année aux éditions Slatkine. & Sylvain Pasini Professeur à la HEIG-VD, responsable du pôle de compétences en sécurité informatique. Président et organisateur de l'événement BLACK ALPS CTF - Ethical hacking contest.
La vue du drapeau des pirates faisait frémir les équipages des navires qui l'apercevaient, car la réputation de férocité de ces écumeurs des mers n'était pas toujours usurpée. Et pourtant ces hommes en rupture de ban devaient se soumettre à certaines règles. En effet, certains chefs de bandes ont élaboré des sortes de codes, souvent connues sous le nom de "chasses-parties". Ces conventions sont d'abord le fait des corsaires, avant d'être adoptées par les pirates. L'un des codes les plus connus est celui mis au point, en 1720, par le célèbre pirate anglais Bartholomew Roberts, dit "Black Bart". Démocratie et discipline La lecture de ces codes, et notamment de celui de Bartholomew Roberts, ne laisse pas d'être surprenante. En effet, ils comprennent des usages démocratiques inconnus des sociétés de l'époque. De fait, les membres de l'équipage peuvent se prononcer, par vote, sur les affaires importantes. On discerne également, dans ces textes, une certaine forme de solidarité entre les pirates. En effet, il existe une caisse commune, dans laquelle on puisera pour compléter la part d'un pirate que ses blessures laissent handicapé. Plusieurs clauses ont pour but de faire régner une stricte discipline à bord. Ainsi, le vol est sévèrement puni. Un pirate qui prend plus que sa part de butin est abandonné sur une île déserte. S'il vole l'un de ses compagnons d'armes, il est condamné à avoir le nez et les oreilles coupés. Pour éviter tout débordement, les rixes sont interdites sur le bateau. Mais les querelles entre deux matelots peuvent se régler au pistolet ou au sabre. Dans la même logique, tout ce qui peut dégénérer en bagarre est proscrit. C'est le cas des jeux d'argent, mais aussi de la présence des femmes à bord des navires. Celle-ci pourrait d'ailleurs distraire les hommes d'équipage, qui doivent, à tout moment, de tenir prêts au combat. Enfin, aucun pirate ne peut "démissionner" avant d'avoir amassé un certain butin. Sans doute craignait-on que les éventuelles révélations de ces pirates repentis ne puissent compromettre la sécurité de leurs camarades. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La vue du drapeau des pirates faisait frémir les équipages des navires qui l'apercevaient, car la réputation de férocité de ces écumeurs des mers n'était pas toujours usurpée.Et pourtant ces hommes en rupture de ban devaient se soumettre à certaines règles. En effet, certains chefs de bandes ont élaboré des sortes de codes, souvent connues sous le nom de "chasses-parties".Ces conventions sont d'abord le fait des corsaires, avant d'être adoptées par les pirates. L'un des codes les plus connus est celui mis au point, en 1720, par le célèbre pirate anglais Bartholomew Roberts, dit "Black Bart".Démocratie et disciplineLa lecture de ces codes, et notamment de celui de Bartholomew Roberts, ne laisse pas d'être surprenante. En effet, ils comprennent des usages démocratiques inconnus des sociétés de l'époque.De fait, les membres de l'équipage peuvent se prononcer, par vote, sur les affaires importantes. On discerne également, dans ces textes, une certaine forme de solidarité entre les pirates.En effet, il existe une caisse commune, dans laquelle on puisera pour compléter la part d'un pirate que ses blessures laissent handicapé.Plusieurs clauses ont pour but de faire régner une stricte discipline à bord. Ainsi, le vol est sévèrement puni. Un pirate qui prend plus que sa part de butin est abandonné sur une île déserte. S'il vole l'un de ses compagnons d'armes, il est condamné à avoir le nez et les oreilles coupés.Pour éviter tout débordement, les rixes sont interdites sur le bateau. Mais les querelles entre deux matelots peuvent se régler au pistolet ou au sabre. Dans la même logique, tout ce qui peut dégénérer en bagarre est proscrit. C'est le cas des jeux d'argent, mais aussi de la présence des femmes à bord des navires. Celle-ci pourrait d'ailleurs distraire les hommes d'équipage, qui doivent, à tout moment, de tenir prêts au combat.Enfin, aucun pirate ne peut "démissionner" avant d'avoir amassé un certain butin. Sans doute craignait-on que les éventuelles révélations de ces pirates repentis ne puissent compromettre la sécurité de leurs camarades. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La vue du drapeau des pirates faisait frémir les équipages des navires qui l'apercevaient, car la réputation de férocité de ces écumeurs des mers n'était pas toujours usurpée. Et pourtant ces hommes en rupture de ban devaient se soumettre à certaines règles. En effet, certains chefs de bandes ont élaboré des sortes de codes, souvent connues sous le nom de "chasses-parties". Ces conventions sont d'abord le fait des corsaires, avant d'être adoptées par les pirates. L'un des codes les plus connus est celui mis au point, en 1720, par le célèbre pirate anglais Bartholomew Roberts, dit "Black Bart". Démocratie et discipline La lecture de ces codes, et notamment de celui de Bartholomew Roberts, ne laisse pas d'être surprenante. En effet, ils comprennent des usages démocratiques inconnus des sociétés de l'époque. De fait, les membres de l'équipage peuvent se prononcer, par vote, sur les affaires importantes. On discerne également, dans ces textes, une certaine forme de solidarité entre les pirates. En effet, il existe une caisse commune, dans laquelle on puisera pour compléter la part d'un pirate que ses blessures laissent handicapé. Plusieurs clauses ont pour but de faire régner une stricte discipline à bord. Ainsi, le vol est sévèrement puni. Un pirate qui prend plus que sa part de butin est abandonné sur une île déserte. S'il vole l'un de ses compagnons d'armes, il est condamné à avoir le nez et les oreilles coupés. Pour éviter tout débordement, les rixes sont interdites sur le bateau. Mais les querelles entre deux matelots peuvent se régler au pistolet ou au sabre. Dans la même logique, tout ce qui peut dégénérer en bagarre est proscrit. C'est le cas des jeux d'argent, mais aussi de la présence des femmes à bord des navires. Celle-ci pourrait d'ailleurs distraire les hommes d'équipage, qui doivent, à tout moment, de tenir prêts au combat. Enfin, aucun pirate ne peut "démissionner" avant d'avoir amassé un certain butin. Sans doute craignait-on que les éventuelles révélations de ces pirates repentis ne puissent compromettre la sécurité de leurs camarades. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La vue du drapeau des pirates faisait frémir les équipages des navires qui l'apercevaient, car la réputation de férocité de ces écumeurs des mers n'était pas toujours usurpée.Et pourtant ces hommes en rupture de ban devaient se soumettre à certaines règles. En effet, certains chefs de bandes ont élaboré des sortes de codes, souvent connues sous le nom de "chasses-parties".Ces conventions sont d'abord le fait des corsaires, avant d'être adoptées par les pirates. L'un des codes les plus connus est celui mis au point, en 1720, par le célèbre pirate anglais Bartholomew Roberts, dit "Black Bart".Démocratie et disciplineLa lecture de ces codes, et notamment de celui de Bartholomew Roberts, ne laisse pas d'être surprenante. En effet, ils comprennent des usages démocratiques inconnus des sociétés de l'époque.De fait, les membres de l'équipage peuvent se prononcer, par vote, sur les affaires importantes. On discerne également, dans ces textes, une certaine forme de solidarité entre les pirates.En effet, il existe une caisse commune, dans laquelle on puisera pour compléter la part d'un pirate que ses blessures laissent handicapé.Plusieurs clauses ont pour but de faire régner une stricte discipline à bord. Ainsi, le vol est sévèrement puni. Un pirate qui prend plus que sa part de butin est abandonné sur une île déserte. S'il vole l'un de ses compagnons d'armes, il est condamné à avoir le nez et les oreilles coupés.Pour éviter tout débordement, les rixes sont interdites sur le bateau. Mais les querelles entre deux matelots peuvent se régler au pistolet ou au sabre. Dans la même logique, tout ce qui peut dégénérer en bagarre est proscrit. C'est le cas des jeux d'argent, mais aussi de la présence des femmes à bord des navires. Celle-ci pourrait d'ailleurs distraire les hommes d'équipage, qui doivent, à tout moment, de tenir prêts au combat.Enfin, aucun pirate ne peut "démissionner" avant d'avoir amassé un certain butin. Sans doute craignait-on que les éventuelles révélations de ces pirates repentis ne puissent compromettre la sécurité de leurs camarades. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis la nuit des temps, le duel est considéré comme le moyen privilégié de vider une querelle ou de laver son honneur. Au Moyen-Âge, il pouvait même remplacer la justice ordinaire.Le duel judiciaire faisait en effet partie de ces ordalies qui laissaient Dieu désigner le coupable. Très prisé de la noblesse, tout au long de l'Ancien Régime, le duel faisait des coupes sombres dans ses rangs.C'est pourquoi Richelieu prend plusieurs édits, au XVIIe siècle, pour en interdire la pratique. Ils punissaient le duel avec la plus grande rigueur, le cardinal n'hésitant pas à faire exécuter, en 1627, un grand seigneur qui avait enfreint ces règles.Le duel toléréMais cette législation répressive n'empêche pas le duel de se maintenir. D'autant qu'à compter de la Révolution française, on en revient à un régime de tolérance.Le Code pénal ne traitant pas du duel de façon explicite, c'est la jurisprudence de la Cour de Cassation qui fixe les règles en la matière. Ainsi, en cas de mort d'un des duellistes, elle assimile son adversaire à un meurtrier. Et, si l'un des participants est blessé, l'autre peut être condamné pour coups et blessures.Mais il ne s'agit là que de théorie. En réalité, ces peines sont rarement appliquées, ce qui encourage les duellistes. Les duels font en effet plus de 200 victimes entre 1826 et 1834.Une forme de combat qui tombe en désuétudeL'usage du duel s'est maintenu tout au long du XIXe siècle, où de célèbres écrivains, comme Alexandre Dumas ou Théophile Gautier, se retrouvent souvent sur le pré.La pratique persiste au XXe siècle. Des hommes politiques, comme Clemenceau, y recourent à plusieurs reprises. Il se battra en particulier contre le futur Président de la République Paul Deschanel.Mais le duel tombe en désuétude après la Seconde Guerre mondiale, les affaires de diffamation se réglant désormais devant les tribunaux.En France, le dernier duel célèbre, en 1967, oppose le maire de Marseille, Gaston Defferre, au député gaulliste René Ribière. Les deux hommes se battent à l'épée, la rapière de Gaston Defferre, plus aguerri, égratignant finalement son adversaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis la nuit des temps, le duel est considéré comme le moyen privilégié de vider une querelle ou de laver son honneur. Au Moyen-Âge, il pouvait même remplacer la justice ordinaire. Le duel judiciaire faisait en effet partie de ces ordalies qui laissaient Dieu désigner le coupable. Très prisé de la noblesse, tout au long de l'Ancien Régime, le duel faisait des coupes sombres dans ses rangs. C'est pourquoi Richelieu prend plusieurs édits, au XVIIe siècle, pour en interdire la pratique. Ils punissaient le duel avec la plus grande rigueur, le cardinal n'hésitant pas à faire exécuter, en 1627, un grand seigneur qui avait enfreint ces règles. Le duel toléré Mais cette législation répressive n'empêche pas le duel de se maintenir. D'autant qu'à compter de la Révolution française, on en revient à un régime de tolérance. Le Code pénal ne traitant pas du duel de façon explicite, c'est la jurisprudence de la Cour de Cassation qui fixe les règles en la matière. Ainsi, en cas de mort d'un des duellistes, elle assimile son adversaire à un meurtrier. Et, si l'un des participants est blessé, l'autre peut être condamné pour coups et blessures. Mais il ne s'agit là que de théorie. En réalité, ces peines sont rarement appliquées, ce qui encourage les duellistes. Les duels font en effet plus de 200 victimes entre 1826 et 1834. Une forme de combat qui tombe en désuétude L'usage du duel s'est maintenu tout au long du XIXe siècle, où de célèbres écrivains, comme Alexandre Dumas ou Théophile Gautier, se retrouvent souvent sur le pré. La pratique persiste au XXe siècle. Des hommes politiques, comme Clemenceau, y recourent à plusieurs reprises. Il se battra en particulier contre le futur Président de la République Paul Deschanel. Mais le duel tombe en désuétude après la Seconde Guerre mondiale, les affaires de diffamation se réglant désormais devant les tribunaux. En France, le dernier duel célèbre, en 1967, oppose le maire de Marseille, Gaston Defferre, au député gaulliste René Ribière. Les deux hommes se battent à l'épée, la rapière de Gaston Defferre, plus aguerri, égratignant finalement son adversaire. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui dans Graine de Métamorphose Xavier Pitois reçoit Cyrus North créateur de contenu, vidéaste web français et vulgarisateur de philosophie sur YouTube. Comment vivre libre et accroître son bonheur ? Que nous disent nos émotions ? Que puis-je connaître de moi-même ? Qu'est-ce qui dépend de moi ? C'est désormais avec un premier ouvrage - mais toujours teinté d'humour - que Cyrus North reconnecte des sujets brûlants comme le développement personnel et la philosophie. Dans cet épisode, il nous invite à se questionner tout en nous offrant des méthodes et des réflexions au service du bonheur au quotidien. Épisode #67Quelques-unes des questions à Cyrus North : Est-ce qu'avoir une vie plus heureuse, ce ne serait pas finalement mieux vivre avec ses souffrances ?Ton livre est très imprégné de stoïcisme, quels sont les principes de cette philosophie ?Vois-tu les religions comme un accès éventuel au bonheur ?Quelle serait la vertu la plus importante à entretenir ?Est-ce que notre bonheur augmente si on diminue notre désir ?Ton outil préféré pour gérer les émotions est les colonnes de Aaron Beck, pourrais-tu nous le présenter ?Comment es-tu venu à la méditation et que t'a-t-elle apportée ?Comment entretenir une relation saine avec l'argent ?Qui est mon invité du jour Cyrus North ? : Cyrus North est un créateur de contenu et vidéaste web français qui s'est fait connaître pour son travail de vulgarisation de la philosophie sur YouTube, sur sa chaîne éponyme lancée en 2013 (794 000 abonnés). À partir de 2016, son contenu se diversifie avec des sujets plus généralistes et met en lumière des liens entre certaines branches de la philosophie (axiologie, éthique) et le développement personnel. En dehors de sa chaîne principale, il poursuit la ligne initiale d'initiation à la philo avec la chaîne l'Antisèche (645 000 abonnés). Il a publié son premier ouvrage intitulé "Le code" aux éditions Albin Michel.Quelques citations de l'épisode avec Cyrus North : "A partir du moment où tu peux te remettre en question, ta recherche vers la vérité se passe globalement bien.""Comme tout est impermanent, ton désir l'est aussi.""Je désacralise l'argent, ça me permet de ne pas en avoir peur."Retrouvez Graine de Métamorphose Podcast sur InstaInscrivez-vous à la Newsletter ici : https://www.metamorphosepodcast.com/Découvrez gratuitement La Roue Métamorphose et les 9 piliers de votre vie !Soutenez la Tribu Métamorphose, devenez actifs !Retrouvez Graine de Métamorphose sur Apple Podcast / Spotify / Google Podcasts / Deezer / YouTube / SoundCloud / CastBox/ TuneIn.Photo © Hippolyte Petit Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.