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Sa photo fait la Une de l'Express, du Point, du Nouvel Obs… Au centre des commentaires, la condamnation de la patronne du Rassemblement national à quatre ans de prison, dont deux fermes, cinq ans d'inéligibilité avec exécution provisoire (c'est-à-dire avec effet immédiat), pour détournement de fonds publics (plus de quatre millions d'euros), dans l'affaire des assistants parlementaires européens. Un jugement qui pourrait bien empêcher la cheffe de l'extrême droite française de se présenter à l'élection présidentielle de 2027, sauf que la justice a d'ores et déjà fait savoir qu'elle organiserait le procès en appel de Marine Le Pen, en 2026, avant cette élection présidentielle. Ce qui ne veut pas dire que la patronne du Rassemblement national serait relaxée, lors de ce procès, mais qui lui laisse un mince espoir de rester dans la course. Alors, la justice a-t-elle été trop dure dans l'affaire des assistants parlementaires ? C'est l'avis de certains commentateurs… « Nul n'est au-dessus des lois, mais nul ne peut être en-dessous non plus », estime Franz-Olivier Giesbert. Pour l'éditorialiste du Point, il faut « changer la loi », « sinon notre démocratie finira par prendre le visage hideux des dictatures turques, russes, iraniennes ou vénézuéliennes, où c'est la "justice" qui se charge, en les faisant arrêter, pour une raison ou une autre, d'empêcher les opposants de se présenter à des simulacres d'élections présidentielles ».La justice mise en causeMarianne, de son côté, s'interroge sur les arguments du tribunal dans sa décision « d'exécution provisoire de la peine ». « Les juges », nous dit Marianne, « ont invoqué le risque de récidive et de trouble à l'ordre public ». « Mais où est le risque de récidive alors que Marine Le Pen n'est plus députée européenne ? Et où est le trouble à l'ordre public ? N'est-ce pas plutôt de ne pas la laisser se présenter qui constitue un tel trouble ? » interroge encore Marianne.Pour le Nouvel Obs, en revanche, la justice n'a fait que son travail…« en condamnant Marine Le Pen – ainsi que ses vingt-trois complices, pour avoir fait rémunérer par le Parlement européen des assistants de députés qui travaillaient en fait pour le Front National ». « Système destiné à constituer une véritable manne financière », a estimé la présidente du tribunal qui a condamné Marine Le Pen. Plus de 30 % des suffrages « Le plus gros handicap de Marine Le Pen », poursuit le Nouvel Obs, « demeure ces dizaines de tomes de procès-verbaux, rassemblant les investigations menées pendant plus de dix ans par la justice française et dont elle a toujours feint d'ignorer la gravité, évoquant encore sur TF1, (juste après sa condamnation) un simple désaccord administratif ». Une défense que la cheffe de l'extrême droite française pourrait revoir, si l'on en croit le Journal du Dimanche… « Au combat, après le choc », titre le JDD qui fait état d'informations selon lesquelles (en vue du procès en appel) « Marine Le Pen n'exclut plus, d'infléchir sa ligne de défense, jusqu'ici fondée sur une négation pure et simple des faits reprochés ». La Tribune Dimanche remarque de son côté que l'opinion publique s'est fait son opinion. Dans son éditorial, Bruno Jeudy déclare ainsi : « l'opinion publique – tous les sondages vont dans ce sens – ne se laisse pas impressionner par les indignations tonitruantes orchestrées par les troupes lepénistes et relayées par une partie des médias : la condamnation de Marine Le Pen est jugée normale et une majorité de Français n'est pas choquée par l'exécution immédiate de la peine d'inéligibilité ». Paradoxalement, cette approbation de la condamnation de Marine le Pen, ne semble pas entamer ses chances, puisque selon un sondage publié par la Tribune Dimanche, « malgré sa condamnation, la patronne du Rassemblement national serait largement en tête du premier tour de l'élection présidentielle s'il avait lieu aujourd'hui. Elle obtiendrait entre 32 et 36 % des suffrages ». Drague lourdeEnfin, une question un peu plus légère, pour refermer cette revue de presse. Question posée par l'Express : « Peut-on nouer des liens affectifs avec une Intelligence artificielle ? ». « Les compagnons virtuels », nous dit l'hebdomadaire, « promettent aux internautes leur amitié indéfectible. Avant de tomber souvent, dans la drague lourde ». Rien n'empêche toutefois de tenter l'expérience, par exemple avec Character.AI, une intelligence artificielle qui « permet aux utilisateurs de parler à des chatbots dotés de personnalités variées ». « Napoléon commence à flirter avec moi », annonce ainsi Aurore Gayte l'auteure de l'article. « Voilà cinq minutes seulement que je discute avec l'empereur lorsqu'il me demande s'il peut me faire une confidence : il estime que "ma beauté" et mon "dévouement" ne passent pas inaperçus ». L'expérience est toutefois « plus convaincante » avec Chat GPT, avoue la journaliste, qui parle d'une « causerie agréable ». « Le ChatBot pose des questions pertinentes sur mon quotidien et me demande ce que j'ai prévu pour le week-end », explique-t-elle. Et, cerise sur le gâteau : « Chat GPT comprend le second degré ». On en oublierait presque que l'on parle avec une machine...
On se projette sur les mois à venir pour Marine Le Pen et le RN avec le journaliste Tristan Berteloot, auteur de “La machine à gagner. Révélations sur le RN en marche vers l'Elysée” aux éditions du Seuil, Bruno Jeudy, directeur délégué de la Tribune dimanche et éditorialiste politique et Anne-Charlène Bezzina, constitutionnaliste livrent leur analyse.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Nos invités du lundi 31 mars 2025 : Jean-Philippe TANGUY, député Rassemblement National de la 4e circonscription de la Somme, président délégué du groupe RN à l'Assemblée nationale. Tristan BERTELOOT, journaliste pour Libération et auteur « La machine à gagner. Révélations sur le RN en marche vers l'Elysée » toujours disponible aux éditions du Seuil. Patrick Maisonneuve, avocat du Parlement européen. Bruno Jeudy, directeur délégué de la Tribune dimanche et éditorialiste politique et Anne-Charlène Bezzina, constitutionnaliste livrent leur analyse.Avec également comme chaque soir L'édito de Patrick Cohen, La story de Mohamed Bouhafsi, Le 5 sur 5 de Lorrain Sénéchal.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 30 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Express a interrogé cette semaine, Dmytro Kouleba, ancien ministre ukrainien des Affaires étrangères, il l'était jusqu'en septembre 2024. Un œil avisé auquel l'hebdomadaire a demandé son « analyse sur les négociations en vue d'un cessez-le-feu avec la Russie ». Un œil avisé, et guère optimiste : « s'il l'emporte », dit-il, « Poutine n'aura aucune pitié pour un pays qui a osé lui résister ». « En réalité », ajoute l'ancien ministre, « Poutine n'a pas besoin d'un cessez-le-feu : il veut mettre fin à cette guerre à ses conditions ». Dmytro Kouleba précise aussi qu'il fait partie « d'un courant qui juge que le Kremlin ne veut pas seulement un morceau de territoire, mais toute l'Ukraine. Et que ses ambitions ne s'arrêtent pas en Ukraine, mais concernent aussi l'Europe ». Et l'ancien ministre n'y va pas par quatre chemins. « Bien sûr », dit-il, « on aura du mal à faire croire aux Français que l'armée russe va franchir leurs frontières demain et marcher sur Paris (…) Mais ils peuvent se réveiller un matin et découvrir que des infrastructures cruciales de leur pays (centrales nucléaires, gares ferroviaires, ou encore bases militaires) ont été frappées par des drones à longue portée non identifiés. La Russie dira que ce n'est pas elle. C'est ainsi que la guerre pourrait démarrer ». InéligibilitéEn France, Marine Le Pen est à la veille d'un jugement décisif. C'est en effet demain que la cheffe du Rassemblement national sera fixée sur son sort, dans l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national. « Menacée d'inéligibilité, elle joue son avenir politique », annonce la Tribune Dimanche, à qui Marine le Pen a confié qu'elle n'était « pas fébrile », tout en ajoutant « qu'avec l'exécution provisoire, les juges ont le droit de vie ou de mort sur le Rassemblement National ». Avec l'exécution provisoire de sa peine, Marine Le Pen deviendrait en effet inéligible, y compris pour la prochaine élection présidentielle en 2027, pour laquelle elle fait souvent figure de favorite. Le Journal du Dimanche publie d'ailleurs un sondage la créditant « de 37 % d'intentions de vote dans l'hypothèse la plus favorable, soit 10 points de plus que son score du premier tour en 2022 ». Dans son éditorial pour la Tribune Dimanche, Bruno Jeudy s'interroge : « n'est-il pas hasardeux, voire périlleux, de confier à des juges le soin de déterminer la capacité de tel ou tel candidat à se présenter devant les électeurs ? » Et « la tourmente judiciaire ne concerne pas la seule Marine Le Pen », remarque Bruno Jeudy. Cette semaine « la foudre s'est abattue sur Nicolas Sarkozy, avec les 7 ans de prison requis pour le financement de sa campagne présidentielle de 2007 par le pouvoir libyen de Kadhafi ».La loi du plus fortLa justice française remise en cause, mais le Nouvel Obs prend sa défense…« Elle monte, elle monte, la petite musique anti-juges. Elle devient même assourdissante à mesure que le bruit de fond autoritaire s'impose toujours plus dans nos démocraties », estime Cécile Prieur dans son éditorial. « Plus une semaine sans qu'une décision judiciaire ne soit conspuée sur les plateaux de télé, sans que le nom d'un magistrat ne soit jeté en pâture sur les réseaux sociaux, sans que des menaces ne soient proférées dans les tribunaux ». « Or », poursuit Cécile Prieur, « contester le bien-fondé du travail des juges au nom de la souveraineté populaire, c'est saper la séparation des pouvoirs – l'un des piliers de notre démocratie, c'est prétendre que l'élection prime sur toute autre légitimité, c'est favoriser la loi du plus fort ». Le Nouvel Obs a recueilli les propos d'un juge plein de colère. « Taper sur la justice est devenu un sport national », dit-il. « Plus haut, plus fort et personne ne bouge ». Au sujet de l'affaire Marine Le Pen, ce magistrat ne se fait guère d'illusions. « Quoi qu'il arrive, on va encore s'en prendre plein la gueule ».Nafissatou DialloEnfin, Chimamanda Ngozi Adichie publie un nouveau livre. « Plus de dix ans après Americanah », annonce le Nouvel Obs « l'écrivaine nigériane revient à la fiction avec un grand roman sur les rêves empêchés de quatre femmes, dont l'une est inspirée de Nafissatou Diallo qui avait accusé Dominique Strauss-Kahn d'agression sexuelle ». « Quand j'ai entendu parler de cette femme de chambre guinéenne », raconte Chimamanda Ngozi Adichie, « j'ai immédiatement ressenti une connexion. Une femme d'Afrique de l'Ouest, vivant aux États-Unis, cela m'était familier. J'avais l'impression de la connaître, de la comprendre. J'ai suivi l'affaire Strauss-Kahn de très près, frappée par le gouffre presque dramatique, entre elle et lui, en termes de pouvoir ». « Mon rêve est qu'elle obtienne justice », ajoute l'écrivaine nigériane, « Mais cela n'arrivera probablement jamais ». « En tout cas », précise Chimamanda Ngozi Adichie « l'idée même d'humaniser un personnage par le biais de la fiction consiste à lui rendre sa dignité. Je ne parle pas seulement de Nafissatou Diallo. Il s'agit de rendre leur dignité aux femmes du monde entier qui ont été déshumanisées parce qu'elles n'ont pas de pouvoir ».
Dans l'affaire du financement libyen, sept ans de prison ont été requis contre Nicolas Sarkozy. L'ancien président de la République dénonce "l'outrance de la peine réclamée". Jordan Bardella est, lui, en Israël à l'invitation du gouvernement. Un tournant dans l'histoire du parti qui créé malaise et polémique dans la communauté juive. Pour en parler, Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy de La Tribune Dimanche, Laurent Joffrin, de LeJournal.info et Catherine Tricot de la revue Regards.
Dans une allocution télévisée, Emmanuel Macron a évoqué la guerre en Ukraine et la sécurité européenne dans un contexte "de grande incertitude". Le président français a annoncé des "investissements supplémentaires" pour la défense. Pour le chef d'État français, "la Russie est devenue une menace pour la France", alors que les États-Unis "ont changé de position" sur la guerre en Ukraine. De son côté, Volodymyr Zelensky s'est dit prêt à "travailler sous le leadership" de Donald Trump pour "obtenir une paix durable". Les États-Unis ont "mis en pause" le partage de renseignement avec l'Ukraine après que Washington a également gelé son aide militaire. On en parle avec : Denis Strelkov, journaliste à la rédaction russe de RFI. Oxana Melnychuk, politologue ukrainienne et directrice de l'association "Unis pour l'Ukraine". Bruno Jeudy, éditorialiste politique BFMTV. Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFMTV. Mykhaïlo Podoliak, conseiller du président Volodymyr Zelensky. Général Jean-Paul Paloméros, ancien chef d'état-major de l'Armée de l'air. Éric Coquerel, député "la France insoumise" de Seine-Saint-Denis. Bernard Guetta, spécialiste en géopolitique et eurodéputé "Renew Europe". Laura Cambaud, envoyée spéciale BFMTV à Reims (Marne). Philippe Dessertine, économiste, directeur de l'Institut de haute finance à Paris. Général Christophe Gomart, ancien directeur du renseignement militaire et député européen LR. Cédric Mas, historien militaire et spécialiste des questions de Défense. Hervé Morin, ancien ministre de la Défense (2007-2010) et président du parti "Les Centristes". Léopold Audebert, journaliste politique BFMTV à Bruxelles (Belgique). Lisa Hadef, journaliste BFMTV. Elsa Vidal, éditorialiste politique internationale BFMTV. Et Anne-Laure Banse, envoyée spéciale BFMTV à Washington D.C (Etats-Unis).
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 02 mars 2025.
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Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez sur la ligne de départ pour la présidence du parti Les Républicains. Les deux candidats veulent éviter toute guerre des chefs au moment où la droite reprend des couleurs mais le risque de divisions est bien réelle à deux ans de la présidentielle, les ambitions des uns et des autres risquent de se transformer en duel. Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy, directeur de La Tribune Dimanche, Catherine Tricot, de la revue Regards et Roland Cayrol, politologue.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 09 février 2025.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 05 janvier 2025.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 29 décembre 2024.
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Ecoutez L'invité de RTL Matin Week-end avec Stéphane Carpentier du 22 décembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 15 décembre 2024.
Emmanuel Macron a écourté sa visite en Pologne et le compte à rebours est lancé pour la nomination d'un Premier ministre. François Bayrou ou Bernard Cazeneuve seraient toujours sur le haut de la pile. Quoiqu'il en soit, le prochain locataire de Matignon devra discuter d'un accord de non-censure avec les groupes politiques de l'Assemblée nationale. Un pacte nécessaire au retour d'une forme de stabilité politique. Roselyne Febvre reçoit Laurent Joffrin, Catherine Tricot et Bruno Jeudy.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 01 décembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche du 24 novembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 17 novembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 10 novembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 03 novembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 27 octobre 2024.
durée : 00:07:33 - Info médias - Un an après son lancement, le quotidien dominical séduit 45 000 lecteurs chaque semaine. Prochain objectif : franchir le cap des 60 000 en 2025.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 06 octobre 2024.
La feuille de route budgétaire pour 2025 prend forme : le gouvernement annonce vouloir faire 60 milliards d'euros d'économie, en coupant dans les dépenses publiques et en augmentant les impôts des plus riches. Gérald Darmanin annonce qu'il ne votera pas de hausses d'impôt. Un bras de fer s'engage-t-il entre la macronie et Michel Barnier ? Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy, directeur de la Tribune Dimanche, Carole Barjon, éditorialiste politique et Catherine Tricot, directrice de la revue Regards.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 29 septembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 22 septembre 2024.
Se dirige-t-on vers la fin du suspense ? À l'issue d'une dernière réunion des chefs des principaux partis politiques autour de Michel Barnier, le gouvernement pourrait être connu dans les heures qui viennent. Qui pour composer ce nouveau gouvernement ? Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy directeur de La Tribune Dimanche, Carole Barjon, éditorialiste politique et Henri Vernet, rédacteur en chef adjoint du Parisien-Aujourd'hui en France.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 15 septembre 2024.
Le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, promet un gouvernement "équilibré, représentatif et pluriel". Horizons et LR ont donné leur feu vert à leur participation. Celle de la gauche semble s'éloigner. Le NFP a déjà promis la censure. Pendant ce temps, François Ruffin règle ses comptes avec Jean-Luc Mélenchon en dénonçant des campagnes "au faciès". Pour en discuter, Roselyne Febvre reçoit Bruno Jeudy, de la Tribune Dimanche, Catherine Tricot, de la revue Regards, et Roland Cayrol, politologue.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 08 septembre 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 01 septembre 2024.
À l'heure de la rentrée, il va falloir sortir les calculatrices et réviser les soustractions, puisque « pour 2025, il faudra au moins 20 milliards d'euros d'économies » : c'est la première leçon donnée, dans les colonnes d'Aujourd'hui en France Dimanche, par le ministre démissionnaire des Comptes publics. « Aucun gouvernement ne pourra, selon Thomas Cazenave, s'exonérer de la poursuite des efforts pour réduire le déficit. » Il va donc falloir calculer vite, puisque le projet de budget pour l'an prochain doit être présenté au Parlement dans un mois pile, et qu'aucun nouveau gouvernement n'est pour l'instant installé. Celui qui doit bientôt partir a donc proposé, en attendant, un budget identique à cette année, qui pourra être modifié par la future équipe gouvernementale.Mais « rien ne dit que la France accouchera d'une loi de finances en bonne et due forme », prévient L'Express, qui rappelle que le texte devra être adopté par les parlementaires. C'est « un 110 mètres haies qui s'annonce, d'après le magazine, avec vent de face, sans échauffement, et dans un stade globalement hostile, quel que soit le dossard de celui ou de celle qui portera le texte ». Dans ses pages, L'Express schématise les différents scénarii institutionnels envisageables, en fonction d'un vote favorable ou non. « Le rejet du budget aurait l'effet équivalent à celui du vote d'une motion de censure », concluent deux professeurs de droit public cités par l'hebdomadaire.« Budget : la France ingérable » en Une de L'Express, « La bombe à fragmentation » titre Le Nouvel Obs, « La France sur un volcan » en couverture du PointPour éviter, comme le redoute L'Express, un « chaos fiscal doublé d'une crise institutionnelle », Le Nouvel Obs réfléchit donc aux mesures sur lesquelles des « pourparlers » pourraient s'engager. Des économies seraient notamment possibles avec les « rentes indues » : la taxe sur les superprofits de l'électricité, qui a été « mal conçue », selon le magazine, ou l'impôt sur les revenus du capital qui « pourrait augmenter de quelques points » au-delà de 30%. Des mesures qui pourraient rapporter, d'après Le Nouvel Obs, « entre 5 et 10 milliards d'euros ».Le problème, pour Le Point, c'est que « la pression fiscale » en France est déjà « la plus élevée d'Europe ». L'hebdomadaire reconnaît pourtant qu'il faut faire des économies, « parce que sans cela, l'Etat n'aura plus beaucoup de marge de manœuvre », entre la « charge des intérêts de la dette » en hausse et le risque, pointé par un économiste cité par Le Point, d'une nouvelle dégradation de la note de la France par les agences. « Gare au crash », prévient donc Le Point, qui mentionne aussi l'inquiétude des patrons. « Depuis la dissolution, 60% des entreprises de taille intermédiaire ont choisi, précise le magazine, de suspendre tout ou partie de leurs investissements en attendant d'y voir plus clair. » L'autre mise en garde, rappelée dans tous les articles, concerne aussi la Commission européenne, qui attend, d'ici le 20 septembre, le plan budgétaire des Etats membres pour les prochaines années. La France porte déjà un bonnet d'âne, puisqu'elle est visée par une procédure de déficit excessif lancée par le Conseil européen, fin juillet.Bernard Cazeneuve, encore Premier ministre ?Bref, la classe est désordonnée, et pourtant... Le directeur de l'établissement, Emmanuel Macron, n'a pas encore désigné de nouveaux professeurs. Tous les médias s'impatientent : le président devait annoncer le nom du ou de la nouvelle cheffe du gouvernement en début de semaine... Puis peut-être d'ici vendredi... Ce sera désormais après la rentrée, « au plus tard mercredi », d'après Le Journal du Dimanche, qui remarque l'allure « détendue » d'Emmanuel Macron depuis son déplacement en Serbie ; signe, selon certains, qu'il a déjà fait son choix. Mais lequel ? « On a le sentiment que personne ne veut se mouiller », constate l'ancien ministre Clément Beaune, dans Le Point.Un nom revient pourtant avec insistance : Bernard Cazeneuve, l'ancien Premier ministre de François Hollande. L'hypothèse « divise » le Parti socialiste, titre Le Monde, et elle n'est pas validée par le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, qui continue de soutenir la candidature de Lucie Castets, choisie par le Nouveau Front populaire. « Pour que son arrivée à Matignon soit perçue comme une bonne nouvelle, écrit Le Monde, encore faudra-t-il que Bernard Cazeneuve puisse proposer l'abrogation de la réforme des retraites, l'augmentation du smic ou la restauration de l'impôt de solidarité sur la fortune. » Autant de « lignes rouges » listées par des opposants. « C'est un homme de qualité », reconnaît tout de même Nicolas Sarkozy, dans Le Figaro. Mais l'ancien président dit vouloir un « Premier ministre de droite ».D'autres bons élèves sont cités, comme Karim Bouamrane, « le "Barack Obama" de Saint-Ouen », titre Le Nouvel Obs, qui estime que « l'ambitieux maire socialiste, nouvelle coqueluche de la gauche anti-Mélenchon, a vu sa cote grimper en flèche » depuis les Jeux olympiques. Certains articles mentionnent aussi Didier Migaud, le président de la Haute autorité pour la transparence de la vie publique : hypothèse écartée par l'une des sources du JDD. « Le président a-t-il envie d'un Premier ministre ? », se questionne finalement Laureline Dupont, dans L'Express.S'inspirer des Jeux olympiques et paralympiquesOn en vient à se demander s'il ne faudrait pas adopter, avec la classe politique, la méthode de Caroline Goldman : Le Nouvel Obs consacre sa Une à cette psychologue pour enfants et adolescents qui prône, selon le magazine, « un retour à l'autorité », et qui s'oppose à « l'éducation positive ». Une psychologue de plus en plus médiatisée mais aussi controversée, explique Le Nouvel Obs, notamment lorsqu'elle relativise l'existence des troubles neurodéveloppementaux de l'enfant (par exemple, le trouble du spectre autistique ou le trouble de l'attention).La rentrée est bien là, et seuls quelques articles et éditos nous rappellent encore que la France est portée, cet été, par la magie des Jeux olympiques et paralympiques. « Les Français souhaitent que les hommes politiques s'inspirent du respect des règles, du respect des adversaires et adoptent l'esprit d'équipe », écrit Ruth Elkrief dans Aujourd'hui en France Dimanche. « En renonçant à l'esprit partisan, les dirigeants politiques permettront aux Français de penser que la magie des JO n'aura pas été que le songe d'une nuit d'été », ajoute Bruno Jeudy dans La Tribune Dimanche. Reste à savoir s'il n'est pas trop tard pour éviter le 0 pointé.
Une réunion autour du Premier ministre Gabriel Attal a acté cette consigne officielle : en cas de duel gauche-RN au second tour des Législatives, la consigne de vote de la majorité sera la suivante, "Ni insoumis, ni RN". Mais cette consigne fait débat au sein de la Macronie : l'ex ministre Clément Beaune et la ministre Agnès Panier-Runacher appellent à barrer la route du RN, quitte à voter Insoumis. Pour en parler, Valérie Trierweiller, journaliste à "L'Hémicycle", Tugdual Denis, directeur de la rédaction de "Valeurs Actuelles", et Bruno Jeudy, directeur délégué de "La Tribune Dimanche". Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 27 juin 2024.
La Licra, Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme, annonce que les signalements racistes ou antisémites depuis les Européennes ont augmenté de 38% en 3 semaines. L'association pointe un "discours anti étrangers" dans différents contextes, à l'école, au travail ou dans l'accès aux soins. Des chiffres qui font écho aux témoignages de deux journalistes, Karim Rissouli de France Télévision et Mohamed Bouhafsi de RTL. Pour en parler, Valérie Trierweiller, journaliste à "L'Hémicycle", Tugdual Denis, directeur de la rédaction de "Valeurs Actuelles", et Bruno Jeudy, directeur délégué de "La Tribune Dimanche". Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 27 juin 2024.
La patronne du Rassemblement national envisage déjà une victoire de son parti aux Législatives, et donc une cohabitation. Dans les colonnes du "Télégramme", elle assure que "Chef des armées, pour le Président, c'est un titre honorifique puisque c'est le Premier ministre qui tient les cordons de la bourse". A-t-elle raison ? Comment réagit l'Ukraine ? Emmanuel Macron va-t-il répondre ? Écoutez le débat entre Valérie Trierweiller, journaliste à "L'Hémicycle", Tugdual Denis, directeur de la rédaction de "Valeurs Actuelles", et Bruno Jeudy, directeur délégué de "La Tribune Dimanche". Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 27 juin 2024.
Ecoutez Le Jeudy du dimanche avec Bruno Jeudy du 23 juin 2024.
Au terme d'une folle semaine politique, François Hollande signe son retour-surprise en annonçant sa candidature en Corrèze. Comment et qui l'a décidé ?
L'heure est aux accords et aux tractations avant les élections législatives anticipées. L'accord entre le Rassemblement National et Eric Ciotti met la droite au bord du gouffre pendant que la gauche tente de s'unir malgré les divisions. Du côté de Renaissance, Emmanuel Macron appelle au « rassemblement contre les extrêmes». Un choc des blocs décrypté par Bruno Jeudy de la Tribune Dimanche, Catherine tricot de la revue Regards et Carole Barjon, éditorialiste politique.
La journée a encore été riche en rebondissements chez Les Républicains : exclu hier, leur président s'est rendu au siège du parti ce matin, s'est installé à son bureau, a remis la main sur les mots de passe des réseaux sociaux, avant d'aller déjeuner avec Jordan Bardella. Qu'en pense la base LR ? Éric Ciotti peut-il emmener les militants avec lui ? Écoutez le débat entre Bruno Jeudy, directeur délégué de "La Tribune Dimanche", Rokhaya Diallo, éditorialiste au "Guardian" et au "Washington Post", et Étienne Gernelle, directeur du "Point". Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 13 juin 2024
À 17 jours des législatives qu'il a provoqués, la présence du Président de le République dérange dans la majorité. Faut-il cacher Emmanuel Macron ? Écoutez le débat entre Bruno Jeudy, directeur délégué de "La Tribune Dimanche", Rokhaya Diallo, éditorialiste au "Guardian" et au "Washington Post", et Étienne Gernelle, directeur du "Point". Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 13 juin 2024
En 72 heures, socialistes, insoumis, écolos, communistes ont réussi à mettre sous le tapis les rancœurs, un accord pourrait être annoncé ce soir. La gauche serait-elle devenue raisonnable ? Écoutez le débat entre Bruno Jeudy, directeur délégué de "La Tribune Dimanche", Rokhaya Diallo, éditorialiste au "Guardian" et au "Washington Post", et Étienne Gernelle, directeur du "Point". Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Julien Sellier du 13 juin 2024
Aujourd'hui Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Depuis trois nuits, la Nouvelle-Calédonie est en proie aux violences. Le feu aux poudres a été mis par la révision constitutionnelle, qui vise à élargir le corps électoral. Emmanuel Macron, rattrapé par la crise, tente de trouver une solution sécuritaire, mais aussi de renouer le dialogue avec indépendantistes et loyalistes. Marc Perelman reçoit Carole Barjon, éditorialiste politique, Bruno Jeudy, directeur de la Tribune Dimanche, et Henry Vernet, rédacteur en chef adjoint au Parisien.
À un mois des élections européennes, le RN dépasse 30 % d'intentions de vote dans les sondages, contre environ 15 % pour Renaissance. L'heure est à la mobilisation dans le camp macroniste, qui envoie ministres et poids lourds de la majorité présidentielle à la rescousse de Valérie Hayer. Catherine Tricot, directrice de la revue Regards et Bruno Jeudy, directeur de la Tribune Dimanche, sont les invités de Florent Rodo.