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2035 : L'Europe recule sur la fin des voitures à essence ?TORQ - Épisode 460
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le déclin généralisé de la démocratie dans le monde, la situation des femmes en Iran, les patrons dénoncent les dangers de la taxe Zucman et un sondage sur l'alcool avant le sexe. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gérard Carreyrou, journaliste - Gauthier Le Bret, journaliste. - Christophe Bordet, journaliste. - Caroline Ithurbide, journaliste. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en 1227. Peut-être le 18 août. Victime d'une chute de cheval lors d'une partie de chasse, celui qui a régné sur le plus grand empire de l'histoire s'éteint en Chine. Son corps est ramené en Mongolie. On dit que sur le chemin du retour, son escorte tue tous les témoins du cortège afin que le lieu de sa dernière demeure reste secret. Pour les Mongols, il est le père de la nation, une figure légendaire, mais pour nombre de régions d'Asie, ravagées par ses guerres, il est un conquérant sanguinaire et impitoyable. Jusqu'aux frontières de l'Europe, Il se faisait appeler le « Souverain universel », Gengis Khan. José Frèches, romancier, spécialiste de la Chine, ancien conservateur du musée Guimet, à Paris. « Gengis Khan » T1 « Lhomme qui aimait le vent », T2 « Le conquérant » aux XO éditions Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump s'est félicité d'avoir stoppé l'immigration illégale. Mais sa politique migratoire et son discours "America First" ont aussi refroidi les visiteurs étrangers. Canadiens, Chinois, Européens… ils sont de moins en moins nombreux à franchir les frontières américaines, au détriment d'un secteur qui pèse près de 3 % du PIB.
Transition énergétique : la part des énergies renouvelables dans le mix électrique mauricien recule par plus de 2% en l'espace de 10 ans by TOPFM MAURITIUS
Aujourd'hui dans le podcast, on réagit à l'annonce de l'organisme Fierté Montréal qui fait finalement marche arrière sur son exclusion de certains groupes juifs LGBT, unedécision qui avait provoqué une importante controverse au cours des derniers jours et qui a mené à la démission de son président peu avant ce revirement en plein festival. Joey lit et commente le texte publié sur Facebook par la spécialiste en numérique Michelle Blanc à ce sujet. DANS LA PARTIE PATREON, Ian et Joey ont une longue discussion sur le niveau de confort socio-économique des habitants des sociétés occidentales et déboulonnent certaines affirmations concernant la supposée disparition de la classe moyenne. Ils terminent en écoutant et en réagissant à la réponse de l'animateur de Qub Radio Francis Gosselin à la vidéo virale de Joey, une réponse dans laquelle il attaque plus spécifiquement Jeff Fillion, qui avait partagé la vidéo, et démontre une fois de plus son mépris envers Éric Duhaimeet le PCQ.0:00 Intro1:17 Nos commanditaires2:32 Fierté Montréal recule16:10 Texte de Michelle Blanc26:03 Les vieilles traditions et le définancement des organismes33:27 À venir dans le Patreon
3,7 milliards d'euros sur 8 ans, c'est le montant qui doit financer la stratégie industrielle dans le domaine de la défense. Avec l'ambition de faire émerger des champions dans le secteur. Le statut des militaires sera par ailleurs revu pour réduire les effets de la réforme des pensions sur cette profession. Le solde net de créations d'entreprises devient franchement inquiétant en Belgique. En 2024, il y avait encore un peu plus de créations d'entreprises que de disparitions, mais ce ne sera probablement plus le cas en 2025. Le championnat de foot reprend ce soir. Mais cette saison s'ouvre avec plein d'inconnues. On fera le point avec Jean-François Sacré. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Aujourd'hui, dans le podcast, on commente, analyse et on présente notre point de vue sur le recul du ministre de l'Éducation du Québec Bernard Drainville concernant les coupures dans le secteur de l'éducation. Au contraire, il annonce une augmentation du budget de celui-ci. Frank et Ian expliquent qu'il s'agit d'une énorme erreur, tout comme l'idée du Parti québécois de définancer les écoles semi-privées au Québec. Chiffres à l'appui.DANS LA PARTIE PATREON, on commence en expliquant pourquoi, définition à l'appui, la gestion de l'offre est un cartel, suivi d'une discussion sur l'acharnement des militants péquistes à vouloir dépeindre Éric Duhaime comme une mauvaise personne. Ensuite, Frank nous lit un texte saucé de Mathieu Bock-Côté sur l'IA et les relations intimes et fait un lien avec une étude de l'Université Cornell sur les effets de ChatGPT sur le cerveau humain. On termine en écoutant une des dernières vidéos d'Acid Blais, on réagit au dernier tweet de Pascal Bérubé qui continue de s'acharner sur Éric Duhaime et on lit un article de PiluleRouge.ca avec notre journaliste Maxym sur le Brésil, qui serait une usine à espions russes.0:00 Intro3:54 La CAQ recule sur les coupes en éducation17:51 Le PQ et les écoles privés22:58 La réalité des dépenses par élève25:05 Plus de fonctionnaires pour moins d'élèves32:27 Les Québécois contre le gaspillage37:44 À venir dans le Patreon
C'est une décision qui fait grand bruit dans le monde de la tech. SAP, le géant allemand des progiciels, spécialiste de l'ERP, vient d'annoncer l'abandon de son objectif d'atteindre un effectif de 40% de femmes d'ici à 2030.Et cette décision intervient dans un contexte de pression venue d'outre-Atlantique. L'administration Trump est en effet vent debout contre les politiques de diversité dans les entreprises. Au point que l'entreprise allemande courbe l'échine. Je vous explique tout cela en trois points.Un revirement stratégique pour SAPSAP a en effet longtemps été considéré comme un pionnier en matière de diversité. Depuis 2011, l'entreprise s'était fixée des objectifs ambitieux pour augmenter la représentation des femmes dans ses effectifs et ses postes de direction.Ces efforts ont porté leurs fruits, avec plus de 35 % de femmes dans l'entreprise fin 2024.Cependant, sous la pression des nouvelles directives américaines, SAP a décidé de ne plus appliquer ces quotas. Aux États-Unis, l'entreprise emploie environ 17 000 personnes, soit 16 % de sa masse salariale. Et elle réalise là bas près d'un tiers de son chiffre d'affaires en 2024.Le business de SAP est donc touché par les nouvelles règles en matière d'emploi professées par la nouvelle administration américaine.La fin de la politique de diversité en entrepriseDès son retour à la Maison-Blanche, le président Donald Trump a en effet signé plusieurs décrets visant à interdire aux entreprises travaillant avec le gouvernement fédéral la mise en oeuvre de politiques de discrimination positive ou de diversité.Pour des entreprises comme SAP, qui collaborent étroitement avec l'administration américaine, il faut donc se conformer ou risquer de perdre des contrats importants.Cette tendance à la fin de l'équité s'étend au-delà des États-UnisD'autres grandes entreprises, tant américaines qu'européennes, revoient actuellement leurs politiques de diversité.Par exemple, le laboratoire suisse Roche a supprimé les objectifs de diversité au sein de sa filiale américaine. Et le groupe pharmaceutique Novartis a mis fin à ses « panels de diversité » pour les embauches aux États-Unis.Bien sûr, ces changements de politique de ressource humaine des entreprises soulève des questions sur leurs engagements réels envers la diversité et l'inclusion. A croire que ce qui compte, en définitive, c'est le sens du vent !Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est par cette formule qu'on pourrait résumer la stratégie de l'opposant ivoirien. Dimanche 11 mai, à 5 mois de la présidentielle, Tidjane Thiam a donc annoncé, contre toute attente, son retrait de la présidence du PDCI-RDA, au profit de son doyen d'âge, Ernest N'Koumo Mobio.« Abandon ou tactique politique réfléchie ? », s'interroge L'Infodrome à Abidjan qui opte pour la seconde hypothèse. En effet, explique L'Infodrome, « l'annonce de l'ancien patron du Crédit Suisse intervient dans un contexte de tension politico-judiciaire dans lequel le PDCI-RDA est entraîné depuis le mois de février dernier ». Il y a la question de son inéligibilité du fait, selon ses détracteurs, de son ex-binationalité franco-ivoirienne. Et il y a aussi et surtout l'action judiciaire intentée, en interne, par Valerie Yapo, ancienne déléguée du parti à Akoupé, qui « conteste la légitimité de Tidjane Thiam à la tête du parti en raison de sa double nationalité au moment de son élection à la présidence du PDCI-RDA. Cette membre du bureau politique réclame notamment la destitution de Tidjane Thiam ainsi que la mise du PDCI-RDA sous administration judiciaire. Le verdict de cette affaire est attendu jeudi 15 mai. C'est donc, en conclut L'Infodrome, dans un objectif de contournement d'une décision de justice qui pourrait lui être préjudiciable que l'ancien ministre et banquier international semble avoir pris les devants ».La stratégie de l'évitementReculer pour mieux sauter donc… WakatSéra nous résume la tactique de Tidjane Thiam : « en rendant son tablier, il évite au PDCI-RDA de tomber dans les mains d'un administrateur provisoire que la justice aurait choisi, si la cadre du parti qui a porté plainte contre lui, gagnait son procès. N'étant plus président, Tidjane Thiam devrait, ainsi, ôter, tout grain à moudre à la justice. Qui plus est, s'étant défait de son statut de citoyen français, il pourra, pour le prochain congrès extraordinaire électif du parti, fixé au pied levé, pour demain mercredi, se représenter et récupérer son fauteuil de président, demeurant le favori incontesté de son parti ». Les poids-lourds hors-jeu…Reste qu'il y a un écueil et de taille dans sa course à la présidentielle : son inéligibilité… Le 22 avril dernier, rappelle Le Monde Afrique, « la justice ivoirienne, invoquant une supposée perte de sa nationalité ivoirienne entre 1987 et 2025, l'a exclu de la liste électorale le rendant de fait inéligible ».D'ailleurs, pointe encore Le Monde Afrique, « à cinq mois de l'élection présidentielle, tous les poids lourds de l'opposition ont pour l'heure été écartés de la course au pouvoir, puisque depuis 2020, Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro ont également été rendus inéligibles à la suite de condamnations judiciaires ».En effet, précise Afrik.com, « écarté Laurent Gbagbo, pour un supposé braquage de la BECEAO, bien que l'institution ait nié avoir été victime ; écarté Guillaume Soro, condamné à perpétuité pour tentative de coup d'État ; écarté Charles Blé Goudé, condamné à 20 ans de prison malgré son acquittement par la Cour pénale internationale. Mais jusque-là, aucune de ces figures de proue de l'opposition ivoirienne ne s'avoue vaincu. Pas plus tard que la semaine dernière, Laurent Gbagbo a même installé un comité chargé de collecter les parrainages comme l'exigent les textes ivoiriens. Comme si de rien n'était ».Le scénario sénégalais ?Pour en revenir à Tidjane Thiam, cette question posée par L'Observateur Paalga au Burkina Faso : va-t-il s'orienter « vers la jurisprudence Pastef ? ». Référence à ce qui s'est passé au Sénégal au sein du Pastef, dont « le président, Ousmane Sonko, frappé d'inéligibilité lors de la dernière présidentielle sénégalaise, s'était éclipsé au profit de son lieutenant, Bassirou Diomaye Faye ».Tidjane Thiam va-t-il suivre cette voie ? Et si oui, avec quel acolyte ? Pas de réponse pour l'instant.Enfin, suspense aussi pour ce qui concerne le président Alassane Ouattara, 83 ans. Au pouvoir depuis 2011, il ne s'est toujours pas prononcé sur une éventuelle candidature. Il a juste affirmé qu'il était « désireux de continuer à servir son pays ».En attendant d'y voir plus clair dans cette course à la présidentielle, conclut Afrik.com, « pour la démocratie ivoirienne, ces événements relancent le débat sur l'indépendance de la justice, la transparence du processus électoral, et l'ouverture du jeu démocratique à une réelle compétition ».
C'est par cette formule qu'on pourrait résumer la stratégie de l'opposant ivoirien. Dimanche 11 mai, à 5 mois de la présidentielle, Tidjane Thiam a donc annoncé, contre toute attente, son retrait de la présidence du PDCI-RDA, au profit de son doyen d'âge, Ernest N'Koumo Mobio.« Abandon ou tactique politique réfléchie ? », s'interroge L'Infodrome à Abidjan qui opte pour la seconde hypothèse. En effet, explique L'Infodrome, « l'annonce de l'ancien patron du Crédit Suisse intervient dans un contexte de tension politico-judiciaire dans lequel le PDCI-RDA est entraîné depuis le mois de février dernier ». Il y a la question de son inéligibilité du fait, selon ses détracteurs, de son ex-binationalité franco-ivoirienne. Et il y a aussi et surtout l'action judiciaire intentée, en interne, par Valerie Yapo, ancienne déléguée du parti à Akoupé, qui « conteste la légitimité de Tidjane Thiam à la tête du parti en raison de sa double nationalité au moment de son élection à la présidence du PDCI-RDA. Cette membre du bureau politique réclame notamment la destitution de Tidjane Thiam ainsi que la mise du PDCI-RDA sous administration judiciaire. Le verdict de cette affaire est attendu jeudi 15 mai. C'est donc, en conclut L'Infodrome, dans un objectif de contournement d'une décision de justice qui pourrait lui être préjudiciable que l'ancien ministre et banquier international semble avoir pris les devants ».La stratégie de l'évitementReculer pour mieux sauter donc… WakatSéra nous résume la tactique de Tidjane Thiam : « en rendant son tablier, il évite au PDCI-RDA de tomber dans les mains d'un administrateur provisoire que la justice aurait choisi, si la cadre du parti qui a porté plainte contre lui, gagnait son procès. N'étant plus président, Tidjane Thiam devrait, ainsi, ôter, tout grain à moudre à la justice. Qui plus est, s'étant défait de son statut de citoyen français, il pourra, pour le prochain congrès extraordinaire électif du parti, fixé au pied levé, pour demain mercredi, se représenter et récupérer son fauteuil de président, demeurant le favori incontesté de son parti ». Les poids-lourds hors-jeu…Reste qu'il y a un écueil et de taille dans sa course à la présidentielle : son inéligibilité… Le 22 avril dernier, rappelle Le Monde Afrique, « la justice ivoirienne, invoquant une supposée perte de sa nationalité ivoirienne entre 1987 et 2025, l'a exclu de la liste électorale le rendant de fait inéligible ».D'ailleurs, pointe encore Le Monde Afrique, « à cinq mois de l'élection présidentielle, tous les poids lourds de l'opposition ont pour l'heure été écartés de la course au pouvoir, puisque depuis 2020, Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé et Guillaume Soro ont également été rendus inéligibles à la suite de condamnations judiciaires ».En effet, précise Afrik.com, « écarté Laurent Gbagbo, pour un supposé braquage de la BECEAO, bien que l'institution ait nié avoir été victime ; écarté Guillaume Soro, condamné à perpétuité pour tentative de coup d'État ; écarté Charles Blé Goudé, condamné à 20 ans de prison malgré son acquittement par la Cour pénale internationale. Mais jusque-là, aucune de ces figures de proue de l'opposition ivoirienne ne s'avoue vaincu. Pas plus tard que la semaine dernière, Laurent Gbagbo a même installé un comité chargé de collecter les parrainages comme l'exigent les textes ivoiriens. Comme si de rien n'était ».Le scénario sénégalais ?Pour en revenir à Tidjane Thiam, cette question posée par L'Observateur Paalga au Burkina Faso : va-t-il s'orienter « vers la jurisprudence Pastef ? ». Référence à ce qui s'est passé au Sénégal au sein du Pastef, dont « le président, Ousmane Sonko, frappé d'inéligibilité lors de la dernière présidentielle sénégalaise, s'était éclipsé au profit de son lieutenant, Bassirou Diomaye Faye ».Tidjane Thiam va-t-il suivre cette voie ? Et si oui, avec quel acolyte ? Pas de réponse pour l'instant.Enfin, suspense aussi pour ce qui concerne le président Alassane Ouattara, 83 ans. Au pouvoir depuis 2011, il ne s'est toujours pas prononcé sur une éventuelle candidature. Il a juste affirmé qu'il était « désireux de continuer à servir son pays ».En attendant d'y voir plus clair dans cette course à la présidentielle, conclut Afrik.com, « pour la démocratie ivoirienne, ces événements relancent le débat sur l'indépendance de la justice, la transparence du processus électoral, et l'ouverture du jeu démocratique à une réelle compétition ».
La semana pasada la ministra de lo interior, Faride Raful, fue batida y debatida a propósito del cierre de una barbería. La acción ejecutada por la policía parecería insignificante en un país en el que cada día se comete un atropello policial contra cualquier ciudadano pero ese trascendió por la declaración del jefe de la policía que dijo que una barbería no podía abrir hasta la medianoche.Apareció quien dijera que el horario definido por el jefe policial atenta contra cualquier negocio con derecho a establecer sus horarios y fue subsanado por la ministra que posteriormente aclaró que el cierre fue por la venta de bebidas alcohólicas y como en el gobierno todo es relaciones públicas terminó con una foto de la ministra y el barbero.Una semana antes la misma ministra tuvo un diferendo matemático entre los números que ofrecía y los que daba la dirección de migración sobre las deportaciones de migrantes haitianos, lo cual fue más o menos subsanado con la aclaración de que Migración incluye números generales y no exclusivamente los de haitianos.Ayer no se había secado la tinta con la declaración del ministro de trabajo en el sentido de que el gobierno trabajaba en un Plan de regulación de migrantes cuando el vocero de la presidencia emitía un tuit desmintiendolo y aclarando que la única política que existe son las 15 medidas anunciadas por el presidente Abinader.Es obvio que ya se olvidó el Pacto Nacional ante la Crisis de Haití firmado hace dos años en el Palacio Nacional y que en líneas generales decía casi lo mismo que dice la ley nacional de migración.Tan solo ayer les resumía la declaración del ex presidente Leonel Fernández a propósito de la invitación cursada por el presidente Abinader para una cumbre el 14 de mayo en el Palacio Nacional: Leonel Fernández dijo que iría pero que no sería vagón de cola. Parece que lo pensó mejor y posteriormente sugirió que la discusión se hiciera en el seno del Consejo Económico y Social para que fuera incluyente de todos los sectores de la vida nacional.El CES no ha sacado una gata a mear en los casi cinco años de gobierno de ABINADER y Leonel lo sabe. Los proyectos de reforma que se discutieron ahí quedaron en el limbo y al final Abinader reformó lo que podía para fines de relaciones públicas.Por suerte Danilo no ha dicho nada y se ha evitado el desdecirse. Su partido planteó una posición por boca del secretario general a final de la semana pasada.
Mauvais temps pour l'information dans le monde, les nuages s'accumulent sur la liberté de la presse. Les conditions de travail des journalistes se dégradent un peu partout. D'après le Classement annuel réalisé par Reporters sans frontières, plus de six pays sur dix voient leurs scores reculer. Conséquence directe, l'accès à une information vérifiée est rendu plus difficile, tandis que les grandes plateformes captent l'attention du public et les revenus publicitaires qui vont avec. Selon RSF, « la fragilisation économique des médias constitue l'une des principales menaces pour la liberté de la presse. ». L'ONG qui publie chaque année ce Classement de la liberté de la presse dans le monde pointe notamment la responsabilité des grandes plateformes, dont la captation des recettes publicitaires ne cesse de croître aux dépens des médias. La production d'informations fiables, la constitution d'un espace médiatique pluraliste, assurant une bonne visibilité à des contenus provenant de médias indépendants, est menacée. On fait le bilan avec notre invitée Anne Bocandé, directrice éditoriale de RSF.Comment s'organiser pour résister à cette tendance d'une dégradation des conditions de travail des journalistes dans le monde ? Conséquence de cet état de fait, l'accès à une information de qualité devient de plus en plus difficile. C'était justement l'enjeu des rencontres de Marseille qui accueillaient pour la première fois les Assises du journalisme, initiative soutenue par CFI, on y revient avec Thierry Vallat.À lire aussiLa liberté de la presse en recul à travers le monde en 2024, selon Reporters sans frontièresLa chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Sénégal : ce convoi militaire filmé à Dakar n'appartient pas à l'armée française.La chronique de Monique Ngo Mayag de l'AFP factuel : La Russie, un pays sans dette ? C'est faux
Mauvais temps pour l'information dans le monde, les nuages s'accumulent sur la liberté de la presse. Les conditions de travail des journalistes se dégradent un peu partout. D'après le Classement annuel réalisé par Reporters sans frontières, plus de six pays sur dix voient leurs scores reculer. Conséquence directe, l'accès à une information vérifiée est rendu plus difficile, tandis que les grandes plateformes captent l'attention du public et les revenus publicitaires qui vont avec. Selon RSF, « la fragilisation économique des médias constitue l'une des principales menaces pour la liberté de la presse. ». L'ONG qui publie chaque année ce Classement de la liberté de la presse dans le monde pointe notamment la responsabilité des grandes plateformes, dont la captation des recettes publicitaires ne cesse de croître aux dépens des médias. La production d'informations fiables, la constitution d'un espace médiatique pluraliste, assurant une bonne visibilité à des contenus provenant de médias indépendants, est menacée. On fait le bilan avec notre invitée Anne Bocandé, directrice éditoriale de RSF.Comment s'organiser pour résister à cette tendance d'une dégradation des conditions de travail des journalistes dans le monde ? Conséquence de cet état de fait, l'accès à une information de qualité devient de plus en plus difficile. C'était justement l'enjeu des rencontres de Marseille qui accueillaient pour la première fois les Assises du journalisme, initiative soutenue par CFI, on y revient avec Thierry Vallat.À lire aussiLa liberté de la presse en recul à travers le monde en 2024, selon Reporters sans frontièresLa chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Sénégal : ce convoi militaire filmé à Dakar n'appartient pas à l'armée française.La chronique de Monique Ngo Mayag de l'AFP factuel : La Russie, un pays sans dette ? C'est faux
Amazon recule. Alors que le géant du commerce en ligne envisageait de rendre plus transparent le prix de certains produits importés aux États-Unis en détaillant l'impact des droits de douane, il a finalement renoncé à ce projet. La décision intervient après une vive critique formulée par la Maison Blanche, qui a qualifié cette initiative d'« acte politique et hostile ».Selon un article de Punchbowl News, Amazon aurait prévu d'ajouter, à côté du prix de vente de certains articles, la part exacte liée aux droits de douane, notamment ceux imposés sous l'administration Trump à plusieurs partenaires commerciaux, dont la Chine. Une idée rapidement dénoncée par Karoline Leavitt, porte-parole de la Maison Blanche, lors d'un point de presse officiel. « Ce n'est pas une surprise, car Amazon a signé un partenariat avec une entité de propagande chinoise », a-t-elle déclaré, en brandissant un article de Reuters datant de 2021. Ce document évoque la création par Amazon d'un portail dédié à des livres officiels du gouvernement chinois, notamment ceux du président Xi Jinping.Le projet de transparence tarifaire provenait de l'équipe Amazon Haul, en charge des produits à bas prix. Selon un porte-parole de l'entreprise, l'initiative avait été évoquée en interne mais n'a jamais été approuvée et ne sera pas mise en œuvre. Le groupe insiste sur le fait qu'aucune modification de la présentation des prix n'aura lieu.La réaction de la Maison Blanche s'explique par le contexte tendu autour du commerce international, alors que l'ancien président Donald Trump, candidat à la prochaine élection, pourrait renforcer les taxes sur les importations s'il revient au pouvoir. La publication des droits de douane directement sur la plateforme aurait pu mettre en lumière les effets concrets de cette politique sur les consommateurs américains, en les confrontant à la hausse des prix qu'elle provoque. Un geste perçu comme une attaque politique déguisée, selon l'administration actuelle.De nombreuses entreprises tierces utilisant Amazon comme canal de vente ont d'ores et déjà ajusté leurs tarifs en prévision des nouveaux droits de douane. Les économistes anticipent un impact sévère, notamment sur les produits finis et les composants venus de Chine, qui subissent des surtaxes allant jusqu'à 145 %.En reculant, Amazon cherche à désamorcer la polémique sans provoquer davantage la sphère politique américaine. Mais cet épisode révèle combien les grandes entreprises technologiques évoluent sur un fil tendu entre intérêts économiques, exigences de transparence et tensions géopolitiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:19 - Le brief éco - Finie la flambée constatée pendant les confinements liés au Covid et dont les ménages avaient profité pour réaménager leur intérieur.
Cette semaine, nous recevons Alain Berset, secrétaire général du Conseil de l'Europe. Défense de la démocratie, reconstruction de l'Ukraine, résilience face aux ingérences étrangères : il commente les missions menées par son organisation.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Budget 2026, préparation opérationnelle à l'emploi individuelle… Rattrapez l'actualité économique du jour avec notre podcast 120 secondes. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de sa revue de presse, mercredi, Paul Arcand fait le point sur cette autre journée forte en rebondissements dans les relations canado-américaines concernant les tarifs douaniers. Le premier ministre de l'Ontario Doug Ford a finalement décidé, mardi, de suspendre sa surtaxe sur les exportations d'électricité aux États-Unis. Donald Trump a quant à lui renoncé à sa menace de doubler les tarifs sur l'acier et l'aluminium canadien. «Ford a reculé et a appelé au dialogue. Imaginez la réaction de Trump. Le monarque jubile, encore une fois. Le Canada s'incline après avoir bombé le torse.» Les droits de douane de 25% sont toutefois en vigueur depuis minuit sur l’aluminium et l’acier du Canada. Autres sujets abordés Trump a une fixation sur le Canada : détruire l’industrie automobile et jouer avec la frontière. L’Ozempic, version générique, donc plus abordable, sera disponible l’an prochain. Louis Morissette poursuit l’homme d’affaires Luc Poirier pour diffamation. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Ce mardi 4 mars, la flexibilité de Bruxelles par rapport aux limites d'émission de CO2 prévue pour 2025 dans la filière automobile, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 4 mars, la flexibilité de Bruxelles par rapport aux limites d'émission de CO2 prévue pour 2025 dans la filière automobile, a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Deux traders vous donnent leur vision des marchés et les niveaux techniques à surveiller.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le Canada a besoin, plus que jamais, d'un journalisme indépendant rigoureux et de qualité. Pour soutenir Canadaland et souscrire à un abonnement annuel, allez sur canadaland.com/join et recevez trois mois gratuits.Canada needs rigorous, deeply reported independent journalism now more than ever. Go to canadaland.com/join to become a yearly Canadaland Supporter today and get three months of perks and benefits for free. La guerre au Moyen Orient impacte les Canadiens d'origine arabe de diverses manières. Pour Rim Mohsen, québécoise d'origine libanaise, l'un des changements les plus personnels a été celui de réévaluer et repenser son identité et ses interactions avec les autres. Au micro d'Emilie Nicolas, elle se confie sur la difficulté de naviguer entre deux mondes qu'elle gardait jusque là séparés. La consultante et spécialiste en mobilisation sociale discute aussi de ce que signifie l'espoir alors que le monde brûle. L'espoir, dit-elle, passe par le collectif. Dans la deuxième partie de l'émission, Emilie et Rim se tournent vers la jeunesse pour faire sens de sa détresse et, peut-être, y apporter des solutions.The war in the Middle East impacts Canadians of Arab origin in various ways. For Rim Mohsen, a Quebecer of Lebanese origin, one of the most personal changes was that of reassessing and rethinking her identity and her interactions with others. She confides in Emilie Nicolas about navigating between two worlds that she had until then kept separate. The consultant and social mobilization specialist also discusses what hope means as the world burns. Hope, she says, comes through the collective. In the second part of the show, Emilie and Rim turn to young people to make sense of their distress and, perhaps, provide solutions.Animation : Emilie NicolasGénérique : Lucie Laumonier (Production), Tristan Capacchione (Production technique), max collins (Coordination de production)Coanimation : Rim MohsenExtraits supplémentairesSi vous appréciez ce podcast, soutenez-nous ! Vous obtiendrez un accès en prime à toutes nos émissions gratuitement, y compris les premières diffusions et le contenu bonus. Vous recevrez également notre lettre d'information exclusive, des rabais sur les produits dans notre boutique, des billets pour nos événements en direct et virtuels, et surtout, vous ferez partie de la solution à la crise du journalisme au Canada. Vous ferez en sorte que notre travail reste gratuit et accessible à tout le monde. Vous pouvez écouter sans publicité sur Amazon Music, inclus avec Prime.If you enjoy this podcast, please support us! You'll get bonus access to all of our shows for free, including early releases and bonus content. You'll also receive our exclusive newsletter, discounts on merch in our store, tickets to our live and virtual events, and most importantly, you'll be part of the solution to the journalism crisis in Canada. You'll help keep our work free and accessible to everyone. You can listen ad-free on Amazon Music, included with Prime. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Malgré une embellie économique, de grandes disparités subsistent dans le pays et les questions sociales ont été au cœur de la campagne pour les législatives. Lituanie : 2è tour des législatives, dimanche 27 octobre 2024Le taux de pauvreté est encore élevé dans le pays, et surtout il n'a presque pas baissé depuis son adhésion à l'Union européenne. Une personne sur cinq dispose de 60% du revenu médian, soit 638 euros pour une personne. La question a été au cœur de la campagne des législatives, dont le deuxième tour a lieu ce dimanche avec un ballotage favorable aux sociaux-démocrates. Tous les grands partis préconisent une réforme fiscale pour plus de justice sociale, mais réduire les écarts de richesse reste un défi. Reportage à Vilnius de Marielle Vitureau. «Patriot, mémoires», autobiographie inachevée et posthume d'Alexei Navalny (éd. Robert Laffont)Le livre de l'opposant numéro 1 à Vladimir Poutine, pourfendeur acharné de la corruption et du pouvoir autocratique et mafieux, est sorti cette semaine en France. Alexei Navalny est mort en prison en février 2024. Le blogueur le plus célèbre de Russie avait été victime d'un empoisonnement en 2020 ; sauvé de justesse en Allemagne, il avait choisi de rentrer chez lui malgré les risques. Immédiatement placé en détention, il a passé trois ans en colonie pénitentiaire, et n'a pas survécu. Frédérique Lebel a lu pour nous les 500 pages de l'ouvrage. Le grisou, du cauchemar des mineurs au chauffage urbainLa 29ème COP approche, c'est dans moins de trois semaines ; mais sur le terrain, en attendant les décisions géopolitiques, les villes s'activent : à Béthune, par exemple, dans le nord de la France, région où le charbon a longtemps dominé l'économie. Si les mines ont fermé, le grisou est toujours là. Mais, ce gaz alimente désormais en partie le chauffage urbain. Reportage de Lise Verbeke. La revue de presse de Franceline Berretti : achat de voix en Moldavie, attaques de Meloni contre la justice, accueil mitigé du roi Charles en Australie.
Malgré une embellie économique, de grandes disparités subsistent dans le pays et les questions sociales ont été au cœur de la campagne pour les législatives. Lituanie : 2è tour des législatives, dimanche 27 octobre 2024Le taux de pauvreté est encore élevé dans le pays, et surtout il n'a presque pas baissé depuis son adhésion à l'Union européenne. Une personne sur cinq dispose de 60% du revenu médian, soit 638 euros pour une personne. La question a été au cœur de la campagne des législatives, dont le deuxième tour a lieu ce dimanche avec un ballotage favorable aux sociaux-démocrates. Tous les grands partis préconisent une réforme fiscale pour plus de justice sociale, mais réduire les écarts de richesse reste un défi. Reportage à Vilnius de Marielle Vitureau. «Patriot, mémoires», autobiographie inachevée et posthume d'Alexei Navalny (éd. Robert Laffont)Le livre de l'opposant numéro 1 à Vladimir Poutine, pourfendeur acharné de la corruption et du pouvoir autocratique et mafieux, est sorti cette semaine en France. Alexei Navalny est mort en prison en février 2024. Le blogueur le plus célèbre de Russie avait été victime d'un empoisonnement en 2020 ; sauvé de justesse en Allemagne, il avait choisi de rentrer chez lui malgré les risques. Immédiatement placé en détention, il a passé trois ans en colonie pénitentiaire, et n'a pas survécu. Frédérique Lebel a lu pour nous les 500 pages de l'ouvrage. Le grisou, du cauchemar des mineurs au chauffage urbainLa 29ème COP approche, c'est dans moins de trois semaines ; mais sur le terrain, en attendant les décisions géopolitiques, les villes s'activent : à Béthune, par exemple, dans le nord de la France, région où le charbon a longtemps dominé l'économie. Si les mines ont fermé, le grisou est toujours là. Mais, ce gaz alimente désormais en partie le chauffage urbain. Reportage de Lise Verbeke. La revue de presse de Franceline Berretti : achat de voix en Moldavie, attaques de Meloni contre la justice, accueil mitigé du roi Charles en Australie.
Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso avec Olivier Dauvers du 15 octobre 2024.
En direct du 45e congrès mondial de la vigne et du vin, Olivier Dauvers passe en revue les raisons pour lesquelles la consommation de vin est en train de reculer. La consommation d'alcool est dangereuse pour la santé, à consommer avec modération. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé !
Ecoutez Le journal RTL avec Aude Vernuccio du 30 septembre 2024.
Au programme :Enfants et écrans (et énervements)Apple recule encore face à l'UEL'IA « utile » en quatre exemplesLe reste de l'actualitéLiens :
Robert Ménard, maire de Béziers DVD, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l'ultraviolence chez les jeunes et du pacte sur la migration et l'asile de l'Union européenne.
Ce jeudi 4 avril, le recul de l'actionnariat salarié en Europe, le rapport polémique sur l'enseignement privé, ainsi que l'intelligence artificielle et son impact sur l'emploi, ont été abordés par Céline Antonin, économiste à l'OFCE, Pierre Jacquet, membre du Cercle des Économistes, et Pierre-Henri de Menthon, directeur de la rédaction de Challenges, dans l'émission Les Experts, présentée par Stéphane Pedrazzi sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ecoutez La revue de presse du 28 mars 2024 avec Jérôme Florin.
C dans l'air l'invitée du 12 février - Corinne Jolly, présidente de Particulier à Particulier. Dans une interview au Parisien - Aujourd'hui en France, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu précise aujourd'hui les changements qu'il veut impulser pour simplifier les dispositifs de rénovation énergétique des logements, jugés trop complexes. Parmi ces mesures phares qu'il veut mettre en place avec le nouveau ministre délégué au Logement, Guillaume Kasbarian : un nouveau type de prêt à l'étude pour aider les Français à devenir propriétaires et la révision du Diagnostic de performance énergétique (DPE) pour les petits logements de moins de 40 m2. Christophe Béchu annonce aussi des "simplifications" face aux "complexités" et "biais" du nouveau diagnostic de performance énergétique (DPE) d'un logement. "Plus la surface d'un logement est petite, plus la part de l'eau chaude sanitaire pèse sur son classement, sans lien réel avec le nombre d'occupants", selon le ministre, ce qui aboutit à ce que "plus de 27% des très petits biens, ceux de moins de 40m2, soient considérés comme des passoires, ce qui ne reflète pas la réalité". Une correction devrait donc permettre que 140.000 logements de moins de 40m2 sortent de la catégorie des passoires énergétiques (étiquetés F ou G). Pour rappel, depuis le 1er janvier 2023, les logements les plus énergivores (classés G+) sont interdits à la location et à partir de 2025, la mise en location de l'ensemble des logements classés G sera interdite par la loi Climat pour atteindre les objectifs climatiques de la France. Selon Christophe Béchu, "on ne touche pas au calendrier et à l'ambition, mais on va clarifier certaines règles qui s'appliquent au 1er janvier prochain". Un premier amendement gouvernemental sera déposé lors de la lecture au Sénat du projet de loi sur les copropriétés dégradées pour souligner que "le 1er janvier n'est pas une date couperet". Un second amendement permettra que dès que des copropriétaires votent en assemblée générale des travaux de parties communes, l'interdiction de louer soit "suspendue pendant deux ans à compter de la date du vote, le temps pour elle de réaliser les travaux". Corinne Jolly, présidente de Particulier à Particulier reviendra sur les annonces faites hier par le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu concernant la révision du Diagnostic de performance énergétique (DPE) et les "simplifications" sur la location des passoires thermiques. Des annonces qui ont lieu dans un contexte de crise du logement, avec une forte pénurie de biens à louer, mais aussi à acheter.
durée : 00:05:53 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Le coup de grâce porté par la présidente de la Commission européenne au projet législatif visant à réduire de moitié l'usage des pesticides d'ici 2030 est-il un nouveau cadeau donné aux agriculteurs ou à l'agrochimie, voire un calcul politique, à quatre mois des élections européennes ?
Un rapport du Haut Conseil à l'égalité a été publié il y a quelques jours. Une sorte d'état des lieux du sexisme en France. Le rapport est qualifié d'alarmant. Xavier Alberti, co-président de la commission stéréotypes et rôles sociaux au Haut Conseil à l'Égalité, est venu nous en parler.
Ce lundi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur la perte de puissance agricole de la France en Europe.
Ce lundi, sur Europe 1, Nicolas Bouzou revient sur la perte de puissance agricole de la France en Europe.
durée : 00:06:49 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La junte birmane essuie de nombreux revers militaires face à la résistance armée. Différents groupes rebelles, parfois ethniques, s'unissent pour multiplier les attaques dans le pays. La Chine, qui soutenait la junte, craint désormais l'instabilité à la frontière birmane et promeut la paix.
(00:00:43) Le monde vote en masse alors que la démocratie recule (00:07:49) La crise institutionnelle perdure en Israël (00:12:01) La Côte d'Ivoire adapte son agriculture pour se rapprocher des consommateur (00:16:37) Musiques du monde (ep 5) – "Si No Estás": succès en Europe et en Amérique latine grâce à TikTok
C'est le billet d'humeur de Pierre Ammiche : à chaque émission, notre journaliste reviendra sur une actualité sportive qui le rend heureux ou... en colère !
Tous les samedis et dimanches soir, Pierre de Vilno reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 18h30 à 19h00.