POPULARITY
Toujours pas de nouveau gouvernement et la situation se tend de plus en plus. Mercredi 18 octobre, la réunion qui devait se tenir à Matignon entre Michel Barnier et les ténors de la droite a finalement été reportée. De l'auto côté, les machinistes ne cachent pas leurs réserves et demandent des clarifications quant à la ligne politique de Michel Barnier. « Je fais confiance à Michel Barnier. Ce qui fait sa force, c'est d'être au-dessus des partis », réagit, Olivier Marleix, député droite républicaine d'Eure-et-Loir, invité des 4 Vérités, jeudi 19 septembre 2024, sur France 2. Et les tensions seraient également vives avec l'Elysée. Dans la même journée, une rumeur, depuis démentie, annonçait même une démission du nouveau Premier ministre. « La saison pour laquelle il a été choisi par le Président de la République, c'est sa capacité d'écoute pour tous les Français, son envie de respecter le suffrage des Français. Il essaye de constituer un gouvernement qui traduit cette volonté de respect, d'écoute. Je l'invite à ne pas être l'otage des chefs de partis », précise l'élu. Toujours selon les rumeurs, le président de la République aurait refusé une première liste de noms proposée par Michel Barnier. En cause ? Une liste trop à droite pour l'Elysée composé principalement des ténors des Républicains. Une situation qui fait mouche quand LR n'a remporté que 47 députés lors des dernières élections législatives. « Cela ne m'a pas échappé que les Républicains n'ont pas gagné ces élections législatives. (…) Je fais confiance à Michel Barnier pour faire un gouvernement équilibré qui exprime à la fois sa détermination et son ouverture. Il a montré que la porte était ouverte, malheureusement à gauche, certains sont toujours les otages de Monsieur Mélenchon », précise-t-il qui alerte sur la « crise politique » que traverse la France. « Le but est de trouver un gouvernement qui puisse tenir ». Impôts, budget, immigration… Michel Barnier doit-il clarifier ? Parmi les points de litige : l'augmentation des impôts suggérée par Michel Barnier lors de sa prise de fonction. Il se dit favorable à plus de « justice fiscale ». Invité sur France 2, mercredi 18 septembre, Gérald Darmanin a été clair: « hors de question d'appartenir à un gouvernement qui augmente les impôts ». La veille, l'ex Premier ministre, Gabriel Attal avait également demandé en urgence une réunion à Matignon pour avoir plus de précisions sur le sujet. « C'est une rumeur lancée par Gérald Darmanin pour lui permettre de la commenter », affirme Olivier Marleix. « Tout le monde est ouvert à plus de justice fiscale mais on a bien compris que les impôts c'était le problème et non la solution ». Un nouveau gouvernement pourra-t-il être trouvé d'ici la fin de la semaine ? « Je ne sais pas. C'était le calendrier annoncé par le Premier ministre. Je lui fais confiance », réaffirme Olivier Marleix.
Ce mardi 3 septembre 2024, Olivier Marleix, député LR d'Eure-et-Loir, était l'invité dans Face aux Experts. Il est revenu sur les risques de dérapage des finances publiques et sur le rôle du parti LR dans la course à Matignon.
"Poursuivre dans l'hémicycle un moment d'unité nationale". Voici l'objectif du député Les Républicains Olivier Marleix. L'ancien patron des députés de droite souhaite déposer une proposition de loi visant à exonérer d'impôts, les primes reçues, à chaque médaille, par les champions olympiques français. "Exonérons nos médaillés aux JO et Jeux paralympiques d'impôt sur leurs primes", a-t-il écrit sur X. Dans un document diffusé par Le HuffPost, Olivier Marleix explique vouloir compenser le manque à gagner par une surtaxe sur le tabac.
C dans l'air du 10 avril 2024 - Dette: La faute aux fonctionnaires? C'est une sortie dans la presse qui fait polémique. Dans un entretien au Parisien, le ministre de la Fonction publique, Stanislas Guerini, a affirmé vouloir s'attaquer au "tabou du licenciement dans la fonction publique". Une petite phrase qui n'a pas manqué d'échauder les partenaires sociaux, alors que débutait ce mardi à Paris la concertation autour d'un vaste projet de réforme, et de susciter une avalanche de réactions dans la classe politique. "Purement honteux" pour la CGT, "absolument scandaleux" pour La France insoumise, "travers de l'anti-fonctionnaire" pour le Rassemblement national… Même chez LR qui ciblait pourtant récemment encore le statut de fonctionnaire, l'idée fait réagir. "J'ai envie de poser la question, sans malice, est-ce que cela vaudra aussi pour les ministres incompétents ?" s'est interrogé Olivier Marleix. Le président du groupe LR à l'Assemblée nationale a également dénoncé une "belle diversion en pleine campagne électorale" . Et ce alors que les mauvaises nouvelles s'accumulent sur le front des finances publiques pour l'exécutif. Ce mercredi en Conseil des ministres, le ministre de l'Economie devait lever le voile sur un nouveau dérapage du déficit pour 2024 de plus de 5 % du PIB contre 4,4 % initialement prévu dans le nouveau programme de stabilité annuel, document que le gouvernement va envoyer à Bruxelles. C'est la deuxième fois à quelques semaines d'intervalle que Bercy remet l'ouvrage sur le métier pour se justifier sur un tel dérapage. En mars dernier, le gouvernement avait déjà dévoilé un déficit pour 2023 bien supérieur à ses estimations : 5,5 % contre 4,9 % initialement anticipés. En conséquence, le premier plan d'économies de 10 milliards d'euros pour 2024 déjà annoncé ne suffira pas et les oppositions multiplient les critiques à l'égard d'un exécutif qu'ils jugent insincère et incompétent. "Les hypothèses" du budget 2023 "étaient pipotées", a ainsi accusé Bruno Retailleau. Au point, pour la droite, de déposer une motion de censure ? Pour le patron des sénateurs LR "cela dépend du gouvernement". La droite lui a adressé plusieurs "lignes rouges". Éric Ciotti, patron du parti, les a définies dans Le Parisien samedi : "1, nous refuserons toute augmentation des prélèvements obligatoires. 2, nous refuserons la désindexation des retraites. 3, les dépenses de santé ne doivent pas constituer la variable d'ajustement des errances gouvernementales", a-t-il dit. Si motion de censure il y a, ce ne sera pas à partir d'un budget rectificatif pour 2024, Emmanuel Macron a écarté cette option, mais soit au moment du vote du prochain budget à l'automne, soit en déposant une motion de censure dite spontanée (chaque groupe a le droit d'en dégainer une par session) si la note de la France est dégradée fin avril par les agences de notation. Alors le risque est-il sérieux ? Qu'est-ce qu'une motion de censure ? Pourquoi un tel dérapage des comptes publics ? Quel est le plan de l'exécutif pour réduire les déficits ? Alors que les collectivités locales sont appelées par le gouvernement à prendre part à l'effort budgétaire, ces dernières disent refuser qu'on leur « fasse les poches ». Car, contrairement à l'Etat, elles sont obligées de voter des budgets à l'équilibre et ne creusent donc pas au déficit public du pays, rappellent-elles. LES EXPERTS : - Nathalie Schuck - Grand reporter – Le Point - Mathieu Plane - Economiste, directeur adjoint du département Analyse et Prévision - OFCE - François Ecalle - ancien rapporteur général de la Cour des Comptes, président de Fipeco - Emmanuelle Souffi - journaliste au service France – Nouvel Obs DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:01:38 - Le vrai ou faux - Le chef de file Les Républicains à l'Assemblée nationale assure que "80% des Français n'ont pas accès aux soins palliatifs". C'est inexact, on estime que 50% des Français qui devraient être pris en charge en soins palliatifs n'y ont pas accès.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Olivier Marleix, président des députés LR à l'Assemblée nationale, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la nomination de Rachida Dati au ministère de la Culture et de la Communication, de l'enjeu de l'immigration, des causes des émeutes et de la fin de la subvention à l'établissement privé Stanislas.
Bienvenue dans Backseat, l'émission qui analyse l'actualité politique tout en restant intéressante et accessible ! Au programme du jour : 00:00:00 : L'invité de la semaine 00:21:29 : Le powerpoint de Vincent 00:32:03 : L'invité de la semaine (suite) 00:42:36 : L'actu de la semaine 01:19:45 : Jonas Cardoso, du collectif Golem 01:46:16 : Le jeu à la con 01:55:25 : L'avis d'Adèle 02:07:31 : L'invité politique 02:46:41 : Conclusion
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale et député d'Eure-et-Loir répond aux questions de Sonia Mabrouk.
Olivier Marleix revient sur les 1040 cas enregistrés d'actes antisémites depuis le début de l'offensive du Hamas en Israël depuis le 7 octobre. Des actes qui montrent que la société ne va pas bien, selon le président du groupe LR à l'Assemblée nationale.
durée : 00:02:40 - Le vrai ou faux - Le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée estime dans Le Figaro que le gouvernement applique la loi trop "mollement" et n'exécute pas assez des obligations de quitter le territoire français (OQTF) qui ont été prononcées.
Le président du groupe LR à l'Assemblée nationale, Olivier Marleix, était l'invité de Laurence Ferrari dans #LaMatinale sur CNEWS. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'invité de Mardi politique est Olivier Marleix (@oliviermarleix), président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale et député d'Eure-et-Loir. Olivier Marleix est interrogé par :- Frédéric Rivière (RFI)- Roselyne Febvre (France 24). Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions - 18h10 - 18h30 sur France 24- 20h10 - 20h30 sur RFI.
C dans l'air du 12 juin avec Éric Ciotti, président du parti Les Républicains et député des Alpes-Maritimes. L'attaque au couteau à Annecy qui a blessé six personnes dans une aire de jeux a relancé le débat sur l'immigration. Alors que les quatre jeunes enfants de 22 mois à 3 ans sont sorties d'affaire, l'assaillant présumé a été mis en examen ce samedi 10 juin pour "tentatives d'assassinats" et "rébellion avec arme", et placé en détention provisoire à l'isolement dans une cellule anti-suicide. Très vite après le drame, les droites ont dénoncé la politique migratoire de la France. Eric Ciotti, le président du parti Les Républicains et député des Alpes-Maritimes appelle "à une réaction de tous ceux qui ne veulent pas que notre nation soit détruite" et évoque le profil de l'assaillant, "issu de l'immigration, qui pose question". Olivier Marleix, le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale affirme que "l'immigration massive incontrôlée tue". Du côté de l'extrême droite, Jordan Bardella a estimé que "c'est toute notre politique migratoire (…) qu'il faut remettre en cause” et pour le député RN de l'Yonne Julien Odoul "une nouvelle fois, l'espace Schengen démontre son incapacité à nous protéger". Ce jeudi, l'Union européenne a trouvé un accord sur les règles du droit d'asile. Le principe repose sur un partage de la charge avec les pays d'accueil : l'Italie et la Grèce. La France par exemple devrait accueillir 30 000 demandeurs d'asile par an. Le texte prévoit aussi un examen accéléré des demandes d'asile. Dans une interview accordée au Parisien ce samedi, Éric Ciotti "demande solennellement à Emmanuel Macron" de recevoir les LR. Pour lui "plus que jamais, et l'actualité tragique d'Annecy l'a encore démontré, nous avons besoin de rompre avec l'immobilisme en matière d'immigration. Le chaos migratoire nous menace". Le président du parti Les Républicains et député des Alpes-Maritimes reviendra sur la politique migratoire de la France et sur la main tendue par l'exécutif pour trouver un terrain d'entente au sujet de projet de loi immigration.
Jeudi 08 juin, un homme armé d'un couteau, dans un parc sur les bords du lac d'Annecy, a grièvement blessé six personnes, dont quatre enfants âgés de 22 mois à 3 ans. Le suspect est en garde à vue pour tentative d'assassinat et n'a pas encore été interrogé. Il doit subir un test psychiatrique ce vendredi 9 juin. Au lendemain de l'attaque, deux enfants, sont toujours hospitalisés « en état d'urgence absolue ». Le pronostic vital de trois blessés est engagé. « C'est une abomination qui s'est passée, inédite en France. Toucher à un enfant c'est frapper l'innocence. C'est insupportable, incompréhensible », a réagi, vendredi 9 juin, Eric Ciotti, invité des 4 Vérités, sur France 2. « C'est insupportable que ces scènes aient été diffusées sur les réseaux sociaux », précise-t-il, adressant ses pensées aux familles des victimes. À droite et au Rassemblement National, certains voient un lien entre ce drame et l'immigration. "L'immigration massive incontrôlée tue", a notamment écrit sur Twitter, Olivier Marleix, le chef de file des députés Les Républicains, quelques heures après l'attaque, provoquant ainsi la polémique même au sein de son propre parti. « Cette affaire doit poser des questions. Il y a l'émotion certes mais il y a aussi le devoir de l'action. (…) Derrière cette histoire, il y a un chaos migratoire. Qui bouleverse l'Europe, frappe la France avec une immigration incontrôlée, qui a un lien direct avec l'augmentation de la délinquance. Derrière tout ça, il y a un pays qui est de plus en plus soumis à la violence et il y a également le développement des pathologies psychiatriques que notre société ne prend pas en compte », confirme l'actuel président des Républicains. « Un homme politique responsable doit porter des mesures, doit agir », ajoute-t-il. Asile : faut-il changer les règles ? L'assaillant ? Un homme né en 1991 en Syrie qui avait obtenu le statut de réfugié en Suède, où il a vécu pendant dix ans. Il était entré en situation régulière sur le territoire français, où il avait déposé une deuxième demande d'asile, en novembre 2022, qui venait de lui être refusée. « Il n'aurait pas dû être en France car le statut qu'il a obtenu en Suède ne l'autorisait pas à rester aussi longtemps dans notre pays. Pourquoi avoir attendu sept mois pour statuer sur sa demande d'asile ? Il ne réunissait aucune des conditions. Il y a une gestion catastrophique de l'asile en Europe. Il faut changer les règles françaises et ne plus se soumettre à des règles inadaptées », affirme le député des Alpes Maritimes. Les trois présidents – Eric Ciotti, du parti LR, Olivier Marleix, du groupe parlementaire LR à l'Assemblée nationale, et Bruno Retailleau, du groupe LR au Sénat- ont déposé, il y a quelques semaines, deux propositions de loi constitutionnelle sur l'immigration. Ce projet de loi suggère notamment que la demande d'asile soit faite à l'extérieur des frontières. « On veut modifier la constitution par référendum car aujourd'hui on a toujours les apôtres de l'impuissance qui se confient dans l'immobilisme. L'immobilisme conduit à ces situations. Il faut changer de cadre et ce sont Français qui doivent décider », explique Eric Ciotti. « Arrêtons avec la naïveté. Il faut resserrer les mailles du filet et être plus protecteur. Il faut aussi s'attaquer à la violence », poursuit-il, appelant à plus de fermeté notamment sur le plan pénal.
C dans l'air du 8 juin : LES EXPERTS - DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice, Le Parisien - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions - SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef du service politique - Marianne - DRISS AÏT YOUSSEF - Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité Une attaque épouvantable au couteau a eu lieu ce jeudi matin dans une aire de jeu dans le grand parc qui borde le lac d'Annecy. Deux adultes et quatre enfants de moins de trois ans ont été blessés, certains se trouvent en urgence absolue, selon un bilan provisoire. L'agresseur présumé a été rapidement interpellé par les forces de l'ordre. Il s'agit d'un homme de nationalité syrienne, avec le statut de réfugié en Suède depuis dix ans. Inconnu des services de police, il est entré légalement en France. La justice a ouvert une enquête pour tentative d'assassinat. "Il n'y a pas d'éléments qui pourraient laisser entendre une motivation terroriste" à ce stade, a fait savoir la procureure de la République d'Annecy, lors d'une conférence de presse. Une cellule d'information a été mise en place par la préfecture de Haute-Savoie : 04 50 33 61 33. Emmanuel Macron a dénoncé ce midi une "attaque d'une lâcheté absolue". "La Nation est sous le choc", a déclaré le chef de l'État. La Première ministre Elisabeth Borne et Gérald Darmanin se sont rendus sur place pour exprimer "tout le soutien de la nation" . A l'Assemblée nationale, une minute de silence a été observée en fin de matinée à la demande de la présidente Yaël Braun-Pivet "pour eux, pour leurs familles", après cette "attaque gravissime". Pour le secrétaire national du Parti communiste français Fabien Roussel, "aucun mot ne peut qualifier une telle horreur". "Comment est-ce possible ? Attaquer des petits ! Les frapper avec un couteau ! Notre cœur est en miette à devoir le vivre. Aux enfants notre affection douloureuse. Aux parents toute notre compassion affligée", a lancé le chef de file de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. "Toutes nos pensées pour ces enfants qui luttent pour leur survie et pour leurs familles", a aussi écrit le Premier secrétaire du PS, Olivier Faure. Le président du parti Les Républicains Eric Ciotti a fait part, de son côté, de son "immense émotion et de sa grande colère" après cette attaque décrite par son ami Laurent Wauquiez, président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes, comme "le sommet de l'abomination". Le député d'Eure-et-Loir et président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, Olivier Marleix, a dénoncé, sur twitter : "l'immigration massive incontrôlée tue. Plutôt que de nous lamenter à chaque nouveau crime, mettons enfin un coup d'arrêt à l'immigration de masse !". "Après le drame d'Annecy, c'est toute notre politique migratoire, et un certain nombre de règles européennes, qu'il faut remettre en cause. On doit se donner les moyens d'agir et de reprendre le contrôle d'une situation qui échappe au gouvernement. Ce débat est urgent " a estimé le président du Rassemblement national, Jordan Bardella. Depuis Annecy, cet après-midi, la Première ministre a appelé à ce qu'il n'y ait pas d'emballement alors que l'enquête ne fait que débuter. "Aujourd'hui c'est le temps de l'émotion" a affirmé Elisabeth Borne. Un drame qui n'a pas fini de faire réagir et a relancé le débat à droite à l'extrême droite sur l'immigration, alors que le gouvernement prépare un projet de loi sur le sujet pour l'automne et que les négociations avec LR ont débuté depuis plusieurs semaines. Alors que s'est-il passé ce matin à Annecy ? Que sait-on du profil de l'agresseur présumé ? Que veut faire le gouvernement avec le prochain projet de loi immigration ? Où en sont les discussions avec Les Républicains ? Enfin Emmanuel Macron réagissant ces derniers jours à une série de faits-divers successifs, avait déclaré : "il faut être intraitable sur le fond. Aucune violence n'est légitime. Il faut travailler en profondeur pour contrer ce processus de décivilisation." Que voulait dire le chef de l'Etat ? D'où vient le terme "décivilisation" utilisé par le président de la République ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:01:54 - Le vrai du faux - Le chef de file des députés Les Républicains affirme que cela représente la population d'une ville comme Toulouse.
L'ÉDITORIAL DU FIGARO - Deux Français sur trois partagent les propositions de LR sur la maîtrise de nos frontières, mais déjà le plan d'Éric Ciotti, Bruno Retailleau et Olivier Marleix réveille les réflexes pavloviens.
durée : 00:55:17 - Questions politiques - Le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale et député d'Eure-et-Loir Olivier Marleix était l'invité de Questions politiques sur France Inter, ce dimanche.
Emmanuel Macron poursuit sa tournée « d'apaisement ». Dans le cadre de ses « cent jours » pour relancer son second quinquennat, le chef de l'État était dans le Doubs pour célébrer la journée l'abolition de l'esclavage, jeudi 17 avril 2023. Quelques heures auparavant, il était en déplacement dans le Jura. Une nouvelle fois arrêté par des manifestations clandestines, le président de la République a notamment tendu la main aux élus locaux. « Emmanuel Macron est au pouvoir depuis presque 10 ans, entre sa période de François Hollande et son quinquennat. Et on en arrive à toujours avoir l'impression qu'on est en début de quinquennat, avec des grandes annonces. On nous annonce de la décentralisation. (…) La réalité c'est qu'il y a une recentralisation du pouvoir, une bureaucratie croissante. Nous sommes face à des injonctions contradictoires », commente David Lisnard, président de l'Association des maires de France, invité des 4 Vérités, vendredi 28 avril. En début de semaine, dans un entretien au journal le Parisien, Emmanuel Macron un grand projet de restauration écologique des écoles. L'objectif ? En finir avec les passoires thermiques et contribuer à réduire nos émissions de gaz à effet de serre. « C'est une dépense exclusive des mairies. On engage un plan national qui engage la dépense des autres tout en privant de recettes les villes et dans un pays qui augmente ses prélèvements », réagit l'édile de Cannes, qui fustige la « bureaucratie ». Mercredi 26 avril, la Première ministre, Élisabeth Borne a présenté sa feuille de route des "cent jours d'apaisement et "d'action" voulue par Emmanuel Macron jusqu'au 14 juillet. « Ce qu'on souhaite en tant qu'élu local, c'est qu'on sorte de l'infantilisation et de la tutellisation. On veut en finir avec ces postures qui consistent, de temps en temps, à nous flatter, de temps en temps, à annoncer des objectifs nationaux qui sont, en fait, du seul ressort des élus locaux », explique David Lisnard au micro de Guillaume Daret. « Je ne fais aucun procès d'intention à la Première ministre qui est une personne respectable et loyale à son président et veut servir son pays. (…) Ce que l'on souhaite c'est être responsable, rendre des comptes, on est mandaté par les habitants », précise-t-il, estimant qu'il y a une « crise de l'exercice du pouvoir ». Dans ce contexte politique tendu, qui fait suite à l'adoption de la réforme des retraites par le 49.3, Emmanuel Macron a reporté le projet de loi Immigration à l'automne, faute de majorité. Invitée des 4 Vérités, jeudi 27 avril, sur France 2, le chef du gouvernement a appelé le groupe Les Républicains à construire un consensus. « Tout ça est une posture. (…) La réponse a été très claire, de la part d'Eric Ciotti, Olivier Marleix et Bruno Retailleau. Nous avons un projet législatif radical pour couper le robinet de l'immigration aujourd'hui », affirme David Lisnard. Les Républicains peuvent-ils passer un accord de gouvernement avec Emmanuel Macron et Élisabeth ? « Face à la crise démocratique et civique grave, nous devons proposer une alternative puissante, crédible et raisonnable. Pour cela, il ne faut pas se fourvoyer avec un pouvoir dont la façon de gouverner conduit à l'échec », souligne l'édile. Depuis quelque jours, les rumeurs enflent autour d'une nomination du président LR du Sénat, Gérard Larcher, à Matignon. Une hypothèse que les élus Les Républicains estiment peu probable. « Cela ne changerait rien. D'une part, la Macronie est un archipel très divisé aujourd'hui. D'autre part, le président de la République est habitué à tout centrer sur lui. Le problème, au-delà d'un manque de majorité, c'est son manque de projet, de souffle de vision pour le pays. Notre pays a tout pour rebondir mais il est aujourd'hui en effondrement sur ses comptes publics, avec des bombes à retardement à fragmentation avec le 'quoi qu'il en coûte' qui vont nous pénaliser. Nous dépensons plus que nous produisons. Il faut un vrai plan de redressement de la France », affirme David Lisnard. 2027 : qui sera candidat à droite ? En vue de l'élection présidentielle de 2027, Eric Ciotti se dit favorable à la suppression de la primaire de la droite pour choisir le candidat. « C'est qui est certain c'est que l'on doit avoir un mode de sélection qui soit suffisamment tôt pour préparer le candidat ou la candidate qui sera retenu. La dernière fois c'était trop tard », commente David Lisnard, désireux de créer une « épopée positive », à travers son mouvement national baptisé « Une Nouvelle Énergie », qu'il a lancé en juin 2021, en vue de peser dans la nomination du candidat LR à l'élection présidentielle de 2022.
durée : 02:29:16 - Le 7/9.30 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, François Gemenne, directeur de l'Observatoire Hugo à l'université de Liège, membre du Giec, Emma Haziza, hydrologue, et Raphaël Nedilko, officier de police judicaire, auteur de "L'Obstiné" (StudioFact), sont les invités de la matinale.
durée : 00:09:40 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir et président du groupe LR à l'Assemblée nationale, est l'invité de 7h50. Il estime que "la situation politique actuelle doit obliger" le Président "à un changement de comportement assez radical". Il se dit contre une coalition LR avec le gouvernement.
Éric Dupond-Moretti aurait-il perdu son sang-froid ? Hier à l'Assemblée nationale, le ministre de la justice a adressé trois bras d'honneur au député les Républicains Olivier Marleix, suscitant l'indignation sur les bancs de l'hémicycle. Il faut dire que l'intervention de Marleix avait de quoi irriter le garde des sceaux, qui s'est vu rappeler sa mise en examen par la cour de justice de la république pour prise illégale d'intérêts. En effet, Dupond-Moretti aurait mené une vendetta personnelle contre des magistrats avec lesquels il aurait eu des déboires du temps où il était avocat. Le garde des sceaux a en effet diligenté des enquêtes disciplinaires contre des juges, qui lui en ont fait voir des vertes et des pas mûres. Un mélange des genres surprenant, qui dans n'importe quelle démocratie, aurait amené le garde des sceaux à démissionner. Mais pas en France. Pas Eric Dupond-Moretti. Mis en examen, le ministre de la justice reste droit dans ses bottes et bien en poste. Il garde toute la confiance d'Emmanuel Macron, qui semble ne pas s'inquiéter des casseroles que traîne son gouvernement. Dans sa nouvelle carte blanche, Thomas Dietrich dresse le portrait d'Eric Dupond-Moretti, ancien ténor du barreau et ministre de la justice tonitruant. Le garde des sceaux est tout aussi capable d'oublier de déclarer une partie de son patrimoine, que de frayer avec des dictatures étrangères comme le Congo-Brazzaville ou le Maroc. Finalement, Dupond-Moretti est un symbole : celui d'une macronie où l'on s'affranchit de toutes les règles. ▶ Soutenez Le Média :
Le ministre de la Justice Eric Dupont-Moretti s'est emporté le 7 mars 2023 lors du débat sur les auteurs de violences sexistes à l'Assemblée nationale. Le député Les Républicains Olivier Marleix a rappelé les affaires judiciaires de plusieurs ministres dont celle du Garde des sceaux, accusé de “prises illégales d'intérêts”. Ce dernier lui a adressé un bras d'honneur en réponse. La séance a été suspendue et le ministre s'est excusé. Les traces les plus lointaines du doigt d'honneur proviennent de la Grèce antique. Cela s'appelait le katapygon. Le doigt levé symbolise le phallus et ceux repliés représentent le scrotum. Mais son origine la plus connue remonte à près de 2 000 ans plus tard. La Guerre de Cent ans oppose la France au Royaume-Uni de 1337 à 1453. Pourquoi fait-on un doigt d'honneur pour insulter quelqu'un ? Pourquoi ce geste s'appelle-t-il doigt "d'honneur" ? En existe-t-il d'autres formes hors d'Europe ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. À écouter aussi : Qu'est-ce que le salut à trois doigts ? Pourquoi voit-on des visages dans les objets ? Pourquoi le cochon est-il le symbole de la tirelire ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » JÉRÔME JAFFRÉ Politologue – Chercheur associé au CEVIPOF VANESSA SCHNEIDER Grand reporter – « Le Monde » CHLOÉ MORIN Politologue Auteure de « On aura tout essayé » Que se passe-t-il au Parlement ? Alors que des milliers de Français manifestaient mardi un peu partout en France contre la réforme des retraites, 3,5 millions selon la CGT, 1,28 selon le ministère de l'Intérieur, l'Assemblée nationale a connu une séance particulièrement tumultueuse à l'occasion de débats sur l'exemplarité des élus. Les députés avaient à peine commencé leurs interventions en fin d'après-midi sur la proposition de la présidente du groupe Renaissance Aurore Bergé, que les échanges ont totalement dérapé. Le texte examiné visait à imposer une peine d'inéligibilité automatique aux auteurs de violences aggravées, en particulier sur les mineurs et les conjoint(es). Mais il a très vite été critiqué par les oppositions comme une réaction opportuniste à la condamnation du député insoumis Adrien Quatennens en décembre dernier pour des violences sur sa compagne. A la tribune, le président du groupe LR Olivier Marleix a invité la majorité à "s'offrir une séance d'introspection" et ne s'est pas privé d'énumérer des condamnations, mises en examen ou enquêtes concernant des membres du camp présidentiel, le député Damien Abad, le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler et, pour terminer, le garde des Sceaux. Eric Dupond-Moretti est mis en examen pour prise illégale d'intérêts, une première pour un ministre de la Justice en exercice. L'association de lutte contre la corruption Anticor et les deux principaux syndicats de magistrats avaient déposé une plainte à l'encontre du garde des Sceaux, l'accusant d'avoir profité de son poste pour régler des comptes avec des magistrats, dans des affaires où il était impliqué en tant qu'avocat. La Cour de justice de la République (CJR), juridiction destinée à juger les ministres ou ex-ministres pour les crimes ou délits commis dans l'exercice de leurs fonctions, a ordonné un procès, mais les avocats d'Éric Dupond-Moretti ont formé un pourvoi en cassation. Piqué au vif, le ministre de la Justice a alors fait deux bras d'honneur. Face au tollé suscité, et après deux suspensions de séance, le garde des Sceaux a finalement reconnu et "regretté" ses gestes qui n'étaient selon lui "pas adressés au député Marleix" mais à l'atteinte "à la présomption d'innocence". "Vous avez fréquenté beaucoup de voyous mais c'est plus qu'inapproprié", l'a corrigé Olivier Marleix. Finalement, le texte a été repoussé par l'hémicycle, à hauteur de 140 voix contre 113. Un revers dur à accepter pour la députée Aurore Bergé, porteuse du projet, qui avait fini la défense de son texte au bord des larmes. Mais l'affaire est loin d'être close pour nombre de députés. Ente indignation et consternation, des élus de toutes les oppositions réclament la démission du ministre de la Justice tandis qu'au Sénat l'application, inédite, de l'article 38 enflamme les débats. En plein examen de l'article 7 de la réforme des retraites, celui qui consacre le recul de l'âge de départ à 64 ans, le sénateur LR Bruno Retailleau a dégainé un point du règlement jamais utilisé pour couper court aux débats dans la nuit de mardi. La gauche dénonce une "censure" et une "attaque contre la démocratie !". Les Sénateurs doivent poursuivre l'examen du projet de réforme des retraites jusqu'à ce dimanche alors que les grèves et les blocages se poursuivent dans le pays, notamment sur plusieurs axes routiers et dans les raffineries, avec des syndicats à la fois agacés du silence de l'exécutif, et galvanisés par le nombre record de manifestants mardi et le soutien d'une majorité de Français dans les sondages. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
On a beaucoup parlé ces derniers jours de la crise interne au Parti socialiste. Mais les Républicains traversent aussi une zone de turbulences, alors que l'examen de la très contestée réforme des retraites va débuter à l'Assemblée. Des tensions en interne qui pourraient avoir des conséquences pour le gouvernement. Comme très souvent, en l'absence de chef incontesté, se joue en ce moment une guerre de pouvoir à droite. Eric Ciotti a été élu début décembre nouveau président du parti. Une élection qui n'est pas contestée en interne, mais qui se révèle moins large que ce que le député des Alpes-Maritimes espérait. Ses deux adversaires au Congrès s'en sont très bien sortis : 22% des voix pour le jeune député Aurélien Pradié au premier tour et surtout 46% des voix, au second tour, pour Bruno Retailleau.Le nouveau patron des LR a donc dû composer avec cet équilibre dans la formation de la nouvelle équipe dirigeante. Et à vouloir satisfaire tout le monde, il n'a satisfait personne. Le député Pradié a très mal pris de devoir partager son poste de numéro 2 du parti avec François-Xavier Bellamy, premier fidèle de Bruno Retailleau. Quant au patron des sénateurs LR, il s'est senti floué il y a dix jours quand il a découvert le nouvel organigramme du parti qui ne correspondait pas, selon lui, à ce qu'il avait négocié avec Eric Ciotti. Des noms auraient été enlevés, d'autres rajoutés. Bref, personne ne s'y est retrouvé. Bruno Retailleau, pas content du tout, l'a fait savoir sur les réseaux sociaux. Aurélien Pradié, lui, a carrément zappé la cérémonie des vœux du nouveau patron du parti mardi dernier. Il avait piscine, comme on dit.La stratégie du « rassemblement » d'Eric Cioti mise à malRien de comparable avec la guerre Copé-Fillon qu'a connu le parti il y a dix ans. Mais cette histoire d'organigramme a clairement dégradé les relations qu'entretient Eric Ciotti avec ses deux challengers. « Avec Eric Ciotti, il faut se battre pour tout, tout le temps », m'expliquait il y a quelques jours un proche de Bruno Retailleau pour qui la confiance est déjà rompue avec le nouveau président du parti. En fait, trois camps sont en train de se cristalliser au sein des LR : les sénateurs, quasiment tous derrière leur patron Bruno Retailleau ; les députés fidèles à Eric Ciotti et Olivier Marleix, leur chef de file ; et puis ceux qu'on pourrait appeler des « frondeurs » derrière Aurélien Pradié. Ils ne sont pas plus qu'une dizaine à l'Assemblée, mais ils font de plus en plus de bruit. Un caillou dans la chaussure du gouvernementDes dissensions qui tombent mal pour le gouvernement en plein débat sur la réforme des retraites. Les sénateurs LR devraient la voter sans trop de difficultés, mais le vote des députés n'est acquis, loin de là. La ligne Ciotti, négociée avec le gouvernement, est encore majoritaire dans le groupe, mais Aurélien Pradié qui veut notamment une meilleure prise en compte des carrières longues, emmène de plus en plus de députés derrière lui. Combien seront-ils finalement à s'opposer au texte du gouvernement ? Impossible à dire d'autant que beaucoup sont encore indécis. Mais ça n'arrange vraiment pas le gouvernement qui a besoin d'au moins la moitié des votes des LR à l'Assemblée pour faire passer son texte.► À lire aussi : sur les retraites, la majorité à l'épreuve du débat parlementaire
Olivier Marleix (@oliviermarleix), président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale et député LR d'Eure-et-Loir est l'invité de Mardi politique. Olivier Marleix (@oliviermarleix) est interviewé par Frédéric Rivière (RFI).Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions : - 18h10-18h30 sur France 24- 19h10-19h30 sur RFI.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale et député d'Eure-et-Loir, répond aux questions de Dimitri Pavlenko.
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale et député d'Eure-et-Loir, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet du projet de loi Immigration et des risques de coupures d'électricité.
Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale et député d'Eure-et-Loir, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet du projet de loi Immigration et des risques de coupures d'électricité.
Ce mercredi 30 novembre, Stéphanie Coleau et Christophe Jakubyszyn ont reçu Alice Abeille, présidente Bini, Perrine Motte, directrice générale Bini, Thierry de Vulpillières, président et fondateur d'Evidence B, Charles Pernin, délégué général du Synabio, Christophe Poinssot, directeur général délégué du Bureau des recherches géologiques et minières (BRGM), Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir et président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, Carole Juge-Llewellyn, présidente et fondatrice de Joone, Alexandre Pachulski, cofondateur de Talentsoft, et Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, dans l'émission Good Morning Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir et président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, était l'invité de Stéphanie Coleau et Christophe Jakubyszyn dans Good Morning Business, ce mercredi 30 novembre. Ils ont abordé la réforme des retraites, la proposition de loi sur les squatteurs, la réponse européenne sur la loi américaine sur l'inflation, ainsi que la mise en place d'un bouclier tarifaire pour les entreprises, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
L'émission 28 minutes du 25 novembre 2022 Au programme de l'émission du 25 novembre 2022 ⬇ Ce vendredi, l'essayiste Antoine Bueno, la journaliste franco-sénégalaise à France 24 Fatimata Wane, le romancier et rédacteur en chef de Paris Match Gilles Martin-Chauffier, et le dessinateur Thibaut Soulcié reviennent sur l'actualité de la semaine. Notre invitée Juliette Barthélémy les rejoindra en cours d'émission. Elle est co-commissaire de l'exposition "Prière de toucher", qui se tient jusqu'au 27 février 2023 au Palais des Beaux-Arts de Lille. Ouvert notamment aux enfants, l'événement offre la possibilité de toucher les œuvres… les yeux bandés ! Retour sur deux actualités de la semaine : Ukraine. “Il s'agit évidemment d'un crime contre l'humanité”, a fustigé mercredi Volodymyr Zelensky. Ses accusations font suite aux frappes massives de missiles russes sur les infrastructures ukrainiennes qui surviennent depuis plusieurs jours. Plusieurs millions de civils se retrouvent sans eau, sans électricité et sans chauffage. Il s'agit d'une stratégie délibérée de la part de Moscou, alors que l'hiver approche et que la température frôle déjà la barre des 0°C à Kiev. L'hiver risque-t-il de rebattre les cartes de la guerre ? LFI. L'affaire Adrien Quatennens provoque de nouveaux remous à gauche. Mercredi, Cécile Quatennens, l'ex-épouse du député, a accusé ce dernier de “violences physiques et morales depuis plusieurs années”. Les divisions au sein de la France insoumise se font entendre, entre les soutiens de Jean-Luc Mélenchon qui plaident la thèse d'une gifle isolée et les féministes, comme Caroline de Haas. Il a finalement été annoncé qu'Adrien Quatennens ne reviendra pas sur les bancs de l'Assemblée Nationale avant la décision de la justice. Cette affaire a-t-elle durablement affaibli le parti ? “Barbarie” ou “tradition culturelle” ? Le débat fait rage à l'Assemblée nationale suite à la proposition de loi du député Aymeric Caron visant à interdire la pratique de la corrida. S'il a finalement retiré son texte, il a déchaîné les passions dans l'arène entre anti et pro-corrida. Frédéric Says oppose le député “Insoumis” au député Les Républicains, Olivier Marleix, qui prône quant à lui le respect de la tradition . Bientôt une semaine que le coup d'envoi de la Coupe du monde au Qatar a été lancé. Alors boycott or not boycott ? Sonia Chironi revient sur toutes les réactions et moqueries des internautes depuis le premier coup de sifflet. L'usine chinoise Foxconn, sous-traitante d'Apple, se révolte face à la politique “zéro Covid” du pays. Les mesures sanitaires très restrictives et les conditions de vie déplorables auraient poussé plus de 20 000 employés à quitter le site. C'est l'histoire de la semaine racontée par Claude Askolovitch. Notre Une internationale est celle du quotidien national américain “USA Today,” qui titre : “Le courage des joueurs iraniens fait honte aux autres nations”, après que l'équipe a refusé de chanter leur hymne lors de leur premier match au Qatar. Retrouvez enfin les photos de la semaine sélectionnées avec soin par nos clubbistes ainsi que la Dérive des continents de Benoît Forgeard. 28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au vendredi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 25 novembre 2022 - Présentation : Renaud Dély - Production : KM, ARTE Radio
durée : 00:54:06 - Questions politiques - Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, était ce dimanche l'invité de Questions Politiques.
durée : 00:54:06 - Questions politiques - Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, était ce dimanche l'invité de Questions Politiques.
"French opposition touts EU electricity market exit France should drop the idea of an EU electricity market and fully nationalise energy giant EDF, as rising electricity costs would be better managed with a more integrated public energy service, according to some in the parliamentary opposition. Re" "--START AD- #TheMummichogblogOfMalta Amazon Top and Flash Deals(Affiliate Link - You will support our translations if you purchase through the following link) - https://amzn.to/3CqsdJH Compare all the top travel sites in just one search to find the best hotel deals at HotelsCombined - awarded world's best hotel price comparison site. (Affiliate Link - You will support our translations if you purchase through the following link) - https://www.hotelscombined.com/?a_aid=20558 “So whatever you wish that others would do to you, do also to them, for this is the Law and the Prophets."""" #Jesus #Catholic. Smooth Radio Malta is Malta's number one digital radio station, playing Your Relaxing Favourites - Smooth provides a ‘clutter free' mix, appealing to a core 35-59 audience offering soft adult contemporary classics. We operate a playlist of popular tracks which is updated on a regular basis. https://smooth.com.mt/listen/ Follow on Telegram: https://t.me/themummichogblogdotcom END AD---" "ad the original French article here. France announced its plans in July to recapitalise energy giant EDF, while some, mostly in the opposition, have been calling for its nationalisation. However, those voices have grown louder since the finance committee's special rapporteur, Socialist Party Deputy Phillipe Brun of the radical-left alliance NUPES, published a damning report on Monday (14 November). The announcement that the government will entirely recapitalise EDF, rather than fully nationalise it, means the company can still divide its activities, whether this is regarding nuclear or other renewables for example. Nationalisation, which needs approval from parliament, including on the activities, would, however, allow EDF to no longer face competition in the French electricity market. Based on notes from the economy ministry, the report pointed to a transfer to the private sector that could concern “about 30% of the activities related to the energy transition” – though Economy Minister Bruno Le Maire opposes this. Even before the report was published, Brun had called for EDF's nationalisation, arguing it would avoid “the disintegration of the [EDF] group” and “the disintegration of the public service”, and noting that it would receive backing from all opposition parties. “I can safely say that there is a majority [of MPs] in favour of a nationalisation bill,” he told EURACTIV France. Unanimous backing also comes from industrialists in his constituency, he added. EU competition law will not force French state to divide nationalised EDF The French government recently unveiled its emergency plan for the energy company EDF which some say is the first step towards the division of the group's activities, while whether or not this will fall under the remit of EU competition law is the subject of much discussion. An integrated public energy service Market regulation of electricity prices, as put forward by the European Commission since 1996, is something that is no longer viable given the circumstances, according to Brun, who also questioned the relevance of an EU energy market amid increasing prices. Communist Senator Céline Brulin also said she was in favour of France having an integrated public energy service. “The situation [high electricity prices] shows the limits of price liberalism,” she told EURACTIV France. “Even the most fervent liberals recognise this,” she acknowledged, referring to Senators in the majority from the more traditionally liberal-conservative party Les Républicains (LR). This was indeed acknowledged by Olivier Marleix, the president of the LR group in the National Assembly. “It is not forbidden to reflect on
L'INFLATION ACCÉLÈRE... MACRON SOUS PRESSION – 28/10/22 EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » NEILA LATROUS Cheffe adjointe du service politique – « France Info » GAËLLE MACKE Directrice déléguée de la rédaction – « Challenges » BERNARD SANANÈS Politologue – Président de l'Institut de sondages Elabe Après le vote par les députés RN de la motion de censure de la Nupes sur le Projet de loi de finances (PLF) 2023, Emmanuel Macron a haussé le ton mercredi soir sur France 2 contre l'alliance de gauche, qu'il accuse d'être du côté du « cynisme et du désordre ». Il a aussi clairement appelé les députés Les Républicains à faire « alliance » avec ses troupes. Devant le nombre de textes qui s'annoncent au Parlement - énergies renouvelables, police, nucléaire, retraites, immigration -, le chef de l'Etat a opté pour la stratégie de la main tendue de façon pérenne plutôt que de tenter de trouver des accords texte par texte. Mais c'est non, lui a répondu le patron des députés LR à l'Assemblée. « Au fond, on ne sait toujours pas où Macron veut mener le pays. Une gestion au jour le jour, sujet par sujet, ça fait de la dette mais ça ne fait pas une politique », a tweeté Olivier Marleix. C'est aussi sur Twitter que le parti LR a répondu aux propos présidentiels, par un visuel proclamant sans équivoque : « Nous sommes résolument dans l'opposition ! » Une offre faite par le chef de l'Etat en personne à la télévision refusée par Les Républicains sur les réseaux sociaux. Tout ceci en dit long sur l'état de faiblesse du camp présidentiel et du gouvernement d'Elisabeth Borne qui a dû pour la troisième fois en une semaine brandir hier le 49.3 pour faire passer l'ensemble du projet de loi de finances sur la Sécurité sociale alors qu'une nouvelle journée de grève et de manifestations pour demander de meilleurs salaires se déroulait dans le pays à l'appel de la CGT. Débuté autour de la question du budget 2023, le bras de fer politique va se poursuivre dans l'hémicycle sur fond de tensions sociales et d'accélération de l'inflation dans le pays : + 6,2 % sur un an selon une toute première estimation de l'Insee. Une hausse due à la flambée des prix de l'énergie mais aussi à ceux de l'alimentation et de produits manufacturés. « Nous devons passer cette tempête en protégeant les plus faibles » a affirmé mercredi soir le chef de l'Etat. Face à la hausse du coût de la vie, il a confirmé des aides ciblées pour les ménages et un mécanisme à trois niveaux pour amortir la hausse des prix du gaz et de l'électricité pour les entreprises et les collectivités, qui jusqu'ici ne bénéficient pas du bouclier tarifaire. Le président de la République a en revanche exclu une indexation des salaires sur les prix, réclamée par l'opposition et certains syndicats, renouvelant ses appels à une « répartition plus juste » des profits dans les entreprises, par le dialogue social. Mais ces mesures seront-elles suffisantes ? Avec des factures d'électricité multipliées par 3 ou par 10, nombre d'entreprises, d'agriculteurs et d'artisans font face à des difficultés de trésoreries en cette fin d'année et le patronat évoque le risque d'un mur de faillites. Quand du côté des salariés, l'augmentation des prix est durement ressentie et oblige de plus en plus de Français à diminuer leurs achats voire à sauter des repas. Selon l'Insee, les dépenses de consommation des ménages sont en baisse de 3% par rapport à septembre 2021. La consommation alimentaire a, elle, baissé de 1,6 % sur le dernier trimestre. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Frédéric Haziza reçoit Olivier Marleix, Président du groupe Les Républicains à l'Assemblée Nationale
Après avoir déposé le 49.3 mercredi 19 octobre, pour faire adopter la première partie du budget 2023, Elisabeth Borne a une nouvelle fois engagé la responsabilité du gouvernement jeudi 20 octobre à l'Assemblée nationale, afin de faire adopter la partie recettes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Dépourvue de majorité absolue dans l'hémicycle, c'est la deuxième fois en deux jours que la Première ministre est contrainte de recourir à cet article permettant de faire adopter un texte sans vote. « Nous ne pouvons pas prendre le risque d'un nouveau rejet ou d'un texte, de nouveau dénaturé », a-t-elle fait valoir devant les députés. Certains partis d'opposition comme le groupe Nupes ont d'ores et déjà annoncé vouloir déposer une motion de censure. Néanmoins, Les Républicains, seul parti apte à pouvoir coaliser les oppositions, ne déposera pas de motion de censure. « Le président de la République doit écouter les représentants de tous les groupes de l'Assemblée nationale, mais nous avons le devoir d'être des députés les plus utiles possibles », réagit Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, invité des 4 Vérités vendredi 21 octobre, sur France 2. « Tout ça ne changerait absolument rien. Je comprends que les amis de M. Mélenchon et de M. Martinez aient envie de venir ajouter du désordre au désordre mais que l'on ne compte pas sur nous pour venir grossir le cortège », renchérit-il, appelant au « sérieux ». C'est dans ce contexte que le débat sur la réforme des retraites se prépare. Ce projet doit notamment prévoir un allongement de l'âge légal du départ à la retraite. « Il faut que le président de la République explique pourquoi il fait cette réforme, car personne n'y comprend rien », estime Olivier Marleix, qui n'exclut pas d'y être favorable sous certaines conditions. Mercredi 19 octobre, le Sénat, majoritairement à droite, a rejeté en première lecture une proposition de loi transpartisane visant à inscrire le droit à l'IVG dans la Constitution. Néanmoins, ce refus ne signifie pas la fin des débats. Deux nouvelles propositions de loi constitutionnelle sont dans les tuyaux à l'Assemblée, à l'initiative de la Nupes et du groupe Renaissance. « Je n'ai pas de problème d'inscription de l' IVG dans la Constitution. Mais la rédaction qui est proposée aujourd'hui est extrêmement maladroite. (…) Le délai de 14 semaines disparaît. Cela piétine tout le travail d'équilibre qui a été voulu par Simone Veil », commente le député LR D'Eure-et-Loir, se disant favorable à « une copie de la loi de 1975 ». Meurtre de Lola : « L'échec de l'Etat » Le meurtre de la jeune Lola, adolescente de 12 ans, violée et assassinée il y a près d'une semaine continue d'émouvoir partout en France. Ce drame a désormais pris une tournure politique. A droite, l'opposition pointe du doigt la responsabilité du gouvernement et s'en prend notamment à sa politique migratoire. « Ce drame est d'une horreur absolue. Pour beaucoup, c'est le drame de trop. (…) Il y avait une obligation de quitter le territoire et cela n'a pas été fait », déclare Olivier Marleix. Selon lui, le « laxisme total » a conduit à ce drame. « Cela représente l'échec de l'Etat », conclut-il.
J-2 au Brésil avant une cruciale élection présidentielle qui opposera surtout le président sortant de la droite radicale Jair Bolsonaro à l'ancien président de gauche Luis Inácio Lula da Silva. Le plus grand pays d'Amérique du Sud retient son souffle. « Allelula ? », lance en prière la Une de Libération, avec un point d'interrogation de circonstance, tant ce néologisme en forme d'interjection relève tout à la fois de l'espoir et de la crainte de ce journal. Lequel, certes, souligne que le candidat de gauche à l'élection présidentielle brésilienne « part favori », mais, dans le même temps, prévient aussi que Jair Bolsonaro est « déterminé à garder coûte que coûte la mainmise sur le pays qu'il a ravagé ». Prudence d'autant plus de mise que le président sortant est un « fou furieux », bucheronne Libé, et que Lula, président du Parti des travailleurs, « fait peur » à la significative partie conservatrice de l'électorat brésilien. Lula président ? C'est d'autant « l'espoir » de L'Humanité que l'élection présidentielle brésilienne a une « portée mondiale », souligne le quotidien communiste, les récentes élections en Italie ayant montré « combien fascistes et populistes tissent une dangereuse internationale ». Crainte dont ne se fait pas l'écho la seule presse proche de la gauche en France. Témoin le journal La Croix. Pour ce quotidien catholique, la messe devrait être dite, « l'enjeu » de dimanche étant, selon La Croix, « la victoire – ou non – de Lula dès le premier tour ». Bien sûr, ce journal, généralement, n'est pas forcément considéré comme étant proche de la droite (ou de la gauche, du reste), mais selon lui, si le candidat du Parti des travailleurs franchit la ligne des 50% d'une courte tête, La Croix se demande « comment réagira le camp Bolsonaro », d'autant plus qu'en cas de second tour, le président sortant pourrait jusqu'alors, utiliser « sans scrupule » les services de l'Etat à son profit. Épouses en pleine lumière Lula-Bolsonaro, donc, mais aussi duel de leurs épouses dans cette campagne électorale tendue. Portraits croisés de ces épouses dans Libération et Le Figaro. Ici, la « charismatique et très populaire » Michelle Bolsonaro, « omniprésente dans la campagne » électorale pour défendre son « époux machiste », énonce Libé ; là, la tout aussi « omniprésente » Janja, conjointe de Lula, « de vingt ans sa cadette », surnommée « la Evita brésilienne », en référence à Eva Peron, qui fut l'épouse du caudillo argentin Juan Peron, et qui est chargée de « moderniser » la stratégie de communication de son mari, signale Libération. Les épouses en campagne, donc, car au Brésil, les femmes représentent « la majorité de l'électorat », explique Le Figaro, et les « saillies misogynes » du président sortant les ont rebutées. Comme le remarque ce quotidien, « toutes les deux sont passées de l'ombre à la lumière. C'est à peu près tout ce que Michelle Bolsonaro et Rosangela da Silva ont en commun. Tout le reste les oppose ». LR : dissolution ? Même pas peur En France, le débat prend de l'ampleur sur la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. Le président ne disposant pas de majorité absolue, il prévient qu'en cas de motion de censure, il prononcerait la dissolution de l'Assemblée nationale. Emmanuel Macron ayant brandi cette menace de dissolution si les députés d'opposition tentent de censurer le gouvernement lors de la présentation de la réforme des retraites qu'il entend mener à bien après trois mois de concertation. Dans Le Parisien, le député Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, assure qu'en cas de dissolution, « le président n'aurait plus beaucoup de députés En Marche. Il ne semble pas être au courant de l'ambiance dans le pays », dit encore Olivier Marleix dans Le Parisien.
Avec Olivier Marleix, député LR d'Eure-et-Loir et président du groupe LR à l'Assemblée Nationale
Olivier Marleix soutient que la Cour des Comptes évalue à 30 milliards d'euros la fraudes . Mais sur quel pied danser ?
durée : 00:01:59 - Le vrai du faux - Le chef de file des députés Les Républicains dit s'appuyer sur un rapport de la Cour des comptes.
L'invité de Mardi politique est (@oliviermarleix), président du groupe LR à l'Assemblée nationale. Olivier Marleix est interrogé par : - Frédéric Rivière (RFI) - Roselyne Febvre (France 24) Live-tweet @MardiPolitique #MardiPol Diffusions : - 18h10-18h30 sur France 24 - 20h10-20h30 sur RFI
En toute franchise, interview politique de Christophe Barbier
Christophe Barbier reçoit Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale.
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, député d'Eure-et-Loir, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la polémique du "char à voile", de la responsabilité du personnel politique concernant le désastre sur le nucléaire, la hausse du prix de l'électricité et la rencontre entre Nicolas Sarkozy et Éric Zemmour.
BORNE : JUSQU'ICI TOUT VA BIEN ? – 01/09/22 Invités DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique RAPHAËLLE BACQUÉ Grand reporter - « Le Monde » Auteure de « Patient zéro » ASTRID DE VILLAINES Cheffe du service politique - « Huffington Post » BRICE TEINTURIER Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos Rentrée politique : Borne omniprésente Elle est sur tous les fonts. En cette rentrée, Elisabeth Borne occupe plus que jamais le terrain politique. Interviews dans les médias, prises de parole pour la rentrée, séminaire gouvernemental, la Première ministre a décidé de faire entendre sa voix. Pour cela, elle sature l'espace médiatique. Après une longue interview donnée au quotidien Le Parisien samedi dernier, elle s'est exprimé lundi à l'hippodrome de Longchamp devant les patrons réunis à l'occasion des universités d'été du Médef. Le Lendemain, face aux jeunes, elle était l'invitée pendant près de deux heures de l'émission Quotidien, sur TMC. Hier, c'est à l'issue d'un séminaire gouvernemental qu'elle a pris la parole pour dévoiler le menu de l'exécutif pour les mois à venir. Si son profil est jugé austère et technocratique, elle impose petit à petit son ton. Depuis sa nomination à la tête du gouvernement le 16 mai dernier, elle ne cesse de progresser dans les sondages d'opinion. Elle aura fort à faire en cette rentrée. Car les oppositions dénoncent déjà « l'autoritarisme » de l'exécutif. De la Nupes au RN, le conseil de défense sur l'énergie qui doit se tenir demain est notamment la cible de nombreuses attaques. D'autant qu'Emmanuel Macron avait annoncé changer de méthode et d'avantage consulter. C'est dans cet esprit qu'il a présenté le Conseil national de la refondation. Mais l'idée, là encore, est loin de faire l'unanimité dans l'opposition. Les refus de participer se sont même multipliés ces dernières semaines, alors que le lancement doit avoir lieu jeudi 8 septembre. La Nupes accuse une « manière de contourner le Parlement ». Le chef de file des Républicains à l'Assemblée nationale Olivier Marleix a assuré fin juillet qu'il était « hors de question » que sa formation participe au CNR. À l'extrême droite, la députée Laure Lavalette estimait fin juillet que le CNR était « une escroquerie » à laquelle son parti ne « participera pas ». Elisabeth Borne juge «paradoxal» que les oppositions « refusent la discussion », mais toute la majorité n'est pas non plus convaincue. L'ancien Premier ministre Edouard Philippe ne participera en effet pas au CNR, et fera représenter son parti Horizons par un cadre. Officiellement, le maire du Havre est pris par des engagements internationaux. Un prétexte qui tombe à pic, puisque ses proches font savoir que l'ancien locataire de Matignon n'est pas vraiment emballé par l'idée d'Emmanuel Macron, à laquelle il « ne croit absolument pas ». À l'heure actuelle, c'est la rentrée scolaire qui préoccupe le gouvernement. Le nouveau ministre de l'Éducation, Pap Ndiaye, marche sur une ligne de crête. Alors que plus de 12 millions d'élèves reprennent le chemin de l'école, il est en effet confronté à une crise d'attractivité historique de la profession. Avant la pause estivale, à l'issue des concours de recrutement, il manquait 4000 professeurs, dont 1700 rien que pour le primaire, sur un total de 880000. Si ce problème est ancien, Pap Ndiaye reconnaissait début août, que la situation est « plus difficile que d'habitude ». Pour tenter d'y remédier, il a d'ores et déjà annoncé l'organisation au printemps d'un « concours exceptionnel de titularisation » de contractuels, aujourd'hui au nombre de 3000. Elisabeth Borne est-elle parvenu à s'imposer à la tête du gouvernement ? Entre conseil de défense et conseil national de la refondation, quel cap et quelle méthode pour l'exécutif ? Pap Ndiaye peut-il réussir son baptême du feu en cette rentrée scolaire ? Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec: Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loire, président du groupe LR à l'Assemblée - L'invité de l'actu, tous les jours dans Apolline Matin sur RMC. Chaque jour, Apolline de Malherbe accompagnée de Charles Magnien, donne rendez-vous aux auditeurs RMC et téléspectateurs de RMC Story pour une matinale d'information, de débat et d'opinion unique. Avec une équipe de journalistes, elle apporte son regard quotidien sur l'information et reçoit chaque matin les acteurs de l'actualité. Les auditeurs et téléspectateurs sont plus que jamais au cœur des échanges. RMC est une radio généraliste, essentiellement axée sur l'actualité et sur l'interactivité avec les auditeurs, dans un format 100% parlé, inédit en France. La grille des programmes de RMC s'articule autour de rendez-vous phares comme Apolline Matin (6h-9h), les Grandes Gueules (9h-12h), Estelle Midi (12h-15h), Super Moscato Show (15h-18h), Rothen s'enflamme (18h-20h), l'After Foot (20h-minuit).
durée : 03:00:05 - Le 6/9 - L'humoriste et actrice Melha Bedia et Olivier Marleix sont les invités du 6/9 de France Inter.
durée : 00:24:57 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée Nationale Olivier Marleix détaille la future remise sur les carburants, qui sera votée par les députés mardi.
durée : 03:00:05 - Le 6/9 - L'humoriste et actrice Melha Bedia et Olivier Marleix sont les invités du 6/9 de France Inter.
Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir et président du groupe LR à l'Assemblée nationale, était, ce jeudi 21 juillet, l'invité du matin de RFI. Il a réagi aux incendies qui touchent la Gironde et évoqué le projet de loi sur le pouvoir d'achat.
durée : 00:25:38 - 8h30 franceinfo - Olivier Marleix, président du groupe LR à l'Assemblée nationale, était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 20 juillet 2022.
Retraites, travail… Macron ne lâche rien LES INVITÉ.ES : - Roland CAYROL - Politologue - Directeur du Centre d'études et d'analyse (CETAN) - Soazig QUEMENER- Rédactrice en chef du service politique - "Marianne" - Fanny GUINOCHET - Éditorialiste - "France Info" et "La Tribune" Spécialiste des questions économiques et sociales - Bruno JEUDY - Rédacteur en chef du service politique - "Paris Match" Deux ans qu'il ne s'était pas prêté à l'exercice. Le président de la République a renoué ce jeudi avec la traditionnelle interview du 14-Juillet. Depuis les jardins de l'Elysée, Emmanuel Macron a été interrogé pendant une heure par les journalistes Caroline Roux et Anne-Claire Coudray. Un entretien télévisé, suivi par 6,7 millions de téléspectateurs, au cours duquel le chef de l'Etat a souhaité dire aux Français que l'heure est grave en posant d'entrée de jeu le sujet de la guerre en Ukraine et ses conséquences sur le plan intérieur, avec notamment le risque d'une pénurie énergétique. « La Russie veut utiliser le gaz comme un instrument de cette guerre. Le scénario pour qu'on se prépare à se passer du gaz russe existe. Ce risque est même très probable », a affirmé le chef de l'Etat, avant d'appeler à « la mobilisation générale » de tous les Français. Avec un mot d'ordre : la « sobriété ». Ainsi l'Etat va mettre en place dès cet été un « plan de sobriété énergétique » a expliqué Emmanuel Macron afin de consommer moins de gaz et d'électricité pour « passer le pic de l'hiver ». Dans ce sens, la plus grande sobriété sera demandée à tous les particuliers, comme les entreprises, avec « des objectifs chiffrés ». « Il faut nous préparer tous à ce que (la guerre) dure. L'été et le début de l'automne seront sans doute très durs » a-t-il reconnu. Mais alors que l' « urgence climatique » impose à tous des changements radicaux de comportement « cette crise peut aussi être une opportunité » a-t-il souligné notamment pour accélérer « la chasse au gaspillage » et la « transition énergétique ». Pour le reste en revanche, pas de changement de cap : l'objectif demeure le plein emploi. Et là encore le chef de l'Etat souhaite accélérer en allant « plus loin sur la réforme de l'assurance-chômage » « dès cet été » et en relançant celle des retraites, rediscutée dès la rentrée pour une entrée en vigueur l'été prochain, avec l'idée que les Français devaient « travailler plus longtemps ». Lors de cette première interview télévisée depuis sa réélection en avril et les législatives, qui l'ont vu perdre en juin sa majorité absolue à l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron s'est efforcé de préparer les Français à une rentrée et un hiver difficiles en raison de la guerre en Ukraine. Mais il a aussi voulu montrer qu'il entendait maintenir son calendrier et ses réformes sans trop sembler se soucier du changement de donne politique au Palais Bourbon. Or pour l'exécutif faire passer ses réformes ne sera pas une mince affaire. Les oppositions coalisées peuvent bloquer des textes comme l'article 2 cette semaine du projet de loi sanitaire. « Un coup de chaud nocturne » et « un attelage baroque » d'après Emmanuel Macron qui s'est dit pour « l'esprit de responsabilité et des compromis ambitieux ». Toutefois, « il y a des possibilités pour l'exécutif d'avancer s'il y a blocage : j'ai des outils pour aller devant les Français, leur proposer des mesures » a prévenu le chef de l'Etat évoquant notamment le référendum. Des déclarations qui n'ont pas manqué de faire réagir l'ensemble des partis politiques et de nombreux membres de l'opposition. Pour Alexis Corbière, député La France insoumise, le chef de l'Etat « n'a pas compris que s'il n'a pas de majorité, c'est lié à son projet sur les retraites. Il veut bâtir des compromis, mais sur sa feuille de route, ce qui me semble impossible. On n'a pas été élus pour ça ». Laurent Jacobelli, député Rassemblement National, a estimé pour sa part que « ceux qui pensait que Emmanuel Macron pouvait changer se sont trompés. Il est obtus, têtu, il ne changera jamais. Il continue sa volonté de casse sociale, avec la réforme des indemnités chômage et la réforme des retraites, et une politique d'austérité ». Du côté du groupe LR à l'Assemblée, son président Olivier Marleix a également vivement réagi : « Non, Emmanuel Macron le vote de la représentation nationale n'est jamais un 'coup de chaud nocturne'. C'est la voix des Français dans leur diversité. Apprenez à l'entendre, apprenez ce 'respect de chacun' auquel vous invitez. C'est la condition de la réussite pour la France ». Alors que retenir de l'interview d'Emmanuel Macron ce 14-Juillet ? Quels sont les contours de la réforme du travail et de celle des retraites voulues par le chef de l'Etat ? Avec le Conseil national de la refondation Emmanuel Macron arrivera-t-il à renouer avec les territoires ruraux où le RN réalise ses meilleurs scores ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Avec Olivier Marleix, Député LR d'Eure et Loir et président du groupe LR à l'AN
Le remaniement à l'Élysée est imminent avec le discours de politique générale d'Élisabeth Borne prévu mercredi. Un nouveau gouvernement sous la coupe de la Première ministre est sur le feu tandis que l'opposition attend une clarification de la ligne politique. Conflit diplomatique, crise économique… Emmanuel Macron va-t-il redessiner sa stratégie pour rassembler l'Assemblée nationale morcelée en plusieurs entités politiques ? S'il y a bien un camp qui fait de l'œil au président de la République pour obtenir la majorité, c'est bel et bien les députés Républicains. Invité sur le plateau des 4 vérités, Olivier Marleix écarte toute alliance stratégique entre LR et Renaissance aux vus des « résultats calamiteux » de cette coalition dans certains départements. « Je pense au département de l'Eure avec Bruno Le Maire. C'est le Rassemblement national qui a pris la place. Ce n'est pas un grand service à rendre au pays que cet effacement, organiser cette démolition voulue par le chef de l'État. Je préférerais qu'il mette son énergie ailleurs » fustige le président des Républicains à l'Assemblée nationale qui constate que cela a « fragilisé » le parti. Alors que notre invité attend de pied ferme le discours de politique générale qu'il espère « clarifier » la stratégie de la majorité présidentielle, il comprend également qu'Élisabeth Borne ne demande pas la confiance. « Elle ne peut pas la demander […]on sait d'ores et déjà que le gouvernement ne dispose pas de la confiance de l'Assemblée nationale donc ce serait aller vers une chute du gouvernement » explique le député. Pouvoir d'achat : que va faire la droite ? Parmi les premières réformes qui pressent l'Assemblée, la mesure concernant le pouvoir d'achat fait déjà débat. En effet, Olivier Marleix a écrit expressément à la Première ministre pour que certaines mesures LR soient prises en compte, à commencer par la baisse des taxes sur le carburant qui permettrait de garantir le prix à 1€50 le litre. « C'est la mesure phare pour nous. C'est la fiscalité la plus injuste aujourd'hui pour tous nos compatriotes qui travaillent. » affirme l'ancien maire d'Anet. Et de poursuivre « C'est anormal que l'État s'enrichisse sur le dos des Français ». Bruno Le Maire a immédiatement réagi et a taxé cette proposition d'irresponsable après l'avoir évaluée à 50 milliards d'euros. « C'est une plaisanterie quand on voit les choix qui ont été faits depuis 10 ans. Nous étions totalement indépendants et souverains grâce au nucléaire, on n'a pas renouvelé notre parc, résultat ? On est obligé de rouvrir des centrales à charbon » déplore le président LR à l'Assemblée nationale en réaction à la politique macroniste qui nous a rendu « dépendant au gaz russe ». Si un effort collectif doit être fait en matière de consommation d'énergie, l'État doit accompagner avec les finances publiques cette hausse des prix, affirme notre invité. Si la majorité présidentielle ne retient pas les propositions soumises par Les Républicains pour enrichir la réforme, les députés de droite vont-ils faire barrage et voter contre ? « Oui, nous avons des exigences sur la table […] on demande des mesures d'économie sur la fraude sociale, contre la fraude fiscale. On proposera des choses très concrètes » mitraille notre invité au micro de Caroline Roux. Néanmoins, il ne ferme pas la porte des négociations dans une logique de politique du compromis : « Je souhaite voir un certain nombre des mesures que nous proposons dans le texte. C'est la condition sine qua non pour que nous le votions ». La NUPES souhaite ouvrir une commission d'enquête parlementaire sur les raisons de l'inflation. La nouvelle union des gauches veut entre autres évaluer les mécanismes spéculatifs sur lesquelles joueraient certaines firmes pour augmenter leur prix. Bonne initiative ou mauvaise idée ? « Je ne sais pas si c'est une priorité mais tout le monde concourt à l'inflation à commencer par l'État puisque la TVA renchérit tous ses produits » tacle fermement Olivier Marleix qui accuse le gouvernement de faire du profit « sur le dos des Français ».
Deux heures trente de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.
Olivier Marleix, député et président du groupe LR à l'Assemblée Nationale, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des pistes du gouvernement sur le projet de loi "pouvoir d'achat".
La dette publique française a atteint 114,5% du produit intérieur brut (PIB) à la fin du premier trimestre 2022, contre 112,9% à la fin décembre 2021 selon l'Insee. Pour le nouveau président du groupe LR à l'Assemblée nationale, Olivier Marleix, "la situation pourrait devenir préoccupante" dans les mois qui viennent.
MACRON PARLE, LE BLOCAGE CONTINUE... – 23/06/22 Invités NATHALIE SAINT-CRICQ Éditorialiste politique - « France Télévisions » DOMINIQUE REYNIÉ Directeur général de Fondapol Fondation pour l'innovation politique AURÉLIE HERBEMONT Journaliste politique - « RTL » MATHILDE SIRAUD Journaliste politique - « Le Point » Trois jours après le second tour des élections législatives qui n'ont pas donné à Emmanuel Macron de majorité absolue à l'Assemblée nationale, et avant de quitter Paris jeudi pour une longue séquence à l'international, le président de la République est sorti du silence hier soir pour s'adresser aux Français. Huit minutes d'allocution solennelle depuis l'Elysée pour dire tout d'abord qu'il est prêt à « apprendre à gouverner différemment », à « bâtir des compromis » mais sur la base de son projet, et surtout pour mettre la pression sur l'opposition. Le chef de l'Etat ne veut pas d'un gouvernement d'union nationale mais propose une « coalition » ou des accords ponctuels sur certains textes car il entend garder le même agenda : « dès cet été » il faudra « une loi pour le pouvoir d'achat et pour que le travail paie mieux, des choix forts sur l'énergie et le climat » avec notamment la relance du nucléaire, « des mesures d'urgence pour notre santé, qu'il s'agisse de notre hôpital ou de l'épidémie » a-t-il déclaré. Appelant les responsables de l'opposition à « des compromis, des enrichissements, des amendements (...)., dans une volonté d'union et d'action pour la nation », Emmanuel Macron leur a également demandé de dire d'ici son retour du Conseil européen, qui se tient à Bruxelles jusqu'à vendredi soir « jusqu'où ils sont prêts à aller » afin de « bâtir cette méthode et cette configuration nouvelle ». Des déclarations qui n'ont pas manqué de faire réagir les autres formations politiques. À commencer par Jordan Bardella, le président du Rassemblement national dont le parti fait rentrée 89 députés dans l'Assemblée. « Il demande aux oppositions de venir à lui alors qu'il a été battu dans les urnes, c'est à lui de dire quel chemin il est prêt à prendre, sur quels axes de son projet, il est prêt à reculer. Il a été élu, mais son programme battu dimanche dernier », a-t-il assuré. Fin de non-recevoir également du côté de la Nupes. Ainsi Jean-Luc Mélenchon a affirmé : « Il est vain de dissoudre la réalité du vote en l'enfumant de considérations et d'appels de toutes sortes ». L'ex-candidat de LFI à la présidentielle a estimé que désormais « l'exécutif est faible mais l'Assemblée nationale est forte de toute la légitimité de son élection récente ». « Le président de la République n'a pas compris les Français. Non il n'a pas été élu sur un « projet clair » mais pour faire barrage au RN. Non les formations politiques n'ont pas à lui répondre jusqu'où elles sont prêtes à aller pour lui donner un chèque en blanc » s'est agacé pour sa part Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste (PS) et membre de la coalition de gauche qui demande notamment à l'exécutif d'intégrer dans son paquet pouvoir d'achat une hausse du SMIC à 1500 euros, une indexation des salaires sur le SMIC et un blocage des prix des produits de première nécessité. A droite, le nouveau chef de file des députés LR, Olivier Marleix, a lui aussi rejeté un « chèque en blanc, de surcroît sur un projet peu clair ». Il a aussi promis que son groupe ferait la semaine prochaine des propositions sur le pouvoir d'achat. Sujet prioritaire pour les Français, il doit faire l'objet de deux textes de loi présentés en Conseil des ministres le 6 juillet en vue d'une adoption rapide au Parlement alors que l'inflation grève le budget des ménages et que nombre d'entre eux font de plus en plus appel au Crédit municipal pour laisser des objets en gage et ainsi faire face à la hausse du coût de la vie. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir et vice-président du parti Les Républicains, était, ce mardi 26 avril 2022, l'invité du matin de RFI. Réélection d'Emmanuel Macron pour un second mandat à la Présidence de la république française, positionnement du parti les Républicains dans ce nouveau quinquennat, élections législatives des 12 et 19 juin prochain... Il répond aux questions de Frédéric Rivière.
Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir et vice-président du parti Les Républicains, était l'invité de Frédéric Rivière ce matin.
À partir de 8h20 (heure de Paris), Frédéric Rivière reçoit Olivier Marleix, député d'Eure-et-Loir et vice-président des Républicains. Il faut de la pondération dans la prise de mesures Mettons en oeuvre la vaccination avant d'imaginer des licenciements et des passes sanitaires pour les enfants Le Sénat a tiré la sonnette d'alarme
Olivier Marleix, Député d'Eure et Loir et vice président des Républicains
Deux heures d'actualité avec toute la rédaction d'Europe 1. De l'information, des débats d'actualité avec des éditorialistes, des invités, mais aussi des auditeurs.
Olivier Marleix est un des premiers députés à avoir dénoncé la vente d'Alstom à l'américain Général Electric. Président de la commission d'enquête, il a notamment saisi le parquet national financier sur un probable "pacte de corruption" entre Emmanuel Macron et une série d'acteurs financiers directement liés à l'affaire Alstom et qui auraient, selon certains médias, été donateurs de la campagne d'Emmanuel Macron en 2017. Pour Livre Noir, Olivier Marleix est revenu sur son dernier ouvrage "Les liquidateurs", qui retrace des années d'abandon de notre industrie française au profit de l'étranger. Un constat glaçant pour tout patriote. C'est l'histoire d'un président, anciennement ministre l'économie, qui a à la vitesse grand V bradé tout un pan de notre industrie. Soutenez-nous !